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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, célibataire, sans antécédent pathologique particulier, le début de ses symptômes remonte à quatre mois avant son admission par une douleur pelvienne à type de pesanteur d'aggravationprogressive associé à une augmentation progressivedu volume abdominopelvien, sans troubles urinaires ou digestifs associés, évoluant dans un contexte d'apyrexie et conservation de l'état général.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, célibataire, sans antécédent pathologique particulier, le début de ses symptômes remonte à quatre mois avant son admission par une douleur pelvienne à type de pesanteur d'aggravationprogressive associé à une augmentation progressivedu volume abdominopelvien, sans troubles urinaires ou digestifs associés, évoluant dans un contexte d'apyrexie et conservation de l'état général. L'examen clinique à trouvé une masse abdominopelvienne médiane, mesurant environ 30 cm de diamètre, arrivant à plus de trois travers de doigts au dessus de l'ombilic, légèrement mobilisable, de consistance ferme, bien limitée, sensible. L'échographique a mis en évidence une énorme masse anéchogène, occupant la totalité du pelvis avec des cloisons intrakystiques en nid d'abeilles, sans végétations intra ou exokystiques ou épanchement péritonéal. La tomodensitométrie pelvienne a montré une masse pelvienne supra et latéro-utérinedroite, liquidienne, multicloisonées avec réhaussement des cloisons et des vegétations endokystiques mesurant jusqu'au 20 mm d'épaisseur. La radiographie pulmonaire et l'échographie hépatique étaient sans anomalie. Le taux du CA125 était normal. L'exploration chirurgicale a trouvé un kyste pelvien de 30 cm de diamètre adhérent aux organes de voisinage, L'exploration péritonéale à la recherche d'une autre localisation était négative. Une rupture accidentelle s'est produite, avec issue de multiples vésicules filles Lors de la libération de la masse de ses adhérences,. L'intervention chirurgicale a été réalisée avec toutes les mesures de protection pour éviter une éventuelle dissémination secondaire. Une résection du dôme saillant a été faite. L'étude anato- mopathologique était non concluante. Les suites postopératoires étaient simples. Devant ce tableau ambiguë, Une sérologie hydatique à été demandée, elle s'est révélée positive, La patiente a été mise sous traitement médicale a base d'albendazole, actuellement, elle est suivie en consultation de gastroentérologie, avec un recul de trois ans sans récidive locale oupéritonéale.
FR100614
L'examen clinique à trouvé une masse abdominopelvienne médiane, mesurant environ 30 cm de diamètre, arrivant à plus de trois travers de doigts au dessus de l'ombilic, légèrement mobilisable, de consistance ferme, bien limitée, sensible.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, célibataire, sans antécédent pathologique particulier, le début de ses symptômes remonte à quatre mois avant son admission par une douleur pelvienne à type de pesanteur d'aggravationprogressive associé à une augmentation progressivedu volume abdominopelvien, sans troubles urinaires ou digestifs associés, évoluant dans un contexte d'apyrexie et conservation de l'état général. L'examen clinique à trouvé une masse abdominopelvienne médiane, mesurant environ 30 cm de diamètre, arrivant à plus de trois travers de doigts au dessus de l'ombilic, légèrement mobilisable, de consistance ferme, bien limitée, sensible. L'échographique a mis en évidence une énorme masse anéchogène, occupant la totalité du pelvis avec des cloisons intrakystiques en nid d'abeilles, sans végétations intra ou exokystiques ou épanchement péritonéal. La tomodensitométrie pelvienne a montré une masse pelvienne supra et latéro-utérinedroite, liquidienne, multicloisonées avec réhaussement des cloisons et des vegétations endokystiques mesurant jusqu'au 20 mm d'épaisseur. La radiographie pulmonaire et l'échographie hépatique étaient sans anomalie. Le taux du CA125 était normal. L'exploration chirurgicale a trouvé un kyste pelvien de 30 cm de diamètre adhérent aux organes de voisinage, L'exploration péritonéale à la recherche d'une autre localisation était négative. Une rupture accidentelle s'est produite, avec issue de multiples vésicules filles Lors de la libération de la masse de ses adhérences,. L'intervention chirurgicale a été réalisée avec toutes les mesures de protection pour éviter une éventuelle dissémination secondaire. Une résection du dôme saillant a été faite. L'étude anato- mopathologique était non concluante. Les suites postopératoires étaient simples. Devant ce tableau ambiguë, Une sérologie hydatique à été demandée, elle s'est révélée positive, La patiente a été mise sous traitement médicale a base d'albendazole, actuellement, elle est suivie en consultation de gastroentérologie, avec un recul de trois ans sans récidive locale oupéritonéale.
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L'échographique a mis en évidence une énorme masse anéchogène, occupant la totalité du pelvis avec des cloisons intrakystiques en nid d'abeilles, sans végétations intra ou exokystiques ou épanchement péritonéal.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, célibataire, sans antécédent pathologique particulier, le début de ses symptômes remonte à quatre mois avant son admission par une douleur pelvienne à type de pesanteur d'aggravationprogressive associé à une augmentation progressivedu volume abdominopelvien, sans troubles urinaires ou digestifs associés, évoluant dans un contexte d'apyrexie et conservation de l'état général. L'examen clinique à trouvé une masse abdominopelvienne médiane, mesurant environ 30 cm de diamètre, arrivant à plus de trois travers de doigts au dessus de l'ombilic, légèrement mobilisable, de consistance ferme, bien limitée, sensible. L'échographique a mis en évidence une énorme masse anéchogène, occupant la totalité du pelvis avec des cloisons intrakystiques en nid d'abeilles, sans végétations intra ou exokystiques ou épanchement péritonéal. La tomodensitométrie pelvienne a montré une masse pelvienne supra et latéro-utérinedroite, liquidienne, multicloisonées avec réhaussement des cloisons et des vegétations endokystiques mesurant jusqu'au 20 mm d'épaisseur. La radiographie pulmonaire et l'échographie hépatique étaient sans anomalie. Le taux du CA125 était normal. L'exploration chirurgicale a trouvé un kyste pelvien de 30 cm de diamètre adhérent aux organes de voisinage, L'exploration péritonéale à la recherche d'une autre localisation était négative. Une rupture accidentelle s'est produite, avec issue de multiples vésicules filles Lors de la libération de la masse de ses adhérences,. L'intervention chirurgicale a été réalisée avec toutes les mesures de protection pour éviter une éventuelle dissémination secondaire. Une résection du dôme saillant a été faite. L'étude anato- mopathologique était non concluante. Les suites postopératoires étaient simples. Devant ce tableau ambiguë, Une sérologie hydatique à été demandée, elle s'est révélée positive, La patiente a été mise sous traitement médicale a base d'albendazole, actuellement, elle est suivie en consultation de gastroentérologie, avec un recul de trois ans sans récidive locale oupéritonéale.
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La tomodensitométrie pelvienne a montré une masse pelvienne supra et latéro-utérinedroite, liquidienne, multicloisonées avec réhaussement des cloisons et des vegétations endokystiques mesurant jusqu'au 20 mm d'épaisseur.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, célibataire, sans antécédent pathologique particulier, le début de ses symptômes remonte à quatre mois avant son admission par une douleur pelvienne à type de pesanteur d'aggravationprogressive associé à une augmentation progressivedu volume abdominopelvien, sans troubles urinaires ou digestifs associés, évoluant dans un contexte d'apyrexie et conservation de l'état général. L'examen clinique à trouvé une masse abdominopelvienne médiane, mesurant environ 30 cm de diamètre, arrivant à plus de trois travers de doigts au dessus de l'ombilic, légèrement mobilisable, de consistance ferme, bien limitée, sensible. L'échographique a mis en évidence une énorme masse anéchogène, occupant la totalité du pelvis avec des cloisons intrakystiques en nid d'abeilles, sans végétations intra ou exokystiques ou épanchement péritonéal. La tomodensitométrie pelvienne a montré une masse pelvienne supra et latéro-utérinedroite, liquidienne, multicloisonées avec réhaussement des cloisons et des vegétations endokystiques mesurant jusqu'au 20 mm d'épaisseur. La radiographie pulmonaire et l'échographie hépatique étaient sans anomalie. Le taux du CA125 était normal. L'exploration chirurgicale a trouvé un kyste pelvien de 30 cm de diamètre adhérent aux organes de voisinage, L'exploration péritonéale à la recherche d'une autre localisation était négative. Une rupture accidentelle s'est produite, avec issue de multiples vésicules filles Lors de la libération de la masse de ses adhérences,. L'intervention chirurgicale a été réalisée avec toutes les mesures de protection pour éviter une éventuelle dissémination secondaire. Une résection du dôme saillant a été faite. L'étude anato- mopathologique était non concluante. Les suites postopératoires étaient simples. Devant ce tableau ambiguë, Une sérologie hydatique à été demandée, elle s'est révélée positive, La patiente a été mise sous traitement médicale a base d'albendazole, actuellement, elle est suivie en consultation de gastroentérologie, avec un recul de trois ans sans récidive locale oupéritonéale.
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La radiographie pulmonaire et l'échographie hépatique étaient sans anomalie.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, célibataire, sans antécédent pathologique particulier, le début de ses symptômes remonte à quatre mois avant son admission par une douleur pelvienne à type de pesanteur d'aggravationprogressive associé à une augmentation progressivedu volume abdominopelvien, sans troubles urinaires ou digestifs associés, évoluant dans un contexte d'apyrexie et conservation de l'état général. L'examen clinique à trouvé une masse abdominopelvienne médiane, mesurant environ 30 cm de diamètre, arrivant à plus de trois travers de doigts au dessus de l'ombilic, légèrement mobilisable, de consistance ferme, bien limitée, sensible. L'échographique a mis en évidence une énorme masse anéchogène, occupant la totalité du pelvis avec des cloisons intrakystiques en nid d'abeilles, sans végétations intra ou exokystiques ou épanchement péritonéal. La tomodensitométrie pelvienne a montré une masse pelvienne supra et latéro-utérinedroite, liquidienne, multicloisonées avec réhaussement des cloisons et des vegétations endokystiques mesurant jusqu'au 20 mm d'épaisseur. La radiographie pulmonaire et l'échographie hépatique étaient sans anomalie. Le taux du CA125 était normal. L'exploration chirurgicale a trouvé un kyste pelvien de 30 cm de diamètre adhérent aux organes de voisinage, L'exploration péritonéale à la recherche d'une autre localisation était négative. Une rupture accidentelle s'est produite, avec issue de multiples vésicules filles Lors de la libération de la masse de ses adhérences,. L'intervention chirurgicale a été réalisée avec toutes les mesures de protection pour éviter une éventuelle dissémination secondaire. Une résection du dôme saillant a été faite. L'étude anato- mopathologique était non concluante. Les suites postopératoires étaient simples. Devant ce tableau ambiguë, Une sérologie hydatique à été demandée, elle s'est révélée positive, La patiente a été mise sous traitement médicale a base d'albendazole, actuellement, elle est suivie en consultation de gastroentérologie, avec un recul de trois ans sans récidive locale oupéritonéale.
FR100614
Le taux du CA125 était normal.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, célibataire, sans antécédent pathologique particulier, le début de ses symptômes remonte à quatre mois avant son admission par une douleur pelvienne à type de pesanteur d'aggravationprogressive associé à une augmentation progressivedu volume abdominopelvien, sans troubles urinaires ou digestifs associés, évoluant dans un contexte d'apyrexie et conservation de l'état général. L'examen clinique à trouvé une masse abdominopelvienne médiane, mesurant environ 30 cm de diamètre, arrivant à plus de trois travers de doigts au dessus de l'ombilic, légèrement mobilisable, de consistance ferme, bien limitée, sensible. L'échographique a mis en évidence une énorme masse anéchogène, occupant la totalité du pelvis avec des cloisons intrakystiques en nid d'abeilles, sans végétations intra ou exokystiques ou épanchement péritonéal. La tomodensitométrie pelvienne a montré une masse pelvienne supra et latéro-utérinedroite, liquidienne, multicloisonées avec réhaussement des cloisons et des vegétations endokystiques mesurant jusqu'au 20 mm d'épaisseur. La radiographie pulmonaire et l'échographie hépatique étaient sans anomalie. Le taux du CA125 était normal. L'exploration chirurgicale a trouvé un kyste pelvien de 30 cm de diamètre adhérent aux organes de voisinage, L'exploration péritonéale à la recherche d'une autre localisation était négative. Une rupture accidentelle s'est produite, avec issue de multiples vésicules filles Lors de la libération de la masse de ses adhérences,. L'intervention chirurgicale a été réalisée avec toutes les mesures de protection pour éviter une éventuelle dissémination secondaire. Une résection du dôme saillant a été faite. L'étude anato- mopathologique était non concluante. Les suites postopératoires étaient simples. Devant ce tableau ambiguë, Une sérologie hydatique à été demandée, elle s'est révélée positive, La patiente a été mise sous traitement médicale a base d'albendazole, actuellement, elle est suivie en consultation de gastroentérologie, avec un recul de trois ans sans récidive locale oupéritonéale.
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L'exploration chirurgicale a trouvé un kyste pelvien de 30 cm de diamètre adhérent aux organes de voisinage, L'exploration péritonéale à la recherche d'une autre localisation était négative.
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Une rupture accidentelle s'est produite, avec issue de multiples vésicules filles Lors de la libération de la masse de ses adhérences,.
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L'intervention chirurgicale a été réalisée avec toutes les mesures de protection pour éviter une éventuelle dissémination secondaire.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, célibataire, sans antécédent pathologique particulier, le début de ses symptômes remonte à quatre mois avant son admission par une douleur pelvienne à type de pesanteur d'aggravationprogressive associé à une augmentation progressivedu volume abdominopelvien, sans troubles urinaires ou digestifs associés, évoluant dans un contexte d'apyrexie et conservation de l'état général. L'examen clinique à trouvé une masse abdominopelvienne médiane, mesurant environ 30 cm de diamètre, arrivant à plus de trois travers de doigts au dessus de l'ombilic, légèrement mobilisable, de consistance ferme, bien limitée, sensible. L'échographique a mis en évidence une énorme masse anéchogène, occupant la totalité du pelvis avec des cloisons intrakystiques en nid d'abeilles, sans végétations intra ou exokystiques ou épanchement péritonéal. La tomodensitométrie pelvienne a montré une masse pelvienne supra et latéro-utérinedroite, liquidienne, multicloisonées avec réhaussement des cloisons et des vegétations endokystiques mesurant jusqu'au 20 mm d'épaisseur. La radiographie pulmonaire et l'échographie hépatique étaient sans anomalie. Le taux du CA125 était normal. L'exploration chirurgicale a trouvé un kyste pelvien de 30 cm de diamètre adhérent aux organes de voisinage, L'exploration péritonéale à la recherche d'une autre localisation était négative. Une rupture accidentelle s'est produite, avec issue de multiples vésicules filles Lors de la libération de la masse de ses adhérences,. L'intervention chirurgicale a été réalisée avec toutes les mesures de protection pour éviter une éventuelle dissémination secondaire. Une résection du dôme saillant a été faite. L'étude anato- mopathologique était non concluante. Les suites postopératoires étaient simples. Devant ce tableau ambiguë, Une sérologie hydatique à été demandée, elle s'est révélée positive, La patiente a été mise sous traitement médicale a base d'albendazole, actuellement, elle est suivie en consultation de gastroentérologie, avec un recul de trois ans sans récidive locale oupéritonéale.
FR100614
Une résection du dôme saillant a été faite.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, célibataire, sans antécédent pathologique particulier, le début de ses symptômes remonte à quatre mois avant son admission par une douleur pelvienne à type de pesanteur d'aggravationprogressive associé à une augmentation progressivedu volume abdominopelvien, sans troubles urinaires ou digestifs associés, évoluant dans un contexte d'apyrexie et conservation de l'état général. L'examen clinique à trouvé une masse abdominopelvienne médiane, mesurant environ 30 cm de diamètre, arrivant à plus de trois travers de doigts au dessus de l'ombilic, légèrement mobilisable, de consistance ferme, bien limitée, sensible. L'échographique a mis en évidence une énorme masse anéchogène, occupant la totalité du pelvis avec des cloisons intrakystiques en nid d'abeilles, sans végétations intra ou exokystiques ou épanchement péritonéal. La tomodensitométrie pelvienne a montré une masse pelvienne supra et latéro-utérinedroite, liquidienne, multicloisonées avec réhaussement des cloisons et des vegétations endokystiques mesurant jusqu'au 20 mm d'épaisseur. La radiographie pulmonaire et l'échographie hépatique étaient sans anomalie. Le taux du CA125 était normal. L'exploration chirurgicale a trouvé un kyste pelvien de 30 cm de diamètre adhérent aux organes de voisinage, L'exploration péritonéale à la recherche d'une autre localisation était négative. Une rupture accidentelle s'est produite, avec issue de multiples vésicules filles Lors de la libération de la masse de ses adhérences,. L'intervention chirurgicale a été réalisée avec toutes les mesures de protection pour éviter une éventuelle dissémination secondaire. Une résection du dôme saillant a été faite. L'étude anato- mopathologique était non concluante. Les suites postopératoires étaient simples. Devant ce tableau ambiguë, Une sérologie hydatique à été demandée, elle s'est révélée positive, La patiente a été mise sous traitement médicale a base d'albendazole, actuellement, elle est suivie en consultation de gastroentérologie, avec un recul de trois ans sans récidive locale oupéritonéale.
FR100614
L'étude anato- mopathologique était non concluante.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, célibataire, sans antécédent pathologique particulier, le début de ses symptômes remonte à quatre mois avant son admission par une douleur pelvienne à type de pesanteur d'aggravationprogressive associé à une augmentation progressivedu volume abdominopelvien, sans troubles urinaires ou digestifs associés, évoluant dans un contexte d'apyrexie et conservation de l'état général. L'examen clinique à trouvé une masse abdominopelvienne médiane, mesurant environ 30 cm de diamètre, arrivant à plus de trois travers de doigts au dessus de l'ombilic, légèrement mobilisable, de consistance ferme, bien limitée, sensible. L'échographique a mis en évidence une énorme masse anéchogène, occupant la totalité du pelvis avec des cloisons intrakystiques en nid d'abeilles, sans végétations intra ou exokystiques ou épanchement péritonéal. La tomodensitométrie pelvienne a montré une masse pelvienne supra et latéro-utérinedroite, liquidienne, multicloisonées avec réhaussement des cloisons et des vegétations endokystiques mesurant jusqu'au 20 mm d'épaisseur. La radiographie pulmonaire et l'échographie hépatique étaient sans anomalie. Le taux du CA125 était normal. L'exploration chirurgicale a trouvé un kyste pelvien de 30 cm de diamètre adhérent aux organes de voisinage, L'exploration péritonéale à la recherche d'une autre localisation était négative. Une rupture accidentelle s'est produite, avec issue de multiples vésicules filles Lors de la libération de la masse de ses adhérences,. L'intervention chirurgicale a été réalisée avec toutes les mesures de protection pour éviter une éventuelle dissémination secondaire. Une résection du dôme saillant a été faite. L'étude anato- mopathologique était non concluante. Les suites postopératoires étaient simples. Devant ce tableau ambiguë, Une sérologie hydatique à été demandée, elle s'est révélée positive, La patiente a été mise sous traitement médicale a base d'albendazole, actuellement, elle est suivie en consultation de gastroentérologie, avec un recul de trois ans sans récidive locale oupéritonéale.
FR100614
Les suites postopératoires étaient simples.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, célibataire, sans antécédent pathologique particulier, le début de ses symptômes remonte à quatre mois avant son admission par une douleur pelvienne à type de pesanteur d'aggravationprogressive associé à une augmentation progressivedu volume abdominopelvien, sans troubles urinaires ou digestifs associés, évoluant dans un contexte d'apyrexie et conservation de l'état général. L'examen clinique à trouvé une masse abdominopelvienne médiane, mesurant environ 30 cm de diamètre, arrivant à plus de trois travers de doigts au dessus de l'ombilic, légèrement mobilisable, de consistance ferme, bien limitée, sensible. L'échographique a mis en évidence une énorme masse anéchogène, occupant la totalité du pelvis avec des cloisons intrakystiques en nid d'abeilles, sans végétations intra ou exokystiques ou épanchement péritonéal. La tomodensitométrie pelvienne a montré une masse pelvienne supra et latéro-utérinedroite, liquidienne, multicloisonées avec réhaussement des cloisons et des vegétations endokystiques mesurant jusqu'au 20 mm d'épaisseur. La radiographie pulmonaire et l'échographie hépatique étaient sans anomalie. Le taux du CA125 était normal. L'exploration chirurgicale a trouvé un kyste pelvien de 30 cm de diamètre adhérent aux organes de voisinage, L'exploration péritonéale à la recherche d'une autre localisation était négative. Une rupture accidentelle s'est produite, avec issue de multiples vésicules filles Lors de la libération de la masse de ses adhérences,. L'intervention chirurgicale a été réalisée avec toutes les mesures de protection pour éviter une éventuelle dissémination secondaire. Une résection du dôme saillant a été faite. L'étude anato- mopathologique était non concluante. Les suites postopératoires étaient simples. Devant ce tableau ambiguë, Une sérologie hydatique à été demandée, elle s'est révélée positive, La patiente a été mise sous traitement médicale a base d'albendazole, actuellement, elle est suivie en consultation de gastroentérologie, avec un recul de trois ans sans récidive locale oupéritonéale.
FR100614
Devant ce tableau ambiguë, Une sérologie hydatique à été demandée, elle s'est révélée positive, La patiente a été mise sous traitement médicale a base d'albendazole, actuellement, elle est suivie en consultation de gastroentérologie, avec un recul de trois ans sans récidive locale oupéritonéale.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, célibataire, sans antécédent pathologique particulier, le début de ses symptômes remonte à quatre mois avant son admission par une douleur pelvienne à type de pesanteur d'aggravationprogressive associé à une augmentation progressivedu volume abdominopelvien, sans troubles urinaires ou digestifs associés, évoluant dans un contexte d'apyrexie et conservation de l'état général. L'examen clinique à trouvé une masse abdominopelvienne médiane, mesurant environ 30 cm de diamètre, arrivant à plus de trois travers de doigts au dessus de l'ombilic, légèrement mobilisable, de consistance ferme, bien limitée, sensible. L'échographique a mis en évidence une énorme masse anéchogène, occupant la totalité du pelvis avec des cloisons intrakystiques en nid d'abeilles, sans végétations intra ou exokystiques ou épanchement péritonéal. La tomodensitométrie pelvienne a montré une masse pelvienne supra et latéro-utérinedroite, liquidienne, multicloisonées avec réhaussement des cloisons et des vegétations endokystiques mesurant jusqu'au 20 mm d'épaisseur. La radiographie pulmonaire et l'échographie hépatique étaient sans anomalie. Le taux du CA125 était normal. L'exploration chirurgicale a trouvé un kyste pelvien de 30 cm de diamètre adhérent aux organes de voisinage, L'exploration péritonéale à la recherche d'une autre localisation était négative. Une rupture accidentelle s'est produite, avec issue de multiples vésicules filles Lors de la libération de la masse de ses adhérences,. L'intervention chirurgicale a été réalisée avec toutes les mesures de protection pour éviter une éventuelle dissémination secondaire. Une résection du dôme saillant a été faite. L'étude anato- mopathologique était non concluante. Les suites postopératoires étaient simples. Devant ce tableau ambiguë, Une sérologie hydatique à été demandée, elle s'est révélée positive, La patiente a été mise sous traitement médicale a base d'albendazole, actuellement, elle est suivie en consultation de gastroentérologie, avec un recul de trois ans sans récidive locale oupéritonéale.
FR100614
Il s'agit d'une patiente âgée de 25 ans, ayant comme antécédents tabagisme passif depuis 10 ans, qui a présenté en Janvier 2014 une dyspnée d'aggravation progressive associé à des douleurs thoraciques type pleural.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 25 ans, ayant comme antécédents tabagisme passif depuis 10 ans, qui a présenté en Janvier 2014 une dyspnée d'aggravation progressive associé à des douleurs thoraciques type pleural. L'examen physique à l'admission a objectivé une patiente polypniéque à 30 cycles/minute, tachycarde à 138 battement par minute, SaO2 à 92% à l'aire ambiant, apyrétique, avec un syndrome d'épanchement liquidien de l'hémi thorax droit, associé à une douleur exquise à la palpation de la 3 ème, 4 ème et la 5 ème cotes droites, sans autre anomalies associés; notamment un examen dermatologique qui était normale. Une radiographie thoracique était réalisée revenant en faveur d'une opacité de tonalité hydrique de l'hémi-champ thoracique droit, complété par une TDM (tomodensitométrie) thoracique objectivant un épanchement pleural liquidien de grande abondance cloisonné associé à un épaississement pleural sans masse individualisable. La thoracoscopie avec la réalisation d'une biopsie pleurale était en faveur d'un sarcome épithélioide type proximal, dont l'immuno histochimie était en faveur d'une forte expression des anticorps anti-vimentine, anti CD34, anti-CK19 et faiblement les anticorps anti-CK7 et anti CK8/18. Le marquage des cellules tumorales au CD99 était positif mais l'étude FISH était négatif, ainsi que la calrétinine, la CK 5 /6, les marqueurs lymphoïdes, les marqueurs neuroendocrine, les marqueurs mélaniques et la protéine S100. Le bilan d'extension a montré des métastases ganglionnaires et pulmonaires. La décision thérapeutique prise en RCP (réunion de concertation pluridisciplinaire) était une chimiothérapie systémique à base de la bithérapie: doxorubicine 60mg/m 2 à J1 et l'Ifosfamide à la dose de 3g/m 2 sur 3 jours: J1=J21. L'évolution était marquée par le décès de la patiente quelques jours après la fin du premier cycle de sa chimiothérapie, dans un tableau de détresse respiratoire non jugulé par les mesures de réanimation.
FR100629
L'examen physique à l'admission a objectivé une patiente polypniéque à 30 cycles/minute, tachycarde à 138 battement par minute, SaO2 à 92% à l'aire ambiant, apyrétique, avec un syndrome d'épanchement liquidien de l'hémi thorax droit, associé à une douleur exquise à la palpation de la 3 ème, 4 ème et la 5 ème cotes droites, sans autre anomalies associés; notamment un examen dermatologique qui était normale.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 25 ans, ayant comme antécédents tabagisme passif depuis 10 ans, qui a présenté en Janvier 2014 une dyspnée d'aggravation progressive associé à des douleurs thoraciques type pleural. L'examen physique à l'admission a objectivé une patiente polypniéque à 30 cycles/minute, tachycarde à 138 battement par minute, SaO2 à 92% à l'aire ambiant, apyrétique, avec un syndrome d'épanchement liquidien de l'hémi thorax droit, associé à une douleur exquise à la palpation de la 3 ème, 4 ème et la 5 ème cotes droites, sans autre anomalies associés; notamment un examen dermatologique qui était normale. Une radiographie thoracique était réalisée revenant en faveur d'une opacité de tonalité hydrique de l'hémi-champ thoracique droit, complété par une TDM (tomodensitométrie) thoracique objectivant un épanchement pleural liquidien de grande abondance cloisonné associé à un épaississement pleural sans masse individualisable. La thoracoscopie avec la réalisation d'une biopsie pleurale était en faveur d'un sarcome épithélioide type proximal, dont l'immuno histochimie était en faveur d'une forte expression des anticorps anti-vimentine, anti CD34, anti-CK19 et faiblement les anticorps anti-CK7 et anti CK8/18. Le marquage des cellules tumorales au CD99 était positif mais l'étude FISH était négatif, ainsi que la calrétinine, la CK 5 /6, les marqueurs lymphoïdes, les marqueurs neuroendocrine, les marqueurs mélaniques et la protéine S100. Le bilan d'extension a montré des métastases ganglionnaires et pulmonaires. La décision thérapeutique prise en RCP (réunion de concertation pluridisciplinaire) était une chimiothérapie systémique à base de la bithérapie: doxorubicine 60mg/m 2 à J1 et l'Ifosfamide à la dose de 3g/m 2 sur 3 jours: J1=J21. L'évolution était marquée par le décès de la patiente quelques jours après la fin du premier cycle de sa chimiothérapie, dans un tableau de détresse respiratoire non jugulé par les mesures de réanimation.
FR100629
Une radiographie thoracique était réalisée revenant en faveur d'une opacité de tonalité hydrique de l'hémi-champ thoracique droit, complété par une TDM (tomodensitométrie) thoracique objectivant un épanchement pleural liquidien de grande abondance cloisonné associé à un épaississement pleural sans masse individualisable.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 25 ans, ayant comme antécédents tabagisme passif depuis 10 ans, qui a présenté en Janvier 2014 une dyspnée d'aggravation progressive associé à des douleurs thoraciques type pleural. L'examen physique à l'admission a objectivé une patiente polypniéque à 30 cycles/minute, tachycarde à 138 battement par minute, SaO2 à 92% à l'aire ambiant, apyrétique, avec un syndrome d'épanchement liquidien de l'hémi thorax droit, associé à une douleur exquise à la palpation de la 3 ème, 4 ème et la 5 ème cotes droites, sans autre anomalies associés; notamment un examen dermatologique qui était normale. Une radiographie thoracique était réalisée revenant en faveur d'une opacité de tonalité hydrique de l'hémi-champ thoracique droit, complété par une TDM (tomodensitométrie) thoracique objectivant un épanchement pleural liquidien de grande abondance cloisonné associé à un épaississement pleural sans masse individualisable. La thoracoscopie avec la réalisation d'une biopsie pleurale était en faveur d'un sarcome épithélioide type proximal, dont l'immuno histochimie était en faveur d'une forte expression des anticorps anti-vimentine, anti CD34, anti-CK19 et faiblement les anticorps anti-CK7 et anti CK8/18. Le marquage des cellules tumorales au CD99 était positif mais l'étude FISH était négatif, ainsi que la calrétinine, la CK 5 /6, les marqueurs lymphoïdes, les marqueurs neuroendocrine, les marqueurs mélaniques et la protéine S100. Le bilan d'extension a montré des métastases ganglionnaires et pulmonaires. La décision thérapeutique prise en RCP (réunion de concertation pluridisciplinaire) était une chimiothérapie systémique à base de la bithérapie: doxorubicine 60mg/m 2 à J1 et l'Ifosfamide à la dose de 3g/m 2 sur 3 jours: J1=J21. L'évolution était marquée par le décès de la patiente quelques jours après la fin du premier cycle de sa chimiothérapie, dans un tableau de détresse respiratoire non jugulé par les mesures de réanimation.
FR100629
La thoracoscopie avec la réalisation d'une biopsie pleurale était en faveur d'un sarcome épithélioide type proximal, dont l'immuno histochimie était en faveur d'une forte expression des anticorps anti-vimentine, anti CD34, anti-CK19 et faiblement les anticorps anti-CK7 et anti CK8/18.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 25 ans, ayant comme antécédents tabagisme passif depuis 10 ans, qui a présenté en Janvier 2014 une dyspnée d'aggravation progressive associé à des douleurs thoraciques type pleural. L'examen physique à l'admission a objectivé une patiente polypniéque à 30 cycles/minute, tachycarde à 138 battement par minute, SaO2 à 92% à l'aire ambiant, apyrétique, avec un syndrome d'épanchement liquidien de l'hémi thorax droit, associé à une douleur exquise à la palpation de la 3 ème, 4 ème et la 5 ème cotes droites, sans autre anomalies associés; notamment un examen dermatologique qui était normale. Une radiographie thoracique était réalisée revenant en faveur d'une opacité de tonalité hydrique de l'hémi-champ thoracique droit, complété par une TDM (tomodensitométrie) thoracique objectivant un épanchement pleural liquidien de grande abondance cloisonné associé à un épaississement pleural sans masse individualisable. La thoracoscopie avec la réalisation d'une biopsie pleurale était en faveur d'un sarcome épithélioide type proximal, dont l'immuno histochimie était en faveur d'une forte expression des anticorps anti-vimentine, anti CD34, anti-CK19 et faiblement les anticorps anti-CK7 et anti CK8/18. Le marquage des cellules tumorales au CD99 était positif mais l'étude FISH était négatif, ainsi que la calrétinine, la CK 5 /6, les marqueurs lymphoïdes, les marqueurs neuroendocrine, les marqueurs mélaniques et la protéine S100. Le bilan d'extension a montré des métastases ganglionnaires et pulmonaires. La décision thérapeutique prise en RCP (réunion de concertation pluridisciplinaire) était une chimiothérapie systémique à base de la bithérapie: doxorubicine 60mg/m 2 à J1 et l'Ifosfamide à la dose de 3g/m 2 sur 3 jours: J1=J21. L'évolution était marquée par le décès de la patiente quelques jours après la fin du premier cycle de sa chimiothérapie, dans un tableau de détresse respiratoire non jugulé par les mesures de réanimation.
FR100629
Le marquage des cellules tumorales au CD99 était positif mais l'étude FISH était négatif, ainsi que la calrétinine, la CK 5 /6, les marqueurs lymphoïdes, les marqueurs neuroendocrine, les marqueurs mélaniques et la protéine S100.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 25 ans, ayant comme antécédents tabagisme passif depuis 10 ans, qui a présenté en Janvier 2014 une dyspnée d'aggravation progressive associé à des douleurs thoraciques type pleural. L'examen physique à l'admission a objectivé une patiente polypniéque à 30 cycles/minute, tachycarde à 138 battement par minute, SaO2 à 92% à l'aire ambiant, apyrétique, avec un syndrome d'épanchement liquidien de l'hémi thorax droit, associé à une douleur exquise à la palpation de la 3 ème, 4 ème et la 5 ème cotes droites, sans autre anomalies associés; notamment un examen dermatologique qui était normale. Une radiographie thoracique était réalisée revenant en faveur d'une opacité de tonalité hydrique de l'hémi-champ thoracique droit, complété par une TDM (tomodensitométrie) thoracique objectivant un épanchement pleural liquidien de grande abondance cloisonné associé à un épaississement pleural sans masse individualisable. La thoracoscopie avec la réalisation d'une biopsie pleurale était en faveur d'un sarcome épithélioide type proximal, dont l'immuno histochimie était en faveur d'une forte expression des anticorps anti-vimentine, anti CD34, anti-CK19 et faiblement les anticorps anti-CK7 et anti CK8/18. Le marquage des cellules tumorales au CD99 était positif mais l'étude FISH était négatif, ainsi que la calrétinine, la CK 5 /6, les marqueurs lymphoïdes, les marqueurs neuroendocrine, les marqueurs mélaniques et la protéine S100. Le bilan d'extension a montré des métastases ganglionnaires et pulmonaires. La décision thérapeutique prise en RCP (réunion de concertation pluridisciplinaire) était une chimiothérapie systémique à base de la bithérapie: doxorubicine 60mg/m 2 à J1 et l'Ifosfamide à la dose de 3g/m 2 sur 3 jours: J1=J21. L'évolution était marquée par le décès de la patiente quelques jours après la fin du premier cycle de sa chimiothérapie, dans un tableau de détresse respiratoire non jugulé par les mesures de réanimation.
FR100629
Le bilan d'extension a montré des métastases ganglionnaires et pulmonaires.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 25 ans, ayant comme antécédents tabagisme passif depuis 10 ans, qui a présenté en Janvier 2014 une dyspnée d'aggravation progressive associé à des douleurs thoraciques type pleural. L'examen physique à l'admission a objectivé une patiente polypniéque à 30 cycles/minute, tachycarde à 138 battement par minute, SaO2 à 92% à l'aire ambiant, apyrétique, avec un syndrome d'épanchement liquidien de l'hémi thorax droit, associé à une douleur exquise à la palpation de la 3 ème, 4 ème et la 5 ème cotes droites, sans autre anomalies associés; notamment un examen dermatologique qui était normale. Une radiographie thoracique était réalisée revenant en faveur d'une opacité de tonalité hydrique de l'hémi-champ thoracique droit, complété par une TDM (tomodensitométrie) thoracique objectivant un épanchement pleural liquidien de grande abondance cloisonné associé à un épaississement pleural sans masse individualisable. La thoracoscopie avec la réalisation d'une biopsie pleurale était en faveur d'un sarcome épithélioide type proximal, dont l'immuno histochimie était en faveur d'une forte expression des anticorps anti-vimentine, anti CD34, anti-CK19 et faiblement les anticorps anti-CK7 et anti CK8/18. Le marquage des cellules tumorales au CD99 était positif mais l'étude FISH était négatif, ainsi que la calrétinine, la CK 5 /6, les marqueurs lymphoïdes, les marqueurs neuroendocrine, les marqueurs mélaniques et la protéine S100. Le bilan d'extension a montré des métastases ganglionnaires et pulmonaires. La décision thérapeutique prise en RCP (réunion de concertation pluridisciplinaire) était une chimiothérapie systémique à base de la bithérapie: doxorubicine 60mg/m 2 à J1 et l'Ifosfamide à la dose de 3g/m 2 sur 3 jours: J1=J21. L'évolution était marquée par le décès de la patiente quelques jours après la fin du premier cycle de sa chimiothérapie, dans un tableau de détresse respiratoire non jugulé par les mesures de réanimation.
FR100629
La décision thérapeutique prise en RCP (réunion de concertation pluridisciplinaire) était une chimiothérapie systémique à base de la bithérapie: doxorubicine 60mg/m 2 à J1 et l'Ifosfamide à la dose de 3g/m 2 sur 3 jours: J1=J21.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 25 ans, ayant comme antécédents tabagisme passif depuis 10 ans, qui a présenté en Janvier 2014 une dyspnée d'aggravation progressive associé à des douleurs thoraciques type pleural. L'examen physique à l'admission a objectivé une patiente polypniéque à 30 cycles/minute, tachycarde à 138 battement par minute, SaO2 à 92% à l'aire ambiant, apyrétique, avec un syndrome d'épanchement liquidien de l'hémi thorax droit, associé à une douleur exquise à la palpation de la 3 ème, 4 ème et la 5 ème cotes droites, sans autre anomalies associés; notamment un examen dermatologique qui était normale. Une radiographie thoracique était réalisée revenant en faveur d'une opacité de tonalité hydrique de l'hémi-champ thoracique droit, complété par une TDM (tomodensitométrie) thoracique objectivant un épanchement pleural liquidien de grande abondance cloisonné associé à un épaississement pleural sans masse individualisable. La thoracoscopie avec la réalisation d'une biopsie pleurale était en faveur d'un sarcome épithélioide type proximal, dont l'immuno histochimie était en faveur d'une forte expression des anticorps anti-vimentine, anti CD34, anti-CK19 et faiblement les anticorps anti-CK7 et anti CK8/18. Le marquage des cellules tumorales au CD99 était positif mais l'étude FISH était négatif, ainsi que la calrétinine, la CK 5 /6, les marqueurs lymphoïdes, les marqueurs neuroendocrine, les marqueurs mélaniques et la protéine S100. Le bilan d'extension a montré des métastases ganglionnaires et pulmonaires. La décision thérapeutique prise en RCP (réunion de concertation pluridisciplinaire) était une chimiothérapie systémique à base de la bithérapie: doxorubicine 60mg/m 2 à J1 et l'Ifosfamide à la dose de 3g/m 2 sur 3 jours: J1=J21. L'évolution était marquée par le décès de la patiente quelques jours après la fin du premier cycle de sa chimiothérapie, dans un tableau de détresse respiratoire non jugulé par les mesures de réanimation.
FR100629
L'évolution était marquée par le décès de la patiente quelques jours après la fin du premier cycle de sa chimiothérapie, dans un tableau de détresse respiratoire non jugulé par les mesures de réanimation.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 25 ans, ayant comme antécédents tabagisme passif depuis 10 ans, qui a présenté en Janvier 2014 une dyspnée d'aggravation progressive associé à des douleurs thoraciques type pleural. L'examen physique à l'admission a objectivé une patiente polypniéque à 30 cycles/minute, tachycarde à 138 battement par minute, SaO2 à 92% à l'aire ambiant, apyrétique, avec un syndrome d'épanchement liquidien de l'hémi thorax droit, associé à une douleur exquise à la palpation de la 3 ème, 4 ème et la 5 ème cotes droites, sans autre anomalies associés; notamment un examen dermatologique qui était normale. Une radiographie thoracique était réalisée revenant en faveur d'une opacité de tonalité hydrique de l'hémi-champ thoracique droit, complété par une TDM (tomodensitométrie) thoracique objectivant un épanchement pleural liquidien de grande abondance cloisonné associé à un épaississement pleural sans masse individualisable. La thoracoscopie avec la réalisation d'une biopsie pleurale était en faveur d'un sarcome épithélioide type proximal, dont l'immuno histochimie était en faveur d'une forte expression des anticorps anti-vimentine, anti CD34, anti-CK19 et faiblement les anticorps anti-CK7 et anti CK8/18. Le marquage des cellules tumorales au CD99 était positif mais l'étude FISH était négatif, ainsi que la calrétinine, la CK 5 /6, les marqueurs lymphoïdes, les marqueurs neuroendocrine, les marqueurs mélaniques et la protéine S100. Le bilan d'extension a montré des métastases ganglionnaires et pulmonaires. La décision thérapeutique prise en RCP (réunion de concertation pluridisciplinaire) était une chimiothérapie systémique à base de la bithérapie: doxorubicine 60mg/m 2 à J1 et l'Ifosfamide à la dose de 3g/m 2 sur 3 jours: J1=J21. L'évolution était marquée par le décès de la patiente quelques jours après la fin du premier cycle de sa chimiothérapie, dans un tableau de détresse respiratoire non jugulé par les mesures de réanimation.
FR100629
Il s'agit d'un homme âgé de 50 ans, sans antécédents particuliers, admis pour don de rein en vue d'une transplantation rénale.
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Il s'agit d'un homme âgé de 50 ans, sans antécédents particuliers, admis pour don de rein en vue d'une transplantation rénale. L'examen clinique était sans particularité. Le bilan radiologique pré-greffe fait d'une tomodensitométrie (TDM) abdominale a objectivé une VCI gauche dans sa portion sous rénale qui se termine à la hauteur de la veine rénale gauche, et se draine en formant un tronc commun avec celle-ci vers la portion pré-hépatique normale de la VCI située à droite, en croisant l'aorte abdominale en avant. Le bilan biologique était normal. Devant la bonne qualité du rein droit par rapport au gauche, et la présence d'une artère et veine uniques de longueur normale, l'indication du prélèvement rénal gauche a été retenue. L'exploration chirurgicale a trouvé une VCI gauche sous rénale sans autres anomalies. Les suites post-opératoires étaient simples chez le donneur, avec une sortie à j3 post-opératoire.
FR100826
L'examen clinique était sans particularité.
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Il s'agit d'un homme âgé de 50 ans, sans antécédents particuliers, admis pour don de rein en vue d'une transplantation rénale. L'examen clinique était sans particularité. Le bilan radiologique pré-greffe fait d'une tomodensitométrie (TDM) abdominale a objectivé une VCI gauche dans sa portion sous rénale qui se termine à la hauteur de la veine rénale gauche, et se draine en formant un tronc commun avec celle-ci vers la portion pré-hépatique normale de la VCI située à droite, en croisant l'aorte abdominale en avant. Le bilan biologique était normal. Devant la bonne qualité du rein droit par rapport au gauche, et la présence d'une artère et veine uniques de longueur normale, l'indication du prélèvement rénal gauche a été retenue. L'exploration chirurgicale a trouvé une VCI gauche sous rénale sans autres anomalies. Les suites post-opératoires étaient simples chez le donneur, avec une sortie à j3 post-opératoire.
FR100826
Le bilan radiologique pré-greffe fait d'une tomodensitométrie (TDM) abdominale a objectivé une VCI gauche dans sa portion sous rénale qui se termine à la hauteur de la veine rénale gauche, et se draine en formant un tronc commun avec celle-ci vers la portion pré-hépatique normale de la VCI située à droite, en croisant l'aorte abdominale en avant.
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Il s'agit d'un homme âgé de 50 ans, sans antécédents particuliers, admis pour don de rein en vue d'une transplantation rénale. L'examen clinique était sans particularité. Le bilan radiologique pré-greffe fait d'une tomodensitométrie (TDM) abdominale a objectivé une VCI gauche dans sa portion sous rénale qui se termine à la hauteur de la veine rénale gauche, et se draine en formant un tronc commun avec celle-ci vers la portion pré-hépatique normale de la VCI située à droite, en croisant l'aorte abdominale en avant. Le bilan biologique était normal. Devant la bonne qualité du rein droit par rapport au gauche, et la présence d'une artère et veine uniques de longueur normale, l'indication du prélèvement rénal gauche a été retenue. L'exploration chirurgicale a trouvé une VCI gauche sous rénale sans autres anomalies. Les suites post-opératoires étaient simples chez le donneur, avec une sortie à j3 post-opératoire.
FR100826
Le bilan biologique était normal.
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Il s'agit d'un homme âgé de 50 ans, sans antécédents particuliers, admis pour don de rein en vue d'une transplantation rénale. L'examen clinique était sans particularité. Le bilan radiologique pré-greffe fait d'une tomodensitométrie (TDM) abdominale a objectivé une VCI gauche dans sa portion sous rénale qui se termine à la hauteur de la veine rénale gauche, et se draine en formant un tronc commun avec celle-ci vers la portion pré-hépatique normale de la VCI située à droite, en croisant l'aorte abdominale en avant. Le bilan biologique était normal. Devant la bonne qualité du rein droit par rapport au gauche, et la présence d'une artère et veine uniques de longueur normale, l'indication du prélèvement rénal gauche a été retenue. L'exploration chirurgicale a trouvé une VCI gauche sous rénale sans autres anomalies. Les suites post-opératoires étaient simples chez le donneur, avec une sortie à j3 post-opératoire.
FR100826
Devant la bonne qualité du rein droit par rapport au gauche, et la présence d'une artère et veine uniques de longueur normale, l'indication du prélèvement rénal gauche a été retenue.
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Il s'agit d'un homme âgé de 50 ans, sans antécédents particuliers, admis pour don de rein en vue d'une transplantation rénale. L'examen clinique était sans particularité. Le bilan radiologique pré-greffe fait d'une tomodensitométrie (TDM) abdominale a objectivé une VCI gauche dans sa portion sous rénale qui se termine à la hauteur de la veine rénale gauche, et se draine en formant un tronc commun avec celle-ci vers la portion pré-hépatique normale de la VCI située à droite, en croisant l'aorte abdominale en avant. Le bilan biologique était normal. Devant la bonne qualité du rein droit par rapport au gauche, et la présence d'une artère et veine uniques de longueur normale, l'indication du prélèvement rénal gauche a été retenue. L'exploration chirurgicale a trouvé une VCI gauche sous rénale sans autres anomalies. Les suites post-opératoires étaient simples chez le donneur, avec une sortie à j3 post-opératoire.
FR100826
L'exploration chirurgicale a trouvé une VCI gauche sous rénale sans autres anomalies.
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Il s'agit d'un homme âgé de 50 ans, sans antécédents particuliers, admis pour don de rein en vue d'une transplantation rénale. L'examen clinique était sans particularité. Le bilan radiologique pré-greffe fait d'une tomodensitométrie (TDM) abdominale a objectivé une VCI gauche dans sa portion sous rénale qui se termine à la hauteur de la veine rénale gauche, et se draine en formant un tronc commun avec celle-ci vers la portion pré-hépatique normale de la VCI située à droite, en croisant l'aorte abdominale en avant. Le bilan biologique était normal. Devant la bonne qualité du rein droit par rapport au gauche, et la présence d'une artère et veine uniques de longueur normale, l'indication du prélèvement rénal gauche a été retenue. L'exploration chirurgicale a trouvé une VCI gauche sous rénale sans autres anomalies. Les suites post-opératoires étaient simples chez le donneur, avec une sortie à j3 post-opératoire.
FR100826
Les suites post-opératoires étaient simples chez le donneur, avec une sortie à j3 post-opératoire.
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Il s'agit d'un homme âgé de 50 ans, sans antécédents particuliers, admis pour don de rein en vue d'une transplantation rénale. L'examen clinique était sans particularité. Le bilan radiologique pré-greffe fait d'une tomodensitométrie (TDM) abdominale a objectivé une VCI gauche dans sa portion sous rénale qui se termine à la hauteur de la veine rénale gauche, et se draine en formant un tronc commun avec celle-ci vers la portion pré-hépatique normale de la VCI située à droite, en croisant l'aorte abdominale en avant. Le bilan biologique était normal. Devant la bonne qualité du rein droit par rapport au gauche, et la présence d'une artère et veine uniques de longueur normale, l'indication du prélèvement rénal gauche a été retenue. L'exploration chirurgicale a trouvé une VCI gauche sous rénale sans autres anomalies. Les suites post-opératoires étaient simples chez le donneur, avec une sortie à j3 post-opératoire.
FR100826
Nous rapportons le cas d'un accident vasculaire cérébral hémorragique du tronc cérébral chez une patiente de 21 ans admise pour prééclampsie sévère sur grossesse non suivie de 38 SA compliquée d'une éclampsie puis d'un accident vasculaire cérébral hémorragique du tronc cérébral à j2 du post-opératoire d'une césarienne pour suspiçion d'hématome rétro-placentaire dès son admission.
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Nous rapportons le cas d'un accident vasculaire cérébral hémorragique du tronc cérébral chez une patiente de 21 ans admise pour prééclampsie sévère sur grossesse non suivie de 38 SA compliquée d'une éclampsie puis d'un accident vasculaire cérébral hémorragique du tronc cérébral à j2 du post-opératoire d'une césarienne pour suspiçion d'hématome rétro-placentaire dès son admission. L'hémorragie intracérébrale est une complication rare mais grave chez les femmes en post-partum, plusieurs études sont en cours pour combler les lacunes de connaissances susceptibles d'être impliqués dans les soins des patientes prééclamptiques présentant des complications neurologiques.
FR100979
L'hémorragie intracérébrale est une complication rare mais grave chez les femmes en post-partum, plusieurs études sont en cours pour combler les lacunes de connaissances susceptibles d'être impliqués dans les soins des patientes prééclamptiques présentant des complications neurologiques.
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Nous rapportons le cas d'un accident vasculaire cérébral hémorragique du tronc cérébral chez une patiente de 21 ans admise pour prééclampsie sévère sur grossesse non suivie de 38 SA compliquée d'une éclampsie puis d'un accident vasculaire cérébral hémorragique du tronc cérébral à j2 du post-opératoire d'une césarienne pour suspiçion d'hématome rétro-placentaire dès son admission. L'hémorragie intracérébrale est une complication rare mais grave chez les femmes en post-partum, plusieurs études sont en cours pour combler les lacunes de connaissances susceptibles d'être impliqués dans les soins des patientes prééclamptiques présentant des complications neurologiques.
FR100979
Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois.
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
FR100439
L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx.
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
FR100439
Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde.
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
FR100439
Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie.
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
FR100439
Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm.
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
FR100439
L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm.
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
FR100439
Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal.
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
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Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée.
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
FR100439
Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage.
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
FR100439
Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B.
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
FR100439
La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome.
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
FR100439
Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence).
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
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La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4].
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La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement.
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La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement.
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
FR100439
Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique.
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
FR100439
Le recul est de 8 ans.
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Mme A.K âgée de 57 ans, sans antécédents pathologiques notables, a présenté une obstruction nasale bilatérale prédominante à droite et évoluant depuis 12 mois avec voix nasonnée, associée à une odynophagie depuis 3 mois. L'examen clinique ORL, notamment la fibroscopie endonasale, a montré une tumeur violacée de la paroi rhinopharyngée postérieure para médiane droite qui s'étend depuis la partie inférieure de l'orifice tubaire droit jusqu'à l'oropharynx. Cette tumeur est inflammatoire et présente sur toute sa surface un dépôt pseudo-membraneux fibrinoïde. Des prélèvements locaux par écouvillons ont été effectués puis analysés en bactériologie. Tous les prélèvements étaient négatifs et l'IDR à la Tuberculine a été mesurée à 10mm. L'IRM cervico-faciale a permis d'objectiver un épaississement diffus de la paroi postérieure du rhinopharynx, rehaussé par l'injection de Gadolinium et se prolongeant vers le bas par une formation fusiforme prévertébrale qui diminue le calibre des voies aéro-digestives supérieures, avec présence d'une adénopathie cervicale ovalaire du groupe II droit mesurant 17 mm. Le scanner thoracique n'a pas montré de foyer pulmonaire, et le bilan biologique était normal. Sous anesthésie générale, une endoscopie a été réalisée et plusieurs biopsies ont été effectuées au niveau de la formation tumorale rhinopharyngée. Ces biopsies, envoyées sans fixateur, ont fait l'objet d'une part d'une analyse histologique classique, et d'autre part d'une analyse après immuno-marquage. Cette analyse anatomo-pathologique a permit de mettre en évidence une muqueuse respiratoire très largement remaniée par un infiltrat polymorphe de cellules immunitaires dense et diffuse sans structure folliculaire avec des cellules de grande taille au contour nucléaire irrégulier; L'exploration immunohistochimique a trouvé que les fragments expriment la LCA, CD20 et CD79a et non EMA, CD3,CD15,CD30ni et CD45RO posant le diagnostic d'un lymphome malin non hodgkinien à grande cellule B. La nature maligne de la lésion étant établie, une Tomographie par Emission de Positons au 18F-Fluorodéoxyglucose (TEP) a été demandée afin de déterminer l'extension régionale et à distance du lymphome. Cet examen rapporte des hyperfixations intenses au niveau du site tumoral rhinopharyngé (SUV max = 13,9) mais aussi au niveau de l'adénopathie du groupe II droit (SUV max = 6,9), aucune autre lésion n'a été mise en évidence). La tumeur a ainsi été classée lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules B stade I E (cavum) selon la classification d'Ann Arbor sans facteurs de pronostique défavorable [3, 4]. La patiente a pu bénéficier d'un traitement spécifique comportant une chimiothérapie avec 3 cures CHOP (Cyclophasphamide: 750 mg/m2, Adriamycine: 50 mg/m m 2, Vincristine: 1,4 mg/m m 2, Prédnisone) et irradiation de l'anneau de Waldeyer et des aires ganglionnaires cervicales de 45 Gy en étalement et fractionnement. La nasofibroscopie et le scanner du cavum ont montré la disparition de la lésion tumorale à la fin du traitement. Les contrôles périodiques endoscopique et radiologique après la fin du traitement ont montrés une rémission clinique et paraclinique. Le recul est de 8 ans.
FR100439
Nous rapportons l'observation d'un homme de 55 ans enseignant de fonction ayant comme antécédents pathologiques un diabète non-insulinodépendant découvert depuis deux mois et des soins dentaires itératifs, qui consulte aux urgences pour une masse latéro-cervicale gauche ferme à la palpation évoluant dans un contexte fébrile et une altération de l'état général.
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Nous rapportons l'observation d'un homme de 55 ans enseignant de fonction ayant comme antécédents pathologiques un diabète non-insulinodépendant découvert depuis deux mois et des soins dentaires itératifs, qui consulte aux urgences pour une masse latéro-cervicale gauche ferme à la palpation évoluant dans un contexte fébrile et une altération de l'état général. Lexamen clinique à l'admission trouve un patient asthénique, un érythème discret sur la face latéral du cou, une fréquence cardiaque à 87 batt/min et une PA à 110/70 mmHg. L'état respiratoire était normal: fréquence respiratoire 22 cycles/mn, une SaO2 à 96% à l'air ambiant, une fièvre à 39°. Le bilan biologique initiale montre une hyperleucocytose à 85OOO, une CRP à 350 mg/l et une glycémie à 12 mmol/l. La TDM cervicothoracique révèle un phlegmon avec cellulite profonde abcédée des espaces cervicaux antérolatéraux gauches fusant le long de l''espace retropharyngolaryngé étendue au médiastin compliqué d'une médiastinite associé à un épanchement pleural droit. Le panoramique dentaire objective un délabrement de la 45 (3éme molaire) avec granulome de la racine dentaire. La ponction sous-cutanée sous anesthésie locale après injection d'un petit volume de sérum physiologique (10 ml) de la collection a ramené du pus. L'examen cytobactériologique montre des leucocytes nombreux avec des bactéries abondantes et polymorphes. L'examen direct coloré GRAM: Flore bactérienne très abondantes et mixte évoquant les anaérobies. Une antibiothérapie initiale, adjuvante, probabiliste a été instaurée par voie intraveineuse le plus vite possible avant le bloc amoxicilline+acide clavulanique (augmentin 2g× 3/j) associé à 5-nitro-imidazolés (flagyl 500 mg× 3/j). Au bloc opératoire sous anesthésie générale, le foyer infectieux est abordé par une large incision cervicale et le phlegmon abcédé a été drainé par des lames descendues à partir de la cervicotomie. Une thoracotomie a été réalisée pour drainer les collections profondes au niveau du médiastin. Une cellulite au stade collecté justifie d'une prise en charge chirurgicale. Au décours du drainage de la cellulite, l'extraction de la dent causale a été réalisée. Un traitement complémentaire de la cavité buccale s'est avéré nécessaire pour prévenir tout autre épisode infectieux similaire. La culture retrouve un streptococcus anginosus multisensible. L'antibiothérapie initiale a été par la suite réajustée aux résultats de l'hémoculture.
FR100003
Lexamen clinique à l'admission trouve un patient asthénique, un érythème discret sur la face latéral du cou, une fréquence cardiaque à 87 batt/min et une PA à 110/70 mmHg.
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Nous rapportons l'observation d'un homme de 55 ans enseignant de fonction ayant comme antécédents pathologiques un diabète non-insulinodépendant découvert depuis deux mois et des soins dentaires itératifs, qui consulte aux urgences pour une masse latéro-cervicale gauche ferme à la palpation évoluant dans un contexte fébrile et une altération de l'état général. Lexamen clinique à l'admission trouve un patient asthénique, un érythème discret sur la face latéral du cou, une fréquence cardiaque à 87 batt/min et une PA à 110/70 mmHg. L'état respiratoire était normal: fréquence respiratoire 22 cycles/mn, une SaO2 à 96% à l'air ambiant, une fièvre à 39°. Le bilan biologique initiale montre une hyperleucocytose à 85OOO, une CRP à 350 mg/l et une glycémie à 12 mmol/l. La TDM cervicothoracique révèle un phlegmon avec cellulite profonde abcédée des espaces cervicaux antérolatéraux gauches fusant le long de l''espace retropharyngolaryngé étendue au médiastin compliqué d'une médiastinite associé à un épanchement pleural droit. Le panoramique dentaire objective un délabrement de la 45 (3éme molaire) avec granulome de la racine dentaire. La ponction sous-cutanée sous anesthésie locale après injection d'un petit volume de sérum physiologique (10 ml) de la collection a ramené du pus. L'examen cytobactériologique montre des leucocytes nombreux avec des bactéries abondantes et polymorphes. L'examen direct coloré GRAM: Flore bactérienne très abondantes et mixte évoquant les anaérobies. Une antibiothérapie initiale, adjuvante, probabiliste a été instaurée par voie intraveineuse le plus vite possible avant le bloc amoxicilline+acide clavulanique (augmentin 2g× 3/j) associé à 5-nitro-imidazolés (flagyl 500 mg× 3/j). Au bloc opératoire sous anesthésie générale, le foyer infectieux est abordé par une large incision cervicale et le phlegmon abcédé a été drainé par des lames descendues à partir de la cervicotomie. Une thoracotomie a été réalisée pour drainer les collections profondes au niveau du médiastin. Une cellulite au stade collecté justifie d'une prise en charge chirurgicale. Au décours du drainage de la cellulite, l'extraction de la dent causale a été réalisée. Un traitement complémentaire de la cavité buccale s'est avéré nécessaire pour prévenir tout autre épisode infectieux similaire. La culture retrouve un streptococcus anginosus multisensible. L'antibiothérapie initiale a été par la suite réajustée aux résultats de l'hémoculture.
FR100003
L'état respiratoire était normal: fréquence respiratoire 22 cycles/mn, une SaO2 à 96% à l'air ambiant, une fièvre à 39°.
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Le bilan biologique initiale montre une hyperleucocytose à 85OOO, une CRP à 350 mg/l et une glycémie à 12 mmol/l.
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Nous rapportons l'observation d'un homme de 55 ans enseignant de fonction ayant comme antécédents pathologiques un diabète non-insulinodépendant découvert depuis deux mois et des soins dentaires itératifs, qui consulte aux urgences pour une masse latéro-cervicale gauche ferme à la palpation évoluant dans un contexte fébrile et une altération de l'état général. Lexamen clinique à l'admission trouve un patient asthénique, un érythème discret sur la face latéral du cou, une fréquence cardiaque à 87 batt/min et une PA à 110/70 mmHg. L'état respiratoire était normal: fréquence respiratoire 22 cycles/mn, une SaO2 à 96% à l'air ambiant, une fièvre à 39°. Le bilan biologique initiale montre une hyperleucocytose à 85OOO, une CRP à 350 mg/l et une glycémie à 12 mmol/l. La TDM cervicothoracique révèle un phlegmon avec cellulite profonde abcédée des espaces cervicaux antérolatéraux gauches fusant le long de l''espace retropharyngolaryngé étendue au médiastin compliqué d'une médiastinite associé à un épanchement pleural droit. Le panoramique dentaire objective un délabrement de la 45 (3éme molaire) avec granulome de la racine dentaire. La ponction sous-cutanée sous anesthésie locale après injection d'un petit volume de sérum physiologique (10 ml) de la collection a ramené du pus. L'examen cytobactériologique montre des leucocytes nombreux avec des bactéries abondantes et polymorphes. L'examen direct coloré GRAM: Flore bactérienne très abondantes et mixte évoquant les anaérobies. Une antibiothérapie initiale, adjuvante, probabiliste a été instaurée par voie intraveineuse le plus vite possible avant le bloc amoxicilline+acide clavulanique (augmentin 2g× 3/j) associé à 5-nitro-imidazolés (flagyl 500 mg× 3/j). Au bloc opératoire sous anesthésie générale, le foyer infectieux est abordé par une large incision cervicale et le phlegmon abcédé a été drainé par des lames descendues à partir de la cervicotomie. Une thoracotomie a été réalisée pour drainer les collections profondes au niveau du médiastin. Une cellulite au stade collecté justifie d'une prise en charge chirurgicale. Au décours du drainage de la cellulite, l'extraction de la dent causale a été réalisée. Un traitement complémentaire de la cavité buccale s'est avéré nécessaire pour prévenir tout autre épisode infectieux similaire. La culture retrouve un streptococcus anginosus multisensible. L'antibiothérapie initiale a été par la suite réajustée aux résultats de l'hémoculture.
FR100003
La TDM cervicothoracique révèle un phlegmon avec cellulite profonde abcédée des espaces cervicaux antérolatéraux gauches fusant le long de l''espace retropharyngolaryngé étendue au médiastin compliqué d'une médiastinite associé à un épanchement pleural droit.
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Nous rapportons l'observation d'un homme de 55 ans enseignant de fonction ayant comme antécédents pathologiques un diabète non-insulinodépendant découvert depuis deux mois et des soins dentaires itératifs, qui consulte aux urgences pour une masse latéro-cervicale gauche ferme à la palpation évoluant dans un contexte fébrile et une altération de l'état général. Lexamen clinique à l'admission trouve un patient asthénique, un érythème discret sur la face latéral du cou, une fréquence cardiaque à 87 batt/min et une PA à 110/70 mmHg. L'état respiratoire était normal: fréquence respiratoire 22 cycles/mn, une SaO2 à 96% à l'air ambiant, une fièvre à 39°. Le bilan biologique initiale montre une hyperleucocytose à 85OOO, une CRP à 350 mg/l et une glycémie à 12 mmol/l. La TDM cervicothoracique révèle un phlegmon avec cellulite profonde abcédée des espaces cervicaux antérolatéraux gauches fusant le long de l''espace retropharyngolaryngé étendue au médiastin compliqué d'une médiastinite associé à un épanchement pleural droit. Le panoramique dentaire objective un délabrement de la 45 (3éme molaire) avec granulome de la racine dentaire. La ponction sous-cutanée sous anesthésie locale après injection d'un petit volume de sérum physiologique (10 ml) de la collection a ramené du pus. L'examen cytobactériologique montre des leucocytes nombreux avec des bactéries abondantes et polymorphes. L'examen direct coloré GRAM: Flore bactérienne très abondantes et mixte évoquant les anaérobies. Une antibiothérapie initiale, adjuvante, probabiliste a été instaurée par voie intraveineuse le plus vite possible avant le bloc amoxicilline+acide clavulanique (augmentin 2g× 3/j) associé à 5-nitro-imidazolés (flagyl 500 mg× 3/j). Au bloc opératoire sous anesthésie générale, le foyer infectieux est abordé par une large incision cervicale et le phlegmon abcédé a été drainé par des lames descendues à partir de la cervicotomie. Une thoracotomie a été réalisée pour drainer les collections profondes au niveau du médiastin. Une cellulite au stade collecté justifie d'une prise en charge chirurgicale. Au décours du drainage de la cellulite, l'extraction de la dent causale a été réalisée. Un traitement complémentaire de la cavité buccale s'est avéré nécessaire pour prévenir tout autre épisode infectieux similaire. La culture retrouve un streptococcus anginosus multisensible. L'antibiothérapie initiale a été par la suite réajustée aux résultats de l'hémoculture.
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Le panoramique dentaire objective un délabrement de la 45 (3éme molaire) avec granulome de la racine dentaire.
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Nous rapportons l'observation d'un homme de 55 ans enseignant de fonction ayant comme antécédents pathologiques un diabète non-insulinodépendant découvert depuis deux mois et des soins dentaires itératifs, qui consulte aux urgences pour une masse latéro-cervicale gauche ferme à la palpation évoluant dans un contexte fébrile et une altération de l'état général. Lexamen clinique à l'admission trouve un patient asthénique, un érythème discret sur la face latéral du cou, une fréquence cardiaque à 87 batt/min et une PA à 110/70 mmHg. L'état respiratoire était normal: fréquence respiratoire 22 cycles/mn, une SaO2 à 96% à l'air ambiant, une fièvre à 39°. Le bilan biologique initiale montre une hyperleucocytose à 85OOO, une CRP à 350 mg/l et une glycémie à 12 mmol/l. La TDM cervicothoracique révèle un phlegmon avec cellulite profonde abcédée des espaces cervicaux antérolatéraux gauches fusant le long de l''espace retropharyngolaryngé étendue au médiastin compliqué d'une médiastinite associé à un épanchement pleural droit. Le panoramique dentaire objective un délabrement de la 45 (3éme molaire) avec granulome de la racine dentaire. La ponction sous-cutanée sous anesthésie locale après injection d'un petit volume de sérum physiologique (10 ml) de la collection a ramené du pus. L'examen cytobactériologique montre des leucocytes nombreux avec des bactéries abondantes et polymorphes. L'examen direct coloré GRAM: Flore bactérienne très abondantes et mixte évoquant les anaérobies. Une antibiothérapie initiale, adjuvante, probabiliste a été instaurée par voie intraveineuse le plus vite possible avant le bloc amoxicilline+acide clavulanique (augmentin 2g× 3/j) associé à 5-nitro-imidazolés (flagyl 500 mg× 3/j). Au bloc opératoire sous anesthésie générale, le foyer infectieux est abordé par une large incision cervicale et le phlegmon abcédé a été drainé par des lames descendues à partir de la cervicotomie. Une thoracotomie a été réalisée pour drainer les collections profondes au niveau du médiastin. Une cellulite au stade collecté justifie d'une prise en charge chirurgicale. Au décours du drainage de la cellulite, l'extraction de la dent causale a été réalisée. Un traitement complémentaire de la cavité buccale s'est avéré nécessaire pour prévenir tout autre épisode infectieux similaire. La culture retrouve un streptococcus anginosus multisensible. L'antibiothérapie initiale a été par la suite réajustée aux résultats de l'hémoculture.
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La ponction sous-cutanée sous anesthésie locale après injection d'un petit volume de sérum physiologique (10 ml) de la collection a ramené du pus.
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L'examen cytobactériologique montre des leucocytes nombreux avec des bactéries abondantes et polymorphes.
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L'examen direct coloré GRAM: Flore bactérienne très abondantes et mixte évoquant les anaérobies.
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Une antibiothérapie initiale, adjuvante, probabiliste a été instaurée par voie intraveineuse le plus vite possible avant le bloc amoxicilline+acide clavulanique (augmentin 2g× 3/j) associé à 5-nitro-imidazolés (flagyl 500 mg× 3/j).
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Au bloc opératoire sous anesthésie générale, le foyer infectieux est abordé par une large incision cervicale et le phlegmon abcédé a été drainé par des lames descendues à partir de la cervicotomie.
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Nous rapportons l'observation d'un homme de 55 ans enseignant de fonction ayant comme antécédents pathologiques un diabète non-insulinodépendant découvert depuis deux mois et des soins dentaires itératifs, qui consulte aux urgences pour une masse latéro-cervicale gauche ferme à la palpation évoluant dans un contexte fébrile et une altération de l'état général. Lexamen clinique à l'admission trouve un patient asthénique, un érythème discret sur la face latéral du cou, une fréquence cardiaque à 87 batt/min et une PA à 110/70 mmHg. L'état respiratoire était normal: fréquence respiratoire 22 cycles/mn, une SaO2 à 96% à l'air ambiant, une fièvre à 39°. Le bilan biologique initiale montre une hyperleucocytose à 85OOO, une CRP à 350 mg/l et une glycémie à 12 mmol/l. La TDM cervicothoracique révèle un phlegmon avec cellulite profonde abcédée des espaces cervicaux antérolatéraux gauches fusant le long de l''espace retropharyngolaryngé étendue au médiastin compliqué d'une médiastinite associé à un épanchement pleural droit. Le panoramique dentaire objective un délabrement de la 45 (3éme molaire) avec granulome de la racine dentaire. La ponction sous-cutanée sous anesthésie locale après injection d'un petit volume de sérum physiologique (10 ml) de la collection a ramené du pus. L'examen cytobactériologique montre des leucocytes nombreux avec des bactéries abondantes et polymorphes. L'examen direct coloré GRAM: Flore bactérienne très abondantes et mixte évoquant les anaérobies. Une antibiothérapie initiale, adjuvante, probabiliste a été instaurée par voie intraveineuse le plus vite possible avant le bloc amoxicilline+acide clavulanique (augmentin 2g× 3/j) associé à 5-nitro-imidazolés (flagyl 500 mg× 3/j). Au bloc opératoire sous anesthésie générale, le foyer infectieux est abordé par une large incision cervicale et le phlegmon abcédé a été drainé par des lames descendues à partir de la cervicotomie. Une thoracotomie a été réalisée pour drainer les collections profondes au niveau du médiastin. Une cellulite au stade collecté justifie d'une prise en charge chirurgicale. Au décours du drainage de la cellulite, l'extraction de la dent causale a été réalisée. Un traitement complémentaire de la cavité buccale s'est avéré nécessaire pour prévenir tout autre épisode infectieux similaire. La culture retrouve un streptococcus anginosus multisensible. L'antibiothérapie initiale a été par la suite réajustée aux résultats de l'hémoculture.
FR100003
Une thoracotomie a été réalisée pour drainer les collections profondes au niveau du médiastin.
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Nous rapportons l'observation d'un homme de 55 ans enseignant de fonction ayant comme antécédents pathologiques un diabète non-insulinodépendant découvert depuis deux mois et des soins dentaires itératifs, qui consulte aux urgences pour une masse latéro-cervicale gauche ferme à la palpation évoluant dans un contexte fébrile et une altération de l'état général. Lexamen clinique à l'admission trouve un patient asthénique, un érythème discret sur la face latéral du cou, une fréquence cardiaque à 87 batt/min et une PA à 110/70 mmHg. L'état respiratoire était normal: fréquence respiratoire 22 cycles/mn, une SaO2 à 96% à l'air ambiant, une fièvre à 39°. Le bilan biologique initiale montre une hyperleucocytose à 85OOO, une CRP à 350 mg/l et une glycémie à 12 mmol/l. La TDM cervicothoracique révèle un phlegmon avec cellulite profonde abcédée des espaces cervicaux antérolatéraux gauches fusant le long de l''espace retropharyngolaryngé étendue au médiastin compliqué d'une médiastinite associé à un épanchement pleural droit. Le panoramique dentaire objective un délabrement de la 45 (3éme molaire) avec granulome de la racine dentaire. La ponction sous-cutanée sous anesthésie locale après injection d'un petit volume de sérum physiologique (10 ml) de la collection a ramené du pus. L'examen cytobactériologique montre des leucocytes nombreux avec des bactéries abondantes et polymorphes. L'examen direct coloré GRAM: Flore bactérienne très abondantes et mixte évoquant les anaérobies. Une antibiothérapie initiale, adjuvante, probabiliste a été instaurée par voie intraveineuse le plus vite possible avant le bloc amoxicilline+acide clavulanique (augmentin 2g× 3/j) associé à 5-nitro-imidazolés (flagyl 500 mg× 3/j). Au bloc opératoire sous anesthésie générale, le foyer infectieux est abordé par une large incision cervicale et le phlegmon abcédé a été drainé par des lames descendues à partir de la cervicotomie. Une thoracotomie a été réalisée pour drainer les collections profondes au niveau du médiastin. Une cellulite au stade collecté justifie d'une prise en charge chirurgicale. Au décours du drainage de la cellulite, l'extraction de la dent causale a été réalisée. Un traitement complémentaire de la cavité buccale s'est avéré nécessaire pour prévenir tout autre épisode infectieux similaire. La culture retrouve un streptococcus anginosus multisensible. L'antibiothérapie initiale a été par la suite réajustée aux résultats de l'hémoculture.
FR100003
Une cellulite au stade collecté justifie d'une prise en charge chirurgicale.
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Au décours du drainage de la cellulite, l'extraction de la dent causale a été réalisée.
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Un traitement complémentaire de la cavité buccale s'est avéré nécessaire pour prévenir tout autre épisode infectieux similaire.
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La culture retrouve un streptococcus anginosus multisensible.
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L'antibiothérapie initiale a été par la suite réajustée aux résultats de l'hémoculture.
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FR100003
Nous relatons ainsi le cas d'une observation d'un homme suivi pour un cancer du rectum métastatique avec une métastase osseuse temporale.
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Nous relatons ainsi le cas d'une observation d'un homme suivi pour un cancer du rectum métastatique avec une métastase osseuse temporale. Notre observation se rapportait à l'histoire d'un homme âgé de 38 ans suivi pour un cancer du rectum initialement opéré par résection antérieur classant la tumeur pT3N0M0. 24 mois après, le patient présentait une exophtalmie gauche révélant un processus tumoral temporal. L'évolution et le contexte étaient en faveur d'une métastase. En conclusion, nous rapportons dans cette observation, un cas exceptionnel d'une métastase osseuse crânio-faciale d'un cancer colo-rectal multi-métastatique qui pourra enrichir les rares données rapportées dans la littérature se rapportant aux métastases osseuses de primitif colo-rectal.
FR100994
Notre observation se rapportait à l'histoire d'un homme âgé de 38 ans suivi pour un cancer du rectum initialement opéré par résection antérieur classant la tumeur pT3N0M0.
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Nous relatons ainsi le cas d'une observation d'un homme suivi pour un cancer du rectum métastatique avec une métastase osseuse temporale. Notre observation se rapportait à l'histoire d'un homme âgé de 38 ans suivi pour un cancer du rectum initialement opéré par résection antérieur classant la tumeur pT3N0M0. 24 mois après, le patient présentait une exophtalmie gauche révélant un processus tumoral temporal. L'évolution et le contexte étaient en faveur d'une métastase. En conclusion, nous rapportons dans cette observation, un cas exceptionnel d'une métastase osseuse crânio-faciale d'un cancer colo-rectal multi-métastatique qui pourra enrichir les rares données rapportées dans la littérature se rapportant aux métastases osseuses de primitif colo-rectal.
FR100994
24 mois après, le patient présentait une exophtalmie gauche révélant un processus tumoral temporal.
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Nous relatons ainsi le cas d'une observation d'un homme suivi pour un cancer du rectum métastatique avec une métastase osseuse temporale. Notre observation se rapportait à l'histoire d'un homme âgé de 38 ans suivi pour un cancer du rectum initialement opéré par résection antérieur classant la tumeur pT3N0M0. 24 mois après, le patient présentait une exophtalmie gauche révélant un processus tumoral temporal. L'évolution et le contexte étaient en faveur d'une métastase. En conclusion, nous rapportons dans cette observation, un cas exceptionnel d'une métastase osseuse crânio-faciale d'un cancer colo-rectal multi-métastatique qui pourra enrichir les rares données rapportées dans la littérature se rapportant aux métastases osseuses de primitif colo-rectal.
FR100994
L'évolution et le contexte étaient en faveur d'une métastase.
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Nous relatons ainsi le cas d'une observation d'un homme suivi pour un cancer du rectum métastatique avec une métastase osseuse temporale. Notre observation se rapportait à l'histoire d'un homme âgé de 38 ans suivi pour un cancer du rectum initialement opéré par résection antérieur classant la tumeur pT3N0M0. 24 mois après, le patient présentait une exophtalmie gauche révélant un processus tumoral temporal. L'évolution et le contexte étaient en faveur d'une métastase. En conclusion, nous rapportons dans cette observation, un cas exceptionnel d'une métastase osseuse crânio-faciale d'un cancer colo-rectal multi-métastatique qui pourra enrichir les rares données rapportées dans la littérature se rapportant aux métastases osseuses de primitif colo-rectal.
FR100994
En conclusion, nous rapportons dans cette observation, un cas exceptionnel d'une métastase osseuse crânio-faciale d'un cancer colo-rectal multi-métastatique qui pourra enrichir les rares données rapportées dans la littérature se rapportant aux métastases osseuses de primitif colo-rectal.
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Nous relatons ainsi le cas d'une observation d'un homme suivi pour un cancer du rectum métastatique avec une métastase osseuse temporale. Notre observation se rapportait à l'histoire d'un homme âgé de 38 ans suivi pour un cancer du rectum initialement opéré par résection antérieur classant la tumeur pT3N0M0. 24 mois après, le patient présentait une exophtalmie gauche révélant un processus tumoral temporal. L'évolution et le contexte étaient en faveur d'une métastase. En conclusion, nous rapportons dans cette observation, un cas exceptionnel d'une métastase osseuse crânio-faciale d'un cancer colo-rectal multi-métastatique qui pourra enrichir les rares données rapportées dans la littérature se rapportant aux métastases osseuses de primitif colo-rectal.
FR100994
Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
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Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
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Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
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Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
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La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces.
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Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure).
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
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Patiente âgée de 47 ans, sans antécédent pathologique notable, hospitalisée pour myalgies avec faiblesse musculaire prédominant aux ceintures pelvienne et scapulaire. L'atteinte musculaire était précédée de plusieurs placards érythémato-nodulaires douloureux siégeant au niveau des 2 bras et des 2 cuisses apparus 2 mois auparavant associés à un érythème violacé des paupières et du décolleté et un livédo des membres inférieurs. Le testing musculaire avait conclu à un déficit musculaire proximal et l'électromyogramme à un tracé myogène diffus. Le dosage des enzymes musculaires montrait une créatine phosphokinase (CPK) élevée à 1953 UI/L soit 15 fois la normale et une lactate déshydrogénase à 6 fois le normale. Le bilan immunologique (anticorps anti nucléaires, anti J01, anti Sm, anti RNP, anti SSa et anti SSb) était négatif. La biopsie des lésions nodulaires avait mis en évidence: un épiderme en partie ulcérée, la couche basale intacte ne comportant pas de corps hyalin. Le derme sous jacent comporte une inflammation polymorphe et discrète de siège péri vasculaire. Ces derniers sont de morphologie normale, non ectasiques et non congestifs. L'hypoderme est caractérisé par une discrète inflammation de siège septale et panniculaire. Elle est composée par des petits lymphoplasmocytes réguliers associés à de rares polynucléaires. Par ailleurs absence de cellules lymphoïdes suspectes ou de signes histologiques de malignité avec une immunohistochimie (CD3, CD20, CD4, CD8) négative. Le diagnostic d'une panniculite associée à une DM était retenu. Le bilan clinico-biologique effectué à la recherche d'une néoplasie sous-jacente et comportant: l'examen physique, les marqueurs tumoraux, la fibroscopie digestive, la radiographie du thorax, l'échographie et le scanner thoraco-abdomino-pelvien était négatif. Le bilan lésionnel de la dermatomyosite n'a pas montré d'atteinte viscérale associée: les explorations fonctionnelles respiratoires étaient normales, le scanner thoracique ne montrait que des images d'atélectasies banales et l'échographie cardiaque était sans anomalies. Une corticothérapie à base de boli de méthyl prednisolone (1 g/jour pendant 3 jours) relayés par une corticothérapie orale à la dose de 1 mg/Kg/j et du méthotrexate à la dose de 30 mg/sem étaient prescrits. L'évolution au bout de 4 semaines était marquée par une nette amélioration de l'atteinte musculaire (disparition des myalgies, du déficit musculaire, normalisation des enzymes musculaires) mais résistance et aggravation des lésions de panniculite devenues plus étendues avec plusieurs épisodes de surinfections ayant nécessité des hospitalisations itératives. La dapsone à la dose de 100mg/jour pendant 2 mois et les antipaludéens de synthèse (Hydroxychloroquine 400mg/jour) étaient également inefficaces. Devant la résistance de la panniculite aux différentes thérapeutiques à savoir: corticoïdes, Méthotrexate, Dapsone et Hydroxy chloroquine, un traitement par Immunoglobulines polyvalentes intraveineuses (IgIV) était introduit (6 cures à la dose de 2g/Kg/cure). L'évolution était spectaculaire dès la première cure avec stabilisation puis nette régression des lésions de panniculite. Trois mois après l'arrêt des Ig IV, il y a eu une reprise évolutive des lésions de panniculite nécessitant la réintroduction mensuelle d'Ig IV (6 cures) avec de nouveau une rémission dès la première cure.
FR100515
Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, sans antécédents pathologiques notables, sans de notion de consanguinité, G1P0.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, sans antécédents pathologiques notables, sans de notion de consanguinité, G1P0. Grossesse actuelle estimé a 37 SA selon une date des dernière règle précise suivi chez un gynécologue privé, ayant bénéficié d'une échographie à 17 SA n'ayant pas posé le diagnostic de jumeaux conjoints puis patiente perdu de vue. Consulte en urgence obstétricale en début de travail. L'examen clinique a l'admission trouve une patiente consciente, normo tendu, normo carde, eupnéique et apyrétique. L'examen obstétrical trouve une hauteur utérine à 34 cm, BCF positif dans un seul foyer à 150 battements/min, contractions utérines positives. Au spéculum col macroscopiquement normal, pas de métrorragie ni d'hydrorrhée. Au toucher vaginal, col dilaté a 1 doigt large, effacé à 60% central. La patiente a bénéficié d'une échographie obstétricale objectivant une grossesse gémellaire monochoriale monoamniotique avec fusion des deux rachis au niveau lombaire et la présence d'un cœur unique, le nombre des membres supérieurs et inférieurs est difficile a déterminé. L'aspect échographique fait évoquer le diagnostic de jumeaux conjoints. La patiente a bénéficié aussi d'une radiographie du contenu montrant deux têtes fœtales avec deux rachis fusionnant au niveau de la région lombaire. Après avoir informé la patiente du pronostic de l'accouchement et du pronostic fœtal la décision était de la césarisée. L'extraction était difficile vu que la 2 ème tête était en hyper extension. L'Apgar à la 1 ère minute était de 5 dixième devenant 7 dixième a la 5 minutes. Le poids de naissance était de 3300g. L'examen du délivre objective des anomalies vasculaires, trois artères et une veine. Les jumeaux examinés par les pédiatres dont l'examen initial a décelé une ectopie cardiaque avec deux trachées et deux œsophages, aucune autre malformation n'a pu être objectivé cliniquement. Les jumeaux ont présenté une détresse respiratoire intubée au niveau des deux trachées ventilées avec échec des mesures de réanimation, décédés à H 3 de vie.
FR100845
Grossesse actuelle estimé a 37 SA selon une date des dernière règle précise suivi chez un gynécologue privé, ayant bénéficié d'une échographie à 17 SA n'ayant pas posé le diagnostic de jumeaux conjoints puis patiente perdu de vue.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, sans antécédents pathologiques notables, sans de notion de consanguinité, G1P0. Grossesse actuelle estimé a 37 SA selon une date des dernière règle précise suivi chez un gynécologue privé, ayant bénéficié d'une échographie à 17 SA n'ayant pas posé le diagnostic de jumeaux conjoints puis patiente perdu de vue. Consulte en urgence obstétricale en début de travail. L'examen clinique a l'admission trouve une patiente consciente, normo tendu, normo carde, eupnéique et apyrétique. L'examen obstétrical trouve une hauteur utérine à 34 cm, BCF positif dans un seul foyer à 150 battements/min, contractions utérines positives. Au spéculum col macroscopiquement normal, pas de métrorragie ni d'hydrorrhée. Au toucher vaginal, col dilaté a 1 doigt large, effacé à 60% central. La patiente a bénéficié d'une échographie obstétricale objectivant une grossesse gémellaire monochoriale monoamniotique avec fusion des deux rachis au niveau lombaire et la présence d'un cœur unique, le nombre des membres supérieurs et inférieurs est difficile a déterminé. L'aspect échographique fait évoquer le diagnostic de jumeaux conjoints. La patiente a bénéficié aussi d'une radiographie du contenu montrant deux têtes fœtales avec deux rachis fusionnant au niveau de la région lombaire. Après avoir informé la patiente du pronostic de l'accouchement et du pronostic fœtal la décision était de la césarisée. L'extraction était difficile vu que la 2 ème tête était en hyper extension. L'Apgar à la 1 ère minute était de 5 dixième devenant 7 dixième a la 5 minutes. Le poids de naissance était de 3300g. L'examen du délivre objective des anomalies vasculaires, trois artères et une veine. Les jumeaux examinés par les pédiatres dont l'examen initial a décelé une ectopie cardiaque avec deux trachées et deux œsophages, aucune autre malformation n'a pu être objectivé cliniquement. Les jumeaux ont présenté une détresse respiratoire intubée au niveau des deux trachées ventilées avec échec des mesures de réanimation, décédés à H 3 de vie.
FR100845
Consulte en urgence obstétricale en début de travail.
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FR100845
L'examen clinique a l'admission trouve une patiente consciente, normo tendu, normo carde, eupnéique et apyrétique.
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FR100845
L'examen obstétrical trouve une hauteur utérine à 34 cm, BCF positif dans un seul foyer à 150 battements/min, contractions utérines positives.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, sans antécédents pathologiques notables, sans de notion de consanguinité, G1P0. Grossesse actuelle estimé a 37 SA selon une date des dernière règle précise suivi chez un gynécologue privé, ayant bénéficié d'une échographie à 17 SA n'ayant pas posé le diagnostic de jumeaux conjoints puis patiente perdu de vue. Consulte en urgence obstétricale en début de travail. L'examen clinique a l'admission trouve une patiente consciente, normo tendu, normo carde, eupnéique et apyrétique. L'examen obstétrical trouve une hauteur utérine à 34 cm, BCF positif dans un seul foyer à 150 battements/min, contractions utérines positives. Au spéculum col macroscopiquement normal, pas de métrorragie ni d'hydrorrhée. Au toucher vaginal, col dilaté a 1 doigt large, effacé à 60% central. La patiente a bénéficié d'une échographie obstétricale objectivant une grossesse gémellaire monochoriale monoamniotique avec fusion des deux rachis au niveau lombaire et la présence d'un cœur unique, le nombre des membres supérieurs et inférieurs est difficile a déterminé. L'aspect échographique fait évoquer le diagnostic de jumeaux conjoints. La patiente a bénéficié aussi d'une radiographie du contenu montrant deux têtes fœtales avec deux rachis fusionnant au niveau de la région lombaire. Après avoir informé la patiente du pronostic de l'accouchement et du pronostic fœtal la décision était de la césarisée. L'extraction était difficile vu que la 2 ème tête était en hyper extension. L'Apgar à la 1 ère minute était de 5 dixième devenant 7 dixième a la 5 minutes. Le poids de naissance était de 3300g. L'examen du délivre objective des anomalies vasculaires, trois artères et une veine. Les jumeaux examinés par les pédiatres dont l'examen initial a décelé une ectopie cardiaque avec deux trachées et deux œsophages, aucune autre malformation n'a pu être objectivé cliniquement. Les jumeaux ont présenté une détresse respiratoire intubée au niveau des deux trachées ventilées avec échec des mesures de réanimation, décédés à H 3 de vie.
FR100845
Au spéculum col macroscopiquement normal, pas de métrorragie ni d'hydrorrhée.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, sans antécédents pathologiques notables, sans de notion de consanguinité, G1P0. Grossesse actuelle estimé a 37 SA selon une date des dernière règle précise suivi chez un gynécologue privé, ayant bénéficié d'une échographie à 17 SA n'ayant pas posé le diagnostic de jumeaux conjoints puis patiente perdu de vue. Consulte en urgence obstétricale en début de travail. L'examen clinique a l'admission trouve une patiente consciente, normo tendu, normo carde, eupnéique et apyrétique. L'examen obstétrical trouve une hauteur utérine à 34 cm, BCF positif dans un seul foyer à 150 battements/min, contractions utérines positives. Au spéculum col macroscopiquement normal, pas de métrorragie ni d'hydrorrhée. Au toucher vaginal, col dilaté a 1 doigt large, effacé à 60% central. La patiente a bénéficié d'une échographie obstétricale objectivant une grossesse gémellaire monochoriale monoamniotique avec fusion des deux rachis au niveau lombaire et la présence d'un cœur unique, le nombre des membres supérieurs et inférieurs est difficile a déterminé. L'aspect échographique fait évoquer le diagnostic de jumeaux conjoints. La patiente a bénéficié aussi d'une radiographie du contenu montrant deux têtes fœtales avec deux rachis fusionnant au niveau de la région lombaire. Après avoir informé la patiente du pronostic de l'accouchement et du pronostic fœtal la décision était de la césarisée. L'extraction était difficile vu que la 2 ème tête était en hyper extension. L'Apgar à la 1 ère minute était de 5 dixième devenant 7 dixième a la 5 minutes. Le poids de naissance était de 3300g. L'examen du délivre objective des anomalies vasculaires, trois artères et une veine. Les jumeaux examinés par les pédiatres dont l'examen initial a décelé une ectopie cardiaque avec deux trachées et deux œsophages, aucune autre malformation n'a pu être objectivé cliniquement. Les jumeaux ont présenté une détresse respiratoire intubée au niveau des deux trachées ventilées avec échec des mesures de réanimation, décédés à H 3 de vie.
FR100845
Au toucher vaginal, col dilaté a 1 doigt large, effacé à 60% central.
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Il s'agit d'une patiente âgée de 24 ans, sans antécédents pathologiques notables, sans de notion de consanguinité, G1P0. Grossesse actuelle estimé a 37 SA selon une date des dernière règle précise suivi chez un gynécologue privé, ayant bénéficié d'une échographie à 17 SA n'ayant pas posé le diagnostic de jumeaux conjoints puis patiente perdu de vue. Consulte en urgence obstétricale en début de travail. L'examen clinique a l'admission trouve une patiente consciente, normo tendu, normo carde, eupnéique et apyrétique. L'examen obstétrical trouve une hauteur utérine à 34 cm, BCF positif dans un seul foyer à 150 battements/min, contractions utérines positives. Au spéculum col macroscopiquement normal, pas de métrorragie ni d'hydrorrhée. Au toucher vaginal, col dilaté a 1 doigt large, effacé à 60% central. La patiente a bénéficié d'une échographie obstétricale objectivant une grossesse gémellaire monochoriale monoamniotique avec fusion des deux rachis au niveau lombaire et la présence d'un cœur unique, le nombre des membres supérieurs et inférieurs est difficile a déterminé. L'aspect échographique fait évoquer le diagnostic de jumeaux conjoints. La patiente a bénéficié aussi d'une radiographie du contenu montrant deux têtes fœtales avec deux rachis fusionnant au niveau de la région lombaire. Après avoir informé la patiente du pronostic de l'accouchement et du pronostic fœtal la décision était de la césarisée. L'extraction était difficile vu que la 2 ème tête était en hyper extension. L'Apgar à la 1 ère minute était de 5 dixième devenant 7 dixième a la 5 minutes. Le poids de naissance était de 3300g. L'examen du délivre objective des anomalies vasculaires, trois artères et une veine. Les jumeaux examinés par les pédiatres dont l'examen initial a décelé une ectopie cardiaque avec deux trachées et deux œsophages, aucune autre malformation n'a pu être objectivé cliniquement. Les jumeaux ont présenté une détresse respiratoire intubée au niveau des deux trachées ventilées avec échec des mesures de réanimation, décédés à H 3 de vie.
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La patiente a bénéficié d'une échographie obstétricale objectivant une grossesse gémellaire monochoriale monoamniotique avec fusion des deux rachis au niveau lombaire et la présence d'un cœur unique, le nombre des membres supérieurs et inférieurs est difficile a déterminé.
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L'aspect échographique fait évoquer le diagnostic de jumeaux conjoints.
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