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Il s'agit d'un patient âgé de 21 ans, sans antécédents pathologiques particuliers qui a consulté pour une tuméfaction de la région scapulaire droite évoluant depuis deux ans sans signe accompagnateurs.
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Il s'agit d'un patient âgé de 21 ans, sans antécédents pathologiques particuliers qui a consulté pour une tuméfaction de la région scapulaire droite évoluant depuis deux ans sans signe accompagnateurs. L'examen physique a révélé une grande masse mesurant 10cm sur 7cm avec sensation d'accrochage de la scapula et limitation des mouvements de l'épaule droite. La radiographie standard a montrée une lésion osseuse sclérosée à la partie supérieure de la scapula sans érosion corticale ni fracture associée. Le bilan a été complété par une TDM qui a révélé une tumeur osseuse occupant la fosse sus épineuse de la scapula, avec un diamètre maximal de 10,5 cm, des marges minces mais bien défini et sans atteinte des parties molles. Les données radiologiques cités ci-dessus ont été en faveur d'un kyste osseux bénin mais localement invasif. Une biopsie préliminaire a été réalisée est dont le résultat été en faveur d'un kyste osseux anévrismal. La décision été une exerce totale de la lésion. Lors de l'intervention la sacpula a été exposée à travers une voie d'abord avec deux branches une sur le bord supérieur et l'autre sur le bord spinal avec hémostase du pédicule supéro-interne de la scapula. La tumeur été enveloppée par les muscles alentour et occupant la fosse sus-épineuse. Une large résection complète de la lésion a été réalisée emportant une partie de muscle sus épineuse. L'examen macroscopique de la pièce d'exérèse a révélé une masse kystique qui contenait des cloisons fibreuses et des spicules osseux sans signes de malignité évidents. L'examen histologique a montré une volumineuse lésion avec des espaces kystiques, des dépôts d'hémosidérine, des ostéoblastes actives et des nombreuses cellules géantes multinuclées. Ces caractéristiques histopathologiques été en faveur d'un kyste osseux anévrysmal. Apres l'excision de la masse, la reprise été rapide et sans incidents avec des bons amplitudes articulaires de l'épaule.
FR100510
L'examen physique a révélé une grande masse mesurant 10cm sur 7cm avec sensation d'accrochage de la scapula et limitation des mouvements de l'épaule droite.
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Il s'agit d'un patient âgé de 21 ans, sans antécédents pathologiques particuliers qui a consulté pour une tuméfaction de la région scapulaire droite évoluant depuis deux ans sans signe accompagnateurs. L'examen physique a révélé une grande masse mesurant 10cm sur 7cm avec sensation d'accrochage de la scapula et limitation des mouvements de l'épaule droite. La radiographie standard a montrée une lésion osseuse sclérosée à la partie supérieure de la scapula sans érosion corticale ni fracture associée. Le bilan a été complété par une TDM qui a révélé une tumeur osseuse occupant la fosse sus épineuse de la scapula, avec un diamètre maximal de 10,5 cm, des marges minces mais bien défini et sans atteinte des parties molles. Les données radiologiques cités ci-dessus ont été en faveur d'un kyste osseux bénin mais localement invasif. Une biopsie préliminaire a été réalisée est dont le résultat été en faveur d'un kyste osseux anévrismal. La décision été une exerce totale de la lésion. Lors de l'intervention la sacpula a été exposée à travers une voie d'abord avec deux branches une sur le bord supérieur et l'autre sur le bord spinal avec hémostase du pédicule supéro-interne de la scapula. La tumeur été enveloppée par les muscles alentour et occupant la fosse sus-épineuse. Une large résection complète de la lésion a été réalisée emportant une partie de muscle sus épineuse. L'examen macroscopique de la pièce d'exérèse a révélé une masse kystique qui contenait des cloisons fibreuses et des spicules osseux sans signes de malignité évidents. L'examen histologique a montré une volumineuse lésion avec des espaces kystiques, des dépôts d'hémosidérine, des ostéoblastes actives et des nombreuses cellules géantes multinuclées. Ces caractéristiques histopathologiques été en faveur d'un kyste osseux anévrysmal. Apres l'excision de la masse, la reprise été rapide et sans incidents avec des bons amplitudes articulaires de l'épaule.
FR100510
La radiographie standard a montrée une lésion osseuse sclérosée à la partie supérieure de la scapula sans érosion corticale ni fracture associée.
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Il s'agit d'un patient âgé de 21 ans, sans antécédents pathologiques particuliers qui a consulté pour une tuméfaction de la région scapulaire droite évoluant depuis deux ans sans signe accompagnateurs. L'examen physique a révélé une grande masse mesurant 10cm sur 7cm avec sensation d'accrochage de la scapula et limitation des mouvements de l'épaule droite. La radiographie standard a montrée une lésion osseuse sclérosée à la partie supérieure de la scapula sans érosion corticale ni fracture associée. Le bilan a été complété par une TDM qui a révélé une tumeur osseuse occupant la fosse sus épineuse de la scapula, avec un diamètre maximal de 10,5 cm, des marges minces mais bien défini et sans atteinte des parties molles. Les données radiologiques cités ci-dessus ont été en faveur d'un kyste osseux bénin mais localement invasif. Une biopsie préliminaire a été réalisée est dont le résultat été en faveur d'un kyste osseux anévrismal. La décision été une exerce totale de la lésion. Lors de l'intervention la sacpula a été exposée à travers une voie d'abord avec deux branches une sur le bord supérieur et l'autre sur le bord spinal avec hémostase du pédicule supéro-interne de la scapula. La tumeur été enveloppée par les muscles alentour et occupant la fosse sus-épineuse. Une large résection complète de la lésion a été réalisée emportant une partie de muscle sus épineuse. L'examen macroscopique de la pièce d'exérèse a révélé une masse kystique qui contenait des cloisons fibreuses et des spicules osseux sans signes de malignité évidents. L'examen histologique a montré une volumineuse lésion avec des espaces kystiques, des dépôts d'hémosidérine, des ostéoblastes actives et des nombreuses cellules géantes multinuclées. Ces caractéristiques histopathologiques été en faveur d'un kyste osseux anévrysmal. Apres l'excision de la masse, la reprise été rapide et sans incidents avec des bons amplitudes articulaires de l'épaule.
FR100510
Le bilan a été complété par une TDM qui a révélé une tumeur osseuse occupant la fosse sus épineuse de la scapula, avec un diamètre maximal de 10,5 cm, des marges minces mais bien défini et sans atteinte des parties molles.
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Il s'agit d'un patient âgé de 21 ans, sans antécédents pathologiques particuliers qui a consulté pour une tuméfaction de la région scapulaire droite évoluant depuis deux ans sans signe accompagnateurs. L'examen physique a révélé une grande masse mesurant 10cm sur 7cm avec sensation d'accrochage de la scapula et limitation des mouvements de l'épaule droite. La radiographie standard a montrée une lésion osseuse sclérosée à la partie supérieure de la scapula sans érosion corticale ni fracture associée. Le bilan a été complété par une TDM qui a révélé une tumeur osseuse occupant la fosse sus épineuse de la scapula, avec un diamètre maximal de 10,5 cm, des marges minces mais bien défini et sans atteinte des parties molles. Les données radiologiques cités ci-dessus ont été en faveur d'un kyste osseux bénin mais localement invasif. Une biopsie préliminaire a été réalisée est dont le résultat été en faveur d'un kyste osseux anévrismal. La décision été une exerce totale de la lésion. Lors de l'intervention la sacpula a été exposée à travers une voie d'abord avec deux branches une sur le bord supérieur et l'autre sur le bord spinal avec hémostase du pédicule supéro-interne de la scapula. La tumeur été enveloppée par les muscles alentour et occupant la fosse sus-épineuse. Une large résection complète de la lésion a été réalisée emportant une partie de muscle sus épineuse. L'examen macroscopique de la pièce d'exérèse a révélé une masse kystique qui contenait des cloisons fibreuses et des spicules osseux sans signes de malignité évidents. L'examen histologique a montré une volumineuse lésion avec des espaces kystiques, des dépôts d'hémosidérine, des ostéoblastes actives et des nombreuses cellules géantes multinuclées. Ces caractéristiques histopathologiques été en faveur d'un kyste osseux anévrysmal. Apres l'excision de la masse, la reprise été rapide et sans incidents avec des bons amplitudes articulaires de l'épaule.
FR100510
Les données radiologiques cités ci-dessus ont été en faveur d'un kyste osseux bénin mais localement invasif.
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FR100510
Une biopsie préliminaire a été réalisée est dont le résultat été en faveur d'un kyste osseux anévrismal.
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FR100510
Lors de l'intervention la sacpula a été exposée à travers une voie d'abord avec deux branches une sur le bord supérieur et l'autre sur le bord spinal avec hémostase du pédicule supéro-interne de la scapula.
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La tumeur été enveloppée par les muscles alentour et occupant la fosse sus-épineuse.
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Il s'agit d'un patient âgé de 21 ans, sans antécédents pathologiques particuliers qui a consulté pour une tuméfaction de la région scapulaire droite évoluant depuis deux ans sans signe accompagnateurs. L'examen physique a révélé une grande masse mesurant 10cm sur 7cm avec sensation d'accrochage de la scapula et limitation des mouvements de l'épaule droite. La radiographie standard a montrée une lésion osseuse sclérosée à la partie supérieure de la scapula sans érosion corticale ni fracture associée. Le bilan a été complété par une TDM qui a révélé une tumeur osseuse occupant la fosse sus épineuse de la scapula, avec un diamètre maximal de 10,5 cm, des marges minces mais bien défini et sans atteinte des parties molles. Les données radiologiques cités ci-dessus ont été en faveur d'un kyste osseux bénin mais localement invasif. Une biopsie préliminaire a été réalisée est dont le résultat été en faveur d'un kyste osseux anévrismal. La décision été une exerce totale de la lésion. Lors de l'intervention la sacpula a été exposée à travers une voie d'abord avec deux branches une sur le bord supérieur et l'autre sur le bord spinal avec hémostase du pédicule supéro-interne de la scapula. La tumeur été enveloppée par les muscles alentour et occupant la fosse sus-épineuse. Une large résection complète de la lésion a été réalisée emportant une partie de muscle sus épineuse. L'examen macroscopique de la pièce d'exérèse a révélé une masse kystique qui contenait des cloisons fibreuses et des spicules osseux sans signes de malignité évidents. L'examen histologique a montré une volumineuse lésion avec des espaces kystiques, des dépôts d'hémosidérine, des ostéoblastes actives et des nombreuses cellules géantes multinuclées. Ces caractéristiques histopathologiques été en faveur d'un kyste osseux anévrysmal. Apres l'excision de la masse, la reprise été rapide et sans incidents avec des bons amplitudes articulaires de l'épaule.
FR100510
L'examen macroscopique de la pièce d'exérèse a révélé une masse kystique qui contenait des cloisons fibreuses et des spicules osseux sans signes de malignité évidents.
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Il s'agit d'un patient âgé de 21 ans, sans antécédents pathologiques particuliers qui a consulté pour une tuméfaction de la région scapulaire droite évoluant depuis deux ans sans signe accompagnateurs. L'examen physique a révélé une grande masse mesurant 10cm sur 7cm avec sensation d'accrochage de la scapula et limitation des mouvements de l'épaule droite. La radiographie standard a montrée une lésion osseuse sclérosée à la partie supérieure de la scapula sans érosion corticale ni fracture associée. Le bilan a été complété par une TDM qui a révélé une tumeur osseuse occupant la fosse sus épineuse de la scapula, avec un diamètre maximal de 10,5 cm, des marges minces mais bien défini et sans atteinte des parties molles. Les données radiologiques cités ci-dessus ont été en faveur d'un kyste osseux bénin mais localement invasif. Une biopsie préliminaire a été réalisée est dont le résultat été en faveur d'un kyste osseux anévrismal. La décision été une exerce totale de la lésion. Lors de l'intervention la sacpula a été exposée à travers une voie d'abord avec deux branches une sur le bord supérieur et l'autre sur le bord spinal avec hémostase du pédicule supéro-interne de la scapula. La tumeur été enveloppée par les muscles alentour et occupant la fosse sus-épineuse. Une large résection complète de la lésion a été réalisée emportant une partie de muscle sus épineuse. L'examen macroscopique de la pièce d'exérèse a révélé une masse kystique qui contenait des cloisons fibreuses et des spicules osseux sans signes de malignité évidents. L'examen histologique a montré une volumineuse lésion avec des espaces kystiques, des dépôts d'hémosidérine, des ostéoblastes actives et des nombreuses cellules géantes multinuclées. Ces caractéristiques histopathologiques été en faveur d'un kyste osseux anévrysmal. Apres l'excision de la masse, la reprise été rapide et sans incidents avec des bons amplitudes articulaires de l'épaule.
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L'examen histologique a montré une volumineuse lésion avec des espaces kystiques, des dépôts d'hémosidérine, des ostéoblastes actives et des nombreuses cellules géantes multinuclées.
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Ces caractéristiques histopathologiques été en faveur d'un kyste osseux anévrysmal.
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Apres l'excision de la masse, la reprise été rapide et sans incidents avec des bons amplitudes articulaires de l'épaule.
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FR100510
Mme N.R de 34 ans, multipare sans antécédents pathologiques notables, a mené une grossesse simple à terme au cours de laquelle elle a présenté une éruption cutanée vésiculo-papuleuse et prurigineuse qui n'avait jamais été constaté lors des grossesses précédentes.
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Mme N.R de 34 ans, multipare sans antécédents pathologiques notables, a mené une grossesse simple à terme au cours de laquelle elle a présenté une éruption cutanée vésiculo-papuleuse et prurigineuse qui n'avait jamais été constaté lors des grossesses précédentes. Ces lésions cutanées prédominaient dans la région péri-ombilicale, les bras, les cuisse et la région péri aréolaire, sans atteinte des muqueuses. Le diagnostic dermatologique d'un pemphigoïde gestationis a été posé après une biopsie cutanée avec examen en immunofluorescence directe qui montrait un infiltrat éosinophile, un œdème sous-épidermique et des dépôts linéaires d'IgG et de fraction C3 du complément le long de la jonction dermo-épidermique. Ce dernier signe est pathognomonique du pemphigoïde gestationis. L'application de corticoïdes locaux avait permis la régression rapide des lésions cutanées. À 28 SA, après l'arrêt du traitement local, la patiente avait de nouveau consulté du fait d'une récidive des lésions cutanées de même topographie ce qui à incité une reprise du traitement. La grossesse était menée à terme avec un suivi régulier ne montrant pas d'anomalies. L'accouchement spontané par voie basse avait eu lieu à 39 SA d'un nouveau né de sexe féminin, poids de naissance de 3000 g qui présentait une aplasie cutanée congénitale localisée au niveau des lobes de l'oreille, des coudes, des poignées, des mains, des genoux, des jambes, des chevilles et des pieds. Le reste de l'examen était sans particularité. Un bilan comprenant les sérologies virales habituelles (cytomégalovirus, rubéole, herpès, varicelle) et bactériennes (notamment listeria et chlamydia), une recherche d'agglutinines irrégulières, un bilan vasculo-rénal (uricémie, numération plaquettaire, bilans hépatique rénal, protéinurie) ainsi qu'un bilan thyroïdien avait été réalisé n'objectivant pas d'anomalies. La régression des lésions cutanées bulleuses chez la patiente a été rapide après une semaine de l'accouchement sans traitement corticoïde.
FR100276
Ces lésions cutanées prédominaient dans la région péri-ombilicale, les bras, les cuisse et la région péri aréolaire, sans atteinte des muqueuses.
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FR100276
Le diagnostic dermatologique d'un pemphigoïde gestationis a été posé après une biopsie cutanée avec examen en immunofluorescence directe qui montrait un infiltrat éosinophile, un œdème sous-épidermique et des dépôts linéaires d'IgG et de fraction C3 du complément le long de la jonction dermo-épidermique.
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Ce dernier signe est pathognomonique du pemphigoïde gestationis.
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Mme N.R de 34 ans, multipare sans antécédents pathologiques notables, a mené une grossesse simple à terme au cours de laquelle elle a présenté une éruption cutanée vésiculo-papuleuse et prurigineuse qui n'avait jamais été constaté lors des grossesses précédentes. Ces lésions cutanées prédominaient dans la région péri-ombilicale, les bras, les cuisse et la région péri aréolaire, sans atteinte des muqueuses. Le diagnostic dermatologique d'un pemphigoïde gestationis a été posé après une biopsie cutanée avec examen en immunofluorescence directe qui montrait un infiltrat éosinophile, un œdème sous-épidermique et des dépôts linéaires d'IgG et de fraction C3 du complément le long de la jonction dermo-épidermique. Ce dernier signe est pathognomonique du pemphigoïde gestationis. L'application de corticoïdes locaux avait permis la régression rapide des lésions cutanées. À 28 SA, après l'arrêt du traitement local, la patiente avait de nouveau consulté du fait d'une récidive des lésions cutanées de même topographie ce qui à incité une reprise du traitement. La grossesse était menée à terme avec un suivi régulier ne montrant pas d'anomalies. L'accouchement spontané par voie basse avait eu lieu à 39 SA d'un nouveau né de sexe féminin, poids de naissance de 3000 g qui présentait une aplasie cutanée congénitale localisée au niveau des lobes de l'oreille, des coudes, des poignées, des mains, des genoux, des jambes, des chevilles et des pieds. Le reste de l'examen était sans particularité. Un bilan comprenant les sérologies virales habituelles (cytomégalovirus, rubéole, herpès, varicelle) et bactériennes (notamment listeria et chlamydia), une recherche d'agglutinines irrégulières, un bilan vasculo-rénal (uricémie, numération plaquettaire, bilans hépatique rénal, protéinurie) ainsi qu'un bilan thyroïdien avait été réalisé n'objectivant pas d'anomalies. La régression des lésions cutanées bulleuses chez la patiente a été rapide après une semaine de l'accouchement sans traitement corticoïde.
FR100276
À 28 SA, après l'arrêt du traitement local, la patiente avait de nouveau consulté du fait d'une récidive des lésions cutanées de même topographie ce qui à incité une reprise du traitement.
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Mme N.R de 34 ans, multipare sans antécédents pathologiques notables, a mené une grossesse simple à terme au cours de laquelle elle a présenté une éruption cutanée vésiculo-papuleuse et prurigineuse qui n'avait jamais été constaté lors des grossesses précédentes. Ces lésions cutanées prédominaient dans la région péri-ombilicale, les bras, les cuisse et la région péri aréolaire, sans atteinte des muqueuses. Le diagnostic dermatologique d'un pemphigoïde gestationis a été posé après une biopsie cutanée avec examen en immunofluorescence directe qui montrait un infiltrat éosinophile, un œdème sous-épidermique et des dépôts linéaires d'IgG et de fraction C3 du complément le long de la jonction dermo-épidermique. Ce dernier signe est pathognomonique du pemphigoïde gestationis. L'application de corticoïdes locaux avait permis la régression rapide des lésions cutanées. À 28 SA, après l'arrêt du traitement local, la patiente avait de nouveau consulté du fait d'une récidive des lésions cutanées de même topographie ce qui à incité une reprise du traitement. La grossesse était menée à terme avec un suivi régulier ne montrant pas d'anomalies. L'accouchement spontané par voie basse avait eu lieu à 39 SA d'un nouveau né de sexe féminin, poids de naissance de 3000 g qui présentait une aplasie cutanée congénitale localisée au niveau des lobes de l'oreille, des coudes, des poignées, des mains, des genoux, des jambes, des chevilles et des pieds. Le reste de l'examen était sans particularité. Un bilan comprenant les sérologies virales habituelles (cytomégalovirus, rubéole, herpès, varicelle) et bactériennes (notamment listeria et chlamydia), une recherche d'agglutinines irrégulières, un bilan vasculo-rénal (uricémie, numération plaquettaire, bilans hépatique rénal, protéinurie) ainsi qu'un bilan thyroïdien avait été réalisé n'objectivant pas d'anomalies. La régression des lésions cutanées bulleuses chez la patiente a été rapide après une semaine de l'accouchement sans traitement corticoïde.
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La grossesse était menée à terme avec un suivi régulier ne montrant pas d'anomalies.
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Mme N.R de 34 ans, multipare sans antécédents pathologiques notables, a mené une grossesse simple à terme au cours de laquelle elle a présenté une éruption cutanée vésiculo-papuleuse et prurigineuse qui n'avait jamais été constaté lors des grossesses précédentes. Ces lésions cutanées prédominaient dans la région péri-ombilicale, les bras, les cuisse et la région péri aréolaire, sans atteinte des muqueuses. Le diagnostic dermatologique d'un pemphigoïde gestationis a été posé après une biopsie cutanée avec examen en immunofluorescence directe qui montrait un infiltrat éosinophile, un œdème sous-épidermique et des dépôts linéaires d'IgG et de fraction C3 du complément le long de la jonction dermo-épidermique. Ce dernier signe est pathognomonique du pemphigoïde gestationis. L'application de corticoïdes locaux avait permis la régression rapide des lésions cutanées. À 28 SA, après l'arrêt du traitement local, la patiente avait de nouveau consulté du fait d'une récidive des lésions cutanées de même topographie ce qui à incité une reprise du traitement. La grossesse était menée à terme avec un suivi régulier ne montrant pas d'anomalies. L'accouchement spontané par voie basse avait eu lieu à 39 SA d'un nouveau né de sexe féminin, poids de naissance de 3000 g qui présentait une aplasie cutanée congénitale localisée au niveau des lobes de l'oreille, des coudes, des poignées, des mains, des genoux, des jambes, des chevilles et des pieds. Le reste de l'examen était sans particularité. Un bilan comprenant les sérologies virales habituelles (cytomégalovirus, rubéole, herpès, varicelle) et bactériennes (notamment listeria et chlamydia), une recherche d'agglutinines irrégulières, un bilan vasculo-rénal (uricémie, numération plaquettaire, bilans hépatique rénal, protéinurie) ainsi qu'un bilan thyroïdien avait été réalisé n'objectivant pas d'anomalies. La régression des lésions cutanées bulleuses chez la patiente a été rapide après une semaine de l'accouchement sans traitement corticoïde.
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L'accouchement spontané par voie basse avait eu lieu à 39 SA d'un nouveau né de sexe féminin, poids de naissance de 3000 g qui présentait une aplasie cutanée congénitale localisée au niveau des lobes de l'oreille, des coudes, des poignées, des mains, des genoux, des jambes, des chevilles et des pieds.
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Le reste de l'examen était sans particularité.
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Mme N.R de 34 ans, multipare sans antécédents pathologiques notables, a mené une grossesse simple à terme au cours de laquelle elle a présenté une éruption cutanée vésiculo-papuleuse et prurigineuse qui n'avait jamais été constaté lors des grossesses précédentes. Ces lésions cutanées prédominaient dans la région péri-ombilicale, les bras, les cuisse et la région péri aréolaire, sans atteinte des muqueuses. Le diagnostic dermatologique d'un pemphigoïde gestationis a été posé après une biopsie cutanée avec examen en immunofluorescence directe qui montrait un infiltrat éosinophile, un œdème sous-épidermique et des dépôts linéaires d'IgG et de fraction C3 du complément le long de la jonction dermo-épidermique. Ce dernier signe est pathognomonique du pemphigoïde gestationis. L'application de corticoïdes locaux avait permis la régression rapide des lésions cutanées. À 28 SA, après l'arrêt du traitement local, la patiente avait de nouveau consulté du fait d'une récidive des lésions cutanées de même topographie ce qui à incité une reprise du traitement. La grossesse était menée à terme avec un suivi régulier ne montrant pas d'anomalies. L'accouchement spontané par voie basse avait eu lieu à 39 SA d'un nouveau né de sexe féminin, poids de naissance de 3000 g qui présentait une aplasie cutanée congénitale localisée au niveau des lobes de l'oreille, des coudes, des poignées, des mains, des genoux, des jambes, des chevilles et des pieds. Le reste de l'examen était sans particularité. Un bilan comprenant les sérologies virales habituelles (cytomégalovirus, rubéole, herpès, varicelle) et bactériennes (notamment listeria et chlamydia), une recherche d'agglutinines irrégulières, un bilan vasculo-rénal (uricémie, numération plaquettaire, bilans hépatique rénal, protéinurie) ainsi qu'un bilan thyroïdien avait été réalisé n'objectivant pas d'anomalies. La régression des lésions cutanées bulleuses chez la patiente a été rapide après une semaine de l'accouchement sans traitement corticoïde.
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Un bilan comprenant les sérologies virales habituelles (cytomégalovirus, rubéole, herpès, varicelle) et bactériennes (notamment listeria et chlamydia), une recherche d'agglutinines irrégulières, un bilan vasculo-rénal (uricémie, numération plaquettaire, bilans hépatique rénal, protéinurie) ainsi qu'un bilan thyroïdien avait été réalisé n'objectivant pas d'anomalies.
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FR100276
La régression des lésions cutanées bulleuses chez la patiente a été rapide après une semaine de l'accouchement sans traitement corticoïde.
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FR100276
Un jeune homme âgé de 19 ans, sans antécédents particuliers est adressé pour des tuméfactions gingivales évoluant depuis 1 mois suite à des extractions dentaires.
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Un jeune homme âgé de 19 ans, sans antécédents particuliers est adressé pour des tuméfactions gingivales évoluant depuis 1 mois suite à des extractions dentaires. A l'interrogatoire, le patient rapportait un état général altéré (amaigrissement, fièvre, sueurs nocturnes, prurit généralisé) ainsi que des douleurs du membre inférieur droit. Il a rapporté avoir déjà été hospitalisé pour un bilan général qui s'est avéré normal excepté une vitesse de sédimentation élevée. Par ailleurs, il n'a pas été noté de déficit moteur ni sensitif. L'examen exobuccal a révélé une asymétrie faciale gauche avec la présence d'adénopathies cervicales à la palpation des aires ganglionnaires. L'examen clinique endobuccal a mis en évidence la présence de tuméfactions bourgeonnantes, ulcérées par endroit plus importantes au maxillaire qu'à la mandibule recouvrant les dents avec des déplacements et mobilités. Ces tuméfactions portaient l'empreinte des dents antagonistes. A la palpation, il s'agissait de tuméfactions molles et douloureuses. La radiographie panoramique montrait des lésions ostéolytiques généralisées avec un élargissement desmodontal et la disparition de la lamina dura ainsi qu'une opacité comblant la moitié inférieure du sinus maxillaire gauche. La tomodensitométrie de la face a révélé un processus tumoral comblant les sinus maxillaires. A ce stade, le diagnostic évoqué était celui d'une tumeur maligne des maxillaires ou une leucémie aiguë. Une biopsie a été réalisée sous anesthésie locale dont l'examen anatomopathologique concluait à une pseudotumeur inflammatoire ulcérée comportant quelques amas atypiques nécessitant un immuno-marquage pour exclure une lésion néoplasique. L'étude immunohistochimique a été en faveur d'une localisation gingivale d'un lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules de type Burkitt, les cellules tumorales ayant exprimé le CD20. Le patient a été adressé au service d'oncologie pour une prise en charge. Le bilan biologique a montré un taux de LDH à 931UI/l, la sérologie pour le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) était négative. Le myologramme était normal et la cytoponction a confirmé le diagnostic du lymphome de Burkitt. Le bilan d'extension comprenant une tomodensitométrie cervico-thoraco-abdomino- pelvienne a mis en évidence une lésion intracrânienne ainsi des localisations hépatiques. Selon la classification d'Ann-Arbor, le patient a été classé au stade IV groupe C vu l'atteinte endocrânienne. Le traitement a inclue 5 séances de polychimiothérapie selon le protocole LMB qui se déroule en différentes phases: une cure de COP (cyclophosphamide, vincristine, prédnisone) suivie de deux cures de COPADEM (cyclophosphamide, vincristine, doxorubicine, prédnisone) et de 2 cures de CYVE (c cytarabine, étoposide), ainsi que 9 séances de radiothérapie avec une régression totale des lésions buccales à un mois de chimiothérapie. Le patient a été pris en charge pour une mise en état de la cavité buccale. Le contrôle à 2 ans a montré une rémission complète des lésions.
FR100666
A l'interrogatoire, le patient rapportait un état général altéré (amaigrissement, fièvre, sueurs nocturnes, prurit généralisé) ainsi que des douleurs du membre inférieur droit.
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Un jeune homme âgé de 19 ans, sans antécédents particuliers est adressé pour des tuméfactions gingivales évoluant depuis 1 mois suite à des extractions dentaires. A l'interrogatoire, le patient rapportait un état général altéré (amaigrissement, fièvre, sueurs nocturnes, prurit généralisé) ainsi que des douleurs du membre inférieur droit. Il a rapporté avoir déjà été hospitalisé pour un bilan général qui s'est avéré normal excepté une vitesse de sédimentation élevée. Par ailleurs, il n'a pas été noté de déficit moteur ni sensitif. L'examen exobuccal a révélé une asymétrie faciale gauche avec la présence d'adénopathies cervicales à la palpation des aires ganglionnaires. L'examen clinique endobuccal a mis en évidence la présence de tuméfactions bourgeonnantes, ulcérées par endroit plus importantes au maxillaire qu'à la mandibule recouvrant les dents avec des déplacements et mobilités. Ces tuméfactions portaient l'empreinte des dents antagonistes. A la palpation, il s'agissait de tuméfactions molles et douloureuses. La radiographie panoramique montrait des lésions ostéolytiques généralisées avec un élargissement desmodontal et la disparition de la lamina dura ainsi qu'une opacité comblant la moitié inférieure du sinus maxillaire gauche. La tomodensitométrie de la face a révélé un processus tumoral comblant les sinus maxillaires. A ce stade, le diagnostic évoqué était celui d'une tumeur maligne des maxillaires ou une leucémie aiguë. Une biopsie a été réalisée sous anesthésie locale dont l'examen anatomopathologique concluait à une pseudotumeur inflammatoire ulcérée comportant quelques amas atypiques nécessitant un immuno-marquage pour exclure une lésion néoplasique. L'étude immunohistochimique a été en faveur d'une localisation gingivale d'un lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules de type Burkitt, les cellules tumorales ayant exprimé le CD20. Le patient a été adressé au service d'oncologie pour une prise en charge. Le bilan biologique a montré un taux de LDH à 931UI/l, la sérologie pour le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) était négative. Le myologramme était normal et la cytoponction a confirmé le diagnostic du lymphome de Burkitt. Le bilan d'extension comprenant une tomodensitométrie cervico-thoraco-abdomino- pelvienne a mis en évidence une lésion intracrânienne ainsi des localisations hépatiques. Selon la classification d'Ann-Arbor, le patient a été classé au stade IV groupe C vu l'atteinte endocrânienne. Le traitement a inclue 5 séances de polychimiothérapie selon le protocole LMB qui se déroule en différentes phases: une cure de COP (cyclophosphamide, vincristine, prédnisone) suivie de deux cures de COPADEM (cyclophosphamide, vincristine, doxorubicine, prédnisone) et de 2 cures de CYVE (c cytarabine, étoposide), ainsi que 9 séances de radiothérapie avec une régression totale des lésions buccales à un mois de chimiothérapie. Le patient a été pris en charge pour une mise en état de la cavité buccale. Le contrôle à 2 ans a montré une rémission complète des lésions.
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Il a rapporté avoir déjà été hospitalisé pour un bilan général qui s'est avéré normal excepté une vitesse de sédimentation élevée.
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Un jeune homme âgé de 19 ans, sans antécédents particuliers est adressé pour des tuméfactions gingivales évoluant depuis 1 mois suite à des extractions dentaires. A l'interrogatoire, le patient rapportait un état général altéré (amaigrissement, fièvre, sueurs nocturnes, prurit généralisé) ainsi que des douleurs du membre inférieur droit. Il a rapporté avoir déjà été hospitalisé pour un bilan général qui s'est avéré normal excepté une vitesse de sédimentation élevée. Par ailleurs, il n'a pas été noté de déficit moteur ni sensitif. L'examen exobuccal a révélé une asymétrie faciale gauche avec la présence d'adénopathies cervicales à la palpation des aires ganglionnaires. L'examen clinique endobuccal a mis en évidence la présence de tuméfactions bourgeonnantes, ulcérées par endroit plus importantes au maxillaire qu'à la mandibule recouvrant les dents avec des déplacements et mobilités. Ces tuméfactions portaient l'empreinte des dents antagonistes. A la palpation, il s'agissait de tuméfactions molles et douloureuses. La radiographie panoramique montrait des lésions ostéolytiques généralisées avec un élargissement desmodontal et la disparition de la lamina dura ainsi qu'une opacité comblant la moitié inférieure du sinus maxillaire gauche. La tomodensitométrie de la face a révélé un processus tumoral comblant les sinus maxillaires. A ce stade, le diagnostic évoqué était celui d'une tumeur maligne des maxillaires ou une leucémie aiguë. Une biopsie a été réalisée sous anesthésie locale dont l'examen anatomopathologique concluait à une pseudotumeur inflammatoire ulcérée comportant quelques amas atypiques nécessitant un immuno-marquage pour exclure une lésion néoplasique. L'étude immunohistochimique a été en faveur d'une localisation gingivale d'un lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules de type Burkitt, les cellules tumorales ayant exprimé le CD20. Le patient a été adressé au service d'oncologie pour une prise en charge. Le bilan biologique a montré un taux de LDH à 931UI/l, la sérologie pour le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) était négative. Le myologramme était normal et la cytoponction a confirmé le diagnostic du lymphome de Burkitt. Le bilan d'extension comprenant une tomodensitométrie cervico-thoraco-abdomino- pelvienne a mis en évidence une lésion intracrânienne ainsi des localisations hépatiques. Selon la classification d'Ann-Arbor, le patient a été classé au stade IV groupe C vu l'atteinte endocrânienne. Le traitement a inclue 5 séances de polychimiothérapie selon le protocole LMB qui se déroule en différentes phases: une cure de COP (cyclophosphamide, vincristine, prédnisone) suivie de deux cures de COPADEM (cyclophosphamide, vincristine, doxorubicine, prédnisone) et de 2 cures de CYVE (c cytarabine, étoposide), ainsi que 9 séances de radiothérapie avec une régression totale des lésions buccales à un mois de chimiothérapie. Le patient a été pris en charge pour une mise en état de la cavité buccale. Le contrôle à 2 ans a montré une rémission complète des lésions.
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Par ailleurs, il n'a pas été noté de déficit moteur ni sensitif.
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Un jeune homme âgé de 19 ans, sans antécédents particuliers est adressé pour des tuméfactions gingivales évoluant depuis 1 mois suite à des extractions dentaires. A l'interrogatoire, le patient rapportait un état général altéré (amaigrissement, fièvre, sueurs nocturnes, prurit généralisé) ainsi que des douleurs du membre inférieur droit. Il a rapporté avoir déjà été hospitalisé pour un bilan général qui s'est avéré normal excepté une vitesse de sédimentation élevée. Par ailleurs, il n'a pas été noté de déficit moteur ni sensitif. L'examen exobuccal a révélé une asymétrie faciale gauche avec la présence d'adénopathies cervicales à la palpation des aires ganglionnaires. L'examen clinique endobuccal a mis en évidence la présence de tuméfactions bourgeonnantes, ulcérées par endroit plus importantes au maxillaire qu'à la mandibule recouvrant les dents avec des déplacements et mobilités. Ces tuméfactions portaient l'empreinte des dents antagonistes. A la palpation, il s'agissait de tuméfactions molles et douloureuses. La radiographie panoramique montrait des lésions ostéolytiques généralisées avec un élargissement desmodontal et la disparition de la lamina dura ainsi qu'une opacité comblant la moitié inférieure du sinus maxillaire gauche. La tomodensitométrie de la face a révélé un processus tumoral comblant les sinus maxillaires. A ce stade, le diagnostic évoqué était celui d'une tumeur maligne des maxillaires ou une leucémie aiguë. Une biopsie a été réalisée sous anesthésie locale dont l'examen anatomopathologique concluait à une pseudotumeur inflammatoire ulcérée comportant quelques amas atypiques nécessitant un immuno-marquage pour exclure une lésion néoplasique. L'étude immunohistochimique a été en faveur d'une localisation gingivale d'un lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules de type Burkitt, les cellules tumorales ayant exprimé le CD20. Le patient a été adressé au service d'oncologie pour une prise en charge. Le bilan biologique a montré un taux de LDH à 931UI/l, la sérologie pour le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) était négative. Le myologramme était normal et la cytoponction a confirmé le diagnostic du lymphome de Burkitt. Le bilan d'extension comprenant une tomodensitométrie cervico-thoraco-abdomino- pelvienne a mis en évidence une lésion intracrânienne ainsi des localisations hépatiques. Selon la classification d'Ann-Arbor, le patient a été classé au stade IV groupe C vu l'atteinte endocrânienne. Le traitement a inclue 5 séances de polychimiothérapie selon le protocole LMB qui se déroule en différentes phases: une cure de COP (cyclophosphamide, vincristine, prédnisone) suivie de deux cures de COPADEM (cyclophosphamide, vincristine, doxorubicine, prédnisone) et de 2 cures de CYVE (c cytarabine, étoposide), ainsi que 9 séances de radiothérapie avec une régression totale des lésions buccales à un mois de chimiothérapie. Le patient a été pris en charge pour une mise en état de la cavité buccale. Le contrôle à 2 ans a montré une rémission complète des lésions.
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L'examen exobuccal a révélé une asymétrie faciale gauche avec la présence d'adénopathies cervicales à la palpation des aires ganglionnaires.
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FR100666
A la palpation, il s'agissait de tuméfactions molles et douloureuses.
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La radiographie panoramique montrait des lésions ostéolytiques généralisées avec un élargissement desmodontal et la disparition de la lamina dura ainsi qu'une opacité comblant la moitié inférieure du sinus maxillaire gauche.
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Un jeune homme âgé de 19 ans, sans antécédents particuliers est adressé pour des tuméfactions gingivales évoluant depuis 1 mois suite à des extractions dentaires. A l'interrogatoire, le patient rapportait un état général altéré (amaigrissement, fièvre, sueurs nocturnes, prurit généralisé) ainsi que des douleurs du membre inférieur droit. Il a rapporté avoir déjà été hospitalisé pour un bilan général qui s'est avéré normal excepté une vitesse de sédimentation élevée. Par ailleurs, il n'a pas été noté de déficit moteur ni sensitif. L'examen exobuccal a révélé une asymétrie faciale gauche avec la présence d'adénopathies cervicales à la palpation des aires ganglionnaires. L'examen clinique endobuccal a mis en évidence la présence de tuméfactions bourgeonnantes, ulcérées par endroit plus importantes au maxillaire qu'à la mandibule recouvrant les dents avec des déplacements et mobilités. Ces tuméfactions portaient l'empreinte des dents antagonistes. A la palpation, il s'agissait de tuméfactions molles et douloureuses. La radiographie panoramique montrait des lésions ostéolytiques généralisées avec un élargissement desmodontal et la disparition de la lamina dura ainsi qu'une opacité comblant la moitié inférieure du sinus maxillaire gauche. La tomodensitométrie de la face a révélé un processus tumoral comblant les sinus maxillaires. A ce stade, le diagnostic évoqué était celui d'une tumeur maligne des maxillaires ou une leucémie aiguë. Une biopsie a été réalisée sous anesthésie locale dont l'examen anatomopathologique concluait à une pseudotumeur inflammatoire ulcérée comportant quelques amas atypiques nécessitant un immuno-marquage pour exclure une lésion néoplasique. L'étude immunohistochimique a été en faveur d'une localisation gingivale d'un lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules de type Burkitt, les cellules tumorales ayant exprimé le CD20. Le patient a été adressé au service d'oncologie pour une prise en charge. Le bilan biologique a montré un taux de LDH à 931UI/l, la sérologie pour le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) était négative. Le myologramme était normal et la cytoponction a confirmé le diagnostic du lymphome de Burkitt. Le bilan d'extension comprenant une tomodensitométrie cervico-thoraco-abdomino- pelvienne a mis en évidence une lésion intracrânienne ainsi des localisations hépatiques. Selon la classification d'Ann-Arbor, le patient a été classé au stade IV groupe C vu l'atteinte endocrânienne. Le traitement a inclue 5 séances de polychimiothérapie selon le protocole LMB qui se déroule en différentes phases: une cure de COP (cyclophosphamide, vincristine, prédnisone) suivie de deux cures de COPADEM (cyclophosphamide, vincristine, doxorubicine, prédnisone) et de 2 cures de CYVE (c cytarabine, étoposide), ainsi que 9 séances de radiothérapie avec une régression totale des lésions buccales à un mois de chimiothérapie. Le patient a été pris en charge pour une mise en état de la cavité buccale. Le contrôle à 2 ans a montré une rémission complète des lésions.
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La tomodensitométrie de la face a révélé un processus tumoral comblant les sinus maxillaires.
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A ce stade, le diagnostic évoqué était celui d'une tumeur maligne des maxillaires ou une leucémie aiguë.
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Une biopsie a été réalisée sous anesthésie locale dont l'examen anatomopathologique concluait à une pseudotumeur inflammatoire ulcérée comportant quelques amas atypiques nécessitant un immuno-marquage pour exclure une lésion néoplasique.
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FR100666
L'étude immunohistochimique a été en faveur d'une localisation gingivale d'un lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules de type Burkitt, les cellules tumorales ayant exprimé le CD20.
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FR100666
Le patient a été adressé au service d'oncologie pour une prise en charge.
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Un jeune homme âgé de 19 ans, sans antécédents particuliers est adressé pour des tuméfactions gingivales évoluant depuis 1 mois suite à des extractions dentaires. A l'interrogatoire, le patient rapportait un état général altéré (amaigrissement, fièvre, sueurs nocturnes, prurit généralisé) ainsi que des douleurs du membre inférieur droit. Il a rapporté avoir déjà été hospitalisé pour un bilan général qui s'est avéré normal excepté une vitesse de sédimentation élevée. Par ailleurs, il n'a pas été noté de déficit moteur ni sensitif. L'examen exobuccal a révélé une asymétrie faciale gauche avec la présence d'adénopathies cervicales à la palpation des aires ganglionnaires. L'examen clinique endobuccal a mis en évidence la présence de tuméfactions bourgeonnantes, ulcérées par endroit plus importantes au maxillaire qu'à la mandibule recouvrant les dents avec des déplacements et mobilités. Ces tuméfactions portaient l'empreinte des dents antagonistes. A la palpation, il s'agissait de tuméfactions molles et douloureuses. La radiographie panoramique montrait des lésions ostéolytiques généralisées avec un élargissement desmodontal et la disparition de la lamina dura ainsi qu'une opacité comblant la moitié inférieure du sinus maxillaire gauche. La tomodensitométrie de la face a révélé un processus tumoral comblant les sinus maxillaires. A ce stade, le diagnostic évoqué était celui d'une tumeur maligne des maxillaires ou une leucémie aiguë. Une biopsie a été réalisée sous anesthésie locale dont l'examen anatomopathologique concluait à une pseudotumeur inflammatoire ulcérée comportant quelques amas atypiques nécessitant un immuno-marquage pour exclure une lésion néoplasique. L'étude immunohistochimique a été en faveur d'une localisation gingivale d'un lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules de type Burkitt, les cellules tumorales ayant exprimé le CD20. Le patient a été adressé au service d'oncologie pour une prise en charge. Le bilan biologique a montré un taux de LDH à 931UI/l, la sérologie pour le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) était négative. Le myologramme était normal et la cytoponction a confirmé le diagnostic du lymphome de Burkitt. Le bilan d'extension comprenant une tomodensitométrie cervico-thoraco-abdomino- pelvienne a mis en évidence une lésion intracrânienne ainsi des localisations hépatiques. Selon la classification d'Ann-Arbor, le patient a été classé au stade IV groupe C vu l'atteinte endocrânienne. Le traitement a inclue 5 séances de polychimiothérapie selon le protocole LMB qui se déroule en différentes phases: une cure de COP (cyclophosphamide, vincristine, prédnisone) suivie de deux cures de COPADEM (cyclophosphamide, vincristine, doxorubicine, prédnisone) et de 2 cures de CYVE (c cytarabine, étoposide), ainsi que 9 séances de radiothérapie avec une régression totale des lésions buccales à un mois de chimiothérapie. Le patient a été pris en charge pour une mise en état de la cavité buccale. Le contrôle à 2 ans a montré une rémission complète des lésions.
FR100666
Le bilan biologique a montré un taux de LDH à 931UI/l, la sérologie pour le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) était négative.
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Un jeune homme âgé de 19 ans, sans antécédents particuliers est adressé pour des tuméfactions gingivales évoluant depuis 1 mois suite à des extractions dentaires. A l'interrogatoire, le patient rapportait un état général altéré (amaigrissement, fièvre, sueurs nocturnes, prurit généralisé) ainsi que des douleurs du membre inférieur droit. Il a rapporté avoir déjà été hospitalisé pour un bilan général qui s'est avéré normal excepté une vitesse de sédimentation élevée. Par ailleurs, il n'a pas été noté de déficit moteur ni sensitif. L'examen exobuccal a révélé une asymétrie faciale gauche avec la présence d'adénopathies cervicales à la palpation des aires ganglionnaires. L'examen clinique endobuccal a mis en évidence la présence de tuméfactions bourgeonnantes, ulcérées par endroit plus importantes au maxillaire qu'à la mandibule recouvrant les dents avec des déplacements et mobilités. Ces tuméfactions portaient l'empreinte des dents antagonistes. A la palpation, il s'agissait de tuméfactions molles et douloureuses. La radiographie panoramique montrait des lésions ostéolytiques généralisées avec un élargissement desmodontal et la disparition de la lamina dura ainsi qu'une opacité comblant la moitié inférieure du sinus maxillaire gauche. La tomodensitométrie de la face a révélé un processus tumoral comblant les sinus maxillaires. A ce stade, le diagnostic évoqué était celui d'une tumeur maligne des maxillaires ou une leucémie aiguë. Une biopsie a été réalisée sous anesthésie locale dont l'examen anatomopathologique concluait à une pseudotumeur inflammatoire ulcérée comportant quelques amas atypiques nécessitant un immuno-marquage pour exclure une lésion néoplasique. L'étude immunohistochimique a été en faveur d'une localisation gingivale d'un lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules de type Burkitt, les cellules tumorales ayant exprimé le CD20. Le patient a été adressé au service d'oncologie pour une prise en charge. Le bilan biologique a montré un taux de LDH à 931UI/l, la sérologie pour le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) était négative. Le myologramme était normal et la cytoponction a confirmé le diagnostic du lymphome de Burkitt. Le bilan d'extension comprenant une tomodensitométrie cervico-thoraco-abdomino- pelvienne a mis en évidence une lésion intracrânienne ainsi des localisations hépatiques. Selon la classification d'Ann-Arbor, le patient a été classé au stade IV groupe C vu l'atteinte endocrânienne. Le traitement a inclue 5 séances de polychimiothérapie selon le protocole LMB qui se déroule en différentes phases: une cure de COP (cyclophosphamide, vincristine, prédnisone) suivie de deux cures de COPADEM (cyclophosphamide, vincristine, doxorubicine, prédnisone) et de 2 cures de CYVE (c cytarabine, étoposide), ainsi que 9 séances de radiothérapie avec une régression totale des lésions buccales à un mois de chimiothérapie. Le patient a été pris en charge pour une mise en état de la cavité buccale. Le contrôle à 2 ans a montré une rémission complète des lésions.
FR100666
Le myologramme était normal et la cytoponction a confirmé le diagnostic du lymphome de Burkitt.
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Un jeune homme âgé de 19 ans, sans antécédents particuliers est adressé pour des tuméfactions gingivales évoluant depuis 1 mois suite à des extractions dentaires. A l'interrogatoire, le patient rapportait un état général altéré (amaigrissement, fièvre, sueurs nocturnes, prurit généralisé) ainsi que des douleurs du membre inférieur droit. Il a rapporté avoir déjà été hospitalisé pour un bilan général qui s'est avéré normal excepté une vitesse de sédimentation élevée. Par ailleurs, il n'a pas été noté de déficit moteur ni sensitif. L'examen exobuccal a révélé une asymétrie faciale gauche avec la présence d'adénopathies cervicales à la palpation des aires ganglionnaires. L'examen clinique endobuccal a mis en évidence la présence de tuméfactions bourgeonnantes, ulcérées par endroit plus importantes au maxillaire qu'à la mandibule recouvrant les dents avec des déplacements et mobilités. Ces tuméfactions portaient l'empreinte des dents antagonistes. A la palpation, il s'agissait de tuméfactions molles et douloureuses. La radiographie panoramique montrait des lésions ostéolytiques généralisées avec un élargissement desmodontal et la disparition de la lamina dura ainsi qu'une opacité comblant la moitié inférieure du sinus maxillaire gauche. La tomodensitométrie de la face a révélé un processus tumoral comblant les sinus maxillaires. A ce stade, le diagnostic évoqué était celui d'une tumeur maligne des maxillaires ou une leucémie aiguë. Une biopsie a été réalisée sous anesthésie locale dont l'examen anatomopathologique concluait à une pseudotumeur inflammatoire ulcérée comportant quelques amas atypiques nécessitant un immuno-marquage pour exclure une lésion néoplasique. L'étude immunohistochimique a été en faveur d'une localisation gingivale d'un lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules de type Burkitt, les cellules tumorales ayant exprimé le CD20. Le patient a été adressé au service d'oncologie pour une prise en charge. Le bilan biologique a montré un taux de LDH à 931UI/l, la sérologie pour le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) était négative. Le myologramme était normal et la cytoponction a confirmé le diagnostic du lymphome de Burkitt. Le bilan d'extension comprenant une tomodensitométrie cervico-thoraco-abdomino- pelvienne a mis en évidence une lésion intracrânienne ainsi des localisations hépatiques. Selon la classification d'Ann-Arbor, le patient a été classé au stade IV groupe C vu l'atteinte endocrânienne. Le traitement a inclue 5 séances de polychimiothérapie selon le protocole LMB qui se déroule en différentes phases: une cure de COP (cyclophosphamide, vincristine, prédnisone) suivie de deux cures de COPADEM (cyclophosphamide, vincristine, doxorubicine, prédnisone) et de 2 cures de CYVE (c cytarabine, étoposide), ainsi que 9 séances de radiothérapie avec une régression totale des lésions buccales à un mois de chimiothérapie. Le patient a été pris en charge pour une mise en état de la cavité buccale. Le contrôle à 2 ans a montré une rémission complète des lésions.
FR100666
Le bilan d'extension comprenant une tomodensitométrie cervico-thoraco-abdomino- pelvienne a mis en évidence une lésion intracrânienne ainsi des localisations hépatiques.
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Un jeune homme âgé de 19 ans, sans antécédents particuliers est adressé pour des tuméfactions gingivales évoluant depuis 1 mois suite à des extractions dentaires. A l'interrogatoire, le patient rapportait un état général altéré (amaigrissement, fièvre, sueurs nocturnes, prurit généralisé) ainsi que des douleurs du membre inférieur droit. Il a rapporté avoir déjà été hospitalisé pour un bilan général qui s'est avéré normal excepté une vitesse de sédimentation élevée. Par ailleurs, il n'a pas été noté de déficit moteur ni sensitif. L'examen exobuccal a révélé une asymétrie faciale gauche avec la présence d'adénopathies cervicales à la palpation des aires ganglionnaires. L'examen clinique endobuccal a mis en évidence la présence de tuméfactions bourgeonnantes, ulcérées par endroit plus importantes au maxillaire qu'à la mandibule recouvrant les dents avec des déplacements et mobilités. Ces tuméfactions portaient l'empreinte des dents antagonistes. A la palpation, il s'agissait de tuméfactions molles et douloureuses. La radiographie panoramique montrait des lésions ostéolytiques généralisées avec un élargissement desmodontal et la disparition de la lamina dura ainsi qu'une opacité comblant la moitié inférieure du sinus maxillaire gauche. La tomodensitométrie de la face a révélé un processus tumoral comblant les sinus maxillaires. A ce stade, le diagnostic évoqué était celui d'une tumeur maligne des maxillaires ou une leucémie aiguë. Une biopsie a été réalisée sous anesthésie locale dont l'examen anatomopathologique concluait à une pseudotumeur inflammatoire ulcérée comportant quelques amas atypiques nécessitant un immuno-marquage pour exclure une lésion néoplasique. L'étude immunohistochimique a été en faveur d'une localisation gingivale d'un lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules de type Burkitt, les cellules tumorales ayant exprimé le CD20. Le patient a été adressé au service d'oncologie pour une prise en charge. Le bilan biologique a montré un taux de LDH à 931UI/l, la sérologie pour le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) était négative. Le myologramme était normal et la cytoponction a confirmé le diagnostic du lymphome de Burkitt. Le bilan d'extension comprenant une tomodensitométrie cervico-thoraco-abdomino- pelvienne a mis en évidence une lésion intracrânienne ainsi des localisations hépatiques. Selon la classification d'Ann-Arbor, le patient a été classé au stade IV groupe C vu l'atteinte endocrânienne. Le traitement a inclue 5 séances de polychimiothérapie selon le protocole LMB qui se déroule en différentes phases: une cure de COP (cyclophosphamide, vincristine, prédnisone) suivie de deux cures de COPADEM (cyclophosphamide, vincristine, doxorubicine, prédnisone) et de 2 cures de CYVE (c cytarabine, étoposide), ainsi que 9 séances de radiothérapie avec une régression totale des lésions buccales à un mois de chimiothérapie. Le patient a été pris en charge pour une mise en état de la cavité buccale. Le contrôle à 2 ans a montré une rémission complète des lésions.
FR100666
Selon la classification d'Ann-Arbor, le patient a été classé au stade IV groupe C vu l'atteinte endocrânienne.
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FR100666
Le traitement a inclue 5 séances de polychimiothérapie selon le protocole LMB qui se déroule en différentes phases: une cure de COP (cyclophosphamide, vincristine, prédnisone) suivie de deux cures de COPADEM (cyclophosphamide, vincristine, doxorubicine, prédnisone) et de 2 cures de CYVE (c cytarabine, étoposide), ainsi que 9 séances de radiothérapie avec une régression totale des lésions buccales à un mois de chimiothérapie.
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Le patient a été pris en charge pour une mise en état de la cavité buccale.
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Un jeune homme âgé de 19 ans, sans antécédents particuliers est adressé pour des tuméfactions gingivales évoluant depuis 1 mois suite à des extractions dentaires. A l'interrogatoire, le patient rapportait un état général altéré (amaigrissement, fièvre, sueurs nocturnes, prurit généralisé) ainsi que des douleurs du membre inférieur droit. Il a rapporté avoir déjà été hospitalisé pour un bilan général qui s'est avéré normal excepté une vitesse de sédimentation élevée. Par ailleurs, il n'a pas été noté de déficit moteur ni sensitif. L'examen exobuccal a révélé une asymétrie faciale gauche avec la présence d'adénopathies cervicales à la palpation des aires ganglionnaires. L'examen clinique endobuccal a mis en évidence la présence de tuméfactions bourgeonnantes, ulcérées par endroit plus importantes au maxillaire qu'à la mandibule recouvrant les dents avec des déplacements et mobilités. Ces tuméfactions portaient l'empreinte des dents antagonistes. A la palpation, il s'agissait de tuméfactions molles et douloureuses. La radiographie panoramique montrait des lésions ostéolytiques généralisées avec un élargissement desmodontal et la disparition de la lamina dura ainsi qu'une opacité comblant la moitié inférieure du sinus maxillaire gauche. La tomodensitométrie de la face a révélé un processus tumoral comblant les sinus maxillaires. A ce stade, le diagnostic évoqué était celui d'une tumeur maligne des maxillaires ou une leucémie aiguë. Une biopsie a été réalisée sous anesthésie locale dont l'examen anatomopathologique concluait à une pseudotumeur inflammatoire ulcérée comportant quelques amas atypiques nécessitant un immuno-marquage pour exclure une lésion néoplasique. L'étude immunohistochimique a été en faveur d'une localisation gingivale d'un lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules de type Burkitt, les cellules tumorales ayant exprimé le CD20. Le patient a été adressé au service d'oncologie pour une prise en charge. Le bilan biologique a montré un taux de LDH à 931UI/l, la sérologie pour le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) était négative. Le myologramme était normal et la cytoponction a confirmé le diagnostic du lymphome de Burkitt. Le bilan d'extension comprenant une tomodensitométrie cervico-thoraco-abdomino- pelvienne a mis en évidence une lésion intracrânienne ainsi des localisations hépatiques. Selon la classification d'Ann-Arbor, le patient a été classé au stade IV groupe C vu l'atteinte endocrânienne. Le traitement a inclue 5 séances de polychimiothérapie selon le protocole LMB qui se déroule en différentes phases: une cure de COP (cyclophosphamide, vincristine, prédnisone) suivie de deux cures de COPADEM (cyclophosphamide, vincristine, doxorubicine, prédnisone) et de 2 cures de CYVE (c cytarabine, étoposide), ainsi que 9 séances de radiothérapie avec une régression totale des lésions buccales à un mois de chimiothérapie. Le patient a été pris en charge pour une mise en état de la cavité buccale. Le contrôle à 2 ans a montré une rémission complète des lésions.
FR100666
Le contrôle à 2 ans a montré une rémission complète des lésions.
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Un jeune homme âgé de 19 ans, sans antécédents particuliers est adressé pour des tuméfactions gingivales évoluant depuis 1 mois suite à des extractions dentaires. A l'interrogatoire, le patient rapportait un état général altéré (amaigrissement, fièvre, sueurs nocturnes, prurit généralisé) ainsi que des douleurs du membre inférieur droit. Il a rapporté avoir déjà été hospitalisé pour un bilan général qui s'est avéré normal excepté une vitesse de sédimentation élevée. Par ailleurs, il n'a pas été noté de déficit moteur ni sensitif. L'examen exobuccal a révélé une asymétrie faciale gauche avec la présence d'adénopathies cervicales à la palpation des aires ganglionnaires. L'examen clinique endobuccal a mis en évidence la présence de tuméfactions bourgeonnantes, ulcérées par endroit plus importantes au maxillaire qu'à la mandibule recouvrant les dents avec des déplacements et mobilités. Ces tuméfactions portaient l'empreinte des dents antagonistes. A la palpation, il s'agissait de tuméfactions molles et douloureuses. La radiographie panoramique montrait des lésions ostéolytiques généralisées avec un élargissement desmodontal et la disparition de la lamina dura ainsi qu'une opacité comblant la moitié inférieure du sinus maxillaire gauche. La tomodensitométrie de la face a révélé un processus tumoral comblant les sinus maxillaires. A ce stade, le diagnostic évoqué était celui d'une tumeur maligne des maxillaires ou une leucémie aiguë. Une biopsie a été réalisée sous anesthésie locale dont l'examen anatomopathologique concluait à une pseudotumeur inflammatoire ulcérée comportant quelques amas atypiques nécessitant un immuno-marquage pour exclure une lésion néoplasique. L'étude immunohistochimique a été en faveur d'une localisation gingivale d'un lymphome malin non hodgkinien à grandes cellules de type Burkitt, les cellules tumorales ayant exprimé le CD20. Le patient a été adressé au service d'oncologie pour une prise en charge. Le bilan biologique a montré un taux de LDH à 931UI/l, la sérologie pour le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) était négative. Le myologramme était normal et la cytoponction a confirmé le diagnostic du lymphome de Burkitt. Le bilan d'extension comprenant une tomodensitométrie cervico-thoraco-abdomino- pelvienne a mis en évidence une lésion intracrânienne ainsi des localisations hépatiques. Selon la classification d'Ann-Arbor, le patient a été classé au stade IV groupe C vu l'atteinte endocrânienne. Le traitement a inclue 5 séances de polychimiothérapie selon le protocole LMB qui se déroule en différentes phases: une cure de COP (cyclophosphamide, vincristine, prédnisone) suivie de deux cures de COPADEM (cyclophosphamide, vincristine, doxorubicine, prédnisone) et de 2 cures de CYVE (c cytarabine, étoposide), ainsi que 9 séances de radiothérapie avec une régression totale des lésions buccales à un mois de chimiothérapie. Le patient a été pris en charge pour une mise en état de la cavité buccale. Le contrôle à 2 ans a montré une rémission complète des lésions.
FR100666
Patient âgé de 54 ans qui a présenté 6 mois avant son admission un nodule de la cloison nasale de la narine droite saignant au contact et après éternuement dans un contexte de conservation de l'état général.
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Patient âgé de 54 ans qui a présenté 6 mois avant son admission un nodule de la cloison nasale de la narine droite saignant au contact et après éternuement dans un contexte de conservation de l'état général. La TDM faciale initiale avait montré un épaississement de la muqueuse de la cloison nasale de surface polyploïde de 14mm d'épaisseur. La biopsie exérèse avait montré une prolifération tumorale faite de cellule d'allure plasmablastique, CD138+, ki67 80%, EMA+, CD79a+, CD56+. Le bilan d'extension et la sérologie HIV étaient négatifs. Notre patient avait reçu 6 cures de chimiothérapie type CHOEP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine, étoposide, prednisone) associé à une radiothérapie 40 gray en 20 fractions de 2 gray. L'évolution était marquée par une rémission complète de sa maladie.
FR100883
La TDM faciale initiale avait montré un épaississement de la muqueuse de la cloison nasale de surface polyploïde de 14mm d'épaisseur.
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Patient âgé de 54 ans qui a présenté 6 mois avant son admission un nodule de la cloison nasale de la narine droite saignant au contact et après éternuement dans un contexte de conservation de l'état général. La TDM faciale initiale avait montré un épaississement de la muqueuse de la cloison nasale de surface polyploïde de 14mm d'épaisseur. La biopsie exérèse avait montré une prolifération tumorale faite de cellule d'allure plasmablastique, CD138+, ki67 80%, EMA+, CD79a+, CD56+. Le bilan d'extension et la sérologie HIV étaient négatifs. Notre patient avait reçu 6 cures de chimiothérapie type CHOEP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine, étoposide, prednisone) associé à une radiothérapie 40 gray en 20 fractions de 2 gray. L'évolution était marquée par une rémission complète de sa maladie.
FR100883
La biopsie exérèse avait montré une prolifération tumorale faite de cellule d'allure plasmablastique, CD138+, ki67 80%, EMA+, CD79a+, CD56+.
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Patient âgé de 54 ans qui a présenté 6 mois avant son admission un nodule de la cloison nasale de la narine droite saignant au contact et après éternuement dans un contexte de conservation de l'état général. La TDM faciale initiale avait montré un épaississement de la muqueuse de la cloison nasale de surface polyploïde de 14mm d'épaisseur. La biopsie exérèse avait montré une prolifération tumorale faite de cellule d'allure plasmablastique, CD138+, ki67 80%, EMA+, CD79a+, CD56+. Le bilan d'extension et la sérologie HIV étaient négatifs. Notre patient avait reçu 6 cures de chimiothérapie type CHOEP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine, étoposide, prednisone) associé à une radiothérapie 40 gray en 20 fractions de 2 gray. L'évolution était marquée par une rémission complète de sa maladie.
FR100883
Le bilan d'extension et la sérologie HIV étaient négatifs.
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Patient âgé de 54 ans qui a présenté 6 mois avant son admission un nodule de la cloison nasale de la narine droite saignant au contact et après éternuement dans un contexte de conservation de l'état général. La TDM faciale initiale avait montré un épaississement de la muqueuse de la cloison nasale de surface polyploïde de 14mm d'épaisseur. La biopsie exérèse avait montré une prolifération tumorale faite de cellule d'allure plasmablastique, CD138+, ki67 80%, EMA+, CD79a+, CD56+. Le bilan d'extension et la sérologie HIV étaient négatifs. Notre patient avait reçu 6 cures de chimiothérapie type CHOEP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine, étoposide, prednisone) associé à une radiothérapie 40 gray en 20 fractions de 2 gray. L'évolution était marquée par une rémission complète de sa maladie.
FR100883
Notre patient avait reçu 6 cures de chimiothérapie type CHOEP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine, étoposide, prednisone) associé à une radiothérapie 40 gray en 20 fractions de 2 gray.
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Patient âgé de 54 ans qui a présenté 6 mois avant son admission un nodule de la cloison nasale de la narine droite saignant au contact et après éternuement dans un contexte de conservation de l'état général. La TDM faciale initiale avait montré un épaississement de la muqueuse de la cloison nasale de surface polyploïde de 14mm d'épaisseur. La biopsie exérèse avait montré une prolifération tumorale faite de cellule d'allure plasmablastique, CD138+, ki67 80%, EMA+, CD79a+, CD56+. Le bilan d'extension et la sérologie HIV étaient négatifs. Notre patient avait reçu 6 cures de chimiothérapie type CHOEP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine, étoposide, prednisone) associé à une radiothérapie 40 gray en 20 fractions de 2 gray. L'évolution était marquée par une rémission complète de sa maladie.
FR100883
L'évolution était marquée par une rémission complète de sa maladie.
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Patient âgé de 54 ans qui a présenté 6 mois avant son admission un nodule de la cloison nasale de la narine droite saignant au contact et après éternuement dans un contexte de conservation de l'état général. La TDM faciale initiale avait montré un épaississement de la muqueuse de la cloison nasale de surface polyploïde de 14mm d'épaisseur. La biopsie exérèse avait montré une prolifération tumorale faite de cellule d'allure plasmablastique, CD138+, ki67 80%, EMA+, CD79a+, CD56+. Le bilan d'extension et la sérologie HIV étaient négatifs. Notre patient avait reçu 6 cures de chimiothérapie type CHOEP (cyclophosphamide, doxorubicine, vincristine, étoposide, prednisone) associé à une radiothérapie 40 gray en 20 fractions de 2 gray. L'évolution était marquée par une rémission complète de sa maladie.
FR100883
M.J Patient Tunisien âgé de 42 ans est connu porteur de la MB depuis l'âge de 27 ans.
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M.J Patient Tunisien âgé de 42 ans est connu porteur de la MB depuis l'âge de 27 ans. Le diagnostic était posé devant l'association d'une aphtose buccale récidivante à des aphtes génitaux, des pseudofolliculites nécrotiques, une thrombophlébite du membre inférieur gauche et un Pathergy test positif. Le patient était traité au long cours par colchicine, aspirine et prednisone à faible dose (10 mg/j). Il présentait des ulcères des deux jambes récidivants et invalidants nécessitant l'hospitalisation à plusieurs reprises. A chaque fois les récidives de l'ulcère s'associaient à une poussée cutanéo-muqueuse de la maladie avec notion d'arrêt intempestif de traitement. L'examen clinique au moment de ces hospitalisations ne trouvait pas de signes de thrombophlébites superficielles au niveau des jambes et les pouls tibiaux postérieurs et pédieux étaient présents. Le doppler veineux des membres inférieurs n'a pas montré de signes d'insuffisance veineuse ni de thrombose profonde concomitante. Le doppler artériel n'a pas montré non plus de signes d'artériopathie sous-jacente. L'indice de pression systolique était à 1,2. La biopsie cutanée réalisée au niveau des berges de l'ulcération montrait des signes de vascularite dermique leucocytoclasique avec des micro-thromboses et une infiltration inflammatoire lymphocytaire du derme profond. Le patient avait présenté plusieurs épisodes de surinfection des ulcérations nécessitant le recours aux antibiotiques. La dernière était à pseudomonas aéroginosa. Le diagnostic de ces infections était porté sur un ensemble de signes clinico-biologiques: fièvre septicémique, présence de pus à l'examen local, une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles et une C-réactive protéine élevée éliminant ainsi une simple colonisation bactérienne d'ulcère. Avec les traitements locaux, l'antibiothérapie adaptée et la reprise de la colchicine et des glucocorticoïdes l'évolution se faisait vers la cicatrisation complète des ulcérations mais les récidives étaient fréquentes et toujours en rapport avec la mauvaise observance thérapeutique.
FR100078
Le diagnostic était posé devant l'association d'une aphtose buccale récidivante à des aphtes génitaux, des pseudofolliculites nécrotiques, une thrombophlébite du membre inférieur gauche et un Pathergy test positif.
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M.J Patient Tunisien âgé de 42 ans est connu porteur de la MB depuis l'âge de 27 ans. Le diagnostic était posé devant l'association d'une aphtose buccale récidivante à des aphtes génitaux, des pseudofolliculites nécrotiques, une thrombophlébite du membre inférieur gauche et un Pathergy test positif. Le patient était traité au long cours par colchicine, aspirine et prednisone à faible dose (10 mg/j). Il présentait des ulcères des deux jambes récidivants et invalidants nécessitant l'hospitalisation à plusieurs reprises. A chaque fois les récidives de l'ulcère s'associaient à une poussée cutanéo-muqueuse de la maladie avec notion d'arrêt intempestif de traitement. L'examen clinique au moment de ces hospitalisations ne trouvait pas de signes de thrombophlébites superficielles au niveau des jambes et les pouls tibiaux postérieurs et pédieux étaient présents. Le doppler veineux des membres inférieurs n'a pas montré de signes d'insuffisance veineuse ni de thrombose profonde concomitante. Le doppler artériel n'a pas montré non plus de signes d'artériopathie sous-jacente. L'indice de pression systolique était à 1,2. La biopsie cutanée réalisée au niveau des berges de l'ulcération montrait des signes de vascularite dermique leucocytoclasique avec des micro-thromboses et une infiltration inflammatoire lymphocytaire du derme profond. Le patient avait présenté plusieurs épisodes de surinfection des ulcérations nécessitant le recours aux antibiotiques. La dernière était à pseudomonas aéroginosa. Le diagnostic de ces infections était porté sur un ensemble de signes clinico-biologiques: fièvre septicémique, présence de pus à l'examen local, une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles et une C-réactive protéine élevée éliminant ainsi une simple colonisation bactérienne d'ulcère. Avec les traitements locaux, l'antibiothérapie adaptée et la reprise de la colchicine et des glucocorticoïdes l'évolution se faisait vers la cicatrisation complète des ulcérations mais les récidives étaient fréquentes et toujours en rapport avec la mauvaise observance thérapeutique.
FR100078
Le patient était traité au long cours par colchicine, aspirine et prednisone à faible dose (10 mg/j).
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M.J Patient Tunisien âgé de 42 ans est connu porteur de la MB depuis l'âge de 27 ans. Le diagnostic était posé devant l'association d'une aphtose buccale récidivante à des aphtes génitaux, des pseudofolliculites nécrotiques, une thrombophlébite du membre inférieur gauche et un Pathergy test positif. Le patient était traité au long cours par colchicine, aspirine et prednisone à faible dose (10 mg/j). Il présentait des ulcères des deux jambes récidivants et invalidants nécessitant l'hospitalisation à plusieurs reprises. A chaque fois les récidives de l'ulcère s'associaient à une poussée cutanéo-muqueuse de la maladie avec notion d'arrêt intempestif de traitement. L'examen clinique au moment de ces hospitalisations ne trouvait pas de signes de thrombophlébites superficielles au niveau des jambes et les pouls tibiaux postérieurs et pédieux étaient présents. Le doppler veineux des membres inférieurs n'a pas montré de signes d'insuffisance veineuse ni de thrombose profonde concomitante. Le doppler artériel n'a pas montré non plus de signes d'artériopathie sous-jacente. L'indice de pression systolique était à 1,2. La biopsie cutanée réalisée au niveau des berges de l'ulcération montrait des signes de vascularite dermique leucocytoclasique avec des micro-thromboses et une infiltration inflammatoire lymphocytaire du derme profond. Le patient avait présenté plusieurs épisodes de surinfection des ulcérations nécessitant le recours aux antibiotiques. La dernière était à pseudomonas aéroginosa. Le diagnostic de ces infections était porté sur un ensemble de signes clinico-biologiques: fièvre septicémique, présence de pus à l'examen local, une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles et une C-réactive protéine élevée éliminant ainsi une simple colonisation bactérienne d'ulcère. Avec les traitements locaux, l'antibiothérapie adaptée et la reprise de la colchicine et des glucocorticoïdes l'évolution se faisait vers la cicatrisation complète des ulcérations mais les récidives étaient fréquentes et toujours en rapport avec la mauvaise observance thérapeutique.
FR100078
Il présentait des ulcères des deux jambes récidivants et invalidants nécessitant l'hospitalisation à plusieurs reprises.
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M.J Patient Tunisien âgé de 42 ans est connu porteur de la MB depuis l'âge de 27 ans. Le diagnostic était posé devant l'association d'une aphtose buccale récidivante à des aphtes génitaux, des pseudofolliculites nécrotiques, une thrombophlébite du membre inférieur gauche et un Pathergy test positif. Le patient était traité au long cours par colchicine, aspirine et prednisone à faible dose (10 mg/j). Il présentait des ulcères des deux jambes récidivants et invalidants nécessitant l'hospitalisation à plusieurs reprises. A chaque fois les récidives de l'ulcère s'associaient à une poussée cutanéo-muqueuse de la maladie avec notion d'arrêt intempestif de traitement. L'examen clinique au moment de ces hospitalisations ne trouvait pas de signes de thrombophlébites superficielles au niveau des jambes et les pouls tibiaux postérieurs et pédieux étaient présents. Le doppler veineux des membres inférieurs n'a pas montré de signes d'insuffisance veineuse ni de thrombose profonde concomitante. Le doppler artériel n'a pas montré non plus de signes d'artériopathie sous-jacente. L'indice de pression systolique était à 1,2. La biopsie cutanée réalisée au niveau des berges de l'ulcération montrait des signes de vascularite dermique leucocytoclasique avec des micro-thromboses et une infiltration inflammatoire lymphocytaire du derme profond. Le patient avait présenté plusieurs épisodes de surinfection des ulcérations nécessitant le recours aux antibiotiques. La dernière était à pseudomonas aéroginosa. Le diagnostic de ces infections était porté sur un ensemble de signes clinico-biologiques: fièvre septicémique, présence de pus à l'examen local, une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles et une C-réactive protéine élevée éliminant ainsi une simple colonisation bactérienne d'ulcère. Avec les traitements locaux, l'antibiothérapie adaptée et la reprise de la colchicine et des glucocorticoïdes l'évolution se faisait vers la cicatrisation complète des ulcérations mais les récidives étaient fréquentes et toujours en rapport avec la mauvaise observance thérapeutique.
FR100078
A chaque fois les récidives de l'ulcère s'associaient à une poussée cutanéo-muqueuse de la maladie avec notion d'arrêt intempestif de traitement.
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M.J Patient Tunisien âgé de 42 ans est connu porteur de la MB depuis l'âge de 27 ans. Le diagnostic était posé devant l'association d'une aphtose buccale récidivante à des aphtes génitaux, des pseudofolliculites nécrotiques, une thrombophlébite du membre inférieur gauche et un Pathergy test positif. Le patient était traité au long cours par colchicine, aspirine et prednisone à faible dose (10 mg/j). Il présentait des ulcères des deux jambes récidivants et invalidants nécessitant l'hospitalisation à plusieurs reprises. A chaque fois les récidives de l'ulcère s'associaient à une poussée cutanéo-muqueuse de la maladie avec notion d'arrêt intempestif de traitement. L'examen clinique au moment de ces hospitalisations ne trouvait pas de signes de thrombophlébites superficielles au niveau des jambes et les pouls tibiaux postérieurs et pédieux étaient présents. Le doppler veineux des membres inférieurs n'a pas montré de signes d'insuffisance veineuse ni de thrombose profonde concomitante. Le doppler artériel n'a pas montré non plus de signes d'artériopathie sous-jacente. L'indice de pression systolique était à 1,2. La biopsie cutanée réalisée au niveau des berges de l'ulcération montrait des signes de vascularite dermique leucocytoclasique avec des micro-thromboses et une infiltration inflammatoire lymphocytaire du derme profond. Le patient avait présenté plusieurs épisodes de surinfection des ulcérations nécessitant le recours aux antibiotiques. La dernière était à pseudomonas aéroginosa. Le diagnostic de ces infections était porté sur un ensemble de signes clinico-biologiques: fièvre septicémique, présence de pus à l'examen local, une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles et une C-réactive protéine élevée éliminant ainsi une simple colonisation bactérienne d'ulcère. Avec les traitements locaux, l'antibiothérapie adaptée et la reprise de la colchicine et des glucocorticoïdes l'évolution se faisait vers la cicatrisation complète des ulcérations mais les récidives étaient fréquentes et toujours en rapport avec la mauvaise observance thérapeutique.
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L'examen clinique au moment de ces hospitalisations ne trouvait pas de signes de thrombophlébites superficielles au niveau des jambes et les pouls tibiaux postérieurs et pédieux étaient présents.
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Le doppler veineux des membres inférieurs n'a pas montré de signes d'insuffisance veineuse ni de thrombose profonde concomitante.
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Le doppler artériel n'a pas montré non plus de signes d'artériopathie sous-jacente.
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La biopsie cutanée réalisée au niveau des berges de l'ulcération montrait des signes de vascularite dermique leucocytoclasique avec des micro-thromboses et une infiltration inflammatoire lymphocytaire du derme profond.
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FR100078
Le diagnostic de ces infections était porté sur un ensemble de signes clinico-biologiques: fièvre septicémique, présence de pus à l'examen local, une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles et une C-réactive protéine élevée éliminant ainsi une simple colonisation bactérienne d'ulcère.
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M.J Patient Tunisien âgé de 42 ans est connu porteur de la MB depuis l'âge de 27 ans. Le diagnostic était posé devant l'association d'une aphtose buccale récidivante à des aphtes génitaux, des pseudofolliculites nécrotiques, une thrombophlébite du membre inférieur gauche et un Pathergy test positif. Le patient était traité au long cours par colchicine, aspirine et prednisone à faible dose (10 mg/j). Il présentait des ulcères des deux jambes récidivants et invalidants nécessitant l'hospitalisation à plusieurs reprises. A chaque fois les récidives de l'ulcère s'associaient à une poussée cutanéo-muqueuse de la maladie avec notion d'arrêt intempestif de traitement. L'examen clinique au moment de ces hospitalisations ne trouvait pas de signes de thrombophlébites superficielles au niveau des jambes et les pouls tibiaux postérieurs et pédieux étaient présents. Le doppler veineux des membres inférieurs n'a pas montré de signes d'insuffisance veineuse ni de thrombose profonde concomitante. Le doppler artériel n'a pas montré non plus de signes d'artériopathie sous-jacente. L'indice de pression systolique était à 1,2. La biopsie cutanée réalisée au niveau des berges de l'ulcération montrait des signes de vascularite dermique leucocytoclasique avec des micro-thromboses et une infiltration inflammatoire lymphocytaire du derme profond. Le patient avait présenté plusieurs épisodes de surinfection des ulcérations nécessitant le recours aux antibiotiques. La dernière était à pseudomonas aéroginosa. Le diagnostic de ces infections était porté sur un ensemble de signes clinico-biologiques: fièvre septicémique, présence de pus à l'examen local, une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles et une C-réactive protéine élevée éliminant ainsi une simple colonisation bactérienne d'ulcère. Avec les traitements locaux, l'antibiothérapie adaptée et la reprise de la colchicine et des glucocorticoïdes l'évolution se faisait vers la cicatrisation complète des ulcérations mais les récidives étaient fréquentes et toujours en rapport avec la mauvaise observance thérapeutique.
FR100078
Avec les traitements locaux, l'antibiothérapie adaptée et la reprise de la colchicine et des glucocorticoïdes l'évolution se faisait vers la cicatrisation complète des ulcérations mais les récidives étaient fréquentes et toujours en rapport avec la mauvaise observance thérapeutique.
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M.J Patient Tunisien âgé de 42 ans est connu porteur de la MB depuis l'âge de 27 ans. Le diagnostic était posé devant l'association d'une aphtose buccale récidivante à des aphtes génitaux, des pseudofolliculites nécrotiques, une thrombophlébite du membre inférieur gauche et un Pathergy test positif. Le patient était traité au long cours par colchicine, aspirine et prednisone à faible dose (10 mg/j). Il présentait des ulcères des deux jambes récidivants et invalidants nécessitant l'hospitalisation à plusieurs reprises. A chaque fois les récidives de l'ulcère s'associaient à une poussée cutanéo-muqueuse de la maladie avec notion d'arrêt intempestif de traitement. L'examen clinique au moment de ces hospitalisations ne trouvait pas de signes de thrombophlébites superficielles au niveau des jambes et les pouls tibiaux postérieurs et pédieux étaient présents. Le doppler veineux des membres inférieurs n'a pas montré de signes d'insuffisance veineuse ni de thrombose profonde concomitante. Le doppler artériel n'a pas montré non plus de signes d'artériopathie sous-jacente. L'indice de pression systolique était à 1,2. La biopsie cutanée réalisée au niveau des berges de l'ulcération montrait des signes de vascularite dermique leucocytoclasique avec des micro-thromboses et une infiltration inflammatoire lymphocytaire du derme profond. Le patient avait présenté plusieurs épisodes de surinfection des ulcérations nécessitant le recours aux antibiotiques. La dernière était à pseudomonas aéroginosa. Le diagnostic de ces infections était porté sur un ensemble de signes clinico-biologiques: fièvre septicémique, présence de pus à l'examen local, une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles et une C-réactive protéine élevée éliminant ainsi une simple colonisation bactérienne d'ulcère. Avec les traitements locaux, l'antibiothérapie adaptée et la reprise de la colchicine et des glucocorticoïdes l'évolution se faisait vers la cicatrisation complète des ulcérations mais les récidives étaient fréquentes et toujours en rapport avec la mauvaise observance thérapeutique.
FR100078
Il s'agit de Mme HK, âgée de 27 ans, mariée depuis 1 an et demi, nullipare admise dans notre formation pour prise en charge d'une douleur de la fosse iliaque droite apparue depuis 1 semaine associée à des métrorragies sur aménorrhée de 2 mois.
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Il s'agit de Mme HK, âgée de 27 ans, mariée depuis 1 an et demi, nullipare admise dans notre formation pour prise en charge d'une douleur de la fosse iliaque droite apparue depuis 1 semaine associée à des métrorragies sur aménorrhée de 2 mois. L'examen à l'admission trouve une patiente apyrétique, les conjonctives normocolorées, avec une tension artérielle à 10/6 et une fréquence cardiaque à 80 battements par minute. L'examen abdominal trouve une sensibilité pelvienne bilatérale accentuée à droite. L'examen gynécologique objective un col d'aspect normal, un saignement minime et noirâtre provenant de l'endocol, un utérus de taille normal avec un empâtement latéroutérin droit sensible sans cri de douglas. A l'échographie pelvienne: l'utérus est de taille normal avec une ligne d'interface qui est suivie jusqu'au fond, présence d'une masse latéroutérine droite mal systématisée faisant 89/60mm, l'ovaire gauche est visualisé siège d'une image anéchogène kystique simple de 42/42mm. Para ailleurs un épanchement de moyenne abondance est noté. Le taux de β-HCG (hormone gonadotrophique chorionique) plasmatique est revenu positif à 1437 UI/l. Le tableau évoque en premier le diagnostic de grossesse extra utérine droite. Le reste du bilan biologique révèle une hémoglobine à 11,4 g/dl, des globules blancs à 7530/mm 3. La patiente bénéficie donc d'une minilaparotomie transversale: A l'exploration, présence d'un hémopéritoine de 700cc, avec découverte d'une grossesse extrautérine en voie d'organisation avec trompe droite boudinée, et perforée, d'où la décision de rélaiser une salpingectomie droite rétrograde. Le reste de l'exploration révèle des adhérences interhépatodia phragmatiques avec un appendice enflé accolé à la masse latéroutérine, une appendicectomie est réalisée. L'étude anatomopathologiaque révèle une grossesse tubaire perforée avec une appendicite aigue suppurée avec réaction péritonéale locale. Les suites post opératoires sont sans particularités et la patiente est déclarée sortante au 3 ème jour.
FR100092
L'examen à l'admission trouve une patiente apyrétique, les conjonctives normocolorées, avec une tension artérielle à 10/6 et une fréquence cardiaque à 80 battements par minute.
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Il s'agit de Mme HK, âgée de 27 ans, mariée depuis 1 an et demi, nullipare admise dans notre formation pour prise en charge d'une douleur de la fosse iliaque droite apparue depuis 1 semaine associée à des métrorragies sur aménorrhée de 2 mois. L'examen à l'admission trouve une patiente apyrétique, les conjonctives normocolorées, avec une tension artérielle à 10/6 et une fréquence cardiaque à 80 battements par minute. L'examen abdominal trouve une sensibilité pelvienne bilatérale accentuée à droite. L'examen gynécologique objective un col d'aspect normal, un saignement minime et noirâtre provenant de l'endocol, un utérus de taille normal avec un empâtement latéroutérin droit sensible sans cri de douglas. A l'échographie pelvienne: l'utérus est de taille normal avec une ligne d'interface qui est suivie jusqu'au fond, présence d'une masse latéroutérine droite mal systématisée faisant 89/60mm, l'ovaire gauche est visualisé siège d'une image anéchogène kystique simple de 42/42mm. Para ailleurs un épanchement de moyenne abondance est noté. Le taux de β-HCG (hormone gonadotrophique chorionique) plasmatique est revenu positif à 1437 UI/l. Le tableau évoque en premier le diagnostic de grossesse extra utérine droite. Le reste du bilan biologique révèle une hémoglobine à 11,4 g/dl, des globules blancs à 7530/mm 3. La patiente bénéficie donc d'une minilaparotomie transversale: A l'exploration, présence d'un hémopéritoine de 700cc, avec découverte d'une grossesse extrautérine en voie d'organisation avec trompe droite boudinée, et perforée, d'où la décision de rélaiser une salpingectomie droite rétrograde. Le reste de l'exploration révèle des adhérences interhépatodia phragmatiques avec un appendice enflé accolé à la masse latéroutérine, une appendicectomie est réalisée. L'étude anatomopathologiaque révèle une grossesse tubaire perforée avec une appendicite aigue suppurée avec réaction péritonéale locale. Les suites post opératoires sont sans particularités et la patiente est déclarée sortante au 3 ème jour.
FR100092
L'examen abdominal trouve une sensibilité pelvienne bilatérale accentuée à droite.
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Il s'agit de Mme HK, âgée de 27 ans, mariée depuis 1 an et demi, nullipare admise dans notre formation pour prise en charge d'une douleur de la fosse iliaque droite apparue depuis 1 semaine associée à des métrorragies sur aménorrhée de 2 mois. L'examen à l'admission trouve une patiente apyrétique, les conjonctives normocolorées, avec une tension artérielle à 10/6 et une fréquence cardiaque à 80 battements par minute. L'examen abdominal trouve une sensibilité pelvienne bilatérale accentuée à droite. L'examen gynécologique objective un col d'aspect normal, un saignement minime et noirâtre provenant de l'endocol, un utérus de taille normal avec un empâtement latéroutérin droit sensible sans cri de douglas. A l'échographie pelvienne: l'utérus est de taille normal avec une ligne d'interface qui est suivie jusqu'au fond, présence d'une masse latéroutérine droite mal systématisée faisant 89/60mm, l'ovaire gauche est visualisé siège d'une image anéchogène kystique simple de 42/42mm. Para ailleurs un épanchement de moyenne abondance est noté. Le taux de β-HCG (hormone gonadotrophique chorionique) plasmatique est revenu positif à 1437 UI/l. Le tableau évoque en premier le diagnostic de grossesse extra utérine droite. Le reste du bilan biologique révèle une hémoglobine à 11,4 g/dl, des globules blancs à 7530/mm 3. La patiente bénéficie donc d'une minilaparotomie transversale: A l'exploration, présence d'un hémopéritoine de 700cc, avec découverte d'une grossesse extrautérine en voie d'organisation avec trompe droite boudinée, et perforée, d'où la décision de rélaiser une salpingectomie droite rétrograde. Le reste de l'exploration révèle des adhérences interhépatodia phragmatiques avec un appendice enflé accolé à la masse latéroutérine, une appendicectomie est réalisée. L'étude anatomopathologiaque révèle une grossesse tubaire perforée avec une appendicite aigue suppurée avec réaction péritonéale locale. Les suites post opératoires sont sans particularités et la patiente est déclarée sortante au 3 ème jour.
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L'examen gynécologique objective un col d'aspect normal, un saignement minime et noirâtre provenant de l'endocol, un utérus de taille normal avec un empâtement latéroutérin droit sensible sans cri de douglas.
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A l'échographie pelvienne: l'utérus est de taille normal avec une ligne d'interface qui est suivie jusqu'au fond, présence d'une masse latéroutérine droite mal systématisée faisant 89/60mm, l'ovaire gauche est visualisé siège d'une image anéchogène kystique simple de 42/42mm.
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Il s'agit de Mme HK, âgée de 27 ans, mariée depuis 1 an et demi, nullipare admise dans notre formation pour prise en charge d'une douleur de la fosse iliaque droite apparue depuis 1 semaine associée à des métrorragies sur aménorrhée de 2 mois. L'examen à l'admission trouve une patiente apyrétique, les conjonctives normocolorées, avec une tension artérielle à 10/6 et une fréquence cardiaque à 80 battements par minute. L'examen abdominal trouve une sensibilité pelvienne bilatérale accentuée à droite. L'examen gynécologique objective un col d'aspect normal, un saignement minime et noirâtre provenant de l'endocol, un utérus de taille normal avec un empâtement latéroutérin droit sensible sans cri de douglas. A l'échographie pelvienne: l'utérus est de taille normal avec une ligne d'interface qui est suivie jusqu'au fond, présence d'une masse latéroutérine droite mal systématisée faisant 89/60mm, l'ovaire gauche est visualisé siège d'une image anéchogène kystique simple de 42/42mm. Para ailleurs un épanchement de moyenne abondance est noté. Le taux de β-HCG (hormone gonadotrophique chorionique) plasmatique est revenu positif à 1437 UI/l. Le tableau évoque en premier le diagnostic de grossesse extra utérine droite. Le reste du bilan biologique révèle une hémoglobine à 11,4 g/dl, des globules blancs à 7530/mm 3. La patiente bénéficie donc d'une minilaparotomie transversale: A l'exploration, présence d'un hémopéritoine de 700cc, avec découverte d'une grossesse extrautérine en voie d'organisation avec trompe droite boudinée, et perforée, d'où la décision de rélaiser une salpingectomie droite rétrograde. Le reste de l'exploration révèle des adhérences interhépatodia phragmatiques avec un appendice enflé accolé à la masse latéroutérine, une appendicectomie est réalisée. L'étude anatomopathologiaque révèle une grossesse tubaire perforée avec une appendicite aigue suppurée avec réaction péritonéale locale. Les suites post opératoires sont sans particularités et la patiente est déclarée sortante au 3 ème jour.
FR100092
Para ailleurs un épanchement de moyenne abondance est noté.
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Il s'agit de Mme HK, âgée de 27 ans, mariée depuis 1 an et demi, nullipare admise dans notre formation pour prise en charge d'une douleur de la fosse iliaque droite apparue depuis 1 semaine associée à des métrorragies sur aménorrhée de 2 mois. L'examen à l'admission trouve une patiente apyrétique, les conjonctives normocolorées, avec une tension artérielle à 10/6 et une fréquence cardiaque à 80 battements par minute. L'examen abdominal trouve une sensibilité pelvienne bilatérale accentuée à droite. L'examen gynécologique objective un col d'aspect normal, un saignement minime et noirâtre provenant de l'endocol, un utérus de taille normal avec un empâtement latéroutérin droit sensible sans cri de douglas. A l'échographie pelvienne: l'utérus est de taille normal avec une ligne d'interface qui est suivie jusqu'au fond, présence d'une masse latéroutérine droite mal systématisée faisant 89/60mm, l'ovaire gauche est visualisé siège d'une image anéchogène kystique simple de 42/42mm. Para ailleurs un épanchement de moyenne abondance est noté. Le taux de β-HCG (hormone gonadotrophique chorionique) plasmatique est revenu positif à 1437 UI/l. Le tableau évoque en premier le diagnostic de grossesse extra utérine droite. Le reste du bilan biologique révèle une hémoglobine à 11,4 g/dl, des globules blancs à 7530/mm 3. La patiente bénéficie donc d'une minilaparotomie transversale: A l'exploration, présence d'un hémopéritoine de 700cc, avec découverte d'une grossesse extrautérine en voie d'organisation avec trompe droite boudinée, et perforée, d'où la décision de rélaiser une salpingectomie droite rétrograde. Le reste de l'exploration révèle des adhérences interhépatodia phragmatiques avec un appendice enflé accolé à la masse latéroutérine, une appendicectomie est réalisée. L'étude anatomopathologiaque révèle une grossesse tubaire perforée avec une appendicite aigue suppurée avec réaction péritonéale locale. Les suites post opératoires sont sans particularités et la patiente est déclarée sortante au 3 ème jour.
FR100092
Le taux de β-HCG (hormone gonadotrophique chorionique) plasmatique est revenu positif à 1437 UI/l.
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Il s'agit de Mme HK, âgée de 27 ans, mariée depuis 1 an et demi, nullipare admise dans notre formation pour prise en charge d'une douleur de la fosse iliaque droite apparue depuis 1 semaine associée à des métrorragies sur aménorrhée de 2 mois. L'examen à l'admission trouve une patiente apyrétique, les conjonctives normocolorées, avec une tension artérielle à 10/6 et une fréquence cardiaque à 80 battements par minute. L'examen abdominal trouve une sensibilité pelvienne bilatérale accentuée à droite. L'examen gynécologique objective un col d'aspect normal, un saignement minime et noirâtre provenant de l'endocol, un utérus de taille normal avec un empâtement latéroutérin droit sensible sans cri de douglas. A l'échographie pelvienne: l'utérus est de taille normal avec une ligne d'interface qui est suivie jusqu'au fond, présence d'une masse latéroutérine droite mal systématisée faisant 89/60mm, l'ovaire gauche est visualisé siège d'une image anéchogène kystique simple de 42/42mm. Para ailleurs un épanchement de moyenne abondance est noté. Le taux de β-HCG (hormone gonadotrophique chorionique) plasmatique est revenu positif à 1437 UI/l. Le tableau évoque en premier le diagnostic de grossesse extra utérine droite. Le reste du bilan biologique révèle une hémoglobine à 11,4 g/dl, des globules blancs à 7530/mm 3. La patiente bénéficie donc d'une minilaparotomie transversale: A l'exploration, présence d'un hémopéritoine de 700cc, avec découverte d'une grossesse extrautérine en voie d'organisation avec trompe droite boudinée, et perforée, d'où la décision de rélaiser une salpingectomie droite rétrograde. Le reste de l'exploration révèle des adhérences interhépatodia phragmatiques avec un appendice enflé accolé à la masse latéroutérine, une appendicectomie est réalisée. L'étude anatomopathologiaque révèle une grossesse tubaire perforée avec une appendicite aigue suppurée avec réaction péritonéale locale. Les suites post opératoires sont sans particularités et la patiente est déclarée sortante au 3 ème jour.
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Le tableau évoque en premier le diagnostic de grossesse extra utérine droite.
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Il s'agit de Mme HK, âgée de 27 ans, mariée depuis 1 an et demi, nullipare admise dans notre formation pour prise en charge d'une douleur de la fosse iliaque droite apparue depuis 1 semaine associée à des métrorragies sur aménorrhée de 2 mois. L'examen à l'admission trouve une patiente apyrétique, les conjonctives normocolorées, avec une tension artérielle à 10/6 et une fréquence cardiaque à 80 battements par minute. L'examen abdominal trouve une sensibilité pelvienne bilatérale accentuée à droite. L'examen gynécologique objective un col d'aspect normal, un saignement minime et noirâtre provenant de l'endocol, un utérus de taille normal avec un empâtement latéroutérin droit sensible sans cri de douglas. A l'échographie pelvienne: l'utérus est de taille normal avec une ligne d'interface qui est suivie jusqu'au fond, présence d'une masse latéroutérine droite mal systématisée faisant 89/60mm, l'ovaire gauche est visualisé siège d'une image anéchogène kystique simple de 42/42mm. Para ailleurs un épanchement de moyenne abondance est noté. Le taux de β-HCG (hormone gonadotrophique chorionique) plasmatique est revenu positif à 1437 UI/l. Le tableau évoque en premier le diagnostic de grossesse extra utérine droite. Le reste du bilan biologique révèle une hémoglobine à 11,4 g/dl, des globules blancs à 7530/mm 3. La patiente bénéficie donc d'une minilaparotomie transversale: A l'exploration, présence d'un hémopéritoine de 700cc, avec découverte d'une grossesse extrautérine en voie d'organisation avec trompe droite boudinée, et perforée, d'où la décision de rélaiser une salpingectomie droite rétrograde. Le reste de l'exploration révèle des adhérences interhépatodia phragmatiques avec un appendice enflé accolé à la masse latéroutérine, une appendicectomie est réalisée. L'étude anatomopathologiaque révèle une grossesse tubaire perforée avec une appendicite aigue suppurée avec réaction péritonéale locale. Les suites post opératoires sont sans particularités et la patiente est déclarée sortante au 3 ème jour.
FR100092
Le reste du bilan biologique révèle une hémoglobine à 11,4 g/dl, des globules blancs à 7530/mm 3.
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Il s'agit de Mme HK, âgée de 27 ans, mariée depuis 1 an et demi, nullipare admise dans notre formation pour prise en charge d'une douleur de la fosse iliaque droite apparue depuis 1 semaine associée à des métrorragies sur aménorrhée de 2 mois. L'examen à l'admission trouve une patiente apyrétique, les conjonctives normocolorées, avec une tension artérielle à 10/6 et une fréquence cardiaque à 80 battements par minute. L'examen abdominal trouve une sensibilité pelvienne bilatérale accentuée à droite. L'examen gynécologique objective un col d'aspect normal, un saignement minime et noirâtre provenant de l'endocol, un utérus de taille normal avec un empâtement latéroutérin droit sensible sans cri de douglas. A l'échographie pelvienne: l'utérus est de taille normal avec une ligne d'interface qui est suivie jusqu'au fond, présence d'une masse latéroutérine droite mal systématisée faisant 89/60mm, l'ovaire gauche est visualisé siège d'une image anéchogène kystique simple de 42/42mm. Para ailleurs un épanchement de moyenne abondance est noté. Le taux de β-HCG (hormone gonadotrophique chorionique) plasmatique est revenu positif à 1437 UI/l. Le tableau évoque en premier le diagnostic de grossesse extra utérine droite. Le reste du bilan biologique révèle une hémoglobine à 11,4 g/dl, des globules blancs à 7530/mm 3. La patiente bénéficie donc d'une minilaparotomie transversale: A l'exploration, présence d'un hémopéritoine de 700cc, avec découverte d'une grossesse extrautérine en voie d'organisation avec trompe droite boudinée, et perforée, d'où la décision de rélaiser une salpingectomie droite rétrograde. Le reste de l'exploration révèle des adhérences interhépatodia phragmatiques avec un appendice enflé accolé à la masse latéroutérine, une appendicectomie est réalisée. L'étude anatomopathologiaque révèle une grossesse tubaire perforée avec une appendicite aigue suppurée avec réaction péritonéale locale. Les suites post opératoires sont sans particularités et la patiente est déclarée sortante au 3 ème jour.
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La patiente bénéficie donc d'une minilaparotomie transversale: A l'exploration, présence d'un hémopéritoine de 700cc, avec découverte d'une grossesse extrautérine en voie d'organisation avec trompe droite boudinée, et perforée, d'où la décision de rélaiser une salpingectomie droite rétrograde.
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Le reste de l'exploration révèle des adhérences interhépatodia phragmatiques avec un appendice enflé accolé à la masse latéroutérine, une appendicectomie est réalisée.
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Il s'agit de Mme HK, âgée de 27 ans, mariée depuis 1 an et demi, nullipare admise dans notre formation pour prise en charge d'une douleur de la fosse iliaque droite apparue depuis 1 semaine associée à des métrorragies sur aménorrhée de 2 mois. L'examen à l'admission trouve une patiente apyrétique, les conjonctives normocolorées, avec une tension artérielle à 10/6 et une fréquence cardiaque à 80 battements par minute. L'examen abdominal trouve une sensibilité pelvienne bilatérale accentuée à droite. L'examen gynécologique objective un col d'aspect normal, un saignement minime et noirâtre provenant de l'endocol, un utérus de taille normal avec un empâtement latéroutérin droit sensible sans cri de douglas. A l'échographie pelvienne: l'utérus est de taille normal avec une ligne d'interface qui est suivie jusqu'au fond, présence d'une masse latéroutérine droite mal systématisée faisant 89/60mm, l'ovaire gauche est visualisé siège d'une image anéchogène kystique simple de 42/42mm. Para ailleurs un épanchement de moyenne abondance est noté. Le taux de β-HCG (hormone gonadotrophique chorionique) plasmatique est revenu positif à 1437 UI/l. Le tableau évoque en premier le diagnostic de grossesse extra utérine droite. Le reste du bilan biologique révèle une hémoglobine à 11,4 g/dl, des globules blancs à 7530/mm 3. La patiente bénéficie donc d'une minilaparotomie transversale: A l'exploration, présence d'un hémopéritoine de 700cc, avec découverte d'une grossesse extrautérine en voie d'organisation avec trompe droite boudinée, et perforée, d'où la décision de rélaiser une salpingectomie droite rétrograde. Le reste de l'exploration révèle des adhérences interhépatodia phragmatiques avec un appendice enflé accolé à la masse latéroutérine, une appendicectomie est réalisée. L'étude anatomopathologiaque révèle une grossesse tubaire perforée avec une appendicite aigue suppurée avec réaction péritonéale locale. Les suites post opératoires sont sans particularités et la patiente est déclarée sortante au 3 ème jour.
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L'étude anatomopathologiaque révèle une grossesse tubaire perforée avec une appendicite aigue suppurée avec réaction péritonéale locale.
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FR100092
Les suites post opératoires sont sans particularités et la patiente est déclarée sortante au 3 ème jour.
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Il s'agit de Mme HK, âgée de 27 ans, mariée depuis 1 an et demi, nullipare admise dans notre formation pour prise en charge d'une douleur de la fosse iliaque droite apparue depuis 1 semaine associée à des métrorragies sur aménorrhée de 2 mois. L'examen à l'admission trouve une patiente apyrétique, les conjonctives normocolorées, avec une tension artérielle à 10/6 et une fréquence cardiaque à 80 battements par minute. L'examen abdominal trouve une sensibilité pelvienne bilatérale accentuée à droite. L'examen gynécologique objective un col d'aspect normal, un saignement minime et noirâtre provenant de l'endocol, un utérus de taille normal avec un empâtement latéroutérin droit sensible sans cri de douglas. A l'échographie pelvienne: l'utérus est de taille normal avec une ligne d'interface qui est suivie jusqu'au fond, présence d'une masse latéroutérine droite mal systématisée faisant 89/60mm, l'ovaire gauche est visualisé siège d'une image anéchogène kystique simple de 42/42mm. Para ailleurs un épanchement de moyenne abondance est noté. Le taux de β-HCG (hormone gonadotrophique chorionique) plasmatique est revenu positif à 1437 UI/l. Le tableau évoque en premier le diagnostic de grossesse extra utérine droite. Le reste du bilan biologique révèle une hémoglobine à 11,4 g/dl, des globules blancs à 7530/mm 3. La patiente bénéficie donc d'une minilaparotomie transversale: A l'exploration, présence d'un hémopéritoine de 700cc, avec découverte d'une grossesse extrautérine en voie d'organisation avec trompe droite boudinée, et perforée, d'où la décision de rélaiser une salpingectomie droite rétrograde. Le reste de l'exploration révèle des adhérences interhépatodia phragmatiques avec un appendice enflé accolé à la masse latéroutérine, une appendicectomie est réalisée. L'étude anatomopathologiaque révèle une grossesse tubaire perforée avec une appendicite aigue suppurée avec réaction péritonéale locale. Les suites post opératoires sont sans particularités et la patiente est déclarée sortante au 3 ème jour.
FR100092
Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
FR100480
L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
FR100480
Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
FR100480
L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
FR100480
La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
FR100480
L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion.
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FR100480
Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire.
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FR100480
Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
FR100480
Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
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Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
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Elle a repris la consultation dans notre service.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
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L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
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Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
FR100480
L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe.
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Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
FR100480
Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
FR100480
La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
FR100480
La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
FR100480
Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris.
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Il s'agissait de Mme H.O âgée de 55 ans connue diabétique type II sous traitement, qui a présenté une lésion ulcérée avec destruction partielle de la tablette unguéale du 3 ème doigt de la main gauche évoluant de façon progressive depuis 2 ans. L'installation d'une douleur au niveau du site a poussé la patiente a consulté dans notre formation. Après un bilan clinique et radiologique, une biopsie a été réalisée. L'analyse histologique a montré un mélanome malin acro-lentigineux ulcéré de niveau V de Clark et d'indice de Breslow de 4 mm. La patiente a subi une amputation transphalangienne proximale avec passage en zone saine. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a confirmé la nature histologique de la lésion. Un bilan d'extension a été réalisé sans montrer de localisation secondaire. Aucun traitement complémentaire n'a été entrepris. Après 6mois, l'évolution a été marquée par l'absence de signe de récidive, puis la patiente n'a pas été revue. Un an après, la patiente a remarqué que le moignon de l'amputation devient inflammatoire avec augmentation de son volume. Elle a repris la consultation dans notre service. L'examen clinique a montré une tuméfaction du moignon qui a été rouge avec présence de nodule bleu dure et douloureux à la palpation, infiltrant la racine de l'index et l'annulaire. Par ailleurs, les aires ganglionnaires ont été libres. L'imagerie par résonnance magnétique a montré une extension atteignant le carpe. Le bilan d'extension à distance a objectivé une hyperfixation au niveau de la 8 ème cote à la scintigraphie. Le scanner thoraco-abdomino-pelvien a objectivé la présence de deux nodules pulmonaires. La Tomographie par émission de positons au 18-FDG a montré deux nodules pulmonaires contigus latéro basaux droits faiblement hyper métaboliques, d'allure secondaire et absence d'hyper métabolisme pathologique au niveau de l'ensemble du squelette exploré notamment au niveau du gril costal. La reprise chirurgicale a consisté en une amputation transverse courte intéressant 2 ème, 3 ème et 4 ème rayons selon Chase et conservation complète de la colonne du pouce et de l'auriculaire tous en respectant des marges macroscopiques saines, et permettant à la patiente de garder une pince type celle de homard. Après avoir présenté le dossier aux oncologues, aucun traitement adjuvant n'a été entrepris. L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines. La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne. La patiente est revue régulièrement, son état clinique est stable, et elle est satisfaite de la fonction de sa main qui lui permet d'assurer ses taches quotidiennes.
FR100480
L'examen anatomopathologique de la pièce d'exérèse a montré une récidive de mélanome malin niveau V de Clark et indice de Breslow de 1,5 cm avec présence d'emboles vasculaires, d'engainements périnerveux et la confirmation des marges histologiques saines.
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FR100480
La patiente a débuté la rééducation deux semaines après l'intervention pour la réadaptation rapide à la vie quotidienne.
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