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521.txt | 1,873 | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . | 0 | 0 | 0 |
521.txt | 1,873 | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. | Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. | 0 | 0 | 0 |
521.txt | 1,873 | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. | Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. | 0 | 0 | 0 |
521.txt | 1,873 | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. | On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. | 0 | 0 | 0 |
521.txt | 1,873 | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | Recherche du sucre dans l'urine. | Recherche du sucre dans l'urine. | 0 | 0 | 0 |
521.txt | 1,873 | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . | -L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . | 1 | 0.007634 | 0.052632 |
521.txt | 1,873 | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. | Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. | 0 | 0 | 0 |
521.txt | 1,873 | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. | Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. | 0 | 0 | 0 |
521.txt | 1,873 | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. | 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. | 1 | 0.021739 | 0.111111 |
521.txt | 1,873 | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | - Afé-thode de Trommer. | -Mé-thode de Trommer. | 3 | 0.142857 | 0.75 |
521.txt | 1,873 | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | -27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On | - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. | -On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. | 1 | 0.002268 | 0.012987 |
290.txt | 1,845 | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob@@@@@-@1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. | 0 | 0 | 0 |
290.txt | 1,845 | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob@@@@@-@1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. | Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. | 1 | 0.002825 | 0.014925 |
290.txt | 1,845 | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob@@@@@-@1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. | Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. | 1 | 0.002326 | 0.012048 |
290.txt | 1,845 | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob@@@@@-@1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. | Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. | 0 | 0 | 0 |
290.txt | 1,845 | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob@@@@@-@1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. | Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. | 0 | 0 | 0 |
290.txt | 1,845 | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob@@@@@-@1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. | Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. | 0 | 0 | 0 |
290.txt | 1,845 | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob@@@@@-@1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | -66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot. | 6 | 0.028302 | 0.15 |
284.txt | 1,845 | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. | 0 | 0 | 0 |
284.txt | 1,845 | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. | Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. | 0 | 0 | 0 |
284.txt | 1,845 | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. | La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. | 1 | 0.004673 | 0.025641 |
284.txt | 1,845 | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. | La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. | 0 | 0 | 0 |
284.txt | 1,845 | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. | En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. | 0 | 0 | 0 |
284.txt | 1,845 | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. | Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. | 0 | 0 | 0 |
284.txt | 1,845 | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | -142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer- | 0 | 0 | 0 |