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Euroleague - Mathias Lessort élu pour la 3e fois MVP de la journée

Ce trophée est décerné à celui qui possède la meilleure évaluation (PIR) et l'international a cumulé 26 points (12/18 à 2-points, 2/2 aux lancers-francs), 7 rebonds, 4 passes décisives et 2 interceptions, pour 33 d'évaluation face au Real Madrid.\n\nVoici le palmarès de la saison à ce jour :\n\n * Journée 1:Alec Peters (Olympiakos) - 31 PIR\n * Journée 2:Gerschon Yabusele (Real Madrid) - 39 PIR\n * Journée 3:Toko Sengelia (Virtus Bologne) - 32 PIR\n * Journée 4:Nikola Milutinov (Olympiakos) - 30 PIR\n * Journée 5:Mathias Lessort (Panathinaikos) - 31 PIR\n * Journée 6:Toko Sengelia (Virtus Bologne) - 30 PIR\n * Journée 7:Facundo Campazzo (Real Madrid) - 39 PIR\n * Journée 8:Cody Miller-McIntyre (Baskonia) - 29 PIR\n * Journée 9:Chima Moneke (Baskonia) - 35 PIR\n * Journée 10:Sean Larkin (Anatolou Efes) & Maodo Lo (Armani Milan) - 38 PIR\n * Journée 11:Serge Ibaka (Bayern Munich) - 34 PIR\n * Journée 12:Tyreek Jones (Anatolu Efes) - 36 PIR\n * Journée 13:Shane Larkin (Anatolou Efes) – 41 PIR\n * Journée 14:Kostas Sloukas (Panathinaikos) - 29 PIR\n * Journée 15:Josh Nebo (Maccabi) - Kevin Panter (Partizan) - Shavon Shields (Armani Milan) - 25 PIR\n * Journée 16:Milos Teodosic (Étoile Rouge) - 40 PIR\n * Journée 17:Johannes Voigtmann (Armani Milan) - 29 PIR\n * Journée 18:Chima Moneke (Baskonia) & Bonzie Colson (Maccabi Tel Aviv) - 34 PIR\n * Journée 19 :Dzanan Musa (Real Madrid) – 45 PIR\n * Journée 20 :Wade Baldwin (Maccabi Tel Aviv) – 29 PIR\n * Journée 21:Mathias Lessort (Panathinaikos) - 42 PIR\n * Journée 22:Nikola Milutinov (olympien) - 40 PIR\n * Journée 23:Wade Baldwin (Maccabi Tel Aviv) - 33 PIR\n * Journée 24:Mike James (Monaco) - 31 PIR\n * Journée 25:Keenan Evans (Zalgiris) – 35 PIR\n * Journée 26 :Cody Miller-McIntyre (Baskonia) - 42 PIR\n * Journée 26:Mathias Lessort (Panathinaikos) - 33 PIR

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ASVEL : Le coach Gordon Herbert a déjeuné avec TJ Parker

Entraîneur de la Mannschaft, championne du monde, Gordon Herbert n'avait pas reçu le feu vert de la fédération allemande, qui ne veut pas d'une double casquette en cette année olympique, pour signer à l'ASVEL. Mais ce n'est peut-être que partie remise. Le Canadien a assisté hier soir dans la loge présidentielle au match ASVEL-Milan et interrogé par le quotidien Le Progrès, il a confié :\n\n\Je suis venu voir deux internationaux de l'équipe d'Allemagne (Maodo Lô et Johannes Voigtmann) Je ne pouvais pas me libérer au mois de novembre, mais je souhaite coacher la saison prochaine. Bien sûr que l'Euroleague m'intéresse.\\n\nGordon Herbert a aussi profité de son séjour lyonnais pour déjeuner avec le l'ancien coach de l'ASVEL, TJ Parker. Affaire à suivre comme on dit dans ce genre de circonstances.

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Ligue belgo-néerlandaise : Les clubs deviennent actionnaires

Née en 2021, la BNXT, qui réunit des clubs de Belgique et des Pays-Bas a dû subir deux contre-temps fâcheux : le COVID et le retrait de son sponsor principal BetFIRST, en raison de l’interdiction de la publicité pour les jeux de hasard dans le monde sportif.\n\nL’assemblée générale du 16 décembre a pris une mesure d'urgence, qui a été acceptée par 18 des 20 clubs (Yoast Utd et BAL ne se sont pas engagés), en leur demandant de devenir actionnaires à raison de 30 000 euros par club, en plus des frais de participation annuels. Pour limiter les frais, la ligue a réduit son personnel, supprimé son All-Star et sa soirée des trophées.\n\n\Le premier argument de ce changement de gouvernance n’était certainement pas d’ordre financier,commente Axel Hervelle, directeur général du Spirou Charleroi, à La Dernière Heure.L’objectif prioritaire est de trouver des nouvelles solutions pour développer et dynamiser la compétition. L’entrée en actionnariat démontre une volonté commune de s’en donner les moyens.\\n\nUne autre mesure fondamentale va être prise : changer la formule de la compétition jugée peu lisible avec sans doute un format classique avec des matches aller-retour entre tous. Pour ensuite permettre aux huit meilleures équipes de chaque pays de procéder à des playoffs nationaux.\n\n\Pourquoi ne pas créer, à terme, une deuxième compétition en milieu de saison comme la semaine des As en France (NDLR : Leaders Cup) ou la Coupe du Roi en Espagne qui rassemble les meilleures équipes du classement à la mi-championnat. Cela augmenterait l’intérêt des matchs en début de saison avant la bataille finale pour les playoffs\, estime Axel Hervelle.

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Pour son président, un retour du CSKA Moscou en Euroleague est de la science-fiction

«À l'époque soviétique, lors de l'inscription d'un futur lecteur à la bibliothèque, une sorte de fiche était établie, indiquant les genres littéraires qui suscitaient le plus d'intérêt - contes de fées, aventures, romans d'amour, romans policiers ou autre chose. Ainsi, aujourd'hui, la participation des équipes russes à l'Euroleague appartient au genre de la science-fiction, voire même non scientifique.Avant la fin des hostilités, les conditions ne seront certainement pas réunies pour parler en détail de ce retour », a-t-il déclaré avec lucidité à Match TV.\n\nCependant, le président du CSKA révèle que les contacts ne sont pas rompus avec les autres clubs.\n\n\En même temps, je tiens à répéter que les collègues des clubs de l'Euroleague, ainsi que les supporters européens, qui ont communiqué personnellement avec nous, regrettent l'absence des équipes russes et le font en toute sincérité.Malheureusement, une telle tendance à l’isolement et aux sanctions est désormais demandée dans le monde entier.Nous continuons à communiquer avec l'Euroleague en tant que club actionnaire, le contact est constant, et cela me semble important pour un futur retour à la compétition, chaque fois que cela pourra arriver.Il doit y avoir un dialogue.\\n\nAndreï Vatoutine a également évoqué les conséquences de la guerre au Moyen-Orient.\n\n\À propos, l'Euroleague a suffisamment de problèmes liés à la politique.Par exemple, les performances du Maccabi sur un site neutre privent l'équipe d'une partie traditionnellement très rentable du budget, et l'Efes et Fener ont été contraints de subir des pertes financières en disputant leurs propres matches à domicile en Lettonie et en Lituanie.Les playoffs approchent à grands pas, et si le club turc et le même Maccabi se rencontrent en quarts de finale, selon la situation actuelle, les Turcs devront également perdre l'avantage de leur arèna et une somme d'argent importante.\\n\nLe président moscovite a toujours été un partisan de l'entrée de Dubaï dans le concert de l'Euroleague et il n'a pas changé d'avis :\n\n\Je suis toujours convaincu que s'il existe aujourd'hui une solution qui puisse sérieusement faire évoluer la compétition et y ajouter de l'intérêt, c'est bien l'inclusion d'une équipe de Dubaï.Ce n’est pas seulement que la ville en particulier et les Émirats arabes unis en général sont une région riche : il existe une excellente opportunité d’attirer de l’argent, de nouveaux téléspectateurs, de nouveaux publics et des marchés au Moyen-Orient et en Asie.À la mi-mars, nous discuterons en profondeur des projets liés aux Emirats lors d'une réunion des actionnaires des clubs de l'Euroleague.\\n\nPar ailleurs, le CSKA vient d'embaucher le Canadien Olivier Hanlan (1,93 m, 31 ans), passé par Le Mans (2016-17), et qui était le meilleur marqueur du championnat italien avec 18,7 points par match avec Pallacanestro Varese. Son président estime qu'il est de plus en plus difficile de faire venir des joueurs en provenance de G-League.\n\n\Depuis l'été, les entraîneurs et la direction ont étudié et examiné plus d'une centaine de candidats, sélectionnés ceux qu'ils préféraient, mais tous, avec plus ou moins de succès, ont continué à attendre une chance d'entrer en NBA depuis la G-League. De façon générale, après quelques changements dans le statut de la G-League, une augmentation du niveau des salaires et d'autres changements, le processus d'invitation de joueurs en Europe est devenu sensiblement plus compliqué.Bien sûr, c'est un sujet pour une autre discussion, mais je ne peux m'empêcher de noter que la NBA a pris des mesures assez efficaces pour protéger son « deuxième » tournoi.\

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Grèce : Selon son ancien coach, l'AEK Athènes ne paye pas ses joueurs

Combien de joueurs français ont raconté leur expérience douloureuse en Grèce où ils n'ont pas touché leur dû (l'Olympiakos et le Panathinaikos payent rubis sur ongle) ? Aussi, on est presque surpris que Joan Plaza découvre les désagréments de s'être engagé avec l'AEK Athènes en juin 2023 avant d'être licencié le 25 janvier dernier.\n\nAu moment de démarrer la saison, l'AEK formait une sorte d'« équipe de rêve », mais le club de la capitale grecque avait juste oublié le financement. De nombreuses stars ont déjà quitté l'équipe au milieu de la saison et donc Joan Plaza a été remercié.\n\n\J'ai été surpris que des choses comme celles-ci puissent se produire en 2024.Je pensais que c'était une réalité il y a seulement trente ans.Mes paiements, ainsi que ceux des Américains, ont eu deux mois de retard, les joueurs grecs ont attendu quatre mois pour recevoir leurs salaires, tandis que le staff s'est retrouvé sans revenus pendant sept mois.Les attentes des dirigeants du club, bien sûr, n'ont pas changé à cause de cela.\\n\nL'AEK occupe actuellement la huitième position du classement de la Ligue grecque avec seulement sept victoires et 11 défaites, et il n'a pas gagné un seul de ses trois matches dans le top 16 de la BCL. Il est perpétuellement dans le viseur de la FIBA pour ses salaires impayés, sans pour autant visiblement changer ses (mauvaises) habitudes, même si dans un communiqué il dément les affirmations de son coach avec virulence.\n\n\Par respect pour sa carrière passée et parce que nous avons délibérément choisi de ne pas révéler les incidents qui ont provoqué le 'divorce', nous n'allons pas répondre directement aux déclarations de notre ancien entraîneur. Même si nous sommes surpris de savoir pourquoi il a choisi de parler maintenant, après si longtemps et alors que notre équipe entre dans une série de matchs cruciaux\, a écrit l'AEK, soulignant que \l'immunité des calomniateurs est terminée. Ceux qui aiment les mensonges monstrueux et qui s'opposent aux intérêts et à la dignité de l'AEK seront désormais traduits en justice. Notre ancien entraîneur sera le premier à subir les conséquences de la loi, à ses propres risques\.\n\n\n\n\n\n\n

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Euroleague féminine : Janelle Salaün joueuse de la semaine et dans le 5 idéal du mois

Quand on parle d'un Salaün, on pense d'abord au Choletais Tidjane, projeté tout en haut de la prochaine draft, mais sa soeur aînée Janelle est plus développée à ce jour. Internationale, très bien placée pour intégrer l'équipe de France pour les Jeux Olympiques de Paris, la Villeneuvoise flambe actuellement.\n\nElle a été introduite dans le cinq type du mois de février en compagnie de l'Américano-Serbe Yvonne Anderson (Fenerbahçe), de la Hongroise Reka Lelik (Miskolc), de l'Américaine Napheesa Collier (Fenerbahçe) et de l'Australienne Ezi MacBegor (Prague).\n\nDe surcroît, ses 24 points, 3 rebonds et 23 d'évaluation lui offrent le trophée honorifique de Joueuse de la Semaine. Rappel : Janelle Salaün n'a que 22 ans.\n\nAn electric performance to force Game 3: Janelle Salaun is your Player of the Week! 👑#EuroLeagueWomen x @ESBVALM pic.twitter.com/MkuAXaP9ok\n\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) March 2, 2024\n

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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures

Roanne : Un bon retour de Sekou Doumbouya, DJ Cooper flambe, mais une défaite\n\nPour son retour à la compétition, Sekou Doumbouya a rendu une bonne copie, DJ Cooper a battu le record de passes décisives de la saison, mais la Chorale de Roanne s'est inclinée à Strasbourg (97-82).\n\nMême si, à l'instar de ses équipiers, il s'est éteint dans la dernière partie du match -les titulaires ont été beaucoup sollicités-, Sekou Doumbouya a réussi le premier chapitre de sa mission de rédemption avec 18 points à 8/15 aux tirs. On retiendra aussi les performances de l'axe DJ Cooper (record de la saison avec 17 passes décisives mais 2/8 aux shoots) - Yannis Morin (24 points, 28 d'éval) et bien sûr tout autant les 23 points et 29 d'évaluation du Strasbourgeois Paul Lacombe et les 16 points et 21 d'éval de son équipier Léo Cavalière.\n\nRoanne : Un bon retour de Sekou Doumbouya, DJ Cooper flambe, mais une défaitePour son retour à la compétition, Sekou Doumbouya a rendu une bonne copie, DJ Cooper a battu le record de passes décisives de la saison, mais la Chorale de Roanne s’est inclinée à Strasbourg (97-82).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nDijon : David Holston absent tout le mois de mars\n\nLa JDA Dijon annonce que son meneur de jeu David Holston (1,73 m, 38 ans) sera absent des terrains jusqu'à début avril.\n\nAprès le choc reçu à la jambe face à Nancy le 3 février dernier, David Holston n’avait pas pu prendre part aux trois matchs précédant la trêve.\n\nDijon : David Holston absent tout le mois de marsLa JDA Dijon annonce que son meneur de jeu David Holston (1,73 m, 38 ans) sera absent des terrains jusqu’à début avril.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEuroleague - Mathias Lessort élu pour la 3e fois MVP de la journée\n\nAprès les 5e et 21e journées, le pivot du Panathinaikos, Mathias Lessort (2,06 m, 28 ans), a été élu MVP de la 26e journée.\n\nCe trophée est décerné à celui qui possède la meilleure évaluation (PIR) et l'international a cumulé 26 points (12/18 à 2-points, 2/2 aux lancers-francs), 7 rebonds, 4 passes décisives et 2 interceptions, pour 33 d'évaluation face au Real Madrid.\n\nEuroleague - Mathias Lessort élu pour la 3e fois MVP de la journéeAprès les 5e et 21e journées, le pivot du Panathinaikos, Mathias Lessort (2,06 m, 28 ans), a été élu MVP de la 26e journée.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nASVEL : Le coach Gordon Herbert a déjeuné avec TJ Parker\n\nOn se souvient que l'ASVEL a été en contact avancé en novembre avec le coach canadien Gordon Herbert, 65 ans, avant d'engager l'Italien Giancarlo Pozzecco. Visiblement, la piste est toujours chaude.\n\nEntraîneur de la Mannschaft, championne du monde, Gordon Herbert n'avait pas reçu le feu vert de la fédération allemande, qui ne veut pas d'une double casquette en cette année olympique, pour signer à l'ASVEL. Mais ce n'est peut-être que partie remise. Le Canadien a assisté hier soir dans la loge présidentielle au match ASVEL-Milan et interrogé par le quotidien Le Progrès, il a confié :\n\n\Je suis venu voir deux internationaux de l'équipe d'Allemagne (Maodo Lô et Johannes Voigtmann) Je ne pouvais pas me libérer au mois de novembre, mais je souhaite coacher la saison prochaine. Bien sûr que l'Euroleague m'intéresse.\\n\nASVEL : Le coach Gordon Herbert a déjeuné avec TJ ParkerOn se souvient que l’ASVEL a été en contact avancé en novembre avec le coach canadien Gordon Herbert, 65 ans, avant d’engager l’Italien Giancarlo Pozzecco. Visiblement, la piste est toujours chaude.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nPro B : Pau se fait dominer par la lanterne rouge\n\nAngers a obtenu à Pau une 6e victoire qui n'était pas dans les plans. L'Elan Béarnais a montré toute sa fragilité (79-83).\n\nLe début de match des Palois (2-12) a été le signe que leur soirée serait désagréable. Et encore, ils ont bénéficié du rendement exceptionnel de Javon Masters (30 points, 26 d'éval) car sinon l'addition aurait été encore plus salée. Un chiffre est particulièrement significatif : le 20,6% à trois-points des Béarbais comparé au 58,3% d'Angers.\n\nPro B : Pau se fait dominer par la lanterne rougeAngers a obtenu à Pau une 6e victoire qui n’était pas dans les plans. L’Elan Béarnais a montré toute sa fragilité (79-83).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nMonaco a gâché la fête à Ricky Rubio\n\nTreize ans plus tard, Ricky Rubio a fait son retour à Barcelone mais l'AS Monaco l'a empêché d'être célébré comme il se doit par le public catalan (67-77).\n\n\C'était un match difficile, en termes d'émotions et de sensations\, a déclaré le meneur espagnol à l'issue du match.\J'ai essayé de contrôler ça et que ça n'affecte pas l'équipe. Malheureusement, nous avons perdu et nous ne pouvons pas célébrer, mais je suis heureux de rejouer. C'est spécial de jouer ici. C'est une salle petite mais très accueillante. Il est difficile pour l'adversaire de jouer ici. Je tiens à remercier les Palaos. Je me suis senti à l'aise et nous espérons pouvoir donner beaucoup de bonheur\.\n\nMonaco a gâché la fête à Ricky RubioTreize ans plus tard, Ricky Rubio a fait son retour à Barcelone mais l’AS Monaco l’a empêché d’être célébré comme il se doit par le public catalan (67-77).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nJuancho Hernangomez : NBA-Euroleague, une transition difficile\n\nL'Espagnol Juancho Hernangomez (2,06 m) a 339 matches NBA à son actif, mais ses productions avec le Panathinaikos sont décevantes. Son coach Ergin Ataman donne l'explication.\n\nJuancho Hernangomez tourne à 4,3 points et 3,7 rebonds depuis le début de la saison d'Euroleague. Ce n'est pas folichon pour un ancien NBAer -il était à 6,2 points et 3,5 rebonds avec le Utah Jazz, il y a deux ans, et surtout à 12,9 points et 7,3 rebonds avec les Minnesota Timberwolves en 2019-20- qui est de plus implanté dans l'équipe d'Espagne avec quelques médailles à la clé.Lors de la victoire face au Real (86-97)et alors que Mathias Lessort flambait, Juancho Hernangomez était dans ses standards avec 6 points et 2 rebonds.\n\nJuancho Hernangomez : NBA-Euroleague, une transition difficileL’Espagnol Juancho Hernangomez (2,06 m) a 339 matches NBA à son actif, mais ses productions avec le Panathinaikos sont décevantes. Son coach Ergin Ataman donne l’explication.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nAllemagne: 4 326 spectateurs en moyenne à mi-saison\n\nAprès la victoire à la Coupe du monde, le boom du basket en Allemagne se confirme avec un record de spectateurs à mi-saison en Bundesliga.\n\nAllemagne: 4 326 spectateurs en moyenne à mi-saisonAprès la victoire à la Coupe du monde, le boom du basket en Allemagne se confirme avec un record de spectateurs à mi-saison en Bundesliga.BasketEurope.comLa rédaction

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Roanne : Un bon retour de Sekou Doumbouya, DJ Cooper flambe, mais une défaite

Même si, à l'instar de ses équipiers, il s'est éteint dans la dernière partie du match -les titulaires ont été beaucoup sollicités-, Sekou Doumbouya a réussi le premier chapitre de sa mission de rédemption avec 18 points à 8/15 aux tirs. On retiendra aussi les performances de l'axe DJ Cooper (record de la saison avec 17 passes décisives mais 2/8 aux shoots) - Yannis Morin (24 points, 28 d'éval) et bien sûr tout autant les 23 points et 29 d'évaluation du Strasbourgeois Paul Lacombe et les 16 points et 21 d'éval de son équipier Léo Cavalière.\n\nCette Chorale-là n'a pas aujourd'hui la tête d'une relégable... même si elle a plus que jamais le feu aux fesses.\n\n💎 Les 10 ASSISTS de D.J. Cooper en 14:38 😶\n\nTrop fort.@ChoraleRoanne x @LNBofficiel#SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/Tu0lcpFdI4\n\n— SKWEEK (@skweektv) March 2, 2024\n\n\nCeux qui ont vu à l'oeuvre cet après-midi au Rhénus l'enfant terrible du basket français, sans connaître son parcours tourmenté, n'ont pas pu imaginer que sa dernière apparition officielle sur un terrain remontait à un obscure match de G-League, le 25 mars 2023. Entre-temps, l'ancien prodige a fait des stops à Monaco, Maroussi, Boulogne-Levallois et Palencia mais sans signer de contrat. C'est donc Jean-Denys Choulet qui lui a tendu la main pour le relancer et qui l'a introduit directement dans le cinq de départ face à la SIG.\n\nUne très bonne initiative puisque Sekou Doumbouya a marqué les cinq premiers points de son équipe : un premier panier sans opposition suivi d'un Tomar, avant de prendre un rebond offensif et de transformer un lancer-franc sur deux. On le verra un peu plus tard inscrire un trois-points du coin gauche et totaliser 10 points à la fin du premier quart-temps.\n\nSes actions ont eu le don de dynamiser l'équipe de la Loire, qui s'est retrouvée dans la deuxième moitié du second quart-temps avec 9 points d'avance (33-42). DJ Cooper avait déjà à la mi-temps 10 passes dans sa besace, Yannis Morin 15 points et 19 d'évaluation (!) et Doumbouya 12 points sans gâcher (5/6). Mais la SIG était revenu sur les talons de la Chorale à 44-46.\n\nWelcome back @sekou_doums 🔥@ChoraleRoanne @skweektv #BetclicELITE pic.twitter.com/yf9lJ43Jno\n\n— LNB (@LNBofficiel) March 2, 2024\n\n\nSekou Doumbouya nous a gratifié d'un superbe contre dans le troisième quart-temps, preuve qu'il est à la fois puissant et aérien. Seulement, lui et ses équipiers paraissaient un peu émoussés et la SIG était en tête à 67-62. Une impression vite confirmée même si DJ Cooper continuait de servir des canapés de caviar. A 87-75 à trois minutes de la fin, on savait que c'était plié. L'écart final est un peu cruel pour la Chorale alors que Sekou Doumbouya s'est fait huer par le public alsacien pour avoir fait un dernier dunk dans les ultimes secondes alors que tout le monde avait arrêté de jouer. Peut-être ne connait-il plus cette tradition.

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Dijon : David Holston absent tout le mois de mars

Après le choc reçu à la jambe face à Nancy le 3 février dernier, David Holston n’avait pas pu prendre part aux trois matchs précédant la trêve.A la reprise de l’entrainement et constatant une gène toujours présente, le staff sportif et médical de la JDA a décidé de réaliser une nouvelle batterie d’examens complémentaires, qui n’étaient pas possibles dans les premiers temps en présence de l’œdème. Ces examens ont révélé une lésion plus importante, prolongeant l’indisponibilité du capitaine dijonnais jusqu’à début avril.\n\nDavid Holston tourne depuis le début de la saison à 13,0 points, 4,3 passes et 1,3 rebond pour 12,4 d'évaluation, ce qui est en retrait vis à vis des exercices précédents.

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Zeljko Obradovic (coach Partizan Belgrade) : \Je ne me vois nulle part ailleurs que dans ce club\

C'est après la victoire du Partizan sur l'Anadolu Efes que Zeljko Obradovic a clairement dessiné son avenir :\n\n\Je ne me vois nulle part ailleurs que dans ce club\, a déclaré le coach serbe rapporteBasketnews.«Je suis fier et heureux que les fans aient déployé une banderole qui me crédite comme l'un d'entre eux.Je suis fier et heureux d'être l'entraîneur du Partizan.Je n'ai aucun doute sur mon avenir.\\n\nCes propos font suite à la déclaration du président du Partizan,Ostoja Mijailovic, qui a annoncé que son club souhaite renouveler son contrat.\n\n«Le soutien des gens qui m'ont appelé après la Coupe(NDLR : Le Partizan a perdu en finale contre l'Etoile Rouge, ce qui est toujours un drame)et le soutien des supporters comptent beaucoup pour moi.Cette tradition doit perdurer.Mon cœur se remplit quand je vois une tribune pleine d’enfants.J'en suis très fier, car une nouvelle génération de supporters du Partizan est en train de naître.Je ne me vois nulle part ailleurs qu'au Partizan.Soit je reste ici, soit je ne travaille plus.\\n\nZeljko Obradovic aura 64 ans le 9 de ce mois.

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L'incroyable remontada de Gravelines

Saint-Quentin était privé de deux joueurs majeurs, Melvin Ajinça, provisoirement, et Tyger Campbell, définitivement, et \l'enfer\ de Pierre-Ratte ne l'a pas empêché de foirer complètement son troisième quart-temps (14-27) et de concéder une quatrième défaite de suite (68-76). A Gravelines, Chris Babb a été l'homme du match avec ses 20 points, 6 rebonds et 4 passes.\n\nCe qui arrive au BCM est presque surnaturel. Le 4 novembre, contre Le Mans, il subissait une 10e défaite d'affilée et son faire-part de décès était déjà imprimé. C'est l'arrivée du coach Jean-Christophe Prat et une courte victoire face à l'autre moribond, Boulogne-Levallois (72-74), qui l'a relancé, puis avec quelques ajustements dans l'effectif, le voici à... 8 victoires sur les 12 derniers matches.\n\nUne résurrection d'autant plus formidable que le club a subi l'incendie de son Sportica, ce qui l'a obligé à s'entraîner à Loon-Plage et à jouer à Calais et Dunkerque.\n\nRien n'est joué -les Gravelinois vont ainsi enchaîner Monaco et l'ASVEL-, mais à ce jour ils laissent derrière eux Blois, Roanne et Paris-Levallois, tout en possédant deux matches en retard.\n\nC'est du jamais vu.\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nBABB EST CLUTCH !!!🥵#TousBCM pic.twitter.com/4Ln1PRVmUX\n\n— BCM Basketball (@BCMBasket) March 2, 2024\n

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Le gros bouillon du Mans à Bourg

Le MSB n'a mis que 22 points en première mi-temps (13 et 9 par quart-temps) contre 45 à son adversaire. Cela reste le meilleur indicateur de la supériorité des Burgiens, qui ont fait perdre 19 balles à leurs adversaires sur l'ensemble de la soirée. Les hommes de Freddy Fauthoux se sont un peu relâchés par la suite si bien que Le Mans est revenu au score (Trevor Hudgins a fait le job avec 17 points dont 4/7 à trois-points, 5 rebonds et 4 passes) avant que la Jeu donne un nouveau coup d'accélérateur en fin de match.\n\n\n«On a beaucoup souffert de la défense tout terrain des Bressans, a avoué Abdoulaye Ndoye rapporte Ouest France. Ils nous ont énormément gênés et on a explosé au contact. On a perdu de nombreux duels. Et puis on n’a pas été très adroits. On peut espérer que l'intégration de William Howard qui est un joueur de taille adroit et avec beaucoup d’expérience va nous apporter beaucoup. Mais il lui faut du temps car il est tout de même resté très longtemps sans jouer.»\n\n«Il n’y a pas eu photo, a reconnu le coach Elric Delord. Bourg est une grosse équipe. Ils n’étaient pas prenables. Ils se sont bien ressourcés pendant la trêve et je les ai trouvés très conquérants. On a pris la pression, et quand on prend la pression, on perd la concentration et on ne respecte plus les consignes. C’est aussi simple que ça. Concernant notre classement, il y a les six équipes de devant et ensuite, pour les playoffs, tant que certaines n’ont pas atteint les 14victoires, rien n’est perdu.»\n\nCe n'est pas la première fois que les Manceaux prennent la tasse. On se souvient de leur -41 contre Paris. Cela prouve leur fragilité collective. Mais ils ont aussi la faculté de parfois eux-aussi noyer leurs adversaires, voir le +32 contre Nancy et le +26 contre Chalon. Cela explique qu'aujourd'hui, ils soient entre deux eaux. Le top 8 est toujours accessible, le maintien dans l'élite n'est pas assuré.

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Dominique Malonga, 18 ans, n°1 au rebond et au contre de la Ligue Féminine

A l'issue de la victoire du TGB sur Charleville (69-63), le Quai de l'Adour, qui avait affiché le plein, a rendu un vibrant hommage à Isabelle Yacoubou, qui a annoncé sa retraite dans la semaine.\n\n« Un hommage exceptionnel pour une joueuse et une femme exceptionnelle. Le club a vu naître deux grandes championnes, Céline Dumerc et Isabelle Yacoubou, il faut s’en rendre compte. Merci Isabelle pour tout ce que tu as donné à ce sport et au TGB, » a lancé au micro le maire de Tarbes, Gérard Trémège, rapporte La Dépêche. « Je ne vais pas être très long parce que je ne veux pas pleurer ce soir. Isabelle pour moi c’est plus qu’une joueuse. On a une relation familiale, très personnel. Pour ce que tu as fait pour moi, ce qu’on a fait l’un pour l’autre, je t’aime Isabelle, » a ajouté le coach François Gomez.\n\nLes anciennes coéquipières d'Isabelle Yacoubou avaient donc rempli leur mission en amont de la cérémonie, ce qui leur permet de bien s'installer dans le top 8, et de préparer au mieux leur demi-finale de Coupe de France de dimanche prochain face à Basket Landes à Mont-de-Marsan.\n\nSon retrait en cours de saison interdit à Isabelle Yacoubou de postuler au trophée de meilleure rebondeuse de la LFB car elle n'a joué que 9 matches, or il faut avoir disputé la moitié de ceux de la saison (11 sur 22) +1 pour être éligible. Qui est donc désormais en tête de ce classement ? Son équipière Dominique Malonga avec 9,2 prises et avec comme principale concurrente la Canadienne de Bourges, Kayla Alexander avec 7,9 prises.\n\nOn peut noter un fait remarquable : Dominique Malonga est aussi efficace au rebond défensif (1er ex-aequo avec 5,9) qu'offensif (2e avec 3,3). Face à Charleville, elle en a pris 9 avec 16 points loupant ainsi à une unité près son 9e double double de la saison. Il ne faut pas non plus passer sous silence que sa dissuasion en défense est illustrée par sa pole position au contre (1,5).\n\nNée le 16 novembre 2005, Dominique Malonga a donc 18 ans. C'est -le mot n'est pas trop fort- une prodige et on va vous raconter tout ça demain dans un long portrait.

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Donte DiVincenzo (New York Knicks) : \J'ai l'intention de jouer pour l'équipe d'Italie\

Le New-yorkais a clôturé le mois de février avec d'excellents chiffres : 21,7 points, 4,0 rebonds et 3,1 passes décisives de moyenne, ce qui évidemment réjouit les Italiens qui espèrent l'introduire dans le roster de la Squadra Azzurra pour le Tournoi de Qualification Olympique de juin.\n\n\Mon agent est en discussion avec la fédération, il y a évidemment des démarches administratives à faire et mon père, dont la famille vient des Abruzzes, y travaille, révèle t-il dans La Gazzetta dello Sport. Je pense évidemment à la saison avec les Knicks mais je dois dire que je veux faire ma place dans le basket de la Fiba et j'ai toujours eu le désir de jouer avec l'équipe nationale italienne, ce serait vraiment merveilleux de pouvoir représenter le pays d'origine d'une grande partie de ma famille\.\n\nLe calendrier est serré avec un TQO prévu début juillet. L'Italie sera à San Juan dans le groupe B avec Porto Rico, et Bahrein alors que la Lituanie, le Mexique, et la Côte d’Ivoire seront dans le groupe A.\n\n\Oui, je le comprends mais pour moi ce n'est absolument pas un problème. Je veux me rendre disponible à moyen et long terme, je ne suis pas intéressé à passer un été en équipe nationale et ensuite dire au revoir à tout le monde, je veux me rendre disponible pour les prochaines années. Je considère l'idée de jouer pour l'équipe nationale pendant l'intersaison comme une grande opportunité pour moi et j'ai l'intention de le faire pendant longtemps, si j'en ai l'occasion.\\n\nLe désir de Donte DiVincenzo de jouer pour l'Italie remonte à l'époque de l'université de Villanova.\n\n\Oui, au cours de mes deux premières années d'université, la NBA semblait irréaliste, alors j'ai pensé à l'Europe et à un passeport italien, puis les choses ont changé et je me suis concentré sur ma carrière professionnelle aux États-Unis.L'idée de représenter l'Italie à une compétition de la Fiba m'a cependant toujours attiré, j'en avais aussi souvent parlé avec Nico Mannion (NDLR International de père américain et de mère italienne).On a eu des contacts en vue de l’EuroBasket 2022, mais le Covid a tout ralenti.L’année suivante, j’ai dû me faire opérer de la cheville, puis la free agency est arrivée.Maintenant que j'ai trouvé une nouvelle maison ici avec les Knicks, je me sens bien et je suis prêt à donner toute ma disponibilité pour les rendez-vous Fiba pour les années à venir.Cela semble étrange mais c'est la vérité, pour moi, porter le maillot bleu serait quelque chose de vraiment spécial.J'espère vraiment que cela pourra arriver.\

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Cholet repousse Limoges

Sans son meneur TJ Campbell à plat, mais avec le renfort de l'athlétique Nick Johnson (17 points) bien plus rentable que son prédécesseur Craig Randall, Cholet Basket a profité de la maladresse chronique du CSP (7/31 à trois-points) pour mener tout le match. Mais Nicolas Lang (14 points) s'est réveillé à partir de la fin du troisième acte avant de rater le shoot qui aurait permis au CSP d'égaliser et de viser une prolongation.\n\n🆕 Nick Johnson inscrit son premier panier sous le maillot de @CB_officiel ! 🙌#SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/Y5CCa1wMGU\n\n— SKWEEK (@skweektv) March 3, 2024\n\n\n\nExamen d'entrée réussi pour Nick Johnson\n\nMême si on était un dimanche en début d'après-midi, La Meilleraie était pleine et le public des Mauges a été ravi de voir son équipe prendre le match à bras le corps, en pilonnant son adversaire à l'intérieur avec le toujours impressionnant Neal Sako. CB a ainsi mené 7-0 puis 18-8 (7e) avec seulement deux paniers pour le CSP sur la durée. Un temps-mort a permis au coach Jean-Marc Dupraz de recadrer ses joueurs avec un effet limité en fin de quart-temps, en raison d'une forte maladresse (3/11) conjuguée à 5 balles perdues. 20-13.\n\nLe constat était toujours le même dans le deuxième quart-temps : les Limougeauds mettaient systématiquement à côté de la cible avec des shoots sans rythme, et même ceux qui étaient ouverts ne faisaient pas mouche. Avec un très bon Nick Johnson (10 points en 17 minutes), Cholet aurait pu alors en profiter pour leur enfoncer la tête sous l'eau, mais au contraire, c'est le CSP qui peu à peu a grignoté son retard, qui est passé de -12 (27-15) à -6 (30-24) pour redescendre à -8 (35-27) à la mi-temps. La (non) réussite des Limougeauds à trois-points piquait les yeux : 2/15 !\n\nOh ce toucher d'Ike Udanoh ! 🤩@limogescsp x @LNBofficiel#SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/a1uG1XcHNz\n\n— SKWEEK (@skweektv) March 3, 2024\n\n\n\nNicolas Lang revit mais rate son ultime tentative\n\nAvec notamment deux trois-points de Enzo Goudou-Sinha et un autre de Nick Johnson, Cholet prenait ses aises en début de deuxième mi-temps : 48-32. Nicolas Lang en était à 0/6 dans ses shoots....\n\nDanilo Nikolic faisait alors souffler un vent d'espoir dans les rangs des Verts, imité par Tyree Appleby puis par Nicolas Lang et Lucas Ugolin et de nouveau Nicolas Lang sur un pied au buzzer du quart-temps. C'est donc grâce à une adresse retrouvé que Limoges s'est remis subitement sur les talons de son rival : 56-53.\n\nC'est un nouveau match qui commençait. Kameron McGusty sortait de l'ombre et surtout les Limougeauds fortifiaient leur défense. Ils sont revenus à 59-58, ne sont jamais passés devant et ont été repoussés à 67-62 à 1'30 de la fin.\n\nLe chien fou de Tyree Appleby commettait plusieurs bêtises mais Nicolas Lang faisait preuve de son sang froid habituel même s'il loupait un lancer-franc. L'Alsacien inscrivait un deux-points puis un trois-points à 14 secondes du buzzer. 68-67. Mauvaise soirée pour Tyree Appleby (2/10 aux shoots) qui se faisait mal en bafouillant un dribble. Malgré tout, Nicolas Lang avait le ballon d'égalisation mais son shoot parti du coin droit a rebondi sur le cercle.

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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures

Cholet repousse Limoges\n\nLe Limoges CSP a manqué le hold up de l'année à Cholet qui a mené pendant quarante minutes mais a risqué de tout perdre en fin de match (71-67).\n\nSans son meneur TJ Campbell à plat, mais avec le renfort de l'athlétique Nick Johnson (17 points) bien plus rentable que son prédécesseur Craig Randall, Cholet Basket a profité de la maladresse chronique du CSP (7/31 à trois-points) pour mener tout le match. Mais Nicolas Lang (14 points) s'est réveillé à partir de la fin du troisième acte avant de rater le shoot qui aurait permis au CSP d'égaliser et de viser une prolongation.\n\nCholet repousse LimogesLe Limoges CSP a manqué le hold up de l’année à Cholet qui a mené pendant quarante minutes mais a risqué de tout perdre en fin de match (71-67).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nGrèce : Selon son ancien coach, l'AEK Athènes ne paye pas ses joueurs\n\nDans une interview à Esports BDN, le coach espagnol Joan Plaza a révélé que l'AEK Athènes n'avait pas payé à temps les salaires des joueurs et du staff. Le club dément.\n\nCombien de joueurs français ont raconté leur expérience douloureuse en Grèce où ils n'ont pas touché leur dû (l'Olympiakos et le Panathinaikos payent rubis sur ongle) ? Aussi, on est presque surpris que Joan Plaza découvre les désagréments de s'être engagé avec l'AEK Athènes en juin 2023 avant d'être licencié le 25 janvier dernier.\n\nGrèce : Selon son ancien coach, l’AEK Athènes ne paye pas ses joueursDans une interview à Esports BDN, le coach espagnol Joan Plaza a révélé que l’AEK Athènes n’avait pas payé à temps les salaires des joueurs et du staff. Le club dément.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nDominique Malonga, 18 ans, n°1 au rebond et au contre de la Ligue Féminine\n\nLa Tarbaise Dominique Malonga (1,98 m, 18 ans) est déjà en tête des classements, en Ligue Féminine, de deux secteurs-clé, le rebond et le contre.\n\nA l'issue de la victoire du TGB sur Charleville (69-63), le Quai de l'Adour, qui avait affiché le plein, a rendu un vibrant hommage à Isabelle Yacoubou, qui a annoncé sa retraite dans la semaine.\n\n« Un hommage exceptionnel pour une joueuse et une femme exceptionnelle. Le club a vu naître deux grandes championnes, Céline Dumerc et Isabelle Yacoubou, il faut s’en rendre compte. Merci Isabelle pour tout ce que tu as donné à ce sport et au TGB, » a lancé au micro le maire de Tarbes, Gérard Trémège, rapporteLa Dépêche. « Je ne vais pas être très long parce que je ne veux pas pleurer ce soir. Isabelle pour moi c’est plus qu’une joueuse. On a une relation familiale, très personnel. Pour ce que tu as fait pour moi, ce qu’on a fait l’un pour l’autre, je t’aime Isabelle, » a ajouté le coach François Gomez.\n\nDominique Malonga, 18 ans, n°1 au rebond et au contre de la Ligue FéminineLa Tarbaise Dominique Malonga (1,98 m, 18 ans) est déjà en tête des classements, en Ligue Féminine, de deux secteurs-clé, le rebond et le contre.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLe gros bouillon du Mans à Bourg\n\nPrivée de Zaccharie Risacher, la JL Bourg a submergé Le Mans en première mi-temps pour finir à 86-67.\n\nLe MSB n'a mis que 22 points en première mi-temps (13 et 9 par quart-temps) contre 45 à son adversaire. Cela reste le meilleur indicateur de la supériorité des Burgiens, qui ont fait perdre 19 balles à leurs adversaires sur l'ensemble de la soirée. Les hommes de Freddy Fauthoux se sont un peu relâchés par la suite si bien que Le Mans est revenu au score (Trevor Hudgins a fait le job avec 17 points dont 4/7 à trois-points, 5 rebonds et 4 passes) avant que la Jeu donne un nouveau coup d'accélérateur en fin de match.\n\nLe gros bouillon du Mans à BourgPrivée de Zaccharie Risacher, la JL Bourg a submergé Le Mans en première mi-temps pour finir à 86-67.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nL'incroyable remontada de Gravelines\n\nDonné pour mort pour l'élite début novembre, le BCM Gravelines-Dunkerque est en train de déjouer tous les pronostics. Le voici pour la première fois hors de la zone de relégation.\n\nSaint-Quentin était privé de deux joueurs majeurs, Melvin Ajinça, provisoirement, et Tyger Campbell, définitivement, et \l'enfer\ de Pierre-Ratte ne l'a pas empêché de foirer complètement son troisième quart-temps (14-27) et de concéder une quatrième défaite de suite (68-76). A Gravelines, Chris Babb a été l'homme du match avec ses 20 points, 6 rebonds et 4 passes.\n\nL’incroyable remontada de GravelinesDonné pour mort pour l’élite début novembre, le BCM Gravelines-Dunkerque est en train de déjouer tous les pronostics. Le voici pour la première fois hors de la zone de relégation.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nZeljko Obradovic (coach Partizan Belgrade) : \Je ne me vois nulle part ailleurs que dans ce club\\n\nLe coach le plus titré de l'histoire de l'Euroleague, le Serbe Zeljko Obradovic, a affirmé que le Partizan Belgrade sera son dernier club.\n\nC'est après la victoire du Partizan sur l'Anadolu Efes que Zeljko Obradovic a clairement dessiné son avenir :\n\n\Je ne me vois nulle part ailleurs que dans ce club\, a déclaré le coach serbe rapporteBasketnews.«Je suis fier et heureux que les fans aient déployé une banderole qui me crédite comme l'un d'entre eux.Je suis fier et heureux d'être l'entraîneur du Partizan.Je n'ai aucun doute sur mon avenir.\\n\nZeljko Obradovic (coach Partizan Belgrade) : “Je ne me vois nulle part ailleurs que dans ce club”Le coach le plus titré de l’histoire de l’Euroleague, le Serbe Zeljko Obradovic, a affirmé que le Partizan Belgrade sera son dernier club.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLigue belgo-néerlandaise : Les clubs deviennent actionnaires\n\nPour éviter que la BNXT League ne subisse une banqueroute, l'ensemble des clubs belges et néerlandais vont en devenir actionnaires. Par ailleurs, une nouvelle formule de la compétition est à l'étude.\n\nLigue belgo-néerlandaise : Les clubs deviennent actionnairesPour éviter que la BNXT League ne subisse une banqueroute, l’ensemble des clubs belges et néerlandais vont en devenir actionnaires. Par ailleurs, une nouvelle formule de la compétition est à l’étude.BasketEurope.comLa rédaction\n\nFRANCE\n\n\nSteven Ricard, le joueur le plus prolifique de la Nationale 1\n\nLe poste 2-3 de Rueil, Steven Ricard (2,00 m, 33 ans) est le joueur qui a marqué le plus de points en NM1 depuis la saison 2015-16.\n\nMr Stats, spécialiste comme son nom l'indique des statistiques de NM1, NM2 et NM3, possède une banque de données de neuf saisons, ce qui lui a permis de sortirle classement des top marqueurs de NM1 en cumulé.\n\nSteven Ricard a toujours joué en 3e division depuis la saison 2012-13 sauf un intermède de 13 matches en 2017-18 à Charleville avant de réintégrer très vite son championnat favori. Cela fait six saisons qu'il opère à Rueil. Tous les détails sontici.\n\nSteven Ricard, le joueur le plus prolifique de la Nationale 1Le poste 2-3 de Rueil, Steven Ricard (2,00 m, 33 ans) est le joueur qui a marqué le plus de points en NM1 depuis la saison 2015-16.BasketEurope.comLa rédaction

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Le Programme TV : Villeneuve d'Ascq à un pas du Final Four

Mardi 5 mars :\n\n20h00 : Gravelines/Paris - Betclic Elite - Skweek\n\n20h30 : Malaga/Strasbourg - BCL - DAZN\n\nMercredi 6 mars :\n\n18h00 : Miskolc/Villeneuve d'Ascq - Euroleague Féminine - Skweek\n\n20h00 : Cholet/Bursa - BCL - DAZN\n\n20h00 : Ludwigsbourg/Dijon - BCL - DAZN\n\nJeudi 7 mars :\n\n19h 00 : Monaco/Etoile Rouge - Euroleague - Skweek\n\nVendredi 8 mars :\n\n20h15 : Panathinaikos/Villeurbanne - Euroleague - Skweek\n\nSamedi 9 mars :\n\n16h00 : Le Mans/Nanterre - Betclic Elite - Skweek\n\n18h30 : Bourg/Cholet - Betclic Elite - Skweek\n\n18h30 : Saint-Quentin/Blois - Betclic Elite - Skweek\n\n18h30 : Limoges/Boulogne-Levallois - Betclic Elite - Skweek\n\n18h30 : Roanne/Le Portel - Betclic Elite - Skweek\n\n21h00 : Dijon/Paris - Betclic Elite - Skweek\n\nDimanche 10 mars :\n\n14h30 : Chalon/Villeurbanne - Betclic Elite - Skweek\n\n16h30 : Gravelines/Monaco - Betclic Elite - Skweek\n\n19h00 : Nancy/Strasbourg - Betclic Elite - Skweek\n\nREGARDER LE BASKET FRANÇAIS ET EUROPÉEN LORS DE LA SAISON2023-2024:\nÀ LA TÉLÉVISION TRADITIONNELLE:\nLA CHAINE L'EQUIPE\nLa Chaîne L'Equipe retransmet un match de Betclic Elitechaque dimancheet quelques rencontres d'Euroleague. Disponible gratuitement sur le canal 21 de la TNT.\nBEIN SPORTS\nBeIN Sports diffuse les équipes de France et la NBA. Ses chaines sont accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52, Canal Sat : canaux 66 à 68, Free : canaux 31 à 33, Orange : canaux 46 à 48 ou 176 à 178, SFR : canaux 115 à 117).\nFRANCE 3 REGIONS\nFrance Télévisions retransmet, sur ses antennes régionales, quelques affiches de Pro B et de Ligue Féminine (canaux 301 à 324).\nSPORT EN FRANCE\nLa chaîne gratuite Sport en France diffuse une affiche par journée de Ligue Féminine (SFR : canal 129, Orange : canal 174, Free : canal 190 et Bouygues, canal 192).\n\nSUR INTERNET :\nSKWEEK\nL'intégralité des matches deBetclic Elite, d'Euroleague et d'Eurocup masculine, un match par semaine de Ligue Féminine, de l'Euroleague et de l'Eurocup féminine, le top 8 Coupe de France et du 3x3 sont diffusés en live et disponibles en replay sur la plateformeSkweek.\nLNB TV\nLa plateforme digitale (OTT) de la LNB retransmet l'ensemble des matches de Pro B. Ils sont disponibles en intégralité, en live et en replay. Trois façons d’y accéder: sur le siteLNB, sur le siteLNB TVou en téléchargeant l’application LNB suriOSouAndroid.\nDAZN\nLa plateforme de diffusion d'événements sportifs diffuse les matches des clubs français en BCL. Il est possible d'y accéderpar internetou en téléchargeant l'application suriOSouAndroid.\nYOUTUBE\nLes chaînes YouTube de laFFBB, de laFIBAet de laFIBA 3x3diffusent gratuitement et en direct des matches de leurs compétitions : notamment la Ligue Féminine, l'Eurocup féminine et compétitions internationales de jeunes ainsi que diverses compétitions de 3x3 notamment.\n\n

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Italie : Brandon Jefferson a infligé 7 paniers à trois-points à la Virtus Bologne

Brandon Jefferson (1,75 m, 32 ans) est connu en France pour avoir joué à Orléans (deux ans), Strasbourg et Pau. Après un passage en Chine, il est revenu en Europe pour faire apprécier toutes ses qualités à Sassari, le club dont l'ancien Dijonnais Nenad Markovic est désormais le coach.\n\nBrandon Jefferson tourne depuis le début de saison à 16,0 points avec 45,8% de réussite à trois-points, 4,4 passes et 3,0 rebonds. Sa performance a évidemment particulièrement du poids face à une équipe d'Euroleague.\n\nLors de ce match, Stéphane Gombauld a joué 14 minutes pour 7 points et 3 rebonds et Isaïa Cordinier 20 minutes pour 7 points. Marco Belinelli a été le meilleur marqueur de la Virtus avec 21 points.

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Marine Fauthoux pourrait être prête pour les Jeux Olympiques

Ce dimanche, l'ASVEL a chuté sévèrement à Basket Landes (78-65). Elle était privée de Gabby Williams, repartie aux Etats-Unis pour \raisons personnelles\, et de Marine Fauthoux, qui va manquer le restant de la saison en club. Cependant, Céline Dumerc, qui est à la fois la directrice sportive de Basket Landes et la manager générale de l'équipe de France a donné des perspectives intéressantes à propos de celle qui lui a succédé au poste de meneuse chez les Bleues. Voici ce qu'elle a déclaré au micro de France 3 NoA :\n\n«Elle avait ressenti des douleurs au dos en fin de campagne quand on était en Chine pendant le TQO. Il s'est avéré que c'était une hernie discale donc malheureusement elle a dû se faire opérer il y a quelques jours et ça s'est bien passé. Elle est encore dans la course pour pouvoir être sélectionnée aux Jeux Olympiques. Ca va dépendre un petit peu de son retour mais elle est jeune et je sais qu'elle fera tout pour essayer de retrouver les parquets le plus vite possible. On va commencer la préparation début juin pour être prêt pour les Jeux le 27-28 juillet. On espère que Marine récupère un petit peu avant pour pouvoir être là dès le début avec nous. On lui souhaite un bon repos, une bonne convalescence et on espère la retrouver bientôt.»

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NBA : Encore un match historique pour Victor Wembanyama

Victor Wembanyama est désormais le premier rookie de l’histoire de la NBA à réaliser au moins 25 points, 10 rebonds, 5 passes, et 5 contres deux matches de suite. Face aux Pacers, il a donc compilé 31 points (3/4 à 3-points), 12 rebonds, 6 passes, et 6 contres... Les Spurs sont sortis victorieux 117-105 face à la 8e équipe de la Conférence Est. C'est aussi le cinquième match de Wemby avec au moins 30 points, et le 17èmeavec au moins cinq contres.\n\nEncore une stat ? Il est l'un des trois seuls rookies depuis que les contres sont devenus une statistique officielle en 1973-74 à afficher un match de 30-10-5-5.Les deux autres étaient également des Spurs : David Robinson et Tim Duncan.\n\n\De toute évidence, Victor était spécial à bien des égards. Mais il ne peut pas y parvenir tout seul\, a commenté le coach Gregg Popovitch, qui a apprécié que d'autres joueurs ont été efficaces et collectivement la défense des Spurs a limité l’une des meilleures attaques de la ligue à 105 points.\n\nJusqu'au 14 avril, il reste 21 matches au prodige français pour battre d'autres records.

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NCAA : Caitlin Clark a battu le record de points de Pete Maravich

C'est avec deux lancers-francs lors du match Iowa-Ohio State que Caitlin Clark a surpassé Pete Maravich et ses 3 667 points. Jamais un homme ou une femme n'a marqué autant de points au cours de son cursus universitaire. Lors d'une interview d'après-match, la joueuse d'Iowa a déclaré qu'elle ne savait pas qu'elle venait de battre ce record.\n\n\Quand ils l'ont annoncé et que tout le monde a crié, c'est là que j'ai su. C'est vraiment fou d'y penser. Honnêtement, si tu m'avais dit ça quand ma carrière universitaire a commencé, je t'aurais ri au nez, en disant 'non, tu es fou.'\\n\nMême le président des Etats-Unis, Joe Biden est intervenu sur les réseaux sociaux pour féliciter la joueuse.\n\n\Félicitations à Caitlin Clark pour avoir marqué l'histoire en tant que meilleure marqueuse de tous les temps de la NCAA. Avec 3 685 points et plus, vous avez rendu votre école fière\, a t-il écrit.\n\nCaitlin Clark en est à 32,3 points de moyenne cette saison marquant jusqu'à 49 points en un seul match le mois dernier contre Michigan. Ses autres stats en la matière :\n\n * 55 matchs à 30 points (dont 18 cette saison), le plus grand nombre par une joueuse de Division I au cours des 25 dernières saisons.\n * 17 triple-doubles (dont six cette saison), ce qui la place au deuxième rang de l'histoire de la DI derrière Sabrina Ionescu (26).\n * 12 matchs à 40 points (dont quatre cette saison), le plus grand nombre par une joueuse de DI au cours des 25 dernières saisons.\n\nCaitlin Clark a annoncé jeudi sur les réseaux sociaux qu'elle terminera sa carrière universitaire cette année et qu'elle ne reviendra pas pour une cinquième saison même si cela aurait été possible via la dérogation COVID-19.\n\n\Même si cette saison est loin d'être terminée et que nous avons encore beaucoup d'objectifs à atteindre, ce sera ma dernière dans l'Iowa\, a écrit Clark.\Je suis ravi de participer à la draft 2024 de la WNBA.\\n\nLes points en carrière NCAA :\n\n1. Caitlin Clark, Iowa (2020-2024) : 3 685\n2. Kelsey Plum, Washington (2013-2017) : 3 527\n3. Kelsey Mitchell, État de l'Ohio (2014-2018) : 3 402\n4. Jackie Stiles, État du Missouri (1997- 2001) : 3 393\n5. Dyaisha Fair, Buffalo/Syracuse (2019-2024) : 3 328\n6. Brittney Griner, Baylor (2009-2013) : 3 283\n7. Patricia Hoskins, État de la vallée du Mississippi (1985-1989) : 3 122\n8. Lorri Baumann, Drake (1980-1984) : 3 115\n9. Jerica Coley, CRF (2010-2014) : 3 107\n10. Rachel Banham, Minnesota (2011-2016) : 3 093\n\n\n\n\n

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Vidéo : La perf de Damien Inglis lors de Valence -Palencia

Dans le championnat espagnol, Damien Inglis tourne à 6,9 points, 5,5 rebonds, 2,2 passes et 1,0 interception en 21 minutes sur 23 matches.\n\nSes 111 points sans prolongation égale la sixième meilleure performance de l'équipe de Valence dans un match de la Ligue Endesa.\n\n\n\nPos.PointsRésultatRivalTemp.112179-121RETAbet.es GBC2015-162120122-120CAI Saragosse2012-133113113-111Uxue Bilbao2012-134112112-82BAXI Manrèse2020-21=112112-83Ténérife n°11988-896111111-93Zunder Palencia2023-24=111104-111Domination Bilbao2015-16\n\n\n\n\n

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Mike James MVP du mois de février de l'Euroleague

La progression de l'AS Monaco au classement de l'Euroleague au cours du mois le plus court de la saison a tout à voir avec les performances sans égal de la superstar Mike James, choisi par l'Euroleague Basketball comme MVP du mois de février.\n\nJames a montré son leadership à chaque étape lors des trois victoires – dont deux à l'extérieur – contre des équipes qui avaient débuté le mois devant Monaco au classement. Il a été le leader de Monaco en termes de score, d'évaluation ou les deux dans les trois matches. Ce faisant, James a aidé Monaco à prolonger sa séquence de victoires à six matchs, à passer de la sixième à la quatrième place et à faire plusieurs pas de plus vers une qualification pour les playoffs – tout en poursuivant sa quête d'obtenir très vite la première place du classement des marqueurs de tous les temps de l'Euroleague.\n\nL'Américain devient le MVP du mois pour la cinquième fois au cours de ses 10 saisons en Euroleague à ce jour. Seul Nikola Mirotic de Milan en a remporté davantage, avec sept trophées entre ses passages au Real Madrid et au FC Barcelone. James a désormais remporté le titre mensuel de MVP lors de quatre saisons consécutives, une première.\n\nEn février, le Monégasque a mené son équipe dans cinq catégories statistiques différentes sur trois matchs : points (20,3), rebonds (6,0), passes décisives (3,7), interceptions (1,7) et PIR-évaluation (22,6). Et grâce en grande partie à ses efforts, Monaco a été l'une des deux seules équipes en février à remporter ses trois matchs. Il recevra son trophée d'un prochain match à domicile.\n\n

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Limoges : Céline Forte annonce l'arrivée prochaine d'un nouvel investisseur

On sait que le CSP est depuis plusieurs mois dans l'oeil du cyclone et que la mairie de Limoges a décidé de suspendre sa subvention et demandé à ses dirigeants d'ouvrir le capital du club afin de couvrir ses dettes\n\n«Chers supporters, partenaires et membres de la famille CSP,\n\nJe tiens à partager avec vous une nouvelle déterminante qui façonnera l'avenir de notre club.\n\nDans notre quête de compétitivité, et dans la poursuite de la trajectoire entamée en juin dernier, j’ai pris la décision d'ouvrir une nouvelle fois le capital.\n\nNous travaillons depuis plusieurs mois maintenant afin d’attirer de nouveaux investisseurs, déterminés à propulser notre équipe vers de nouveaux sommets.\n\nCe que je peux vous garantir, à ce jour, c’est que ce nouvel actionnaire national accompagné par un groupe d'acteurs locaux entreront non seulement au capital de manière significative mais apporteront également un soutien financier durable sous la forme d’un partenariat chaque saison.\n\nL'annonce officielle de ces changements stratégiques aura lieu dans les prochaines semaines.\n\nEn attendant, en cette période cruciale, j'appelle chacun d’entre nous à faire preuve d'unité et de solidarité envers notre équipe. Faisons front commun, de manière constructive et positive. C’est dans cette union sacrée que réside notre force.\n\nPlus que jamais, soyons unis derrière nos joueurs afin d’assurer notre place dans l’élite la saison prochaine.\n\nEnsemble.\n\nPour l’amour du maillot.»\n\nCéline Forte

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ITW Rémy Valin, coach de Denain: «Je suis un dinosaure»

Comment vous êtes-vous retrouvé joueur à l’AS Monaco (2000-02), qui était alors dans l’anonymat de la Nationale 2?\nDerrière mes deux ans à Rouen, j’étais parti vivre sur la Côte d’Azur. J’ai signé à Monaco surtout pour entraîner les sections jeunes, poussins, benjamins, école de basket et j’y ai joué aussi, tout simplement. Je connais bien la Côte d’Azur car ma famille est niçoise.\n\nVous vous êtes retrouvé ensuite à Tahiti à l’AS Aorail, comme joueur et comme entraîneur de l’équipe de Tahiti des moins de 20 ans. Pourquoi et comment?\nGeorgy Adams (NDLR: ancien international originaire de Tahiti) a passé un an à Monaco, il est parti, et il m’a appelé lors de ma dernière année à Monaco et avec un autre joueur, il nous a proposés de venir à Tahiti. Moi pour m’occuper de la formation des cadres et du Pôle Espoirs minimes et de la sélection nationale de Tahiti des moins de 20 ans. J’étais aussi instituteur et je jouais, je partais dans les îles, à Bora-Bora, etc. Il y a eu des changements au niveau de la politique locale qui changeaient un peu la donne, et au bout d’un an j’ai préféré rentrer même si ça a été une super expérience humaine. Je n’y suis jamais retourné depuis, c’est mon grand regret, mais j’ai revu certains de mon club quand ils sont venus en France jouer des matches de Coupe de France.\n\nComment avez-vous déniché le poste de coach des espoirs à Rouen? Via votre agent, par CV, par relation?\n\nJe suis Parisien mais mon père a habité à Rouen et j’y ai fait mes études, le STAPS, à 18-20 ans. J’ai joué à Mont Saint-Aignan, le club des frères Parker et de Pierric Poupet. Ils étaient en Minimes nation quand j’étais dans ce club-là. Donc c’est par relation que je suis retourné là-bas. Ils cherchaient quelqu’un, je revenais en France et je voulais me diriger vers l’entraînement. Je connaissais beaucoup de monde et ce qu’ils m’ont proposé m’intéressait. C’était revenir dans un environnement que je connaissais.\n\nLe meilleur moyen de mettre le pied à l’étrier comme coach dans le milieu professionnel, surtout quand on n'a pas été joueur de haut niveau, c’est de faire comme vous à Evreux. Etre assistant et profiter de la mise à l’écart du head coach comme cela est arrivé en 2007 lorsque Pascal Thibaud a été dessaisi de ses fonctions?\nAvoir été un joueur de haut niveau ou pas, je pense que ça ne change pas grand-chose étant donné le peu de places qu’il y a. A moins de s’appeler Antoine Rigaudeau, et encore. Oui, c’est souvent comme ça que ça se passe. Dans la plupart des cas, la bascule pour passer coach pro, elle arrive comme ça ou lorsqu’un coach part à la fin d’une saison et que le club décide de faire confiance à l’assistant.\n\n«Je dois être l’un des rares coaches à ne pas avoir raté une journée depuis les espoirs en 2005-2006»\n\nVous comptez 18 saisons de Pro B. Outre les compétences techniques, quelles sont les qualités requises: l’endurance, la faculté de se remettre perpétuellement en question, les bonnes relations avec le milieu notamment les agents?\nJe n’ai jamais été coupé... La première des choses, c’est qu’il faut être endurant dans la tête, savoir se remettre en question surtout sur les dernières années où le basket a énormément évolué. Tout va très vite, il faut savoir s’adapter. J’en parlais dernièrement avec mon agent car même si je n’ai que 46 ans, je suis un dinosaure avec quasiment 20 saisons. Si on reste sur ses acquis, sur ce qui se passait avant, on ne peut pas continuer à exister. C’est de plus en plus dur. Tout va plus vite que ce soit dans le basket comme dans tout. Les technologies ont changé et l’accès à l’information est différente. La première chose, c’est d’être endurant car c’est un métier avec beaucoup de pression. Et ce n’est pas la pression sur un, trois, quatre, cinq ans mais elle se cumule au fil des années. C’est valable pour le basket comme pour d’autres corps de métier. Cette pression-là peut fatiguer. Il faut trouver des moyens autres, du sport, pour durer. Je dois être l’un des rares coaches à ne pas avoir raté une journée depuis les espoirs en 2005-2006.\n\nVous faites de la boxe et du judo comme dérivatifs?\nLe judo, c’était quand j’étais jeune, j’en ai fait beaucoup, je n’en fais plus. Cela fait cinq ans que je pratique la boxe, j’en fais beaucoup. C’est pour le bien-être physique et mental. Pour d’autres, c’est autre chose, peut-être la cuisine. Moi, c’est le sport. C’est sûr que c’est un métier qui demande beaucoup d’endurance. Quand on reste dans le même club, ça va encore, mais quand on change de club, d’environnement, avec de nouveaux challenges, ce sont des mises en danger et c’est assez épuisant parce qu’on se retrouve avec des pressions qui sont multipliées. Il y a aussi le fait que je n’ai jamais eu un budget dans les huit premiers. J’ai fait pas mal de bonnes saisons mais il y en a aussi qui sont un peu plus dures, et tous les coaches vous confirmeront que ce sont des saisons où il faut psychologiquement tenir. Il faut aussi à des moments se détacher des choses, relativiser. On voit qu’il y en a qui n’ont pas tenu dans ce métier. Ce n’est pas forcément une qualité que d’être endurant, de supporter la pression et de continuer à être coach (rires).\n\nL’une des conséquences, c’est que l’on voit des coaches qui grossissent énormément?\nCela a été mon cas aussi et c’est pour ça que je me suis remis au sport. Ce n’est pas inhérent au métier de coach. Les patrons de PME, les gens qui sont soumis à du stress dans la durée, ça a forcément des répercussions.\n\nDepuis vos débuts, comment a évolué la Pro B, notamment au niveau des staffs techniques et médicaux?\nC’est le jour et la nuit. Tout s’est amélioré, les compétences par l’afflux d’information, les nouvelles connaissances que l’on a, auxquelles les coaches ont aujourd’hui facilement accès. Avant c’était plus difficile de progresser de par l’information qui n’était pas aussi disponible. Maintenant, il y a des logiciels partout. Le scouting, la préparation physique ont énormément évolué, pareil pour le médical car tout ça suit les avancées technologiques. L’année prochaine, avec trois descentes, le niveau de la Pro B va être incroyable. Pour moi, seulement seize équipes en Betclic, ça n’a pas de sens. On va avoir en Pro B des équipes avec des salles de 6 ou 8 000 places. Nous aussi à Denain on aura une arèna. Les staffs s’agrandissent.\n\n«Je n’entraîne pas pour être dans la lumière. Je peux entraîner en N1 ou en N2, ça sera le même métier pour moi»\n\nVous avez été fait citoyen d’honneur de la ville de Denain. C’était à quelle occasion?\nJ’ai été fait citoyen d’honneur à Evreux et à Denain. Les deux fois à l’occasion de mes départs. Ce sont des distinctions, surtout à Denain, qui sont au-dessus du trophée de Meilleur coach de Pro B que j’ai pu avoir en 2013 carça touche une sphère complètement différente. C’est une véritable reconnaissance de la ville, de la maire, des dirigeants, de tout le monde. Quelque part, on a fait plaisir aux gens et on a réussi à s’intégrer dans un territoire qui n’est pas le nôtre à la base, en respectant les valeurs, les gens. A Denain, juste avant de partir à Fos, dans le symbole, ça m’a vraiment touché.\n\nOn vous a donné un diplôme?\nNon, une médaille, et on vous déclare citoyen d’honneur de la ville.\n\nIl y a deux ans, vous êtes donc allé pour la première fois dans l’élite. Qui avait décidé de votre départ de Denain? Le club, vous?\nC’était moi. A Évreux, j’étais encore très jeune avec beaucoup d’énergie et j’étais resté neuf ans en tout. Là, à Denain, ça faisait cinq ans, et comme je n’avais jamais été coupé, je n’avais pas pu recharger mes batteries. Aussi, alors qu’il me restait un an de contrat, ma première envie, c’était de faire un break ou de partir à l’étranger. Quand j’ai annoncé ça à mes agents, je n’avais aucun plan dans ma tête, aucun club en face. Finalement, Rémi Giuitta m’a appelé pour me proposer le poste à Fos. Après réflexion avec ma famille, j’ai décidé de tenter l’aventure en Betclic Elite.\n\nComme vous le disiez, faire autant d’années sans vous retrouvez au chômage, c’est rarissime dans un métier où il y a beaucoup de remue-ménageet vous étiez prêt à prendre le risque d’un break?\nLe métier de coach est très particulier. En plus, je suis loin de ma famille en permanence qui est en région parisienne. On se voit les week-ends. Il y avait pas mal de choses... mais en définitive, je ne me suis pas arrêté (sourire). Mais, oui, j’étais prêt à prendre le risque. J’étais prêt à repartir en Nationale 1 douze mois plus tard. Ça ne me dérange pas, je n’entraîne pas pour être dans la lumière. Je peux entraîner en N1 ou en N2, ça sera le même métier pour moi.\n\nEt l’étranger, que peut-il y avoir comme piste pour un Français sachant qu’il y a peu de coaches hors de nos frontières et aucun dans une ligue majeure?\nCela aurait pu être comme assistant car je m’entends très bien avec plusieurs coaches étrangers dans plusieurs pays, qui m’avaient déjà parlé de deux ou trois trucs comme ça, dans de grosses structures. Head coach, c’est plus en Belgique, en Suisse. Je suis parti à Tahiti, je peux partir n’importe où.\n\nVous avez perdu 9 matches par cinq points et moins dont un buzzer beater à Cholet, une défaite 82-83 face aux Métropolitans, et Dylan Affo Mama était blessé pour les matches décisifs. C’est forcément très frustrantsurtout pour une première année ?\nC’est ce qu’on s’est dit avec les joueurs. Généralement, quand on descend, c’est suite à une année qui n’a pas été bonne, mais là j’ai adoré le groupe, chacun des joueurs qui ont fait toute la saison. Même si on a eu du mal en octobre-novembre, les joueurs ont tout donné. Je pense que la blessure de Milan Barbitch au mois de janvier-début février nous a fait mal. On ne se prend en fait que des bananes sur le recrutement d’un 2 US. Ça dure un mois jusqu’à l’arrivée d’RJ Nembhard, qui lui aussi ne fait qu’un match et qui après pour d’obscures raisons a décidé de nous lâcher. La blessure de Milan et le fait de ne pas avoir de poste 2 américain pendant plusieurs mois, ça nous a enlevé des matches. Et je pense qu’avec Dylan, on aurait pu en prendre un de plus à la fin. On ne va pas se plaindre, c’est l’histoire des saisons, mais c’est vrai que le poste 2 US, on ne l’a jamais vraiment trouvé de la saison. Il y a eu aussi des situations en fin de match où le ballon ne tourne pas là où il devrait tourner. On n’est pas loin au bout du compte et je suis très fier de ce qu’ont fait les joueurs, le staff médical, le staff sportif, ce que tout le monde a fait pour essayer de se maintenir. Ça a été malgré tout une belle saison.\n\nVous avez joué des matches à Marseille avec Fos. Pensez-vous que la ville puisse un jour accueillir pour de bon un club de basket d’élite?\nJe n’y ai passé qu’un an, il faut demander à Rémi Giuitta!\n\nVous avez justement un regard extérieur...\nJe ne sais pas parce que Fos a sa propre identité. Ils veulent faire un club de la Provence et ça peut marcher car ce n’est pas si loin que ça. Mais vous savez que pour faire un club comme ça, il faut des volontés politiques communes. Ce qui est sûr, c’est que l’année dernière, à chaque fois que l’on a joué à Marseille en Betclic, soit cinq matches, la salle était pleine ou pas loin. Ça peut exister.\n\n«Moi, après vingt ans, je peux encore regarder quinze matches par semaine de basket plus le scouting de notre adversaire de la semaine...»\n\nVous aviez signé deux ans à Fos. Pourquoi ce retour imprévu à Denainau bout d’une seule année?\nA Fos, l’histoire d’amour n’a pas super bien commencé avec cette descente. Toute l’année, j’ai eu au téléphone le président de Denain (Yohan Senez), Mehdi (NDLR: Chalah, le manager général) pour de longues conversations. Et puis, je savais qu’ils cherchaient un coach, François Sence étant en arrêt maladie, on a discuté, et il y a eu un possible retour au club comme coach ou directeur sportif. Finalement, ça a été coach.\n\nLa Betclic Elite et la Pro B sont-ils deux mondes parallèles? Vous sentez-vous appartenir à l’élite quand vous êtes en Pro B?\nJ’ai fait trois fois la Betclic puisqu’en tant qu’entraîneur espoir, on est dans le staff. Ce sont deux divisions bien distinctes qui sont sous l’égide de la LNB. Les règlements ne sont pas les mêmes sur plein de choses, le niveau de jeu n’est pas le même. La Pro B va être incroyable la saison prochaine et la Betclic va être aussi fantastique en terme de budgets. Il y a un énorme gap entre les deux mondes qui risque de s’agrandir encore. Il n’y a pas tellement d’interactions sinon peut-être entre les présidents et les GM. Pas pour un coach.\n\nLorsque vous êtes en Pro B, regardez-vous des matches de l’élite et inversement, l’année dernière, à Fos, visionnez-vous des matches de Pro B?\nEn Pro B, je regarde beaucoup de matches de Pro A et bien sûr de Pro B. Quand on est en Betclic, j’ai plus regardé des matches de coaches qui sont des copains ou de joueurs que je voulais voir. Quand je suis en Pro B, j’essaie de regarder beaucoup de matches de Betclic, quelque soit le club.\n\nPour apprendre des choses? Pour le plaisir?\nLes deux. Il faut toujours regarder ce qui se fait, l’Euroleague, l’Eurocup, la Betclic. Je me souviens d’une belle phrase de Philippe Hervé qui disait «le temps mesure la passion que tu as pour ce métier-là». Moi, après vingt ans, je peux encore regarder quinze matches par semaine de basket plus le scouting de notre adversaire de la semaine, continuer à entraîner et voir toujours les mêmes conneries des joueurs (rires). Je regarde énormément de matches tout simplement parce que j’aime ce sport.\n\n«À 20 équipes, ça sera peut-être un peu différent, il y aura peut-être plus de hiérarchie»\n\nDenain est une ville historique du basket avec Jean Degros, Jean-Pierre Staelens, Hervé Dubuisson, Valéry Demory. Est-ce que ça se ressent en ville, dans la salle?\nBeaucoup de clubs ont une grande histoire dans le basket français...\n\nMoins en Pro B?\nOui, on a été champion de France, et tout*. C’est le club de la ville qui n’est pas grande donc forcément ça a une grande importance, ça se ressent au jour le jour (NDLR: Denain compte 20 000 habitants).\n\nLe signe d’un impact populaire c’est le fait que la saison dernière, il y a eu dix matches à guichets fermés, et cette saison 97 % de remplissage pour la phase aller. Et que la construction d’une salle de 5 000 places pour un coût de 20M€ est annoncée pour 2026?\nOui, la construction est actée. C’est le basket en France et c’est pourquoi il ne faut pas tuer le basket des petites villes même si ça va être de plus en plus compliqué pour elles d’y arriver. Il y a Cholet, une ville comme Tours n’est pas non plus une grande métropole et ils ont eu une très belle équipe dans les années 70-80 (NDLR: champion de France en 1976 et 1980, finaliste de la Coupe des coupes en 1976), il y a eu Berck. Il y a plein de belles histoires dans le basket français avec les petites villes.\n\nUn mot sur Neftali Difuidi, qui a doublé ses stats d’une année sur l’autre?\nNef est quelqu’un qui a de vraies qualités athlétiques, qui peut faire beaucoup de choses en attaque. Il faut qu’il murisse sur plein d’aspects dans son jeu, qu’il continue de travailler encore une bonne année pour s’améliorer dans beaucoup de secteurs, défensivement, dans la compréhension du jeu globale, même si c’est quelqu’un qui comprend. C’est quelqu’un qui a beaucoup d’atouts, c’est un joueur d’instinct, qui a besoin d’énormément de confiance, qui a besoin d’un contexte pour être performant. C’est pour ça que c’est le type de garçon qui doit prendre le temps pour choisir le bon environnement pour la suite de sa carrière. C’est aussi un gamin qui a beaucoup de chance car il est passé entre les mains de Julien Mahé et Germain Castano, Saint-Quentin et Orléans, des équipes qui ont gagné. Il performe plus cette année car il a travaillé dans de bonnes conditions ces deux saisons. C’est un joueur qui peut avoir un bel avenir.\n\nDenain est actuellement 14e au classement. Vous avez un oeil sur les playoffs et un autre sur la zone de relégation?\nExactement. C’est la Pro B, c’est terrible. Vous pouvez battre des équipes du top 8, et être battu par des équipes du bas de tableau, beaucoup de matches sont hyper serrés. Il n’y a pas beaucoup de places pour les erreurs et, à part pour Vichy, La Rochelle et Boulazac, cette fin de saison va être encore la guerre.\n\nPourquoi est-ce aussi incertain? Et c’est un phénomène que l’on retrouve aussi en Betclic Elite cette saison au-delà du top 5?\nIl y a déjà un règlement en Pro B qui veut que l’on a droit à un Américain et trois Bosman-Cotonou. Quoiqu’on en dise, ça a un vrai impact. Avec trois Américains, le club qui avait vraiment de l’argent - même si avec Evreux, on avait un peu défié ces pronostics-là - pouvaient taper des joueurs US de très bon niveau. Aujourd’hui, si on se trompe sur l’Américain, les Bosman-Cotonou, c’est beaucoup plus aléatoire. La deuxième chose, c’est qu’il y a de plus en plus de jeunes joueurs français qui ne progressent pas au même rythme, l’un pouvant exploser plus vite que l’autre. Il y a le fait que tous les budgets augmentent et que ça se resserre. C’est une division qui se renouvelle de plus en plus avec de nouveaux coaches et ça repart dans l’inconnu à chaque début de saison. A 20 équipes, ça sera peut-être un peu différent, il y aura peut-être plus de hiérarchie.\n\nL’arrivée du meneur Courtney Fortson, 36 ans, au fort pedigree, doit être le plus pour vous permettre d’atteindre les playoffs? Elle est fondamentale pour la deuxième partie de saison?\nOui. C’est pour ça qu’on a fait ce changement. Surtout sur le poste de meneur de jeu. On a préféré partir sur un meneur qui fasse plus jouer les autres que Chris (Lykes) qui avait un vrai talent mais qui débutait un peu sa carrière de meneur. Là, on a privilégié la piste d’un meneur avec beaucoup d’expérience, qui connaît plus les codes, le jeu. Il a été dans le cinq majeur de l’Eurocup, il a été joué en Chine et on sait que ce ne sont pas des petits Américains qui y vont. Il sait ce qu’il fait quand il est sur un terrain.\n\n*Denain Voltaire a été champion de France en 1965, gagné la Coupe de France en 1960 et la Leaders Cup Pro B en 2018 avec Rémy Valin comme coach.

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JO de Paris : 5 matches de préparation pour les Bleues

Les Bleues se retrouveront dès lejeudi 6 juin à l’INSEP (Paris)avec les traditionnels bilans médicaux et le Media Day. Elles prendront ensuite la direction d’Anglet (64) pour un premier stage de préparation du 9 au 19 juin.\n\nAprès quelques jours de repos, les joueuses de Jean-Aimé Toupane se retrouveront àLa Roche-sur-Yon (85)le 23 juin pour la deuxième partie de la préparation, qui les verra affronter à deux reprises laFinlande au Vendéspace (4 000 places),samedi 29 juin et lundi 1erjuillet. Elles se réuniront ensuite à Lyon (69) le 6 juillet pour un nouveau stage qui se terminera par un match face à laSerbie le vendredi 12 juilletà laLDLC Arena(12 000 places), théâtre le même jour d'un France-Serbie masculin.\n\nEnfin, les Bleues termineront leur préparation par un dernier stage àReims (51)à partir du 16 juillet, où elles disputeront leurs derniers matches de préparation avant les J.O. à laReims Arena(5 500 places)le vendredi 19 et le dimanche 21 juillet, à l’occasion d’un tournoi à 4 équipes réunissant outre laFrance,laBelgique(championne d’Europe en 2023), laChine(vice-championne du Monde en 2022) et leJapon(vice-champion olympique en 2021). Les confrontations directes entre ces quatre équipes seront déterminées à l’issue du tirage au sort des Jeux Olympiques, qui se déroulera au siège de la FIBA à Genève (Suisse) le 19 mars prochain.\n\nL’Équipe de France rejoindra ensuite Lille le mardi 23 juillet pour prendre ses quartiers au village olympique lillois, quelques jours avant son entrée dans la compétition.\n\n

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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures

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Le terrain, l’enjeu, l'adrénaline... ça me permet de progresser dix fois plus vite qu’à l’entraînement, raconte l’intérieure de 18 ans, prêtée par le club lyonnais et boostée par la confiance de son entraîneur François Gomez.J’encaisse plus les chocs qu’avant, je résiste mieux à l’intensité. Tarbes m’a apporté tout ça.”\n\nL’éponge Dominique Malonga : “Être numéro un de la draft WNBA n’est pas impossible”Troisième scoreuse de l’équipe de France lors du TQO en Chine, Dominique Malonga, 18 ans, prend de l’épaisseur en Ligue Féminine. François Gomez, Isabelle Yacoubou et Jean-Aimé Toupane sont unanimes au sujet de “l’éponge”, qui vise la première place de la draft WNBA 2025. Rencontre à Tarbes.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nLe Programme TV : Villeneuve d'Ascq à un pas du Final Four\n\nLa semaine est marquée par la tentative de Villeneuve d'Ascq d'aller au Final Four de l'Euroleague féminine. 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Nikola Jokic : \Mike James est un scoreur acharné\

Alors que Nikola Jokic se bat avec les Nuggets pour prendre la première place de la Conférence Ouest, il suit néanmoins les affaires du basket européen. Avant d'entrer en NBA en 2015, le Serbe a joué trois ans avec Mega dans le championnat national et l'ABA League. Il n'a jamais fréquenté l'Euroleague mais la meilleure compétition mondiale hors NBA l'intéresse fortement.\n\nIl ne manque plus que 12 points à Mike James pour dépasser le Grec Vassilis Spanoulis pour la première place du classement des marqueurs de tous les temps et il est probable que c'est jeudi que l'Américain va entrer un peu plus dans la légende, à l'occasion de la venue à Monaco d'une équipe serbe, l'Etoile Rouge de Belgrade.\n\n\C'est difficile à faire, Spanoulis est une légende là-bas, mais Mike joue au plus haut niveau. Ils étaient dans le dernier carré la saison dernière, il mène l'équipe. C'est un scoreur acharné\, a commenté Nikola Jokic.\n\nSur twitter, Mike James a montré que la remarque de la superstar serbe ne l'a pas laissé indifférent.\n\n🙌🏽🙌🏽🙌🏽🙌🏽📈 https://t.co/l0v1TbLNWp\n\n— Mike James (@TheNatural_05) March 3, 2024\n

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Euroleague : Le Barça va toujours se contenter du Palau Blaugrana

Le club catalan avait réalisé une enquête auprès de ses abonnés pour savoir s'ils étaient disposés à ce que certains matches aient lieu à Sant Jordi, une enceinte située sur la montagne olympique de Montjuïc construite pour les JO de 1992, et qui peut accueillir jusqu'à 17 000 spectateurs. La réponse a donc été négative.\n\nLe Barça va donc continuer de se produire auPalau Blaugrana - inauguré en 1971 et qui compte environ 7 500 places. La salle ne répond donc pas aux conditions exigées par l'Euroleague en termes de capacité d'accueil, mais disons que l'organisation - basée à Barcelone - fait preuve de clémence.\n\nLa section basket du Barça a un besoin impérieux de recettes supplémentaires lorsque l'on sait que le conseil d'administration du club prévoit de réduire ses investissements de 170 millions d'euros passant de 1,1 milliard d'euros à 930 millions d'euros. La section basket a déjà freiné ses dépenses - ses dérapages - en septembre dernier à hauteur de 17 millions d'euros.\n\nLa masse salariale pour la saison 2023-2024 a été réduite de 30 %, passant d'une quarantaine de millions d'euros en 2022-2023 à 27,2 millions d'euros cette année. C'est dans ce contexte que Nikola Mirotic, qui avait un salaire d'environ 5 millions d'euros par saison, et le coach Sarunas Jasikevicius ont été priés de partir sous d'autres cieux.

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Sondage DG de la BCL : Tidjane Salaün et Cholet à l'honneur

Unicaja Malaga est le favori pour remporter l'épreuve et Levi Randolph (Hapoël Jerusalem) pour s'approprier le trophée de MVP mais à bientôt 41 ans, le Brésilien Marcelinho Huertas (Tenerife) bénéficie d'un immense respect.\n\nAnnoncé en haut de la prochaine draft, Tidjane Salaun est désigné comme étant le jeune espoir le plus excitant, et les Directeurs Généraux ont été surpris par les performances de son club de Cholet.\n\nQui remportera le Final Four de la Basketball Champions League ?\n\nUnicaja Malaga 54,5%\nHapoël Jérusalem 36,4%\nLenovo Tenerife 9,1%\n\nQuelle équipe vous a le plus surpris cette saison ?\n\nCholet Basket 27,2%\nTelekom Baskets Bonn 18,2%\nMHP RIESEN Ludwigsbourg 18,2%\nOnt également reçus des votes : Tofas Bursa, UCAM Murcia, Galatasaray, JDA Dijon\n\nQuelle équipe est la plus amusante à regarder ?\n\nUnicaja Malaga 36,4%\nMHP RIESEN Ludwigsbourg 27,2%\nOnt également reçu des votes : Rio Breogan, Hapoel Jerusalem, UCAM Murcia, Cholet Basket\n\nQuelle équipe est l’adversaire le plus coriace ?\n\nHapoël Jérusalem 27,2%\nLenovo Tenerife 18,2%\nUCAM Murcia 18,2%\nOnt également reçu des votes : Telekom Baskets Bonn, Unicaja Malaga, Pinar Karsiyaka, Promitheas Patras\n\nQuelle est l’arèna où c'est le plus difficile de jouer ?\n\nPinar Karsiyaka 54,5%\nUCAM Murcia 18,2%\nOnt également reçu des votes : Unicaja Malaga, PAOK Salonique, Promitheas Patras\n\nQui est le meilleur entraîneur de la compétition ?\n\nSito Alonso 45,4%\nIbon Navarro 36,4%\nTxus Vidorreta 18,2%\n\nQui remportera le trophée de MVP de la saison ?\n\nLevi Randolph 36,4 %\nAustin Wiley 18,2 %\nOnt également reçu des votes : Kendrick Perry, Marcelinho Huertas, Giorgi Shermadini, Tyson Carter, Vernon Carey\n\nQuel joueur est le meilleur marqueur ?\n\nLevi Randolph 45,4 %\nAnthony Cowan 18,2 %\nOnt également reçu des votes : Darrun Hilliard, Errick McCollum, Kendrick Perry, Kyle Guy\n\nQuel joueur est le meilleur passeur ?\n\nMarcelinho Huertas 63,6%\nJoe Ragland 36,4%\n\nQuel joueur est le meilleur shooteur?\n\nKlemen Prepelic 27,3 %\nCraig Randall 18,2 %\nOnt également reçu des votes : Hunter Hale, Justin Smith, Kyle Guy, Marcus Denmon, Sasu Salin, Vitto Brown\n\nQuel joueur est le meilleur défenseur ?\n\nAlberto Diaz 45,4 %\nHoward Sant-Roos 18,2 %\nOnt également reçu des votes : Austin Wiley, Gerald Ayayi, Vernon Carey, Rodions Kurucs\n\nQui est le meilleur big man ?\n\nGiorgi Shermadini 36,4 %\nVernon Carey 36,4 %\nAustin Wiley 18,2 %\nDavid McCormack 9,1 %\n\nQui est le meilleur joueur polyvalent ?\n\nHoward Sant-Roos 36,4 %\nLevi Randolph 27,3 %\nOnt également reçu des votes : Darrun Hilliard, JJ O'Brien, Marcelinho Huertas, Paul Lacombe\n\nQui est le meilleur leader ?\n\nMarcelinho Huertas 54,5%\nOnt également reçu des votes : Alberto Diaz, David Holston, Joe Ragland, Levi Randolph, TJ Campbell\n\nQuel est le joueur le plus respecté de la ligue ?\n\nMarcelinho Huertas 80%\nErrick McCollum 10%\nJoe Ragland 10%\n\nQuel est le joueur le plus athlétique de la ligue ?\n\nAustin Wiley 40 %\nTidjane Salaun 20 %\nOnt également reçu des votes : David McCormack, Joe Ragland, Nysier Brooks, Zach Hankins\n\nQuel joueur choisiriez-vous pour prendre le shoot de la gagne?\n\nErrick McCollum 27,3 %\nLevi Randolph 18,2 %\nSpeedy Smith 18,2 %\nA également reçu des votes : Craig Randall, Darrun Hilliard, Hunter Hale, Kyle Guy\n\nQuel joueur oblige les entraîneurs adverses à faire le plus d’ajustements ?\n\nMarcelinho Huertas 18,2 %\nOnt également reçu des votes : Anthony Cowan, Darrun Hilliard, Dylan Ennis, Kendrick Perry, Kyle Guy, Levi Randolph, Mindaugas Kuzminskas, Giorgi Shermadini\n\nQuel jeune joueur sera le meilleur joueur dans cinq ans ?\n\nTidjane Salaun 54,5%\nOnt également reçu des votes : Ege Demir, Gerald Ayayi, Guillermo del Pino, Ozgur Cengiz, Roberts Blums\n\nQuel joueur voudriez-vous prendre à une autre équipe ?\n\nLevi Randolph 18,2 %\nHunter Hale 18,2 %\nOnt également reçu des votes : Brian Fobbs, Howard Sant-Roos, Klemen Prepelic, Kyle Guy, Errick McCollum, Vernon Carey, Vitto Brown

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NBA : Victor Wembanyama élu Rookie du Mois de février

C'est le deuxième mois consécutif que Victor Wembanyama remporte ce trophée. Il est apparu dans les 12 matchs (tous en tant que starter) des Spurs en février, avec une moyenne de 21,3 points, 10,7 rebonds, 4,5 passes décisives, 3,92 contres et 2,00 interceptions en 28,9 minutes pour mener tous les rookies de la ligue en termes de score, de rebonds, de contres et d'interceptions tout en se classant septième en minutes.\n\nLe 12 février à Toronto, Wembanyama a enregistré 27 points, 14 rebonds, 10 contres et 5 passes décisives pour devenir le cinquième joueur de l'histoire de la NBA à disputer un match avec plus de 25 points, 10+ rebonds, 10+ contres et 5+ passes décisives, rejoignant Kareem Abdul Jabbar, Hakeem Olajuwon, Ralph Sampson et David Robinson dans ce club très fermé.\n\nIl est devenu seulement le quatrième rookie dans les annales de la ligue à enregistrer un triple-double avec plus de 10 contres depuis David Robinson en 1990. Avec 27 points, 10 rebonds, 8 passes décisives, 5 contres et 5 interceptions chez les Lakers de Los Angeles le 23 février, le joueur de 20 ans est devenu le premier joueur des Spurs et le plus jeune joueur de l'histoire de la NBA à réaliser un match 5x5.\n\nAu cours du mois, Wembanyama a atteint 1 000 points, 500 rebonds et 150 contres pour devenir le troisième joueur le plus rapide de l'histoire de la NBA à enregistrer ces chiffres après David Robinson et Shaquille O'Neal. Il est également devenu le premier joueur de l'histoire de la ligue à totaliser plus de 150 passes décisives, plus de 150 contres et plus de 75 tirs à trois-points au cours de la même saison.\n\n

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Théo Maledon n'est plus un joueur de NBA

Il fut un temps où le basket français pouvait s'enorgueillir de posséder trois meneurs de jeu d'avenir en NBA, mais après Killian Hayes et Frank Ntilikina, en plus de Malcolm Cazalon, c'est au tour de Théo Maledon d'être viré par sa franchise cette saison.\n\nAux Suns depuis le 18 décembre, Théo Maledon était entré une minute le 3 mars contre Houston pour sa dernière apparition et il totalisait ainsi cette saison 17 matches -4 seulement avec la franchise de l'Arizona- à 3,5 points et 1,6 passe. Après une saison de rookie prometteuse (10,1 points et 3,5 passes) à Oklahoma City, l'ancien Villeurbannais a vu sa situation se dégrader peu à peu en NBA et il a été contraint comme beaucoup de descendre en G-League pour avoir du temps de jeu.\n\n

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Pro B: Denain de retour un jour dans l’élite? Pourquoi pas...

À la lecture de l'Observateur du Valenciennois, on apprend de la bouche du président de l'AS Denain-Voltaire, Yoan Senez que le coach de la saison dernière, François Sence, longtemps en arrêt maladie, a été licencié pour faute grave. Le président nordiste parle d'un conflit dans lequel «le club vient d'obtenir une première victoire juridique en obtenant son expulsion du logement qu'il occupe toujours sans titre alors qu'il est loué par Denain Voltaire.»\n\nPar ailleurs, Yohan Senez revient sur la construction en ville d'une nouvelle salle de 5 000 places prévue en principe pour 2026et pour un coût de 20 M€:\n\n«On a bien fait évoluer la salle Jean-Degros (NDLR : 1 200 places plus deux tribunes de 400 places rétractables) ces dernières saisons mais on y est trop à l'étroit. Denain Voltaire, ce n'est pas qu'une équipe pro, c'est aussi une école de basket et un centre de formation. En termes de logistique et de créneau, c'est compliqué. Pour l'accueil du public, on est un peu prisonnier de ce complexe avec un parking, une buvette, des sanitaires et une salle VIP trop petits. Pour le côté spectacle, on peut difficilement monter en gamme dans la salle Jean-Degros. Cette salle de correspond plus à la volonté de croissance du club.»\n\nAvec une telle enceinte de 5 000 places, soit le quart de la population de la ville, Denain pourra t-il espérer à terme revenir dans l’élite comme ce fut le cas dans les années 50-70?\n\n«Il ne faut rien s'interdire, Saint-Quentin est un club comparable au nôtre et il est en train d'accomplir un parcours remarquable dans l’élite du basket. Quand on sera sportivement capable de franchir ce palier, il faudra un tour de table financier élargi avec un partenariat public-privé en capacité d'embarquer des gens dans ce projet.»\n\nLa dernière fois que Denain a évolué en première division remonte à la saison 1977-78 avec dans ses rangs Jean-Pierre Staelens, Pierre Galle, Ulysse Gruda -le père de Sandrine- et Bob Wymbs, qui fut d'ailleurs plus tard un joueur de Saint-Quentin.

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WNBA : Olivia Epoupa va tenter de gagner sa place aux Minnesota Lynx

Olivia Époupa (1,64 m, et qui aura 30 ans le 30 avril) joue cette saison en Euroleague pour Cukurova Basketbol Mersin en Turquie et possède des moyennes de 3,2 points, 4,9 rebonds, 2,2 passes décisives et 2,0 interceptions en 22 minutes par match.Sa meilleure performance de la saison a eu lieu lors du premier match des quarts de finale de l'Euroleague, où elle a amassé 10 points avec 66,7% aux tirs tout en récoltant 10 rebonds, six passes décisives et trois interceptions en 33 minutes.\n\nLa Parisienne n'a jamais joué en WNBA et depuis l'été 2021 où elle s'était blessée, elle n'est pas réapparue en équipe de France ; elle n'est plus dans les plans du coach Jean-Aimé Toupane, ce qui la laisse libre de passer l'été dans la ligue américaine.

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Nenad Markovic : \En France, il y a plus d'athlètes, en Italie plus de tactique\

Nenad Markovic a été licencié de la JDA en décembre et il a retrouvé très vite un poste à Sassari, l'équipe de Stéphane Gombauld, Brandon Jefferson et Stefano Gentile. Deux équipes de valeur sensiblement identique dans leur championnat national respectif (10e, 11 victoires-13 défaites pour Dijon, 12e, 9-12 pour Sassari), sachant que la JDA est toujours en course en BCL alors que le Dinamo a été éliminé en play-in par Cholet. Le coach bosnien s'est prêté au jeu des comparaisons dans Tuttosport.\n\nÀ propos de la ligue italienne :\n\n\Je l'ai toujours suivie, j'ai souvent affronté des Italiens en coupe.Par exemple, Trente et Reggio Emilia avec Trabzonspor, Venise deux fois avec Karsiyaka, avec Dijon j'ai affronté le Dinamo.Je pense que la ligue s'est beaucoup améliorée ces dernières saisons grâce à l'arrivée de clubs aux gros budgets, comme Tortona, aujourd'hui Naples.Ensuite, il y a les puissances de l’Euroleague (Virtus Bologne et Milan), il y a les grands clubs comme Venise, Brescia.Entre les hauts et les bas, Reggio Emilia et Sassari sont toujours là.Dans la courte expérience que j'ai eu jusqu'à présent, j'ai eu des confirmations, nous avons affronté les deux équipes de l'Euroleague, Tortona et Cremona, qui est une équipe très bien organisée.En France, il y a plus d'athlètes, il faut avoir des arrières explosifs, on joue au run and shoot, ici il y a plus de tactique, il faut des joueurs avec un QI basket développé.\\n\nA propos de son choix de signer au Dinamo :\n\n\J'en avais fini avec Dijon. C'est vrai que je n'avais pas d'urgence.Mais je connaissais Federico (Pasquini, directeur général de Banco di Sardegna Sassari, ndlr), nous avons parlé des programmes et puis c'était l'opportunité d'entraîner un club historique dans un pays que je ne connaissais pas encore.Un pays du basket, même si le football est le premier sport.\\n\nA propos de la possibilité pour Sassari de viser les playoffs :\n\n\Honnêtement, je pense au prochain match.Bien sûr, nous nous battrons, mais je vous rappelle que si nous avions perdu contre la Virtus, nous nous battrions pour éviter la relégation.

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1 vs 1 avec David Blatt, légendaire coach au palmarès éloquent

Invité du podcast “The Mind Game of Basketball, 1 on 1 with yourself”, David Blatt, coach aux multiples casquettes et au palmarès long comme le bras (Euroleague en 2014, EuroBasket en 2007, cinq titres de champion d'Israël entre autres) désormais consultant d'Oded Kattash au Maccabi Tel-Aviv, est revenu avec notre chroniqueur Nico Bourgade sur l’importance qu’il a pu donner à l’aspect mental dans le basket sous plusieurs aspects. Un échange de presque une heure disponible en version originale et dont les grandes lignes vous sont présentées ci-dessous.\n\n\nSur la place de la santé mentale dans le basket\n\n\En tant qu'entraîneur, il est important que nous soyons tous conscients de l'impact que les problèmes de santé mentale peuvent avoir sur nos joueurs, notre équipe ou notre organisation. Nous devons nous former sur ces sujets afin d'aider au mieux nos joueurs. Il y a quelques années, ce n'était pas un sujet dont on parlait et il n'y avait donc pas besoin d'être éduqué sur ces choses, qui sont devenues des problèmes majeurs aujourd'hui. Tous les entraîneurs devraient se faire un devoir d'apprendre, de se former et de prendre cela très au sérieux comme faisant partie de notre jeu et de notre environnement. Comparé à l’évolution de la préparation physique, c'est maintenant un aspect essentiel du basket. C'est un autre élément du jeu qui nous offre la possibilité de nous améliorer, de nous développer et d'en tirer profit.\\n\n\nLa corrélation entre santé mentale et performance mentale\n\n\Les deux sont étroitement liées. Lorsque les gens entendent parler de santé mentale, la perception est négative. Les gens sont suffisamment ouverts, courageux et éduqués pour considérer la valeur et l'avantage d'investir des ressources dans la création d'un environnement qui soit le plus sain et le plus bénéfique pour les athlètes ou l'équipe que nous voulons voir atteindre leur pleine performance.\\n\n\nLes meilleurs entraîneurs s'efforcent de prendre de l'avance sur ce qui est important\n\n\Si vous êtes un bon ou un grand entraîneur, vous devez être ouvert aux changements d'environnement (en réponse à l'ego des entraîneurs mis de côté). De manière à pouvoir donner le meilleur de vous-même. En tant que dirigeants et entraîneurs, il est important que nous soyons conscients de ce problème et que nous apportions notre aide à nos joueurs, et que nous soyons non seulement conscients de l'importance de l'aide à apporter à nos joueurs, mais que nous la leur apportions également, afin qu'ils puissent gérer la pression nécessaire pour être des athlètes dans le monde d'aujourd'hui, qui est totalement différente de celle d'il y a quelques années.\\n\n\nSur l'impact énorme des médias\n\n\Les jeunes sont influencés par tous les stimuli provenant de l'ordinateur ou du téléphone qu'ils ont en permanence en main et qui les abreuvent d'énormes quantités d'informations et influencent leur façon de penser, de ressentir, de réagir ou de répondre. Le monde a changé et nous devons en être conscients. Vous avez aujourd'hui la possibilité d'influencer ou d'être influencé par les médias d'une manière telle qu'elle aura naturellement un impact sur vos performances en tant qu'athlète et, malheureusement, sur votre santé mentale. Il s'agit d'un problème très grave.\n\n\nSur le thème des coachs et de leur acceptation à la vulnérabilité : le concept de collaboration\n\n\Il faut être plus coopératif et plus ouvert aux personnes avec lesquelles on travaille. Sous-estimer cela, l'ignorer ou le mépriser est une terrible erreur. Donc, si vous regardez les choses de manière égoïste et que vous voulez réussir, vous avez intérêt à être conscient de ces choses, à être ouvert à ces choses et à faire en sorte que vous et votre groupe rendiez les ressources accessibles, qu'il s'agisse de temps ou de finances, pour faire face aux différents éléments que notre monde moderne a introduits dans le basket. Ce sont des questions qui devraient être prises en compte par les entraîneurs qui veulent que leurs joueurs atteignent le maximum de leur potentiel.\n\n\nSur sa gestion des fréquences de séances d'entraînement\n\n\Lorsque j'ai modifié mon approche de l'entraînement, passant de deux séances par jour à une séance par jour à un certain moment de la saison, c'était parce que je voulais que les joueurs restent frais physiquement, mentalement et émotionnellement, et simplement pour être plus efficace dans le travail effectué en une séance plutôt qu'en deux, ou pour comprendre que les joueurs avaient simplement besoin de se reposer, vous savez, de se reposer mentalement. Cela faisait partie de mon mode de pensée à ce moment-là. Pour moi, c'était la bonne chose à faire. Le travail acharné n'est pas toujours déterminé par le temps ou le nombre de séances. Il peut être davantage déterminé par la qualité, l'efficacité ou la manière dont vous faites les choses. Ce sont des choses auxquelles il faut penser en tant qu'entraîneurs et dont il faut être conscient.\\n\n“Soyons dévoués les uns aux autres lorsque nous passons du temps ensemble et vous aurez un peu plus de temps le reste de la journée. Communiquez entre vous. Ne communiquez pas avec l'écran. Permettons-nous de nous immerger et de nous développer en tant qu'athlètes loin de tout cela.”\n\n\nEn réponse aux entraîneurs qui perdent le vestiaire lors d’une saison\n\n\Les changements font partie du monde de la compétition. Les choses ne se passent pas toujours comme prévu, mais la cohérence de vos principes, de votre approche et de votre engagement sont les éléments qui, à mon avis, font la différence. Je pense que le fait de disposer d'un ensemble très solide de fondamentaux et de principes, ainsi que de capacités à coopérer avec ses équipes, est un facteur déterminant, non seulement dans les périodes fastes, mais aussi dans les périodes plus difficiles. Nous devons changer, nous devons grandir, nous devons être ouverts d'esprit et être suffisamment courageux pour nous adapter à l'environnement en constante évolution du sport.\n\nVos bases, vos fondamentaux, vos principes et votre capacité à travailler sur ces éléments de manière cohérente avec engagement et dévouement vous permettent d'aller de l'avant et votre volonté d'être ouvert pour faire les ajustements nécessaires dans les situations qui l'exigent. Il n'y a pas de situation parfaite. Votre ouverture d'esprit en tant qu'entraîneur et être humain vous aide vraiment à vous adapter et à continuer à influencer vos joueurs et vos équipes de manière positive. Les résultats ne mènent pas la danse, ils la suivent. Ils suivent votre façon de faire les choses de manière cohérente et engagée, ainsi que votre sensibilité à l'aspect humain des choses.\\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nLa gestion des émotions à travers la relation entraîneurs/arbitres\n\n\Lors d’un match tôt dans ma carrière d’entraîneur, j'avais l'impression que les arbitres n'étaient pas justes. Je me plaignais, je me plaignais sans cesse et je faisais une scène. Je ne l'oublierai jamais, car cela a changé à jamais mon approche des arbitres. Un des arbitres du match m'a vu agir de la sorte. Il s'est approché de moi, s'est mis à côté de moi et m'a dit calmement : 'Coach, nous ne sommes pas le problème'. Ça pouvait se traduire par : 'Vos joueurs jouent mal, vous n'êtes pas concentré sur le jeu, vous ne faites pas votre travail et c'est peut-être la raison pour laquelle vous vous faites botter le cul' et je ne l'oublierai jamais, j'ai appris une précieuse leçon.\n\nIl n'est pas sain qu'un entraîneur perde ses moyens parce qu'il ne contrôle pas ses émotions. L'émotion est une bonne chose lorsqu'elle est utilisée à bon escient. Gérez vos émotions de manière à ce qu'elles vous servent, à ce qu'elles vous soient bénéfiques. Ne vous laissez pas aller à perdre le contrôle de vos émotions et ne vous attendez pas à ce qu'il en résulte quelque chose de positif, car ce n'est pas le cas. Cela vous affecte, cela affecte le jeu, cela affecte l'équipe. Je pense qu'il est très important qu'un entraîneur comprenne l'importance de la façon dont il utilise, contrôle et gère ses émotions de manière à ce qu'elles aient un impact positif sur l'ensemble de l'équipe.\n\nIl arrive que les arbitres fassent du mauvais travail, mais ce sont aussi des êtres humains. Au cours de mes 30 années de coaching, j'ai vu des situations où je me suis demandé si les arbitres étaient vraiment justes. Dans la plupart des cas, ils le sont, et ils l'étaient. Aujourd'hui en particulier, tout est si bien couvert et exposé qu'il est difficile de cacher quoi que ce soit. Il faut néanmoins être respectueux des personnes qui participent au jeu et essayer de gérer ses émotions de manière à pouvoir faire son travail et être maître de son destin. C'est un défi. Être entraîneur est un défi à plusieurs niveaux.\n\n\nLes valeurs qu’il a inculquées et la relation avec son fils, Tamir Blatt, joueur Euroleague\n\n\J'ai beaucoup à dire à mon fils sur le basket, sur ses performances ou sur son activité au sein de l'équipe, mais ce que j'ai trouvé de plus utile pour lui, c'est de lui permettre de grandir et d'être le maître de son propre univers.\nIl y a des années, j'ai cessé de travailler avec lui sur une base individuelle pour ne pas le perturber dans son développement en tant que joueur et en tant que personne. Je ne pense pas qu'imposer quelque chose à votre enfant soit sain pour lui, ni utile pour un jeune homme ou une jeune femme en termes de développement en tant qu'individu et en tant qu'athlète.\n\nEssayez, autant que possible, de ne pas avoir l'impact que vous et votre cœur voudraient avoir, parce que tout le monde veut voir son enfant réussir. Si vous voulez vraiment aider votre enfant, laissez-le être lui-même.\nEt si tout va bien, vous lui aurez inculqué un bon ensemble de valeurs et une bonne façon d'aborder son équipe et ses coéquipiers, ainsi qu'une appréciation respectueuse de ses entraîneurs et de ses organisations, de sorte que ses actions parleront haut et fort de ce qu'il est en tant qu'athlète dans ce monde de compétition qu'est le sport.\n\nN'oubliez jamais que même si vous pensez que votre enfant ne vous écoute pas, il ou elle entend tout. Il est influencé par votre façon de parler, d'agir, de vous comporter, d'aborder les choses. Soyez donc un adulte, un enseignant, un éducateur, un exemple et aidez votre enfant de façon à ce qu'il devienne la meilleure personne possible et qu'il ait la possibilité de donner le meilleur de lui-même, car le jeu ne dure pas éternellement, mais l'être humain continue et devient une partie de ce monde et de sa société, qu'il doit faire fonctionner d'une manière bonne et saine. Il faut en être conscient, prendre cette responsabilité très au sérieux et répondre de ses actes.\n\nPour moi, il a toujours été plus important de partager avec mon fils l'importance de faire de son mieux et d'être sa meilleure version de lui-même, plus que la façon dont je voyais l'arbitre, l'entraîneur ou les gens autour de lui, parce qu'en fin de compte, ce ne sont pas ces choses-là qui vont faire de vous une meilleure personne à l'avenir. C'est ainsi que je vois les choses.\\n\nL'entretien complet (en anglais) :\n\nA relire - notre chronique \le mental dans le basket\ :\n\n1 - Les bases de la préparation mentale\n2 - La méditation, l’outil mystique de la performance\n3 - Le périlleux exercice du lancer-franc\n4 - Fonda-mental\n5 - Ces détails qui n'en sont pas\n6 - L'importance de nos perceptions\n7 - Dans la tête d'un arbitre d'Euroleague\n8 - La positive gratitude\n9 - Le temps des dinosaures\n10 - L'adversité, un allié de poids\n11 - Le traumatisme espagnol\n12 - Une douce symphonie\n13 - Coupe du monde, scanner d'un fiasco bleu-blanc-rouge\n14 - L'influence des parents\n15 - L'impuissance face aux séries\nEn + : entretien avec l'auteur du guide mental des basketteurs, \1 contre 1 avec toi-même\

Quelles sont les dernières informations sur :

Le All-Star Game LNB a eu une audience moyenne de 300 000 téléspectateurs sur La Chaîne L'Equipe

Alors qu’il bénéficie désormais d’une fenêtre en clair le dimanche sur La Chaîne L’Equipe, le basket français a végété de nombreuses années sur des chaînes confidentielles, ce que confirme Philippe Ausseur.\n\n«Je le qualifierais par une expression populaire : on a parfois voulu mettre la charrue avant les bœufs. Vous n’attirerez des diffuseurs que si, 1- votre produit est de qualité, et 2- il y a un public qui a envie. La bonne nouvelle, c’est que les audiences de L’Équipe sont très bonnes, et en progression. Par rapport aux audiences qu’on avait sur beIN, on est sur un rapport de 1 à 10. C’est assez disruptif de dire : on va d’abord viser une fenêtre en clair sur une chaîne que tout le monde a. Dans un premier temps, ce n’est peut-être pas ce qui va nous rapporter le plus d'argent, mais nos grands partenaires, Betclic, Gedibois, Rent a Car, ont dit: «là on change de braquet.» C’est aussi ça qui est intéressant. Et le créneau, dimanche 19h, n'a pas été choisi au hasard : le foot et le rugby sont après.\n\nFaut-il se focaliser sur le montant du contrat ou le principal est ailleursquand on sait que même à l’époque où Altice payait 10 M€, cela ne représentait que 4% du budget moyen d’un club ?, demande Basket Le Mag. Réponse de Philippe Ausseur:\n\n«Le niveau de vos droits TV est la conséquence d'un travail de mise en valeur que vous menez en amont, plutôt que l'inverse. Le premium ne peut pas être aujourd'hui, et sûrement demain, le basket pro français. A très grande échelle, c'est la NBA, comme la Premier League l’est au football, donc on doit jouer là-dessus, en ayant conscience de ce que l'on est. Vouloir absolument viser 5, 6, 7M€... On est resté sur une sorte de chimère, les 10M€ d'Altice. Au final est-ce qu'Altice a été une bonne décision à moyen et long terme ? À court terme, bien entendu. Mais ça nous a un peu marginalisé. On était sur RMC, parfois on faisait 4 000 téléspectateurs. 4 000! Cette saison le All-Star Game a fait 300 000 en moyenne avec un pic à 450 000 points. Parfois, à vouloir viser l'aspect droit TV, on fait fausse route.»

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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures

Coup de tonnerre : Jean-Denys Choulet n'est plus le coach de Roanne !\n\nLa Chorale de Roanne a décidé d’écarter Jean-Denys Choulet de ses fonctions d’entraineur de l'équipe.\n\nJean-Denys Choulet, 65 ans, est le coach emblématique de la Chorale avec qui il a été champion de France en 2007. Après une première interruption de son séjour en 2011 après onze années de service au sein du club de la Loire, JDC y était revenu en 2020.\n\nLa Chorale de Roanne est actuellement relégable avec 7 victoires et 15 défaites à la 17e place, mais avec deux matches en moins au compteur.\n\nCoup de tonnerre : Jean-Denys Choulet n’est plus le coach de Roanne !La Chorale de Roanne a décidé d’écarter Jean-Denys Choulet de ses fonctions d’entraineur de l’équipe.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLe Mans : Le coach Elric Delord va prendre une saison sabbatique\n\nActuel coach du Mans, Elric Delord officialise ce jour sa décision de suspendre sa carrière d’entraineur au terme de la saison 2023-2024. Elric Delord, 42 ans, est le coach du Mans depuis décembre 2019 après avoir été en début de saison l'assistant de Dounia Issa, à qui il a succédé lorsque celui-ci a été mis à l'écart. Le MSB occupe actuellement la 12e place au classement de Betclic Elite avec 12 victoires et 14 défaites.\n\nLe Mans : Le coach Elric Delord va prendre une saison sabbatiqueActuel coach du Mans, Elric Delord officialise ce jour sa décision de suspendre sa carrière d’entraineur au terme de la saison 2023-2024.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nPro B : Le coach Laurent Pluvy prolongé à Nantes jusqu'en 2026\n\nDans une journée marquée par la mise à l'écart de Jean-Denys Choulet à Roanne et le désir d'Elric Delord du Mans de prendre une année sabbatique après la saison en cours, à noter la prolongation du contrat du coach de Nantes, Laurent Pluvy, jusqu'en 2026.\n\nPro B : Le coach Laurent Pluvy prolongé à Nantes jusqu’en 2026Dans une journée marquée par la mise à l’écart de Jean-Denys Choulet à Roanne et le désir d’Elric Delord du Mans de prendre une année sabbatique après la saison en cours, à noter la prolongation du contrat du coach de Nantes, Laurent Pluvy, jusqu’en 2026.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nPro B: Denain de retour un jour dans l’élite? Pourquoi pas...\n\nLe président de l'AS Denain-Voltaire, Yoan Senez, n'exclue pas la possibilité que son club retourne dans l'élite du basket français grâce à la prochaine édification d'une aréna.\n\nÀ la lecture del'Observateur du Valenciennois, on apprend de la bouche du président de l'AS Denain-Voltaire, Yoan Senez que le coach de la saison dernière, François Sence, longtemps en arrêt maladie, a été licencié pour faute grave. Le président nordiste parle d'un conflit dans lequel«le club vient d'obtenir une première victoire juridique en obtenant son expulsion du logement qu'il occupe toujours sans titre alors qu'il est loué par Denain Voltaire.»\n\nPro B: Denain de retour un jour dans l’élite? Pourquoi pas...Le président de l’AS Denain-Voltaire, Yoan Senez, n’exclue pas la possibilité que son club retourne dans l’élite du basket français grâce à la prochaine édification d’une aréna.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLe All-Star Game LNB a eu une audience moyenne de 300 000 téléspectateurs sur La Chaîne L'Equipe\n\nLe All-Star Game LNB a eu une audience moyenne de 300 000 téléspectateurs sur La Chaîne L'Equipe\n\nInterrogé par Basket Le Mag, le président de la Ligue Nationale de Basket, Philippe Ausseur livre un chiffre intéressant sur l’audience du All-Star Game LNB 2023.\n\nAlors qu’il bénéficie désormais d’une fenêtre en clair le dimanche sur La Chaîne L’Equipe, le basket français a végété de nombreuses années sur des chaînes confidentielles, ce que confirme Philippe Ausseur.\n\n«Je le qualifierais par une expression populaire : on a parfois voulu mettre la charrue avant les bœufs. Vous n’attirerez des diffuseurs que si, 1- votre produit est de qualité, et 2- il y a un public qui a envie. La bonne nouvelle, c’est que les audiences deL’Équipesont très bonnes, et en progression. Par rapport aux audiences qu’on avait surbeIN, on est sur un rapport de 1 à 10. C’est assez disruptif de dire : on va d’abord viser une fenêtre en clair sur une chaîne que tout le monde a. Dans un premier temps, ce n’est peut-être pas ce qui va nous rapporter le plus d'argent, mais nos grands partenaires, Betclic, Gedibois, Rent a Car, ont dit: «là on change de braquet.» C’est aussi ça qui est intéressant. Et le créneau, dimanche 19h, n'a pas été choisi au hasard : le foot et le rugby sont après.\n\nLe All-Star Game LNB a eu une audience moyenne de 300 000 téléspectateurs sur La Chaîne L’EquipeInterrogé par Basket Le Mag, le président de la Ligue Nationale de Basket, Philippe Ausseur livre un chiffre intéressant sur l’audience du All-Star Game LNB 2023.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nWNBA : Olivia Epoupa va tenter de gagner sa place aux Minnesota Lynx\n\nLes Minnesota Lynx ont annoncé avoir signé un contrat avec la meneuse Olivia Époupa pour un training camp.Les termes de l'accord n'ont pas été publiés.\n\nWNBA : Olivia Epoupa va tenter de gagner sa place aux Minnesota LynxLes Minnesota Lynx ont annoncé avoir signé un contrat avec la meneuse Olivia Époupa pour un training camp.Les termes de l’accord n’ont pas été publiés.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\nThéo Maledon n'est plus un joueur de NBA\n\nThéo Maledon (1,92 m, 22 ans) a été \libéré\ par les Phoenix Suns.\n\nIl fut un temps où le basket français pouvait s'enorgueillir de posséder trois meneurs de jeu d'avenir en NBA, mais après Killian Hayes et Frank Ntilikina, en plus de Malcolm Cazalon, c'est au tour de Théo Maledon d'être viré par sa franchise cette saison.\n\nThéo Maledon n’est plus un joueur de NBAThéo Maledon (1,92 m, 22 ans) a été “libéré” par les Phoenix Suns.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nNBA : Victor Wembanyama élu Rookie du Mois de février\n\nLe pivot des San Antonio Spurs Victor Wembanyama (2,21 m, 20 ans) a été élu NBA Rookie of the Month de février.\n\nC'est le deuxième mois consécutif que Victor Wembanyama remporte ce trophée. Il est apparu dans les 12 matchs (tous en tant que starter) des Spurs en février, avec une moyenne de 21,3 points, 10,7 rebonds, 4,5 passes décisives, 3,92 contres et 2,00 interceptions en 28,9 minutes pour mener tous les rookies de la ligue en termes de score, de rebonds, de contres et d'interceptions tout en se classant septième en minutes.\n\nNBA : Victor Wembanyama élu Rookie du Mois de févrierLe pivot des San Antonio Spurs Victor Wembanyama (2,21 m, 20 ans) a été élu NBA Rookie of the Month de février.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nSondage DG de la BCL : Tidjane Salaün et Cholet à l'honneur\n\nLa Basketball Champions League a réalisé un sondage auprès des directeurs généraux des 16 clubs encore en lice. Cholet et Tidjane Salaün sont plusieurs fois cités.\n\nUnicaja Malaga est le favori pour remporter l'épreuve et Levi Randolph (Hapoël Jerusalem) pour s'approprier le trophée de MVP mais à bientôt 41 ans, le Brésilien Marcelinho Huertas (Tenerife) bénéficie d'un immense respect.\n\nAnnoncé en haut de la prochaine draft, Tidjane Salaun est désigné comme étant le jeune espoir le plus excitant, et les Directeurs Généraux ont été surpris par les performances de son club de Cholet.\n\nQui remportera le Final Four de la Basketball Champions League ?\n\nUnicaja Malaga 54,5%\nHapoël Jérusalem 36,4%\nLenovo Tenerife 9,1%\n\nSondage DG de la BCL : Tidjane Salaün et Cholet à l’honneurLa Basketball Champions League a réalisé un sondage auprès des directeurs généraux des 16 clubs encore en lice. Cholet et Tidjane Salaün sont plusieurs fois cités.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nNikola Jokic : \Mike James est un scoreur acharné\\n\nMVP de la NBA en 2021 et 22, champion en 2023 avec les Denver Nuggets, le Serbe Nikola Jokic a complimenté le Monégasque Mike James qui a apprécié.\n\nAlors que Nikola Jokic se bat avec les Nuggets pour prendre la première place de la Conférence Ouest, il suit néanmoins les affaires du basket européen. Avant d'entrer en NBA en 2015, le Serbe a joué trois ans avec Mega dans le championnat national et l'ABA League. Il n'a jamais fréquenté l'Euroleague mais la meilleure compétition mondiale hors NBA l'intéresse fortement.\n\nNikola Jokic : “Mike James est un scoreur acharné”MVP de la NBA en 2021 et 22, champion en 2023 avec les Denver Nuggets, le Serbe Nikola Jokic a complimenté le Monégasque Mike James qui a apprécié.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nDonte DiVincenzo (New York Knicks) : \J'ai l'intention de jouer pour l'équipe d'Italie\\n\nL'arrière des New York Knicks Donte DiVincenzo (1,93 m, 27 ans) confirme qu'il veut jouer pour l'équipe d'Italie, à court et long terme.\n\nLe New-yorkais a clôturé le mois de février avec d'excellents chiffres : 21,7 points, 4,0 rebonds et 3,1 passes décisives de moyenne, ce qui évidemment réjouit les Italiens qui espèrent l'introduire dans le roster de la Squadra Azzurra pour le Tournoi de Qualification Olympique de juin.\n\n\Mon agent est en discussion avec la fédération, il y a évidemment des démarches administratives à faire et mon père, dont la famille vient des Abruzzes, y travaille, révèle t-il dans La Gazzetta dello Sport. Je pense évidemment à la saison avec les Knicks mais je dois dire que je veux faire ma place dans le basket de la Fiba et j'ai toujours eu le désir de jouer avec l'équipe nationale italienne, ce serait vraiment merveilleux de pouvoir représenter le pays d'origine d'une grande partie de ma famille\.\n\nDonte DiVincenzo (New York Knicks) : “J’ai l’intention de jouer pour l’équipe d’Italie”L’arrière des New York Knicks Donte DiVincenzo (1,93 m, 27 ans) confirme qu’il veut jouer pour l’équipe d’Italie, à court et long terme.BasketEurope.comLa rédaction

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Le Mans : Le coach Elric Delord va prendre une saison sabbatique

Elric Delord, 42 ans, est le coach du Mans depuis décembre 2019 après avoir été en début de saison l'assistant de Dounia Issa, à qui il a succédé lorsque celui-ci a été mis à l'écart.\n\nLe MSB occupe actuellement la 12e place au classement de Betclic Elite avec 12 victoires et 14 défaites. Elric Delord arrivera en fin de contrat au terme de cette saison.\n\nVoici le communiqué d'Elric Delord :\n\n\C’est après mûre réflexion et une profonde introspection que je souhaite partager avec vous une décision importante. Je vais entamer une année sabbatique à l’issue de la saison actuelle. Cette pause dans ma carrière d'entraîneur de basket n'a pas été une décision facile, mais elle est motivée par deux raisons principales : le besoin de me ressourcer et la volonté de progresser personnellement et professionnellement en explorant des domaines que le rythme soutenu des saisons ne me permet pas d'approfondir.\n\nPar le passé, je n’avais jamais compris pourquoi des entraîneurs (de toutes disciplines) s’arrêtaient ponctuellement alors que c’est une chance de faire ce métier où il y a peu d’élus. Aujourd’hui, je comprends.Ce métier nécessite un dévouement total et permanent. Il requiert tout de nous et plus encore sans rien promettre en retour. La passion est dévorante, épuisante et je ressens le besoin de prendre du recul, de me régénérer et de profiter des miens.\n\nC'est aussi une étape nécessaire dans mon parcours. J'ai une vision claire de ce que je veux atteindre, un rêve qui me guide et j’ai conscience du chemin que je dois emprunter. Ma décision de faire une pause est le début d'un voyage d'apprentissage. Je comprends maintenant que le véritable développement dépasse les frontières de ma discipline actuelle et nécessite une immersion dans la diversité et la richesse des expériences. Les perspectives inédites, l’intégration de nouvelles méthodologies et idées sur ma vision du coaching ne peuvent pas être acquises dans le cadre confiné de ma zone de confort. Cette année ne sera pas seulement une pause dans ma carrière, mais un investissement dans mon développement futur.\n\nLe MSB a occupé une place centrale dans ma vie, me procurant joie, passion et un sentiment d'appartenance inestimable. Alors que je m'apprête à ouvrir un nouveau chapitre de ma vie, je resterai à jamais un supporter du club, suivant ses succès avec fierté et affection. Les souvenirs et les liens tissés ici resteront gravés dans mon cœur. Je m'engage à terminer cette saison avec toute l'énergie, la passion et le dévouement que vous avez toujours connus de ma part, en espérant ajouter encore quelques beaux chapitres à notre histoire commune.\n\nAvec tout mon respect et ma reconnaissance.»\n\nLa déclaration du président Christophe Le Bouille :\n\n«Au-delà du bilan qui sera légitimement dressé dans quelques semaines, nous tenons dès à présent à exprimer notre sincère reconnaissance envers Elric pour son dévouement et son travail au sein du projet MSB. Bien que notre priorité demeure la réussite de la fin de saison, nous collaborerons étroitement avec Vincent Loriot (NDLR : le directeur sportif) pour assurer une transition harmonieuse.Nous restons tous focus sur les enjeux de cette fin de championnat, que le club va affronter uni et solidaire. »

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Coup de tonnerre : Jean-Denys Choulet n'est plus le coach de Roanne !

Jean-Denys Choulet, 65 ans, coach emblématique de la Chorale, avec qui il a été champion de France en 2007, ne terminera pas la saison à Roanne. Après une première interruption de son séjour en 2011 au terme de onze années de service au sein du club de la Loire, JDC y était revenu en 2020.\n\nLa Chorale de Roanne est actuellement relégable avec 7 victoires et 15 défaites à la 17e place, mais avec deux matches en moins au compteur.\n\n\Dans les prochains jours, le Club et ses représentants travailleront à la rédaction d’un accord qui entérinera cette décision, prise à quelques jours d’un match crucial qui opposera la Chorale au Portel. Une organisation temporaire est mise en place dès ce mardi, joueurs et staffs pourront se remettre au travail après les annonces et le rappel des objectifs des dirigeants pour cette fin de saison. La décision a été prise dans la douleur. Le temps du bilan des quatre dernières années de Jean-Denys Choulet à Roanne viendra, mais pour l’heure les dirigeants sonnent la mobilisation générale dans l’opération maintien\, écrit le club.\n\nSelon nos informations et celles du Progrès, c'est le coach des Espoirs de la Chorale, Marc Berjoan, qui devrait coacher samedi face au Portel, au côté de l'assistant Loïc Bard.\n\nJean-Denys Choulet est le 8e coach a être remplacé cette saison (2 à l'ASVEL), l'une des conséquences des trois descentes en Pro B.

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Pro B : Le coach Laurent Pluvy prolongé à Nantes jusqu'en 2026

Arrivés au club de Loire-Atlantique en début de cette saison 2023-2024, Laurent Pluvy et son assistant Jean-Philippe Besson sont prolongés pour deux saisons supplémentaires.\n\n«C’est avec grand plaisir que nous officialisons aujourd’hui la reconduction des contrats de nos entraîneurs pour les deux prochaines saisons.»,déclare Thierry Brochard, Président du NBH.«Leur engagement, leur passion et leur professionnalisme exemplaire ont été des atouts majeurs pour notre équipe depuis le début de la saison. Nous sommes convaincus que cette prolongation va nous permettre de continuer à progresser et à atteindre de nouveaux sommets. Nous exprimons notre gratitude à nos entraîneurs pour le travail accompli jusqu’à présent et sommes impatients de poursuivre cette belle aventure ensemble. Persuadés que cette reconduction sera bénéfique pour le club et pour tous les membres de l’équipe, nous sommes fiers de pouvoir compter sur ce duo aussi impliqué et dévoué, ce qui nous rend confiants à réaliser de grandes choses à l’avenir.»\n\nLe commentaire de Laurent Pluvy :\n\n«Ravi de continuer l’aventure avec le NBH et notamment avec Jean-Philippe, c’est un plaisir de travailler avec lui. On était venu avec un an de contrat, et aujourd’hui on se projette pour deux nouvelles saisons avec l’idée de continuer à faire avancer le club à tous les niveaux. On a un club avec un joli potentiel, et encore de belles choses à accomplir sur les deux prochaines années. On tenait aussi à remercier toutes les composantes du club: le staff sportif, le staff médical et administratif, qui nous font confiance. On a trouvé un équilibre tous ensemble, également avec le public avec qui on commence de créer une vraie communion. On souhaite maintenant continuer le travail que l’on a commencé depuis début août.»\n\n»

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Eurocup : Paris affrontera Badalone en quarts de finale

Dispensé de huitièmes de finale grâce à sa première place de saison régulière, le Paris Basketball connaît désormais son prochain adversaire en playoffs d’Eurocup. Il s’agit de la Joventut Badalone. L’équipe espagnole, 5e du groupe A en saison régulière, a créé une petite surprise en battant Ulm, 4e du groupe B, en Allemagne, donc sans l’avantage du terrain (79-88).\n\nCe succès ne souffre pour autant d’aucune contestation tant les coéquipiers du Dominicain Andres Feliz (28 points à 12/17 aux tirs, 6 rebonds, 6 passes pour 36 d’évaluation en 31 minutes !) ont dominé la partie en menant de 18 points à la pause (32-50), gardant toujours un matelas d’avance malgré la tentative de retour des coéquipiers de Juan Nunez (17 points, 5 passes) et Trevion Williams (20 points, 10 rebonds). Ulm est éliminé, Badalone se présentera dans la capitale avec de la confiance.\n\nWHAT A FIRST HALF FROM @verdadero_andre 😱\n\n17 PTS l 20 PIR l 5/6 2FG l 2/4 3FG 🎯🎯🎯#RoadToGreatness pic.twitter.com/WmfuCrcozO\n\n— BKT EuroCup (@EuroCup) March 5, 2024\n\n\n\nUn adversaire redoutable\n\nBien que les Parisiens aient survolé la saison régulière (17 victoires, 1 défaite), leurs deux courts succès contre Badalone (94-101 après prolongation en Espagne et 89-82 à Carpentier) démontrent qu’il n’y aura pas de marge dans ce quart de finale en match sec à l'Adidas Arena, dans une semaine, jeudi 14 mars à 20h45. Rappelons que la demi-finale et la finale se joueront au meilleur des trois manches.\n\nLes trois autres huitièmes de finale auront lieu ce mercredi et opposeront les London Lions à Turk Telekom, Gran Canaria à Besiktas et Prometey à l’Aris Thessalonique. Le vainqueur de ce dernier match sera opposé à Bourg-en-Bresse en quarts de finale, le 12 ou 13 mars prochain à Ékinox.\n\nITW T.J. Shorts, alias terminator, MVP de la Leaders Cup : “Le Paris Basketball a grandi ce week-end”Exceptionnel durant le weekend, particulièrement dans le moneytime de la finale contre Nanterre (90-85), T.J. Shorts, ou “terminator” comme le surnomme Tuomas Iisalo, a été élu MVP de la Leaders Cup 2024. Une distinction de plus à sa collection, pour le premier triomphe du Paris Basketball.BasketEurope.comClément Carton

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BCL : Strasbourg pratiquement éliminé

Sauf miracle, c'est une fin de parcours certaine pour Strasbourg. Pour continuer à espérer à une qualification en quarts de finale de la Basketball Champions League (BCL), l’équipe alsacienne devait gagner à Malaga. L'exploit n’a pas eu lieu chez l’un des favoris de la compétition, toujours invaincu lors du top 16 - tout le contraire de son adversaire du soir - et très nettement supérieur ce mardi 5 mars devant ses supporters.\n\nEn Espagne, l’équipe de Massimo Cancellieri a été dominée dans tous les secteurs, principalement au rebond (41 à 23) et à l’adresse à deux-points (61 % contre 41 %). Pénalisée par ses pertes de balles (17 dont 7 pour Tyrus McGee), la SIG n’a pas remporté le moindre quart-temps, sombrant dans le deuxième, perdu 30 à 17. Rien d'illogique donc à cette sortie de route. A noter que le dernier venu, Boris Dallo, a joué 17 minutes pour 6 points à 2/5 aux tirs, 4 passes et 3 rebonds.\n\nPoll time - if Alberto Diaz ran for mayor of Malaga, would he get 100 percent of votes? 🤔#BasketballCL I @unicajaCB pic.twitter.com/ykqXlEfN5E\n\n— Basketball Champions League (@BasketballCL) March 5, 2024\n\n\nToujours sans succès en quatre rencontres du top 16, Strasbourg ne verra donc pas les quarts de finale... sauf miracle. Pour qu'il se produise, la SIG doit espérer que Cholet batte Tofas Bursa ce mercredi, que ces deux équipes viennent ensuite s’incliner au Rhénus le plus largement possible et que Malaga termine la deuxième phase avec six succès. Les chances qu’un tel scénario se produise sont minuscules...\n\nDésormais remontée à la 6e place en Betclic Elite, la SIG va pouvoir se concentrer sur ses objectifs nationaux avec l’envie de retrouver les playoffs en championnat et faire un run en Coupe de France alors que Nancy sera son prochain adversaire lors du top 8 à Trélazé.\n\nBoxscore Malaga - Strasbourg

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Jean-Denys Choulet (Roanne) : “Il n'y a quasiment pas eu un jour où on n'a pas eu une merde”

Pour la deuxième fois, Jean-Denys Choulet a été licencié de la Chorale de Roanne, son club de cœur. S'il reconnaît que les résultats sportifs n'étaient pas à la hauteur des attentes cette saison (7 victoires et 15 défaites, 17e), le coach ligérien restait confiant afin de maintenir le club dans l'élite du basket français. Il n'aura pas l'occasion d'aller au bout. Il a livré sa première réaction au Pays Roannais.\n\n“Le président (Emmanuel Brochot) m'a dit qu'on ne pouvait plus continuer comme ça. Le match de Strasbourg était quand même très encourageant. J'ai donné mon temps, ma vie, ma passion dans la Chorale. Certes, les résultats, et j'en suis responsable, n'étaient pas bons, mais il y avait des matches à notre portée à venir à domicile. Il n'y pas quasiment pas eu un jour sans qu'on ait une merde cette saison (...) Sekou (Doumbouya) est en partie venue car j'étais là. D.J. (Cooper) est aussi venu parce que j'étais là.\\n\nA l’inverse, le président Emmanuel Brochot pense qu’il s’agit du bon choix pour donner un nouveau souffle à cette équipe, alors qu’il reste moins d'un tiers du championnat à disputer. “Tout le monde sait l’amitié, le respect que j’ai pour Jean-Denys (Choulet). Mais ne rien faire était pour moi accepter notre destin. Je ne sais pas si c’est le bon choix, on le saura dans quelques semaines”, a-t-il raconté au Progrès, qui indique que le coach était de plus en plus isolé en interne.\n\nMarc Berjoan, coach des espoirs, et Loïc Bard, l’assistant, ont pris l’équipe en main dès mardi soir. Le duo sera sur le banc samedi soir contre Le Portel.

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Betclic Elite : T.J. Shorts élu MVP du mois de février

Candidat aux titres de MVP de la saison régulière aussi bien en Eurocup qu’en Betclic Elite, T.J. Shorts continue sa moisson de trophées individuels. Le MVP de Bundesliga et de BCL 2023 est parvenu à décrocher celui de la Leaders Cup et du mois de février 2024 en Betclic Elite.\n\n“Quand je joue, je ne pense jamais à gagner des titres de MVP. Mon objectif est seulement de gagner des matches. Les distinctions individuelles viennent toujours avec. Mon seul objectif est de faire ce dont l’équipe a besoin et je sais que je serai récompensé sur le long terme. Être nommé MVP, c’est le fruit de l'investissement réalisé toute l’année et chaque été. Mais le crédit revient à mes coéquipiers. Tout le monde voit mes statistiques mais on ne se rend pas compte du travail de mes coéquipiers pour me rendre la tâche plus facile. C’est une récompense avant tout collective car je ne pourrais pas briller sans eux”, nous avait livré après la Leaders Cup celui qui a été surnommé par son coach Terminator.\n\nLe meneur américain (18,6 points, 6 passes de moyenne en février) a été élu avec 38 % des votes, devançant Bodian Massa (Bourg-en-Bresse, 35%), Justin Bibbins (Nanterre, 14%) et Ibrahima Fall Faye (Nanterre, 13%). C’est le deuxième joueur du Paris Basketball à être élu joueur du mois cette saison après Nadir Hifi en novembre dernier.\n\nLes joueurs du mois cette saison en Betclic Elite :\nSeptembre 2023 : Mike James (Monaco)\nOctobre 2023 : Neal Sako (Cholet)\nNovembre 2023 : Nadir Hifi (Paris)\nDécembre 2023 : Zaccharie Risacher (Bourg-en-Bresse)\nJanvier 2024 : Tidjane Salaun (Cholet)\nFévrier 2024 : T.J. Shorts (Paris)\n\nBetclic Elite : Melvin Ajinça élu meilleur jeune du mois de févrierL’arrière de Saint-Quentin Melvin Ajinça réalise le doublé : meilleur jeune en septembre et en février en Betclic Elite.BasketEurope.comLa rédaction

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ASVEL : Paris Lee et Mike Scott rejoignent l’infirmerie

Alors que Boris Dallo n’a pas été remplacé, l’ASVEL s’apprête à vivre une semaine difficile sans deux de ses 12 joueurs restants. L'équipe de Pierric Poupet va devoir affronter à l’extérieur le Panathinaïkos ce vendredi à 20h15 et Chalon-sur-Saône dimanche à 14h30 avec un effectif réduit.\n\nTouché au genou droit dimanche à Dijon, l'ailier Mike Scott est d’ores et déjà forfait avant même de passer des examens complémentaires jeudi, nous apprend Le Progrès. Le journal local précise par ailleurs que le meneur Paris Lee est affaibli depuis quelques jours par une pneumopathie. Il sera “très probablement arrêté, au moins, une semaine”.\n\nSi tout va bien, les deux Américains pourraient faire leur retour la semaine suivante à la LDLC Arena pour la réception de l’Anadolu Efes, le vendredi 15 mars.\n\nL’Elan Chalon va retirer le maillot de Thabo SefoloshaLe 10 mars prochain, l’Elan Chalon honorera Thabo Sefolosha en retirant son maillot numéro 9. Le Suisse sera le troisième joueur à voir son maillot monter au Colisée, après Blake Schilb et Ilian Evtimov.BasketEurope.comLa rédaction

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Euroleague féminine : Villeneuve d’Ascq pour briser la malédiction française

Et si Villeneuve d’Ascq brisait la malédiction française ? Voilà désormais dix ans que les représentants tricolores échouent à rallier le Final Four de l’Euroleague féminine. Dominatrice lors du changement de siècle avec 5 titres (Bourges en 1997, 1998 et 2001, Valenciennes en 2002 et 2004), la France s'est petit-à-petit effacée derrière les superpuissances russes et turques, dopées aux dollars de richissimes mécènes.\n\nQuelques apparitions dans le dernier carré ont parfois nourri des ambitions avec des quatrièmes places (2006, 2007, 2008 et 2014) et un seul podium (Bourges en 2013) avant une traversée du désert qui, espérons-le, s'arrêtera ce mercredi soir. Depuis, sauf en 2016, aucun représentant tricolore n’a passé le cap du top 8 malgré une présence assidue aux playoffs. Encore l'année dernière, le Tango avait loupé le Final Four en craquant chez les Turques de Mersin lors d’un match d'appui.\n\n« Au cours d'une longue carrière, de telles opportunités sont rares, il faut savoir les saisir »\n\n« Si on n'arrive pas à s'installer dans le top 4 européen, c'est avant tout parce que ce n'est pas dans nos cordes financières. Nous, les Français, serons toujours considérés comme les petits poucets en Euroleague. Et encore, les clubs russes ne sont plus là pour prendre les deux places qu'ils occupaient habituellement. Au cours d'une longue carrière, de telles opportunités sont rares, il faut savoir les saisir. Je sais que mes joueuses sont prêtes », livre le coach de Villeneuve d’Ascq Rachid Meziane à L'Équipe.\n\nL’ESBVA a rendez-vous avec son histoire ce mercredi soir (18h) à Miskolc, en Hongrie, à la DVTK Arena. La mission ne sera pas facile : les Nordistes avaient chuté le 21 février dernier dans cette même enceinte aux allures de forteresse imprenable (66-78) avant de s’offrir une belle depuis le Palacium (63-59). Les Guerrières devront justifier leur surnom pour retourner la situation et rallier le Final Four, qu’elles espèrent disputer... à domicile.\n\nEuroleague féminine : le Final Four à Villeneuve d’Ascq ?En battant Miskolc mercredi au Palacium, l’ESBVA s’est offert une belle à disputer en Hongrie mercredi prochain. En cas de qualification, Villeneuve d’Ascq est candidat à l’organisation du Final Four.BasketEurope.comLa rédaction

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Direction Porto Rico pour Dwight Howard

S’il n’a pas officiellement dit adieu à la NBA, Dwight Howard est toujours un joueur de basket. Après avoir joué à Taïwan et aux Philippines, le pivot américain s'installe à Porto Rico, chez les Mets de Guaynabo, l’équipe qui avait signé DeMarcus Cousins la saison dernière. Il rejoint un autre ancien NBAer, Rondae Hollis-Jefferson, et sera coaché par la légende locale, J.J. Barea.\n\nSelon les règlements de la ligue portoricaine (BSN), il gagnera 5 000 dollars par semaine en tant que joueur étranger. L’année dernière, l’ancienne star du Magic tournait à 23,2 points à 57,7 %, 16,2 rebonds, 5,0 passes décisives et 1,2 contres par match dans la ligue taïwanaise.\n\n\n\nVoir cette publication sur Instagram\n\nUne publication partagée par Mets Basketball (@metsbaloncesto)\n\n

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Sasa Obradovic (Monaco) : “Mike James est un bourreau de travail comme Drazen Petrovic”

Régulièrement questionné sur Mike James, le coach de Monaco a de nouveau encensé son leader. Dans une interview à Meridian Sport, Sasa Obradovic l'a proclamé comme le joueur le plus talentueux d'Europe.\n\n\Il n'y a personne d'autre comme lui. Même au sens technico-tactique, il est le meilleur que j'ai eu l'occasion de voir. Je travaille avec lui tous les jours et je sais de quoi je parle. J'ai joué avec les meilleurs et je peux dire que personne n’a atteint son niveau combiné à une telle rapidité. Il a tout : le tir, l’attaque, la défense. Je ne pense pas qu’un joueur ait autant de qualités en Europe. (...). Et c’est un amoureux du basket. Nous avons récemment battu Barcelone. Les joueurs ont eu un jour off et Mike est allé voir le match de Badalone contre Rio Breogan en ACB (...) J'espère qu'il sera le MVP cette saison (en Euroleague), mais j'espère aussi que le succès individuel sera suivi du succès de l'équipe. S'il ne parvient pas à relier ces deux choses, il sera qualifié de très bon mais pas de meilleur de tous les temps.\\n\nL’entraîneur serbe loue également son éthique de travail, au point de le comparer... à Drazen Petrovic.\n\n\Cet homme est - tout comme Drazen Petrovic - un bourreau de travail. Il travaille plus dur que les autres, et c'est pourquoi il est ce qu'il est. La veille d'un match, il peut se faire surprendre lors d'une soirée, mais vous ne le remarquez pas quand il entre sur le terrain. Il y a très peu de gens comme Mike\, a commenté le coach monégasque.\n\n⏳️ 12 points left... 🐐#RocaTeam #EveryGameMatters pic.twitter.com/x7JLeDre0J\n\n— AS Monaco Basket 🇲🇨 (@ASMonaco_Basket) March 6, 2024\n\n\nEnfin, Sasa Obradovic est revenu sur sa relation personnelle, parfois décriée, avec le meneur américain.\n\n\Les gens ont essayé de nous mettre en désaccord avec Mike, mais notre relation était bonne dès le premier jour. Nous nous comprenons. Bien sûr, la relation n'a pas toujours été la meilleure, comme on pouvait le voir sur le terrain à certains moments. Le pire était contre Barcelone l'année dernière. Il a été suspendu pendant un certain temps à cause de quelque chose qui s'est passé en dehors du terrain. Mais ces choses l'ont aussi aidé.”\n\nJeudi soir à 19h contre l’Etoile Rouge à Gaston-Médecin, Mike James aura une nouvelle occasion de dépasser le record de points de Vassilis Spanoulis (4 455 points), lui qui n’est plus qu’à 12 unités de le dépasser. L’Euroleague prévoit une cérémonie à cette occasion.\n\nEuroleague : une cérémonie prévue en plein match pour le record de points de Mike JamesL’Euroleague prévoit d’arrêter le match au moment du record de points de Mike James, pressenti pour devenir le meilleur scoreur de l’histoire contre Barcelone ce vendredi ou à Monaco face à l’Etoile Rouge jeudi prochain.BasketEurope.comClément Carton

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Focus sur les capitales régionales, points d'ancrage du basket en France

Le basket est-il, en France, un “sport de sous-préfecture”, comme l’avait laissé entendre l’ancien rédacteur-en-chef de Stade 2, Lionel Chamoulaud, à la fin des années 2000 ? Le blog Hoop Analytics, via son consultant en stratégies et performances des organisations sportives, Vincent Bot, s’est intéressé à la question en réalisant une cartographie du basket français. L'étude part du principe que la présence de grandes villes identifiables semble être un facteur clé de succès - notamment chez les médias TV - pour construire une lisibilité de l'offre et la valorisation d'un basket professionnel français plus métropolitain auprès du grand public.\n\nL’étude livre un décryptage complet sur les capitales régionales comme point d'ancrage stratégique du basket pro français avec quatre indices.\n- Indice 1 : capitale régionale en Pro A ou disposant des infrastructures pour y prospérer\n- Indice 2 : capitale régionale en LNB mais avec un niveau sportif, des infrastructures ou des indices de marché limités (intensité concurrentielle, démographie, captifs RS)\n- Indice 3 : absence de capitale régionale malgré plusieurs clubs LNB sur le territoire\n- Indice 4 : absence de club évoluant en LNB sur le territoire\n\nA cet effet, Lyon, Paris, Strasbourg et Orléans se positionnent comme des points d’ancrage stratégiques majeurs du basket français car ayant des clubs en LNB et des infrastructures pour prospérer en première division (indice 1). Dijon, Rouen, Nantes et Lille sont également présents dans les deux premières divisions mais sont des capitales régionales plus limitées structurellement (indice 2).\n\nDeux tiers de ces capitales régionales répertoriées par l'étude sont pensionnaires de LNB avec une variation des segments : certains clubs sont locomotives de Betclic Elite, d'autres végètent en Pro B.\n\nIl est également à souligner que des régions dont les capitales (voir les régions entières) sont vacantes de tout club professionnel (indices 3 et 4) : c’est le cas de Bordeaux, Marseille, Toulouse et Rennes. Des grandes métropoles où le basket professionnel français peine à s’implanter durablement.\n\nL’étude résume ainsi l'état actuel du basket pro dans chaque secteur géographique et comprend également les données licenciés, première cible de captifs pour les clubs locaux. Elle est à retrouver dans son intégralité sur Hoop Analytics.\n\nÀ propos :\nConsultant stratégique et formateur auprès des clubs sportifs professionnels, semi-professionnels et amateurs, Vincent Bot observe le basket français depuis une quinzaine d’années et en décrypte les enjeux. Il a notamment implanté Under Armour Basketball en France, participé à la mise à flot du Paris Basketball en 2018-2019 et donné un élan au basket à Toulouse les 3 dernières années, conclu par le lancement du Stade Toulousain Basketball. Il intervient également dans l’enseignement supérieur spécialisé en Management du Sport dans les secteurs privés et publics.

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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures

Euroleague féminine : Villeneuve d’Ascq rejoint le Final Four et met fin à 10 ans de disette !\n\nDix ans après Bourges, Villeneuve d'Ascq est le premier club français à se qualifier pour le Final Four de l’Euroleague féminine ! Les joueuses de Rachid Meziane ont réalisé un match d’appui fantastique en contrôlant les Hongroises de Miskolc dans leur forteresse (58-73).\n\nEuroleague féminine : Villeneuve d’Ascq rejoint le Final Four et met fin à 10 ans de disette !Dix ans après Bourges, Villeneuve d’Ascq est le premier club français à se qualifier pour le Final Four de l’Euroleague féminine ! Les joueuses de Rachid Meziane ont réalisé un match d’appui fantastique en contrôlant les Hongroises de Miskolc dans leur forteresse (58-73).BasketEurope.comClément Carton\n\n\nEurocup : Bourg et Paris connaissent leur adversaire en quarts\n\nEn quarts de finale de l'Eurocup, le Paris Basketball affrontera Badalone, tombeur d'Ulm, ce jeudi 14 mars à l’Adidas Arena. La JL Bourg sera opposée aux Ukrainiens de Prometey, vainqueurs de l'Aris Salonique, mardi 12 mars à Ékinox.\n\nEurocup : Paris affrontera Badalone en quarts de finaleLes Espagnols de la Joventut Badalone ont éliminé les Allemands d’Ulm sur leur parquet en Eurocup (79-88). Ils retrouveront le Paris Basketball sur match sec en quarts de finale jeudi 14 mars à l’Adidas Arena.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nBCL : Cholet toujours en vie, Dijon vers la sortie\n\nCe mercredi soir en BCL, Cholet a dilapidé 14 points d’avance et n’a pas repris le point-average particulier sur Tofas Bursa mais a assuré la victoire (77-74), tandis que les quarts de finale s'éloignent pour la JDA Dijon, battue à Ludwigsbourg (71-59).\n\nBCL : Cholet toujours en vie, Dijon vers la sortieCe mercredi soir en BCL, Cholet a dilapidé 14 points d’avance et n’a pas repris le point-average particulier sur Tofas Bursa mais a assuré la victoire (77-74), tandis que les quarts de finale s’éloignent pour la JDA Dijon, battue à Ludwigsbourg (71-59).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\n\nASVEL : Paris Lee et Mike Scott arrêtés\n\nParis Lee (pneumopathie) et Mike Scott (genou) ne devraient pas disputer les deux prochains matches de l’ASVEL ce vendredi contre le Panathinaïkos et deux jours plus tard à Chalon-sur-Saône.\n\nASVEL : Paris Lee et Mike Scott rejoignent l’infirmerieParis Lee (pneumopathie) et Mike Scott (genou) ne devraient pas disputer les deux prochains matches de l’ASVEL ce vendredi contre le Panathinaïkos et deux jours plus tard à Chalon-sur-Saône.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nJean-Denys Choulet limogé à Roanne : “Il n'y a quasiment pas eu un jour où on n'a pas eu une merde”\n\nÉcarté de son poste de coach de la Chorale de Roanne, Jean-Denys Choulet a confié sa première réaction au Pays Roannais. L'entraîneur ligérien ne s'attendait pas à être viré.\n\nJean-Denys Choulet (Roanne) : “Il n’y a quasiment pas eu un jour où on n’a pas eu une merde”Écarté de son poste de coach de la Chorale de Roanne, Jean-Denys Choulet a livré sa première réaction.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nSasa Obradovic (Monaco) : “Mike James est un bourreau de travail comme Drazen Petrovic”\n\nSur le point de devenir le meilleur marqueur de l’histoire de l’Euroleague - Monaco affronte l'Etoile Rouge ce jeudi à 19h -, Mike James a reçu les éloges de son coach, Sasa Obradovic, qui le compare à Drazen Petrovic dans l’éthique de travail.\n\nSasa Obradovic (Monaco) : “Mike James est un bourreau de travail comme Drazen Petrovic”Sur le point de devenir le meilleur marqueur de l’histoire de l’Euroleague, Mike James a reçu les éloges de son coach, Sasa Obradovic, qui le compare à Drazen Petrovic dans l’éthique de travail.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nNenad Markovic : \En France, il y a plus d'athlètes, en Italie plus de tactique\\n\nPassé en cours de saison de la JDA Dijon au Dinamo Sassari, le coach bosnien Nenad Markovic s'est prêté au jeu des comparaisons entre le jeu français et italien.\n\nNenad Markovic : “En France, il y a plus d’athlètes, en Italie plus de tactique”Passé en cours de saison de la JDA Dijon à Banco di Sardegna Sassari, alias le Dinamo, le coach bosnien Nenad Markovic est à même de faire une comparaison entre le jeu français et italien.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nDirection Porto Rico pour Dwight Howard\n\nAprès avoir joué à Taïwan et aux Philippines, l’ancienne star NBA, Dwight Howard, va poursuivre, à 38 ans, son tour du monde à Porto Rico, chez les Mets de Guaynabo.\n\nDirection Porto Rico pour Dwight HowardÀ 38 ans, l’ancienne star NBA, Dwight Howard, va poursuivre son tour du monde à Porto Rico, chez les Mets de Guaynabo.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLes cavernes d’Ali Baba : rencontre avec Vincent Janssen (1/2)\n\nVincent Janssen et Frank Cambus collectionnent tout ce qui a trait au basket. Ils nous font partager leurs trésors à travers ces entretiens et ces photos. Voici pour commencer la caverne d’Ali Baba de Vincent.\n\nLes cavernes d’Ali Baba (1/2)Vincent Janssen et Frank Cambus collectionnent tout ce qui a trait au basket. Ils nous font partager leurs trésors à travers ces entretiens et ces photos. Voici pour commencer la caverne d’Ali Baba de Vincent.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\nEntretien \mental\ avec le légendaire David Blatt\n\nDans son podcast “The Mind Game of Basketball, 1 on 1 with yourself”, notre chroniqueur et coach en performance mentale, Nico Bourgade, a eu l’occasion d’échanger avec coach Blatt sur l’importance qu’il a pu donner à l’aspect mental dans le basket sous plusieurs aspects.\n\n1 vs 1 avec David Blatt, légendaire coach au palmarès éloquentDans son podcast “The Mind Game of Basketball, 1 on 1 with yourself”, notre chroniqueur et coach en performance mentale, Nico Bourgade, a eu l’occasion d’échanger avec coach Blatt sur l’importance qu’il a pu donner à l’aspect mental dans le basket sous plusieurs aspects.BasketEurope.comNicolas Bourgade

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Sergio Scariolo (Espagne) : “Avant, participer aux JO était une évidence, mais ce temps est révolu”

Battue deux fois en ouverture des qualifications à l’Euro 2025, l’Espagne a montré une forme de fragilité. N’est-ce pas aussi dû au niveau global de ses adversaires, qui ne cesse de monter ? A l’occasion de la présentation du tournoi de qualification olympique (TQO) de Valence, du 2 au 7 juillet prochain, le sélectionneur Sergio Scariolo a rappelé que la Roja ne prenait rien pour acquis, y compris l’obtention de son billet pour Paris 2024.\n\n“Il fut une époque où participer aux Jeux Olympiques était une évidence mais ce temps est révolu. Ce sont des époques différentes et nous n'avons pas peur d'un défi beaucoup plus relevé (...). Le classement est en soi devenu un titre, car seules douze équipes vont aux JO. Être là-bas est déjà un grand résultat. Certaines équipes n’ont peut-être pas un grand réservoir à disposition, mais ils ont dix ou douze joueurs pour battre n'importe qui”, a affirmé le coach italien de la Roja dans des propos retranscris dans Mundo Deportivo.\n\nLors du TQO de Valence à La Fonteta, l'Espagne fera face dans le groupe A à l'Angola et au Liban tandis que le groupe B sera composé des Bahamas, de la Finlande et de la Pologne. Les vainqueurs des deux poules s'affronteront en finale pour la place à Paris.\n\n“Cela s'annonce très relevé. Aucun match ne sera facile. Ce sera un très beau tournoi, avec de nombreux supporters d’autres pays qui seront présents en masse, à commencer par la Finlande, qui prévoit le déplacement de ses supporters. J'espère que ce sera une réussite sportive. Je n'ai aucun doute que ce sera une réussite en termes d'organisation et j'espère que ce sera très agréable pour une ville comme Valence qui a tant donné au basket. (...) Est-ce préférable ou non de jouer ce type de tournois à la maison ? Statistiquement, cela ressemble presque à un désavantage en raison du sens des responsabilités qui accompagne le dépassement du soutien et de la passion que les supporters peuvent transmettre. Mais je pense que la contribution des fans de Valence sera décisive. Nous espérons que dans les moments difficiles, ces supporters très experts et passionnés pourront être le sixième homme, à nous donner cette impulsion lorsque la machine ne fonctionnera pas de manière aussi fluide qu'elle devrait fonctionner.”\n\nLa Belgique sourit, l’Espagne grimaceLa victoire de la Belgique sur l’Espagne (58-53) devant 6 500 spectateurs au Dôme de Charleroi réjouit les Belgian Lions et commence à lézarder la fameuse confiance en soi de la Roja.BasketEurope.comPascal Legendre

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Euroleague féminine : Villeneuve d’Ascq rejoint le Final Four et met fin à 10 ans de disette !

C’est un 6 mars 2024 historique pour le basket français. Après des années d'échecs aux portes du dernier carré européen, la France retrouve enfin le Final Four de l’Euroleague féminine grâce à Villeneuve d’Ascq, qui l’atteint pour la première fois de son histoire. La longue traversée du désert s'arrête ainsi, dix ans après Bourges, en 2014.\n\nAprès avoir chuté lors du match 1 et rebondi au Palacium lors du match 2, l’ESBVA a créé la sensation ce mercredi soir en Hongrie en parvenant à faire tomber Miskolc seulement pour la deuxième fois de la saison européenne devant ses bouillonnants supporters à la DVTK Arena (58-73).\n\nLes joueuses de Rachid Meziane n’ont pas vécu un match d'appui tranquille mais elles ont dominé les débats durant 40 minutes, portées par leur défense et le trio Janelle Salaün (16 points à 6/9 aux tirs, 7 rebonds) - Kariata Diaby (15 points, 12 rebonds, 2 contres) - Kamiah Smalls (18 points, 6 rebonds). Maladroites (5/25 à 3-points), les Hongroises sont passées à côté de l’événement.\n\n\nUne première mi-temps pleine de maîtrise\n\nEmmenées par leur trio, les Guerrières ont tout d’abord vécu une entame de rêve avec un 14-0 en cinq minutes ! Elles comptaient déjà 16 points d’avance en fin de premier quart-temps (2-18, 7e), profitant de la terrible maladresse de Miskolc (0/7 à 3-points en dix minutes).\n\nIl n’y avait pas de quoi fanfaronner pour autant : les 17 points d’avance effacés lors du match aller étant encore dans les têtes des Nordistes. La réaction hongroise ne s’est pas faite attendre avec un excellent passage de la Française Ana Tadic (7 points, 3 rebonds) - la seule tricolore déçue de la soirée - et un écart ramené à quatre longueurs en début de deuxième quart-temps (19-23, 12e).\n\nOne-legged Janelle 😍#EuroLeagueWomen x @ESBVALM pic.twitter.com/VCKjqye9SE\n\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) March 6, 2024\n\n\nMoment choisi par Janelle Salaün pour retrouver de l’adresse et permettre aux Françaises de reprendre un matelas d’avance (23-38, 19e) surtout grâce à une défense agressive, concrétisée par une poignée de contre-attaques. L’ESBVA menait de 12 points à la pause (26-38) malgré l’ambiance locale, ses 10 pertes de balles et une Kennedy Burke jusque-là en méforme (4 points à 0/4 à 3-points, 2 ballons perdus).\n\n\nLes Nordistes résistent à la pression !\n\nTombant un poil dans la précipitation au retour des vestiaires, les Nordistes laissaient les Hongroises revenir un temps dans la partie (38-44, 26e). Mais les énormes shoots de Janelle Salaün et Kamiah Smalls redonnaient plus de dix points d’avance aux Guerrières avant le dernier quart-temps, et surtout un gros boost de confiance (44-56) !\n\nJANELLE SALAUN N'EST PAS HUMAINE ! 👽\n\n📺 Gratuitement sur https://t.co/gS7u20BbFZ@ESBVALM x @EuroLeagueWomen#SKWEEKLive #EuroLeagueWomen pic.twitter.com/KLg8G9ZDni\n\n— SKWEEK (@skweektv) March 6, 2024\n\n\nMalgré la pression des supporters hongrois, les joueuses de Rachid Meziane ont tenu bon jusqu’au bout (46-61, 33e). Le contrôle du rebond, notamment d’une Kariata Diaby en double-double, ainsi que la longue gestion des possessions leur permettait de gagner du temps (52-66, 37e). A l’expérience, les Nordistes validaient ainsi leur exploit. C’en est un puisqu’un seul club était parvenu à l’emporter à l’extérieur lors d’un match d’appui en douze tentatives depuis la refonte de l’Euroleague féminine (Prague en 2017) !\n\n\nUn Final Four à domicile ?\n\nLes Guerrières disputeront donc le Final Four du 12 au 14 avril prochain. Reste à savoir s’il aura lieu à domicile, comme elles l’espèrent. En demi-finale, l'ESBVA fera face à Prague, l'équipe de Valériane Ayayi, tombeuse de Schio après un match d'appui (74-54).\n\nA noter que l’autre demi-finale sera le remake de la finale de l’an dernier entre Mersin, vainqueur de sa belle contre Saragosse (86-63) avec une bonne Olivia Epoupa (4 points, 5 rebonds, 6 passes, 3 interceptions), et Fenerbahçe, le tenant du titre coaché par Valérie Garnier et avec Marième Badiane dans ses rangs, qualifié contre Salamanque en deux manches.\n\nQuoi qu’il arrive au sujet de Villeneuve d'Ascq, le néophyte de cette saison, cette cuvée 2024 promet d’être victorieuse pour les Françaises...\n\nBoxscore Miskolc - Villeneuve d’Ascq

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Eurocup : la JL Bourg opposée à Prometey en quarts de finale

La JL Bourg connaît désormais son adversaire en quarts de finale de l’Eurocup. Les Bressans feront face au club ukrainien de Prometey, qui a facilement disposé de l’Aris Salonique ce mercredi soir (95-67). Le duel aura lieu mardi 12 mars à 19h30 à Ekinox, en match sec.\n\nQuatrième du groupe A (10-8) tandis que la Jeu a terminé première de la poule B, Prometey est un adversaire à la mesure de l'équipe de Frédéric Fauthoux. Le club ukrainien de l’ancien scoreur de Roanne, Ronald March, s’avancera à Ekinox en outsider et peut-être sans son meneur, Issuf Sanon, touché lors de la dernière minute de son huitièmes de finale (cheville).\n\nL'autre représentant français d'Eurocup, le Paris Basketball, sera opposé à Badalone en quarts de finale, jeudi 14 mars à l’Adidas Arena.\n\nNotre adversaire en 1/4 de finale @EuroCup est connu !\n\nÇa sera face à @BcPrometey, l'équipe ukrainienne qui évoluait dans l'autre groupe cette saison ⚔️\n\nRDV le 12 mars à Ekinox à 19h30 pour un match sous haute tension ⚡️\n\nVotre place ici 👇\n🎟️ https://t.co/LEp65G5wzr pic.twitter.com/GDZ2x2sb0Z\n\n— JL Bourg Basket (@JLBourgBasket) March 6, 2024\n

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BCL : Cholet toujours en vie, Dijon vers la sortie

Grâce à un panier décisif d’Enzo Goudou-Sinha à 15,6 secondes de la fin, Cholet reste en vie en BCL. Avec deux victoires pour deux défaites, avec le même bilan que son adversaire du soir dans le groupe I, tout est encore possible malgré la perte du point-average particulier sur Tofas Bursa (77-74).\n\n🥶🥶 @Nzo_Gousi gives @CB_officiel the lead with 15.6 seconds to go!! #BasketballCL pic.twitter.com/GXQaBOOsiA\n\n— Basketball Champions League (@BasketballCL) March 6, 2024\n\n\nLongtemps devant au score à Ludwigsbourg, la JDA Dijon s'est finalement inclinée en Allemagne (71-59). Avec une seule victoire en quatre rencontres du top 16, l’équipe de Laurent Legname dit quasiment adieu à la qualification en quarts de finale.\n\nDéveloppement à suivre.\n\nBoxscore Cholet - Tofas Bursa / Boxscore Ludwigbourg - Dijon

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Eurocup : Besiktas sort le tenant du titre, Gran Canaria

Voilà pourquoi le format de l’Eurocup est piégeux : après avoir débuté la saison régulière par 10 victoires, Gran Canaria a faibli sur la phase retour et terminé troisième du groupe B avec un bilan de 12-6. Le tenant du titre espagnol n’a eu d’autre choix que de passer par un huitième de finale insidieux, contre Besiktas, la seule équipe à avoir fait tomber le Paris Basketball cette année sur la scène européenne.\n\nCe mercredi soir, dans un mano-a-mano serré jusqu’au bout, les coéquipiers d’Andrew Albicy, 8 points à 3/4 aux tirs, 8 passes décisives et 4 rebonds ont dominé la majeure partie de la rencontre. Finalement, les anciens du championnat de France, Matt Mitchell (8 points, 5 rebonds), Jonah Matthews (14 points, 3 passes), Kyle Allman (10 points) et Derek Needham (9 points, 5 passes) ont permis à l’équipe turque de prendre un avantage définitif dans le quatrième quart-temps.\n\nMarko Simonovic (10 points, 9 rebonds) a tué les débats à 11 secondes du terme en donnant cinq points d’avance aux Turcs (75-80). Le tir à 3-points de Nico Brussino et les deux lancers ratés du même Simonovic n’ont pas changé la donne.\n\n\nLe tableau des quarts de finale\n\nOn connaît désormais l’intégralité des quarts de finale. Le Paris Basketball sera opposé à Badalone et la JL Bourg aux Ukrainiens de Prometey. A noter que la rencontre Hapoël Tel-Aviv - Besiktas aura lieu à Vilnius.\n\nLes quarts de finale de l’Eurocup 2024 :\nParis Basketball - Joventut Badalone\nCluj Napoca - London Lions\nJL Bourg-en-Bresse - Prometey\nHapoël Tel-Aviv - Besiktas

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Rachid Meziane (Villeneuve d'Ascq) : « Personne ne nous attendait là, au Final Four »

Un mois plus tôt à notre micro, Rachid Meziane disait croire à une qualification malgré le désavantage du terrain. Force est de constater que sa conviction a contaminé Villeneuve d’Ascq, qui atteint le Final Four de l’Euroleague dès sa première tentative grâce à sa victoire pleine de maîtrise contre les Hongroises de Miskolc en match d’appui (58-73).\n\n« Nous avons joué le match qu'on voulait, ultra-défensif, raconte le coach à L’Equipe. Les filles ont été très disciplinées, ont respecté le plan de jeu. Je ne réalise pas encore qu'on est au Final Four. Le petit poucet du basket français fait partie du top 4 européen. J'ai un sentiment de fierté, du devoir plus qu'accompli, personne ne nous attendait là. Sur le début de match (14-0), je me suis dit qu'on était en train de vivre la même chose que le match 1, les filles y ont pensé aussi mais on savait quoi faire pour que ça ne se reproduise pas. »\n\nLa longue traversée du désert du basket français s'arrête ici. Dix ans après Bourges, la France retrouve ainsi le dernier carré de la compétition-reine. Outsider annoncé, Villeneuve d’Ascq doit croire en ses chances.\n\n« Il faudra aborder le Final Four avec de l'ambition. Nous avons toujours joué avec ambition. On jouera Prague, qu'on a déjà battu en saison régulière, ce qui peut permettre d'y croire. Il peut se passer beaucoup de choses en un mois. Si nous n'avions pas passé les quarts, nous aurions été déçus alors que c'étaient les premiers quarts du club. Ce sera pareil pour le Final Four, on veut gagner et on sera déçus si ce n'est pas le cas. On a toujours envie de proposer la meilleure version de nous-même », ajoute Rachid Meziane.\n\n\nLe Final Four à Villeneuve d'Ascq ?\n\nLe Final Four aura lieu du 12 au 14 avril prochain, reste à savoir son lieu. Au Palacium de Villeneuve d’Ascq ? Le dossier a été mis sur la table et est entre les mains de la FIBA.\n\n« On va jouer le Final Four pour le gagner, prévient Kennedy Burke toujours au micro d’Amaury Perdriau. Je suis persuadée que nous avons les joueuses pour aller au bout, pour jouer ce titre. Ce serait incroyable de pouvoir vivre l'événement à domicile. La France est un superbe pays, avec les meilleurs fans. Ça aurait beaucoup de sens. Je pense d'abord que je vais mettre deux semaines à me rendre compte qu'on a réussi à se qualifier ! »\n\nRachid Meziane, Villeneuve d’Ascq et le Final Four de l’Euroleague: «On a potentiellement des chances de passer»Rachid Meziane est à la fois le coach de Villeneuve d’Ascq, quart-de-finaliste de l’Euroleague, co-leader avec Basket Landes de la Ligue Féminine, et celui de la sélection belge championne d’Europe. Cela méritait une interview en deux parties. Voici la première.BasketEurope.comPascal Legendre

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Euroleague : l’Etoile Rouge privée de cinq joueurs face à Monaco

Alors que Monaco s’apprête à vivre son “magic moment” avec le probable record de points de Mike James, à qui il ne manque plus que 12 points pour dépasser Vassilis Spanoulis en Euroleague, l’Etoile Rouge de Belgrade avance masquée. L’équipe de Ioannis Sfairopoulos sera privée de cinq joueurs, essentiellement pour des raisons médicales.\n\nLa star Milos Teodosic ne sera pas du voyage, affaibli par un poignet douloureux. Tout juste devenu papa, Dejan Davidovac non plus. Trey Thompkins (genou) et Dalibor Ilic (virus) seront également absents tandis que Nikola Topic, blessé depuis le mois de janvier au genou, ne reviendra pas avant fin mars. Entre-deux ce jeudi soir à 19h à Gaston-Médecin.\n\nLe protocole du record de Mike James\nL’Euroleague a prévu un protocole spécial pour la célébration du record de points de Mike James, si celui-ci tombe effectivement ce jeudi soir. Plusieurs scénarios :\n- Si le record est battu en première mi-temps : arrêt du match, annonce du speaker, remise du ballon du match, vidéos sur écran géant... et reprise du match avec un autre ballon.\n- Si le record est battu en deuxième mi-temps : si l’écart est de 10 points ou plus entre les deux équipes, arrêt du match et même protocole ; si la différence est inférieure à 10 points, arrêt du match lors de la première situation d’arrêt du chrono.\n\nSasa Obradovic (Monaco) : “Mike James est un bourreau de travail comme Drazen Petrovic”Sur le point de devenir le meilleur marqueur de l’histoire de l’Euroleague, Mike James a reçu les éloges de son coach, Sasa Obradovic, qui le compare à Drazen Petrovic dans l’éthique de travail.BasketEurope.comLa rédaction

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Laurent Legname (Dijon) : « J’aime qu’on bataille, mais il faudrait qu’on gagne »

Malgré les 27 pertes de balles des Allemands mercredi soir, la JDA Dijon a une nouvelle fois manqué le coche (71-59). La faute à un manque de rotation sur le poste de meneur en l’absence de David Holston, à une adresse extérieure faiblarde (3/17 à 3-points) mais aussi à l’outrageuse domination des joueurs de Ludwigsbourg au rebond (42 à 23). L’équipe de Laurent Legname en est à quatre défaites sur les cinq derniers matches, toutes compétitions confondues.\n\n« C'est un peu la même chose qu’en championnat, on a une très bonne défense pendant 25-30 minutes et ça devient dur dans le dernier quart, a regretté le coach dijonnais en conférence de presse, dans des propos repris par Le Bien Public. Il nous manque David (Holston), et avoir une rotation en moins à la mène face à une équipe complète comme Ludwigsbourg, c'est trop dur. Je suis fier de mon équipe, car on est resté sur ce qu’on avait produit dimanche (NDLR : court revers contre Villeurbanne, 71-73). Après 18 minutes, ils n'ont que 19 points, mais on n'a pas eu la capacité de durer pendant 40 minutes. On n'a pas eu assez d’énergie offensivement derrière pour être meilleur. Certains joueurs n'étaient pas à leur niveau offensif. C'est la même histoire que contre Villeurbanne, j’aime qu’on bataille mais il faudrait qu’on gagne, et je n'ai pas envie de revivre la même chose samedi, contre Paris. »\n\nLa JDA Dijon n’a plus son destin en mains en BCL. N’ayant remporté qu’une seule de ses quatre rencontres dans le top 16, la formation bourguignonne doit à la fois gagner ses deux matches en récupérant le point-average sur Bonn (-10 à l'aller) et espérer que le tenant du titre perde contre Ludwigsbourg pour espérer voir les quarts de finale. Autant dire que la mission s'annonce périlleuse. Il restera la Coupe de France et les playoffs de Betclic Elite à tenter d'aller chercher.

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L’Euroleague féminine parmi les propriétés sportives à la croissance la plus rapide au monde

Alors que Villeneuve d’Ascq vient de mettre fin à dix ans d’absence des clubs français au Final Four de la compétition reine, l’Euroleague féminine se porte à merveille. La ligue gérée par la FIBA a été désignée comme l'une des principales propriétés sportives au monde sur la base de la croissance des recherches, soulignant l'intérêt mondial croissant pour la compétition.\n\nAvec une augmentation spectaculaire de 76 % des recherches, l’Euroleague Women se classe quatrième parmi les 55 des plus grandes \propriétés sportives\ au monde selon le rapport SportOnSearch 2024 réalisé par Redtorch.\n\nBasé sur les résultats de recherches en 2023 par rapport à la moyenne des quatre années précédentes, celui-ci place également l'Euroleague Women au deuxième rang parmi toutes les propriétés sportives féminines, seulement derrière la Barclays Women's Super League (football).\n\nL'étude précise que l’intérêt pour la compétition grimpe tout particulièrement en Lituanie, Serbie, Grèce et Espagne. Cela coïncide à la belle croissance numérique dont fait plus largement preuve l’Euroleague féminine.\n\n\nLe basket, deuxième sport qui progresse le plus\n\nSelon le rapport, le basket est par ailleurs le deuxième sport le mieux classé en termes d'augmentation des recherches (+48 %) derrière l’athlétisme (+85 %) et devant le football (+ 32 %) ou le rugby (+32 %). En 2023, l’intérêt pour la balle orange aurait été “boosté par le succès des Européens à la Coupe du monde, la transition de Victor Wembanyama vers la NBA et la progression du basket féminin”.\n\nÀ noter que l’Euroleague masculine - qui n'est pas gérée par la FIBA mais par ECA - a fait un bond de 56 % en 2023 (7e propriété sportive ayant le plus progressé), suivie de près par la WNBA (+ 54 %, 9e). La NBA arrive en 23e position de ce classement (+ 16 %). Retenons que dans toutes les compétitions, le basket progresse !

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Mike James proche d’une prolongation à l'AS Monaco

« Les dirigeants savent où me trouver, on habite au même endroit », souriait Mike James en conférence de presse avant la Leaders Cup en réponse à l’une de nos questions, après avoir annoncé que son prochain contrat serait sans doute le dernier. Quelques semaines plus tard, le dossier semble avoir avancé puisque L’Équipe révèle ce jeudi que ses représentants sont actuellement en Principauté dans le but de négocier une prolongation de contrat pluriannuelle.\n\nUn an après sa sanction disciplinaire, suivie d’interrogations laissées en suspens et de nombreuses rumeurs de départ l’été dernier, le meneur américain pourrait finalement faire du Rocher sa maison sur le long terme, comme l’espère le General Manager Oleksiy Yefimov.\n\nIl faut dire que le natif de l’Oregon réalise une saison fantastique avec la Roca Team (19,3 points à 46 % aux tirs, 4,5 rebonds et 5,3 passes décisives pour 21,5 d’évaluation), à tel point qu’il pourrait devenir ce jeudi soir, contre l’Etoile Rouge de Belgrade (19h), le meilleur marqueur de l’histoire de l’Euroleague. Il lui faut officiellement 12 points afin de dépasser le record de Vassilis Spanoulis.\n\nMike James (Monaco) : « Mon prochain contrat sera le dernier de ma carrière »Ambitions en Leaders Cup, progression du basket français, possibilité de porter un jour le maillot de Team USA mais aussi de signer le dernier contrat de sa carrière à l’issue de la saison... Le meneur de l’AS Monaco, Mike James (1,85 m, 33 ans), balaie sans détour son actualité. Et c’est intéressant.BasketEurope.comClément Carton

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Emmanuel Brochot, président de Roanne : “Faire revenir Jean-Denys Choulet était une erreur”

C’est une fausse note dont se serait bien passée la Chorale de Roanne. L’éviction de Jean-Denys Choulet fait grand bruit au sein du grand orchestre du basket français. Le désormais ex-coach ligérien et son président, Emmanuel Brochot, ont visiblement des comptes à régler. Ce dernier est revenu pour Le Pays Roannais sur sa décision d’écarter une deuxième fois celui qu’il avait fait revenir il y a de ça quatre saisons, neuf ans après son premier passage entre 2000 et 2011, marqué par un titre de champion de France en 2007.\n\n“J'ai fait deux erreurs. La première, c'est d'être revenu avec (Jean-Denys) Choulet. C'est lui qui m'a demandé de revenir et je n'aurais jamais dû accepter, lance Emmanuel Brochot. La deuxième ? Je n’ai pas eu le courage de m’en séparer (lors de la trêve internationale en février), j'ai voulu le protéger. Je pensais toujours que c'était l'homme de la situation. J'ai eu beaucoup de sollicitations de la part des dirigeants, des agents, de partenaires, qui m'incitaient à le faire. J'ai voulu aussi protéger certains dirigeants et salariés.”\n\nSelon lui, les erreurs de casting de Jean-Denys Choulet - notamment sur le poste 4 - lui ont coûté “300 000 euros de (sa) poche.” Le président de la Chorale évoque par ailleurs une “goutte d'eau qui a fait déborder le vase\ et un manque de relation avec les autres membres de la structure.\n\n“Quand ça va trop loin, ça va trop loin. Et ces derniers jours, c'est allé trop loin. On ne peut pas faire tout et n'importe quoi. Je pense avoir pris la bonne décision. On n'allait pas dans la bonne voie sportivement. Socialement, on n'allait pas dans la bonne voie non plus et on allait arriver devant de gros problèmes. Aujourd'hui, il était isolé dans le club et il n'avait plus d'échange avec les autres”, affirme le président, qui a par ailleurs défendu son remplaçant par intérim, Marc Berjoan, le coach des Espoirs. “Même si on dit qu'il n'a pas entraîné plus haut qu'en N1, il a quand même remporté la Coupe de France l'an dernier. Et il faut bien commencer un jour (...). Nos joueurs ont le talent pour nous maintenir.”\n\nToujours selon Le Pays Roannais, Emmanuel Brochot aurait eu plusieurs rendez-vous afin de trouver un successeur à Jean-Denys Choulet alors même que le double champion de France était encore en poste et dirigeait son équipe à Strasbourg. A noter que plusieurs supporters de la Chorale de Roanne s'apprêtent à manifester leur mécontentement face à cette mise à l'écart ce samedi à l'occasion de la réception du Portel.

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Espagne: Marcelinho Huertas bientôt le numéro 1 des passeurs

Le 25 mai, Marcelinho Huertas va fêter ses 41 ans et le meneur de Lenovo Tenerife est inaltérable. Mieux encore: après 23 matches, il possède sa meilleure évaluation (15,3) en... carrière!\n\nSauf blessure de dernière minute, le Brésilien va dépasser l’actuel coach du Bayern Munich, Pablo Laso, comme meilleur passeur de l’ACB et atteindre les 3 000 assists.\n\nLes meilleurs passeurs de l'histoire :\n\n1 Pablo Laso 2896\n\n2 Marcelinho Huertas 2884\n\n3 Nacho Azofra 2224\n\n4 Albert Olivier 2074\n\n5 Nacho Rodriguez 2032\n\n6 Sergio Llull 1869\n\nMarcelinho Huertas figure par ailleurs à la 17e place des marqueurs et va grignoter encore quelques places avant de prendre sa retraite à un moment qui n’est pas encore défini.\n\nLes meilleurs marqueurs de l’histoire :\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nNon.\n\n\n\n\nJoueur\n\n\n\n\nPOINTS\n\n\n\n\n\n\n\n1\n\n\n\n\nAlberto Herreros\n\n\n\n\n9759\n\n\n\n\n\n\n2\n\n\n\n\nJordi Villacampa\n\n\n\n\n8991\n\n\n\n\n\n\n3\n\n\n\n\nBrian Jackson\n\n\n\n\n8651\n\n\n\n\n\n\n4\n\n\n\n\nFelipe Reyes\n\n\n\n\n8332\n\n\n\n\n\n\n5\n\n\n\n\nJuan Carlos Navarro\n\n\n\n\n8318\n\n\n\n\n\n\n6\n\n\n\n\nSalle Granger\n\n\n\n\n8039\n\n\n\n\n\n\n7\n\n\n\n\nJeanne Creus\n\n\n\n\n7929\n\n\n\n\n\n\n8\n\n\n\n\nJoe Arlauckas\n\n\n\n\n7543\n\n\n\n\n\n\n9\n\n\n\n\nAlex Mumbru\n\n\n\n\n7435\n\n\n\n\n\n\n10\n\n\n\n\nVelimir Perasović\n\n\n\n\n7387\n\n\n\n\n\n\n11\n\n\n\n\nJuan Antonio 'Epi'\n\n\n\n\n7029\n\n\n\n\n\n\n12\n\n\n\n\nDarryl Middleton\n\n\n\n\n6425\n\n\n\n\n\n\n13\n\n\n\n\nAndrew Turner\n\n\n\n\n6405\n\n\n\n\n\n\n14\n\n\n\n\nRafa Jofresa\n\n\n\n\n6327\n\n\n\n\n\n\n15\n\n\n\n\nSergio Llull\n\n\n\n\n6260\n\n\n\n\n\n\n16\n\n\n\n\nRichard Scott\n\n\n\n\n6199\n\n\n\n\n\n\n17\n\n\n\n\nMarcelinho Huertas\n\n\n\n\n6195\n\n\n\n\n\n\n18\n\n\n\n\nJean Pinone\n\n\n\n\n6175\n\n\n\n\n\n\n19\n\n\n\n\nBernard Hopkins\n\n\n\n\n6088\n\n\n\n\n\n\n20\n\n\n\n\nAnte Tomic\n\n\n\n\n6078\n\n\n\n\n\n\nEn gras, les joueurs en activité.\n\n\n\n\n\n

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Quand Victor Wembanyama ne dopait pas les audiences sur France 4

La FIBA a surpris en annonçant, il y a quelques semaines, que les matches des équipes de France -TQO pour les filles, pré-européen pour les garçons- étaient dorénavant diffusés par la plateforme DAZN alors qu’une éclaircie avait eu lieu auparavant sur l’une des chaînes du service public -pas la plus fréquentée, il est vrai- France 4.\n\nNous nous sommes procurés les audiences sur France 4 -excusez-nous pour le décalage!- des matches de qualifications à la Coupe du monde 2023. La rencontre la plus regardée fut celle contre la République Tchèque à l’Accor Arena de Paris avec 250000 téléspectateurs et une pointe à 275000. Ce qui est pas mal. Tous les autres matches avaient tourné autour de 125-150000 sauf le match retour face au Portugal qui était tombé à 90 000. Ce qui est très moyen.\n\nC’est à cette période que Victor Wembanyama est apparu sous le maillot bleu pour quatre matches: Lituanie, deux fois, Bosnie-Herzégovine et République Tchèque, mais pas celui à Paris ; il était blessé. Si le jeune prodige a eu un impact sur le terrain (19,0 points, 8,3 rebonds et 2,8 contres), ce ne fut pas le cas au niveau des audiences alors que pourtant la Wembymania avait pris son envol après son passage aux Etats-Unis avec les Mets.\n\nPour mémoire, le match France-République Tchèque à Paris (95-60) concernait une équipe où on retrouvait notamment Rudy Gobert et Evan Fournier et se situait à la fin août en amont de l’EuroBasket 2022.\n\nD’une façon générale, ces audiences n’étaient pas faramineuses mais largement supérieures à celles de BeIN et... très probablement à celles de DAZN.\n\n

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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures

Mike James devient le meilleur scoreur de l'histoire de l'Euroleague\n\nCe jeudi 7 mars, Mike James est devenu le meilleur marqueur de l'histoire de l'Euroleague en dépassant Vassilis Spanoulis dans la victoire de Monaco sur l'Etoile Rouge de Belgrade (98-80). Cadeau bonus : le meneur star de la Roca Team pourrait prochainement signer une prolongation de contrat pluriannuelle !\n\nMike James nouveau détenteur du record de points inscrits en Euroleague !De plus en plus proche du record de points inscrits en Euroleague ces dernières semaines, Mike James a enfin dépassé Vassilis Spanoulis et ses 4 455 unités marquées dans la compétition européenne à l’occasion de la victoire de son équipe contre l’Etoile Rouge de Belgrade ce jeudi soir (98-80).BasketEurope.comValentin PerrotMike James (Monaco) : “Je savourerai ce record à la fin de ma carrière”A l’issue de son record de points en Euroleague, Mike James a reçu les félicitations de tous, de son coach, Sasa Obradovic et aussi de celui de l’Etoile Rouge, Ioannis Sfairopoulos.BasketEurope.comLa rédactionLe top 25 des marqueurs de l’EuroleagueLe meneur de l’AS Monaco, Mike James est devenu hier jeudi, à l’occasion du match face à l’Etoile Rouge de Belgrade, le meilleur marqueur de tous les temps de l’Euroleague. Voici le top 25.BasketEurope.comLa rédactionMike James proche d’une prolongation à l’AS MonacoAlors que Mike James s’apprête à devenir ce jeudi le meilleur marqueur de l’histoire de l’Euroleague, le meneur star de l’AS Monaco pourrait prochainement signer une prolongation de contrat pluriannuelle.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEmmanuel Brochot, président de Roanne : “Faire revenir Jean-Denys Choulet était une erreur”\n\nC’est une fausse note dont se serait bien passée la Chorale de Roanne. L’éviction de Jean-Denys Choulet fait grand bruit au sein du grand orchestre du basket français. Le désormais ex-coach ligérien et son président, Emmanuel Brochot, ont visiblement des comptes à régler. Ce dernier affirme avoir commis un impair en faisant revenir le coach double champion de France au club et estime à 300 000 euros les pertes liées à ses “erreurs de casting”.\n\nEmmanuel Brochot, président de Roanne : “Faire revenir Jean-Denys Choulet était une erreur”Le président de la Chorale de Roanne est revenu sur les raisons de l’éviction de Jean-Denys Choulet dans Le Pays Roannais. Emmanuel Brochot affirme avoir commis un impair en le faisant revenir au club et estime à 300 000 euros les pertes liées à ses “erreurs de casting”.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nRachid Meziane (Villeneuve d'Ascq) : “Personne ne nous attendait là, au Final Four”\n\nQualifié pour le Final Four de l’Euroleague féminine, Rachid Meziane, le coach de Villeneuve d’Ascq croit en les chances de son équipe du 12 au 14 avril prochain. L'événement aura-t-il lieu au Stade Pierre-Mauroy ? Les Guerrières feront face à Prague et Valériane Ayayi en demi-finale.\n\nRachid Meziane (Villeneuve d’Ascq) : « Personne ne nous attendait là, au Final Four »Qualifié pour le Final Four de l’Euroleague, Rachid Meziane, le coach de Villeneuve d’Ascq croit en les chances de son équipe du 12 au 14 avril prochain. Les Guerrières feront face à Prague et Valériane Ayayi en demi-finale... à domicile ?BasketEurope.comLa rédactionL’Euroleague féminine parmi les propriétés sportives à la croissance la plus rapide au mondeSelon une étude de Redtorch, l’intérêt de l’Euroleague Women a progressé de 76 % en 2023, ce qui la place comme la quatrième propriété sportive à la plus forte croissance, tous sports confondus. Aussi, l’Euroleague masculine progresse vite.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEurocup : le tenant du titre sorti dès les huitièmes de finale\n\nSurprise en Eurocup : le tenant du titre, Gran Canaria, s'est fait sortir dès les huitièmes de finale, battu dans sa salle par Besiktas (78-80). L'équipe d'Andrew Albicy et de Pierre Pelos ne verra pas les quarts de finale de l'Eurocup, où le Paris Basketball affrontera Badalone,tombeur d'Ulm, ce jeudi 14 mars à l’Adidas Arena et la JL Bourg sera opposée aux Ukrainiens de Prometey,vainqueurs de l'Aris Salonique, mardi 12 mars à Ékinox.\n\nEurocup : Paris affrontera Badalone en quarts de finaleLes Espagnols de la Joventut Badalone ont éliminé les Allemands d’Ulm sur leur parquet en Eurocup (79-88). Ils retrouveront le Paris Basketball sur match sec en quarts de finale jeudi 14 mars à l’Adidas Arena.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nSergio Scariolo (Espagne) : “Avant, participer aux JO était une évidence, mais ce temps est révolu”\n\nContraint de passer par un TQO, à Valence du 2 au 7 juillet, pour valider sa place aux Jeux Olympiques de Paris 2024, le sélectionneur espagnol Sergio Scariolo juge de plus en plus difficile d’y obtenir sa place.\n\nSergio Scariolo (Espagne) : “Avant, participer aux JO était une évidence, mais ce temps est révolu”Contraint de passer par un TQO, à Valence du 2 au 7 juillet, pour valider sa place aux Jeux Olympiques de Paris 2024, le sélectionneur espagnol Sergio Scariolo juge de plus en plus difficile d’y obtenir sa place.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nLes cavernes d’Ali Baba : rencontre avec Vincent Janssen et Frank Cambus\n\nVincent Janssen et Frank Cambus collectionnent tout ce qui a trait au basket. Ils nous font partager leurs trésors à travers ces entretiens et ces photos.\n\nLes cavernes d’Ali Baba (1/2)Vincent Janssen et Frank Cambus collectionnent tout ce qui a trait au basket. Ils nous font partager leurs trésors à travers ces entretiens et ces photos. Voici pour commencer la caverne d’Ali Baba de Vincent.BasketEurope.comPascal LegendreLes cavernes d’Ali Baba (2/2)Vincent Janssen et Frank Cambus collectionnent tout ce qui a trait au basket. Ils nous font partager leurs trésors à travers ces entretiens et ces photos. Voici pour finir la caverne d’Ali Baba de Frank.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\nEntretien \mental\ avec le légendaire David Blatt\n\nDans son podcast “The Mind Game of Basketball, 1 on 1 with yourself”, notre chroniqueur et coach en performance mentale, Nico Bourgade, a eu l’occasion d’échanger avec coach Blatt sur l’importance qu’il a pu donner à l’aspect mental dans le basket sous plusieurs aspects.\n\n1 vs 1 avec David Blatt, légendaire coach au palmarès éloquentDans son podcast “The Mind Game of Basketball, 1 on 1 with yourself”, notre chroniqueur et coach en performance mentale, Nico Bourgade, a eu l’occasion d’échanger avec coach Blatt sur l’importance qu’il a pu donner à l’aspect mental dans le basket sous plusieurs aspects.BasketEurope.comNicolas Bourgade\n\n

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Mike James nouveau détenteur du record de points inscrits en Euroleague !

Douze points. C'est ce qu'il manquait à Mike James pour écrire une belle page de l'histoire du basket européen en devenant le meilleur marqueur de l'Euroleague. Ce jeudi, il aura fallu 16 minutes au génial meneur américain pour atteindre cet objectif, établir la plus haute marque individuelle de la compétition européenne et ajouter une très grand accomplissement de plus à son palmarès personnel.\n\nAprès un premier essai infructueux lors de la brillante victoire de son équipe à Barcelone la semaine dernière, le Monégasque a dépassé les 4 455 unités inscrites par la légende Vassilis Spanoulis grâce à son shoot signature, marqué contre les Serbes de l'Etoile Rouge de Belgrade devant un public de Gaston-Médecin euphorique.\n\n🔥🔥🔥 SUR SON SPÉCIAL MIKE JAMES DEVIENT LE PLUS GRAND SCOREUR DE L'HISTOIRE DE L'EUROLEAGUE 🔥🔥🔥@ASMonaco_Basket x @EuroLeague#SKWEEKLive #EveryGameMatters pic.twitter.com/9XJ8g0icH1\n\n— SKWEEK (@skweektv) March 7, 2024\n\n\n\nUn record célébré... en plein match !\n\nComme annoncé par l'Euroleague, le natif de Portland a été honoré en plein match après l'établissement de son record. La rencontre a été interrompue pendant plus de quatre minutes, permettant au meneur d'être longuement applaudi par les spectateurs présents et félicité par coéquipiers et adversaires. Après avoir reçu le ballon du match des mains de l'arbitre, l'homme de la soirée a pu profiter de son moment de gloire sous les nombreux flashs des photographes.\n\nAlors qu'il réalise sans doute son meilleur exercice depuis son arrivée en Europe (19,3 points par match cette saison, 20 unités inscrites ce jeudi face aux Serbes), James a finalement atteint les sommets offensifs de l'Euroleague pour sa dixième saison à ce niveau. D'autant qu'il aura encore l'occasion d'améliorer cette marque dans les prochaines années. Une nouvelle étape validée, avant d'aller chercher son premier titre collectif dans la compétition ?\n\n🐐 Greatness👏\n\n👑 Mike James is your all-time Euroleague's top scorer 🌟🇲🇨#RocaTeam #EveryGameMatters pic.twitter.com/9LjJAfVEHh\n\n— AS Monaco Basket 🇲🇨 (@ASMonaco_Basket) March 7, 2024\n

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Euroleague : Pour la grande soirée de Mike James, Monaco assure face à l'Etoile Rouge de Belgrade

Parfois, l'enjeu sportif d'un match ne représente pas grand chose face au poids de l'histoire. La rencontre d'Euroleague de ce jeudi soir entre Monaco et l'Etoile Rouge de Belgrade en est la parfaite illustration, Mike James ayant l'occasion de devenir le meilleur marqueur de l'histoire de la compétition en inscrivant 12 points. À Gaston-Médecin, la soirée monégasque a été aussi belle qu'espéré, avec l'obtention simultanée du record convoité par sa star américaine et de la victoire dans une rencontre maîtrisée.\n\nDans ce contexte très particulier, les Monégasques ont sans grande surprise eu besoin de quelques minutes pour pleinement rentrer dans leur match. Mais une fois passés devant, les hommes de Sasa Obradovic n'ont plus lâché leur avantage malgré une belle tentative de retour de l'Etoile Rouge en deuxième mi-temps.\n\nBien que privée de son maitre à jouer Milos Teodosic et en difficulté dernièrement (5 défaites sur ses 6 derniers matches européens), l'équipe de Belgrade démarrait bien (13-17). Avant de voir Monaco revenir puis passer devant sur un 12-0 pour finir le premier quart-temps (25-17). Sur un bon rythme et boosté par l'obtention du nouveau record par Mike James en milieu de deuxième quart-temps, l'équipe de la Principauté semblait maîtriser son sujet malgré un écart loin d'être définitif à la pause (46-38).\n\n\nUn excellent Elie Okobo au relais de Mike James\n\nMais c'était sans compter la belle réaction de l'équipe de Giannis Sfairopoulos. Portée par Luka Mitrovic (18 points, 10 rebonds) et Yago Dos Santos (16 points, 5 passes décisives), l'Etoile Rouge effaçait rapidement son retard (57-57). La réponse monégasque ne se faisait pas attendre et les locaux profitaient de la montée en température d'Elie Okobo (14 points, 4 rebonds, 7 passes décisives) pour écarter à nouveau son adversaire (69-60 à dix minutes de la fin). Avec une avance maximale de 22 points dans le quatrième quart, Monaco se dirigeait finalement vers une victoire large (98-80).\n\nEntre ce succès obtenu avec la manière et le cap historique atteint par Mike James (20 points au final), Monaco aura offert une soirée parfaite à son public et reste bien placé dans la course au top 4. S'il s'est fait plus discret en deuxième mi-temps, le meneur, longuement ovationné à sa sortie du terrain, n'en restera pas moins le héros d'un match déjà rentré dans l'histoire de la plus prestigieuse compétition européenne.\n\nHistory made ✅\n\nImportant dub at home for @ASMonaco_Basket ✅ #EveryGameMatters pic.twitter.com/fatA6WVyXZ\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) March 7, 2024\n\n\nBoxscore Monaco - Etoile Rouge de Belgrade / Classement Euroleague

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Euroleague : Une réunion importante des actionnaires les 12 et 13 mars

Les sujets abordés devraient être les suivants :\n\nL'inclusion de Dubaï à la compétition, dès la prochaine saison ou pas. L'option la plus probable est une transition d'un an via l'Eurocup. Une discussion pour d'autres wild cards devrait intervenir lors d'une autre réunion.\n\n-Le maintien du Lituanien Paulius Motiejunas comme PDG.\n\n-La possibilité d'offrir le Final Four à l'émirat d'Abou Dabi pour les années 2025, 26 et 27 contre une très forte somme d'argent. On parle de 75 millions d'euros pour les trois éditions. L'Etihad Arena peut contenir jusqu'à 18 000 spectateurs.L'édition de 2024 est prévue à Berlin.\n\n-La règle du fairplay financier avec l'adoption d'une luxury tax.\n\n-Un point sur les discussions avec la FIBA notamment à propos d'une possible fusion Eurocup-BCL.\n\nLes 13 actionnaires de l'Euroleague titulaires d'une Licence A sont : FC Barcelone, Real Madrid, Baskonia Vitoria, Olympiakos, Panathinaikos, Anadolu Efes, Fenerbahçe, Maccabi Tel-Aviv, Zalgiris Kaunas, Olimpia Milan, CSKA Moscou, Bayern Munich et Villeurbanne.

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Le top 25 des marqueurs de l'Euroleague

Mike James a dépassé Vassilis Spanoulis et la moyenne par match de l'Américain est sensiblement plus élevé que celle du Grec : 16,4 points contre 12,4 points.\n\nOn remarque la présence de deux Français, Nando De Colo -qui aurait pris la tête du classement s'il n'avait pas été blessé- et aussi Rodrigue Beaubois. L'augmentation du nombre de matches favorise les joueurs toujours en exercice.\n\n\n\n1Mike James4.4642712Vassilis Spanoulis4.4553583Nando De Colo4.3962884Juan Carlos Navarro4.1523415Sergio Llull3.8723976Sergio Rodríguez3.7313977Jan Vesely3.7033408Georgios Printezis3.5993759Kostas Sloukas3.48937310Nikola Mirotic3.41623911Kyle Hines3.33341812Milos Teodosic3.30728613Paulius Jankunas3.24139214Shane Larkin3.19721115Nick Calathes3.12834416Felipe Reyes3.02935717Rudy Fernández3.02534318Vasilije Micic3.00722919Alexey Shved3.00618720Scottie Wilbekin2.99922721Toko Shengelia2.92324622Will Clyburn2.88021123Ante Tomic2.78028324Cory Higgins2.76423825Rodrigue Beaubois2.759260\n\n\n\n\n\n\n\n🎙️@TheNatural_05 LE MEILLEUR SCOREUR DE L'HISTOIRE DE L'EUROLEAGUE au micro de @CharlotteSvgt 🔥@EuroLeague x @ASMonaco_Basket pic.twitter.com/b3QU13lK23\n\n— SKWEEK (@skweektv) March 7, 2024\n

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Euroleague : Sarunas Jasikevicius (Fenerbahçe) a une dent contre le Barça

Sarunas Jasikevicius a pu brandir le point au WiZink Center de Madrid en signe de victoire (79-89). Le coach lituanien a déjà battu le Real avec trois clubs différents, le Zalgiris Kaunas, le Barça et maintenant Fenerbahçe. Il s'agit de sa 11e victoire en 15 matchs dans cette Euroleague depuis sa signature le 14 décembre et tomber le Real dans son antre est évidemment un exploit.\n\nOn peut retenir les 17 points et 12 rebonds de Nigel Hayes-Davis côté turc, alors que les Français, aussi bien au Fener (2 points pour Amine Noua), qu'au Real (8 points et 5 rebonds pour Vincent Poirier, 6 points et 6 rebonds pour Guerschon Yabusele et 0 point pour Fabien Causeur) ont été globalement en-dessous de leurs standards.\n\n\Il est très important pour nous de gagner ces matchs à l'extérieur, a commenté Jasikevicius. C'est un grand pas dans la bonne direction. Le RealMadridn'a tiré que 14 tirs à trois-points, ce qui est une bonne chose. Nous avons fait beaucoup de choses pour gagner ici, les chiffres du rebond sont incroyables pour nous (45 à 30) et faire 13 interceptions est aussi quelque chose de très bien contre le RealMadrid. Je pense que nous méritions de gagner.\\n\nLe coach du Fener a été sollicité par les médias pour évoquer son départ du Barça dont il a été le boss de 2020 à 2023 après en avoir été joueur de 2000 à 2003 et de 2012 à 2013.\n\n\«Tout le monde me pose des questions sur Barcelone et nous devons laisser cela de côté.De plus, nous l’avons laissé dans un assez mauvais état.Aujourd'hui, j'ai fait une interview (sur Movistar+) dans laquelle je disais qu'en Euroleague si c'est une victoire c'est deux jours de bonne presse, et si tu perds tu pars sans victoire là tu as deux jours de mauvaise presse.Le marathon continue. La déception est énorme, sans aucun doute.Les mauvais traitements continuent en ce moment, ces jours-ci, ils continuent, envers ma famille et tout le reste.Un jour, je parlerai clairement, je ne veux plus faire de mal.Un jour, je parlerai beaucoup plus que je n'ai parlé jusqu'à présent. »\n\nSelon le journaliste Marçal Lorente, la réaction de Jasikevicius est due au fait que le Barça a retiré le capitanat de l'équipe benjamine à son fils Lukas, 11 ans, resté à Barcelone avec sa mère et sa soeur. Son entraîneur lui a dit qu'il s'agissait \d'ordres venus d'en haut\.

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LFB : Bourges, un public âgé mais un développement sur TikTok

Une étude réalisée par le Centre de Droit et d’Économie du Sport (CDES) de Limoges l'année dernière permettait de dégager une singularité.\n\n\C’est peut-être LA grande spécificité du Bourges Basket, analyse Florent Bergmann, l’un des économistes du centre. Le public qui fréquente le palais des sports du Prado est d’une mixité quasi parfaite. Dans toutes les études que l’on a réalisées, quel que soit le sport et quel que soit le sexe, on a toujours vu une majorité d’hommes en tribunes. À Bourges ce n’est pas le cas.\ Les femmes (51 %) sont même un petit peu plus nombreuses à venir encourager le TBB les soirs de match.\n\nLes spectateurs/trices sont par ailleurs âgé(e)s puisque les plus de 45 ans représentent près de la moitié (48%) du public alors que 78% viennent du Cher (31% de Bourges) et 22% des autres départements. A noter que le nombre d'abonnés était tombé de 800 à 500 avec la pandémie de COVID-19 mais qu'il est remonté à 680.\n\nAu niveau des réseaux sociaux (Instagram, Facebook, X, TikTok et LinkedIn), le TBB recense plus de 102 000 abonnés après avoir créé un compte sur TikTok pour justement rajeunir la cible*. Celui dénombre aujourd'hui 12 100 abonnés, et Le Berry fait remarquer que c'est quasiment dix fois plus que Basket Landes et la Ligue féminine, et aussi six fois plus que la Berrichonne de Châteauroux, le club de football phare de la région.\n\n*Sur TikTok, d'une façon générale, 51,3% de l'audience sont des femmes entre 13 et 24 ans.

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Mike James (Monaco) : \Je savourerai ce record à la fin de ma carrière\

Voici ce qu'ils ont déclaré, propos retranscris par le site de l'AS Monaco :\n\nSasa Obradovic (entraîneur de la Roca Team) : «C’est un grand honneur pour moi d’entraîner un tel joueur. Depuis trois ans, on a développé notre relation. On s’est aidés l’un et l’autre à grandir. On vient d’un monde différent, mais c’est une magnifique aventure depuis le premier jour. La première année on fait les play-offs, l’an dernier le Final Four. Maintenant cette année, il y a encore plus d’attente sur nous. Ce record sera très difficile à battre à l’avenir, parce qu’aux Etats-Unis, ils prennent très tôt les jeunes talents européens. En tout cas, ce soir Mike mérite qu’on ne parle que de lui. Sur la rencontre ? C’était un peu compliqué au début, mais on a su démontrer une belle force collective. On doit rester les pieds sur terre. On a tout entre nos mains, on se doit de ne pas perdre cela.»\n\nMike James : «Je ne voulais pas que ça rentre trop dans l’émotionnel, car il fallait tout d’abord être focus sur la victoire. Je savourerai ce record à la fin de ma carrière. J’ai apprécié l’instant présent. Ça fait un moment que mes amis et ma famille sont là, on va célébrer ça tous ensemble ce soir, mais tranquillement. Car le plus important reste à venir, on veut aller au bout et gagner le titre d’Euroleague. Spanoulis ? Il m’a appelé hier pour me parler, et me féliciter.»\n\nIoannis Sfairopoulos (entraîneur de l’Etoile Rouge) : «Tout d’abord, je veux dire félicitations à Mike James. Il mérite d’être seul tout en haut, de battre ce record, avec de nombreuses années au top niveau. C’est un parcours et une progression incroyables. Il a dépassé les limites en faisant ce qu’il a fait. Concernant le match, mon équipe s’est battue, mais cela n’a pas suffit face à une équipe en confiance comme Monaco qui mérite sa victoire.»\n\n💦😁🚿#RocaTeam #EveryGameMatters pic.twitter.com/O05QyrMPN1\n\n— AS Monaco Basket 🇲🇨 (@ASMonaco_Basket) March 7, 2024\n\n\nThe world celebrates Mike James becoming the All-Time Scoring Leader 👏\n\nCongrats@TheNatural_05 ! pic.twitter.com/wgbzoYD0Zp\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) March 8, 2024\n

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Il y a 40 ans, Orthez et Freddy Hufnagel gagnaient la Coupe Korac

La finale à Paris fut une magnifique mise à mort de l’Etoile Rouge de Belgrade. Le meneur de jeu Freddy Hufnagel, qui avait alors 23 ans, se remémore cette soirée de folie.\n\nLe signe du destin, c’est lorsque Petar Popovic se retrouve sur la ligne des lancers-francs dans ce coupe-gorge de Zadar. Trois lancers à tirer. Il lui suffit d’en mettre deux pour écarter l’Elan Béarnais. Le premier est rejeté par l’arceau. Popovic, un shooteur pur et dur dans la tradition yougoslave, est petit bras. Le second est si court qu’il effleure à peine le cercle. Seul le troisième fait ficelle. Trop peu. Les Béarnais ont vu l’abîme, plus rien ne leur résistera. Même pas l’Olympique d’Antibes, un autre club français, qui leur est offert en demi-finale et qui est pourtant coriace jusqu’au bout avec un Bob Morse (63 points sur l’ensemble des deux matches) qui rappelle qu’il avait été un seigneur d’Europe avec le grand Varèse. + 5 sur l’ensemble des deux manches.\n\nLa fédération profite du désistement de dernière minute de Trieste pour organiser la finale à Paris-Coubertin. C’est tout le Sud-Ouest qui monte à la capitale pour une fiesta géante, télévisée en direct sur la deuxième chaîne nationale. Ça hurle, ça chante. De match, il n’y en a pas. Les Yougoslaves, tétanisés, sont submergés par le tsunami vert et blanc. «Orthez, c’est la première ville de 10000 habitants, tous sports réunis, qui gagne une finale de coupe d’Europe», rappelle Pierre Seillant, le fils du fondateur du club, cheville ouvrière de toute cette épopée. «Orthez en finale, les gens disent, c’est bien, c’est normal, ça fait quatre ans qu’ils approchaient du but. Mais c’est extraordinaire! Il faut voir la somme d’efforts que ça représente.»\n\nFreddy Hufnagel, enfant du Lot-et-Garonne, digne héritier d’Alain Larrouquis et Jean-Noël Perpère, est alors l’étoile montante de l’Elan Béarnais, bientôt son symbole. Un basketteur hyper doué, aimant Jimmy Hendrix et la verdure, capable d’envoyer des missiles à longue portée, et de faire la fiesta avec tous les villageois.\n\nCes gens-là étaient des guerriers à la motivation décuplée par leur fierté régionale, et l’argent n’était pas encore la marque ultime de la réussite. Orthez en 1984, c’était le temps de l’insouciance.\n\nAvez-vous en mémoire les trois lancers-francs de Petar Popovic, à Zadar?\nJe n’y étais pas, je m’étais cassé la clavicule. C’était la troisième fois. La première fois, c’était en jouant au rugby à 14-15 ans. Bien sûr, on m’a mis au courant de suite du résultat par téléphone. Il y a les lancers-francs de Popovic, ceux un peu plus tard d’Eric Beugnot lors d’une demi-finale contre Villeurbanne, ça fait partie du basket, de la tragédie qui se joue pendant un match. Un mec qui n’en rate jamais et qui en manque deux sur trois. Il y avait quelque part sur Orthez une bonne étoile, cette glorieuse incertitude du sport. Il faut demander à Pierre Seillant, peut-être avait-il payé Popovic et qu’il a maintenant une jolie maison sur l’Adriatique! (rires).\n\nEt de votre retour à Antibes en demi-finale après six semaines d’indisponibilité suite à cette fracture de la clavicule (Freddy Hufnagel marqua un panier aussitôt son entrée, qui donna un coup de booster à son équipe)?\nIl faut se remémorer qu’à Antibes, ils avaient des panneaux en plexiglass italien et qu’il n’y avait que deux personnes capables de mettre des paniers avec la planche, Daniel Haquet et moi, avec la clavicule pétée. En fait, je crois que j’en n’ai jamais mis un là-bas avec la planche, sauf celui-là. Alléluia! J’étais à peine remis de ma clavicule cassée. Aujourd’hui, un, on ne me laisserait pas jouer, deux, les mecs appuieraient là où ça fait mal.\n\nLorsque vous êtes rentrés dans Coubertin pour la finale, vous aviez été surpris de voir toute la salle aux couleurs de l’Elan Béarnais?\nMême à la Moutète, ce n’était pas comme ça. Coubertin était plein comme un œuf, tout vert, même le parquet très dur était vert. Je n’ai pas de souvenir du match, mais je sais que c’était impossible de perdre, surtout que c’était tout neuf pour nous, pas comme si on avait fait quinze campagnes de Korac et qu’on en avait déjà gagné une. On était sur un nuage, c’était presque irréel.\n\n\n«Ça ressemblait à un public grec, serbe ou croate. Quand ils sont entrés sur le terrain, ça a fait une bronca!»\n\nLes Yougoslaves de l’Etoile Rouge vous avez pris de haut en pensant qu’ils étaient plus grands, plus forts?\nJe ne pense pas, les Yougos, ce sont des compétiteurs. Tu n’es pas en finale par hasard. Je crois qu’ils ont été surtout surpris par l’ambiance. Ça ressemblait à un public grec, serbe ou croate. Quand ils sont entrés sur le terrain, ça a fait une bronca! Et pendant le match, on n’entendait pas le ballon rebondir sur le sol. Pendant une heure et demie, ça a gueulé. Le public chantait, dansait, je n’ai jamais vu ça à La Moutète et pourtant c’était une salle chaude. Et puis, des joueurs ont fait un match exceptionnel. Je pense à Mathieu (Bisseni) contre Zizic, John McCullough qui a été exceptionnel en termes d’organisation et de points. On a tous essayé de faire notre job... Cette finale, on ne pouvait pas la perdre, c’était impossible dans notre tête. Ce dont je me souviens, c’est que je suis sorti du match sans avoir l’impression d’avoir joué tant j’étais chargé d’adrénaline. Même à Orthez ou à Limoges tu n’avais pas ces montées d’adrénaline. Là, c’était un four. On était sublimés. Je ne me souviens pas d’avoir vu un mec essoufflé pendant le match. Personne ne voulait sortir, on voulait jouer à dix! Il faudrait demander à Maljko (Bozidar Maljkovic, futur coach du Limoges CSP, champion d’Europe 1993, était alors assistant à l’Etoile Rouge), mais j’ai l’impression que tellement pris par l’environnement, les Yougos n’ont pas joué sur leur vraie valeur. Ils ne s’attendaient pas à ça pour une finale à Paris.\n\nEst-ce que le fait de gagner la Korac devant les caméras d’Antenne 2, à 20h30, vous a fait connaître de la France entière?\nÀ Orthez, dans notre petite ville, on ne se rendait pas trop compte de ce qui se passait. Tu es à la campagne, dans ta bulle. On était pris davantage par l’environnement que par le contexte. On était à Coubertin comme chez nous, avec notre public, comme si on avait transposé La Moutète à Paris. Il ne faut pas oublier que le Limoges CSP avait montré la voie deux fois de suite (en 1982 et 83), que l’on commençait à se tirer la bourre avec eux, qu’il y avait une génération de joueurs –je pense notamment à Richard Dacoury- qui avait une vision, une ambition. Richard voulait montrer que le basket était un grand sport et surtout que lui était un grand basketteur dans une grande équipe. Le basket français n’avait pas une grande réputation, on se prenait des grosses tôles avec l’équipe de France, et on avait à cœur de montrer que l’on était des clubs qui existaient au niveau européen. On avait plus l’ambition d’être reconnu par les autres clubs européens, nos collègues basketteurs, que d’avoir un impact médiatique à travers la télé. Il faut se remettre dans le contexte. Il y avait trois chaînes de télévision, c’était l’année de naissance de Canal +. Il n’y avait pas une chaîne qui pouvait dicter l’heure du match, le format du championnat, la couleur des maillots, etc... Et c’était normal de passer un grand événement sur le service public, le Tournoi des 5 Nations, la Coupe du monde de foot, la finale de la Coupe de France....\n\nLa veille du match, vous aviez déjeuné au sénat et à 18h, vous étiez reçu par Jacques Chirac, alors maire de Paris. C’était quand même une préparation toute spéciale?\nNe m’en parlez pas! Notre masseur était horloger... Comme ça, il n’y avait pas de blessés (rires). C’est sûr que c’était un autre monde, vous ne pouvez plus faire ça aujourd’hui.\n\nEt vous n’aviez pas les shorts de la même couleur...\nA l’époque, chacun lavait ses affaires. Ce n’est pas que l’on n’avait pas les mêmes shorts, c’est que l’on n’avait pas les mêmes marques de lessive! C’est vrai que j’ai délavé quelques shorts. Par contre, depuis, je connais les programmes des machines à laver...\n\nAviez-vous fait ce soir-là une fiesta particulière? Plus forte encore que les autres?\nOn avait fait un repas (NDLR: un banquet organisé par le sponsor Belle des Champs, à la salle Géo-André). Je me souviens d’avoir fini avec Bill Sweek (NDLR: coach américain de plusieurs clubs français) devant le Concorde-Lafayette, et d’être parti le lendemain à Limoges pour un stage en équipe de France pour le tournoi pré-olympique. On ne se rendait pas bien compte de ce qu’on avait fait, gagner une coupe d’Europe. C’est comme lorsque tu passes entre deux trains et que tu n’es pas touché. Tu te pinces : «On l’a fait» ! Le basket n’était pas encore professionnel à 100 %, on sortait du basket cassoulet. Je crois que les premiers contrats professionnels datent de 1984. C’était un peu l’euphorie, il n’y avait pas de prise de tête, on ne se rendait pas compte.\n\n\n«Fisher, c’était l’opposé de nous. Dans le contexte béarnais, on était un peu branleurs. Il avait la rigueur que l’on n’avait pas et qu’il nous a imposée»\n\nQuand vous êtes arrivé à Orthez, étiez-vous déjà un shooteur?\nJ’ai commencé à travailler le shoot avec Gérard Bosc à l’INSEP dans le cadre de «Horizon 80». On était les premiers avec Philip Szanyiel, Jean-Luc Deganis, Patrick Cham. On nous a inculqués les fondamentaux de type universitaire. Bosc, c’était «Arbeit match frei!» (NDLR: Le travail vous libère!) Défense, défense, défense... De ma génération, trois mecs mettaient des points, Dub (Hervé Dubuisson), Ostro (Stéphane Ostrowski) et Sza-Sza (Philip Szanyiel), et les autres, Jean-Luc Deganis, Richard Dacoury, Patrick Cham, moi, c’était défense, rebond, course à pied et coup de marteau. Ensuite, j’ai beaucoup travaillé le shoot avec George Fisher.\n\nFisher vous a apporté la rigueur américaine?\nUne anecdote. C’était au mois de juillet. Il arrive et il me dit «on se retrouve à la salle demain à huit heures». C’est un entraîneur américain, t’es motivé, tu y vas. On commence, 8h, 9h, 10h... Il va arrêter ce con! 11h, midi. Je n’en pouvais plus. Il me dit «on va manger chez Moulia et puis on revient». Bon... On y revient, 14h-18h. Et il me dit «A demain!». Pendant un mois, j’ai juste eu le temps d’aller une fois à Pampelune, sinon j’ai travaillé le shoot et des tas d’autres choses. Les gens ont eu image de nous en train de faire la fête, mais on était à la salle tous les jours. Fisher, c’était l’opposé de nous. Dans le contexte béarnais, on était un peu branleurs. Il avait la rigueur que l’on n’avait pas et qu’il nous a imposée. Il avait une ligne de conduite, ce n’était pas notre copain, et c’est ce qu’il fallait. Je pense que Seillant avait calculé son coup. Surtout pas un copain avec eux, ça serait la mort du petit cheval.\n\nÀ Orthez, les gens parlent-ils encore de basket?\nIls commentent les résultats de l’équipe actuelle. À Orthez, nous avions une vie sociale normale et quand je les vois aujourd’hui, ils me demandent ce que je deviens, ce que fait ma fille. Les gens aiment bien les matches des anciens. A Heugas (près de Dax où à lieu chaque année les «Basket Folies»), l’autre fois, c’était plein. Il y a une culture. Il ne faut pas oublier qu’Orthez est à la limite des Landes, le pays du basket par excellence. On invite aussi chaque année des joueurs contre qui l’Elan a joué, comme Alain Gilles et Philip Szanyiel l’année dernière (NDLR : l’interview date de 2014). Et cette année, on invite Richard (Dacoury). Je lui ai dit, Richard, on va te prendre en photo avec le maillot de l’Elan Béarnais et une nuit, avec une cagoule, j’irai à la gare des Bénédictins pour mettre cette photo en 4x4! Cette rivalité Limoges-Orthez, Seillant et Biojout en ont bien joué. Le prix des places n’était pas le même que pour les autres matches. Ça a motivé les deux clubs, ça les a obligés à chercher sans cesse à se renouveler. S’il y avait eu quatre Limoges et quatre Orthez, aujourd’hui, on s’appellerait peut-être ligue ACB.\n\n\nLes héros orthéziens\n\nElan Béarnais Orthez b. Etoile Rouge de Belgrade: 97-73.\nJohn McCullough (Américain, 29 pts), Paul Henderson (Américain naturalisé, 20 pts, 7 rbds et 5 pds), Bankaly Kaba (Franco-Sénégalais, 20 pts et 6 rbds), Freddy Hufnagel (8 pts), Christian Ortéga (8 pts), Philippe Laperche (8 pts), Mathieu Bisseni (Franco-camerounais-centrafricain, 4 pts, 10 rbds et 6 pds), Didier Gadou, Alain Gadou, Pascal Laperche. Coach: George Fisher.\n\nInterview parue en mars 2014 dans BasketHebdo.

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JO de Paris : Yohan Rosso et Amel Dahra parmi une pré-sélection de 40 arbitres

Le Français Yohann Rosso, 42 ans, et la Française Amel Dahra, 34 ans, figurent dans cette liste qui comprend 19 des arbitres ayant officié aux Jeux olympiques 2021, 32 lors de la Coupe du monde 2023, 11 lors de la Coupe du monde féminine en 2022 et 22 lors de la Coupe du monde 2019. Il y a 29 nationalités différentes, avec 8 femmes, un nombre en augmentation vis à vis de Tokyo 2021. En revanche, aucun arbitre d'Euroleague n'est présent dans cette liste Il faut donc en conclure que la hache de guerre n'a pas encore été enterrée entre les deux entités.\n\nLes arbitres participeront à un programme de préparation intensif de 14 semaines, qui comprend l'utilisation de l'analyse vidéo, l'entraînement physique, la préparation mentale et l'entraînement au travail d'équipe.Un camp pré-compétition intense de trois jours aura lieu en Belgique juste avant le début des JO de Paris.\n\nLa liste des 40 arbitres :\n\nAhmed Al-Shuwaili (IRQ) ; Julio Anaya (PAN) ; Kerem Baki (TUR) ; Andres Bartel (URU) ; Johnny Batista (PUR) ; Scott Beker (AUS) ; Omar Bermudez (MEX) ; Amy Bonner (USA) ; James Boyer (AUS) ; Blanca Burns (USA) ; Luis Miguel Castillo (ESP) ; Ariadna Chueca (ESP) ; Antonio Conde (ESP) ; Amel Dahra (FRA) ; Yann Davidson (MAD) ; Sara Elsharnouby (EGY) ; Juan Fernandez (ARG) ; Maj Forsberg (DEN) ; Daniel Garcia (VEN) ; Viola Gyorgyi (NOR) ; Waseem Husainy (CAN) ; Matthew Kallio (CAN) ; Takaki Kato (JPN) ; Martins Kozlovskis (LAT) ; Boris Krejic (SLO) ; Wojciech Liszka (POL) ; Manuel Mazzoni (ITA) ; Yevgeniy Mikheyev (KAZ) ; Arnold Moseya (RSA) ; Wael Mostafa (EGY) ; Rabah Noujaim (LBN) ; Kristian Paez (ECU) ; Carlos Peralta (ECU) ; Peter Praksch (HUN) ; Jenna Reneau (USA) ; Yohan Rosso (FRA) ; Gatis Salins (LAT) ; Roberto Vazquez (PUR); Martin Vulic (CRO) ; Ademir Zurapovic (BIH).\n\n

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ITW Marc Berjoan, coach de Roanne par intérim : “Les joueurs sont des professionnels, ils ont une mission à accomplir”

Marc, rappelez-nous tout d’abord votre parcours ?\n“J’ai commencé à entraîner à la JL Bourg sur les catégories jeunes chez les U15, U18 et Espoirs dans les années 2000. J’ai été assistant en Pro B de Didier Dobbels et un peu de Jean-Michel Sénégal l’année précédente, comme deuxième assistant (NDLR : entre 2007 et 2009). Je suis resté à Bourg-en-Bresse pendant 14 ans, j’ai surtout participé à la mise en place du centre de formation. Derrière, je suis parti à Montbrison pendant trois ans, où j’ai coaché en NM1, en NM2 puis de nouveau en NM1. Après, j’ai été au Pôle Espoir du Lyonnais pendant un an. Je suis retourné par la suite chez les professionnels puisque j’ai fait quatre ans d’assistanat à Antibes en Pro A (de 2015 à 2019), avant de retourner sur Lyon pour coacher Lyon SO durant deux ans. Je suis arrivé à Roanne à l’été 2021 et j’en suis donc à ma troisième saison comme entraîneur du centre de formation, avant d’être nommé coach intérimaire de l’équipe pro il y a quelques jours.\n\nOn imagine que vous avez vécu une semaine animée...\nOui, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est particulier. On prend comme ça vient !\n\nQue représente cette promotion pour vous ?\nJe ne le prends pas comme une promotion, en fait. Les dirigeants m’ont demandé si je pouvais assurer l'intérim sans savoir combien de temps il durerait. Je suis dans cet état d’esprit : je suis un intérimaire qui verra bien quelle sera la durée de son intérim.\n\nEntraineur de l'équipe Espoirs, Marc Berjoan assurera l'intérim sur le banc de l'équipe professionnelle assisté de Loïc Bard et Emilie Duvivier ce samedi pour la réception du Portel en #BetclicELITE\nLe club travaille à l'arrivée d'un nouvel entraineur\n📷 Nolhan Joanin pic.twitter.com/wrqymNlBJU\n\n— Chorale Roanne Basket (@ChoraleRoanne) March 7, 2024\n\n\nAvez-vous senti en amont que Jean-Denys Choulet était en danger ?\nNon parce que (il réfléchit), c’est Jean-Denys Choulet. À Roanne, c’est un monument. C’est 27 ans de LNB et deux titres de champion de France avec deux clubs. Je ne pensais pas (qu’il était en danger). J’étais au contact du groupe pro quotidiennement puisque j’étais entraîneur des Espoirs mais j’étais surtout concentré sur ma mission avec le centre de formation.\n\nComment les joueurs du groupe pro ont-ils accueilli la nouvelle ?\nCe n’est jamais facile quand il y a un départ. Maintenant, les joueurs sont des professionnels et ils savent qu’ils ont une mission à accomplir et qu’elle n’est pas facile. Ils se sont rapidement remis au travail.\n\nAvez-vous eu des contacts avec Jean-Denys Choulet depuis son éviction ?\nNon, je n’en ai pas eu.\n\n“Ce n’est pas du tout une position inconfortable. Au contraire, je fais les choses pour aider le club. Je n’ai pas d’arrière-pensée. Si je dois retourner avec les Espoirs, je n’en serais pas malheureux.”\n\nPeut-on imposer sa patte quand on a quelques entraînements avec l’équipe ?\nL’avantage que j’ai, c’est que le centre de formation travaillait sur les bases de l’équipe professionnelle. Certains joueurs s’entraînaient quotidiennement avec les pros. Il y a des liens, des contenus qui étaient communs. Ça me facilite automatiquement certaines choses, ça facilite l’adaptation, on gagne du temps. Est-ce qu’on a le temps d’imposer sa patte ? Non. Est-ce qu’on a le temps de modifier des petites choses ? On verra demain, mais on ne révolutionne pas le basket en trois entraînements, c’est sûr.\n\nTactiquement, quel est votre fil rouge pour préparer Le Portel ce samedi ?\nOn est une équipe qui attaque plutôt bien (NDLR : 81,5 points de moyenne, 5e attaque de Betclic Elite). Modifier l’attaque n’est pas notre priorité. Aujourd’hui, on a une équipe qui encaisse beaucoup de points donc on se doit de faire mieux. C’est difficile de gagner des matches quand on encaisse 95 points. Le principal axe est d’essayer d’être plus consistant en défense.\n\nEst-ce inconfortable de savoir que le club recherche un coach ?\nOn m’a présenté le projet comme un intérim sans savoir si l’intérim durerait un match, quatre mois ou douze mois. Ce n’est pas du tout inconfortable pour moi. Au contraire, je fais les choses pour aider le club. Je n’ai pas d’arrière-pensée. Je faisais un métier sur le centre de formation qui me convenait parfaitement. Si je dois retourner avec les Espoirs, je n’en serais pas du tout malheureux (NDLR : sous contrat jusqu'en 2026). Si on me propose de continuer, je verrai à ce moment-là quelle est la décision que je prendrai. C’est une situation plutôt confortable, je trouve.\n\n4000 spectateurs attendus à Vacheresse ce samedi pour inverser le sort 🔵⚪\nLa preview 👉 https://t.co/O9JQCOxIPo#CHOESSM #ChoraleNation\n\n— Chorale Roanne Basket (@ChoraleRoanne) March 8, 2024\n\n\nQue pensez-vous de la situation de la Chorale à l’instant T, relégable mais avec deux matches de retard, où tout semble possible...\nTout est possible, c’est exactement ça.\n\nL’équipe est-elle suffisamment talentueuse pour décrocher le maintien, comme le disait votre président il y a deux jours ?\nJe ne vais pas dire le contraire. Oui, il y a du talent dans cette équipe, il faut le mettre à profit. Maintenant, je suis concentré sur le match qui arrive. (Il réfléchit) En fait, je ne me projette pas au-delà du match.\n\nÀ titre personnel, à quel niveau ambitionnez-vous de coacher ?\nMon ambition est de faire le mieux possible mon travail, quel que soit le niveau. On a tous envie de vivre des matches intéressants, de former des jeunes, on aspire tous quelque part au haut niveau... Ce qui m’intéresse, c’est le travail en commun, avec un staff. C’est plus la manière dont on travaille que le niveau qui m’importe. Il y a des avantages et des inconvénients dans tous les postes.\nDans mon parcours, j’ai déjà un peu tout connu : coach principal, assistant, centre de formation, séniors, jeunes... A chaque occasion, j’ai toujours trouvé des choses intéressantes. C’est le changement au fil de ma carrière qui fait que ce n’est pas monotone et très enrichissant. Travailler avec les pros, c’est super, mais tout dépend des conditions de travail, de l’environnement autour. C’est ça qui est important pour moi.\n\nEst-ce profitable sur un CV d’avoir été coach à Roanne, même sur une courte durée ?\nJe n’en sais rien, je ne l’ai pas encore été (rires). Cela dépendra avant tout des résultats. Mais cela veut dire qu’il y a quand même des gens compétents qui ont jugé que j’étais capable d’assurer un intérim. Ce sont des gens de valeur, que j’estime et je remercie. Pour les autres, je ne sais pas ce que ça vaut, mais pour moi, ça a une valeur qu’une personne, en l’occurrence le président (NDLR : Emmanuel Brochot), qui a lui aussi gagné un titre de champion de France (en 2007), m’ait donné une chance de prendre cet intérim. Pour moi, ça a de la valeur.”\n\nEmmanuel Brochot, président de Roanne : “Faire revenir Jean-Denys Choulet était une erreur”Le président de la Chorale de Roanne est revenu sur les raisons de l’éviction de Jean-Denys Choulet dans Le Pays Roannais. Emmanuel Brochot affirme avoir commis un impair en le faisant revenir au club et estime à 300 000 euros les pertes liées à ses “erreurs de casting”.BasketEurope.comClément Carton

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Le Maccabi-Tel Aviv va perdre 5M€ en raison de la guerre

Selon IsraelHayom, en étant privé de matches d'Euroleague à la Menora Mivtachim Arena, le Maccabi Tel-Aviv devrait perdre plus de 20 millions de shekels, soit environ 5,10 millions d'euros. Il faut savoir que le budget prévisionnel du club était pour cette saison de 90 millions de shekels (23M€) et qu'environ la moitié de celui-ci provient des revenus de la vente des abonnements aux matchs de l'Euroleague et de la ligue israélienne.\n\nCes dernières années, Maccabi a vendu environ 9 500 abonnements sachant qui lui reste un millier de places à vendre aux guichets en raison de l'obligation de réserver environ 10 % de la capacité de la salle pour l’équipe adverse dans la Winner League israélienne.\n\nSelon les sources du site israélien, le déménagement à Belgrade, le coût des vols et l'organisation des matches d'Euroleague dans la ville provoque un surcoût au budget d'environ 5 millions de shekels (1,28M€). On estime par ailleurs que le club restituera à ses fans au moins 10 % du prix total des abonnements.\n\nLes trois autres représentations israéliens dans les coupes d'Europe – l'Hapoël Tel-Aviv, l'Hapoel Jérusalem et l'Hapoel Holon – sont également touchées par la situation géo-politique et souffrent des dégâts économiques.\n\n\n\n\n\n

Parle moi en détail de :

Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures

Le Maccabi-Tel Aviv va perdre 5M€ en raison de la guerre\n\nEn raison du conflit avec le Hamas, le Maccabi Tel-Aviv joue ses matches à domicile... à l'extérieur, donc loin de ses fans ce qui induis des pertes d'argent.\n\nSelon IsraelHayom, en étant privé de matches d'Euroleague à la Menora Mivtachim Arena, le Maccabi Tel-Aviv devrait perdre plus de 20 millions de shekels, soit environ 5,10 millions d'euros. Il faut savoir que le budget prévisionnel du club était pour cette saison de 90 millions de shekels (23M€) et qu'environ la moitié de celui-ci provient des revenus de la vente des abonnements aux matchs de l'Euroleague et de la ligue israélienne.\n\nLe Maccabi-Tel Aviv va perdre 5M€ en raison de la guerreEn raison du conflit avec le Hamas, le Maccabi Tel-Aviv joue ses matches à domicile... à l’extérieur, donc loin de ses fans ce qui induis des pertes d’argent.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nITW Marc Berjoan, coach de Roanne par intérim : “Les joueurs sont des professionnels, ils ont une mission à accomplir”\n\nPropulsé coach par intérim à l’éviction de Jean-Denys Choulet, l’entraîneur des Espoirs, Marc Berjoan, dirigera la Chorale de Roanne ce samedi contre Le Portel, et plus si affinités. L’entraîneur passé notamment par la JL Bourg et Antibes raconte cette semaine... agitée.\n\nMarc, rappelez-nous tout d’abord votre parcours ?\n“J’ai commencé à entraîner à la JL Bourg sur les catégories jeunes chez les U15, U18 et Espoirs dans les années 2000. J’ai été assistant en Pro B de Didier Dobbels et un peu de Jean-Michel Sénégal l’année précédente, comme deuxième assistant (NDLR : entre 2007 et 2009). Je suis resté à Bourg-en-Bresse pendant 14 ans, j’ai surtout participé à la mise en place du centre de formation. Derrière, je suis parti à Montbrison pendant trois ans, où j’ai coaché en NM1, en NM2 puis de nouveau en NM1. Après, j’ai été au Pôle Espoir du Lyonnais pendant un an. Je suis retourné par la suite chez les professionnels puisque j’ai fait quatre ans d’assistanat à Antibes en Pro A (de 2015 à 2019), avant de retourner sur Lyon pour coacher Lyon SO durant deux ans. Je suis arrivé à Roanne à l’été 2021 et j’en suis donc à ma troisième saison comme entraîneur du centre de formation, avant d’être nommé coach intérimaire de l’équipe pro il y a quelques jours.\n\nITW Marc Berjoan, coach de Roanne par intérim : “Les joueurs sont des professionnels, ils ont une mission à accomplir”Propulsé coach par intérim à l’éviction de Jean-Denys Choulet, l’entraîneur des Espoirs, Marc Berjoan, dirigera la Chorale de Roanne ce samedi contre Le Portel, et plus si affinités. L’entraîneur passé notamment par la JL Bourg et Antibes raconte cette semaine... agitée.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nVidéo : Sylvain Francisco numéro 1 des actions de février de l'Euroleague\n\nAvec son incroyable 3-points victorieux au buzzer face au Partizan Belgrade, le meneur de jeu du Bayern Munich, Sylvain Francisco, est classé numéro 1 du top 10 des actions de l'Euroleague pour le mois de février.\n\nVidéo : Sylvain Francisco numéro 1 des actions de février de l’EuroleagueAvec son incroyable 3-points victorieux au buzzer face au Partizan Belgrade, le meneur de jeu du Bayern Munich, Sylvain Francisco, est classé numéro 1 du top 10 des actions de l’Euroleague pour le mois de février.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLFB : Bourges, un public âgé mais un développement sur TikTok\n\nLe quotidien Le Berry publie ce jour une intéressante radiographie du public du Prado de Bourges.\n\nUne étude réalisée par le Centre de Droit et d’Économie du Sport (CDES) de Limoges l'année dernière permettait de dégager une singularité.\n\n\C’est peut-être LA grande spécificité du Bourges Basket, analyse Florent Bergmann, l’un des économistes du centre. Le public qui fréquente le palais des sports du Prado est d’une mixité quasi parfaite. Dans toutes les études que l’on a réalisées, quel que soit le sport et quel que soit le sexe, on a toujours vu une majorité d’hommes en tribunes. À Bourges ce n’est pas le cas.\ Les femmes (51 %) sont même un petit peu plus nombreuses à venir encourager le TBB les soirs de match.\n\nLFB : Bourges, un public âgé mais un développement sur TikTokLe quotidien Le Berry publie ce jour une intéressante radiographie du public du Prado de Bourges.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nJO de Paris : Yohan Rosso et Amel Dahra parmi une pré-sélection de 40 arbitres\n\nLa FIBA a publié une liste des 40 arbitres en lice pour officier aux Tournois Olympiques de Paris 2024. 30 seront ensuite retenus pour arbitrer dans les tournois masculins et féminins.\n\nLe Français Yohann Rosso, 42 ans, et la Française Amel Dahra, 34 ans, figurent dans cette liste qui comprend 19 des arbitres ayant officié aux Jeux olympiques 2021, 32 lors de la Coupe du monde 2023, 11 lors de la Coupe du monde féminine en 2022 et 22 lors de la Coupe du monde 2019. Il y a 29 nationalités différentes, avec 8 femmes, un nombre en augmentation vis à vis de Tokyo 2021. En revanche, aucun arbitre d'Euroleague n'est présent dans cette liste Il faut donc en conclure que la hache de guerre n'a pas encore été enterrée entre les deux entités.\n\nJO de Paris : Yohan Rosso et Amel Dahra parmi une pré-sélection de 40 arbitresLa FIBA a publié une liste des 40 arbitres en lice pour officier aux Tournois Olympiques de Paris 2024. 30 seront ensuite retenus pour arbitrer dans les tournois masculins et féminins.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEuroleague : Sarunas Jasikevicius (Fenerbahçe) a une dent contre le Barça\n\nA l'issue de la victoire de son équipe contre le Real Madrid, l'entraîneur lituanien de Fenerbahçe, SarunasJasikevicius, a été interrogé sur son départ du FC Barcelone à l'issue de la saison précédente. Il ne l'a toujours pas digéré.\n\nSarunas Jasikevicius a pu brandir le point au WiZink Center de Madrid en signe de victoire (79-89). Le coach lituanien a déjà battu le Real avec trois clubs différents, le Zalgiris Kaunas, le Barça et maintenant Fenerbahçe. Il s'agit de sa 11e victoire en 15 matchs dans cette Euroleague depuis sa signature le 14 décembre et tomber le Real dans son antre est évidemment un exploit.\n\nEuroleague : Sarunas Jasikevicius (Fenerbahçe) a une dent contre le BarçaA l’issue de la victoire de son équipe contre le Real Madrid, l’entraîneur lituanien de Fenerbahçe, SarunasJasikevicius, a été interrogé sur son départ du FC Barcelone à l’issue de la saison précédente. Il ne l’a toujours pas digéré.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nMike James (Monaco) : \Je savourerai ce record à la fin de ma carrière\\n\nA l'issue de son record de points en Euroleague, Mike James a reçu les félicitations de tous, de son coach, Sasa Obradovic et aussi de celui de l'Etoile Rouge, Ioannis Sfairopoulos.\n\nVoici ce qu'ils ont déclaré, propos retranscris par le site de l'AS Monaco :\n\nSasa Obradovic (entraîneur de la Roca Team) : «C’est un grand honneur pour moi d’entraîner un tel joueur. Depuis trois ans, on a développé notre relation. On s’est aidés l’un et l’autre à grandir. On vient d’un monde différent, mais c’est une magnifique aventure depuis le premier jour. La première année on fait les play-offs, l’an dernier le Final Four. Maintenant cette année, il y a encore plus d’attente sur nous. Ce record sera très difficile à battre à l’avenir, parce qu’aux Etats-Unis, ils prennent très tôt les jeunes talents européens. En tout cas, ce soir Mike mérite qu’on ne parle que de lui. Sur la rencontre ? C’était un peu compliqué au début, mais on a su démontrer une belle force collective. On doit rester les pieds sur terre. On a tout entre nos mains, on se doit de ne pas perdre cela.»\n\nMike James (Monaco) : “Je savourerai ce record à la fin de ma carrière”A l’issue de son record de points en Euroleague, Mike James a reçu les félicitations de tous, de son coach, Sasa Obradovic et aussi de celui de l’Etoile Rouge, Ioannis Sfairopoulos.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEuroleague : Une réunion importante des actionnaires les 12 et 13 mars\n\nSelon les informations de Basket News, les actionnaires de l'Euroleague devraient tenir une réunion à Barcelone les 12 et 13 mars pour régler quelques dossiers importants.\n\nLes sujets abordés devraient être les suivants :\n\nL'inclusion de Dubaï à la compétition, dès la prochaine saison ou pas. L'option la plus probable est une transition d'un an via l'Eurocup. Une discussion pour d'autres wild cards devrait intervenir lors d'une autre réunion.\n\nEuroleague : Une réunion importante des actionnaires les 12 et 13 marsSelon les informations de Basket News, les actionnaires de l’Euroleague devraient tenir une réunion à Barcelone les 12 et 13 mars pour régler quelques dossiers importants.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLe top 25 des marqueurs de l'Euroleague\n\nLe meneur de l'AS Monaco, Mike James est devenu hier jeudi, à l'occasion du match face à l'Etoile Rouge de Belgrade, le meilleur marqueur de tous les temps de l'Euroleague. Voici le top 25.\n\nMike James a dépassé Vassilis Spanoulis et la moyenne par match de l'Américain est sensiblement plus élevé que celle du Grec : 16,4 points contre 12,4 points.\n\nOn remarque la présence de deux Français, Nando De Colo -qui aurait pris la tête du classement s'il n'avait pas été blessé- et aussi Rodrigue Beaubois. L'augmentation du nombre de matches favorise les joueurs toujours en exercice.\n\nLe top 25 des marqueurs de l’EuroleagueLe meneur de l’AS Monaco, Mike James est devenu hier jeudi, à l’occasion du match face à l’Etoile Rouge de Belgrade, le meilleur marqueur de tous les temps de l’Euroleague. Voici le top 25.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEspagne: Marcelinho Huertas bientôt le numéro 1 des passeurs\n\nTout indique que le record de passes décisives en liga ACB de Pablo Laso tombera en ce mois de mars et que son bénéficiaire en sera le Brésilien Marcelinho Huertas.\n\nLe 25 mai, Marcelinho Huertas va fêter ses 41 ans et le meneur de Lenovo Tenerife est inaltérable. Mieux encore: après 23 matches, il possède sa meilleure évaluation (15,3) en... carrière!\n\nEspagne: Marcelinho Huertas bientôt le numéro 1 des passeursTout indique que le record de passes décisives en liga ACB de Pablo Laso tombera en ce mois de mars et que son bénéficiaire en sera le Brésilien Marcelinho Huertas.BasketEurope.comLa rédaction

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Vidéo : Sylvain Francisco numéro 1 des actions de février de l'Euroleague

On y retrouve aussi deux fois Mathias Lessort du Panathinaikos et Jaron Blossomgame de l'AS Monaco.

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LFB : On ne reverra plus cette saison la Belge de Lattes-Montpellier Kyara Linskens

Kyara Linskens n'est plus entrée en jeu depuis début février et avait dû déclarer forfait lors du Tournoi de Qualification Olympique à Anvers. Elle a apporté 9,7 points et 5,3 rebonds en 15 matches de Ligue Féminine. Une perte d'autant plus dommageable que le BLMA doit faire face en cette deuxième partie de saison au départ de son intérieure internationale Marième Badiane qui a filé au Fenerbahçe.\n\nAucune date de retour n'a été indiquée par le club de l'Hérault si bien qu'on ignore si la Belge pourra être rétablie pour les Jeux Olympiques de Paris. A l'Eurobasket 2023, elle avait obtenu la 2e évaluation de son équipe (19,3 pour 11,8 points, 6,2 rebonds et 2,0 contres) de son équipe qui fut sacrée championne d'Europe.

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Ergin Ataman (Panathinaikos) : \Une fois de plus, nous avons montré notre force\

L'ASVEL a effectué une bonne première mi-temps (38-36), un Nando De Colo à son meilleur (15 points, 5 passes, 4 interceptions) l'a maintenu un temps à flots avant que les digues sautent. Au Pana, Jerian Grant a été le plus productif offensivement avec 21 points alors que Mathias Lessort (17 points, 5 rebonds, 3 interceptions, 2 contres) a fait son chantier habituel.\n\n\Nous n'avons pas joué un bon basket ce soir, mais une fois de plus, nous avons montré notre force. Nous n'avons pas joué un bon basket, mais nous avons gagné par 18 points, a savouré Ergin Ataman. En seconde période avec Sloukas au poste de meneur nous avons eu une très bonne organisation, il a donné 8 passes décisives, tout en trouvant également de bons shoots en pick-n-roll.Grant était très bon sur les pénétrations et Grigonis a réalisé ponctuellement des shoots.\n\nAujourd'hui, nous avons reçu beaucoup d'énergie de Juancho Hernangomez.J'ai vu les statistiques et tant qu'il était sur le terrain on était à +20.Sa contribution a été très importante.Nous avons partagé les minutes et davantage de joueurs ont contribué au match.C’est très important pour l’avenir, car il reste encore six matchs en saison régulière d'Euroleague.\n\nLors du dîner d'équipe, le président de l'équipe, Dimitris Giannakopoulos, a dit la chose la plus importante.Peut-être que personne ne pensait qu'à ce stade de la saison, à la mi-mars, nous serions dans cette position en Euroleague (NDLR : 3e avec 18 victoires et 10 défaites) et en championnat.Mais le plus important est que ni moi, ni les joueurs, ni nos supporters ne sommes satisfaits de ce que nous avons accompli jusqu'à présent.Nous en voulons plus, plus, plus.Nous allons bien en ce moment, mais il nous reste encore six matches pour essayer de conserver l'avantage du terrain et ensuite tout sera grand ouvert.\n\nAutre chose qui est importante pour moi, dans un match facile comme celui-ci contre Villeurbanne, l'ambiance à OAKA était encore une fois incroyable.Si nous continuons ainsi, il sera très difficile pour les gens de trouver des billets pour le stade lors des prochains matches et les playoffs.Et moi, les joueurs et toute l’organisation, nous sommes très fiers de cette situation.\

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Orchies est prêt à organiser le Final Four de l'Euroleague féminine

Les partenaires politiques et financiers locaux avec la bénédiction de la fédération se sont entendus pour que le club nordiste puisse postuler à l’organisation du Final Four, qui va réunir l'ESBVA, Fenerbahçe, Mersin/Cukurova et Prague.\n\n«On a d'abord traduit le lourd cahier des charges de la FIBA. Puis évaluer le coût de cette organisation à 500 000€», explique dans les colonnes de La Voix du Nord, Carmelo Scarna, le président du club. «Comme j'ai, dès jeudi, eu le soutien appuyé de la ville et de la Mel (la Métropolle lilloise), puis ce vendredi ceux du département et de la région, j'ai compris l'importance que représentait cet événement.»\n\nLe Palacium étant trop petit et le futur stade olympique de Villeneuve d’Ascq trop grand, c'est lorsque la Pévèle Arena de 5 000 places d’Orchies a été mise gratuitement à disposition du club que la situation s'est débloquée. C'est ici même que fut organisé la phase finale de l'EuroBasket féminin 2015. Vingt-deux kilomètres séparent Orchies de Villeneuve d'Ascq.\n\nOrganiser le Final Four mettrait encore davantage la Région et Villeneuve d’Ascq sur la carte du basket, à quelques mois des Jeux Olympiques. Reste à savoir si la Fédération internationale ne va pas préférer donner son aval à Mersin ou encore à Fenerbahçe a priori également candidats. Réponse entre le 12 et le 15 mars

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Pro B : Mathéo Leray (La Rochelle), retour gagnant sur ses terres

Mathéo Leray est natif de Saint-Laurent de la Plaine, à une quarantaine de kilomètres de Cholet. Il a cumulé les trophées en jeunes avec Cholet Basket, notamment le titre de champion de France espoirs et le Trophée du Futur 2023, tout en faisant18apparitions avec le groupeprofessionnel, neuf en Betclic Élite et neuf en Europe Cup. Il a été ensuite prêté au Stade Rochelais et ce déplacement à Angers était pour lui un retour au pays.\n\nUn retour réussi puisque Mathéo Leray est ressorti du terrain avec la meilleure évaluation du match (19) pour 18 points à 6/8 aux tirs, 4 rebonds et 3 interceptions.\n\n\J’appréhendais car j’avais beaucoup de monde qui venait, a t-il commenté rapporte Sud Ouest. Pouvoir faire un match comme ça, avec la victoire... J’avais envie de bien faire mais j’ai envie de bien faire à chaque match. La présence de Cédric Colbaut [directeur de Cholet, NDLR]? Possible, mais ça ne change rien. Je suis à LaRochelle. C’est normal qu’ils gardent un œil sur moi mais je ne suis pas à Cholet pour le moment. On verra à la fin de la saison. On est premier, Angers est dur à jouer ici, est une grosse attaque, et on les limite à 56 points, même 53 sans le shoot de la fin [au buzzer du milieu de terrain, NDLR]. C’est une grosse performance. L’objectif était d’être prêt d’entrée de jeu, le coach nous avait prévenus: si on ne l’était pas, ils pouvaient vite prendre confiance. Le cinq majeur a bien débuté en attaque et défense, ça nous a mis dans les bonnes conditions, nous le banc, pour entrer et ensuite enchaîner les rotations.\\n\nVichy ayant perdu à domicile face à Fos (85-86), La Rochelle caracole en tête de la Pro B avec trois victoires de plus que la JAV et Boulazac, mais rappelons que c'est l'année où seul le vainqueur des playoffs accèdera à l'élite.

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Chalon-ASVEL : Le retour à la maison de Joffrey Lauvergne

C'est de 2009 à 2012 que Joffrey Lauvergne a stationné en Bourgogne. Un séjour qui lui a laissé de très bons souvenirs comme il le déclare au JSL :\n\n«C’étaient mes premiers trophées en tant que professionnel. Malheureusement, on apprend à gagner en gagnant. Beaucoup de joueurs font de très grandes carrières et n’ont jamais la chance de remporter quelque chose. Donc je me rends bien compte de la chance que j’ai. À Chalon, ce qui avait été très excitant cette saison-là (2011-12), c’était d’avoir gagné les trois titres possibles en France. Je ne sais pas si cela a été refait depuis (...) La carotte, c’était l’Euroleague. On avait réussi à décrocher notre ticket.»\n\nIl faut rappeler que Joffrey Lauvergne avait quitté l'Elan en pleine saison, après l'élimination en Euroleague, pour enchaîner Valence et le Partizan Belgrade, un club qu'il a tatoué sur la peau.\n\n«C’est la vie. Je me suis nourri de tout le positif que j’ai pu avoir. Bien sûr, ce n’est pas très agréable pour un gamin qui a 19 ou 20 ans de claquer la porte en pleine saison en disant:“Ici, je ne vais pas progresser comme j’aimerais. Je n’arriverai pas à atteindre le niveau que je peux atteindre de cette manière-là. Donc je vais aller ailleurs.”C’est une position qui n’est pas évidente ni très agréable. Après ça, tu as intérêt d’assurer. Donc c’était à la fois ambitieux et risqué. Finalement, c’était le mieux qui pouvait m’arriver.»\n\nA l'occasion de ce match contre l'ASVEL, l'Elan Chalon va inaugurer au Colisée un couloir en l’honneur de tous les joueurs formés à Chalon et draftés en NBA, et aussi le maillot du Suisse Thabo Sefolosha va être retiré. Mais Joffrey Lauvargne aurait apprécié un temps supérieur entre le match d'Euroleague joué et perdu à Athènes face au Panathinaikos, vendredi, et celui-ci de Betclic Elite.\n\n«On ne peut pas dire qu’on survole le championnat de France. Donc bien sûr on est mobilisé, indépendamment du fait que l’on joue vendredi à 21 heures. Peu importe que ce soit la faute de la LNB ou de l’Euroleague, le fait de rejouer dès dimanche à 14h30, je trouve ça moyen... Mais bon, même avec un seul match dans la semaine, cela n’aurait pas été facile de jouer à Chalon. On fera de notre mieux. On est habitué.»

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William Howard (Le Mans) : \Je suis heureux de cette reprise au niveau personnel\

Après une opération au genou gauche, William Howard en a subi une autre au genou droit, ce qui explique cette si longue période sans jouer. Malgré ce fâcheux contre-temps, l'ancien international, qui aura porté au final une seule fois le maillot de la Joventut Badalone, n'a jamais eu l'intention de tout laisser tomber.\n\n« J’étais bien entouré, j’ai notamment passé une partie de ma rééducation chez moi à Montbrison, explique t-il au Maine Libre. Après, il y a eu des périodes de moins bien, c’est normal. J’ai dû faire énormément de musculation, presque tous les jours, donc ça peut devenir lassant à la longue. Parfois des douleurs sont revenues et comme c’est nouveau, on se demande si tout va bien. Mais, dans l’ensemble, ça s’est bien passé, j’ai toujours gardé le cap.»\n\nAvant de signer au MSB, William Howard a participé aux entraînements du BC Montbrison, ce qui lui a permis de se remettre dans le bain avant de reprendre la compétition.\n\n« Je voulais trouver un club qui me permette de jouer au poste 3. C’était important pour moi car c’est là où j’ai été formé. J’aimerais continuer en tant qu’ailier encore quelques années. Après mon passage à l’Asvel, les clubs intéressés par mon profil voulaient me recruter au poste 4, or, je n’ai pas envie d’être à cette place à 100 % pour le moment. Le MSB cherchait un poste 3 donc ça tombait bien. J’ai eu des contacts avec une équipe espagnole, mais elle souhaitait me décaler en 4 tout comme Roanne. »\n\nPour son match de reprise face à Bourg, William Howard s'est fendu de 5 points et 4 rebonds en 11 minutes.\n\n« Je me suis senti plutôt bien, même si la fatigue était présente. Je n’ai pas eu d’alerte physique pendant et après la rencontre, donc c’est positif. Ça m’a permis de me jauger face à une belle formation. Défensivement, j’ai d’énormes progrès à faire, mais je le savais. Je suis heureux de cette reprise au niveau personnel, après collectivement ça a été plus difficile (défaite 86-67). On a directement été impacté, fait la course derrière... Il faut qu’on corrige ça pour la suite. »\n\nLe MSB en a l'occasion cet après-midi (16h) face à Nanterre. Un challenge corsé.

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Vidéo : un passionné raconte ses huit mois de tour d'Europe du basket

Souvenez-vous : l'été dernier, Adrien Cassaigne, alias « Hoopvan », 26 ans, nous racontait son périple à travers l'Europe du basket lors de la saison 2022-2023. Un rêve devenu réalité, avec 16 pays de basket traversés, dont l’Espagne, la Serbie, la Grèce ou la Lituanie, et entre autres 17 salles d'Euroleague visitées (sur 18 !).\n\nCe grand passionné revient sur ces huit mois dans les coulisses de la plus belle aventure de sa vie dans une vidéo-documentaire de 72 minutes, avec images et explications. Un must pour tout voyageur ou fan de basket qui projetterait de partir à la conquête des salles et playgrounds d'Europe.\n\nPour en savoir plus sur son projet :\n\nAprès un an de tour d’Europe du basket en van, en vélo et en 4L, ce passionné raconte son incroyable péripleAnimé par le basket européen depuis son enfance dans la région de Cholet, Adrien Cassaigne est parti pendant un an à la découverte des salles mythiques d’Europe. Après avoir débuté son odyssée en van, ce passionné de 26 ans a été contraint de revoir ses plans et de finir son périple en vélo puis enBasketEurope.comClément Carton

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Féminines : Megan Gustafson ou Astou Ndour avec l'Espagne ?

A l'occasion du Tournoi de Qualification Olympique (TQO) en Hongrie, l'Espagne a intronisé Megan Gustafson dans son équipe nationale et cela a été payant puisque la joueuse des London Lions s'est fendue de 14,3 points, 3,3 rebonds et 14,7 d'évaluation. Pourquoi dès lors ne serait-elle pas conservée pour les JO ? Parce que la FIBA n'autorise qu'une seule naturalisée par équipe et qu'Astou Ndour, qui avait marqué une pause dans sa carrière en raison d'une maternité, est candidate à un come back. C'est avec elle que l'Espagne a été notamment championne d'Europe en 2019 et vice-championne olympique en 2016.\n\nInterrogée sur ses intentions de participer aux Jeux Olympiques dans un entretien avec Revelo, Astou Ndour montre sa détermination :\n\n\C'est mon objectif.Bien sûr.C'est pour cela que je m'entraîne dur pour pouvoir bien faire. Cela ne me touche pas car la même chose s'est produite avec Sancho Lyttle (NDLR : une autre naturalisée en poste avant Ndour).Donc, j'étais dans cette position aussi.Si elle doit y aller, elle devra y aller.Et si c'est moi, j'y vais.Honnêtement, cela ne m'affecte pas.Je n'ai rien à prouver à personne pour le moment, car je suis en équipe nationale depuis longtemps, depuis 2011. Nous étions à 100 % en compétition et en remportant des médailles en plus.Pour ma part, il n'y a aucun problème.Ce n'est pas la première fois que ça arrive et c'est arrivé avec les gars avec (Serge) Ibaka et Nikola Mirotic.\\n\nLa présidente de la fédération, Elisa Aguilar, a récemment évoqué ce sujet. Elle n'a à l'évidence aucun état d'âme de recourir à une joueuse naturalisée comme Megan Gustafson, qui n'a aucun lien avec le pays, alors que Astou Ndour est arrivée aux Iles Canaries en provenance de Dakar alors qu'elle avait 14 ans.\n\n\Nous savions que Megan Gustafson était très talentueuse, mais vous ne savez pas comment elle pouvait répondre.Ce n’est pas évident d’intégrer une équipe qui joue ensemble depuis longtemps, avec une dynamique.Elle a montré comment s'adapter à son rôle, entrer comme une petite fourmi et contribuer petit à petit et elle nous a beaucoup aidé.Concernant Astou et Megan... la décision est pour Miguel (NDLR : Miguel Méndez, le sélectionneur) et il va vivre une période difficile.\

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Nancy : Fin de contrat avec Matt Mobley

Matt Mobley était arrivé en Lorraine à la mi-janvier suite au départ de Jordan Bowden. Il avait déjà joué pour Pau en 2019-20 et Dijon la saison dernière, mais son apport au SLUC a été très faible puisqu'en 3 matches, il s'est contenté de 3,0 points à 12,5% aux shoots (!), 2,0 rebonds et 1,0 passe en 19 minutes de moyenne.\n\nLe @SLUCbasketNancy et Matt Mobley ont convenu de mettre un terme d’un commun accord à leur relation contractuelle.\n\nLe Club tient à remercier Matt pour son professionnalisme et sa gentillesse et lui souhaite la meilleure des continuations dans la suite de sa carrière.#GoSLUC pic.twitter.com/y3g1iLONAd\n\n— SLUC Nancy Basket (@SLUCbasketNancy) March 9, 2024\n

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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures

Le Mans se met en grand danger\n\nFace à une équipe de Nanterre qui a démontré qu'elle n'a pas été finaliste de la Leaders Cup par hasard, dans son antre d'Antarès, Le Mans a sombré tel le Titanic ; le score final (76-89) ne reflétant pas l'ensemble du match.\n\nC'est sous la mitraille des Nanterriens version old school (12/23 à trois-points, Justin Bibbins à 13 points, 7 passes et 6 rebonds) que Le Mans a cédé et concédé une 5e défaite en 6 matches. Pourtant les Manceaux ont récolté 27 rebonds offensifs dont 9 pour le seul Will Yeguete, une preuve qu'ils n'ont pas ménagé leurs efforts, mais il ne faut pas oublier l'essentiel : le basket est un sport d'adresse et à 3/23 à trois-points (avant que Trevor Hudgins en ajoute deux en toute fin de match) , ils n'avaient aucun espoir de seulement être compétitifs.\n\nLes trois ajustements effectués par le staff manceau avec les arrivées de Trevor Hudgins puis de Dragan Apic et dernièrement de William Howard n'ont pas eu les effets escomptés -il faut un peu de patience pour juger l'international. Alors que le coach Elric Delord a annoncé qu'il faisait une pause à l'issue de cette saison, quels sont désormais les leviers pour redonner un coup de booster à l'équipe ? Ce samedi samedi après-midi, seul des étrangers Devante Jones en première mi-temps a été digne de son... salaire.\n\nLe Mans se met en grand dangerFace à une équipe de Nanterre qui a démontré qu’elle n’a pas été finaliste de la Leaders Cup par hasard, dans son antre d’Antarès, Le Mans a sombré tel le Titanic ; le score final (76-89) ne reflétant pas l’ensemble du match.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nVidéo : un passionné raconte ses huit mois de tour d'Europe du basket\n\nAnimé par le basket européen depuis toujours, Adrien Cassaigne, alias \Hoopvan\ est parti à la découverte des salles mythiques d’Europe lors de la saison 2022-2023. Il raconte son périple unique de 23 000 km en huit mois en van, en vélo et en 4L, dans une vidéo de 72 minutes.\n\nVidéo : un passionné raconte ses huit mois de tour d’Europe du basketAnimé par le basket européen depuis toujours, Adrien Cassaigne, alias “Hoopvan” est parti à la découverte des salles mythiques d’Europe lors de la saison 2022-2023. Il raconte son périple unique de 23 000 km en huit mois en van, en vélo et en 4L, dans une vidéo de 72 minutes.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nNancy : Fin de contrat avec Matt Mobley\n\nLe SLUC Nancy se sépare de l'arrière américain Matt Mobley (1,93 m, 29 ans).\n\nMatt Mobley était arrivé en Lorraine à la mi-janvier suite au départ de Jordan Bowden. Il avait déjà joué pour Pau en 2019-20 et Dijon la saison dernière, mais son apport au SLUC a été très faible puisqu'en 3 matches, il s'est contenté de 3,0 points à 12,5% aux shoots (!), 2,0 rebonds et 1,0 passe en 19 minutes de moyenne.\n\nNancy : Fin de contrat avec Matt MobleyLe SLUC Nancy se sépare de l’arrière américain Matt Mobley (1,93 m, 29 ans).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nPro B : Mathéo Leray (La Rochelle), retour gagnant sur ses terres\n\nLe meneur de jeu rochelais Mathéo Leray (1,90 m, 21 ans dans quelques jours) a été excellent lors de la victoire de La Rochelle à Angers (56-79).\n\nMathéo Leray est natif de Saint-Laurent de la Plaine, à une quarantaine de kilomètres de Cholet. Il a cumulé les trophées en jeunes avec Cholet Basket, notamment le titre de champion de France espoirs et le Trophée du Futur 2023, tout en faisant18apparitions avec le groupeprofessionnel, neuf en Betclic Élite et neuf en Europe Cup. Il a été ensuite prêté au Stade Rochelais et ce déplacement à Angers était pour lui un retour au pays.\n\nPro B : Mathéo Leray (La Rochelle), retour gagnant sur ses terresLe meneur de jeu rochelais Mathéo Leray (1,90 m, 21 ans dans quelques jours) a été excellent lors de la victoire de La Rochelle à Angers (56-79).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nWilliam Howard (Le Mans) : \Je suis heureux de cette reprise au niveau personnel\\n\nDu 30 septembre 2022 au week-end dernier, William Howard (2,03 m, 30 ans) a traversé un long tunnel en raison de blessures aux genoux. Il a signé au Mans pour un nouveau départ.\n\nAprès une opération au genou gauche, William Howard en a subi une autre au genou droit, ce qui explique cette si longue période sans jouer. Malgré ce fâcheux contre-temps, l'ancien international, qui aura porté au final une seule fois le maillot de la Joventut Badalone, n'a jamais eu l'intention de tout laisser tomber.\n\n« J’étais bien entouré, j’ai notamment passé une partie de ma rééducation chez moi à Montbrison, explique t-il au Maine Libre. Après, il y a eu des périodes de moins bien, c’est normal. J’ai dû faire énormément de musculation, presque tous les jours, donc ça peut devenir lassant à la longue. Parfois des douleurs sont revenues et comme c’est nouveau, on se demande si tout va bien. Mais, dans l’ensemble, ça s’est bien passé, j’ai toujours gardé le cap.»\n\nWilliam Howard (Le Mans) : “Je suis heureux de cette reprise au niveau personnel”Du 30 septembre 2022 au week-end dernier, William Howard (2,03 m, 30 ans) a traversé un long tunnel en raison de blessures aux genoux. Il a signé au Mans pour un nouveau départ.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nOrchies est prêt à organiser le Final Four de l'Euroleague féminine\n\nLes bonnes volontés se sont réunies afin que Villeneuve-d'Ascq puisse se porter candidate à l'organisation du Final Four de l'Euroleague féminine, à Orchies.\n\nLes partenaires politiques et financiers locaux avec la bénédiction de la fédération se sont entendus pour que le club nordiste puisse postuler à l’organisation du Final Four, qui va réunir l'ESBVA, Fenerbahçe, Mersin/Cukurova et Prague.\n\n«On a d'abord traduit le lourd cahier des charges de la FIBA. Puis évaluer le coût de cette organisation à 500 000€», explique dans les colonnes de La Voix du Nord, Carmelo Scarna, le président du club. «Comme j'ai, dès jeudi, eu le soutien appuyé de la ville et de la Mel (la Métropolle lilloise), puis ce vendredi ceux du département et de la région, j'ai compris l'importance que représentait cet événement.»\n\nOrchies est prêt à organiser le Final Four de l’Euroleague féminineLes bonnes volontés se sont réunies afin que Villeneuve-d’Ascq puisse se porter candidate à l’organisation du Final Four de l’Euroleague féminine, à Orchies.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nErgin Ataman (Panathinaikos) : \Une fois de plus, nous avons montré notre force\\n\nLe coach turc du Panathinaikos Ergin Ataman affichait un grand sourire de circonstance après la victoire de son équipe face à l'ASVEL (85-67).\n\nL'ASVEL a effectué une bonne première mi-temps (38-36), un Nando De Colo à son meilleur (15 points, 5 passes, 4 interceptions) l'a maintenu un temps à flots avant que les digues sautent. Au Pana, Jerian Grant a été le plus productif offensivement avec 21 points alors que Mathias Lessort (17 points, 5 rebonds, 3 interceptions, 2 contres) a fait son chantier habituel.\n\n\Nous n'avons pas joué un bon basket ce soir, mais une fois de plus, nous avons montré notre force. Nous n'avons pas joué un bon basket, mais nous avons gagné par 18 points, a savouré Ergin Ataman.En seconde période avec Sloukas au poste de meneur nous avons eu une très bonne organisation, il a donné 8 passes décisives, tout en trouvant également de bons shoots en pick-n-roll.Grant était très bon sur les pénétrations et Grigonis a réalisé ponctuellement des shoots.\n\nErgin Ataman (Panathinaikos) : “Une fois de plus, nous avons montré notre force”Le coach turc du Panathinaikos Ergin Ataman affichait un grand sourire de circonstance après la victoire de son équipe face à l’ASVEL (85-67).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLFB : On ne reverra plus cette saison la Belge de Lattes-Montpellier Kyara Linskens\n\nTouchée au genou, la pivot belge de Lattes-Montpellier Kyara Linskens (1,93 m, 27 ans) sera forfait jusqu’à la fin de saison.\n\nKyara Linskens n'est plus entrée en jeu depuis début février et avait dû déclarer forfait lors du Tournoi de Qualification Olympique à Anvers. Elle a apporté 9,7 points et 5,3 rebonds en 15 matches de Ligue Féminine. Une perte d'autant plus dommageable que le BLMA doit faire face en cette deuxième partie de saison au départ de son intérieure internationale Marième Badiane qui a filé au Fenerbahçe.\n\nLFB : On ne reverra plus cette saison la Belge de Lattes-Montpellier Kyara LinskensTouchée au genou, la pivot belge de Lattes-Montpellier Kyara Linskens (1,93 m, 27 ans) sera forfait jusqu’à la fin de saison.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nQuand Victor Wembanyama ne dopait pas les audiences sur France 4\n\nAlors que Victor Wembanyama est actuellement le centre d’attention du basket mondial, son premier passage en équipe de France en 2022-2023 s’était fait dans la discrétion sur le service public.\n\nLa FIBA a surpris en annonçant, il y a quelques semaines, que les matches des équipes de France -TQO pour les filles, pré-européen pour les garçons- étaient dorénavant diffusés par la plateforme DAZN alors qu’une éclaircie avait eu lieu auparavant sur l’une des chaînes du service public -pas la plus fréquentée, il est vrai- France 4.\n\nNous nous sommes procurés les audiences sur France 4 -excusez-nous pour le décalage!- des matches de qualifications à la Coupe du monde 2023. La rencontre la plus regardée fut celle contre la République Tchèque à l’Accor Arena de Paris avec 250000 téléspectateurs et une pointe à 275000. Ce qui est pas mal. Tous les autres matches avaient tourné autour de 125-150000 sauf le match retour face au Portugal qui était tombé à 90 000. Ce qui est très moyen.\n\nQuand Victor Wembanyama ne dopait pas les audiences sur France 4Alors que Victor Wembanyama est actuellement le centre d’attention du basket mondial, son premier passage en équipe de France en 2022-2023 s’était fait dans la discrétion sur le service public.BasketEurope.comLa rédaction

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Le Mans se met en grand danger

C'est sous la mitraille des Nanterriens version old school (12/23 à trois-points, Justin Bibbins à 13 points, 7 passes et 6 rebonds) que Le Mans a cédé et concédé une 5e défaite en 6 matches. Pourtant les Manceaux ont récolté 27 rebonds offensifs dont 9 pour le seul Will Yeguete, une preuve qu'ils n'ont pas ménagé leurs efforts, mais il ne faut pas oublier l'essentiel : le basket est un sport d'adresse et à 3/23 à trois-points (avant que Trevor Hudgins en ajoute deux en toute fin de match) , ils n'avaient aucun espoir de seulement être compétitifs.\n\nLes trois ajustements effectués par le staff manceau avec les arrivées de Trevor Hudgins puis de Dragan Apic et dernièrement de William Howard n'ont pas eu les effets escomptés -il faut un peu de patience pour juger l'international. Alors que le coach Elric Delord a annoncé qu'il faisait une pause à l'issue de cette saison, quels sont désormais les leviers pour redonner un coup de booster à l'équipe ? Ce samedi samedi après-midi, seul des étrangers Devante Jones en première mi-temps a été digne de son... salaire.\n\nEn tous les cas, les Manceaux vont devoir négocier favorablement leurs deux prochaines matches, face à Roanne et à Blois pour ne pas carrément avoir le feu aux fesses.\n\n🦁 🟠Le premier panier de William Howard devant ses supporters à Antarès !@MSB_Officiel x @LNBofficiel#SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/3k0Lo2FT7j\n\n— SKWEEK (@skweektv) March 9, 2024\n\n\n\nNanterre fait tomber la pluie\n\nPour son deuxième match après sa longue absence et son premier à Antares, William Howard a fait son apparition dans le cinq de départ, et il n'a pas tardé à inscrire deux 2+1. Le Mans via des rebonds offensifs et son meneur DeVante Jones a mené jusqu'à sept points (14-7). Un retard que Nanterre a tranquillement refait pour devancer le MSB, 19-20, à l'issue du premier quart-temps sur deux paniers derrière l'arc de Bastien Pinault (19-20).\n\nLes Manceaux étaient en échec absolu à trois-points, tout le contraire des hommes de Pascal Donnadieu, qui à leur tour prenaient les commandes avec 10 points de bonus (19-29) avec un 6/7 à plus de 6,75 m. De quoi ravir le groupe de supporters de la JSF qui avait fait le voyage. C'est à la 11e tentative de son équipe que DeVante Jones a fini par toucher la cible. Avec ses 14 points en première mi-temps, le meneur américain a maintenu Le Mans sous perfusion.\n\nMême s'ils laissaient s'échapper des rebonds (14 offensifs pour Le Mans à 2), les Nanterriens étaient solides dans toute les lignes, et ils faisaient un peu fructifier leur avantage : 32-42, 34-46 (20e). Le Serbe Dragan Apic était bien malheureux dans une majorité de ses initiatives (-16 au +/- durant son passage sur le terrain) et son défaut d'adresse généralisée interdisait alors au Mans tout espoir de remontée. Le chiffre le plus cruel était évidemment le 2/16 à trois-points à comparer avec le 8/11 de Nanterre.\n\nLes snipers de @Nanterre92 sont de sortie ! 🥵\n\n5/6 derrière l'arc pour les joueurs de Pascal Donnadieu dans ce début de match. 🔥#SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/nwlXlUNHc0\n\n— SKWEEK (@skweektv) March 9, 2024\n\n\n\nInterminable...\n\nEt un trois-points de Justin Bibbins, suivi d'un airball de D'Schawn Schwartz à la même distance... La seconde mi-temps démarrait avec un scénario identique à la première. La confiance des Manceaux s'était définitivement évaporée alors que les Nanterriens étaient très bien dans leur peau, tout allait dans leur sens comme un panier heureux de Juhann Begarin qui faisait monter la note à 40-58. Et ce sont deux lancers-francs de Justin Bibbins qui faisaient passer leur avantage à +20 (40-60).\n\nLe Mans en était à 2/22 à trois-points à la 30e minute... Les Nanterriens se baladaient comme des gens heureux dans cet interminable garbage time et le seul suspens se limitait à connaître l'ampleur de la déroute des Manceaux : 42-68, 46-75, 55-80, et donc seulement -13 à la fin quand la JSF a mis la pédale douce. Les deux trois-points des Manceaux hors DeVante Jones ont été marqués par Trevor Hudgins quand il n'y avait absolument plus d'enjeu. Le tout devant un public manceau amorphe et enseveli sous les vivas des supporters de Nanterre.\n\nLa boxscore est ICI.

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Le Barça favorable à l'entrée de Dubaï en Euroleague

Un premier masque tombe officiellement : le Barçasoutiendra l'entrée d'une équipede DubaïenEuroleaguelors de la réunion que les clubs propriétaires de la compétition dont l'ASVEL tiendront mardi et mercredi prochains à Barcelone\n\n\Le monde du sport de haut niveau tourne les yeux vers le Moyen-Orient et nous, l'Euroleague, nous ne pouvons pas ignorer cette opportunité, justifie le DG Josep Cubells dans BasketNews. Il y a aussi des inquiétudes, mais c'est pourquoi nous l'étudions depuis deux ans. Le plus important est que Dubaï est un projet solide dont l'objectif est de finir par jouer dans la meilleure compétition européenne. Ce serait une excellente nouvelle si Dubaï fait son entrée.\ Il ajoute : \En incorporant une nouvelle équipe, nous augmentons la base de fans et le public et ouvrons pour nous un marché nouveau et effervescent, un marché qui montre déjà un fort engagement envers d'autres sports.\\n\nEn clair : L'argent que Dubaï est prêt à mettre sur la table -et le Barça en a bien besoin pour combler ses déficits abyssaux- a plus d'importance que des réticences géo-politiques et écologiques. Reste à savoir si la franchise du Moyen-Orient entrera directement en Euroleague lors de la saison 2024-25 ou transitera par l'Eurocup.

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Coupe de France féminine : Une finale Basket Landes-Bourges comme en 2022

Un hommage doit être rendu à Tarbes, qui à Mont-de-Marsan et devant 2 600 spectateurs a poussé Basket Landes à une prolongation avant de céder 87-81. Une performance d'autant plus remarquable qu'avec le forfait de Marie-Paule Foppossi, en plus de celle définitive d'Isabelle Yacoubou, les filles de François Gomez, qui a été expulsé en fin de match, ont joué réellement à sept. Carla Leite et Jess Zodia, 19 ans, formée à Bourges et qui en est à sa première saison en pro, ne sont pas sorties une seule fois du terrain. Soit 45 minutes de temps de jeu. Les deux ont mis 21 points. Pénalisése par cinq fautes, Camille Droguet et Dominique Malonga n'ont pas pu aller jusqu'au bout de la soirée, mais la pivot internationale a eu le temps de cumuler 15 points, 17 rebonds et 5 contres. Tout ça fasse à une équipe d'Euroleague.\n\nMême en tournant à une faible adresse générale (35%), les Landaises ont bénéficié au final de leur banc plus solide et notamment du double double de Samantha Fuerhing (15 points et 10 rebonds).\n\n«Heureusement, elles ont eu deux de leurs titulaires sorties. C’était très agressif, il a fallu batailler jusqu’au bout», a reconnu Sam Fuehring.\n\nL'ASVEL s'est présentée elle aussi déplumée à Bourges. En plus de Marine Fauthoux et Juste Jocyte que l'on ne reverra plus cette saison, pour différentes raisons Gabby Williams, Marine Johannes et Helena Ciak avaient déclaré forfait. Avec cinq pros, l'équipe lyonnaise n'a pas fait le poids face à une armada berruyère qui en avait le double. Et le coach Olivier Lafargue en a profité à fond puisque tout le monde a joué au moins 13 minutes. La marque fut également très bien répartie, la défense très bonne et l'ASVEL a concédé 20 pertes de balle.\n\nLe score finale (95-65) ne s'explique que par ces absences côté lyonnais, mais l'équipe de David Gautier vit pour l'instant une saison qui confine à la catastrophe. Il ne lui restera plus que les playoffs pour la sauver.\n\nLa finale de la Coupe de France est programmée pour le 27 avril à Paris-Bercy.\n\n

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La grande soirée de Cholet et d'Emmanuel Nzekwesi

22 points à 9/13 aux shoots et 13 rebonds pour 28 d'évaluation, Emmanuel ChukwubuikemNzekwesi (2,03 m, 26 ans) a sorti sa meilleure ligne de stats de la saison -jusqu'ici c'était face à l'ASVEL- face à l'une des équipes les plus coriaces de France.\n\n«C’était un match difficile et intense, contre une équipe d’EuroCup qui réalise une très belle saison, a t-il commenté rapporte Ouest France. On a appliqué le plan du coach, en jouant notamment très dur. En première mi-temps on avait vraiment pris les devants en menant de 14points et ça été très frustrant de repasser derrière ensuite en fin de match. On n’a jamais abandonné et on s’est battu jusqu’à la fin pour arracher la victoire. C’est vraiment une super performance.Les rebonds offensifs? Cela fait partie de mes forces. À l’entraînement, cette semaine, le coach m’a attrapé et m’a dit de revenir dans la forme que j’étais avant la trêve internationale. Je jouais bien, j’étais actif et agressif sur le terrain. Il m’a dit continue de jouer comme je le faisais. J’ai dit, ok coach, pas de problème, je vais le faire. Il me fait confiance. Je suis content d’avoir réussi à trouver le rythme sur ce match. Je pense que c’est l’une de nos victoires les plus importantes.»\n\nPar ailleurs, le duel entre Zaccharie Risacher et Tidjane Salaün était observé par le monde entier et les deux prospects de la NBA ont terminé le match avec la même évaluation : 6. A l'éval, loin derrière Emmanuel Nzekwesi, ce sont Isiaha Mike (18) à Bourg et Gérald Ayayi (17) à Cholet qui ont obtenu les meilleurs scores.\n\nUne vraie masterclass d'Emmanuel ce soir ! 🔥#CBFAMILY pic.twitter.com/goha0bA1Dr\n\n— Cholet Basket (@CB_officiel) March 9, 2024\n

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Sekou Doumbouya (Roanne) : \Ca fait du bien de retrouver cette atmosphère des matches serrés\

Pour son deuxième match après son retour en France, Sekou Doumbouya (2,06 m, 23 ans) a démontré toute l'étendue de ses possibilités : 29 points à 10/17 aux shoots, 4 rebonds, 2 contres, 1 interception et aucune balle perdue. Il a été bien alimentée par la paire DJ Cooper-Antoine Diot qui ont fait respectivement 11 et 10 passes décisives chacun.\n\n\Il fallait la victoire ce soir et on a fait ce que l’on a pu, ce qu’il fallait, a commenté Sekou Doumbouya. On fait des petites erreurs défensives. Peut-être un peu la fatigue. Ça fait quatre, cinq jours que l’on travaille avec un nouveau coach, des choses à mettre en place. C’est un peu compliqué d’ajuster. On a bien réagi dans une fin de match serré. On avait quatre, cinq points de retard, on n’a pas lâché, on a fait des stops et mis les paniers qu’il fallait. On est dans la bonne direction.\\n\nDifficile d'imaginer que l'ancien NBAer était demeuré près d'un an sans jouer et que ses dernières sorties en G-League n'avaient pas été brillantes.\n\n\Ca fait du bien de retrouver cette atmosphère des matches serrés. On joue pour quelque chose, pour le maintien, il y a un public, un enjeu. Au-delà de ça c’est juste un plaisir de jouer avec mes coéquipiers, simplement de contribuer à quelque chose. A la fin du match j’avais en tête de battre mon record de 34 points. Raté. Ce n’est pas grave. Il reste encore des matches. Si je ne les marque pas, ce n’est pas grave tant que l’équipe gagne, c’est le plus important. Il faut avoir une série, continuer d’être concentré aux entraînements. Tout le monde est sur la même page, DJ (Cooper), Yannis (Morin)... ça fait du bien et c’est de bon augure. Il faut continuer à travailler. En tous les cas, tous les matches on va se donner à fond, c’est sûr.\\n\nCette victoire, c'est aussi une entrée en matière réussie pour Marc Berjoan, l'assistant qui a remplacé cette semaine Jean-Denys Choulet comme head coach.\n\n\Ce qui a changé? Franchement pour nous, les joueurs, rien, il faut rester professionnels. Nouveau coach... On fait notre taf. On est là pour ajuster, tout simplement. On n’a rien modifié en attaque, plus défensivement. Deux ou trois petits trucs pour ne pas trop perturber non plus l’équipe. Mon job c’est de performer sur le terrain, d’aider mon équipe à gagner. Peu importe le coach qui est avec moi, peu importe la direction. Le coach donne ses consignes et on applique.\\n\nUn autre match crucial attend la Chorale, vendredi face à Gravelines.

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Laurent Legname (Dijon) : \Jouer sans meneur, c'est difficile au basket\

La JDA a bien résisté au Paris Basketball avant de céder dans le dernier quart-temps (72-82). Le pivot allemand Leon Kratzer (2,12 m, 27 ans) a fait mal à la raquette dijonnaise (12 points et 13 rebonds) et, comme d'habitude, le meneur TJ Shorts (18 points et 7 passes) a déroulé son basket de grand standing. Celui-ci a aussi bénéficié du retrait de Ahmad Caver après seulement une minute de jeu.\n\n«On n’est pas aidé par les blessures cette saison, le fait de perdre Ahmad (Caver) au bout d’une minute n’a pas arrangé les choses, a constaté le coach Laurent Legname, rapporte Le Bien Public. Jouer sans meneur, c’est très difficile au basket, mais malgré ça et un très mauvais départ où on n’était pas dans le match, l’équipe a encore une fois montré beaucoup de courage et d’abnégation. Cam (Cameron Hunt) s’en est plutôt bien sorti en meneur de jeu, même si ce n’est pas son poste. Tout au long du match, on a essayé de tenter des choses, par exemple avec Leyton (Hammonds) au poste 3 en jouant grand, ou le mettant sur Shorts pour protéger Cam des fautes, de changer sur les pick & roll... On a été valeureux, on revient à chaque fois après ce très mauvais départ qu’on traîne jusqu’à la fin. On fait à chaque fois les efforts pour revenir plusieurs fois à quatre points, mais après on est trop gentil sur certaines choses, c’est ce qui fait la différence. Même s’il y avait une toute petite porte pour essayer de l’emporter, vraiment petite, elle était là mais dans les moments décisifs on n’a pas su être à la fois méchant dans le bon sens du terme défensivement et offensivement on n’a pas su exploiter ça. C’est compliqué, on doit faire le dos rond.»\n\n\n

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Giannis Antetokounmpo : \Je ne regarde pas la NBA, mais je regarde l'Euroleague\

Toute la Grèce du basket-ball attend de savoir si Giannis Antetokounmpo participera au Tournoi de Qualification Olympique, qui se tiendra au Pirée, du 2 au 7 juillet. Les Grecs seront dans un groupe avec l'Egypte, la République Dominicaine, la Nouvelle-Zélande, la Croatie et surtout la Slovénie de Luka Doncic. Seul le vainqueur sera qualifié pour les JO de Paris.\n\n\J'aimerais beaucoup jouer aux Jeux Olympiques, dit-il en préambule avant d'ajouter : C'est encore loin.C'est dans quatre, cinq mois.Je ne vais pas vous mentir, je n'ai pas les JO en tête en ce moment, je n'y pense pas.Par contre, je regarde les gars jouer.Et j'ai vu leur dernière victoire contre les Pays-Bas.Ils étaient super.Ils ont renversé le match, ont joué fort en défense dans les dernières minutes, ils ont fait circuler le ballon, ils ont trouvé des tirs ouverts et ont très bien joué.J'aimerais beaucoup faire partie de cette équipe qui a de l'énergie, qui joue avec une grande confiance, mais cela vient sûrement de l'entraîneur, Vassilis Spanoulis.Il a joué au basket pendant 18 à 20 ans.Il connaît très bien le basket et vous permet de faire ressortir votre talent.Il vous laisse jouer librement et je pense que tant que vous jouez pour gagner et tant que vous jouez pour aider l’équipe, il vous laisse faire ce que vous devez faire, faire ressortir votre talent.Mais quand ce moment viendra, j'aimerais vraiment bien réussir aux pré-olympiques et, avec un peu de chance, obtenir une qualification pour les JO.En 2016, il y a 8 ans, nous avons eu l'occasion d'y aller lorsque nous avons joué contre la Croatie et perdu.C'était le plus proche que j'ai été des Jeux Olympiques.C'est le rêve de tout athlète d'être dans le village olympique, de pouvoir porter l'emblème national, d'être là-bas avec ses coéquipiers et d'essayer de faire de son mieux pour son équipe.Que Dieu me bénisse pour que je puisse le faire aussi.\\n\nDurant la saison, Giannis se dit attentif à ce qui touche le basket grec, sachant que son frère Kostas, passé par l'ASVEL, est membre du Panathinaikos.\n\n\Je regarde à la fois le Panathinaïkos et l'Olympiakos.Je ne regarde pas tous les matchs, je regarde les moments forts.Je pense que le Panathinaïkos est troisième et l'Olympiakos quatrième ?(NDLR : quatrième en fait car Monaco est intercalé entre les deux équipes grecques). Je souhaite le meilleur à tous les deux.Je souhaite à Kostas de revenir en bonne santé, d'être fort, de pouvoir faire de son mieux pour l'équipe, d'aider son équipe, de gagner autant de matchs que possible.Et comme je l’ai dit, je souhaite le meilleur à tous les deux.J'aime vraiment ça, je ne regarde pas la NBA.Mais je regarde l'Euroleague\.

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Italie : Le 206e clasico Virtus Bologne-Milan

Il s'agira du 206e match de l'histoire entre les deux équipes. Les Milanais ont obtenu 114 victoires contre 91 à leurs rivaux mais ceux-ci sont maîtres chez eux, 37-61. Depuis le 20 septembre 2021, les deux équipes se sont affrontées pas moins de 31 fois : 7 fois en saison régulière du championnat, 17 fois en playoffs, 4 fois en Supercoupe et 3 fois en Euroleague. Lors du match aller, disputé le dimanche 10 décembre 2023 lors de la 11ème journée, Milan s'est imposé 82-80 dans un sprint porté par les décisifs Nicolo Melli (15 points et 7 rebonds) et Shavon Shields (14 points, 5 rebonds et 6 passes).\n\nCe sera le 13e affrontement entre les coaches Luca Banchi et Ettore Messina, et celui en a gagné 9. D'ailleurs, Ettore Messina est en quête d'une 470e victoire en Serie A, ce qui permettrait à l'entraîneur milanais de rejoindre Valerio Bianchini à la cinquième place du classement des entraîneurs les plus titrés. En tête se trouve Carlo Recalcati avec 546 succès, suivi de Tonino Zorzi (525), Cesare Pancotto et Cesare Rubini (à égalité avec 501).\n\nIl y a un absent dans les rangs de la Virtus (Devontae Cacok) alors qu'à Milan il y en a au moins deux (Billy Baron est out pour le reste de la saison et va être opéré du coude, Stefano Tonut, alors que Shavon Shields est incertain en raison d'une douleur au tendon du pied gauche.)\n\nLes deux équipes sont actuellement à égalité du championnat italien derrière Brescia (16-5) avec 15 victoires et 6 défaites. En Euroleague, la Virtus (7e, 17-11) devance nettement Milan (12e, 12-16).\n\nLes déclarations :\n\nLuca Banchi, entraîneur Virtus Bologne: « Milan, selon la tradition, est une équipe très profonde et organisée, qui arrivera à Bologne après 7 succès consécutifs en championnat.Défier les champions d'Italie en titre devra être une autre occasion de nous mettre à l'épreuve et d'être en mesure de réaliser une performance qui récompense nos efforts et ceux des supporters qui nous soutiendront une fois de plus, rendant l'atmosphère du match unique et spéciale.\\n\nEttore Messina, entraîneur de Armani Milano:«C'est un match très important, ce qui est dommage de ne pas avoir pu se préparer avec plus de temps et d'énergie après le test très difficile contre le Partizan.Il faudra essayer d'avoir une bonne défense sur leur transition offensive, dans laquelle Bologne est très dangereuse avec les coupes des grands et les tirs ouverts de Marco Belinelli.Ensuite il sera important de développer un bon équilibre offensif entre jeu à l'intérieur et le jeu périphérique.Nous ne déciderons que demain de l'utilisation de Shavon Shields (aujourd'hui), qui a souffert d'une douleur au tendon du pied gauche après le match contre le Partizan.\

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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures

Quand Mike James gagnait moins de 5 000 dollars par mois\n\nLe coach Michalis Koutalianos a raconté sur le Web EEC comment il a fait venir Mike James au Kolossos Rhodes alors qu'il jouait en A2 italienne, à Fulgor Omegna.\n\nAvant d'être en NBA etle meilleur marqueur de tous les temps en Euroleague, Mike James est arrivé par la petite porte en Europe. Il a notamment transité par le Kolossos Rhodes avant ensuite de passer sous la rampe de Baskonia Vitoria. Voici ce qu'a raconté Michalis Koutalianos :\n\n\Kolossos avait alors un petit budget pour la division. C'était la première fois que j'étais appelé pour être le premier entraîneur de Kolossos. Nous voulions un bon Américain en fonction de notre argent, pour lui donner les clés de l'équipe, afin qu'il puisse être le leader. Nous voulions réaliser une équipe économique, afin que nous puissions également utiliser Angelos Tsamis et Christoforos Stefanidis que nous avions déjà cette année-là. Nous avions acquis ensuite Larentzakis et Toliopoulos et nous recherchions le leader de l'équipe.\\n\nQuand Mike James gagnait moins de 5 000 dollars par moisLe coach Michalis Koutalianos a raconté sur le Web EEC comment il a fait venir Mike James au Kolossos Rhodes alors qu’il jouait en A2 italienne, à Fulgor Omegna.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nGiannis Antetokounmpo : \Je ne regarde pas la NBA, mais je regarde l'Euroleague\\n\nLors d'une interview à Amerikanos 24, la star grec des Milwaukee Bucks, Giannis Antetokounmpo (2,11 m, 29 ans) révèle qu'il préfère regarder l'Euroleague à la télévision que la NBA.\n\nToute la Grèce du basket-ball attend de savoir si Giannis Antetokounmpo participera au Tournoi de Qualification Olympique, qui se tiendra au Pirée, du 2 au 7 juillet. Les Grecs seront dans un groupe avec l'Egypte, la République Dominicaine, la Nouvelle-Zélande, la Croatie et surtout la Slovénie de Luka Doncic. Seul le vainqueur sera qualifié pour les JO de Paris.\n\n\J'aimerais beaucoup jouer aux Jeux Olympiques, dit-il en préambule avant d'ajouter : C'est encore loin.C'est dans quatre, cinq mois.Je ne vais pas vous mentir, je n'ai pas les JO en tête en ce moment, je n'y pense pas.Par contre, je regarde les gars jouer.Et j'ai vu leur dernière victoire contre les Pays-Bas.Ils étaient super.Ils ont renversé le match, ont joué fort en défense dans les dernières minutes, ils ont fait circuler le ballon, ils ont trouvé des tirs ouverts et ont très bien joué.J'aimerais beaucoup faire partie de cette équipe qui a de l'énergie, qui joue avec une grande confiance, mais cela vient sûrement de l'entraîneur, Vassilis Spanoulis.Il a joué au basket pendant 18 à 20 ans.\n\nGiannis Antetokounmpo : “Je ne regarde pas la NBA, mais je regarde l’Euroleague”Lors d’une interview à Amerikanos 24, la star grec des Milwaukee Bucks, Giannis Antetokounmpo (2,11 m, 29 ans) révèle qu’il préfère regarder l’Euroleague à la télévision que la NBA.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nDossier - La Betclic Elite, terrain de jeu favori des meneurs de petite taille\n\nIls s'appellent David Holston, T.J. Shorts ou encore Justin Bibbins. Mesurant tous moins d'1,80 m, ils sont le symbole d'une vague de meneurs de petite taille devenus des joueurs majeurs de la Betclic Elite. Un profil très particulier vers lequel les clubs français continuent de se tourner.\n\nDans l'imaginaire collectif, les basketteurs se distinguent du commun des mortels par une morphologie longiligne et une taille bien supérieure à la moyenne. Si cela peut se vérifier pour la majorité des joueurs de haut niveau, certains éléments aux gabarits bien plus \ordinaires\ se plaisent à démonter le cliché en venant jouer les trouble-fêtes dans la cours des grands. C'est particulièrement vrai en France, où de nombreux meneurs de petite taille se sont imposés au fil des années, se révélant très performants malgré leur déficit de centimètres.\n\nDe David Holston (1,67 m) à Tyger Campbell (1,79 m), en passant par T.J. Shorts, Justin Bibbins ou encore T.J. Campbell, sept joueurs mesurant moins de 180 centimètres étaient sur la ligne de départ au lancement de la saison de Betclic Elite. Ces petits meneurs succèdent à d'autres vus en France au cours des dernières années (Brandon Jefferson, John Roberson, Tremont Waters, Markus Keene...) ou moins récemment (Shawnta Rogers, Marc-Antoine Pellin, Terrell McIntyre, Marques Green). Un phénomène qui dure mais peut sembler anachronique dans une ère où les joueurs sont de plus en plus grands sur tous les postes. Avec une interrogation légitime : comment expliquer l'intérêt que portent les clubs français à ces profils atypiques dans un sport qui tend à valoriser les \grands\ ?\n\nDossier - La Betclic Elite, terrain de jeu favori des meneurs de petite tailleIls s’appellent David Holston, T.J. Shorts ou encore Justin Bibbins. Mesurant tous moins d′1,80 m, ils sont le symbole d’une vague de meneurs de petite taille devenus des joueurs majeurs de la Betclic Elite. Un profil très particulier vers lequel les clubs français continuent de se tourner.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\nVidéo : Antoine Eito assomme l'ASVEL\n\nVoici le buzzer beater d'Antoine Eito qui a mis Joffrey Lauvergne dans le vent avant de conclure sur un layup. L'Elan Chalon tombe ainsi l'ASVEL, 88-87, et récolte une victoire précieuse dans la course au maintien.\n\nVidéo : Antoine Eito assomme l’ASVELVoici le buzzer beater d’Antoine Eito qui a mis Joffrey Lauvergne dans le vent avant de conclure sur un layup. L’Elan Chalon tombe ainsi l’ASVEL, 88-87, et récolte une victoire précieuse dans la course au maintien.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLaurent Legname (Dijon) : \Jouer sans meneur, c'est difficile au basket\\n\nAlors que David Holston est absent jusqu'à début avril, la JDA Dijon a vu son deuxième meneur de jeu américain Ahmad Caver (1,88 m, 27 ans) se faire une entorse à la cheville face à Paris.\n\nLa JDA a bien résisté au Paris Basketball avant de céder dans le dernier quart-temps (72-82). Le pivot allemand Leon Kratzer (2,12 m, 27 ans) a fait mal à la raquette dijonnaise (12 points et 13 rebonds) et, comme d'habitude, le meneur TJ Shorts (18 points et 7 passes) a déroulé son basket de grand standing. Celui-ci a aussi bénéficié du retrait de Ahmad Caver après seulement une minute de jeu.\n\nLaurent Legname (Dijon) : “Jouer sans meneur, c’est difficile au basket”Alors que David Holston est absent jusqu’à début avril, la JDA Dijon a vu son deuxième meneur de jeu américain Ahmad Caver (1,88 m, 27 ans) se faire une entorse à la cheville face à Paris.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nSekou Doumbouya (Roanne) : \Ca fait du bien de retrouver cette atmosphère des matches serrés\\n\nEn battant au finish l'ESSM Le Portel (84-83), la Chorale de Roanne a accompli une mission d'une extrême importance à laquelle Sekou Doumbouya a contribué avec efficacité.\n\nPour son deuxième match après son retour en France, Sekou Doumbouya (2,06 m, 23 ans) a démontré toute l'étendue de ses possibilités : 29 points à 10/17 aux shoots, 4 rebonds, 2 contres, 1 interception et aucune balle perdue. Il a été bien alimentée par la paire DJ Cooper-Antoine Diot qui ont fait respectivement 11 et 10 passes décisives chacun.\n\n\Il fallait la victoire ce soir et on a fait ce que l’on a pu, ce qu’il fallait, a commenté Sekou Doumbouya. On fait des petites erreurs défensives. Peut-être un peu la fatigue. Ça fait quatre, cinq jours que l’on travaille avec un nouveau coach, des choses à mettre en place. C’est un peu compliqué d’ajuster. On a bien réagi dans une fin de match serré. On avait quatre, cinq points de retard, on n’a pas lâché, on a fait des stops et mis les paniers qu’il fallait. On est dans la bonne direction.\\n\nSekou Doumbouya (Roanne) : “Ca fait du bien de retrouver cette atmosphère des matches serrés”En battant au finish l’ESSM Le Portel (84-83), la Chorale de Roanne a accompli une mission d’une extrême importance à laquelle Sekou Doumbouya a contribué avec efficacité.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLa grande soirée de Cholet et d'Emmanuel Nzekwesi\n\nS'imposer sur les terres de la JL Bourg (78-80) est une performance de haute volée accomplie par Cholet Basket boosté par son pivot néerlandais Emmanuel Nzekwesi.\n\n22 points à 9/13 aux shoots et 13 rebonds pour 28 d'évaluation, Emmanuel ChukwubuikemNzekwesi (2,03 m, 26 ans) a sorti sa meilleure ligne de stats de la saison -jusqu'ici c'était face à l'ASVEL- face à l'une des équipes les plus coriaces de France.\n\n«C’était un match difficile et intense, contre une équipe d’EuroCup qui réalise une très belle saison, a t-il commenté rapporteOuest France. On a appliqué le plan du coach, en jouant notamment très dur. En première mi-temps on avait vraiment pris les devants en menant de 14points et ça été très frustrant de repasser derrière ensuite en fin de match.\n\nLa grande soirée de Cholet et d’Emmanuel NzekwesiS’imposer sur les terres de la JL Bourg (78-80) est une performance de haute volée accomplie par Cholet Basket boosté par son pivot néerlandais Emmanuel Nzekwesi.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nCoupe de France féminine : Une finale Basket Landes-Bourges comme en 2022\n\nDeux fois vainqueur de rang de la Coupe de France, Basket Landes va tenter le triplé face à Bourges, qui a déjà remporté onze fois le trophée.\n\nUn hommage doit être rendu à Tarbes, qui à Mont-de-Marsan et devant 2 600 spectateurs a poussé Basket Landes à une prolongation avant de céder87-81. Une performance d'autant plus remarquable qu'avec le forfait de Marie-Paule Foppossi, en plus de celle définitive d'Isabelle Yacoubou, les filles de François Gomez, qui a été expulsé en fin de match, ont joué réellement à sept. Carla Leite et Jess Zodia, 19 ans, formée à Bourges et qui en est à sa première saison en pro, ne sont pas sorties une seule fois du terrain. Soit 45 minutes de temps de jeu. Les deux ont mis 21 points. Pénalisése par cinq fautes, Camille Droguet et Dominique Malonga n'ont pas pu aller jusqu'au bout de la soirée, mais la pivot internationale a eu le temps de cumuler 15 points, 17 rebonds et 5 contres. Tout ça fasse à une équipe d'Euroleague.\n\nCoupe de France féminine : Une finale Basket Landes-Bourges comme en 2022Deux fois vainqueur de rang de la Coupe de France, Basket Landes va tenter le triplé face à Bourges, qui a déjà remporté onze fois le trophée.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nChalon-ASVEL : Le retour à la maison de Joffrey Lauvergne\n\nCe dimanche, Joffrey Lauvergne (2,11 m, 32 ans), qui a passé trois années à l'Elan Chalon, va revenir pour la première fois au Colisée, sous le maillot de l'ASVEL.\n\nC'est de 2009 à 2012 que Joffrey Lauvergne a stationné en Bourgogne. Un séjour qui lui a laissé de très bons souvenirs comme il le déclare au JSL :\n\n«C’étaient mes premiers trophées en tant que professionnel. Malheureusement, on apprend à gagner en gagnant. Beaucoup de joueurs font de très grandes carrières et n’ont jamais la chance de remporter quelque chose. Donc je me rends bien compte de la chance que j’ai. À Chalon, ce qui avait été très excitant cette saison-là (2011-12), c’était d’avoir gagné les trois titres possibles en France. Je ne sais pas si cela a été refait depuis (...) La carotte, c’était l’Euroleague. On avait réussi à décrocher notre ticket.»\n\nChalon-ASVEL : Le retour à la maison de Joffrey LauvergneCe dimanche, Joffrey Lauvergne (2,11 m, 32 ans), qui a passé trois années à l’Elan Chalon, va revenir pour la première fois au Colisée, sous le maillot de l’ASVEL.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLe Barça favorable à l'entrée de Dubaï en Euroleague\n\nLe FC Barcelone, par la voix de son directeur de la section basket, s'est clairement positionné pour l'intronisation d'une équipe de Dubaï en Euroleague.\n\nUn premier masque tombe officiellement : le Barçasoutiendra l'entrée d'une équipede DubaïenEuroleaguelors de la réunion que les clubs propriétaires de la compétition dont l'ASVEL tiendront mardi et mercredi prochains à Barcelone.\n\nLe Barça favorable à l’entrée de Dubaï en EuroleagueLe FC Barcelone, par la voix de son directeur de la section basket, s’est clairement positionné pour l’intronisation d’une équipe de Dubaï en Euroleague.BasketEurope.comLa rédaction

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Quand Mike James gagnait moins de 5 000 dollars par mois

Avant d'être en NBA et le meilleur marqueur de tous les temps en Euroleague, Mike James est arrivé par la petite porte en Europe. Il a notamment transité par le Kolossos Rhodes avant ensuite de passer sous la rampe de Baskonia Vitoria. Voici ce qu'a raconté Michalis Koutalianos :\n\n\n\n\Kolossos avait alors un petit budget pour la division. C'était la première fois que j'étais appelé pour être le premier entraîneur de Kolossos. Nous voulions un bon Américain en fonction de notre argent, pour lui donner les clés de l'équipe, afin qu'il puisse être le leader. Nous voulions réaliser une équipe économique, afin que nous puissions également utiliser Angelos Tsamis et Christoforos Stefanidis que nous avions déjà cette année-là. Nous avions acquis ensuite Larentzakis et Toliopoulos et nous recherchions le leader de l'équipe.\\n\n\Parmi les nombreux emails, appels téléphoniques, listes, très tard à minuit, j'ai ouvert un email que m'avait envoyé Alexandros Katsaros (NDLR un agent) et qui contenait le nom de Mike James et ses caractéristiques, ainsi que diverses vidéos.Comme nous étions à la mi-août, James était anxieux et cherchait une opportunité.Il évoluait en A2 italienne la saison précédente.Lui et son manager craignaient qu'il se retrouve sans équipe.L'une des conditions fixées par ses conseillers à l'époque était qu'il y ait un rachat dans le contrat pour une équipe de l'Euroleague.C'était aussi l'avis de Kolossos de ne pas perdre si facilement un joueur en qui il croyait tant.\\n\n\Ce qui m'avait impressionné dans les highlights de James, c'était la façon dont il marquait, il avait répété différents tirs, montrant principalement son athlétisme. Moi, ce qui m'avait plu c'était son... audace face à ses adversaires.\\n\n\Il était 3-4 heures du matin, j'ai envoyé un message au manager du joueur et je lui ai dit : « Avez-vous fait une erreur en nous envoyant ce joueur ?Ce joueur ne peut pas être dans le budget de Kolossos !Il doit sûrement y avoir une erreur. Il gagnait en fait moins de 5 000 dollars par mois.Sur ce, le lendemain, j'ai envoyé un texto à mes dirigeants à propos du joueur et leur ai dit que nous devions le prendre. J'ai immédiatement reçu un \oui\ de leur part et en un ou deux jours, cet accord a été conclu\.\n\n\Mike est arrivé tel qu'il est vraiment. Détendu, sérieux, c'est exactement ce qu'il est maintenant. Il a aimé Rhodes dès le premier instant. Il avait beaucoup de confiance en lui-même. Il s'est immédiatement adapté aux obligations, comme presque tous les joueurs de cette époque, malgré toutes les difficultés et les matches ont commencé. Là, nous avons lentement découvert comment il pouvait si bien performer et nous donner la possibilité de le gérer encore mieux et de profiter de lui.\\n\n\Tous les Américains rêvent de jouer en NBA. Pour moi, James avait la capacité de jouer en NBA et d'avoir un rôle régulier. Cependant, son caractère et le fait qu'il devrait avoir beaucoup de patience pour trouver son rôle et tout ça, alors qu'il était ici et qu'il commençait déjà à être une star, a peut-être influencé ses décisions. Je pense que cela a contribué à ce qu'il soit la star en Europe. Il a eu raison dans son choix à mon avis \.\n\nA Monaco, Mike James gagne 2 millions d'euros sur la saison.

Quelles sont les principales nouvelles concernant :

Vidéo : Antoine Eito assomme l'ASVEL

ANTOINE EITO FOR THE WIN 😤@ELANCHALON x @LNBofficiel#SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/23DQjNFBPB\n\n— SKWEEK (@skweektv) March 10, 2024\n

Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.

NBA : Rudy Gobert écope d’une très lourde amende pour s’en être pris à l’arbitrage

100 000 dollars. Le montant de l’amende est sans appel : la NBA a voulu marquer le coup pour ce geste qu’elle considère comme « inapproprié et non professionnel ». Dans la défaite des Timberwolves contre les Cavaliers, l’international français Rudy Gobert a été sévèrement sanctionné. La raison est double.\n\nAprès avoir reçu sa sixième faute, et donc été exclu sur une technique à 27 secondes du buzzer qui a en partie coûté la victoire à son équipe, le pivot de Minnesota s’est rendu coupable d'un geste insinuant que Scott Foster, l'un des arbitres du match, était corrompu. Une intervention accompagnée de propos clairs sur l’influence des paris sportifs en conférence de presse : « Je vais être le méchant. Je vais prendre l'amende, mais je pense que ça (les paris sportifs) blessent notre sport. Je sais que ça prend de plus en plus d'importance, ça ne devrait pas être comme ça. »\n\nListen it was dumb, but Rudy Gobert getting a T for making the money gesture is hilarious pic.twitter.com/tHuff6CxZa\n\n— CJ Fogler account may or may not be notable (@cjzero) March 9, 2024\n\n\nEn mars 2023, le Picard avait écopé d'une amende de 25 000 dollars après une défaite face à Phoenix, estimant que les arbitres avaient essayé de faire gagner les Suns. La NBA a donc considéré qu’une récidive méritait une sanction quatre fois plus lourde. Toutefois, le vice-champion olympique n’a pas été suspendu.

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