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Limoges doit fournir les noms de ses nouveaux investisseurs pour le 15 mai, sinon...
Patrick Hianasy a confirmé à la presse limougeaude dont Le Populaire que le CSP n'a pas fourni jusqu'à présent à la DNCCG le nom des futurs investisseurs qui seraient à même d'apporter une forte contribution de 4 à 5 millions d'euros.\n\n« Je suis comme Saint-Thomas, je ne crois que ce que je vois. Le 15 mai 2024 est une date très importante. Le club devra boucler l'opération en apportant la preuve de l'apport des fonds d'ici-là. À ce stade, on nous a donnés une information incomplète. J'attends de voir si les fonds seront là au 15 mai 2024. C'est tout ce qui m'importe», a commenté Patrick Hianasy.«La situation du club est préoccupante sur le plan financier compte tenu des pertes cumulées sur plusieurs saisons. Sans l'arrivée d'un investisseur ou plusieurs investisseurs, ce club court un grand danger.»\n\nPour Patrick Hianasy, boss de la DNCCG, « sans l'arrivée d'un investisseur ou plusieurs investisseurs, ce club court un grand danger. »\n\nCela ressemble quand même à un gros coup de poker de la direction du Limoges CSP qui donne l'impression de jouer la montre. https://t.co/yc8yPsTUU0\n\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) April 3, 2024\n
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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures
ITW Jonathan Jeanne (Poitiers) : \Il y a quelques années, je n'aurais même pas pu imaginer que cela soit possible\\n\nProspect français attendu en NBA à l'été 2017, Jonathan Jeanne a vu sa carrière menacée après la détection d'une maladie génétique très rare. Le début d'une longue reconstruction pour le pivot de 26 ans, qui nous raconte les nombreuses étapes de son sinueux parcours jusqu'à Poitiers, où il renait.\n\nITW Jonathan Jeanne (Poitiers) : “Il y a quelques années, je n’aurais même pas pu imaginer que cela soit possible”Prospect français attendu en NBA à l’été 2017, Jonathan Jeanne a vu sa carrière menacée après la détection d’une maladie génétique très rare. Le début d’une longue reconstruction pour le pivot de 26 ans, qui nous raconte les nombreuses étapes de son sinueux parcours jusqu’à Poitiers, où il renait.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\n\n\nEurocup : Historique, Bourg rejoint Paris en finale !\n\nVainqueur de Besiktas à Ekinox dans un match 3 sous haute tension (89-63), la JL Bourg s’est qualifiée ce mercredi 3 avril pour sa première finale de Coupe d’Europe. La Jeu rejoint le Paris Basketball pour une finale franco-française, la deuxième de l’histoire !\n\nEurocup : Historique, Bourg rejoint Paris en finale !Vainqueur de Besiktas à Ekinox dans un match 3 sous haute tension (89-63), la JL Bourg s’est qualifiée ce mercredi 3 avril pour sa première finale de Coupe d’Europe. La Jeu rejoint le Paris Basketball pour une finale franco-française, la deuxième de l’histoire !BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nITW Maxime Courby et Bourg en finale de l'Eurocup : “Il y a 9 ans, on galérait en Pro B”\n\nLa JL Bourg disputera sa première finale de Coupe d’Europe contre Paris. Alors qu’il n’avait pas joué la moindre minute en playoffs, Maxime Courby a porté le coup fatal à Besiktas dans le moneytime du match 3 de la demie. Réaction du plus ancien des Bressans, qui est arrivé en 2015.\n\nITW Maxime Courby et Bourg en finale de l’Eurocup : “Il y a 9 ans, on galérait en Pro B”La JL Bourg disputera sa première finale de Coupe d’Europe contre Paris. Alors qu’il n’avait pas joué la moindre minute en playoffs, Maxime Courby a porté le coup fatal à Besiktas dans le moneytime du match 3 de la demie. Réaction du plus ancien des Bressans, qui est arrivé en 2015.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nEurocup : Pour JeQuan Lewis, \il s'agit de savoir qui en veut le plus\ entre Bourg et le Besiktas\n\nCe mercredi, la JL Bourg joue sans doute le match le plus important de son histoire en demi-finale de l'Eurocup contre le Besiktas. Une affiche très attendue par les joueurs de Frédéric Fauthoux, à l'image du meneur JeQuan Lewis. Parmi les hommes en forme de la JL, l'Américain de 29 ans s'attend à un véritable combat contre les Turcs.\n\nJeQuan Lewis avant Bourg-Besiktas : “Il s’agit de savoir qui en veut le plus”Le meneur de jeu JeQuan Lewis (1,85 m, 29 ans) est actuellement l’homme en forme de la JL Bourg qui affronte ce soir Besiktas dans la belle de la demi-finale de l’Eurocup.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nVictor Wembanyama tout proche d'un quadruple-double !\n\nAlors que la fin de saison se rapproche pour les San Antonio Spurs, Victor Wembanyama continue d'impressionner. Contre les Denver Nuggets, le Français a marqué 23 points, pris 15 rebonds, délivré 8 passes décisives et réalisé 9 contres ! Une performance malgré tout insuffisante pour battre les champions en titre.\n\nVictor Wembanyama frôle le quadruple double !Face aux Denver Nuggets de Nikola Jokic, Victor Wembanyama a obtenu 23 points, 15 rebonds, 9 contres et 8 passes.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nLimoges : la DNCCG fixe une deadline au 15 mai pour la venue de nouveaux investisseurs\n\nUn mois et demi. C'est le délai qu'il reste à la direction de Limoges pour présenter un ou des nouveaux investisseurs en mesure de contribuer à hauteur de 4 à 5 millions d'euros pour compenser les pertes accumulées ces dernières années par le CSP. Sans nouveaux apports, le président de la DNCCG, Patrick Hianasya confirmé que \ce club court un grand danger\.\n\nLimoges doit fournir les noms de ses nouveaux investisseurs pour le 15 mai, sinon...Les dirigeants du Limoges CSP ont été reçus ce ce mardi devant le conseil supérieur de gestion, et le président de celui-ci, Patrick Hianasy, a donné une deadline pour connaître le nom des nouveaux investisseurs.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nFéminines : Iliana Rupert MVP du choc au sommet du basket italien\n\nIntérieure de la Virtus Bologne, Iliana Rupert réalise une belle saison en Italie. L'internationale française l'a encore prouvé en étant élue meilleure joueuse du match contre le rival du Reyer Venise (63-51) en totalisant 15 points, 10 rebonds et 4 passes décisives pour 30 d'évaluation.\n\nFéminines : Iliana Rupert brille lors du match au sommet italienL’internationale Iliana Rupert (1,94 m, 22 ans) a été la MVP du match entre la Virtus Bologne et Reyer Venise soldé par une victoire de son équipe, 51-63.BasketEurope.comLa rédaction
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Espagne : le DG de Valence révèle des chiffres sur le fonctionnement de son club
Avec ses deux équipes, masculine et féminine, toutes les deux en Euroleague, Valencia possède un budget de 24 à 25 millions d'euros dont la moitié environ provient des revenus propres au club.\n\n\Cette saison il a été approuvé une croissance des revenus propres et la contribution des mécènes sera également plus grande. Au final, le club doit continuer à augmenter ses revenus et nous avons beaucoup de chance au Valencia Basket d'avoir Juan Roig et Hortensia Herrero (NDLR : le mari et la femme sont milliardaires et possèdent 80% de la société Mercadona) avec le coup de pouce qu'ils nous donnent. Nous sommes conscients que pour être un club de haut niveau, tant masculin que féminin, nous avons besoin de leur contribution.\\n\nLa masse salariale de l'équipe première masculine est de 14M€ en bruts et de 7M€ en nets.\n\n\La première chose qui doit être clair pour le fan, c'est que lorsque vous négociez avec les joueurs, ils le font en net. Ils négocient avec l’argent qui va entrer dans la banque parce qu’ils ne connaissent pas les impôts payés dans chaque ville. Il est convenu avec eux que ce soit en net et à partir de là le club, pour que ce contrat soit légal, le convertit en brut. Dans la Communauté valencienne, nous avons le taux d'impôt sur le revenu des personnes physiques le plus élevé, soit 54 %. C'est ce que paient pratiquement tous les acteurs, sauf la première année où lorsqu'ils sont non-résidents, s'ils sont acteurs communautaires, c'est 19% et s'ils ne sont pas acteurs communautaires, c'est 24%. Madrid, par exemple, a neuf points d'impôt sur le revenu en moins. Je vais vous donner un exemple : notre main-d'œuvre avec impôts à Madrid coûterait 1,3 million de moins. À Vitoria, en ce qui concerne l'impôt sur le revenu des personnes physiques, ils ont cinq ou six points de moins et en plus ils ont environ 300 000 euros exonérés d'impôt.\\n\nL'Euroleague coûte de l'argent au Valencia Basket :\n\n\La saison dernière, Valencia Basket a reçu 750 000 euros de l'Euroleague et a payé 500 000 euros de frais de wildcard et environ 200 000 euros de droits d'arbitrage pour y jouer. Rien qu'en frais de déplacement, nous avons dépensé 1,2 million la saison dernière entre l'ACB et l'Euroleague. C'est une dépense indissociable car il existe de nombreux doubles voyages (...) L'Euroleague distribue l'argent de deux manières. La première est le « pool de marché », qui est approuvé cette saison pour atteindre 33,3 millions. Cet argent est distribué pour les clubs propriétaires. Là, nous ne voyons rien. De là, ils reçoivent en fonction du contrat de télévision que chacun apporte, Maccabi étant celui avec le plus élevé et Zalgiris le plus bas. Ensuite, il y a le « pool de classement sportif » qui s'élève à environ 8,5 millions et est réparti entre tous. Celui qui remporte l'Euroleague reçoit 1,7 million. Celui qui est quatorzième est le dernier à recevoir de l'argent. Ceux qui sont de la 15e à la 18e place ne reçoivent rien. Il y a une autre clé qui est que tous les propriétaires de l'Euroleague doivent recevoir, entre les deux concepts, au moins 1,5 million et si quelqu'un n'y arrive pas, l'argent est prélevé sur ce que reçoivent les non-propriétaires pour qu'ils atteignent ce minimum garanti.\\n\nSur les options du Valencia Basket en Euroleague la saison prochaine.\n\n\D'après les informations dont nous disposons aujourd'hui, pour Londres et Paris la voie d'accès pour la saison prochaine est de remporter l'Eurocup (NDLR : Londres n'est plus en course), et avec Dubaï il y a un accord sur les conditions économiques avec lesquelles ils entreront mais on ne sait pas quand ils joueront. Les dernières informations dont je dispose, c'est que Dubaï ne jouera pas l'Euroleague la saison prochaine. La principale option que je vois pour Valencia Basket est que l'Euroleague soit très à l'aise avec le niveau sportif des 18 équipes cette saison et qu'elles n'auraient aucun problème à répéter cela. Ce que me dit Paulius Motiejunas (le PDG de la compétition), c'est que Valencia Basket est un projet qui plaît. En ce moment, nous avons les mêmes options que ceux qui n'ont pas de place garantie, comme l'ALBA Berlin, la Virtus Bologne ou quiconque n'est pas champion de la Ligue Adriatique.\\n\nL'idéal est évidemment pour Valence de posséder une Licence sur plusieurs années.\n\n\Nous travaillons avec l'Euroleague pour que le Valencia Basket ait une stabilité temporaire quel que soit le nom, comme la Licence A ou une licence pour un certaine nombre d'années. Nous négocions ce qui nous permet d’être stable à moyen ou long terme. L'Euroleague comprend ce que nous leur demandons car ce n'est pas seulement une problématique sportive à suivre année après année mais aussi au niveau du modèle du club, des supporters ou des sponsors. C'est fou d'être en mars et de ne pas connaître la compétition à laquelle on joue. Par exemple, nous avons un plan B au cas où nous devrions jouer l’Eurocup.\
Donnez une analyse détaillée de :
LNB : Un record d'arbres plantés
Ainsi, durant tout le mois de mars 2024, les clubs de Betclic Élite et de Pro B ont uni leurs efforts pour participer à l’opération de reforestation”#Threes4Trees”, chaque tir à 3-point marqué contribuant à la plantation d’un arbre, symbolisant l’engagement collectif envers la préservation de notre écosystème.\n\nBetclic ÉLITE :\n\n 1. Paris (66 paniers à 3pts)\n 2. Bourg-en-Bresse (52 paniers à 3pts)\n 3. Roanne (51 paniers à 3pts)\n\nPROB :\n\n 1. Rouen (74 paniers à 3pts)\n 2. Poitiers (74 paniers à 3pts)\n 3. Lille (68 paniers à 3pts)\n 4. Gries-Souffel (61 paniers à 3pts)\n\nEspoirs ÉLITE:\n\n 1. Dijon (38 paniers à 3pts)\n 2. Blois (36 paniers à 3pts)\n 3. Saint-Quentin (36 paniers à 3pts)\n 4. Bourg-en-Bresse (30 paniers à 3pts)\n\nEspoirs PROB:\n\n 1. Lille (41 paniers à 3pts)\n 2. Saint-Chamond (40 paniers à 3pts)\n 3. Pau-Lacq-Orthez (40 paniers à 3pts)\n 4. Chalons-Reims (39 paniers à 3pts)
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
Quelques uns des meilleurs prospects européens ce week-end à Paris
Les huit équipes U18 qui constituent le plateau seront réparties en deux groupes et les meilleurs des groupes s’affronteront dimanche lors du match pour la première place pour déterminer le quatrième qualifié pour la finale de l’ANGT.\n\nLe groupe A comprend la Joventut Badalona, U18 Next Generation Team Paris, U18 Olympiakos Le Pirée et Paris. Le groupe B comprend les U18 Gran Canaria, le Centre Fédéral, Monaco et les U18 Panathinaikos Athènes.\n\nLa finale de l'ANGT se tiendra du 23 au 26 mai à Baerlin et U18 Real Madrid, U18 FC Barcelona et U18 ratiopharm Ulm sont déjà qualifiés.\n\nL'ANGT sera diffusé en direct et gratuitement sur SKWEEK (ici) et sur la chaine YouTube de SKWEEK (ici).
Écrivez un article sur :
Pro B : Retour de Jeremiah Wood, 39 ans, à Evreux
Jeremiah Wood (2,02 m, 39 ans) a déjà porté les couleurs de l'ALM de 2011 à 2013 et il avait hérité du surnom de\Mister Double-Double\. Depuis le pivot américain a navigué entre l'Argentine et la Finlande. Cette saison avec le KTP Basket, il a tourné à 21,3 points, 10,7 rebonds, et 5,4 passes décisives dans le championnat finlandais.\n\nSa qualification est attendue pour le match face à Lille,le mardi 9 avril, sous réserve bien sûr du résultat de la visite médicale.
Rédigez un rapport sur :
Eurocup : Historique, Bourg rejoint Paris en finale !
“On est en finale, on est en finale”, a-t-on entendu descendre des tribunes. Ekinox savoure, la Jeu est dans l’histoire. Et quelle cuvée de rêve pour le basket français ! Cinq jours après Paris, Bourg-en-Bresse a composté son billet pour la grande finale de l’édition 2024 de l’Eurocup. Devant 3 500 supporters survoltés, la JL Bourg est devenue le 14e club français à se hisser en finale de Coupe d’Europe en venant à bout des Turcs de Besiktas dans un match 3 sous très haute tension, à l’image de l’exclusion de Bodian Massa et Angel Delgado en première mi-temps.\n\nParis - Bourg sera la deuxième finale franco-française de l’histoire d’une coupe d’Europe après l’affrontement pour le titre entre Nanterre et Chalon-sur-Saône lors de la FIBA Europe Cup en 2017. Elle aura lieu les mardi 9, vendredi 12 et éventuellement lundi 15 avril.\n\n\nQuelle entrée en matière !\n\nLes débordements des supporters de Besiktas avaient lancé les hostilités lors du match 1, aussi au Sinan Erdem Dome lors du match 2. Pour ce troisième et dernier acte, la soirée a encore débuté bien avant l’entre-deux. Cette fois-ci, ce sont des supporters bressans, tous vêtus de blanc, qui se sont fait entendre. Des chants bras dessus bras dessous sur le parvis, une Marseillaise entonnée à une demi-heure de l’entre-deux, une présentation en grandes pompes, des cris en chœur bien au-delà des décibels habituels... L’avantage du terrain prenait déjà tout son sens avant même le lancement de ce qui s’apparentait au match le plus important de l’histoire de la Jeu.\n\nL’entrée en matière des hommes de Frédéric Fauthoux venait confirmer cette vague d’optimisme avec une grosse défense illustrée par trois pertes de balles provoquées en autant de minutes. Et surtout un 7-0 infligé aux Stambouliotes, déjà largement sanctionnés avec 4 fautes d’équipe en même pas deux minutes ! Fou furieux, le coach Dusan Alimpijevic était déjà averti par les arbitres pour contestation.\n\n🛫 FAITES DE LA PLACE POUR RISACHER ! 🥵@JLBourgBasket x @EuroCup#SKWEEKLive pic.twitter.com/Oea3VDI8jo\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 3, 2024\n\n\nSans Matt Mitchell (protocole commotion) et avec un Jonah Mathews limité par les fautes, Besiktas s’en remettait à l’ancien Parisien Kyle Allman, 7 points au premier quart-temps, pour ne pas laisser échapper des Burgiens collectifs (9-8, 5e), à qui il ne manquait que l’adresse extérieure (1/6 à 3-points à la mi-temps) pour reprendre un matelas confortable. A la fin du premier acte, la JL donnait l’impression de dominer les débats mais elle ne comptait que deux longueurs d’avance (23-21).\n\n\nLe fait de jeu : l’exclusion de Bodian Massa et Angel Delgado\n\nL’intensité ne retombait pas durant le deuxième acte. Les coéquipiers d’Isiaha Mike (10 points à la pause) continuaient de faire la course en tête (33-30, 15e) tout en provoquant des fautes (17 en 20 minutes, dont 3 pour Konan et Durmaz). Mais les 7 rebonds offensifs turcs en première mi-temps leur donnaient trop de deuxièmes chances et faisaient passer Bourg-en-Bresse derrière pour la première fois de la rencontre juste avant la pause (35-37, 18e).\n\nLE TALENT D'ISIAHA MIKE SUR CE 2⃣+1⃣ ! ✨@JLBourgBasket x @EuroCup#SKWEEKLive pic.twitter.com/Ee1xA3s04M\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 3, 2024\n\n\nLe ton continuait de monter quand Jeremy Morgan, bousculé par Durmaz, sortait, touché à la cheville. C’est alors que le match a pris une toute autre tournure lorsqu’Angel Delgado est venu provoquer les Bressans après un panier des Stambouliotes, provoquant une réaction en chaîne trop prononcée de Bodian Massa, en tête-à-tête. Le coup de trop. S’en est suivie l’exclusion immédiate des deux pivots ! Un tournant.\n\n🚨😱 Bodian Massa est exclu par les arbitres !\n\nQuelle mauvaise nouvelle pour les Bressans...#SKWEEKLive pic.twitter.com/xbywbeD7Zq\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 3, 2024\n\n\nAprès cela, les supporters bressans, déjà à bloc, se sont fait entendre comme jamais à Ekinox, portant les joueurs de Frédéric Fauthoux. Maksim Salash and co rentraient au vestiaire avec trois unités d’avance (44-41). Un moindre mal, même si la Jeu menait à ce moment-là 53 à 33 à l’évaluation. Une preuve de sa domination collective.\n\n\nMaksim se lâche !\n\nLa quatrième faute personnelle de Kevin Kokila faisait transpirer le staff bressan dès le retour des vestiaires (48-44, 22e). Celle de Jonah Mathews avait le même effet sur Dusan Alimpijevic et ses assistants, qui se délectaient toutefois des arabesques de l’ancien Monégasque Derek Needham, lui aussi sur un nuage avec 18 points en autant de minutes (48-49, 23e). En l’absence des deux pivots bressans, c’est Maksim Salash qui avait la lourde tâche de se coltiner le pivot adverse, comme en quarts face à Prometey. Le poste 4 biélorusse répondait présent et portait son équipe vers un 12-3 (60-52, 27e).\n\nMaksim Salash est en train de faire un match les amis, c'est quelque chose... 😱@JLBourgBasket x @EuroCup#SKWEEKLive pic.twitter.com/uJcAt5578J\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 3, 2024\n\n\nUn signal d’autant plus fort que les Turcs voyaient Marko Simonovic et Kerem Konan rejoindre le banc avec quatre fautes avant même la fin du troisième quart (64-55, 28e), laissant le troisième pivot turc, Samet Yigitoglu, seul dans la raquette. La Jeu n’en profitait pas pour autant, démarrant l’ultime quart-temps avec - seulement - deux possessions d’avance (65-59).\n\n\nMaxime Courby sort de sa boite\n\nLe couperet allait finir par tomber quand Besiktas, plombé par les fautes, prenait un 7-1 dévastateur à l’entrée du dernier acte, le début d'un incroyable 24-4 sur le quart-temps. Ekinox a vibré à l’unisson quand le local de l’étape, Maxime Courby, pas encore entré en jeu sur le playoffs d’Eurocup, plantait un tir à 3-points dans le corner pour donner plus de dix points d’avance à la Jeu à sept minutes du terme (72-60, 33e) !\n\nMAXIME.\n\nCOURBY.\n\nEST EN FEUUUUUUU ! 🔥@JLBourgBasket x @EuroCup#SKWEEKLive pic.twitter.com/J0BynSaOI1\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 3, 2024\n\n\nUne minute plus tard, l’ailier chipait un ballon dans les mains de Marko Simonovic, Jonah Mathews était exclu pour cinq fautes personnelles. Une autre minute plus tard, Maxime Courby doublait la mise et Zaccharie Risacher l’imitait (78-60, 36e). Une hola prenait feu, Ekinox était en roue libre. Besiktas ne marquait plus rien (aucun panier dans le jeu en six minutes), Marko Simonovic était lui aussi exclu pour cinq fautes, Dusan Alimpijevic sortait de ses gonds contre les arbitres et rentrait aux vestiaires, Zaccharie Risacher portait l’estocade (85-60, 38e)... Plus rien ne pouvait atteindre la JL, qui filait tout droit vers sa première finale européenne. Ekinox pouvait savourer !\n\n“Cette finale, on la mérite sur l'ensemble des trois matches. Il n’y a pas de hold-up. Finalement, on est très heureux de finir la série à domicile, c’est plus intense.Il y a 9 ans, on galérait en Pro B. Et on se retrouve en finale de l'Eurocup, raconte à notre micro le héros du moneytime, arrivé au club en 2015. Et je peux faire un bisou à Bodian (Massa) car sans sa sortie, je ne serais peut-être jamais rentré !”, sourit Maxime Courby.\n\nLe fait est que Bourg-en-Bresse (41 000 habitants) devient la plus petite ville française représentée en finale d’une compétition européenne depuis Orthez (10 000 habitants) et sa victoire en Coupe Korac en 1984. Le comble de cette édition 2024 est que la Jeu retrouvera le Paris Basketball en finale, la première équipe de la capitale finaliste d’une coupe d’Europe !\n\nLe programme de la Finale de l’Eurocup 2024 :\nMardi 9 avril 2024 : Paris Basketball – JL Bourg-en-Bresse\nVendredi 12 avril 2024 : JL Bourg-en-Bresse – Paris Basketball\nLundi 15 avril 2024 (si nécessaire) : Paris Basketball – JL Bourg-en-Bresse\n\nA noter que la LNB a décidé d’aménager le calendrier afin que ses deux équipes se préparent dans les meilleures conditions pour la finale, en reprogrammant rencontre JL Bourg - Paris Basketball de la 29e Journée prévue le 14 avril 2024 au 28 avril 2024.\n\nFabrice Jouhaud, Directeur Général de la LNB : « C’est une grande joie et une grande fierté de voir deux clubs français en finale de l’Eurocup après la victoire au match décisif de la JL Bourg. C’est une récompense méritée pour deux clubs moteurs et ambitieux de la Betclic Elite. Paris Basketball - JL Bourg en finale, c’est une confirmation du retour de la compétitivité des clubs français au niveau continental derrière l’AS Monaco qui est dans le trio de tête de l’Euroleague. »\n\nÀ Bourg-en-Bresse.\n\nBoxscore Bourg - Besiktas\n\nITW Maxime Courby et Bourg en finale de l’Eurocup : “Il y a 9 ans, on galérait en Pro B”La JL Bourg disputera sa première finale de Coupe d’Europe contre Paris. Alors qu’il n’avait pas joué la moindre minute en playoffs, Maxime Courby a porté le coup fatal à Besiktas dans le moneytime du match 3 de la demie. Réaction du plus ancien des Bressans, qui est arrivé en 2015.BasketEurope.comClément Carton
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Kendall Cooper élue MVP de la Ligue 2 Féminine
À la suite de la fin de la saison régulière de l’antichambre de l’élite du basket féminin français, l’ensemble des lauréats des trophées de Ligue Féminine 2 ont été dévoilé. Le titre de MVP de la saison régulière a été attribué à la joueuse du BC Montbrison Féminin, Kendall Cooper.\n\n5 MAJEUR LF2 – Saison 2023-2024:\n\nHélène JAKOVLJEVIC(Aulnoye - 23 ans / FRA)\nStats en saison régulière :\n22 matches – 7,5 points / 4,9 rebonds / 8,6 passes / 1,9 interceptions / Evaluation : 16,3\n\nFleur DEVILLERS(Aulnoye - 28 ans / FRA)\nStats en saison régulière :\n21 matches - 16 points / 2,5 rebonds / 2,4 passes / 1,1 interceptions / Evaluation : 11,8\n\nMariama DARAMY(Aulnoye - 21 ans / FRA)\nStats en saison régulière :\n22 matches - 14,8 points / 5,8 rebonds / 2,6 passes / 2 interceptions / Evaluation : 16,5\n\nAshten PRECHTEL(Mondeville - 22 ans / USA)\nStats en saison régulière :\n17 matches - 15,4 points / 11,6 rebonds / 1,6 interceptions / 1,5 contres / Evaluation : 20,1\n\nKendall COOPER(Montbrison - 28 ans / USA)\nStats en saison régulière :\n22 matches - 18,3 points / 9,4 rebonds / 2,2 passes / 1,9 interceptions / 1,3 contres / Evaluation : 22,3\n\n\n\nMVP LF2 2024:Kendall COOPER(Montbrison - 28 ans / 1m93)\n\nAprès avoir connu l’élite sous les couleurs de Nice (2017-2018) puis la Ligue Féminine 2 avec Calais (2018-2019), l’ancienne intérieure du CB Ifs (NF1) effectue un retour tonitruant en LF2. Poste 4/5 brillante pour imposer sa loi dans la raquette montbrisonnaise, à laquelle peu de défenses auront trouvé une solution cette saison, l’intérieure américaine a marqué la division de son empreinte pour aider le BC Montbrison Féminin a retrouvé les playoffs. La pierre angulaire d’une formation qui se positionne comme un candidat très sérieux au titre national en mai prochain.\n\nLe palmarès du trophée de MVP LF2\n\n2023 - Alexia Middleton (Feytiat Basket 87)\n\nMEILLEUR ENTRAÎNEUR LF2 2024:Corinne BENINTENDI(Montbrison - 61 ans)\n\nHistorique technicienne du BC Montbrison Féminin depuis 2013, avec lequel elle a successivement gravi les échelons pour atteindre la Ligue Féminine 2 en 2015, l’ancienne internationale tricolore a réussi à glisser le nom du club ligérien en haut de l’affiche. Non qualifié pour les playoffs la saison passée (9ème) et repartant de quasiment zéro avec un effectif complétement renouvelé, Montbrison est désormais 2èmeau classement général de la saison régulière avec un statut de candidat très sérieux au titre. Une belle histoire pour un club passé à deux doigts de la relégation en 2022-2023 dans laquelle l’expérience de la stratège Corinne Benintendi aura été déterminante.\n\nLe palmarès du trophée de Meilleur Entraîneur LF2\n\n2023 - Cyril Sicsic (Feytiat Basket 87)\n\nMEILLEURE JEUNE LF2 2024(née en 2004 et après):Fatoumata TOURE(Nice - 20 ans / 1m72)\n\nStats en saison régulière :22 matches – 9,7 points – 3,0 rebonds - 2,9 passes - Evaluation : 9,6\n\nLa saison dernière, son nom était déjà dans les débats pour le trophée de Meilleure Jeune. Passée de Monaco à Nice, l’ancienne pensionnaire du Pôle France a prouvé une nouvelle fois qu’elle était une valeur sûre dans ce championnat avec des statistiques en hausse.\n\nPour sa quatrième saison dans la division à seulement 20 ans, Fatoumata Toure, impressionnante de régularité, est l’une des clés de voûte de la belle saison du Cavigal Nice Basket 06, promu, qui se poursuivra en playoffs.\n\nLe palmarès du trophée de Meilleur Jeune LF2\n\n2023 - Binta Drame (S. Illkirch-Graffenstaden)\n\n\n\nVote organisé auprès des joueuses, représentées par les capitaines de chaque équipe de la division, des entraîneurs et d’un panel de médias.
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Jerry Boutsiele et Axel Bouteille en finale de la FIBA Europe Cup
Bahcesehir a battu Itelyum Varese, 161-154 au total, avec une victoire 81-73 à Istanbul après une courte défaite d'un point (81-80) à l'extérieur la semaine dernière. Jerry Boutsiele (25 points, 11 rebonds, 34 d'évaluation) et Axel Bouteille (20 points, 4/10 à trois-points) ont été prépondérants dans ce succès comme tout au long du parcours puisque Boutsiele est le meilleur marqueur (15,8 points) et rebondeur (8,3) de l'équipe et Bouteille le 2e marqueur (15,4), le 3e rebondeur (5,1) et le 3e passeur (2,4). A Varèse, Hugo Besson a été l'auteur de 6 points et 3 rebonds.\n\nPendant ce temps, la victoire de 25 points des NINERS contre le Surne Bilbao Basket à l'extérieur a permis aux Allemands de l'emporter 171-155, malgré la défaite au match retour, 82-73, à domicile.\n\nBahcesehir a été champion en 2022 et pourrait devenir le premier club à remporter le trophée de la FIBA Europe Cup pour la deuxième fois, tandis que les NINERS visent à rejoindre les Fraport Skyliners en tant que vainqueurs allemands du trophée.\n\nLe match aller de la finale aura lieu à Chemnitz le 17 avril, avant le match retour à Istanbul le 24 avril, Bahcesehir prenant l'avantage du terrain grâce à son meilleur classement au deuxième tour.
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
ITW Maxime Courby et Bourg en finale de l'Eurocup : “Il y a 9 ans, on galérait en Pro B”
Maxime, vous êtes en finale de l’Eurocup.\n“C’est fait. Ce n’est pas encore un objectif atteint car il nous reste une marche à gravir. Mais on est très fier d'avoir poussé les couleurs de la JL le plus haut possible. Cette finale, on la mérite sur l'ensemble des trois matches. Il n’y a pas de hold-up. Finalement, on est très heureux de finir la série à domicile, c’est plus intense.\n\nÀ titre personnel, vous n’étiez pas encore entré en jeu lors de ces playoffs. Racontez-nous cette séquence folle (6 points en 11 minutes et un ratio de +19) ?\nPersonnellement, je ne m’y attendais pas. Je suis toujours resté concentré et prêt pour rentrer. Ce sont des moments géniaux. Même si j’avais écrit l’histoire auparavant, je ne l’aurais pas écrit aussi belle. Il y a 9 ans, on galérait en Pro B. Je venais d’atterrir ici, dans une toute petite ville. On m’avait dit 'tu seras bien là-bas, tout le monde est sympa, tu joueras des petits matches'. Et on se retrouve en finale d’Eurocup !\n\n“C’est à imaginer que Besiktas ne m’avait pas scouté”\n\nComment fait-on pour rester prêt à jouer quand on ne joue pas du tout de la série ?\nJe n’ai jamais rien lâché tout au long de la saison. Le peu de minutes que j’ai, j’essaie de donner le maximum. Après, j’ai eu des shoots ouverts, je n’ai pas hésité. Quand on rentre le premier, on prend forcément confiance. Je n’ai pas trop de mots. Je suis resté concentré tout le temps. En plus, je n’ai même pas joué le quart de finale (contre Prometey). Cela faisait trois matches d’Eurocup que je n’étais pas rentré. C’est à imaginer que Besiktas ne m’avait pas scouté (rires). Tant mieux pour moi, pour l’équipe et pour le club.\n\nCela vous permet de retrouver du rythme...\nC’est clair. Ma prépa personnelle, c’était le match de Dijon en championnat, qui a été hyper important. Pas sûr que je serais rentré comme ça si je n’avais pas joué contre Dijon. Quand les autres sont au repos, j’essaie de me maintenir en forme du mieux que je peux et de tenir un minimum de cardio. Forcément, ma prestation personnelle me satisfait mais je retiens surtout qu'on est en finale de l’Eurocup ! Je suis tellement content pour le club, pour l'équipe.\n\n“Je peux faire un bisou à Bodian (Massa) car sans sa sortie, je ne serais peut-être jamais rentré”\n\nL’échauffourée entre Bodian Massa et Angel Delgado - suivie de deux exclusions - a-t-elle été le tournant du match ?\nC’est clair, d’autant qu’ils avaient déjà (Matt) Mitchell en moins dès le début de la partie. Quand (Angel) Delgado est sorti, c’était un tournant. Derrière, ils n’avaient plus de rotation au poste 5. Comme chez nous, deux joueurs qui n’ont pas joué les deux premiers matches de la série sont rentrés. C’était la soirée de ceux qui ne jouaient pas (rires). En tout cas, c’est sûr que cette exclusion est fatale pour eux. (Marko) Simonovic ne défend pas pareil que Delgado, il n’a pas le même impact. On a su profiter de ça.\n\nL’expulsion de Delgado leur coûte plus à eux qu’à vous...\nC’est sûr. Après, je n’en ai pas parlé à Bodian, je ne pense pas que c’était volontaire mais c’est une action majeure du match, oui.\n\nAu moment où ils prennent l’avantage pour la première fois du match, en plus...\nC’est vrai. C’est un vrai tournant. Je peux faire un bisou à Bodian (Massa) car sans sa sortie, je ne serais peut-être jamais rentré (rires) ! C’est un fait.\n\nUn mot sur la performance de Maksim Salash, utilisé sur le poste de pivot quand Bodian Massa a été exclu et que Kevin Kokila était limité par les fautes ?\nOn l’avait déjà vu contre Prometey. Quand il est passé en 5, le fait de strecher a posé énormément de problème à l’adversaire. Derrière, ils ont été obligés de contenir le pick and roll mais comme Maksim tire beaucoup à trois-points, ça a libéré de l’espace pour tout le monde. C'est une autre solution donnée au coach, on l'a vu plusieurs fois dans la saison. Ce sont des choix payants parce que les équipes ne sont pas prêtes à défendre sur cinq joueurs qui peuvent shooter à trois points.\n\nComment fait-on pour rester concentré dans un match avec autant de fautes techniques et d’arrêts de jeu ?\nOn a toujours été devant au score... ou presque. C’était peut-être plus facile pour nous. On a quand même su gérer le match. On était prêt. Quand on sort d’un match à Besiktas devant 16 000 Turcs fous qui crient, où on s’est fait taper de fou sur le terrain... Ils nous sont rentrés dedans. Dès le début, ils ont essayé de mettre la même intensité que là-bas mais ils ont été sanctionnés. (Jonah) Mathews a pris deux fautes très vite. Forcément, quand les arbitres sifflent plus, ils ne peuvent pas mettre autant d'intensité.\n\nEt le public vous a porté...\nLe public a répondu présent. Mais je n’en doutais pas. Il y a une vraie ferveur. En ville, on se fait arrêter partout, on sent que la ville est derrière nous. Je m’attendais à ce genre d’ambiance mais c’est toujours un plaisir d’évoluer sur le parquet au milieu de cette foule. Ça me rappelle de gros matches comme contre Dijon l’année dernière en playoffs, la montée en Pro A... Ça remonte maintenant ! Ce sont des souvenirs qui marquent une carrière. Le jour où je prendrai ma retraite, ce sont ces ambiances-là qui me manqueront le plus, cette sensation d’avoir tout le monde derrière nous.\n\n“Qui aurait dit qu’on aurait une finale Paris - Bourg au début de la saison ?”\n\nÇa fait 9 ans que vous êtes à Bourg-en-Bresse. Qu’est-ce que cette finale de Coupe d’Europe représente pour vous, pour le club ?\nIl va falloir quelques jours, pas trop longtemps, pour se rendre compte qu’on a fait quelque chose d’énorme. On ne s'en rend pas bien compte car il y a l’euphorie. Mais en tant qu’ancien, j’ai une grosse pensée pour tous ceux qui sont passés par le club comme Zack Peacock, Zack Wright, Philippe Braud... Des joueurs emblématiques qui ont fait grandir le club. Je suis très content de faire perdurer tout ce qu’ils ont apporté au club.\n\nVous allez retrouver Paris en finale mais sans l'avantage du terrain (match 1 le mardi 9 avril à l’Adidas Arena, match 2 le vendredi 12 avril à Ekinox et belle éventuelle le lundi 15 avril dans la capitale)...\nQui aurait dit qu’on aurait une finale Paris - Bourg au début de la saison ? Même Paris n’était pas favori au début. C’est très bien pour le basket français. Finalement, on voit que les clubs français performent. Paris, on les a battus une fois en championnat. On sait comment les battre. Il ne faudra pas faire le match parfait mais il faudra faire des matches très costauds et les jouer droits dans les yeux. On sait qu’on peut les battre.”\n\nÀ Bourg-en-Bresse.\n\nEurocup : Historique, Bourg rejoint Paris en finale !Vainqueur de Besiktas à Ekinox dans un match 3 sous haute tension (89-63), la JL Bourg s’est qualifiée ce mercredi 3 avril pour sa première finale de Coupe d’Europe. La Jeu rejoint le Paris Basketball pour une finale franco-française, la deuxième de l’histoire !BasketEurope.comClément Carton
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ITW Frédéric Fauthoux, une première finale européenne avec Bourg : “On a envie d’aller plus loin”
Frédéric, quelle soirée... Comment analysez-vous cet épilogue de la demi-finale (89-63) contre Besiktas ?\n“Nous sommes en finale, c’était l’objectif. Je pense que nous avons réalisé le match parfait. L’intensité, l’énergie... Nous avons contrôlé beaucoup de choses durant cette belle. Je pense que nous méritons d’aller en finale. La route n’est pas terminée. On est heureux mais on reste concentrés.\n\nIl a fallu garder ses nerfs dans cette partie, à l’image de l’altercation entre Delgado et Massa qui a valu une exclusion aux deux joueurs. Est-ce que cela a davantage coûté à Besiktas qu’à vous ?\nJ’ai envie de dire oui car le résultat donne raison à cela. Je ne sais pas si c’est vraiment cela qui a fait changer le match. Ce qui était sûr, c’est qu’on a vu que c’était un vrai match de belle d’Eurocup entre deux équipes qui voulaient aller en finale. Il y a eu énormément d’engagement, d’intensité. Nos joueurs ont été costauds. On a résisté à la fougue et au physique de Besiktas. On savait que cela allait se passer comme cela, on s’en doutait. On était prêts. On a beaucoup appris du match 2 à Besiktas. Tout n’a pas été parfait mais on mérite de passer ce tour.\n\nL’échauffourée n’était-elle pas aussi le témoin d’une réaction de l’équipe, alors que Besiktas venait de passer devant pour la première fois du match ?\nCe qui est sûr, c’est que Delgado était un élément important pour eux, autant que Massa pour nous. Seulement, ils ont moins de rotations que nous à ce poste-là. On savait que Besiktas allait essayer d’imposer un jeu dur et rude. C’est ce qu’ils ont proposé. Le danger avec ce jeu là, c’est que des joueurs peuvent exploser. Et c’est eux qui ont peut-être explosé en premier. Après l’altercation, je trouve qu’on a encore augmenté notre intensité. Mais comme souvent durant la saison, c’est qu’au fur et à mesure du match, sur la longueur du match, les adversaires lèvent le pied. Ce soir, on a joué à 12 et c’est sûrement cela qui fait la différence (24-4 sur le dernier quart).\n\nCraigniez-vous une suspension de Bodian Massa ?\nJe n’y ai pas pensé. Mais, oui.\n\n“Maxime Courby est un peu un symbole de l’explosion du résultat avec ses deux tirs à 3-points”\n\nIl y a eu l’appui d’Ékinox ce mercredi soir, comme au match 1, mais avec un curseur placé encore plus haut...\nJe vous laisse juge de cela. C’est sûr que ça fait du bruit. De toute évidence, on est soutenus. Les joueurs aiment ça, bien sûr. Ça fait partie des grandes soirées européennes, pour en avoir vécu quelques-unes dans des salles très chaudes. Il y a eu une superbe ambiance de coupe d’Europe ce (mercredi) soir. Ça fait du bien. On fait ce sport pour cela. Je pense que les spectateurs ont vécu un très grand moment. Maintenant, je le redis, je ne veux pas qu’on s’arrête là. On a un match dimanche de championnat (contre Blois) et mardi, on attaque la finale de l’Eurocup avec de l’ambition.\n\nQu’est-ce qui vous a empêché de montrer votre émotion à cinq minutes du terme quand le match était plié ?\nLe respect de l’adversaire, pour commencer. Besiktas méritait comme nous d’aller en demi-finale. Aussi, il faut rester concentré par rapport à un groupe. Si on va au bout du bout, il reste encore deux mois et demi de compétition. Ça ne sert à rien de s’extasier parce qu’on est sûrs de gagner un match. Au contraire, il faut montrer de la sérénité, rester stable. Le groupe a envie d’aller encore plus loin. Et nous aussi avec le staff.\n\nITW Maxime Courby et Bourg en finale de l’Eurocup : “Il y a 9 ans, on galérait en Pro B”La JL Bourg disputera sa première finale de Coupe d’Europe contre Paris. Alors qu’il n’avait pas joué la moindre minute en playoffs, Maxime Courby a porté le coup fatal à Besiktas dans le moneytime du match 3 de la demie. Réaction du plus ancien des Bressans, qui est arrivé en 2015.BasketEurope.comClément Carton\n\nQuel est votre regard sur le match de Maksim Salash, qui vous a dépanné au poste 5 avec l’exclusion de Bodian Massa ?\nCela nous est souvent arrivé dans la saison. On sait qu’on peut jouer un autre basket quand il est en poste 5. On en a profité par rapport à leurs pivots à eux qui étaient plus lents et moins mobiles. On avait une arme offensive supplémentaire donc il ne fallait pas s’en priver. C’est un élément important. Après, c’est très compliqué pour moi de ressortir un joueur. Je peux citer chaque passage de tous les joueurs qui a été important. Maxime Courby - également venu en conférence de presse - est un peu un symbole de l’explosion du résultat avec ses deux tirs à 3-points.\n\nSincèrement, je suis très fier et heureux des 12 joueurs qui ont joué ce soir. Il y a quelque chose dans cette équipe qui est palpable. On sent qu’ils ont envie d’aller loin. On s’est fixé des objectifs élevés, l’Eurocup en était un. C’est la finale logique entre deux équipes qui ont terminé chacune première de leur groupe. Il faut rester concentré parce que la compétition n’est pas terminée. Maintenant, on n’a pas l’avantage du terrain. Il va falloir faire un exploit là-bas. On est face à un adversaire qui a de la valeur. On aura peu de temps pour préparer la finale malheureusement.\n\nHeureusement, vous ne jouerez pas le match de championnat prévu contre Paris au milieu de la finale d’Eurocup...\nJe ne vais pas parler de ça ici car il y a plein de choses agaçantes. Jouer contre Blois ce dimanche... On l'enlève alors aussi ? Non ? C’est dommage.\n\n“Paris - Bourg, c’est la finale logique entre les deux équipes qui ont terminé premières de leur groupe”\n\nVous jouerez contre Paris en finale. Qu’est-ce que cela dit du basket français ?\nJe n’ai pas encore réfléchi à cela. J’ai mes idées. C’est très bien pour le basket français. Deux équipes françaises en finale de l’Eurocup, c’est unique. Cela sera peut-être deux oppositions de style. Mais en tout cas, pour tout ce que représente le basket français, pour les joueurs français, je pense que c’est une très bonne image que de jouer les uns contres les autres. J’espère que ce sera du beau spectacle. Ce sera une série âpre, sans aucun doute.\n\nQuand vous êtes arrivé à Bourg-en-Bresse en 2022, pensiez-vous marquer l’histoire du club en l’amenant en finale de Coupe d’Europe ?\nQuand on commence une compétition, on aimerait aller le plus loin possible. En général, on ne se donne aucune limite. La réponse est non bien sûr. Je ne me suis pas dit : « Un jour, on jouera une finale, voir la gagner avec Bourg-en-Bresse ». Ce n’est pas vraiment dans ce que l’on peut prétendre. Pourtant, quand on commence une compétition, on a envie. On est un peu le Petit Poucet de cette Eurocup. Mais on joue très bien notre basket. On a un groupe sain, le club est très bien structuré et avance à son rythme. En tant que compétiteur, on veut tout gagner. Perdre n’est pas dans notre ADN. Je vais répondre oui et non à votre question. Le travail des uns et des autres est récompensé. Mais ça reste les joueurs qui font que l’on va loin. Je ne veux pas que ce match-là soit une fin en soi, bien au contraire. On joue une finale de Coupe d’Europe, on n’en joue pas beaucoup dans une carrière. Donc on va tout faire pour la gagner.\n\nVous n’avez jamais participé à une finale de Coupe d’Europe. Quel effet ça fait d’y être ?\nTout à fait. J’ai déjà perdu en demi-finale, il y a très longtemps, certains ici n’étaient pas nés (rires). Je ne vais pas vous mentir, je n’arrive pas encore à palper, à apprécier le moment parce que c’est très frais. Encore une fois, on doit jouer contre Blois dimanche, deux jours avant cette finale (il hoche la tête). Ce qui est sûr, c’est que cette finale est un vrai moment de vie dans une carrière. Ce sont des grands moments, il faut savoir s’en saisir.”\n\nLa réaction express de Dmytro Boldaiev, deuxième assistant de Besiktas, 20 secondes chrono en conférence de presse : “Je n’ai rien à dire sur le match. 35 fautes à 20... Vous avez tout vu sur le terrain. Merci.”\n\nHugo Benitez, meneur de la JL Bourg : “C’était une bataille très dure. Nous savions dès le début de saison que l’avantage du terrain serait important. Nous l’avons montré ce soir. C’est dur de nous battre devant notre public. Nous devons aller à Paris désormais et gagner au moins un match là-bas pour prétendre au titre. Ce parcours est beau mais je ne m’en rends pas encore compte. Ce sera le cas si on arrive à décrocher le titre. J’ai déjà perdu une finale l’année dernière (la Leaders Cup 2023). Là, c’est un peu différent avec le format. On a plusieurs chances mais il va falloir être très fort dès le premier match à Paris.”\n\nÀ Bourg-en-Bresse.
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Oleksiy Yefimov (GM de Monaco) : \Le club n'a aucun problème financier\
Oleksiy Yefimov certifie que l'AS Monaco aura un budget équivalent à celui de cette saison (27,511 millions de prévisionnel) lors du prochain exercice et que le propriétaire/milliardaire Aleksej Fedoricsev sera toujours à la barre.\n\n\Il sera là encore longtemps ! Il n'y a qu'à voir ses yeux durant les matches, il est passionné. Il est l'homme de base du projet. Il a une vision à long terme pour le club. Il sait où il veut amener la Roca Team et comment développer ce projet... Nous sommes tous là pour parvenir à mettre en place un projet durable. Son engagement est plus fort que jamais. Moi, chaque matin, je me lève en voulant faire grandir notre club. Il y a encore tellement à faire. Il sait que ce n'est pas simple et que ça demande du temps. Mais il sait aussi comment y parvenir... Pour le moment, notre situation financière est très claire, très stable. Le club n'a aucun problème financier. On reste très réaliste par rapport à nos possibilités, sans percevoir le moindre problème financier.\\n\nSur le fait que Skweek n'a pas encore versé à l'ASVEL les deux tiers des 7,5 millions d'euros de sponsoring, le GM de la Roca Team répond que cela n'altère pas les relations entre Aleksej Fedoricsev et le président villeurbannais, Tony Parker.\n\n\À Lyon (lors d'Asvel-Monaco en Euroleague le 28 mars, NDLR), j'ai vu M. Fedoricsev presque sur le banc des joueurs. Il est impliqué, confiant, présent. Quant à Tony (Parker), même si nous sommes les plus grands rivaux sur le terrain, nous sommes les plus grands compagnons en dehors. Notre but commun est la réussite du basket français. Le partenariat entre Skweek et Monaco est très positif. Je suis persuadé que celui entre Skweek et l'Asvel est perçu de façon similaire à Villeurbanne. Nous grandissons ensemble. Skweek aide au développement de l'ensemble du basket français. Avant, on ne voyait pas de basket en France. Aujourd'hui, grâce à Skweek, ce produit est visible. On est tous devenus plus attractifs.\
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Vidéo : Le résumé de Bourg-Besiktas
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Tous les matches de préparation des équipes de France aux JO sur La Chaîne L'Equipe
Il s'agit d'une grande première dans les rapports du basket français avec la télévision qui entre évidemment dans le cadre d'un évènement sans précédent : l'organisation des Jeux Olympiques en France.\n\nLa liste des matches (6 pour les Bleus, 5 pour les Bleues) est ICI.\n\nLes Bleus et les Bleues en CLAIR 📺\n\nLes 11 matchs de préparation cet été seront à suivre en exclusivité sur @lachainelequipe 🤩#TeamFranceBasket | #PassionnémentBleu pic.twitter.com/pDOcIdhYGB\n\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) April 4, 2024\n
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Espagne : Rudy Fernandez annonce prendre sa retraite à la fin de la saison
« C'est un mot difficile et choquant quand on l'entend, mais j'arrive à un point de ma carrière où je suis déjà vieux, a t-il déclaré. Je me suis senti très aimé. Cela se termine, mais il me reste encore quelques mois pour essayer de donner ce qu'on me demande et profiter de mes coéquipiers. Malheureusement, j'ai eu des blessures. Quand j'ai eu une blessure au dos, on m'a dit que je pouvais avoir encore trois ou quatre années de carrière professionnelle de plus et grâce au travail des physiothérapeutes et des préparateurs physiques du Real Madrid, j'ai pu vivre encore de nombreuses années. Je me sens privilégié.\\n\nRudy Fernandez est professionnel depuis 2003. Il a joué quatre saisons en NBA et après un premier passage au Real Madrid en 2011 en raison du lock-out, il porte son maillot sans discontinué depuis 2012. L'Espagnol a moissonné un nombre considérable de trophées en club et de médailles avec son équipe nationale avec notamment quatre en or à l'EuroBasket, deux à la Coupe du monde, deux finales olympiques. Ses succès et son côté provocateur en font le meilleur ennemi du basket français. Ironie de l'histoire, son ambition est que le tournoi olympique de Paris lui serve de baisser de rideau.\n\n« Cela se termine, le moment est venu de penser à autre chose qu'au basket. Je veux profiter des mois restants. La retraite est un mot difficile et percutant lorsqu’on l’entend. Je dois réaliser le rêve de mon père de vivre de nouveaux Jeux Olympiques.\
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La FFBB officialise le retrait du numéro 9 de Tony Parker
C’est une grande première en Équipe de France. Un numéro de maillot ne sera plus jamais porté en sélection, celui du meilleur joueur français de tous les temps, Tony Parker, 42 ans. Quatrième marqueur de l’histoire des Bleus (2 741 points), dixième joueur le plus capé (181 sélections) et médaillé à quatre reprises à l’EuroBasket (bronze en 2005 et 2015, argent en 2011, or en 2013), Tony Parker aura été le leader de l’équipe nationale pendant 15 ans.\n\nSon numéro 9 rentrera dans la légende à l’occasion d’une cérémonie sur le parquet de la LDLC Arena alors que les deux équipes nationales seront confrontées à la Serbie en préparation aux Jeux Olympiques de Paris. Championnes d’Europe 2021 et demi-finalistes des Jeux Olympiques de Tokyo, les femmes serbes affronteront l'équipe de Jean-Aimé Toupane à 18h15. Puis les finalistes de la Coupe du Monde 2023 retrouveront les hommes de Vincent Collet à 21h.\n\n
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
Le Portel : Benoit Mangin ne re-jouera pas de la saison
Benoit Magin est la figure emblématique de l'ESSM Le Portel où il est arrivé en 2011. Il s'est adressé aux fans sur la page facebook du club. Il en ressort qu'à 36 ans -il les aura le 3 juin-, il n'est pas question de raccrocher les baskets. Reste à savoir où il poursuivra sa carrière.\n\n\Après 13 saisons passionnantes sous les couleurs de l'ESSM Le Portel, je prends aujourd'hui un moment pour exprimer ma gratitude envers le club, ses dirigeants et le président Yann Rivoal, ses bénévoles passionnés, mes coéquipiers, le staff médical, le staff et évidemment, Coach Eric (Girard).\n\nCes années ont été fabuleuses grâce au meilleur public de France, notre éternel et chaleureux 6ème homme, qui a été ma source d'énergie inépuisable et qui a rendu chaque match, parfois bataille, inoubliable. J'ai vécu des moments qui resteront gravés à jamais dans ma mémoire, des victoires exaltantes aux défis surmontés ensemble. Cette saison, marquée par une blessure au pied, a été un test de détermination et de résilience. Pendant mon absence, l'équipe a brillé et continue à le faire, démontrant la force de l’unité et l'esprit de compétition qui anime chaque joueur. Grâce au management expert et au talent de chaque joueur, l'équipe a assuré une fois de plus son maintien en Betclic, avec même la possibilité de se qualifier pour les playoffs.\n\nDans ce contexte favorable et dans le but de revenir encore plus fort pour la prochaine saison, j'ai pris la décision, en accord avec le président et le coach, de concentrer mes efforts exclusivement sur ma préparation physique et le soin de mon corps. Je suis déterminé à revenir sur le terrain dans les meilleures conditions possibles, prêt à relever de nouveaux défis et à poursuivre ma quête de succès, que ce soit avec l’ESSM ou ailleurs. Je tiens à remercier chaleureusement Coach Eric et le président Yann Rivoal pour leur confiance et l'opportunité qu’ils me donnent de pouvoir me concentrer sur mon retour au terrain pour la saison prochaine, preuve de notre respect mutuel. Je souhaite le meilleur pour cette fin de saison à l'ESSM Le Portel et de continuer à écrire l'histoire de ce club avec pourquoi pas avec un retour en coupe d’Europe pour ce public qui le mérite tant. Merci à tous pour le soutien que vous m’avez apporté et ces émotions que nous avons partagées. \
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TJ Shorts élu MVP des demi-finales de l'Eurocup
TJ Shorts a joué un rôle déterminant dans la victoire du Paris Basketball face aux London Lions, 2 manches à 0, avec une moyenne de 28,5 de PIR (évaluation). L'Américain, qui était également le MVP des quarts de finale de l'Eurocup, est le numéro un de tous les joueurs de ces demi-finales en termes de scoring, avec une moyenne de 22,0 points par match, tout en étant également en tête du classement des passes décisives (6,0) et des interceptions (4,0). Il s'agit de son cinquième trophée de MVP de la saison.\n\nTJ Shorts est évidemment le candidat numéro 1 au trophée de MVP de l'Eurocup de la saison après avoir raflé celui de MVP de la Basketball Champions League en 2023, mais son principal objectif est de gagner le trophée collectif lors de la finale face à la JL Bourg.
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ITW Valériane Ayayi (Prague) avant le Final Four : “On se souvient que Villeneuve d’Ascq nous a battus”
Le weekend prochain, du 12 au 14 avril à Mersin, en Turquie, Villeneuve d’Ascq, première équipe française qualifiée au Final Four de l’Euroleague féminine depuis dix ans, va tenter de redorer le blason tricolore. Pour cela, il faudra d’abord battre l’USK Prague en demi-finale, le leader du groupe B contre lequel l’ESBVA a gagné au Palacium en saison régulière. Les Tchèques pourront compter sur leur ailière française, Valériane Ayayi, quadruple championne de France et sextuple médaillée chez les Bleues, à qui il ne manque qu’un titre européen pour étoffer son immense palmarès.\n\nDans un entretien exclusif, l’internationale de 29 ans évoque ses souvenirs de l’époque de Villeneuve d’Ascq, avec qui elle a remporté la Ligue Féminine en 2017, ses ambitions pour le Final Four, sa vie en République Tchèque, son avenir en club alors qu’elle est en fin de contrat cet été mais aussi l’équipe de France à quatre mois des Jeux Olympiques de Paris, l’évolution du basket féminin ou encore son regard sur la progression de ses frères Joël et Gérald, qui brillent cette saison à Nanterre et Cholet.\n\nPourquoi avoir choisi de revenir à Prague ?\n“C’est l’un des meilleurs clubs européens. J’avais déjà joué ici pendant deux saisons (NDLR : premier passage de 2018 à 2020) et j’avais de fortes attaches avec ma coach, Natalia Hejkova. L’année dernière, on va au Final Four de l’Euroleague, cette année aussi. Forcément, c’est un très beau challenge pour moi.\n\nL’USK Prague est-il mieux structuré que les clubs français où vous êtes passée (Basket Landes, Lattes-Montpellier, Villeneuve d’Ascq et Bourges) ?\n(Elle réfléchit) Oui, en général. Après, ce sont des organisations totalement différentes. En France, il y a beaucoup de sponsors, beaucoup de choses à faire et de personnes à aller voir (pour construire un projet). A Prague, il y a un président, quelques gros sponsors mais qu’on ne voit pratiquement pas. Je dirais que tout est plus simple, y compris pour les joueuses.\n\nVotre équipe est-elle largement médiatisée en République tchèque ?\nPas vraiment. Pas beaucoup. Prague est une grande ville et le basket n’a pas une grande place ici. Le basket n’est pas le sport principal en République tchèque, et encore moins à Prague. La couverture médiatique n’est pas importante.\n\nL’USK Prague est invaincu en championnat depuis 13 ans et quasiment 300 matches, vous venez de remporter votre quart de finale 3-0 avec un écart moyen de 54 points... N’est-ce pas un peu déroutant de jouer chaque week-end, à trois exceptions près, contre des équipes de deuxième niveau et de devoir switcher sur le top-niveau européen ?\nJe ne pense pas. Si tout le monde veut venir à Prague, c’est qu’on s’y retrouve quand même. Je crois que les joueuses aiment bien car le championnat est court. Ça nous permet de bien travailler le weekend et de se préparer la semaine pour l’Euroleague. C’est aussi un luxe de pouvoir reposer les joueuses s’il y en a à reposer. Pour le corps, c’est important sur le long terme. En France ou en Espagne, les championnats sont très relevés et on se rend compte qu’il y a aussi un petit peu plus de blessures. C’est à prendre en compte.\n\nAu-delà du basket, est-ce agréable de vivre à Prague ?\nOui, il y a plein d’à-côté. Il y a énormément de vie dans cette ville, qui est extrêmement belle. Quand j’en discute avec des gens, tout le monde me dit “waouh, c’est une ville magnifique”. A raison. Il y a plein de choses à faire à Prague. Il y a plein de touristes tout le temps. La ville en elle-même, je l’adore. Aussi, le fait d'être au centre de l'Europe nous permet de pouvoir aller un petit peu partout assez facilement. C’est très pratique. J’ai un certain confort de vie également. Comme les déplacements en championnat tchèque sont très courts, on part toujours le jour du match, ça me permet de ne pas avoir à partir pendant trois jours. Tout ça mis bout à bout est un gros plus pour moi.\n\n“Je ne retiens pas grand-chose du titre avec Villeneuve d’Ascq (en 2017). Ce n’était pas ma meilleure expérience en France”\n\nSelon vous, quelles sont les forces de cette équipe de l’USK Prague, leader du groupe B en saison régulière en Euroleague Women ?\nC’est... une équipe ! C’est une vraie équipe, avec une bande de copines qui prend énormément de plaisir à jouer ensemble, et à briller ensemble. Je pense que toutes les filles se mettent au service du groupe. Cette année, c’est ce qui fait notre force. On va aller chercher ce qu’il y à aller chercher.\n\nC’est-à-dire l’Euroleague ?\nOui, j’espère ! (rires)\n\nVous aviez le meilleur bilan de la saison régulière, à égalité avec Fenerbahçe dans l’autre groupe (12-2). Considérez-vous que l’USK Prague part favori de ce Final Four ?\nNon. Déjà, on aura Villeneuve d’Ascq en face de nous. Oui on termine premières et elles troisièmes de la saison régulière mais sur les confrontations directes, on a chacun gagné notre match à domicile donc un partout balle au centre.\n\nQuels enseignements retenez-vous de ces deux matches de saison régulière contre Villeneuve d’Ascq ?\nC’était deux duels très différents, en tout cas de notre point de vue. Lors du premier match, nous étions prêtes et ça s’est plutôt bien passé (74-63, le 31 octobre). Pour le deuxième match, nous sommes arrivées un peu décimées avec des joueuses et un coach en moins. Ce sont des aléas. Pour autant, nous sommes parvenues à produire quelque chose même si ça n’a pas abouti à la victoire (90-81, le 17 janvier dernier). Je retiens qu’on a perdu le match. Ça n'est pas souvent arrivé cette saison... donc on s’en souvient (rires) !\n\nEst-ce spécial de jouer en demi-finale d’Euroleague contre un club dont vous avez porté le maillot ? Quels souvenirs gardez-vous de cette saison 2016-2017 avec un titre de champion de France à la clé ?\nC’est spécial, oui. Mais concernant mes souvenirs, je ne retiens pas grand-chose. Ce n’était pas ma meilleure expérience en France. Il y a eu un titre au bout, c’est cool, je ne vais jamais m’ôter un titre mais c’est vrai que l’histoire en elle-même n’était pas fabuleuse. Je n’en retiens pas grand-chose...\n\nC’est-à-dire ?\nJe pense que des personnes se cherchaient, d’autres ne voulaient pas que le bien du groupe et plutôt leur bien personnel. Le coach (NDLR : Fred Dusart) a pris les décisions qu’il a voulu prendre, notamment de me mettre sur le côté une partie de la saison puis finalement de me réintégrer au groupe quand j’ai demandé à être libérée. Finalement, le club n’a pas souhaité me libérer et j’ai été réintégrée au groupe assez bizarrement. Voilà, je n’avais pas beaucoup d’affinités avec ce groupe-là si ce n’est avec une ou deux joueuses. Ce sont des choses qui arrivent.\n\nOn sent encore aujourd’hui une petite pointe d’amertume dans vos propos...\nPas du tout (rires). Vraiment, je n’ai absolument pas d’amertume. Je crois que j’ai bien avancé depuis. La seule chose que je peux en ressortir sept ans après, c’est que cette expérience m’a fait grandir en tant que joueuse et en tant que femme. Maintenant, je n’ai aucun sentiment envers le club de Villeneuve d’Ascq, qui a aussi fait son bout de chemin.\n\nD’ailleurs, que pensez-vous de l’évolution de l’ESBVA ?\nC’est bien pour un club français d’être au Final Four de l’Euroleague féminine.\n\nQuel est votre regard sur Janelle Salaün, avec qui vous avez disputé l’Euro 2023 ?\nC’est une fille très bien. La voir en équipe de France et au Final Four, c’est une évolution logique. C’est quelqu’un qui travaille beaucoup. Elle est récompensée de son travail aussi bien en club qu’en sélection. Elle montre l'exemple pour les prochaines, qui doivent comprendre que ça passe avant tout par le travail. Il y a eu d’autres exemples avant elle, il y en aura d’autres après Janelle. C’est très bien qu’elle soit récompensée pour tout le travail qu'elle fait parce qu’elle bosse énormément.\n\nAvez-vous le sentiment de ne pas encore avoir transposé en équipe de France ce que vous avez démontré en club ? “Un peu, un peu”\n\nQu’avez-vous pensé du tirage au sort des JO, où la France a été placée dans le groupe de l’Australie, du Canada et du Nigéria ?\nÇa va être une poule très relevée physiquement, toutes les équipes sont reconnues pour leur dimension athlétique. Il faudra être prêt à répondre au challenge physique. Tous les matches vont être compliqués mais, de toute façon, ce sont les Jeux Olympiques. Il n’y a pas de surprise.\n\nEn avez-vous parlé entre coéquipières de l’équipe de France ?\nPas spécialement puisque chacune est focus dans sa saison. Mais on a un groupe sur lequel on partage les infos et tout le monde est au courant. On arrive dans les grands moments de la saison en club. On est toutes concernées par des playoffs, des Final Four... On a le temps avant d’y penser.\n\nJeux Olympiques : Décryptage des adversaires des Bleues dans le Groupe BL’équipe de France a été placée dans le groupe B avec l’Australie, le Canada et le Nigéria aux JO de Paris 2024. Décryptage des adversaires avec la general manager Céline Dumerc et le sélectionneur Jean-Aimé Toupane.BasketEurope.comClément Carton\n\nQuel regard portez-vous sur le fait d’être au village olympique plutôt que dans un hôtel à part comme les garçons ?\nJe pense que c’est bien d’être au village olympique. J'ai eu la chance de faire déjà deux fois les Jeux Olympiques. A chaque fois, j'étais au village et je pense que je n’aurais pas vécu les Jeux de la même façon si je n’y avais pas été. Quand la question s’est posée, on en a discuté avec certaines cadres car on nous a demandé notre avis. J’étais favorable. Pour celles qui vivront leurs premiers JO, je pense que c’est important d’être au village. C’est une grande part de l’expérience olympique.\n\nA titre personnel, comment allez-vous gérer votre enfant pendant la préparation et les JO ?\nMa fille sera gérée par mon entourage, par mes parents et par un ami.\n\nLes Bleues ont montré un visage séduisant lors du TQO en Chine. Qu’en ressortez-vous, quelques semaines plus tard ?\nC’était une expérience plutôt cool. C’est bien évidemment dû aux résultats mais, comme je le disais dès le départ, on avait un groupe jeune mais qui avait une grosse envie d’avancer et de travailler. Ça s'est vu sur ce qu’on a produit sur le terrain. On a un vrai groupe de travail, un vrai bon groupe de filles qui ont envie de faire les choses ensemble, et d'avancer ensemble. Ça c'est top.\n\nAvez-vous senti la concurrence monter d’un cran lors du TQO ?\nIl y a toujours de la concurrence en France. C’est l'avantage et l'inconvénient d'avoir un tel vivier. Ce sera au coach de faire ses choix en fonction des caractéristiques de la joueuse mais aussi de la personne et du profil. Concernant le TQO, je n’ai pas senti plus de concurrence que d’habitude parce qu’il n’y avait qu’une semaine en sélection et les 12 joueuses ont été prises directement, il n’y a pas eu d’entraînement avant pour aller chercher sa place. C’était différent.\n\nVotre palmarès en club est exceptionnel mais vous n’avez pas encore de titre avec l’équipe de France. Avez-vous le sentiment de ne pas encore avoir transposé en équipe de France ce que vous avez démontré en club ?\nUn peu, un peu. (Elle réfléchit) Je ne sais pas trop comment l’interpréter. J’ai travaillé et j’ai eu la chance d’aller chercher des titres pratiquement toutes les années de ma carrière en club. En équipe de France, on n’a pas gagné de titre, c’est vrai, mais on a quand même plusieurs médailles. À titre personnel, je continue d’apporter ce que je peux apporter et surtout ce qu’on me laisse apporter. En club, je pense avoir montré qu’avec un rôle important, je réponds présente. Si c’est le cas en équipe de France, tant mieux, si ce n’est pas le cas, ce n’est pas grave... tant que ça permet quand même à l’équipe d’aller chercher des médailles.\n\n“Je suis très fière de mes frères”\n\nIl y a des Françaises dans toutes les équipes du Final Four de l’Euroleague, de plus en plus de joueuses françaises qui se laissent tenter par la WNBA... Diriez-vous que le basket féminin français vit un âge d’or, ou bien se porte mieux que jamais ?\nMieux que jamais, je ne sais pas. Je me souviens d’une période où l’on avait de très fortes joueuses à l’étranger mais aussi en France, comme à Valenciennes ou Bourges, dans des équipes qui étaient très haut sur les tableaux européens avec une majorité de joueuses françaises. C’est quand même que le basket se portait bien avant. Il se porte bien actuellement aussi. On a un excellent championnat de France et de plus en plus de joueuses reconnues dans le basket européen et mondial.\n\nVous êtes en fin de contrat à Prague. Allez-vous revenir en France la saison prochaine ?\nJe ne pense pas, pas tout de suite.\n\nVidéo : La performance de Joël Ayayi (Nanterre) face à BourgJoël Ayayi a pulvérisé son record d’évaluation de cette saison lors de la victoire de Nanterre sur Bourg (105-98).BasketEurope.comPascal Legendre\n\nAvez-vous des liens constants avec vos deux frères, Gérald et Joël ? Etes-vous toujours la sœur aînée qui donne des conseils ?\nOui, je suis en lien permanent avec eux. On s’écrit quotidiennement sur notre groupe de famille, on s’écrit tout le temps. Je resterai toujours leur grande sœur, de toute façon. Maintenant, je leur donne des conseils quand j'ai quelque chose à dire et que je trouve que c’est pertinent. Sinon, ils ont suffisamment de vécu, d’expérience et de monde autour d’eux pour leur donner les conseils nécessaires. Au niveau basket, ils n’ont pas forcément besoin de moi mais ils savent qu’ils peuvent m’appeler quand ils ont besoin de quelque chose. Mon rôle, c’est plus la grande sœur que la joueuse de basket.\n\nQuel regard portez-vous sur la saison de Joël, finaliste de la Leaders Cup avec Nanterre, qui vient d’exploser ses records en Betclic Elite et qui vit sa première vraie saison en France ?\nAvant tout, je suis contente qu’il ait trouvé un vrai projet qui l’intéresse en France. Cette saison, il a eu des hauts et des bas, comme tout le monde, mais il est bien entouré pour savoir quand il faut se donner les moyens de rebondir après des séries plus difficiles ou une blessure. Mais une carrière, ça prend du temps, ça se lance. Comme vous le disiez, c’est sa première saison en France au niveau professionnel. Il lui a fallu un petit temps d’adaptation mais il sait où il met les pieds et il continue d’élever son niveau. Je suis fière de ce qu’il produit. Et je sais qu’il peut encore faire mieux.\n\nEt à Cholet, Gérald brille également pour sa première saison hors de Pau-Orthez en professionnel. Était-ce le bon projet pour éclore au plus haut niveau ?\nOui. Il fait une belle saison, une très belle saison même, que ce soit au niveau européen ou en championnat de France. C'était sa première saison en Coupe d'Europe et il a plutôt très bien répondu (NDLR : Cholet éliminé au top 16 de la BCL). Je suis fière et contente pour lui. C’est un bosseur acharné. Il a trouvé à Cholet le soutien nécessaire pour continuer à travailler, à progresser. Il s’y sent bien. Je suis contente qu’il ait trouvé un projet adapté à son évolution, qui lui permette de franchir une nouvelle étape dans sa progression.”
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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures
Euroleague : Monaco assure l'essentiel face au Zalgiris Kaunas\n\nDans un match globalement dominé malgré un faible écart final, Monaco a signé sa 22e victoire dans cette saison d'Euroleague face au Zalgiris Kaunas (69-66). Un succès qui rapproche considérablement la Roca Team de son objectif de top 4, à une seule journée de la fin de la saison régulière.\n\nEuroleague : Monaco assure l’essentiel face au Zalgiris KaunasDans un match globalement dominé malgré un faible écart final, Monaco a signé sa 22e victoire dans cette saison d’Euroleague face au Zalgiris Kaunas (69-66). Un succès qui rapproche considérablement la Roca Team de son objectif de top 4, à une seule journée de la fin de la saison régulière.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\n\n\nEuroleague : +29, l'ASVEL pulvérise Valence dans sa salle !\n\nDans le sillage d'un Nando De Colo en mode chef d'orchestre et désormais deuxième meilleur scoreur de l'histoire de l'Euroleague, l'ASVEL a réalisé une performance irréelle à Valence ce jeudi (69-98). Un match mémorable qui permet aux Villeurbannais de faire le plein de confiance.\n\nEuroleague :+29, l’ASVEL pulvérise Valence dans sa salle !Dans le sillage d’un Nando De Colo en mode chef d’orchestre et désormais deuxième meilleur scoreur de l’histoire de l’Euroleague, l’ASVEL a réalisé une performance irréelle à Valence ce jeudi (69-98). Un match mémorable qui permet aux Villeurbannais de faire le plein de confiance.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\n\n\nDidier Jamot, président de Limoges : \Aujourd'hui, on a deux propositions sur la table\\n\nAlors que le club est sous la pression à la fois de la DNCCG et des collectivités locales, le président du Limoges CSP, Didier Jamot, a voulu se montrer rassurant sur son avenir.\n\n\Aujourd'hui, on a deux propositions sur la table\ a déclaré Didier Jamot au micro deFrance 3. \On a laproposition du groupe d'investisseurs - dix régionaux, un national - que soutient Céline Forte et il y a celle de Lionel Peluhet - directeur financier du groupe Intermarché et propriétaires de plusieurs enseignes - qui a fait une proposition à bonne hauteur.\ Lequel Lionel Peluhet \est un proche de Céline et Frédéric Forte et il est là aujourd'hui pour aider le club, donner un coup de main à l'institution et faire en sorte que notre CSP sorte grandi de ces dernières années.\\n\n\nITW Frédéric Fauthoux, une première finale européenne avec Bourg : “On a envie d’aller plus loin”\n\nÀ 51 ans, Frédéric Fauthoux va vivre sa première finale de Coupe d’Europe. Le coach de la JL Bourg raconte la qualification face à Besiktas... et s’offusque du calendrier de la LNB, avec la réception de Blois programmée dimanche, deux jours avant le lancement de la finale d’Eurocup contre Paris.\n\nFrédéric, quelle soirée... Comment analysez-vous cet épilogue de la demi-finale (89-63)contre Besiktas?\n“Nous sommes en finale, c’était l’objectif. Je pense que nous avons réalisé le match parfait. L’intensité, l’énergie... Nous avons contrôlé beaucoup de choses durant cette belle. Je pense que nous méritons d’aller en finale. La route n’est pas terminée. On est heureux mais on reste concentrés.\n\nIl a fallu garder ses nerfs dans cette partie, à l’image de l’altercation entre Delgado et Massa qui a valu une exclusion aux deux joueurs. Est-ce que cela a davantage coûté à Besiktas qu’à vous ?\nJ’ai envie de dire oui car le résultat donne raison à cela. Je ne sais pas si c’est vraiment cela qui a fait changer le match. Ce qui était sûr, c’est qu’on a vu que c’était un vrai match de belle d’Eurocup entre deux équipes qui voulaient aller en finale. Il y a eu énormément d’engagement, d’intensité. Nos joueurs ont été costauds. On a résisté à la fougue et au physique de Besiktas. On savait que cela allait se passer comme cela, on s’en doutait. On était prêts. On a beaucoup appris du match 2 à Besiktas. Tout n’a pas été parfait mais on mérite de passer ce tour.\n\nITW Frédéric Fauthoux, une première finale européenne avec Bourg : “On a envie d’aller plus loin”À 51 ans, Frédéric Fauthoux va vivre sa première finale de Coupe d’Europe. Le coach de la JL Bourg raconte la qualification face à Besiktas... et s’offusque du calendrier de la LNB, avec la réception de Blois programmée dimanche, deux jours avant le lancement de la finale d’Eurocup contre Paris.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nTJ Shorts élu MVP des demi-finales de l'Eurocup\n\nC'est tout sauf une surprise : le meneur de jeu du Paris Basketball, TJ Shorts (1,75 m, 26 ans), a été élu MVP des demi-finales de l'Eurocup.\n\nTJ Shorts a joué un rôle déterminant dans la victoire du Paris Basketball face aux London Lions, 2 manches à 0, avec une moyenne de 28,5 de PIR (évaluation). L'Américain, qui était également le MVP des quarts de finale de l'Eurocup, est le numéro un de tous les joueurs de ces demi-finales en termes de scoring, avec une moyenne de 22,0 points par match, tout en étant également en tête du classement des passes décisives (6,0) et des interceptions (4,0). Il s'agit de son cinquième trophée de MVP de la saison.\n\nTJ Shorts élu MVP des demi-finales de l’EurocupC’est tout sauf une surprise : le meneur de jeu du Paris Basketball, TJ Shorts (1,75 m, 26 ans), a été élu MVP des demi-finales de l’Eurocup.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLe Portel : Benoit Mangin ne re-jouera pas de la saison\n\nTouché au pied depuis le 7 octobre 2023, le meneur de jeu de l'ESSM Le Portel Benoit Mangin ne rejouera pas de la saison.\n\nBenoit Magin est la figure emblématique de l'ESSM Le Portel où il est arrivé en 2011. Il s'est adressé aux fans sur la page facebook du club. Il en ressort qu'à 36 ans -il les aura le 3 juin-, il n'est pas question de raccrocher les baskets. Reste à savoir où il poursuivra sa carrière.\n\n\Après 13 saisons passionnantes sous les couleurs de l'ESSM Le Portel, je prends aujourd'hui un moment pour exprimer ma gratitude envers le club, ses dirigeants et le président Yann Rivoal, ses bénévoles passionnés, mes coéquipiers, le staff médical, le staff et évidemment, Coach Eric (Girard).\n\nLe Portel : Benoit Mangin ne re-jouera pas de la saisonTouché au pied depuis le 7 octobre 2023, le meneur de jeu de l’ESSM Le Portel Benoit Mangin ne rejouera pas de la saison.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nITW Maxime Courby et Bourg en finale de l'Eurocup : “Il y a 9 ans, on galérait en Pro B”\n\nLa JL Bourg disputera sa première finale de Coupe d’Europe contre Paris. Alors qu’il n’avait pas joué la moindre minute en playoffs, Maxime Courby a porté le coup fatal à Besiktas dans le moneytime du match 3 de la demie. Réaction du plus ancien des Bressans, qui est arrivé en 2015.\n\nMaxime, vous êtesen finale de l’Eurocup...\n“C’est fait. Ce n’est pas encore un objectif atteint car il nous reste une marche à gravir. Mais on est très fier d'avoir poussé les couleurs de la JL le plus haut possible. Cette finale, on la mérite sur l'ensemble des trois matches. Il n’y a pas de hold-up. Finalement, on est très heureux de finir la série à domicile, c’est plus intense.\n\nITW Maxime Courby et Bourg en finale de l’Eurocup : “Il y a 9 ans, on galérait en Pro B”La JL Bourg disputera sa première finale de Coupe d’Europe contre Paris. Alors qu’il n’avait pas joué la moindre minute en playoffs, Maxime Courby a porté le coup fatal à Besiktas dans le moneytime du match 3 de la demie. Réaction du plus ancien des Bressans, qui est arrivé en 2015.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nLa FFBB officialise le retrait du numéro 9 de Tony Parker\n\nLa Fédération Française profitera des matches des Équipes de France féminine et masculine à la LDLC Arena de Décines, le 12 juillet, pour effectuer le retrait de maillot de Tony Parker.\n\nC’est une grande première en Équipe de France. Un numéro de maillot ne sera plus jamais porté en sélection, celui du meilleur joueur français de tous les temps, Tony Parker, 42 ans. Quatrième marqueur de l’histoire des Bleus (2 741 points), dixième joueur le plus capé (181 sélections) et médaillé à quatre reprises à l’EuroBasket (bronze en 2005 et 2015, argent en 2011, or en 2013), Tony Parker aura été le leader de l’équipe nationale pendant 15 ans.\n\nLa FFBB officialise le retrait du numéro 9 de Tony ParkerLa Fédération Française profitera des matches des Équipes de France féminine et masculine à la LDLC Arena de Décines, le 12 juillet, pour effectuer le retrait de maillot de Tony Parker.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nQuelques uns des meilleurs prospects européens ce week-end à Paris\n\nLe Adidas Next Generation Tournament (ANGT) pose son chapiteau du vendredi 5 au dimanche 7 avril à la Halle Georges-Carpentier de Paris.\n\nLes huit équipes U18 qui constituent le plateau seront réparties en deux groupes et les meilleurs des groupes s’affronteront dimanche lors du match pour la première place pour déterminer le quatrième qualifié pour la finale de l’ANGT.\n\nQuelques uns des meilleurs prospects européens ce week-end à ParisLe Adidas Next Generation Tournament (ANGT) pose son chapiteau du vendredi 5 au dimanche 7 avril à la Halle Georges-Carpentier de Paris.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEspagne : Rudy Fernandez annonce prendre sa retraite à la fin de la saison\n\nRudy Fernández fête aujourd'hui ses 39 ans et l'ailier international du Real Madrid en a profité pour annoncer qu'il s'agit de sa dernière saison.\n\n« C'est un mot difficile et choquant quand on l'entend, mais j'arrive à un point de ma carrière où je suis déjà vieux, a t-il déclaré. Je me suis senti très aimé. Cela se termine, mais il me reste encore quelques mois pour essayer de donner ce qu'on me demande et profiter de mes coéquipiers. Malheureusement, j'ai eu des blessures. Quand j'ai eu une blessure au dos, on m'a dit que je pouvais avoir encore trois ou quatre années de carrière professionnelle de plus et grâce au travail des physiothérapeutes et des préparateurs physiques du Real Madrid, j'ai pu vivre encore de nombreuses années. Je me sens privilégié.\\n\nEspagne : Rudy Fernandez annonce prendre sa retraite à la fin de la saisonRudy Fernández fête aujourd’hui ses 39 ans et l’ailier international du Real Madrid en a profité pour annoncer qu’il s’agit de sa dernière saison.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nTous les matches de préparation des équipes de France aux JO sur La Chaîne L'Equipe\n\nVoici une nouvelle qui va réjouir l'ensemble des fans de basket : les 11 matches de préparation aux Jeux Olympiques de Paris des deux équipes de France 5x5 seront diffusés en direct et en clair sur La Chaîne L'Equipe.\n\nTous les matches de préparation des équipes de France aux JO sur La Chaîne L’EquipeVoici une nouvelle qui va réjouir l’ensemble des fans de basket : les 11 matches de préparation aux Jeux Olympiques de Paris des deux équipes de France 5x5 seront diffusés en direct et en clair sur La Chaîne L’Equipe.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nOleksiy Yefimov (GM de Monaco) : \Le club n'a aucun problème financier\\n\nDans une interview à l'AFP reprise par Le Figaro, le manager général Oleksiy Yefimov assure que la situation financière de l'AS Monaco est saine malgré les problèmes rencontrés actuellement par FedCom/Skweek.\n\nOleksiy Yefimov certifie que l'AS Monaco aura un budget équivalent à celui de cette saison (27,511 millions de prévisionnel) lors du prochain exercice et que le propriétaire/milliardaire Aleksej Fedoricsev sera toujours à la barre.\n\n\Il sera là encore longtemps ! Il n'y a qu'à voir ses yeux durant les matches, il est passionné. Il est l'homme de base du projet. Il a une vision à long terme pour le club. Il sait où il veut amener la Roca Team et comment développer ce projet...Nous sommes tous là pour parvenir à mettre en place un projet durable. Son engagement est plus fort que jamais. Moi, chaque matin, je me lève en voulant faire grandir notre club. Il y a encore tellement à faire. Il sait que ce n'est pas simple et que ça demande du temps. Mais il sait aussi comment y parvenir... Pour le moment, notre situation financière est très claire, très stable. Le club n'a aucun problème financier. On reste très réaliste par rapport à nos possibilités, sans percevoir le moindre problème financier.\\n\nOleksiy Yefimov (GM de Monaco) : “Le club n’a aucun problème financier”Dans une interview à l’AFP reprise par Le Figaro, le manager général Oleksiy Yefimov assure que la situation financière de l’AS Monaco est saine malgré les problèmes rencontrés actuellement par FedCom/Skweek.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nJerry Boutsiele et Axel Bouteille en finale de la FIBA Europe Cup\n\nBahcesehir College et les NINERS Chemnitz s'affronteront en finale de la FIBA Europe Cup 2024, qui est la 4e compétition européenne dans la hiérarchie.\n\nBahcesehir a battu Itelyum Varese, 161-154 au total, avec une victoire 81-73 à Istanbul après une courte défaite d'un point (81-80) à l'extérieur la semaine dernière. Jerry Boutsiele (25 points, 11 rebonds, 34 d'évaluation) et Axel Bouteille (20 points, 4/10 à trois-points) ont été prépondérants dans ce succès comme tout au long du parcours puisque Boutsiele est le meilleur marqueur (15,8 points) et rebondeur (8,3) de l'équipe et Bouteille le 2e marqueur (15,4), le 3e rebondeur (5,1) et le 3e passeur (2,4). A Varèse, Hugo Besson a été l'auteur de 6 points et 3 rebonds.\n\nJerry Boutsiele et Axel Bouteille en finale de la FIBA Europe CupBahcesehir College et les NINERS Chemnitz s’affronteront en finale de la FIBA Europe Cup 2024, qui est la 4e compétition européenne dans la hiérarchie.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nKendall Cooper élue MVP de la Ligue 2 Féminine\n\nÀ la suite de la fin de la saison régulière de l’antichambre de l’élite du basket féminin français, l’ensemble des lauréats des trophées de Ligue Féminine 2 ont été dévoilé. Le titre de MVP de la saison régulière a été attribué à la joueuse du BC Montbrison Féminin, Kendall Cooper.\n\nKendall Cooper élue MVP de la Ligue 2 FéminineÀ la suite de la fin de la saison régulière de l’antichambre de l’élite du basket féminin français, l’ensemble des lauréats des trophées de Ligue Féminine 2 ont été dévoilé. Le titre de MVP de la saison régulière a été attribué à la joueuse du BC Montbrison Féminin, Kendall Cooper.BasketEurope.comLa rédaction
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Didier Jamot, président de Limoges : \Aujourd'hui, on a deux propositions sur la table\
\Aujourd'hui, on a deux propositions sur la table\ a déclaré Didier Jamot au micro de France 3. \On a laproposition du groupe d'investisseurs - dix régionaux, un national - que soutient Céline Forte et il y a celle de Lionel Peluhet - directeur financier du groupe Intermarché et propriétaires de plusieurs enseignes - qui a fait une proposition à bonne hauteur.\ Lequel Lionel Peluhet \est un proche de Céline et Frédéric Forte et il est là aujourd'hui pour aider le club, donner un coup de main à l'institution et faire en sorte que notre CSP sorte grandi de ces dernières années.\\n\nDidier Jamot confirme que le CSP va présenter un nouveau déficit d'exploitation de l'ordre des deux dernières années, soit 500 à 800 000 euros, sur un budget de 6,123M€.\n\n\Le temps juridique va faire son travail, on travaille tous pour qu'on puisse présenter le 15 mai un dossier solide pour que le CSP repasse dans le vert et retrouve son lustre d'antan. Mais il faut savoir qu'au 15 mai, les investisseurs auront fait le boulot et notre CSP repassera en positif.Nos comptes seront alors certifiés et on pourra alors s'engager en Betclic Élite.\
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
Euroleague : Monaco assure l'essentiel face au Zalgiris Kaunas
En cette fin de saison régulière de l'Euroleague, Donatas Motiejunas et les Monégasques le savaient : il leur fallait remporter leur deux derniers matches pour espérer finir le plus haut possible au classement en vue des playoffs. Opposée à une équipe du Zalgiris Kaunas à qui il ne restait que peu de chances d'accrocher une place en play-in ce jeudi, la Roca Team a fait la moitié du travail en venant à bout de son courageux adversaire lituanien (69-66).\n\nLes hommes de Sasa Obradovic se sont rendus le match facile en imposant leur jeu dès les premières minutes de la rencontre. Cela s'est rapidement traduit au score par un écart qui tournait autour des dix points à l'issue du premier quart-temps (20-11). Alors que le Zalgiris opposait une belle résistance, Jaron Blossomgame (déjà 10 points et 5 rebonds à la mi-temps) confirmait sa très bonne forme actuelle pour permettre à son équipe de conserver son avance après 20 minutes (39-29).\n\nX Factor for @ASMonaco_Basket@JaronBgame pic.twitter.com/ZpDVkc3OiG\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) April 4, 2024\n\n\n\nUn 8-0 décisif en début de quatrième quart\n\nAlors que l'on aurait pu s'attendre à voir Monaco repartir fort pour faire rapidement un écart plus important, la maladresse des locaux (seulement 3/18 à trois points) permettait à Keenan Evans (17 points, 3 rebonds, 5 passes décisives) et ses coéquipiers de rester au contact (43-37 à la 25e minute, 51-44 après trois quart-temps). Loin d'être brillants en attaque jusqu'ici, Mike James (18 points, 5 rebonds, 3 passes) et son équipe s'appuyaient sur leur défense de fer pour placer le run tant attendu avec un 8-0 en début de dernière période ! Un écart suffisant pour valider une nouvelle victoire au forceps malgré le retour de Kaunas en fin de match (69-66).\n\nAvec ce 22e succès de la saison en Europe, Monaco fait un grand pas vers le top 4 du classement, synonyme d'avantage du terrain en quarts de finale. Une donnée primordiale, d'autant que la Roca Team est toujours en course pour décrocher la deuxième place du classement, à la lutte avec Barcelone, le Panathinaïkos, le Fenerbahçe et l'Olympiakos. Tout se jouera lors de la dernière journée de la saison régulière, qui verra le club de la Principauté recevoir le Bayern Munich jeudi prochain.\n\nAnother victory for @ASMonaco_Basket #EveryGameMatters pic.twitter.com/j2XVnjfGjA\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) April 4, 2024\n\n\n\n\nBoxscore Monaco - Zalgiris Kaunas / Classement Euroleague
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Euroleague : +29, l'ASVEL pulvérise Valence dans sa salle !
Libérés de tout enjeu sportif en Euroleague, les Villeurbannais se présentaient à Valence avec la volonté de rendre une belle copie pour leur dernière de la saison à l'extérieur. Devant leur président Tony Parker, qui a fait le déplacement pour l'occasion, les hommes de Pierric Poupet ont réalisé une performance qui a dépassé toutes les attentes en livrant une véritable leçon de basket à leur adversaire espagnol (69-98).\n\nL'enjeu était pourtant présent pour Valence, qui pouvait encore mathématiquement se qualifier pour le play-in avec une victoire ce jeudi. Mais rien ne s'est passé correctement pour les Espagnols, dominés dès les premiers instants dans l'intensité par une équipe française bien rentrée dans son match en attaque (19-27). Avec un excellent Nando De Colo à la baguette (19 points, 3 rebonds, 5 passes décisives), bien suppléé par Joffrey Lauvergne (21 points, 7 rebonds, 3 passes décisives), les joueurs du Rhône poursuivaient sur cette voie pour conclure une première mi-temps de très bonne facture avec une belle avance (38-52). Mais ce n'était rien par rapport à ce qui allait se passer au retour des vestiaires...\n\n\nUn troisième quart à sens unique\n\nAlors qu'une réaction était logiquement attendue par une Fonteta qui avait sifflé son équipe à l'issue du deuxième quart-temps, Chris Jones (18 points) et ses coéquipiers allaient au contraire couler dans des proportions invraisemblable : l'ASVEL signait d'abord un 15-0, qui se transformait quelques minutes plus tard en un improbable 27-2 ! De quoi permettre à l'ASVEL de frôler les 40 points d'écart dans le troisième quart-temps (40-79). Sur un nuage et portés par une Marseillaise entonnée par leurs quelques supporters présents en Espagne, les Villeurbannais n'avaient plus qu'à laisser la fin de match se dérouler, desserrant la pression sans pour autant finir en roue libre (69-98).\n\nDÉMONSTRATION COLLECTIVE ! 🤩🤩🤩\n\nNos Villeurbannais s’imposent avec la manière sur le parquet de Valence grâce à une prestation collective impressionnante ! 💪#LDLCASVEL pic.twitter.com/4LSuoqigmC\n\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) April 4, 2024\n\n\nUne performance exceptionnelle qui a presque fait oublier que Nando De Colo a repris la deuxième place du classement des meilleurs marqueurs de l'Euroleague, dépassant la légende Vassilis Spanoulis. De quoi rendre encore plus belle cette mémorable soirée espagnole, qui permet au club de bien finir pour son dernier match européen à l'extérieur. Les Villeurbannais font donc le plein de confiance et tenteront de conclure leur saison d'Euroleague par une nouvelle performance lors de la dernière journée, programmée vendredi prochain. Ce dernier match se jouera contre une autre équipe espagnole, Barcelone, mais à domicile cette fois.\n\n\n\nBoxscore Valence - ASVEL / Classement Euroleague
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Euroleague : Nando De Colo dépasse Vassilis Spanoulis
C’est désormais officiel : les deux meilleurs marqueurs de l’histoire de l’Euroleague jouent en Betclic Elite ! Ce n’est sans doute pas de cette manière qu’il avait imaginé dépasser Vassilis Spanoulis (4 455 points) mais Nando De Colo, auteur de 19 unités dans la démonstration de l’ASVEL à Valence (69-98), est bien de nouveau le deuxième meilleur marqueur de l’Euroleague. Une place de dauphin déjà occupée entre mars 2023 et janvier 2024.\n\nComme un symbole, c’est à la Fonteta de Valence, là où il a disputé ses premiers matches au sein du gotha européen en 2010, que l’Arrageois a franchi le cap après trois lancers-francs réussis.\n\n💫 MOMENT HISTORIQUE : Sur ces 3 lancer-francs, @NandoDeColo dépasse Vassilis Spanoulis et devient ainsi le deuxième meilleur marqueur de l'histoire de l'EuroLeague ! 🤩#SKWEEKLive #EveryGameMatters pic.twitter.com/3MckyZ0tMD\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 4, 2024\n\n\nMike James, qui s’est emparé du record il y a moins d’un mois, garde un matelas d’une cinquantaine de points d’avance... Mais qui sait si le Nordiste, meilleur marqueur de l’histoire des Coupes d’Europe, ne pourra quand même pas atteindre un jour le sommet. Lui à qui l’on avait promis le trône, qui a finalement manqué 13 matches de trop au cœur de la saison et qui reste à une poignée de rencontres de revenir sur le Monégasque.\n\nNANDO EST CHAUD#LDLCASVEL pic.twitter.com/tMG4dky7AN\n\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) April 4, 2024\n\n\n« C’est la deuxième fois que je passe deuxième donc ça fait bizarre. Mais c’est cool ! Au moment du lancer-franc, il y a le banc qui me le rappelle : c’est important, cela montre l’esprit d’équipe », a analysé le Nordiste au micro de Skweek. Lequel a également rendu hommage à Pierric Poupet : « Nous avons la chance d’avoir un coach qui croit tout le temps en nous et qui n’oublie pas de nous dire que nous faisons du bon travail au jour le jour. Le collectif est présent et nous avons su faire le boulot. C’est cool. »\n\nTop 5 des meilleurs marqueurs de l’histoire de l’Euroleague :\n\n 1. Mike James : 4 541 points\n 2. Nando De Colo : 4 472 points\n 3. Vassilis Spanoulis : 4 455 points\n 4. Juan Carlos Navarro : 4 152 points\n 5. Sergio Llull : 3 904 points
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Sasa Obradovic (Monaco) : « Trop tôt pour qu’on se félicite »
Ce vendredi 5 avril, la Roca Team se réveille à la deuxième place du classement de l‘Euroleague. Avec 22 victoires au compteur à une journée de la fin, Monaco est désormais assuré de disputer les playoffs sans avoir à passer par un play-in. La dernière en date face au Zalgiris Kaunas (69-66) n’a pas particulièrement marqué les esprits mais Sasa Obradovic se contente de sa défense et d’avoir respecté le plan de jeu. Le coach monégasque vise déjà un autre succès face au Bayern Munich afin de valider l’avantage du terrain en playoffs.\n\n« C'est encore trop tôt pour qu'on se félicite. Mais on a déjà une victoire de plus que la saison dernière. Attendons le prochain match pour faire le bilan, a-t-il noté dans L'Équipe. C'était une bataille comme on l’attendait : physique et très tactique. Mais on a trouvé un moyen de gagner. On doit être plus intelligents dans certaines situations comme le dernier quart-temps où on doit mieux tenir le résultat. On ne doit pas donner la chance au Zalgiris de revenir dans le match. Il y a de la fatigue mentale, physique chez les joueurs, c’est déjà une longue saison. Et maintenant, il y a beaucoup de pression. On doit gagner et on sait qu'on doit apprendre vite de ces erreurs car en playoffs ou au Final Four, les adversaires les puniront. Le travail n’est pas fini, il nous faut encore aller chercher cette place dans le top 4. L’avantage du terrain est important, on le sait. On doit regarder uniquement ce qu’on fait. »\n\nEn conférence de presse, le coach italien de Kaunas, Andrea Trinchieri, a ajouté qu’il ne fallait « pas à rougir face à cette formation d’un standing Final Four ». Dans un peloton de tête où tout se joue dans un mouchoir de poche, la Roca Team n’aura pas le droit à l’erreurjeudi prochain pour valider sa place dans le top 4.\n\nLe classement de l’Euroleague
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Pro B : Arnaud Marius nouveau manager général de Poitiers
La bonne relation entre Arnaud Marius et le Poitiers Basket 86 s’inscrit dans l'avenir. Consultant du club poitevin depuis la relégation de celui-ci en NM1 en 2021, l’ancien manager général de Gravelines-Dunkerque et directeur sportif de Pau-Lacq-Orthez va retrouver des responsabilités semblables dans la Vienne.\n\nLe PB86 vient d’officialiser son recrutement en tant que manager général à compter de la saison 2024-2025. « Cela va nous permettre de continuer de faire évoluer le club, le structurer et l’organiser encore mieux, notamment au niveau du sportif », note le président Sébastien Guérin.\n\nSon arrivée illustre la volonté du club de poursuivre le développement d’un projet ambitieux tant au niveau économique (2,8 millions d’euros, 10e de Pro B) que sportif, dans le prolongement d’une saison prometteuse (6e après 28 journées dès l’année de sa remontée dans l’antichambre).\n\nAu-delà de ses collaborations avec le BCM et l'Élan Béarnais (avec lequel il a remporté une coupe de France lors de ses 7 mois d’intérim), Arnaud Marius est aussi depuis deux ans scout pour deux franchises NBA, dont les New Orleans Pelicans.\n\n« Je suis très heureux de rejoindre le PB86 à compter de l’été prochain. C’est un club respecté dans le paysage du basket français, avec une histoire déjà riche et qui a tout pour se construire un avenir plein d’ambition et d’innovation. Mon adaptation devrait se faire rapidement de par ma connaissance de la structure du club, favorisée par notre collaboration qui a débuté il y a trois ans. Je remercie Sébastien Guérin, Eric Pinaud et Philippe Lachaume pour leur confiance et j’attends avec impatience de me mettre au service du Poitiers Basket 86 », note l’intéressé dans le communiqué d’annonce.\n\nITW Jonathan Jeanne (Poitiers) : “Il y a quelques années, je n’aurais même pas pu imaginer que cela soit possible”Prospect français attendu en NBA à l’été 2017, Jonathan Jeanne a vu sa carrière menacée après la détection d’une maladie génétique très rare. Le début d’une longue reconstruction pour le pivot de 26 ans, qui nous raconte les nombreuses étapes de son sinueux parcours jusqu’à Poitiers, où il renait.BasketEurope.comValentin Perrot
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Vidéo : le game winner de Nicolas Laprovittola qui envoie Barcelone en playoffs
Comme Monaco, le FC Barcelone a mathématiquement validé sa place en playoffs d’Euroleague. Jeudi soir, c’est l’Argentin Nicolas Laprovittola (15 points à 3/7 à 3-points et 9 passes décisives) qui a joué les héros en inscrivant le tir primé victorieux sur le museau d’Antonius Cleveland à 5,2 secondes du buzzer contre le Maccabi Tel-Aviv (92-89).\n\nNICOLAS LAPROVITTOLAAAAAA 🔥\n\nLe @FCBbasket prend l'avantage à seulement 5 secondes de la fin ! 🦾#SKWEEKLive #EveryGameMatters pic.twitter.com/06B6Jp3te0\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 4, 2024\n\n\nCe shoot scelle le sort du top 6 composé du Real Madrid, assuré de la première place, Monaco, Barcelone, le Panathinaïkos, l’Olympiakos et Fenerbahçe. Ces six armadas verront les playoffs. Reste à déterminer l'ordre de passage. En revanche, le Maccabi Tel-Aviv est certain de terminer 7e et disputera donc le play-in dans les meilleures conditions... si ce n'est que les Israéliens ne pourront pas le partager avec leur public.\n\nLe classement de l’Euroleague
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Mi-temps avec... Aleksej Nikolic (Chalon) : \J'aime être celui qui prend ses responsabilités\
QT1 – Dans le rétroviseur\n\n\n\Gagner un titre avec son pays, c'est l'accomplissement ultime !\\n\nIl y a trois ans, vous avez joué en France pour la première fois, avec Gravelines-Dunkerque. Que retenez-vous de cette saison?\n\nTout d'abord c'était probablement l'une des saisons les plus difficiles de ma carrière, pour trois raisons. La première, c'est que je revenais d'une blessure, après une opération de la hanche. Ensuite, le calendrier était vraiment compliqué puisque l'on a dû jouer 24 matches en trois mois. Mais le pire de tout cela, c'est qu'il y avait encore le Covid. On était simplement autorisés à jouer au basket et à rentrer à la maison. C'est le souvenir que je garde de cette saison. Mais j'étais reconnaissant envers le club de Gravelines qui m'a donné ma chance. J'ai entretenu de bonnes relations avec les gens là-bas. Cette saison, on était heureux de se recroiser et de se donner des nouvelles. C'était évidemment une bonne expérience.\n\nDepuis le début de votre carrière, vous avez beaucoup voyagé en jouant pour 11 clubs et en passant par six pays différents. C’était quelque chose que vous vouliez?\n\nJe ne sais pas vraiment... Je pense que j'ai juste suivi là où mon parcours de basketteur m'a mené. Evidemment, peu importe où je suis allé, c'était toujours ma décision. Peut-être qu'inconsciemment, voyager était quelque chose que je souhaitais. J'ai effectivement connu beaucoup d'expériences, et je dois dire que qu'elles ont toutes été uniques, à leur façon. Je suis très heureux d'avoir connu tout cela.\n\nVous avez fait partie de la sélection slovène qui a remporté l’EuroBasket 2017. Qu’est-ce que ce titre représente pour vous?\n\nC'est évidemment la plus grande réussite de ma carrière, quelque chose que l'on ne peut pas comparer avec ce qui se passe en club. Pour moi, l'équipe nationale et la carrière en club sont deux choses bien différentes. Je pense que gagner un titre avec son pays, c'est l'accomplissement ultime ! On a attendu cela pendant tellement longtemps... On avait des joueurs talentueux, de très bonnes équipes, mais on ne gagnait jamais de médailles. Cette année-là, notre but était d'en avoir une, pas forcément de remporter la compétition. Mais la tournure des choses nous a permis de le faire, et je pense que c'était vraiment mérité. C'est quelque chose dont je suis très fier.\n\nLe coach qui vous a le plus marqué dans votre carrière?\n\nOh, question difficile... (il hésite) Je dirais Marco Trbic, mon entraineur lors de mon passage en Bosnie-Herzégovine, à Sarajevo. Il a eu un impact au niveau de ma discipline de travail, pour bosser sur les choses importantes. Et je m'y tiens encore aujourd'hui. Mais je dois aussi donner un autre nom, celui du coach de l'équipe de Slovénie quand on a gagné l'EuroBasket, Igor Kokoskov.\n\nLe coéquipier qui vous a rendu meilleur?\n\nJe pourrais en citer beaucoup. Le premier, c'est Nikos Zisis, avec qui j'étais à Bamberg (entre 2015 et 2018). C'était comme un grand frère pour moi, il était toujours là pour m'aider. Le fait de travailler avec lui et d'être son coéquipier était un vrai privilège pour moi à l'époque. Je peux aussi citer Nicolo Melli (également côtoyé à Bamberg) et David Logan (à Trévise, en Italie).\n\nPourquoi portez-vous le numéro 5 à Chalon?\n\nHonnêtement, il n'y a pas une raison en particulier. En équipe nationale, je porte le numéro 6 parce que le 5 n'était pas disponible. Ils m'ont juste donné ce numéro pour ma première sélection parce que c'était l'un des seuls qui restait, et je l'ai gardé. Mais le 5, c'est l'un de mes numéros préférés. J'en ai aussi porté d'autres au cours de ma carrière.\n\nLa routine dont vous ne pouvez pas vous passer avant un match?\n\nChacun à ses propres habitudes. J'essaye d'avoir le même régime alimentaire à chaque jour de match, ce que beaucoup d'autres gars font aussi. J'écoute de la musique, j'essaye de me détendre pour préparer au mieux le match. Je ne fais rien de fou, j'essaye de ne pas me compliquer la vie. Après, encore une fois, chacun voit les choses à sa manière.\n\nVotre record de tirs à trois points d’affilée à l’entrainement?\n\nJe pense que mon record est de 39 tirs à trois-points réussis d'affilée. Je l'ai réalisé quand j'étais à Bamberg. J'essaye toujours de le battre, je n'y suis pas encore arrivé mais en même temps, c'est compliqué ! Je ne suis pas passé loin en atteignant plusieurs fois les 30, mais jamais suffisamment pour faire mieux.\n\n\n\n\nQT2 – Au révélateur\n\n\n\La Betclic Elite progresse, et je pense que cela va continuer\\n\nVous êtes revenu en France cette saison en signant à Chalon. Comment vous sentez-vous ici?\n\nJ'ai une expérience un peu différente de mon premier passage en France, durant lequel il y avait le Covid. C'est la première fois que je peux vraiment expérimenter la vie dans le pays. J'apprécie beaucoup les vins et la gastronomie, mais dans une région comme celle-là, je pense que ce n'est pas difficile. D'un point de vue général, je dirais que la France est un immense pays, les déplacements sont longs. Mais je suis le genre de personnes qui savent s'adapter, j'essaye de m'ajuster du mieux possible pour me mettre dans une situation de confort.\n\nQue pensez-vous de la saison réalisée par votre équipe jusqu'ici?\n\nIl y a eu beaucoup de hauts et de bas. Evidemment, on aurait tous voulu gagner plus de matches et se retrouver dans une meilleur position que celle qu'on occupe actuellement. Des rencontres importantes arrivent pour nous. Il y a des moments où l'on jouait bien, où l'on sentait qu'on pouvait jouer les yeux dans les yeux avec tout le monde, et d'autres où nous n'étions pas dans un bon jour. Il s'agit juste de trouver un moyen d'être le plus régulier possible, sans trop de hauts et de bas.\n\nEt d'un point de vue individuel ?\n\nJe dispose de beaucoup de responsabilités et de temps de jeu avec un rôle important. C'est ce que je souhaitais quand j'ai pris la décision de venir ici. En général, j'aime dire que je veux gagner plus de match, être celui qui prend ses responsabilités. Là, j'ai l'impression que j'aurais dû faire un meilleur travail. Mais en même temps, je pense avoir fait le maximum à chaque match, donc je ne peux pas avoir de regrets. Après, on peut quand même réfléchir à ce que j'aurais pu mieux faire. J'essaye d'apprendre de la façon dont j'ai joué, des erreurs que j'ai faites, et de m'améliorer pour le match suivant.\n\nVotre coéquipier le plus bosseur?\n\nHonnêtement, c'est toute l'équipe qui travaille très dur. Ressortir un seul nom ne serait pas juste pour les autres gars. J'apprécie vraiment l'implication de tous mes coéquipiers. Je dois souligner que chacun d'eux est dévoué pour s'améliorer un peu plus chaque jour.\n\nLe plus drôle?\n\nJe pense que c'est Olivier Cortale. Il a un sens de l'humour que j'apprécie. Et il y a aussi son anglais, avec l'accent français, qui rend cela un peu plus amusant (rire).\n\nQue pensez-vous du niveau de la Betclic Elite actuellement? \n\nSi je compare à ce que j'ai connu à Gravelines, je peux dire que le niveau est bien plus élevé maintenant. C'est un championnat très compétitif, cette année encore plus que les précédentes avec les trois relégations en fin de saison. Beaucoup d'équipes essayent de les éviter en ajoutant des nouveaux joueurs pour améliorer leurs effectifs. Cela rend le championnat plus intéressant. La Betclic Elite progresse, et je pense que cela va continuer. Paris et Bourg ont été en finale de l'Eurocup et il pourrait y avoir trois équipes françaises en Euroleague l'année prochaine, l'avenir va être intéressant à suivre.\n\nQui est le meilleur défenseur que vous avez affronté cette saison?\n\nJ'ai rencontré plusieurs très bons défenseurs, mais s'il fallait ne donner qu'un nom, je dirais Paris Lee. Face à lui, c'est très difficile, il a des mains très actives et il faut toujours avoir en tête qu'il est là. Il fait tout pour te rendre la vie difficile.\n\nLe meilleur joueur du championnat ?\n\nJe pense forcément à Mike James, qui réalise une grande saison. Mais je dois aussi citer T.J. Shorts. Il mène vraiment son équipe sur le bon chemin. Ce sont les deux noms qui me viennent à l'esprit.\n\nLes fans les plus fervents?\n\nHonnêtement, je pense que ce sont les nôtres. Ils sont très impliqués, je crois qu'ils ont rempli la salle pour la 9e fois d'affilée. Ils continuent de venir nous soutenir quelle que soit la situation, quels que soient les résultats. Je dois les remercier et leur dire qu'en tant qu'équipe, on apprécie beaucoup cela. Cela nous rend meilleurs de les savoir derrière nous.\n\n3⃣➕1⃣ pour Aleksej Nikolic qui rappelle à tout le monde pourquoi il est All-Star ! ⭐️@ELANCHALON x @LNBofficiel #SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/q4VvwXkF7o\n\n— SKWEEK (@skweektv) January 28, 2024\n\n\n\n\n\nQT3 – Dans le viseur\n\n\n\Je joue pour donner le meilleur de moi-même et gagner autant que possible\\n\nSelon vous, qui remportera la Betclic Elite cette saison ?\n\nMonaco est évidemment le grand favori, mais il y aura peut-être des surprises. L'ASVEL sera sûrement là, ils ont beaucoup de qualités. Il y a aussi Paris et Bourg. Pour moi, ces quatre équipes sont les meilleures de cette saison. Mais avec son effectif et son style de jeu, je pense que Monaco est bien parti pour remporter le championnat.\n\nSeriez-vous prêt à découvrir un nouveau championnat, un nouveau pays à l'avenir ?\n\nComme je l'ai déjà dit, mon parcours de basketteur m'a mené dans plusieurs pays différents. Mes décisions ont toujours été basées sur le fait de trouver une bonne situation pour moi, peu importe où j'allais. Si une proposition vient d'un pays dans lequel je n'ai pas encore joué, on verra à ce moment-là. Cela dépendra avant tout de ce que l'on va me proposer.\n\nLe titre que vous rêveriez de remporter ?\n\nTout le monde veut jouer au plus haut niveau possible. En Europe, cela correspond à l'Euroleague. Si je devais citer le titre le plus prestigieux que je voudrais remporter, je parlerais donc de celui-là, c'est évident. Je joue pour donner le meilleur de moi-même et pour gagner autant que possible. C'est mon but principal, peu importe où je joue.\n\nLe 3x3, c'est quelque chose qui pourrait vous intéresser ?\n\nNon, pas vraiment. Je pense que ce n'est pas quelque chose pour moi. Disons que ça ne correspond pas à mon style de jeu. Je ne pense pas du tout à cette possibilité pour le futur.\n\nVotre meilleur ami dans le basket ?\n\nMon meilleur ami, c'est compliqué, j'ai beaucoup d'amis... Je peux à nouveau citer Nikos Zisis, on est toujours en contact aujourd'hui, on discute régulière de tout et de rien. Dans le basket, c'est sans doute la personne dont je suis le plus proche.\n\nSi vous n'étiez pas devenu basketteur professionnel, qu'auriez-vous fait de votre vie ?\n\nC'est une question intéressante... Je serais peut être devenu joueur de tennis. Je ne suis pas vraiment l'actualité de ce sport de près, mais j'aime beaucoup le pratiquer.\n\nEn dehors du basket, vous avez une autre passion ?\n\nRien de particulier, je suis quelqu'un de très passionné par ce qu'il fait et je me focalise vraiment sur le basket. Sinon, j'écoute aussi beaucoup de musique, je regarde des films et des séries, mais je pense que beaucoup d'autres gens font aussi cela. Une autre chose que j'apprécie, c'est la cuisine. Mais je ne suis pas un grand chef (rire). Je ne suis pas Gordon Ramsay (un célèbre chef britannique, également présentateur de plusieurs émissions de cuisine à la télévision), mais j'aime me faire un bon repas. Ma copine est également une bonne cuisinière, donc je mange assez bien.\n\n\n\n\nQT4 – Le quiz... Au buzzer\n\nL'Elan Chalon a remporté deux fois le titre de champion de France. De quelle année date son dernier sacre?\n\n2017 ?\n\nBonne réponse.\n\nLequel de vos coéquipiers a joué dans onze pays différents depuis le début de sa carrière?\n\nOnze pays différents ? Ça doit être Demonte, non ?\n\nBonne réponse, Demonte Harper a joué aux Etats-Unis, en Croatie, en Biélorussie, en Italie, en Pologne, en Estonie, en Russie, en Turquie, en Espagne, en Israël et en France.\n\nLequel de vos coéquipiers est né à Chalon-sur-Saône?\n\nMissonnier ?\n\nBonne réponse, Mathieu Missonnier est né à Chalon-sur-Saône le 10 octobre 1997.\n\nQuel est le surnom de votre coéquipier Antoine Eito?\n\nJe ne sais pas du tout, il n'a pas de surnom dans le vestiaire, on l'appelle juste Antoine.\n\nIl s'agissait de \Mister Big Shot\\n\nC'est vrai que ça a du sens, il met des gros tirs ! Je vais m'en rappeler maintenant.\n\nQui est le dernier joueur à avoir porté le numéro 5 à Chalon avant votre arrivée?\n\n(Il réfléchit) Je sais que Malcolm Delaney (passé par Chalon en 2011-12) a porté ce numéro, mais ça ne doit pas être le dernier. Si c'est un joueur français, c'est peut-être... Harley ?\n\nBonne réponse, il agissait bien de Kevin Harley, l'arrière de Poitiers, qui évoluait à Chalon la saison dernière.\n\nJe me souviens que j'ai déjà joué contre lui il y a trois ans, quand il jouait à Boulazac.\n\nDans quel club votre coach Savo Vucevic évoluait-il avant de venir à Chalon?\n\nIl était à Bourg ! Pendant cinq saisons, il me semble ?\n\nBonne réponse, entre 2016 et 2021.\n\nContre quelle équipe avez-vous marqué votre plus grand nombre de points en un match en France?\n\nContre Strasbourg, 24 points.\n\nBonne réponse.\n\nL’un des meilleurs joueurs de cette saison en Euroleague a été formé à Chalon. De qui s’agit-il?\n\nAttendez... (il hésite). Ça doit donc être un joueur français... Peut-être Lessort ?\n\nBonne réponse, il s'agissait bien de Mathias Lessort.\n\nQui détient le record de points sur un seul match cette saison dans le championnat de France?\n\nIl est possible que ce soit Holston, qui avait mis 36 points contre nous.\n\nMauvaise réponse, il s'agissait de Nadir Hifi, qui a inscrit 35 points contre Nancy et dépassé les 34 unités de David Holston face à Chalon.\n\nCombien de titres d’Euroleague les clubs français ont-ils remporté dans leur histoire ?\n\nUn seul. C'est Limoges en 1993, avec Jure Zdovc et Bozidar Maljkovic\n\nBonne réponse.\n\n\nScore : 8/10\n\nUn excellent résultat !
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Euroleague : l’ASVEL s'empare du record de la série la plus longue !
C’est hautement improbable mais en gagnant de 29 points à Valence, l’ASVEL a obtenu sa plus large victoire à l’extérieur en Euroleague depuis... le 9 janvier 2002 (99-65) à Pesaro. C’est un succès historique bien au-delà du fait que Nando De Colo soit repassé deuxième meilleur scoreur de la compétition, en surpassant Vassilis Spanoulis.\n\nEn effet, l’ASVEL a construit sa huitième victoire de la saison sur une série historique : un 25-0 passé à cheval entre le deuxième et le troisième quart-temps pour passer de +6 à +31 (de 44-38, 17e, à 69-38, 26e). Comme sur un nuage !\n\nSelon le statisticien Darius Garuolis, qui prend en compte cette data depuis la saison 2007-2008, il s’agit tout simplement de la plus longue série de l’histoire de l’Euroleague. Le précédent record (+24) était co-détenu par Malaga et le Zénith Saint-Pétersbourg !\n\n🇫🇷 ASVEL breaks the #EuroLeague record with a 25-0 run. 😱 pic.twitter.com/iKxWflW3LD\n\n— Darius Garuolis (@DariusGaruolis) April 5, 2024\n\n\n\nLa défaite de trop pour Alex Mumbru\n\nAvant d'être démis de ses fonctions ce vendredi matin, le coach de Valence était apparu désemparé en conférence de presse. Alex Mumbru, en manque de solutions intérieures en raison d’une multitude de blessures, termine donc sur une fausse note, qu'il considère comme le pire match de la saison.\n\n“Je dois des excuses à nos supporters. Je comprends que les gens ne soient pas satisfaits. Nous sommes gênés par ce résultat. C’était le pire match de la saison. Nous avions beaucoup de pression, et ils n’en avaient aucune. L’équipe s’est brisée. Nous nous sommes effondrés au troisième quart, nous n'étions pas dans le rythme, nous étions anxieux. Nous n’avons pas été à la hauteur de ce que La Fonteta attendait. Finir cette saison d’Euroleague est très difficile, le play-in n’est pratiquement plus envisageable désormais. Il faudra gagner face au Partizan Belgrade et prier mais nous n’avons plus notre destin en mains. Il faudra montrer la meilleure version de cette équipe, ce que nous n’avons pas montré aujourd’hui, et aussi se concentrer sur l’ACB qui est un objectif important.”\n\nToujours est-il que l’ASVEL détient un record en Euroleague. Une preuve que tout n’est pas à jeter sur cette fin de saison.
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Dossier - U21 en Europe : Le Mega MIS et le Ratiopharm Ulm au-dessus, la belle surprise Blois\n\nVoici l’heure de l’analyse de toutes ces données sur les U21 en Europe. En commençant par les équipes qui font le plus et le mieux appel à ces jeunes joueurs. Si les deux premiers font figure d’habitués, le troisième, Blois, est une sacrément belle surprise.\n\nDossier - U21 en Europe : Le Mega MIS et le Ratiopharm Ulm au-dessus, la belle surprise BloisVoici l’heure de l’analyse de toutes ces données sur les U21 en Europe. En commençant par les équipes qui font le plus et le mieux appel à ces jeunes joueurs. Si les deux premiers font figure d’habitués, le troisième, Blois, est une sacrément belle surprise.BasketEurope.comBruno Ferret\n\n\n\n\nEdito : L’Euroleague incompatible avec le basket français?\n\nJeudi soir se jouait ASVEL Monaco en Euroleague. Ce qui aurait dû être une affiche de gala pour célébrer les deux meilleures équipes françaises au plus haut niveau européen s’est tenue dans un contexte qui soulève beaucoup de questions.\n\nEdito : L’Euroleague incompatible avec le basket français?Jeudi soir se jouait ASVEL Monaco en Euroleague. Ce qui aurait dû être une affiche de gala pour célébrer les deux meilleures équipes françaises au plus haut niveau européen s’est tenue dans un contexte qui soulève beaucoup de questions.BasketEurope.comMathieu Rey\n\n\n\n\nDossier - U21 en Europe : Et le MVP est...\n\nPour finir notre analyse, voici la présentation des meilleurs U21 par classe d’âge, de 2006 à 2002, ainsi que les deux premiers cinq majeurs, toutes générations confondues. Sans oublier, bien sûr, une surprise dans la course au titre (officieux) de MVP U21 d’Europe.\n\nDossier - U21 en Europe : Et le MVP est...Pour finir notre analyse, voici la présentation des meilleurs U21 par classe d’âge, de 2006 à 2002, ainsi que les deux premiers cinq majeurs, toutes générations confondues. Sans oublier, bien sûr, une surprise dans la course au titre (officieux) de MVP U21 d’Europe.BasketEurope.comBruno Ferret\n\n\n\n\nLes Français de l'étranger : Vincent Poirier en mode MVP, Pacôme Dadiet confirme\n\nLa performance de MVP de Vincent Poirier, la confirmation Pacôme Dadiet, le duel entre Hugo Besson et le duo Axel Bouteille - Jerry Boutsiele en FIBA Europe Cup... Retrouvez les principaux enseignements de la dernière semaine chez les Français de l'étranger.\n\nLes Français de l’étranger : Vincent Poirier en mode MVP, Pacôme Dadiet confirmeLa performance de MVP de Vincent Poirier, la confirmation Pacôme Dadiet, le duel entre Hugo Besson et le duo Axel Bouteille - Jerry Boutsiele en FIBA Europe Cup... Retrouvez les principaux enseignements de la dernière semaine chez les Français de l’étranger.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\n\n\nAlain Weisz raconte l'arrivée et l'impact de Victor Wembanyama aux Mets\n\nFort de ses expériences de coach de l’équipe de France (2000-2003), de plusieurs équipes d’élite, puis de Directeur des Opérations Sportives aux Metropolitans de Boulogne-Levallois, Alain Weisz a écrit un ouvrage intitulé «Mes secrets de coach».\n\nAlain Weisz raconte l’arrivée et l’impact de Victor Wembanyama aux MetsFort de ses expériences de coach de l’équipe de France (2000-2003), de plusieurs équipes d’élite, puis de Directeur des Opérations Sportives aux Metropolitans de Boulogne-Levallois, Alain Weisz a écrit un ouvrage intitulé «Mes secrets de coach».BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\n\n\nAlain Weisz et l’éclosion soudaine de Bilal Coulibaly\n\nFort de ses expériences de coach de l’équipe de France (2000-2003), de plusieurs équipes d’élite, puis de Directeur des Opérations Sportives aux Metropolitans de Boulogne-Levallois, Alain Weisz a écrit un ouvrage intitulé «Mes secrets de coach».\n\nAlain Weisz et l’éclosion soudaine de Bilal CoulibalyFort de ses expériences de coach de l’équipe de France (2000-2003), de plusieurs équipes d’élite, puis de Directeur des Opérations Sportives aux Metropolitans de Boulogne-Levallois, Alain Weisz a écrit un ouvrage intitulé «Mes secrets de coach».BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\n\n\n\nITW Jonathan Jeanne (Poitiers) : \Il y a quelques années, je n'aurais même pas pu imaginer que cela soit possible\\n\nProspect français attendu en NBA à l'été 2017, Jonathan Jeanne a vu sa carrière menacée après la détection d'une maladie génétique très rare. Le début d'une longue reconstruction pour le pivot de 26 ans, qui nous raconte les nombreuses étapes de son sinueux parcours jusqu'à Poitiers, où il renait.\n\nITW Jonathan Jeanne (Poitiers) : “Il y a quelques années, je n’aurais même pas pu imaginer que cela soit possible”Prospect français attendu en NBA à l’été 2017, Jonathan Jeanne a vu sa carrière menacée après la détection d’une maladie génétique très rare. Le début d’une longue reconstruction pour le pivot de 26 ans, qui nous raconte les nombreuses étapes de son sinueux parcours jusqu’à Poitiers, où il renait.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\n\n\nMaxime Courby et Bourg en finale de l'Eurocup : “Il y a 9 ans, on galérait en Pro B”\n\nLa JL Bourg disputera sa première finale de Coupe d’Europe contre Paris. Alors qu’il n’avait pas joué la moindre minute en playoffs, Maxime Courby a porté le coup fatal à Besiktas dans le moneytime du match 3 de la demie. Réaction du plus ancien des Bressans, qui est arrivé en 2015.\n\nITW Maxime Courby et Bourg en finale de l’Eurocup : “Il y a 9 ans, on galérait en Pro B”La JL Bourg disputera sa première finale de Coupe d’Europe contre Paris. Alors qu’il n’avait pas joué la moindre minute en playoffs, Maxime Courby a porté le coup fatal à Besiktas dans le moneytime du match 3 de la demie. Réaction du plus ancien des Bressans, qui est arrivé en 2015.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nFrédéric Fauthoux, une première finale européenne avec Bourg : “On a envie d’aller plus loin”\n\nÀ 51 ans, Frédéric Fauthoux va vivre sa première finale de Coupe d’Europe. Le coach de la JL Bourg raconte la qualification face à Besiktas... et s’offusque du calendrier de la LNB, avec la réception de Blois programmée dimanche, deux jours avant le lancement de la finale d’Eurocup contre Paris.\n\nITW Frédéric Fauthoux, une première finale européenne avec Bourg : “On a envie d’aller plus loin”À 51 ans, Frédéric Fauthoux va vivre sa première finale de Coupe d’Europe. Le coach de la JL Bourg raconte la qualification face à Besiktas... et s’offusque du calendrier de la LNB, avec la réception de Blois programmée dimanche, deux jours avant le lancement de la finale d’Eurocup contre Paris.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nITW Valériane Ayayi (Prague) avant le Final Four de l'Euroleague : “On se souvient que Villeneuve d’Ascq nous a battus”\n\nAprès deux échecs en demi-finale avec Prague, Valériane Ayayi va tenter d’accéder à sa première finale d’Euroleague lors du Final Four de Mersin. L'internationale tricolore devra d'abord passer l’obstacle Villeneuve d’Ascq, le club avec lequel elle a été championne de France en 2017. Entretien.\n\nITW Valériane Ayayi (Prague) avant le Final Four de l’Euroleague : “On se souvient que Villeneuve d’Ascq nous a battus”Après deux échecs en demi-finale avec Prague, Valériane Ayayi va tenter d’accéder à sa première finale d’Euroleague lors du Final Four de Mersin. L’internationale tricolore devra d’abord passer l’obstacle Villeneuve d’Ascq, le club avec lequel elle a été championne de France en 2017. Entretien.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\n\n
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Frédéric Fauthoux aurait décliné la proposition de l’ASVEL et devrait prolonger à Bourg
Si son nom a été évoqué à l’ASVEL, Frédéric Fauthoux ne reviendra pas à Villeurbanne. Selon les informations du Progrès, confirmées par L’Équipe, le Landais, ancien assistant de T.J. Parker entre 2020 et 2022 et sollicité pour revenir cette fois-ci en tant que coach principal, a décliné la proposition villeurbannaise. Il serait sur le point de prolonger de trois ans avec la Jeu.\n\nL’ancien international tricolore aurait donc fait le choix de la stabilité. Cela va dans le sens des propos du président bressan, Julien Desbottes, qui disait être “confiant” au sujet de cette prolongation. Sous les ordres de Freddy Fauthoux, la Jeu a disputé sa première demi-finale de Betclic Elite en 2023 et est actuellement troisième ex-aequo au classement du championnat de France.\n\nQualifiée il y a moins de 48 heures pour sa première finale de Coupe d’Europe, la JL Bourg avance ainsi avec sérénité. Un triomphe contre Paris offrirait au club de l’Ain une invitation en Euroleague.\n\nLe quotidien local précise que l’ASVEL n’a pas - encore - formulé d’offre à Pierric Poupet, le coach intérimaire, à qui il reste encore deux années de contrat en tant qu'assistant, soit jusqu’en juin 2026.\n\nITW Frédéric Fauthoux, une première finale européenne avec Bourg : “On a envie d’aller plus loin”À 51 ans, Frédéric Fauthoux va vivre sa première finale de Coupe d’Europe. Le coach de la JL Bourg raconte la qualification face à Besiktas... et s’offusque du calendrier de la LNB, avec la réception de Blois programmée dimanche, deux jours avant le lancement de la finale d’Eurocup contre Paris.BasketEurope.comClément Carton
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ITW Christophe Vitoux (GM Villeneuve d’Ascq): «Dans le basket féminin, plus on va loin et plus ça nous coûte»
Saviez-vous que Christophe Vitoux a été l’entraîneur de la SIG Strasbourg - on parle bien des garçons - qu’il l’a fait monter en Pro A en 99, qu’il fut nommé entraîneur de l’année en Pro B cette saison-là et qu’il récidiva en Pro A en 2000? Un fait unique. Le Denaisien fut également l’adjoint d’Alain Weisz en équipe de France pour 22 matches en 2001-2002.\n\nEt pourtant, sa carrière de coach à haut niveau fut éphémère. Il compléta ses études avec une Maîtrise du droit et d’économie du sport à Limoges avant d’embrayer sur différents postes dans sa région: président délégué du club de volley de Tourcoing, le TLM, Directeur Général du Stade Couvert de Liévin, de la Pévèle Arena d’Orchies, et après avoir bifurqué par le club d’Orchies et celui de Denain, il remplaça Valentin Cavelier à Villeneuve d’Ascq comme manager général en juillet 2018. C’est ainsi l’un des rares transfuges du basket masculin pro au basket féminin. Lors de son arrivée, l’ESBVA parvint tout juste à se maintenir en Ligue Féminine. Depuis, le club nordiste a fait son chemin au point d’avoir terminé en tête la saison régulière 2023-24 de LFB et de se retrouver au Final Four de l’Euroleague. Une grande première.\n\n« Les gens se disent qu’il faut une Arena sur la métropole lilloise à moyen terme »\n\nLa candidature de l’ESBVA au Final Four a-t-elle donné un élan supérieur au basket dans la région?\n\n\Exactement. Ça fait plusieurs saisons que l’on est en constante progression notamment sur les trois dernières années où l’on fait second, premier ex-aequo, demi-finaliste de l’Eurocup l’année dernière face à l’ASVEL, et cette année avec la première place en championnat et la qualification au Final Four.\n\nÀ un moment donné, on commence à être pris au sérieux, crédible auprès du public, des partenaires privés et des institutionnels. Ce dossier de candidature a été réfléchi. On a notre Palacium qui a été rénové, qui peut accueillir 2 300 personnes et qui est complet depuis dix-huit mois. On a eu jusqu’à 8 000 demandes pour le quart-de-finale d’Euroleague face au DVTK Miskolc, face à l’ASVEL et Bourges. On a aussi le grand stade de Lille qui peut accueillir 30 000 personnes mais le coût est très élevé et à l’époque, le LOSC pouvait hypothétiquement jouer aux mêmes dates pour un match de coupe d’Europe. Et ça s’est confirmé.\n\nOrchies est à 25 minutes de Lille mais sans être sur le territoire de la MEL. La ville de Villeneuve d’Ascq et la Mel, qui sont avec le Conseil Régional des Hauts-de-France et le Conseil Départemental du Nord les collectivités qui nous soutiennent sans faille depuis quelques saisons, ont une réflexion à ce sujet, et on a eu la chance que le président de la Communauté de Communes, qui détient la Pévèle Arena d’Orchies, nous a sollicité et proposer gracieusement la mise à disposition de cette salle. Ça a tout déclenché. Il y a eu un dossier solide qui a été déposé... C’est Mersin qui a été retenu. A priori, ça faisait trois ans qu’ils déposaient des dossiers d’organisation de la phase finale...\n\nNous aussi, on déposera des dossiers sur les trois prochaines saisons! (sourire) Mais ça veut dire qu’il y a eu un consensus pour nous accompagner. On sent bien que ce sera la condition sine qua non pour nous stabiliser et progresser dans le futur. Il faut savoir que dans le basket féminin, plus on va loin et plus ça nous coûte. Il n’y a pas de transferts, de prize money si on est champion ou autre. On se rend compte que se développer passe par la billetterie avec de grandes affluences. La réflexion de la construction d’une grande Arena comme dans toutes les grandes agglomérations françaises a été levée, les gens se disent qu’il faut une Arena sur la métropole lilloise à moyen terme.\n\nQui serait pour vous, pour le club lillois de Pro B masculine?\n\nLe Palacium a été rénové et convient parfaitement pour 80% des matches. C’est un vrai chaudron, il y a une ferveur populaire extraordinaire. Mais l’année dernière, à l’Astroballe, sur les phases finales, alors que nous on était sur une salle de 2 300, ils ont fait eux deux fois 7 000 personnes sans invitations. Forcément, la différence au niveau de l’économie se fait là-dessus. Si dans une année, on peut faire 4-5 matches dans une Arena de 8 à 10 000, ça serait extraordinaire pour pouvoir gonfler l’économie. Il faut voir l’impulsion que Tony Parker a pu donner sur le basket masculin et féminin, les gens viennent au spectacle à la LDLC Arena, et c’est à nous de faire la même chose avec le TLM en volley qui pourrait l’utiliser et un jour, espérons, un club de basket masculin aussi. Et également forcément d’autres évènements sportifs régionaux et des concerts. Cet équipement manque cruellement sur la Métropole car entre un stade de 30 000 et une salle de 2 300, il n’y a pas d’intermédiaire.\n\nY a-t-il un début de projet?\n\nNon, c’est une idée qui est maintenant dans la tête de tout le monde, une prise de conscience, et c’est l’héritage que les Jeux Olympiques peuvent nous donner. Après les JO, cette dynamique doit se poursuivre. Un campus olympique a été créé et va servir aux sportifs régionaux pour la suite, au niveau de l’hébergement, pour l’ensemble des clubs sportifs de la Métropole. Nous, on y mettra des joueuses du Centre de Formation. Et donc il y a cette réflexion qui doit aboutir à la création de cette Arena. La Région en a besoin pour plus tard. On se rend compte que l’économie du basket masculin et féminin va changer. Les collectivités sont au maximum de leur accompagnement. Au niveau des partenaires privés, on est au maximum de ce que la salle peut faire. Pareil pour le public. Pour progresser, il faut donc aller chercher une économie de billetterie.\n\n«On s’était tous mis à rêver d’organiser ce Final Four vingt-deux ans après le sacre de l’USVO à Liévin»\n\nEst-ce que participer au Final Four de l’Euroleague s’avère rentable financièrement pour le club?\n\nÇa coûte forcément de l’argent, ne serait-ce que le déplacement pour la délégation à faire au dernier moment, les primes d’équipe, mais on a la chance que les collectivités aient pris conscience de la performance que l’on réalise à ce niveau-là depuis trois saisons. Quand on a obtenu la qualification au troisième match en quart-de-finale contre DVTK Miskolc dans une ambiance des plus hostiles, tout le monde a pris conscience de la performance. Il y a un vrai accompagnement, mais la saison d’Euroleague nous coûte.\n\nIl n’y a pas de bonus de la part de la FIBA pour les demi-finales ou le champion d’Europe?\n\nNon.\n\nRetrouve-t-on un engouement comparable à celui de Valenciennesquand l’USVO a été deux fois championne d’Europe ?\n\nC’est exactement ça. Le club de Villeneuve d’Ascq a été longtemps une petite sœur de l’USVO et ça fait maintenant plus de 20 ans qu’il est en Ligue Féminine. On a des gens nostalgiques qui se retrouvent dans la communion entre le public et son équipe. Je suis originaire de Denain et j’ai vécu ces moments-là. J’étais à Strasbourg lorsqu’il y a eu la finale au Stade Couvert de Liévin (en 2002), j’ai suivi ça avec attention, et le coup du sort c’est qu’ensuite j’en ai été le directeur. C’est pourça que l’on s’était tous mis à rêver d’organiser ce Final Four vingt-deux ans après le sacre de l’USVO à Liévin.\n\nEntre les différents staffs, les VIP et les supporters, combien de gens allez-vous emmener en Turquie?\n\nOn est une grosse quinzaine en commando à partir pour toute la semaine sur les bords de la Méditerranée, face à la Syrie. On y est déjà allé en décembre juste avant Noël pour s’imposer là-bas. On sera rejoint pour la demi-finale par une dizaine de personnes. La mairie va organiser des retransmissions gratuites au Palacium pour nos VIP et le grand public le 12, à partir de 12h30, prise d’antenne à 14h30 pour un match à 15h.\n\n«Un autre élément essentiel, c’est Shavonte Zellous. Elle mériterait un article à elle toute seule»\n\nLe coach Rachid Méziane a joué un rôle fondamental dans l’ascension de l’ESBVA?\n\nIl est arrivé en 2019 pour les playdowns et il y a eu depuis une progression constante. Une avancée de ce club vraiment remarquable avec le travail effectué par Rachid Méziane et Antonio De Barros (NDLR: l’assistant-coach). Il y a une grande maîtrise, on ne fait pas n’importe quoi.\n\nVotre meilleure joueuse, Kennedy Burke, ne participera pas à l’ensemble des playoffs de Ligue Féminine avec l’ESBVA. Comment s’est effectué le deal avec elle?\n\nKennedy Burke est une joueuse de classe mondiale et pour pouvoir la toucher économiquement, on a pris le pari il y a deux saisons, de lui dire: voici l’enveloppe que l’on peut allouer sur ce poste-là et on ne peut pas mettre plus car ça serait mettre le club en péril. Ça l’intéressait à une condition, qu’elle puisse partir si elle avait une proposition en WNBA. On lui a dit, «OK, mais à la condition de nous prévenir suffisamment tôt pour que l’on puisse prendre nos dispositions... ou ne pas les prendre.»\n\nL’année dernière, on a fait une saison extraordinaire, Kennedy s’est plu dans le club et elle n’a pas souhaité lever l’option pour partir en WNBA alors qu’elle avait des propositions. Donc, pour nous c’était un pari gagnant. On a décidé de le retenter cette année, et après avoir été élue MVP la saison dernière, elle a brillé au niveau de l’Euroleague et elle a forcément attiré les convoitises de la WNBA. Elle a eu un contrat avec le New York Liberty qu’elle n’a pu refuser. Elle nous a prévenu suffisamment tôt. On s’est posé avec Rachid Méziane, Antonio De Barros et le président Carmelo Scarna, et on s’est dit que par respect vis-à-vis de nos joueuses, du staff, de nos partenaires privés et publics et de nos fans, on ne pouvait pas en terminant premier de la saison régulière et en essayant d’avoir l’avantage du terrain en finale, ne pas avoir une joueuse qui viendra compléter notre effectif.\n\nOn a donc décidé de signer une joueuse que l’on connaît très bien, Keisha Hampton, qui a déjà joué chez nous, qui l’année dernière a permis à Landerneau de se maintenir, et qui a permis à Bourges, il y a deux saisons, d’être champion de France et de gagner l’Eurocup. Keisha évolue à peu près dans le même registre que Kennedy, elle connaît bien le coach, la maison, et elle va permettre aux autres joueuses de jouer dans leur registre. On veut avoir le maximum de chances pour aller le plus loin possible (...). Un autre élément essentiel, c’est Shavonte Zellous. Elle mériterait un article à elle toute seule. C’est le facteur X. Elle a été championne WNBA et d’Euroleague. Elle a une expérience, une volonté, un professionnalisme, une exigence vis-à-vis d’elle-même, qui fait qu’elle tire tout le monde vers la performance. Sans elle, on ne serait pas allé au Final Four et pas question pour elle d’y aller pour faire des selfies et signer des autographes!\n\nLe cas de Kennedy Burke, n’est-ce pas la preuve que la WNBA gangrène de plus en plus le basket international?\n\nBien sûr. On ne va pas pouvoir lutter contre la WNBA et en même temps, il va falloir que l’on existe. Si leur championnat gagne un peu de terrain au printemps et va un peu plus loin à l’automne, on ne va pas réduire le nôtre et payer un tas de salariés sur le terrain ou administratif pour quatre mois d’activité. Il va falloir trouver des solutions, que l’on augmente le nombre de matches, et il faut ainsi vite passer à quatorze clubs pour que plus de jeunes joueuses françaises puissent jouer au plus haut niveau. Comme chez les garçons, il y a des joueuses qui vont partir en WNBA et des joueuses qui vont revenir. A nous d’être fort et ambitieux au niveau de notre championnat et de nos compétitions. Chez les garçons, il y a la Leaders Cup, qui est une super compétition et pourquoi pas ne pas remettre une compétition de cet ordre-là pour nous avec rapidement 14 clubs en LFB et en Ligue 2? On ne pourra pas lutter contre la WNBA donc à nous de rendre notre produit encore plus consistant.\n\n«Nos joueuses sont montées dans la hiérarchie du basket français et européen et elles sont très courtisées»\n\nExiste-t-il une synergie entre l’ESBVA et le tournoi olympique de basket qui va se tenir pour la phase de groupe à Villeneuve d’Ascq?\n\nOn a deux collectivités qui sont très impliquées sur les Jeux Olympiques. La ville de Villeneuve d’Ascq puisque le grand stade, la Décathlon Arena, va accueillir la phase finale du handball et la première partie du basket. Et le campus olympique a été construit sur le stadium Lille Métropole sur Villeneuve d’Ascq à cinquante mètres de notre salle. Le Palacium est retenu comme site d’entraînement. Il y a forcément une dynamique au niveau des écoles, de la population, de la jeunesse métropolitaine villeneuvoise. On intervient sur beaucoup d’opérations.\n\nLe campus olympique sera mis ensuite à partir de septembre 2024 à disposition des jeunes sportifs de haut niveau de la métropole lilloise. Certaines joueuses de notre centre de formation vont donc intégrer ce campus, qui sera tout récent et performant. Et j’y reviens: on doit prolonger cette dynamique avec la construction d’une Arena, qui est déterminante pour le sport de haut niveau. Ce n’est pas parce qu’il y a des résultats dans certains clubs qu’il faut construire une Arena, c’est parce qu’on aura une Arena dans la métropole lilloise que l’on aura des résultats pour de nombreux clubs.\n\nYannick Le Borgne, qui a été le coach du club et ensuite son général manager est l’Event Manager sur le site olympique de Lille. Vous jouez vous-même un rôledans l’organisation ?\n\nC’est mon meilleur ami! Il fait très bien son travail, on est forcément en contact permanent, mais je n’ai aucun rôle. Il a été aussi directeur sportif du club et c’est grâce à lui que je suis aujourd’hui GM. C’est un très grand fan de l’ESBVA et avec lui à la baguette, les Jeux Olympiques sur Lille vont se dérouler de main de maître.\n\nComment voyez-vous l’avenir de l’ESBVA à la suite de ce Final Four?\n\nLe paradoxe, c’est donc que performer en Euroleague, ça nous coûte et dans une volonté de maîtrise budgétaire, il va falloir que l’on continue cette démarche. Nos joueuses sont montées dans la hiérarchie du basket français et européen et elles sont très courtisées. L’erreur que l’on ne va pas faire serait de proposer des salaires qui mettraient le club en péril. On va faire des choses que l’on sait faire avec le respect que nos joueuses méritent avec l’accompagnement qu’elles méritent. On sait que certaines joueuses devraient nous quitter en fin de saison. C’est pour ça que l’on a anticipé et que nous aussi, on a démarché et on a une équipe très jeune en devenir. Des jeunes joueuses pourront éclore telle que Janelle Salaün l’a fait sous la houlette de Rachid Méziane. On en a déjà. Je pense à Maia Hirsch, à Aminata Gueye patronnée par la capitaine Caroline Hériaud qui nous permet de performer ces trois dernières années. A nous d’aller chercher de futurs talents pour renouveler et continuer d’être ambitieux. On annoncera ces signatures après la fin du championnat et quand les joueuses concernées auront fini dans leurs clubs.\n\n\nL’ESBVA, 4e club français au Final Four\n\nBourges (1997, 98 et 2001) et Valenciennes (2002 et 2004) ont été sacrés champions d’Europe. Bourges a participé à 10 Final Four (1996, 97, 98, 2000, 01, 03, 07, 08, 13 et 14), Valenciennes 5 fois (1998, 2001, 02, 03 et 04) et Challes-les-Eaux a été le premier club français à s’inviter dans le carré d’as en 1993. C’est ainsi que Villeneuve d’Ascq est le quatrième club à se qualifier pour le Final Four après 10 ans de traversée du désert. On n’oublie pas le Clermont UC, 7 fois demi-finaliste de la C1 (de 1971 à 77) à une époque où les demi-finales et finales se jouaient par matches aller-retour.\n\nITW Valériane Ayayi (Prague) avant le Final Four de l’Euroleague : “On se souvient que Villeneuve d’Ascq nous a battus”Après deux échecs en demi-finale avec Prague, Valériane Ayayi va tenter d’accéder à sa première finale d’Euroleague lors du Final Four de Mersin. L’internationale tricolore devra d’abord passer l’obstacle Villeneuve d’Ascq, le club avec lequel elle a été championne de France en 2017. Entretien.BasketEurope.comClément Carton
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Eurocup : Zaccharie Risacher élu meilleur jeune de la saison !
À quelques jours du dénouement de la saison, l’Eurocup dévoile ses lauréats. Forcément, les deux représentants français, Bourg et Paris, qui s’affronteront pour le titre à partir du mardi 9 avril, risquent de rafler tous les trophées individuels. A ce titre, Zaccharie Risacher est le premier récompensé en tant que Rising Star - comprenez “étoile montante” ou meilleur jeune - de la saison 2023-2024 de l’Eurocup. L’ailier de la Jeu a été élu parmi les joueurs âgés de 22 ans ou moins au 1er juillet 2023 par un panel des coachs de la compétition.\n\nAlors qu’il n’a fêté ses 19 ans que le 8 avril, le fils de Stéphane Risacher est le deuxième joueur le plus jeune à obtenir cette récompense, six ans après le Bosnien Dzanan Musa, plus jeune d’exactement un mois lorsqu’il a été choisi en 2018. Il est surtout le premier joueur français à obtenir cette distinction. Il devance un autre néo-international tricolore, le Parisien Nadir Hifi, et l’Espagnol de Ulm, Juan Nunez.\n\nAnnoncé comme potentiel futur numéro un de draft, Zaccharie Risacher a réalisé une magnifique saison où la JL Bourg est sortie première de son groupe et a atteint la première finale européenne de son histoire. Le natif de Malaga tournait à 11,7 points à 56,1 % à 3-points (!) et 3,4 rebonds pour 10 d’évaluation (PIR) en 24 minutes de moyenne.\n\nAu-delà de son rôle majeur en défense, celui qui était devenu deux ans plus tôt le plus jeune français titulaire en Euroleague - avec l’ASVEL - a franchi la barre des 20 points inscrits à quatre reprises cette saison. Il succède au palmarès au pivot polonais Aleksander Balcerowski.\n\nL’Eurocup précise que le coach de la saison et le MVP - le Parisien T.J. Shorts étant le grandissime favori - seront annoncés avant le démarrage de la finale prévu ce mardi.\n\nFrédéric Fauthoux aurait décliné la proposition de l’ASVEL et devrait prolonger à BourgLe coach de la JL Bourg, finaliste de l’Eurocup, aurait dit non à l’ASVEL et choisi de prolonger son aventure avec le club bressan. Frédéric Fauthoux est sur le point d’étendre son bail pour trois saisons supplémentaires.BasketEurope.comLa rédactionDossier – U21 en Europe : La bonne forme des coupes d’EuropeCette saison, les U21 sont plutôt bien traités en coupes d’Europe, que ce soit en Euroleague, en Eurocup ou en BCL. Et l’on y voit de nombreuses pépites briller, dont bon nombre de joueurs français.BasketEurope.comBruno Ferret
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
Après la gifle infligée par l’ASVEL, Valence se sépare de son coach Alex Mumbru
La défaite de trop. Jeudi soir, Valence s’est inclinée dans les grandes largeurs à la Fonteta face à l’ASVEL. Ce revers historique, qui élimine presque totalement l’équipe espagnole, 13e ex-aequo au classement, de la course aux playoffs, a comme conséquence le licenciement du coach Alex Mumbru. C’est le 9e entraîneur à être démis de ses fonctions cette saison en Euroleague.\n\nLe champion du monde 2006, qui avait entamé sa reconversion comme coach en 2018 à Bilbao, avait pris les rênes de l’équipe en 2022, terminant notamment à la 13e place de l’Euroleague la saison dernière et se faisant éliminer par Barcelone, le futur champion, en Liga Endesa.\n\n“Je ne suis pas là pour parler de mon avenir, rappelait-il la veille en conférence de presse, touché par l’humiliation infligée par l’ASVEL, 17e de l’Euroleague. Je dois des excuses à nos supporters. Nous sommes gênés par ce résultat. C’était le pire match de la saison. Nous avions beaucoup de pression, et ils n’en avaient aucune. L’équipe s’est brisée. Nous nous sommes effondrés au troisième quart. Nous n’avons pas été à la hauteur. Finir cette saison d’Euroleague est très difficile. Il faudra montrer la meilleure version de cette équipe, ce que nous n’avons pas montré aujourd’hui, et aussi se concentrer sur l’ACB qui est un objectif important.”\n\nAvec une seule victoire d’avance sur le 9e, Valence (16-11) va également devoir se ressaisir en championnat. L’apport du Franco-Guinéen Alpha Kaba dans la raquette devrait aider en ce sens. Pour l’instant, c’est le premier assistant d’Alex Mumbru, Xavi Albert, qui dirigera l’équipe.\n\nEuroleague : Nando De Colo dépasse Vassilis SpanoulisNando De Colo est redevenu le deuxième meilleur marqueur de l’histoire de l’Euroleague. Devancé par Mike James il y a quelques semaines, le Villeurbannais a cette fois dépassé Vassilis Spanoulis.BasketEurope.comClément Carton
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À Lyon, c’est plus cher de voir les Bleus que les Rolling Stones
La catégorie 5 à 80 euros affiche déjà complet. Aussi, si vous voulez assister aux deux France-Serbie et à la cérémonie de retrait du maillot bleu de Tony Parker, à la LDLC Arena de Décines, dans la métropole lyonnaise, le vendredi 12 juillet, il faut débourser minimum 100 euros et jusqu’à 800 euros pour un siège bord terrain. Le prix moyen d’une place se situe à 200 ou 300 euros.\n\nLes fans ont ha-llu-ci-né quand ils ont vu ces tarifs. On a pu lirenotamment ces commentaires sur les réseaux sociaux : «J'habite à 5 minutes et je ne vais même pas pouvoir y aller parce que le prix des places... C'est juste pas possible, surtout en étant étudiante.» «C'était censé être accessible pour tous... 800 €, c'est accessible en effet si on mange des patates pendant 1 an !» Et encore pour une autre catégorie d’âge: «Pour un retraité sans grands moyens qui doit se déplacer depuis le Var puis payer un hébergement, c'est une s... Donc, non.»\n\nVoir les Bleus de Victor Wembanyama et les Bleues de Marine Johannes en préparation pour les Jeux Olympiques, c’est peut-être un évènement unique dans une vie mais les fans de basket ne sont pas habitués en France à de tels tarifs.\n\nOn s’est penché sur ce qui se pratique dans le football et on y a appris que les spectateurs du Paris Saint-Germain ont dépensé en moyenne 140 euros par match lors de la saison 2022-2023. Le Parc des Princes est l’endroit le plus nec plus ultra d’Europe puisqu’à Tottenham, deuxième au classement, il faut débourser «seulement» 101 euros. Mais, bon, Paris c'est Paris, et le foot c'est le foot...\n\n\nÀ Golden State, il faut être millionnaire\n\nLes prix des billets à la LDLC Arena pour le double header des Bleu(e)s imposent un rapprochement avec les tarifs exorbitants pratiqués en NBA. Le tarif prohibitif numéro un revient aux Golden State Warriors de Stephen Curry, à Oakland, dans la banlieue de San Francisco. Le ticket moyen - chiffre de 2022 - est de 142 dollars (131 euros) soit 570 dollars pour un couple avec deux enfants et ça n'inclut pas le parking (37,43$), deux bières 34,56$), deux sodas (14,50$) et quatre hot dogs (34$). « Non les enfants, on n'achètera pas de T-shirts ! »\n\nLes New York Knicks arrivent en deuxième position pour les billets les plus chers, avec des familles de quatre personnes payant en moyenne 547 $ par match. En Californie, une famille de quatre personnes peut s'attendre à débourser environ 436 $ en moyenne pour voir les Lakers jouer, le coût total d'une soirée s'élevant à 519 $. Il y a 41 matches plus les playoffs où les tarifs sont encore forcément supérieurs. Evidemment, il vaut mieux investir (c'est le terme bien choisi) dans un abonnement. Un season ticket aux Warriors en \upper level\, soit tout là haut dans les gradins, c'est 5 500 dollars. On ne vous donne pas les tarifs des bonnes places pour vous éviter un malaise.\n\nIl y a bien longtemps que la NBA n’est plus un «sport populaire» mais il faut préciser que le salaire annuel moyen aux États-Unis était en 2021 de 74 700 dollars (soit 69 181 €) contre 43 718 dollars (40 469 €) en France.\n\nEt forcément, on en vient au NBA Paris Game 2023 où il fallait casser son petit cochon rose pour assister à un match lambda entre les Brooklyn Nets et les Cleveland Cavaliers. Le prix d'appel était de 65 euros mais après ça grimpait à 110, 125, 200... jusqu'à 665, 735 et 925 euros. Du délire. Combien de fans ont pu estimer à la sortie en avoir eu pour leur argent ?\n\nUne autre comparaison: lorsque les Rolling Stones - le groupe de rock mythique par excellence - est venu se produire au Groupama Stadium de Décines le 19 juillet 2022, le prix des différents billets allait de 95 à 331,5 euros. C’était presque bon marché.\n\nIl sera évidemment intéressant de voir si les 11 500 places de la LDLC Arena seront toutes occupées le 12 juillet.\n\n
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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures
ITW Valériane Ayayi (Prague) avant le Final Four de l'Euroleague : “On se souvient que Villeneuve d’Ascq nous a battus”\n\nAprès deux échecs en demi-finale avec Prague, Valériane Ayayi va tenter d’accéder à sa première finale d’Euroleague lors du Final Four de Mersin. L'internationale tricolore devra d'abord passer l’obstacle Villeneuve d’Ascq, le club avec lequel elle a été championne de France en 2017. Entretien.\n\nITW Valériane Ayayi (Prague) avant le Final Four de l’Euroleague : “On se souvient que Villeneuve d’Ascq nous a battus”Après deux échecs en demi-finale avec Prague, Valériane Ayayi va tenter d’accéder à sa première finale d’Euroleague lors du Final Four de Mersin. L’internationale tricolore devra d’abord passer l’obstacle Villeneuve d’Ascq, le club avec lequel elle a été championne de France en 2017. Entretien.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nNando De Colo dépasse enfin Vassilis Spanoulis et reprend la deuxième place du classement des meilleurs marqueurs de l'Euroleague\n\nLongtemps en course pour devenir le meilleur marqueur de l'histoire de l'Euroleague, Nando De Colo a vu Mike James le dépasser à la suite d'une blessure. Ce qui n'a pas empêché l'international français, grand acteur du festival de son équipe à Valence jeudi, de dépasser Vassilis Spanoulis et de reprendre cette deuxième place au classement des joueurs les plus prolifiques de l'histoire de la compétition.\n\nEuroleague : Nando De Colo dépasse Vassilis SpanoulisNando De Colo est redevenu le deuxième meilleur marqueur de l’histoire de l’Euroleague. Devancé par Mike James il y a quelques semaines, le Villeurbannais a cette fois dépassé Vassilis Spanoulis.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nUn nouveau record de la plus longue série établi par l'ASVEL en Euroleague !\n\nDécidément, l'ASVEL a vécu une soirée historique ce jeudi à Valence. En plus d'avoir décroché sa plus large victoire en Euroleague depuis 22 ans, le club de Tony Parker s'est également adjugé un record : celui de la plus longue série de l'histoire de l'Euroleague, avec un incroyable 25-0 infligé aux Espagnols à cheval entre les deuxièmes et troisièmes quart-temps.\n\nEuroleague : l’ASVEL s’empare du record de la série la plus longue !Jeudi soir à Valence, l’ASVEL a non seulement obtenu sa plus large victoire à l’extérieur depuis 22 ans mais s’est également emparée du record de la plus longue série de l’histoire de l’Euroleague (depuis que cette statistique est comptabilisée en 2007) avec un 25-0 !BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nPour Sasa Obradovic, il est \trop tôt\ pour que Monaco se félicite\n\nVainqueur de Kaunas avec une courte marge, Monaco est officiellement qualifié pour les playoffs de l'Euroleague. Si son équipe est également proche de valider sa place dans le top 4 de la compétition, Sasa Obradovic est conscient que le plus dur reste à faire pour la Roca Team dans cette saison 2023-24.\n\nSasa Obradovic (Monaco) : « Trop tôt pour qu’on se félicite »Qualifié en playoffs de l’Euroleague pour la troisième fois en trois ans, l’AS Monaco a assuré l’essentiel jeudi soir après s’être fait peur contre le Zalgiris Kaunas (69-66). Le coach Sasa Obradovic voit en cela une piqûre de rappel.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nEuroleague : Barcelone sécurise sa place en playoffs sur un game-winner de Nicolas Laprovittola\n\nAu coude-à-coude avec Monaco au classement, Barcelone l'a également emporté de peu ce jeudi contre le Maccabi Tel-Aviv. Il a fallu un tir primé à de Nicolas Laprovittola à 5 secondes de la fin pour permettre aux Barcelonais de s'imposer au Palau Blaugrana face aux Israéliens (92-89).\n\nVidéo : le game winner de Nicolas Laprovittola qui envoie Barcelone en playoffsAuteur du tir à trois-points victorieux face au Maccabi Tel-Aviv (92-89), Nicolas Laprovittola a sécurisé la place du FC Barcelone en playoffs d’Euroleague.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nAprès avoir décliné la proposition de l'ASVEL, Frédéric Fauthoux devrait prolonger à la JL Bourg\n\nAttendue depuis quelques jours, la décision de Frédéric Fauthoux au sujet de son avenir semble être prise. D'après le Progrès, le coach landais a décliné une proposition de l'ASVEL et serait sur le point de signer un nouveau contrat de trois ans avec la JL Bourg.\n\nFrédéric Fauthoux aurait décliné la proposition de l’ASVEL et devrait prolonger à BourgLe coach de la JL Bourg, finaliste de l’Eurocup, aurait dit non à l’ASVEL et choisi de prolonger son aventure avec le club bressan. Frédéric Fauthoux est sur le point d’étendre son bail pour trois saisons supplémentaires.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nLe titre de meilleur jeune de la saison pour Zaccharie Risacher !\n\nAttendu à la première place de la prochaine Draft NBA, Zaccharie Risacher est récompensé de sa très belle première vraie saison en professionnel : l'ailier de Bourg-en-Bresse a été élu meilleur jeune de la saison 2023-24. Il devance le Parisien Nadir Hifi ainsi que l'Espagnol de Ulm, Juan Nunez, et devient par la même occasion le premier Français à recevoir cette distinction.\n\nEurocup : Zaccharie Risacher élu meilleur jeune de la saison !C’est officiel : Zaccharie Risacher est nommé “Rising star”, ou meilleur jeune de la saison 2023-2024 en Eurocup. L’ailier de Bourg-en-Bresse, premier Français à obtenir cette distinction, devance le Parisien Nadir Hifi et l’Espagnol de Ulm, Juan Nunez.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\n
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3x3 : La Superleague reprend ses droits
Top départ pour la saison de 3x3. Le premier rendez-vous de Superleague 3x3 FFBB, à Bourges, sera l’occasion de voir se défier de nombreux spécialistes de la discipline. Douze équipes masculines et huit équipes féminines vont s’affronter pour le lancement de cette 13e édition de la Superleague, la première des 18 étapes du circuit national.\n\nChez les hommes, trois formations font office de favoris au regard de l’expérience emmagasinée sur la Pro League 3x3 – Hoops Factory edition ainsi que les étapes qualificatives du World Tour : Ermont (tête de série n°1), Nantes ATC Crosser (n°2) et Brussels (n°3).\n\nChez les femmes, l’équipe nationale du Chili se présente en favorite de ce premier rendez-vous de la saison. Quatrième lors de l’Americup 2023, l’équipe sud-américaine prépare actuellement le Tournoi de Qualification Olympique (TQO) de Hong Kong.\n\nProgramme et résultats de l’Open Plus de Bourges / Rencontres à suivre en direct sur Facebook – Ligue Centre-Val de Loire Basketball\n\nL’équipe de France féminine 3x3 connait son programme de préparation pour les JOÀ un peu plus de six mois du début des Jeux Olympiques de Paris 2024, la Fédération française de basketball (FFBB) a annoncé le programme de préparation de l’équipe de France féminine 3x3.BasketEurope.comLa rédaction
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ANGT Paris : une première journée riche en cartons individuels et en gros scores
Ce vendredi marquait le début de l'Adidas Next Generation Tournament, compétition organisée, par l'Euroleague qui voit s'affronter les meilleures équipes U18 d'Europe. L'occasion de voir à l'œuvre de nombreux prospects de top niveau. Avec quatre matches programmés ce vendredi, la première journée de l'événement a tenu toutes ses promesses à la Halle Carpentier de Paris.\n\n\nLopez et Badalone croquent le Paris Basketball, première réussie pour la Next Generation Team Paris\n\nLes hostilités ont été entamées ce matin, dès 9h, avec une première rencontre entre les jeunes de la Joventut Badalone et ceux du Paris Basketball. Un match que les Espagnols ont complètement dominé face à des Parisiens dépassés, même à domicile (98-69). Et déjà une performance exceptionnelle, à mettre à l'actif de Karim Lopez. L'ailier mexicain a signé un énorme 40 d'évaluation, totalisant 25 points, 15 rebonds, 5 passes décisives et 1 contre. Dans le camp parisien, l'arrière Pharel Koita a fait ce qu'il a pu (18 points et 4 rebonds pour 18 d'évaluation) mais cela s'est révélé largement insuffisant.\n\nDans la foulée, ce sont les U18 de l'équipe Next Generation Paris qui ont donné la leçon à leurs homologues de l'Olympiakos (87-60). La sélection, composée de joueurs issus de divers programmes dont des éléments de l'Elan Béarnais, de Bourg et de Limoges (Hugo Facorat, Martin Carrere, Leon Sifferlin et Jahel Trefle), a été portée par la prestation cinq étoiles de Mehmet Erfa. Le meneur turc a lui aussi réalisé un énorme 40 d'évaluation avec 29 points, 2 passes décisives et 4 interceptions. De quoi mettre son équipe sur la voie du succès contre les Grecs.\n\nTeam spirit 🤝\n\nA win at #AdidasNGT Day One is the perfect way to start a Friday! pic.twitter.com/1sk9IOEwTM\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) April 5, 2024\n\n\n\nLe Pôle France en balade contre Monaco, Gran Canaria assure face au Pana\n\nDans le troisième match de la journée, l'équipe de Gran Canaria a à son tour surclassé le Panathinaïkos (93-66). Un match marqué par la belle performance du pivot autrichien Fynn Schott, auteur de 20 points, 10 rebonds et 3 passes décisives. Du côté des Grecs, l'arrière Andreas Koustenis (23 points) était bien trop seul pour contrarier un collectif espagnol bien huilé (21 passes décisives).\n\nEnfin, cette première journée s'est conclue par une nouvelle démonstration, la plus large de ce début de tournoi, offerte par le Pôle France face à l'AS Monaco (93-42). Avec 27 ballons perdus et un seul joueur au dessus des 10 points inscrits (Malone Gros, 11 unités), la formation de la Principauté n'a jamais vu le jour. Tout le contraire d'une pépinière de talents français portée par Yannis Allard (17 points, 3 rebonds, 4 passes décisives) et Nathan Soliman (12 points, 8 rebonds) et auteure d'un joli 58,8% de réussite aux tirs.\n\nLa deuxième journée du tournoi a débuté dès ce vendredi soir avec deux rencontres entre l'Olympiakos et la Joventut Badalone, puis entre le Paris Basketball et la Next Generation Team Paris. Elle se poursuivra ce samedi matin, avant la suite de la compétition.
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Betclic Elite : Privé de Gregor Hrovat, Dijon engage l'Allemand Joshua Obiesie pour la fin de saison
Depuis quelques semaines, la JDA Dijon n'est pas épargnée par les blessures. Touchés tour à tour, David Holston, Ahmad Caver, Cameron Hunt ou encore Jacques Alingué ont fait défaut au cours des derniers matches. Mais l'indisponibilité la plus regrettable est sans doute celle de Gregor Hrovat. Le meilleur marqueur bourguignon en 2023-24 a vu sa saison se terminer à cause d'une blessure au ménisque. Pour compenser cette absence, et après plusieurs semaines de recherche, Dijon a officialisé ce vendredi l'arrivée de son remplaçant, l'international allemand Joshua Obiesie.\n\nJOSHUA OBIESIE REJOINT LES RANGS DIJONNAIS ✅\n\n✍️ Le jeune ailier allemand jouera pour la JDA Bourgogne Dijon jusqu’à la fin de saison en tant que pigiste médical de Gregor Hrovat.\n\n📄 Toutes les infos ici : https://t.co/bjEe8tB2NB#MyJDA pic.twitter.com/xMlghB0TD3\n\n— JDA Dijon Basket (@jdadijonbasket) April 5, 2024\n\n\nÀ 23 ans, le jeune ailier en est déjà à sa 6e saison professionnelle. Il est passé par les clubs allemands de Würzburg (avec lequel il a été élu meilleur espoir du championnat en 2018-19 et où il a côtoyé son nouveau coéquipier Cameron Hunt), du Bayern Munich et de Francfort, où il a réalisé sa meilleur saison statistique (12,1 points, 3,2 rebonds et 3,2 passes décisives de moyenne). Avant de partir aux Etats-Unis pour vivre sa première expérience à l'étranger, en G-League, avec les Rio Grande Valley Vipers (5,7 points, 2,4 rebonds et 1,8 passe décisive en 12 minutes de moyenne).\n\nAvec un maintien à assurer et une finale de coupe de France à disputer, voire même une place en playoffs à arracher, cette nouvelle recrue va en tout cas densifier la rotation dijonnaise sur le poste 3. Même si le vide laissé par Gregor Hrovat ne sera sans doute pas facile à combler.
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Une expérience de réalité virtuelle à l’ASVEL
Infinity Nine Media, LDLC ASVEL et Ciril GROUP se sont associés pour proposer une expérience inédite aux patients du Centre Léon Bérard de Lyon grâce à la réalité virtuelle. Unissant leur souhait de rendre le basket accessible à toutes et tous, ces acteurs ont souhaité créer une expérience de réalité virtuelle sur-mesure, « au coeur du match ».\n\nUn dispositif technique a été imaginé pour capter et permettre de vivre en immersion un événement au plus près de l’équipe de Pierric Poupet: il est proposé à une personne fan de basket mais ne pouvant se déplacer pour raisons médicales, de vivre la rencontre d’Euroleague de ce vendredi 12 avril entre ASVEL et Barcelone. Ce dispositif de réalité virtuelle inédit, mis en place à l’occasion du dernier match de la saison de l’ASVEL à la LDLC Arena, a vocation à rendre accessible, à différentes personnes ayant des contraintes médicales ou physiques, des événements qu’ils ne pourraient vivre autrement.\n\nEric Garcia, Président Infinity Nine Media - « C’est une grande fierté de voir Infinity Nine Media à l’initiative de ce projet d’envergure incarné par ce qui guide nos actions au quotidien : la transmission et le partage. Avec cette expérience, nous mettons la technologie au service de causes et de valeurs qui nous sont chères. »\n\nTony Parker, Président de l’ASVEL et actionnaire Infinity Nine Media - « Je suis très heureux de voir ces synergies se créer, portées par des personnes de confiance, avec lesquelles je partage ces valeurs de solidarité et d’esprit d’équipe. C’est un projet admirable, au sein duquel je suis fier d’associer LDLC ASVEL et Infinity Nine Media. »\n\nAmaël Grivel, Président du Directoire Ciril GROUP - « Depuis 45 ans, Ciril GROUP conçoit des solutions technologiques innovantes pour améliorer le quotidien de millions de citoyens. S’impliquer au cœur de ce projet à fort impact social et sociétal auprès de ceux qui en ont le plus besoin, et entouré de personnes de confiance, résonnait comme une évidence. »\n\nDamien Sebileau, Directeur Général Adjoint du Centre Léon Bérard - « Nous sommes très touchés par l’attention, très fiers d’être associé à cette expérience ambitieuse et formidable, très heureux que des patients de l’IHOPe (Institut d’Hématologie Pédiatrique de Lyon, géré conjointement par le Centre Léon Bérard et les Hospices Civils de Lyon) puissent se voir apporter un peu de joie dans des parcours parfois difficiles, et éminemment convaincus de la réussite de ce projet. »
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Qui en Euroleague la saison prochaine?
Les onze clubs fondateurs de l'Euroleague ont une place permanente dans la compétition... à l'exception du CSKA Moscou puisqu’en raison de la guerre avec l'Ukraine, les équipes russes demeurent pour le moment hors-jeu. Les dix autres sont le Real Madrid, le FC Barcelone, Baskonia Vitoria, l'Olympiakos, le Panathinaikos, l'Anadolu Efes, le Fenerbahçe, le Maccabi Tel Aviv, le Zalgiris Kaunas, et l'Olimpia Milan.\n\nLe Bayern Munichetl'ASVELsont également devenus titulaires d'une Licence A en étant accepté comme membres d’ECA. L’AS Monaco, en se qualifiant pour les playoffs conservera sa place pour une autre saison d’Euroleague. Une dernière place est attribuée directement au vainqueur de l'ABA League, soit généralement l'Etoile Rouge ou le Partizan Belgrade. Nous en sommes à 14 équipes.\n\nIl y a ensuite le cas de l’ALBA Berlin. L'équipe allemande a obtenu une licence pour deux saisons en 2021, qui a été prolongée pour la campagne 2023-24. Cependant, même si elle souhaite obtenir une licence à long terme, celle-ci expire cette année et sa situation n'est pas claire. Ce qui penche en sa faveur, c’est que c’est le club de la capitale du pays le plus riche d’Europe avec donc un marché important et l’ALBA enregistre plus de 9 400 spectateurs en moyenne, ce qui est remarquable. Si l’équipe berlinoise termine 18e et bonne dernière de cette saison, c’est avant tout parce qu’elle ne dépense pas plus d’argent qu’elle en a... contrairement à la majorité de ses adversaires! Mais ce critère de bonne conduite économique est-il apprécié par les clubs titulaires de la fameuse Licence A ?\n\nIl y a une place garantie pour le vainqueur de l’Eurocup, soit la JL Bourg ou le Paris Basketball. Mais reste à savoir si la Jeu accepterait de s’engouffrer en Euroleague avec un budget forcément modeste, une salle inappropriée, etc. Ce serait objectivement un pari très risqué. Vainqueur de l’édition 2023, Gran Canaria a préféré reculer devant l’obstacle.\n\nVous avez fait vos calculs ? Il resterait en fait 2, 3 ou 4 places à attribuer par des wild cards sans parler du cas spécifique des équipes russes.\n\n«Il faut voir ce qui va se passer avec les équipes russes, si elles peuvent revenir, quelles équipes seront qualifiées pour l'Eurocup... il y a beaucoup à évaluer. Nous ne pouvons qu’espérer que la guerre se termine le plus tôt possible et que nous puissions nous asseoir et discuter. Pour l'instant, il est difficile de prédire quoi que ce soit», a commenté récemment le PDG de l’Euroleague, Paulius Motiejunas.\n\nOn ne peut pas dire que le conflit russo-ukrainien soit à l’heure actuelle sur la voie de la résolution. Aussi, il faut partir du principe que les équipes russes seront toujours absentes et une fois écartée, l'option de Dubaï qui démarrera probablement son projet en Eurocup, les invitations restantes seraient à distribuer aux équipes qui ont joué en Euroleague cette saison. Soit le Partizan Belgrade et/ou l'Étoile Rouge Belgrade, la Virtus Bologne, et le Valencia Basket... Et donc l’ALBA Berlin.\n\nC'est quand même épouvantablement tortueux.
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Le Limoges CSP ne récupère pas ses deux victoires auprès du CNOSF
C'est tout d'abord la DNCCG qui avait pénalisé de trois victoires le CSP et la sanction avait été revue à la baisse par la Chambre d'appel de la FFBB qui avait prononcé à son encontre, le 18 décembre, un retrait de deux victoires assorti dune amende de 10 000 euros. Le conciliateur du CNOSF a jugé que cettesanction est proportionnée, aussi Limoges demeure à la 13e place avec 11 victoires et 14 défaites. Il lui reste comme seule possibilité de recours de saisir le tribunal administratif mais le fera t-il ?\n\nLe CSP demeure englué dans des problèmes économiques qui agitent toute la ville et préoccupent tout le basket français et sa survie est toujours en suspens mais les joueurs affirment être dans leur bulle et ont comme objectif d'assurer le maintien dans l'élite sur le terrain.\n\n« Bien sûr que c’est un business mais j’ai de la chance d’avoir des coéquipiers qui ont prouvé leurs qualités de joueurs mais avant-tout d’hommes. Quand on vit ce genre de saison, heureusement qu’on a ce type de personne dans le grou pe. Pas besoin de leur répéter chaque jour de rester concentrés. Ils le sont, » jure ce matin Nicolas Lang dans Le Populaire.\n\nCe samedi, à 18h30, le CSP accueille à Beaublanc Saint-Quentin actuellement 8e au classement avec autant de victoires (14) que de défaites. Les Limougeauds restent sur trois succès de suite à la maison (Dijon, Boulogne-Levallois et Chalon).
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ASVEL : Mbaye Ndiaye en \protocole commotion\
La seule fausse note à Valence où Villeurbanne a accompli jeudi une performance de haute volée (69-98) a été la chute en deuxième mi-temps de Mbaye Ndiaye qui l'a obligé à quitter le terrain sur une civière avec les vertèbres cervicales enserrées dans une minerve.\n\nLe quotidien Le Progrès relate que le joueur a rencontré le médecin du club à son retour en France et qu'un «protocole commotion» a été prononcé. Le joueur sera évidemment absent ce dimanche face à Nanterre. A voir s'il pourra faire son retour face à Barcelone le vendredi 12avril pour le dernier match d'Euroleague ou le dimanche14 contre son ancien club de Blois.\n\nEn Betclic Elite, Mbaye Ndiaye apporte 4,9 points, 3,4 rebonds et 1,0 contre en 17 minutes sur 23 matches.
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Euroleague : Monaco tout proche de la 3e place
Tout n'est pas encore figé en Euroleague à une journée de la fin de la saison régulière, mais le Real Madrid (26-7) bien que vaincu par Victoria (91-95) ce vendredi est certain de finir premier et son rival Barcelone a également ficelé sa place dans le top 4 car bénéficiant d'un point average favorable sur ses concurrents directs.\n\nSi le Panathinaikos et Monaco (22-11) s'imposent respectivement à l'ALBA Berlin et au Bayern Munich, ils se classeront alors alors la 2ème et la 3ème devançant ainsi Barcelone, qui se conterait de la quatrième. La Roca Team conclurait ainsi une saison de très grande qualité. La seule autre équipe qui peut se glisser dans le top 4 est Olympiakos si le Pana faute face à Berlin. L'AS Monaco bénéficie d'un point average particulier favorable face au club grec et seul un regroupement de quatre équipes à 22 victoires la mettrait en danger de sortir du carré d'as.\n\nLa seule véritable incertitude pour les playin demeure la 10ème position. Si Anadolu Efes bat l'Etoile Rouge, elle empochera la 9e place et si les Turcs perdent alors le Partizan pourra prendre la 10e place en battant Valence. Si Efes et le Partizan sortent perdants de la dernière journée, alors Milan passe devant.\n\nLa probabilité la plus importante est que Monaco soit opposé au Fenerbahçe en quart-de-finale mais l'équipe turque se rend à Olympiakos pour la dernière journée.\n\nSi, si...
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NCAA : Caitlin Clark et Iowa en finale
Ce sera ainsi la deuxième finale consécutive pour Caitlin Clark, la meilleure joueuse universitaire de sa génération et qui est devenue en février la meilleure marqueuse de la NCCA de tous les temps et des deux sexes. Iowa avait échoué à ce stade en 2023 face à LSU.\n\nRien n'a été facile pour Catitlin Clark face à U-Conn. La leader d'Iowa n'a marqué que 6 points en première mi-temps avec un terrible et inhabituel 0/6 à trois-points. Avec un score de 70-69 et une possession pour UConn à 10,8 secondes de la fin, les arbitres ont sifflé une faute d'attaque discutable sur Aaliyah Edwards sur un bloc.Clark a finalement clôturé l'avant-dernier match de sa carrière universitaire avec 21 points (7/18 aux shoots dont un 3/11 à trois-points), 9 rebonds et 7 passes décisives. Paige Bueckers, une autre grande promesse du basket-ball féminin, a marqué 17 points pour UConn.\n\nDans l'autre demi-finale, South Carolina de la coach Dawn Staley (ex-Tarbes et Team USA) a battu NC State, 78-59, prolongeant sa série de 37 victoires en 37 matchs. C'est la première fois qu'une équipe parvient invaincue en finale depuis U-Conn en 2016.
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Pro B : Jordan Aboudou (Fos) suspendu pour usage de cannabis
Pour son dernier match au Palais des sports de Marseille, les Byers ont remporté ce vendredi un succès précieux dans l'optique de se maintenir en Pro B face à Rouen (83-70). Avec ses 25 points et 6 passes, Robert Turner n'est pas étranger à ce rebond après quatre défaites de suite. Fos est ainsi remonté à la 16e place (9 victoires, 19 défaites) puisque dans le même temps Evreux a lourdement chuté face à Antibes (76-96).\n\nEn marge de cette victoire, on apprend dans La Provence que Jordan Aboudou, qui s'est de surcroît blessé au dos fin janvier, et qui avait été suspendu deux matches suite à des accrochages face à Antibes, a été sanctionné pour usage de cannabis (Carboxy-THC) prononcée par l’Agence Française de Lutte contre le Dopage. \Une sanction qui court depuis le 7 mars dernier,\ précise le quotidien.\n\nJordan Aboudou a joué cette saison 15 matches avec les Provençaux pour 9,2 points et 6,7 rebonds en 20 minutes.
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Prolongation à Bourg, ASVEL, Équipe de France, Euroleague... Frédéric Fauthoux et Julien Desbottes se livrent
Il paraît que vous avez quelque chose à nous annoncer...\n\nJulien Desbottes : “J’ai le plaisir d’avoir à mes côtés notre coach, Frédéric Fauthoux, qui a accepté notre offre de prolongation pour les trois prochaines saisons. Ce sujet a tenu en haleine pratiquement l’ensemble du basket français (sourire). Je suis particulièrement heureux que Freddy soit avec nous depuis deux ans, car on sort de deux saisons tout à fait exceptionnelles, qui ont consolidé et amélioré encore ce qu’on a fait depuis quelques années. Durant nos discussions, j’ai vraiment apprécié que l’un et l’autre ne se soient perdus en chemin. Nous n’avons pas perdu dans la qualité de nos relations. Après cette période de prise de décision, on sort plus fort ensemble.\n\nQuelle que soit la décision de Freddy, je l’aurais respectée. Décider, c’est renoncer. Il y avait des avantages et des inconvénients à chaque alternative. Ça place la JL dans une dynamique encore plus ambitieuse car si Freddy reste, c’est en conquérant. Le travail qui nous incombe en tant que responsables de la JL est de continuer la courbe d’ascension du club, structurée et construite. On sait pourquoi on en est là et on sait tout ce qu’il nous reste à faire. Cette prolongation constitue une motivation complémentaire pour encore faire progresser le club. Freddy disposera de tous les moyens humains et financiers pour continuer d’attirer des talents et qu’on puisse converger vers les sommets du basket français, voire européen.”\n\nFrédéric, pourquoi avoir prolongé avec la JL Bourg ?\n\nFrédéric Fauthoux : “Je suis très heureux d’avoir pu prendre une décision qui n’était pas simple. Rien que d’avoir fait ça, c’est un pas en avant et quelque chose qui me soulage. Aujourd’hui, c’est la meilleure des solutions que je pouvais avoir car je ne pense pas que l’aventure soit terminée, y compris avec les jeunes comme Hugo (Benitez) et Kevin (Kokila) sans oublier nos anciens comme Maxime Courby et Axel Julien. On a encore plein de choses à faire ensemble. J’aime quand il y a de l’humain dans les relations. Il y en a avec les joueurs, les dirigeants, les supporters... Ici, Bourg-en-Bresse a construit un vrai club, derrière les équipes de Julien (Desbottes). Je voulais vraiment continuer à travailler avec tous les collaborateurs. On a réussi à bâtir quelque chose et il faut aller chercher encore plus loin.\n\nJ’ai été attentif aux projets d’amélioration du club mais je sais très bien aussi qu’il y aura un plafond, à un moment donné, que la JL ne pourra pas dépasser. C’est en connaissance de cause. La sérénité dans une carrière, c’est aussi important et je pense sincèrement que c’était le bon choix. Surtout que l’on est en train de vivre une aventure incroyable : on a toujours envie d’aller plus loin. On espère poursuivre la dynamique. Et puis, déménager tous les deux ans, c’est compliqué (rires).\n\nOn va essayer de gagner un titre qui, je sais, est cher au club. Quand on est compétiteur, on veut conquérir. Maintenant, il y a beaucoup de concurrence, ce n’est pas simple. Alors oui, le choix a été compliqué car il y avait aussi en face un beau projet (NDLR : celui de l’ASVEL) : l’Euroleague à coup sûr, jouer des titres à coup sûr, mon amitié avec Tony (Parker)... L’équation n’était pas simple à résoudre.”\n\n« Ça a toujours été en balance à 50-50 avec l’ASVEL »\n\nComment a évolué votre réflexion ? Avez-vous penché pour l’ASVEL à un moment donné ?\n\nFrédéric Fauthoux : “Sincèrement, ça a toujours été en balance, à 50-50. Je connaissais les points forts et les points faibles de chacun. Le curseur n’a jamais trop bougé. La vraie chose qui m’a fait énormément réfléchir, c’est l’Euroleague et le respect de ce que fait Tony (Parker) pour le basket français depuis des années, qu’on soit d’accord ou pas d’accord (rires). La raison, la globalité du projet et l’affection humaine que j’ai ici ont fait pencher la balance (...). Il y avait une proposition de la JL Bourg dès le mois d’octobre : ce n’était pas une question d’argent. La durée et le montant n’ont jamais varié. C’est un choix sportif et de bien-être avant tout.”\n\nQuid de l’incertitude autour de l’avenir financier de l’ASVEL, émanant des difficultés du sponsor Skweek ? Les échos des dernières semaines vous ont-ils inquiété ?\n\nFrédéric Fauthoux : “Forcément, j’entends et j’écoute. Mais j’ai surtout beaucoup parlé avec Tony (Parker) lors de la dernière semaine. C’est ce qui m’a fait prendre ce choix-là.”\n\nPeu de gens disent non à Tony Parker dans le basket français. Comment a-t-il réagi à votre décision ?\n\nFrédéric Fauthoux : “Très bien. Nos relations ont toujours été franches et sincères. Je pense qu’on ne s’est jamais menti. On s’est toujours dit ce que l’on pensait, avec un très grand respect. Il m’a souhaité bonne chance pour l’avenir. Il a même regardé notre demi-finale contre Besiktas et nous souhaite aussi bonne chance pour la finale. Bon, sûrement à Paris aussi, puisqu’il est très heureux qu’il y ait deux clubs français en finale (sourires).\n\nVous êtes un jeune entraîneur... Vous êtes-vous dit que vous auriez encore le temps d’aller à l’ASVEL ?\n\nFrédéric Fauthoux : “Jeune entraîneur ? Cela dépend de ce qu’on veut dire : ça fait 10 ans que j’entraîne des pros, 20 ans si on prend en compte les jeunes. J’ai l’expérience du haut niveau depuis longtemps. L’opportunité de l’ASVEL ou d’un autre club, peut-être qu’elle viendra plus tard, je n’en sais rien. Peut-être que je resterai ici toute ma vie. Vous savez, je n’ai fait qu’un club en tant que joueur. Je ne sais pas de quoi mon avenir sera fait. Ce n’est pas quelque chose qui m’a travaillé plus que ça. Quand on est entraîneur, il ne faut pas regarder trop loin, on sait que ça peut aller vite d’un côté comme de l’autre (rires). A court-moyen terme, c’était ici la meilleure solution.”\n\nDonc vous êtes bien à Bourg-en-Bresse...\n\nFrédéric Fauthoux : “On est pas mal ! Ça restera toujours trop loin du sud-ouest mais personne n’y peut rien malheureusement (rires).”\n\n« Stabiliser le club dans le top 4 serait déjà magique »\n\nQue pouvez-vous viser sportivement pour ces trois prochaines saisons ?\n\nFrédéric Fauthoux : “Se stabiliser, ça voudrait déjà dire qu’on progresse. Le plus facile dans le haut niveau, c’est presque d’arriver en haut. S’y maintenir, c’est le plus compliqué. Là où on ne nous attend pas, c’est poser le club en haut de la pyramide en permanence. Ce serait déjà presque progresser d’y arriver. Mais on le re-répète aussi depuis deux ans : gagner quelque chose, ce serait grandiose. J’ai beaucoup gagné quand je jouais, j’aimerais aussi le faire quand j’entraîne. Il y a beaucoup de choses réunies pour y arriver. Ce serait donc une étape supplémentaire de remporter un trophée. Mais stabiliser le club dans le top 4 serait déjà magique.”\n\nVotre prolongation sera-t-elle un gage de stabilité dans l’effectif ?\n\nFrédéric Fauthoux : “Cela va être le deuxième travail, et pas le plus facile, car j’imagine que beaucoup de nos joueurs vont être sollicités. Mais pour gravir un échelon, c’est toujours mieux de travailler dans la continuité. Plus on garde de joueurs, mieux c’est. Certains sont sous contrat, certains ont des clauses, d’autres vont partir : Zaccharie (Risacher) par exemple. On commencera à mener ce travail dans une dizaine de jours. On a d’autres objectifs à plus court terme (sourire).”\n\nBourg en Euroleague ? « J’ai hâte de me poser la question ! »\n\nPrésident, qu’avez-vous ressenti mercredi après la qualification de la JL Bourg pour la première finale européenne de son histoire ?\n\nJulien Desbottes : “Je regarderai dans le passé plus tard. J’ai été satisfait mais pas comblé. Ça m'a rappelé une époque où je voyais des équipes comme Nanterre, Chalon ou Pau-Orthez en coupe d’Europe. Ça me faisait envie depuis très longtemps. Mais ça ne me fait pas juste envie d’être finaliste et de rentrer penaud. On saura s’en satisfaire si c’est le cas mais, après la qualification en finale, ce n’était pas du tout le sentiment qui était le mien.”\n\nQue vous inspire la ferveur, les écrans géants installés par l’agglomération en vue de cette finale d’Eurocup ?\n\nJulien Desbottes : “Ça m'inspire qu’enfin, la JL Bourg a sa place dans une compétition européenne et que l’environnement bressan a compris ce que ça pouvait représenter. Ce n’est pas du tout un reproche : on a commencé l’aventure européenne il y a quatre ans, on a fait un match contre Badalone puis il y a eu le Covid... Et l’on n’a pas pu recevoir. Ça nous a un petit peu cassé les dents. C’était une de mes frustrations de président. Cette pandémie a quand même créé beaucoup de difficultés.\n\nMais grâce au travail du club, du staff et des joueurs, on est arrivés aujourd’hui à aller là où j’avais envie que le club aille, à savoir dans un engouement populaire vraiment considérable, qui est vraiment précieux. Bien avant la demi-finale, quand on marchait en ville avec Freddy, on nous félicitait déjà. C’est pour ça qu’on le fait : pour partager des moments de bonheur, en prenant chacun notre part. Mais gagner seul dans son coin, ça n’a pas de sens. On va essayer de faire en sorte que ça continue.”\n\nAvez-vous pensé à délocaliser la finale d’Ékinox pour aller dans une salle plus grande ?\n\nJulien Desbottes : “Non, on est chez nous ici. Objectivement, on a vu l’appropriation du public lors de la demi-finale. C’est tellement beau qu’on ne peut pas se priver de ça. Ékinox, c’est notre maison. Pour rien au monde je ne jouerais une finale hors d’Ékinox.”\n\nJulien Desbottes sur le potentiel futur de Frédéric Fauthoux en équipe de France : « L’Eurocup est plus compatible avec l’équipe de France que l’Euroleague »\n\nSi la JL Bourg remporte l’Eurocup, allez-vous disputer l’Euroleague ?\n\nJulien Desbottes : “La règle, c’est que la JL est qualifiée si elle gagne l’Eurocup. Il faut que je m’intéresse un peu au sujet, je n’ai pas trop regardé jusqu’à présent (rires). Comme le disait Freddy, on a une dizaine de jours où il va falloir se focaliser sur d’autres objectifs. Le projet Bourg en Euroleague, ça ne se joue pas cette semaine. Commençons par rester focalisés sur le terrain, voyons ce qu’il se passe et on verra si on a des questions utiles à se poser ou pas.\n\nDe toute façon, c’est toujours un choix entre la raison et la passion. Il faut toujours choisir entre les deux. Je ne suis pas kamikaze, je sais à quel point l'Euroleague est une compétition difficile. Je suis aussi quelqu’un d’ambitieux et j’ai envie de porter la JL au plus haut. Avec les institutions, avec d’autres, avec Freddy, avec François (Lamy) et tout le conseil de surveillance du club, on se réunira le moment venu pour savoir quels sont les moyens qu’il faudrait trouver pour être compétitifs et voir ce qu’il en serait avec les instances de l’Euroleague. Ma vraie réponse, c’est que j’ai hâte de me poser la question !”\n\nComment avez-vous pris les propos du PDG de l’Euroleague, Paulius Motiejunas, qui ne considère pas Bourg comme un possible membre à long terme ?\n\nJulien Desbottes : “Comme les propos de quelqu’un d’intelligent ! C’est aussi simple que ça. Je peux même dire que je suis d’accord avec les propos qui ont été tenus, à date. On reste des challengers et c’est peut-être là qu’on est les meilleurs. De ce que j’ai compris, c’est qu’on ne voit pas Bourg-en-Bresse comme un membre de l’Euroleague sur le long terme. Si je découvre dans un article que les instances préfèrent Paris ou Londres à Bourg-en-Bresse, il faudrait que je démissionne ou que je change de poste, vous ne pensez-pas ? (rires) Évidemment, ça fait partie d’un contexte contre lequel nous ne pouvons pas lutter, et qui est intrinsèque. Real Madrid - Paris, c’est mieux que Real Madrid - Bourg, en tout cas pour ceux qui ne connaissent pas Bourg (rires). À nous de construire gentiment et avec ambition notre projet, comme on l’a fait jusqu’à présent.”\n\nSi Frédéric Fauthoux devient sélectionneur de l’équipe de France, comment cela s’articulerait-il ?\n\nJulien Desbottes : “Pour le mieux. Cela a fait partie des discussions car ça fait partie des hypothèses. Mon sentiment profond, c’est que l’Eurocup est beaucoup plus compatible avec l’équipe de France que l’Euroleague. Ce n’est qu’un avis personnel. C’est compatible avec notre projet de club, avec notre organisation. Tous les signaux sont réunis mais c’est aux gens en charge de prendre cette décision que le choix appartiendra. Évidemment, ça serait une fierté pour nous d’avoir à Bourg-en-Bresse le sélectionneur de l’équipe de France. La place de Freddy pour l’équipe de France est ouverte et pas du tout incompatible avec le projet de la JL. J’ose dire, au contraire. On lui souhaite le meilleur.\n\nMais aujourd’hui, il y a un coach en place, on lui doit le respect. Et il ne faut pas trop polluer notre équipe de France qui a vraiment besoin de réussir pendant les Jeux Olympiques. Faisons les choses dans les bons timings, c’est important. Ça permet souvent de prendre les bonnes décisions au lieu de prendre les mauvaises.”\n\nITW Maxime Courby et Bourg en finale de l’Eurocup : “Il y a 9 ans, on galérait en Pro B”La JL Bourg disputera sa première finale de Coupe d’Europe contre Paris. Alors qu’il n’avait pas joué la moindre minute en playoffs, Maxime Courby a porté le coup fatal à Besiktas dans le moneytime du match 3 de la demie. Réaction du plus ancien des Bressans, qui est arrivé en 2015.BasketEurope.comClément Carton
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Eurocup : Tuomas Iisalo (Paris) élu Coach de l'Année
Tuomas Iisalo a guidé son équipe vers un remarquable bilan de 20 victoires et 1 défaite alors que Paris se prépare à accueillir la JL Bourg lors du premier match de la série de la finale au meilleur des trois qui débute mardi. Avant le début de ces finales, Paris possède le meilleur taux de victoires jamais vu en Eurocup avec 95,2% et est à égalité pour le meilleur total de victoires avec 20. L'exploit d'Iisalo est d'autant plus impressionnant qu'il s'agit de sa première saison en Eurocup et de la deuxième de son club. La marge de victoire moyenne de 19,1 points constitue un nouveau record en Eurocup, tout comme le taux de victoires de l'équipe de 42,8% par au moins 20 points. Gagner 13 de ses 21 matchs, soit 61,9 %, par 15 points ou plus est un autre record dans la compétition.\n\nComme si cela ne suffisait pas, Iisalo fait jouer à son équipe l'un des basket les plus excitants qui soit. La moyenne de 98,4 points de son équipe est la plus élevée de l'histoire de l'Eurocup. On peut en dire autant du taux de réussite à deux-points de 62,8% à Paris, du jamais vu en Eurocup ou en Euroleague. Le Paris Basketball est également en tête de l'Eurocup cette saison avec 26,7 tirs à deux-points par match et 10,8 balles perdues, le plus bas de la ligue. Tout cela donne un indice de performance d'équipe (évaluation) de 116,0 par match, encore une fois une première dans l'une ou l'autre des compétitions depuis 2000.\n\n\nDéjà Coach de l'Année en BCL\n\nTuomas Iisalo, 41 ans, est originaire de Finlande, où il a joué toute sa carrière professionnelle de 14 saisons en tant que shooteur avec un trophée à son actif, la Coupe de Finlande 2009. Il a commencé à entraîner juste après avoir raccroché ses baskets, avec Tapiolan Honka, et un an plus tard, il s'est retrouvé en Allemagne avec Crailsheim, où il est resté cinq saisons, faisant passer le club de la deuxième division à la première et jusqu'à la cinquième place du classement.\n\nLors de son prochain arrêt, Iisalo a guidé Telekom Baskets Bonn à la troisième place du championnat allemand, gagnant ainsi un voyage en Champions League, qu'ils ont remportée en 2023 tout en terminant deuxième en Allemagne. Il a été nommé entraîneur de l'année de la Ligue allemande en 2022 et 2023, et a remporté le même trophée en Champions League la saison dernière.\n\nOn dit qu'Iisalo rend ses entraînements très intenses pour que les matchs semblent plus faciles pour ses joueurs, mais cela n'a pas empêché six d'entre eux de le suivre de Bonn à Paris au cours de l'été, rendant ainsi la transition vers l'Eurocup plus fluide. Ce qui est sûr, c'est qu'Iisalo et Paris étaient prêts à se lancer sur les chapeaux de roue. Ils sont à deux victoires du titre de l'Eurocup avec l'avantage du terrain en finale, et Tuomas Iisalo a tout à voir avec ce succès fulgurant jusqu'à présent.\n\nIisalo est le premier entraîneur finlandais à être élu entraîneur de l'année en EuroCup. Aito Garcia Reneses est le seul entraîneur à avoir remporté ce trophée à deux reprises, avec Gran Canaria en 2015 et avec l'ALBA Berlin en 2019.\n\nLes autres vainqueurs précédents sont : Oktay Mahmuti ode Benetton Treviso en 2009, Ilias Zouros du Panellinios en 2010, Aleksandar Petrovic du Cedevita Zagreb en 2011, Jure Zdovc du Spartak St. Petersbourg en 2012, Fotis Katsikaris du Uxue Bilbao Basket en 2013, Andrea Trinchieri de UNICS Kazan en 2014, Maurizio Buscaglia du Dolomiti Energia Trento en 2016, Pedro Martinez du Valencia Basket en 2017, Sasa Obradovic du Lokomotiv Kouban en 2018, Zvezdan Mitrovic de l'AS Monaco en 2021, Dusan Alimpijevic du Frutti Extra Bursaspor en 2022, et Erdem Can of Turk Telekom Ankara en 2023.\n\nReste à savoir si le Tuomas Iisalo sera également élu Coach de l'année de Betclic Elite. Sasa Obradovic (Monaco) et Freddy Fauthoux (Bourg) seront ses principaux adversaires.
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Pro B : Poitiers explique pourquoi il a embauché Arnaud Marius comme GM
Après avoir aligné 5 défaites de suite pour commencer -et 6 en 7 matches-, le Poitiers Basket 86 a récolté jusqu'ici 15 victoires alors que le championnat est à huit journées de la fin. Aussi le maintien en Pro B est quasiment acquis.\n\n«Il y a un vrai motif de satisfaction car après un démarrage difficile, à tous les étages du club tout le monde est resté solidaire. On s’est serré les coudes, il y a eu des remises en questions, des discussions... Les choix effectués durant l’été sur certains joueurs se sont révélés payants. Cela concrétise un travail de longue haleine,» savoure Eric Pinaud, le vice-président en charge du sportif dans La Nouvelle République.\n\nEric Pinaud explique par ailleurs pourquoi le club confie à Arnaud Marius le poste de manager général. Celui-ci, âgé de 36 ans, travaillait depuis deux ans comme consultant pour le PB6 après être passé par le BCM Gravelines comme GM, l'Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez comme Directeur sportif et servi de scout pour deux franchises NBA.\n\n«Le fait de collaborer depuis deux ans avec Arnaud nous a permis de mesurer les avantages d’avoir quelqu’un qui est vraiment intégré et qui connaît parfaitement le basket. Il possède ses sources, connaît les agents, des scouts aux États-Unis et les jeunes générations. Le PB a pour projet d’être un club incontournable pour la post-formation de gros potentiels et on savait que l’on avait besoin de quelqu’un davantage de ce milieu. Il aura aussi pour mission d’être notre représentant auprès de la LNB et de continuer de faire évoluer le centre de formation avec les coachs présents pour continuer de faire éclore des jeunes. Enfin, il y a aussi tout un volet pour améliorer la performance, avec par exemple la récupération, les relations avec les médias, l’aspect mental...»
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LFB : Landerneau a confirmé son entraîneur Wani Muganguzi
Après une expérience de General Manager au Limoges CSP association, Wani Muganguzi est passé par le Cavigal Nice avant d'arriver à Landerneau comme assistant en 2018 et de prendre le poste de head coach trois ans plus tard.\n\n\Avec le bureau du club, on a décidé de prolonger tout le staff technique, pas seulement l’entraîneur principal. Ce n’est pas parce que l’équipe gagne que Wani est bon ou parce que l’équipe perd que le coach est mauvais. On veut juste continuer à travailler ensemble en incluant tout le club. On doit tous se montrer encore plus performant, staff technique, dirigeants et bénévoles\, commente le président Erwan Croguennec au Télégramme.\n\nRappel des faits : l'équipe bretonne a cumulé 10 défaites sur les 11 premiers matches et en est depuis à 6 victoires en 10 rencontres avec la dernière qui a fait sensation puisque obtenu à Lyon (59-69). Seulement elle est lanterne rouge de Ligue Féminine du fait que le club a été sanctionné de trois points de pénalité à l’issue de la saison régulière, et d'un point en play-down pour «non-respect du budget validé sur la saison 2022-2023, non-respect de l’obligation de constitution du fonds de réserve sur la saison 2022-2023 et la production de documents incomplets, ou non fiables, ou ne présentant pas la réalité de la situation financière du club».\n\n\On est conscient que les résultats n’ont pas forcément été à la hauteur dans un championnat qui est très relevé. Mais cet hiver, malgré les dix défaites, le vestiaire n’a pas tremblé. Aucune joueuse n’est partie au mercato alors que certaines étaient sollicitées. Le public, non plus, ne nous a pas lâchés.\
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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures
Prolongation à Bourg, ASVEL, Équipe de France, Euroleague... Frédéric Fauthoux et Julien Desbottes se livrent\n\nEn conférence de presse, le président Julien Desbottes et le coach Frédéric Fauthoux ont officialisé la prolongation de ce dernier à la tête de la JL Bourg jusqu’en 2027. Focalisés sur la finale d’Eurocup, les deux hommes forts du projet burgien abordent l’avenir avec sérénité et ambition.\n\nIl paraît que vous avez quelque choseà nous annoncer...\n\nJulien Desbottes: “J’ai le plaisir d’avoir à mes côtés notre coach, Frédéric Fauthoux, qui a accepté notre offre de prolongation pour les trois prochaines saisons. Ce sujet a tenu en haleine pratiquement l’ensemble du basket français (sourire). Je suis particulièrement heureux que Freddy soit avec nous depuis deux ans, car on sort de deux saisons tout à fait exceptionnelles, qui ont consolidé et amélioré encore ce qu’on a fait depuis quelques années. Durant nos discussions, j’ai vraiment apprécié que l’un et l’autre ne se soient perdus en chemin. Nous n’avons pas perdu dans la qualité de nos relations. Après cette période de prise de décision, on sort plus fort ensemble.\n\nProlongation à Bourg, ASVEL, Équipe de France, Euroleague... Frédéric Fauthoux et Julien Desbottes se livrentEn conférence de presse, le président Julien Desbottes et le coach Frédéric Fauthoux ont officialisé la prolongation de ce dernier à la tête de la JL Bourg jusqu’en 2027. Focalisés sur la finale d’Eurocup, les deux hommes forts du projet burgien abordent l’avenir avec sérénité et ambition.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nPro B : Jordan Aboudou (Fos) suspendu pour usage de cannabis\n\nPour avoir pris du cannabis, l'ailier de Fos/mer Jordan Aboudou (2,01 m, 33 ans) ne pourra pas reprendre la compétition avant le 7 juin.\n\nPour son dernier match au Palais des sports de Marseille, les Byers ont remporté ce vendredi un succès précieux dans l'optique de se maintenir en Pro B face à Rouen (83-70). Avec ses 25 points et 6 passes, Robert Turner n'est pas étranger à ce rebond après quatre défaites de suite. Fos est ainsi remonté à la 16e place (9 victoires, 19 défaites) puisque dans le même temps Evreux a lourdement chuté face à Antibes (76-96).\n\nPro B : Jordan Aboudou (Fos) suspendu pour usage de cannabisPour avoir pris du cannabis, l’ailier de Fos/mer Jordan Aboudou (2,01 m, 33 ans) ne pourra pas reprendre la compétition avant le 7 juin.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLFB : Landerneau a confirmé son entraîneur Wani Muganguzi\n\nAvant même les playdowns que son équipe va disputer, Wani Muganguzi a été confirmé comme coach de Landerneau.\n\nAprès une expérience de General Manager au Limoges CSP association, Wani Muganguzi est passé par le Cavigal Nice avant d'arriver à Landerneau comme assistant en 2018 et de prendre le poste de head coach trois ans plus tard.\n\n\Avec le bureau du club, on a décidé de prolonger tout le staff technique, pas seulement l’entraîneur principal. Ce n’est pas parce que l’équipe gagne que Wani est bon ou parce que l’équipe perd que le coach est mauvais. On veut juste continuer à travailler ensemble en incluant tout le club. On doit tous se montrer encore plus performant, staff technique, dirigeants et bénévoles\, commente le président Erwan Croguennec au Télégramme.\n\nLFB : Landerneau a confirmé son entraîneur Wani MuganguziAvant même les playdowns que son équipe va disputer, Wani Muganguzi a été confirmé comme coach de Landerneau.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEurocup : Tuomas Iisalo (Paris) élu Coach de l'Année\n\nL'architecte du Paris Basketball, le Finlandais Tuomas Iisalo, a été élu par ses pairs entraîneur de l'année pour la saison 2023-24 de l'Eurocup.\n\nTuomas Iisalo a guidé son équipe vers un remarquable bilan de 20 victoires et 1 défaite alors que Paris se prépare à accueillir la JL Bourg lors du premier match de la série de la finale au meilleur des trois qui débute mardi. Avant le début de ces finales, Paris possède le meilleur taux de victoires jamais vu en Eurocup avec 95,2% et est à égalité pour le meilleur total de victoires avec 20. L'exploit d'Iisalo est d'autant plus impressionnant qu'il s'agit de sa première saison en Eurocup et de la deuxième de son club. La marge de victoire moyenne de 19,1 points constitue un nouveau record en Eurocup, tout comme le taux de victoires de l'équipe de 42,8% par au moins 20 points. Gagner 13 de ses 21 matchs, soit 61,9 %, par 15 points ou plus est un autre record dans la compétition.\n\nEurocup : Tuomas Iisalo (Paris) élu Coach de l’AnnéeL’architecte du Paris Basketball, le Finlandais Tuomas Iisalo, a été élu par ses pairs entraîneur de l’année pour la saison 2023-24 de l’Eurocup.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEuroleague : Monaco tout proche de la 3e place\n\nAfin de prendre la 3e place, l'AS Monaco sera bien inspirée de battre le Bayern Munich lors de la dernière journée d'Euroleague.\n\nTout n'est pas encore figé en Euroleague à une journée de la fin de la saison régulière, mais le Real Madrid (26-7) bien que vaincu par Victoria (91-95) ce vendredi est certain de finir premier et son rival Barcelone a également ficelé sa place dans le top 4 car bénéficiant d'un point average favorable sur ses concurrents directs.\n\nEuroleague : Monaco tout proche de la 3e placeAfin de prendre la 3e place, l’AS Monaco sera bien inspirée de battre le Bayern Munich lors de la dernière journée d’Euroleague.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nNCAA : Caitlin Clark et Iowa en finale\n\nLa superstar Caitlin Clark (1,83 m, 22 ans) et Iowa ont fini par s'imposer à UConn, 71-69, pour remporter leur demi-finale du Final Four et joueront ainsi le titre NCAA contre South Carolina ce dimanche.\n\nCe sera ainsi la deuxième finale consécutive pour Caitlin Clark, la meilleure joueuse universitaire de sa génération et qui est devenue en févrierla meilleure marqueuse de la NCCA de tous les temps et des deux sexes. Iowa avait échoué à ce stade en 2023 face à LSU.\n\nNCAA : Caitlin Clark et Iowa en finaleLa superstar Caitlin Clark (1,83 m, 22 ans) et Iowa ont fini par s’imposer à UConn, 71-69, pour remporter leur demi-finale du Final Four et joueront ainsi le titre NCAA contre South Carolina ce dimanche.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nASVEL : Mbaye Ndiaye en \protocole commotion\\n\nLe Sénégalais de l'ASVEL Mbaye Ndiaye (2,03 m, 25 ans) est revenu meurtri de Valence.\n\nLa seule fausse note à Valence où Villeurbanne a accompli jeudi une performance de haute volée (69-98) a été la chute en deuxième mi-temps de Mbaye Ndiaye qui l'a obligé à quitter le terrain sur une civière avec les vertèbres cervicales enserrées dans une minerve.\n\nASVEL : Mbaye Ndiaye en “protocole commotion”Le Sénégalais de l’ASVEL Mbaye Ndiaye (2,03 m, 25 ans) est revenu meurtri de Valence.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLe Limoges CSP ne récupère pas ses deux victoires auprès du CNOSF\n\nLe Limoges CSP n'a pas convaincu le Comité National Olympique et Sportif Français de lui rendre les deux victoires qui lui ont été retirées pour sa mauvaise gestion.\n\nC'est tout d'abord la DNCCG qui avait pénalisé de trois victoires le CSP et la sanction avait été revue à la baisse par la Chambre d'appel de la FFBB qui avait prononcé à son encontre, le 18 décembre, un retrait de deux victoires assorti dune amende de 10 000 euros. Le conciliateur du CNOSF a jugé que cettesanction est proportionnée, aussi Limoges demeure à la 13e place avec 11 victoires et 14 défaites. Il lui reste comme seule possibilité de recours de saisir le tribunal administratif mais le fera t-il ?\n\nLe Limoges CSP ne récupère pas ses deux victoires auprès du CNOSFLe Limoges CSP n’a pas convaincu le Comité National Olympique et Sportif Français de lui rendre les deux victoires qui lui ont été retirées pour sa mauvaise gestion.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nUne expérience de réalité virtuelle à l’ASVEL\n\nUne expérience inédite pour des personnes hospitalisées va être faite à l’ASVEL: vivre un match de basket en live en réalité virtuelle.\n\nInfinity Nine Media, LDLC ASVEL et Ciril GROUP se sont associés pour proposer une expérience inédite aux patients du Centre Léon Bérard de Lyon grâce à la réalité virtuelle. Unissant leur souhait de rendre le basket accessible à toutes et tous, ces acteurs ont souhaité créer une expérience de réalité virtuelle sur-mesure, « au coeur du match ».\n\nUne expérience de réalité virtuelle à l’ASVELUne expérience inédite pour des personnes hospitalisées va être faite à l’ASVEL: vivre un match de basket en live en réalité virtuelle.BasketEurope.comLa rédaction
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Vidéo : Bayern-Panathinaikos comme si vous étiez sur le terrain
Isaac Bonga et Niels Giffey du Bayern Munich portaient la caméra POV de MindFly lors du dernier match à domicile de la saison de l'Euroleague contre le Panathinaikos Athènes, vendredi, dans le cadre de la 33e journée.\n\nDésormais, vous pouvez non seulement suivre l'action du match de plus près que jamais grâce aux caméras placées dans leurs maillots, mais aussi les entendre parler tout au long de la partie.\n\nEuroleague Basketball et MindFly ont commencé leur collaboration lors du dernier Final Four qui s'est tenu à Kaunas où tous les fans ont eu la possibilité de revivre certains des meilleurs moments de la phase finale de l'Euroleague comme s'ils étaient à l'intérieur du terrain. Cette saison, le lancement de la même technologie a permis aux fans de vivre ainsi plusieurs matches notamment le derby français ASVEL-Monaco.
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16 clubs en ABA League la saison prochaine dont Dubaï
Ce bouleversement signifie qu'il n'y aura pas de relégation cette saison, écrit Mozzartsport et en plus de Dubaï, le vainqueur de la ligue ABA 2 va accéder au plus haut niveau. Il est également possible désormais que six clubs d'un même pays participent à la compétition régionale la plus forte. Cela signifie qu'il n'y aura aucun obstacle pour qu'un autre club serbe puisse être inclus à la compétition en cas de victoire dans la ligue ABA 2. Actuellement, trois clubs serbes occupent les trois premières positions de cette compétition, le premier étant le Spartak, suivi de Voïvodine et de Zlatibor.\n\nRécemment, des informations sont apparues selon lesquelles Dubaï pouvait entrer dans la ligue serbe à l'initiative de l'entraîneur serbe Svetislav Pešić, mais ce ne sera pas le cas. Lequel Pesic pourrait être l'entraîneur de l'équipe du Moyen Orient qui devrait se servir de l'ABA League et de l'Eurocup comme marche-pied vers l'Euroleague. On s'attend à ce que cette nouvelle équipe soit très incisive sur le marché des transferts.
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LFB : Le programme des playoffs et des playdowns
A l’issue de la 22e journée disputée ce samedi, le classement final de la saison 2023-2024 de la Ligue Féminine est désormais connu. Les équipes classées de 1 à 8 joueront les playoffs pour déterminer le Champion de France LFB 2024. Les quatre dernières formations participeront aux playdowns pour leur maintien dans l’élite.\n\nLes résultats de la 22e journée\n\nLattes Montpellier -Bourges58-91\n\nAngers- Tarbes71-66\n\nRoche Vendée -Charleville-Mézières73-79\n\nBasket Landes- Landerneau94-60\n\nSaint-Amand -Villeneuve d’Ascq61-85\n\nLyon -Charnay69-85\n\nLe classement officiel à l'issue de la saison régulière\n\nPlayoffs LFB 2024\n\nLes équipes classées de 1 à 8 participent aux playoffs. Le vainqueur est sacré Champion de France LFB 2024. Il est également qualifié pour l’Euroleague 2024-2025.\n\nLes quarts ET les demi-finales des playoffs se disputent en match aller/retour avec match retour chez le mieux classé à l’issue de la saison régulière. Les résultats à égalité sont admis sur ces rencontres.\n\nQuarts de finale: tous les matchs surSport en FranceetSkweek\n\nAller - Jeudi 18 avril\n\nLyon (6) - Basket Landes (3) à 19h00\n\nTarbes (7) - Bourges (2) à 20h50\n\nAller - Vendredi 19 avril\n\nCharnay (5) - Lattes Montpellier (4) à 19h00\n\nAngers (8) - Villeneuve d’Ascq (1) à 20h50\n\nRetour - Lundi 22 avril\n\nBasket Landes (3) - Lyon (6) à 19h00\n\nBourges (2) - Tarbes (7) à 20h50\n\nRetour - Mardi 23 avril\n\nLattes Montpellier (4) - Charnay (5) à 19h00\n\nVilleneuve d’Ascq (1) - Angers (8) à 20h50\n\nDemi-finales : jeudi 2 mai (19h / 20h50) et dimanche 5 mai (14h30 / 16h15) surSport en FranceetSkweek\n\nVainqueur 1/8 - Vainqueur 4/5\n\nVainqueur 2/7 - Vainqueur 3/6\n\nFinale- En direct surSport en FranceetSkweek\n\nMatch 1 - Samedi 11 mai à 20h45\n\nMatch 2 - Vendredi 17 mai à 20h45\n\nMatch 3(si nécessaire) - Dimanche 19 mai à 15h15\n\nLa finale se joue en deux matchs gagnants avec match retour et belle éventuelle sur le terrain du mieux classé à l’issue de la saison régulière.\n\nPlaydowns LFB 2024\n\nLes équipes classées de 9 à 12 participent aux playdowns. Un classement intermédiaire est établi en tenant compte des rencontres jouées entre ces équipes lors de la saison régulière :\n\n1. Charleville-Mézières (10 points | 4-2)\n\n2. Saint-Amand (9 points | 3-3)\n\n3. Roche Vendée** (8 points | 3-3)\n\n4. Landerneau** (7 points | 2-4)\n\n** Les équipes de Landerneau et Roche Vendée ont été sanctionnées d’un retrait d’un point en playdowns par la Commission de Contrôle de Gestion.\n\nSur la base de ce classement, elles disputent les playdowns en matches aller/retour.\n\nCalendrier des playdowns (sous réserve de demande de dérogation)\n\nJournée 1 - 19/04/2024 - 20h00\n\nLanderneau (4) - Charleville-Mézières (1)\n\nRoche Vendée (3) - Saint-Amand (2)\n\nJournée 2 - 23/04/2024 - 20h00\n\nCharleville-Mézières (1) - Roche Vendée (3)\n\nSaint-Amand (2) - Landerneau (4)\n\nJournée 3 - 02/05/2024 - 20h00\n\nSaint-Amand (2) - Charleville-Mézièress (1)\n\nLanderneau (4) - Roche Vendée (3)\n\nJournée 4 - 05/05/2024 - 15h30\n\nCharleville-Mézières (1) - Landerneau (4)\n\nSaint-Amand (2) - Roche Vendée (3)\n\nJournée 5 - 10/05/2024 - 20h00\n\nRoche Vendée (3) - Charleville-Mézières (1)\n\nLanderneau (4) - Saint-Amand (2)\n\nJournée 6 - 14/05/2024 - 20h00\n\nCharleville-Mézières (1) - Saint-Amand (2)\n\nRoche Vendée (3) - Landerneau (4)\n\nUn classement final sera ensuite établi en cumulant, pour chaque équipe, les six rencontres de la saison régulière et les six autres jouées en playdowns. L’équipe classée 4e est reléguée sportivement en Ligue Féminine 2.\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nA l’issue de la 22e journée disputée ce samedi, le classement final de la saison 2023-2024 de la Ligue Féminine de BasketBall est désormais connu. Les équipes classées de 1 à 8 joueront les playoffs pour déterminer le Champion de France LFB 2024. Les quatre dernières formations participeront aux playdowns pour leur maintien dans l’élite.\n\n\n\n\n\nLes résultats de la 22e journée\n\nLattes Montpellier -Bourges58-91\nAngers- Tarbes71-66\nRoche Vendée -Charleville-Mézières73-79\nBasket Landes- Landerneau94-60\nSaint-Amand -Villeneuve d’Ascq61-85\nLyon -Charnay69-85Le classement officiel à l'issue de la saison régulière\nLes équipes à égalité de points au classement ont été départagées de la façon suivante (art. 17 desRèglements Sportifs Généraux de la FFBB) :\n * Égalité à deux équipes : classement effectué en tenant compte des rencontres jouées entre elles. Si l’égalité persiste, les équipes sont départagées selon le point average (points marqués - points encaissés) particulier puis général.\n * Egalité à trois équipes ou plus : classement effectué en tenant compte des rencontres directes (mini-championnat) puis, si l’égalité persiste, selon le point average des rencontres directes.\n\n\n\n\n\n\n\nPlayoffs LFB 2024Les équipes classées de 1 à 8 participent aux playoffs. Le vainqueur est sacré Champion de France LFB 2024. Il est également qualifié pour l’Euroligue 2024-2025.\nLes quartsETles demi-finales des playoffs se disputent en match aller/retour avec match retour chez le mieux classé à l’issue de la saison régulière. Les résultats à égalité sont admis sur ces rencontres (art. 5.1c desRèglements Sportifs Généraux de la FFBB).Quarts de finale :tous les matchs surSport en FranceetSkweekAller - Jeudi 18 avrilLyon (6) - Basket Landes (3) à 19h00\nTarbes (7) - Bourges (2) à 20h50Aller - Vendredi 19 avril\nCharnay (5) - Lattes Montpellier (4) à 19h00\nAngers (8) - Villeneuve d’Ascq (1) à 20h50Retour - Lundi 22 avril\nBasket Landes (3) - Lyon (6) à 19h00\nBourges (2) - Tarbes (7) à 20h50Retour - Mardi 23 avril\nLattes Montpellier (4) - Charnay (5) à 19h00\nVilleneuve d’Ascq (1) - Angers (8) à 20h50Demi-finales :jeudi 2 mai (19h / 20h50) et dimanche 5 mai (14h30 / 16h15)surSport en FranceetSkweek\nVainqueur 1/8 - Vainqueur 4/5\nVainqueur 2/7 - Vainqueur 3/6Finale- En direct surSport en FranceetSkweekMatch 1 - Samedi 11 mai à 20h45\nMatch 2 - Vendredi 17 mai à 20h45\nMatch 3(si nécessaire)- Dimanche 19 mai à 15h15La finale se joue en deux matchs gagnants avec match retour et belle éventuelle sur le terrain du mieux classé à l’issue de la saison régulière.Sport en France: Canal+ (78) | Orange (174) | Bouygues (192) | FREE (190) | SFR (129) | Molotov.TV | Application Mobile : App Store & Google Play |www.sportenfrance.com\nSkweek:https://app.skweek.tv/\n\n\n\n\n\nPlaydowns LFB 2024Les équipes classées de 9 à 12 participent aux playdowns. Un classement intermédiaire est établi en tenant compte des rencontres jouées entre ces équipes lors de la saison régulière :1. Charleville-Mézières (10 points | 4-2)\n2. Saint-Amand (9 points | 3-3)\n3. Roche Vendée** (8 points | 3-3)\n4. Landerneau** (7 points | 2-4)** Les équipes de Landerneau et Roche Vendée ont été sanctionnées d’un retrait d’un point en playdowns par la Commission de Contrôle de Gestion.Sur la base de ce classement, elles disputent les playdowns en matches aller/retour.\nCalendrier des playdowns(sous réserve de demande de dérogation)Journée 1 - 19/04/2024 - 20h00\nLanderneau (4) - Charleville-Mézières (1)\nRoche Vendée (3) - Saint-Amand (2)Journée 2 - 23/04/2024 - 20h00Charleville-Mézières (1) - Roche Vendée (3)\nSaint-Amand (2) - Landerneau (4)Journée 3 - 02/05/2024- 20h00Saint-Amand (2) - Charleville-Mézièress (1)\nLanderneau (4) - Roche Vendée (3)Journée 4 - 05/05/2024- 15h30Charleville-Mézières (1) - Landerneau (4)\nSaint-Amand (2) - Roche Vendée (3)Journée 5 - 10/05/2024- 20h00Roche Vendée (3) - Charleville-Mézières (1)\nLanderneau (4) - Saint-Amand (2)Journée 6 - 14/05/2024- 20h00Charleville-Mézières (1) - Saint-Amand (2)\nRoche Vendée (3) - Landerneau (4)\nUn classement final sera ensuite établi en cumulant, pour chaque équipe, les six rencontres de la saison régulière et les six autres jouées en playdowns. L’équipe classée 4e est reléguée sportivement en Ligue Féminine 2.\n\n\n\n
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Vidéo : La remontée limougeaude face à Saint-Quentin
Privé de Mathias Dossou-Yovo et de Melvin Ajinça, SQBB a réalisé une première mi-temps d'excellente facture pour mener un temps de 15 points (38-53). C'est alors que le CSP a doublé son intensité défensive et Danilo Nikolic (20 points), Nicolas Lang, Kameron McGusty et Nemanja Nenadic (14 chacun) lui ont permis de revenir au score. Le palais des sports de Beaublanc a ensuite fait son oeuvre et Saint-Quentin a failli dans le money time notamment aux lancers-francs.\n\n« Ce n’est pas facile de les mettre ici à ce moment du match. Cela faisait beaucoup de bruit... », a commenté le coach Julien Mahé, rapporte Le Populaire.\n\nChacun à Limoges a remarqué que la propriétaire du club Céline Forté est parti de la salle avant la fin et n'a pas vu ainsi les paniers décisifs de Nemanja Nenadic et Kameron McGusty. Dans une banderole cruelle, les Ultras Green ont indiqué le temps et le kilométrage nécessaires pour rallier Limoges à Caen. Une invitation à retourner définitivement dans sa ville. Et ce n'est pas une victoire de plus ou de moins qui va rabibocher les exigeants supporters du CSP avec la direction du club.\n\nLe maintien sportif paraît définitivement assuré. Pour le reste, la suite au prochain épisode.
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Roanne est dans le pétrin
C'était ce que l'on appelle un tournant car les deux équipes luttent pour le maintien. On pouvait s'attendre à une partie serrée, or les Bourguignons l'ont menée de bout en bout avec 23 points et 9 rebonds de Kaleb Wesson.\n\nA Roanne, seul le trio DJ Cooper-Sekou Doumbouya-Yannis Morin a fait le taf. Encore une fois la production des étrangers fut dramatique : 1 d'évaluation pour Jordan Tucker, -1 pour Cyril Langevine, et -2 pour Kellan Grady. C'est le nouveau venu, Wayne Selden, qui s'en sort le mieux -si l'on peut dire- avec 5.\n\nRoanne a perdu le match, le point-average et aussi Gravelines a réalisé pendant ce temps un bel exploit en s'imposant à Cholet (72-84) et se retrouve à 10 victoires sur les 10 derniers matches. Ce n'est pas le profil d'une équipe qui va descendre... Le coach Marc Berjoan et Yannis Morin ne pouvaient pas dire à la fin du match que les carottes sont cuites, mais ils ont bien conscience de la situation. Propos rapportés par Le Progrès :\n\n«C’est un naufrage défensif, a reconnu le coach. En encaissant 105 points à l’extérieur, c’est impossible de gagner. On a essayé beaucoup de choses tactiques, mais il faut avoir les bonnes attitudes. C’est un problème de capacités, pas forcément d’avoir conscience de l’enjeu. C’est désolant, je ne vous le fais pas dire et j’en suis le premier désolé. L’étau se resserre dangereusement, mais ce n’est pas fini.»\n\n«C’est énervant un match comme ça. On a préparé avec le coach des rotations défensives particulièresetc... Et c’est un désastre défensif, a repris Yannis Morin. On ne met pas tous du cœur, il faut accepter de se faire mal. On a été dominés 40 minutes et on ne s’est pas du tout accroché. Il reste un espoir et chacun doit faire le boulot, être professionnel.»
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LFB - David Gautier (ASVEL) : \Le sort s'acharne...\
Avant le match, le club lyonnais avait averti qu'en plus de Julie Allemand, Marine Fauthoux, Juste Jocyte et Gabby Williams, indisponibles pour le restant de la saison, Marine Johannes, Alice Kunek, et aussi Endy Miyem et Sandrine Gruda étaient inaptes pour ce dernier match de saison régulière. Ce n'est pas tout ! L'Espagnole Laura Quevedo s'est blessée sur un choc sur un rebond dès la 7e minute.\n\nAinsi dépenaillée, l'ASVEL n'a pas pu rivaliser avec Charnay (69-85) malgré les bonnes volontés et 46 points de la paire Shyla Heal-Alexia Chery.\n\n«On a tout donné avec nos armes, les gamines se sont battues mais le sort s’acharne. C’est très dur pour tout le monde. Normalement, on devrait être là pour préparer les playoffs et jouer un titre. Malheureusement, on a peu de joueuses valides», a lâché le coach David Gautier, rapporte Le Progrès.\n\nUn match ASVEL-Basket Landes, deux équipes d'Euroleague, c'est une affiche de finale ou de demi-finale pour le moins. Ce sera donc pour un quart. Combien de joueuses professionnelles David Gautier pourra t-il avoir sous la main le jeudi 18 avril pour le manche aller ? En tous les cas, à Basket Landes on reste très prudent.\n\n«Lyon reste Lyon, mais quel que soit l’adversaire, on savait que ce serait compliqué. De toute façon, si tu veux faire quelque chose, à la fin, il faut gagner,» a rappelé la coach Julie Barennes.
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Le SLUC Nancy est champion de France espoirs
Ce titre est obtenu alors qu'il reste encore six journées de saison régulière, mais les garçons du coach Pierre Verdière possèdent pas moins de sept victoires d'avance sur le trio Limoges-Nanterre-Monaco et ne peuvent plus ainsi être rejoints.\n\nLe SLUC n'a concédé que 2 défaites jusqu'ici face à l'ASVEL et Le Mans. Guillaume Grotzinger (21,6 points, 7,3 passes et 21,6 d'évaluation) et Yves-Raymond Mballa Noah (13,8 points, 11,9 rebonds et 20,7 d'éval) sont ses deux leaders.\n\nLe SLUC a été champion précédemment en 2004, 2005, 2006, et 2017.
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Son ancien coach Nenad Markovic réclame plus de 400 000 euros à la JDA Dijon
On recense à ce jour huit changements de coach cette saison en Betclic Elite dont celui survenu à la JDA Dijon où Nenad Markovic a été remplacé à la mi-décembre par Laurent Legname. Avec le Bosnien sur le banc, le club bourguignon avait remporté 6 victoires en 15 matches de Betclic Elite -et aussi 5 victoires en 5 matches en BCL, ce qui l'avait qualifié pour le top 16. Il en est à ce jour à 12 victoires en 28 matches soit 6-13 sous l'ère Laurent Legname.\n\nCes changements peuvent s'avérer payants sportivement (ou pas) mais ont aussi très souvent un coût. Dans un communiqué, l'avocat de Nenad Markovic, Xavier Le Cerf-Galle, fait savoir qu'un accord à l'amiable n'a pas été trouvé entre son client et le club et c'est pourquoi une procédure prud’homale a été engagée.\n\n\n\Je sollicite à titre d’indemnité de licenciement abusif le paiement de son contrat courant jusqu’au au 30 juin 2025, le paiement d’arriérés de primes d’intéressement et des dommages et intérêts pour le préjudice causé. Au total je demande la condamnation de JDA Dijon à 401.678€. Nous attendons d’être convoqués par le tribunal pour une première audience destinée à essayer de trouver la voie d’une conciliation\, écrit l'avocat dans un communiqué.\n\nNenad Markovic a depuis son licenciement retrouvé une place à Sassari, actuellement 10e du championnat italien avec 12 victoires et 13 défaites.
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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures
À Lyon, c’est plus cher de voir les Bleus que les Rolling Stones\n\nVoir les équipes de France de basket est un plaisir qui n’est pas donné à toutes les bourses.\n\nLa catégorie 5 à 80 euros affiche déjà complet. Aussi, si vous voulez assister aux deux France-Serbie et à la cérémonie de retrait du maillot bleu de Tony Parker, à la LDLC Arena de Décines, dans la métropole lyonnaise,le vendredi 12 juillet, il faut débourser minimum 100 euros et jusqu’à 800 euros pour un siège bord terrain. Le prix moyen d’une place se situe à 200 ou 300 euros.\n\nLes fans ont ha-llu-ci-né quand ils ont vu ces tarifs. On a pu lirenotamment ces commentaires sur les réseaux sociaux :«J'habite à 5 minutes et je ne vais même pas pouvoir y aller parce que le prix des places... C'est juste pas possible, surtout en étant étudiante.» «C'était censé être accessible pour tous... 800 €, c'est accessible en effet si on mange des patates pendant 1 an !»Et encore pour une autre catégorie d’âge:«Pour un retraité sans grands moyens qui doit se déplacer depuis le Var puis payer un hébergement, c'est une s... Donc, non.»\n\nÀ Lyon, c’est plus cher de voir les Bleus que les Rolling StonesVoir les équipes de France de basket est un plaisir qui n’est pas donné à toutes les bourses.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\nNancy se paye Monaco sur le Rocher !\n\nLe SLUC Nancy s'est offert un succès de prestige face à l'AS Monaco à Gaston-Médecin (86-100), ce qui lui permet d'asseoir définitivement sa place dans l'élite et de croire à une qualification aux playoffs.\n\nL'homme du match a été le meneur américain Chris Clemons (1,77 m, 26 ans) qui pour sa sixième apparition dans l'équipe de Sylvain Lautié a compilé 27 points à 10/19 aux shoots dont un 6/14 derrière l'arc, 7 passes, et 6 rebonds pour 28 d'évaluation. Cela alors qu'il tournait jusqu'ici à 13,0 points, 5,0 passes et 2,6 rebonds.\n\nNancy se paye Monaco sur le Rocher !Le SLUC Nancy s’est offert un succès de prestige face à l’AS Monaco à Gaston-Médecin (86-100), ce qui lui permet d’asseoir définitivement sa place dans l’élite et de croire à une qualification aux playoffs.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLFB - David Gautier (ASVEL) : \Le sort s'acharne...\\n\nL'ASVEL a abandonné la 5e place de la saison régulière à Charnay et va retrouver Basket Landes en quart-de-finale des playoffs. La conclusion d'une saison régulière catastrophique pour le champion de France en titre.\n\nAvant le match, le club lyonnais avait averti qu'en plus de Julie Allemand, Marine Fauthoux, Juste Jocyte et Gabby Williams, indisponibles pour le restant de la saison, Marine Johannes, Alice Kunek, et aussi Endy Miyem et Sandrine Gruda étaient inaptes pour ce dernier match de saison régulière. Ce n'est pas tout ! L'Espagnole Laura Quevedo s'est blessée sur un choc sur un rebond dès la 7e minute.\n\nLFB - David Gautier (ASVEL) : “Le sort s’acharne...”L’ASVEL a abandonné la 5e place de la saison régulière à Charnay et va retrouver Basket Landes en quart-de-finale des playoffs. La conclusion d’une saison régulière catastrophique pour le champion de France en titre.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLFB - David Gautier (ASVEL) : \Le sort s'acharne...\\n\nL'ASVEL a abandonné la 5e place de la saison régulière à Charnay et va retrouver Basket Landes en quart-de-finale des playoffs. La conclusion d'une saison régulière catastrophique pour le champion de France en titre.\n\nAvant le match, le club lyonnais avait averti qu'en plus de Julie Allemand, Marine Fauthoux, Juste Jocyte et Gabby Williams, indisponibles pour le restant de la saison, Marine Johannes, Alice Kunek, et aussi Endy Miyem et Sandrine Gruda étaient inaptes pour ce dernier match de saison régulière. Ce n'est pas tout ! L'Espagnole Laura Quevedo s'est blessée sur un choc sur un rebond dès la 7e minute.\n\nLFB - David Gautier (ASVEL) : “Le sort s’acharne...”L’ASVEL a abandonné la 5e place de la saison régulière à Charnay et va retrouver Basket Landes en quart-de-finale des playoffs. La conclusion d’une saison régulière catastrophique pour le champion de France en titre.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLe SLUC Nancy est champion de France espoirs\n\nEn s'imposant à Monaco (68-76), le SLUC Nancy est devenu champion de France espoirs pour la 5e fois de son histoire.\n\nCe titre est obtenu alors qu'il reste encore six journées de saison régulière, mais les garçons du coach Pierre Verdière possèdent pas moins de sept victoires d'avance sur le trio Limoges-Nanterre-Monaco et ne peuvent plus ainsi être rejoints.\n\nLe SLUC Nancy est champion de France espoirsEn s’imposant à Monaco (68-76), le SLUC Nancy est devenu champion de France espoirs pour la 5e fois de son histoire.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nRoanne est dans le pétrin\n\nEn s'effondrant à Chalon (105-86), la Chorale de Roanne se retrouve un pied en Pro B.\n\nC'était ce que l'on appelle un tournant car les deux équipes luttent pour le maintien. On pouvait s'attendre à une partie serrée, or les Bourguignons l'ont menée de bout en bout avec 23 points et 9 rebonds de Kaleb Wesson.\n\nA Roanne, seul le trio DJ Cooper-Sekou Doumbouya-Yannis Morin a fait le taf. Encore une fois la production des étrangers fut dramatique : 1 d'évaluation pour Jordan Tucker, -1 pour Cyril Langevine, et -2 pour Kellan Grady. C'est le nouveau venu, Wayne Selden, qui s'en sort le mieux -si l'on peut dire- avec 5.\n\nRoanne est dans le pétrinEn s’effondrant à Chalon (105-86), la Chorale de Roanne se retrouve un pied en Pro B.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nVidéo : La remontée limougeaude face à Saint-Quentin\n\nBeaublanc a éructé comme aux plus belles heures lorsque Kameron McGusty a planté le panier de la victoire sur Saint-Quentin (83-80).\n\nVidéo : La remontée limougeaude face à Saint-QuentinBeaublanc a éructé comme aux plus belles heures lorsque Kameron McGusty a planté le panier de la victoire sur Saint-Quentin (83-80).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLFB : Le programme des playoffs et des playdowns\n\nLa saison régulière de Ligue Féminine est terminée. Place aux playoffs et aux playdowns.\n\nA l’issue de la 22e journée disputée ce samedi, le classement final de la saison 2023-2024 de la Ligue Féminine est désormais connu. Les équipes classées de 1 à 8 joueront les playoffs pour déterminer le Champion de France LFB 2024. Les quatre dernières formations participeront aux playdowns pour leur maintien dans l’élite.\n\nLes résultats de la 22e journée\n\nLattes Montpellier -Bourges58-91\n\nAngers- Tarbes71-66\n\nRoche Vendée -Charleville-Mézières73-79\n\nBasket Landes- Landerneau94-60\n\nSaint-Amand -Villeneuve d’Ascq61-85\n\nLyon -Charnay69-85\n\nLe classement officiel à l'issue de la saison régulière\n\nLFB : Le programme des playoffs et des playdownsLa saison régulière de Ligue Féminine est terminée. Place aux playoffs et aux playdowns.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n16 clubs en ABA League la saison prochaine dont Dubaï\n\nC'est officiel, l'équipe de Dubaï fera partie à partir de la saison prochaine de la Ligue Adriatique qui va avoir un plateau de 16 clubs.\n\nCe bouleversement signifie qu'il n'y aura pas de relégation cette saison, écritMozzartsportet en plus de Dubaï, le vainqueur de la ligue ABA 2 va accéder au plus haut niveau. Il est également possible désormais que six clubs d'un même pays participent à la compétition régionale la plus forte. Cela signifie qu'il n'y aura aucun obstacle pour qu'un autre club serbe puisse être inclus à la compétition en cas de victoire dans la ligue ABA 2. Actuellement, trois clubs serbes occupent les trois premières positions de cette compétition, le premier étant le Spartak, suivi de Voïvodine et de Zlatibor.\n\n16 clubs en ABA League la saison prochaine dont DubaïC’est officiel, l’équipe de Dubaï fera partie à partir de la saison prochaine de la Ligue Adriatique qui va avoir un plateau de 16 clubs.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nPro B : Poitiers explique pourquoi il a embauché Arnaud Marius comme GM\n\nLa situation s'est éclaircie au Poitiers Basket 86 qui regarde droit devant.\n\nAprès avoir aligné 5 défaites de suite pour commencer -et 6 en 7 matches-, le Poitiers Basket 86 a récolté jusqu'ici 15 victoires alors que le championnat est à huit journées de la fin. Aussi le maintien en Pro B est quasiment acquis.\n\n«Il y a un vrai motif de satisfaction car après un démarrage difficile, à tous les étages du club tout le monde est resté solidaire. On s’est serré les coudes, il y a eu des remises en questions, des discussions... Les choix effectués durant l’été sur certains joueurs se sont révélés payants. Cela concrétise un travail de longue haleine,» savoure Eric Pinaud, le vice-président en charge du sportif dans La Nouvelle République.\n\nPro B : Poitiers explique pourquoi il a embauché Arnaud Marius comme GMLa situation s’est éclaircie au Poitiers Basket 86 qui regarde droit devant.BasketEurope.comLa rédaction
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Le président de la fédération italienne victime d'un spectaculaire accident
Alors qu'il prenait un virage, le président de la FIP est sorti de la route, finissant dans un ravin de 7-8 mètres. Giovanni Petrucci a été transporté par hélicoptère à l'hôpital San Camillo, tandis que sa femme a pris la direction du Polyclinique Tor Vergata. L'image du véhicule de Giovanni Petrucci, diffusée par la RAI est très inquiétante, mais dans un communiqué, la fédération italienne se veut rassurante :\n\n\En référence à l'accident de voiture survenu hier (samedi) au président Giovanni Petrucci, la Fédération italienne de basket-ball annonce que le président a passé une nuit paisible et qu'aucune complication n'est survenue au cours des dernières heures. Petrucci lui-même, dont l'évolution semble régulière, reste sous observation et surveillance constantes à l'hôpital San Camillo de Rome. Conditions stables et sans gravité également pour l'épouse du président Petrucci, Raffaela Visonà, impliquée dans l'accident et hospitalisée à la polyclinique Tor Vergata. Elle non plus ne court aucun danger pour sa vie.\\n\nGiovanni Petrucci a été élu une première fois président de la Fédération italienne de basketball en 1992 et réélu en 1996.Il a été président du Comité National Olympique italien de 1999 à 2012. Il est revenu à la tête du basketball en 2013.\n\n
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Nancy se paye Monaco sur le Rocher !
L'homme du match a été le meneur américain Chris Clemons (1,77 m, 26 ans) qui pour sa sixième apparition dans l'équipe de Sylvain Lautié a compilé 27 points à 10/19 aux shoots dont un 6/14 derrière l'arc, 7 passes, et 6 rebonds pour 28 d'évaluation. Cela alors qu'il tournait jusqu'ici à 13,0 points, 5,0 passes et 2,6 rebonds.\n\nMais l'homme du money time fut le MVP du championnat espoir 2021, Clément Frisch (2,01 m, 22 ans), qui a totalisé 12 points dans le dernier quart-temps dont 10 points de suite pour son équipe. Et de différentes façons, dunk en contre-attaque ou trois-points. Il aura joué 22 minutes rentabilisées avec 19 points et 6 rebonds.\n\nA l'image de Mike James, l'AS Monaco a totalement déjoué dans ces dix dernières minutes allant jusqu'à encaisser 100 points alors que sa moyenne en défense était la meilleure du championnat avec 73,9 points. Il s'agit de la première défaite de la Roca Team à Gaston-Médecin en championnat. Ses joueurs sont forcément émoussés avec les batailles bi-hebdomadaires et le SLUC a su parfaitement en profiter.\n\nChris Clemons est bouillant 🔥\n5 points d'avance pour @SLUCbasketNancy face à Monaco avant le dernier QT 😤#BetclicELITE pic.twitter.com/qCTE4mgQ0P\n\n— LNB (@LNBofficiel) April 7, 2024\n
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Betclic Elite : l’ASVEL marche à la confiance
Edwin Jackson est en forme. Auteur de quatre sorties consécutives à plus de 10 points, l’arrière villeurbannais a sorti le grand jeu dimanche soir contre Nanterre, son ancienne équipe. Il a compilé 22 points à 8/14 aux tirs dont 4/7 à 3-points, mais aussi 5 passes décisives, 3 rebonds et 2 interceptions pour 26 d’évaluation en 22 minutes. Son record de points de la saison. Cela valait bien quelques accolades avec ses coéquipiers suivies d’une ovation de l’Astroballe, à moins de 3 minutes de la fin, quand les débats étaient pliés.\n\n« Pour une fois, je vais le mettre en avant. Edwin mérite amplement sa performance et d’être ovationné comme il l’a été. C'est un exemple. Le groupe peut compter sur lui au quotidien. Il a une attitude de très haut niveau », a confié son coach Pierric Poupet au Progrès après la rencontre. Un technicien en confiance, “toujours ultra-positif”, avec “de belles valeurs”, et qui a “gagné le respect de tous”, dixit Edwin Jackson.\n\n\nUn groupe revanchard\n\nL’ASVEL a ainsi refait le plein de confiance. Premièrement, elle a de nouveau gagné avec un écart conséquent (100-76), trois jours après la démonstration à Valence, le tout en responsabilisant dix joueurs pratiquement à parts égales malgré les absences de Mike Scott et Mbaye Nidaye. Deuxièmement, elle a pris sa revanche sur un adversaire qui l’avait battu en tout début de saison (85-81) mais surtout qui l’avait éliminée en quarts de finale de la Leaders Cup à Saint-Chamond. Troisièmement, elle remet Nanterre, 5e, à trois victoires derrière Villeurbanne et Bourg, ce qui lui assure pratiquement une place dans le top 4. De quoi combler l’entraîneur.\n\n« J’avais demandé aux gars de montrer qu’à la Leaders Cup, ce n’était pas nous. Le plan de cibler Fall Faye a bien fonctionné, et il était important d’asseoir notre domination physique, ce que nous n’avions pas fait à la Leaders Cup. Cela montre qu’on évolue. Ce que nous avons fait cette semaine est très intéressant. Il faut rester très humbles, continuer d’avancer, mais ne pas bouder notre plaisir », ajouta Pierric Poupet dans le journal local.\n\nL’ASVEL conclura sa saison d’Euroleague vendredi à la LDLC Arena contre Barcelone avant de se lancer dans le sprint final en championnat. Et l’on sait que Villeurbanne a pris l’habitude de finir encore plus fort dès lors qu’il n’y avait plus de compétition européenne à jouer.
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NCAA : Caitlin Clark et Iowa s’inclinent en finale, le titre pour South Carolina
Caitlin Clark n’ira pas au bout de son rêve américain. L’aventure universitaire du phénomène de 22 ans a pris fin dimanche soir sur une défaite contre le favori de l'édition 2024, les South Carolina Gamecocks (75-87), qui remportent leur troisième titre après 2017 et 2022. En finale, la meneuse d’Iowa a compilé 30 points, 8 rebonds et 5 passes décisives mais elle a également manqué d’adresse (10/28 aux tirs).\n\nCe revers des Hawkeyes en finale, un an après celui contre LSU, marque la fin de l’ère Clark en NCAA. Promise dans une semaine à la place de numéro un de la draft WNBA, le lundi 15 avril, Caitlin Clark aura malgré tout marqué à jamais l’histoire du championnat universitaire américain en devenant cette saison la meilleure marqueuse de tous les temps et en faisant tomber le record d’audience pour un match de NCAA féminin avec 12,3 millions de personnes devant ESPN pour la revanche de la finale 2023 en quarts de finale, dépassant un record établi en 1983.\n\nAu-delà du phénomène Clark, soulignons l’exceptionnelle saison de South Carolina, qui fait partie des neufs équipes féminines ayant triomphé et terminé une année invaincue. Ce qui n’était plus arrivé depuis Connecticut en 2016.
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Pro B : Denain se sépare de Rémy Valin
Rémy Valin n’est plus l’entraîneur de Denain-Voltaire. Le club nordiste a confirmé l’information ce lundi matin dans un communiqué, invoquant des résultats sportifs décevants. “L’objectif est de rendre possible une réaction absolument nécessaire. Le déroulement de cette saison, qui n’est pas conforme aux ambitions qui étaient les nôtres à son commencement, nous conduit à cette décision qui a valeur d’électrochoc”, est-il précisé.\n\nEn panne sèche depuis fin janvier, avec deux victoires sur les onze derniers matches, Denain est en effet sur la sellette en Pro B. Désormais 15e avec une seule victoire d’avance sur Fos-sur-Mer et Evreux, 16e et 17e, deux de ses trois prochains adversaires, le club court un grand danger.\n\nDenain Voltaire Basketball fait le choix de se séparer de Rémy Valin\n\nAprès les défaites face à Lille et Angers, malgré les changements opérés au sein de l’équipe professionnelle, nous faisons le choix de nous séparer du coach Rémy Valin. pic.twitter.com/0o7Qs3Z72N\n\n— DENAIN VOLTAIRE (@denainvoltaire) April 8, 2024\n\n\nC’est la première fois que le technicien de 46 ans est écarté, lui qui officie en LNB sans discontinuer depuis 2007 et qui fait office de “dinosaure” dans le milieu. Dans son communiqué, le club réaffirme malgré tout son “amitié” et “respect” envers Rémy Valin, “grand coach de basket, professionnel exigeant et rigoureux”. Entraîneur principal une première fois de 2017 à 2022, il était revenu à l’intersaison 2023 sur le banc denaisien après une saison non concluante à Fos-sur-Mer, soldée par une relégation dans l’antichambre.\n\nDans l’attente du recrutement de son successeur, c’est l’assistant Jules Bossé qui prend ponctuellement les rênes de l’équipe première. Sa première mission est de préparer la réception de Vichy, deuxième du championnat, ce mardi soir. Pas un cadeau !\n\nITW Rémy Valin, coach de Denain: «Je suis un dinosaure»À 46 ans, Rémy Valin est un vieux grognard de la Pro B, revenu l’été dernier à Denain après une brève apparition dans l’élite avec Fos. Le coach idéal pour faire part de ses expériences. Entretien.BasketEurope.comPascal Legendre
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Le programme TV : Paris et Bourg face à face pour un premier titre européen
Mardi 9 avril :\n20h00 - Monaco / Limoges - Betclic Elite - Skweek\n20h30 - Paris / Bourg (match 1 finale) - Eurocup -Skweek\n\nJeudi 11 avril :\n19h00 - Monaco / Bayern Munich (Allemagne) - Euroleague - Skweek\n\nVendredi 12 avril :\n19h00 - France / Iran - Tournoi de Qualification Paralympique - BeIn SPORTS Max 5\n19h30 - Bourg / Paris (match 2 finale) - Eurocup - Skweek\n21h00 - ASVEL / Barcelone (Espagne) - Euroleague -Skweek / La Chaîne L'Equipe\n\nSamedi 13 avril :\n16h00 - Nanterre / Limoges - Betclic Elite - Skweek\n18h00 - France / Canada - Tournoi de Qualification Paralympique - BeIn SPORTS Max 6\n18h30 - Nancy / Le Mans - Betclic Elite - Skweek\n18h30 - Strasbourg / Gravelines-Dunkerque - Betclic Elite - Skweek\n21h00 - Dijon / Monaco - Betclic Elite - Skweek\n\nDimanche 14 avril :\n14h30 - Blois / ASVEL - Betclic Elite - Skweek\n15h30 - France / Pays-Bas - Tournoi de Qualification Paralympique - BeIn SPORTS Max 8\n16h30 - Roanne / Cholet - Betclic Elite - Skweek\n19h00 - Boulogne-Levallois / Chalon - Betclic Elite -Skweek /La Chaîne L'Equipe\n\nREGARDER LE BASKET FRANÇAIS ET EUROPÉEN LORS DE LA SAISON2023-2024:\nÀ LA TÉLÉVISION TRADITIONNELLE:\nLA CHAÎNE L'EQUIPE\nLa Chaîne L'Equipe retransmet un match de Betclic Elitechaque dimancheet quelques rencontres d'Euroleague. Disponible gratuitement sur le canal 21 de la TNT.\nFRANCE TÉLÉVISIONS\nFrance Télévisions est le diffuseur gratuit des Jeux Olympiques de Paris 2024 (Eurosport est le diffuseur payant). Le groupe retransmet également, sur les antennes régionales de France 3, quelques affiches de Pro B et de Ligue Féminine (canaux 301 à 324).\nSPORT EN FRANCE\nLa chaîne gratuite Sport en France diffuse une affiche par journée de Ligue Féminine (SFR : canal 129, Orange : canal 174, Free : canal 190 et Bouygues, canal 192).\nBEIN SPORTS\nBeIN Sports diffuse la NBA. Ses chaînes sont accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52, Canal Sat : canaux 66 à 68, Free : canaux 31 à 33, Orange : canaux 46 à 48 ou 176 à 178, SFR : canaux 115 à 117).\n\nSUR INTERNET :\nSKWEEK\nL'intégralité des matches deBetclic Elite, d'Euroleague et d'Eurocup masculine, un match par semaine de Ligue Féminine, de l'Euroleague et de l'Eurocup féminine, le top 8 Coupe de France et du 3x3 sont diffusés en live et disponibles en replay sur la plateformeSkweek.\nDAZN\nLa plateforme diffuse les matches de qualification des équipes de France masculine et féminine ainsi que ceux des clubs français en BCL. Il est possible d'y accéderpar internetou en téléchargeant l'application suriOSouAndroid.\nLNB TV\nLa plateforme digitale (OTT) de la LNB retransmet l'ensemble des matches de Pro B. Ils sont disponibles en intégralité, en live et en replay. Trois façons d’y accéder: sur le siteLNB, sur le siteLNB TVou en téléchargeant l’application LNB suriOSouAndroid.\nYOUTUBE\nLes chaînes YouTube de laFFBB, de laFIBAet de laFIBA 3x3diffusent gratuitement et en direct des matches de leurs compétitions : notamment la Ligue Féminine, l'Eurocup féminine et compétitions internationales de jeunes ainsi que diverses compétitions de 3x3 notamment.
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ANGT Paris : Le phénomène Nathan Soliman, 14 ans, dans le cinq idéal
Auteur d'un parcours parfait jusqu'à la finale, avec trois belles victoires, le Pôle France à échoué sur la dernière marche en s'inclinant contre la Next Generation Team de Paris ce dimanche (86-78). Une rencontre serrée lors de laquelle l'équipe de l'INSEP aura longtemps tenu le coup avant de s'effondrer dans le quatrième quart-temps (35-22) face au programme composé de prospects venus de différents horizons.\n\nCette défaite finale ne doit tout de même pas faire oublier le beau parcours et les performances des jeunes pépites françaises, à l'image de Nathan Soliman. Du haut de ses 14 ans, l'ailier a plus que confirmé les flashs très intéressants aperçus en Nationale 1 cette saison. Ses belles performances sur les quatre matches (10,2 points, 5 rebonds, 1 passe décisive, 1,2 interception et 1,2 contre pour 16 d'évaluation en moyenne) ont d'ailleurs été récompensées par une place dans le cinq-type de la compétition.\n\nHe put 'em in a POSTER 🤯\n\nThe 14 year old French sensation, Nathan Soliman 🔥 #AdidasNGT Final is live, tune in on our Youtube Channel! pic.twitter.com/H73qoFpmev\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) April 7, 2024\n\n\nLe Français y côtoie notamment le MVP du tournoi, le Sénégalais de la Next Generation Team Assane Sankare, auteur d'un double-double en finale (20 points, 12 rebonds) et en moyenne sur toute la compétition (14,8 points, 11 rebonds). Egalement auteurs de grosses performances ce weekend, Fynn Schott (Gran Canaria), Karim Lopez (Joventut Badalone) et Veniamin Abosi (Olympiakos) complètent l'équipe-type du tournoi parisien.
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G-League : Ousmane Dieng et Olivier Sarr en finale
Deux Français vont tenter de remporter le titre en G-League. Ousmane Dieng et Olivier Sarr ont validé leur place en finale des playoffs de l'antichambre NBA avec l’Oklahoma City Blue, en l’emportant sur le parquet des Stockton Kings, le leader de la conférence Ouest en saison régulière (114-107).\n\nMalgré un premier quart-temps raté (27-16), la franchise affiliée au Thunder d’Oklahoma City a fait parler la foudre au deuxième acte, remporté 42 à 18, pour se diriger vers la victoire. Ousmane Dieng a été à l’origine du réveil du Blue en compilant 23 points à 9/16 aux tirs, 13 rebonds, 4 passes décisives et 3 interceptions, avec +16 de +/-, le meilleur ratio de son équipe.\n\nAuteur d’un énorme double-double en demi-finale de conférence, Olivier Sarr s’est montré plus discret, sortant pour six fautes (4 points à 2/6 aux tirs, 8 rebonds, 2 passes décisives, 2 interceptions et 3 contres). Notons tout de même les 29 points et 8 rebonds de Jahmi’us Ramsey et les 21 points et 5 passes décisives d’Adam Flagler.\n\n\nFace aux Celtics pour le titre\n\nEn finale, l’OKC Blue affrontera les Maine Celtics, large vainqueurs des Long Island Nets dans la finale de conférence Est, sans l’avantage du terrain. Le match 1 aura lieu ce mardi 9 avril, le match 2 ce jeudi 11 et une éventuelle belle le lundi 15.\n\nLes deux Tricolores pourraient succéder à Sekou Doumbouya, vainqueur l’an passé avec les Delaware Blue Coats. Axel Toupane faisait aussi partie de l’effectif du Toronto 905, champion en 2017, mais il n’avait pas participé aux playoffs, appelé par les Pelicans pour terminer la saison.
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Contre Blois, Bourg a assuré l'essentiel avant sa finale d'Eurocup
Les semaines et les rencontres s'enchainent, mais la JL Bourg maintient le cap. Tout juste qualifiés pour la finale de l'Eurocup, les Aindinois étaient à nouveau attendus sur les parquets face à Blois ce dimanche. Une rencontre que les Burgiens ne voulaient pas galvauder malgré la fatigue et la perspective du premier match de leur finale européenne, programmé dès mardi à Paris. Mission accomplie, avec une victoire maitrisée (81-66) malgré un retour de l'ADA à -5 en fin de troisième quart-temps. De quoi satisfaire pleinement le coach Frédéric Fauthoux, dans des propos relayés par Le Progrès :\n\n\Notre fin de troisième quart-temps difficile est due au fait que nous leur laissons trop de deuxièmes chances, mais aussi au manque de réussite à trois-points et aux lancers francs, peut-être à de la déconcentration et aussi à ce que Blois nous a proposés à ce moment-là [...] Nous avons fait ce qu’il fallait pour gagner ce match. Il était très important parce que nous voulions maintenir la pression sur le top 4. Avec l’échéance qui nous attend dans deux jours, c’était plutôt sérieux dans l’ensemble. Il fallait donner du rythme et de la confiance à certains : Maxime (Courby), E.J. (Rowland), Bryce (Brown). En ayant joué mercredi, il fallait faire attention aux temps de jeu. Je suis très satisfait de ce qu’il s’est passé aujourd’hui\\n\n\nL'ombre de la relégation se rapproche pour Blois\n\nSi la Jeu conforte sa place dans le top 4 et peut désormais se tourner sereinement vers ses grandes échéances européennes, la donne est bien différente pour son adversaire blésois. Toujours 17e, l'équipe de David Morabito compte même désormais deux victoires de retard sur Gravelines-Dunkerque, premier non-relégable. Si son club se trouve dans une position délicate à six journées de la fin, le coach regrette l'inconstance de son groupe tout tirant une nouvelle fois la sonnette d'alarme :\n\n\Quand on n’arrive pas à respecter le plan de jeu pendant 40 minutes, on ne peut rivaliser avec personne. Nous ne sommes peut-être pas prêts à le faire toute une saison. Nous ne l’avons peut-être pas en nous. Mais je veux qu’on se bouge le c... et qu’on aille chercher les choses\\n\nFinalement, la logique a été respectée ce dimanche entre deux clubs aux objectifs et situations opposés. Pour Bourg-en-Bresse, les deux premiers matches de la finale de l'Eurocup contre Paris sont désormais en ligne de mire. De leur côté, les Blésois joueront l'une de leurs dernières cartes dans la course au maintien contre l'ASVEL, dimanche prochain au Jeu de Paume.
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Après deux ans sans jouer, Jonas Jerebko de retour sur les parquets à Porto Rico
Jonas Jerebko n'en a pas fini avec le basket. Eloigné des parquets depuis juin 2022 et une dernière pige au CSKA Moscou, l'intérieur suédois a fait son retour en compétition officielle en ce début du mois d'avril. Âgé de 37 ans, il a rejoint les Aguada Santeros, qui évoluent dans le championnat portoricain.\n\nUn retour assez inattendu qui fait la joie du joueur passé par les Detroit Pistons, les Boston Celtics, le Utah Jazz ou encore les Golden State Warriors, comme il l'a exprimé sur les réseaux sociaux :\n\n\C’était tellement amusant d’être sur le terrain. Dieu sait que j’ai beaucoup travaillé pour revenir et jouer. Tout arrive pour une raison. J’y ai toujours cru. Quelle que soit la suite, je l'aborderai avec le sourire, avec mes amis et ma famille derrière moi. Merci à tous ceux qui m’ont envoyé de l’amour ces dernières semaines ! Cela signifie beaucoup.\\n\nthat was so much fun being out there. god knows i put in alot of work to come back and play. everything happens for a reason ive always believed in that. whatevers next ill tackle with a smile with my friends and family behind me. Thanks to everyone who been sending me love these... https://t.co/IvlpCLsZsS\n\n— Jonas Jerebko (@JonasJerebko) April 7, 2024\n\n\nPremier Suédois à évoluer en NBA, Jerebko avait été exclu de l'équipe de Suède après avoir signé en Russie malgré le conflit en Ukraine. Une décision qu'il a ensuite avoué avoir regrettée et qui lui a sans doute fermé des portes en Europe ces derniers mois. Désormais de retour aux affaires, il a réalisé deux premiers matches prometteurs dans les Caraïbes avec des moyennes de 9,5 points et 9 rebonds.
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Euroleague : Le Maccabi Tel-Aviv va terminer sa saison à la Stark Arena
Le Maccabi Tel-Aviv n'aura donc disputé qu'un seul match d'Euroleague dans sa Menora Mivtachim Arena cette saison. Le conflit qui a éclaté en Israël à l'automne a poussé le club à délocaliser ses matches à Belgrade, et il va y rester pour les dernières semaines de compétition de cet exercice 2023-2024. Mais après avoir disputé leurs précédents matches européens dans l'historique Aleksandar Nikolic Hall, les Israéliens vont être contraints de déménager.\n\n\nAu moins deux rencontres à la Stark Arena\n\nEn effet, comme le rapporte Walla Sports, leur salle de repli s'apprête à accueillir le championnat d'Europe de boxe, qui se déroulera du 15 au 29 avril. Dans l'impossibilité de jouer leurs prochains matches dans cette enceinte, Wade Baldwin et ses coéquipiers vont donc investir la Stark Arena.\n\nHabituellement dévolue aux deux équipes principales de Belgrade, le Partizan et l'Etoile Rouge, la plus grande salle de l'Euroleague va donc accueillir le Maccabi pour son match contre l'Olimpia Milan ce jeudi, mais aussi pour le premier match du play-in, pour lequel les Israéliens sont déjà qualifiés. S'il parvenait à poursuivre l'aventure, il y disputerait également son quart de finale européen.
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Nicolas Batum : “Ce qu’on voit de Victor Wembanyama est le pire de ces 15 prochaines années”
Portés par les 52 points de Tyrese Maxey, son record en carrière, les 76ers ont eu besoin de deux prolongations pour s’imposer dimanche soir à San Antonio (133-126). Malgré la défaite, Victor Wembanyama a une nouvelle fois crevé l’écran avec les Spurs en compilant 33 points à 11/20 aux tirs dont 5/10 à 3-points, 18 rebonds, 7 contres et 6 passes décisives en 43 minutes. Son seul péché mignon de la soirée : ses 9 pertes de balles.\n\nForcément questionné en conférence de presse sur la progression de Wemby, intenable depuis quelques semaines et favori pour le titre de rookie de l'année, Nicolas Batum (9 points, 7 rebonds en 46 minutes) retient que ce n’est qu’un début.\n\n“Je le connais depuis longtemps, et ceux qui le connaissent comme moi ne sont pas choqués par ce qu'il réalise. Le seul truc, c'est que je ne pensais pas qu'il ferait tout ça dès sa première année. J'imaginais peut-être sa deuxième. Il est unique et ce qu'on voit de lui en ce moment est probablement le pire de ces quinze prochaines années. Je suis vraiment content d'avoir gagné ce soir. Je ne pense pas que ce sera aussi facile contre lui à l'avenir (...). Il sait qui il est, ce qu'il peut devenir et comment y parvenir. Il y a également son entourage, les gens autour de lui, que j'ai appris à connaître, et tout le travail qu'il fournit. Tout est en place pour qu'il devienne extraordinaire”, a-t-il confié dans des propos repris par L'Équipe.\n\nWEMBY 👽 🇫🇷\n\n33 POINTS\n18 REBONDS\n6 PASSES\n7 CONTRES\n5x 3PM\n\nLes Spurs s'inclinent face aux 76ers au bout du suspens ! pic.twitter.com/R7fUbNJhZH\n\n— NBA France (@NBAFRANCE) April 8, 2024\n\n\nA l’inverse, le numéro un de la draft a rendu hommage au capitaine des Bleus, toujours aussi précieux dans le collectif à Philadelphie.\n\n“Au-delà du joueur français que je connais depuis des années, c'est un joueur NBA. Je n’ai jamais entendu quelqu’un dire du mal de lui. Et surtout en termes de jeu. Parfois, on me dit \c’est Batum qui défend sur toi, ce sera difficile de passer\. Ça montre à quel point il est bon. Je sais aussi que les Sixers sont très attachés à lui et tout le monde aimerait l'avoir dans son équipe. C'est un joueur tellement précieux que tout le monde aimerait l'avoir.”\n\nLes deux n’auront peut-être l’occasion de se côtoyer qu’à une unique reprise sous le maillot de l’équipe de France : lors des Jeux Olympiques de Paris 2024.
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Les Français de l'étranger : Une finale européenne pour Jerry Boutsiele et Axel Bouteille
Déjà coéquipiers à Limoges en 2018-19, Axel Bouteille et Jerry Boutsiele se sont retrouvés sous les couleurs du Bahçesehir Istanbul cette saison. Ils ne sont pas les Français de l'étranger les plus mis en avant d'un point de vue médiatique, mais les deux hommes font des ravages, dans le championnat de Turquie comme en FIBA Europe Cup. Nouvelle preuve cette semaine avec deux grosses performances pour l'ailier (20 points, 5 rebonds, 2 passes décisives et 1 interception en 32 minutes) et son pivot (25 points, 11 rebonds, 1 passe décisive, 2 interceptions, 1 contre et 1 perte de balle en 34 minutes), grands artisans de la qualification de leur équipe en finale de la compétition européenne après leur victoire contre le Varèse de Hugo Besson.\n\nAlors qu'il s'est montré très performant depuis son arrivée en Italie il y a quelques semaines, la performance de l'ancien des Metropolitans 92 a été à l'image de celle de son équipe cette semaine (6 points, 3 rebonds, 1 passe décisive et 3 pertes de balle en 25 minutes). Mais l'arrière et son équipe se sont vite ressaisis pour réaliser un gros carton quatre jours plus tard contre Naples. L'occasion pour Besson d'inscrire 16 points, accompagnés de 7 rebonds et 6 passes décisives. Une belle réaction de la part du joueur de 22 ans.\n\n\nSylvain Francisco incisif, Ismaël Kamagate s'impose dans la raquette de Tortone\n\nAlors que la saison régulière de l'Euroleague va s'achever cette semaine, les Français du Real Madrid rappellent qu'il faudra compter sur eux. Malgré la défaite contre Baskonia, le duo Fabien Causeur (13 points, 3 rebonds en seulement 17 minutes) - Guerschon Yabusele (12 points, 3 rebonds, 2 passes décisives) s'est montré efficace alors que Vincent Poirier a fait parler sa présence dans la raquette (9 points, 6 rebonds, 1 contre en 16 minutes). Même constat pour Mathias Lessort, qui poursuit ses travaux (13 points, 5 rebonds et 2 interceptions) dans la raquette d'une équipe du Panathinaïkos candidate sérieuse à un Final Four européen.\n\nPour le reste, on peut souligner la bonne forme de Sylvain Francisco et Ismaël Kamagate en Allemagne et en Italie. Comme souvent cette saison, le meneur du Bayern Munich a rendu une copie de très bonne qualité contre Braunschweig (19 points, 1 rebond, 7 passes décisives et 4 interceptions en 24 minutes) alors que le pivot de Tortona a enregistré son deuxième double-double de l'exercice contre Brescia (10 points, 12 rebonds). Sans oublier les belles performances de Moustapha Fall (10 points, 9 rebonds, 3 passes décisives en 19 minutes), de David Michineau (17 points, 3 rebonds et 5 passes décisives), de Yoan Makoundou (14 points, 5 rebonds, 1 passe décisive, 4 interceptions, 1 contre en 22 minutes) ou encore de Thomas Heurtel (23 points, 3 rebond, 4 passes décisives, 1 interception) dans les autres championnats européens.\n\n\nCOUPES D'EUROPE\n\nEUROLEAGUE\n\nSylvain Francisco(Bayern Munich)\nDéfaite 82-75 contre le Panathinaïkos\n2 points, 1 rebond, 2 passes décisives et 2 pertes de balle en 12 minutes\n\nFabien Causeur(Real Madrid)\nDéfaite 95-91 contre Baskonia\n13 points, 3 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception, 1 contre et 2 pertes de balle en 17 minutes\n\nGuerschon Yabusele(Real Madrid)\nDéfaite 95-91 contre Baskonia\n12 points, 3 rebonds, 2 passes décisives et 1 interception en 26 minutes\n\nVincent Poirier(Real Madrid)\nDéfaite 95-91 contre Baskonia\n9 points, 6 rebonds et 1 contre en 16 minutes\n\nDamien Inglis(Valence)\nDéfaite 98-69 contre l'ASVEL\n4 points, 2 rebonds et 1 interception en 18 minutes\n\nRodrigue Beaubois(Anadolu Efes)\nVictoire 82-80 contre Fenerbahçe\n10 points, 3 rebonds, 4 passes décisives, 1 interception et 1 perte de balle en 21 minutes\n\nAmine Noua(Fenerbahçe)\nDéfaite 82-80 contre l'Anadolu Efes\nN'a pas joué\n\nIsaïa Cordinier(Virtus Bologne)\nDéfaite 90-75 contre Milan\nBlessé\n\nMathias Lessort(Panathinaïkos)\nVictoire 82-75 contre le Bayern Munich\n13 points, 5 rebonds et 2 interceptions en 27 minutes\n\nMoustapha Fall(Olympiakos)\nVictoire 89-86 contre l'Etoile Rouge de Belgrade\n4 points, 5 rebonds, 6 passes décisives, 1 contre et 1 perte de balle en 22 minutes\n\nFIBA EUROPE CUP\n\nHugo Besson(Varèse)\nDéfaite 81-73 contre Bahcesehir\n6 points, 3 rebonds, 1 passe décisive, 1 contre et 3 perte de balle en 25 minutes\n\nAxel Bouteille(Bahcesehir)\nVictoire 81-73 contre Varèse\n20 points, 5 rebonds, 2 passes décisives et 1 interception en 32 minutes\n\nJerry Boutsiele(Bahcesehir)\nVictoire 81-73 contre Varèse\n25 points, 11 rebonds, 1 passe décisive, 2 interceptions, 1 contre et 1 perte de balle en 34 minutes\n\n\nCHAMPIONNATS ETRANGERS\n\nESPAGNE\n\nFabien Causeur(Real Madrid)\nDéfaite 85-79 contre Barcelone\n0 point, 1 rebond et 1 perte de balle en 6 minutes\n\nGuerschon Yabusele(Real Madrid)\nDéfaite 85-79 contre Barcelone\n10 points et 1 rebond en 23 minutes\n\nVincent Poirier(Real Madrid)\nDéfaite 85-79 contre Barcelone\n4 points, 7 rebonds, 2 passes décisives et 1 perte de balle en 19 minutes\n\nAndrew Albicy(Gran Canaria)\nDéfaite 81-71 contre Bilbao\n5 points, 3 rebonds, 5 passes décisives, 2 interceptions et 2 pertes de balle en 27 minutes\n\nPierre Pelos(Gran Canaria)\nDéfaite 81-71 contre Bilbao\n6 points, 3 rebonds et 1 passe décisive en 23 minutes\n\nDamien Inglis(Valence)\nVictoire 111-101 contre Baskonia\n10 point, 5 rebonds, 2 passes décisives, 1 interception et 1 perte de balle en 20 minutes\n\nJonathan Rousselle(Grenade)\nDéfaite 88-62 contre Andorre\n7 points, 2 rebonds et 3 passes décisives en 19 minutes\n\nYves Pons(Girona)\nDéfaite 74-60 contre Tenerife\n2 points, 2 rebonds, 1 passe décisive, 1 contre et 1 perte de balle en 15 minutes\n\nTURQUIE\n\nRodrigue Beaubois(Anadolu Efes)\nMatch ce lundi contre le Fenerbahçe\n\nAmine Noua(Fenerbahçe)\nMatch ce lundi contre l'Anadolu Efes\n\nAxel Bouteille(Bahcesehir)\nVictoire 96-93 contre Besiktas\n20 points, 8 rebonds, 4 passes décisives et 1 interception en 36 minutes\n\nJerry Boutsiele(Bahcesehir)\nVictoire 96-93 contre Besiktas\n18 points, 8 rebonds, 5 passes décisives et 1 interception en 35 minutes\n\nDavid Michineau(Bursaspor)\nVictoire 87-82 contre Merkezefendi\n17 points, 3 rebonds et 5 passes décisives en 38 minutes\n\nITALIE\n\nIsmaël Kamagaté(Tortona)\nDéfaite 72-65 contre Brescia\n10 points, 12 rebonds, 1 passe décisive, 1 contre et 1 perte de balle en 27 minutes\n\nIsaïa Cordinier(Virtus Bologne)\nDéfaite 87-86 contre Pistoia\nBlessé\n\nHugo Besson(Varèse)\nVictoire 113-79 contre Naples\n16 points, 7 rebonds, 5 passes décisives et 2 pertes de balle en 27 minutes\n\nStéphane Gombauld(Sassari)\nDéfaite 96-91 contre Pesaro\n12 points, 5 rebonds et 2 perte de balle en 17 minutes\n\nGRÈCE\n\nMoustapha Fall(Olympiakos)\nVictoire 91-83 contre l'Aris\n10 points, 9 rebonds, 3 passes décisives et 1 perte de balle en 19 minutes\n\nMathias Lessort(Panathinaïkos)\nMatch ce lundi contre Rhodes\n\nALLEMAGNE\n\nSylvain Francisco(Bayern Munich)\nVictoire 91-61 contre Braunschweig\n19 points, 1 rebond, 7 passes décisives et 4 interceptions en 24 minutes\n\nLéo Westermann(Crailsheim)\nVictoire 102-93 contre Vechta\nN'a pas joué\n\nPacôme Dadiet(Ulm)\nVictoire 106-90 contre Bamberg\n6 points, 1 rebond, 3 passes décisives et 1 interception en 21 minutes\n\nNoa Essengue(Ulm)\nVictoire 106-90 contre Bamberg\nN'a pas joué\n\nISRAEL\n\nJaylen Hoard(Hapoël Tel-Aviv)\nMatch ce lundi contre Galil Elyon\n\nFrédéric Bourdillon(Bnei Herzliya)\nDéfaite 98-85 contre le Maccabi Tel-Aviv\n9 points, 4 rebonds, 2 passes décisives, 2 interceptions et 1 perte de balle en 30 minutes\n\nLIGUE ADRIATIQUE\n\nYoan Makoundou(Buducnost Podgorica)\nVictoire 93-80 contre le SC Derby\n14 points, 5 rebonds, 1 passe décisive, 4 interceptions, 1 contre et 2 pertes de balle en 22 minutes\n\nRUSSIE\n\nThomas Heurtel(Zenit Saint-Petersbourg)\nVictoire 91-87 contre l'UNICS Kazan\n23 points, 3 rebond, 4 passes décisives, 1 interception et 1 perte de balle en 25 minutes\n\nAdrien Moerman(Zenit Saint-Petersbourg)\nVictoire 91-87 contre l'UNICS Kazan\n5 points, 4 rebonds, 2 passes décisives, 1 interception, 1 contre et 2 pertes de balle en 25 minutes\n\nLivio Jean-Charles(CSKA Moscou)\nDéfaite 86-81 contre Enisey\n8 points, 3 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception et 1 perte de balle en 17 minutes\n\nAmath M'Baye(CSKA Moscou)\nDéfaite 86-81 contre Enisey\n8 points, 5 rebonds et 2 passes décisives en 26 minutes\n\nLouis Labeyrie(UNICS Kazan)\nDéfaite 91-87 contre le Zenit Saint-Petersbourg\n1 point, 3 rebonds et 1 perte de balle en 25 minutes\n\nROUMANIE\n\nAdam Mokoka(Cluj-Napoca)\nVictoire 77-73 contre Oradea\nN'a pas joué
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Eurocup : T.J. Shorts et Isiaha Mike nommés dans le cinq majeur de la saison
Après l’étoile montante, Zaccharie Risacher, et le coach de l’année, Tuomas Iisalo, l’Eurocup dévoile son cinq majeur de la saison 2023-2024. Parmi eux, on retrouve sans surprise deux membres des équipes finalistes, Paris et Bourg-en-Bresse, à savoir T.J. Shorts et Isiaha Mike.\n\nGrandissime favori pour le titre de MVP, le meneur de poche du Paris Basketball fait évidemment partie de la sélection des fans, médias, coachs et capitaines d’équipe. En effet, T.J. Shorts est numéro un à l’évaluation (23,4 en moyenne), aux passes décisives (7,5) et aux tirs à 2-points réussis (5,9), deuxième aux points (18,0) et quatrième aux interceptions (2,0) au sein du club de la capitale, meilleur bilan de la saison régulière (17-1) et invaincu en playoffs. Ce qui classe un homme.\n\nA Bourg-en-Bresse, la star, c’est l’équipe. Cela n’empêche : son meilleur représentant à l’évaluation (14,0 par match), en points (12,8), en rebonds (4,2) et en interception (1,6), Isiaha Mike, intègre le cinq majeur de la compétition. Ce dernier a même augmenté ses stats en playoffs avec 15,5 points, 6,3 rebonds et 21,3 d’évaluation moyenne.\n\nWe salute the standout performers who made the 2023-24 season a resounding success and led their respective teams into the BKT EuroCup Playoffs 🏆 pic.twitter.com/XjMOa8PtIu\n\n— BKT EuroCup (@EuroCup) April 8, 2024\n\n\n\nMatt Morgan (ex-Le Mans) également récompensé\n\nPour les accompagner, l’Eurocup a choisi le pivot américain d’Ulm, Trevion Williams, meilleur rebondeur (10,8), deuxième meilleure évaluation (22,1) de la compétition et auteur de 12 doubles-doubles en 18 matches ainsi que deux joueurs de Londres, tombés en demi-finale.\n\nIl s’agit du pivot Gabe Olaseni, 5e éval de la compétition (20,1), mais également de Matt Morgan. L’ancien Manceau, cinquième scoreur de la compétition (16,5 points), a franchi la barre des 20 unités à 9 reprises en 22 matches.\n\n\nNadir Hifi dans le deuxième cinq\n\nEn revanche, petite déception pour le Parisien Nadir Hifi, quatrième meilleur scoreur de la compétition (16,9 de moyenne avec le meilleur ratio point/minute), deuxième au pourcentage à 3-points (52 %), qui ne figure que dans la All-Eurocup Second Team.\n\nLes quatre autres joueurs qui l'accompagnent dans le deuxième cinq idéal sont Andres Feliz (Badalone), Patrick Richard (Cluj-Napoca), Emanuel Cate (Cluj-Napoca) et Deividas Sirvydis (Lietkabelis), ce dernier étant attendu l'année prochaine au Zalgiris Kaunas.\n\nLe programme TV : Paris et Bourg face à face pour un premier titre européenNous y sommes : après une saison européenne parfaitement négociée, Paris et Bourg se retrouvent pour une finale 100% française en Eurocup. La semaine sera également chargée pour Monaco, avec 3 rencontres en 5 jours entre Betclic Elite et Euroleague.BasketEurope.comLa rédaction
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Ce qu'il faut retenir des 24 dernières heures
ITW Christophe Vitoux (GM Villeneuve d’Ascq): «Dans le basket féminin, plus on va loin et plus ça nous coûte»\n\nManager général de l’ESBVA, Christophe Vitoux nous décrit la situation dans son club avant d’aborder le Final Four de l’Euroleague au cours duquel il sera opposé en demi-finale à l’USK Prague, ce vendredi, à Mersin, en Turquie.\n\nITW Christophe Vitoux (GM Villeneuve d’Ascq): «Dans le basket féminin, plus on va loin et plus ça nous coûte»Manager général de l’ESBVA, Christophe Vitoux nous décrit la situation dans son club avant d’aborder le Final Four de l’Euroleague au cours duquel il sera opposé en demi-finale à l’USK Prague, ce vendredi, à Mersin, en Turquie.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\n\n\nG-League : Ousmane Dieng et Olivier Sarr en finale\n\nL'Oklahoma City Blue, équipe affiliée à la franchise NBA de l'Oklahoma City Thunder, est en finale de la G-League. Avec dans ses rangs les Français Olivier Sarr et Ousmane Dieng, cette dernière va tenter de remporter le titre face aux Maine Celtics..\n\nG-League : Ousmane Dieng et Olivier Sarr en finaleLes deux Français de l’OKC Blue, franchise affiliée au Thunder, Ousmane Dieng et Olivier Sarr, se sont qualifiés pour la finale de G-League. Ils affronteront les Maine Celtics pour le titre, ce mardi.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nPro B : Denain se sépare de Rémy Valin\n\nEn difficulté dans la course au maintien en Pro B, Denain va changer d'entraineur. De retour au club en début de saison, Rémy Valin a été écarté par la direction nordiste. C'est Jules Bossé, son assistant, qui va assurer l'intérim sur le banc en attendant la nomination d'un nouveau coach.\n\nPro B : Denain se sépare de Rémy ValinEn danger pour son maintien en Pro B, Denain-Voltaire tente un électrochoc en se séparant de Rémy Valin. Son assistant, Jules Bossé, assure l’intérim avant le recrutement d’un nouveau coach.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nANGT Paris : Le phénomène Nathan Soliman, 14 ans, dans le cinq idéal\n\nEngagé au quatrième tournoi U18 organisé par l'Euroleague cette saison, l'ANGT Paris, le Pôle France a échoué en finale contre la Next Generation Team (86-78). Dans la défaite, plusieurs talents français se sont illustrés, dont Nathan Soliman. À seulement 14 ans, le prodige a été élu dans le cinq idéal de la compétition.\n\nANGT Paris : Le phénomène Nathan Soliman, 14 ans, dans le cinq idéalFinaliste malheureux de l’ANGT Paris avec le Pôle France, Nathan Soliman s’est vu récompensé de son très bon week-end. À seulement 14 ans, le prodige français a obtenu sa place dans le meilleur cinq du tournoi U18 parisien.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nLe programme TV : Paris et Bourg face à face pour un premier titre européen\n\nNous y sommes : après une saison européenne parfaitement négociée, Paris et Bourg se retrouvent pour une finale 100% française en Eurocup. La semaine sera également chargée pour Monaco, avec 3 rencontres en 5 jours entre Betclic Elite et Euroleague.\n\nLe programme TV : Paris et Bourg face à face pour un premier titre européenNous y sommes : après une saison européenne parfaitement négociée, Paris et Bourg se retrouvent pour une finale 100% française en Eurocup. La semaine sera également chargée pour Monaco, avec 3 rencontres en 5 jours entre Betclic Elite et Euroleague.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nContre Blois, Bourg a assuré l'essentiel avant sa finale d'Eurocup\n\nAttendue sur le parquet d'Ekinox entre deux matches européens, la JL Bourg a assuré l'essentiel contre Blois ce dimanche (81-66). Une victoire maitrisée qui permet à la Jeu s'aborder sereinement son match de mardi contre Paris, alors que la situation de l'ADA se complique dans la course au maintien.\n\nContre Blois, Bourg a assuré l’essentiel avant sa finale d’EurocupQualifiée pour la finale de l’Eurocup contre Paris, la JL Bourg a fait le travail contre Blois, (81-66), ce dimanche en Betclic Elite. Une victoire maîtrisée, qui lui permet de se tourner sereinement vers la suite, alors que les Blésois sont plus en danger que jamais dans la course au maintien.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nNicolas Batum : “Ce qu’on voit de Victor Wembanyama est le pire de ces 15 prochaines années”\n\nDans la nuit de dimanche à lundi, Victor Wembanyama et Nicolas Batum se retrouvaient lors du match entre les San Antonio Spurs et les Philadelphia Sixers. Vainqueur après deux prolongations (133-126), le capitaine de l'équipe de France a encensé son jeune coéquipier, qui réalise une très belle saison rookie aux Etats-Unis.\n\nNicolas Batum : “Ce qu’on voit de Victor Wembanyama est le pire de ces 15 prochaines années”Vainqueur de San Antonio après deux prolongations avec Philadelphie (133-126), Nicolas Batum a encensé Victor Wembanyama après la rencontre. Pour le capitaine des Bleus, ce n’est qu’un début.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nEurocup : T.J. Shorts et Isiaha Mike nommés dans le cinq majeur de la saison\n\nSymboles de la saison pleine des clubs français en Eurocup, T.J. Shorts et Isiaha Mike ont été intégrés au cinq majeur de la saison européenne. Le meneur du Paris Basketball et l'ailier-fort de la JL Bourg sont récompensés, tout comme l'ancien Manceau Matt Morgan, qui évolue désormais aux London Lions.\n\nEurocup : T.J. Shorts et Isiaha Mike nommés dans le cinq majeur de la saisonLe Parisien T.J. Shorts, le Burgien Isiaha Mike mais aussi l’ancien Manceau Matt Morgan ont été nommés dans le cinq idéal de la saison 2023-2024 d’Eurocup.BasketEurope.comLa rédaction\n\n
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Dossier - La JL Bourg a enfin trouvé sa place en Europe
Au milieu des quatre derniers représentants de l’Eurocup, tous issus de mégalopoles européennes, Istanbul (15,7 millions d’habitants), Londres (8,8 millions d’habitants) et Paris (2,1 millions d’habitants), Bourg-en-Bresse, 41 000 habitants, est une anomalie. Mais, c’est un fait, la Jeu va bien vivre cette semaine sa première finale européenne, tenter de remporter l’Eurocup dans la deuxième finale franco-française de l’histoire - après celle entre Nanterre et Châlon-sur-Saône en 2017 - et essayer une nouvelle fois de briser son plafond de verre, qu’elle a fracturé si régulièrement au cours de la dernière décennie.\n\nFace au club de la capitale, c’est un peu le choc des cultures. Pour caricaturer, il y a le bling-bling d’un côté, le savoir-faire de l’autre. L’un avance dans la lumière de l’ascension fulgurante, six ans après sa création, l’autre connaît une progression bien plus linéaire depuis la prise de pouvoir du président Julien Desbottes en 2012. Et pas moins impressionnante. Si la JL Bourg a toujours compté dans l’Hexagone, avec notamment sept saisons consécutives en Pro A dans les années 2000 et deux remontées dans l’élite en 2014 et 2017, son rayonnement européen ne se conjugue au présent que depuis quatre saisons. Il a d’abord fallu toucher un nouveau public, en semaine, afin que les 3 500 places d’Ekinox soient comblées.\n\nProlongation à Bourg, ASVEL, Équipe de France, Euroleague... Frédéric Fauthoux et Julien Desbottes se livrentEn conférence de presse, le président Julien Desbottes et le coach Frédéric Fauthoux ont officialisé la prolongation de ce dernier à la tête de la JL Bourg jusqu’en 2027. Focalisés sur la finale d’Eurocup, les deux hommes forts du projet burgien abordent l’avenir avec sérénité et ambition.BasketEurope.comClément Carton\n\nLe chemin fut long avant que la JL n’enchaîne les guichets fermés en Eurocup, à l’image des billets partis en deux heures pour le match 1 de la demi-finale contre Besiktas. “Dans l’histoire du club, c’est le match qui a le plus d’écho en France et à travers l’Europe. Il y en a eu d’autres très importants qui concernaient des montées ou des maintiens. Mais cette demi-finale arrive en tête de la liste. Son rayonnement est très supérieur”, accordait le président Julien Desbottes dans Le Progrès entre les deux matches. Idem pour la belle, qui s’est elle jouée sans supporters turcs et avec des décibels bressans sans précédent.\n\n“Cette année, les résultats de la JL ont entraîné un sentiment de fierté et d’identification au niveau des sports à Bourg-en-Bresse”\n\nCe n’était pas gagné d’avance. “Enfin, la JL Bourg a sa place dans une compétition européenne et l’environnement bressan a compris ce que ça pouvait représenter”, rappelait Julien Desbottes, “satisfait mais pas comblé” de la qualification de son club en finale, lors de la conférence de presse de prolongation de Frédéric Fauthoux.\n\nL’engouement populaire a mis du temps à se construire au gré de ses 75 premiers matches de coupe d’Europe (38 victoires - 37 défaites), comme nous le rappelle Romain Brusc, journaliste au Progrès, qui suit la Jeu depuis la saison 2018-2019 après avoir accompagné la percée du club de football de Bourg-Péronnas en Ligue 2.\n\n“La première saison a été jouée en période de Covid. La deuxième s’est disputée avec du public mais on sentait encore qu’un bon match de championnat contre l’ASVEL, Dijon ou Roanne parlait plus aux supporters. La saison dernière, les gens ont commencé à pousser derrière la JL quand elle est restée première durant une bonne partie de la saison - avant de s’effondrer, de terminer 5e et d’être éliminée (par les Grecs du Promitheas Patras en huitième de finale). Cette année, on a senti au fil de la saison qu’un cap avait été franchi au niveau sportif et les supporters ont suivi. Les résultats de la JL, qui est sortie première de son groupe, ont entraîné un sentiment de fierté et d’identification au niveau des sports à Bourg-en-Bresse.”\n\n\n2,5 fois plus de vues que d’habitude sur le site du Progrès\n\nJamais un club de l’Ain, tous sports confondus, ne s’était hissé en finale d’une Coupe d’Europe... à l'exception du Sport Boules Saint-Vulbas, champion d’Europe chez les filles et les garçons, avec un retentissement moindre. Une performance rarissime qui fait écho dans les colonnes du Progrès mais aussi sur son site internet, où les articles sur la JL génèrent 2,5 fois plus de vues qu’habituellement, avec un pic à 18 000 vues constaté pour le résumé en direct lors de l’épilogue de la demi-finale.\n\nCe mardi 9 avril, le journal local accompagne son édition du jour d’un supplément de huit pages sur la finale historique. On peut l’écrire : la Jeu a trouvé sa place sur son territoire.\n\n“D’un point de vue purement rédactionnel, on est passé sur une double page d’annonce à chaque match d’Eurocup, voire trois pages sur le match 1 de la demi-finale, avec des Unes systématiques dans le journal à la fois le jour du match et le lendemain. Ça représente quand même la plus belle période de l'histoire de la JL, même au-delà de certains matches de montée en Pro A. On sent un engouement historique qui se vérifie au même titre que la vente des places, ajoute le journaliste du Progrès. En début de saison, Oyonnax venait de monter en Top 14. Le rugby avait notre “priorité rédactionnelle” parce que le club venait de retrouver l’élite pour la première fois depuis 2018. Ce n’est pas encore mathématiquement fait mais Oyonnax est sur le point de retomber en Pro D2 (NDLR : 12 points de retard sur l’avant-dernier, Montpellier, à six journées de la fin). Le basket a vraiment pris le relais à l’échelle locale. On a mis les moyens là-dessus. Par exemple, nous sommes trois journalistes du Progrès sur place pour chaque match européen depuis le début des playoffs, tandis que je suis généralement seul avec une photographe sur un match classique.”\n\nSi l’on met de côté Monaco, 37 000 habitants, représentant français - mais pas un club français pour autant - vainqueur de l’Eurocup en 2021, et Châlon-sur-Saône, trois finales de coupe d’Europe en 2001, 2012 et 2017, avec un bassin de population équivalent (45 000 habitants), cela faisait 40 ans qu’une si petite ville française ne s’était qualifiée en finale d’une Coupe d’Europe de basket. A l’époque, Orthez, 10 000 habitants, avait remporté la Coupe Korac en 1984, bien après la première finale de Vichy, 33 000 habitants, en Coupe des Coupes en 1970.\n\nSi le basket n'est plus à proprement parler un “sport de sous-préfecture”, comme l’avait laissé entendre l’ancien rédacteur-en-chef de Stade 2, Lionel Chamoulaud, il est certain qu'il n'appartient pas aujourd'hui qu'aux mégalopoles. La JL Bourg en est un très bel exemple.\n\nITW Maxime Courby et Bourg en finale de l’Eurocup : “Il y a 9 ans, on galérait en Pro B”La JL Bourg disputera sa première finale de Coupe d’Europe contre Paris. Alors qu’il n’avait pas joué la moindre minute en playoffs, Maxime Courby a porté le coup fatal à Besiktas dans le moneytime du match 3 de la demie. Réaction du plus ancien des Bressans, qui est arrivé en 2015.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nEt demain, l’Euroleague ?\n\nAvant même l’issue de cette finale, et outre la prolongation de Frédéric Fauthoux sur le banc jusqu’en 2027, l’on peut déjà ouvrir le débat au sujet du “plafond” que la JL “ne pourra pas dépasser”, comme l’évoquait déjà le Landais de 51 ans. Pourra-t-elle disputer l’Euroleague la saison prochaine en cas de victoire face à Paris ? Quel impact cela aurait-il sur les finances d’un club dont le président avait fixé 4,5 millions d’euros de plafond de verre il y a de cela dix ans ? “Il faudra choisir entre la raison et la passion” invoquait le président Julien Desbottes, conscient que, malgré la belle structuration de son club (label or de la LNB), sa salle ne répond pas au cahier des charges de l’Euroleague (3 540 contre 10 000 places demandées) et qu’il y aurait alors 34 matches à disputer, ce qui est énergivore pour tout un écosystème. “Je ne suis pas kamikaze, je sais à quel point c’est une compétition difficile. Je suis aussi quelqu’un d’ambitieux et j’ai envie de porter la JL au plus haut. On se réunira le moment venu pour savoir quels sont les moyens qu’il faudrait trouver pour être compétitifs et voir ce qu’il en serait avec les instances de l’Euroleague. Ma vraie réponse, c’est que j’ai hâte de me poser la question” ! Réponse dans dix jours... si la Jeu remporte l’Eurocup.
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Le tournoi de qualification paralympique de basket fauteuil sur BeIN Sports
Contrairement à la plupart des sports collectifs, les équipes de France ne sont pas qualifiées d'office pour le tournoi paralympique de basket fauteuil. Les Bleus devront donc passer par le TQP pour obtenir leur ticket pour Paris. Le tournoi paralympique de basket fauteuil aura lieu du 29 août au 8 septembre à l'Arena Bercy.\n\nLors de ce TQP d'Antibes, huit équipes s'affronteront pour les quatre places restant à pourvoir pour les Jeux Paralympiques de Paris. L'équipe de France masculine visera donc sa première qualification pour un tournoi paralympique depuis 2004. Les rencontres de l'équipe de France seront commentées par Xavier Vaution.\n\nLes filles disputeront leur TQP la semaine suivante à Osaka, au Japon.\n\nLe programme du TQP d’Antibes :\nMaroc / Italie - vendredi 12 avril à 11h00 sur beIN SPORTS MAX 5\nColombie / Allemagne - vendredi 12 avril à 13h15 sur beIN SPORTS MAX 5\nCanada / Pays-Bas - vendredi 12 avril à 15h30 sur beIN SPORTS MAX 5\nIran / France - vendredi 12 avril à 19h00 sur beIN SPORTS MAX 5\nItalie / Colombie - samedi 13 avril à 11h00 sur beIN SPORTS MAX 5\nPays-Bas / Iran - samedi 13 avril à 13h15 sur beIN SPORTS MAX 5\nFrance / Canada - samedi 13 avril à 18h00 sur beIN SPORTS MAX 6\nMaroc / Colombie - dimanche 14 avril à 11h00 sur beIN SPORTS MAX 8\nCanada / Iran - dimanche 14 avril à 13h15 sur beIN SPORTS MAX 8\nFrance / Pays-Bas - dimanche 14 avril à 15h30 sur beIN SPORTS MAX 8\nAllemagne / Italie - dimanche 14 avril à 18h00 sur beIN SPORTS MAX 8\nPhase finale - lundi 15 avril à partir de 11h00 (chaîne à définir)
Expliquez les points forts de :
Pro B : Admon Gilder renforce l'Élan Béarnais
Travis Munnings éloigné des parquets jusqu’à la fin de la saison en raison d’une fracture au poignet, l’Elan Béarnais a décidé de se renforcer dans la dernière ligne droite. Pau-Orthez a mis la main sur un pigiste médical : Admon Gilder (1,93 m, 28 ans). Un arrière plutôt qu’un ailier ou un intérieur ? C’est le choix du club, qui l’explique en raison du décalage fructueux de Dylan Affo Mama sur le poste 4 en l’absence de l'ailier bahaméen.\n\n« Nous avons décidé de rééquilibrer l’équipe sachant que nous allons réintégrer dans l’effectif des joueurs blessés. C’est pour cela que nous avons le plaisir d’accueillir Admon Gilder pour densifier notre ligne arrière et nous permettre d’avoir plus de créativité et plus d’options. L’objectif est d’obtenir une meilleure efficacité des deux côtés du terrain et d’optimiser les différents secteurs de jeu », indique le coach Eric Bartecheky sur les réseaux sociaux du club.\n\nAuteur d’un cursus universitaire remarqué dans le Texas puis à Gonzaga aux côtés de Joël Ayayi et Killian Tillie, Admon Gilder a évolué la dernière saison en G-League avec la G-League Ignite. Au sein de la lanterne rouge de l’antichambre, Admon Gilder compilait 5,8 points à 43,8 % aux tirs (dont 34,2% à 3-points), 3,5 rebonds et 1,3 passe décisive en 20 minutes. Loin de ses 20 points de moyenne en Finlande, en Pologne ou en D2 israélienne, donc.\n\nEn perte de vitesse, Pau-Orthez, actuellement neuvième de Pro B, a six matches pour tenter de retrouver le top 8 et ainsi conserver une chance de retrouver l’élite la saison prochaine.\n\nIl y a 40 ans, Orthez et Freddy Hufnagel gagnaient la Coupe KoracLe 15 mars 1984, il y a 40 ans, le club d’un village du Béarn de 10000 habitants, Orthez, gagnait la Coupe Korac, alors la troisième compétition européenne. Un exploit raconté par Freddy Hufnagel en 2014.BasketEurope.comPascal Legendre
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
NCAA : UConn s’offre le back-to-back
Cela faisait presque deux décennies qu’une université n’avait pas réalisé le doublé en NCAA. Pour la première fois depuis 2006 et 2007 et les Florida Gators de Joakim Noah, le champion en titre, UConn, a donc conservé sa couronne dans la nuit de lundi à mardi, en battant Purdue pour le titre au State Farm Stadium de Glendale (75-60).\n\nMalgré les 37 points du géant Zach Edey - médaillé de bronze avec le Canada à la Coupe du monde 2023 -, l'université basée dans l’Indiana a fini par craquer après la mi-temps (36-30), ne réussissant qu’une seule de ses 7 tentatives à 3-points.\n\nCelle du Connecticut en a profité, portée par son Most Outsanding Player (meilleur joueur), Tristen Newton (20 points, 5 rebonds et 7 passes décisives). Stephon Castle (15 points, 5 rebonds, 3 passes) et Cam Spencer (11 points, 8 rebonds, 2 interceptions) se sont également illustrés, offrant aux Huskies le sixième titre universitaire de leur histoire.\n\nAvec 23,3 points d'écart de moyenne lors des six matches de la March Madness, les joueurs de Dan Hurley ont été encore plus dominants que la saison dernière (20).
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Eurocup : Paris ou Bourg, qui sera le 6e club français vainqueur d’une coupe d’Europe ?
On ne connaît pas encore le grand gagnant de cette édition 2024. Mais, lundi prochain au plus tard, un sixième club français va inscrire son nom au palmarès d’une Coupe d’Europe de basket. Après Orthez, Limoges, Nancy, Nanterre et Monaco, le Paris Basketball et Bourg-en-Bresse s’affrontent en finale de l’Eurocup au meilleur des trois manches.\n\nLa première se dispute ce mardi (20h30) dans une Adidas Arena, à Paris, à guichets fermés (8 000 spectateurs), avant la revanche à Ekinox (3 540 places), ce vendredi 12 avril, et une belle éventuelle en cas d’égalité, le 15 avril, dans la capitale. Le vainqueur obtiendra une invitation pour l’Euroleague, ce qui ne veut pas dire que l’un ou l’autre forcera le passage si les conditions ne sont pas réunies.\n\nLe programme TV : Paris et Bourg face à face pour un premier titre européenNous y sommes : après une saison européenne parfaitement négociée, Paris et Bourg se retrouvent pour une finale 100% française en Eurocup. La semaine sera également chargée pour Monaco, avec 3 rencontres en 5 jours entre Betclic Elite et Euroleague.BasketEurope.comLa rédaction\n\nMonté de toutes pièces en 2018, l’ambitieux club de la capitale franchit les étapes à une vitesse folle. Titré en Leaders Cup, tombé à une seule reprise en 21 matches de coupe d’Europe, invaincu depuis 17 rencontres toutes compétitions confondues et avec l’avantage du terrain, Paris apparaît comme le grand favori. « Au vu de notre parcours, nous le sommes, a admis Gauthier Denis, le seul joueur présent dans l’effectif depuis le tout début, en conférence de presse. Mais on a joué Bourg une seule fois. On est surtout concentrés sur nous-mêmes, il y a de l'excitation, du stress en plus mais on approche ce match comme d'autres. »\n\nLa JL Bourg va devoir créer la sensation pour récupérer l’avantage du terrain. Un pari qui n'apparaît pas comme impossible. L’équipe de Frédéric Fauthoux l’avait emporté lors du match aller de Betclic Elite à Ekinox (83-81), le 16 décembre dernier. L’une des huit défaites parisiennes cette saison. Alors, peut-être ?\n\nLe chiffre : 14\nParis et Bourg sont les 13e et 14e clubs français qualifiés en finale d’une coupe d’Europe. Les 3e et 4e en Eurocup après Strasbourg en 2016 et Monaco en 2021 (vainqueur). Vichy a disputé la première finale, en Coupe des Coupes, en 1970.\n\nDossier - La JL Bourg a enfin trouvé sa place en EuropeSur le terrain, en tribunes et dans les médias, la JL Bourg est en train d’écrire la plus belle page de son histoire. L’équipe de Frédéric Fauthoux fait face au Paris Basketball en finale de l’Eurocup à compter de ce mardi soir (20h30).BasketEurope.comClément Carton
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Billetterie, réseaux sociaux... L'effet Ricky Rubio se fait ressentir à Barcelone
Avec 11 points, 2 rebonds et 4 passes décisives, Ricky Rubio a été l'un des acteurs de la belle victoire de Barcelone ce dimanche contre son rival du Real Madrid (85-79). Le premier match au-dessus des dix points depuis son retour pour le champion du monde 2019, qui n'a pas encore retrouvé son meilleur niveau après une longue pause. Pourtant, le bénéfice de son retour en Catalogne semble largement dépasser le cadre du parquet.\n\n\nUne signature qui rapporte\n\nEn effet, au-delà de ses performances, le statut de star du meneur en Espagne a boosté les chiffres de vente du club. Cela s'est vu dès son premier match, contre Monaco le 1er mars dernier. Une rencontre qui a attiré 7 045 spectateurs au Palau Blaugrana, soit la troisième meilleure affluence de la saison, ainsi que le cinquième match qui a dégagé le plus de revenus dans l'histoire du club.\n\nPlus globalement, les ventes de billets ont bondi de 28 % depuis ce premier match par rapport au reste de la saison. Mais ce n'est pas tout. Sur les réseaux sociaux aussi, un véritable \effet Ricky Rubio\ a été constaté par le club espagnol.\n\nSur Instagram, les deux mois qui ont suivi la signature de l'international ont vu le compte du club gagner plus de 60 000 nouveaux abonnés et 500 000 interactions mensuelle supplémentaires. Les différents épisodes du retour de Rubio, comme les publications liées à son retour à l'entrainement, ont largement été suivies sur ces plateformes. À l'image de la confirmation de sa signature, qui a généré un record d'1,3 millions d'interactions. Un impact très fort et positif pour les Blaugranas, en attendant de retrouver le joueur de 33 ans au meilleur de sa forme.
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Marius Grigonis s’inscrit sur le long-terme au Panathinaïkos
Sa première saison au Panathinaïkos n’était pas rentrée dans les annales, sa deuxième sous la houlette d’Ergin Ataman l’est bien davantage. Auteur d’un exercice remarquable tant en championnat grec qu'en Euroleague (10,1 points et 3,0 rebonds en 27 minutes en frôlant le 50-40-90 au pourcentage de tirs), Marius Grigonis a décidé de s’engager sur le long terme avec les Verts.\n\nComme révélé par Basket News, l’arrière lituanien a signé un nouveau contrat de trois ans, soit jusqu’à l’été 2027. Il a lui-même confirmé l’information après la victoire en Esake League ce lundi contre Rhodes (74-79). Un match où il a terminé MVP de la rencontre (23 points à 6/6 à 3-points, 5 rebonds).\n\n\C'était très important pour moi de trouver une équipe qui croit en moi plus d'une saison. Je suis heureux de rester avec ma famille en Grèce. J'attends avec impatience de voir comment l’équipe va se développer. L’équipe a une vraie marge de progression, car elle a tout. Elle a l'une des meilleures bases de supporters, l'une des meilleures villes, la météo... tout ! Cela peut être encore mieux qu’aujourd’hui dans le futur”.\n\nEn cas de victoire à domicile jeudi soir contre la lanterne rouge, l’Alba Berlin, le Panathinaikos, actuellement 2e au classement de l’Euroleague, validerait sa place dans le top 4 synonyme d’avantage du terrain en quarts de finale.
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Le Parisien T.J. Shorts nommé MVP de la saison d'Eurocup !
Mais où T.J. Shorts va-t-il bien pouvoir ranger ses trophées ? Le meneur américain du Paris Basketball doit avoir chez lui une grande armoire rien que pour ses titres de MVP. En moins d’un an, l’ancien de Bonn en a compilé cinq ! Nommé meilleur joueur de la Basketball Champion League (BCL) et de son Final Four, de la Bundesliga mais aussi, avec Paris, de la Leaders Cup, T.J. Shorts vient d’être élu par un cortège de fans, médias, coachs et capitaines d’équipe MVP de l’Eurocup. Vous avez dit, leader ?\n\nLe suspens était léger tant le Parisien a dominé la saison européenne tant sur le plan individuel que collectif (meilleur bilan de la saison régulière, 17-1, et invaincu en playoffs). Numéro un à l’évaluation (23,4 en moyenne), aux passes décisives (7,5) et aux tirs à 2-points réussis (5,9), deuxième aux points (18,0) et quatrième aux interceptions (2,0) au sein du club de la capitale, il a en plus en son sein cinq nominations de MVP de la journée (1, 10, 12, quarts et demi-finale).\n\nIl est le premier joueur issu d'un club français à recevoir cette distinction, qui survient au lendemain de sa désignation parmi le cinq majeur de la saison et quelques heures avant le lancement de la grande finale. Il succède à Jerian Grant au palmarès.\n\nNul doute que l’international macédonien est heureux d’obtenir ce nouveau trophée individuel mais que son plus beau cadeau serait de remporter l’Eurocup. Rappelez-vous de ce qu’il nous disait après la quête de la Leaders Cup, le premier trophée de l’histoire parisienne ? “Quand je joue, je ne pense jamais au titre de MVP. Mon objectif est seulement de gagner des matches. Les distinctions individuelles viennent toujours avec. Mon seul but est de faire ce dont l’équipe a besoin et je sais que je serai récompensé sur le long terme. Tout le monde voit mes statistiques mais on ne se rend pas compte du travail de mes coéquipiers pour me rendre la tâche plus facile. C’est une récompense avant tout collective car je ne pourrais pas briller sans eux.”\n\nUn bien bel exemple de résilience pour ce meneur de poche (1,75 m, 26 ans), écarté par les grandes universités américaines en raison de sa taille.\n\nLes trophées individuels de la saison 2023-2024 :\nMVP : T.J. Shorts (Paris)\nMeilleur jeune : Zaccharie Risacher (Bourg)\nCoach de l'année : Tuomas Iisalo (Paris)\nCinq majeur : T.J. Shorts (Paris), Matt Morgan (Londres), Isiaha Mike (Bourg), Trevion Williams (Ulm), Gabe Olaseni (Londres)\n\nITW T.J. Shorts, alias terminator, MVP de la Leaders Cup : “Le Paris Basketball a grandi ce week-end”Exceptionnel durant le weekend, particulièrement dans le moneytime de la finale contre Nanterre (90-85), T.J. Shorts, ou “terminator” comme le surnomme Tuomas Iisalo, a été élu MVP de la Leaders Cup 2024. Une distinction de plus à sa collection, pour le premier triomphe du Paris Basketball.BasketEurope.comClément Carton
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Une audience record pour la finale féminine de la NCAA
Un succès médiatique historique. Si, traditionnellement, la finales du championnat universitaire (NCAA) constituent un véritable événement et sont très suivies aux Etats-Unis, l'édition féminine de 2024 a fait très fort.\n\nSelon ESPN, 18,7 millions de téléspectateurs ont assisté à la victoire de South Carolina contre Iowa (87-75), soit une augmentation de 89 % par rapport à la finale 2023. Un pic d'audience de 24 millions de téléspectateurs aurait même été enregistré en cours de match. Tout simplement le match du circuit universitaire féminin le plus suivi depuis 1992 !\n\n'24 #NCAAWBB Natl. Championship ended the season with a bang on ABC & ESPN\n\n🏀18.7M viewers, peak 24M\n🏀Up 89% from '23 & 285% from '22\n🏀Most-watched basketball game (men's or women's, college or pro) since '19\n🏀Most-watched sporting event since '19 (excl. football & Olympics) pic.twitter.com/0a4uwiOwgp\n\n— ESPN PR (@ESPNPR) April 8, 2024\n\n\nPlus fort encore, il s'agirait de l'événement sportif (professionnel ou universitaire, masculin ou féminin) qui a obtenu la plus forte audience outre-Atlantique depuis 2019, devant la Coupe du Monde de football et les Jeux Olympiques.\n\nDes données qui montrent l'ampleur de l'engouement autour de ce tournoi féminin de la NCAA en 2024, porté par les performances du phénomène Caitlin Clark jusqu'à cette fameuse finale. Même s'il n'y a pas eu de titre au bout, cela promet pour l'arrivée prochaine de la meneuse de jeu de 22 ans en WNBA.
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Equipe de France : Vincent Collet et Jean-Aimé Toupane dévoileront leur liste le 16 mai
C’est un sujet qui risque de passionner les suiveurs du basket français : qui ira aux Jeux Olympiques de Paris 2024 ? Les sélectionneurs des équipes de France masculine et féminine donneront quelques éléments de réponse le jeudi 16 mai prochain. Vincent Collet et Jean-Aimé Toupane rendront publique leur liste pour la campagne de préparation aux Jeux Olympiques.\n\nNul ne sait combien de joueurs et joueuses seront retenus pour la prépa mais la certitude est que la liste définitive des 12 ne sera connue que quelques jours en amont de la compétition olympique, qui débutera le samedi 27 juillet à Villeneuve d'Ascq. Les Bleus ouvriront le bal le jour J contre le vainqueur du TQO de Riga tandis que les Bleues seront opposées au Canada le lundi 29 juillet. La phase finale aura lieu à l'Accor Arena (Bercy).\n\nJeux Olympiques : Décryptage des adversaires des Bleus dans le Groupe BL’équipe de France a hérité de l’Allemagne, championne du monde en titre, du Japon et du vainqueur du TQO de Riga (Lettonie) dans le groupe B aux JO de Paris 2024. Décryptage avec le sélectionneur Vincent Collet et son general manager Boris Diaw... et réactions de ses futurs adversaires.BasketEurope.comClément CartonJeux Olympiques : Décryptage des adversaires des Bleues dans le Groupe BL’équipe de France a été placée dans le groupe B avec l’Australie, le Canada et le Nigéria aux JO de Paris 2024. Décryptage des adversaires avec la general manager Céline Dumerc et le sélectionneur Jean-Aimé Toupane.BasketEurope.comClément Carton
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Yoann Cabioc’h futur coach de l'ASVEL féminin
Le départ du coach David Gautier à la fin de son contrat avait été évoqué dès le mois de janvier. Trois mois plus tard, l’ASVEL a annoncé le nom de son successeur. Il s’agit de l’actuel assistant de David Gautier, Yoann Cabioc’h, dont le projet a visiblement séduit les dirigeants lyonnais. Lesquels avaient également discuté avec les techniciens espagnols Miguel Mendez, Victor Lapena ou encore Frédéric Dusart. Le Breton de 35 ans est sous contrat jusqu'en 2026.\n\n\nUne ascension fulgurante\n\nYoann Cabioc’h franchit ainsi un nouveau cap dans sa carrière d’entraîneur. Parti du bas de l’échelle à Pacé, il a gravi toutes les divisions nationales féminines. Il a connu cinq montées en division supérieure en 13 années de coaching, entraînant notamment Trégeux (NF2, montée en NF1), Le Poinçonnet (NF2, montée en NF1) ou encore La Glacerie (LF2).\n\nEn contact avec le coach franco-américain James Wade, ce dernier lui a permis de se fondre dans le staff du Chicago Sky en tant que coordinateur vidéo. Premier Français de l’histoire à intégrer le staff d’une franchise WNBA, Yoann Cabioc’h y a vécu quatre riches saisons et remporté le titre en 2021.\n\n“Nous avons reçu et étudié des candidatures plus expérimentées, mais avons jugé que ça n’était pas le bon moment et ce dont nous avions besoin. Il nous faut de l’audace, de l’envie”\n\nSi son expérience de coach principal à La Glacerie (promue en LF2 puis reléguée en NF1) s’est montrée moins prolifique, avec notamment une cascade de blessures, Yoann Cabioc’h a rebondi comme coach assistant de David Gautier à l’ASVEL Féminin depuis 2022, lui qui était initialement venu à Lyon pour travailler avec Pierre Vincent.\n\n“Le choix de Yoann, c’est le choix de la continuité d’une part, mais aussi la volonté de s’appuyer sur une réelle expérience : ce qu’il a vécu en WNBA, sa maîtrise du réseau du basket américain et ses connaissances vont nous ouvrir des perspectives pour des recrutements malins et audacieux à l’avenir. Le timing est le bon pour lui comme pour le club : Yoann a cette soif de découvrir le coaching de haut-niveau, de mettre en application sa vision, une vision qu’il nous a exposée et qui nous séduit vraiment. Et nous, nous défendons nos valeurs : authenticité, partage et audace. Yoann coche toutes ces cases. Nous avons reçu et étudié des candidatures plus expérimentées, mais avons jugé que ça n’était pas le bon moment et ce dont nous avions besoin. Il nous faut de l’audace, de l’envie... Yoann a ce profil et travaille beaucoup à perfectionner ce qu’il déploie”, indique la présidente déléguée Marie-Sophie Obama par communiqué.\n\nDepuis la reprise de l'ASVEL féminin par Tony Parker en 2017, Yoann Cabioc’h est le quatrième entraîneur à être nommé après Valéry Demory (2017-2021), Pierre Vincent (2021-2022) et David Gautier (2022-2024).\n\nCOMMUNIQUE : Yoann Cabioc'h, futur coach de LDLC ASVEL Féminin.\n\n➕ d'infos ➡️ https://t.co/1Gne90a5LD#ASVElles #BeBold pic.twitter.com/8yYhXwATEe\n\n— LDLC ASVEL Féminin (@ASVEL_Feminin) April 9, 2024\n
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Valérie Garnier (Fenerbahçe) au Final Four : «Ici, c’est le quotidien ce besoin de gagner»
Situation peu ordinaire, Mersin est à la fois son adversaire actuel en finale du championnat (2-0 pour Fenerbahçe) et en demi-finale d’Euroleague. Ce Final Four à forte présence française sera le troisième de la carrière de Valérie Garnier, intronisée l’an passé au Hall of Fame de la FIBA, après ceux disputés avec Bourges en 2013 et 2014. Pour Basket Europe, la technicienne française plonge au coeur d’une saison intense et palpitante.\n\nValérie, en 2019, alors que vous dirigiez les Bleues pendant l’Euro, vous aviez appris sans ménagement, et de manière assez abrupte, que votre contrat avec Fenerbahçe n’était pas reconduit. Qu’est-ce qui vous a donné envie de revenir dans ce club aujourd’hui?\n\Pour remettre un peu les choses dans le contexte, j’avais effectivement quitté Istanbul en laissant toutes mes affaires là-bas, puisque j’avais déjà commencé à travailler sur l’équipe. Le contrat n’était pas signé et j’étais en fin de contrat, mais on avait commencé à travailler. Moi, j’étais focus sur mon Euro, j’avais confiance dans ma GM, je pensais que tout allait bien. Mais au fur et à mesure dans nos discussions, elle me disait qu’elle ne savait plus trop ce qui se passait, des choses comme ça. Et effectivement, la veille du début de l’Euro, on m’a annoncé qu’on ne renouvellerait pas mon contrat et que j’allais être remplacée. Et dans les quinze jours qui ont suivi, tout mon staff a pris la même direction...\n\nQu’est-ce qui a rendu ce retour possible, et vous a conduit à quitter les garçons de Tours (NM1) dont vous étiez la coach?\n\nLà quand ils ont rappelé, c'était cinq ans après, ce n’était plus la même équipe dirigeante, les responsables du basket ont changé. J’ai eu un bon contact avec la GM, et le membre directeur, M. Kemal, qui a pris contact avec mon agent, était quelqu’un que j’appréciais. Et puis Fenerbahçe aujourd’hui, c’est la place forte du basket féminin, avec l’absence des clubs russes. Quand ils se sont manifestés, j’étais à Manille (où elle a été intronisée au Hall of Fame de la FIBA), et quand mon agent Miloud Dahine m’a dit ensuite que Fenerbahçe me proposait un an de contrat... J’ai dit «Un an? Non je ne bouge pas, je suis bien chez les garçons». Et puis dans les heures qui ont suivi, c’était deux plus un. Ça permet de mieux travailler, et avec l’ambition, car le club venait de gagner l’Euroleague, de retourner au Final Four. Et moi, je n’en ai pas fait cinquante des Final Four; j’en ai fait deux avec Bourges. Donc, c’était une opportunité importante pour moi de retrouver le très, très haut-niveau. Qui plus est à Istanbul, une ville qu’on adore (avec sa compagne).\n\n«Il faut savoir quand même qu’aujourd’hui, on a fait 54 matches en 7 mois. Ça fait une moyenne de 8 matches par mois. On a eu une poussée à douze dans le mois de janvier... On a joué 54 matches, on ena perdu 2»\n\nEt avec des conditions de travail quasiment inégalées ailleurs?\nJe n’ai jamais caché combien j’avais aimé travailler là-bas. Oui, tous les jours, j’ai trois assistants, un préparateur physique, j’ai deux kinés, un masseur, un intendant, un team manager, une GM. C’est une configuration «équipe nationale», avec des gens qui sont employés 24h sur 24h. Ça aide. Comme les conditions de voyage. On a déjà fait du jet privé parce que les conditions ne permettaient pas de faire autrement, avec un calendrier surchargé. Il faut savoir quand même qu’aujourd’hui (après le deuxième match de la finale de championnat), on a fait 54 matches en sept mois!Donc on voyage dans les meilleures conditions. 54 matches, ça fait une moyenne de huit matches par mois. On a eu une poussée à douze dans le mois de janvier... L’idée c’est de finir mi-avril, pour pouvoir libérer les joueuses partantes pour la WNBA, et comme il y a beaucoup de fortes joueuses dans le championnat turc, il y a beaucoup de joueuses de WNBA. Elles viennent ici aussi parce qu’elles savent que mi-avril, elles peuvent partir.\n\nLe pendant de tout ça, c’est que Fenerbahçe est supposé tout gagner. Ça met une pression vraiment exacerbée sur le groupe?\nPas exacerbée, mais bon... On a joué cinquante-quatre matches, on en a perdu deux. Donc, on a gagné cinquante-deux matches. Vendredi dernier, on a commencé notre finale de championnat. C’était notre match le plus important. Dimanche, c’était le match 2, c’était notre match le plus important, et le suivant ce sera notre demi-finale d’Euroleague, oui, tout est crucial. Donc on prend les matches un par un, avec une équipe, un staff, des joueuses qui savent exactement où on veut aller.\n\nITW Valériane Ayayi (Prague) avant le Final Four : “On se souvient que Villeneuve d’Ascq nous a battus”Après deux échecs en demi-finale avec Prague, Valériane Ayayi va tenter d’accéder à sa première finale d’Euroleague lors du Final Four de Mersin. L’internationale tricolore devra d’abord passer l’obstacle Villeneuve d’Ascq, le club avec lequel elle a été championne de France en 2017. Entretien.BasketEurope.comClément Carton\n\nEst-ce une situation piégeuse et stratégiquement compliquée, de jouer la finale du championnat contre Mersin, face à qui vous menez 2-0, et qui sera aussi, et à domicile, votre adversaire en demi-finale du Final Four?\nCe ne sont pas les mêmes règles en championnat turc qu’en Euroleague. Enligue turque, ce sont simplement quatre étrangères qui sont autorisées. J’en ai neuf, dont huit qui peuvent jouer l’Euroleague, donc je suis obligée de faire une sélection à chaque match. Et entretemps, il faut quand même garder sur le pont, et en rythme, celles qui ne jouent pas, celles qui s’entraînent quand les autres jouent. C’est particulier. Comme de faire jouer le 3e match de cette finale de championnat, le 17 avril, à Mersin, trois jours après le Final Four... Donc nous on n’aura pas la même équipe au Final Four, et elles non plus. Les intentions de jeu sont les mêmes, mais les individus sont différents, donc il y aura forcément une adaptation à faire. Moi, j’ai des joueuses qui jouent beaucoup dont je sais qu’elles doivent récupérer comme Emma Meesseman, Kayla McBride, et d’autres qui ont besoin d‘entraînement. Il faut arriver au moment important de sorte que tout soit aligné, avec tout le monde dans un état de forme identique.\n\nCe Final Four a une forte identité française: il y a Villeneuve d’Ascq, Olivia Epoupa (à Mersin), Valériane Ayayi (à Prague) et Fenerbahçe, avec Marième Badiane, vous au coaching et Camille Aubert comme assistante. Qu’est-ce que ça vous inspire au sujet de la place du basket féminin français aujourd’hui?\nC’est plutôt un beau constat, une bonne nouvelle. Ça montre que le basket féminin français s’exporte bien àl’étranger, et qu’il existe dans les FinalFour d’Euroleague. La dernière fois, c’était - et je m’en souviens parce que les deux dernières fois qu’un club français était présent, je l’ai vécu - c’était en 2013 et 2014, avec Bourges. On avait fini troisième en 2013, et quatrième en 2014. Quand on va se confronter à ce qui se fait de mieux en Europe, c’est toujours bénéfique. Et aujourd’hui Villeneuve d’Ascq représente la France, c’est bénéfique pour l’ensemble du basket féminin français, celui des clubs, celui de l’équipe nationale.\n\n«Au Final Four, il y a deux matches à gagner, il n’y a pas de calcul, pas de session de rattrapage, dans ce format, tout le monde peut exister»\n\nVilleneuve d’Ascq va vivre son baptême du Final Four. Quels souvenirs gardez-vous de votre premier Final Four? C’est intimidant d’arriver comme le petit Poucet d’une compétition?\nNon... Enfin quand je dis, non, c’est parce que j’ai le souvenir de mon premier Final Four, en 2013, où, tout le temps qu’on y était, on a bien rigolé avec mon assistant. Parce que personne ne nous calculait. Parce que dans l’absolu, personne n’attendait rien de la petite équipe française. Il y avait eu d’abord un Final Eight, et quand on s’est retrouvé au Final Four, là, on a commencé à nous regarder. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas. Villeneuve a fait un beau parcours, a éliminé Miskolc qui était second de notre poule. C’est une vraie équipe, athlétique, qui développe un basket engagé. Et puis l’essentiel, c‘est d’être présent au moment clé. Ici, tout est rebattu, c’est quelque chose de très particulier. Il y a deux matches à gagner, il n’y a pas de calcul, pas de session de rattrapage, dans ce format, tout le monde peut exister. \n\nÇa veut dire que les paramètres essentiels du jeu d’une équipe peuvent être bouleverséspar l’enjeu et le format?\nC’est un format où tout le monde peut exister. Il peut se passer des choses qu’on ne prévoit pas. Lors du premier match de notre finale de championnat contre Mersin, j’ai vécu un truc que je n’avais jamais connu: mes joueuses ont terminé à 17/26 à trois points! C’est-à-dire à 65 %. Moi en tant qu’entraîneure, je n’avais jamais vécu ce pourcentage sur un nombre de tirs aussi élevé. Mais ce n’était pas la réalité du second match où on a terminé à 8/19, mais dans un match hyper défensif. Alors que le premier était beaucoup plus ouvert. Et je ne sais pas à quoi va ressembler ce troisième match. Ce que je sais, c’est que dans ces moments-là, c’est quand même très intéressant d’être bien en place et efficace d’un point de vue défensif.\n\nC’est toujours aussi primordial, pour vous, la défense?\nOui. Je reste persuadée que c’est ce qui fait gagner des titres. On a été meilleures défense en Euroleague, et aussi en championnat. Même si le curseur est parfois élevé en championnat. La défense, on peut la décider et l’appliquer. On ne peut pas faire 65 % àtrois-points tout le temps, ça peut arriver, mais on ne peut pas le contrôler. J’ai des joueuses qui prennent un plaisir non dissimulé à défendre fort, elles ont adhéré au projet. Même des joueuses que je n’attendais pas à ce niveau d’engagement défensif sont présentes. Elles ont du talent offensif, mais quand je vois qu’on a tenu Mersin à 64 points au match 2... quand je vois le comportement de joueuses comme Natacha Howard, qui contrôle les airs, Kayla McBride qui s’est mise à un niveau intéressant dans ce domaine,ou Emma Meesseman... Emma, on regarde toujours ce qu’elle fait en attaque, mais c’est une très, très grande joueuse défensive, sans parler d’Yvonne Anderson bien sûr. Le très haut-niveau, c’est ça, c’est être capable d’être efficace des deux côtés du terrain.\n\n«On est en mission, j’ai des joueuses qui connaissent bien ce terme. On n’a pas le temps, pas le droit de s’égarer»\n\nAvec Fenerbahçe, vous avez le statut du favori. Ce n’est pas trop lourd à porter?\nC’est un statut qu’on assume. Je connais les exigences de Fenerbahçe, et tout ce qui va avec. Par exemple, on a eu une sacrée pression, incroyable pour le match de Supercoupe que le club n’avaitjamais gagnée. C’était contre l’ASVEL, et ça s’est bien déroulé, face à une équipe diminuée par les absences. Après, il y a tous les matches contre Galatasaray, là, c’est interdiction de perdre. Et puis, il y a la Coupe de Turquie. On avait joué les 17, 20, 24, 27 et 30 décembre. Et le 2, 4et 5 janvier, c’était la coupe de Turquie. Qu’on gagne sur un tir au buzzer de Meesseman. Voilà, c’est pour tout pareil. Ici, c’est le quotidien ce besoin de gagner. À Mersin, on aura 15 % de la capacité de la salle, donc on aura quand même 1 200 supporters du Fenerbahçe, et ça fait du bruit. Ce sont de vrais fans. On est en mission, j’ai des joueuses qui connaissent bien ce terme. On n’a pas le temps, le droit de s’égarer. Gagner, c’est leur ADN. Si je suis revenue au Fenerbahçe, c’est parce que c’était une occasion unique de retrouver le Final Four. Il n’y avait que Fenerbahçe qui pouvait me sortir de mon équipe de garçons, où j’étais vraiment bien».
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Dossier - La JL Bourg a enfin trouvé sa place en Europe\n\nSur le terrain, en tribunes et dans les médias, la JL Bourg est en train d’écrire la plus belle page de son histoire. L’équipe de Frédéric Fauthoux fait face au Paris Basketball en finale de l’Eurocup à compter de ce mardi soir (20h30).\n\nDossier - La JL Bourg a enfin trouvé sa place en EuropeSur le terrain, en tribunes et dans les médias, la JL Bourg est en train d’écrire la plus belle page de son histoire. L’équipe de Frédéric Fauthoux fait face au Paris Basketball en finale de l’Eurocup à compter de ce mardi soir (20h30).BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nEurocup : Paris étouffe Bourg-en-Bresse dans le match 1 de la finale\n\nLe Paris Basketball a étouffé la JL Bourg lors du match 1 de la finale de l'Eurocup. Les hommes du coach Tuomas Iisalo ont réalisé une impressionnante démonstration collective en première mi-temps. Le score final (77-64) est flatteur pour la Jeu.\n\nEurocup : Paris étouffe Bourg-en-Bresse dans le match 1 de la finaleLe Paris Basketball a étouffé la JL Bourg lors du match 1 de la finale de l’Eurocup. Les hommes du coach Tuomas Iisalo ont réalisé une impressionnante démonstration collective en première mi-temps. Le score final (77-64) est flatteur pour la Jeu.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\n\n\nLe Parisien T.J. Shorts nommé MVP de la saison d'Eurocup !\n\nAprès ses titres en Allemagne, en BCL et en Leaders Cup plus tôt dans la saison, T.J. Shorts complète sa collection de distinctions individuelles en étant élu MVP de la saison d'Eurocup ! Un résultat logique tant le meneur de poche a dominé comme personne cette saison européenne avec le Paris Basketball.\n\nLe Parisien T.J. Shorts nommé MVP de la saison d’Eurocup !Jackpot pour T.J. Shorts : après le titre de MVP en BCL l’an dernier, le meneur de poche du Paris Basketball est nommé MVP de la saison 2023-2024 en Eurocup.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nEurocup : Paris ou Bourg, qui sera le 6e club français vainqueur d’une coupe d’Europe ?\n\nCe mardi, c'est le début de la finale d'Eurocup entre le Paris Basketball et la JL Bourg. Un affrontement franco-français, le deuxième en finale d'une coupe d'Europe, dont les Parisiens partent favoris avec un avantage du terrain qui leur permet de disputer ce premier match dans leur Adidas Arena.\n\nEurocup : Paris ou Bourg, qui sera le 6e club français vainqueur d’une coupe d’Europe ?Le Paris Basketball et la JL Bourg s’affrontent pour la deuxième finale franco-française de l’histoire d’une coupe d’Europe en deux manches gagnantes. Premier épisode ce mardi soir (20h30) à l’Adidas Arena.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nLe tournoi de qualification paralympique de basket fauteuil sur BeIN Sports\n\nCe week-end, le Tournoi Qualificatif Paralympique (TQP) aura lieu pour déterminer les quatre équipes qui participeront au tournoi paralympique dans quelques mois. Parmi les participants se trouve l'équipe de France, pas qualifiée d'office pour la compétition et qui affrontera l'Iran, le Canada et les Pays-Bas.\n\nLe tournoi de qualification paralympique de basket fauteuil sur BeIN SportsBeIN Sports diffusera du 12 au 15 avril le tournoi qualificatif paralympique (TQP) de basket fauteuil masculin, à Antibes, dont les matches de l’équipe de France qui affrontera l’Iran, le Canada et les Pays-Bas.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nEquipe de France : Vincent Collet et Jean-Aimé Toupane dévoileront leur liste le 16 mai\n\nÀ quelques semaines du début du tournoi olympique de Paris 2024, les sélectionneurs des équipes de France masculine et féminine, Vincent Collet et Jean-Aimé Toupane, vont dévoiler leur sélection pour la campagne de préparation. le jeudi 16 mai. Mais la liste définitive ne sera connue que quelques jours avant le début de la compétition.\n\nEquipe de France : Vincent Collet et Jean-Aimé Toupane dévoileront leur liste le 16 maiLes sélectionneurs des équipes de France masculine et féminine, Vincent Collet et Jean-Aimé Toupane, dévoileront leur liste pour la campagne de préparation aux Jeux Olympiques le jeudi 16 mai.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nYoann Cabioc’h futur coach de l'ASVEL féminin\n\nAprès avoir officialisé le départ de son coach David Gautier il y a quelque semaines, l'ASVEL féminin a annoncé le nom de son successeur : il s'agit de Yoann Cabioc'h, assistant-coach auprès de l'équipe première depuis deux ans. Sous contrat jusqu'en 2026, le Breton de 35 ans a convaincu sa direction de lui donner sa chance.\n\nYoann Cabioc’h futur coach de l’ASVEL fémininYoann Cabioc’h a été choisi par l’ASVEL féminin pour être le futur coach de l’équipe professionnelle à compter de la saison 2024-2025. Il était l’entraîneur assistant de David Gautier depuis deux saisons.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n
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Pro B : Ali Bouziane quitte Angers et remplace Rémy Valin à Denain
Lanterne rouge de Pro B mais toujours en course pour le maintien, l’Étoile Angers Basket a annoncé ce mardi 9 avril le départ de son coach Ali Bouziane avec effet immédiat, alors même que l’équipe est attendue dans la soirée à Nantes pour y disputer un match capital pour sa survie dans l’antichambre. Une situation cocasse qui s’explique par les difficultés économiques du club angevin, qui n’a pas eu le moyen de recruter durant la saison, y compris afin de remplacer les nombreux blessés. L’ancien joueur de Gravelines et Dijon prend la direction de Denain.\n\n« Notre coach Ali Bouziane, par l’intermédiaire de son agent, nous a fait part le dimanche 7 avril de sa volonté d’être libéré de ses fonctions avec effet immédiat, explique le club par communiqué. Après avoir reçu et écouté Ali Bouziane sur ses motivations professionnelles et ses ambitions de carrière, nous avons pris la décision de mettre fin à notre collaboration d’un commun accord et d’officialiser son départ. Il a fait part de sa volonté de s’engager avec le club de Denain Voltaire. Ce qu’il considère comme une opportunité professionnelle qu’il ne peut laisser passer. Dans ces conditions, il nous est difficile de conserver un salarié à un poste aussi engageant. »\n\n🚨 Communiqué officiel - départ d'Ali BOUZIANE\n\nAli BOUZIANE par l’intermédiaire de son agent, a fait part au club la volonté d’être libéré de ses fonctions avec effet immédiat.\n\nPlus d'informations ⤵️#GagnonsEnsemble ⭐️ pic.twitter.com/faEb6UZXdl\n\n— EAB - Etoile Angers Basket (@EABasket49) April 9, 2024\n\n\nIronie de l’histoire, Ali Bouziane a dirigé son dernier match à Angers... contre Denain. Une victoire de l’EAB (82-71) qui a poussé le coach Rémy Valin vers la sortie dans le Nord. La durée de son nouveau contrat pourrait être de deux saisons selon BeBasket.\n\n\nJohn Delay prend les commandes à Angers\n\nAngers va donc confier le coaching à son premier assistant, John Delay, jusqu’à la fin de la saison... sauf revirement de situation. Quant à Ali Bouziane, il devrait diriger son premier match avec les Dragons ce vendredi 12 avril à Fos-sur-Mer. Un duel déjà crucial pour le maintien.\n\nÀ 6 journées de la fin de la saison de Pro B, Angers (8-20) est dernier, Évreux et Fos-sur-Mer (9-19) sont 17e et 16e, Denain est juste devant (10-18) tandis qu’Aix Maurienne s’est donné un peu d’air par rapport à ses concurrents (11-17). Rien n’est fait.\n\nITW Rémy Valin, coach de Denain: «Je suis un dinosaure»À 46 ans, Rémy Valin est un vieux grognard de la Pro B, revenu l’été dernier à Denain après une brève apparition dans l’élite avec Fos. Le coach idéal pour faire part de ses expériences. Entretien.BasketEurope.comPascal Legendre
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
Eurocup : Paris étouffe Bourg-en-Bresse dans le match 1 de la finale
Après Limoges (1982, 83, 88, 93 et 2000), Orthez (1984), Nancy (2002), Nanterre (2015 et 17) et Monaco (2021), Paris est à 40 minutes de s’inscrire comme étant le sixième club français vainqueur d’une Coupe d’Europe.\n\nLe match s'est résumé à sa première mi-temps au cours de laquelle le Paris Basketball a mis son adversaire dans les cordes. T.J. Shorts (15 points et 20 d'évaluation au final) a été une fois encore l'architecte de la victoire parisienne mais c'est le fait que chaque élément s'emboîte parfaitement aux autres qui a été frappant et épatant et l'intensité parisienne ne s'éteint (presque) jamais. La JL a concédé 19 balles perdues, a loupé 20 de ses 24 shoots derrière l'arc et si, par exemple, Zaccharie Risacher s'en sort avec 11 points, c'est en grande partie un total - le meilleur de son équipe - constitué quand les cierges étaient éteints.\n\nSi elle veut toujours croire à la possibilité de graver son nom sur le trophée, la JL Bourg doit prendre sa revanche le 12avril à Ekinox avant de disputer une belle, le 15avril, dans la capitale. C’est loin d’être mission impossible. Le 16décembre, les Bressans y sont parvenus en championnat, 83-81.\n\n\nÀ fond des deux côtés du terrain\n\nL’Eurocup n’est plus réellement la C2 et partage pour le moins l’appellation avec la Basketball Champions League. Le niveau de la compétition a baissé du fait de l’éjection des clubs russes des compétitions internationales et conjointement de la montée à l’étage supérieur de ses derniers vainqueurs, Valence, Monaco et la Virtus Bologne; Gran Canaria ayant refusé l’année dernière de s’engouffrer dans la coûteuse Euroleague. On peut remarquer aussi que l’actuel co-leader du championnat espagnol, Unicaja Malaga, est engagé en BCL.\n\nTout a déjà été écrit sur l’ascension vertigineuse du Paris Basketball parti d’une feuille blanche en 2018 sous le guidage de deux investisseurs américains, Eric Schwartz et David Kahn. L’équipe a dû sa présence en Eurocup à une invitation, a un moment tangué avant d’être propulsé au sommet grâce aux méthodes audacieuses du coach finlandais Tuomas Iisalo et la présence de six joueurs (Sebastian Herrera, Michael Kessens, Leon Kratzer, Collin Malcolm, TJ Shorts, et Tyson Ward) venus directement du Telekom Bonn, vainqueur de la BCL en 2023, et qui ont formé ainsi une solide fondation. Le Paris Basketball joue un run and gun ébouriffant (98,4 points de moyenne en Eurocup avant cette finale), une défense tout aussi intense, avec des rotations incessantes. Jamais la patte d’un coach ne s’est faite autant ressentir au sein d’une équipe française depuis celle de Bozidar Maljkovic à Limoges, il y a trente ans.\n\n«Oui, c'est notre style de basket : courir, jouer avec intensité et choquer les équipes adverses» confirme Nadir Hifi. «Mais c'est notre façon de jouer au basket. Nous ne comptons pas les statistiques ni les points qu'ils ont marqués contre nous. Nous voulons juste gagner chaque match.»\n\nComme l’a démontré notre enquête, le Paris Basketball n’a pas été construit avec des millions de dollars. L’ensemble de ses joueurs est à moins de 150 000 euros la saison, à l’exception de T.J. Shorts (340 000 euros), MVP de l’Eurocup, et du néo-international Nadir Hifi (175 000 euros), qui a été inclus dans le deuxième cinq all-stars de la compétition, qui sont loin d’être surpayés étant donné leur rendement. Quant à Tuomas Iisalo, il n’apparait que 4e dans la hiérarchie des coaches les mieux rémunérés de l’élite derrière ceux d’Euroleague, Sasa Obradovic, Gianmarco Pozzecco et TJ Parker. C’est pourquoi le Finlandais déclare que tout le monde a laissé de l’argent sur la table en rejoignant le Paris Basketball.\n\nLe club de la capitale n’a concédé que 8défaites dans les 53matchs joués toutes compétitions confondues avec un 21 sur 22 en Eurocup (une défaite de cinq points face à Besiktas à la fin novembre) et il est maintenant sur une série de 18 victoires d’affilée. Seul Monaco, troisième équipe dans la hiérarchie européenne à ce jour, a réussi réellement à le dompter (84-62 et 85-92).\n\n💬 Nadir Hifi : \On est content de ce début de match mais ce n'est pas fini !\\n\nLes mots de @NadirHifi au micro de @NielsOnimus à la mi-temps de ce game 1.#SKWEEKLive pic.twitter.com/8bq5WAMwYr\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 9, 2024\n\n\n\n+25 à la 20e minute\n\nC’est dans une Adidas Arena à guichets fermés forte de 8 000spectateurs que s’est joué ce Match 1 alors que les tarifs les plus bas étaient modérés, 19, 25 et 36 euros. Une magnifique enceinte digne d’un tel évènement même si on peut regretter qu’elle soit d’une capacité aussi limitée. L’ambiance est assurée à la fois par une sono et un cube central niveau NBA et le groupe de fans jeunes et dynamiques des Parisii.Le public parisien qui découvre peu à peu l’arena et son équipe n’est pas -encore - le plus aiguisé d’Europe - ce n'est pas la Stark Arena de Belgrade - mais il se prend au jeu. Les quelques dizaines de supporters venus de l’Ain ont été noyés dans le Capharnaüm.\n\nT.J. Shorts faisait apprécier tout de suite à Zaccharie Risacher sa capacité à armer un tir imparable à distance intermédiaire et à tous celle à maîtriser le tempo offensif parisien et son moteur inépuisable. A peu près tout passe par lui. Kevin Kokila ramassait deux fautes en trois minutes et face à la défense turbulente des Parisiens, la JL avait du mal à ajuster ses shoots (3/11 pour commencer). La situation au score des Burgiens se dégradait peu à peu. 7-3, 15-7, 21-9 (8e) et 23-11 à la fin du premier quart-temps.\n\nA 25-11, deux trois-points consécutifs de JeQuan Lewis ont rallumé l’espoir de la JL. Une accalmie de courte durée. Les Burgiens butaient sur un bunker et Paris remettait le turbo: 33-17 sur un panier à trois-points de Nadir Hifi. Les équipiers d’Axel Julien n’avaient souvent pas d’autres choix que de faire faute. D’ailleurs coach Freddy Fauthoux récoltait une technique. Un moyen comme un autre pour provoquer un électrochoc. Qui ne venait pas même si Zaccharie Risacher montrait par éclairs ses compétences près du panier. Mais quand T.J. Shorts était sur le banc pour un peu se reposer, Mehdy Ngouama faisait le job à la mène et c’est via un trois-points de sa part que l’écart était monté à +20 (45-25).\n\nTJ Shorts pénétrait dans la défense de la Jeu comme couteau de cuisine dans du beurre ramolli. Quand il faisait passer le score à 52-29 sur un 2+1, les Parisii hurlaient «MVP... MVP...», ce qui est juste la réalité. Les Burgiens étaient en plein désarroi. Isiaha Mike bafouillait deux fois sur son dribble et le ballon filait dans les décors. Puis c’était au tour de Zaccharie Risacher de perdre les pédales. Un pic était observé à 54-29 avant que la mi-temps soit clôturée à 54-31.\n\nLA PRESSION PARISIENNE 🥵\nLE DUNK DE JUSTIN SIMON 🔨\n\nQuel match du @ParisBasketball ! ⚡️#SKWEEKLive pic.twitter.com/7rLQ0aU4rh\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 9, 2024\n\n\n\n20 minutes de garbage time\n\nTout avait été dit en première mi-temps. Le but de la Jeu était de limiter la casse pour ne pas retourner dans l'Ain avec le moral dans les chaussettes. On notait davantage de scories dans le jeu parisien et le fait que la balle circulait mieux à Bourg mais aussi que la finition laissait toujours à désirer. Le temps filait et la JL faisait un peu baisser la note, de 60-33 à 65-43 (30e).\n\nUn relâchement du Paris Basketball ? C'est interdit dans les tables de la lois de Tuomas Iisalo. Chaque action des Burgiens était systématiquement contestée. Zaccharie Risacher claquait un dunk surpuissant, laissait s'échapper sa frustration en criant de toutes ses forces, mais une fois sur la ligne, il avait droit à des tranchants \surcoté, surcoté\ de la part du kop parisien, qui sait très bien appuyer là où ça fait mal.\n\nLes Burgiens verront peut-être un motif d'espoir d'avoir infligé à leurs rivaux un run de 0-8 à un moment du dernier quart-temps (71-46 à 71-54), puis un 3-15. Ils ont réussi à éviter un trop gros débours sur la feuille de marque, mais c'était après vingt minutes de garbage time ou quelque chose de la sorte.\n\nLes Parisii ont cherché à ce que chacun reprenne le \qui ne saute pas n'est pas Pari-sien...\ Malgré leurs efforts, il y a eu des défections dans les rangs, mais pour un un jeune public parisien - très gâté -, c'était déjà pas si mal.\n\nLa boxscore est ICI.\n\nA Paris.
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Finale de l'Eurocup : Avantage Paris, mais Bourg n'a pas dit son dernier mot
Sur le papier, l'opposition 100 % française, en finale de l'Eurocup, entre une JL Bourg qui écrit actuellement la plus belle page de son histoire et un Paris Basketball à l'ascension fulgurante promettait beaucoup. Finalement, il n'y a pas vraiment eu de match ce mardi à l'Adidas Arena (77-64). La faute à une équipe parisienne qui a rapidement su installer son infernal rythme de jeu pour déborder un adversaire burgien sans solution dès le premier quart temps, conclu sur le score de 23 à 11. Une entame de match réussie qui a mis en bonne position l'équipe dirigée par Tuomas Iisalo dans ce match 1 très important à domicile. Après la rencontre, le technicien finlandais parlait d'ailleurs d'une \excellente première mi-temps, avec une intensité défensive incroyable et un jeu offensif de haut niveau\, permettant à ses joueurs de compter 23 points d'avance au moment de regagner les vestiaires (54-31).\n\nSi la deuxième moitié du match a vu l'adresse des locaux diminuer, ils n'ont jamais véritablement perdu le contrôle du match, s'appuyant notamment sur un défense toujours aussi solide : \La seconde mi-temps a été décevante de notre côté, Bourg a commencé à modifier sa défense\, confirme Iisalo. \Cela nous a posé quelques problèmes, mais je pense aussi que notre concentration n'était pas au même niveau qu'en première mi-temps. [...] Mais laisser l'une des meilleures équipes européennes à 33 points en seconde période, c'est plutôt bien. Il ne faut jamais oublier que le basket-ball est un jeu où on peut réussir ou rater. En première mi-temps, des tirs très difficiles sont rentrés, et en seconde période, on a raté des tirs ouverts.\Qu'importe, Paris n'a pas eu besoin d'être adroit pendant 40 minutes pour impressionner.\n\n\Que ce soit marquer, passer ou défendre, j'essaie de faire un peu de tout pour aider notre équipe à gagner\\n\nSi le collectif parisien a une nouvelle fois prouvé à quel point il pouvait se révéler destructeur une fois lancé, il a également pu compter sur son maître à jouer, T.J. Shorts. Pas rassasié par son tout récent titre de MVP de la compétition, le meneur de poche a une encore guidé son équipe d'une main de maître (15 points, 3 rebonds, 4 passes décisives, 2 interceptions et 7 fautes provoquées). De quoi s'attirer une nouvelle fois les louages de son coach : \C'est comme si T.J. prenait toute l'énergie, qui distrait et conduit les autres à une mauvaise performance, pour la mettre dans son jeu. C'est quelque chose de très rare. En fait, j'aurais aimé avoir moi-même cela en tant que joueur, mais c'était le contraire (sourire). C'est un individu unique, je l'ai répété à de nombreuses reprises\.\n\nLa vitesse de zinzin, T.J. Shorts est injouable sur le moindre mismatch ! 😳@ParisBasketball x @EuroCup#SKWEEKLive pic.twitter.com/rDakPGAgdG\n\n— SKWEEK (@skweektv) April 9, 2024\n\n\nPourtant, loin de vouloir prendre la lumière, l'Américain préférait se concentrer sur le collectif et l'objectif rempli de remporter ce premier match : \J'essaie juste de donner confiance à mes coéquipiers, de donner le ton afin que mes coéquipiers se sentent plus à l'aise. Que ce soit marquer, passer ou défendre, j'essaie de faire un peu de tout pour aider notre équipe à réussir\. Avant de saluer la belle ambiance qui a régné pendant toute la soirée dans les travées d'une Adidas Arena pleine, avec 8 000 supporters prêts à donner de la voix : \C'était incroyable. Merci à tous ceux qui ont fait de cette Arena notre maison. Ils ont été géniaux toute l'année, cela continue de croître et j'espère qu'ils continueront à nous soutenir à travers les hauts et les bas, quoi qu'il arrive à l'avenir. Mais ce soir, c'était génial. Je suis reconnaissant envers tous ceux qui sont venus\.\n\n\nUne soirée sans pour Bourg-en-Bresse\n\nCôté burgien, la soirée s'est révélée bien plus amère. Alors qu'elle espérait surprendre son adversaire et réaliser un coup dans la capitale ce mardi, la JL Bourg s'est rapidement heurtée au mur parisien. L'équipe de Frédéric Fauthoux a affiché un visage bien pâle, au grand désarroi du coach de 51 ans : \Je suis très déçu car on a fait une très mauvaise première mi-temps. Ce n'était pas notre basket\, a tonné le Landais en guise d'introduction en conférence de presse d'après-match. \On n'a pas eu la bonne agressivité pour jouer une finale, on a trop respecté cette équipe. On perd le match en première mi-temps. Après, c'était mieux, mais pas suffisant\.\n\nReconnu pour l'intensité de son jeu, le Paris Basketball a submergé les Aindinois ce mardi soir, comme le regrette Fauthoux : \On le savait, ils poussent, ils accrochent, ils jouent à la limite. Et on n'a pas été prêts à jouer là-dessus. On n'a tenu aucun contre. [...]Aucun des 11 joueurs qui ont joué en première mi-temps n'était au niveau d'une finale d'Eurocup, tout simplement\. En effet, il a été bien difficile de reconnaitre l'équipe burgienne qui a mené sa barque avec maîtrise jusqu'à sa première finale européenne ce mardi. Des difficultés également évoquées par Axel Julien quelques minutes après la fin du match : \C'est entièrement de notre faute. Ils ont très bien joué, ça, c'est sûr, mais c'est nous qui n'avons pas été à la hauteur de l'enjeu. [...] On a manqué un peu d'adresse aussi. C'est un peu notre problème : quand on ne défend pas bien, on n'est pas adroits. Parce que forcément, quand une équipe prend 10-15 points très vite, il faut mettre tous les tirs et on le sait\.\n\nLa deuxième partie de la rencontre a tout de même permis aux Burgiens de limiter la casse et de finir ce match 1 sur une note moins salée : \On a montré de belles choses en seconde mi-temps, c'était beaucoup mieux. On a vu comment on voulait jouer contre eux. Bien sûr, cela donne des motifs d'espoir\, confirme le coach de la JL. Peu expérimentée à ce niveau de la compétition, son équipe a-t-elle payé pour apprendre face à un adversaire dont la moitié de l'effectif et la totalité du staff peuvent s'appuyer sur le vécu commun d'une victoire en BCL la saison dernière ? Axel Julien n'écarte pas totalement cette explication : \Je ne sais pas si cela nous a perturbé, mais c'est quelque chose que beaucoup de personnes de l'équipe n'ont pas encore connu. On a aussi eu un match à l'extérieur pour commencer, ce qui ne nous était pas encore arrivé\. Une fois la défaite digérée, les Burgiens devront rapidement se tourner vers le match 2, prévu ce vendredi dans leur antre d'Ekinox.\n\n\nUn match 2 pour remporter le titre ou prolonger la série\n\nCe rendez-vous, Freddy Fauthoux l'attend déjà avec impatience, en espérant pouvoir prouver que son équipe vaut mieux que ce qu'elle a montré au match 1 : \Ce (mardi) matin, il nous fallait deux victoires pour gagner l'Eurocup. Il nous en reste toujours deux à aller chercher. Le prochain (match) sera chez nous. Donc, je pense qu'il y aura une autre atmosphère, un autre état à l'esprit, ça sera un tout autre match. On joue une finale d'Eurocup, Je ne suis pas sûr que dans notre carrière, on va en jouer beaucoup. Vendredi, on n'a plus droit à l'erreur\. Un message bien reçu par son arrière, qui parle de son côté de \venir avec d'autres intentions et essayer de forcer un match 3\.\n\nUne troisième rencontre que Tuomas Iisalo et ses hommes préfèreraient évidemment éviter. Pour cela, il faudra l'emporter sur le parquet adverse, une condition que les Parisiens n'avaient pas remplie en Betclic Elite au mois de décembre (83-81). De quoi inciter l'ancien coach de Bonn à faire preuve de prudence : \Dans l’ensemble, c’est une victoire très importante pour nous, mais rien n’est encore fait. On s'attend à un match de très haut niveau vendredi, il faudra être prêts\. Alors, ce match 2 permettra-t-il à Bourg d'entretenir l'espoir ? Ou débouchera-t-il sur le premier titre européen d'une équipe de Paris assoiffée de succès collectifs ? Réponse dans moins de 72 heures.\n\n\n\nÀ Paris,
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Les stats du top 10 de tous les temps des Français en Euroleague
Nando De Colo est dominant en points, moyennes de points, évaluations et aussi en interceptions mais c’est Fabien Causeur qui apparait comme numéro 1 aux matches joués avec sa carrière passée à Cholet, Vitoria, Bamberg et au Real. Seuls Thomas Heurtel et Adrien Moerman ne sont plus actifs dans la compétition.\n\nPar Darius Garuolis
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NBA : Un record de points pour Evan Fournier... Est-ce si important ?
66e défaite pour les Detroit Pistons face aux Philadelphia Sixers (120-102) mais ce que l'on retient c'est qu'Evan Fournier a bien utilisé les 26 minutes mises à sa disposition avec 21 points à 7/11 aux shoots dont un 3/5 à trois-points. Le fait qu'il soit actif paraît être par ricochet une bonne nouvelle pour l'équipe de France, mais ce n'est pas totalement le point de vue de l'intéressé comme il le déclare dans Le Parisien.\n\n\C’est quelque chose que j’ai entendu dans les médias, mais ce n’est pas forcément comme cela que je vois les choses. Que j’ai joué ou pas ces derniers mois, honnêtement, je ne pense pas que cela aurait changé grand-chose dans mon jeu, mes sensations ou mes performances dans l’optique des JO. De toute façon, tu recommences à zéro pour les Jeux. Là, je rejoue mais les JO ne vont pas commencer avant trois bons mois. Je vais à nouveau m’arrêter, on va recommencer une préparation et jouer des matchs amicaux. En revanche, ce que je ne contrôle pas, c’est comment les gens me voient. Peut-être que le fait que je rejoue les rassure, mais de mon côté ça ne change rien.\\n\nEvan Fournier n'a plus que 3 matches à jouer avec les Pistons, la pire équipe de la ligue (13-66). D'une façon plus générale, voici ce qu'il déclare à propos des JO, un an après la déconvenue à la Coupe du monde.\n\n\On est remonté. On ne peut pas se cacher par rapport à ça. Il y a clairement un sentiment de revanche. On a envie de se racheter. Sur le papier, défensivement, il y a moyen que ce soit joli. Il va falloir qu’on mette tout cela en place, qu’on bosse tous très bien et qu’on se mette tous d’accord sur ce qu’on veut faire. Et puis surtout qu’on soit ensemble.\\n\nEVAN FOURNIER 🇫🇷\n\n21 POINTS\n7-11 au shot\n3-5 à 3-points\n4-4 au lancer\n+ 3 REB / 1 STL / 2 BLK pic.twitter.com/XTfWXzPOSw\n\n— NBA France (@NBAFRANCE) April 10, 2024\n
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Pro B : Angers au fond du trou
L'annonce en début d'après-midi du départ du coach Ali Bouziane pour Denain a fait l'effet une petite bombe car c'est une décision inhabituelle à ce stade de la saison. Angers a des problèmes financiers et Ali Bouziane n’avait pas pu enrôler des pigistes médicaux comme il le souhaitait. Denain ne va pas beaucoup mieux sportivement mais les perspectives sont meilleures que pour le club du Maine-et-Loire. Bon dernier de Pro B avec 8 victoires, Angers n'avait pas besoin de ça pour être dans les cordes et le Nantes Basket Hermine, qui restait sur une seule victoire en huit rencontres, en a profité pour se requinquer.\n\nBryce Nze (14 rebonds) a gagné la bataille des airs tout en distribuant 7 passes, et Devon Thomas (22 points) et Christian Lutete (21) ont mis les petits plats dans les grands en attaque. A l'inverse, les Angevins ont été dominés dans à peu près tous les secteurs (42 à 20 au rebond), seul Darel Poirier (19 points) et Stephan Gauthier (14) étant capables d'alimenter correctement la marque. Les Nantais se sont gavés à l'évaluation : 155 à 57. Du rarement vu.\n\n« Pas besoin de faire un dessin, ce n'est pas la joie dans le vestiaire. C'est une soirée qu'il faut complètement oublier, a soupiré John Delay promu coach à l'improviste, rapporte Presse Océan. Rien n'a fonctionné comme on le voulait du début à la fin. J'ai des joueurs qui n'ont jamais rien lâché de la saison. Ce soir, on ne fait pas abstraction mais on a essayé de faire avec. Maintenant, il faut regarder devant. »
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BCL : Trois clubs espagnols au Final Four ?
Si la France est dominante en Eurocup en plaçant Bourg et Paris en finale, c'est l'Espagne qui rayonne sur la BCL.\n\nL'Unicaja Málaga a battu Promitheas Patras par 83 à 90 grâce à un meilleur troisième quart-temps. Tyler Kalinoski a marqué 23 points et David Kravish a terminé avec 15 points et un PIR (évalution) de 21. Pendant ce temps, l'UCAM Murcia a dominé Ludwigsbourg, 72 à 85. Marko Todorovic a été le meilleur marqueur avec 17 points et jusqu'à 5 joueurs de Murcie ont totalisé10 points ou plus.\n\nC'est au tour de Lenovo Tenerife de se rendre ce mercredi soir à Tofas Bursa après avoir remporté le match aller, 83-77.\n\nLe quatrième ticket ne sera pas espagnol puisque la série oppose Peristeri à Bonn. Les Allemands, tenants du trophée mais avec une équipe complètement renouvelée puisque son coach et six joueurs sont partis à Paris, ont gagné la première manche, 89-78.
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Betclic Elite : Nadir Hifi élu Joueur du Mois de Mars
Quelle saison pour le Paris Basketball ! Vainqueur de la Leaders Cup, actuellement deuxième de la saison régulière derrière Monaco, vainqueur de la première manche de la finale de l'Eurocup, le Paris Basketball a vu TJ Shorts être élu MVP de l'Eurocup et Tuomas Iisalo coach de l'année. Et qui avait été élu Joueur du Mois de Février de la Betclic Elite ? TJ Shorts !\n\nC'est donc son équipier Nadir Hifi qui a eu les honneurs pour le mois de mars où il a tourné à 19,6 points de moyenne avec notamment 35 points en 22 minutes face à Nancy.\n\nLe résultat des votes : Nadir Hifi (Paris, 42%), Neal Sako (Cholet, 30%), TJ Shorts (Paris, 16%), Justin Bibbins (Nanterre, 12%).
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Portrait - Janelle Salaün, l'éloge de la détermination
C’est en regardant les Braqueuses à la télévision avec sa grand-mère que Janelle Salaün, 11 ans, a su. “C’est ce que je veux faire”, a-t-elle lancé à sa mère, elle-même ancienne basketteuse à l’échelon national. Vous connaissez la suite. Douze ans plus tard, la jeune femme va vivre son premier Final Four d’Euroleague avec Villeneuve d’Ascq et probablement, dans une centaine de jours, les Jeux Olympiques de Paris. Des honneurs réservés à une petite élite sur la planète. Deux objectifs d’une carrière qu’elle veut la plus longue possible et qui s’apprêtent à être cochés pour ce talent de la fameuse génération 2001, d'abord passé sous les radars.\n\nQuand Marine Fauthoux et Iliana Rupert, deux autres membres de cette génération dorée, suivaient leur papa dans les gymnases, Janelle Salaün était encore loin de s’imaginer avec une balle orange dans les mains. Ce retard inné l’a suivi jusqu'à peu. “Elle est récompensée aujourd’hui mais tout n’a pas toujours été facile, se remémore Inna Sissoko, sa maman. Elle a commencé plus tard, elle avait moins de technique, elle n’a pas toujours été mise en avant. Mais elle a toujours énormément travaillé. C’est ce qu’ils ont détecté à l’INSEP. Elle arrivait toujours 1h30 avant et repartait bien après l’entraînement.”\n\n“On m’a souvent sous-estimée, considérait encore l’intéressée en janvier dernier dans Basket Le Mag. Je ne faisais pas partie des têtes d’affiche de la génération 2001. Quand les gens parlaient de cette génération, ils ne me mettaient pas dedans. Aujourd’hui, je performe, donc on m’inclut dedans, mais avant, à l’INSEP, j’étais encore au stade de potentiel. Personne ne me connaissait, personne n’avait idée de qui je pouvais devenir. Moi-même, je ne savais pas que j’allais pouvoir sortir du lot”. La détermination a fait le reste.\n\n\nDes gènes d’athlète\n\nAvant de devenir professionnelle, il y a eu bien des étapes. La première à Orly, dans le Val-de-Marne. Sa maman, hôtesse de l’air, toujours un oeil sur les nuages et un autre sur les matches de ses enfants, rêvait elle-même de faire du basket son métier, elle qui a notamment évolué en N3 et N1 à Évry, mais c’était une autre époque. Elle n’a jamais poussé ses enfants à jouer à son sport de prédilection mais Inna Sissoko s’est résolue, après la médaille d’argent des filles aux JO de Londres, à inscrire “mademoiselle” à la rentrée 2012 tout en l’accompagnant dans son club comme éducatrice.\n\nAvant cela, Janelle n’aime pas que sa mère le répète mais... “Elle était très forte dans tous les sports”. En GRS (gymnastique rythmique et sportive) ? “Elle arrivait très bien à faire des roulades et rattraper un cerceau ou un ruban, ce qui demandait une bonne coordination”. En athlétisme ? “Elle courait très vite. Les haies, le relais, la course... elle adorait ça. On l’a même comparé à Marie-José Perec”, esquisse Inna Sissoko dans un sourire. Un sport où la grande sœur de Tidjane - qui brille cette année à Cholet - aurait pu exceller, comme sa grand-mère maternelle. Mais il a fallu choisir et c’est la balle orange qui l’a emporté.\n\nL’intérieure de Villeneuve d’Ascq a hérité de ces gènes de sportifs en étant toujours plus grande que la taille ordinaire. Ses parents ne mesurent pas les 2,01 m et 1,90 m des parents Wembanyama - par ailleurs des amis de la famille Salaün puisque Eve, la grande sœur de Victor, qui a lui-même un an de plus que le petit frère Tidjane, est aussi issue de la génération 2001 - mais les 187 cm du papa et les 177 cm de la maman ont forcément joué en sa faveur (1,90 m).\n\nEt pendant les vacances, pas question de rester à la maison. La famille Salaün a pas mal voyagé, y compris en Guadeloupe, où vit la grand-mère, et a toujours mis le sport en avant. “Les vacances, ce n’était jamais farniente. On se débrouillait toujours pour faire du sport : course, tennis, vélo, basket... on a tout fait !”, certifie Inna Sissoko. Avant même le commencement, le travail de l’ombre avait déjà débuté.\n\n\nDe l’ombre à la lumière\n\nQuatre ans après ses débuts en club, et après un passage d’un an au CREPS de Reims, Janelle Salaün avait déjà comblé son retard sur les joueuses de son âge. Rien d’étonnant pour cette élève perfectionniste, ni une fêtarde ni une reine du shopping dans l’âme, qui a très vite appris à se donner les moyens de réussir. Ce qui lui a permis d’intégrer le centre fédéral, la crème de la crème de la formation, en 2016. La même année que Zoé Wadoux, Yohana Ewodo ou encore Anaïa Hoard (la sœur de Jaylen), rejoignant à l’INSEP le trio Marine Fauthoux - Iliana Rupert - Kendra Chéry, sélectionné avec un an d’avance.\n\nSes trois saisons au Pôle France furent sa porte d’entrée vers le monde professionnel. Elle y a montré son caractère. “Quand elle commence quelque chose, elle veut être la meilleure. À l’INSEP, même pour un footing, elle voulait terminer première”, se remémore sa mère. Ses différents entraîneurs en ont parfois pris pour leur grade. “Quand je n’aimais pas quelque chose, tout le monde le savait. Avec des joueuses d’expérience, j’ai appris que ce n’était pas toujours la bonne solution”, en sourit aujourd’hui Janelle, comme elle le rappelait à la fédération en décembre dernier. Cela aurait pu en être autrement mais elle a bien terminé son cursus au centre fédéral “par défi personnel”, compilant tout de même 9,4 points et 7,7 rebonds en 27 minutes de moyenne en Ligue 2 en 2018-2019.\n\nQuand Marine Fauthoux et Iliana Rupert, championnes d’Europe U16 en 2017 puis finalistes de la Coupe du monde U17 en 2018, disputaient déjà leur premier Euro avec l’équipe de France, à peine majeures, Janelle Salaün n’avait pas encore joué le moindre match en Ligue Féminine. Elle s’est armée de patience pour franchir un premier cap. En 2019-2020, sa première saison professionnelle avec les Flammes Carolo, compliquée par le Covid, a mis ses exigences à rude épreuve. “Ça s’est très mal passé à Charleville. Mentalement, je n’étais pas au top. Et ma première année à Villeneuve d’Ascq, j’ai fait le banc pendant une bonne partie de la saison. Petit à petit, j’ai gratté des places et j’ai gagné la confiance de Rachid Meziane. C’était la période Covid et comme j’avais peu de temps de jeu, j’ai beaucoup travaillé avec un jeune préparateur physique. Les résultats ne sont pas venus immédiatement. Rien ne se retranscrivait sur le terrain. Mais après le Challengers de l’été, j’ai commencé à vraiment exploser.”\n\nAprès trois médailles consécutives en U16 (or), U17 (argent) et U18 (bronze), Janelle Salaün a conclu son parcours avec les Bleuettes en beauté lors de l’été 2021. Pas lors d'un championnat d’Europe mais à l'occasion d’un Challengers U20 mis sur pied par la FIBA pour relancer des compétitions stoppées par la pandémie. Alors qu’elle ne pesait que 3,1 points par match en LFB, la Francilienne s’est fait un nom à Konya, en Turquie, en menant l’équipe de France U20 de Jérôme Fournier à cinq victoires avec 17 points, 10,2 rebonds, 2,0 passes décisives et 1,2 contre de moyenne ! La machine était lancée.\n\n\nUne éthique de travail reconnue de tous\n\nDès la rentrée suivante, elle s'est imposée comme une pièce centrale de l’ESBVA de Rachid Meziane. Un symbole de la montée en puissance du club, jusqu’à devenir au printemps la première équipe française au Final Four de l’Euroleague depuis Bourges il y a dix ans. “Quand je sens que le coach a confiance en moi, ça change tout”, nous disait-elle déjà en août 2022. “Quand elle est arrivée ici, c’était un peu l’année zéro de son projet, se souvient le sélectionneur belge, interrogé par la FFBB. Elle avait beaucoup de détermination et d’ambition. Elle a mis une année à essayer de découvrir et faire connaissance avec la Ligue Féminine, avec moi aussi. Elle a appris à se connaître elle-même. On a fait un gros travail en termes d’introspection pour cibler un peu plus ses forces et ses faiblesses, sur la gestion émotionnelle pour mieux gérer les échecs et la frustration qu’elle peut générer.”\n\nLe travail entrepris avec un sophrologue a fait énormément de bien à cette “fausse calme” en remise en question perpétuelle. “Encore aujourd’hui, j’ai toujours des doutes. Je suis quelqu’un qui réfléchit beaucoup, et même beaucoup trop parfois. Je travaille sur cet aspect-là, aujourd’hui on sait que le côté mental est très important. Je me suis entourée de professionnels, disait-elle dans le numéro 81 de Basket Le Mag. Et j’arrive à me rassurer en retournant à la base : le travail. C’est bateau, mais c’est vraiment mon quotidien : je vais à la salle et je me rassure. J’essaie aussi de demander des conseils aux coaches, aux joueuses plus expérimentées – cette saison, on a la chance d’avoir une coéquipière de 37 ans, Shavonte Zellous. Je ne suis pas timide, donc je n’hésite pas à solliciter mon entourage.”\n\nQuiconque la connait vous dira que c’est un bourreau de travail. “De toute ma carrière, Janelle fait partie des joueuses qui s'imposent la plus grosse charge de travail. Elle a une abnégation, une détermination hors du commun. Elle sait où elle veut aller. Et elle a une hygiène de vie irréprochable parce qu’elle veut avoir une longue carrière”, confiait son coach pour Basket Europe. “Ce qui m’étonne toujours avec Janelle, c’est qu’elle donne l’impression de progresser chaque jour. Elle travaille énormément. Elle a envie de gagner, d'être meilleure à chaque entraînement, à chaque match”, notait la GM des Bleues, Céline Dumerc, il y a quelques semaines. Même Valériane Ayayi, sa future adversaire au Final Four avec Prague et coéquipière en équipe de France, la cite en modèle : “La voir évoluer à ce niveau, c’est juste une évolution logique, une récompense de son travail. Les prochaines doivent comprendre que la réussite passe avant tout par le travail.” Son quotidien est tellement calibré qu’elle en refuse parfois les demandes d’interviews, comme en amont de son premier Final Four, où elle voulait rester dans sa bulle.\n\n\nUn avenir doré chez les Bleues\n\nRien d’étonnant, donc, à la voir exceller sur le plan technique comme sur le step back, un geste qui n’est pas toujours maîtrisé par les grandes. Rien d’étonnant non plus à ce qu’elle s’inscrive sur la durée en équipe de France. Blessée au poignet pendant la sélection à la Coupe du monde 2022, elle fut appelée pour la première fois par Jean-Aimé Toupane en novembre 2022 à l’occasion d’une rencontre face à la Finlande à Saint-Chamond.\n\nPour ses débuts, Janelle Salaün s’était fendue de 12 points. Quelques mois plus tard, Jean-Aimé Toupane, qui “adore sa personnalité”, en faisait une titulaire lors de sa première campagne européenne conclue sur une médaille de bronze à Ljubljana. Et lorsque les Bleues ont été touchées par une vague de blessures pour lancer leurs qualifications à l’EuroBasket 2025, elle a montré la voie terminant meilleure marqueuse de la fenêtre internationale.“Pas grand monde n’aurait parié sur le fait que j’arrive en Équipe de France A. J’ai dû batailler. J’ai toujours eu ce côté underdog et ça me va très bien. Je sais que je n’étais pas attendue et moi-même je ne m’y attendais pas. Mais à un moment, il faut que j’arrête d’être surprise”, souligne-t-elle encore aujourd’hui.\n\nA 22 ans, la native de Paris n’est pas loin de devenir une cadre des Bleues. Elle incarne, avec la génération 2001 et les suivantes, ce vent de fraîcheur qui doit maintenir l’équipe de France aux sommets mondiaux et qui doit lui faire passer un cap alors que le dernier titre européen remonte à 2009, après cinq finales perdues entre 2013 et 2021. Pourquoi pas cet été, à domicile, pour les JO de Paris ? C’est son rêve mais elle ne brûle jamais les étapes. Elle y pensera après la saison avec Villeneuve d’Ascq.\n\nParis 2024 : Marine Fauthoux, Migna Touré et Janelle Salaün racontent leur “folle envie” de Jeux OlympiquesAlors que l’équipe de France féminine entame cette semaine les qualifications à l’EuroBasket 2025 avec des matches contre la Lettonie (ce jeudi 9 novembre à 20h45) et l’Irlande (ce dimanche 12 novembre à 18h), Basket Europe a réuni trois cadres des Bleues, Marine Fauthoux, Migna Touré et Janelle SalBasketEurope.comClément Carton\n\n“Elle va rayonner dans le futur dans les plus hauts clubs européens et probablement en WNBA. Très rapidement”\n\nMême crédo à propos de son futur : pas question de se projeter trop loin ou trop tôt même si, en fin de contrat à l’ESBVA, Janelle Salaün devrait quitter le Nord cet été et franchir une nouvelle étape dans sa carrière, en France ou à l’étranger. “C’est sa quatrième saison chez nous et elle va rayonner dans le futur dans les plus hauts clubs européens et probablement en WNBA. Très rapidement”, projette à notre micro Christophe Vitoux, le GM de Villeneuve d’Ascq. “C’est une fille qui a vraiment faim et il faut la satisfaire, poursuit son coach Rachid Meziane. Si elle continue sur cette voie-là, elle pourra aller jouer dans les meilleures équipes d’Europe et du monde. Elle est profilée pour ça. Je la vois faire une immense carrière que ce soit en club ou à l'international.”\n\nRien ne fait peur à cette étudiante du jeu, scout à temps partiel, dont un des passe-temps favoris est de regarder du basket, notamment l’Euroleague. “Elle regarde beaucoup de matches et de highlights. Elle connaît tout le monde, tous les joueurs NBA et WNBA, et en Europe. Elle aime bien analyser le jeu des joueuses qui jouent à son poste. Comme ça, même si elle ne les connaît pas personnellement, quand elle joue contre elles, elle les connaît déjà. C’est son petit truc. Elle veut affronter les meilleures joueuses du monde”, raconte sa maman.\n\nÀ ce titre, Janelle Salaün ambitionne de jouer en WNBA. Non draftée en 2021, elle a l’avantage - et l’inconvénient - de ne pas appartenir à une franchise et ainsi de pouvoir choisir, en fonction des propositions et de ses priorités estivales, le potentiel projet de son aventure américaine, elle qui a déjà dit non à une équipe pour un camp d’entraînement par le passé. Est-ce que ce sera pour 2025 ? Peut-être, peut-être pas. “La WNBA est un objectif mais c’est un monde particulier. Si je n’ai pas de contact pour l’instant, c’est peut-être pour le mieux, au moins je n’aurai pas de problème vis-à-vis de l’équipe de France”, soulignait-elle en janvier dernier pour Basket Le Mag. N’allons pas trop vite en besogne mais quelque chose nous dit que ce Final Four pourrait lui ouvrir des portes...\n\nITW Christophe Vitoux (GM Villeneuve d’Ascq): «Dans le basket féminin, plus on va loin et plus ça nous coûte»Manager général de l’ESBVA, Christophe Vitoux nous décrit la situation dans son club avant d’aborder le Final Four de l’Euroleague au cours duquel il sera opposé en demi-finale à l’USK Prague, ce vendredi, à Mersin, en Turquie.BasketEurope.comPascal Legendre
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NoA Basket, une émission hebdomadaire à voir en replay
Cette semaine, autour du journaliste Freddy Vetault, les consultants Simon Darnauzan et Frédéric Sarre sont en plateau et Pape-Philippe Amagou en visio, tout comme le président de la JL Bourg, Julien Desbottes et l’entraîneur de Vichy Guillaume Vizade. Car si on y évoque le Limoges CSP après sa victoire face à Saint-Quentin, la JL est à l’honneur en raison de sa participation à la finale de l’Eurocup et Guillaume Vizade à propos de son transfert à venir au Mans.\n\nBourg, en finale de l’Eurocup: Frédéric Sarre est forcément encore partie prenante puisqu’après en avoir été le coach, il en fut le directeur sportif et le general manager adjoint avant de prendre sa retraite.\n\n«Ça ne me surprend pas tout simplement parce que ce club là pour bien le connaître et bien connaître les gens qui sont à la direction, chaque année a réussi à franchir un palier. La saison dernière on était arrivé dans les playoffs d’Eurocup. On avait failli sur ce match à l'extérieur, on avait fait un non-match. Je pense que ça aussi ça a permis à l'équipe d'apprendre justement quelque chose qui a été mis en place dès le début de saison pour justement ne pas renouveler l'erreur qui avait été faite sur le dernier match. Ce club-là est un club qui chaque saison a été en mesure d'augmenter sa capacité de performance.»\n\nChaque émission se termine par un Coup de gueule/Coup de cœur. Les consultants doivent livrer une opinion en quelques secondes.\n\n«Ça va être un coup de gueule aujourd’hui, annonce Pape-Philippe Amagou. J’ai hésité avec le coup de tête de Bodian Massa, mais finalement je vais partir vers les Mets. Les Mets qui ont perdu ce week-end. Je trouve que c'est vraiment désolant d’avoir un club qui était finaliste l'an dernier et aujourd'hui être dans une telle difficulté. Ils en ont pris encore 35. C’est un club et des joueurs complètement à la dérive. Je jette la pierre à personne mais quand on voit le projet de Bourg qui a été construit dans la durée et qu'on voit à l'inverse ce que nous proposent les Mets, qui était tout en haut et maintenant ils sont tout en bas, je pense que c'est vraiment dommage pour le championnat.»\n\nFrédéric Sarre a été également assistant-coach à Limoges dans des temps déjà anciens (1985-90 et 97-99) puis son coach principal (2011-12) et c’est son sujet du jour.\n\n«Ça sera un coup de cœur pour cette équipe de Limoges et quand je parle de l'équipe, je parle bien de l'équipe sportive à savoir les joueurs et le staff qui pourraient dans cette situation-là avoir quand même de temps en temps des relâchements. Et notamment quand vous êtes menés de 15 points chez vous par Saint-Quentin, vous pouvez avoir cette attitude de peut-être dire qu’avec tous les problèmes qu'il y a autour, on va peut-être se relâcher. Et bien pas du tout, elle continue, elle se bat et bravo à elle.»\n\nLes émissions sont à regarder en replay ici.
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Pro B : Un projet de salle à La Rochelle
Le Stade Rochelais caracole en tête de la Pro B et sera un candidat très sérieux à l'accession dans l'élite - une seule place cette année - au moment des playoffs. Le problème, c'est que la salle Gaston-Neveur est inadaptée. Le maire Jean-François Fountaine en a pleinement conscience.\n\n\Dans les échanges que nous avons avec le Stade Rochelais Basket, nous avons regardé à utiliser éventuellement temporairement les veilles halles qui sont au Parc Expo. Malheureusement, elles sont trop endommagées. Le coût de rénovation de ces halles plus le coût de construction à l'intérieur de gradins nous amènent à une somme qui n'est pas accessible. Donc, oui, nous travaillons actuellement sur une salle. Nous regardons tous les scénarios. Personnellement,je préférerais que ce soit un financement public, avec des subventions d'autres collectivités. On a des réunions de travail régulièrement avec l'équipe du basket pour voir ce qui est le plus adapté.\\n\nQuelle échéance pour cette future enceinte ?\n\n\C'est de l'ordre de trois ans, entre les études et la réalisation. Ça peut être à La Rochelle, ça peut être ailleurs dans l'agglomération également. La priorité serait sportive. Vous pouvez avoir d'autres types d'évènements sportifs dans cette salle, de la boxe... Mais oui, on regarde l'emplacement, la jauge. On est habitué à avoir des équipes de tailles nationales et internationales, mais La Rochelle reste un territoire de taille modérée. Une ville de 80 000 habitants, une agglo de 180 000. On est un petit poucet par rapport à Nantes, Bordeaux... Mais il y a une forte détermination. On a la chance d'avoir avec le Stade Rochelais un partenaire de très grande qualité. Les mutualisations entre les sections rugby et basket pour les fonctions de supports, c'est un coup de génie.\\n\nITW Aymeric Jeanneau (manager général): «Le Stade Rochelais avait envie d’écrire une page avec le basket»L’ancien international Aymeric Jeanneau, 45 ans, est le manager général du Stade Rochelais, actuellement leader de Pro B.BasketEurope.comPascal Legendre
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