title
stringlengths
1
141
text
stringlengths
7
229k
Capaci
Capaci est une commune italienne de la province de Palerme dans la région Sicile en Italie. Histoire C'est sur le territoire de la commune, sur le tronçon autoroutier reliant Palerme à l'aéroport de Punta Raisi, qu'a eu lieu, le , l'attentat mafieux causant la mort du juge Giovanni Falcone. Administration Hameaux Villaggio Sommariva Communes limitrophes Isola delle Femmine, Carini, Torretta Notes et références Commune dans la province de Palerme
Grotte de Rouffignac
La grotte de Rouffignac est une grotte ornée située au cœur du Périgord, sur la commune de Rouffignac-Saint-Cernin-de-Reilhac, entre Périgueux et Sarlat, dans le département de la Dordogne (France). Le site abrite plus de 250 gravures ainsi que des dessins au trait datant du Paléolithique supérieur (Magdalénien, plus de ). Description Longue de plus de , cette caverne est l'une des plus grandes grottes ornées d'Europe. Malheureusement de nombreux visiteurs de l'époque moderne avaient depuis le superposé leurs graffitis à ces œuvres inestimables. Les recherches ont permis d'identifier d'innombrables traces de griffes et de bauges laissées par les ours des cavernes avant l'intervention humaine. Art Il y a environ (Magdalénien), ces galeries furent ornées de associés à des rhinocéros laineux, des bisons, des chevaux et des bouquetins. Les figures sont profondément gravées ou peintes en noir. Quatre figurations humaines et des signes tectiformes sont également présents. L'oxyde de manganèse qui a servi au tracé des dessins vient de Romanèche (Saône-et-Loire), distant de . Historique La grotte est connue depuis plusieurs siècles et a été décrite en 1575 par François de Belleforest. Le chanoine Jean Tarde la mentionne également au , déclarant y avoir vu « des peintures en plusieurs lieux, montrant des vestiges de toutes sortes de bétail ». En 1674, Louis Moreri mentionne la Grotte dans son tome V de son Le Grand Dictionnaire historique, ou Le mélange curieux de l'histoire sacrée et profane; lettre MI-R; à "Miremont" : "MIREMONT. Bourg de France dans le Périgord [...] remarquable par la caverne de Cluseau, qui va fort loin sous terre. Les gens du pays prétendent qu'il y a de grandes salles, des peintures et des autels [...]". Au milieu du Gabriel Bouquier dresse le premier plan de la caverne, aujourd'hui conservé au Musée d’Art et d’Archéologie du Périgord. La grotte de Rouffignac est connue sous d'autres noms, utilisés par le passé : la grotte de Miremont, le Cro des Cluzeau, le Cro de Granville - ce dernier toponyme toujours utilisé, ainsi que Cro de Rouffignac. Les dessins de la frise des rhinocéros sont (re)découverts par le Spéléo-Club de Périgueux. Ils apparaissent derrière une tente de leur campement photographié par Bernard Pierret lors d'une expédition en 1948. Cette photo est publiée en 1951 dans Le Périgord souterrain de B. Pierret. Informé par les spéléologues, Séverin Blanc (directeur de la circonscription préhistorique) conclut à « des dessins faits par le maquis ». L'ancienneté des peintures et gravures de la grotte est remise au premier plan après une revue du par Louis-René Nougier, titulaire de la chaire de Préhistoire de l'Université de Toulouse, et Romain Robert de la Société Préhistorique de l'Ariège. Une vive polémique relatée dans l'ouvrage La Guerre des Mammouths surgit entre ceux qui croient en l'authenticité des œuvres d'art et ceux qui en doutent. La conclusion ferme et définitive est donnée en septembre 1956, après les expertises de l'abbé Henri Breuil, du professeur Paolo Graziosi (université de Florence) et de Martin Almagro (université de Madrid). Auparavant il y a eu les grands débats sur l'art pariétal découvert à la grotte Chabot (1878), Altamira (1879), Pair-non-Pair (1883), grotte de la Mouthe (1895), la grotte du Figuier… et bien d'autres. Le terrain est donc déjà largement préparé pour une reconnaissance de l'ancienneté de l'art de Rouffignac. Protection La grotte est classée comme Monument historique et a été inscrite en 1979 au Patrimoine mondial par l'Unesco parmi les quinze sites préhistoriques et grottes ornées de la vallée de la Vézère. Le , la vallée de la Vézère est classée par décret parmi les grands sites d'Aquitaine. Ce classement intègre également la grotte de Rouffignac et le site préhistorique de la Ferrassie. Tourisme La grotte est ouverte au public depuis 1959, du au . La visite se fait en train électrique, qui fait parcourir aller-retour dans les galeries principales. Comme il y a un quota de visiteurs par jour, et qu'on ne peut pas réserver par téléphone, ni même sur place pour le lendemain, il faut y être en début de matinée en juillet/août pour avoir une chance d'avoir une place le jour même. La version courte durée (13 min) du film documentaire de Marc Azéma, Dater les origines de l'art, est passée en continu sous le porche d'entrée de la grotte. Parmi les sites naturels de la région Nouvelle-Aquitaine, le site se classe huitième en termes de fréquentation touristique en 2018 avec . En 2006 a été célébré le de la découverte scientifique des peintures et gravures. En 2022, la grotte a attiré . Notes et références Voir aussi Bibliographie Frédéric Plassard, La grotte de Rouffignac, toujours connue, longtemps méconnue, dans Archéologia, n°619,avril 2023, . Jean Plassard et Marie-Odile Plassard, Visiter la grotte de Rouffignac, Éditions Sud Ouest, réédition 2022. . Catherine Cretin, Stéphane Madelaine (dir), Mémoire de mammouth, catalogue de l'exposition du musée national de Préhistoire, Les Eyzies, édition musée national de Préhistoire, 2018. Patrick Paillet, Qu'est-ce que l'art préhistorique, Paris, Éditions CNRS, 2018. . . . . . . . Articles connexes Sites préhistoriques et grottes ornées de la vallée de la Vézère Liste des monuments historiques de l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda Liste des cavités naturelles les plus longues de la Dordogne Liens externes . Nombreuses photos et explications. . . Sites préhistoriques et grottes ornées de la vallée de la Vézère Grotte ornée en France Grotte en Dordogne Grotte touristique en Nouvelle-Aquitaine Rouffignac Rouffignac Site classé ou inscrit en Dordogne
Dreaming Girl: Koi, Hajimemashite
est le de la chanteuse Yukiko Okada sorti en . Développement Le single sort le initialement sous format vinyle et cassette audio, deux mois après le single précédent d'Okada Little Princess. Il atteint la du classement hebdomadaire des ventes de l'Oricon. Il comprend deux titres seulement : la chanson-titre -Dreaming Girl- Koi, Hajimemashite et une chanson en face B Kimagure Teenage Love toutes les deux écrites par Mariya Takeuchi et composées par Hagita Mitsuo. La chanson-titre -Dreaming Girl- Koi, Hajimemashite est par la suite utilisée comme spot publicitaire pour la marque de chocolat Glico CECIL. Le single sort quelques jours après le premier album d'Okada Cinderella et ne sera désormais retenu dans aucun album régulier. Le single entier figurera cependant sur la compilation Okurimono en novembre suivant ainsi que sur le coffret Memorial Box en 1999 qui comportera un exemplaire de cette compilation. La chanson -Dreaming Girl- Koi, Hajimemashite figurera elle seule sur All Songs Request en mai 2002. Elle sera également incluse avec sa face B sur d'autres compilations 84-86 Bokura no Best SP Okada Yukiko CD/DVD-Box [Okurimono III] en 2002 et The Premium Best Okada Yukiko plus récemment en 2012. Liste des titres Liens externes Musique vidéo de -Dreaming Girl- Koi, Hajimemashite sur YouTube Single musical sorti en 1984
Sabine Andrivon-Milton
Sabine Andrivon-Milton, née à Fort-de-France le , est une historienne française spécialiste de l'histoire militaire de la Martinique, enseignante, auteure et créatrice de jeux de société sur la Martinique. Biographie Enfance et études Sabine Andrivon-Milton est la cadette d'une famille qui compte deux garçons William Andrivon ( en toxicologie, data coordonnateur à Sanofi) et Harold Andrivon (chef de l'entreprise « Agecom »). Son père Camille Andrivon était garagiste et sa mère Maguy Andrivon née Deslances était infirmière. Elle est mariée avec Germany Milton et ils ont deux enfants : Florian et Lauryne. Elle a effectué ses études à l'Université des Antilles et de la Guyane de Schœlcher en Martinique et à l'Université Panthéon-Sorbonne (Paris 1). Sur le campus de Schoelcher, elle a soutenu une thèse de doctorat intitulée La Martinique et la Grande Guerre le 19 et s'est spécialisée en Histoire militaire. Action en faveur de l'inscription des soldats martiniquais sur les monuments aux morts Présidente de l'association « Histoire Militaire de la Martinique », elle est l'initiatrice de l'inscription des noms des soldats oubliés sur les monuments aux morts. Elle a découvert que près de 150 noms de soldats martiniquais morts pendant la Grande Guerre et ayant obtenu la mention « Mort pour la France » n'étaient pas inscrits sur les monuments aux morts. Depuis 2005, plusieurs municipalités ont décidé d'ajouter ces noms : Vauclin, Saint-Joseph, Basse-Pointe, Ajoupa- Bouillon, Sainte-Marie, Trinité, Fort-de-France, Marigot, Fonds-Saint-Denis, Gros-Morne… Elle milite aussi pour que les monuments aux morts soient érigés dans les communes qui n'en n'avaient pas. Ce fut le cas pour Sainte-Luce et Saint-Pierre, Rivière-Pilote (en avait un qui avait été enlevé). Elle a organisé la manifestation « Monuments aux morts en lumières » qui consiste à illuminer les monuments aux morts pendant la semaine de la commémoration de l'Armistice du 11 novembre 1918. Dans le cadre de cette action, elle participe aux inaugurations de plaques situées sur les monuments aux morts à Rivière Pilote le (inauguration du nouveau monument aux morts), à Marigot le (inauguration des plaques avec rajout des noms des soldats), à Fort-de-France le (inauguration des plaques avec rajout des noms des soldats). En et , Sabine Andrivon-Milton proteste fermement contre les destructions des plaques des monuments aux morts perpétrés par des personnes anonymes. Elle a le soutien des associations d'anciens combattants et de la population martiniquaise. Pour son engagement auprès de la Défense, elle est lieutenant de la Réserve citoyenne. En 2018, elle atteint le grade de commandant. Le 17 juin 2023, elle participe à l'inauguration du monument commémoratif destiné aux 4 soldats martiniquais de Boutigny pour lequel elle a servi de relais en Martinique en faisant découvrir l'histoire de ces soldats à la population martiniquaise. Le 8 juillet 2023, elle a organisé avec d'autres citoyens, une marche silencieuse à Fort-de-France afin de dire "stop à la destruction des monuments aux morts et respect pour ceux qui se sont battus pour notre liberté". Publications et organisation de colloques Le , au Ministère des Outre-mer à Paris, elle organise le colloque Les Anciennes Colonies françaises et la Grande Guerre regroupant les spécialistes venus de la Guadeloupe (Ary Broussillon), de La Réunion (Rachel Mnémosyme), de la Nouvelle-Calédonie (Sylvette Boyer représentée par Sarah Mohammed), de la Guyane (Virginie Brunelot). Le , ce colloque se déplace sur la Martinique et se déroule au Fort Desaix. Reconnue par la population martiniquaise, elle fut élue femme de l'année 2011 par les auditeurs de Martinique pour le travail accompli. En , elle contribue à l'écriture de l'ouvrage Le Fort Desaix et le RIMa, une histoire de marsouins aux Antilles. En 2014, avec le Centenaire de la Première Guerre mondiale, elle est sollicitée pour participer à des colloques et des tables rondes. En , elle réalise une intervention intitulée Les Femmes martiniquaises dans la guerre dans le cadre du colloque La Caraïbe et la Première Guerre mondiale organisée par les Archives départementales de la Guadeloupe et la Société d'histoire de la Guadeloupe. Le , elle intervient dans une table ronde au Sénat en présentant une communication intitulée Les soldats antillo-guyanais dans la Grande Guerre. Localement, elle présente de nombreuses conférences dans les établissements scolaires, dans les associations et autres afin d'exposer le rôle de la Martinique et des Martiniquais dans la Grande Guerre. En , elle participe au colloque organisé par la Société française d'histoire des outre-mers (SFHOM) à l'Université Paris-Sorbonne et présente une communication intitulée La Production de sucre et du rhum à la Martinique au service de l'effort de guerre et ses conséquences sur la colonie. Le , le projet présenté par l'association Histoire militaire de la Martinique intitulé Les Soldats martiniquais et le Chemin des Dames a reçu le Label Centenaire. En , elle co-organise le groupement des auteurs de la Martinique (LAM) avec Arlette Pujar et Jala (Jeanine Lafontaine). En parait son ouvrage les Histoires de Sabine, volume 1 suivi en mai 2021 de la publication du volume 2. Création de jeux de société et de livrets de jeux de mots Sabine Andrivon-Milton est créatrice de nombreux jeux de société sur le thème de la Martinique. En , elle a réalisé le jeu de cartes 9 familles Je découvre la Martinique ( prix REALIZ) puis en 2018 le jeu de société La Martinique au bout des doigts, et la même année la Martinique en jeux de société. Le second volume du jeu de cartes 9 familles Je découvre la Martinique parait en . En , elle réalise La Martinique en puzzle, un puzzle de 300 pièces présentant la Martinique et ses communes. En parait le livret La Martinique en multijeux (volume 1) qui regroupe des mots mêlés, fléchés, codés, rébus, charades, etc., tous sur le thème de la Martinique. En , elle réalise des puzzles pour enfants Téo et Léa à la plage du Diamant (15 pièces) et Ethan et Laury se promènent au jardin (60 pièces). En , ses nouveaux projets sont le jeu de cartes Chouval twa pat et Mémory et le jeu MartiniQuiz. Elle publie ensuite en La Martinique et son patrimoine en jeux. En 2021, elle réalise Martinik Mémory (), Martinique ti mapipi quiz (), La Martinique et son patrimoine en puzzle (300 pièces), (), La Martinique en multijeux volume 2 (), une nouvelle édition de La Martinique au bout des doigts (), et le Martiniquiz volume 2 (). En parait son jeu La Martinique en 10 secondes. En , elle s'est lancée un défi qui consiste à offrir des livrets de mots mêlés à tous les enfants de CM1-CM2 de la Martinique soit plus de . Ce projet aboutit grâce à l'aide de la générosité de la population martiniquaise et de plusieurs sponsors. En , elle publie de nouveaux jeux, Martinique Ludique et le kimoun et La Martinique en 55 dates (jeu de cartes). En 2023, elle réalise un jeu destiné aux couples sous le nom de ES ZOT AN TJE KOKO, un jeu de cartes MATNIK TIBAK et une nouvelle version du jeu de cartes Chouval twa pat Distinctions et décorations En , elle est décorée de l'Ordre National du Mérite. En , elle reçoit la médaille de bronze du service militaire volontaire. En , une rue du Vauclin (Pointe Athanase), est dénommée rue Sabine Andrivon-Milton. Le , elle a été nommée chevalier de la Légion d'honneur. Le , l'école primaire Sainte-Thérèse B à Fort-de-France devient l'école élémentaire Sabine Andrivon-Milton. Le 8 mai 2022 est inaugurée à Fort-de-France, l'allée de la dissidence, projet porté par l'historienne et l'association Histoire militaire de la Martinique. Le , une salle de cours du collège Suzanne Roussi-Césaire des Trois-Ilets porte son nom. Le 27 juin 2023, elle reçoit des mains du Ministre délégué chargé des Outre-mer, Jean-François CARENCO, la médaille d'argent de l'engagement Ultramarin. Le 2 juin 2023, elle est promue officier de l'ordre national du Mérite. Résumé des distinctions reçues : Médaille de bronze du service militaire volontaire Médaille de bronze du Souvenir Français Médaille de bronze de l'ONAC (Office National des Anciens Combattants) Médaille d'argent de l'engagement Ultramarin Télévision et radio Elle réalise des modules télévisés historiques diffusés sur Martinique : Propos de guerre (), Lettres de poilus martiniquais (), Des soldats martiniquais de la Grande Guerre (). Elle a animé pendant plusieurs années, une rubrique intitulée Une île une histoire sur Martinique Elle intervient auprès de Rodrigue sur RCI dans l'émission Quelle histoireElle intervient dans plusieurs documentaires : Jean Jules Joseph, un soldat créole, David Hunger et Daniel Picouly, 2014 On a retrouvé le soldat Borical, Barcha Bauer, La Lanterne, 2013 Gwadloup en Argonne, Fred Foret, extérieur jour, 2011. Antilles, la guerre oubliée de Frédéric Monteil, 2019 Martinique, à jamais dans nos cœurs, de Jil Servan, Palaviré production, France O, décembre 2021 Martinique Première a diffusé en une émission qui lui est consacrée intitulée Ziétaj. Participations Présidente de l'association « Histoire Militaire de la Martinique ». Membre de la commission mémoire et solidarité du conseil départemental des anciens combattants. Membre du Comité départemental du Centenaire 14-18. Présidente de l'association Martinique-Étain. Membre de la commission mémorielle de la ville de Schoelcher. Membre de la commission mémoires et transmissions de la ville de Fort-de-France. Publications , contribution . Label Centenaire. La Martinique en mots mêlés niveau 2-3, SAM EDITIONS, aout 2023 Notes et références Liens externes Naissance en février 1970 Naissance à Fort-de-France Écrivain martiniquais Historien militaire Historien français du XXe siècle Écrivain français du XXIe siècle Histoire de la Martinique Chevalier de l'ordre national du Mérite Chevalier de la Légion d'honneur décoré en 2017 Historienne française
Gare de Taffamane
La gare de Taffamane, est une ancienne gare ferroviaire algérienne située sur le territoire de la commune de Chettouane Belaila, dans la wilaya de Sidi Bel Abbès. Situation ferroviaire Établie à une altitude de , la gare est située au point kilométrique de la ligne de Tabia à Akid Abbes, où elle est précédée de la gare de Tabia et suivie de celle de Ben Badis. Histoire La gare est mise en service en 1887 lors de l'ouverture de la section de Tabia à Aïn Tallout de la ligne de Sainte-Barbe-du-Tlélat à Oujda. Service des voyageurs Accueil Dessertes En 2023, la gare n'est pas desservie par les trains de la Société nationale des transports ferroviaires. Intermodalité Notes et références Voir aussi Articles connexes Ligne de Tabia à Akid Abbes Ligne de Sainte-Barbe-du-Tlélat à Oujda Liste de gares en Algérie Liens externes . Gare dans la wilaya de Sidi Bel Abbès Gare-Taffamane Gare-Taffamane Gare fermée en Algérie
Aéroport international de Managua
L'aéroport international de Managua (en espagnol Aeropuerto Internacional Augusto C. Sandino), est un aéroport domestique et international desservant la ville de Managua, capitale du Nicaragua en Amérique centrale, et située près de l'océan Pacifique. Histoire Avant l'aéroport Augusto C. Sandino, Managua était desservi par l'aéroport Xolotlan, à environ à l'est de Managua. Construit en 1915, il devint très vite trop petit pour la croissance du trafic aérien de Managua. Ainsi, le 22 janvier 1942, le gouvernement du Nicaragua et de Pan American Airways signent un contrat pour construire un aéroport à Las Mercedes Country Estate qui a inspiré le nom de l'aéroport de Las Mercedes. Las Mercedes fut ensuite rénové pour permettre l’atterrissage d'appareils plus imposants, et inauguré le 4 juillet 1968 par Anastasio Somoza Debayle. Au début des années 1970, Las Mercedes s'est adapté à des normes plus modernes, tels que quatre inspecteurs de santé, huit agents d'immigration et dix douaniers-inspecteurs. Lorsque les Sandinistes prennent le pouvoir, l'aéroport est baptisé en hommage à Augusto Sandino. L'aéroport se détériora les années qui suivirent, jusqu'à sa rénovation en 1996. Il fut renommé Aéroport international de Managua en 2001 par le président Arnoldo Aleman, puis reprit son nom précédent avec le président Daniel Ortega. L'aéroport fut le hub de la compagnie aérienne nationale LANICA (jusqu'en 1978), d'AERONICA de 1979 aux années 1980 et NICA par la suite. Lorsque NICA est devenu un membre de Grupo TACA dans les années 1990, le nombre de liaisons avec le reste de l'Amérique latine a considérablement augmenté. Situation Compagnies aériennes et destinations Édité le 20/03/2020 Cargo Notes et références Voir aussi Lien externe Site officiel de l'aéroport Managua Managua
Nikolaï Yakovlev
Nikolaï Matveïevitch Yakovlev (en ), né le et mort en à Orel, est un officier de marine russe. Amiral au moment de la guerre russo-japonaise (1904-1905), il prit part à la défense de Port-Arthur. Il fut l'une des victimes des bolchéviques. Biographie Le , Nikolaï Yakovlev fut promu garde-marine (grade en vigueur dans la Marine impériale de Russie de 1716 à 1917). Le , il est nommé adjudant et le 1er janvier 1882, il est élevé au grade de lieutenant de marine. En 1882, Nikolaï Yakovlev sortit diplômé de la faculté de mécanique de l'Académie navale Nikolaïev et reçut son affectation dans un équipage de la Flotte de la mer Noire. Le , le lieutenant de marine fut transféré dans la flotte de la Baltique. En qualité de navigateur, il servit sur la frégate Sveltana (), puis le sur la frégate Duc d'Édimbourg (Construction le - Lancement - Mis en service 1877 - Retiré de la flotte 1945 - Démantelé en 1945). Sur le yacht impérial Power, il navigua également comme navigateur. En , il accompagna le tsarévitch Nikolaï Alexandrovitch de Russie (futur Nicolas II de Russie) dans son voyage au Japon. Le , il navigua à bord du yacht impérial le Polar Star (ce navire eut la préférence de Nicolas II de Russie). Le 1er janvier 1894, Nikolaï Yakovlev fut promu capitaine (deuxième rang - grade correspondant à celui de lieutenant dans l'infanterie ou l'armée de l'air). Le , il reçut une nouvelle promotion : celle d'officier-navigateur. Du 14 mai au , il exerça le commandement à bord du yacht impérial le Polar Star (Lancement le - Mis en service 1891 - Navire cible pour tir de missiles en 1961 ou démantelé en 1970). Du 10 avril au , en qualité de commandant en chef, il navigua sur le yacht impérial Dagmar. Sur le yacht impérial Mirage, il exerça également le commandement suprême (6 septembre au ). Le , il reçut son affectation pour la flotte de Sibérie. De 1898 à 1899, il commanda la canonnière Mandzur. Le , il obtint le commandement du croiseur Amiral Kornilov (Lancement le - Mis en service en - Retiré de la flotte le ). En , il fut placé à la tête du . Le , Nikolaï Yakovlev fut promu capitaine (premier rang - grade correspondant à celui de colonel dans l'infanterie ou l'armée de l'air) et reçut le commandement du cuirassé Petropavlovsk appartenant au de la Flotte du Pacifique (Lancement le - Mis en service en 1899 - Retiré de la flotte le - Explosa sur une mine le non loin de Port-Arthur). À bord de ce bâtiment de guerre, Nikolaï Yakovlev prit part à la défense de Port-Arthur, mais le matin du , la proue du Petropavlovsk heurta une mine japonaise. S'ensuivit une explosion puis une seconde déflagration se fit entendre une heure et demie plus tard. Le Petropavlovsk sombra corps et biens. D'autres navires de la marine impériale de Russie se portèrent à leur secours : seules 80 personnes dont Nikolaï Yakovlev et le grand-duc Cyrille Vladimirovitch de Russie purent être sauvés de la noyade. Le vice-amiral Stepan Makarov fut tué avec 10 officiers du quartier général, 18 officiers, 620 marins et l'artiste peintre Verechtchaguine. Le , sur l'ordre de l'amiral Evgueni Ivanovitch Alexeïev, Nikolaï Yakovlev prit du repos en Russie. Le , au chantier naval de Saint-Pétersbourg, il dirigea la construction du cuirassé Empereur Paul (Construction le - Lancement le - Mis en service en 1910 - Retiré de la flotte en 1924 - Démantelé le ). En 1906, Nikolaï Yakovlev fut promu kontr-admiral. À ce grade, il occupa les fonctions de chef d'état-major du port de Kronstadt (1906-1907). De 1907 à 1911, il fut major général de la Marine. Le , il fut admis comme membre de l'Amirauté. Le , il atteignit le grade suprême dans la Marine, celui d'amiral. Le , une mystérieuse explosion eut lieu à bord du cuirassé Impératrice Maria provoquant la perte du navire. Nikolaï Yakovlev présida la commission chargée d'enquêter sur les motifs de cette explosion, mais elle fut dans l'incapacité d'en déterminer la cause. En 1933, au cours de l'investigation de Nikolaïev au chantier naval concernant ce sabotage, un agent de renseignement allemand, Victor Verman, fut arrêté. Il avoua avoir personnellement supervisé l'opération de sabotage du navire (Construction - Lancement le 1er novembre 1913 - Mis en service le - Saboté et coulé le ). Révolution russe Après la Révolution russe, Nikolaï Yakovlev fut démis de ses fonctions (). Il vécut un temps à Saint-Petersbourg, puis s'installa avec sa famille dans le gouvernement d'Orel. Décès Nikolaï Yakovlev figura parmi les otages fusillés à Orel par les Bolcheviks. Distinctions de la Russie impériale 1878: Médaille commémorative de la guerre russo-turque de 1877-1878) 1892 : Ordre de Saint-Stanislas (deuxième classe) : Ordre de Sainte-Anne (deuxième classe) 1896 : Médaille commémorative en argent du règne d'Alexandre III de Russie) 1902 : Ordre de Saint-Vladimir (quatrième classe avec ruban) : Ordre de Saint-Vladimir (troisième classe avec épées) 1906 : Médaille commémorative de la Guerre russo-japonaise (1904-1905) : Ordre de Saint-Stanislas (première classe)) 1909 : Médaille commémorative pour le bicentenaire de la bataille de Poltava 1910 : Médaille commémorative du bicentenaire de Saint-Pétersbourg 1911 : Ordre de Sainte-Anne (première classe) : Ordre de Saint-Vladimir (deuxième classe) 1913: Médaille commémorative du tricentenaire de la Maison Romanov 1914 : Médaille des défenseurs de Port-Arthur : Ordre de l'Aigle blanc (Russie impériale) Distinctions étrangères 1891 : Ordre de la Couronne Siamoise (quatrième classe) (Siam) 1891 : Ordre du Trésor sacré (quatrième classe) (Japon) 1891 : Ordre royal de Dannebrog (troisième classe) (Danemark) 1892 : Ordre de l'Aigle Rouge (troisième classe) (Allemagne) 1895 : commandeur de l'Ordre royal de Dannebrog (deuxième classe) (Danemark) 1895 : Ordre du Sauveur (Grèce) 1896 : Officier de la Légion d'honneur (France) 1908 : Grand Chevalier de l'Ordre de l'Épée (Suède) 1908 : Grand Officier de la Légion d'honneur (France) Notes et références Voir aussi Articles connexes Stepan Makarov Cyrille Vladimirovitch de Russie Liens externes Photos Amiral de l'Empire russe Récipiendaire de l'ordre de Saint-Vladimir de 2e classe Récipiendaire de l'ordre de Saint-Vladimir de 3e classe Récipiendaire de l'ordre de Saint-Vladimir de 4e classe Récipiendaire de l'ordre de l'Aigle blanc (russe) Récipiendaire de l'ordre de Sainte-Anne Récipiendaire de l'ordre de Saint-Stanislas (russe) Militaire de l'Empire russe Naissance en mars 1856 Décès en septembre 1919 Ordre de Dannebrog Décès à 63 ans
Nadežda Peedi-Hoffmann
Nadežda Peedi-Hoffmann (née le et morte le ) est une actrice estonienne. Biographie Nadežda Peedi-Hoffmann est née en Sibérie de parents estoniens qui y travaillaient ; sa tante est l'épouse du Premier ministre estonien Konstantin Päts. Après la révolution d'octobre, ses parents se sont séparés et elle a déménagé en Estonie avec sa mère. Elle a étudié la danse avec le danseur Gerd Neggo. En 1932, elle a été élue Miss Estonie et a représenté l'Estonie au concours de Miss Univers. Après avoir remporté son titre, elle a été choisie pour un film, Päikese lapsed, l'un des premiers films réalisés en Estonie. Elle a servi de muse à l'écrivain August Alle. Notes et références Liens externes Actrice estonienne du XXe siècle Naissance en mai 1911 Naissance à Tomsk Décès en mai 1938 Décès à Tallinn Décès à 27 ans
An Erotic Vampire in Paris
est un vidéofilm américain écrit et réalisé par Donald Farmer, sorti en 2002. Synopsis Caroline (Misty Mundae), une jeune fille américaine se rend à Paris pour se recueillir sur la tombe de sa mère. Triste, elle explore la ville en essayant de se remettre de cette perte. Caroline fait la connaissance d'Isabelle (Mia Copia), une belle femme intrigante, mais quelque peu sinistre. Caroline et Isabelle deviennent rapidement amies. Mais Isabelle veut beaucoup plus qu'une simple amitié, elle est un vampire qui se nourrit du sang des vierges comme Caroline, et étant également lesbienne, elle est fortement attirée par la beauté et la fraicheur de Caroline. Fiche technique Titre : An Erotic Vampire in Paris Réalisateur : Donald Farmer Scénario : Donald Farmer Producteur : Merrill Aldighieri, Lucas Balbo et Donald Farmer Langue : Anglais Format : Couleurs Pays : Durée : () Date de sortie : 2002 Distribution Misty Mundae : Caroline Mia Copia : Isabelle Fanny Terjeki : Fanny William Hellfire : le traqueur Christophe Bier : le mauvais garçon Lieux de tournage Certaines scènes ont été tournées à Paris. Notes et références Voir aussi Articles connexes Liste de films de vampires Comtesse Mircalla Karnstein Liens externes Film américain sorti en 2002 Film érotique américain Film de vampire Film américain sur le lesbianisme Film sorti directement en vidéo
Al Fursan
Al Fursan (; en français les chevaliers) est la patrouille de démonstration acrobatique de la Force aérienne des Émirats arabes unis. Elle a été créée en 2010 autour du Aermacchi MB-339NAT, avion à réaction italien d'entrainement. La patrouille aligne 7 appareils au total, tous utilisés lors de la présentation (selon certaines sources, le septième serait gardé en remplacement, mais tous les 7 volaient en présentation lors des saisons 2014 et 2015, notamment à AIR 14 en 2014 et lors de l'IDEX 2015 show à Abu Dhabi). Lors du Bahrain International Airshow 2022 sur la base aérienne de Sakhir, la patrouille évoluait cependant à cinq appareils. Références Articles connexes Patrouille acrobatique Rafale Solo Display Patrouille acrobatique
Petrichus marmoratus
Petrichus marmoratus est une espèce d'araignées aranéomorphes de la famille des Philodromidae. Distribution Cette espèce est endémique d'Argentine. Description La femelle subadulte holotype mesure . Publication originale Simon, 1886 : Arachnides recueillis en 1882-1883 dans la Patagonie méridionale, de Santa Cruz à Punta Arena, par M. E. Lebrun, attaché comme naturaliste à la Mission du passage de Vénus. Bulletin de la Société zoologique de France, , (texte intégral). Liens externes Notes et références Philodromidae Espèce d'araignées (nom scientifique) Faune endémique d'Argentine
Confessin' the Blues
Confessin' the Blues est une compilation de standards de blues et de rock'n'roll publiée par The Rolling Stones en 2018. Il regroupe les principales chansons originales qui ont inspiré ces derniers. Historique Durant leur carrière, les Rolling Stones ont été inspirés par les standards du blues et du rock 'n' roll, même avant leur formation. A leurs débuts, ils les reprenaient avant d'écrire leur propres chansons et de connaître le succès. Pourtant, en plus de leurs compositions, ils continuent de faire des reprises, que ce soit sur scène ou sur les albums studios (entre 0 et 3 chansons par disques à l'exception de Blue & Lonesome en 2016 et avant ceux avant 1966), même encore de nos jours. En 2018, le groupe décide donc de créer une compilation des chansons qui les ont inspirés et ont souvent repris, dans leur version d'origine interprétées par les interprètes d'origine. Caractéristiques artistiques Cette compilation regroupe les morceaux qui ont influencé les Stones. L'album ouvre sur Rollin' Stone de Muddy Waters, le titre qui a donné son nom au groupe. Plusieurs de ces chansons ont été enregistrées par eux au cours de leur carrière, comme Little Red Rooster et Love in Vain. Le dessin qui figure sur la pochette est de Ron Wood. Parution et réception Une partie des royalties sera reversée à la Willie Dixon’s Blues Heaven Foundation. Liste des chansons CD1 Muddy Waters - Rollin' Stone Howlin’ Wolf - Little Red Rooster John Lee Hooker - Boogie Chillen' Little Walter - I Hate to See You Go Chuck Berry - Little Queenie Bo Diddley - You Can’t Judge a Book by Its Cover Eddie Taylor - Ride ’Em On Down Slim Harpo - I’m a King Bee Magic Sam - All Your Love Elmore James w/ Sonny Boy Williamson II - Dust My Broom Little Walter - Just Your Fool Muddy Waters - I Want to Be Loved Big Bill Broonzy - Key to the Highway Robert Johnson - Love In Vain Blues Mississippi Fred McDowell - You Gotta Move Jimmy Reed - Bright Lights, Big City Big Maceo - Worried Life Blues Little Johnny Taylor - Everybody Knows About My Good Thing (Part 1) Howlin’ Wolf - Commit a Crime Otis Rush - I Can't Quit You Baby Jay McShann & Walter Brown - Confessin’ the Blues CD2 Howlin’ Wolf - Just Like I Treat You Little Walter - I Got to Go Chuck Berry - Carol Bo Diddley - Mona Muddy Waters - I Just Want to Make Love to You Elmore James & The Broom Dusters - Blues Before Sunrise Eddie Taylor - Bad Boy Boy Blue - Boogie Children Jimmy Reed - Little Rain Robert Johnson - Stop Breakin’ Down Blues Reverend Robert Wilkins - The Prodigal Son Lightnin' Slim - Hoodoo Blues Billy Boy Arnold - Don’t Stay Out All Night Bo Diddley - Crawdad Dale Hawkins - Susie Q Amos Milburn - Down the Road a Piece Howlin’ Wolf - Little Baby Little Walter - Blue and Lonesome B.B. King - Rock Me Baby Buddy Guy - Damn Right, I’ve Got the Blues Muddy Waters - Mannish Boy Notes et références Liens externes et sources Album de blues Compilation musicale sortie en 2018 Compilation des Rolling Stones
Roche du Chardonnet
La roche du Chardonnet est un sommet des Alpes situé dans le massif des Cerces. C'est le point triple où se rencontrent les bassins de la Durance, de l'Isère et du Pô. Géographie Culminant à d'altitude, la montagne est un nœud orographique d'où partent trois arêtes. L'arête sud, qui appartient à la ligne de partage des eaux entre la vallée Étroite et celle de la Clarée, mène au col des Muandes et, après le rocher de la Grande Tempête, aboutit au col de l'Échelle. L'arête ouest, qui sépare la Clarée de la Maurienne, se prolonge vers le col de la Plagnette et le col des Rochilles, puis vers la pointe des Cerces. L'arête nord-est enfin descend au col de Valmeinier et se prolonge en direction du mont Thabor. Administrativement, la roche du Chardonnet est partagée entre les communes de Névache (Hautes-Alpes) et de Valmeinier (Savoie). Elle constitue le point le plus occidental de la région géographique italienne. Histoire Jusqu'en 1947 la montagne se trouvait sur la frontière franco-italienne, dont elle était le point le plus occidental. Elle est ensuite devenue entièrement française par le traité de Paris, en même temps que la limite occidentale de la République italienne est devenue la roche Bernaude. Ascension C'est un sommet facile d'accès en randonnée pédestre depuis le col des Muandes (), qui est accessible à partir du refuge des Drayères (vallée de la Clarée) ou depuis la vallée Étroite (refuges Terzo Alpini et Re Magi). L'ascension en ski de montagne depuis le refuge des Drayères est considérée d'un niveau F (« skieur moyen »). Le sommet de la roche du Chardonnet est propice à l'observation des Alpes du Dauphiné, des Alpes cottiennes, du massif du Mont-Cenis et d'une partie du massif de la Vanoise. Annexes Notes et références Articles connexes Vallée de la Clarée Vallée Étroite Cartographie Istituto Geografico Centrale, Carta dei sentieri échelle 1: n.1 Valli di Susa Chisone e Germanasca, et échelle 1: n. 104 Bardonecchia Monte Thabor Sauze d'Oulx Bibliographie Liens externes Chardonnet Chardonnet Chardonnet Maurienne Ligne de partage des eaux entre mer Adriatique et mer Méditerranée Massif des Cerces
Kot Radha Kishan
Kot Radha Kishan (en ourdou : كوٹ رادها كِشن) est une ville pakistanaise, située dans le district de Kasur dans le nord de la province du Pendjab. Elle est aussi la capitale du tehsil du même nom. La ville se situe dans le nord-est de la province du Pendjab, à proximité immédiate de la frontière indienne. Elle est desservie par le train, sur la ligne de chemin de fer Lodhran-Kasur. En 2002, une école d'enseignement primaire, intermédiaire et supérieure appelée la Learning School est fondée dans la ville dans le but d'accueillir des étudiants et élèves de la ville et de 52 villages alentour. La population de la ville a été multipliée par plus de cinq entre 1972 et 2017 selon les recensements officiels, passant de habitants à . Entre 1998 et 2017, la croissance annuelle moyenne s'affiche à 2,1 %, un peu inférieure à la moyenne nationale de 2,4 %. Références Ville dans la province du Pendjab (Pakistan)
Mexique aux Jeux olympiques d'hiver de 2014
Le Mexique participe aux Jeux olympiques d'hiver de 2014 à Sotchi en Russie du 7 au . Il s'agit de sa huitième participation à des Jeux d'hiver. Ski alpin Le Mexique a obtenu les places suivantes : Compétitions masculines: 1 place Références Liens externes Mexique 2014 JO
Liste des personnages de La Ballade de Pern
Personnages de la série de science fantasy La Ballade de Pern de l'écrivain Anne McCaffrey Huitième Intervalle et neuvième Passage des Fils Personnages principaux Lessa, maîtresse de la reine dragon Ramoth, Dame du Weyr de Benden et descendante de la lignée de Ruatha F'lar (Fallaron), maître du dragon-bronze Mnementh, Chef du Weyr de Benden, compagnon de Lessa F'nor (Famanoran), maître du dragon brun Canth, demi-frère de F'lar Jaxom, maître du dragon blanc Ruth, Seigneur de Ruatha Robinton, Maître-Harpiste de Pern, maître du lézard de feu bronze Zair Menolly, Harpiste, maîtresse de dix lézards de feu Sebell, Harpiste, maître de la reine lézard de feu Kimi, compagnon de Menolly Piemur, Harpiste, maître de la reine lézard de feu Farli, explorateur du continent méridional, ami de Menolly et Sebell Weyrs Brekke, maîtresse de la reine Wirenth (décédée), compagne de F'nor C'gan, maître du bleu Tagath, premier chevalier-dragon à décéder au début du Passage D'ram, maître du bronze Tiroth, Ancien, Chef du weyr d'Ista puis Chef du Weyr Méridional F'lon (Falloner), maître du bronze Simanith, Chef du Weyr de Benden avant R'gul, père de F'lar et de F'nor, ami de Robinton F'lessan (Felessan), maître du bronze Golanth, fils de F'lar et de Lessa Jora, maîtresse de la reine Nemorth, Dame du Weyr de Benden avant Lessa Kylara, maîtresse de la reine Prideth (décédée), demi-sœur du seigneur Larad de Telgar, Dame du Weyr Méridional Manora, Intendante de Benden, mère de F'nor Mardra, maîtresse de la reine Loranth, Ancienne, Dame du Weyr de Fort puis du Weyr Méridional Mirrim, maîtresse de la verte Path, pupille de Brekke, compagne de T'gellan, puis Dame du Weyr Oriental N'ton (Naton), maître du bronze Lioth, Chef du Weyr de Fort R'mart, maître du bronze Branth, Chef du Weyr de Telgar R'gul (Rangul), maître du bronze Hath, Chef du Weyr de Benden après F'lon et avant F'lar T'bor, maître du bronze Orth T'gellan, maître du bronze Monarth, compagnon de Mirrim T'ron, maître du bronze Fidranth, Ancien, Chef du Weyr de Fort, puis du Weyr Méridional Ateliers Domick, Harpiste, Maître de Composition Fandarel, Maître Forgeron, grand-père de Jancis Idarolan, Maître Pêcheur Jancis, Compagnon Forgeron, petite-fille de Fandarel, compagne de Piemur Jerint, Maître Harpiste, fabriquant les instruments Nicat, Maître Mineur Norist, Maître Verrier Oldive, Maître Guérisseur, bossu Tagetarl, Compagnon Harpiste Wansor, forgeron des étoiles Forts Aramina, épouse de Jayge, dame du Fort de la Rivière Paradis, elle pouvait entendre tous les dragons, mère de Readis Asgenar, seigneur de Lemos Begamon, Seigneur de Nerat, exilé après son implication dans l'enlèvement de Robinton Corman, Seigneur de Keroon Fax, Seigneur de sept forts : Hautes Terres, Nabol, Crom, Ruatha... conquis par la force pour la plupart. Père de Jaxom. Tué par F'lar. Gemma, Dame de Crom, épouse de Fax, mère de Jaxom Groghe, Seigneur de Fort, maître de la reine lézard de feu Merga Jayge Lilcamp, Nomade, puis seigneur du Fort de la Rivière Paradis sur le continent Méridional, époux d'Aramina, père de Readis Larad, Seigneur de Telgar Warder Lytol (Lytonal puis L'tol puis Lytol), ancien chevalier-dragon de Larth, puis tisserand, avant de devenir Régent de Ruatha pendant la minorité de Jaxom Meron, Seigneur de Nabol Oterel, Seigneur de Tillek Raid, Seigneur de Benden Readis : il y a deux Readis. Le premier, oncle de Jayge, est un renégat de la bande de Thella. Le deuxième, fils de Jayge, est dolphineur. Sharra, sœur de Toric, épouse de Jaxom Sifer, Seigneur de Bitra Thella, demi-sœur de Larad de Telgar, chef d'une bande de renégats, autoproclamée « Dame Sans Fort », elle cherche à enlever Aramina Toric, Seigneur du Fort Méridional Yanus, Seigneur du Fort de mer du Demi-Cercle, père de Menolly et Alemi Sixième Passage Weyrs B'lerion, maître du bronze Nabeth, amoureux d'Oklina Leri, reine Holth, ancienne Dame du Weyr de Fort M'tani, maître du bronze Hogarth, Chef du Weyr de Telgar, il refusera son aide à Moreta pour lutter contre l'épidémie Moreta, reine Orlith, Dame du Weyr de Fort Sh'gall, maître du bronze Kadith, Chef du Weyr de Fort Ateliers Capiam, Maître Guérisseur Desdra, guérisseuse Tirone, Maître Harpiste de Pern Forts Alessan, seigneur de Ruatha Nerilka, fille de Tolocamp, épouse d'Alessan après la mort de Moreta Oklina, sœur d'Alessan, puis Dame du Weyr, maîtresse de la reine Hannath Tolocamp, Seigneur de Fort Premier Passage Paul Benden, amiral pendant le voyage emmenant les colons sur Pern, puis personnage important et renommé après l'atterrissage. Emily Boll Sean Connell, maître du bronze Carenath, premier chevalier-dragon de Pern, Chef du Weyr de Fort, compagnon de Sorka Peter "Red" Hanrahan, père de Sorka, fondateur du Fort de Ruatha Sorka Hanrahan, maîtresse de la reine Faranth, première Dame du Weyr, dame du Weyr de Fort, compagne de Sean Sallah Telgar, pilote, décédée, épouse de Tarvi Andiyar Tarvi Andiyar, prendra le nom de Telgar après la mort de sa femme, premier Seigneur de Telgar Torene, maîtresse d'Amaranth, Dame du Weyr de Benden Avril Bitra, pilote venue sur Pern en quête de pierres précieuses et de richesses. Elle a tué Sallah Telgar lors de sa fuite de Pern. La Ballade de Pern Ballade de Pern
هانس يورغنسن
هانس يورغنسن هو مجدف دنماركي، ولد في 25 ديسمبر 1889 في في الدنمارك، وتوفي في 22 أبريل 1955 في كوبنهاغن في الدنمارك. مراجع وصلات خارجية رياضيون من إقليم سيد دنمارك مجدفون أولمبيون من الدنمارك مجدفون دنماركيون مجدفون في الألعاب الأولمبية الصيفية 1912 مواليد 1889 وفيات 1955
Richard Guay (producteur)
Richard Guay est un producteur et scénariste américain. Filmographie comme Producteur 1989 : True Love de Nancy Savoca 1991 : Dogfight 1993 : Household Saints 1997 : ''' (TV) 1998 : The Uttmost 1999 : The 24 Hour Woman 1999 : Ghost Dog, la voie du samouraï (Ghost Dog: The Way of the Samurai) 2001 : Prison Song 2002 : Reno: Rebel Without a Pause 2003 : Dirt 2004 : Dr Kinsey (Kinsey) 2005 : Building Girl comme Scénariste 1989 : True Love de Nancy Savoca 1993 : Household Saints 1999 : The 24 Hour Woman 2003 : Dirt'' Lien externe Producteur américain Scénariste américain de cinéma Date de naissance non renseignée (XXe siècle)
Renfe série 270
La série 270 de la Renfe (originellement dénommée série 7000) est une série de locomotives électriques construites en 12 unités à partir de 1928 pour la Compagnie du Nord. La partie électrique a été réalisée par la société suisse Oerlikon et la construction mécanique par la société Euskalduna. La locomotive 7001 est conservée au Museu del ferrocarril de Vilanova i la Geltrú. Voir aussi Matériel moteur de la Renfe Notes et références Jorges.arrakis.es: Serie 270 270 Locomotive électrique 1500 V 270 Locomotive Co'Co'
Louis-Emmanuel Corvetto
Le comte Louis-Emmanuel Corvetto, né à Gênes le et mort à Gênes le , est un homme politique français originaire de la république de Gênes. Il fut ministre des Finances à l'époque de la Restauration. Biographie Luigi Emanuele Corvetto naît dans une famille bourgeoise génoise francophile et jacobine, originaire plus précisément de Nervi (cette famille est souvent orthographiée "Crovetto", ce qui n'a rien à voir avec une crevette (ni une corneille), mais qui veut dire "originaire de Croatie", bien que certains blasons familiaux montrent un corbeau en envol). Le père (Domenico voire Luigi, selon les sources) est professeur d'architecture à Gênes, la mère, Maria Maddalena, est issue d'une grande famille de commerçants italiens établis à Amsterdam, les Turpia. Il poursuit des études de droit et par la suite a la réputation d'un avocat des pauvres. Il est magistrat à l'Office de Saint Georges et favorable au rattachement de Gênes à la France. Il réside vingt-trois ans en Russie où, entre 1792 et 1796, il fait semble-t-il connaissance du duc de Richelieu, alors en mission à Odessa. Puis, la république de Gênes, sous le nom de république ligurienne, se lie à la France révolutionnaire en 1797, en destituant le dernier Doge de Gênes, Giacomo Brignole, et en 1805 fait partie de l'Empire français. Corvetto entre au gouvernement provisoire de la république ligurienne dont il dirige le directoire l'année suivante. Il est aussi membre du tribunal suprême de Gênes. Lorsque Gênes est assiégée en 1800, il défend toutefois une position attentiste entre les troupes de Masséna et les armées autrichiennes de Michael von Melas voire de Peter-Carl Ott et britanniques de George Keith Elphinstone. Après 1805, lorsque la république ligurienne est rattachée à la France, il se met au service de Napoléon. Il entre au conseil d'État et participe à la rédaction du Code de commerce de 1807. Napoléon lui attribue le titre de comte d'Empire par décret du ; ce titre semble ne pas avoir été transmissible à sa succession. Corvetto reste au service de l'État à l'époque de la Restauration de Louis XVIII. Il devient ministre des Finances du au dans le premier cabinet du duc de Richelieu et contribue à remettre de l'ordre dans les finances désastreuses du pays, après les guerres napoléoniennes, et pendant l'occupation des armées des puissances européennes. Il fait baisser les contributions dues aux armées étrangères. En 1816, en tant que ministre français des Finances, il est un des créateurs de la Caisse des dépôts et consignations. Il figure au registre des receveurs généraux des finances, de même que sa nièce Marie Paula de Corvetto (fille de Giovanni Benedetto), épouse Bas, au Luc en Provence. Malade et pauvre, le comte Corvetto se retire de la vie politique, brièvement à Mont-de-Marsan chez sa fille ; mais se sachant condamné par la maladie, il rentre à Nervi, dont sa famille était originaire, et y meurt peu de temps après. Avant de mourir, il adresse ses dernières volontés au duc de Richelieu. L'État français alloue une rente de francs à sa veuve. Corvetto est enterré en l'église Saint-Cyr de Nervi. Une place à Gênes, une autre à Milan et une rue à Paris, dans le huitième arrondissement, portent son nom. Il a eu plusieurs enfants dont Maddalena (dite Manin, mère de Nina Giustiniani), Giuseppe Maria, Carlo Antonio, Giovanni Benedetto, Anna Maria (épouse de Nicola Littardi (1789-1871), lui aussi receveur général des impôts des Landes, puis du Tarn-et-Garonne, puis du Var). Sa petite-fille, la marquise Anna Giustiniani dite Nina, née Schiaffino, (1807-1841), fut une patriote italienne dont les amours avec Cavour finirent tragiquement par un suicide. Sources Elogio storico del conte Luigi Corvetto: già ministro delle finanze a Parigi... par Cotardo Solari. Le site www.historici.nl pour ce qui est de la famille Turpia. Liens externes Ministre de la Restauration Ministre français des Finances Naissance en juillet 1756 Décès en mai 1821 Décès à 64 ans Décès à Nervi
Turn on the Bright Lights
Turn on the Bright Lights est le premier album du groupe américain de rock indépendant Interpol, publié le , par Matador Records. L'accueil critique est positif, puisque Pitchfork, notamment, leur attribue une note de 9,5/10. Liste des chansons Album original Disque bonus réédition Musiciens Paul Banks – chant, guitare rythmique Daniel Kessler – guitare solo, piano Carlos Dengler – basse, claviers Sam Fogarino – batterie, percussions Références Album d'Interpol Album publié par Matador Records Album certifié disque d'or aux États-Unis Album certifié disque d'or au Royaume-Uni Premier album musical sorti en 2002
Colegio Nacional de Buenos Aires
Le Colegio Nacional de Buenos Aires (en abrégé CNBA) est un établissement d’enseignement secondaire d’élite, situé à Buenos Aires en Argentine, et rattaché, au même titre que l’École supérieure de commerce Carlos Pellegrini et l’Institut libre d’enseignement secondaire, à l’université de Buenos Aires. Fondé en 1661 par l’administration espagnole comme collège jésuite sous le nom de Collège royal Saint-Charles, il connut après la révolution de Mai, au gré des régimes politiques successifs, plusieurs changements d’orientation idéologique (et concomitamment de dénomination) et quelques avatars architecturaux, sans remettre en cause, aux yeux des Argentins, la rémanence de cette institution qui fonctionna comme une pépinière de personnalités illustres, dont quatre présidents de la république. La Manzana de las Luces, l’îlot urbain où se trouve l’établissement, a été classé monument historique en 1943. Localisation Le Colegio Nacional de Buenos Aires a son siège au de la calle Bolívar, dans la ville autonome de Buenos Aires, en Argentine. C’est l’un des bâtiments d’un antique îlot urbain, dit Manzana de las Luces (manzana = pomme au sens premier, et, par extension, îlot, pâté de maisons), sis dans le quartier de Monserrat, en plein centre historique de la ville, à seulement de l’emblématique place de Mai (Plaza de Mayo). Histoire Au même emplacement où se dresse aujourd’hui le Colegio Nacional s’étaient auparavant succédé, à partir du une série d’autres institutions scolaires. L’on tend, y compris au collège lui-même, à les considérer toutes comme une seule et même institution, ayant simplement changé de mains ou subi une réorientation idéologique ou métamorphose architecturale. En 1654, le cabildo de Buenos Aires confia à l’Ordre jésuite le soin de l’enseignement des jeunes gens. Ainsi les Jésuites s’établirent-ils en 1661 dans l’îlot délimité par les actuelles rues Bolívar, Moreno, Perú et Alsina, et auquel sera ensuite donné le nom de Manzana de las Luces. Les Jésuites furent expulsés d'Espagne et de ses colonies en 1767, et le vice-roi Juan José de Vértiz y Salcedo reprit la direction de l'institution jésuite pour en faire le Real Colegio de San Carlos (soit Collège royal Saint-Charles, ou Colegio Carolino), où firent leurs études, sous la direction du prêtre et juriste Juan Baltazar Maziel, plusieurs grandes figures politiques de la prime histoire de l’Argentine, comme Manuel Belgrano, Cornelio Saavedra, Mariano Moreno, Martín Rodríguez, Bernardino Rivadavia, Manuel Dorrego, Bernardo de Monteagudo, et Juan Martín de Pueyrredón. Ce dernier, Directeur suprême des Provinces-Unies du Río de la Plata, réorganisa plus tard le collège en le rebaptisant Colegio Unión del Sud (ou Colegio de la Unión), où Justo José de Urquiza poursuivra des études, puis Rivadavia, gouverneur de Buenos Aires, le remodela à son tour en Colegio de Ciencias Morales, que fréquenteront Esteban Echeverría et Juan Bautista Alberdi. Le futur président Domingo Faustino Sarmiento échoua à s’y faire inscrire. Après l’unification argentine, le président Bartolomé Mitre, conjointement avec José Eusebio Agüero, créa, en 1863, dans le même lieu, le Colegio Nacional de Buenos Aires (litt. Collège national de Buenos Aires), élément clef de sa politique tendant à intégrer portègnes et provinciaux. Le collège eut parmi ses proviseurs (rectores) e.a. le même Agüero puis, à la mort de celui-ci, Amédée Jacques. En 1911, le collège fut incorporé à l’université de Buenos Aires, et eut pour élèves les deux premiers prix Nobel argentins, Bernardo Houssay (Nobel de médecine en 1947) et Carlos Saavedra Lamas(Nobel de la paix en 1936), et quatre présidents de la république argentine, Agustín Pedro Justo, Carlos Pellegrini, Marcelo Torcuato de Alvear, et Roque Sáenz Peña. À partir de 1955, à la suite de la réforme universitaire, le Collège retrouva sa fonction d’école-pilote expérimentale. Il admit désormais la gent féminine, élèves et enseignantes ; les premières jeunes filles s’inscrivirent en 1959 et passèrent les épreuves en 1964. Nombre des expériences et innovations du collège, qui reste l’un des établissements scolaires les plus prestigieux d’Argentine, ont depuis été adoptées par d’autres écoles secondaires affiliées à d’autres universités nationales dans le pays. Époque contemporaine Le Collège national de Buenos Aires compte quelque 2000 élèves (année 2008). Le plan d’études s’efforce de mêler humanités et sciences, et de réaliser une synthèse entre tradition et modernité. La sixième année orientée présente des équivalences avec le dénommé Ciclo Básico Común (litt. Cycle commun de base), première année universitaire commune à tous les cursus de toutes les universités argentines. À l’heure actuelle, ceux qui désirent s’inscrire au collège sont tenus de passer d’abord par un cours d’entrée (curso de ingreso) parallèlement à la septième année de l’enseignement primaire, cours destiné à vérifier si les futurs condisciples s’accordent suffisamment entre eux. Des classes sont ainsi données tous les samedis, et les élèves subissent ensuite trois examens d’espagnol, trois de mathématiques, deux d’histoire et deux de géographie. Le collège possède la quatrième bibliothèque par la taille de toute la ville de Buenos Aires, ainsi qu'un observatoire astronomique équipé d’un télescope, une station de radioamateur, et permet de pratiquer nombre d’activités en marge du cursus, telles que leçons de piano, jeu d’échecs, entraînement en mathématiques, cours d’histoire du cinéma, apprentissage de langues anciennes ou vivantes (grec ancien, français, allemand, japonais), navigation à voile, aïkido, etc. Sont à signaler en outre une salle de projection de plus de deux cents places, une piscine, une salle de tir (non utilisée actuellement), des ateliers de sciences, d’arts plastiques et de géographie, et un salon d’informatique. La qualité de l’école est attestée statistiquement par le taux de réussite atteint dans les universités par ses anciens diplômés, par les importantes distinctions nationales et internationales obtenues par les élèves, notamment aux Olympiades internationales d'informatique de 1990 en Biélorussie, aux Olympiades ibéroaméricaines de mathématiques de 1990 à Valladolid, aux Olympiades internationales de chimie à Moscou en 2007, aux Olympiades ibéroaméricaines de physique en 2007, par le prix Borges de poésie décroché en 1991, de même que par l’obtention de bourses de l’Institut scientifique Weizmann en 1991 et 1992, et par la participation d’élèves du collège au projet MEDRACO de la NASA, entre autres. Édifice Le bâtiment actuel du CNBA, avec ses de surface couverte (sans compter les extensions ultérieures), fut conçu vers 1910 par l’architecte français Norbert Maillart, lequel avait déjà auparavant livré les plans de l’hôtel central des Postes et du palais de justice de Buenos Aires. En 1908, un concours public avait été organisé en vue de la construction d’un nouveau siège central pour l’université de Buenos Aires et pour le Collège national, dans le cadre d’un projet qui devait occuper la Manzana de las Luces tout entière, y compris l’emplacement des antiques bâtiments coloniaux de la rue du Pérou (calle Perú) ; à ce titre, c'est-à-dire donc pour un projet beaucoup plus vaste et plus ambitieux que le bâtiment actuel, le choix était tombé sur le projet de l’architecte Gino Aloisi, mais le plan ne fut finalement pas mis en œuvre. En septembre 1910, le président José Figueroa Alcorta et son ministre de la Justice et de l’Instruction publique Rómulo Sebastián Naón posèrent la première pierre du nouvel édifice conçu par Maillart, donnant le signal de départ des travaux, dont se chargea d’abord la firme Zacarías Marioni, Hno. y Compañía, dont le contrat fut cependant révoqué l’année suivante, puis la firme Vinent, Maupas y Jáuregui, jusqu’à ce que finalement l’exécution du projet fût confiée en 1915 à GEOPÉ, filiale argentine de l’entreprise allemande Philipp Holzmann. L’édification du bâtiment se déroula en deux étapes : d’abord la façade principale donnant sur la rue Bolívar (rue orientée nord-sud), avec la bibliothèque, le provisorerie et les bureaux de la cour Bolívar, ensuite seulement les trois cours intérieures (couvertes de toits de verre) parallèles à la rue Moreno (orientée est-ouest), de sorte que pendant tout un temps coexistaient l’ancien bâtiment jésuitique et la nouvelle construction de style français néoclassique. En 1929, le bâtiment du Colegio Nacional avait déjà coûté pesos argentins, alors que manquait cependant encore une part importante de l’ouvrage. Le nouveau collège entièrement achevé ne devait être inauguré qu’en mai 1938 par le président Roberto Marcelino Ortiz. L’édifice, d’une ordonnance parfaitement symétrique, où prédomine le style architectural Beaux-Arts parisien, se signale par sa monumentalité déterminée en particulier par le péristyle de l’imposante façade principale, les arcades de l’entrée, les lucarnes du toit, et, à l’intérieur, par l’escalier de marbre bordé de bustes des anciens proviseurs et par les amples vestibules surmontés de hauts plafonds. Le bâtiment ayant deux mitoyennetés et ne présentant donc que deux façades libres (orientées vers le sud et l’est), l’architecte Maillart fut obligé de créer des cours intérieures pour ventiler et pourvoir de lumière les vestibules des faces nord et ouest. Le bâtiment comporte trois niveaux, non compris le semi-souterrain et le comble mansardé de la rue Bolívar, qui sert de dépôt. Par l’entrée principale de la rue Bolívar l’on pénètre dans un vaste vestibule de grande hauteur, et de là à un ample couloir bordé de colonnes conduisant à deux escaliers d’honneur symétriques en marbre blanc, à plafond rouge, lesquels mènent au premier étage, où se situent, d’une part, le grand auditorium dit Aula Magna, inspiré de la salle principale du palais Garnier de Paris, et pourvu d’un orgue de 3600 tuyaux (le plus grand de la ville), et d’autre part, la bibliothèque, dotée de plus de cent mille volumes, et dont la collection de périodiques est la plus fournie d’Argentine en publications du . À proximité se trouve la provisorerie (Rectoría), dont les bureaux ont gardé le papier-peint et le parquet de chêne d’origine. Une fois franchi ce « secteur noble » de l’édifice, on accède au secteur étudiant, où les murs sont revêtus d’un caractéristique carrelage vert. Anciens élèves illustres Abel Cháneton, juriste et historien Agustín Pedro Justo, président de la Nation 1932-1938 Alberto Kornblihtt, biologiste moléculaire, chercheur Alberto Manguel, écrivain, bibliophile, journaliste, essayiste Alfredo Colmo, juriste Ana Katz, metteur en scène de cinéma Andrés Larroque, homme politique, secrétaire général de La Cámpora, député national Ángel Gallardo, scientifique, ministre des Affaires étrangères (1922-1928) Aníbal Ponce, écrivain, psychologue et homme politique marxiste Antonio Dellepiane, docteur en droit, universitaire, historien et juriste Aristóbulo del Valle, avocat et homme politique. Cofondateur de l'Union civique radicale. Axel Kicillof, économiste, enseignant. Actuel vice-ministre argentin de l'Économie Baldomero Fernández Moreno, écrivain Baldomero Sommer, médecin, pionnier en dermatologie et hygiéniste Belisario Roldán, écrivain et homme politique Bernardo Houssay, prix Nobel de médecine (1947) Bruno Stagnaro, cinéaste Calixto Oyuela, écrivain Carlos Corach, homme politique, ministre de l'Intérieur sous la présidence de Carlos Menem Carlos Ibarguren, juriste, homme politique et historien, ministre de la Justice et de l'Instruction publique (1912-1914) Carlos Mugica, prêtre et acteur social urbain, assassiné par la Triple A Carlos Pellegrini, président de la Nation argentine (1890-1892) Carlos Saavedra Lamas; ministre de la Justice et de l'Instruction publique (1915) et des Affaires étrangères (1932 - 1938), prix Nobel de la paix Carolina Varsky, avocate du Centro de Estudios Legales y Sociales (CELS) Cecilia Braslavsky, éducatrice, directrice du Bureau international de l'Éducation de l'UNESCO (2000-2005) Claudia Brant, musicienne, compositrice, lauréate de plusieurs Grammy Awards. Claudio Gabis, musicien, compositrice et pédagogue Claudio Lozano, économiste et homme politique Daniel Paz, dessinateur humoriste Diego Peretti, acteur et psychiatre Eleodoro Lobos, juriste Enrique Larreta, écrivain Enrique Petracchi, avocat, membre de la Cour suprême de Justice de la Nation depuis 1983 Ernesto Deira, peintre Ernesto Quesada, avocat, écrivain et historien Estanislao Zeballos, juriste Eugenio Cambaceres, écrivain Felipe Solá, gouverneur de la province de Buenos Aires (2001-2007) Fernando Luis Abal Medina, fondateur de Montoneros Fernando Nottebohm, biologiste, ornithologue Feliciano Antonio Chiclana, membre du Premier Triumvirat Florencio Escardó, médecin, écrivain Guillermo Rawson, médecin, hygiéniste et statisticien. Ministre de l'Intérieur en 1862 Gustavo Sosa Escalada, écrivain, mathématicien et musicien paraguayen Hernán Charosky, avocat, sociologue et directeur exécutif de Poder Ciudadano Hernán Lombardi, ingénieur, entrepreneur et homme politique Hipólito de Villegas, juriste, ministre des Finances du Chili en 1817 Horacio Verbitsky, journaliste Ignacio Pirovano, scientifique Jorge A. Bacqué, avocat, membre de la Cour suprême de Justice de la Nation argentine (1985-1990) Jorge Álvarez, éditeur et producteur Jorge Casaretto, évêque de San Isidro Jorge Dorio, journaliste et écrivain Jorge Eduardo Rabinovich, biologiste, écologue Jorge Taiana, ministre des Affaires étrangères (2005-2010) José Ingenieros, médecin, psychiatre, psychologue, pharmacien, écrivain, enseignant, philosophe et sociologue José León Suárez, juriste et diplomate José Nicolás Matienzo, avocat, doyen de l'université de Buenos Aires et de l'université nationale de La Plata, ministre de la province de Santiago del Estero, juge, membre de la Cour d'appel, ministre de la Cour suprême de Justice de la province de Buenos Aires, procureur général de la Nation, ministre de l'Intérieur argentin et sénateur national José Pablo Ventura, militant étudiant, assassiné en 1977 Juan Bautista Justo, homme politique, fondateur du Parti socialiste argentin Juan Bautista Egusquiza, président de la république du Paraguay (1894-1898) Juan José Giambiagi, physicien Juan Manuel Abal Medina, avocat et homme politique, secrétaire général du Parti justicialiste Juan Pablo Varsky, journaliste sportif Juan Taratuto, cinéaste Julio César Otaegui, juriste et président de l'Académie nationale de Droit et Sciences sociales Lalo Schifrin, musicien (Boris Claudio Schifrin à l'état civil) Leonardo Moledo, écrivain, journaliste scientifique et mathématicien Lucio V. López, écrivain Luis Agote, médecin, précurseur des transfusions sanguines Luis Caffarelli, mathématicien Luis María Drago, juriste Macedonio Fernández, écrivain Manuel Antín, cinéaste Manuel Belgrano, avocat, militaire et homme politique, concepteur du drapeau national de l'Argentine Manuel Carlés, avocat et homme politique d'extrême droite Manuel Mendanha, artiste plasticien Marcelo Torcuato de Alvear, président de la Nation argentine (1922-1928) Marco Denevi, écrivain Marcos Novaro, sociologue, professeur d'université Marcos Mayer, écrivain et journaliste María Abadi, actrice, fille du psychanalyste José Eduardo Abadi Mariano Moreno, avocat, journaliste et révolutionnaire, membre de la Première Junte Mario Firmenich, fondateur de Montoneros Mario Mactas, journaliste Mario Rabey, anthropologue et figure de la contre-culture des années 1960 Mario Roberto Álvarez, architecte Mario Sáenz, juriste, doyen de la faculté de droit de l'université de Buenos Aires (1921-1923) Martín Caparrós, journaliste et écrivain Martín García Mérou, écrivain, critique, homme politique et diplomate Martín Lousteau, économiste, ministre de l'Économie de la Nation (2007-2008) Martiniano Molina, illustre cuisinier Miguel Ángel Virasoro, physicien Miguel Cané, écrivain et homme politique Miguel Mariano de Villegas, juriste, syndic de la Première Junte et doyen du Tribunal suprême de Justice en 1837 Miguel Peirano, économiste, ministre de l'Économie de la Nation (2007) Nicasio Oroño, juriste et homme politique ; gouverneur de la province de Santa Fe (1864-1868) Nicolás Barrios Lynch, éducateur et fondateur des Bibliotecas Rurales Argentinas Nicolas Entel, réalisateur de cinéma Nicolás Repetto, homme politique socialiste Norberto Piñero, avocat et homme politique, ministre des Finances sous la présidence de José Figueroa Alcorta Nik, dessinateur humoriste Otto Krause, ingénieur et pédagogue, fondateur de la première école technique d'Argentine Pablo Kleinman, entrepreneur, journaliste et homme politique aux États-Unis Pedro Goyena, avocat, écrivain et homme politique Pepe Eliaschev, journaliste et écrivain Pilar Calveiro, chercheuse argentine Rafael Obligado, écrivain Ricardo Güiraldes, écrivain Roberto Alemann, économiste, deux fois ministre argentin de l'Économie, ambassadeur aux États-Unis Roberto Repetto, juriste, membre de la Cour suprême de Justice de la Nation (1923-1946) et président de celle-ci à partir de 1932 Rodolfo Rivarola, sociologue et juriste Rolando Hanglin, journaliste Roque Sáenz Peña, président de la Nation argentine (1910-1914) Rudy, humoriste et écrivain Salvador Mazza, médecin et chercheur sur la maladie de Chagas Tomás Le Breton, avocat, homme politique et diplomate Tomás de Anchorena, avocat et homme politique Tulio Halperín Donghi, historien, réformiste universitaire (1955-1966), (UBA ; Universite de Berkeley, UTDT) Vicente Faustino Zazpe, archevêque de l'archidiocèse de Santa Fe Vilma Ibarra, sénatrice et députée nationale Notes et références Liens externes Site web du Colegio Nacional de Buenos Aires. CENBA Centre des étudiants du CNBA. Association coopératrice « Amadeo Jacques » du CNBA. Association des anciens élèves du CNBA. Photographies anciennes du bâtiment. Buenos Aires Buenos Aires Monument historique national en Argentine Enseignement à Buenos Aires
Mesure des rangs d'assises de la pyramide de Khéops
Les rangs d'assises de la pyramide de Khéops furent mesurés pour la première fois par les savants ayant pris part à l'expédition d'Égypte menée par Bonaparte, à savoir Jomard, Coutelle et Le Père. L'égyptologue anglais Petrie effectua des mesures précises aux coins nord-ouest et sud-est de la pyramide, parues en 1883. L'égyptologue français Georges Goyon effectua de nouvelles mesures, parues en 1978. Mesures de Jomard Les ingénieurs comptèrent à partir du haut pour une hauteur totale de . Mesures de Le Père et Coutelle Les ingénieurs comptèrent à partir du haut pour une hauteur totale de . Mesures de Petrie L'originalité des mesures de Petrie tient à ce qu'elles furent prises en deux endroits différents (coin nord-est et coin sud-ouest). Mesures de Goyon Mesures prises de bas en haut à partir du bas de l'arête nord-est, avec une incertitude sur les mesures de et donnant pour une hauteur totale de . Représentations graphiques des différents relevés Les mesures de Georges Goyon ont simplement été reportées tandis que les mesures de Petrie, initialement en pouces ont été converties en centimètres. Références bibliographiques Georges Goyon, BIFAO 78, Les rangs d'assises de la grande pyramide, 1978, téléchargeable ici ; William Matthew Flinders Petrie, The pyramids and temples of Gizeh, planche 8, 1883, téléchargeable ici ; Notes Index égyptologique Complexe funéraire de Khéops
Jeryl Prescott
Jeryl Prescott Sales, née le à Washington DC, est une actrice américaine, surtout connue pour son rôle de Jacqui dans la série The Walking Dead. Elle a également eu un rôle récurrent au cours de la deuxième saison de Ray Donovan et sur l'adaptation de la série de la bande dessinée Powers. Biographie Jeryl Prescott est née à Washington DC puis a été adoptée et élevée à Hartsville en Caroline du Sud. Elle réside à Winston-Salem, Caroline du Nord, elle partage son temps entre cette ville et Los Angeles. Prescott devait tenir le rôle de Jacqui pour deux épisodes. Filmographie Film Télévision 2006 : Surface : une réceptionniste (1 épisode) 2006 : Les Frères Scott : une conseillère (1 épisode) 2008 : Esprits criminels : un médecin légiste (1 épisode) 2009 : Hawthorne : Infirmière en chef : une infirmière auxiliaire (1 épisode) 2010 - 2012 : The Walking Dead : Jacqui (6 épisodes) 2011 : Southland : Nina Brown (1 épisode) 2011 : Criminal Minds: Suspect Behavior : Juge Delilah Nunes (1 épisode) 2011 : Parks and Recreation : Bank Teller (1 épisode) 2013 : Revolution : Rosie (1 épisode) 2013 : Castle : une infirmière (1 épisode) 2014 : Modern Family : Shopper (1 épisode) 2014 : Gang Related : Brenda Plemmons (1 épisode) 2014 : Ray Donovan : Cherry (5 épisodes) 2015 : Powers : Golden (4 épisodes) 2015 : Battle Creek : Tracy (1 épisode) 2017 : NCIS : Los Angeles : Barbara (1 épisode) 2019 : Big Little Lies : Cecilia (2 épisodes) 2019 : Swamp Thing : Madame Xanadu (10 épisodes) 2023 : Ahsoka'' : Aktropaw (1 épisode) Notes et références Liens externes Naissance en mars 1964 Naissance à Washington (district de Columbia) Actrice américaine de télévision Actrice américaine de cinéma Actrice de The Walking Dead
Frederick Humphreys
Frederick Humphreys (28 janvier 1878 à Londres - 10 août 1954 à Brentford) est un tireur à la corde et lutteur britannique. Carrière olympique Il a participé aux Jeux olympiques de 1908 avec l'équipe de la Police de Londres de tir à la corde et remporta la médaille d'or. L'édition suivante, il remporta la médaille d'argent avec la même équipe à la suite de l'épreuve face à la Suède. En 1920, il remporta la médaille d'or de la même discipline avec l'équipe britannique. Durant l'édition de 1908, il participa aussi en tant que lutteur pour l'équipe britannique. Il fut éliminé au premier tour dans la catégorie de lutte gréco-romaine poids lourd et en quart de finale dans la catégorie poids lourd de lutte libre. Notes et références Liens externes Lutteur britannique Tireur à la corde britannique Champion olympique britannique Champion olympique de tir à la corde Lutteur aux Jeux olympiques de 1908 Tireur à la corde aux Jeux olympiques de 1908 Tireur à la corde aux Jeux olympiques de 1912 Tireur à la corde aux Jeux olympiques de 1920 Naissance en janvier 1878 Naissance à Islington (borough londonien) Décès en août 1954 Médaillé d'argent olympique britannique Décès à 76 ans
Beate Peters
Beate Edeltraud Peters (née le à Marl) est une athlète allemande spécialiste du lancer de javelot. Elle fut championne d'Allemagne de l'Ouest en 1985 et en 1986. Biographie Vie privée Beate Peters est ouvertement lesbienne et vit avec l'athlète allemande Sabine Braun. Palmarès Records Notes et références Liens externes Lanceuse de javelot allemande Athlète (femme) aux Jeux olympiques d'été de 1984 Athlète (femme) aux Jeux olympiques d'été de 1988 Personnalité ayant fait son coming out Naissance en octobre 1959 Naissance à Marl
Jean-Baptiste Alexandre Le Blond
Jean-Baptiste Alexandre Le Blond est un architecte parisien né en 1679 et mort en 1719. Biographie Jean-Baptiste Alexandre Le Blond était le fils de Jean Le Blond, peintre ordinaire du roi, marchand d'estampes sur le pont Saint-Michel à Paris, et de sa femme, née Jeanne d'Eu. Il étudia l'architecture auprès de son oncle maternel Jean Girard, intendant des bâtiments du duc d'Orléans. On affirme qu'il aurait également reçu des leçons d'André Le Nôtre en matière de jardins. Architecte du Roi, il construisit plusieurs hôtels particuliers à Paris, notamment l'hôtel de Clermont, rue de Varenne, et l'hôtel de Vendôme, rue d'Enfer (aujourd'hui boulevard Saint-Michel). Il traça les plans et commença la construction du palais archiépiscopal d'Auch pour l'archevêque Augustin de Maupeou avec qui il avait travaillé sur les jardins de l'évêché de Castres. Le palais archiépiscopal d'Auch fut achevé entre 1750 et 1770 pour Jean-François de Montillet de Grenaud dans le respect strict des plans de Le Blond. Occupé de nos jours par la Préfecture du Gers, ce monument du contribue au prestige artistique de la ville. On lui attribue aussi les plans de l'escalier d'honneur du collège Salinis d'Auch, ancien lycée des Jésuites, établissement scolaire fondé en 1543, qui est situé à deux pas de la cathédrale Sainte-Marie et du palais archiépiscopal de la préfecture du Gers. En mars 1716, il accepta, à l'invitation de Pierre le Grand, de partir pour Saint-Pétersbourg où il parvint en août. Il proposa de donner à la ville un plan ovale, avec une matrice de rues se croisant à angle droit et plusieurs places imitées des places royales françaises, mais ce projet ne fut pas agréé, pas plus que son projet de résidence pour le tsar à Strelna (1717). Avec Friedrich Braunstein et Nicolà Michetti, il construisit le premier château de Peterhof (1717). À Saint-Pétersbourg, il construisit le palais Apraxine et dessina les plans du jardin d'été. Le Blond mourut prématurément en 1719, emporté par la petite vérole. Le tsar lui-même assista à ses funérailles. Comme théoricien et illustrateur, il réalisa les seconde (1710) et troisième (1720) éditions du Cours d'architecture de Vignole traduit et commenté par Augustin-Charles d'Aviler, qu'il illustra de ses propres réalisations. Ces ouvrages introduisirent la distinction entre appartements de parade et appartements de commodités et mirent à la mode les petites cheminées. Le Blond a par ailleurs illustré l’Histoire de l'abbaye de Saint-Denis (1706) de Michel Félibien. Principales œuvres hôtel de Vendôme (dit aussi de Chaulnes), rue d'Enfer, 1706-1707 (abrite aujourd'hui, très remanié, l'École nationale supérieure des mines de Paris). Reconstruction de l'hôtel de Duras, rue Saint-Augustin, 1708, pour Louise-Madeleine de La Marck, veuve d'Henri de Durfort, duc de Duras. Jardins de l'évêché de Castres. Hôtel de Clermont, 69 rue de Varenne, pour Jeanne Thérèse Pélagie d'Albert de Luynes, marquise de Saissac, 1713. Maison à Meudon, pour Jeanne Baptiste d'Albert de Luynes, comtesse de Verrue, 1714. Palais archiépiscopal, Auch. Jardins du Canet, près de Narbonne. Maison Regnault à Châtillon (Hauts-de-Seine). Maison Hoguer à Chatillon (Hauts-de-Seine) Palais Apraxine, Saint-Pétersbourg, 1717-1718. Palais Constantin, Strelna, 1717-1719. Bibliographie Olga Medvedkova, Jean-Baptiste Alexandre Le Blond, architecte 1679-1719 - De Paris à Saint-Pétersbourg, Paris, Alain Baudry & Cie, 2007 – 359 s., https://www.youtube.com/watch?v=usuZtFjBgxU Olga Medvedkova, "Au-dessus de Saint-Pétersbourg, dialogue au royaume des morts entre Pierre le Grand et Jean-Baptiste Alexandre Le Blond", pièce en deux tableaux, Paris, TriArtis, 2013. https://www.youtube.com/watch?v=usuZtFjBgxU Michel Gallet, Les Architectes parisiens du , Paris, Éditions Mengès, 1995 . Liens externes Architecte français du XVIIIe siècle Architecte baroque français Naissance en 1679 Naissance à Paris Décès en mars 1719 Décès à Saint-Pétersbourg Mort de la variole
Armorial de la maison de Brienne
Cette page donne les armoiries (figures et blasonnements) de différents membres de la Maison de Brienne. Notes et références Brienne
Représentation des symboles musicaux en informatique
Les symboles utilisés dans la musique occidentale (ainsi que dans les typologies musicales dérivées ou apparentées à celle-ci) soulèvent certaines difficultés de codage informatique. Comment coder, par exemple Symphonie en si ♭ majeur plutôt que Symphonie en si bémol majeur ? Aucun jeu de caractères courant ne contient en effet les symboles fondamentaux. Unicode les a cependant bien inclus. Les logiciels LaTeX et LilyPond permettent aussi une manipulation simple des symboles musicaux. Remarque typographique à propos du dièse Contrairement à une idée reçue, le croisillon # (hash), directement disponible sur la plupart des claviers d’ordinateurs, n'est pas un véritable dièse. Les anglophones, en particulier les Américains, le nomment « number sign » ou « hash », et il sert, entre autres, d'équivalent à number au sens de « numéro » (#5 : number five, « numéro cinq »), et à pound au sens de « livre » (5# : five pounds, « cinq livres »). Il s'agit d'une ancienne ligature latine. Le symbole # étant cependant inconnu des usages francophones, lorsque sont arrivés les premiers claviers à le posséder, on a nommé la touche le portant « touche dièse », croyant avoir affaire à un tel signe. Les anglophones, cependant, disent bien hash key ou pound key (« touche hash » ou « touche livre »). Le signe "dièse" des claviers se distingue du vrai dièse musical par l'orientation des barres : les barres verticales du dièse musical sont parfaitement verticales et ses barres horizontales sont obliques. Les barres verticales du dièse de clavier sont obliques et ses barres horizontales sont parfaitement horizontales. Ainsi, on peut comparer ci-après l’aspect du hash ou dièse par abus de notation (#), et celui du vrai dièse, d’abord avec le caractère Unicode ─ l’affichage dépend donc des polices de caractères Unicode ─ (♯), puis avec LaTeX ─ l’émulateur de Wikipédia le représentera vraisemblablement au moyen d'une image ─ (). Dans une partition, il est représenté de la manière suivante : Codage Unicode Les trois symboles représentant les altérations ainsi que quelques notes sont codés dans le bloc des « Symboles divers » : Outre ces sept caractères, Unicode permet de coder la majorité des autres symboles d’une partition. Les caractères nécessaires sont dans le bloc « Symboles musicaux occidentaux » (U+1D100 à U+1D1FF). Leur affichage par un moteur de rendu reste cependant problématique. LaTeX Sous LaTeX, il est possible de coder facilement les symboles des altérations : bécarre : \natural ; résultat : ; bémol : \flat ; résultat : ; dièse : \sharp ; résultat : . (Pour les utilisateurs de Lyx, les exemples ci-dessus doivent être encadrés par $ … $ dans l'insert de code (ctrl+l), pour indiquer le mode mathématique. Ex: $\natural$) Lilypond Les règles élémentaires de codage de la musique sous LilyPond sont les suivantes : Les notes de musiques sont codées par défaut à la manière anglo-saxonne : c pour do bécarre, b pour si bécarre Pour obtenir un bémol, on rajoute es (ces, bes) et pour obtenir un dièse, on rajoute un is. Un silence se note r (de l'anglais rest). En incluant le module de notation italienne, il est possible de nommer les notes do, re (sans accent), mi, etc. Il est également possible de créer ses propres langages de notation. Les clefs sont codées par \clef treble pour la clef de sol, \clef bass pour la clé de fa et \clef alto pour la clef d’ut 3. Les rythmes sont codés par des nombres notés après la note (1 pour une ronde, 2 pour une blanche, 4 pour une noire, etc. Par exemple, aes4 représente une noire la bémol, cis2. représente une blanche pointée do dièse. Depuis , le logiciel Mediawiki, utilisé par Wikipédia, possède une extension donnant la possibilité d'intégrer dans un article une partition de musique au format Lilypond. Voir aussi Liens internes Logiciels d'édition de partition Notation LiliPond utilisable dans un article de Wikipédia Liste des symboles musicaux utilisables dans un texte de Wikipédia Musique et solfège Musique Solfège Théorie de la musique occidentale Note de musique Codage des caractères ISO/CEI 8859-1 Unicode Caractères spéciaux, symboles musicaux TeX, LaTeX et Aide:Formules TeX Liens externes Police de caractères Rousseau (en liaison avec le logiciel éditeur de partitions « Berlioz »), permettant l’affichage de la plupart des symboles musicaux Guide des difficultés de rédaction en musique (GDRM) Liste des caractères Unicode du bloc « Symboles musicaux occidentaux » pour la plupart des symboles musicaux Introduction à la notation avec le logiciel de gravure musicale Lilypond. Une extension chromatique des noms de notes anglophones pour papier et Lilypond. Notes et références Notation musicale
Busy Bakers
est un cartoon Merrie Melodies réalisé par Ben Hardaway et Cal Dalton en 1940. Synopsis Fiche technique Références Liens externes https://www.bcdb.com/cartoon/3757-Busy-Bakers Film américain sorti en 1940 Court métrage d'animation américain Cartoon Merrie Melodies Film de Leon Schlesinger Studios
شوربليسبيتز
شوربليسبيتز هو أحد جبال سلسلة الألب السويسرية وجزء من القمة الأم شوبفينسبيتز يقع في كانتون فريبورغ، سويسرا. يبلغ ارتفاع الجبل حوالي 2103 متر، بينما يبلغ ارتفاع نتوء الجبل 176 متر. انظر أيضًا قائمة جبال سويسرا مراجع جبال الألب جبال سويسرا جبال في سويسرا يتجاوز ارتفاعها 2000 متر جبال كانتون فرايبورغ
Mercedes-Benz Classe CLK
La Mercedes-Benz Classe CLK (C pour Coupé, L pour Leicht (léger), K pour Kurz (court)) est une série d' automobiles de type coupé/cabriolet produite par le constructeur automobile allemand Mercedes-Benz entre 1997 et 2009. Sa conception repose sur la plate-forme de la Classe C, tout en reprenant les traits stylistiques des coupés de la Classe E auxquels elle succède à la fin des années 1990. Les premiers développements et concepts furent élaborés au début des années 1990, avant d'être présentés en 1993 au Salon de l'Automobile de Genève. Elle occupe une place intermédiaire entre les roadster des classes SL et SLK, et les berlines routières des classes C, E, et S. La première génération de coupé (CLK phase I) est commercialisée à partir de 1997 (W208 / C208), suivie en 1998 par la version cabriolet, puis la seconde (CLK phase II) en 2002 (W209 / C209), suivie par sa version cabriolet en 2003. Entre 1997 et fin 2009, plus de 650 000 véhicules ont été produits, dans les différentes déclinaisons essence, diesel (à partir de 2002), coupé, cabriolet, faisant du modèle une vedette des ventes de la marque. La classe CLK fut la première série de coupé loisir / plaisir de la marque Mercedes à se voir dotée d'un moteur diesel, mariage jugé comme particulièrement réussi par la presse spécialisée de l'époque. Elle était commercialisée au prix initial d'environ 40 000€. Fin 2009, la classe CLK fut remplacée par la « Classe E Coupé » et la « Classe C Coupé » est sortie en 2011, mettant fin au concept de coupé à cheval sur deux gammes (l'alliance d'un châssis de Classe C avec un style de Classe E, propulsée par des motorisations empruntées aux deux plateformes). Historique Origines et segment commercial La classe CLK succède au précédent coupé/cabriolet de Mercedes, construit jusqu'à fin 1996, qui était basé sur le modèle W124, issu de la Classe E et était considéré comme un véhicule de la classe moyenne supérieure. La CLK était quant à elle basée sur la Classe C, qui se situait dans la catégorie moyenne ; dans la première génération, son style extérieur renvoyait directement aux signatures visuelles à la Classe E W 210. Les abréviations L et K avaient déjà été introduites par le passé dans les gammes Mercedes-Benz, notamment sur le SLK (sport-léger-court) ainsi que sur le SL (super-léger). génération - Type 208 (1997 - 2003) La 208 reprend la face de la Classe E W210 mais elle repose sur le châssis de la Classe C W202. Trois types de motorisations sont disponibles : 4 cylindres en ligne, V6 et V8. En 1998 apparaît la version cabriolet A208 avec une capote en toile. Cette dernière n'est pas entièrement automatique, une poignée à l'intérieur doit être déverrouillée afin d'engager son déploiement. Près de 350 000 exemplaires de la CLK I furent vendus. Première production La version originale de la CLK a été produite de juin 1997 à août 1999 et existait dans les variantes de base Sport (pas de supplément de prix) et Élégance. Elle proposait une large gamme d'options électroniques et de systèmes périphériques dédiés au confort et à la performance : boîte automatique à 5 vitesses (avec régulateur de vitesse), attelage de remorque, ESP pour les moteur six cylindres, rétroviseurs intérieurs et extérieurs à anti-éblouissement et à rabattement automatique, climatisation bi-zone automatique, sièges à mémoire de configuration, aides au stationnement Parktronic, capteur de pluie et lave-glace automatique, lave-glace chauffé, toit ouvrant coulissant et relevable, sièges chauffants ou phares au xénon. Deuxième production et restylage La Type 208 subit en 1999 un restylage, le pack d'équipement Sport fut alors supprimé, seules les finitions Élégance et Avantgarde (qui succède à la finition Sport) demeurant commercialisées. À partir de 2000, les nouveaux moteurs quatre cylindres en ligne de Mercedes sont disponibles sur le modèle. De nouveaux équipements électroniques s'ajoutent à la liste déjà disponible : le volant multifonctions fait son entrée, l'ESP devient commun à toutes les motorisations, la boîte de vitesses mécanique à six rapports fait son entrée. Le véhicule peut désormais être équipé d'un ordinateur de bord avec, par exemple, l'affichage de la consommation instantanée, ou la possibilité de disposer d'un combiné téléphonique intérieur. Les rétroviseurs extérieurs sont modifiés et comportent désormais des clignotants intégrés. Le Pack AMG (pièces de performance et look plus sportif) fait son entrée à cette occasion. CLK 55 AMG (I) Le restylage de la phase I de la classe CLK est assorti en août 1999 de la sortie de la CLK 55 AMG, une version ultra-performante, sportive, musclée, de la CLK, dotée d'un moteur V8 de 5,4 litres assemblé à la main. La liste des équipements de performance destinés au modèle comprend notamment un vilebrequin renforcé en acier forgé, des bielles et des pistons forgés, un V8 à simple arbre à cames en tête entraîné par chaîne spécifique à AMG, chaque cylindre est doté de deux soupapes d'admission et d'une soupape d'échappement, alimenté par 8 bobines et 16 bougies (deux bougies par cylindre). Il est muni d'un collecteur d'admission à double résonance avec des canaux accordés permettant de créer un couple et une puissance optimisés en tirant parti de deux fréquences de résonance des cylindres pour augmenter les performances. Le moteur présente un taux de compression élevé. Toutes ces technologies avancées permettent de délivrer une puissance de 362 ch (270 kW) et un couple de 510Nm. La CLK 55 AMG est par ailleurs dotée d'une boîte automatique renforcée à 5 vitesses, destinée à l'origine aux moteurs V12 des plus puissantes classe S de la marque. Elle est contrôlée électroniquement, et est destinée à être plus robuste que celle du CLK 430, autre motorisation V8 disponible sur ce modèle. Voiture de sécurité pour la Formule 1 Une version spécialement modifiée de la CLK 55 AMG fut utilisée à partir de la saison 1997 de la F1 comme voiture de sécurité. Elle a également servi de base à la version encore plus modifiée destinée à courir la en 2001. Production et ventes Chiffres de production 1997-2003 C 208 ( Coupé ) CLK 200 (136 ch / 100 kW) : 45 890 unités CLK 200K (192 ch / 141 kW) : 36 500 unités (export) CLK 200K (163 ch / 120 kW) : 24 639 unités CLK 230K (193 ch / 142 kW) : 49 000 unités CLK 230K (197 ch / 145 kW) : 14 555 unités CLK 320 (218 ch / 160 kW) : 68 778 unités CLK 430 (279 ch / 205 kW) : 22 660 unités CLK 55 AMG (347 ch / 255 kW) : 3 381 unités A 208 (Cabriolet) CLK 200 (136 ch / 100 kW) : 9 000 unités CLK 200K (163 ch / 120 kW) et (192 ch / 141 kW, version d'export) : 10 300 unités CLK 230K (193 ch / 142 kW) : 19 700 unités CLK 320 (218 ch / 160 kW) : 32 500 unités CLK 430 (279 ch / 205 kW) : 12 200 unités CLK 55 AMG (347 ch / 255 kW) : 400 unités (uniquement sur demande spéciale) La CLK 55 AMG Cabriolet n'était pas commercialisée dans les catalogues réguliers et ne pouvait être commandée que directement par des clients sélectionnés par Daimler-Benz. Motorisations et variantes de la phase I génération - Type 209 (2002 - 2010) La production de la phase I de la CLK s'arrête en juin 2002 pour être définitivement remplacée par la phase II, portant la dénomination W209 / C209 / A209 (cabriolet). La phase II de la CLK, en production jusqu'en 2010, fut assemblée dans l'usine Daimler de Brême pour les coupés et chez Karmann à Osnabrück pour les cabriolets. Près de 360 000 exemplaires de la CLK II furent vendus. Mercedes innove alors en proposant, en plus des L4, V6, et V8 essence, des motorisations L4, L5, et V6 diesel (à partir de 2005), relativement inédites sur des voitures premium estampillées "plaisir" et "sport". Rapidement après sa sortie, la CLK phase II est élue « Plus belle voiture de l’année 2003 ». Conception et réception par le public La Mercedes CLK W209, repose sur le châssis de la classe C W203 et non sur celui de la W202 qui servait de base à la CLK première phase. Le restylage important qui est opéré sur le véhicule lui donne un air résolument plus moderne, sportif. Il est doté une nouvelle calandre, d'un nouvel arrière plus anguleux, et de phares avant circulaires et jointifs dont la signature visuelle fut longtemps une marque commune aux modèles des différentes gammes Mercedes du début des années 2000. De plus, ce coupé à cheval sur les Classe C et les Classe E, revient aux fondamentaux notamment par l’absence de montant central entre les portes avants et la partie arrière de l’habitacle, ce qui fait qu’une fois les 4 vitres baissées, la voiture conserve la pureté originelle de ses lignes, savant mélange entre classicisme et dynamisme, qui rendent cette voiture intemporelle, comme toutes les belles Mercedes-Benz. La principale nouveauté dans la gamme provient des moteurs diesel à injection directe par rampe commune (système Common Rail, désignée sous le nom de CDI chez Mercedes-Benz), ainsi que par une mise à jour de tous les moteurs essence, notamment les moteurs V6 et V8 (M112/113) réputés pour leur fiabilité et leur agrément de conduite, et équipant le CLK II 240 et 320, ainsi que le CLK II 500, nouvellement introduit pour remplacer le CLK I 430. Restylage / facelift de 2005 et nouvelles motorisations La CLK II subit un restylage important courant 2005, avec comme changements notables, un nouveau dessin des feux arrière et un dessin de parechoc avant dynamisé. C’est cependant à l’intérieur que le changement est le plus notable, du fait de l'adjonction d'une toute nouvelle console centrale, revue et modernisée. Les motorisations sont elles aussi renouvelées : une nouvelle génération de moteurs V6 et V8 essence fait son apparition, les blocs M272/273 remplaçant ainsi les M112/113 plus anciens. Le V6 équipe ainsi la CLK II 280 et 350, et le V8 la CLK II 500. Ces nouveaux blocs moteurs portent les performances des modèles les plus puissants à près de 388ch pour le CLK II 500 équipé du M273. Malheureusement ces moteurs ont connu des soucis importants de conception, accusant de nombreux défauts pouvant entraîner des casses moteurs. Pour les diesels, peu de changement, à l'exception de l'introduction d'une version CLK II 220 CDI, et d'un V6 diesel, équipant la CLK II 320 CDI. CLK II 55 AMG et CLK II 63 AMG Le préparateur AMG propose dès la sortie de la phase II des versions mises à jour du CLK 55 AMG, équipées du M113 E55 EVO développant 367ch. Par la suite d'autres versions survitaminées de la CLK II furent développées par le préparateur performance de Mercedes : la CLK 63 AMG dotée d'un V8 e 6,2L de cylindrée, puis par la suite un modèle attaché aux « Black Series », disponible en 63 AMG, développant dans la version de course équipant la Mercedes-Benz CLK DTM, près de 582ch. Voiture de sécurité pour la Formule 1 Les CLK 55 AMG W209 succèdent aux W208 dans leur rôle de safety car pour les grands prix de F1. Motorisations et variantes de la phase II Motorisations essence Motorisations diesel Galerie Notes et références Classe CLK Automobile des années 1990 Automobile des années 2000 Automobile des années 2010 Coupé Cabriolet
Comté de Portneuf
Le comté de Portneuf était un comté municipal du Québec ayant existé entre 1855 et janvier 1982. Le territoire qu'il couvrait est aujourd'hui compris dans les régions administratives de la Capitale-Nationale et de la Mauricie et correspond à l'actuelle municipalité régionale de comté (MRC) de Portneuf plus une petite partie des MRC de Mékinac et de La Jacques-Cartier ainsi que de l'agglomération de Québec. Son chef-lieu était la municipalité de Cap-Santé. Municipalités situées dans le comté Cap-Santé (créé en 1855 sous le nom de Sainte-Famille; renommé Cap-Santé en 1979) Deschambault (détaché de Saint-Joseph-de-Deschambault en 1951; fusionné avec Grondines pour former Deschambault-Grondines en 2002) Donnacona (détaché de Saint-Jean-Baptiste-des-Écureuils en 1915) Fossambault-sur-le-Lac (détaché de Sainte-Catherine-de-Fossambault en 1949) Lac-Saint-Joseph (détaché de Sainte-Catherine-de-Fossambault en 1936) Lac-Sergent (détaché de Saint-Raymond et de Sainte-Catherine-de-Fossambault en 1921) Les Écureuils (créé en 1855 sous le nom de Saint-Jean-Baptiste-des-Écureuils; renommé Les Écureuils en 1949; fusionné à Donnacona en 1967) Montauban (détaché de Notre-Dame-des-Anges-de-Montauban en 1919; regroupé avec Notre-Dame-des-Anges en 1976 pour former Notre-Dame-de-Montauban) Neuville (détaché de Saint-François-de-Sales en 1919) Notre-Dame-de-Portneuf (détaché de Sainte-Famille et de Saint-Joseph-de-Deschambault en 1863; fusionné à Portneuf en 2002) Notre-Dame-de-Montauban (formé en 1976 du regroupement de Notre-Dame-des-Anges et de Montauban) Notre-Dame-des-Anges (détaché de Notre-Dame-des-Anges-de-Montauban en 1919; regroupé avec Montauban en 1976 pour former Notre-Dame-de-Montauban) Notre-Dame-des-Anges-de-Montauban (créé en 1882; fusionné à Notre-Dame-des-Anges en 1969) Pont-Rouge (détaché de Sainte-Jeanne-de-Neuville en 1911 sous le nom de Sainte-Jeanne-de-Neuville, municipalité de village; renommé Pont-Rouge en 1918) Portneuf (détaché de la municipalité de paroisse de Notre-Dame-de-Portneuf en 1914 sous le nom de village de Notre-Dame-de-Portneuf; renommé Portneuf en 1961) Rivière-à-Pierre (créé en 1897 sous le nom de municipalité du canton de Bois; renommé Rivière-à-Pierre en 1948) Saint-Alban (détaché de la municipalité de paroisse de Saint-Alban-d'Alton en 1918) Saint-Alban-d'Alton (détaché de Saint-Joseph-de-Deschambault en 1860; fusionné à Saint-Alban en 1991) Saint-Augustin-de-Desmaures (créé en 1855; intégré à la Communauté urbaine de Québec en 1969; regroupé avec douze autres municipalités pour former la nouvelle ville de Québec en 2002; re-créé en 2006) Saint-Basile (créé en 1855) Saint-Basile-Sud (détaché de Saint-Basile en 1948; fusionné de nouveau à Saint-Basile en 2000) Saint-Casimir (municipalité de paroisse créée en 1855; regroupé avec la municipalité de village en 2000) Saint-Casimir (municipalité de village détachée de celle de paroisse en 1912; regroupé avec celle-ci en 2000) Saint-Casimir-Est (détaché de la municipalité de paroisse de Saint-Casimir en 1913; fusionné de nouveau à celle-ci en 1981) Saint-Charles-des-Grondines (la municipalité de paroisse a été créée en 1855; la municipalité de village s'en est détachée en 1912; les deux ont été fusionnées en 1984 sous le nom de Grondines) Sainte-Catherine-de-Fossambault (créé en 1855; renommé Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier en 1984) Sainte-Christine-d'Auvergne (détaché de Saint-Raymond-Nonnat, Saint-Basile et Notre-Dame-de-Portneuf en 1896) Sainte-Jeanne-de-Pont-Rouge (détaché de Saint-François-de-Sales en 1868 sous le nom de Sainte-Jeanne-de-Neuville; renommé Sainte-Jeanne-de-Pont-Rouge en 1959; fusionné à Pont-Rouge en 1996) Saint-François-de-Sales (aussi connu sous le nom de Pointe-aux-Trembles; créé en 1855; fusionné à Neuville en 1997) Saint-Gilbert (détaché de Saint-Alban et de Saint-Joseph-de-Deschambault em 1893) Saint-Joseph-de-Deschambault (créé en 1855; fusionné à Deschambault en 1989) Saint-Léonard-de-Portneuf (détaché de Saint-Raymond en 1899 sous le nom de Saint-Léonard-de-Port-Maurice; renommé Saint-Léonard-de-Portneuf en 1950) Saint-Marc-des-Carrières (détaché de Saint-Alban, Saint-Joseph-de-Deschambault et Saint-Charles-des-Grondines en 1918) Saint-Raymond (municipalité de village puis de ville; détaché de Saint-Raymond-Nonnat en 1898; les deux municipalités, ville et paroisse, sont fusionnées en 1994) Saint-Raymond (municipalité de paroisse; créé en 1855 sous le nom de Saint-Raymond-Nonnat; renommé Saint-Raymond en 1958; les deux municipalités, ville et paroisse, sont fusionnées en 1994) Saint-Rémi-du-Lac-aux-Sables (détaché de Notre-Dame-des-Anges-de-Montauban, Saint-Casimir et Saint-Ubalde en 1899; renommé Lac-aux-Sables en 1983) Saint-Thuribe (détaché de Saint-Casimir en 1898) Saint-Ubalde (détaché de Saint-Casimir en 1873; la municipalité de village s'en détache en 1920; les deux sont réunies à nouveau en 1973) Shannon (détaché de Sainte-Catherine-de-Fossambault en 1947) Formation Le comté de Portneuf comprenait lors de sa formation les paroisses de Saint-Casimir, Grondines, Deschambault, Cap-Santé, Saint-Basile, Saint-Raymond, Sainte-Catherine, Les Écureuils, Pointe-aux-Trembles, Saint-Augustin, Saint-Alban ainsi que les cantons de Gosford, d'Alton, de Roquemont, de Mantauban et de Colbert. Voir aussi Articles connexes Comtés du Québec Portneuf, circonscription électorale provinciale du Québec ; Portneuf, ancienne circonscription électorale fédérale du Québec ; Notes et références Comté au Québec Capitale-Nationale
Avis Budget Group
Avis Budget Group est une multinationale américaine active dans la location de véhicules et l'autopartage. Elle possède de plus les entreprises de location de véhicules Budget Rent a Car, Avis rent a Car, Apex, présente en Nouvelle-Zélande et en Australie, Maggiore, présente en Italie, Payless, présente dans plus de 120 pays, Zipcar et France Cars, qui exploite des parcs de véhicules commerciaux légers en France. La société exploite trois marques en France : Avis, Budget et France Cars. Histoire Elle est issue de la dissolution, en septembre 2006, du conglomérat américain . Le 3 octobre 2011, Avis Budget Group a racheté les parts d'Avis Europe, entreprise indépendante détenue depuis 1986 par le groupe Belge D'Ieteren et qui exploite la marque Avis sous licence. En 2013, le groupe acquiert l'entreprise d'autopartage américaine Zipcar et l'entreprise de location de véhicules , puis en 2016 France Cars. Avis Location de Voitures (France) La filiale française, Avis Location de Voitures, a son siège social à Courbevoie. Elle est dirigée par Pierre Olivier Bard. Budget France La filiale française, Milton, a son siège social à Puteaux. Elle est dirigée par Laurent Sculier. En 2015, elle a réalisé un chiffre d'affaires de 3 952 700 €. Les comptes récents ne sont pas disponibles. Le résultat 2015 était négatif de 2 654 200 €. Les fonds propres étaient négatifs de 3 866 900 € L'effectif n'est pas connu. Actionnaires Liste au 24 août 2019. Notes et références Entreprise de location de véhicules Société cotée au NYSE Entreprise ayant son siège au New Jersey Entreprise fondée en 2006
Quadrivitesse
En physique, en particulier en relativité restreinte et en relativité générale, la quadrivitesse d'un objet est un quadrivecteur généralisant le vecteur vitesse en mécanique classique. Introduction La quadrivitesse est une des notions que le mathématicien et physicien allemand Hermann Minkowski (-) a introduites dans le cadre de sa reformulation géométrique de la relativité restreinte d'Albert Einstein (-). La quadrivitesse est ainsi désignée car elle est le quadrivecteur qui généralise la notion de vitesse de la mécanique newtonienne. Plus précisément, la quatrivitesse est un quadrivecteur : du genre temps car il est tangent à une courbe qui est elle-même du genre temps ; dirigé vers le futur ; dont la pseudo-norme est égale à c, la vitesse de la lumière dans le vide. En relativité restreinte, la quadrivitesse est définie comme la dérivée première de la quadriposition par rapport au temps propre. Une telle définition n'est pas valide en relativité générale car, dans ce cadre, le quadruplet de coordonnées permettant de repérer un événement ne forme pas un quadrivecteur. La notion de quadrivitesse n'existe pas pour une particule de masse nulle car le temps propre d'une telle particule n'est pas défini. Mécanique classique En mécanique classique, les événements sont décrits par leur position à chaque instant. La trajectoire d'un objet dans l'espace tri-dimensionnel est paramétrée par le temps. La vitesse classique est le taux de variation des coordonnées d'espace par rapport au temps et est tangente à sa trajectoire. La trajectoire d'un objet dans un espace tridimensionnel est déterminée par une fonction vectorielle à trois composantes,, où chacune des composantes est fonction d'un temps absolu t: Où dénote les trois coordonnées spatiales de l'objet au temps t. Les composantes de la vitesse classique au point p sont: où les dérivées sont prises au point p. En d'autres termes, elle est la différence entre deux positions divisée par l'intervalle de temps les séparant . Théorie de la relativité En théorie de la relativité, la trajectoire d'un objet dans l'espace-temps par rapport à un référentiel donné est définie par une fonction vectorielle à quatre composantes , chacune d'entre elles dépendant d'un paramètre , appelé temps propre de l'objet. Quadrivitesse en relativité restreinte Définition de la quadrivitesse La quadrivitesse d'un objet est définie comme la tangente de sa ligne d'univers. Ainsi, un objet décrit par la ligne d'univers aura une quadrivitesse définie comme : Composantes de la quadri-vitesse en relativité restreinte De la dilatation du temps en relativité restreinte, on sait que où est le facteur de Lorentz, défini comme et u est la norme de la vitesse vectorielle classique supposée constante dans le temps : . La relation entre la coordonnée temporelle et le temps t est donnée par En dérivant par rapport au temps propre , on trouve En utilisant règle de dérivation en chaîne, pour 1, 2, 3, on trouve où nous avons utilisé la définition de la vitesse classique Ainsi, nous trouvons, pour la quadrivitesse : Vitesse propre Les trois composantes spatiales de la quadrivitesse définissent la vitesse propre d'un objet, , soit le taux de variation des coordonnées d'espace par rapport au temps propre. En relativité restreinte, on a . Norme La quadrivitesse étant un quadrivecteur, sa norme est un quadriscalaire, et donc invariante peu importe le choix de référentiel. Dans tous les référentiels, autant en relativité restreinte qu'en relativité générale, la pseudo-norme de la quadrivitesse est Ainsi, la pseudo-norme de la quadrivitesse est toujours égale à la vitesse de la lumière. On peut donc considérer n'importe quel objet massif comme se déplaçant dans l'espace-temps à la vitesse de la lumière. Cas d'un corps de masse nulle Une particule de masse nulle est dotée d'une vitesse (classique) égale à la vitesse de la lumière : Dans ce cas la pseudo-norme de est égale à , constante indépendante du référentiel, c'est donc un quadrivecteur : les égalités établies pour un corps massif n'ont pas besoin de l'être pour un corps de masse nulle, et d'ailleurs ne le peuvent pas, le temps propre de ce corps étant nul (). De manière générale, l'égalité montre que tout paramètre peut être choisi pour paramétrer la trajectoire du corps car la « vitesse » ainsi obtenue a une pseudo-norme constante (nulle), et est donc un quadrivecteur : . Quadrivitesse en relativité générale Notes et références Notes Références Voir aussi Bibliographie Manuels d'enseignement supérieur . . . . . . . . Dictionnaires et encyclopéries . Articles connexes Quadrivecteur Relativité restreinte Liens externes Relativité restreinte
(35602) 1998 HC124
est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes de de diamètre découvert en 1998. Description a été découvert le à l'observatoire Magdalena Ridge, situé dans le comté de Socorro, au Nouveau-Mexique (États-Unis), par le projet Lincoln Near-Earth Asteroid Research (LINEAR). Caractéristiques orbitales L'orbite de cet astéroïde est caractérisée par un demi-grand axe de , un périhélie de , une excentricité de 0,15 et une inclinaison de 9,44° par rapport à l'écliptique. Du fait de ces caractéristiques, à savoir un demi-grand axe compris entre 2 et et un périhélie supérieur à , il est classé, selon la , comme objet de la ceinture principale d'astéroïdes. Caractéristiques physiques a une magnitude absolue (H) de 14,7 et un albédo estimé à 0,047, ce qui permet de calculer un diamètre de . Ces résultats ont été obtenus grâce aux observations du Wide-Field Infrared Survey Explorer (WISE), un télescope spatial américain mis en orbite en 2009 et observant l'ensemble du ciel dans l'infrarouge, et publiés en 2011 dans un article présentant les premiers résultats concernant les astéroïdes de la ceinture principale. Voir aussi Articles connexes Liste des planètes mineures (35001-36000) Ceinture d'astéroïdes Liens externes Références Objet céleste découvert en 1998 Astéroïde de la ceinture principale Objet céleste découvert par LINEAR Objet céleste découvert à l'observatoire Magdalena Ridge
Amina bint al-Hajj ʿAbd al-Latif
Amina bint al-Hajj ʿAbd al-Latif (en ), en activité en et morte vers , est une juriste et scribe marocaine, qui a travaillé à Tétouan au cours du . Biographie Au , il était plus courant pour les hommes que pour les femmes de travailler comme scribes dans le monde islamique. Pourtant, en Espagne et en Afrique du Nord, quelques femmes ont réussi à faire carrière. Amina bint al-Hajj ʿAbd al-Latif est l'une de ces femmes. Bien que l'on sache peu de choses sur sa jeunesse, sa formation est mentionnée dans le Tarikh Titwan (Histoire de Tétouan) de Muhammad Daʾud (1908–1984). Da'ud rapporte que le père d'Amina bint al-Hajj ʿAbd al-Latif lui a enseigné le droit et le métier de scribe. On sait qu'elle était en activité à Tétouan sous le règne du sultan Sulayman, et on connait deux œuvres connues copiées par elle qui ont survécu. La première est une section finale d', un recueil de paroles du Prophète Mohamed. Le manuscrit est daté de 1802. Le second est une copie du Coran datée de 1812 qui comporte sa signature. Elle se distingue par la finesse de ses copies manuscrites. Bien que la date précise de son décès soit inconnue, il est admis qu'elle a été enterrée chez elle à Hawmat al-Mataymar (quartier de Metámar). Notes et références Scribe Juriste du XIXe siècle Personnalité féminine marocaine Date de naissance non renseignée (XVIIIe siècle) Date de décès non renseignée (XIXe siècle) Juriste marocain
Le Meur
Le Meur est un patronyme breton surtout porté dans le Finistère ; c'est à l'origine un surnom signifiant « Le Grand » (vieux breton mor > meur). Annaïg Le Meur (née en 1973), femme politique française, députée ; Daniel Le Meur (né en 1939), homme politique français, député ; (1972 - ), innovatrice et entrepreneure française ; Loïc Le Meur (né en 1972), entrepreneur et blogueur français ; (1960 - ), écrivain français de langue bretonne ; , écrivain français de langue bretonne ; Yann Le Meur (né en 1956), dirigeant de société, musicien et écrivain français. Notes et références Voir aussi Patronyme breton Homonymie de patronyme
A Weird Exits
est le dix-septième album studio du groupe californien de garage rock psychédélique Thee Oh Sees. Il est publié le sur le label indépendant Castle Face Records. C'est le premier album du groupe à s'appuyer sur deux batteurs, Ryan Moutinho et Dan Rincon, qui avaient rejoint la formation pour assurer les concerts lors de la tournée accompagnant le précédent album Mutilator Defeated at Last. A Weird Exits est un album compagnon de An Odd Entrances sorti trois mois plus tard. L'album a été distribué en édition limitée vinyle à 2000 exemplaires. Liste des titres Crédits Thee Oh Sees John Dwyer – guitare, voix, clavier, flûte, percussions, mellotron, crème hydratante Tim Hellman – basse Dan Rincon – batterie Ryan Moutinho – batterie Musiciens additionnels Brigid Dawson – voix sur Greer McGettrick – violoncelle sur Chris Woodhouse – batterie, orgue, guitare, percussions Accueil critique Réunissant une vingtaine de critiques, l'agrégateur Metacritic indique une note moyenne de 81/100 pour A Weird Exits, ce qui correspond à un très bon accueil général. Tim Sendra, écrivant pour AllMusic, apprécie la variété qui se dégage de l'album : la première moitié est dans la continuité des productions antérieures du groupe, notamment Mutilator Defeated at Last ; la seconde moitié exploite les possibilités offertes par la présence de deux batteurs et s'aventure hors des genres habituellement parcourus par Thee Oh Sees. Cette alternance entre morceaux au tempo élevé et morceaux plus calmes est souvent reconnue comme un élément fort de l'album. Le rapprochement avec le krautrock est effectué par plusieurs critiques : la dimension psychédélique, la longueur des morceaux, l'utilisation de sonorités surprenantes sont autant d'éléments communs. Stuart Berman de Pitchfork est satisfait de savoir le groupe capable de se détacher des influences psychédéliques des années 1960 sans pour autant proposer des morceaux dépourvus de phases de décollage qu'il compare à « faire un tour de chaises volantes et de se rendre compte au milieu du tour que votre ceinture de sécurité s'est détachée ». Il remarque que les passages les plus surprenants de l'album surviennent quand John Dwyer et ses acolytes « cassent la transe ». Ryan Lunn du site web The Line of Best Fit reconnaît l'influence majeure que Thee Oh Sees impose sur ses contemporains plus jeunes tels les Australiens de King Gizzard & The Lizard Wizard ; l'auteur de la critique estime que les thèmes de l'album sont relativement sombres puisqu'ils traitent de la paranoïa, du désespoir, il qualifie également certains passages d'« effrayants ». S'il admet que le groupe ne se renouvelle pas drastiquement, il aperçoit néanmoins l'exploration potentielle de nouveaux genres musicaux au travers du dernier morceau, . Sur Consequence of Sound, Adam Kivel trouve A Weird Exits particulièrement adapté à la réécoute, les chansons plus calmes faisant office de « bouffée d'air frais ». L'album est finalement qualifié de « solide » ; l'auteur souligne la constance du groupe et affirme que les morceaux prennent une autre ampleur lors des concerts. Notes et références Oh Sees Album musical sorti en 2016 Album de rock alternatif américain
Dobromil (Basse-Silésie)
Dobromil est une localité polonaise de la gmina de Radwanice, située dans le powiat de Polkowice en voïvodie de Basse-Silésie. Notes et références Village dans la voïvodie de Basse-Silésie Powiat de Polkowice
Lesieniec (Łódź)
Lesieniec (prononciation ) est un village de la gmina de Dłutów, du powiat de Pabianice, dans la voïvodie de Łódź, situé dans le centre de la Pologne. Il se situe à environ à l'est de Dłutów (siège de la gmina), au sud-est de Pabianice (siège du powiat) et au sud de Łódź (capitale de la voïvodie). Histoire Administration De 1975 à 1998, le village était attaché administrativement à l'ancienne voïvodie de Piotrków. Depuis 1999, il fait partie de la nouvelle voïvodie de Łódź. Références Village dans la voïvodie de Łódź Powiat de Pabianice
Cleasby
Cleasby est un village et une paroisse civile du Yorkshire du Nord, en Angleterre. Notes et références Liens externes Village dans le Yorkshire du Nord Paroisse civile dans le Yorkshire du Nord
Croton chiapensis
Croton chiapensis est une espèce de plantes du genre Croton et de la famille des Euphorbiaceae, présent au Mexique (Chiapas). Liens externes Voir aussi Liste des espèces de Croton Espèce d'Angiospermes (nom scientifique) Chiapensis
Obanazawa
est une ville de la préfecture de Yamagata au Japon. Géographie Situation Obanazawa est située dans une vallée des monts Ōu, dans le nord-est de la préfecture de Yamagata, dans le nord de l'île de Honshū. Démographie Lors du recensement national de 2010, la population s'élevait à , répartis sur une superficie de (densité de population de ). En , elle était de . Hydrographie Obanazawa est bordée par le fleuve Mogami à l'ouest. Histoire La région d'Obanazawa faisait partie de l'ancienne province de Dewa. Après le début de l'ère Meiji, la région est devenue une partie du district de Kitamurayama de la préfecture de Yamagata. Le village moderne d'Obanazawa est créé le et a été élevé au statut de bourg le . Obanazawa obtient statut de ville le . Culture locale et patrimoine Obanazawa est connue pour son onsen de Ginzan, très prisé en hiver quand il est recouvert de neige. Transports Obanazawa est desservie par la ligne Shinkansen Yamagata à la gare d'Ōishida, située dans le bourg voisin d'Ōishida. Elle est également desservie localement par la ligne principale Ōu. Notes et références Voir aussi Liens externes Ville au Japon Station thermale au Japon
Rollo Lloyd
Rollo Lloyd est un acteur américain, né le à Akron, Ohio, et mort le à Los Angeles. Biographie Filmographie partielle 1933 : Après nous le déluge (Today we live), de Howard Hawks 1935 : Les Trois Lanciers du Bengale (The Lives of a Bengal Lancer), de Henry Hathaway 1935 : La Fiancée de Frankenstein (Bride of Frankenstein), de James Whale 1935 : Les Mains d'Orlac (Mad Love), de Karl Freund 1935 : Ville sans loi (Barbary Coast), de Howard Hawks 1936 : Désir (Desire), de Frank Borzage 1936 : Mon ex-femme détective (The Ex-Mrs. Bradford), de Stephen Roberts 1936 : Les Poupées du diable (The Devil-Doll), de Tod Browning 1936 : Anthony Adverse, de Mervyn LeRoy 1936 : Le Vandale (Come and Get It), de Howard Hawks et William Wyler 1937 : Le destin se joue la nuit (History is Made at Night), de Frank Borzage 1937 : Stand-In de Tay Garnett Liens externes Naissance en mars 1883 Acteur américain Naissance à Akron (Ohio) Décès en juillet 1938 Décès à Los Angeles Décès à 55 ans
Judith Dawes
Judith M. Dawes est une physicienne australienne qui est professeure de physique à l'Université Macquarie. Elle étudie les interactions de la lumière à l'échelle nanométrique et les applications des lasers dans la détection. Elle est une ancienne présidente de l'Australian Optical Society et membre de la Society of Photo-Optical Instrumentation Engineers (SPIE) et de The Optical Society. Formation Dawes a grandi dans une famille de scientifiques et s'est intéressée à la façon dont les atomes forment des molécules. Elle a étudié la chimie, la physique et les mathématiques à l'Université de Sydney. Elle a été boursière de la Fondation Rotary International à l'Université de Rochester. Elle a obtenu son doctorat en 1988. Elle a rejoint la Société américaine de physique et l'Optical Society of America en tant qu'étudiante en 1984. Dawes s'est jointe à l'Université de Toronto en tant que chercheuse postdoctorale et a déménagé à l'Université Macquarie en 1991. Recherche et carrière Dawes est devenue maître de conférences à l'Université Macquarie en 1995. Elle a été promue professeure agrégée en 2001 et professeure en 2016. Dawes est la directrice du centre de recherche de photonique de MQ, un centre de recherche d'université de Macquarie pour l'optique et la photonique. Ses recherches portent sur la caractérisation de l'absorption et de l'émission dans les cristaux photoniques3D appelés opales. Dans ces cristaux, la lumière visible ne peut pas traverser de grandes épaisseurs, ce qui est à la base de la bande interdite optique. Dawes a développé le cadre pour créer et caractériser des opales, des opales inverses et des opales qui incluent des guides d'ondes pour les dispositifs photoniques. Dawes utilise les guides d'ondes pour les mesures pompe-sonde, dans le but de fabriquer des amplificateurs optiques efficaces pour les puces photoniques. Elle a également démontré que les opales métalliques pouvaient être utilisées pour la nanoplasmonique. Elle a utilisé l'auto-assemblage pour encourager la fabrication d'opales de grande surface sans fissures. Ces fissures apparaissent lors du recuit et peuvent être éliminées à l'aide d'un mécanisme de croissance bi-capillaire pour favoriser la croissance indépendamment de l'évaporation du solvant. Les cristaux photoniques développés par Dawes peuvent inclure des émetteurs optiques d'ions de terres rares et des qui incluent des centres de couleur. En général, Dawes crée les opales par auto-assemblage, en commençant par une suspension de polystyrène ou de microsphère de silice. Il est important que les microsphères de silice soient , et ceci est réalisé lors de la synthèse Stober. Pour fabriquer des opales inverses, Dawes crée des opales en polystyrène, puis les infiltre à l'aide de sol-gelde silice. Les structures restantes sont cuites à haute température pour éliminer les traces de polystyrène. En revêtant la microsphère d'un matériau à indice de réfraction élevé, l'argent à vie et en permettant aux sphères revêtues de s'auto-assembler en une opale, permet de générer une opale à bande interdite complète. Pour établir l'impact des environnements périodiques sur les profils d'émission des centres lacune-azotedans les nanodiamants, Dawes les a déposés sur les surfaces de ses opales fabriquées. Les placer dans ces environnements périodiques, ou doper les opales avec des nanodiamants, diminue la durée de vie des espèces émettrices jusqu'à ce qu'elles deviennent des . Elle a découvert que la variance de la durée de vie est réduite pour les centres de manque d'azote, ce qui n'est pas lié à la taille des particules de nanodiamant. La durée de vie de ces espèces semble dépendre de la courbure du substrat. Dawes était chercheuse en chef au (Centre for Ultrahigh Bandwidth Devices for Optical Systems, CUDOS) du Conseil australien de la recherche. Dans son rôle à CUDOS, elle a travaillé avec le chapitre étudiant de la Optical Society pour développer des activités de sensibilisation afin de partager leur travail en photonique avec le grand public. Cela comprenait un simulateur photonique, qui a été développé pour aider les élèves à construire et à communiquer à l'aide de réseaux optiques, un labyrinthe laser et une série de programmes pour les élèves du secondaire. Dawes a développé Yb:YAB, un nouveau matériau laser. Elle a également travaillé sur une nouvelle soudure protéique durcie au laser pour la microchirurgie, ainsi que sur des guides d'ondes à couche mince développés par épitaxie en phase liquide. Activités universitaires Dawes préside le comité Women in STEM de la faculté des sciences et de l'ingénierie de l'Université Macquarie, est membre élue du Sénat de l'Université et a été élue à l'exécutif de Science and Technology Australia. Elle a été présidente de la Société australienne d'optique en 2010-2012, et a été cheffe du département de physique et d'astronomie de 2013 à 2015. En 2018, Dawes a été nommée Fellow de la Society of Photo-Optical Instrumentation Engineers (SPIE), et en 2019 Fellow de l'Optical Society. Elle a figuré dans le planificateur SPIE Women in Optics. Publications (sélection) . . . Notes et références Liens externes Physicienne australienne Étudiant de l'université de Sydney Étudiant de l'université de Rochester Professeur à l'université Macquarie Date de naissance non renseignée (XXe siècle)
Laurent Mérer
Laurent Mérer est né le . Biographie Né d'un père breton et d'une mère originaire du Pas-de-Calais. Il entre dans la Marine nationale à vingt ans. Il y effectue toute sa carrière jusqu’en . Il accède à de très hautes fonctions : préfet maritime de la Manche et de la mer du Nord, commandant les Forces navales de l’océan Indien, préfet maritime de l’Atlantique, après un parcours qui lui confère une expérience riche et diversifiée dans de nombreux domaines. Depuis son départ de la Marine nationale, il se consacre à l'écriture, aux voyages et donne de nombreuses conférences. Il est expert auprès de l'Association pour le progrès du management (APM). Il est membre de la Société des Explorateurs Français. Carrière Quelques dates de sa carrière professionnelle. 1968 : entrée à l'École navale. 1981 : commandant du patrouilleur La Dunkerquoise dans le Pacifique Sud 1984 : professeur de stratégie navale en République populaire de Chine. 1988 : commandant de l’aviso-escorteur Doudard de Lagrée des forces maritimes de l'océan Indien. 1992 : commandant de la frégate Tourville 1996 : auditeur à l’Institut des hautes études de défense nationale et au Centre des hautes études militaires. 1997 : nommé au cabinet du Premier ministre. 2000 : préfet maritime de la Manche et de la mer du Nord, commandant la zone maritime de la Manche et de la mer du Nord. 2001 : commandant de la zone maritime de l’océan Indien (ALINDIEN). 2004 : commandant de la zone maritime Atlantique, commandant la région maritime Atlantique, et préfet maritime de l’Atlantique. Membre du Conseil supérieur de la Marine. Décorations (2 citations) Œuvre « Alindien » : Un marin dans l'océan indien, Éditions Le Télégramme, 2006 - Prix de l'Académie française 2006 - Prix Éric Tabarly 2006 - Prix Encre Marine 2006 Préfet de la mer, Éditions des Équateurs, 2007 - Prix Place de Fontenoy 2008 Moi, Osmane, pirate somalien, Koutoubia, 2009 - Prix des Écrivains de langue française 2009 - Réédité en 2012 aux éditions du Rocher Le roman des marins, Éditions du Rocher 2010 - Prix Triskell ar mor 2010 À l'assaut des pirates du Ponant, Éditions du Rocher 2012 Nos carnets d’Éthiopie Éditions du Rocher 2013 Le jardin des explorateurs, Éditions Erick Bonnier 2017 S'ils se taisent, les pierres crieront..., Éditions Balland 2017 J'ai connu des bateaux..., Editions Balland 2018 De l'autre côté de la colline, Editions Balland 2020 L'art du commandement dans la Marine: quelle inspiration pour les chefs d'entreprise?, Editions Mardaga (Bruxelles) 2021 ((9782804720001)) Liens externes Écrivain français du XXIe siècle Amiral français du XXe siècle Préfet maritime de Cherbourg Préfet maritime de Brest Commandeur de la Légion d'honneur promu en 2004 Commandeur de l'ordre du Mérite maritime Candidat aux élections législatives françaises de 2007 Naissance en août 1948 Lauréat du prix d'Académie
Les Enfants sauvages
Les Enfants sauvages est un ouvrage de Lucien Malson paru en 1964. Il décrit plusieurs cas d'enfants sauvages avec une approche philosophique. Un texte célèbre précède l'analyse de Malson : celui de Jean Itard sur le « Sauvage de l'Aveyron » au . Jean Itard note les progrès quotidiens de son élève, un enfant sauvage trouvé dans un bois de l'Aveyron, qu'il appelle Victor. Cette œuvre a donné lieu à un film du réalisateur François Truffaut intitulé L'Enfant sauvage. Serge Aroles, un chirurgien qui a mené des investigations dans les archives (L'Énigme des enfants-loups, 2007) . En utilisant uniquement des livres, c'est-à-dire des sources imprimées de seconde main, Malson aurait validé selon Aroles des cas d'enfants sauvages qui se révèlent désormais être des escroqueries, voire de graves maltraitances relevant de la justice : ainsi, il semble que les archives relatives à la célèbre enfant-loup Kamala (Inde, 1920), cas que Lucien Malson évoque dans son livre, certifient qu'il s'agissait d'une fillette déficiente mentale qu'un escroc, Singh, frappait à coups de bâton afin qu'elle marche à quatre pattes devant les visiteurs, jouant ainsi le rôle d'« enfant-loup ». Notes et références Voir aussi L'Enfant sauvage Livre de psychologie Enfant sauvage Livre paru en 1964
Aeshna grandis
La grande æschne (Aeshna grandis) est une espèce eurasiatique de libellules, de la famille des Aeshnidae. Description et caractéristiques Taille totale de 70 à . Son envergure est comprise entre 90 et . Sa période de vol est de juin à octobre. Corps majoritairement brun avec taches jaunes latérales sur le thorax et quelques taches bleues pour le mâle sur le second et le troisième segment abdominal. Elle se caractérise par la coloration fumée de ses ailes. Habitat et distribution Distribution Elle est présente partout en France dont le Nord-Pas-de-Calais mais pas en Corse . Certaines populations localisées sont regroupées dans les reliefs du sud de leur aire de répartition, en particulier dans les massifs français. Habitat On les trouve aux abords des eaux stagnantes de grandes dimensions comme les lacs, les étangs de pisciculture, les gravières. Synonymie Aeshna flavipennis Retzius, 1783 Aeshna linnaei Ander, 1953 Aeshna nobilis O. F. Müller, 1767 Libellula grandis Linnaeus, 1758 Aeschnura grandis Notes et références Liens externes Parc de Brieux (Moselle) Espèce d'Odonates (nom scientifique) Aeshna
Grégoire de Vologda
Saint Grégoire de Vologda ou Grégoire de Pelchma (Григорий Пельшемский, Григорий Вологодский) né au XIVe siècle à Galitch et mort le (dans le calendrier julien) 1442, est un moine russe, fondateur du monastère de la Mère-de-Dieu-Saint-Grégoire dans l'actuel oblast de Vologda. Il a été canonisé en 1549. Il est fêté dans le calendrier julien le (fête des saints de Kostroma), le et la troisième semaine après la Trinité (saints de Vologda). Hagiographie Grégoire est issu d'une puissante famille de boyards de Galitch, les Lopotov. Ses parents meurent alors qu'il a quinze ans, lui laissant un grand domaine. Grégoire devient moine au monastère de la Nativité-de-la-Vierge près du lac Galitchskoïé. Plus tard, il est ordonné hiéromoine (moine-prêtre) et devient higoumène. Il est fort écouté par les habitants de la ville et respecté par le prince Youri Dmitrievitch. Voulant éviter les tumultes de la renommée, Grégoire quitte le monastère et se rend à Rostov pour retrouver le sens de la prière. Il demeure au monastère de l'Épiphanie-Saint-Abraham de Rostov et plus tard devient archimandrite du monastère Saint-Jacques de Rostov qu'il dirige pendant deux ans. Il quitte ensuite secrètement ce monastère pour se rendre auprès de Denis de Glouchitsa pour devenir son disciple. Déjà âgé (la légende lui donne 104 ans !), il quitte Denis pour fonder sa propre celle. Il trouve l'endroit propice le long de la rivière Pelchma, au milieu de marécages et de forêts. Bientôt un prêtre du nom d'Alexis le rejoint (qui devient moine sous le nom d'Alexandre), ainsi que d'autres disciples. Grégoire reçoit la bénédiction de l'archevêque Éphrem de Rostov pour fonder un monastère. L'on construit une église vouée à la Mère de Dieu et le nombre des disciples augmente. Il est fort respecté et il exhorte en 1433 le prince Youri Dmitrievitch de reprendre son trône usurpé par Basile le Ténébreux. Prévoyant sa mort, il rend visite à son maître spirituel Barsanuphe, se confesse et communie. En mourant il demande que l'on jette son corps dans les marais ; mais les moines ramènent son corps au monastère où il est enterré. L'église qui comprend ses reliques brûle en 1683 et l'on érige une chapelle à sa place, puis une église de bois en 1706 reconstruite en pierre en 1833 d'après la volonté du supérieur, saint Ignace (Briantchaninov). Le monastère est fermé par les autorités communistes en 1926. Les reliques du saint sont toujours sous les ruines de l'église. Notes et références Bibliographie Ioann Verioujski, Исторические сказания о жизни святых, подвизавшихся в Вологодской епархии, Vologda, 1880. Ioann Verioujski, Исторические сказания о жизни святых, подвизавшихся в Вологодской епархии, прославляемых всею Церковью и местно чтимых, Vologda, 200, 728 pages, réimpression. Liens externes Grégoire de Pelchma // Encyclopédie orthodoxe Grégoire de Pelchma sur le site «Хронос» Grégoire de Vologda sur le site Les saints russes Преподобный Григорий Пельшемский // Монахиня Таисия. Русские Святые. Higoumène russe Saint russe Décès en septembre 1442
National
Le mot national, nationale au féminin, est un adjectif qui désigne ce qui est relatif à la nation, dans plusieurs langues dont le français et l'anglais. National Musique National String Instrument Corporation était une société des États-Unis d'Amérique qui manufacturait les premières guitares à résonateur et d'autres instruments à résonateur. National Reso-Phonic Guitars est une société des États-Unis d'Amérique qui possède actuellement le nom de la précédente et qui produit des guitares et d'autres instruments à résonateur. Presse Le National, journal français fondé en 1830 par Adolphe Thiers. National-Hebdo, hebdomadaire français créé en 1984. National, cabinet de relations publiques québécois Sport Abréviation pour désigner le championnat de France de football de National, championnat de France de football semi-professionnel qui correspond à la . Le National, compétition de tennis française faisant office de championnat de France de tennis masculin et féminin, de 1951 à 1990. Nationale, championnat de France de rugby à XV de Nationale créé en 2020. Abréviation pour désigner le championnat du Maroc de football amateur qui correspond à la . Transports National Motor Vehicle Company un constructeur automobile américain du début du . National, station de métro de Marseille. Bâtiment The National Hotel, hôtel américain situé à Miami Beach, en Floride. Nationale Transports Abréviation courante en France pour désigner une route nationale. Nationale, station de métro de Paris, sur la ligne 6.
Randolph Hewton
Randolph Stanley Hewton, né le à Maple Grove (Québec) et mort le à Belleville (Ontario), est un peintre canadien. Biographie Né le à Maple Grove, au Québec, il a étudié avec William Brymner à Montréal et a ensuite étudié à l'Académie Julian à Paris. Il servit outre-mer pendant la Première Guerre mondiale, prenant part à l'offensive de la Somme et reçut la Croix militaire en 1918. Après la guerre, il travailla pour Miller Brothers, fabricant de boîtes en papier, et devint président de la société en 1921. Il quitta la compagnie pour se concentrer sur la peinture mais revint au poste de président de la compagnie en 1926. Hewton a également épousé Isobel Monk (née Robertson) à cette époque. En 1933, il s'éloigna de Montréal lorsque Miller Brothers s'installa à Glen Miller, en Ontario. Hewton était un membre fondateur du Canadian Group of Painters. Il a été admis à l'Académie royale des arts du Canada en 1934. Il a contribué à la fondation du Beaver Hall Group, un groupe d'artistes plasticiens canadiens basé à Montréal, en 1920. Hewton est décédé le à Belleville, en Ontario, à l'âge de 71 ans. Musées et collections publiques Agnes Etherington Art Centre Art Gallery of Alberta Art Gallery of Greater Victoria Art Gallery of Hamilton Art Gallery of Nova Scotia Galerie d'art Beaverbrook Galerie Leonard & Bina Ellen, Université Concordia Musée de Lachine Musée des beaux-arts de l'Ontario Musée des beaux-arts de Montréal Musée des beaux-arts du Canada Musée national des beaux-arts du Québec RiverBrink Art Museum Vancouver Art Gallery Références Liens externes Peintre canadien du XXe siècle Décès en mars 1960 Naissance en juin 1888 Pages avec des traductions non relues Décès à 71 ans Récipiendaire canadien de la croix militaire (Royaume-Uni)
Shaft (film, 2019)
est un film américain réalisé par Tim Story, sorti en 2019. Il s'agit du cinquième film mettant en vedette le personnage de John Shaft créé par Ernest Tidyman. Synopsis En 1989, le détective John Shaft II (fils du célèbre John Shaft) se fait attaquer à Harlem par des hommes du trafiquant Pierro « Gordito » Carrera, sous les yeux de sa compagne Maya Babanikos et de leur bébé, John « J. J. » Shaft Jr. Choquée par la violence, Maya décide d'élever cet enfant loin de cette violence. Durant des années, Shaft envoie des cadeaux à son fils mais père et fils n'ont plus aucun contact. 30 ans plus tard, J. J., diplômé du MIT, travaille désormais comme informaticien en cybercrime pour le FBI. Un ami d'enfance de J. J. et ancien soldat, Karim, est retrouvé mort. La thèse officielle conclut à une overdose, mais J. J. sait que son ami avait arrêté la drogue. Il tente alors de comprendre ce qui est réellement arrivé à son ami. Désemparé, il décide de faire appel à son père. Fiche technique Titre original : Titre provisoire : Son of Shaft Réalisation : Tim Story Scénario : Alex Barnow et Kenya Barris, d'après les personnages créés par Ernest Tidyman Direction artistique : Jeremy Woolsey Décors : Missy Parker Costumes : Olivia Miles Photographie : Larry Blanford Montage : Conrad Buff Musique : Christopher Lennertz Production : Kenya Barris et John Davis Producteur délégué : Marc S. Fischer Sociétés de production : Davis Entertainment, Khalabo Ink Society et New Line Cinema Sociétés de distribution : Warner Bros. (États-Unis), Netflix (Monde) Budget : 30 millions de dollars Pays d'origine : Langue originale : anglais Format : couleur Genre : comédie policière Durée : 111 minutes Dates de sortie : : : (sur Netflix) Distribution Samuel L. Jackson : John Shaft Jessie Usher : John « J. J. » Shaft Jr. Richard Roundtree : John Shaft Sr. Regina Hall : Maya Babanikos Alexandra Shipp : Sasha Arias Matt Lauria : le commandant Gary Cutworth Titus Welliver (VF : Jean-Louis Faure) : l'agent spécial Vietti Method Man : Freddie P Isaach de Bankolé : Pierro « Gordito » Carrera Avan Jogia : Karim Hassan Lauren Vélez : Bennie Rodriguez Robbie Jones : le sergent Keith Williams Aaron Dominguez : le sergent d'état-major Eddie Dominguez Ian Casselberry : Manuel Orozco Almeera Jiwa : Anam et selon le carton de doublage . Production Genèse et développement En , il est annoncé que New Line Cinema a acquis les droits de la franchise Shaft d'après le célèbre personnage John Shaft. Le studio annonce sa collaboration avec le producteur John Davis sur le projet. En , Kenya Barris et Alex Barnow sont chargés d'en écrire le scénario. En , Tim Story obtient le poste de réalisateur. En , le titre du film Son of Shaft est annoncé. Distribution des rôles En , Jessie Usher est choisi pour le rôle principal, celui du fils de l’inspecteur John Shaft, incarné à nouveau par Samuel L. Jackson, qui campait ce personnage déjà dans Shaft de John Singleton (2000). Richard Roundtree, interprète original de John Shaft à la télévision et au cinéma, est lui aussi présent. Alors que dans le quatrième opus, Richard Roundtree jouait le rôle de l'oncle de John Shaft (Samuel L. Jackson), on apprend dans ce dernier volet qu'il s'est fait passer pour son oncle pendant plusieurs années avant de lui révéler qu'il était en réalité son père. Dans une scène, John Shaft dit à son père : "Tu es un père merveilleux depuis que tu as arrêté de te faire passer pour mon oncle". En , Alexandra Shipp est choisie comme premier rôle féminin. Le mois suivant, elle est rejointe par Regina Hall pour incarner une ancienne conquête du héros et la mère de son enfant. En , le rappeur Method Man rejoint la distribution. Il retrouve Samuel L. Jackson, après 187 code meurtre (1997). Tournage Le tournage a eu lieu en à Atlanta. En , des photographies des « trois générations de Shaft » sont publiées, dont une sur le plateau en compagnie d'Isaac Hayes III, le fils du compositeur du Theme from Shaft de 1971, Isaac Hayes. Sortie Quelques semaines après sa sortie en salles américaines, le film est disponible sur Netflix partout dans le monde. Notes Références Liens externes Film américain sorti en 2019 Comédie policière américaine Film tourné à Atlanta Film de New Line Cinema Film de Warner Bros Film se déroulant dans les années 1980 Film se déroulant dans les années 1990 Film se déroulant dans les années 2000 Film se déroulant dans les années 2010 Film se déroulant à New York Film Shaft Suite de film américain
A Sinful Life
est un film américain réalisé par William Schreiner, sorti en 1989. Synopsis Fiche technique Titre : Réalisation : William Schreiner Scénario : Melanie Graham Montage : Jeffrey Reiner Pays d'origine : États-Unis Genre : comédie Date de sortie : 1989 Distribution Anita Morris : Claire Vin Blance Dennis Christopher : Nathan Flowers Rick Overton : Janitor Mark Rolston : Teresa Blair Tefkin : Baby Liens externes Film américain sorti en 1989 Comédie américaine Film de New Line Cinema
جاكوبز (ويسكونسن)
جاكوبز هي بلدة تقع بولاية ويسكونسن في الولايات المتحدة. تبلغ مساحتها 133.1 (كم²)، وترتفع عن سطح البحر 486 م، بلغ عدد سكانها 722 نسمة في عام 2010 حسب إحصاء مكتب تعداد الولايات المتحدة وتصل الكثافة السكانية فيها 5.5 نسمة/كم2. مراجع وصلات خارجية The US50 - Cities and Towns in Wisconsin State Wisconsin Cities and Towns, Facts, Map, Flag, Colleges, Government, and More بلدات ولاية ويسكونسن بلدات في مقاطعة آشلاند (ويسكونسن)
Dappula Ier
Dappula est un roi du royaume d'Anuradhapura, dans l'actuel Sri Lanka. Biographie Références Source historique Culavamsa, récits en pali de l'histoire du Sri Lanka du à la chute du royaume de Kandy en . Roi du Sri Lanka Roi d'Anurâdhapura Monarque du Sri Lanka du VIIe siècle
Alisha Newton
Alisha Newton est une actrice canadienne née le à Vancouver (Canada). Biographie Alisha Newton commence sa carrière par des publicités commerciales à la télévision à l'âge de 4 ans et commence les rôles dans des films à 8 ans. Depuis 2012, elle tient le rôle principal de Georgina « Georgie » Crawley dans la série télévisée canadienne Heartland créée d'après la série de romans de Lauren Brooke, diffusée depuis le 14 octobre 2007 sur le réseau CBC aux côtés de Amber Marshall, Graham Wardle, Michelle Morgan, Shaun Johnston, Chris Potter, Gabriel Hogan et Nathaniel Arcand. Filmographie Cinéma 2013 : Heart of Dance, de Terence H. Winkless : Jenna 2013 : Percy Jackson : La Mer des monstres : Annabeth Jeune 2018 : Scorched Earth de Peter Howitt : Beatrice Télévision 2010 : Supernatural : la petite fille (saison 6, épisode 9) 2010 : The Wyoming Story : Bird Thorpe (Téléfilm) depuis 2012 : Heartland : Georgina « Georgie » Crawley / Fleming-Morris (rôle principal - 141 épisodes) 2014 : Mon beau sapin de David Winning : Sofia Dunlap (Téléfilm) 2015 : Le cœur a ses raisons : Nellie Harper (saison 2) 2015 : The Hollow de Sheldon Wilson : Emma (Téléfilm) 2018 : Une voisine diabolique de Danny J. Boyle : Emma (Téléfilm) 2019 : Hudson : Georgina « Georgie » Crawley / Fleming-Morris (4 épisodes) 2022 : Devil in Ohio de Daria Polatin : Hélène (Mini-série) 2023 : The More Love Grows de Heather Hawthorn Doyle : Dana (Téléfilm) Notes et références Liens externes Actrice canadienne Naissance en juillet 2001 Naissance à Vancouver Enfant acteur canadien
Nosówko
Nosówko est une localité polonaise de la gmina rurale et du powiat de Białogard en voïvodie de Poméranie-Occidentale. Elle se trouve à environ à 110 km au nord-est de Szczecin, la capitale régionale. Géographie Notes et références Village dans la voïvodie de Poméranie-Occidentale Powiat de Białogard
Norman Black
Arthur Norman Black, né le à Leicester et mort le âgé de 79 ans, est un pilote automobile et de moto anglais, essentiellement sur circuits. Biographie Ayant débuté très tôt dans l'existence comme ouvrier dans l'entreprise de démarreurs électriques de son père dans le Leicestershire, il commence par des compétitions motocyclistes durant les années 1920. Il dispute notamment 8 Tourist Trophy de l'île de Man, et plusieurs 6 jours, ainsi que des courses de côte et de vitesse pure sur anneaux, remportant des coupes sur deux roues entre 1920 et 1931. Sa carrière en sport automobile s'étale ensuite entre 1930 (2x12 Heures de Brooklands) et 1950. Il remporte le RAC Tourist Trophy 1931 sur MG Midget C type, ainsi que la même année le Grand Prix d'Irlande à Phoenix Park (Dublin) avec la même voiture (la Saorstat Cup). L'année suivante il est troisième des 1 000 miles de Brooklands avec R.Gibson (le JCC 1000 Mile Race), et un an plus tard encore, il est troisième du Reliability Trial de , lors du JCC Race Meeting de Brooklands. Il dispute les 24 Heures du Mans à cinq reprises entre 1932 et 1937, obtenant une en 1934 sur Singer. Il dispute encore le rallye Monte-Carlo en 1933 (sur Ford) et le RAC Rally en 1937 (avec Healey) et 1938. Distinction BRDC Gold Star en 1931 (avec Brian Lewis). Notes et références Lien interne Grands Prix automobiles de la saison 1931. Liens externes Norman Black (Kolombus); Norman Black (MotorSportMagazine); Norman Black (24HeuresenPiste); Norman Black (Les24Heures); The Brooklands Races. Naissance en novembre 1894 Naissance à Leicester Décès en février 1973 Décès à 79 ans Pilote automobile anglais Pilote de moto anglais Pilote de rallye anglais Pilote des 24 Heures du Mans
Antoine-Patrice Guyot
Antoine-Patrice Guyot, né à Paris le et mort le dans la même ville, est un peintre paysagiste et professeur d'art plastique. Biographie Antoine-Patrice Guyot fut un peintre de paysage qui utilisa soit le pinceau et la palette de couleurs, soit le crayon ou la plume et l'utilisation de l'encre noir pour réaliser ses œuvres. Il fut également professeur d'art à l'École d'application du Corps royal d'état-major et enseigna l'art aux officiers travaillant aux états-majors de l'armée française. Sa toile la plus célèbre et celle dite du Moulin-Joli de la Folie Beaujon, qu'il réalisa en 1827. Cette toile est conservée au musée Carnavalet. Antoine-Patrice Guyot se maria avec Marie Galle née à Sainte-Foy-Lès-Lyon le et morte le à Paris. Ils sont enterrés au cimetière du Montparnasse (6division). Quelques œuvres Lien externe Nouvelles archives de l'art français, Société de l'histoire de l'art français Peintre français du XIXe siècle Peintre paysagiste français Naissance en avril 1777 Naissance à Paris Décès en mai 1845 Décès dans l'ancien 10e arrondissement de Paris Décès à 68 ans Personnalité inhumée au cimetière du Montparnasse (division 6)
Inspecteur de Cock (série télévisée)
Inspecteur de Cock (Baantjer) est une série télévisée néerlandaise qui a été diffusée sur RTL4 du 6 octobre 1995 au décembre 2006 pour un total de de en 12 saisons. Elle met en vedette Piet Römer dans le rôle de Jurriaan 'Jurre' de Cock, un détective de la police, et Victor Reinier dans le rôle de Dick Vledder, son assistant. La série est basée sur les romans de l'écrivain Albert Cornelis Baantjer. En 1999, RTL 4 a diffusé le téléfilm Baantjer, de film: De Cock en de wraak zonder einde à l'occasion du dixième anniversaire de la chaîne. En 2018, RTL a annoncé que la série serait relancée pour une treizième saison et un film, mettant en vedette Waldemar Torenstra, qui serait diffusé sur RTL 4 et Videoland. Le film Amsterdam Vice (Baantjer: Het Begin) a remporté le prix du Golden Film deux semaines après sa première le 18 avril 2019. La série a été diffusée en France sur TF1 Distribution Notes et références Liens externes Série télévisée néerlandaise des années 1990 Série télévisée néerlandaise des années 2000 Série télévisée créée en 1995 Série télévisée policière néerlandaise Série télévisée disparue en 2006 Série télévisée de RTL 4 Série télévisée en néerlandais
Ferréol Gassackys
Ferréol Constant Patrick Gassackys est un homme politique, écrivain et poète congolais né le à Owando, département de la Cuvette, en République du Congo. Il est diplômé d'études supérieures spécialisées en relations internationales. Il est élu député de la circonscription de Poto-Poto lors des élections législatives de 2017. Par décret n° 2021-29 du 15 janvier 2021, il est nommé ministre plénipotentiaire de 3e classe. Biographie Après des études de baccalauréat au lycée de la Libération (actuel Lycée Savorgnan De Brazza), Ferréol Constant Patrick Gassackys poursuit son cursus universitaire à l’École des Hautes Études Internationales en France qui se solde en 1987 par un Diplôme d’Etudes Supérieures Spécialisées en Études stratégiques et politique de défense. En 1991, il intègre le Ministère des affaires étrangères et de la Coopération, en 2003, est nommé Commissaire général du Festival Panafricain de Musique (FESPAM), en 2007 est appelé au cabinet du ministère des Transports de l’Aviation civile et de la marine marchande, en 2010, il adhère au Parti Congolais du Travail, et en 2013, devient Conseiller municipal et départemental de la ville de Brazzaville. Depuis juillet 2017, est honorable député de la troisième circonscription du troisième arrondissement de Brazzaville, Poto-Poto, et Rapporteur de la Commission Affaires Étrangères, Coopération et des Congolais de l’Étranger de l'Assemblée nationale. A l'occasion de la campagne de restructuration des organes intermédiaires organisée en août 2020, il est élu président du comité du Parti congolais du travail (PCT) du 3e arrondissement de Brazzaville. Par décret n° 2021-29 du 15 janvier 2021, il est nommé ministre plénipotentiaire de 3e classe. Le Chroniqueur et opérateur culturel Son activité de chroniqueur se résume à une page de culture qui lui est suggérée par le quotidien Les Dépêches de Brazzaville depuis 2005, il y épingle tous sujets de culture sans exclusive dans le but de susciter la réflexion sur l’apport réel de la culture sur le capital humain, avec plus d’un millier d’articles déployés sur une quinzaine d’années, il a rédigé un roman, « Qu’est ce que ça tient à peu de chose que le destin » à paraître aux Éditions L’Harmattan. Il a créé une association culturelle, dénommée « Lumières d’Afriques » dont le but est de mettre en exergue les cultures d’Afrique par le biais de la musique, des arts scéniques, est détenteur du label Miss Indépendance, concours de beauté annuel en République du Congo. Œuvres Production musicale Terre sacrée, avec plusieurs artistes dont Papa Wemba, Roga-Roga, Sam Mangwana, Kosmos Mountouari, Ferré Gola, Koffi Olomidé, Mpassi,… 2007 : Act1 2009 : Act2 2012 : Act3 2014 : Act4 Autres prestations culturelles Chroniques culturelles, depuis 2015 avec Les Dépêches de Brazzaville. 2019 : Les hasards du destin, Roman Editions l’Harmattan. 2020 : Frikia, pèlerin des âges, Roman Editions l’Harmattan . 2020 : La foi de Ferréol. Distinctions 1997-2000 - Prix des arts et des Lettres du Président de la République, Ngwomo Africa, Afroca music award, Kora music awards avec le groupe Extra-Musica qu’il a managé de 1992 à 2003, Tam- Tam d’Or, du meilleur album congolais en 2007 avec Terre sacrée act2 2008 – Officier dans l’ordre du dévouement congolais 2017 – Commandeur dans l’Ordre du Mérite congolais. Notes et références Naissance en juin 1962 Personnalité politique congolaise (RC) Député de la république du Congo
The Trap (série télévisée)
The Trap: What Happened to Our Dream of Freedom est une série documentaire britannique en trois épisodes réalisée par Adam Curtis, diffusée en 2007. Elle s'intéresse au concept moderne de liberté. Synopsis Fiche technique Titre français : The Trap: What Happened to Our Dream of Freedom Réalisation : Adam Curtis Production : BBC Pays d'origine : Royaume-Uni Format : Couleurs - 35 mm Genre : documentaire Date de sortie : 2007 Épisodes F**k You Buddy The Lonely Robot We Will Force You to Be Free Notes et références Liens externes Série télévisée documentaire Série télévisée britannique des années 2000 Émission de télévision produite au Royaume-Uni Émission de télévision créée en 2007
Marie-Claude Treilhou
Marie-Claude Treilhou est une réalisatrice et actrice française née le à Toulouse. Biographie Après une licence de philosophie et d'histoire de l'art, Marie-Claude Treilhou collabore aux revues Cinéma et Art Press de 1974 à 1977. Après avoir été l'assistante en 1978 de Paul Vecchiali sur Corps à cœur, elle se lance dans la réalisation, en 1979, avec Simone Barbès ou la Vertu : la matière de ce film a été nourrie par l'expérience de la réalisatrice qui a travaillé longtemps comme vendeuse, coursière, enquêtrice, caissière, ouvreuse... Naviguant entre fiction et documentaire, elle obtient le prix Jean-Vigo pour son court-métrage Lourdes, l'hiver. Après L'Âne qui a bu la lune, adaptation de contes méridionaux, elle fait exceptionnellement appel à des comédiens professionnels avec Le Jour des rois, ou la folle équipée de trois vieilles dames incarnées par Danielle Darrieux, Paulette Dubost et Micheline Presle accompagnées de Robert Lamoureux et de Michel Galabru. La cinéaste fait quelques apparitions dans des films d'amis comme Corps à cœur de Paul Vecchiali et, à l'inverse, réunit Claire Simon, Dominique Cabrera, Alain Guiraudie et André Van In dans Un petit cas de conscience en 2002. Les héros de Marie-Claude Treilhou sont le plus souvent de simples gens traversés par les grands bouleversements de l'Histoire (Il était une fois la télé, Paroisses, paroissiens, paroissiennes) ou bien portés par un travail qui les transforme et dont elle veut communiquer l'enthousiasme, le perfectionnisme et la grâce (En cours de musique, Les Métamorphoses du chœur, Couleurs d'orchestre). En 2021, elle est l'invitée d'honneur des Rencontres de cinéma de Gindou dans le Lot (21-28 août), une rétrospective de ses films est programmée, en sa présence. Enseignement Marie-Claude Treilhou enseigne aux Ateliers Varan. Engagement Elle est membre du Collectif 50/50 qui a pour but de promouvoir l’égalité femmes/hommes et la diversité sexuelle et de genre dans le cinéma et l’audiovisuel. Filmographie Réalisatrice Longs métrages 1980 : Simone Barbès ou la vertu 1988 : L'Âne qui a bu la lune 1991 : Le Jour des rois 2002 : Un petit cas de conscience Courts métrages 1982 : Pour suite... (collection Le changement à plus d'un titre) 1982 : Conseils de famille (collection Contes modernes) 1983 : Lourdes, l'hiver (collection Archipel des amours) 1983 : Une sale histoire de sardines (collection Télévision de chambre) 1988 : Gaby, artisan charcutier Documentaires 1985 : Il était une fois la télé 1995 : Paroisses, paroissiens, paroissiennes 2000 : En cours de musique 2004 : Les Métamorphoses du chœur 2007 : Couleurs d'orchestre 2015 : Il était une fois la télé, 30 ans après 2019 : Comme si, comme ça Actrice 1977 : La Machine de Paul Vecchiali 1978 : Les Belles Manières de Jean-Claude Guiguet 1978 : Corps à cœur de Paul Vecchiali 1985 : Rosa la rose, fille publique de Paul Vecchiali 2001 : Un petit cas de conscience de Marie-Claude Treilhou 2003 : À vot' bon cœur de Paul Vecchiali 2007 : Cap Nord de Sandrine Rinaldi 2008 : Une belle croisière, de Boris Lehman Distinctions Prix Jean-Vigo 1982 pour Lourdes, l'hiver Notes et références Bibliographie Liens externes Réalisatrice française Actrice française de cinéma Naissance en novembre 1948 Naissance à Toulouse Membre du collectif 50/50
SMART-R
Le SMART-R (Shared Mobile Atmospheric Research and Teaching Radar) est un radar météorologique monté sur une plateforme mobile et servant à la recherche et l'enseignement. Ce radar, parfois désigné par SR, fut créé par l'Université de l'Oklahoma (OU) avec l'aide de l'université A&M du Texas (TAMU) et de l'université Texas Tech en 2001. Développement Durant les années 1990, plusieurs concepts de radars mobiles virent le jour. Idéalement, ces radars avaient pour but de servir de plateformes de recherche et d'observation, couvrant des régions peu couvertes par le réseau de radars météorologiques NEXRAD aux États-Unis. Un de ces concepts devint plus tard le Doppler on Wheels, qui comprend en 2017 une flotte de 3 véhicules opérationnels. Le plus souvent, il s'agissait de radars de bande X à haute fréquence qui subissent cependant une atténuation importante de leur signal dans les fortes précipitations et ne sont donc utilisables qu'à courte portée du phénomène à étudier. Afin de contrer ces limitations, deux radars WSR-74 remplacés par les NEXRAD furent acquis par TAMU. Ceux-ci fonctionnant dans la bande C sont moins sujet à l'atténuation et ont globalement une portée utile plus grandes en réflectivité et en détermination de la vitesse radiale. Durant les années 1990, le développement du premier SMART-R, le SR-1, s'est fait mais lorsqu'un incendie s'est déclaré dans le garage où il était remisé, le camion servant de plateforme fut détruit ainsi que plusieurs composantes. Malgré tout, une grande partie du radar a survécu et le projet a pu s'achever avec la mise en service fin de 2001 su SR-1. Un second radar, le SR-2 fut ensuite débuté et il fut inauguré en 2004. Caractéristiques L'antenne est montée sur une semi-remorque plateau. Le transmetteur de puissance maximale d'utilisation de , alimenté par un générateur diésel, et le récepteur se trouvent à l'avant de la plateforme. La fréquence de fonctionnement la plus élevée pour les SR est de , tombant dans la bande C, et l'antenne parabolique de est alimenté à son point focal. Le gain d'antenne est d'environ et la largeur de faisceau à mi-puissance est d'environ . Déploiements Depuis leur mise en fonction, les deux SMART-R effectuent des recherches sur le terrain dans diverses régions des États-Unis, y compris des recherches sur les ouragans et des études sur l'intensification des haboob. Ils ont aussi échantillonné des supercellules produisant des tornades dans les Grandes Plaines américaines, participant à des expériences in-situ tels que VORTEX-2 et VORTEX-SE. Étant donné que la plate-forme SR se compose de deux radars individuels, les projets sont souvent organisés dans ce qu'on appelle une configuration double-Doppler. Il s'agit de disposés les deux radars à des endroits différents, ayant ainsi un point de vue décalé du même phénomène, ce qui permet de déduire a circulation d'air en trois dimensions dans les nuages. Références Radar météorologique des États-Unis Prévision des orages violents Recherche en météorologie
Shutford
Shutford est un village et une paroisse civile à l'ouest de Banbury, dans le nord du comté d'Oxfordshire, Angleterre. Le village est probablement fondé pendant l'époque saxonne; il y a des preuves archéologiques qu'il existe depuis une ère ancienne. Le terrain où Shutford se trouve est vallonné, néanmoins très fertile. La région a une apparence très verte pendant toute l'année, même l'hiver. Selon la carte publiée par l'Ordnance Survey (l'organisation gouvernementale responsable pour les cartes de la topographie britannique), le village est à 145m au-dessus de la mer. La géographie et le climat Le climat de Shutford n'est pas très varié, quelle que soit la saison. Comme le reste du pays, Shutford profite d'un climat maritime avec peu de chaleur mais beaucoup de pluie. Sous l'influence d'un vent continental (de l'est), Shutford pourrait expérimenter des extrêmes de température, comme l'été en 2003 et l'hiver en 1995-6. Les chutes de neige en hiver sont plus fréquentes que les canicules en été. La politique Shutford est gouverné par diverses fonctions de l'État. Il a son propre conseil de la paroisse, ce qui s'occupe des petites affaires du village, comme l'entretien des pelouses publiques. Les membres du conseil ne s'appartient à aucun parti politique, ils se comprennent des villageois. Le conseil du district est nommé Cherwell District Council, ce qui est composée du nord et de l'est de l'Oxfordshire, dirigé par le Parti Conservateur. Le député de Banbury, la circonscription électorale où se trouve le village, dans la Chambre des communes est Tony Baldry, du Parti Conservateur. Il a été réélu en 2005 avec un 46,9 % du vote populaire. L'histoire du village Dans le passé, l’industrie principale du village fut la fabrication de la peluche. L’industrie, dirigée pour la plupart par la famille Wrench, fonctionnait depuis le jusqu’à 1947, en fabriquant des produits cossus pour quelques cours royales en Europe et en gagnant plusieurs prix internationaux en ce qui concerne la qualité. Il y a beaucoup de bâtiments historiques dans le village, construits de la pierre locale, « Hornton ». Un grand incendie en 1701 causa la destruction d’un grand nombre de maisons, mais avant 1774 c’était l’un des villages les plus grands au Banburyshire, comprennent 71 maisons. L’église « St Martin » se trouve au-dessus du village et il y en a certaines parties qui fut construites pendant l’époque normande. Elle est juste à côté de Shutford Manor (le Manoir de Shutford), une belle demeure possédée auparavant par la famille Saye and Sele (qui se trouve maintenant à Broughton, un village à de Shutford) mais désormais la propriété d’une famille britannique très bien connue. Après la disparition de l’industrie de peluche pendant les années 1960, il y avait un déclin important dans le village, avec aucune école, ni pub, ni pasteur permanent pendant longtemps. Une campagne de publicité faite en 1969 mena à la rajeunissement du village, ce qui aida la transformation de Shutford au village nanti d’aujourd’hui. Village dans l'Oxfordshire Toponyme indiquant un gué au Royaume-Uni Paroisse civile dans l'Oxfordshire
Saint Walker
Saint Walker est un personnage de bande dessinée de fiction figurant dans des bandes dessinées américaines et dans d’autres médias associés publiés par DC Comics. Saint Walker est un membre du corps galactique des Blue Lantern, une organisation vouée à la promotion de la paix et de l'harmonie par le pouvoir de l'espoir dans tout l'univers. Jeux vidéo Saint Walker apparaît dans DC Universe Online. Saint Walker apparaît en tant que personnage jouable dans Lego Batman 3 : Au-delà de Gotham, avec la voix de Sam Riegel. Références Super-héros extraterrestre Super-héros DC Pages avec des traductions non relues
خان الخليلي
خان الخليلي، أحد أحياء القاهرة القديمة، وهو يتمتع بجذب سياحي كبير بالنسبة لزوار القاهرة ومصر بشكل عام. يتميز بوجود بازارات ومحلات ومطاعم شعبية، كما يتميز بكثرة أعداد السياح واعتياد سكانه عليهم. حي خان الخليلي كان مصدر إلهام للعديد من الكتاب والأدباء المصريين أبرزهم الكاتب نجيب محفوظ الذي ألف إحدى رواياته التي تدور أحداثها بالحي وتحمل اسمه «خان الخليلي» والتي تم تحويلها إلى فيلم سينمائي من بطولة الممثل عماد حمدي. تاريخ خان الخليلي يبلُغ عُمر حيّ «خان الخليلي» العتيق، 600 عام، حيثُ يُعتبر واحدًا من أقدم الأسواق في أنحاء المحروسة والشرق الأوسط، وما زال مُحتفظًا بمعماره القديم مُنذُ عصر المماليك، حسبمّا تؤكد الهيئة العامة للإستعلامات المصرية. فلم يتأثر خان الخليل بعوامل الزمن، وظل مُلهمًا للأدباء والفنانين، فيُحرّض أخيلتهم دائمًا على الإبداع، مثلما كتبَ، نجيب محفوظ، روايتهُ «خان الخليلي» من وحيّ أجواء الحيّ القديم، واصفًا إياه بـ: «ستجِد في الشارع الطويل، عِمارات مُربعة القوائم تصِل بينها ممرات جانبية تقاطع الشارع الأصليّ، وتزحُم جوانب الممرات والشارع نفسه بالحوانيت (أيّ الدُكان)؛ فدُكان للساعاتي وخطاط وأخر للشاي، ورابع للسجاد وخامس للتُحف وهكذا. بينما يقع هُنا وهناك مقاهي لا يزيد حجم الواحدة منها عن حجم الحانوت (الدُكان) الصغير، وقدّ جلسَ الصنَّاع أمام الدكاكين يكبون على فنونهم في صبر. وُيذكر أنّ الخان هو مبنى على شكل مربع كبير، ويحيط بفناء يُشبه الوكالة، فيما تضُم الطبقة الوسطى منهُ المحلات، أما الطبقات العليا فتحتضِن المخازن والمساكن، بينما ترجع تسميتُه إلى صاحب أمر إنشاءه عام 784هجريًا، أيّ 1382 ميلاديًا، وهو الأمير جهاركس الخليلي، أحد الأمراء المماليك، من الخليل فلسطين، وتروي الحكايات التاريخية إنّهُ بعد مقتل الخليلي في دمشق، أزالَ السلطان المملوكي قنصوه الغوري الخان، وأقامَ مكانُه وكالات ودكاكين للتُجار، فاكتسب المكان طابع تاريخيّ مُحلىَ بآثار المماليك. ولو عدنا بالزمان إلى الوراء كثيراً فسوف يطالعنا المؤرخ العربي الأشهر (المقريزي) الذي يقول إن الخان مبنى مربع كبير يحيط بفناء ويشبه الوكالة، تشمل الطبقة السفلي منه الحوانيت، وتضم الطبقات العليا المخازن والمساكن، وقد سمي بهذا الاسم نسبة إلى منشئه الشريف (الخليلي) الذي كان كبير التجار في عصر السلطان برقوق عام 1400 م. وإذا كان المثل الشعبي يقول: إن «الرجل تدب مكان ماتحب»، فإن أول دبة على أرض الخان لابد أن تكون في مقهى الفيشاوي، الذي يزيد عمره عن مائتي عام، وهو من أقدم مقاهي القاهرة، وكان الكاتب الكبير نجيب محفوظ من أشهر رواده في فترة الستينات من القرن العشرين مقهى الفيشاوي يعتبر من المقاهي القديمة في مصر ويرجع تاريخ تأسيسه عام 1769م. عبقرية المكان في مقهى الفيشاوي الذي يتصدر الخان تستطيع أن تحتسي الشاي الأخضر، وتثرثر في أي شيء كيفما شئت، قبل أن تبدأ الجولة في الحي العتيق وليس هناك ماهو أمتع من التجوال سيراً على الأقدام داخل أزقة وحواري تحتاج إلى عبقرية في فك ألغازها، وإلى حاسة سادسة لمعرفة طلاسمها، فالأزقة متراصة كحبات عقد، متداخلة كقوس قزح متعدد الألوان، ولايعرف أحد حتى الآن الفلسفة المعمارية التي بني على أساسها خان الخليلي، فالأرض مبلطة بحجر بازلتي أسود لامع، والسوق مسقوف بخشب تحدى الزمن وعوامل التعرية، والشمس تتسلل إلى حوانيت عديدة تشكل مع بعضها سراديب مليئة بالكنوز والتحف النادرة، والمصنوعة بمهارة. ''' داخل الخان وإذا بدأت الرحلة في الخان فلابد وأن تلقي نظرة على ماتبقى من (مشربيات) مطلة على الشارع أو الحارة، وأسبلة جميلة مشغولة واجهاتها بالنحاس وفيها أحواض الماء التي كانت تروي العطشان وعابر السبيل في الزمن الذي كان. ويحتاج زائر الحي إلى عبقرية أو حساسية خاصة في المرور داخل الأزقة الضيقة وسط زحام أسطوري من البشر والمقاعد الخشبية التي رصها أصحاب المقاهي لجذب الرواد، وبمجرد أن تدخل الشارع يتناهى إلى الأسماع عبارات الترحيب المصرية خفيفة الظل، وكلمات أولاد البلد المرحبة تدعو الزائرات والزائرين للفرجة، «واللي مايشتري يتفرج». ولو دخلت أحد الحوانيت فإن البائع يستقبلك بعبارة «مصر نورت» ويرد الزائر الذي له خبرة بعالم القاهرة السحري ومفرداتها اللغوية «مصر منوره بأهلها»، ويبدأ في عرض ما لديه من بضائع، لاتفارقه ابتسامته، وكلماته المتدفقة حول جودة بضاعته، وأنها صنعت خصيصاً لعشاق الفن اليدوي. وتجار الخان خبراء في فن البيع، ورثوا التجارة والشطارة عن الأجداد، وهم يعرضون الأصيل والمزيف من البضائع، ولهم ولع عجيب بالمساومة، كما يتسمون بصبر وجلد على إقناع الزبون. حي خان الخليلي هو واحد من ثمانية وثلاثين سوقاً كانت موزعة أيام المماليك على محاور القاهرة، ويقع هذا الخان وسط المدينة القديمة فوق مقابر الخلفاء الفاطميين سابقاً. وكان المعز لدين الله قد استحضر معه من (القيروان) توابيت ثلاثة من أسلافه ودفنهم في مقبرته، حيث دفن هو وخلفاؤه أيضاً، وقد أمر الخليلي بنقل المقابر إلى أماكن أخرى وتأسيس سوق للتجار. والأسلوب الذي كانت تعرض به البضائع في القاهرة القديمة حيث كانت تتلاصق الأسواق وتمتلئ الحارات بالحوانيت التي تعرض نفس البضاعة بأسعار متفاوتة، أمر أشبه مايكون بمعرض دائم ومستمر للبضائع المختلفة، ممايتيح فرصة ممتازة للمشتري في أن ينتقى مايريد ويختار الأجود، ويفاصل ويساوم ليحصل على الأمتن والأرخص. هنا بضائع من كل صنف ولون، من الذهب والماس والفضة إلى أوراق البردي التي تحمل كلمات الهيروغليفية وتمائم وأيقونات وقصائد غزلية، ونقوشات باللون الأزرق تحكي في اختزال مدهش أجمل حكاية عشق في التاريخ (حكاية إيزيس وأوزوريس) التي يقبل عليها السياح الأجانب. مهرجان البضائع كرنفال الزائرات والزائرين لحي خان الخليلي يتداخل مع ملابس مزركشة رصها أصحاب الحوانيت كنوع من العرض والإغراء والجذب على واجهة المحلات، وتتدلى مئات وربما آلاف (المسابح) داخل فترينات العرض، أو في أيدى صبية صغار يعرضون أنواعاً شتى من المسابح، بعضها مصنوع من بذر الزيتون والبلاستيك وتسمى (نور الصباح)، وبعضها الآخر ينتمي لفصيلة الفيروز والمرجان والكهرمان واليسر، ومنها مايصنع من خشب الصندل، ويقول أحد الصناع المهرة إن المسبحة تصنع على آلة يدوية صغيرة ودقيقة اسمها (المخرطة). وفي خان الخليلي تحرص النساء من كل الجنسيات على شراء (العقد) الذي تتدلى منه (عين حورس)، وتصنع العقود من خامات شتى، وما على الزبون إلا تحديد طلبه وفق إمكاناته المالية، وهنا يخرج له البائع (تحفة فنية) ربما مر على صناعتها مئات السنين، يوم أن كانت القاهرة في العصور الوسطى مركزاً تجارياً عظيماً، تجلب بضائع الشرق الأقصى وترسلها في شتى طرق الملاحة في البحر الأبيض المتوسط. كان ذلك في العصر الذهبي لتجارة التوابل مع بلاد الهند والسند وبلاد تركب الأفيال وتشترى الرجال، ففي القرن السادس عشر نقل إلى خان الخليلي أغرب سوق في تاريخ القاهرة القديمة والحديثة، وهو سوق (العبيد) الذي ذاع صيته في الشرق والغرب ووصفه الرحالة باعتباره من أهم الأسواق التي اختلطت فيها جميع الجنسيات. لقد انتهي ذلك العصر بكل مافيه من ملامح عظيمة أو تجاعيد انهيار، ونحن الآن في عصر جديد مختلف، ينظر فيه السائحون والزوار إلى البضائع المتناثرة في الأرجاء والفاترينات على أنها (هدية) من قاهرة المعز لدين الله الفاطمي، وفي المحلات الصغيرة المتلاصقة إبداع التجار في رص المشغولات الذهبية والفضية والنحاسية. ويذكرك مشهد هذه المحلات بأسواق تركيا التي تسمى (البازار) والتي تحتل شوارع هائلة تقع تحت مدينة (أسطنبول) حيث تمتد شوارع بكاملها تتخصص بنوع واحد من البضائع. على أن أهم مايلفت النظر في مشغولات خان الخليلي هو دقة الصناعة اليدوية، هناك محلات تعرض قلادة أو أسورة عليها نقوشات ومنمنمات قضى في نقشها صانع ماهر أياماً وربما شهور. والذهب هو الذهب مهما مر الزمان أو تغيرت الأوطان، والسياح الأجانب يحرصون على شراء المشغولات الفضية، لكن السياح العرب يحبون الذهب، وقد زحفت محلات من شارع الصاغة الشهير إلى خان الخليلي بحثاً عن (زبون) رفيع الذوق، يقدر ما بين يديه من نفائس. أسواق القاهرة كان في القاهرة الفاطمية أسواق متعددة، وساحات عامة شيدت لأغراض التجارة وهي التي تسمى كل منها (قيسارية) وقد خصصت كل واحدة منها لبيع سلعة معينة، وبعضها يبيع الأشياء التي تجلبها القوافل من الحبشة مثل العقاقير والببغاوات والتبر، وقد كان هناك أسواق خاصة للأحجار الكريمة في شارع الموسكي، لكنه استقر الآن في خان الخليلي، عقيق ومرجان، زمرد وفيروز وأنواع أخرى من أحجار هندية، ويمنية وحبشية تجذب السياح وتخطف أبصارهم. العطور والبخور وتسبح في الفضاء روائح جميلة تصل إلى السائح الذي يعبر الزقاق في اتجاه شارع الموسكي حيث تكثر تجارة العطور العربية والآسيوية والأوروبية، هنا عطر الملك، والعنبر، والياسمين والفل، مئات وربما الآن زجاجات ذات أشكال وألوان غريبة تحتوى عطوراً غير مألوفة تتراوح ألوانها ما بين الزيتي في لون البترول الخام، والأصفر الذهبي، والبنفسجي الممزوج بالعنبر. ونسأل تاجر يتحدى الزمن بابتسامة عن (الأسانس) الذي يتم تصنيع هذه العطور منه فقال إن ما أراه من عطور هنا يكاد يكون هو التركيبة الفعلية للعطر بدون إضافة كحول تذكر إليه، وناولني زجاجة تحتوي عطراً زيتي الملمس، فاقع الأريج وقال إن هذا العطر يتم استخلاصه من نوع معين من ذكور الغزال يسمى وعل المسك، أما هذا الذي يخلط لونه البنفسجي بعتامة تتألق تحت الضوء فهو خلاصة البنفسج، أما زيت العنبر فيفرزه نوع واحد من الحيتان يسمى حيتان العنبر، والحوت لايفرز هذا العنبر إلا وهو يلفظ أنفاسه الأخيرة أو يعانى سكرات الموت. أما البخور فله مملكة خاصة في الخان، ويعتقد الناس أن دخان المستكة يمنع العين والحسد، أما الكسبرة فهي زعيمة مملكة البخور ويطلق عليها الناس اسم (الفك والفكوك) أي أن من يشمها تذهب عنه العقد بلا رجعة. أما زائر خان الخليلي فلابد أن تكون له رجعة. معرض صور مراجع وصلات خارجية آثار القاهرة خانات مصر أسواق التجزئة في مصر القاهرة الوسيطة شارع المعز (القاهرة)
Zebda
Zebda est un groupe français de musique d’influences diverses, originaire de Toulouse, formé notamment par Magyd Cherfi et Mouss et Hakim, connu du grand public pour son tube Tomber la chemise. Groupe militant et engagé, Zebda remporta un grand succès auprès du public et des critiques avec les albums Le Bruit et l'Odeur (1995) et surtout Essence ordinaire (1998) pour lequel ils reçurent de nombreuses distinctions. Le groupe se forme au milieu des années 1980 avant de se séparer en 2004, les membres du groupe s'investissant dans des projets en solo. Le groupe fait son retour en 2011 avant de se séparer en 2015. Histoire du groupe Débuts Les artistes qui composent ce groupe sont tous issus du quartier des Izards de Toulouse, ville qui les a vus grandir, et au sein de laquelle ils se sont beaucoup engagés culturellement et politiquement. En 1985, une association toulousaine Vitécri, réalise le film Salah, Malik : Beurs qui raconte les déboires d'un groupe de musique, les « Zebda Bird », pour trouver un local où jouer. Les artistes sont joués par les jeunes Magyd Cherfi (animateur de quartier converti en chanteur), Pascal Cabero (guitare) et Joël Saurin (basse). Après le tournage du film, le groupe se crée réellement et adopte le nom Zebda et accueille Mustapha et Hakim Amokrane dits Mouss et Hakim (chœurs), et Vincent Sauvage (batterie) et, plus tard en 1991, Rémi Sanchez (accordéon, claviers). Le nom du groupe vient du mot arabe zebda, qui signifie beurre. C’est un jeu avec le mot beur, qui désigne les Arabes (arabe en verlan (à l'envers) devient beur). Musicalement, Zebda est un métissage de sons, d’influences rock, punk, et reggae. Avec Noir Désir et Manu Chao, le dynamique groupe toulousain est le fer de lance de l’engagement pour des causes diverses. Magyd Cherfi rédigeant la totalité des textes du groupe (sauf Une vie de moins de Jean-Pierre Filiu), s’inscrit dans la lignée des chanteurs à textes. Reconnaissance et succès Après avoir été récompensé par le titre de « découverte du Printemps de Bourges » en 1990, le groupe rencontre ses premiers succès en 1995 avec son album Le Bruit et l'Odeur (certifié disque d'or en 1999), dont la chanson homonyme passe régulièrement à la radio. Mais c'est en 1999, que Zebda touche le grand public avec la chanson Tomber la chemise, extraite de l'album Essence ordinaire, qui s’inscrit dans la grande tradition française de l’hymne festif : elle atteint la première place du Top 50 pendant trois semaines d'affilée et reste présente dans le classement durant consécutives. Ce titre rencontre également un certain succès à l'étranger, notamment en Belgique francophone (avec une au ) et aux Pays-Bas (). Le deuxième titre issu de cet album, intitulé Y'a pas d'arrangement, atteint la au français et la en Belgique francophone. En conséquence, Essence ordinaire obtient un important succès atteignant la troisième place du Top albums et restant classé durant . Cet album se vend finalement à des centaines de milliers d'exemplaires, recevant en France la certification double disque de platine. Les tournées s'enchaînent alors. Fort de ce succès, Zebda reçoit en 2000 plusieurs récompenses. Aux Victoires de la musique, il est sacré « Meilleur groupe » et Tomber la chemise remporte la Victoire de la « meilleure chanson ». Il en est de même aux NRJ Music Awards (« Meilleure chanson francophone » pour Tomber la chemise et « Meilleur groupe francophone »). Zebda revient en 2002 avec l'album Utopie d'occase qui ne rencontre pas le même succès que son prédécesseur tout en se vendant encore relativement bien (, certifié disque d'or). L'album entre par ailleurs dans les Top 40 suisse et belge. Pause et projets séparés En 2003, le groupe décide de faire une pause pour s'essayer à d'autres projets : « Ça faisait des années qu'on était les uns sur les autres, la lassitude commençait à s'installer. [...] Pour continuer à évoluer, il fallait qu'on vive des choses chacun dans notre coin ». Le premier album solo de Magyd Cherfi, Cité des étoiles, sort en 2004, année où Mouss et Hakim reprennent Le Nougat avec Brigitte Fontaine, sur l'album Rue Saint-Louis en l'île. En 2005, les frères Amokrane sortent dans la foulée leur premier disque sans Magyd : Mouss et Hakim ou le contraire. En 2007, Pascal Cabero, le guitariste, publie un livre sur l'histoire du groupe Tomber la chemise (éd. Danger Public), tandis que Magyd Cherfi publie son second album, Pas en vivant avec son chien, et que Vincent Sauvage, après un tour du monde de deux ans, publie un récit de voyage, Cent mille bornes (éditions Arthaud). Magyd Cherfi publie La trempe, son second livre après Livret de famille (éd. Actes Sud). Le bassiste Joël Saurin a participé aux deux disques solo de Magyd Cherfi, composé des musiques de film documentaire, et fondé son groupe Occetera dans un genre musical traditionnel occitan. En 2008, il initie l'événement hebdomadaire toulousain "La Pause Musicale", série de concerts gratuits à l'heure du déjeuner, qu'il programme et organise depuis. Retour En février 2008, le groupe annonce sa reformation et laisse entrevoir la possibilité de sortir un nouvel album. En décembre 2008, Magyd Cherfi précise : « Nous avons juste l'envie de recommencer ensemble, on prépare le terrain. Mais pour l'instant, nos emplois du temps catastrophiques nous empêchent d'aller plus loin. ». En septembre 2009, le groupe se réunit pour mettre en image sa reprise de Jacques Brel, Jaurès, Mouss, Hakim, Magyd et Joël se retrouvent pour ce clip réalisé à l'occasion du de la naissance de Jean Jaurès. En 2010, Mouss se fait entendre tous les jours à 13h sur la radio le Mouv’ avec l’émission « francosonik » consacrée à la scène musicale indépendante et alternative. Les 14 et 15 octobre 2011, le groupe fait son retour sur scène, pour la première fois depuis huit ans, lors d'un concert aux Docks de Cahors. Ces deux concerts constituent le début d'une série d'une trentaine de dates à travers toute la France au cours d'une tournée dénommée « Premier tour » qui annonce la sortie de leur album intitulé Second Tour. Cet album devient rapidement disque d'or (50 000 exemplaires), celui-ci leur étant remis à l'occasion de leur concert à l'Olympia deux mois après sa sortie. S'ensuit alors une tournée pour présenter cet album avec un été chargé où le groupe sera le plus programmé sur l'ensemble des festivals français, 36 fois au total. Le 4 juin 2013, Zebda déclare être dans la préparation d'un nouvel album qui sera disponible en 2014 et annonce qu'ils joueront leur prochain concert au Bikini, qui fêtera ses 30 ans. En effet, Zebda est très proche du directeur de la salle, Hervé Sansonetto, qui fut un des premiers programmateurs à les faire jouer. Le 25 août 2014, le groupe sort son Comme des Cheerokees. Pour la première fois depuis 1998, le label Barclay se dispense des services de Nick Sansano, directeur artistique historique du groupe, pour réaliser cet album et le remplace par Yarol Poupaud, guitariste de FFF. L'album arbore une touche davantage rock, funky, éloignée des couleurs habituelles méditerranéennes, orientales, hip-hop et raggae qui ont fait le succès de Zebda. Le groupe se sépare à l'issue de sa tournée, fin 2015, après plus de 100 concerts à présenter ce qui sera leur dernier album. Leur rupture est confirmée par voie de presse à plusieurs reprises par l'un des membres du groupe . Mouss et Hakim se tournent alors vers la réédition de leur album Motivés et un album hommage à Claude Nougaro composé de reprises et de textes inédits fournis par la famille du défunt chanteur, intitulé Darons de la Garonne. De son côté, Magyd Cherfi s'investit sur le plan littéraire avec la parution de deux récits chez Actes Sud dont Ma part de gaulois, lauréat de nombreux prix littéraires et sélectionné au Prix Goncourt en 2016, adapté au cinéma par Malik Chibane, ainsi qu'un album, Catégorie Reine. Engagement politique Avant la pause Les membres du groupe Zebda revendiquent un héritage communiste et le sens du travail collectif. Leurs créations sont largement marquées d'un engagement politique et social, allant jusqu’à reprendre un discours de 1991 de Jacques Chirac sur le bruit et l’odeur provoqués par les immigrés dans les HLM, dans la chanson Le Bruit et l'Odeur, et en utilisant le terme de « lutte de classe » dans Le Chant des partisans. Le résultat de cet engagement politique a mené à la création et à la participation d’un mouvement citoyen qui a abouti à des listes électorales dans différentes villes de France, lors des élections municipales de mars 2001, sous le nom de « Motivés ! ». Ce mouvement a rassemblé bon nombre de notables toulousains, tous secteurs confondus et, avec 12,38 % des voix, il a obtenu quatre sièges au conseil municipal. Depuis le retour En octobre 2012, Zebda chante la chanson engagée Une vie de moins dont le texte est écrit par Jean-Pierre Filiu professeur à Sciences Po, membre de l'Institut du monde arabe, auteur du livre Histoire de Gaza. Ils se sont rencontrés en Syrie en 1998, où Zebda donnait des concerts à Damas et Alep, et où Filiu était diplomate. Cette chanson est suivie d'une grande polémique sur les conditions de vie à Gaza. Par la suite, le CRIF dénonça cette chanson « faussée » diffusée par France Télévisions. Le Chant des partisans, l'hymne de la Résistance intérieure française apparaît sur la liste officielle de chansons du candidat du PS, François Hollande lors de l'élection présidentielle française de 2012. Il y spécifie la réinterprétation des Motivés !, dont les trois interprètes sont les chanteurs du groupe Zebda. Ils ont appelé à voter pour Jean-Luc Mélenchon en 2012. Le 27 avril suivant, alors en plein campagne électorale, François Hollande, à quelques jours de l’élection, part rendre visite au groupe Zebda, au Printemps de Bourges. Il les rejoint en pleines balances, et leur accorde quelques mots. Zebda en profite alors pour lui offrir un tee-shirt. À la suite de cette rencontre, Zebda déclare à la presse préférer François Hollande à Nicolas Sarkozy. En 2017, le groupe et en particulier Mouss et Hakim figurent dans le film Satire dans la campagne de Marc Large et Maxime Carsel. Discographie Premiers projets Albums studio Albums en public Chansons Autres projets Les membres de Zebda participent au collectif toulousain Tactikollectif. Ils sont ainsi à l'origine du disque Motivés, qui reprend des chansons de résistants (dont leurs versions du Chant des partisans, Bella ciao, El paso del Ebro, Nekwni S Warrach N Lezzayer) et révolutionnaires, ainsi que l'Estaca chant catalan antifranquiste. On les retrouve aussi dans le groupe 100 % Collègues ou dans l'organisation du festival Ça bouge au nord et Ça bouge encore. Participations 1998 : Aux suivants, album hommage à Jacques Brel, sur le titre Jaurès 1999 : Identités du chanteur Idir, sur le titre Un homme qui n'a pas de frère... 2002 : les membres du groupe jouent leur propre rôle dans Le Bruit, l'Odeur et Quelques Étoiles; ils en ont par ailleurs composé la bande-son. 2002 : Police on My Back de The Clash, en duo avec Asian Dub Foundation sur l'album hommage White Riot Vol. One A Tribute To The Clash 2003 : Avec Léo, album-hommage à Léo Ferré, sur le titre Vingt ans 2004 : Le Nougat, en duo avec Brigitte Fontaine sur l'album Rue Saint-Louis en l'île 2009 : On n'est pas là pour se faire engueuler !, album hommage à Boris Vian, sur le titre C'est ici... 2010 : Pop'n Foot, compilation de chansons autour du football à l'initiative de Johan Micoud, sur le titre Champions du monde. 2011 : Offensif, en invités sur l'album Machine rouge de Sidilarsen. Récompenses Dans la culture 2010 : Camping 2 de Fabien Onteniente – la chanson Tomber la chemise figure dans la bande originale 2015 : Je suis à vous tout de suite de Baya Kasmi – la chanson Y'a pas d'arrangement figure dans la bande originale 2015 : La Vie très privée de Monsieur Sim de Michel Leclerc – la chanson Les Petits Pas figure dans la bande originale Annexes Bibliographie La France de Zebda, 1981-2004 : Faire de la musique un acte politique, de Danielle Marx Scouras, éditions Autrement, 2005. Tomber la chemise, l'histoire du groupe Zebda, de Pascal Cabéro, éditions Danger Public, 2007. La part du Sarrasin, de Magyd Cherfi, Actes Sud, 1999, Zebda à son zénith, de Denis Baud, éditions Midi-Pyrénéennes, 2023. Articles connexes Magyd Cherfi, membre fondateur du groupe. Mustapha et Hakim Amokrane, membres du groupe. Notes et références Liens externes Groupe musical formé en 1985 Groupe musical français des années 1990 Groupe musical de Toulouse Zebda Groupe français de rock Groupe musical français des années 2000 Groupe français de reggae Lauréat de l'Académie Charles-Cros Groupe musical de la région Occitanie Rock en Occitanie Parrain du Tribunal Russell sur la Palestine
Sarkis (artiste)
Sarkis Zabunyan (en arménien : Սարգիս Զաբունյան), plus connu sous son nom d’artiste Sarkis, né à Istanbul (Turquie) le , est un plasticien français d'origine arménienne. Il vit et travaille à Paris depuis 1964. Vie et œuvre Né en 1938 à Istanbul, Sarkis étudie le français, la peinture et l’architecture intérieure avant de s’installer à Paris en 1964. En 1967, il remporte le prix de peinture de la Biennale de Paris. La même année au Salon de mai, Sarkis présente Connaissez-vous Joseph Beuys ? référence à l’artiste allemand qu’il considère comme le plus important de son époque. En 1969, il est invité par le critique Harald Szeemann à participer à l’exposition « Quand les attitudes deviennent forme ». La transmission et l’enseignement sont également au cœur de ses préoccupations. De 1980 à 1990, il dirige le département Art de l’École supérieure des arts décoratifs de Strasbourg et de 1988 à 1995, il devient directeur du séminaire à l’Institut des hautes études en arts plastiques créé par Pontus Hultén. Depuis les années 1980, Sarkis participe à de nombreuses expositions internationales (documenta de Kassel, Biennales de Venise, Sydney, Istanbul et Moscou) et intervient dans les plus grands musées internationaux. En 2010, dans l’exposition « Passages » au Centre Pompidou, les créations de Sarkis entrent en conversation avec les œuvres de Kasimir Malevitch, le mur de l’atelier d’André Breton ou Plight de Joseph Beuys, l’une des figures tutélaires de Sarkis avec le cinéaste Andreï Tarkovski, dont l’artiste réinvestit un film dans l’atelier de Brancusi. Passages évoque à la fois l’idée du passage permanent de l’atelier au musée et l’ouvrage de Walter Benjamin sur les passages parisiens. Ces œuvres qui convoquent le Kriegsschatz (trésor de guerre) de l’artiste, sont composées d’objets trouvés, d’œuvres d’art ou d’objets ethnographiques, issus de différentes civilisations. En 2011, le Musée d'Art moderne et contemporain (Genève) (MAMCO) lui consacre une rétrospective intitulée « Hôtel Sarkis ». Cette présentation sur quatre étages rassemblait 200 pièces datées de 1971 à 2011 et donnait à voir les différentes pratiques de l’artiste - installations vidéos ou sonores, aquarelles, sculptures, photographies et films – démultipliant la résonance d’une œuvre réalisée en regard d’autres créateurs qu’ils soient musiciens, architectes, écrivains, philosophes, peintres, sculpteurs ou cinéastes. En 2012, Sarkis présente « Ballads » dans les 5000 m2 du Hangar sous-marins, sur invitation du musée Boijmans Van Beuningen et du Port de Rotterdam, ainsi que « Ailleurs, Ici », au Domaine de Chaumont-sur-Loire, à la suite de la commande qui lui avait été passée par la Région Centre. Il a également participé à « La Triennale - Intense Proximité » au Palais de Tokyo avec la Frise des Trésors de Guerre, ainsi qu’à « Néon, who’s afraid of red, yellow and blue ? » à La Maison rouge, fondation Antoine-de-Galbert, ou encore « Istanbul Modern » au musée Boijmans van Beuningen. En 2013, Sarkis a participé à l’exposition « When attitudes become form, Bern 1969/Venice 2013 » pour la de la Biennale de Venise à la fondation Prada. Il a également exposé à « Passages Croisés en or », au Château d’Angers, et a été invité à présenter la Frise de Guerre au Museum of Old and New Art (MONA ) en Tasmanie pour l’exposition « The Red Queen ». Sarkis a participé à l’exposition « Ici, Ailleurs » à l’occasion de Marseille-Provence 2013, Capitale européenne de la culture, ainsi qu’à l’exposition « Modernity? Perspectives from France and Turkey », au musée d'art moderne d'Istanbul et au ARTER- Space for Art à Istanbul pour un solo show intitulé « Sarkis – Cage/Ryoanji Interpretation ». En 2015, Sarkis représente la Turquie à la Biennale de Venise Décorations (2002) Le masque de Sarkis En 1982, il crée Le masque de Sarkis ou le buste en pâte à modeler qui écoute un Walkman, à Istanbul. Le masque est un mannequin daté des années 1940 qui incarnait, pendant les années de guerre, une sorte d’archétype de la beauté virile. La pâte à modeler efface un visage stéréotypé pour en révéler un autre représentant son portrait rehaussé d’un walkman. L’œuvre mesure environ 40 x 30 x 30 cm. La sculpture invite le spectateur à écouter une musique pour ainsi partager un moment d’évasion, de communication avec lui. Il ne suffit donc pas de regarder l’œuvre pour l'aborder, mais aussi de l'écouter. Le but de cette œuvre est de pouvoir partager un moment musical avec l'artiste, cela permet une certaine originalité. Mais celle-ci nous permet également de mettre notre propre musique sur le walkman. Cette œuvre est avant tout un autoportrait. La raison pour laquelle Sarkis l'a faite en pâte à modeler est simple : il avait conscience du fait qu'au cours des années, les spectateurs abîmeraient son visage, il voulait avoir le pouvoir de la changer et de la faire vieillir avec lui tout au long de sa vie. Expositions personnelles Vitraux mobiles, galerie Nathalie Obadia, Paris, 2019 Respiro, pavillon turc de la Biennale de Venise, 2015 Inclinaison, musée Bourdelle, Paris, 2007 Bibliographie Réserves sans retour…', base sous-marine de Bordeaux, Capc de Bordeaux, 1980 La Fin des siècles. Le début des siècles, musée d'art moderne de la ville de Paris, 1984 Touratier Jean-Marie, Vie et légende du Captain Sarkis, Pictura-Edelweiss, Toulouse; 1986 103 Aquarelles, musée des beaux-arts de Nantes, musée de la ville de Strasbourg, 1989 Ma chambre de la rue Krutenau en satellite, musée de la ville de Strasbourg, 1989 Scènes de nuit - Scènes de jour, Le Magasin, centre national d'art contemporain de Grenoble, 1992 Point de rencontre : le rêve, Sélestat, 1993 Sarkis 26.9.19380, Bonn, 1996 Au commencement le son de la lumière à l'arrivée, musée des beaux-arts de Nantes, 1997 Sarkis 21.01.2000 - 09.04.2000, Capc de Bordeaux, 2000 Sarkis à Saint Jean du Grais, Ereme, 2005 Sarkis, Synopsis, collection L'art en écrit, éditions Jannink, Paris, 2007 Michel Menu, Sarkis invente l'aquarelle dans l'eau'', Éditions Hermann, 2011 Notes et références Voir aussi Articles connexes Art contemporain Sculpture Art conceptuel Liens externes « Sarkis.fr », site officiel de l'artiste : visuels, textes afférents à son œuvre, biographie, expographie « Sarkis / master 2 professionnel », commissariat : Master en métiers et arts de l'exposition, galerie art et essai, université Rennes-2 « Sarkis » sur le site de la Galerieofmarseille. Sarkis à la Biennale de Venise « Sarkis » sur l'encyclopédie audiovisuelle de l'art contemporain Artiste contemporain turc Plasticien arménien contemporain Naissance en septembre 1938 Naissance à Istanbul Commandeur des Arts et des Lettres Personnalité turque d'origine arménienne Étudiant de l'université des beaux-arts Mimar-Sinan Personnalité française née d'un parent arménien
Zielona (Proszowice)
Zielona est une localité polonaise de la gmina de Koniusza, située dans le powiat de Proszowice en voïvodie de Petite-Pologne. Notes et références Village dans la voïvodie de Petite-Pologne Powiat de Proszowice
TSV Bayer 04 Leverkusen (handball)
La section de handball du TSV Bayer 04 Leverkusen est un club allemand basé à Leverkusen. Le club est particulièrement connu pour sa section féminine. Section féminine Palmarès compétitions internationales vainqueur de la coupe challenge en 2005 finaliste de la Coupe des clubs champions en 1984 finaliste de la coupe de l'IHF en 1991 demi-finaliste de la coupe d'Europe des vainqueurs de coupe en 1992 et 2009 compétitions nationales champion d'Allemagne (12) en 1965, 1966, 1973, 1974, 1979, 1980, 1982, 1983, 1984, 1985, 1986, 1987 vainqueur de la coupe d'Allemagne (9) en 1980, 1982, 1983, 1984, 1985, 1987, 1991, 2002, 2010 Joueuses emblématiques Katrin Engel (2009-2010) Sabine Englert (2003-2007) Nadine Krause (2001–2007 et 2011-2012) Anna Loerper (2003-2011) Anne Müller (1999-2010) Sabrina Richter (2004–2008) Laura Steinbach (2007-2013) Clara Woltering (2000-2011) Section masculine Palmarès compétitions nationales champion d'Allemagne à onze (1) en 1956 Joueurs emblématiques Jörn-Uwe Lommel (avant 1982) Notes et références Leverkusen Bayer Leverkusen
إرنست الكسندر كرويشانك
إرنست الكسندر كرويشانك هو عسكري ومؤرخ كندي، ولد في 29 يونيو 1853 في فورت إيري في كندا، وتوفي في 23 يونيو 1939 في أوتاوا في كندا. روابط خارجية مراجع أشخاص من أوتاوا أشخاص من فورت إيري (أونتاريو) أفراد عسكريون كنديون في الحرب العالمية الأولى أفراد عسكريون كنديون من أونتاريو جنرالات كنديون زملاء الجمعية الملكية في كندا كتاب غير روائيين ذكور كنديون مواليد 1853 مؤرخون عسكريون كنديون مؤرخون من كندا وفيات 1939 جنرالات كنديون في الحرب العالمية الأولى
Pamela Cook
Pamela Cook, née en et morte en , est une claveciniste classique britannique, fondatrice et directrice d'un chœur de jeunes filles. Biographie Pamela Cook, née en 1937, est une claveciniste classique britannique. Par ailleurs, elle est enseignante, notamment au Royal Northern College of Music et au . Elle donne des conférences en physiologie, utilisation et soin de la voix. Elle est membre de jurys de concours internationaux au Royaume-Uni, ainsi que du BBC Choir of the Year et elle est commentatrice experte pour le BBC Cardiff Singer of the World competition. En 1968, Pamela Cook crée le chœur à Mansfield, en Angleterre puis crée un nouveau chœur pour les filles, à partir de neuf ans. Pamela Cook dirige et accompagne le Cantamus Girls Choir, qui remporte de nombreux prix et reçoit un accueil critique très favorable. En , le chœur enregistre l'album Cantamus sous le label EMI, sur lequel la reprise de la chanson Everybody's Got to Learn Sometime entre dans le UK Singles Chart. Pamela Cook est récompensée de l'Outstanding Conductor Award. Pamela Cook forme musicalement Ann Irons, cheffe de chœur et directrice artistique ainsi qu'Elaine Guy, cheffe de chœur et directrice adjointe. Pamela Cook meurt à l'automne 2013. Prix et distinctions Pamela Cook reçoit de nombreux prix et distinctions, dont : 1984 : membre de l'Ordre de l'Empire britannique 1990 : Honorary Associate de la Royal Academy of Music 1993 : Honorary Fellow du Paul Harris Fellowship du Rotary International 2003 : Vice-Presidente de l'Association of British Choral Directors, aux côtés de John Rutter et Brian Kay 2010 : Fellow de la Royal Academy of Music Discographie Instrumentiste Pamela Cook enregistre notamment au clavecin des disques de Jean-Sébastien Bach, ainsi que de Carlos de Seixas, Frei Jacinto et Domenico Scarlatti. Bach, Concertos pour 2, 3 et 4 clavecins - Pamela Cook, Sylvia Marlowe, Theodore Saidenberg et Robert Conant, clavecins (1960, LP Brunswick SXA 4003) Scarlatti, 12 sonates pour clavier : K. 87, 119, 159, 160, 201, 247, 397, 427, 517, 519, 545 et 531 (1967, LP Musical Heritage Society MHS 1207) Carlos de Seixas et Frei Jacinto, 15 sonates et toccatas (1967 ?, LP Musical Heritage Society MHS 1208) Cheffe de chœur En tant que cheffe de chœur, elle supervise les disques suivants : Cantamus II : A Ceremony of Carols de Benjamin Britten - Osian Ellis, harpe (, LP Electric Cat Records FM003) Cantamus Girls' Choir - Rohan de Saram, violoncelle ; Michael Neaum, piano (LP Trygg Recordings TRG 82107) Noël avec Cantamus : chants de Noël (1998) 2001 – Aurora ; London Mozart Players, dir. David Angus ; John Parricelli et Huw Davies, guitare (Warner Music 8573-87312-2) Aurora Summer Song Stay a While El Viaje (The Journey) Astalucia Algun otro sitio (Somewhere Other) Symphonie Lumiere Beautiful Peace (Cudoviti Mir) In My Dreams (les plages 4-9 forment une suite espagnole) 2005 - Cantamus (EMI 3 41017 2) I Still Haven't Found What I'm Looking For Fix You Everybody's Gotta Learn Sometime Universal Song So Deep Is The Night Bridge Over Troubled Water Ave Maria Soul Mining The Rose Over The Rainbow Stay Another Day Serenade Allundé Références Bibliographie Liens externes Biographie Claveciniste britannique Chef de chœur britannique Conférencière Membre de l'ordre de l'Empire britannique Naissance en 1937 Décès en août 2013
Devata
Le mot devata ou devatâ peut désigner : le pluriel du mot deva, désignant une divinité hindoue secondaire ; dans la culture khmère — dans les bas-reliefs présents sur le site d'Angkor —, la représentation d'une danseuse vue de face à la manière d'une devata, par opposition à une apsara. Notes et références
Barrio
Barrio ou Bárrio, nom commun signifiant « quartier » respectivement en espagnol (sans accent) et en portugais (avec accent), peut également être un nom propre qui désigne alors : Toponymes El Barrio, surnom de Spanish Harlem. Portugal Bárrio, une des paroisses civiles de la municipalité d'Alcobaça, située dans le district de Leiria ; Bárrio, une des paroisses civiles de la municipalité de Ponte de Lima, située dans le district de Viana do Castelo. Espagne Barrio, est une commune appartenant à la municipalité de Valdegovía, située dans la Communauté autonome basque. Patronyme Nieves González Barrio (1884-1965), pédiatre espagnole ; Cristina López Barrio (1970-), femme de lettres espagnole ; Diego Martínez Barrio (°1883 - +1962), homme politique espagnol ; Sebastian Barrio (1971-), acteur pornographique français. Cinéma Barrio, film espagnol de Fernando León de Aranoa de 1998. Musique Barrio, chanson de Mahmood de 2019. Voir aussi Homonymie de toponyme
Tournoi de tennis de Stuttgart (WTA 2015)
Le tournoi de tennis de Stuttgart est un tournoi de tennis professionnel. L'édition féminine 2015, classée en catégorie Premier, se dispute du 20 au . Angelique Kerber remporte le simple dames. En finale, elle bat Caroline Wozniacki, décrochant à cette occasion le de sa carrière sur le circuit WTA. L'épreuve de double voit quant à elle s'imposer Bethanie Mattek-Sands et Lucie Šafářová. Primes et points Source: Résultats en simple Parcours Quatre têtes de série sont exemptées de premier tour. Tableau Résultats en double Parcours Tableau Notes et références Voir aussi Articles connexes Tournoi de tennis de Stuttgart (ATP 2015) Tournoi de tennis de Stuttgart Saison 2015 de la WTA Liens externes Site officiel du tournoi Navigation WTA 2015 Stuttgart Tennis en Allemagne en 2015 Tennis en avril 2015
Île de la Prairie-au-Duc
L'Île de la Prairie-au-Duc est une des anciennes îles de Loire de Nantes, en France, qui correspond aujourd'hui à la partie nord-ouest de l'île de Nantes. Situation Elle se trouvait à l'ouest des îles de la Loire dépendant de Nantes. Elle était séparée des îles de Grande Biesse et de Petite Biesse par la « boire de Toussaint », bras de Loire comblée correspondant à l'actuel boulevard Gustave-Roch. Au sud, se trouvait l'île Sainte-Anne. Au nord, elle était également séparée de l'île Cochard, agglomérée à l'île de la Prairie-au-Duc au . Jusqu'à la fin des années 1920, l'île était également parcourue par des canaux qui furent progressivement comblés, et qui facilitait alors le transport par voie d'eau des marchandises depuis ou vers les usines environnantes. Le principal d'entre eux, le « canal Jollet » (ou « canal Nord-Sud »), suivait le tracé du boulevard Léon-Bureau, auquel était greffé des canaux plus ou moins perpendiculaires à ce dernier : le « canal Sud-Ouest » (situé au niveau des « Nefs Dubigeon » et qui aboutissait quai des Antilles) ou le « canal Pelloutier » (en lieu et place de l'actuelle rue Pierre-Landais). La traversée de ses canaux était alors facilité par l'existence de ponts tournant. Historique Les sables et prairies des îles sur la Loire étaient propriété du duc de Bretagne, ce qui est à l'origine du nom de cette île. C'est dans cette prairie que fut pendu le Pierre Landais, principal conseiller du duc François II de Bretagne. L'exécution eut lieu au gibet qu'il avait lui-même fait construire quelques années auparavant. Ce gibet à quatre pilier dit la « carrée de Blesse » subsistera jusqu'au . Au , la Prairie-au-Duc s'industrialise et s'urbanise massivement, cette mutation étant notamment facilitée par l'ouverture du Pont Haudaudine en 1876 et l'inauguration de la gare de l'État en 1887. Les chantiers navals Dubigeon s'y installent dans la partie ouest, et la construction navale maintient son activité sur le site jusqu'en 1987, dans un périmètre défini par le boulevard Léon-Bureau, le boulevard de la Prairie-au-Duc et la rive de la Loire. Le pont transbordeur, inauguré en 1903, permet aux ouvriers des chantiers de rejoindre plus directement leur lieu de travail. La société Ernest Goüin et Cie y rachète les chantiers Guibert, pour la construction de navires en fer et en bois, ainsi que des ponts en fer (reprit par Jollet et Babin en 1869). À l'est de l'île, se développa le quartier de la république, autour de la place homonyme et du boulevard Babin-Chevaye (qui comprenait aussi à l'époque le boulevard de la Prairie-au-Duc). Parmi ces établissements de construction navale figurent les Ateliers et chantiers de Nantes, fruit de la fusion entre les Ateliers et Chantiers de la Loire et les Ateliers et chantiers de Bretagne. Au , le siège de cette compagnie est intact. Construit entre 1914 et 1917 sur des plans de l'architecte René-Charles Ménard, il a été rénové entre 1992 et 1994. Il est utilisé par des associations nantaises. De cet ensemble industriels ont été conservées, outre le siège des ACL, les nefs, aujourd'hui occupées par les Machines de l'Île, trois cales de lancement, et deux grues Titan. Cette affectation entre dans le cadre d'un projet urbanistique de grande ampleur, étalé sur vingt ans, sur l'ensemble de l'île de Nantes. Dans le quartier de la Prairie-au-Duc, d'anciens entrepôts ont été réaffectés, notamment pour créer l'ensemble d'établissements appelés Hangar à bananes, sur le quai des Antilles, orné des emblématiques Anneaux de Buren. Le conseil municipal de Nantes a décidé, , la dénomination des différents sites dans anciens chantiers : « Nefs de Loire », « esplanade des Riveurs », « cale des Sous-marins », « ponton des Chantiers », etc. En 2012, une nouvelle phase s'amorce au cœur du parc des anciens chantiers. Le boulevard de la Prairie-au-Duc doit à l'avenir desservir de nouveaux habitats, écoles, bureaux et commerces, pour une surface totale de environ. Notes et références Voir aussi Articles connexes Liste des îles de Nantes Liens externes Des isles de Loire de 1753 à l'île de Nantes Prairie-au-Duc Prairie-au-Duc
English Summer Rain
English Summer Rain est une chanson du groupe de rock Placebo. C'est la deuxième piste de l'album Sleeping with Ghosts. Elle fut réalisée en single. Cette chanson, construite sur une répétition comme Taste in Men, aborde l'amour à distance. Deux amants sont séparés par d'altitude, l'un regardant au ciel pour apercevoir l'avion dans lequel l'autre s'envole vers d'autres horizons. Comme un mal chronique « la pluie d'été anglaise » exacerbe le manque et figure la mélancolie. Brian Molko explique lui-même ce titre dans une interview donnée aux Inrockuptibles : Liste des titres du single English Summer Rain I’ll Be Yours Notes et références Liens externes Chanson interprétée par Placebo Single musical sorti en 2004
G26
G26 ou G-26 peut faire référence à : G-26, un missile de croisière supersonique, une version du SM-64 Navaho ; Glock 26, un pistolet autrichien ; Ibis sacré sur un pavois (G26) et Ibis sacré (G26A), deux hiéroglyphes égyptiens classés selon la liste de Gardiner ; Syndromes extrapyramidaux et troubles de la motricité au cours d'affections classées ailleurs, d'après la classification internationale des maladies. Voir aussi Sigles d'une lettre suivie de deux chiffres
Meurtre-suicide
Un meurtre-suicide ou meurtre suicidaire est un acte dans lequel un individu tue une ou plusieurs autres personnes, avant de se suicider immédiatement ou peu de temps après. Différents maniere de meurtre-suicide La combinaison de meurtre et de suicide peut prendre diverses formes, notamment : Le suicide pour faciliter le meurtre, comme dans l'attentat-suicide. L'acte criminel pour faciliter le suicide, comme le suicide par police interposée. Le suicide après le meurtre pour échapper à la sanction (prison), comme dans le cas de nombreuses tueries scolaires. Le suicide après le meurtre comme une forme d'auto-punition. Le « pacte suicidaire » qui prend la forme d'un homicide d'une ou plusieurs autres personnes avec son consentement, et ensuite se tuer soi-même. Le suicide avec les passagers que l'on transporte (suicide en avion). L'assassinat caractérisée par un suicide du criminel responsable juste après ou incitation au suicide envers une personne ciblé avec préméditation. Voir aussi Amok Tuerie de masse
Würflach
Würflach est une commune autrichienne du district de Neunkirchen en Basse-Autriche. Géographie Histoire Commune en Basse-Autriche
أرزاماس
أرزاماس هي إحدى مدن روسيا في الكيان الفدرالي الروسي نيجني نوفغورود أوبلاست. أعلام سرجيوس بطريرك موسكو مراجع أماكن مأهولة أسست في 1578 مدن وبلدات في مقاطعة نيجني نوفغورود
Hotepsekhemoui
Hotepsekhemoui est le nom d'Horus du premier roi de la pendant la période thinite. Il succède au roi Qâ, peut-être après une période troubles, et précède Nebrê. Le Canon royal de Turin lui attribue de règne tandis que Manéthon lui attribue trente-huit ans de règne. Les égyptologues considèrent ces deux déclarations comme des interprétations erronées ou des exagérations et attribuent à Hotepsekhemoui un règne de vingt-cinq ou vingt-neuf ans. On situe son règne aux alentours de -2850 à -2820. Attestations Le nom de Hotepsekhemoui a été identifié par les archéologues de Saqqarah, Gizeh, Badari et Abydos à partir d'empreintes de sceaux d'argile, de récipients en pierre et de cylindres en os. Plusieurs inscriptions d'objets en pierre mentionnent Hotepsekhemoui ainsi que le nom de son successeur Nebrê, particulièrement dans sa possible tombe à Saqqarah. Signification du nom d'Horus Le nom d'Horus d'Hotepsekhemoui est le sujet d'un intérêt particulier pour les égyptologues et les historiens, car il peut faire allusion à la politique turbulente de l'époque. Le mot égyptien Hotep signifie paisible et être heureux, mais il peut aussi signifier conciliation ou se réconcilier. Le nom complet de Hotepsekhemoui peut donc être lu comme les deux pouvoirs sont réconciliés, ce qui suggère une signification politique significative. En ce sens, les deux puissances pourraient être une référence à la Haute et à la Basse-Égypte ainsi qu'aux divinités majeures Horus et Seth. Depuis le règne d'Hotepsekhemoui, il est devenu une tradition d'écrire le nom d'Horus et le nom de Nebty de la même manière. On pense qu'une sorte d'arrière-plan philosophique a influencé ce choix, puisque le nom d'Horus révèle une signification symbolique clairement définie dans sa traduction. Les noms Horus et Nebty étant les mêmes, cela pourrait aussi indiquer que le nom Horus a été adopté après avoir gravi le trône. Identité Hotepsekhemoui est communément identifié avec les noms en cartouches ramessides, Bedjaou de la liste d'Abydos, Bedjataou de Gizeh, Baounetjer de la table de Saqqarah et du Canon royal de Turin. L'égyptologue Wolfgang Helck pointe du doigt le nom similaire Bedjataou, qui apparaît dans une courte liste de rois trouvée sur un tableau d'écriture du mastaba G1001 du haut fonctionnaire Mesdjerou. Bedjataou signifie le fondeur et est considéré comme une mauvaise interprétation du nom Hotepsekhemoui, puisque les signes hiéroglyphiques utilisés pour écrire Hotep dans sa forme complète sont très similaires aux signes d'un four à poterie et d'un poussin dans les écrits hiératiques. Les signes des deux sceptres Sekhem ont été mal interprétés comme une jambe et un foret. Un phénomène similaire aurait pu se produire dans le cas du roi Khâsekhemoui, où les deux sceptres Sekhem du nom d'Horus ont été mal interprétés comme deux symboles de jambes. La liste d'Abydos imite cette forme de Bedjataou du nom de l'Ancien Empire. Le nom Baounetjer est problématique, car les égyptologues ne trouvent aucune source de noms de l'époque d'Hotepsekhemoui qui aurait pu être utilisée pour le former. Famille Le nom de la femme d'Hotepsekhemoui est inconnu. Un fils du roi et un prêtre de Sopdou nommé Perneb aurait pu être son fils, mais comme les sceaux d'argile portant son nom et ses titres ont été trouvés dans une galerie d'un tombeau attribué à deux rois également (Hotepsekhemoui et son successeur, Nebrê), la filiation royale exacte de Perneb reste incertaine. Règne On sait peu de choses sur le règne de Hotepsekhemoui. Des sources contemporaines montrent qu'il a peut-être accédé au trône après une période de conflit politique, y compris des dirigeants éphémères comme Horus Oiseau et Sneferka (ce dernier est également considéré par certains comme un nom alternatif utilisé par le roi Qâ pendant une courte période). Pour preuve, les égyptologues Wolfgang Helck, Dietrich Wildung et George Reisner désignent la tombe du roi Qâ, qui fut pillée à la fin de la et restaurée sous le règne d'Hotepsekhemoui. Le pillage du cimetière et le sens exceptionnellement conciliant du nom Hotepsekhemoui peuvent être des indices d'une lutte dynastique. De plus, Helck suppose que les rois Horus Oiseau et Sneferka ont été omis des listes de rois ultérieures parce que leurs luttes pour le trône égyptien ont été des facteurs dans la chute de la . Les empreintes de sceaux témoignent d'une nouvelle résidence royale appelée Horus l'étoile brillante qui a été construite par Hotepsekhemoui. Il construisit également un temple près de Bouto pour la divinité peu connue Netjer-Achty et fonda la Chapelle de la Couronne blanche. La couronne blanche est un symbole de la Haute-Égypte. On pense qu'il s'agit là d'un autre indice de l'origine de la dynastie d'Hotepsekhemoui, indiquant une source probable de pouvoir politique. Des égyptologues comme Nabil Swelim soulignent qu'il n'y a pas d'inscription du règne d'Hotepsekhemoui mentionnant une fête-Sed, indiquant que le souverain n'a pas régné plus de trente ans (la fête-Sed était célébrée comme l'anniversaire marquant un règne de trente ans). L'ancien historien égyptien Manéthon a appelé Hotepsekhemoui Boéthos et a rapporté que pendant le règne de ce souverain un gouffre s'est ouvert près de Bubastis et beaucoup ont péri. Bien que Manéthon ait écrit au avant notre ère - plus de deux millénaires après le règne actuel du roi - certains égyptologues pensent qu'il est possible que cette anecdote ait été fondée sur des faits, puisque la région près de Bubastis est connue pour être sismiquement active. Sépulture L'emplacement de la tombe de Hotepsekhemoui n'est pas certain. Des égyptologues tels que Flinders Petrie, Alexandre Barsanti et Toby Wilkinson pensent qu'il pourrait s'agir de la gigantesque galerie souterraine Tombe B sous la chaussée de la pyramide du roi Ounas à Saqqarah. De nombreuses empreintes de sceaux du roi Hotepsekhemoui et de Nebrê ont été trouvées dans ces galeries. Ainsi, des égyptologues tels que Wolfgang Helck et Peter Munro pensent que la tombe pourrait être celle de Nebrê et non celle d'Hotepsekhemoui. Titulature Notes et références Liens externes Datations, titulatures, cartouches, translittérations, etc. Datations et titulatures Index égyptologique Pharaon de la IIe dynastie égyptienne
Angariidae
Les Angariidae sont une famille de gastéropodes marins de l'ordre des Vetigastropoda. Liste des genres Selon : genre Angaria Röding, 1798 -- 27 espèces genre Asperilla Koken, 1896 † genre Astrangaria Pacaud, 2017 † genre Metriacanthus J. C. Fischer, 1969 † genre Tegulacanthus Gründel, Keupp & Lang, 2017 † Références taxinomiques Notes et références Famille de gastéropodes (nom scientifique) Taxon décrit en 1857
ستيف ريان (كاتب)
ستيف ريان هو كاتب أمريكي، ولد في 15 فبراير 1949 في سان دييغو في الولايات المتحدة. مراجع وصلات خارجية كتاب وكاتبات أمريكيون مواليد 1949
Première circonscription de la préfecture de Kumamoto
La est l'une des quatre circonscriptions législatives que compte la préfecture de Kumamoto au Japon. Cette circonscription comptait électeurs en date du . Description géographique La première circonscription de la préfecture de Kumamoto correspond aux arrondissements de Chūō, Higashi et Kita de la ville de Kumamoto. Députés Notes et références Voir aussi Articles connexes Chambre des représentants du Japon Circonscription législative au Japon
Betty Boo
Betty Boo (de son vrai nom Alison Clarkson) née le à Kensington, Londres, est une chanteuse et compositrice de pop-rap britannique. Betty Boo fait figure d'OVNI dans le paysage de la pop britannique du début des années 1990 : son succès fut aussi fulgurant que court. Douée comme chanteuse et parolière, elle a fait des études d'ingénieur du son au collège avant de se tourner vers la chanson. Surnommée Betty Boop par ses camarades de classes en raison de sa ressemblance avec l'héroïne de dessin animé, elle prend ce nom pour pseudonyme en le modifiant pour éviter tout problème de copyright. Issue d'un métissage euro-indonésien, elle cultive un look sexy et moyennement provocateur passant d'un strict uniforme de collégienne à un mini-short en cuir très moulant et révélateur. Boo commença à travailler avec le groupe She Rockers, avant d'entamer une carrière solo et de connaître le succès avec ses premiers singles. Les ventes de son premier album, GRRR! It's Betty Boo furent décevantes. Alors que sa carrière solo battait de l'aile, Boo se retourna vers l'écriture de chanson et connut à nouveau le succès en co-écrivant Pure and Simple pour Hear'say. Elle écrivit aussi pour Girls Aloud. Depuis 2005 elle fait partie du groupe WigWam, avec Alex James, bassiste de Blur. Discographie Albums studio 1990 - Boomania 1992 - Grrr! It's Betty Boo 2022 - Boomerang Compilations 1999 - Doin' the Do: the Best of Betty Boo Liens externes Naissance en mars 1970 Naissance à Kensington Chanteuse anglaise Nom de scène Rappeuse britannique Chanteuse britannique du XXe siècle Artiste de Sire Records
Sfântu Gheorghe (Ialomiţa)
Sfântu Gheorghe est une commune du județ de Ialomița en Roumanie. Notes et références Liens externes Commune dans le județ de Ialomița
Tutaibo debilipes
Tutaibo debilipes est une espèce d'araignées aranéomorphes de la famille des Linyphiidae. Distribution Cette espèce est endémique de la région de Cuzco au Pérou. Description Les mâles mesurent de à et les femelles de à . Publication originale Chamberlin, 1916 : Results of the Yale Peruvian Expedition of 1911. The Arachnida. Bulletin of the Museum of Comparative Zoology, Harvard, , (texte intégral). Liens externes Notes et références Linyphiidae Espèce d'araignées (nom scientifique) Faune endémique du Pérou
Hôtel Okura Kobe
L' est un gratte-ciel construit à Kōbe de 1987 à 1989 au Japon. Il mesure de hauteur et abrite un hôtel de 475 chambres de la chaîne Okura . Il fait partie des 10 plus hauts gratte-ciel de Kobe. L'immeuble a été conçu par l'agence d'architecture Kanko Kikaku Sekkeisha spécialisée dans la conception d’hôtels Liens externes Hôtel Okura Kobe sur Emporis Hôtel Okura Kobe sur Skyscraperpage Notes et références Gratte-ciel à Kobe Gratte-ciel mesurant entre 100 et 149 mètres Gratte-ciel construit en 1989 Hôtel à Kobe
Paul Véronèse
Paolo Caliari, dit Véronèse, né en 1528 à Vérone et mort le à Venise, est un peintre vénitien. Bien qu'il ait joui d'une réelle popularité de son vivant, notamment à Venise, il fut ignoré des critiques de son temps qui parlent de l’art vénitien, seul Francesco Sansovino parle de lui dans son Guide de 1556. Pourtant, Véronèse constituait avec Titien et Le Tintoret le triumvirat des peintres vénitiens de la Renaissance tardive. Véronèse est connu comme un grand coloriste ainsi que pour ses décorations illusionnistes (trompe-l’œil) en fresque et à l'huile. Ses travaux les plus connus sont des cycles narratifs raffinés, exécutés selon un style dramatique et coloré, avec des arrangements majestueux et scintillants. Son véritable patronyme reste inconnu : le peintre a signé successivement Paolo Spezapedra (surnom paternel), Paolo di Gabriele, Paolo da Verona ou Paolo Caliaro (probable nom d’emprunt). La tradition de l’histoire de l'art parle de Paolo Caliari. Finalement, il sera connu sous le nom de « Véronèse » en raison de sa naissance à Vérone. Biographie Enfance et formation Véronèse naît vraisemblablement en 1528. Son père, Piero di Gabriele, est architecte et tailleur de pierre comme l'avaient été ses parents. Avec son épouse, Catarina, ils eurent dix enfants dont Véronèse, qui fut le septième, et Benedetto, de dix ans son cadet. Très jeune, il commence par travailler dans l'atelier de son père à Vérone. Il y acquiert une habileté de modeleur pour les figures et les ornements en relief. Toutefois, il manifeste très vite un penchant pour la peinture aussi son père le place comme apprenti chez Antonio Badile, issu d'une vieille famille de peintres locaux et qui possédait un atelier. Il étudie alors, outre les œuvres de Badile, qui deviendra plus tard son beau-père, celles des autres artistes de Vérone et des alentours comme les fresques et tableaux de Giovanni Maria Falconetto, Domenico et Francesco Morone, Girolamo Dai Libri, Giovanni Francesco Caroto, Francesco Torbido, etc. De cet apprentissage auprès de l'école véronaise et des peintres locaux, il acquiert beaucoup de connaissances en matière d'architecture et de perspective, mais aussi la vivacité et l'élégance dans les figures, la dignité et le naturel dans les expressions, l'éclat et l'harmonie dans le jeu des colorations. Alors qu'il n'avait pas encore vingt ans, Paul Véronèse avait déjà signé plusieurs retables pour des églises de Vérone et décoré des façades de maisons, ce qui lui avait donné une certaine réputation. Parmi les retables, il faut citer l'un des premiers chef-d'œuvre de Véronèse réalisée avant 1548 pour la chapelle de la famille Bevilacqua-Lazise, le retable Bevilacqua-Lazise aujourd'hui conservé au musée de Castelvecchio à Vérone. Des débuts prometteurs En 1548, il quitte sa ville natale et, grâce à sa renommée grandissante, il obtient et exécute plusieurs commandes. Il se rend quelque temps à Trévise où, en 1551; l'architecte Michele Sanmicheli le charge, avec le peintre Giovanni Battista Zelotti de décorer la villa Soranzo, près de Castelfranco Veneto, qu'il venait de construire. Son travail y est remarqué par le cardinal Hercule Gonzague qui, l'année suivante, lui commande un tableau pour la cathédrale de Mantoue, La Tentation de saint Antoine (musée des beaux-arts de Caen). Par la suite, il décore la villa Emo à Fanzuolo, un hameau de la commune de Vedelago dans la province de Trévise, construite par l'architecte Andrea Palladio, qu'il avait rencontré à Vicence. On lui confie également la décoration du palais du Collatéral, à Thiene où, toujours en compagnie de Giovanni Battista Zelotti, il réalise, dans un style déjà très libre et personnel, plusieurs peintures de l'histoire ancienne (Xerxès recevant les présents de Cyrus, le Mariage de Massinissa et de Sophonishe, Mucius Scaevola se brûlant le poing, le Festin d'Antoine et de Cléopâtre). En 1560, il fait un voyage d’étude à Rome où il découvre Raphaël et Michel-Ange. Il y séjourne pendant deux ans. L'installation à Venise En 1552, il obtient une première commande pour l'église San Francesco della Vigna à Venise pour laquelle il réalise la Conversation sacrée. L'année suivante, sa réputation toujours grandissante amène le père Bernado Torlioni, prêtre de l'église San Sebastiano à Venise que Véronèse avait rencontré à Vérone, à le faire venir auprès de lui pour lui confier les peintures de l'église. Il s'installe donc à Venise en 1553. Les commandes officielles sont nombreuses car il est devenu le « peintre de la République ». Il réalise notamment, en compagnie des peintres et Giovanni Battista Zelotti, les fresques des salles du conseil des Dix au palais des Doges. Véronèse exécute notamment le médaillon central du plafond de la Salle des audiences : Jupiter foudroyant les Vices. Il décore également la salle de la Bussola d'un Saint Marc couronnant les Vertus, à présent exposé au musée du Louvre. En 1555, il entreprend la réalisation du plafond de la sacristie de l'église San Sebastiano avec le Couronnement de la Vierge et les Quatre évangélistes. On lui demanda ensuite des panneaux ronds, ovales ou carrés, destinés à être insérés dans le plafond de la nef. Il y raconte trois scènes du Livre d'Esther, entourées d'anges, de balustrades décoratives et de figures allégoriques : Esther présentée au roi Assuérus, le Couronnement d'Esther et le Triomphe de Mardochée achevées le , onze mois après leur commande. Cette série de chefs-d'œuvre a fait de cette petite église un lieu de pèlerinage pour tous les peintres postérieurs. Avec le soutien de Titien et Jacopo Sansovino, il est désigné, avec six autres peintres renommés dont Battista Franco, Giuseppe Porta, Bartolomeo Ammannati et Le Tintoret, pour participer à la décoration du plafond de la salle de la Libreria de la Biblioteca Marciana (ou bibliothèque Saint-Marc). Il réalise notamment trois allégories (la Musique, la Géométrie et l'Arithmétique, l'Honneur) pour lesquelles il obtint une prime, un collier d'or, qui lui est décerné publiquement par Titien. Veronèse retourne quelques mois à Vérone, sa ville natale. De ce séjour, il laissera une série de peintures dans plusieurs édifices dont l'église Santa Maria della Vittoria (Déposition de Croix) et le musée municipal (Portrait de Pace Guarienti). La maturité Véronèse revient à Venise où il est devenu le peintre à la mode, le décorateur favori des nobles et des ecclésiastiques. Sa popularité dépasse le seul cadre de la ville et s'étend aux provinces avoisinantes. Il reçoit des commandes de toute nature, des fresques ou des tableaux, des sujets profanes ou sacrés, des allégories ou des portraits… Il est de nouveau invité à travailler à l'église San Sebastiano, en 1558, où il est chargé de peindre, sur la partie supérieure des murs, des séquences de la vie du saint. Entre 1559 et 1561, il décore les volets de l'orgue et le panneau de l'autel. On y voit La Vierge en gloire avec saint Sébastien et d'autres saints. Puis, un peu plus tard vers 1565, il réalisa pour le chœur de l'église trois œuvres illustrant d'autres événements de la vie du saint dont Saint Marc et saint Marcellin encouragés par saint Sébastien sur le chemin du martyre et Le Martyre de saint Sébastien. En 1562, Véronèse entreprend la décoration de la villa Barbaro à Maser en Vénétie appartenant à Daniel Barbaro et son frère, Marcantonio. Ceux-ci avaient engagé le célèbre architecte Andrea Palladio en 1556 pour la construction de leur villa et ils confièrent ensuite la décoration picturale à Véronèse que Daniel Barbaro avait rencontré vers 1553, lorsqu'il exécutait ses compositions pour la Salle des audiences au palais des Doges. Véronèse réalise dans cette villa des fresques qui marquent l'apogée de son art parmi lesquelles il faut citer L'Harmonie universelle, ou L'Amour divin entouré des dieux olympiques, Vénus et Vulcain avec Proserpine ou bien encore Bacchus et les nymphes. De très nombreuses pièces sont décorées des fresques de Véronèse et, partout, l'espace architectural est mis au défi grâce à l'usage de trompe-l’œil d'illusions picturales. À cette même période, entre 1562 et 1563, Véronèse peint la plus célèbre de ses œuvres, Les Noces de Cana qui lui avait été commandée pour le réfectoire du monastère bénédictin de Penquesten situé sur l'Île de San Giorgio Maggiore, à Venise. Comme dans d'autres tableaux de Véronèse représentant un banquet, la scène reflète les festivités qui étaient courantes à l'époque dans la vie vénitienne. La peinture est immense avec presque dix mètres de large et elle contient plus d'une centaine de personnages, dont les portraits reconnaissables de Titien, du Tintoret, et de Véronèse lui-même. Il retourne dans sa ville natale de Vérone où, en 1566, il épouse Elena Badile avec qui il a quatre enfants dont Carlo et Gabriele qui travailleront avec lui plus tard. En 1573, il défie le tribunal de l’Inquisition qui lui reproche des licences prises par rapport aux textes saints dans une Cène et qu’il sera condamné à amender. Véronèse n'en fera rien et préfèrera rebaptiser simplement son œuvre du nom de Le Repas chez Lévi, qu'elle porte encore aujourd'hui, bien qu'il s'agisse en réalité du dernier repas du Christ. On lui reproche d’avoir ajouté à l’épisode religieux quantité de personnages secondaires et anecdotiques, dont un perroquet ou encore deux hallebardiers buvant et un serviteur saignant du nez, tout comme des animaux nuisant à la solennité de la Cène. La réponse nous est restée : « Nous, les peintres, prenons des libertés tout comme les poètes et les fous ». La dernière période Entre 1575 et 1577, Véronèse réalise, au palais des Doges, le Triomphe de Venise pour la salle du Grand Conseil et les Allégories de la Vertu pour la salle du Collège qui comptent parmi ses grands chefs-d’œuvre. À partir de 1575, Véronèse s'intéresse davantage aux paysages, il abandonne progressivement les grandes compositions et porte plus d'intérêt aux petits formats où il s'exprimera d'une manière très lyrique. C’est de cette époque que datent les scènes mythologiques comme L’Enlèvement d'Europe et La Mort de Procris. Il envisage pourtant de concourir pour l'exécution d'une représentation du Paradis au palais des Doges. À ce concours qui a lieu entre 1578 et 1582, les artistes vénitiens les plus importants participent, dont le Tintoret et Palma le jeune. Véronèse est déclaré lauréat avec Francesco Bassano, et il lui est confié l'exécution du groupe central. Il ne réalisera pas ce projet, mais on peut voir à Lille une esquisse préparée pour ce concours. Un nouveau concours est organisé après la mort de Véronèse et c'est Le Tintoret qui réalisera le travail avec son fils. Véronèse, qui meurt d’une pneumonie en 1588 à 60 ans, est enterré dans l'église San Sebastiano dont il a peint un grand nombre de fresques. Après son décès, son frère Benedetto Caliari et deux de ses fils, Carlo et Gabriele qui hérite de l'atelier de Véronèse, achèvent certaines peintures que leur père n'avait pas finies, sous le nom des « Haeredes Pauli ». Gabriele sera le dernier survivant de cet atelier et continue à peindre au moins jusqu'en 1603. Son œuvre Véronèse, qui préfigure le courant baroque, est associé le plus souvent au maniérisme. Son œuvre comporte de nombreuses fresques d'inspiration religieuse mais également des tableaux profanes, essentiellement mythologiques ou allégoriques. Il met souvent en scène des tableaux monumentaux. Il utilise des couleurs accentuées, il représente des scènes très détaillées, des personnages nettement dégagés des fonds, avec de forts contrastes, des architectures théâtrales et rythmées. Sa palette claire, ses ombres colorées, son univers poétique, la grâce sensuelle de ses personnages et son sens du décor en font un maître incontournable de la peinture du . Ses plus fameuses peintures murales demeurent celles décorant la villa Barbaro, à Maser (Vénétie), ensemble illusionniste prenant place dans une architecture conçue par Andrea Palladio. Il est également célèbre pour sa série de portraits aux visages éblouissants de naturel. Le maître s'intéresse surtout aux visages. À sa mort, en 1588, Véronèse ne laisse pas d’école, mais son œuvre va influencer toute la peinture postérieure et de nombreux artistes comme Vélasquez ou Rubens puis, au , Delacroix et Cézanne. Œuvres {| class="wikitable sortable" style="font-size:95%";border:0px;text-align:left;line-height:150%; |- ! style="color:#000000; background-color:transparent;" | Nom de l'œuvre !! Date !! Type !!class="unsortable"| Dimension !!Lieu d'exposition !!class="unsortable"| Image |- |style="font-size:110%"|Le Banquet du riche Épulon ou Le Mauvais riche||1550||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Gallerie dell'Accademia de Venise|| |- |style="font-size:110%"|La Sainte Famille avec sainte Catherine et saint Antoine le grand||1551||Huile sur toile|| || align="center" |Église San Francesco della Vigna Venise|| |- |style="font-size:110%"|La Tentation de saint Antoine||1552-1553||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée des beaux-arts de Caen|| |- |style="font-size:110%"|Jupiter foudroyant les Vices||1553 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée du Louvre, Paris|| |- |style="font-size:110%"|Saint Marc couronnant les vertus||1554 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée du Louvre, Parisprovient du palais des Doges|| |- |style="font-size:110%"|Junon dispensant ses dons à Venise||1554-1556||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Palais des Doges, Venise|| |- |style="font-size:110%"|Le Couronnement de la Vierge||1555||Huile sur toile|| || align="center" |Église San Sebastiano de Venise|| |- |style="font-size:110%"|L'Onction de David||1555||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée d'histoire de l'art, Vienne|| |- |style="font-size:110%"|Portrait de femme, La Belle Nani||1555-1560||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée du Louvre, Paris|| |- |style="font-size:110%"|La Musique fait partie d'un ensemble de 21 médaillons réalisés pour le plafond de la Bibliothèque||1556-1557||Huile sur toile|| align="center" |D. || align="center" |Bibliothèque Marciana, Venise|| |- |style="font-size:110%"|Annonciation||1555 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Galerie des Offices, Florence || |- |style="font-size:110%"|La Répudiation de Vasti||1555-1556||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Église San Sebastiano de Venise|| |- |style="font-size:110%"|Esther et Assuréus ou Le Couronnement d'Esther||1555-1556||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Église San Sebastiano de Venise|| |- |style="font-size:110%"|Le Triomphe de Mardochée||1555-1556||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Église San Sebastiano de Venise|| |- |style="font-size:110%"|La Vierge à l'Enfant avec une petite martyre et saint Pierre||1555-1560||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Museo civico, Vicence|| |- |style="font-size:110%"|Iseppo da Porto avec son fils Adriano||1556||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Galerie Palatine, palais Pitti, Florence|| |- |style="font-size:110%"|Jésus parmi les docteurs dans le Temple||1558||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée du Prado, Madrid|| |- |style="font-size:110%"|L’Assomption de la Vierge||1558 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Basilique de San Zanipolo, Venise|| |- |style="font-size:110%"|Adoration des Bergers ||1558 v.||Huile sur toile|| || align="center" |Basilique de San Zanipolo, Venise|| |- |style="font-size:110%"|Les Pèlerins d'Emmaüs||1559-1560||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée du Louvre, Paris|| |- |style="font-size:110%"|Portrait d'un homme||1560 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée des beaux-arts de Budapest|| |- |style="font-size:110%"|La Résurrection du Christ||1560 v.||Huile sur toile|| || align="center" |San Francesco della Vigna Venise|| |- |style="font-size:110%"|Le Fauconnier||1560 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Fondation Bemberg Toulouse|| |- |style="font-size:110%"|Bacchus, Vertumne et Saturne||1560-1561||Fresque|| || align="center" |Villa Barbaro, Maser|| |- |style="font-size:110%"|Persée délivrant Andromède||1560 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée des beaux-arts de Rennes|| |- |style="font-size:110%"|Giustiniana Giustiniani et sa nourrice||1560-1561||Fresque|| || align="center" |Villa Barbaro, Maser|| |- |style="font-size:110%"|La Madeleine repentante||1560-1575||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée des beaux-arts du Canada|| |- |style="font-size:110%"|Vénus et Adonis||1561||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Staatliche Kunstsammlungen, Augsbourg|| |- |style="font-size:110%"|Rébecca et Éliézer||1550-1580||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Château de Versailles, salon d'Hercule|| |- |style="font-size:110%"|La Piscine probatique||1559-1560||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Église San Sebastiano de Venise|| |- |style="font-size:110%"|Le Mariage mystique de sainte Catherine||1557-1565||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée Fabre, Montpellier|| |- |style="font-size:110%"|Vierge en gloire avec saint Pierre et saint Paul||1562 v.||Huile sur toile|| || align="center" |Église San Sebastiano de Venise|| |- |style="font-size:110%"|Saint Jean-Baptiste prêchant||1562 v.||Huile sur toile|| || align="center" |Galerie Borghèse, Rome|| |- |style="font-size:110%"|La Vierge entourée des saints||1562 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Gallerie dell'Accademia de Venise|| |- |style="font-size:110%"|Vénus et Mercure présentent à Jupiter Éros et Anteros||1562 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée des Offices, Florence|| |- |style="font-size:110%"|Les Noces de Cana||1563||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée du Louvre, Paris|| |- |style="font-size:110%"|La Sainte Famille||1564||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Gallerie dell'Accademia de Venise|| |- |style="font-size:110%"|La Sainte Famille avec sainte Barbe et le petit saint Jean||1564 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée des Offices, Florence|| |- |style="font-size:110%"|Portrait d'un gentilhomme en fourrure||1565||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Galerie Palatine, palais Pitti, Florence|| |- |style="font-size:110%"|Saint Marc et saint Marcellin encouragés par saint Sébastien sur la voie du martyre||1565||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Église San Sebastiano, Venise|| |- |style="font-size:110%"|Le Martyre de saint Sébastien||1565||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Église San Sebastiano de Venise|| |- |style="font-size:110%"|Portrait de femme||1565||Huile sur toile|| || align="center" |Musée de la Chartreuse de Douai|| |- |style="font-size:110%"|La résurrection du fils de la veuve de Naïm||1565-1570||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée d'histoire de l'art, Vienne|| |- |style="font-size:110%"|La Famille de Darius devant Alexandre||1565-1570||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |National Gallery, Londres|| |- |style="font-size:110%"|Portrait de Daniele Barbaro||1565-1567||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Rijksmuseum Amsterdam|| |- |style="font-size:110%"|Allégorie de la sagesse et de la force ou Omnia Vanitas||1567-1568||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Frick Collection, New York|| |- |style="font-size:110%"|Honneur et Vertu fleurissent après la mort||1567-1568||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Frick Collection, New York|| |- |style="font-size:110%"|La Résurrection du Christ||1570 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Gemäldegalerie Alte Meister, Dresde|| |- |style="font-size:110%"|Portrait d'une femme vénitienne||1570 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Alte Pinakothek, Munich|| |- |style="font-size:110%"|Garçon au lévrier||1570 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Metropolitan Museum of Art, New York|| |- |style="font-size:110%"|Allégorie de l'Amour I (Union Heureuse)||1570 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |National Gallery|| |- |style="font-size:110%"|Allégorie de l'Amour II (Infidélité)||1570 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |National Gallery|| |- |style="font-size:110%"|Allégorie de l'Amour III (Respect)||1570 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |National Gallery|| |- |style="font-size:110%"|Allégorie de l'Amour IV (Désenchantement)||1570 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |National Gallery|| |- |style="font-size:110%"|La Découverte de Moïse||1570-1575||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée d'histoire de l'art, Vienne|| |- |style="font-size:110%"|La Vision de sainte Hélène||1570-1579||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |National Gallery, Londres|| |- |style="font-size:110%"|Moïse sauvé des eaux||1570-1580||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée des beaux-arts de Lyon|| |- |style="font-size:110%"|Portrait d'Alessandro Vittoria||1570-1585||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Metropolitan Museum of Art, New York|| |- |style="font-size:110%"|Les Noces de Cana||1571||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Gemäldegalerie Alte Meister, Dresde|| |- |style="font-size:110%"|La Présentation de la famille Cuccina à la Vierge||1571||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Gemäldegalerie Alte Meister, Dresde|| |- |style="font-size:110%"|Allégorie de la bataille de Lépante||1572 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Gallerie dell'Accademia de Venise|| |- |style="font-size:110%"|Cène de saint Grégoire le Grand||1572||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Sanctuaire di Monte Berico, Vicence|| |- |style="font-size:110%"|Le Repas chez Levi||1573||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Galeries de l'Académie de VeniseProvient du couvent des Santi Giovanni e Paolo|| |- |style="font-size:110%"|Le Martyre de sainte Justine||1573 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée des Offices, Florence|| |- |style="font-size:110%"|Adoration des Mages||1573]||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |National Gallery, Londres|| |- |style="font-size:110%"|Minerve rendant hommage à Venise||1575||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Galeries de l'Académie de Venise|| |- |style="font-size:110%"|Le Mariage mystique de sainte Catherine||1575 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Galeries de l'Académie de VeniseProvient de l'autel principal de l'Église Santa Caterina|| |- |style="font-size:110%"|Vénus, Mars et Cupidon avec un cheval||1575 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Galerie Sabauda, Turin|| |- |style="font-size:110%"|Bethsabée au bain||1575 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée des beaux-arts de Lyon|| |- |style="font-size:110%"|Le Triomphe de Venise||1575-1577||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Palais des Doges, Venise|| |- |style="font-size:110%"|Mars et Neptune||1575-1578||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Salle du Collège du palais des Doges Venise|| |- |style="font-size:110%"|Venise, la Justice et la Paix||1575-1578||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Salle du Collège du palais des Doges Venise|| |- |style="font-size:110%"|Venise recevant l'hommage d'Hercule et de Cérès||1575-1578||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Galeries de l'Académie de Venise.Provient de la salle du Magistrato du palais des Doges|| |- |style="font-size:110%"|Arachné' ou 'La Dialectique||1575-1578||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Salle du Collège du palais des Doges|| |- |style="font-size:110%"|La Mise au tombeau||1575-1580 ||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée d'art et d'histoire de Genève|| |- |style="font-size:110%"|L'Évanouissement d'Esther||1575-1580 ||Huile sur toile|| | align="center" |Musée du Louvre, Paris|| |- |style="font-size:110%"|Gentilhomme tenant un chapeau à la main||1576-1578||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |J. Paul Getty Museum, Los Angeles|| |- |style="font-size:110%"|Mercure, Hersé et Aglauros||1576-1584||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Fitzwilliam Museum, Cambridge|| |- |style="font-size:110%"|Le Repas chez Simon le pharisien||1576||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Château de Versailles, salon d'Hercule|| |- |style="font-size:110%"|Mars et Vénus réunis par Cupidon||1578v. ||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Metropolitan Museum of Art, New York|| |- |style="font-size:110%"|L'Annonciation||1578||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Galeries de l'Académie de Venise|| |- |style="font-size:110%"|Esquisse pour le Paradis||1578-1582||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Palais des beaux-arts de Lille|| |- |style="font-size:110%"|L’Enlèvement d’Europe||1580||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Palais des Doges, VeniseVient du palais Contarini à San Samuele|| |- |style="font-size:110%"|Jésus et le centurion||1580 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée d'Art de Tolède|| |- |style="font-size:110%"|Saint Jérôme au désert||1580 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |National Gallery of Arts de Washington (district de Columbia)|| |- |style="font-size:110%"|La Mort de Procris||1580||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée des beaux-arts de Strasbourg|| |- |style="font-size:110%"|Vénus et Adonis||1580||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée du Prado, Madrid|| |- |style="font-size:110%"|Moïse sauvé des eaux||1580||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée du Prado, Madrid|| |- |style="font-size:110%"|Le Baptême du Christ||1580||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Galerie Palatine, palais Pitti, Florence|| |- |style="font-size:110%"|Conversion de saint Pantaléon||1580 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Église San Pantalon|| |- |style="font-size:110%"|Lucrèce||1580||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée d'histoire de l'art, Vienne|| |- |style="font-size:110%"|Moïse sauvé des eaux||1580 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée des beaux arts de Dijon, Dijon|| |- |style="font-size:110%"|Jésus dans le jardin soutenu par un ange||1580 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Pinacothèque de Brera, Milan|| |- |style="font-size:110%"|La Prédication de saint Antoine aux poissons||1580 v.||Huile sur toile|| || align="center" |Galerie Borghèse, Rome|| |- |style="font-size:110%"|La Vision de sainte Hélène||1580 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Pinacothèque du Vatican, Rome|| |- |style="font-size:110%"|Judith et Holopherne||1580 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Palazzo Rosso, Gênes|| |- |style="font-size:110%"|Saint Jérôme||1580 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Galeries de l'Académie de VeniseProvient de l'Église Sant'Andrea della Zirada|| |- |style="font-size:110%"|L'évêque san Nicolo est accueilli à Mira||1580-1582||Huile sur toile|| align="center" | || align="center" |Galeries de l'Académie de VenisePlafond de l'église détruite San Nicolo de Bari à Venise|| |- |style="font-size:110%"|Saint Marc, saint Jacques, saint Jérôme et le Christ mort soutenu par des anges||1581-1582||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Église San Zulian, Venise|| |- |style="font-size:110%"|Saint Marc, saint Jacques, saint Jérôme et le Christ mort soutenu par des anges||1581-1582||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Institut Courtauld, Londres|| |- |style="font-size:110%"|La Lamentation (Pietà)||1576-1582||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg|| |- |style="font-size:110%"|Le Calvaire||1582 v.||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée du Louvre, Paris|| |- |style="font-size:110%"|Baptême et les tentations du Christ||1582||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Pinacothèque de Brera, Milan|| |- |style="font-size:110%"|La Nativité||1582-1583||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Église San Giuseppe di Castello, Venise|| |- |style="font-size:110%"|Judith et la tête d'Holopherne||1583-1585||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée d'histoire de l'art, Vienne|| |- |style="font-size:110%"|Le Martyre et la Dernière Communion de sainte Lucie||1585-1586||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |National Gallery of Art, Washington|| |- |style="font-size:110%"|L'assomption de la Vierge||1585-1587||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Galeries de l'Académie de Venise|| |- |style="font-size:110%"|L'assomption de la Vierge||1586||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Galeries de l'Académie de Venise|| |- |style="font-size:110%"|Le Baptême du Christ||1588||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Institut Courtauld|| |- |style="font-size:110%"|Portrait d'Agostino Barbarigo|| ||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée des beaux-arts de Budapest|| |- |style="font-size:110%"|Suzanne au bain|| ||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée du Louvre, Paris|| |- |style="font-size:110%"|Léda et le cygne|| ||Huile sur toile|| || align="center" |Musée Fesch, Ajaccio|| |- |style="font-size:110%"|La Femme de Zébédée intercédant pour ses fils auprès du Christ||||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Burghley House, Cambridgeshire|| |- |style="font-size:110%"|Hercule, Déjanire et le centaure Nessus||tardive||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée d'histoire de l'art, Vienne|| |- |style="font-size:110%"|Saint Jérôme pénitent|| ||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musées civiques de Pavie, Pavie|| |- |style="font-size:110%"|Esther and Asuerus|| ||Huile sur toile|| align="center" ||| align="center" |Musée des Offices, Florence|| |- |style="font-size:110%"|Les Symboles des quatre évangéliste|| ||Huile|| || align="center" |Collection Alana, États-Unis|| |} Dessins Différents costumes des personnages d’Œdipe roi de Sophocle, plume et encre brune, H. 26.3 ; L. 20.6 cm. Paris, Beaux-Arts. La pièce Œdipe roi de Sophocle fut donnée au Teatro Olimpico de Vicence à l’occasion de son inauguration le 3 mars 1585. Véronèse conçoit les costumes de scène de manière hâtive, sans indication vestimentaire précise. Ces études sont exécutées au bas d’un acte juridique immobilier ; une autre inscription de la main de Véronèse mentionne des dettes concernant des loyers, du bétail et des céréales. Notes et références Voir aussi Articles connexes Le nom de fantaisie vert Véronèse est donné au à une teinte de vert. Bibliographie Les Fleurons de l'art, catalogue complet des peintures par peintre, Bordas (collection dirigée sous la direction de Pietro Marani), 1990 Véronèse le triomphe de la couleur, Anne-Sophie Molinié, Éditions À propos, 2009, Antoine-Orliac : Paul Véronèse et la splendeur vénitienne, Mercure de France, , tome CCVI, , 15 septembre 1928, David Rosand : Peindre à Venise au . Titien, Véronèse, Tintoret, Flammarion, Paris, 1997 Jean-Marc Irollo : Véronèse ou le miracle des Noces, Réunion des musées nationaux, 1992 Andreas Priever : Véronèse, Könemann, 2001 John Steer : La Peinture vénitienne, Thames & Hudson, 1990 Pierre Dantraique : La Peinture vénitienne, Ides et Calendes, 1989 Terisio Pignatti : Véronèse : catalogue complet des peintures'', Éditions Bordas, 1992 Articles connexes École vénitienne Art pendant la Réforme protestante et la Contre-Réforme Liens externes Biographie Biographie et analyse Paul Véronèse dans Artcyclopedia. Bases de données et dictionnaires Naissance à Vérone Peintre italien du XVIe siècle Peintre italien de la Renaissance tardive Peintre d'art sacré Peintre de nu Peintre fresquiste italien Peintre de scène mythologique Peintre vénitien Renaissance italienne 00 Décès à Venise Naissance en 1528 Décès en avril 1588
Partenaires sociaux européens
Les partenaires sociaux européens sont des organismes représentant les travailleurs et le patronat et participant au dialogue social européen. La Commission européenne a en effet pour obligation de consulter différents partenaires sociaux avant de présenter des propositions dans le domaine social (article 154 du Traité de Lisbonne sur le Fonctionnement de l'Union européenne). La mise en œuvre de l'agenda de Lisbonne implique la participation active des partenaires sociaux. Les partenaires sociaux siègent au Comité économique et social européen, et rencontrent, chaque année, les chefs de gouvernement et le président de la Commission lors du sommet social tripartite pour la croissance et l'emploi. Le rôle des partenaires sociaux et du dialogue social autonome est prévu, pour la première fois, dans le traité constitutionnel en voie de ratification (article I-48). Les principaux partenaires actuellement reconnus sont : Pour les salariés : La Confédération européenne des syndicats (et le comité de liaison Eurocadres/CEC European Managers) Pour les employeurs : BusinessEurope pour les sociétés privées (et smeUNITED https://smeunited.eu/ pour les PME) Le CEEP - Centre européen des entreprises à participation publique et des entreprises d'intérêt économique général pour les employeurs publics. Liens externes Qui sont les partenaires sociaux interprofessionnels en Europe? Notes et références Syndicat Politique économique et sociale de l'Union européenne
قائمة ألعاب كابكوم
أوكامي جود هاند تشوز ليجن دارك فويد دراغون دوغما ديد ريسينج ديد ريسينج 2 ديد ريسينج 2: أوف ذا ريكورد ديفل ماي كراي ديفل ماي كراي 2 ديفل ماي كراي 3 ديفل ماي كراي 4 دي إم سي ديفل ماي كراي ريزدنت إيفل (لعبة فيديو) ريزدنت إيفل 2 ريزدنت إيفل 3: نمسيس ريزدنت إيفل 4 ريزدنت إيفل 5 ريزدنت إيفل زيرو ريزدنت إيفل كود: فيرونكا ريزدنت إيفل أوت بريك ريزدنت إيفل أوت بريك فيل#2 كلوك تاور 3 لوست بلانيت: إكستريم كونديشن لوست بلانت 2 واي أوف ذا ساموراي واي أوف ذا ساموراي 2 ألعاب كابكوم قوائم ألعاب فيديو حسب الشركة
Ordre de bataille lors de la bataille de Mondovi
Ce qui suit est l'ordre de bataille des forces militaires en présence lors de la bataille de Mondovi, qui eut lieu le pendant les guerres de la première coalition. Forces Françaises Légendes : LtG. = lieutenant général GEC = général en chef GdB. = général de brigade MjG. = major général Cap. = capitaine GdD. = général de division Col. = colonel LtCol. = lieutenant colonel CdB = chef de bataillon Forces sardes Légendes : LtG. = lieutenant général GEC = général en chef GdB. = général de brigade MjG. = major général Cap. = capitaine GdD. = général de division Col. = colonel LtCol. = lieutenant colonel Références Bataille de la campagne d'Italie (1796-1797) Bataille impliquant le royaume de Sardaigne Bataille de 1796 Bataille gravée sous l'arc de triomphe de l'Étoile Avril 1796 Ordre de bataille des guerres de la Révolution française
الحدود الأردنية العراقية
الحدود الأردنية العراقية هي الحدود السياسية المشتركة بين المملكة الأردنية الهاشمية وجمهورية العراق. تمتد على مسافة 178 كيلومترًا، حيث تبدأ من تقاطع خط الطول 39ْ شرقًا مع خط العرض 32ْ شمالاً، ثم تسير في الشمال الغربي بخط مستقيم إلى أقرب نقطة على الحدود بين سوريا وشرق الأردن، على خط العرض 33ْ شمالاً. يقع على جانبيّ الحدود معبرين حدودين هما مركز حدود الكرامة بالقرب من بلدة الرويشد الأردنية في محافظة المفرق، ومجمع طريبيل الحدودي الذي يقع بالقرب في بلدة طريبيل العراقية في محافظة الأنبار. وتبعد حوالي 320 كيلومترًا (199 ميلاً) عن العاصمة الأردنية عمّان، و 575 كيلومترًا (357 ميلاً) عن العاصمة العراقية بغداد. لقد عبر تلك الحدود حوالي 800,000 مسافر في عام 2010. كما تعرضت للإغلاق المؤقت عدة مرات خلال السنوات الماضية بسب الظروف السياسية والأمنية الخاصة بالبلدين. تاريخ كانت الحدود الرسميّة القديمة بين البلدين شبه مفتوحة منذ استقلالهما عن بريطانيا، حيث كان الحكم الملكي في العراق حليفًا للحكم الملكي في الأردن. استمر هذا الحال حتى عام 1958، إثر ثورة 14 تموز التي أطاحت بالملكية في العراق. تم الاتفاق على ترسيم الحدود بين البلدين في منتصف الستينات من القرن الفائت، بعد إعادة العلاقات بينهما، إلا أنها لم تكن واضحة المعالم تمامًا. ذُكر في كتاب (دليل الجمهورية العراقية لسنة 1960 المنشور سنة في كانون الأول سنة 1969 الصادر بإشراف وزارة الإرشاد العراقية أنه "تم تثبيت الخط الفاصل بين العراق والاردن بعد الحرب العالمية الأولى من قبل السلطات البريطانية التي الاردن تحت انتدابها وحكومة العراق تحت نفوذها وتأثيرها فجاءت هذه الحدود هندسية أكثر منها طبيعية تستند على العوارض الجغرافية أو العوامل الاقتصادية أو العرفية، فهي تبدأ من نقطة التقائها بالحدود العراقية السورية وتمتد على شكل خط مستقيم مع انحراف قليل نحو الشرق حتى جبل عنزة إلى أن تتصل بالحدود العراقية السعودية". لقد تم ترسيم الحدود بشكلها النهائي عام 1984 بعد اتفاق الطرفين الأردني والعراقي رسميًا باتفاقية جرى إيداعها لدى المؤسسات الدوليّة اعتمدت خرائط الانتداب البريطاني في عشرينات القرن العشرين. ولقد شيّد الأردن بعدها نقاط عبور جديدة هي الحالية التي تبعد عن الحدود القديمة 72 كيلومترًا، وجرى ترحيل مركز عراقي متقدم في الأراضي الأردنية، معروف الآن باسم طريبيل، وإقامة مواقع عسكرية فيها، بعد أن اُكتُشف في جنوب طريبيل على بعد 15 كيلومترًا في منطقة الريشة حقل غاز الريشة عام 1985، وأقام الأردن في المنطقة محطة لتوليد الطاقة الكهربائية. كما قام بتشييد مبنى المركز الحدودي الحالي في 4 تشرين الثاني/ نوفمبر 1991. لقد ظهرت أصوات لسياسيين عراقيين بعد الاحتلال الأمريكي للعراق في 2003 تنادي بإعادة الحدود التي تم ترسيمها بين البلدين بحجة أن تلك الأراضي هي جزء مسلوخ من العراق في أيام نظام حزب البعث السابق ويجب إعادتها. ولقد انتقدت الحكومة الأردنية حينها هذه التصريحات والمطالبات، حيث أنها هي التي طالبت بإعادة الترسيم من أجل إنهاء التجاوز على حدودها الشرقية مع العراق واستعادة أرضها، مضيفة لذلك بأن العراق هو المستفيد من ترسيم الحدود ونقل المركز الحدودي إلى عشرات الكيلومترات خارج بلدة الرويشد الأردنية في تخفيف عمليات التهريب بين البلدين. يُشار إلى أن تنظيم الدولة الإسلامية (داعش) قد سيطر لفترة وجيزة على الجانب العراقي من المعبر الحدودي بين البلدين في 22 حزيران/ يونيو 2014 بعد معارك مع قوات الجيش العراقي اضطر الأخير على أثرها الانسحاب من بلدة طريبيل. انظر أيضًا العلاقات الأردنية العراقية حدود الأردن العراقيون في الأردن مخيم الوليد الركبان مراجع وصلات خارجية تقرير عن الحدود الأردنية العراقية | قناة الرشيد حدود الأردن حدود العراق حدود دولية
Payne
Personnalités Adreian Payne (1991-2022), joueur américain de basket-ball ; Alexander Payne (né en 1961), réalisateur et scénariste américain ; Allen Payne (né en 1968), acteur américain ; Andrew Payne (19?-), scénariste et dramaturge anglais ; Andy Payne (1907-1977), coureur à pied américain ; Anthony Payne (1936-2021), compositeur et critique musical britannique ; Billy Payne (né en 1947), homme politique américain ; Brandy Payne (né en 1978), femme politique canadienne ; Bruce Payne (1958-), acteur britannique ; Cecil Payne (1922-2007), saxophoniste américain de jazz ; Cecilia Payne-Gaposchkin (1900-1979), astronome anglo-américaine ; Dave Payne (19?-), scénariste et réalisateur américain ; Demi Payne (née en 1991), athlète américaine ; Don Payne (1964-2013), scénariste et producteur américain ; Dorothy Payne Whitney (1887-1968), héritière et philanthrope américaine ; Dusty Payne (né en 1988), surfeur professionnel américain ; Edgar Payne (1883-1948), peintre américain ; Edna Payne (1891-1953), actrice américaine ; Freda Payne (née en 1942), chanteuse et actrice américaine ; (1685-1757), franc-maçon britannique ; Harry Payne (1907-2000), joueur gallois de rugby à XV ; Heather Payne (née en 2000), footballeuse internationale irlandaise ; Henry C. Payne (1843-1903), homme politique américain ; Herbert Payne (1866-1944), homme politique australien ; James W. Payne (1929-1992), chef décorateur américain ; Jared Payne (né en 1985), joueur irlandais de rugby à XV ; Jody Payne (1936-2013), chanteur et musicien de country américain ; Joe Payne (1914-1975), footballeur anglais ; Julie Payne (1940-), actrice américaine ; Kenny Payne (né en 1966), joueur américain de basket-ball ; Keri-Anne Payne (née en 1987), nageuse britannique ; Kherington Payne (née en 1990), danseuse et actrice américaine ; King Payne (17?-1812), chef séminole ; LaVar Payne (né en 1945), homme politique canadien ; Leonidas Payne (1873-1945), linguiste américain ; Liam Payne (né en 1993), chanteur des One Direction ; Louis Payne (1873-1953), acteur américain ; Mark Payne (né en 1988), basketteur américain ; Marita Payne (née en 1960), athlète canadienne ; Marise Payne (née en 1964), femme politique australienne ; Marvin Payne (né en 1955), joueur américain de basket-ball ; Nicola Payne (née en 1960), rameuse d'aviron néo-zélandaise ; Nicolle Payne (née en 1976), joueuse américaine de water-polo ; Roger Payne (1935-2023), biologiste américain ; Sam Payne (1971-), joueur de rugby à XV de l'équipe d'Australie ; Shaun Payne (1972-), joueur de rugby à XV d'Afrique du Sud ; Sanley G. Payne (né en 1934), historien américain ; Steve Payne (1972-), joueur américain de basket-ball ; Sydney Payne (1997-), rameuse canadienne ; Sylvia Payne (1880-1976), psychiatre et psychanalyste britannique ; Thelma Payne (1896-1988), plongeuse américaine ; Toni Payne (née en 1995), footballeuse nigériane ; Waylon Payne (né en 1972), acteur, chanteur et musicien américain. Toponymie Canada Lac Payne, un plan d'eau du territoire non organisé de Rivière-Koksoak, dans la région administrative du Nord-du-Québec, au Québec. Coordonnées géographiques: 59° 27' 10"; 74° 00' 00". États-Unis Payne, une localité de Géorgie, Payne, une localité de l'Ohio, Comté de Payne, dans l'Oklahoma, Paynes Prairie, un parc naturel de l'État de Floride. Payne Springs, une ville du comté de Henderson, dans l’État du Texas. Divers Payne : série télévisée américaine de 1999. Max Payne: jeu vidéo d'action Patronyme anglais Homonymie de localités aux États-Unis
Paris Blohm
Paris Blohm, est un DJ américain basé à Los Angeles. En 2013, Paris Blohm se fait repérer grâce à son single Free Fall, sorti sur Oxygen. Colors et Left Behinds sont ses plus grands succès, atteignant respectivement la et 1 place du top 100 réalisé par la plate-forme de téléchargements Beatport. Discographie Singles 2013 : Free Fall [Oxygen (Spinnin')] 2013 : Lost In Me [Enhanced Recordings] 2013 : Synchronize feat. Hadouken! (avec Tom Swoon) [Ultra] 2014 : Colors (avec Tritonal) [Protocol Recordings] 2014 : Left Behinds (avec Taylr Renee) [Revealed Recordings] 2015 : Demons [Protocol Recordings] 2015 : Fight Forever (avec Steerner & Paul Aiden) [Zouk Recordings (Armada)] 2015 : In Your Eyes [Free Download] 2016 : Get There [Spinnin Records] 2016 : Something About You [Revealed Recordings] 2017 : Let Me Go (feat. KARRA) [Trap Nation/Lowly Palace] 2018 : Body High (feat. Myah Marie) [Revealed Recordings] 2018 : Alive (feat. Paul Aiden) [Revealed Recordings] 2019 : Warriors (feat. Romysa) [Revealed Recordings] Remixes 2013 : Aruna - Reason To Believe (Paris Blohm Remix) [Enhanced Music] 2014 : Jonathan Mendelsohn & Andrew Rayel - One In A Million (Paris Blohm Remix) [Armind (Armada)] 2015 : Seven Lions & Lynn Gunn - Lose Myself (Paris Blohm Remix) [Universal-Island Records Ltd] 2017: Galantis Ft HookNsling - Love on me(Paris Blohm Remix) [Soundcloud] Notes et références Liens externes Paris Blohm sur Beatport Disc jockey américain Musicien américain de musique électronique
Alfred Teinitzer
Alfred Teinitzer est un footballeur autrichien né le et mort le . Il évoluait au poste de milieu. Biographie Il joue dans deux clubs durant sa carrière, le Rapid Vienne et le LASK Linz. Il ne joue jamais en équipe d'Autriche, mais fait toutefois partie du groupe autrichien qui termine troisième de la Coupe du monde 1954. Carrière 1949-1952 : Rapid Vienne 1952-? : LASK Linz Palmarès En sélection Troisième de la Coupe du monde en 1954 En club Champion d'Autriche en 1951 et 1952 avec le Rapid Vienne Vainqueur de la Coupe Mitropa en 1951 avec le Rapid Vienne Références Liens externes Footballeur autrichien Joueur du Rapid Vienne Joueur du LASK Linz Naissance en juillet 1929 Naissance à Vienne (Autriche) Décès à 91 ans Décès en avril 2021
Silius
Silius est une commune italienne d'environ habitants, située dans la province du Sud-Sardaigne, dans la région Sardaigne en Italie. Administration Hameaux Communes limitrophes Ballao, Goni, San Basilio, San Nicolò Gerrei, Siurgus Donigala Notes et références Commune dans la province du Sud-Sardaigne