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-195 -liberté, ils ne se livreront pas à une joie immo-dérée en conservant alors leur âme en paix, ils montreront qu'ils ont porté sans murmure la croix qui leur avait été imposée. 3° Ils ne se permettront d'exprimer aucun regret de la perte soit de leurs biens, soit de leurs effets, ni aucun ressentiment contre ceux qui les possèdent. 4° Ils ne satisferont point 1rs curieux sur ce qu'ils auront eu à souffrir et dans leurs famil-les même ils n'en parleront qu'avec beaucoup de prudence et de modération. 5° Dès à présent ils ne feront qu'un coeur et qu'une âme, sans acception de personnes... Ils ne se mêleront pas de nouvelles politiques' ils se borneront à prier pour le bonheur de leur patrie, à se proposer pour eux une vie toute nouvelle si Dieu permet qu'ils retournent chez eux, afin d'y devenir des sujets d'édification et des modèles de vertu pour le peuple..,. Ces héroïques résolutions, tous les accompli-rent avec une fidélité et une constance qui ne se démentirent jamais. Les deux cent trente sur-vivants donnèrent à leur tour une preuve écla-tante de l'oubli des injures le jour même où ils s'étaient vus rendus à la liberté. Alors le rôle des opprimés et le rôle des oppresseurs changè-rent complètement. Les capitaines des deux na-vires, qui durant une année entière avaient donné
-195 -liberté, ils ne se livreront pas à une joie immo-dérée en conservant alors leur âme en paix, ils montreront qu'ils ont porté sans murmure la croix qui leur avait été imposée. 3° Ils ne se permettront d'exprimer aucun regret de la perte soit de leurs biens, soit de leurs effets, ni aucun ressentiment contre ceux qui les possèdent. 4° Ils ne satisferont point 1rs curieux sur ce qu'ils auront eu à souffrir et dans leurs famil-les même ils n'en parleront qu'avec beaucoup de prudence et de modération. 5° Dès à présent ils ne feront qu'un coeur et qu'une âme, sans acception de personnes... Ils ne se mêleront pas de nouvelles politiques' ils se borneront à prier pour le bonheur de leur patrie, à se proposer pour eux une vie toute nouvelle si Dieu permet qu'ils retournent chez eux, afin d'y devenir des sujets d'édification et des modèles de vertu pour le peuple..,. Ces héroïques résolutions, tous les accompli-rent avec une fidélité et une constance qui ne se démentirent jamais. Les deux cent trente sur-vivants donnèrent à leur tour une preuve écla-tante de l'oubli des injures le jour même où ils s'étaient vus rendus à la liberté. Alors le rôle des opprimés et le rôle des oppresseurs changè-rent complètement. Les capitaines des deux na-vires, qui durant une année entière avaient donné
-195 -liberté, ils ne se livreront pas à une joie immo-dérée en conservant alors leur âme en paix, ils montreront qu'ils ont porté sans murmure la croix qui leur avait été imposée. 3° Ils ne se permettront d'exprimer aucun regret de la perte soit de leurs biens, soit de leurs effets, ni aucun ressentiment contre ceux qui les possèdent. 4° Ils ne satisferont point les curieux sur ce qu'ils auront eu à souffrir et dans leurs famil-les même ils n'en parleront qu'avec beaucoup de prudence et de modération. 5° Dès à présent ils ne feront qu'un coeur et qu'une âme, sans acception de personnes... Ils ne se mêleront pas de nouvelles politiques@ ils se borneront à prier pour le bonheur de leur patrie, à se proposer pour eux une vie toute nouvelle si Dieu permet qu'ils retournent chez eux, afin d'y devenir des sujets d'édification et des modèles de vertu pour le peuple..,. Ces héroïques résolutions, tous les accompli-rent avec une fidélité et une constance qui ne se démentirent jamais. Les deux cent trente sur-vivants donnèrent à leur tour une preuve écla-tante de l'oubli des injures le jour même où ils s'étaient vus rendus à la liberté. Alors le rôle des opprimés et le rôle des oppresseurs changè-rent complètement. Les capitaines des deux na-vires, qui durant une année entière avaient donné
Les capitaines des deux na-vires, qui durant une année entière avaient donné
Les capitaines des deux na-vires, qui durant une année entière avaient donné
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-196 -à leurs équipages l'exemple trop bien suivi de la plus inique et de la plus insolente cruauté, com-mencèrent à craindre que les victimes qu'ils n'avaient pas eu le temps d'immoler, une fois libres de parler et d'agir, ne portassent des plaintes contre eux. Devenus tout à coup timi-des et rampants, ils se jettent, pour ainsi dire, aux pieds de ceux qu'ils avaient si peu ménagés, pour en obtenir des certificats constatant que les prisonniers avaient toujours été traités hu-mainement. Les confesseurs de la foi ne conser-vaient aucun ressentiment ni des spoliations, ni des outrages, ni des cruautés exercées sur leurs personnes ils donnèrent des certificats où ils déclaraient que les deux capitaines, dans les mesures de sévérité par eux suivies, n'avaient fait que céder aux dures exigences des lois ré-volutionnaires et n'ajoutèrent pas un mot qui pût les inculper. 0 vous donc, dirons-nous avec l'auteur des Martyrs de la Foi, ô vou ! tristes élèves de cette impiété qu'on appelle philosophie, et en vertu de laquelle tant de saints prêtres ont été si indi-gnement traités, apprenez à les connaître, en considérant les obligations angéliques que s'é-taient imposées et que remplirent avec une admi-rable ponctualité ces hommes vraiment célestes dont en effet le monde n'était pas digne.
-196 -à leurs équipages l'exemple trop bien suivi de la plus inique et de la plus insolente cruauté, com-mencèrent à craindre que les victimes qu'ils n'avaient pas eu le temps d'immoler, une fois libres de parler et d'agir, ne portassent des plaintes contre eux. Devenus tout à coup timi-des et rampants, ils se jettent, pour ainsi dire, aux pieds de ceux qu'ils avaient si peu ménagés, pour en obtenir des certificats constatant que les prisonniers avaient toujours été traités hu-mainement. Les confesseurs de la foi ne conser-vaient aucun ressentiment ni des spoliations, ni des outrages, ni des cruautés exercées sur leurs personnes ils donnèrent des certificats où ils déclaraient que les deux capitaines, dans les mesures de sévérité par eux suivies, n'avaient fait que céder aux dures exigences des lois ré-volutionnaires et n'ajoutèrent pas un mot qui pût les inculper. 0 vous donc, dirons-nous avec l'auteur des Martyrs de la Foi, ô vou ! tristes élèves de cette impiété qu'on appelle philosophie, et en vertu de laquelle tant de saints prêtres ont été si indi-gnement traités, apprenez à les connaître, en considérant les obligations angéliques que s'é-taient imposées et que remplirent avec une admi-rable ponctualité ces hommes vraiment célestes dont en effet le monde n'était pas digne.
-196 -à leurs équipages l'exemple trop bien suivi de la plus inique et de la plus insolente cruauté, com-mencèrent à craindre que les victimes qu'ils n'avaient pas eu le temps d'immoler, une fois libres de parler et d'agir, ne portassent des plaintes contre eux. Devenus tout à coup timi-des et rampants, ils se jettent, pour ainsi dire, aux pieds de ceux qu'ils avaient si peu ménagés, pour en obtenir des certificats constatant que les prisonniers avaient toujours été traités hu-mainement. Les confesseurs de la foi ne conser-vaient aucun ressentiment ni des spoliations, ni des outrages, ni des cruautés exercées sur leurs personnes ils donnèrent des certificats où ils déclaraient que les deux capitaines, dans les mesures de sévérité par eux suivies, n'avaient fait que céder aux dures exigences des lois ré-volutionnaires et n'ajoutèrent pas un mot qui pût les inculper. O vous donc, dirons-nous avec l'auteur des Martyrs de la Foi, ô vou ! tristes élèves de cette impiété qu'on appelle philosophie, et en vertu de laquelle tant de saints prêtres ont été si indi-gnement traités, apprenez à les connaître, en considérant les obligations angéliques que s'é-taient imposées et que remplirent avec une admi-rable ponctualité ces hommes vraiment célestes dont en effet le monde n'était pas digne.
-196 -à leurs équipages l'exemple trop bien suivi de la plus inique et de la plus insolente cruauté, com-mencèrent à craindre que les victimes qu'ils n'avaient pas eu le temps d'immoler, une fois libres de parler et d'agir, ne portassent des plaintes contre eux.
-196 -à leurs équipages l'exemple trop bien suivi de la plus inique et de la plus insolente cruauté, com-mencèrent à craindre que les victimes qu'ils n'avaient pas eu le temps d'immoler, une fois libres de parler et d'agir, ne portassent des plaintes contre eux.
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-196 -à leurs équipages l'exemple trop bien suivi de la plus inique et de la plus insolente cruauté, com-mencèrent à craindre que les victimes qu'ils n'avaient pas eu le temps d'immoler, une fois libres de parler et d'agir, ne portassent des plaintes contre eux. Devenus tout à coup timi-des et rampants, ils se jettent, pour ainsi dire, aux pieds de ceux qu'ils avaient si peu ménagés, pour en obtenir des certificats constatant que les prisonniers avaient toujours été traités hu-mainement. Les confesseurs de la foi ne conser-vaient aucun ressentiment ni des spoliations, ni des outrages, ni des cruautés exercées sur leurs personnes ils donnèrent des certificats où ils déclaraient que les deux capitaines, dans les mesures de sévérité par eux suivies, n'avaient fait que céder aux dures exigences des lois ré-volutionnaires et n'ajoutèrent pas un mot qui pût les inculper. 0 vous donc, dirons-nous avec l'auteur des Martyrs de la Foi, ô vou ! tristes élèves de cette impiété qu'on appelle philosophie, et en vertu de laquelle tant de saints prêtres ont été si indi-gnement traités, apprenez à les connaître, en considérant les obligations angéliques que s'é-taient imposées et que remplirent avec une admi-rable ponctualité ces hommes vraiment célestes dont en effet le monde n'était pas digne.
-196 -à leurs équipages l'exemple trop bien suivi de la plus inique et de la plus insolente cruauté, com-mencèrent à craindre que les victimes qu'ils n'avaient pas eu le temps d'immoler, une fois libres de parler et d'agir, ne portassent des plaintes contre eux. Devenus tout à coup timi-des et rampants, ils se jettent, pour ainsi dire, aux pieds de ceux qu'ils avaient si peu ménagés, pour en obtenir des certificats constatant que les prisonniers avaient toujours été traités hu-mainement. Les confesseurs de la foi ne conser-vaient aucun ressentiment ni des spoliations, ni des outrages, ni des cruautés exercées sur leurs personnes ils donnèrent des certificats où ils déclaraient que les deux capitaines, dans les mesures de sévérité par eux suivies, n'avaient fait que céder aux dures exigences des lois ré-volutionnaires et n'ajoutèrent pas un mot qui pût les inculper. 0 vous donc, dirons-nous avec l'auteur des Martyrs de la Foi, ô vou ! tristes élèves de cette impiété qu'on appelle philosophie, et en vertu de laquelle tant de saints prêtres ont été si indi-gnement traités, apprenez à les connaître, en considérant les obligations angéliques que s'é-taient imposées et que remplirent avec une admi-rable ponctualité ces hommes vraiment célestes dont en effet le monde n'était pas digne.
-196 -à leurs équipages l'exemple trop bien suivi de la plus inique et de la plus insolente cruauté, com-mencèrent à craindre que les victimes qu'ils n'avaient pas eu le temps d'immoler, une fois libres de parler et d'agir, ne portassent des plaintes contre eux. Devenus tout à coup timi-des et rampants, ils se jettent, pour ainsi dire, aux pieds de ceux qu'ils avaient si peu ménagés, pour en obtenir des certificats constatant que les prisonniers avaient toujours été traités hu-mainement. Les confesseurs de la foi ne conser-vaient aucun ressentiment ni des spoliations, ni des outrages, ni des cruautés exercées sur leurs personnes ils donnèrent des certificats où ils déclaraient que les deux capitaines, dans les mesures de sévérité par eux suivies, n'avaient fait que céder aux dures exigences des lois ré-volutionnaires et n'ajoutèrent pas un mot qui pût les inculper. O vous donc, dirons-nous avec l'auteur des Martyrs de la Foi, ô vou ! tristes élèves de cette impiété qu'on appelle philosophie, et en vertu de laquelle tant de saints prêtres ont été si indi-gnement traités, apprenez à les connaître, en considérant les obligations angéliques que s'é-taient imposées et que remplirent avec une admi-rable ponctualité ces hommes vraiment célestes dont en effet le monde n'était pas digne.
Devenus tout à coup timi-des et rampants, ils se jettent, pour ainsi dire, aux pieds de ceux qu'ils avaient si peu ménagés, pour en obtenir des certificats constatant que les prisonniers avaient toujours été traités hu-mainement.
Devenus tout à coup timi-des et rampants, ils se jettent, pour ainsi dire, aux pieds de ceux qu'ils avaient si peu ménagés, pour en obtenir des certificats constatant que les prisonniers avaient toujours été traités hu-mainement.
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-196 -à leurs équipages l'exemple trop bien suivi de la plus inique et de la plus insolente cruauté, com-mencèrent à craindre que les victimes qu'ils n'avaient pas eu le temps d'immoler, une fois libres de parler et d'agir, ne portassent des plaintes contre eux. Devenus tout à coup timi-des et rampants, ils se jettent, pour ainsi dire, aux pieds de ceux qu'ils avaient si peu ménagés, pour en obtenir des certificats constatant que les prisonniers avaient toujours été traités hu-mainement. Les confesseurs de la foi ne conser-vaient aucun ressentiment ni des spoliations, ni des outrages, ni des cruautés exercées sur leurs personnes ils donnèrent des certificats où ils déclaraient que les deux capitaines, dans les mesures de sévérité par eux suivies, n'avaient fait que céder aux dures exigences des lois ré-volutionnaires et n'ajoutèrent pas un mot qui pût les inculper. 0 vous donc, dirons-nous avec l'auteur des Martyrs de la Foi, ô vou ! tristes élèves de cette impiété qu'on appelle philosophie, et en vertu de laquelle tant de saints prêtres ont été si indi-gnement traités, apprenez à les connaître, en considérant les obligations angéliques que s'é-taient imposées et que remplirent avec une admi-rable ponctualité ces hommes vraiment célestes dont en effet le monde n'était pas digne.
-196 -à leurs équipages l'exemple trop bien suivi de la plus inique et de la plus insolente cruauté, com-mencèrent à craindre que les victimes qu'ils n'avaient pas eu le temps d'immoler, une fois libres de parler et d'agir, ne portassent des plaintes contre eux. Devenus tout à coup timi-des et rampants, ils se jettent, pour ainsi dire, aux pieds de ceux qu'ils avaient si peu ménagés, pour en obtenir des certificats constatant que les prisonniers avaient toujours été traités hu-mainement. Les confesseurs de la foi ne conser-vaient aucun ressentiment ni des spoliations, ni des outrages, ni des cruautés exercées sur leurs personnes ils donnèrent des certificats où ils déclaraient que les deux capitaines, dans les mesures de sévérité par eux suivies, n'avaient fait que céder aux dures exigences des lois ré-volutionnaires et n'ajoutèrent pas un mot qui pût les inculper. 0 vous donc, dirons-nous avec l'auteur des Martyrs de la Foi, ô vou ! tristes élèves de cette impiété qu'on appelle philosophie, et en vertu de laquelle tant de saints prêtres ont été si indi-gnement traités, apprenez à les connaître, en considérant les obligations angéliques que s'é-taient imposées et que remplirent avec une admi-rable ponctualité ces hommes vraiment célestes dont en effet le monde n'était pas digne.
-196 -à leurs équipages l'exemple trop bien suivi de la plus inique et de la plus insolente cruauté, com-mencèrent à craindre que les victimes qu'ils n'avaient pas eu le temps d'immoler, une fois libres de parler et d'agir, ne portassent des plaintes contre eux. Devenus tout à coup timi-des et rampants, ils se jettent, pour ainsi dire, aux pieds de ceux qu'ils avaient si peu ménagés, pour en obtenir des certificats constatant que les prisonniers avaient toujours été traités hu-mainement. Les confesseurs de la foi ne conser-vaient aucun ressentiment ni des spoliations, ni des outrages, ni des cruautés exercées sur leurs personnes ils donnèrent des certificats où ils déclaraient que les deux capitaines, dans les mesures de sévérité par eux suivies, n'avaient fait que céder aux dures exigences des lois ré-volutionnaires et n'ajoutèrent pas un mot qui pût les inculper. O vous donc, dirons-nous avec l'auteur des Martyrs de la Foi, ô vou ! tristes élèves de cette impiété qu'on appelle philosophie, et en vertu de laquelle tant de saints prêtres ont été si indi-gnement traités, apprenez à les connaître, en considérant les obligations angéliques que s'é-taient imposées et que remplirent avec une admi-rable ponctualité ces hommes vraiment célestes dont en effet le monde n'était pas digne.
Les confesseurs de la foi ne conser-vaient aucun ressentiment ni des spoliations, ni des outrages, ni des cruautés exercées sur leurs personnes ils donnèrent des certificats où ils déclaraient que les deux capitaines, dans les mesures de sévérité par eux suivies, n'avaient fait que céder aux dures exigences des lois ré-volutionnaires et n'ajoutèrent pas un mot qui pût les inculper.
Les confesseurs de la foi ne conser-vaient aucun ressentiment ni des spoliations, ni des outrages, ni des cruautés exercées sur leurs personnes ils donnèrent des certificats où ils déclaraient que les deux capitaines, dans les mesures de sévérité par eux suivies, n'avaient fait que céder aux dures exigences des lois ré-volutionnaires et n'ajoutèrent pas un mot qui pût les inculper.
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-196 -à leurs équipages l'exemple trop bien suivi de la plus inique et de la plus insolente cruauté, com-mencèrent à craindre que les victimes qu'ils n'avaient pas eu le temps d'immoler, une fois libres de parler et d'agir, ne portassent des plaintes contre eux. Devenus tout à coup timi-des et rampants, ils se jettent, pour ainsi dire, aux pieds de ceux qu'ils avaient si peu ménagés, pour en obtenir des certificats constatant que les prisonniers avaient toujours été traités hu-mainement. Les confesseurs de la foi ne conser-vaient aucun ressentiment ni des spoliations, ni des outrages, ni des cruautés exercées sur leurs personnes ils donnèrent des certificats où ils déclaraient que les deux capitaines, dans les mesures de sévérité par eux suivies, n'avaient fait que céder aux dures exigences des lois ré-volutionnaires et n'ajoutèrent pas un mot qui pût les inculper. 0 vous donc, dirons-nous avec l'auteur des Martyrs de la Foi, ô vou ! tristes élèves de cette impiété qu'on appelle philosophie, et en vertu de laquelle tant de saints prêtres ont été si indi-gnement traités, apprenez à les connaître, en considérant les obligations angéliques que s'é-taient imposées et que remplirent avec une admi-rable ponctualité ces hommes vraiment célestes dont en effet le monde n'était pas digne.
-196 -à leurs équipages l'exemple trop bien suivi de la plus inique et de la plus insolente cruauté, com-mencèrent à craindre que les victimes qu'ils n'avaient pas eu le temps d'immoler, une fois libres de parler et d'agir, ne portassent des plaintes contre eux. Devenus tout à coup timi-des et rampants, ils se jettent, pour ainsi dire, aux pieds de ceux qu'ils avaient si peu ménagés, pour en obtenir des certificats constatant que les prisonniers avaient toujours été traités hu-mainement. Les confesseurs de la foi ne conser-vaient aucun ressentiment ni des spoliations, ni des outrages, ni des cruautés exercées sur leurs personnes ils donnèrent des certificats où ils déclaraient que les deux capitaines, dans les mesures de sévérité par eux suivies, n'avaient fait que céder aux dures exigences des lois ré-volutionnaires et n'ajoutèrent pas un mot qui pût les inculper. 0 vous donc, dirons-nous avec l'auteur des Martyrs de la Foi, ô vou ! tristes élèves de cette impiété qu'on appelle philosophie, et en vertu de laquelle tant de saints prêtres ont été si indi-gnement traités, apprenez à les connaître, en considérant les obligations angéliques que s'é-taient imposées et que remplirent avec une admi-rable ponctualité ces hommes vraiment célestes dont en effet le monde n'était pas digne.
-196 -à leurs équipages l'exemple trop bien suivi de la plus inique et de la plus insolente cruauté, com-mencèrent à craindre que les victimes qu'ils n'avaient pas eu le temps d'immoler, une fois libres de parler et d'agir, ne portassent des plaintes contre eux. Devenus tout à coup timi-des et rampants, ils se jettent, pour ainsi dire, aux pieds de ceux qu'ils avaient si peu ménagés, pour en obtenir des certificats constatant que les prisonniers avaient toujours été traités hu-mainement. Les confesseurs de la foi ne conser-vaient aucun ressentiment ni des spoliations, ni des outrages, ni des cruautés exercées sur leurs personnes ils donnèrent des certificats où ils déclaraient que les deux capitaines, dans les mesures de sévérité par eux suivies, n'avaient fait que céder aux dures exigences des lois ré-volutionnaires et n'ajoutèrent pas un mot qui pût les inculper. O vous donc, dirons-nous avec l'auteur des Martyrs de la Foi, ô vou ! tristes élèves de cette impiété qu'on appelle philosophie, et en vertu de laquelle tant de saints prêtres ont été si indi-gnement traités, apprenez à les connaître, en considérant les obligations angéliques que s'é-taient imposées et que remplirent avec une admi-rable ponctualité ces hommes vraiment célestes dont en effet le monde n'était pas digne.
0 vous donc, dirons-nous avec l'auteur des Martyrs de la Foi, ô vou ! tristes élèves de cette impiété qu'on appelle philosophie, et en vertu de laquelle tant de saints prêtres ont été si indi-gnement traités, apprenez à les connaître, en considérant les obligations angéliques que s'é-taient imposées et que remplirent avec une admi-rable ponctualité ces hommes vraiment célestes dont en effet le monde n'était pas digne.
O vous donc, dirons-nous avec l'auteur des Martyrs de la Foi, ô vou ! tristes élèves de cette impiété qu'on appelle philosophie, et en vertu de laquelle tant de saints prêtres ont été si indi-gnement traités, apprenez à les connaître, en considérant les obligations angéliques que s'é-taient imposées et que remplirent avec une admi-rable ponctualité ces hommes vraiment célestes dont en effet le monde n'était pas digne.
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0.002375
0.013333
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5 examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'antre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France , Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, poursuit le professeur, est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
5 @examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'antre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France , Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, @poursuit le professeur, @est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
5 -examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'autre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France@, Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, -poursuit le professeur, -est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
5 examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie.
5 -examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie.
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0.055556
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5 examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'antre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France , Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, poursuit le professeur, est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
5 @examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'antre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France , Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, @poursuit le professeur, @est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
5 -examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'autre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France@, Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, -poursuit le professeur, -est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
Les naturalistes de l'antre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base.
Les naturalistes de l'autre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base.
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5 examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'antre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France , Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, poursuit le professeur, est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
5 @examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'antre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France , Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, @poursuit le professeur, @est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
5 -examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'autre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France@, Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, -poursuit le professeur, -est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme.
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5 @examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'antre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France , Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, @poursuit le professeur, @est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
5 -examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'autre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France@, Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, -poursuit le professeur, -est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée.
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5 examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'antre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France , Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, poursuit le professeur, est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
5 @examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'antre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France , Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, @poursuit le professeur, @est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
5 -examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'autre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France@, Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, -poursuit le professeur, -est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France , Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements.
Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France, Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements.
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5 examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'antre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France , Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, poursuit le professeur, est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
5 @examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'antre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France , Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, @poursuit le professeur, @est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
5 -examiner tout à l'heure les arguments qui ont été produits à l'appui de cette thèse hardie. Les naturalistes de l'autre école, procédant à rebours des premiers, ont commencé par établir avec un soin par-ticulier, avec un véritable luxe de témoignages, et sans paraître se préoccuper des conséquences, que la série des vertébrés n'est qu'un prolongement direct de la série des invertébrés que les deux types sont fondamentalement semblables qu'ils ont, l'un comme l'autre, le zoonitisme ou polyzoïsme pour base. Cette large concession faite à la vérité scientifique, alors seulement on parut se douter du coup mortel qui devait en résulter pour le dogme du monozoïsme. On eut l'air de vou-loir se raviser mais, vu l'impossibilité de rétracter tant de preuves matérielles, tant de faits décisifs mis à découvert, on a essayé de jeter un nuage sur ces faits pour en dissi-muler la signification et la portée. Le naturaliste distingué qui occupe la chaire de zoologie au Muséum a présenté dans les termes suivants la défense de la première de ces deux doctrines, à laquelle il s'est rallié à la suite d'un autre physiologiste français des plus éminents Il n'y a pas que le système nerveux, dit-il, ou à sa place la vertèbre, qui différencie nettement les animaux verté-brés des animaux invertébrés. Sous bien des rapports, ceux-ci diffèrent totalement des premiers. Cette séparation, presque absolue, qui a soulevé les critiques si obstinées des naturalistes de l'école dite philosophique parmi lesquels nous voyons Geoffroy Saint-Hilaire, en France@, Goethe et Oken, en Allemagne, demande à être établie par quelques développements. Une des premières notions à acquérir, -poursuit le professeur, -est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
Une des premières notions à acquérir, poursuit le professeur, est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
Une des premières notions à acquérir, -poursuit le professeur, -est relative à la distribution tout à fait diffé-rente, chez les vertébrés et les invertébrés, de cette chose
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81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulca est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nominagenericanon aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre@ Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulc@a est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. @1 @@Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina@generica@non aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genres Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia coerulcea est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 81 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIII Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina generica non abutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alia arte illustrium favorem captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS.
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genres Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS.
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81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulca est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nominagenericanon aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre@ Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulc@a est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. @1 @@Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina@generica@non aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genres Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia coerulcea est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 81 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIII Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina generica non abutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alia arte illustrium favorem captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 .
à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 .
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81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulca est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nominagenericanon aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre@ Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulc@a est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. @1 @@Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina@generica@non aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genres Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia coerulcea est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 81 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIII Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina generica non abutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alia arte illustrium favorem captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
La Belvisia ccerulca est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées.
La Belvisia coerulcea est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées.
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81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulca est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nominagenericanon aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre@ Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulc@a est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. @1 @@Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina@generica@non aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genres Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia coerulcea est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 81 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIII Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina generica non abutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alia arte illustrium favorem captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS.
La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS.
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81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulca est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nominagenericanon aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre@ Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulc@a est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. @1 @@Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina@generica@non aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genres Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia coerulcea est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 81 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIII Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina generica non abutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alia arte illustrium favorem captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
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81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulca est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nominagenericanon aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre@ Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulc@a est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. @1 @@Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina@generica@non aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genres Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia coerulcea est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 81 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIII Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina generica non abutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alia arte illustrium favorem captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
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81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre@ Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulc@a est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. @1 @@Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina@generica@non aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genres Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia coerulcea est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 81 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIII Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina generica non abutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alia arte illustrium favorem captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
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81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre@ Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulc@a est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. @1 @@Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina@generica@non aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genres Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia coerulcea est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 81 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIII Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina generica non abutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alia arte illustrium favorem captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
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81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulca est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nominagenericanon aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre@ Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulc@a est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. @1 @@Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina@generica@non aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genres Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia coerulcea est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 81 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIII Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina generica non abutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alia arte illustrium favorem captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804.
29 à 32, planche LXXVIII Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804.
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81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulca est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nominagenericanon aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genre@ Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia ccerulc@a est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. @1 @@Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIIL Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina@generica@non aèutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alla arte illustrium favorcm captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
81 sous le nom de Belvisia, un genre de plantes ayant le port des Pteris et celui des polypodes mais les différentes espè-ces qui le composaient étant rentrées dans les genres Lomaria et Asplenium, déjà existans, mon ami M. DES-VAUX , qui fut aussi celui de notre savant académicien, a proposé 1 de donner le nom de PALISOT DE BEAUVOIS. à la plante d'Oware, que cet infatigable voyageur avait consacrée à NAPOLEON BONAPARTE 2 , en opposition à la loi prescrite aux botanistes par leur illustre maître de ne jamais imposer aux plantes le nom d'hommes étrangers à la science, quels que fussent d'ailleurs leurs droits à l'immortalité 3 . La Belvisia coerulcea est remarquable par la beauté, par la singularité de ses fleurs bleues c'est un ordre nouveau, un ordre intermédiaire entre les pas-siflores et les cucurbitacées. La proposition de M. DES-VAUX méritait d'être adoptée, elle l'a été par les botanistes français elle lésera de même par tous ceux qui cultivent l'aimable science, par tous ceux qui se plaisent à payer un juste tribut à la mémoire de quiconque en a étendu les limites et la gloire et certes , à Ce double titre , per-sonne ne contestera la palme à PALISOT DE BEAUVOIS. 81 1 Journal de Botanique, tom. VI le IVe. de la nou-velle série , pag. 128-130. 2 Mémoire lu à l'Institut le 16 vendémiaire an XIII 8 octobre 1804 . Elle est décrite et figurée dans la Flore d'Oware, t. II, pag. 29 à 32, planche LXXVIII Elle a paru séparément in-plano, avec un extrait du mémoire, en 1804. 3 Nomina generica non abutenda sunt ad sancto-rum, hominumve in alia arte illustrium favorem captandam aut memoriam conservandam. LINNET. Phiiosophia botanica n°. 36
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation.
Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
-Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus.
Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
- Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage.
-Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier.
Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
Que reste-t-il à trouver?
Que reste-t-il à trouver?
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
Quelques billets de mille francs comme réserve.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir !
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
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A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps.
A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte.
Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires.
Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats.
Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des avocats.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
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De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital.
Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
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Ludovic pensa que l'heure avait sonné.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
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-Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
N'est-ce pas le cas de presser les choses?
N'est-ce pas le cas de presser les choses ?
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
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Qu'en pensez-vous?
Qu'en pensez-vous ?
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
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Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses? Qu'en pensez-vous? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 2@H sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait-, une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentit la privation. -Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. - Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation - C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs 1 ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des -avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses@? Qu'en pensez-vous@? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 211 sables. Il voulait que les choses se fissent convenablement, et sinon avec luxe, du moins avec une certaine aisance. Il se plaisait à l'idée d'avoir un intérieur bien monté, bien pourvu, et où il pût reposer un regard satisfait@@ une maison décente quoique modeste, et où rien ne sentît la privation. @Quand il venait voir la jeune fille, et c'était tous les jours et à des heures régulières, il ramenait l'entretien là-dessus. -@Qu'il me vienne encore une affaire ou deux, Margue-rite, lui disait-il, et nous pourrons sans imprudence entrer en ménage. Hier encore, j'ai mis de côté un rouleau de louis pour la corbeille j'avais déjà plus qu'il ne faut pour le mo-bilier. Que reste-t-il à trouver? Quelques billets de mille francs comme réserve. L'excès de précaution ne nuit pas il y a tant d'accidents dans la vie contre lesquels il faut se pré-munir ! A ces confidences où la tendresse du jeune homme se montrait sous des formes si prévoyantes, Marguerite ne répondait, comme d'habitude, que par un acquiescement muet parfois même elle essayait de détourner la conver-sation -@C'est bien, disait-elle nous en reparlerons quand il en sera temps. Enfin, un soir, elle eut à essuyer une ouverture plus di-recte. Ludovic avait touché, pour un procès délicat et labo-rieux, mille francs d'honoraires. Mille francs ! ce n'était pas encore le chiffre des grands cabinets, mais c'était mieux que le gros des @avocats. De là, un peu d'orgueil et aussi un surcroît de confiance. Cette somme était un présage en-courageant, et, ajoutée aux épargnes déjà faites, elle cons-tituait un petit capital. Ludovic pensa que l'heure avait sonné. -Marguerite, lui dit-il, vous le voyez, me voici en veine tout me réussit, tout me sourit. En fait de carrière, le plus fort est fait je me sens maître de la position, et les choses vont désormais marcher toutes seules. N'est-ce pas le cas de presser les choses ? Qu'en pensez-vous ? Mise ainsi en demeure, Marguerite se sentit troublée et parut confuse. Devant un langage aussi net, l'hésitation n'é-tait plus permise il fallait se décider. Il semblait que la
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OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits@@. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-@1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris@ à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits... C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles@? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades@? Oh@! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connait du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand sécours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remorque. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer- 1 En 1811, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris, à la Pitié dans le service de M. Bérard@ et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits...
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OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits@@. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-@1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris@ à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits... C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles@? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades@? Oh@! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connait du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand sécours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remorque. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer- 1 En 1811, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris, à la Pitié dans le service de M. Bérard@ et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien.
C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien.
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OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits@@. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-@1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris@ à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits... C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles@? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades@? Oh@! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connait du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand sécours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remorque. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer- 1 En 1811, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris, à la Pitié dans le service de M. Bérard@ et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ?
N'est ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles?
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OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits@@. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-@1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris@ à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits... C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles@? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades@? Oh@! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connait du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand sécours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remorque. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer- 1 En 1811, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris, à la Pitié dans le service de M. Bérard@ et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ?
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OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits@@. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-@1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris@ à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits... C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles@? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades@? Oh@! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connait du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand sécours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remorque. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer- 1 En 1811, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris, à la Pitié dans le service de M. Bérard@ et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose.
Oh! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connait du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose.
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OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits@@. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-@1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris@ à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits... C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles@? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades@? Oh@! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connait du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand sécours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remorque. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer- 1 En 1811, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris, à la Pitié dans le service de M. Bérard@ et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser.
Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser.
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OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits@@. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-@1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris@ à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits... C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles@? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades@? Oh@! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connait du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand sécours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remorque. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer- 1 En 1811, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris, à la Pitié dans le service de M. Bérard@ et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique.
Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand sécours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remorque.
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OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits@@. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-@1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris@ à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits... C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles@? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades@? Oh@! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connait du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand sécours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remorque. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer- 1 En 1811, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris, à la Pitié dans le service de M. Bérard@ et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un.
Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un.
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OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits@@. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-@1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris@ à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits... C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles@? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades@? Oh@! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connait du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand sécours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remorque. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer- 1 En 1811, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris, à la Pitié dans le service de M. Bérard@ et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher.
Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer- 1 En 1811, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris, à la Pitié dans le service de M. Bérard et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher.
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OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits@@. C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est-ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles ? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades ? Oh ! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connaît du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand secours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remoique. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer-@1 En 1814, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris@ à la Pitié dans le service de M. Bérard, et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
OPINION DU CLERGÉ ET DES SAVANTS 299 Vous ne voyez plus autant de miracles qu'au temps de Jésus-Christ, soit mais jamais l'opération miraculeuse n'a cessé dans l'Église elle y reste et produit une foule de faits... C'est une opinion bien franche et bien puissante que celle du révérend père Lacordaire il croit au magnétisme, il croit au somnambulisme mais il ne voit pas de résultat, mais, selon lui, le magnétisme ne produit rien. N'est ce donc rien, Monsieur Lacordaire, que de rendre l'ouïe aux sours-muets et la vue aux aveugles@? N'est-ce donc rien que de faire marcher des paralytiques, et de guérir des épileptiques et des milliers de malades@? Oh@! certes, ce sont là de beaux résultats, mais M. Lacor-daire parait les ignorer il est comme la majeure partie du monde, qui ne connait du magnétisme qu'un seul effet, le somnambulisme, et qui prend cet effet pour le magnétisme même, sans voir autre chose. Mais pour nous, magnétiseurs, le somnambulisme n'est point un effet essentiel, et je dis mieux, il n'est pas utile dans l'état de choses actuel il est plutôt nuisible car la lucidité est tellement passagère, que, loin de faire croire et de faire admettre le magnétisme, le som-nambulisme est peut-être la seule cause qui l'a fait repousser. Cependant le bill d'adhésion donné au magnétisme par M. Lacordaire doit être d'un grand poids et d'un grand sécours près des corps savants peut-être s'émouvront-ils enfin lorsqu'ils verront la portion la plus éclairée du clergé fran-çais parler favorablement du magnétisme peut-être qu'ils se décideront à s'en occuper, et qu'ils cesseront de se laisser traîner à la remorque. Allons, Messieurs des académies, appelez près de vous des magnétiseurs consciencieux et expérimentés, ne leur demandez pas de somnambulisme, mais dites-leur Nous voulons en finir avec le magnétisme, l'adopter, l'employer, s'il est bon à quelque chose montrez-nous son côté utile, s'il en a un. Facilitez leur expérimen-tation en leur ouvrant les hôpitaux, mais largement, mais sans entraves 1 mettez-les dans la position de guérir cer- 1 En 1811, j'ai été admis dans deux hôpitaux de Paris, à la Pitié dans le service de M. Bérard@ et à Beaujon dans le service de M. Robert, mais il fallait nous cacher. Il était impossible d'agir ainsi.
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53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . @@@divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . 53 divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en élytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétytrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à aîlerons, et en aploptères à aîles simples sans aîlerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 .
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 .
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53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . @@@divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . 53 divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en élytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétytrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à aîlerons, et en aploptères à aîles simples sans aîlerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 .
Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 .
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53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . @@@divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . 53 divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en élytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétytrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à aîlerons, et en aploptères à aîles simples sans aîlerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
divise, savoir 1°.
53 divise, savoir 1°.
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53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . @@@divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . 53 divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en élytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétytrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à aîlerons, et en aploptères à aîles simples sans aîlerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°.
les tétraptères sous-divisés en élytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétytrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°.
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53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . @@@divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . 53 divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en élytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétytrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à aîlerons, et en aploptères à aîles simples sans aîlerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°.
les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à aîlerons, et en aploptères à aîles simples sans aîlerons 3°.
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53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . @@@divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . 53 divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en élytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétytrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à aîlerons, et en aploptères à aîles simples sans aîlerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux.
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53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . @@@divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . 53 divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en élytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétytrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à aîlerons, et en aploptères à aîles simples sans aîlerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds.
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53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . @@@divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . 53 divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en élytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétytrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à aîlerons, et en aploptères à aîles simples sans aîlerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 .
1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 .
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53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . @@@divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
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53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . @@@divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . 53 divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en élytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétytrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à aîlerons, et en aploptères à aîles simples sans aîlerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères.
2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères.
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53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . @@@divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en éiytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétylrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à ailerons, et en apioptères à aîles simples sans ailerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
53 atractocère qu'il a proposé, en 1801, d'établir dans l'ordre des coléoptères 1 . Ce genre est voisin des lymexylons, distinct des nycédales, et se rapproche beau-coup des staphylins 2 . 53 divise, savoir 1°. les tétraptères sous-divisés en élytrés, ou à aîles supérieures coriaces en hyménélytrés, à aîles supérieures membraneuses en hémétytrés , à aîles su-périeures demi-coriaces et demi-membraneuses en lépi-doptères, à aîles pulvérulentes, écailleuses en neurop-tères, à aîles nues égales, et en hyménoptères à aîles nues inégales 2°. les diptères sous-divisés en ptérigyop-tères à aîles à aîlerons, et en aploptères à aîles simples sans aîlerons 3°. et les aptères sous-divisés en diommatés à deux yeux, et en polyommatés à plus de deux yeux. Les deux ordres d'aptères sont ensuite sous-divisés d'après le nombre des pieds. 1 Mémoire inédit lu à l'Institut le 16 thermidor an IX le 4 août 1801 . Le mot atractocère est emprunté du grec fuseau, et xîçtcs, corne. 2 Comme l'insecte, qui a servi de texte à ce genre n'est point décrit dans la collection des insectes d'Afrique, que PALISOT DE BEAUVOIS a publies, je crois devoir en donner ici tous les caractères il a cinq articles à tous les tarses, et appartient à la première section de l'ordre des coléoptères. Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et'occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
Sa tête est ovale, armée d'antennes en fu-seau, et insérées au-devant des yeux les palpes maxil-laires sont longs, composés de quatre articles , pectines et barbus sur les côtés les palpes postérieurs sont plus courts et composés de trois articles, dont le dernier est très-grand, ovale, arqué et velu en-dedans les mâchoires sont très-courtes et terminées par un lobe arrondi, garni de poils les yeux sont très-grands et occupent presque toute la tête le corselet est oblong, convexe , les élytres
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67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusquesaux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le lvre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques@aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le l@vre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son@@@ 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peine la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le livre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 67 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lxxiv et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusquesaux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le lvre à l'impression 1 .
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peine la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le livre à l'impression 1 .
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67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusquesaux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le lvre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques@aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le l@vre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son@@@ 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peine la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le livre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 67 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lxxiv et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes.
Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes.
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67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusquesaux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le lvre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques@aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le l@vre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son@@@ 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peine la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le livre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 67 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lxxiv et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes.
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67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusquesaux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le lvre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques@aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le l@vre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son@@@ 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peine la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le livre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 67 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lxxiv et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même.
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67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques@aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le l@vre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son@@@ 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peine la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le livre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 67 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lxxiv et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs.
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67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques@aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le l@vre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son@@@ 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peine la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le livre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 67 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lxxiv et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU.
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67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques@aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le l@vre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son@@@ 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peine la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le livre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 67 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lxxiv et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol.
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67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusquesaux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le lvre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques@aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le l@vre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son@@@ 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peine la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le livre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 67 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lxxiv et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
, de lXXIV et 182 pag.
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67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusquesaux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le lvre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques@aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le l@vre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son@@@ 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peine la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le livre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 67 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lxxiv et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
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67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peina la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques@aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le l@vre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son@@@ 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lXXIV et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
67 En jetant les yeux sur les graminées, qui sont tout à-la-fois la base de l'aisance pour le propriétaire, et l'élé-ment de la vraie richesse pour les Etats, il voit avec peine la confusion, je dirai même le désordre dans lequel se trouve leur famille botanique il consulte les nombreux ouvrages publiés sur ces végétaux depuis les plus anciens jusques aux plus modernes il s'assure que plusieurs au-teurs ont donné lieu à quelques heureux changemens , mais qu'ils n'ont pas contribué dans la même proportion à étendre les limites de la science, sous le rapport de la partie dogmatique il conçoit alors l'idée d'établir un corps de doctrines, il y travaille pendant plusieurs an-nées , et en 1812 il le livre à l'impression 1 . Son but est de donner à la philosophie botanique une méthode nouvelle, fondée sur l'étude approfondie des organes de la fructification, sur des caractères constans déduits de l'organisation de chacune des parties de ces mêmes or-ganes. Ses bases tiennent principalement à la séparation ou à la réunion dés sexes, à la composition de la fleur, et au nombre de ses enveloppes. II divise les graminées en 213 genres, dont 195 parfaitement distincts, ont été étudiés sur la nature même. On y compte 62 genres nouveaux les autres sont ou peu connus, ou douteux, ou bien avaient été mal caractérisés par leurs.auteurs. L'ordre adopté tient à-la-fois à celui de LINNÉ et à celui de M. DE JUSSIEU. Comme PALISOT DE BEAUVOIS s'y était attendu, son 67 1 Essai d'une nouvelle Agrostographie, ou nou-veaux genres des graminées 1 vol. in-4°. et in-8°., de lxxiv et 182 pag. avec 25 planches, représentant les ca-ractères de tous les genres Paris, 1812. Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
Les premières ébauches de cet ouvrage avaient été communiquées à l'Ins-titut au mois de septembre 1809.
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-29 -pareil examen, en présentant à ces parties, sans l'y faire toucher, tout objet qui ne soit pas de nature a prévenir l'ouïe ou l'odorat, avec la précaution de le dérober com-plétement aux yeux, même fermés, du somnambule. Parmi les facultés plus communes, mais difficiles à contrôler, se trouvent l'intuition des maladies, la prévi-sion organique, l'instinct des remèdes, etc. Mais qu'il s'agisse de ces facultés ou des autres, pour éviter de leur attribuer ce qui ne serait que le résultat de la transmission des pensées, une précaution est néces-saire il faut que le magnétiseur, et même les assistants, s'abstiennent de prendre connaissance de l'objet sur le-quel on interroge le somnambule. Par exemple, s'il est question, phénomène rare! de la lecture d'un mot enfermé dans une boîte, il faut que la personne qui l'a écrit, et seule le connaît, ne soit pas présente ou mieux encore après avoir placé divers mots chacun dans une boîte, on doit prendre au hasard, parmi toutes ces boîtes semblables, celle qu'on va sou-mettre à l'expérience. Il importe de noter que les facultés les plus utiles, telles que l'intuition des maladies, la prévision des crises, l'ins-tinct des remèdes, étant sujettes non-seulement à des défaillances, mais encore à des illusions, les somnam-bules peuvent, de la meilleure foi du monde, transmettre à des auditeurs tropconfiaats, des erreurs pleines de dangers. Il faut ici de la prudence, et tout en cherchant à mettre à profit les éclairs propices de la lucidité, on doit se défier des hallucinations du sens intérieur qui s'éveille pendant le sommeil des sens ordinaires. En prenant l'avis des somnambules, un médecin doit garder la liberté de son jugement. Possédez Laïs, disait un ancien, pourvu que Laïs ne vous possède pas ! Servez-vous des somnambules, dirai-je à mon tour, pourvu que les somnambules ne vous. asservissent pas!
-29 -pareil examen, en présentant à ces parties, sans l'y faire toucher, tout objet qui ne soit pas de nature a prévenir l'ouïe ou l'odorat, avec la précaution de le dérober com-plétement aux yeux, même fermés, du somnambule. Parmi les facultés plus communes, mais difficiles à contrôler, se trouvent l'intuition des maladies, la prévi-sion organique, l'instinct des remèdes, etc. Mais qu'il s'agisse de ces facultés ou des autres, pour éviter de leur attribuer ce qui ne serait que le résultat de la transmission des pensées, une précaution est néces-saire il faut que le magnétiseur, et même les assistants, s'abstiennent de prendre connaissance de l'objet sur le-quel on interroge le somnambule. Par exemple, s'il est question, @phénomène rare! @de la lecture d'un mot enfermé dans une boîte, il faut que la personne qui l'a écrit, et seule le connaît, ne soit pas présente ou mieux encore après avoir placé divers mots chacun dans une boîte, on doit prendre au hasard, parmi toutes ces boîtes semblables, celle qu'on va sou-mettre à l'expérience. Il importe de noter que les facultés les plus utiles, telles que l'intuition des maladies, la prévision des crises, l'ins-tinct des remèdes, étant sujettes non-seulement à des défaillances, mais encore à des illusions, les somnam-bules peuvent, de la meilleure foi du monde, transmettre à des auditeurs trop@confiaats, des erreurs pleines de dangers. Il faut ici de la prudence, et tout en cherchant à mettre à profit les éclairs propices de la lucidité, on doit se défier des hallucinations du sens intérieur qui s'éveille pendant le sommeil des sens ordinaires. En prenant l'avis des somnambules, un médecin doit garder la liberté de son jugement. Possédez Laïs, disait un ancien, pourvu que Laïs ne vous possède pas ! Servez-vous des somnambules, dirai-je à mon tour, pourvu que les somnambules ne vous. asservissent pas!
-29 -pareil examen, en présentant à ces parties, sans l'y faire toucher, tout objet qui ne soit pas de nature à prévenir l'ouïe ou l'odorat, avec la précaution de le dérober com-plétement aux yeux, même fermés, du somnambule. Parmi les facultés plus communes, mais difficiles à contrôler, se trouvent l'intuition des maladies, la prévi-sion organique, l'instinct des remèdes, etc. Mais qu'il s'agisse de ces facultés ou des autres, pour éviter de leur attribuer ce qui ne serait que le résultat de la transmission des pensées, une précaution est néces-saire il faut que le magnétiseur, et même les assistants, s'abstiennent de prendre connaissance de l'objet sur le-quel on interroge le somnambule. Par exemple, s'il est question, -phénomène rare! -de la lecture d'un mot enfermé dans une boîte, il faut que la personne qui l'a écrit, et seule le connaît, ne soit pas présente ou mieux encore après avoir placé divers mots chacun dans une boîte, on doit prendre au hasard, parmi toutes ces boîtes semblables, celle qu'on va sou-mettre à l'expérience. Il importe de noter que les facultés les plus utiles, telles que l'intuition des maladies, la prévision des crises, l'ins-tinct des remèdes, étant sujettes non-seulement à des défaillances, mais encore à des illusions, les somnam-bules peuvent, de la meilleure foi du monde, transmettre à des auditeurs trop confiants, des erreurs pleines de dangers. Il faut ici de la prudence, et tout en cherchant à mettre à profit les éclairs propices de la lucidité, on doit se défier des hallucinations du sens intérieur qui s'éveille pendant le sommeil des sens ordinaires. En prenant l'avis des somnambules, un médecin doit garder la liberté de son jugement. Possédez Laïs, disait un ancien, pourvu que Laïs ne vous possède pas@! Servez-vous des somnambules, dirai-je à mon tour, pourvu que les somnambules ne vous@ asservissent pas!
-29 -pareil examen, en présentant à ces parties, sans l'y faire toucher, tout objet qui ne soit pas de nature a prévenir l'ouïe ou l'odorat, avec la précaution de le dérober com-plétement aux yeux, même fermés, du somnambule.
-29 -pareil examen, en présentant à ces parties, sans l'y faire toucher, tout objet qui ne soit pas de nature à prévenir l'ouïe ou l'odorat, avec la précaution de le dérober com-plétement aux yeux, même fermés, du somnambule.
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-29 -pareil examen, en présentant à ces parties, sans l'y faire toucher, tout objet qui ne soit pas de nature a prévenir l'ouïe ou l'odorat, avec la précaution de le dérober com-plétement aux yeux, même fermés, du somnambule. Parmi les facultés plus communes, mais difficiles à contrôler, se trouvent l'intuition des maladies, la prévi-sion organique, l'instinct des remèdes, etc. Mais qu'il s'agisse de ces facultés ou des autres, pour éviter de leur attribuer ce qui ne serait que le résultat de la transmission des pensées, une précaution est néces-saire il faut que le magnétiseur, et même les assistants, s'abstiennent de prendre connaissance de l'objet sur le-quel on interroge le somnambule. Par exemple, s'il est question, phénomène rare! de la lecture d'un mot enfermé dans une boîte, il faut que la personne qui l'a écrit, et seule le connaît, ne soit pas présente ou mieux encore après avoir placé divers mots chacun dans une boîte, on doit prendre au hasard, parmi toutes ces boîtes semblables, celle qu'on va sou-mettre à l'expérience. Il importe de noter que les facultés les plus utiles, telles que l'intuition des maladies, la prévision des crises, l'ins-tinct des remèdes, étant sujettes non-seulement à des défaillances, mais encore à des illusions, les somnam-bules peuvent, de la meilleure foi du monde, transmettre à des auditeurs tropconfiaats, des erreurs pleines de dangers. Il faut ici de la prudence, et tout en cherchant à mettre à profit les éclairs propices de la lucidité, on doit se défier des hallucinations du sens intérieur qui s'éveille pendant le sommeil des sens ordinaires. En prenant l'avis des somnambules, un médecin doit garder la liberté de son jugement. Possédez Laïs, disait un ancien, pourvu que Laïs ne vous possède pas ! Servez-vous des somnambules, dirai-je à mon tour, pourvu que les somnambules ne vous. asservissent pas!
-29 -pareil examen, en présentant à ces parties, sans l'y faire toucher, tout objet qui ne soit pas de nature a prévenir l'ouïe ou l'odorat, avec la précaution de le dérober com-plétement aux yeux, même fermés, du somnambule. Parmi les facultés plus communes, mais difficiles à contrôler, se trouvent l'intuition des maladies, la prévi-sion organique, l'instinct des remèdes, etc. Mais qu'il s'agisse de ces facultés ou des autres, pour éviter de leur attribuer ce qui ne serait que le résultat de la transmission des pensées, une précaution est néces-saire il faut que le magnétiseur, et même les assistants, s'abstiennent de prendre connaissance de l'objet sur le-quel on interroge le somnambule. Par exemple, s'il est question, @phénomène rare! @de la lecture d'un mot enfermé dans une boîte, il faut que la personne qui l'a écrit, et seule le connaît, ne soit pas présente ou mieux encore après avoir placé divers mots chacun dans une boîte, on doit prendre au hasard, parmi toutes ces boîtes semblables, celle qu'on va sou-mettre à l'expérience. Il importe de noter que les facultés les plus utiles, telles que l'intuition des maladies, la prévision des crises, l'ins-tinct des remèdes, étant sujettes non-seulement à des défaillances, mais encore à des illusions, les somnam-bules peuvent, de la meilleure foi du monde, transmettre à des auditeurs trop@confiaats, des erreurs pleines de dangers. Il faut ici de la prudence, et tout en cherchant à mettre à profit les éclairs propices de la lucidité, on doit se défier des hallucinations du sens intérieur qui s'éveille pendant le sommeil des sens ordinaires. En prenant l'avis des somnambules, un médecin doit garder la liberté de son jugement. Possédez Laïs, disait un ancien, pourvu que Laïs ne vous possède pas ! Servez-vous des somnambules, dirai-je à mon tour, pourvu que les somnambules ne vous. asservissent pas!
-29 -pareil examen, en présentant à ces parties, sans l'y faire toucher, tout objet qui ne soit pas de nature à prévenir l'ouïe ou l'odorat, avec la précaution de le dérober com-plétement aux yeux, même fermés, du somnambule. Parmi les facultés plus communes, mais difficiles à contrôler, se trouvent l'intuition des maladies, la prévi-sion organique, l'instinct des remèdes, etc. Mais qu'il s'agisse de ces facultés ou des autres, pour éviter de leur attribuer ce qui ne serait que le résultat de la transmission des pensées, une précaution est néces-saire il faut que le magnétiseur, et même les assistants, s'abstiennent de prendre connaissance de l'objet sur le-quel on interroge le somnambule. Par exemple, s'il est question, -phénomène rare! -de la lecture d'un mot enfermé dans une boîte, il faut que la personne qui l'a écrit, et seule le connaît, ne soit pas présente ou mieux encore après avoir placé divers mots chacun dans une boîte, on doit prendre au hasard, parmi toutes ces boîtes semblables, celle qu'on va sou-mettre à l'expérience. Il importe de noter que les facultés les plus utiles, telles que l'intuition des maladies, la prévision des crises, l'ins-tinct des remèdes, étant sujettes non-seulement à des défaillances, mais encore à des illusions, les somnam-bules peuvent, de la meilleure foi du monde, transmettre à des auditeurs trop confiants, des erreurs pleines de dangers. Il faut ici de la prudence, et tout en cherchant à mettre à profit les éclairs propices de la lucidité, on doit se défier des hallucinations du sens intérieur qui s'éveille pendant le sommeil des sens ordinaires. En prenant l'avis des somnambules, un médecin doit garder la liberté de son jugement. Possédez Laïs, disait un ancien, pourvu que Laïs ne vous possède pas@! Servez-vous des somnambules, dirai-je à mon tour, pourvu que les somnambules ne vous@ asservissent pas!
Parmi les facultés plus communes, mais difficiles à contrôler, se trouvent l'intuition des maladies, la prévi-sion organique, l'instinct des remèdes, etc.
Parmi les facultés plus communes, mais difficiles à contrôler, se trouvent l'intuition des maladies, la prévi-sion organique, l'instinct des remèdes, etc.
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-29 -pareil examen, en présentant à ces parties, sans l'y faire toucher, tout objet qui ne soit pas de nature a prévenir l'ouïe ou l'odorat, avec la précaution de le dérober com-plétement aux yeux, même fermés, du somnambule. Parmi les facultés plus communes, mais difficiles à contrôler, se trouvent l'intuition des maladies, la prévi-sion organique, l'instinct des remèdes, etc. Mais qu'il s'agisse de ces facultés ou des autres, pour éviter de leur attribuer ce qui ne serait que le résultat de la transmission des pensées, une précaution est néces-saire il faut que le magnétiseur, et même les assistants, s'abstiennent de prendre connaissance de l'objet sur le-quel on interroge le somnambule. Par exemple, s'il est question, phénomène rare! de la lecture d'un mot enfermé dans une boîte, il faut que la personne qui l'a écrit, et seule le connaît, ne soit pas présente ou mieux encore après avoir placé divers mots chacun dans une boîte, on doit prendre au hasard, parmi toutes ces boîtes semblables, celle qu'on va sou-mettre à l'expérience. Il importe de noter que les facultés les plus utiles, telles que l'intuition des maladies, la prévision des crises, l'ins-tinct des remèdes, étant sujettes non-seulement à des défaillances, mais encore à des illusions, les somnam-bules peuvent, de la meilleure foi du monde, transmettre à des auditeurs tropconfiaats, des erreurs pleines de dangers. Il faut ici de la prudence, et tout en cherchant à mettre à profit les éclairs propices de la lucidité, on doit se défier des hallucinations du sens intérieur qui s'éveille pendant le sommeil des sens ordinaires. En prenant l'avis des somnambules, un médecin doit garder la liberté de son jugement. Possédez Laïs, disait un ancien, pourvu que Laïs ne vous possède pas ! Servez-vous des somnambules, dirai-je à mon tour, pourvu que les somnambules ne vous. asservissent pas!
-29 -pareil examen, en présentant à ces parties, sans l'y faire toucher, tout objet qui ne soit pas de nature a prévenir l'ouïe ou l'odorat, avec la précaution de le dérober com-plétement aux yeux, même fermés, du somnambule. Parmi les facultés plus communes, mais difficiles à contrôler, se trouvent l'intuition des maladies, la prévi-sion organique, l'instinct des remèdes, etc. Mais qu'il s'agisse de ces facultés ou des autres, pour éviter de leur attribuer ce qui ne serait que le résultat de la transmission des pensées, une précaution est néces-saire il faut que le magnétiseur, et même les assistants, s'abstiennent de prendre connaissance de l'objet sur le-quel on interroge le somnambule. Par exemple, s'il est question, @phénomène rare! @de la lecture d'un mot enfermé dans une boîte, il faut que la personne qui l'a écrit, et seule le connaît, ne soit pas présente ou mieux encore après avoir placé divers mots chacun dans une boîte, on doit prendre au hasard, parmi toutes ces boîtes semblables, celle qu'on va sou-mettre à l'expérience. Il importe de noter que les facultés les plus utiles, telles que l'intuition des maladies, la prévision des crises, l'ins-tinct des remèdes, étant sujettes non-seulement à des défaillances, mais encore à des illusions, les somnam-bules peuvent, de la meilleure foi du monde, transmettre à des auditeurs trop@confiaats, des erreurs pleines de dangers. Il faut ici de la prudence, et tout en cherchant à mettre à profit les éclairs propices de la lucidité, on doit se défier des hallucinations du sens intérieur qui s'éveille pendant le sommeil des sens ordinaires. En prenant l'avis des somnambules, un médecin doit garder la liberté de son jugement. Possédez Laïs, disait un ancien, pourvu que Laïs ne vous possède pas ! Servez-vous des somnambules, dirai-je à mon tour, pourvu que les somnambules ne vous. asservissent pas!
-29 -pareil examen, en présentant à ces parties, sans l'y faire toucher, tout objet qui ne soit pas de nature à prévenir l'ouïe ou l'odorat, avec la précaution de le dérober com-plétement aux yeux, même fermés, du somnambule. Parmi les facultés plus communes, mais difficiles à contrôler, se trouvent l'intuition des maladies, la prévi-sion organique, l'instinct des remèdes, etc. Mais qu'il s'agisse de ces facultés ou des autres, pour éviter de leur attribuer ce qui ne serait que le résultat de la transmission des pensées, une précaution est néces-saire il faut que le magnétiseur, et même les assistants, s'abstiennent de prendre connaissance de l'objet sur le-quel on interroge le somnambule. Par exemple, s'il est question, -phénomène rare! -de la lecture d'un mot enfermé dans une boîte, il faut que la personne qui l'a écrit, et seule le connaît, ne soit pas présente ou mieux encore après avoir placé divers mots chacun dans une boîte, on doit prendre au hasard, parmi toutes ces boîtes semblables, celle qu'on va sou-mettre à l'expérience. Il importe de noter que les facultés les plus utiles, telles que l'intuition des maladies, la prévision des crises, l'ins-tinct des remèdes, étant sujettes non-seulement à des défaillances, mais encore à des illusions, les somnam-bules peuvent, de la meilleure foi du monde, transmettre à des auditeurs trop confiants, des erreurs pleines de dangers. Il faut ici de la prudence, et tout en cherchant à mettre à profit les éclairs propices de la lucidité, on doit se défier des hallucinations du sens intérieur qui s'éveille pendant le sommeil des sens ordinaires. En prenant l'avis des somnambules, un médecin doit garder la liberté de son jugement. Possédez Laïs, disait un ancien, pourvu que Laïs ne vous possède pas@! Servez-vous des somnambules, dirai-je à mon tour, pourvu que les somnambules ne vous@ asservissent pas!
Mais qu'il s'agisse de ces facultés ou des autres, pour éviter de leur attribuer ce qui ne serait que le résultat de la transmission des pensées, une précaution est néces-saire il faut que le magnétiseur, et même les assistants, s'abstiennent de prendre connaissance de l'objet sur le-quel on interroge le somnambule.
Mais qu'il s'agisse de ces facultés ou des autres, pour éviter de leur attribuer ce qui ne serait que le résultat de la transmission des pensées, une précaution est néces-saire il faut que le magnétiseur, et même les assistants, s'abstiennent de prendre connaissance de l'objet sur le-quel on interroge le somnambule.
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères.
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher?
La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher?
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche.
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets.
On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets.
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer.
Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer.
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
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Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44.
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux.
Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux.
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface.
Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes 1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface.
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins.
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
On ne peut donc conclure du poids à la surface.
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule.
Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule.
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente.
La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente.
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
Cette surface réelle est d'environ 1756c5J.
Cette surface réelle est d'environ 1756c2.
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-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les- mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet 1 la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567 2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134e2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes -1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c5J. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
-22 -rence également petite. Ici encore, la surface des mains diffère très peu de la surface apparente des hémisphères. La main gauche est plus grande que la droite le sujet était-il gaucher? Fait assez singulier, la main droite a juste la même étendue que l'hémisphère gauche. On ne peut évidemment pas tirer de conclusions fermes de ces deux derniers cas dont les@ mensurations semblent contredites par celles du premier cerveau mais enfin il y a là quelque chose d'intéressant, et il serait curieux de voir ce que donneraient des mesures comparatives faites sur un grand nombre de sujets. Surface des pieds Nous avions pris pour le sujet I la surface des pieds, malheureu-sement le moulage du pied gauche s'était abîmé, et nous n'avons pu le mesurer. Pour le droit, nous avons trouvé 567c2,44. Pour la surface totale, nous aurions 1134c2 en supposant les deux pieds égaux. Conclusion En résumé, de l'examen de cette première série de vingt-deux cer-veaux, on peut, croyons-nous, tirer les conclusions suivantes @1° Il n'existe aucun rapport, ni direct, ni indirect, entre le poids de l'encéphale entier et sa surface. Un cerveau peut avoir un poids très élevé et une surface plus petite qu'un autre cerveau pesant beaucoup moins. On ne peut donc conclure du poids à la surface. Cependant, d'une façon générale, le cerveau de la femme pèse moins que celui de l'homme et sa surface apparente est moins grande 2° Cette absence de rapports fixes entre le poids et la surface s'observe également pour les autres parties du cerveau, le cervelet, les hémisphères cérébraux et les ganglions sous-corticaux 3° La surface de l'encéphale est plus grande chez l'homme que chez la femme il en est de même pour le cervelet qui pèse plus et a plus d'étendue chez le premier 4° La surface apparente, la surface réelle et la surface de l'écorce grise des deux hémisphères sont plus grandes chez l'homme que chez la femme 5° D'une façon générale, l'hémisphère droit pèse plus que le gauche, mais il est moins étendu, que l'on considère la surface apparente, la surface réelle ou l'écorce grise seule. La superficie de la région pensante est donc plus grande à gauche qu'à droite, chez l'homme, au moins, car pour la femme il y a presque égalité entre les deux hémisphères le droit aurait même une surface un peu plus grande que le gauche 6° La surface réelle des hémisphères déplissés serait un peu plus du double de la surface apparente. Cette surface réelle est d'environ 1756c@2. Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
Celle de l'écorce grise 1697, près de 1700, chiffre de Baillarger.
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-01. ANTHROPOLOGIE anomalies. Je citerai à l'appui de ce fait l'expérience considérable de Wood. Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres. Proceedings of the Royal Soc. of London, vol. XV, p. 518. Pour certains muscles, l'anomalie est même tellement fréquente qu'elle a pu être prise pour l'état normal par un homme de l'autorité de M. Sappey, ainsi que je l'ai indiqué pour le muscle court péronier laté-ral. Journal de l'anatomie et de la physiologie, de M. Ch. Robin, nu-- méro de mai 1872. On peut établir une division dans l'étude des muscles anomaux. 1 Parmi eux, il en est qui forment une classe à part ils semblent consti-tuer chez l'homme des organes nouveaux, dont -rien dans les disposi-tions normales n'indiquait même l'existence rudimentaire. Dans une seconde classe d'anomalies se rangent les dispositions ex-ceptionnelles d'organes normalement existant. En continuant cette classification artificielle, on pourrait subdiviser ce second groupe en anomalies par excès et par défaut, etc. Mais cette taxinomie ne nous apprendrait rien sur leur valeur réelle. Pour éclai-rer celle-ci d'un nouveau jour, il faut l'étudier à la lumière de l'ana-tomie comparée. Une fois mis sur cette voie, on ne tarde pas à recon-naître que la grande majorité des anomalies n'est que la reproduc-tion d'un état normal chez des espèces différentes. Dès lors, cette question, jusque-là simple objet de curiosité à peine digne de former une dépendance de la tératologie, prend une place capitale dans l'ana-tomie philosophique. II. La majorité des anomalies musculaires, ai-je dit, rappelle un état normal chez une espèce inférieure. Les particularités de ce genre ont reçu depuis longtemps les noms de faits de retour ou de réversion em-pruntés à la théorie transformiste. Un premier groupe de ces anomalies rêversives comprend des mus-cles totalement étrangers au type humain normal. J'en citerai quelques exemples pour en donner une idée 1° Il est un muscle de la poitrine que l'on rencontre chez beaucoup de mammifères inférieurs et jusque chez les singes cynocéphales. Il se compose d'une bande musculaire étendue sur les côtés du sternum en-tre les insertions du sterno-cléido-mastoïdien et celles du droit de l'abdomen. Ce muscle, appelé sternalis brutorum ou rectus thoracis, se trouve accidentellement chez l'homme. J'ai eu l'occasion de l'observer deux fois et la fig. 1, planche VII, en reproduit un beau spécimen.
-01. ANTHROPOLOGIE anomalies. Je citerai à l'appui de ce fait l'expérience considérable de Wood. Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres. Proceedings of the Royal Soc. of London, vol. XV, p. 518. Pour certains muscles, l'anomalie est même tellement fréquente qu'elle a pu être prise pour l'état normal par un homme de l'autorité de M. Sappey, ainsi que je l'ai indiqué pour le muscle court péronier laté-ral. Journal de l'anatomie et de la physiologie, de M. Ch. Robin, nu-- méro de mai 1872. On peut établir une division dans l'étude des muscles anomaux. 1 Parmi eux, il en est qui forment une classe à part ils semblent consti-tuer chez l'homme des organes nouveaux, dont -rien dans les disposi-tions normales n'indiquait même l'existence rudimentaire. Dans une seconde classe d'anomalies se rangent les dispositions ex-ceptionnelles d'organes normalement existant. En continuant cette classification artificielle, on pourrait subdiviser ce second groupe en anomalies par excès et par défaut, etc. @Mais cette taxinomie ne nous apprendrait rien sur leur valeur réelle. Pour éclai-rer celle-ci d'un nouveau jour, il faut l'étudier à la lumière de l'ana-tomie comparée. Une fois mis sur cette voie, on ne tarde pas à recon-naître que la grande majorité des anomalies n'est que la reproduc-tion d'un état normal chez des espèces différentes. Dès lors, cette question, jusque-là simple objet de curiosité à peine digne de former une dépendance de la tératologie, prend une place capitale dans l'ana-tomie philosophique. II. La majorité des anomalies musculaires, ai-je dit, rappelle un état normal chez une espèce inférieure. Les particularités de ce genre ont reçu depuis longtemps les noms de faits de retour ou de réversion em-pruntés à la théorie transformiste. Un premier groupe de ces anomalies rêversives comprend des mus-cles totalement étrangers au type humain normal. J'en citerai quelques exemples pour en donner une idée 1° Il est un muscle de la poitrine que l'on rencontre chez beaucoup de mammifères inférieurs et jusque chez les singes cynocéphales. Il se compose d'une bande musculaire étendue sur les côtés du sternum en-tre les insertions du sterno-cléido-mastoïdien et celles du droit de l'abdomen. Ce muscle, appelé sternalis brutorum ou rectus thoracis, se trouve accidentellement chez l'homme. J'ai eu l'occasion de l'observer deux fois et la fig. 1, planche VII, en reproduit un beau spécimen.
-01. ANTHROPOLOGIE anomalies. Je citerai à l'appui de ce fait l'expérience considérable de Wood. Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres. Proceedings of the Royal Soc. of London, vol. XV, p. 518. Pour certains muscles, l'anomalie est même tellement fréquente qu'elle a pu être prise pour l'état normal par un homme de l'autorité de M. Sappey, ainsi que je l'ai indiqué pour le muscle court péronier laté-ral. Journal de l'anatomie et de la physiologie, de M. Ch. Robin, nu-@@méro de mai 1872. On peut établir une division dans l'étude des muscles anomaux.@@ Parmi eux, il en est qui forment une classe à part ils semblent consti-tuer chez l'homme des organes nouveaux, dont @rien dans les disposi-tions normales n'indiquait même l'existence rudimentaire. Dans une seconde classe d'anomalies se rangent les dispositions ex-ceptionnelles d'organes normalement existant. En continuant cette classification artificielle, on pourrait subdiviser ce second groupe en anomalies par excès et par défaut, etc. -Mais cette taxinomie ne nous apprendrait rien sur leur valeur réelle. Pour éclai-rer celle-ci d'un nouveau jour, il faut l'étudier à la lumière de l'ana-tomie comparée. Une fois mis sur cette voie, on ne tarde pas à recon-naître que la grande majorité des anomalies n'est que la reproduc-tion d'un état normal chez des espèces différentes. Dès lors, cette question, jusque-là simple objet de curiosité à peine digne de former une dépendance de la tératologie, prend une place capitale dans l'ana-tomie philosophique. II. La majorité des anomalies musculaires, ai-je dit, rappelle un état normal chez une espèce inférieure. Les particularités de ce genre ont reçu depuis longtemps les noms de faits de retour ou de réversion em-pruntés à la théorie transformiste. Un premier groupe de ces anomalies réversives comprend des mus-cles totalement étrangers au type humain normal. J'en citerai quelques exemples pour en donner une idée 1° Il est un muscle de la poitrine que l'on rencontre chez beaucoup de mammifères inférieurs et jusque chez les singes cynocéphales. Il se compose d'une bande musculaire étendue sur les côtés du sternum en-tre les insertions du sterno-cléido-mastoïdien et celles du droit de l'abdomen. Ce muscle, appelé sternalis brutorum ou rectus thoracis, se trouve accidentellement chez l'homme. J'ai eu l'occasion de l'observer deux fois et la fig. 1, planche VII, en reproduit un beau spécimen.
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-01. ANTHROPOLOGIE anomalies. Je citerai à l'appui de ce fait l'expérience considérable de Wood. Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres. Proceedings of the Royal Soc. of London, vol. XV, p. 518. Pour certains muscles, l'anomalie est même tellement fréquente qu'elle a pu être prise pour l'état normal par un homme de l'autorité de M. Sappey, ainsi que je l'ai indiqué pour le muscle court péronier laté-ral. Journal de l'anatomie et de la physiologie, de M. Ch. Robin, nu-- méro de mai 1872. On peut établir une division dans l'étude des muscles anomaux. 1 Parmi eux, il en est qui forment une classe à part ils semblent consti-tuer chez l'homme des organes nouveaux, dont -rien dans les disposi-tions normales n'indiquait même l'existence rudimentaire. Dans une seconde classe d'anomalies se rangent les dispositions ex-ceptionnelles d'organes normalement existant. En continuant cette classification artificielle, on pourrait subdiviser ce second groupe en anomalies par excès et par défaut, etc. Mais cette taxinomie ne nous apprendrait rien sur leur valeur réelle. Pour éclai-rer celle-ci d'un nouveau jour, il faut l'étudier à la lumière de l'ana-tomie comparée. Une fois mis sur cette voie, on ne tarde pas à recon-naître que la grande majorité des anomalies n'est que la reproduc-tion d'un état normal chez des espèces différentes. Dès lors, cette question, jusque-là simple objet de curiosité à peine digne de former une dépendance de la tératologie, prend une place capitale dans l'ana-tomie philosophique. II. La majorité des anomalies musculaires, ai-je dit, rappelle un état normal chez une espèce inférieure. Les particularités de ce genre ont reçu depuis longtemps les noms de faits de retour ou de réversion em-pruntés à la théorie transformiste. Un premier groupe de ces anomalies rêversives comprend des mus-cles totalement étrangers au type humain normal. J'en citerai quelques exemples pour en donner une idée 1° Il est un muscle de la poitrine que l'on rencontre chez beaucoup de mammifères inférieurs et jusque chez les singes cynocéphales. Il se compose d'une bande musculaire étendue sur les côtés du sternum en-tre les insertions du sterno-cléido-mastoïdien et celles du droit de l'abdomen. Ce muscle, appelé sternalis brutorum ou rectus thoracis, se trouve accidentellement chez l'homme. J'ai eu l'occasion de l'observer deux fois et la fig. 1, planche VII, en reproduit un beau spécimen.
-01. ANTHROPOLOGIE anomalies. Je citerai à l'appui de ce fait l'expérience considérable de Wood. Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres. Proceedings of the Royal Soc. of London, vol. XV, p. 518. Pour certains muscles, l'anomalie est même tellement fréquente qu'elle a pu être prise pour l'état normal par un homme de l'autorité de M. Sappey, ainsi que je l'ai indiqué pour le muscle court péronier laté-ral. Journal de l'anatomie et de la physiologie, de M. Ch. Robin, nu-- méro de mai 1872. On peut établir une division dans l'étude des muscles anomaux. 1 Parmi eux, il en est qui forment une classe à part ils semblent consti-tuer chez l'homme des organes nouveaux, dont -rien dans les disposi-tions normales n'indiquait même l'existence rudimentaire. Dans une seconde classe d'anomalies se rangent les dispositions ex-ceptionnelles d'organes normalement existant. En continuant cette classification artificielle, on pourrait subdiviser ce second groupe en anomalies par excès et par défaut, etc. @Mais cette taxinomie ne nous apprendrait rien sur leur valeur réelle. Pour éclai-rer celle-ci d'un nouveau jour, il faut l'étudier à la lumière de l'ana-tomie comparée. Une fois mis sur cette voie, on ne tarde pas à recon-naître que la grande majorité des anomalies n'est que la reproduc-tion d'un état normal chez des espèces différentes. Dès lors, cette question, jusque-là simple objet de curiosité à peine digne de former une dépendance de la tératologie, prend une place capitale dans l'ana-tomie philosophique. II. La majorité des anomalies musculaires, ai-je dit, rappelle un état normal chez une espèce inférieure. Les particularités de ce genre ont reçu depuis longtemps les noms de faits de retour ou de réversion em-pruntés à la théorie transformiste. Un premier groupe de ces anomalies rêversives comprend des mus-cles totalement étrangers au type humain normal. J'en citerai quelques exemples pour en donner une idée 1° Il est un muscle de la poitrine que l'on rencontre chez beaucoup de mammifères inférieurs et jusque chez les singes cynocéphales. Il se compose d'une bande musculaire étendue sur les côtés du sternum en-tre les insertions du sterno-cléido-mastoïdien et celles du droit de l'abdomen. Ce muscle, appelé sternalis brutorum ou rectus thoracis, se trouve accidentellement chez l'homme. J'ai eu l'occasion de l'observer deux fois et la fig. 1, planche VII, en reproduit un beau spécimen.
-01. ANTHROPOLOGIE anomalies. Je citerai à l'appui de ce fait l'expérience considérable de Wood. Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres. Proceedings of the Royal Soc. of London, vol. XV, p. 518. Pour certains muscles, l'anomalie est même tellement fréquente qu'elle a pu être prise pour l'état normal par un homme de l'autorité de M. Sappey, ainsi que je l'ai indiqué pour le muscle court péronier laté-ral. Journal de l'anatomie et de la physiologie, de M. Ch. Robin, nu-@@méro de mai 1872. On peut établir une division dans l'étude des muscles anomaux.@@ Parmi eux, il en est qui forment une classe à part ils semblent consti-tuer chez l'homme des organes nouveaux, dont @rien dans les disposi-tions normales n'indiquait même l'existence rudimentaire. Dans une seconde classe d'anomalies se rangent les dispositions ex-ceptionnelles d'organes normalement existant. En continuant cette classification artificielle, on pourrait subdiviser ce second groupe en anomalies par excès et par défaut, etc. -Mais cette taxinomie ne nous apprendrait rien sur leur valeur réelle. Pour éclai-rer celle-ci d'un nouveau jour, il faut l'étudier à la lumière de l'ana-tomie comparée. Une fois mis sur cette voie, on ne tarde pas à recon-naître que la grande majorité des anomalies n'est que la reproduc-tion d'un état normal chez des espèces différentes. Dès lors, cette question, jusque-là simple objet de curiosité à peine digne de former une dépendance de la tératologie, prend une place capitale dans l'ana-tomie philosophique. II. La majorité des anomalies musculaires, ai-je dit, rappelle un état normal chez une espèce inférieure. Les particularités de ce genre ont reçu depuis longtemps les noms de faits de retour ou de réversion em-pruntés à la théorie transformiste. Un premier groupe de ces anomalies réversives comprend des mus-cles totalement étrangers au type humain normal. J'en citerai quelques exemples pour en donner une idée 1° Il est un muscle de la poitrine que l'on rencontre chez beaucoup de mammifères inférieurs et jusque chez les singes cynocéphales. Il se compose d'une bande musculaire étendue sur les côtés du sternum en-tre les insertions du sterno-cléido-mastoïdien et celles du droit de l'abdomen. Ce muscle, appelé sternalis brutorum ou rectus thoracis, se trouve accidentellement chez l'homme. J'ai eu l'occasion de l'observer deux fois et la fig. 1, planche VII, en reproduit un beau spécimen.
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-01. ANTHROPOLOGIE anomalies. Je citerai à l'appui de ce fait l'expérience considérable de Wood. Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres. Proceedings of the Royal Soc. of London, vol. XV, p. 518. Pour certains muscles, l'anomalie est même tellement fréquente qu'elle a pu être prise pour l'état normal par un homme de l'autorité de M. Sappey, ainsi que je l'ai indiqué pour le muscle court péronier laté-ral. Journal de l'anatomie et de la physiologie, de M. Ch. Robin, nu-- méro de mai 1872. On peut établir une division dans l'étude des muscles anomaux. 1 Parmi eux, il en est qui forment une classe à part ils semblent consti-tuer chez l'homme des organes nouveaux, dont -rien dans les disposi-tions normales n'indiquait même l'existence rudimentaire. Dans une seconde classe d'anomalies se rangent les dispositions ex-ceptionnelles d'organes normalement existant. En continuant cette classification artificielle, on pourrait subdiviser ce second groupe en anomalies par excès et par défaut, etc. @Mais cette taxinomie ne nous apprendrait rien sur leur valeur réelle. Pour éclai-rer celle-ci d'un nouveau jour, il faut l'étudier à la lumière de l'ana-tomie comparée. Une fois mis sur cette voie, on ne tarde pas à recon-naître que la grande majorité des anomalies n'est que la reproduc-tion d'un état normal chez des espèces différentes. Dès lors, cette question, jusque-là simple objet de curiosité à peine digne de former une dépendance de la tératologie, prend une place capitale dans l'ana-tomie philosophique. II. La majorité des anomalies musculaires, ai-je dit, rappelle un état normal chez une espèce inférieure. Les particularités de ce genre ont reçu depuis longtemps les noms de faits de retour ou de réversion em-pruntés à la théorie transformiste. Un premier groupe de ces anomalies rêversives comprend des mus-cles totalement étrangers au type humain normal. J'en citerai quelques exemples pour en donner une idée 1° Il est un muscle de la poitrine que l'on rencontre chez beaucoup de mammifères inférieurs et jusque chez les singes cynocéphales. Il se compose d'une bande musculaire étendue sur les côtés du sternum en-tre les insertions du sterno-cléido-mastoïdien et celles du droit de l'abdomen. Ce muscle, appelé sternalis brutorum ou rectus thoracis, se trouve accidentellement chez l'homme. J'ai eu l'occasion de l'observer deux fois et la fig. 1, planche VII, en reproduit un beau spécimen.
-01. ANTHROPOLOGIE anomalies. Je citerai à l'appui de ce fait l'expérience considérable de Wood. Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres. Proceedings of the Royal Soc. of London, vol. XV, p. 518. Pour certains muscles, l'anomalie est même tellement fréquente qu'elle a pu être prise pour l'état normal par un homme de l'autorité de M. Sappey, ainsi que je l'ai indiqué pour le muscle court péronier laté-ral. Journal de l'anatomie et de la physiologie, de M. Ch. Robin, nu-@@méro de mai 1872. On peut établir une division dans l'étude des muscles anomaux.@@ Parmi eux, il en est qui forment une classe à part ils semblent consti-tuer chez l'homme des organes nouveaux, dont @rien dans les disposi-tions normales n'indiquait même l'existence rudimentaire. Dans une seconde classe d'anomalies se rangent les dispositions ex-ceptionnelles d'organes normalement existant. En continuant cette classification artificielle, on pourrait subdiviser ce second groupe en anomalies par excès et par défaut, etc. -Mais cette taxinomie ne nous apprendrait rien sur leur valeur réelle. Pour éclai-rer celle-ci d'un nouveau jour, il faut l'étudier à la lumière de l'ana-tomie comparée. Une fois mis sur cette voie, on ne tarde pas à recon-naître que la grande majorité des anomalies n'est que la reproduc-tion d'un état normal chez des espèces différentes. Dès lors, cette question, jusque-là simple objet de curiosité à peine digne de former une dépendance de la tératologie, prend une place capitale dans l'ana-tomie philosophique. II. La majorité des anomalies musculaires, ai-je dit, rappelle un état normal chez une espèce inférieure. Les particularités de ce genre ont reçu depuis longtemps les noms de faits de retour ou de réversion em-pruntés à la théorie transformiste. Un premier groupe de ces anomalies réversives comprend des mus-cles totalement étrangers au type humain normal. J'en citerai quelques exemples pour en donner une idée 1° Il est un muscle de la poitrine que l'on rencontre chez beaucoup de mammifères inférieurs et jusque chez les singes cynocéphales. Il se compose d'une bande musculaire étendue sur les côtés du sternum en-tre les insertions du sterno-cléido-mastoïdien et celles du droit de l'abdomen. Ce muscle, appelé sternalis brutorum ou rectus thoracis, se trouve accidentellement chez l'homme. J'ai eu l'occasion de l'observer deux fois et la fig. 1, planche VII, en reproduit un beau spécimen.
Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres.
Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres.
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-01. ANTHROPOLOGIE anomalies. Je citerai à l'appui de ce fait l'expérience considérable de Wood. Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres. Proceedings of the Royal Soc. of London, vol. XV, p. 518. Pour certains muscles, l'anomalie est même tellement fréquente qu'elle a pu être prise pour l'état normal par un homme de l'autorité de M. Sappey, ainsi que je l'ai indiqué pour le muscle court péronier laté-ral. Journal de l'anatomie et de la physiologie, de M. Ch. Robin, nu-- méro de mai 1872. On peut établir une division dans l'étude des muscles anomaux. 1 Parmi eux, il en est qui forment une classe à part ils semblent consti-tuer chez l'homme des organes nouveaux, dont -rien dans les disposi-tions normales n'indiquait même l'existence rudimentaire. Dans une seconde classe d'anomalies se rangent les dispositions ex-ceptionnelles d'organes normalement existant. En continuant cette classification artificielle, on pourrait subdiviser ce second groupe en anomalies par excès et par défaut, etc. Mais cette taxinomie ne nous apprendrait rien sur leur valeur réelle. Pour éclai-rer celle-ci d'un nouveau jour, il faut l'étudier à la lumière de l'ana-tomie comparée. Une fois mis sur cette voie, on ne tarde pas à recon-naître que la grande majorité des anomalies n'est que la reproduc-tion d'un état normal chez des espèces différentes. Dès lors, cette question, jusque-là simple objet de curiosité à peine digne de former une dépendance de la tératologie, prend une place capitale dans l'ana-tomie philosophique. II. La majorité des anomalies musculaires, ai-je dit, rappelle un état normal chez une espèce inférieure. Les particularités de ce genre ont reçu depuis longtemps les noms de faits de retour ou de réversion em-pruntés à la théorie transformiste. Un premier groupe de ces anomalies rêversives comprend des mus-cles totalement étrangers au type humain normal. J'en citerai quelques exemples pour en donner une idée 1° Il est un muscle de la poitrine que l'on rencontre chez beaucoup de mammifères inférieurs et jusque chez les singes cynocéphales. Il se compose d'une bande musculaire étendue sur les côtés du sternum en-tre les insertions du sterno-cléido-mastoïdien et celles du droit de l'abdomen. Ce muscle, appelé sternalis brutorum ou rectus thoracis, se trouve accidentellement chez l'homme. J'ai eu l'occasion de l'observer deux fois et la fig. 1, planche VII, en reproduit un beau spécimen.
-01. ANTHROPOLOGIE anomalies. Je citerai à l'appui de ce fait l'expérience considérable de Wood. Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres. Proceedings of the Royal Soc. of London, vol. XV, p. 518. Pour certains muscles, l'anomalie est même tellement fréquente qu'elle a pu être prise pour l'état normal par un homme de l'autorité de M. Sappey, ainsi que je l'ai indiqué pour le muscle court péronier laté-ral. Journal de l'anatomie et de la physiologie, de M. Ch. Robin, nu-- méro de mai 1872. On peut établir une division dans l'étude des muscles anomaux. 1 Parmi eux, il en est qui forment une classe à part ils semblent consti-tuer chez l'homme des organes nouveaux, dont -rien dans les disposi-tions normales n'indiquait même l'existence rudimentaire. Dans une seconde classe d'anomalies se rangent les dispositions ex-ceptionnelles d'organes normalement existant. En continuant cette classification artificielle, on pourrait subdiviser ce second groupe en anomalies par excès et par défaut, etc. @Mais cette taxinomie ne nous apprendrait rien sur leur valeur réelle. Pour éclai-rer celle-ci d'un nouveau jour, il faut l'étudier à la lumière de l'ana-tomie comparée. Une fois mis sur cette voie, on ne tarde pas à recon-naître que la grande majorité des anomalies n'est que la reproduc-tion d'un état normal chez des espèces différentes. Dès lors, cette question, jusque-là simple objet de curiosité à peine digne de former une dépendance de la tératologie, prend une place capitale dans l'ana-tomie philosophique. II. La majorité des anomalies musculaires, ai-je dit, rappelle un état normal chez une espèce inférieure. Les particularités de ce genre ont reçu depuis longtemps les noms de faits de retour ou de réversion em-pruntés à la théorie transformiste. Un premier groupe de ces anomalies rêversives comprend des mus-cles totalement étrangers au type humain normal. J'en citerai quelques exemples pour en donner une idée 1° Il est un muscle de la poitrine que l'on rencontre chez beaucoup de mammifères inférieurs et jusque chez les singes cynocéphales. Il se compose d'une bande musculaire étendue sur les côtés du sternum en-tre les insertions du sterno-cléido-mastoïdien et celles du droit de l'abdomen. Ce muscle, appelé sternalis brutorum ou rectus thoracis, se trouve accidentellement chez l'homme. J'ai eu l'occasion de l'observer deux fois et la fig. 1, planche VII, en reproduit un beau spécimen.
-01. ANTHROPOLOGIE anomalies. Je citerai à l'appui de ce fait l'expérience considérable de Wood. Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres. Proceedings of the Royal Soc. of London, vol. XV, p. 518. Pour certains muscles, l'anomalie est même tellement fréquente qu'elle a pu être prise pour l'état normal par un homme de l'autorité de M. Sappey, ainsi que je l'ai indiqué pour le muscle court péronier laté-ral. Journal de l'anatomie et de la physiologie, de M. Ch. Robin, nu-@@méro de mai 1872. On peut établir une division dans l'étude des muscles anomaux.@@ Parmi eux, il en est qui forment une classe à part ils semblent consti-tuer chez l'homme des organes nouveaux, dont @rien dans les disposi-tions normales n'indiquait même l'existence rudimentaire. Dans une seconde classe d'anomalies se rangent les dispositions ex-ceptionnelles d'organes normalement existant. En continuant cette classification artificielle, on pourrait subdiviser ce second groupe en anomalies par excès et par défaut, etc. -Mais cette taxinomie ne nous apprendrait rien sur leur valeur réelle. Pour éclai-rer celle-ci d'un nouveau jour, il faut l'étudier à la lumière de l'ana-tomie comparée. Une fois mis sur cette voie, on ne tarde pas à recon-naître que la grande majorité des anomalies n'est que la reproduc-tion d'un état normal chez des espèces différentes. Dès lors, cette question, jusque-là simple objet de curiosité à peine digne de former une dépendance de la tératologie, prend une place capitale dans l'ana-tomie philosophique. II. La majorité des anomalies musculaires, ai-je dit, rappelle un état normal chez une espèce inférieure. Les particularités de ce genre ont reçu depuis longtemps les noms de faits de retour ou de réversion em-pruntés à la théorie transformiste. Un premier groupe de ces anomalies réversives comprend des mus-cles totalement étrangers au type humain normal. J'en citerai quelques exemples pour en donner une idée 1° Il est un muscle de la poitrine que l'on rencontre chez beaucoup de mammifères inférieurs et jusque chez les singes cynocéphales. Il se compose d'une bande musculaire étendue sur les côtés du sternum en-tre les insertions du sterno-cléido-mastoïdien et celles du droit de l'abdomen. Ce muscle, appelé sternalis brutorum ou rectus thoracis, se trouve accidentellement chez l'homme. J'ai eu l'occasion de l'observer deux fois et la fig. 1, planche VII, en reproduit un beau spécimen.
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-01. ANTHROPOLOGIE anomalies. Je citerai à l'appui de ce fait l'expérience considérable de Wood. Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres. Proceedings of the Royal Soc. of London, vol. XV, p. 518. Pour certains muscles, l'anomalie est même tellement fréquente qu'elle a pu être prise pour l'état normal par un homme de l'autorité de M. Sappey, ainsi que je l'ai indiqué pour le muscle court péronier laté-ral. Journal de l'anatomie et de la physiologie, de M. Ch. Robin, nu-- méro de mai 1872. On peut établir une division dans l'étude des muscles anomaux. 1 Parmi eux, il en est qui forment une classe à part ils semblent consti-tuer chez l'homme des organes nouveaux, dont -rien dans les disposi-tions normales n'indiquait même l'existence rudimentaire. Dans une seconde classe d'anomalies se rangent les dispositions ex-ceptionnelles d'organes normalement existant. En continuant cette classification artificielle, on pourrait subdiviser ce second groupe en anomalies par excès et par défaut, etc. @Mais cette taxinomie ne nous apprendrait rien sur leur valeur réelle. Pour éclai-rer celle-ci d'un nouveau jour, il faut l'étudier à la lumière de l'ana-tomie comparée. Une fois mis sur cette voie, on ne tarde pas à recon-naître que la grande majorité des anomalies n'est que la reproduc-tion d'un état normal chez des espèces différentes. Dès lors, cette question, jusque-là simple objet de curiosité à peine digne de former une dépendance de la tératologie, prend une place capitale dans l'ana-tomie philosophique. II. La majorité des anomalies musculaires, ai-je dit, rappelle un état normal chez une espèce inférieure. Les particularités de ce genre ont reçu depuis longtemps les noms de faits de retour ou de réversion em-pruntés à la théorie transformiste. Un premier groupe de ces anomalies rêversives comprend des mus-cles totalement étrangers au type humain normal. J'en citerai quelques exemples pour en donner une idée 1° Il est un muscle de la poitrine que l'on rencontre chez beaucoup de mammifères inférieurs et jusque chez les singes cynocéphales. Il se compose d'une bande musculaire étendue sur les côtés du sternum en-tre les insertions du sterno-cléido-mastoïdien et celles du droit de l'abdomen. Ce muscle, appelé sternalis brutorum ou rectus thoracis, se trouve accidentellement chez l'homme. J'ai eu l'occasion de l'observer deux fois et la fig. 1, planche VII, en reproduit un beau spécimen.
-01. ANTHROPOLOGIE anomalies. Je citerai à l'appui de ce fait l'expérience considérable de Wood. Dans l'hiver de 1866-67 à King's College de Londres, cet éminent anatomiste n'a pas relevé moins de 295 anomalies des muscles sur 34 cadavres. Proceedings of the Royal Soc. of London, vol. XV, p. 518. Pour certains muscles, l'anomalie est même tellement fréquente qu'elle a pu être prise pour l'état normal par un homme de l'autorité de M. Sappey, ainsi que je l'ai indiqué pour le muscle court péronier laté-ral. Journal de l'anatomie et de la physiologie, de M. Ch. Robin, nu-@@méro de mai 1872. On peut établir une division dans l'étude des muscles anomaux.@@ Parmi eux, il en est qui forment une classe à part ils semblent consti-tuer chez l'homme des organes nouveaux, dont @rien dans les disposi-tions normales n'indiquait même l'existence rudimentaire. Dans une seconde classe d'anomalies se rangent les dispositions ex-ceptionnelles d'organes normalement existant. En continuant cette classification artificielle, on pourrait subdiviser ce second groupe en anomalies par excès et par défaut, etc. -Mais cette taxinomie ne nous apprendrait rien sur leur valeur réelle. Pour éclai-rer celle-ci d'un nouveau jour, il faut l'étudier à la lumière de l'ana-tomie comparée. Une fois mis sur cette voie, on ne tarde pas à recon-naître que la grande majorité des anomalies n'est que la reproduc-tion d'un état normal chez des espèces différentes. Dès lors, cette question, jusque-là simple objet de curiosité à peine digne de former une dépendance de la tératologie, prend une place capitale dans l'ana-tomie philosophique. II. La majorité des anomalies musculaires, ai-je dit, rappelle un état normal chez une espèce inférieure. Les particularités de ce genre ont reçu depuis longtemps les noms de faits de retour ou de réversion em-pruntés à la théorie transformiste. Un premier groupe de ces anomalies réversives comprend des mus-cles totalement étrangers au type humain normal. J'en citerai quelques exemples pour en donner une idée 1° Il est un muscle de la poitrine que l'on rencontre chez beaucoup de mammifères inférieurs et jusque chez les singes cynocéphales. Il se compose d'une bande musculaire étendue sur les côtés du sternum en-tre les insertions du sterno-cléido-mastoïdien et celles du droit de l'abdomen. Ce muscle, appelé sternalis brutorum ou rectus thoracis, se trouve accidentellement chez l'homme. J'ai eu l'occasion de l'observer deux fois et la fig. 1, planche VII, en reproduit un beau spécimen.
of London, vol.
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