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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
226 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par la brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambes semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil.@@ Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. -@Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. -@Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profond. Il s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis.
Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
226 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par la brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambes semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil.@@ Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. -@Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. -@Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profond. Il s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs.
Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
226 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par la brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambes semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil.@@ Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. -@Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. -@Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profond. Il s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
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L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
226 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par la brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambes semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil.@@ Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. -@Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. -@Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profond. Il s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
- Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert.
Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
226 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par la brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambes semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil.@@ Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. -@Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. -@Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profond. Il s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde.
Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
226 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par la brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambes semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil.@@ Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. -@Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. -@Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profond. Il s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins.
Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
226 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par la brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambes semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil.@@ Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. -@Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. -@Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profond. Il s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
226 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par la brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambes semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil.@@ Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. -@Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. -@Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profond. Il s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
- Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant.
-Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
226 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par la brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambes semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil.@@ Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. -@Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. -@Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profond. Il s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par Ja brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambe4 semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou.et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil. - Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. - Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. - Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profpnd. 11 s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
226 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. libre il pénétra chez Marguerite par la brèche qu'il venait d'ouvrir. Quand il se trouva dans la première pièce, involontaire-ment il s'arrêta le coeur lui battait à l'étouffer, ses jambes semblaient lui refuser leur service son oeil était comme voilé par un nuage qui ne laissait plus les objets distincts. Il se remit pourtant et examina les lieux. Rien n'y était changé chaque chose était à sa place. Aucun désordre apparent ne semblait confirmer ses craintes aucun indice ne faisait pres-sentir une catastrophe. Restait la chambre de Marguerite la clef était sur la porte, et la main de Ludovic trembla en y touchant. Il ouvrit un peu d'obscurité régnait dans la pièce, les rideaux empêchaient le jour d'y pénétrer largement. Cependant il fut facile à Ludovic de s'assurer qu'aucune créature vivante ne se trouvait là. Rien n'y manquait pour-tant, si ce n'est Marguerite. Tout y gardait l'air d'arrange-ment qu'elle savait y maintenir, et qui est le luxe des exis-tences modestes. Le lit était fait et garni de sa courte-pointe près du lit, le Christ et le bénitier avec un rameau de buis. Sur les murs, quelques portraits de famille, ébauchés au crayon, puis la commode en acajou et les chaises de meri-sier une petite pendule devant le trumeau et deux vases remplis de fleurs. L'inventaire n'était pas long, et Ludovic l'eut achevé d'un coup d'oeil.@@ Cependant son père et ses témoins étaient accourus sur ses pas, et avaient pénétré dans l'appartement par l'issue qu'il avait frayée le concierge venait après eux, afin de constater les dégâts et mettre sa responsabilité à couvert. Puis les curieux et les voisins s'y mêlèrent, si bien que le petit logement fut bientôt rempli de monde. Alors la perqui-sition devint générale, on regarda sous les lits, on fouilla tous les recoins. Marguerite n'y était pas Marguerite avait disparu le concierge n'osait en croire ses yeux. -@Je ne l'ai pourtant pas vue sortir, s'écriait-il en prenant tous les saints à témoin. -@Vous verrez qu'elle aura passé par les gouttières, dit un mauvais plaisant. Ludovic était anéanti à l'effervescence du premier mo-ment avait succédé un accablement profond. Il s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné. Au
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Il s'était jeté sur une chaise et se renfermait dans un silence obstiné.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée.
Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose.
Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur.
Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée.
La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit quelque instance à prolonger la veillée.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
- A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser.
-A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
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-A demain ! répéta-t-elle.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos.
Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau.
C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau.
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ?
Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ?
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220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès,son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, - c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se -laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage. 1 Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agit, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit -quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. - A demain 1 eut Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. -- A demain 1 répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée -et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit'alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
220 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. Enfin, le temps des délais expira, et il devint possible de fixer d'une manière définitive le moment de la cérémonie. Pour abréger le séjour du père et diminuer les frais de son déplacement, il avait été convenu qu'on célébrerait le ma-riage dès son arrivée. Voir sa bru et la conduire à l'autel se-raient tout un pour lui. Les bans avaient été publiés, le maire et le curé de la paroisse étaient prévenus aucun détail, au-cun soin n'avaient été négligés. Ludovic ne s'occupait plus d'autre chose. Ce n'était plus l'avocat esclave de ses devoirs, @@c'était un fiancé n'ayant qu'une idée et qu'un souci, et ne se @laissant détourner par aucune affaire de la poursuite de son bonheur. La veille du jour fixé, il ne quitta pas Marguerite un seul instant et entra presque de plein pied dans la vie de ménage.@@ Il voulut qu'elle déjeunât et dînât avec lui, qu'elle l'assistât dans les dernières emplettes et les derniers préparatifs, qu'elle en agît, en un mot, comme s'ils étaient mari et femme. La jeune fille semblait heureuse de ces soins elle s'y prêta avec une bonne grâce évidente puis le soir, quand les con-venances les obligèrent à se séparer, ce fut elle qui mit @quelque instance à prolonger la veillée. Enfin le moment des adieux arriva. -@A demain ! dit Ludovic en accompagnant ces mots d'un chaste baiser. @-@A demain ! répéta-t-elle. Rentré chez lui, dans la modeste mansarde qu'il avait voulu occuper jusqu'au dernier moment, Ludovic se jeta sur son lit et essaya de goûter quelque repos. Mais les souve-nirs de la journée @et les espérances du lendemain l'agitèrent à un point qu'il ne put fermer l'oeil. Il se leva la nuit était déjà avancée. Il ouvrit sa fenêtre et se remit à la place d'où il poursuivait autrefois ses contemplations solitaires et sui-vait Marguerite dans le cours de ses travaux. C'était un charme pour lui que de remonter le cours des temps et de reprendre ses amours à leur berceau. Qui lui eût dit alors que cette passion, née d'un regard furtif, le conduirait aussi loin, et que sa destinée allait dépendre des hasards d'un voi-sinage ? En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva lè sujet d'une inquiétude et
En agissant ainsi, Ludovic cherchait seulement une diver-sion à son insomnie il y trouva le sujet d'une inquiétude et
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables.
Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1.
Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus1.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur.
Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr.
Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
95, soit en moyenne 22 gr.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes.
95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr.
Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
35, soit un poids moyen de 23 gr.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes.
25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr.
Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués.
Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration par des écarts très peu marqués.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé.
Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés.
Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
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-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus 1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 05, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de lm,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensurations par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
-9 -L'objection se présentait d'elle-même, et nous avons cherché à y répondre d'avance en prenant les précautions les plus minutieuses pour diminuer autant que possible cette cause d'erreur. Après une série d'es-sais avec des feuilles de papier plus ou moins épaisses, des morceaux d'étoffe, de la mousseline et des feuilles métalliques, nous nous sommes arrêtés aux feuilles d'étain qui nous ont paru remplir toutes les condi-tions désirables. Ces feuilles se trouvent dans le commerce en rouleaux de 5 à 6 mètres de long sur 60 centimètres de large leur épaisseur varie depuis 1 dixième de millimètre jusqu'à 2, 3, 4, 5 dixièmes et plus@1. Elles sont obtenues au laminoir qui leur donne mathématiquement la même épaisseur sur toute leur étendue. Du reste, d'après les renseignements fournis par le fabri-cant, on pourrait les faire faire exprès une fois le laminoir mis au point pour une épaisseur donnée, on pourrait avoir autant de mètres de feuilles d'étain que l'on voudrait 20, 30, 40, 50 mètres et plus, par rouleaux de 5 mètres, rouleaux ayant rigoureusement la même épaisseur. Nous avons opéré avec des feuilles ayant de 1 dixième à 3 dixièmes 1 2 de millimètre d'épaisseur nous donnons la préférence à ces dernières parce qu'elles sont assez pesantes pour que les différences de poids ne soient pas très sensibles d'un point à un autre ainsi sur une feuille ayant 3 dixièmes de millimètre, 10 centimètres carrés pris au commencement, au milieu et à la fin d'un rouleau de plus de 1 mètre de long, pesaient 22 gr. 15, 22 gr. 05 et 21 gr. 95, soit en moyenne 22 gr. 95, avec un écart de 20 centigrammes seulement entre les deux poids extrêmes, 20 centigrammes sur un poids de plus de 2,000 centigrammes. Sur une autre feuille de 3 dixièmes 1 2 de millimètre, nous avons trouvé 23 gr. 15, 23 gr. 25 et 23 gr. 35, soit un poids moyen de 23 gr. 25, avec encore un écart de 20 centigrammes entre les deux poids les plus éloignés, 20 cen-tigrammes de différence pour un poids de plus de 2,300 centigrammes. Enfin sur une troisième feuille de 2 dixièmes de millimètre et 1 centième d'épaisseur et de 1m,50 de long, nous avons trouvé exactement 15 gr. 85 au commencement, au milieu et à la fin du rouleau. Ces petites diffé-rences de poids n'ont donc pas une grande valeur, et se traduisent dans les mensuration@ par des écarts très peu marqués. Nous avons, en effet, vérifié les résultats obtenus très rapidement par cette méthode des pesées avec ceux que donne, après beaucoup de temps et de patience, le procédé du papier quadrillé. Dans un premier cas, notre procédé nous donnait comme surface 289 centimètres carrés avec le papier quadrillé nous avons trouvé 295, soit une différence de 6 centi-mètres pour une surface de près de 300 centimètres carrés. Dans un second cas, avec une autre feuille d'étain, la première méthode nous a donné 95 cent. 32, l'autre 97, soit encore une différence en trop de 1. cent. 68. Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
Enfin dans un troisième essai, avec une troisième feuille d'étain, pour un carré de 15 centimètres de côté, le calcul et le papier 1 On peut se les procurer chez Lambert, fabricant de feuilles métalliques, rue Volta.
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-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irréligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irréligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irreligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment.
-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment.
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-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irréligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irréligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irreligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée.
Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée.
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-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irréligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irréligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irreligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements.
La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements.
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-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irréligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irréligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irreligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
En effet, l'esprit de révolte et d'irréligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité.
En effet, l'esprit de révolte et d'irreligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité.
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-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irréligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irréligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irreligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur.
La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur.
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-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irréligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irréligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
-48-du corps presque entier des premiers pasteurs, et avec tout ce que l'on comptait dans le clergé du second ordre d'hommes éclairés et solide-ment vertueux, il refusa de prêter le fatal ser-ment. Une manqua pas d'instruire ses paroissiens des motifs de son refus, et de les prémunir, tant en public qu'en particulier, contre le schisme dont il les voyait menacés et les dangers aux-quels leur foi allait être exposée. La plupart se montrèrent dociles à ses avis mais le temps n'était pas éloigné où la séduction devait être plus forte que tous les avertissements. En effet, l'esprit de révolte et d'irreligion se répandait sur toute la France avec une effrayante rapidité. La contagion n'épargna pas la paroisse de Somme Vesle mais elle se fit principalement sentir à Poix, où les opinions nouvelles durent na -turellement trouver un accès plus facile parmi des gens d'un caractère exalté, et accoutumés depuis longtemps à contrarier leur pasteur. Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
Ceux des habitants de cette annexe qui avaient autrefois gêné M. Musart dans l'exercice de son zèle pour le salut des âmes, profitant des circonstances pour donner un libre cours au ressentiment qu'ils nourrissaient contre lui, le maltraitèrent en plu-sieurs rencontres, et enfin ils allèrent jusqu'à lui interdire l'entrée de l'église c'était au mois de juin 1791, et rien n'autorisait encore une telle
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-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres .
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-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète.
Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète.
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-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue.
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-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine.
On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine.
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-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
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-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
- L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 .
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-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils.
Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils.
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-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur.
Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur.
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-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre.
1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre.
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-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. - L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen a'une solution alcaline de cuivre. - Afé-thode de Trommer. - On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
-27 -ladie, le diabète diabetes mellitus , maladie dans laquelle souvent une grande quantité de sucre est éliminée, sous un volume énorme d'urine atteignant quelquefois 25 litres . Le même phénomène a été observé dans la lésion de la pa-roi du quatrième ventricule du cerveau, et on a cru avoir trouvé ainsi la cause du diabète. Cependant la liaison entre cette lésion cérébrale et l'élimination du sucre est encore complétement inconnue. On a encore trouvé du sucre dans la galactostase et quelquefois dans la dyspepsie, la périto-nite et l'hypochondrie on en a dit autant de la période de convalescence du choléra, de la maladie de Bright, mais tous ces faits n'ont pas encore été confirmés d'une manière certaine. § 47. Recherche du sucre dans l'urine. -@L'urine des diabétiques est ordinairement très-pâle, d'une odeur parti-culière et d'un poids spécifique très-élevé 1,030 à 1,052 . Fraîchement émise, elle a rarement une réaction très-acide, elle est le plus souvent neutre ou légèrement alcaline mais elle devient bientôt très-acide par la fermentation qui dé-veloppe, en même temps que de l'acide lactique, de l'acide acétique et de petites quantités d'autres acides volatils. Pour la recherche du sucre, on emploie différentes mé-thodes que nous allons passer toutes en revue avec plus ou moins de détails, par la raison qu'en employant un seul procédé, un opérateur peu expert pourrait facilement être induit en erreur. 1° Au moyen d'une solution alcaline de cuivre. -@@Mé-thode de Trommer. -@On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout. On
- On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout.
-On ajoute à une portion d'urine dé-barrassée au besoin de son albumine d'après § 44 quelques gouttes de lessive de potasse ou de soude, on chauffe légè-rement pour éliminer l'ammoniaque qui pourrait s'y trou-ver, on filtre s'il se forme un précipité considérable de phosphates terreux, et on ajoute ensuite avec précaution la solution de sulfate de cuivre, tant que le précipité bleu clair d'hydrate cuivrique formé tout d'abord se dissout.
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-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob@@@@@-@1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt.
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-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob@@@@@-@1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels.
Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels.
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-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob@@@@@-@1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché.
Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché.
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-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob@@@@@-@1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille.
Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille.
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-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob@@@@@-@1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824.
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-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob@@@@@-@1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot.
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-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur Ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, i M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob@@@@@-@1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
-66-la garde à M. Remy Langlet, qui sut apprécier ce dépôt. Six ans après, un des vicaires généraux du diocèse de Reims, M. Hulot, qui avait particu-lièrement connu M. Paquot avant la révolution, obtint de M. Lacatte-Jaltrois, homme également recommandable par son savoir et par sa piété, un Mémoire historique sur la vie et sur la mort de ce glorieux martyr, et aussi sur ce qu'étaient devenus ses restes mortels. Le 23 août 1823 ce Mémoire, après qu'on en eut donné lecture à toutes les personnes qui avaient concouru à sa rédaction par les divers renseignements que cha-cune aurait pu fournir, fut revêtu de toutes leurs signatures, puis du sceau de l'archevêché, et officiellement déclaré authentique, 1 M. Hulot désirait vivement, et non sans rai-son, que le chef du vénérable martyr fût cédé, ne fût-ce qu'à titre de dépôt, à l'archevêché. Mais M. Remy Langlet ne put se résoudre à s'en dessaisir c'était, disait-il, la bénédiction et le bonheur de sa famille. Aussi le garda-t-il jus-qu'à sa mort, qui arriva en 1824. Sa veuve céda le précieux dépôt à son fils, M. Langlet-Boutil-lot. M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
M. Lacatte conçut alors l'espérance de l'ob-166 - 1 C'est à ce mémoire historique, rédigé avec autant de conscience que de sagesse, que nous devons presque tout ce que nous avons écrit sur le vénérable M. Paquot.
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-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel.
-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel.
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-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait.
Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait.
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-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France.
La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France.
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-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville.
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-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple.
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-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs.
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-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soïssons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
-142 -tembre 1792, mois de sinistre mémoire, deux hommes se disant chargés par le commandant du deuxième bataillon de la garde nationale de faire des visites chez les citoyens suspects, se présentent au domicile de M. Paquot, rue du Grand Cerf, n° 11, sous le prétexte d'y chercher des armes, et aussi pour lui demander le serment constitutionnel. Après avoir tout fouillé sans trouver ni armes ni rien qui y ressemblât, ils rapportèrent à la municipalité un billet où M. Paquot déclarait n'avoir point prêté le ser-ment exigé, et être prêt à se rendre partout où l'on voudrait l'envoyer, plutôt que de consentir à un acte que sa conscience lui interdisait. La nuit suivante, arrive et entre dans Reims un corps de volontaires ils venaient du camp de Soissons, où l'armée républicaine se rassem-blait pour repousser les Prussiens, qui allaient envahir le sol de la France. La soudaine appa-rition de ces ardents révolutionnaires répand l'inquiétude, puis l'épouvante dans la ville. En effet, les plus exaltés d'entre eux se mêlent à la partie gangrenée du peuple. Les craintes redou-blent les hommes modérés s'éloignent ou se cachent, et attendent avec anxiété ce que l'orage qui gronde va amener de forfaits et de mal-heurs. Des voix sinistres ont désigné comme suspects, comme ennemis de la patrie, un cer-
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