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Athènes, 4 avril 1968. Nuit d’ivresse
En 1968, l’AEK Athènes remporta Coupe des Coupes, la C2 de l’époque, devant 80 000 fans rassemblés au Stade de Marbre. La naissance en Grèce d’une passion pour le basket-ball.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\nC’était la première fois qu’un club grec s’appropria une coupe européenne dans un sport collectif, aussi le réalisateur Tassos Boulmetis en a fait un film intitulé sobrement 1968. Il retrace les histoires personnelles des joueurs de cette épopée animés par un but commun, la victoire. Des acteurs grecs célèbres, mais dont la notoriété hors frontières n’est palpable que par les cinéphiles, ont été sollicités pour les principaux rôles.\n\nCette aventure se déroula dans un contexte politique nauséabond. Un an auparavant, l’armée grecque avait pris le pouvoir par le biais d’un coup d’Etat, en le justifiant par la volonté de faire barrage au communisme. La plupart des responsables politiques du pays furent emprisonnés, des tribunaux militaires d’exception furent installés dans les dix plus grandes villes du pays, les partis politiques et les syndicats furent interdits, la junte reprit l’Eglise en main, des ouvrages et des spectacles furent interdits, la torture fut partout instituée. La Grèce plongea dans les ténèbres.\n\n\nGeorgios Amerikanos était bien Grec\n\nJusque-là, ce sont les clubs du bloc de l’Est qui avaient trusté les places de finalistes dans la Coupe des Champions. Essentiellement des soviétiques, et aussi l’Academic Sofia, le Spartak Brno et le Slavia Prague. Le Real Madrid, le Simmenthal Milan et aussi l’Ignis Varèse, vainqueur de la première édition de la Coupe des Coupes l’année précédente, avaient ouvert une brèche dans cette suprématie.\n\nL’AEK Athènes était montée peu à peu en puissance, en assemblant des joueurs venus de clubs différents, mais sans étranger, contrairement à la plupart des équipes occidentales. Il y avait le géant Georgios Trontzos, 2,17m, passé brièvement par Gonzaga, Christos Zoupas, surnommé « le Docteur » car il était alors étudiant en médecine, Stelios « L’Oiseau » Vassiliadis, et Georgios Amerikanos, que l’on appelait « The International » car son nom signifie, on s’en doutait, l’Américain. S’appuyant sur ce corps de joueurs, l’AEK remporta quatre championnats nationaux d’affilée, de 1963 à 1966, avant de lâcher prise l’année suivante. Il parvint également en 1966 en demi-finale de la Coupe des Champions (C1) où il fut vaincu par le Slavia Prague. Une tragédie ébranla l’équipe lorsque Georgios Moshos s’effondra durant le match. Il était victime d’un cancer en phase terminale, mais il l’avait caché à ses coéquipers. Il devait décéder quelques mois plus tard, à l’âge de 29 ans.\n\n« Nous n’avions aucun étranger dans l’équipe. Nous avions un Américain (Amerikanos) mais il était de Nikaia (NDLR : dans la banlieue d’Athènes) », a rappelé Christos Zoupas, qui devint ensuite maire d’Ymittos et médecin-diabétologue. A l’époque, le basket en Grèce se pratiquait à l’extérieur. « Nous nous entraînions tous les soirs de 19-20h jusqu’à 23h, qu’il neige, qu’il pleuve, qu’il fasse chaud, et cela pendant une décennie. Comme nous étions à l’hôtel avant les matches, nous n’étions chez nous que pendant un ou deux jours. Aussi, nous étions ensemble tout le temps. Parfois ce contact constant paraissait excessif et pouvait créer des tensions. »\n\nPour se faufiler jusqu’à la finale, l’AEK écarta le Kas Vitoria au deuxième tour, grâce notamment aux 41 points d’Amerikanos au match retour. Il n’était pas pour rien le meilleur marqueur du championnat national. Lors du quart-de-finale aller, les Grecs firent du petit bois des Belges du Royal IV Bruxelles. Mais le retour ressembla à un cauchemar. L’AEK fut obligée de s’entraîner sur l’une des places principales de la capitale belge, parsemée de lignes de tram, à la vue de tous. Bousculés, Amerikanos and Co furent rejoints sur l’ensemble des deux matches, à 8 secondes de la fin, 74-52. Stelios Vassiliadis bénéficia de deux lancers-francs qu’il transforma. Avantage AEK. Mais, il restait une ultime possession pour Kenneth Washington, un arrière de 1,91m, célèbre aux Etats-Unis pour avoir été deux fois champion NCAA avec UCLA, et qui participa ensuite au championnat du monde de 1970. Seulement, Washington buta sur la forteresse grecque et l’AEK se qualifia ainsi pour la demi-finale.\n\nLes Grecs se retrouvèrent nez à nez avec l’Ignis de Varèse de Dino Meneghin, qui venait d’éliminer l’ASVEL, et qui était hyper-favorite. Là encore, l’AEK passa par un trou de souris. Battus de 18 points à l’aller en Italie, les Athéniens gagnèrent le retour de 20 devant 50 000 personnes au stade Kallimármaro. L’inévitable Amerikanos passa 31 points, Zoupas et Trontzos, 12 chacun. Le géant, bien qu’handicapé par une entorse de la cheville, inscrivit le panier décisif.\n\n\n80 000 spectateurs, c’est dans le Livre des Records\n\nJusque-là, les finales européennes se disputaient par manches aller et retour. Mais la Fédération Internationale décida de changer de format et de faire jouer cette finale de Coupe des Coupes sur une seule rencontre, mais... pas sur terrain neutre. La junte grecque perçut l’intérêt politique d’accueillir un évènement sportif d’une telle envergure et de renvoyer au monde une image positive après une année de répression. Christos Zoupas se souvient que la ville organisatrice devait être désignée par tirage au sort, mais les colonels grecs firent pression sur la FIBA pour qu’elle se tienne à Athènes. Dans le même temps, ils prirent contact avec le Slavia Prague, en leur offrant une compensation financière et en invitant toute la délégation à Athènes pendant une semaine. La femme de Jiri Zidek, le meilleur joueur tchèque, qui venait d’accoucher, reçut des cadeaux pour son bébé. Il fut organisé sur place quantité d’apparitions publiques pour les joueurs du Slavia. Il se dit que tout ceci faisait partie d’un plan ourdi pour distraire et épuiser les adversaires avant la finale. « Les joueurs tchèques se sont bien amusés », témoigna Christos Zoupas. « C’était de gentilles personnes, qui ont connu diverses difficultés avec le régime communiste de leur pays. Ils logeaient dans un bel hôtel et je me souviens qu’ils ont été emmenés aux « Etoiles » de Glyfada. Je suis resté ensuite en contact avec Jiri Zidek et j’ai encore reçu récemment un long mail de sa part. »\n\nPour l’événement, la junte militaire supprima le couvre-feu et permit à la foule de se rendre en masse au Kallimármaro. C’est ce stade planté en plein cœur d’Athènes, en forme de fer à cheval, appelé également Stade des Panathénées ou Stade de Marbre, berceau du sport athénien depuis l’Antiquité, où se déroulèrent des épreuves des premiers Jeux Olympiques de l’ère moderne en 1896. On estime à 80 000 le nombre de supporters -le mot prendre ici tout son sens- qui l’investirent pour cette soirée historique ; 65 000 places étaient assises, les autres ont dû rester debout. Le Guiness Book considère qu’il s’agit toujours d’un record pour un match de basket en plein air. A l’extérieur, une autre foule de 40 000 personnes écoutèrent le match à la radio et les réactions des chanceux qui étaient à l’intérieur. Ni ERT, ni YENED, la chaîne des forces armées, ne diffusèrent la finale. Aussi, Vassilis Georgiou, entra en quelque sorte au Panthéon des commentateurs grâce à la diffusion exclusive à la radio, en racontant avec passion les derniers instants du match qui font partie de la légende du sport grec.\n\n« Nous avons été bloqués sur Kifissia, à l’hôtel Apergis », a raconté Christos Zoupas. « Grâce aux téléphones, nous avons appris ce qui se passait à Athènes et nous n’en croyions pas nos oreilles. Bien avant le match, il y avait des fans sur les gradins de Kallimármaro. Ils jouaient au backgammon et aux cartes, ils avaient des sacs de nourriture... Sans l’aide de la police, l’accès n’aurait pas été facile. Nous sommes arrivés par derrière, à 19h. Je me souviens du bruit lorsque nous sommes entrés dans les vestiaires. Nous nous sommes lentement habillés, en nous regardant comme si nous étions perdus. Nous nous sommes dit : « que se passe t-il ? Où sommes nous ? Que va-t-il se passer ? » Lors du Final 4 de 1966, le Slavia nous avait largement battu, mais avec 80 000 spectateurs, ce n’était pas la même chose. Il n’y avait pas de rivalité à cette époque, seule la Grèce comptait, et il y avait des fans de toutes les équipes dans les gradins. De nombreux jeunes enfants voulaient sauter sur le terrain et ils étaient poursuivis par la police. »\n\n\nUne nuit d’extase dans toute la capitale\n\nA la mi-temps, l’AEK menait 47-38, mais les Tchèques retrouvèrent toute leur énergie et passèrent en tête à 11 minutes de la fin. C’est alors que Georgios Amerikanos a pris le destin de son équipe et de toute la Grèce en mains. Il finira meilleur marqueur de l’AEK avec 29 points, Trontzos avec 24, et Jiri Zidek, l’un des meilleurs joueurs d’Europe, 31. La foule faisait un boucan incroyable, criant sans cesse « AEK ! AEK ! ». Des journaux et des mouchoirs étaient lancés sur le terrain, des fusées éclairantes dans le ciel. Lors de l’EuroBasket de 1987 à Athènes, un photographe qui avait couvert la soirée, nous assura que lui et ses confrères avaient sciemment flashé ensemble lorsque les Tchèques prenaient un tir afin de les éblouir. A une minute de la fin, des milliers de bougies furent allumées dans les gradins du stade, qui étaient demeurés jusque-là dans l’obscurité, seul le terrain étant éclairé. « Le Dieu de la Grèce, le Dieu de l’AEK est avec nous ! Venez Amerikanos, venez Trontzos, aller Zoupas !, » cria le radio-reporter. « Amerikanos marque un panier merveilleux et il vient et m’embrasse, je l’embrasse en retour (...) Depuis que Trontzos a marqué ce panier onirique, il n’y a plus moyen de perdre maintenant, messieurs ! Nous tenons le ballon en dehors de la zone. Allez les gars ! 89-82. C’est fini, c’est fini ! L’ascension du basket grec ! Le grand AEK, l’AEK onirique a remporté la Coupe d’Europe ! George (Amerikanos), nous les avons mis en pièces. Nous l’avons soulevée ! AEK ! Grèce ! Europe ! »\n\nLes Grecs n’ont jamais fait dans la demi-mesure. Les Tchèques étaient étourdis par le tohu-bohu. « Cette nuit magique à Athènes fut l’un des plus grands moments de ma carrière. Des moments inoubliables. Il y avait 80 000 personnes qui nous applaudissaient et nous ne savions pas si nous avions perdu ou gagné, » confia plus tard Jiri Zidek. A l’issue de la finale, les rues de la capitale furent inondées de fans. Ceux qui étaient aux premiers rangs embrassèrent leurs héros et, selon une ancienne tradition olympique toujours d’actualité, ils les firent monter sur leurs épaules. George Amerikanos tenta de s’échapper avec sa femme en voiture et quand il fut reconnu par la foule celle-ci souleva la caisse et la porta pendant deux kilomètres jusqu’à Victoria Square ! La célébration se poursuivit toute la nuit et l’équipe se retrouva dans un night club pour fêter à la grecque cette victoire historique.\n\nCe triomphe fut évidemment récupéré par les colonels qui fêtaient ainsi le premier anniversaire de leur prise de pouvoir. C’était pour eux une excellente occasion d’afficher une unité nationale et de permettre au peuple grec de se réjouir et d’oublier la sanglante répression. Cette grande première permit aussi de créer une culture du basket du basket-ball dans le pays, qui pris encore plus de vigueur avec le titre européen de 1987, remporté également à Athènes.\n\nChristos Zoupas livra en conclusion une anecdote : « La coupe que vous voyez sur les photos n’est pas la vraie. L’original est un grand vase de cristal de Bohême, de 40-50cm, avec des lettres en or qui indiquent « AEK Athènes », qui est conservé dans les bureaux du club. Ils ne l’ont pas apporté car elle se serait brisée et c’est pourquoi ils nous ont donné à soulever une coupe symbolique en fer. »\n\nx\n\n[armelse]\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\nC’était la première fois qu’un club grec s’appropria une coupe européenne dans un sport collectif, aussi le réalisateur Tassos Boulmetis en a fait un film intitulé sobrement 1968. Il retrace les histoires personnelles des joueurs de cette épopée animés par un but commun, la victoire. Des acteurs grecs célèbres, mais dont la notoriété hors frontières n’est palpable que par les cinéphiles, ont été sollicités pour les principaux rôles.\n\nCette aventure se déroula dans un contexte politique nauséabond. Un an auparavant, l’armée grecque avait pris le pouvoir par le biais d’un coup d’Etat, en le justifiant par la volonté de faire barrage au communisme. La plupart des responsables politiques du pays furent emprisonnés, des tribunaux militaires d’exception furent installés dans les dix plus grandes villes du pays, les partis politiques et les syndicats furent interdits, la junte reprit l’Eglise en main, des ouvrages et des spectacles furent interdits, la torture fut partout instituée. La Grèce plongea dans les ténèbres.\n\nGeorgios Amerikanos était bien Grec\n\nJusque-là, ce sont les clubs du bloc de l’Est qui avaient trusté les places de finalistes dans la Coupe des Champions. Essentiellement des soviétiques, et aussi l’Academic Sofia, le Spartak Brno et le Slavia Prague. Le Real Madrid, le Simmenthal Milan et aussi l’Ignis Varèse, vainqueur de la première édition de la Coupe des Coupes l’année précédente, avaient ouvert une brèche dans cette suprématie.\n\nL’AEK Athènes était montée peu à peu en puissance, en assemblant des joueurs venus de clubs différents, mais sans étranger, contrairement à la plupart des équipes occidentales. Il y avait le géant Georgios Trontzos, 2,17m, passé brièvement par Gonzaga, Christos Zoupas, surnommé « le Docteur » car il était alors étudiant en médecine, Stelios « L’Oiseau » Vassiliadis, et Georgios Amerikanos, que l’on appelait « The International » car son nom signifie, on s’en doutait, l’Américain. S’appuyant sur ce corps de joueurs, l’AEK remporta quatre championnats nationaux d’affilée, de 1963 à 1966, avant de lâcher prise l’année suivante. Il parvint également en 1966 en demi-finale de la Coupe des Champions (C1) où il fut vaincu par le Slavia Prague. Une tragédie ébranla l’équipe lorsque Georgios Moshos s’effondra durant le match. Il était victime d’un cancer en phase terminale, mais il l’avait caché à ses coéquipers. Il devait décéder quelques mois plus tard, à l’âge de 29 ans.\n\n« Nous n’avions aucun étranger dans l’équipe. Nous avions un Américain (Amerikanos) mais il était de Nikaia (NDLR : dans la banlieue d’Athènes) », a rappelé Christos Zoupas, qui devint ensuite maire d’Ymittos et médecin-diabétologue. A l’époque, le basket en Grèce se pratiquait à l’extérieur. « Nous nous entraînions tous les soirs de 19-20h jusqu’à 23h, qu’il neige, qu’il pleuve, qu’il fasse chaud, et cela pendant une décennie. Comme nous étions à l’hôtel avant les matches,\n\n[/arm_restrict_content]\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
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Euroleague : Mehdi Difallah a arbitré 21 matches cette saison
Toujours selon les calculs du statisticien Darius Garuolis, Mehdi Difallah est le 10e arbitre à avoir officié le plus de matches cette saison en Eurleague : 21.\n\nArbitre en Pro A depuis 2011, Mehdi Difallah, 38 ans, a fait le choix de l’Euroleague en 2017, et il a officié lors des Final Four de 2019 et 2021.\n\n« J’ai fait mon deuil des matches internationaux de sélections en choisissant l’Euroleague plutôt que le basket Fiba », a t-il confié, il y a quelques mois à L’Est Eclair. « Arbitrer du super basket toute l’année, dans des conditions optimales et avoir du repos l’été pour profiter de ma famille, je l’assume, je le savais dès le départ. »\n\n\nNumber of #EuroLeague games this season by referee:\n\n🇸🇮 Damir Javor 29 games\n🇱🇻 Olegs Latisevs 27\n🇭🇷 Sreten Radovic 27\n🇺🇦 Borys Ryzhyk 26\n🇷🇸 Ilija Belosevic 26\n🇮🇹 Luigi Lamonica 25\n🇵🇹 Fernando Rocha 25\n🇩🇪 Robert Lottermoser 23\n🇸🇮 Matej Boltauzer 22\n🇫🇷 Mehdi Difallah 21\n\n— Darius Garuolis (@DariusGaruolis) April 18, 2022\n\n\nPhoto : LNB
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Donatas Motiejunas (Monaco) : «On travaille tous les jours pour être prêts, et pourquoi pas rejoindre le Final Four»
Le pivot lituanien de l’AS Monaco, Donatas Motiejunas (2,13m, 31 ans), se livre sur le site du club, évoquant notamment l’affrontement qui arrive avec Olympiakos en quart-de-finale de l’Euroleague.\n\nTout d’abord, il se félicite du changement de coach intervenu en cours de saison :\n\n« Depuis que le coach est arrivé, de nombreuses personnes extérieures nous font part de la différence aperçue, notamment sur notre défense. Mais aussi en attaque, chacun a son rôle et ça change beaucoup. Tout le mérite revient à Sasa Obradovic, parce qu’avant son arrivée, on ne réussissait pas à jouer comme ça. Ca a vraiment été le tournant de notre saison. »\n\nMotiejunas sait qu’il faudra gagner au moins l’un des deux premiers matches au Pirée pour être bien positionné dans ce quart-de-finale :\n\n« L’atmosphère sera dingue. On a joué de gros matchs dans des ambiances difficiles comme au Maccabi, à Kaunas. Bien évidemment que contre l’Olympiakos ce sera génial de jouer là-bas avec ce parfum des playoffs. En tant que joueur, ce sont ces rencontres que tu veux disputer. Tu te bats toute l’année pour avoir la chance d’affronter ce genre d’équipe avec une telle atmosphère. Tous les gars sont excités à l’idée de jouer ce quart d’Euroleague. On travaille tous les jours pour être prêts, et pourquoi pas rejoindre le Final Four (...) Gagner chez eux serait un avantage sur la série, et ça permettrait de mettre la pression sur l’Olympiakos. Chaque équipe dans ces playoffs veut récupérer une victoire à l’extérieur avant de revenir à la maison. On ira à Athènes avec l’envie de remporter les deux matchs, et non pas qu’un seul (...) C’est une très grosse équipe qui joue du très bon basket. Surtout à domicile devant leurs fans. Ils ont très peu perdu dans leur salle, et ça prouve leur qualité. J’ai du respect envers cet adversaire, mais on donnera tout pour l’emporter. On se prépare à un gros combat, c’est la beauté de ce sport. »\n\nPhoto : Euroleague
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Pro B : Denys Loukashov, un Ukrainien au SLUC Nancy
Le SLUC Nancy engage le meneur ukrainien, Denys Loukashov (1,87m, 32 ans), en tant que pigiste médical de Ludovic Beyhurst, et ce jusqu’à la fin de la saison.\n\nDenys Loukashov évoluait en première division du championnat ukrainien et en Basketball Champions League avec Prometey, l’équipe de DJ Stephens (Fos) et Miro Bilan, ce avant que les troupes russes envahissent son pays. Il tournait à 1,4 point et 1,2 passe en BCL. Dans le championnat national, ses stats étaient plus flatteuses : 7,2 points, 3,0 passes et 2,9 rebonds.\n\nLaurent Eisenbach (Membre du Directoire en charge du Sportif) :\n\n« Denys est un meneur expérimenté qui a toujours évolué dans des équipes très compétitives. Son altruisme et sa faculté à mettre en valeur ses coéquipiers vont lui permettre de s’intégrer très vite au groupe sans bouleverser les équilibres. »\n\nSylvain Lautié (Entraineur) :\n\n« L’équipe est en place, elle fait beaucoup de bonnes choses. Nous cherchions donc un joueur qui n’allait pas tout changer mais parfaitement s’additionner à l’effectif, en acceptant un temps de jeu variable selon les matchs. Denys est donc ce joueur. Son jeu de passe, et son sens du pick & roll vont être un bel atout supplémentaire à notre équipe. »\n\nPhoto : FIBA
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NM1 : Kaysersberg et son coach Fabien Drago se séparent après 19 ans de vie commune
Kaysersberg a annoncé que Fabien Drago ne sera plus l’entraîneur de son équipe à l’issue de cette saison. La fin d’une longue histoire.\n\nCe week-end, Fabien Drago s’est réjouit de la victoire de ses hommes à Bordeaux. Le maintien était assuré.\n\n« Je tire mon chapeau aux joueurs. On a eu des moments difficiles, mais la mayonnaise a pris. Le devoir est accompli et je suis très fier de cette équipe. »\n\nMais dès ce lundi, la nouvelle est tombée. Celui qui avait pris l’équipe en Prénationale en 2003, et l’a fait accéder à la Nationale 1 en 2018, a démissionné.
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Féminines : Marina Maljkovic est la nouvelle coach de Fenerbahçe
La presse turque annonce que la Franco-Serbe Marina Maljkovic, 40 ans, est la nouvelle coach de Fenerbahçe.\n\nLe club turc se sépare ainsi de l’Espagnol Victor Lapena, suite à la défaite de son équipe en finale de l’Euroleague face à Sopron.\n\nAprès Lyon, Marina Maljkovic, qui est aussi coach de l’équipe nationale serbe, a officié à Galatasaray -avec une victoire en Eurocup-, en Chine et au Japon.\n\nPhoto : FIBA
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NBA : Rudy Gobert finaliste pour le Trophée de Meilleur Défenseur de l’Année
Rudy Gobert (2,16m, 29 ans), pivot du Utah Jazz, est finaliste pour le Trophée de Défenseur de l’Année de la saison 2021-22 de NBA. Le Grec Giannis Antetokounmpo et le Serbe Nikola Jokic sont de leurs côtés finalistes pour celui de MVP.\n\nEntraîneur de l’année\nTaylor Jenkins, Memphis Grizzlies\nErik Spoelstra, Miami Heat\nMonty Williams, Phoenix Suns\n\nJoueur ayant le plus progressé\nDarius Garland, Cleveland Cavaliers\nJa Morant, Memphis Grizzlies\nDejounte Murray, San Antonio Spurs\n\nRookie de l’année\nScottie Barnes, Toronto Raptors\nCade Cunningham, Detroit Pistons\nEvan Mobley, Cleveland Cavaliers\n\nJoueur défensif de l’année\nMikal Bridges, Phoenix Suns\nRudy Gobert, Utah Jazz\nMarcus Smart, Boston Celtics\n\nMVP\nGiannis Antetokounmpo, Milwaukee Bucks\nJoel Embiid, Philedelphia Sixers\nNikola Jokic, Denver Nuggets\n\nMeilleur 6e homme\nTyler Herro, Miami Heat\nCam Johnson, Phoenix Suns\nKevin Love, Cleveland Cavaliers\n\nPhoto : Rudy Gobert (NBA)
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LFB : Lyon 2e, Lattes-Montpellier toujours pas qualifié pour les playoffs
A deux journées de la fin, alors que Lyon est calé à la 2e place -à égalité avec Basket Landes et Villeneuve d’Ascq-, Lattes-Monpellier n’est toujours pas qualifié pour les playoffs.\n\nPas de victoire pour le coach Valéry Demory à l’occasion de son retour à Mado-Bonnet. Ses Gazelles ont trébuché 77-60, la Canadienne Kayla Alexander (23 points à 90% de réussite et 9 rebonds pour 34 d’évaluation) ayant été dominatrice.\n\n« C’est le type de joueuse dont nous avions besoin. Elle nous apporte un volume près du cercle que nous n’avions pas », a commenté le coach Pierre Vincent pour Le Progrès. « Il était important de continuer sur notre lancée et nous avons bien contrôlé cette rencontre. Le stage que nous venons de faire nous a fait du bien, et il est évident que Kayla, que j’avais connue à Bourges, nous apporte beaucoup », a ajouté Alexia Chartereau.\n\nAu BLMA, Sydney Wallace (21 d’évaluation) et Haley Peters (13) ont été un peu trop seules. Ainsi Briana Day, Olivia Epoupa et Romane Bernies ont totalisé un vilain 1/17 aux shoots à elles trois.\n\nLors de la prochaine journée, les deux équipes vont avoir un programme bien différent : l’ASVEL se rendra à Bourges avec comme objectif de conserver sa 2e place, Lattes-Montpellier tentera d’arracher face à Tarbes sa qualification aux playoffs. Un minimum pour une équipe qui a réalisé un beau parcours en Euroleague et qui a eu des hauts et pas mal de bas en championnat.\n\nPhoto : Alexia Chartereau (Lyon, FIBA)
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NM1 : Le coach Fabrice Courcier va quitter le Caen BC
Le contrat de trois ans de Fabrice Courcier à la tête de l’équipe du Caen BC ne va pas être renouvelé, nous annonce Ouest France.\n\nLe Lillois, 54 ans, compte à son palmarès 61 victoires pour 27 défaites, mais la remontée en Pro B se fait attendre. La direction du club normand a été renouvelée et elle souhaite repartir la saison prochaine avec un nouveau coach.\n\nAncien joueur de haut niveau, Fabrice Courcier a été précédemment entraîneur à Tourcoing, Gravelines, Denain, Bourg et Orchies, ainsi qu’en LFB à Saint-Amand.
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Vidéo : Quand le coach du Mans explose de joie après la victoire sur Nanterre
Le Mans a réussi à rebondir à Nanterre après quatre défaites de rang (88-98). Cette vidéo raconte la journée de l’équipe mancelle. On y voit notamment, dans le vestiaire, le coach Elric Delord faire le traditionnel débriefing d’après-match et tout d’un coup exulter en balançant de l’eau à ses joueurs...\n\nPhoto : MSB
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Le programme TV by TCL : Olympiakos-Monaco et les finales de Coupe de France sur le groupe L’Equipe
La semaine est concentrée sur les deux premières manches du quart-de-finale d’Euroleague Olympiakos-Monaco et sur les finales de Coupe de France. Tout est en clair sur La Chaîne L’Equipe, et son dérivé, L’Equipe Live.\n\nMercredi 20 avril :\n\n20h00 – Olympiakos/Monaco – Euroleague – L’Equipe Live et Euroleague TV\n\nVendredi 22 avril :\n\n18h00 – Monaco/Olympiakos – Euroleague – L’Equipe Live et Euroleague TV\n\nSamedi 23 avril :\n\n14h30 – Basket Landes/Bourges – Finale Coupe de France – La Chaîne L’Equipe\n\n17h00 – Pau/Strasbourg – Finale Coupe de France – La Chaîne L’Equipe\n\nToutes les rencontres de Betclic ÉLITE et toutes celles de PRO B sont disponibles en direct et en replay sur LNB TV.\n\n\nCOMMENT REGARDER LE BASKET\n\nbeIN SPORTS\nbeIN SPORTS 1, 2 et 3 sont accessible sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52 – Canal Sat : canaux 66 à 68 – Free : canaux 31 à 33 – Orange: canaux 45 à 47 ou 176 à 178 – SFR : canaux 115 à 117)\n\nSPORT EN FRANCE\nAccessible gratuitement sur les Boxes : Bouygues : canal 192 – Free : canal 190 – Orange : canal 174 – SFR : canal 129 – sur Molotov TV et Samsung TV Plus\net sur www.sportenfrance.com\n\nSTATIONS REGIONALES DE FRANCE 3\nLes chaînes sont accessibles gratuitement localement sur la TNT. Elles sont accessibles également sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 301 à 324 – Canal Sat : canaux 350 à 373 – Free : canaux 301 à 326 – Orange : canaux 211 à 236 – SFR : canaux 431 à 456)\n\nLNB TV – LA PLATEFORME DIGITALE OTT DE LA LNB\nLa plateforme diffuse l’ensemble des matches* de Betclic ÉLITE et de PROB. Ils sont disponibles dans leur intégralité, en live et en replay et sont tous commentés.\nTrois façons d’accéder\n– Sur le site LNB\n– Sur le site LNB TV\n– En téléchargeant l’application LNB sur iOS ou Android\n\nPhoto : Mike James (Monaco, Euroleague)
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Neuf ans après la fin de sa carrière en pro, Ludovic Vaty: «Le plaisir de jouer au basket»
Ludovic Vaty a été un joueur reconnu du championnat de France, international à 9 reprises. Mais, en 2013, alors qu’il n’a que 24 ans, le ciel lui tombe sur la tête : lui est détectée une maladie cardiaque qui l’oblige à arrêter sa carrière professionnelle. Presque dix ans plus tard, le natif des Abymes, en Guadeloupe, continue à jouer au basket en NM3 avec le TOAC (Toulouse), pour son plus grand plaisir.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nLe 4 avril dernier, le TOAC (Toulouse Olympique Aérospatiale Club) recevait dans sa salle Dewoitine les Côteaux du Luy pour un match à domicile de sa poule de Nationale 3. Une occasion pour le club de fêter son accession à la Nationale 2 et la place décrochée en finale du Trophée Coupe de France.\n\nDeux très belles performances dûes à un effectif comprenant six anciens joueurs du TBC (l’autre club de Toulouse, aujourd’hui en NM1) ayant contribué par deux fois à obtenir l’accession en NM1 d’un club alors en NM2 (accession refusée une fois pour motifs financiers), dont un Pascal Tajan qui a tourné à 10,8 points en NM1.\n\nPlus encore, le TOAC bénéficie cette saison des services de Ludovic Vaty (2,06 m, 33 ans), pivot guadeloupéen qui s’est illustré au plus haut niveau français il y a dix ans, entre Pau-Orthez, Orléans et Gravelines-Dunkerque, obtenant 9 sélections avec l’équipe de France.\n\nMais, en 2013, alors qu’il était au début d’une grande carrière, le joueur des Abymes a dû interrompre sa carrière professionnelle suite à une cardiomyopathie dilatée, une maladie cardiaque qui fait que le cœur peut se boucher en cas d’effort trop violent. Après une saison sans jouer, Ludovic Vaty a repris le basket en NM2, à l’Élan Pau Nord-Est, avant de passer trois années en NM1 avec Tarbes-Lourdes puis Bordeaux et de redescendre en NM3 aux Côteaux de Luy avant de rejoindre cette année le TOAC.\n\nFace à ses anciens coéquipiers des Côteaux de Luy, Ludovic Vaty a largement contribué au succès des siens (78-62), inscrivant 19 points. Sur le parquet, l’ancien international a été sujet à de systématiques prises à deux (voire à trois !) sous le panier, n’étant pas vraiment ménagé par ses adversaires. Ce qui ne l’a pas empêché de faire admirer sa technique et sa vision du jeu. Obligé de suivre un protocole strict pour ne pas prendre de risque avec son cœur, Ludovic n’a joué que par tranches de 4-5 minutes, tout en ne forçant pas souvent sur les courses. La domination toulousaine était telle qu’il n’y avait pas besoin pour lui d’en faire plus, d’autant que son remplaçant au poste de pivot est Élie Fedensieu, un ancien international U16 passé par le centre de formation de l’Asvel.\n\nDécontracté, souriant, Ludovic Vaty nous a accordé une interview d’après-match où il nous explique son quotidien et ses projets.\n\nTout d’abord, comment allez-vous ?\n\nÇa va très bien, je revis ! Dans le sens où je fais quelque chose que j’aime, le basket, et que je prends du plaisir.\n\nPhysiquement, vous n’avez plus de problème, donc ?\n\nSi, le problème est toujours là, mais on est vigilants là-dessus, avec le corps médical. Je connais mes limites, je ne vais pas au-dessus. Ce qui fait qu’il n’y a aucun souci. Du fait de ma cardiomyopathie dilatée, la partie gauche de mon cœur bat moins vite que la droite, ce qui peut faire que le cœur se bouche. Je ne peux donc faire d’effort trop intense. Mais dans la vie de tous les jours, cela ne me pose pas de problème. C’est juste à surveiller. Je fais des examens tous les ans pour voir si ça va ou pas.\n\nOn a vu que vous sortiez souvent au bout de 4-5 minutes. En outre, le niveau n’est pas le même qu’en première division ?\n\nOui, c’est ça. C’est pas le même niveau, ni la même intensité physique. Donc, je m’adapte, et ça se passe très bien.\n\nOn a l’impression que vous si mettiez la même intensité qu’en première division, les joueurs en face se retrouveraient souvent sur les fesses ?\n\nC’est exactement ça, donc je m’adapte à mes adversaires pour pouvoir dominer un peu mais pas trop. Après, c’est un peu délicat, surtout que les arbitres ne sifflent pas forcément les fautes sur moi.\n\nOn a vu qu’il y avait effectivement pas mal de prises à deux sur vous, que ça jouait physique en face ?\n\n(sourire) Je m’y adapte, difficilement, mais c’est comme ça tous les week-ends alors je fais avec.\n\n« Les joueurs adverses essayent de compenser comme ils le peuvent, de mettre des coups, de me déstabiliser. C’est le jeu. »\n\nEntre vos adversaires et vous, il y a une différence de physique, de taille, de technique aussi ?\n\nOui, il y a un peu de tout ça, donc les joueurs adverses essayent de compenser comme ils le peuvent, de mettre des coups, de me déstabiliser. C’est le jeu. Même si des fois je m’énerve un peu, je sais que c’est le jeu.\n\nMais ce n’est pas la même intensité qu’en première division ?\n\nNon, bien sûr. Mais pour ma part, c’est vraiment du plaisir. Je ne cherche pas la performance, mais surtout le plaisir de jouer au basket.\n\nPour vous, quelle est la principale différence entre Pro A et NM3 ?\n\nLa Pro A, c’est plus structuré au niveau du jeu. En NM3, ça court un peu partout, c’est plus fou fou, alors qu’en Pro A, il y a des schémas de jeu et c’est rare qu’on en sorte. En outre, les joueurs ne sont pas les mêmes et l’expérience est différente. Il y a des choses qu’on peut se permettre en NM2 ou NM3 qu’on peut pas faire en pro, sinon on se fait punir de suite par le coach.\n\nUne grande différence aussi, c’est la vision du jeu ?\n\nC’est vrai que des fois, je vois trop de choses et ça me perturbe (rires). Du coup, j’hésite, parfois.\n\nIl y a une certaine osmose entre les joueurs de l’équipe, dont une bonne partie se connaît depuis longtemps. Vous le ressentez ?\n\nÉvidemment. En vrai, on est une bande de potes et c’est vraiment agréable. C’est ça qui nous permet d’avancer comme on a avancé cette année, tout le monde se connaît, il n’y a pas de personne à l’écart, c’est un bon groupe, ça aide. Ce sont des joueurs intelligents, qui ont de l’expérience. Et les jeunes progressent énormément, prennent de l’expérience. Ca me fait très plaisir. Au début de l’année, je voyais comment les jeunes jouaient, et à force, j’essaye de les conseiller, et leur jeu a changé, ça nous permet de gagner des matchs.\n\n« Notre force, c’est que le danger peut venir de partout »\n\nTout le monde doit vous demander des conseils ?\n\nPas tant que ça. Moi, j’ose plus dans le jeu, pour dire à un joueur « là tu aurais dû faire la passe », etc. Et la fois suivante, il la fait, le jeu devient beaucoup plus fluide. Notre force, c’est que le danger peut venir de partout, mais c’est aussi parfois notre défaut, le joueur qui veut faire la passe de plus. Depuis quelques semaines, les joueurs ont pris confiance en eux, et on déroule. Depuis le match contre le HTV, fin février (NDLR : match de Trophée Coupe de France contre le Hyères-Toulon coaché par Laurent Sciarra, qui évolue en NM2), nous avons vraiment pris confiance dans notre jeu, ce qui fait que même si on se fait remonter ou mener, on ne panique pas, on remet un peu les gaz et puis voilà.\n\nOn voit tout le monde sourire sur le terrain, vous le ressentez aussi ?\n\nC’est ça notre équipe. On est 10 joueurs qui peuvent jouer. De temps en temps, il y en a un ou deux qui vont moins jouer, mais le week-end d’après, ce sera eux qui feront la différence, qui joueront un peu plus. Les joueurs sont assez intelligents pour comprendre ça.\n\nVous avez toujours votre entreprise de réparation de portables à Pau ?\n\nJe l’ai toujours, mais sur Toulouse. Après, je l’ai mise « un peu de côté », je garde mes clients de Pau qui m’envoient leur téléphone. Sur Toulouse, il y a pas mal de monde qui fait ce genre d’activité, donc il faut que je me fasse connaître, ça prend du temps, j’y vais petit à petit.\n\nVous comptez rester sur Toulouse ?\n\nJe suis un peu fatigué de bouger partout. Donc, le but est de m’installer quelque part. En outre, je sais que le basket, ça n’a qu’un temps. Déjà, j’ai la chance de pouvoir jouer. Pour l’entreprise, faut voir comment ça va évoluer ou pas. Et sinon partir sur autre chose.\n\n« Tout le monde me dit « tu dois te faire chier à ce niveau ? », mais non ! Je prends du plaisir et, déjà, j’ai la chance de pouvoir jouer. »\n\nVous allez donc continuer avec le TOAC ?\n\nOn doit en discuter mais normalement, oui. À la base, ma venue sur Toulouse, c’était sur un plan personnel puisque j’ai mes deux garçons qui sont ici depuis deux ans, je voulais me rapprocher d’eux. Et je n’avais plus rien qui me rattachait à Pau si ce n’est ma boîte. Et c’était aussi l’occasion de sortir de ma zone de confort, parce que j’ai vécu pas mal d’années à Pau. Le TOAC ayant su que je voulais me rapprocher de Toulouse, ils m’ont contacté. Déjà, deux ans avant, ils m’avaient appelé et ça devait se faire mais j’ai déménagé, quand je jouais à Bordeaux. Après, je suis revenu sur Pau, car c’était un peu compliqué à Bordeaux. Niveau basket, ça allait, mais au niveau des dirigeants, ça ne se passait pas bien. Moi, je n’étais pas là pour me prendre la tête, donc j’ai préféré retourner chez moi. Je n’ai plus rien à prouver. Pour moi, le basket, ça doit être du plaisir. Et je prends toujours du plaisir ! Tout le monde me dit « tu dois te faire chier à ce niveau ? », mais non ! Je prends du plaisir et, déjà, j’ai la chance de pouvoir jouer. Quel que soit le niveau, je m’adapte, je suis quelqu’un qui s’adapte facilement. J’ai beaucoup bataillé avec le corps médical pour pouvoir rejouer parce que les premiers médecins que j’ai vu étaient plutôt peureux. Depuis, on m’a dit « tant que vous respectez le protocole, il n’y a pas de problème ».\n\nVous bénéficiez d’entraînements adaptés ?\n\nAu tout début, le corps médical m’a dit « pas plus de trois entraînements par semaine plus le match ». Ici, c’est ce qu’on fait, donc ça va. Après, ça peut s’adapter, il peut y avoir plus d’entraînements mais ça ne va pas être intensif, ça sera juste du shoot, de la muscu, etc.\n\nLa vie toulousaine vous convient ?\n\nOui, très bien. Et Toulouse, c’est pas mal comme ville. Je ne connaissais pas du tout mais c’est intéressant.\n\nPhotos : Sébastien Clavaud\n\nx\n\n[armelse]\n\nLe 4 avril dernier, le TOAC (Toulouse Olympique Aérospatiale Club) recevait dans sa salle Dewoitine les Côteaux du Luy pour son dernier match à domicile de sa poule de Nationale 3. Une occasion pour le club de fêter son accession à la Nationale 2 et la place décrochée en finale du Trophée Coupe de France.\n\nDeux très belles performances dûes à un effectif comprenant six anciens joueurs du TBC (l’autre club de Toulouse, aujourd’hui en NM1) ayant contribué par deux fois à obtenir l’accession en NM1 d’un club alors en NM2 (accession refusée une fois pour motifs financiers), dont un Pascal Tajan qui a tourné à 10,8 points en NM1.\n\nPlus encore, le TOAC bénéficie cette saison des services de Ludovic Vaty (2,06 m, 33 ans), pivot guadeloupéen qui s’est illustré au plus haut niveau français il y a dix ans, entre Pau-Orthez, Orléans et Gravelines-Dunkerque, obtenant 9 sélections avec l’équipe de France.\n\nMais, en 2013, alors qu’il était au début d’une grande carrière, le joueur des Abymes a dû interrompre sa carrière professionnelle suite à une cardiomyopathie dilatée, une maladie cardiaque qui fait que le cœur peut se boucher en cas d’effort trop violent. Après une saison sans jouer,\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
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Euroleague : Inquiétude autour d’une équipe de Barcelone en méforme avant d’attaquer les playoffs
Les deux derniers matchs d’Euroleague de Barcelone, tout comme les deux dernières rencontres de championnat, sont des défaites. L’inquiétude règne avant le début des playoffs...\n\nDeux défaites de suite au sein du championnat espagnol, contre l’Unicaja Malaga (63 à 73) et contre Saragosse (71 à 76). Deux autres pour boucler la saison régulière d’Euroleague, contre l’Olympiakos (73 à 66) et le Maccabi Tel-Aviv (80 à 104). Un bien triste bilan pour Barcelone, qui s’apprête à faire ses débuts dans les quarts de finale des playoffs d’Euroleague, face au Bayern Munich.\n\nInterrogés à ce propos, Sarunas Jasikevicius et Alex Abrines, respectivement entraîneur et joueur du Barça, n’ont pas caché leur inquiétude. Le premier a avoué s’interroger sur la capacité de réaction de son équipe tandis que le second a tenu à rassurer les supporters du club catalans.\n\n« Je ne sais pas comment ce résultat va nous affecter. Nous allons voir si nous sommes capables de nous relever, de jouer notre basket et, surtout, d’avoir un peu d’humilité parce qu’en jouant comme ça, on ne peut aller nulle part. Mon sentiment maintenant est un sentiment d’inquiétude, je suis très inquiet. Nous ne nous battons pas assez et nous ne sommes pas disciplinés ! »Sarunas Jasikevicius\n\n« Je suis inquiet car nous sommes à un moment de la saison où les playoffs commencent dans trois jours et l’équipe est sur une série de défaites qui ne s’arrête pas. Mardi, nous devrons jouer au maximum, en espérant que nos supporters nous aideront à obtenir cette première victoire en playoffs ! Peut-être qu’on avait déjà la tête à ces playoffs, nous avons fait quelques rotations, les gars qui devaient se reposer ont pu se reposer. Mais les impressions générales sont mauvaises, puisque nous avons perdu nos deux derniers matchs en ACB et en Euroleague. Nous devrons être plus prêts, plus durs et essayer de faire un meilleur match. Ce ne sera pas facile car notre adversaire est coriace mais j’ai confiance en cette équipe. Que nos supporters se rassurent, nous sortirons à 100%, nous n’hésiterons pas. Nous sortirons avec un couteau entre les dents. »Alex Abrines\n\nPropos rapportés par : BasketNews. Photo : Sarunas Jasikevicius (Euroleague)
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Zeljko Obradovic rend hommage à ses deux mentors, Aleksandar Nikolic et Dragan Kicanovic
A l’occasion du 30e anniversaire de la finale victorieuse en Coupe des Champions (C1) sur la Juventud Badalone, Zeljko Obradovic, qui était déjà le coach du Partizan Belgrade à l’époque, a apporté son éclairage qui rejoint les témoignages dont nous avons fait part dans notre article Le Fabuleux BuzzerBeater de Sasa Djordjevic.\n\nS’il y a un trophée que Zeljko Obradovic chérit plus particulièrement, c’est celui-là.\n\n« Je suis complètement d’accord, « a t-il confirmé à Maxbet. « C’était surprenant pour nous tous, étant donné que j’étais un entraîneur débutant qui dirigeait une équipe dont la moyenne d’âge était inférieure à 22 ans. C’est inoubliable quand tu commences une carrière d’entraîneur comme j’en ai commencé une et que quelque chose comme ça t’arrive lors de la première saison (...) Nous n’avions pas peur. Nous savions que nous étions une équipe sur laquelle beaucoup ne comptaient pas. Nous avons grandi grâce à la compétition, à l’entraînement et aux voyages. Le fait que nous n’ayons pas joué à Belgrade, mais en Espagne, a conduit l’équipe à passer beaucoup de temps ensemble. En fin de compte, nous avons obtenu un grand succès avec notre travail. Au moment où nous nous sommes qualifiés pour le dernier carré, nous avons réalisé que nous avions une chance, si nous ajoutons à cela, que nous jouions contre Phillips (Milan) alors que nous avions déjà gagné deux fois dans la saison contre eux. Plus tard, en finale, nous avons été accueillis par la Juventud, également rivale de la phase de groupes avec qui nous avons disputé deux matches sur une possession. Nous étions conscients que nous avions une chance, sans peur excessive, mais aussi avec optimisme. On s’est préparé du mieux qu’on a pu et ça s’est passé comme ça...«\n\nObradovic rend hommage à deux hommes : à Aleksandar Nikolic, alias Le Professeur, qui est venu l’accompagner dans sa saison de rookie, et au directeur sportif du Partizan, Dragan Kicanovic.\n\n« Le professeur a laissé une marque indélébile dans tout ce que j’ai fait dans ma carrière de basket-ball, même comme joueur. Le professeur a repris Borac quand je suis sorti de l’équipe junior et a changé ma perception et ma vision du jeu lui-même. Il a fait de moi d’un meneur de jeu-tireur un joueur qui pense et joue comme un vrai meneur de jeu. J’ai eu la chance de coopérer avec lui à Borac et plus tard au Partizan. Après 1992, j’ai eu de nombreuses propositions pour aller dans d’autres clubs, mais j’ai insisté pour rester au Partizan à cause du professeur, et c’était ma meilleure décision. Ses mérites dans ce que je suis devenu sont les plus grands possibles à la fois dans le basket-ball et dans la vie.«\n\n« Kica est sans aucune contestation l’homme le plus important de l’histoire du Partizan. Son arrivée au club a tout changé, principalement en tant que joueur lorsqu’il a commencé à gagner des titres avec Dalipagić et a ainsi rendu le Partizan reconnaissable. Il avait un sens incroyable de la détection des joueurs talentueux, alors il a fait venir les joueurs les plus talentueux de l’ex-Yougoslavie. Il a également eu le sentiment que je pouvais être entraîneur, ce dont je lui suis extrêmement reconnaissant. Nous nous sommes assis à un déjeuner où nous en avons parlé, après quoi il a présenté l’idée à la direction de l’époque avec la remarque que Sava deviendrait également directeur sportif... et là, ça s’est passé comme ça. Kićanović a de grands mérites pour tout ce que je suis devenu dans ma vie.«\n\nPhoto : Zeljko Obradovic au centre et Dragan Kicanovic à droite.
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Vidéo : Tous les dunks de Kostas Antetokounmpo (ASVEL) en Euroleague
La saison régulière ayant pris fin il y a quelques jours et en attendant le début des playoffs, l’Euroleague propose de voir ou revoir les dunks spectaculaires d’un certain Kostas Antetokounmpo. Habitué des compilations de highlights cette saison, le très athlétique joueur de Lyon-Villeurbanne a droit à une vidéo de plus de 10 minutes !\n\nPhoto : Kostas Antetokounmpo (Euroleague)
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Les Français de l’étranger : Mathias Lessort leader du Partizan Belgrade
En l’absence de matchs d’Euroleague et d’Eurocup, les championnats domestiques occupaient le devant de la scène. Et c’est Mathias Lessort qui s’est mis le plus en évidence sous le maillot du Partizan Belgrade. Amath M’Baye en Turquie et Damien Inglis complètent le tableau d’honneur de la semaine.\n\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Turquie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nMathias Lessort réussit son meilleur match de la saison en Ligue Adriatique\n\nPour le compte du dernier match de la saison régulière en Ligue Adriatique, le Partizan Belgrade recevait le Cibona Zagreb. Mathias Lessort a débuté la rencontre sur le banc. Il est rentré en rotation de Balsa Koprivica au poste de pivot. Auteur d’un match accompli en attaque, il a transformé 7 de ses 9 tentatives. Il a terminé deuxième meilleur marqueur du match derrière Yam Madar avec 16 points. Il a également rempli les autres cases statistiques avec 5 rebonds, 5 passes et 3 interceptions. Il a même réussi à être le meilleur passeur de son équipe. Le Martiniquais a obtenu une évaluation de 26 en 22 minutes. Il a été élu meilleur joueur du match. Il a aussi établi ses meilleures performances de la saison en Ligue Adriatique dans les catégories de l’évaluation, des points et des passes décisives. Il a été décisif pour permettre à son club de l’emporter et d’assurer la deuxième place.\n\n\nAmath M’Baye leader d’un Pinar Karsiyaka en difficulté\n\nEn Turquie, dans un match important dans l’optique des playoffs, le Pinar Karsiyaka se déplaçait à Bursaspor. Amath M’Baye débutait la rencontre aux côtés de Bonzie Colson sur les ailes. Offensivement, il a axé son jeu quasiment exclusivement sur le tir extérieur. Il a en effet pris 6 de ses 8 tirs à longue distance. Il a fait preuve d’une excellente adresse avec les deux tiers des tirs de loin réussis. Avec 19 points, il a été le meilleur marqueur de son équipe. Il a aussi été le deuxième meilleur rebondeur de l’équipe d’Ufuk Sarica avec 6 unités. Le point négatif de son match a été au niveau du nombre des ballons perdus qui s’est élevé à 4. Avec 19 d’évaluation, le Bordelais a été le meilleur joueur du club de Karsiyaka. Il a livré et perdu un duel de haut niveau avec Dave Dudzinski (24 d’évaluation). Le Pinar Karsiyaka s’est incliné 84-77. Une seconde défaite cette semaine au Türk Telekom Ankara l’a fait descendre en sixième position à deux journées du terme.\n\n\nDamien Inglis emmène Bilbao à une grosse victoire contre le Real Madrid\n\nEn Espagne, Bilbao recevait le Real Madrid. Damien Inglis était remplaçant au coup d’envoi. Il était le back-up du Lituanien Gytis Masiulis. Mais il a obtenu le temps de jeu le plus important sur le poste d’ailier-fort avec 21 minutes. L’intérieur tricolore a fait un match complet. Il a scoré 14 points (à 6/10), pris 6 rebonds et distribué 4 passes. Il a été le co-leader de son équipe dans chacune de ces catégories statistiques. Et c’est tout naturellement que l’ancien joueur des Bucks a été le MVP de la rencontre avec une évaluation de 18. Il a mené l’équipe basque à une victoire surprise 79-67 contre le second du championnat.\n\n\nLe 5 majeur de la semaine :\n\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : Starter à la mène. 10 points (3/12 aux tirs dont 0/5 à trois points, 4/4 aux lancers-francs), 2 rebonds, 7 passes et 3 interceptions pour 14 d’évaluation en 32 minutes (victoire 84-78 contre Andorra en Espagne).\n\nSylvain Francisco (Manresa) : 17 points (5/13 aux tirs dont 2/8 à trois points, 5/6 aux lancers-francs), 1 rebond, 4 passes pour 12 d’évaluation en 22 minutes (victoire 91-89 à Malaga en BCL).\n\nDamien Inglis (Bilbao) : 14 points (6/10 aux tirs dont 1/2 à trois points, 1/3 aux lancers-francs), 6 rebonds, 4 passes pour 18 d’évaluation en 21 minutes (victoire 79-67 contre le Real Madrid en Espagne).\n\nAmath M’Baye (Pinar Karsiyaka) : Starter à l’intérieur. 19 points (5/8 aux tirs dont 4/6 à trois points, 5/7 aux lancers-francs), 6 rebonds, 2 passes et 4 ballons perdus pour 19 d’évaluation en 34 minutes (défaite 84-77 à Bursaspor en Turquie).\n\nMathias Lessort (Partizan Belgrade) : 16 points (7/9 aux tirs, 2/2 aux lancers-francs), 5 rebonds, 5 passes et 3 interceptions pour 26 d’évaluation en 22 minutes (victoire 98-77 contre le Cibona Zagreb en Ligue Adriatique).\n\nEUROLEAGUE\n\nNando De Colo (Fenerbahçe) : N’a pas joué (au Maccabi Tel-Aviv).\n\nBASKETBALL CHAMPIONS LEAGUE\n\nAxel Bouteille (Malaga) : 13 points (4/10 aux tirs dont 3/7 à trois points, 2/2 aux lancers-francs), 2 rebonds pour 8 d’évaluation en 22 minutes (défaite 91-89 contre Manresa).\n\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : 5 points (2/5 aux tirs dont 1/3 à trois points), 3 rebonds, 1 passe pour 7 d’évaluation en 17 minutes (victoire 81-80 à Strasbourg).\n\nESPAGNE\n\nThomas Heurtel (Real Madrid) : N’a pas joué (à Bilbao et contre Lugo).\n\nFabien Causeur (Real Madrid) : Starter à l’arrière. 13 points (6/11 aux tirs dont 1/5 à trois points), 1 rebond, 1 passe pour 6 d’évaluation en 22 minutes (défaite 79-67 à Bilbao).\n\n3 points (1/5 aux tirs dont 0/2 à trois points, 1/2 aux lancers-francs), 1 rebond, 2 passes pour 0 d’évaluation en 16 minutes (victoire 90-65 contre Lugo).\n\nGuerschon Yabusele (Real Madrid) : Starter à l’intérieur. 3 points (1/5 à trois points), 2 rebonds, 2 passes et 3 ballons perdus pour 1 d’évaluation en 14 minutes (défaite 79-67 à Bilbao).\n\nStarter à l’intérieur. 13 points (3/5 aux tirs dont 2/4 à trois points, 5/6 aux lancers-francs), 1 rebond, 2 passes pour 16 d’évaluation en 21 minutes (victoire 90-65 contre Lugo).\n\nVincent Poirier (Real Madrid) : 1 point (0/4 aux tirs, 1/2 aux lancers-francs), 5 rebonds pour 2 d’évaluation en 15 minutes (défaite 79-67 à Bilbao).\n\n4 points (2/6 aux tirs dont 0/2 à trois points, 0/2 aux lancers-francs), 9 rebonds, 1 passe pour 10 d’évaluation en 21 minutes (victoire 90-65 contre Lugo).\n\nLouis Labeyrie (Valencia) : 0 point (0/2 à trois points) pour -2 d’évaluation en 2 minutes (défaite 75-68 à Sevilla).\n\nStarter à l’intérieur. 3 points (1/3 à trois points), 3 rebonds, 1 passe pour 5 d’évaluation en 23 minutes (victoire 78-71 à Baskonia).\n\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : Starter à la mène. 5 points (1/4 aux tirs dont 1/3 à trois points, 2/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 5 passes et 3 ballons perdus pour 9 d’évaluation en 24 minutes (victoire 88-86 contre Bilbao).\n\nAxel Bouteille (Malaga) : 9 points (4/6 aux tirs dont 1/2 à trois points), 1 rebond, 1 passe pour 11 d’évaluation en 15 minutes (victoire 73-63 à Barcelona).\n\n7 points (3/7 aux tirs dont 1/2 à trois points) pour 3 d’évaluation en 17 minutes (défaite 97-64 contre Tenerife).\n\nSylvain Francisco (Manresa) : 9 points (3/10 à trois points), 3 rebonds, 6 passes pour 11 d’évaluation en 19 minutes (défaite 98-94 à Lugo).\n\nN’a pas joué (contre Murcia).\n\nIbrahim Magassa (Sevilla) : N’a pas joué (contre Valencia et à Andorra).\n\nJonathan Rousselle (Bilbao) : 11 points (4/6 aux tirs dont 3/3 à trois points), 3 rebonds, 2 passes pour 13 d’évaluation en 19 minutes (victoire 79-67 contre le Real Madrid).\n\n5 points (2/3 aux tirs dont 1/2 à trois points), 3 rebonds, 4 passes et 4 ballons perdus pour 6 d’évaluation en 19 minutes (défaite 88-86 à Gran Canaria).\n\nDamien Inglis (Bilbao) : 14 points (4/7 aux tirs dont 2/2 à trois points, 4/6 aux lancers-francs), 4 rebonds, 1 passe pour 13 d’évaluation en 21 minutes (défaite 88-86 à Gran Canaria).\n\nTURQUIE\n\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : N’a pas joué (à Merkezefendi et contre Bursaspor).\n\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : Starter à l’intérieur. 6 points (2/5 aux tirs dont 2/3 à trois points), 7 rebonds pour 11 d’évaluation en 22 minutes (victoire 85-60 à Merkezefendi).\n\nN’a pas joué (contre Bursaspor).\n\nNando De Colo (Fenerbahçe) : N’a pas joué (au Tofas Bursa).\n\nAmath M’Baye (Pinar Karsiyaka) : Starter à l’intérieur. 15 points (6/15 aux tirs dont 3/9 à trois points), 2 rebonds, 2 ballons perdus pour 6 d’évaluation en 29 minutes (défaite 72-71 au Türk Telekom Ankara).\n\nAlpha Kaba (Gaziantep) : 10 points (5/8 aux tirs, 0/7 aux lancers-francs), 7 rebonds, 3 interceptions pour 10 d’évaluation en 28 minutes (défaite 82-74 à Bahcesehir).\n\nMurat Kozan (Petkim Spor) : N’a pas joué (contre Yalovaspor).\n\nITALIE\n\nMam Jaiteh (Virtus Bologna) : N’a pas joué (contre Trento).\n\nStarter au pivot. 11 points (4/7 aux tirs, 3/6 aux lancers-francs), 7 rebonds pour 12 d’évaluation en 20 minutes (victoire 96-77 à Pesaro).\n\nIsaia Cordinier (Virtus Bologna) : Starter à l’arrière. 9 points (4/8 aux tirs dont 1/3 à trois points), 4 rebonds, 1 passe pour 11 d’évaluation en 17 minutes (victoire 95-88 contre Trento).\n\nN’a pas joué (à Pesaro).\n\nGRECE\n\nMoustapha Fall (Olympiacos) : Starter au pivot. 5 points (2/4 aux tirs, 1/2 aux lancers-francs), 6 rebonds pour 7 d’évaluation en 26 minutes (victoire 85-66 à Promitheas).\n\nStarter au pivot. 5 points (2/3 aux tirs, 1/3 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 passe et 3 contres pour 7 d’évaluation en 17 minutes (victoire 93-84 contre Larisa).\n\nLivio Jean-Charles (Olympiacos) : N’a pas joué (à Promitheas).\n\n5 points (2/4 aux tirs dont 0/2 à trois points, 1/1 aux lancers-francs), 1 rebond, 1 passe pour 5 d’évaluation en 7 minutes (victoire 93-84 contre Larisa).\n\nKim Tillie (Kolossos) : N’a pas joué (à Lavrio).\n\n4 points (2/7 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe pour 6 d’évaluation en 14 minutes (victoire 64-62 à l’Iraklis Salonique).\n\nISRAEL\n\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : 0 point (0/5 à trois points), 2 rebonds, 2 passes pour 0 d’évaluation en 18 minutes (défaite 75-70 à Galil Elyon).\n\nLITUANIE\n\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : N’a pas joué (à Nevezis et contre Siaulai).\n\nDaryl Doualla (Nevezis) : Starter à l’arrière. 5 points (1/4 aux tirs dont 0/2 à trois points, 3/4 aux lancers-francs), 4 rebonds, 4 passes pour 8 d’évaluation en 28 minutes (défaite 72-64 contre le Zalgiris Kaunas).\n\nStarter à l’arrière. 3 points (1/3 à trois points), 2 rebonds, 1 passe pour 0 d’évaluation en 23 minutes (victoire 97-86 à Prienai).\n\nBNXT LEAGUE\n\nKevin Franceschi (Brussels) : N’a pas joué (à Amsterdam).\n\nMaxime Carene (Limburg) : N’a pas joué (à Weert).\n\nPOLOGNE\n\nAaron Cel (Torun) : Starter à l’intérieur. 2 points (1/5 aux tirs dont 0/2 à trois points), 3 rebonds, 1 passe pour 2 d’évaluation en 15 minutes (défaite 92-85 contre Dabrowa Gornicza).\n\nStarter à l’intérieur. 6 points (3/10 aux tirs dont 0/3 à trois points), 9 rebonds, 1 passe pour 9 d’évaluation en 26 minutes (défaite 92-62 à Wloclawek).\n\nROUMANIE\n\nAlexandre Gavrilovic (Oradea) : Starter au pivot. 14 points (7/12 aux tirs dont 0/2 à trois points), 3 rebonds pour 12 d’évaluation en 25 minutes (victoire 67-62 à Timisoara).\n\nStarter au pivot. 3 points (1/7 aux tirs dont 0/1 à trois points, 1/2 aux lancers-francs), 3 rebonds, 2 passes pour 1 d’évaluation en 17 minutes (victoire 78-72 contre Timisoara).\n\nJoris Ortega (Miercurea Ciuc) : N’a pas joué (contre le Rapid Bucarest).\n\nESPAGNE (LEB Oro)\n\nEdwin Jackson (Estudiantes Madrid) : N’a pas joué (à La Corogne).\n\nDarel Poirier (Estudiantes Madrid) : N’a pas joué (à La Corogne).\n\nSidy Cissoko (Juaristi) : 3 points (0/2 aux tirs dont 0/1 à trois points, 3/4 aux lancers-francs), 2 rebonds, 2 passes et 3 ballons perdus pour 4 d’évaluation en 15 minutes (défaite 86-77 à Valladolid).\n\nYannis Mendy (Palma) : N’a pas joué (contre Girona).\n\nNBL\n\nTom Digbeu (Brisbane) : N’a pas joué (à Melbourne).\n\nHugo Besson (New Zealand) : 16 points (5/15 aux tirs dont 3/12 à trois points, 3/4 aux lancers-francs), 4 rebonds, 1 passe pour 9 d’évaluation en 26 minutes (défaite 76-70 contre Sydney).\n\nStarter à l’arrière. 4 points (1/12 aux tirs dont 0/6 à trois points, 2/4 aux lancers-francs), 6 rebonds, 6 passes et 3 interceptions pour 5 d’évaluation en 25 minutes (défaite 88-86 contre Tasmania).\n\nOusmane Dieng (New Zealand) : Starter à l’aile. 4 points (2/4 aux tirs dont 0/1 à trois points), 2 rebonds pour 2 d’évaluation en 11 minutes (défaite 76-70 contre Sydney).\n\nN’a pas joué (contre Tasmania).\n\nNBA\n\nNicolas Batum (Los Angeles Clippers) : 2 points (14,3% aux tirs dont 0% à trois points), 10 rebonds, 1 passe pour 9 d’évaluation en 33 minutes (1 match, 1 titularisation, 1 défaite).\n\nRudy Gobert (Utah) : 6,5 points (33,3% aux tirs, 75% aux lancers-francs), 17 rebonds, 1 passe pour 21 d’évaluation en 36 minutes (2 matchs, 2 titularisations, 1 victoire-1 défaite).\n\nTimothé Luwawu-Cabarrot (Atlanta) : 5 points (50% aux tirs dont 60% à trois points, 100% aux lancers-francs), 3 rebonds pour 5,7 d’évaluation en 11,3 minutes (3 matchs, 2 victoires-1 défaite).\n\nFrank Ntilikina (Dallas) : N’a pas joué.\n\nKillian Tillie (Memphis) : N’a pas joué.\n\nYves Pons (Memphis) : N’a pas joué.\n\nPhoto d’ouverture : Mathias Lessort (Partizan Belgade-ABA Liga)\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n\nMathias Lessort réussit son meilleur match de la saison en Ligue Adriatique\n\nPour le compte du dernier match de la saison régulière en Ligue Adriatique, le Partizan Belgrade recevait le Cibona Zagreb. Mathias Lessort a débuté la rencontre sur le banc. Il est rentré en rotation de Balsa Koprivica au poste de pivot. Auteur d’un match accompli en attaque, il a transformé 7 de ses 9 tentatives. Il a terminé deuxième meilleur marqueur du match derrière Yam Madar avec 16 points. Il a également rempli les autres cases statistiques avec 5 rebonds, 5 passes et 3 interceptions. Il a même réussi à être le meilleur passeur de son équipe. Le Martiniquais a obtenu une évaluation de 26 en 22 minutes. Il a été élu meilleur joueur du match. Il a aussi établi ses meilleures performances de la saison en Ligue Adriatique dans les catégories de l’évaluation, des points et des passes décisives. Il a été décisif pour permettre à son club de l’emporter et d’assurer la deuxième place.\n\n\nAmath M’Baye leader d’un Pinar Karsiyaka en difficulté\n\nEn Turquie, dans un match important dans l’optique des Play-Offs, le Pinar Karsiyaka se déplaçait à Bursaspor. Amath M’Baye débutait la rencontre aux côtés de Bonzie Colson sur les ailes. Offensivement, il a axé son jeu quasiment exclusivement sur le tir extérieur. Il a en effet pris 6 de ses 8 tirs à longue distance. Il a fait preuve d’une excellente adresse avec les deux tiers des tirs de loin réussis. Avec 19 points, il a été le meilleur marqueur de son équipe. Il a aussi été le deuxième meilleur rebondeur de l’équipe d’Ufuk Sarica avec 6 unités. Le point négatif de son match a été au niveau du nombre des ballons perdus qui s’est élevé à 4. Avec 19 d’évaluation,\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Mathias Lessort (Partizan Belgrade-ABA Liga)
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Pablo Laso fait volte-face et assure que «Thomas Heurtel n’a jamais été exclu» du Real Madrid
Et si Thomas Heurtel rejouait finalement sous les couleurs du Real Madrid ? Interrogé à ce propos, Pablo Laso n’a pas fermé la porte à un retour, tout en apportant de plus amples explications quant à la situation du Français.\n\nAvant le premier match des quarts de finale des playoffs d’Euroleague, contre le Maccabi Tel-Aviv, Pablo Laso a parlé aux médias. L’entraîneur du Real Madrid a de nouveau été amené à parler du statut de Thomas Heurtel, lui qui aurait été écarté de l’effectif madrilène pour des raisons disciplinaires. Des propos rapportés par Gigantes.\n\n« Thomas Heurtel et Trey Thompkins n’ont jamais été exclus de l’équipe. Ils font un travail spécifique. Ils travaillent en dehors de l’équipe et en ce sens, je n’ai pas grand-chose de plus à dire. Nous verrons quand nous les réincorporerons s’ils reviendront jouer ou non, mais il n’y a aucun doute qu’ils n’ont pas été en dehors de l’équipe. Ils se sont entraînés avec un travail spécifique et je suis heureux qu’ils soient venus au match aujourd’hui et qu’ils aient soutenu leurs coéquipiers.\n\nJe comprends que vous me posiez beaucoup de questions à ce sujet mais ils n’ont jamais été sur la touche. Ils ont fait un travail spécifique comme le font les autres joueurs. [...] Pour moi, ils font partie de l’équipe, il n’y a pas de plus grande histoire. J’espère qu’ils rejoignent l’équipe et nous rendent plus forts, c’est la seule chose qui m’intéresse. Non, ils ne sont pas blessés. »Pablo Laso, entraîneur du Real Madrid\n\nPhoto : Thomas Heurtel (Real Madrid)
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Qu’importe l’équipe alignée par Monaco, Eric Bartecheky (Pau) veut essayer de faire un coup en principauté
Ce dimanche soir, l’Élan Béarnais se déplace sur le parquet de Monaco. Un défi multiple pour Eric Bartecheky, qui doit manoeuvrer à l’aveugle.\n\nAprès une défaite dans le Clasico contre Limoges, qu’il a d’ailleurs eu du mal a digéré le soir même, tout comme ses joueurs, Eric Bartecheky va se heurter à un nouveau sommet. Car ce dimanche soir, l’Élan Béarnais se déplace sur le parquet de l’AS Monaco, dans le cadre de la 29ème journée de Betclic Élite. Mais de quelle équipe de Monaco s’agira-t-il ? Une équipe au complet, désireuse de monter en puissance avant le match 1 des playoffs d’Euroleague contre l’Olympiakos ? Ou une équipe quelque peu remixée en vue de ce même match ? Nul ne sait pour le moment, ce qui a le don de décontenancer un tant soit peu Eric Bartecheky, qui avoue volontiers vouloir affronter l’armada monégasque sans complexe et pourquoi pas faire un gros coup à l’extérieur. Des propos rapportés par Sud Ouest.\n\n« C’est la grosse difficulté, on ne sait jamais qui ils vont aligner. Ils ont 15-16 joueurs et il y a toujours trois étrangers qui restent sur le côté. Je me dis que leur dernière défaite à Dijon les place dans l’obligation de gagner et qu’il est toujours mieux de gagner avant de jouer un quart de finale d’Euroleague. Je pense qu’ils vont jouer ce match à fond.\n\nDans tous les cas, Monaco c’est compliqué. Mais, c’est ce qu’on a dit aux joueurs : si Dijon l’a fait, on peut le faire. On va en Principauté sans pression ni complexe. Il faudra de mettre de la dureté par rapport au fait qu’ils ont ce match d’Euroleague derrière. On va essayer de faire un coup là-bas. Après, on verra comment le match va tourner, car on a Nanterre au Palais mardi. Mais on ne part pas dans l’idée de faire l’impasse, ce ne serait pas bon pour nous. »Eric Bartecheky, entraîneur de l’EBPLO\n\nPhoto : Eric Bartecheky (EBPLO)
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Italie : Ettore Messina, Stefano Sardara... Les voix s’élèvent contre la qualité de l’arbitrage
L’entraîneur de Milan, Ettore Messina, n’a pas manqué d’exprimer quelques doutes concernant la qualité des arbitres en Italie. Des propos qui ont été soutenus par Stefano Sardara, président du Dinamo Sassari.\n\nAprès la victoire de Milan face à Naples (90 à 67), lors de la dernière journée de Serie A italienne, Ettore Messina a pris la parole, adressant notamment quelques mots sur la qualité de l’arbitrage, qu’il ne juge pas à la hauteur du championnat.\n\n« Dans cette ligue, il y a beaucoup de bons joueurs et entraîneurs, le niveau s’améliore, mais il manque encore quelque chose en ce qui concerne les arbitres. Au niveau de la communication, je crois qu’il y a beaucoup de travail à faire. Il est difficile de comprendre qui est l’arbitre principal.\n\nIl y a besoin de quelqu’un qui prenne des responsabilités sur le terrain ! Et de ce point de vue, le niveau est encore assez bas et je ne vois pas d’améliorations. Aujourd’hui, il y a eu des moments où ils ne répondaient pas ou ne me regardaient même pas en face. Tu peux gagner ou perdre mais le rapport sur le terrain doit définitivement s’améliorer ».\n\nDes propos qui sont arrivés jusqu’à Stefano Sardara, président du Dinamo Sassari. Dans un communiqué où il a évoqué plusieurs sujets, il a tenu à dire qu’il était d’accord avec Ettore Messina sur le sujet des arbitres.\n\n« Je suis d’accord avec Ettore, il est temps de faire une réflexion importante sur la classe d’arbitrage et le niveau d’arbitrage, même si je ne me concentrerais pas sur le mode de sélection, mais plus sur le système. C’est ça qui doit être restructuré de la meilleure des façons pour assurer une plus grande qualité et plus d’équité. »\n\nPropos respectivement rapportés par Basket News et Sportando. Photo : Ettore Messina (Thomas Savoja)
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Orléans sort de la zone rouge : «Ça fait du bien au moral mais il ne faut pas s’enflammer» rappelle Germain Castano
Orléans s’est offert un bon bol d’air en s’imposant face à Roanne (98 à 84). Content de la prestation de son équipe, Germain Castano ne veut pas s’enflammer pour autant.\n\nLa bonne opération de cette 29ème journée de Betclic Élite est signée Orléans, qui a su profiter des défaites de Fos Provence et du Portel, ses adversaires directs dans la course au maintien, pour sortir de la zone de relégation (tout en gardant malgré tout le même nombre de victoires que les deux clubs cités précédemment, à savoir 9). Le tout grâce à une victoire concluante, à domicile, face à Roanne (98 à 84), décrochée notamment sous l’impulsion d’un Emanuel Terry déjà bien précieux. Le remplaçant de Youssou Ndoye a terminé la rencontre avec 15 points à 100% de réussite aux tirs et 8 rebonds pour 22 d’évaluation. Mais au-delà de ça, c’est une vraie performance collective que l’OLB a réalisé, avec pas moins de six joueurs à 10 d’évaluation ou plus, contre seulement trois pour Roanne.\n\nAlors qu’il ne reste que six matchs à disputer dans cette saison de Betclic Élite (dont quatre à domicile pour Orléans), Germain Castano sait à quel point cette victoire fait du bien, même si la route est encore longue. C’est ce qu’il a déclaré en conférence de presse d’après-match.\n\n« Ça fait du bien au moral ! Quand tu vis une saison compliquée comme celle-là, que les victoires se font rares et que tu arrives à en prendre une, il faut en profiter. Après, la chose qu’il ne faut pas faire, c’est s’enflammer, parce qu’il nous reste du chemin à faire. Mais ça reste un bon pas pour le moral. Le contenu est intéressant quand même. On encaisse 84 points, certes, mais face à une équipe qui en met 95 quand elle gagne. Et puis je pense que c’est une vraie victoire collective, où tout le monde a apporté quelque chose à un moment donné. Quand tu es entraîneur, ce genre de victoire fait du bien pour continuer, parce qu’il le faut. On a fait deux très bonnes séances d’entraînements cette semaine, les meilleures depuis bien longtemps, et on a été récompensé donc je suis content pour les garçons. Maintenant, il faut se remettre au travail parce qu’il reste beaucoup de choses à faire. »Germain Castano\n\nPhoto : Germain Castano (OLB)
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Euroleague : Kostas Sloukas (Olympiakos) «impatient et affamé» à l’idée de battre Monaco et de rejoindre le Final Four
Mercredi 20 avril, Monaco se déplacera sur le parquet de l’Olympiakos pour le tout premier match de playoffs d’Euroleague de son histoire. Et autant dire que les Grecs s’affirment comme étant surmotivés.\n\nLe premier match du quart de finale d’Euroleague entre l’Olympiakos et Monaco approche. La pression monte et, de fait, les déclarations se multiplient. Tentative de destabilisation de l’adversaire ou simple volonté d’affirmer ses ambitions ? Une chose est sûre, l’Olympiakos clame haut et fort être prêt pour affronter la Roca Team, avec ambition débordante de rejoindre le Final Four de l’Euroleague. Après Thomas Walkup, c’est Kostas Sloukas qui a livré ses impressions sur cette opposition. Il s’est exprimé à la télévision publique grecque ERT, évoquant une formation grecque affamée, un avantage du terrain dont il voudra profiter et une équipe de Monaco qui n’a encore jamais connu ces playoffs.\n\n« Tout le monde vit et respire pour le match de mercredi, nous sommes tous impatients et affamés. Après de nombreuses années, l’équipe est de retour en playoffs, en jouant du bon basket. Nous avons réussi à obtenir l’avantage du terrain à domicile et nous ne devons pas le jeter à bas prix.\n\nIl n’y a pas de détente ou de stress, mais nous ressentons la pression parce que l’Olympiacos en tant qu’organisation ne vit et ne survit que grâce aux titres. Nous voulons aller au Final Four. Nous réalisons une très bonne saison. Il ne faut pas oublier les sacrifices qui ont été faits par la direction, les joueurs et les entraîneurs pour que nous soyons ici.\n\nLe momentum est en notre faveur pour le moment. Nous devons travailler pour affronter une équipe qui est nouvelle en Euroleague et qui ne sera pas anxieuse. Sans vouloir sous-estimer Monaco, si nous sommes concentrés et que nous nous battons avec nos fans à nos côtés, il sera difficile de perdre mercredi. »Kostas Sloukas, joueur de l’Olympiakos\n\nPhoto : Kostas Sloukas vs Paris Lee (Euroleague)
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Pro B : Contre Blois, «ça s’est joué à une possession» pour Saint-Chamond, qui garde le cap
En cas de défaite face à Blois, ce samedi soir, Saint-Chamond aurait vu son dauphin, Nancy, revenir à une victoire. Et même si ça s’est joué sur la toute dernière possession, il n’en a rien été.\n\n28ème journée de Pro B. Saint-Chamond s’est fait peur mais est finalement parvenu à assurer l’essentiel en l’emportant face à Blois, d’une courte tête (77 à 78), au terme d’une fin de match étouffante. Pourtant, les Couramiauds avaient plutôt réussi leur entame de match mais c’est au retour des vestiaires qu’ils ont vu les visiteurs revenir au score. Égalité à la fin du troisième quart temps (59 partout), égalité à une minute du terme de la rencontre (74 partout), c’est finalement sur une dernière occasion manquée par Blois que Saint-Chamond s’est adjugé cette victoire, d’un point.\n\n« Ça se joue à une possession. Blois a la balle pour la gagne. Les vingt premières minutes, on arrive à bien trouver les positions de tir, à mettre la balle où on veut, alors que Blois est en souffrance au niveau de l’adresse et perd des ballons tout seul, sans que nous le provoquions. On fait donc une première mi-temps aboutie, mais je craignais vraiment la réaction de Blois en deuxième et c’est ce qui est arrivé. »Alain Thinet, coach de Saint-Chamond (propos rapportés par Le Progrès)\n\nCe succès, les joueurs de Saint-Chamond peuvent s’en réjouir car il leur permet de conserver deux victoires d’avance sur Nancy, deuxième. Une équipe qu’ils affrontent lors de la prochaine journée de Pro B. En cas de victoire, la montée dans l’élite se rapprocherait encore davantage !\n\nÀ lire aussi, l’entretien en deux parties d’Alain Thinet, entraîneur de Saint-Chamond :\n\nPartie 1 : « Il faut avoir de l’humilité dans ce métier-là »\n\nPartie 2 : « C’est un projet qui peut amener le basket dans la Loire au plus haut niveau »\n\nPhoto : Alain Thinet (SCBVG)
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Strasbourg fait tomber Boulogne-Levallois, Amine Noua performe d’entrée : Lassi Tuovi «fier de son groupe»
Pour le retour de Vincent Collet au Rhénus, les débuts d’Amine Noua et l’après élimination en BCL, Strasbourg a frappé fort en renversant Boulogne-Levallois (87 à 81).\n\nAprès son élimination en Basketball Champions League, face à l’Hapoel Holon, Strasbourg avait à coeur de repartir de l’avant. Autant dire que c’est chose faite, puisque les hommes de Lassi Tuovi sont parvenus à faire tomber les Metropolitans 92, pourtant leader de Betclic Elite. Bien que dominés pendant une grande partie de la rencontre, Boulogne-Levallois ayant profité des erreurs adverses pour mettre la main sur ce match, ce sont bien les Strasbourgeois qui ont fait basculer le score en leur faveur. Le tout au terme d’un money-time irrespirable. Poussée par son public, la SIG Strasbourg s’est finalement imposée 87 à 81 grâce à de très gros tirs inscrits dans les derniers instants.\n\nUne victoire de luxe (face à un leader qui pourrait être contraint de laisser son trône à l’AS Monaco, si cette dernière venait à s’imposer face à l’EBPLO) à laquelle Amine Noua a largement contribué. Pour sa grande première sous le maillot de Strasbourg, club qu’il a rejoint en prêt jusqu’à la fin de la saison en provenance d’Andorre, l’intérieur a compilé 13 points à 5 sur 8 aux tirs et 3 rebonds pour 13 d’évaluation. Présent en conférence de presse d’après-match, il est revenu sur son adaptation éclair ainsi que sur la victoire du soir, tout en se projetant sur la finale de la Coupe de France, qui approche à grands pas.\n\n« On avait un gros match à domicile donc forcément oui, je suis arrivé avec beaucoup d’envie. J’avais pour objectif de m’adapter le plus vite possible. J’ai été très bien accueilli, par tout le monde, et ça m’a mis en confiance. En arrivant, j’ai trouvé une équipe qui jouait ensemble. Et de mon côté, je savais que je devais prendre mes responsabilités dès le premier match. Ce qu’il s’est passé avant, c’est derrière moi, je veux juste finir fort la saison avec Strasbourg.\n\nJe trouve que ce soir, on a joué juste, fort et dur. Les consignes du coach, c’était surtout d’être combatifs, de jouer avec beaucoup d’énergie. Ce soir, même s’il y a eu des erreurs, ça a tourné en notre faveur et tout le monde a répondu présent donc on peut être fier de nous. On a aussi été poussé par le public, je tiens à le remercier. Je suis très content mais il y a des choses à améliorer, des objectifs à atteindre, notamment si on veut aller chercher une médaille la semaine prochaine... »Amine Noua\n\n\nC’est que le début .. 🙏🏽 Merci a mes coéquipiers . Merci aux fans. Merci @sigstrasbourg pour l’accueil 🔥🔥🔥See you next week 👀 https://t.co/nFaYWj8gUd\n\n— Amine Noua (@NouAmine_12) April 16, 2022\n\n\nLassi Tuovi s’est également exprimé, clamant sa fierté après la belle réaction de ses joueurs.\n\n« Il faut donner du crédit aux deux équipes ce soir. En première mi-temps ils étaient trop mis en confiance en profitant de nos erreurs. À chaque fois, ils nous punissaient. C’est une performance de haut niveau. Nous nous sommes parlé à la mi-temps et nous nous sommes dit que, si nous devions perdre ce match, nous allions le perdre en attaque si nous ne commencions pas à jouer plus dur en défense. Il ne fallait pas avoir peur, mais être brave et passer un niveau psychologiquement. On l’a déjà vu beaucoup de fois, cette équipe ne baisse jamais la tête et ne se plaint pas : elle se remet toujours au travail.\n\nÀ ce moment de la saison, peu importe ce qui arrive, ce groupe te rend fier de le coacher. L’équipe est toujours prête à augmenter son niveau quand elle joue contre de bonnes équipes. Qu’on joue contre Monaco, les Metropolitans ou LDLC ASVEL, même si on peut perdre, les joueurs voudront toujours se battre et chalenger jusqu’au bout. C’est une vraie qualité. C’est ce qui fait que cette équipe est spéciale. »Lassi Tuovi\n\nPhoto : Amine Noua (SIG Strasbourg)
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Moins de trois mois après son accouchement, Valériane Vukosavljevic a rejoué !
Quatrième succès de rang pour Basket Landes qui a battu Angers (89 à 74). Avec deux évènements : les retours de Valériane Vukosavljevic et de Céline Dumerc.\n\nAprès 252 jours d’absence, depuis les Jeux Olympiques de Tokyo, mais surtout moins de trois mois après la naissance de son enfant, Valériane Vukosavljevic a fait son grand retour sur les parquets pour la dernière à domicile de Basket Landes en saison régulière. En sept minutes, l’internationale tricolore a inscrit 5 points à 2/2 aux tirs. À noter également que Basket Landes a également pu compter sur Céline Dumerc, de retour également après une blessure qui l’a tenue éloignée des parquets pendant quelques semaines. En 17 minutes, elle a apporté 4 points et distribué 7 passes décisives.\n\nDes contributions qui auront eu leur importance dans ce match qui opposait Basket Landes à Angers et qui a finalement tourné en faveur des Landaises. Le tout grâce notamment à une performance titanesque de Megan Magarity : 32 points et 12 rebonds pour 39 d’évaluation. Une quatrième victoire de rang en LFB pour les joueuses de Julie Barennes, qui avaient à coeur de préparer au mieux le prochain rendez-vous, qui n’est autre que la finale de la Coupe de France.\n\nPhoto : Valériane Vukosavljevic (Euroleague féminine)
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Sasa Obradovic, entraîneur de Monaco : «Priorité au quart de finale de l’Euroleague mais on ne pas se permettre de mal jouer» contre Pau
Dernier match de championnat pour Monaco avant le début des quarts de finale des playoffs de l’Euroleague, face à l’EBPLO. Sasa Obradovic veut s’appuyer sur cette rencontre pour préparer la suite.\n\nCe mardi, Monaco prendra la direction de la Grèce, et plus précisément d’Athènes, afin d’y disputer le tout premier match de playoffs d’Euroleague de son histoire face à l’Olympiakos. Un moment historique. Mais avant cela, les joueurs de la Roca Team ont un tout autre match à disputer, dans le cadre de la 29ème journée de Betclic Elite, face à l’Élan Béarnais. Un adversaire à ne surtout pas minimiser, puisque présent dans le Top 4 du championnat de France. Mais ce n’est pas du genre de l’AS Monaco, qui compte bien s’appuyer sur cette rencontre (qui pourrait d’ailleurs être décisive au vu de la défaite de Boulogne-Levallois face à Strasbourg ce samedi soir, car Monaco pourrait prendre la tête du classement en cas de victoire) pour arriver en pleine bourre face aux Grecs de l’Olympiakos. C’est du moins ce qu’a déclaré Sasa Obradovic avant la rencontre face à l’EBPLO, dans des propos relatés sur le site internet du club.\n\n« Nous nous préparons pour les deux matches, physiquement et tactiquement. Il n’y pas de changement majeur dans notre préparation. Nous nous appliquons à bien jouer, les playoffs de l’EuroLeague arrivent, nous devons être à notre meilleur niveau. Pau-Orthez est une bonne équipe qui mérite le respect. Hormis l’adversaire, le danger est de ne pas avoir la tête à votre match. On ne peut pas éluder les objectifs, la priorité est de performer dans ce quart de finale de l’EuroLeague, mais on ne peut pas se permettre de mal jouer dans ce match de championnat. Pau-Orthez est qualifié pour la finale de la Coupe de France et réalise un bon parcours en championnat, nous allons affronter un sérieux adversaire. Dans ces circonstances, juste avant Olympiakos, il est difficile de prévoir le comportement de mon équipe, mais nous abordons la rencontre avec toute l’application nécessaire, avec le soutien de nos fans ».Sasa Obradovic, entraîneur de Monaco\n\nPhoto : Sasa Obradovic (Thomas Savoja)
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NBA : Snobé offensivement, Rudy Gobert s’affirme parmi les «meilleurs défenseurs de l’histoire du sport» après le match 1 des playoffs
Utah s’est offert, ce samedi soir, le tout premier match de cette campagne de playoffs, face à Dallas. Un match marqué par une très haute intensité et un Rudy Gobert monumental en défense mais oublié en attaque.\n\nUtah face à Dallas. Match 1. Les playoffs sont lancés et voilà que Rudy Gobert fait déjà parler de lui, pour deux raisons bien différentes. À commencer par la positive, puisque le natif de Saint-Quentin a tout simplement rappelé (si cela était encore nécessaire) à tout le monde à quel point il est dominant sur le plan défensif ! Au-delà de ses 17 rebonds captés et de ses 3 contres notamment, c’est de par son intelligence défensive et son attitude sur le parquet qu’il a mis tout le monde d’accord. Des plus motivés, il n’a pas hésité à communiquer voire même à recadrer certains de ses coéquipiers après une erreurs défensives.\n\nDe quoi séduire une grande partie de la planète basket aux États-Unis, à commencer par certains journalistes reconnus. C’est notamment le cas de Tony Jones, journaliste pour The Athletic, qui a affirmé que « Rudy Gobert a été sensationnel défensivement, particulièrement en 2ème mi-temps ». Kevin O’Connor, célèbre journaliste pour The Ringer, a même été plus loin dans ses propos, puisqu’il a clamé que « Rudy Gobert est un des plus grands joueurs défensifs de l’histoire du sport ».\n\n\nRudy Gobert was sensational defensively, especially in the second half\n\n— Tony Jones (@Tjonesonthenba) April 16, 2022\n\n\n\nRudy Gobert is one of the greatest defensive players in sports history.\n\n— Kevin O'Connor (@KevinOConnorNBA) April 16, 2022\n\n\n\nLa meilleure des réponses face à l’irrespect de ses coéquipiers ?\n\nMême s’il a de nouveau été stratosphérique en défense, il n’empêche que notre Rudy Gobert national a été snobé par ses coéquipiers en attaque (comme souvent cette saison) et ce, malgré des prises de positions préférentielles qui auraient pourtant pu permettre à Utah de s’offrir quelques points faciles. L’incompréhension est quasi-totale de l’autre côté de l’Atlantique et il y a de quoi. En 35 minutes jouées, Rudy Gobert n’a pris qu’un seul tir ! Il termine le match avec seulement cinq points alors qu’il a passé sa soirée à faire des appels de balle dans la raquette de Dallas...\n\nMais alors, que retiendra-t-on de tout cela ? La performance défensive de Rudy Gobert ou l’absence de respect dont il est victime en attaque ? Une chose est sûre, le Jazz s’est imposé face aux Mavericks, sur le score de 99 à 93. Une victoire précieuse en l’absence de Luka Doncic.
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L’ASVEL rend un vibrant hommage à Amara Sy et va retirer son maillot !
Plus que par la victoire de l’ASVEL face au Paris Basketball (107 à 82), c’est bel et bien par l’hommage rendu à la légende Amara Sy que la soirée de ce samedi a été marquée du côté de Lyon-Villeurbanne.\n\nAmara Sy et l’ASVEL ? Une histoire commune qui a débuté en 1999, date à laquelle celui qui est devenue une véritable légende du basket français a fait ses grands débuts avec les pros, et qui s’est prolongé sur neuf saison au total (de 1999 à 2002, de 2005 à 2007, en 2008-2009 et de 2012 à 2015). De quoi permettre à l’Amiral de remporter le titre de champion de France en 2002 et en 2009 ainsi que la coupe de France en 2001.\n\nAlors qu’à bientôt 41 ans, Amara Sy est définitivement plus proche de la fin que du début de sa carrière, Lyon-Villeurbanne a décidé de lui rendre un vibrant hommage pour son retour sur le parquet de l’Astroballe, lui qui évolue désormais au Paris Basketball. Il a notamment été annoncé, par Gaëtan Muller, que son maillot allait être retiré à la fin de la saison. Un geste remarquable, à la hauteur de la carrière du joueur en question, qui n’a pas pu cacher son émotion avant la rencontre qui opposait l’ASVEL à Paris.\n\n« Je ne m’y attendais absolument pas. C’était une soirée exceptionnelle, pleine d’émotion. Il faut vraiment envoyer pour me faire pleurer mais là, j’ai craqué ! Imaginer mon maillot à côté de ceux d’Alain Gilles et Delaney Rudd est quelque chose d’incroyable, moi qui ne savais même pas où se situait Villeurbanne et Lyon quand je suis arrivée, en espoir, à 16 ans ! Je remercierai éternellement Gaëtan et Tony Parker. Ils m’ont fait l’un des plus beaux cadeaux de ma vie. »Amara Sy (propos recueillis par Le Progrès)\n\nUn match qui est finalement presque passé au second plan, tant la soirée a été marquée par cet hommage. Mais c’est bien Lyon-Villeurbanne qui a fini par disposer du Paris Basketball, au terme d’un match des plus offensifs. Victoire 107 à 82 des hommes de T.J. Parker, la cinquième consécutive en Betclic Elite, eux qui ont dépassé la barre des 100 points pour la première fois cette saison.\n\n\nQuand tu apprends que ton maillot sera retiré à l’Astroballe 🥲\n\nMerSY @AmarouXX ❤️#LDLCASVEL pic.twitter.com/mhqhNVQnhp\n\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) April 16, 2022\n\n\n\nIncroyable hommage je m’attendais à tout sauf à ça.Sincèrement c’était inimaginable pour moi!Merci encore à l’ensemble @LDLCASVEL et tous les supporters c’était beaucoup trop pour moi!💚🙏 https://t.co/2mkd63xvvd\n\n— AMARA 5Y (@AmarouXX) April 16, 2022\n\n\nPhoto : Amara Sy (Infinity Nine Media)
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Hamady Ndiaye (Pau) : «Le basket-ball m’a amené tout autour du monde»
Le pivot sénégalais de Pau, Hamady N’Diaye (2,13m, 35 ans) est un globe trotter. Il est passé par les Etats-Unis et la NBA, la Chine, le Liban, les Philippines, Israël, l’Espagne, l’Italie et enfin la France depuis son arrivée à Pau.\n\nCelui qui l’a inspiré ? Son père, qui était employé de la Banque mondiale. C’est ce qu’il a raconté à RFI.\n\n« Il y avait les histoires que mon père me racontait lorsqu’il revenait de tous ses voyages autour du monde, se remémore-t-il. Durant ma jeunesse, j’étais vraiment focalisé sur les études pour lui montrer que j’avais vraiment de la valeur. Ce qui comptait pour lui, c’étaient les études et pas trop le sport. C’est pour cela que ça m’a pris tant de temps pour me mettre au basket (...) Le basket-ball m’a amené tout autour du monde. J’ai pu vivre dans différentes cultures et mondes. Vivre avec des gens avec lesquels je n’aurais jamais pu imaginer vivre lorsque j’étais au Sénégal. C’est quelque chose que j’apprécie toujours : rencontrer de nouvelles personnes, de nouvelles cultures et pouvoir vivre des choses qui, lorsque j’étais un jeune au Sénégal, ne faisaient pas trop partie de notre imagination. Pouvoir faire le tour du monde, comme je l’ai fait, et pouvoir vivre ce que j’ai vécu par le basket est vraiment quelque chose qui qualifie un peu ma carrière et que j’aime du fond du cœur.«\n\nLe Sénégalais a joué 33 matches en NBA. Une expérience... comme une autre.\n\n« Au moment où j’ai quitté la NBA, je n’avais aucun regret du tout. J’ai apprécié le temps que j’ai passé là-bas, à m’améliorer et à me préparer pour la carrière que j’ai ensuite eue. Ces moments en NBA ont été précieux et m’ont vraiment formé pour l’homme que je suis devenu après. Pour moi, arriver en NBA n’a déjà pas été facile. Le fait d’être drafté a déjà nécessité un véritable combat. En ces temps-là, c’était encore plus difficile lorsqu’on était un joueur africain. J’ai décidé de moi-même de ne plus retourner en NBA, poursuit-t-il. J’ai commencé à apprécier le fait de voir le monde. Je voulais aussi commencer à être respecté pour mes talents dans des équipes qui voulaient de mes compétences et au sein desquelles je n’étais pas juste le 15e joueur de l’effectif. »\n\nPhoto : Elan Béarnais
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Nicolo Melli (Milan) : «Il ne manque plus qu’un trophée pour couronner le parcours»
Interviewé par La Repubblica Milano, l’international italien Nicolo Melli (2,06m, 31 ans) a exprimé l’ambition de son club qui va être confronté à Anadolu Efes Istanbul en quart-de-finale des playoffs d’Euroleague.\n\n« Nous venons de faire une excellente Euroleague, toute l’année dans le top-4. Nous avons perdu des matchs stupides et nous en avons gagné d’autres qui ne sont pas évidents. Pour Olimpia, ces dernières années, gagner à Barcelone était un miracle, désormais c’est un objectif. Et l’approche de nos adversaires a changé. Il ne manque plus qu’un trophée pour couronner le parcours. Plus que toute autre chose, nous voulons gagner. Vous n’entendrez jamais personne se contenter d’une demi-finale, tout le monde regarde vers le gros objectif, même nous qui ne sommes pas le numéro un en Europe. Vous visez cent, puis si vous obtenez quatre-vingt-dix, ça va. »\n\nSolide défenseur, bon passeur, Nicolo Melli n’est pas spécialement un grand scoreur (8,0 points). Il explique pourquoi :\n\n« Ma marque de fabrique, c’est de peu tirer ! Tout le monde me l’a toujours dit. Je fais ce qu’il faut, surtout en Euroleague, et je ne fais pas trop attention aux points. Oui, je devrais peut-être prendre un peu plus d’initiative. C’est vrai aussi qu’Ettore (Messina) me demande des choses différentes de Trinchieri à Bamberg, ou Obradovic au Fener. Ettore est comme vous le voyez, cohérent avec sa mentalité, il demande toujours beaucoup, l’attention doit toujours être très élevée, et vous devez être prêt, sans penser à l’erreur ou au match précédent. Si on est au top c’est parce que le coach est exigeant au maximum ».\n\nPhoto : Euroleague
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Laurent Vila sera coach de Cholet Basket deux ans de plus
Laurent Vila, 46 ans, sera le coach de Cholet Basket jusqu’en 2024, rapporte Le Courrier de l’Ouest.\n\nLaurent Vila est arrivé dans Le Maine-et-Loire à l’été dernier avec un objectif majeur : obtenir le maintien en Betclic Elite, ce qui est fait. Cholet Basket a même encore la possibilité d’accrocher les playoffs.\n\nPhoto : Thomas Savoja
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Euroleague : Les deux premiers matches de playoffs Olympiakos-Monaco à guichets fermés
Les Matches 1 et 2 de quarts-de-finale des playoffs, entre Olympiakos Le Pirée et l’AS Monaco, prévus les 20 et 22 avril, seront joués à guichets fermés.\n\nLes billets pour le premier match de la série se sont envolés en 24 heures sachant que le Stade de la Paix et de l’Amitié peut recevoir officiellement 12 171 spectateurs. Et le deuxième match fera aussi salle comble car 6 500 billets ont déjà été vendus.\n\nLes prix des billets vont de 10 à 200 euros. Pour pénétrer dans l’enceinte, il faut être muni d’un certificat de vaccination ou d’un certificat comme quoi on a été récemment contaminé par le Covid-19.\n\nCet engouement s’explique par le fait que les fans des rouges et blancs ont été enthousiasmés par la deuxième place de la saison régulière de l’Euroleague, par la conquête de la Coupe de Grèce, mais aussi par les quatre victoires consécutives face à l’éternel adversaire, le Panathinaikos.
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Retentissant : le quadruple double d’Alyssa Thomas en finale du championnat tchèque !
L’Américaine Alyssa Thomas (1,88m, 30 ans) a accompli un exploit retentissant lors du Match 1 de la finale des playoffs du championnat tchèque entre l’USK Prague et le Zabiny Brno : un quadruple double.\n\nUn triple double est déjà un évènement rare, mais un quadruple double est exceptionnel. Il en existe un seul dans les archives du championnat de France de première division, par Derrick Lewis, et on avait démontré qu’il était en fait erroné. Chez les femmes, c’est encore plus fascinant.\n\nAlyssa Thomas a compilé 14 points (5/9 aux tirs), 16 rebonds, 10 passes et 10 interceptions ! Avec 6 balles perdues, elle a atteint 42 à l’évaluation. Son équipe a gagné 78-44.\n\nPhoto : FIBA
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Turquie : Ergin Ataman est officiellement le nouveau coach de l’équipe nationale
C’était un secret de polichinelle. C’est désormais certain : le coach d’Anadolu Efes Istanbul, Ergin Ataman, est le nouveau patron de l’équipe nationale turque.\n\nAtaman, 56 ans, a déjà rempli cette fonction de 2014 à 2016 avec à la clé la 8e place à la Coupe du monde 2014 et la 14e place à l’EuroBasket 2015. Il est surtout connu pour être le coach d’Anadolu Efes avec qui il a remporté l’Euroleague en 2021, un trophée auquel il a ajouté celui de Coach of the Year.\n\nA l’EuroBasket 2022, la Turquie sera placée dans le groupe de Tbilissi avec la Bulgarie, la Géorgie, la Belgique, l’Espagne, plus probablement le Monténégro à la place de la Russie.\n\n« Je suis une personne ambitieuse, » a déclaré Ataman. « Je veux gagner tous les trophées avec chaque équipe que j’entraîne. Même aujourd’hui, lors de la conférence de presse d’introduction, je tiens à dire clairement à tous les fans et joueurs qui seront sélectionnés que nous sommes ici pour gagner des médailles à l’EuroBasket, à la Coupe du monde et aux Jeux olympiques. J’ai peut-être été modeste en mentionnant le médailles comme objectif. Notre seul objectif dans l’EuroBasket est de le gagner.«\n\nPhoto : Euroleague
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République Tchèque : Tomas Satoransky (Washington Wizards) annonce sa participation à l’EuroBasket
Le combo guard tchèque Tomas Satoransky (2,01 m, 30 ans) des Washington Wizards a annoncé se mettre à la disposition de son équipe nationale pour le prochain EuroBasket.\n\n« Ce n’était pas la saison la plus facile. Mais je suis reconnaissant d’avoir bien terminé la saison, avec la bonne équipe. Merci à tous pour votre soutien tout au long de la saison. La prochaine étape est l’Eurobasket de 2022« , a t-il écrit sur les réseaux sociaux.\n\nTomas Satoransky a joué cette saison pour New Orleans, San Antonio puis Washington, un total de 55 matches pour 3,6 points et 3,3 passes, son plus faible rendement depuis sa saison de rookie.\n\nA l’Euro, la République Tchèque sera dans le groupe D de la Serbie, des Pays-Bas, de la Finlande, de la Pologne et d’Israël. A noter qu’une fenêtre de la qualification à la Coupe du monde s’ouvrira juste avant l’Euro, et que la République Tchèque est pour l’instant positionnée à la 4e place du groupe F -celui qui va croiser avec la France- avec 1 victoire et 3 défaites.\n\nPhoto : FIBA
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NBA : Ousmane Dieng se déclare à la draft
L’ailier Ousmane Dieng (2,05m, 18 ans), qui joue avec les New Zealand Breakers dans la ligue BBL, va participer à la prochaine draft, a t-il annoncé à ESPN.\n\nL’ancien pensionnaire de l’INSEP tourne en moyenne 8,9 points et 3,2 rebonds en 21 minutes sur 24 matchs de NBL.\n\n« Jouer dans une ligue difficile avec de très bons joueurs était vraiment bon pour moi », a déclaré Ousmane Dieng. « J’ai beaucoup appris. La transition a été significative, face à des joueurs bien meilleurs que ce que j’ai vu en France. Le jeu est plus rapide. Tout le monde est plus physique. J’ai dû travailler mon corps et j’ai eu la chance d’avoir un excellent préparateur physique. J’ai beaucoup amélioré ma défense cette dernière année. Les entraîneurs ont joué un grand rôle dans mon amélioration. Je leur ai fait confiance. J’ai continué à travailler et j’ai amélioré mon jeu. »
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Rouen est officiellement en Nationale 1
Rouen ne peut plus échapper à la sentence, malgré sa victoire de... 36 points contre Nantes.\n\nEst-ce Rouen qui a voulu sortir par la grande porte ? Ou Nantes qui va très mal ? Un peu des deux. La victoire du RMB ce vendredi soir frappe par son ampleur : 110-74.\n\nLes Normands ont tourné à 71,4% à deux-points et à 14/32 à trois-points. En étant exigeant, on notera leur réussite insuffisante aux lancers-francs : 62,1%. Il y avait déjà un grand écart à la mi-temps : 55-32. Sur le plan individuel, Lucas Bourhis a été le roi de la soirée avec 27 points, 9 passes et 35 d’évaluation.\n\nSeulement, pour avoir encore une minuscule chance de s’en sortir, il fallait que Rouen s’impose d’au moins 28 points à Nantes -c’est fait-, mais aussi que Boulazac échoue face à l’Alliance Sport Alsace. Or, le BBD est allé gagner en Alsace (72-89).\n\nDix-neuf ans plus tard, et après deux passages en Pro A -en 2014 grâce à une wild card-, l’édification d’une salle de 6 000 places, le RMB retombe ainsi dans la troisième division nationale. Nantes, qui n’a pas le point-average particulier positif sur Boulazac, n’a plus que 5 matches pour éviter le même gâchis.\n\nPhoto: Lucas Bourhis, Maeva Parmentier
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Massimo Cancellieri va t-il rester à Limoges ?
C’est la question qui agite la sphère limougeaude et que vient de poser Le Populaire du Centre avec quelques éléments de réponse.\n\nArrivé cet été en Limousin, l’entraîneur italien bientôt quinquagénaire est déjà un personnage du basket français. En raison de son look unique et de son caractère volcanique. Et aussi pour ses bons résultats. Limoges est en course pour une place en playoffs, ce qui n’avait rien d’évident avec l’effectif qui avait été construit. Massimo Cancellieri est aussi une belle affaire financière, comme l’avait révélé notre dossier sur les salaires des coaches. Il pointe en 15e position du classement.\n\nSelon Le Populaire, donc, des discussions sont actuellement menées entre le club et l’Italien et celui-ci n’a pas encore la certitude de rempiler. Le CSP serait prêt à l’augmenter mais pas forcément sur une longue durée.\n\n« Si ses compétences tactiques ne sont absolument pas remises en cause, si tout le monde s’accorde à dire qu’il tire la quintessence de l’équipe mise à sa disposition, sa personnalité explosive fait douter en haut lieu. En interne, l’ancien adjoint de Milan a parfois heurté avec son style très direct et son exigence du haut niveau. »\n\nBref, encore de la patience avant de connaître son sort.\n\nPhoto : Limoges CSP
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ITW Joffrey Lauvergne : «Au Zalgiris Kaunas, j’ai créé des liens que j’attendais de créer depuis le Partizan»
Vie en Lituanie au pays du basket, saison d’Euroleague tronquée par son opération à l’épaule, histoire en NBA pas forcément terminée... L’intérieur du Zalgiris Kaunas Joffrey Lauvergne (2,11 m, 30 ans) se livre sur ses attentes et ses ambitions futures.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nArrivé en 2020 en Lituanie, Joffrey Lauvergne sait qu’il n’est que de passage à Kaunas. Cela ne l’a pas empêché, six mois à peine après son arrivée, de prolonger avec le Zalgiris jusqu’à l’été 2023, là où il a noué des liens extra basket comme il n’avait jamais créé depuis la saison 2013-2014 avec le Partizan Belgrade, au sein d’un petit pays de 3 millions d’habitants et qui respire le basket.\n\nLa saison d’Euroleague ne s’est pas bien déroulée collectivement, le club terminant à la dernière place ex-aequo avec l’ASVEL (8-20), loin du bilan de la saison précédente (17-17). La faute, entre autres, à l’absence de son intérieur français, qui n’a pu disputer que 13 rencontres européennes (8,3 points, 3,4 rebonds en 15 minutes), soit son plus petit total de matches depuis 10 ans et son départ de Chalon-sur-Saône. Mais l’international tricolore ne perd pas espoir de remonter la pente, fort notamment de sa réathlétisation express à l’épaule, en France. Il se confie sur cet exercice en tous points particulier.\n\nVous avez été éloigné des terrains près de quatre mois, vous n’avez disputé que 13 matches d’Euroleague cette saison. Quel bilan dressez-vous de cet exercice ?\n« C’était une saison compliquée pour le club. On a fait des bons matches, de bonnes prestations, durant le dernier mois et demi de compétition. Il faut en tirer du positif et rester optimiste pour la fin de saison en championnat. D’un point de vue individuel, je suis bien revenu après une longue blessure. Le terrain me manquait. J’ai eu de bonnes sensations, et je suis très heureux d’avoir pu rejouer une partie de la saison en Euroleague. »\n\nComment s’est déroulée votre opération à l’épaule, en France ? Ressentez-vous encore une quelconque gêne ?\n« Je n’ai plus du tout de gêne. Juste après la reprise, on était au minimum du minimum du minimum de ce qu’on pouvait faire en termes de timing, je crois d’ailleurs que j’ai un record de reprise chez un sportif avec cette opération-là. Au début, il me manquait un peu de force, mais la douleur s’est estompée petit-à-petit. Aujourd’hui, ça fait environ deux mois que j’ai repris. Je peux dire que j’ai quasiment la force équivalente des deux côtés. Je suis content d’avoir pris cette décision de m’être fait opérer en France, à Lyon. Ils ont été super en termes de suivi, de réhabilitation. »\n\nPour la première fois depuis une dizaine d’années, vous avez donc passé plusieurs mois en France...\n« Ah oui, je confirme, c’était la première fois où j’étais en France au repos complet, avec un bras en moins que je ne pouvais pas beaucoup bouger, sans être à droite à gauche pour visiter tout le monde. C’est vrai que j’ai bien profité de ma famille et de mes proches comme je n’avais pas pu le faire pendant des années. C’est un peu comme tout dans la vie : j’ai essayé de tirer le meilleur de la situation dans l’état où elle était. J’ai réussi à en faire un truc sympa (sourire). »\n\n\n« Dans les salles, dans les rues, il y a des drapeaux de l’Ukraine. On le sent partout. C’est vraiment un sujet très important pour les Lituaniens »\n\nSur le plan collectif, est-ce vécu comme un drame national de figurer en queue de classement de l’Euroleague ?\n« Je ne sais pas. Parce que je n’ai pas énormément d’échos hormis ceux de mes coéquipiers. Je ne lis pas la presse. C’est certain que c’est une saison difficile pour les gens, les fans. Après, j’essaie de mettre un peu de distance avec ça tout simplement parce que je suis malgré tout fier de ce que je fais dans l’implication, et surtout, j’ai envie de prendre du plaisir à jouer au basket. Ce que j’ai traversé personnellement cette saison, ça aide à relativiser. C’est mon état d’esprit général. J’ai envie de prendre du plaisir quoi qu’il se passe et de me contenter de faire le mieux que je peux. Le reste ne m’appartient pas forcément. »\n\nA l’inverse, lorsque Paulius Jankunas prend sa retraite, c’est un événement national en Lituanie ?\n« Complètement. Lors du dernier match d’Euroleague, l’Etoile Rouge n’avait plus rien à jouer, on n’avait plus rien à jouer non plus entre guillemets, et pourtant la salle était remplie comme elle n’a jamais été remplie cette année. Cela vous situe l’événement. Tout le monde adore Paulius, je crois que je n’ai jamais entendu quelqu’un dire du mal de lui. Ce match s’est en plus très bien fini. J’ai trouvé son dernier match parfait parce qu’on termine sur une victoire, dans un match où il joue bien... C’était une combinaison de choses qui font que c’était vraiment une fête. »\n\nCe même match avait commencé par un autre « événement », lorsque les joueurs de l’Étoile Rouge de Belgrade ont refusé de tenir la bannière « Stop War ». Comment cela a-t-il été vécu en Lituanie ?\n« (Longue respiration). L’une de mes passions, c’est l’histoire. Je comprends d’autant plus l’histoire de ces deux pays parce j’ai vécu, j’ai été bien et j’ai passé du temps dans chacun d’eux. Les avis ne convergent pas. Ça reste de la politique... Moi, en tant que Français, je suis un peu plus neutre, ça m’impacte moins. Après, je sais que les deux pays ont des positions et des points de vue diamétralement différents du fait de leur histoire, ce sont des choses qui, au regard de l’histoire, s’entendent. À partir de là, mon point de vue n’est pas le plus intéressant sur le sujet. »\n\nRessentez-vous malgré tout une hostilité, voire de la peur, vis-à-vis de la Russie en Lituanie ?\n« Bien sûr. Les gens ont peur, c’est la première chose. Malheureusement, ça dure en Ukraine. Alors que beaucoup de gens, y compris en Lituanie, pensaient que ça allait être plus rapide. J’ai l’impression que les Lituaniens ont le sentiment d’avoir moins le couteau sous la gorge qu’il y a un mois, cela n’empêche que les gens en parlent beaucoup. Dans les salles, dans les rues, il y a des drapeaux de l’Ukraine. On le sent partout. C’est vraiment un sujet très important pour eux. »\n\n\n« Aujourd’hui, est-ce que j’ai tiré un trait définitif sur la NBA ? Je ne sais pas. L’avenir me le dira. Pour le moment, j’ai encore une saison de contrat dans un endroit où les gens m’apprécient pour ce que je suis »\n\nVous êtes en Lituanie depuis 2020. Comment est la vie à Kaunas ?\n« Globalement, j’apprécie la ville. Je suis surtout tombé l’année dernière dans une équipe où il faisait tellement bon vivre que j’ai décidé de prolonger extrêmement tôt, dès le mois de janvier. Les conditions dans lesquelles ont est traité sont excellentes. On voyage tout le temps en avion privé, les déplacements les plus lointains en Lituanie sont à deux heures et demi donc on est tout le temps à la maison, c’est très agréable. Et surtout, je me suis fait des potes. Il y a des équipes avec lesquelles tu crées plus de liens que d’autres, et ici la bande de Lituaniens me convient bien. »\n\nComment sont les fans vis-à-vis de ceux de Belgrade ou des villes NBA que vous avez fréquenté ?\n« C’est difficile de comparer car, malheureusement, la saison dernière, il n’y a eu que les deux premiers matches de la saison avant que les stades soient en capacité limitée. C’était lock down partout. Et cette année, d’après ce que j’ai pu comprendre en discutant avec les gens du club, c’est un peu les mêmes histoires que ce que j’ai pu entendre en France par rapport à la vente de tickets. Les gens ont pris l’habitude de regarder les matches à la télé, ils n’ont pas très envie de porter les masques... Tout ça combiné au manque de résultats, ça fait que ce n’est pas l’année où les fans se sont le plus déplacés. Malgré tout, il y a régulièrement 10 000 personnes. Tout le monde suit le basket ici, c’est le sport numéro un, et de très très loin. Tout le monde suit. La petite dame de 75 ans qui ne parle pas un mot d’anglais, elle te reconnait dans la rue. C’est agréable. »\n\nPour vous, l’attachement à un maillot comme ceux du Partizan et du Zalgiris est-il plus important que d’appartenir à une franchise NBA ?\n« Pour moi, oui, évidemment. Le Partizan, c’était il y a 10 ans, j’ai l’impression que c’était hier. Ce club de Zalgiris... Ici, je suis en train de créer des liens que j’attendais de créer avec un autre club depuis le Partizan, parce que c’est ma manière de voir les choses et de me sentir part de quelque chose. »\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=P1NEd77FRqk\n\nSur le terrain, dans quel style de jeu se sentez-vous le mieux, européen ou NBA ?\n« Bonne question. Les deux ont des styles de jeu très différents, des systèmes et des visions fondamentalement différentes, sur et en dehors du terrain. Je trouve des côtés avantageux dans les deux situations. Après, par rapport à la vie extra-basket et la mentalité, l’Euroleague me convient peut-être mieux, quand bien même il y a d’autres avantages à jouer en NBA, comme les vacances, les conditions dans lesquelles on joue, et qui ne sont bien évidemment pas les mêmes partout en Europe. La vie au Zalgiris ressemble à celle de la NBA, on a un staff complet, des avions privés en permanence. Après, ce n’est pas partout le cas en Europe. Quand on met tout ça dans la balance, il y a du positif des deux côtés. »\n\nA 30 ans, vous êtes sous contrat jusqu’en 2023 mais retourner en NBA est-il toujours une perspective ?\n« Je ne sais pas. L’année dernière, il y a beaucoup de choses qui se sont passées à merveille à Kaunas : superbes saison collective, individuelle, tout faisait que je se sentais qu’il fallait continuer. J’avais deux ans de contrat garanti. À l’arrivée, quand on met les choses dans la balance... Il y aurait fallu que je trouve au moins aussi long et au moins aussi bien, ce qui rajoutait une contrainte par rapport à la NBA. Aujourd’hui, est-ce que j’ai tiré un trait définitif sur la NBA ? Je ne sais pas. L’avenir me le dira. Pour le moment, j’ai encore une saison de contrat dans un endroit où les gens m’apprécient pour ce que je suis, et où je me dis que, malheureusement ou heureusement, on fait une saison où on gagne 18 matches l’an dernier, cette année seulement 8, ce qui signifie que la concurrence est rude. Mais le fait qu’on est fait une mauvaise saison collectivement cette année en Euroleague ne me fait pas avoir de doute par rapport à la suite de ma carrière ici, ni quant à la capacité du club à redresse la barre dès la saison prochaine. »\n\n\n« A Chalon, c’est la première fois que je gagnais des titres. Ce sont des choses importantes dans le début d’une carrière parce que rapidement, on se dit que si on est capables d’arriver en finale une fois, on est capable de le refaire »\n\nLorsque Emmanuel Macron a effectué une visite en Lituanie, le président lituanien Gitanas Nauseda vous a demandé d’être présent. Cela veut dire qu’il vous connaissait, et pas le président français, c’est ça ?\n« C’est vrai. Après, la France reste un plus grand pays, où le basket a moins d’importance, c’est comme ça, ce n’est pas la même culture. Cela dit, même si j’ai un attachement tout particulier à ce club du Zalgiris, je ne reste qu’un invité. Comparé à d’autres joueurs, mon temps est compté ici, en quelque sorte. Ce n’est pas comme mes coéquipiers qui sont nés à Kaunas, qui jouent ici depuis 20 ans et qui resteront dans le club après leur carrière de joueur. Ça a des côtés sympa. Après, j’aime bien aussi la tranquillité que je peux avoir en France, je sais que je peux être tranquille, contrairement à mes coéquipiers lituaniens chez eux en Lituanie (rires) »\n\nVous intéressez-vous à la culture lituanienne ?\n« La culture lituanienne, ça me va bien. Je ne viens pas de Paris ni de Lyon, moi je viens d’un petit village. Une ville comme Kaunas avec 330 000 habitants, ça me parait une grande ville quand même, et ça me convient ! Après, j’ai tellement voyagé et vu d’autres choses que je me rends compte que c’est ni Chicago ni Istanbul, mais j’y trouve mon compte. Je suis ici ponctuellement pour le basket, et j’ai trouvé un endroit où la vision du basket et des choses fait que je suis heureux et satisfait. »\n\nL’Elan Chalon fête cette année les 10 ans de son triplé. Qu’est-ce que ça représente pour vous ?\n« De beaux souvenirs avant tout. C’est la première fois que je gagnais des titres. Ce sont des choses importantes dans le début d’une carrière parce que rapidement, on se dit que si on est capables d’arriver en finale une fois, on est capable de le refaire. C’était une belle période avec Nico Lang, JBAM, des Rémy Delpon, des Dominique Juillot, Yves Duvernois qui est décédé depuis, plein d’autres personnes. J’ai énormément de bons souvenirs. J’étais retourné à Chalon quelques fois quand à l’époque où je jouais encore en NBA histoire de revoir les gens que j’avais apprécié. Depuis que je suis rentrée en Europe, je n’ai pas eu l’occasion d’y retourner. Mais j’ai eu Rémy Delpon au téléphone dernièrement parce qu’il voulait m’envoyer quelque chose par rapport aux 10 ans... Je ne sais pas ce que c’est, j’ai fait livrer chez mon père, on verra quelle surprise on nous réserve ! (Rires) »\n\nRegardez-vous les matches de votre sœur Joanne (Charnay) ?\n« Je suis allé deux trois fois à Charnay quand j’étais en rééducation en France en début de saison, dont une fois avec Tony (Parker) car elle jouait contre l’ASVEL. Je suis très content que ma soeur joue pour la première fois en première division cette année. »\n\nEt ceux de vos amis Léo Westermann et Axel Toupane, également des anciens du Zalgiris Kaunas ?\n« Bien sûr, et pour d’autres raisons que le fait qu’ils soient passés par le Zalgiris. Le monde est quand même petit parce que Léo, c’est mon meilleur pote, et Axel, on a grandi ensemble dans le même village entre 7 et 12 ans. On s’est retrouvés à Denver en NBA. Ce sont des histoires magnifiques. Quand on était petits, on jouait toute la journée au basket chez lui et on allait dans notre club de campagne, et on s’est suivis. Il y avait une chance sur combien qu’on se suive comme ça ? J’aurais peut-être dû jouer à l’Euromillions (rires). C’est marrant aussi parce que Léo s’est lui aussi super bien entendu avec le groupe de Lituaniens à Kaunas. Et combien de fois je l’ai appelé quand il était avec ses coéquipiers ? Quand je suis moi-même arrivé ici, c’est presque comme si on se connaissait déjà parce que je leur avais déjà parlé via Léo. Ça n’a rendu mon intégration que plus rapide. »\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nArrivé en 2020 en Lituanie, Joffrey Lauvergne sait qu’il n’est que de passage à Kaunas. Cela ne l’a pas empêché, six mois à peine après son arrivée, de prolonger avec le Zalgiris jusqu’à l’été 2023, là où il a noué des liens extra basket comme il n’avait jamais créé depuis la saison 2013-2014 avec le Partizan Belgrade, au sein d’un petit pays de 3 millions d’habitants et qui respire le basket.\n\nLa saison d’Euroleague ne s’est pas bien déroulée collectivement, le club terminant à la dernière place ex-aequo avec l’ASVEL (8-20), loin du bilan de la saison précédente (17-17). La faute, entre autres, à l’absence de son intérieur français, qui n’a pu disputer que 13 rencontres européennes (8,3 points, 3,4 rebonds en 15 minutes), soit son plus petit total de matches depuis 10 ans et son départ de Chalon-sur-Saône. Mais l’international tricolore ne perd pas espoir de remonter la pente, fort notamment de sa réathlétisation express à l’épaule, en France. Il se confie sur cet exercice en tous points particulier.\n\nVous avez été éloigné des terrains près de quatre mois, vous n’avez disputé que 13 matches d’Euroleague cette saison. Quel bilan dressez-vous de cet exercice ?\n« C’était une saison compliquée pour le club. On a fait des bons matches, de bonnes prestations, durant le dernier mois et demi de compétition. Il faut en tirer du positif et rester optimiste pour la fin de saison en championnat. D’un point de vue individuel, je suis bien revenu après une longue blessure. Le terrain me manquait. J’ai eu de bonnes sensations, et je suis très heureux d’avoir pu rejouer une partie de la saison en Euroleague. »\n\nSur le plan collectif, est-ce vécu comme un drame national de figurer en queue de classement de l’Euroleague ?\n« C’est certain que c’est une saison difficile pour les gens, les fans...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Joffrey Lauvergne (Euroleague)
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Euroleague : Monaco et l’ASVEL ont eu le meilleur taux de remplissage de la saison
Monaco à Gaston-Médecin (84,4%) et Villeurbanne à l’Astroballe (79,3%) ont obtenu les deux meilleurs taux de remplissage de la saison régulière d’Euroleague, suivant des chiffres donnés par le statisticien Darius Garuolis. Mais...\n\nOutre le fait que les trois clubs russes sont exclus du classement, on fera remarquer que les deux clubs de Betclic Elite ont les enceintes les plus petites de la compétition, et aussi que beaucoup de chiffres sont faussés par les restrictions ici et là en raison du Covid 19.\n\nDans ces conditions très spéciales, c’est Anadolu Efes qui a obtenu la meilleure moyenne de spectateurs (10 502).\n\n\nTotal attendance this #EuroLeague season:\n\n🇹🇷 EFS 178,536\n🇮🇱 MTA 136,356\n🇱🇹 ZAL 134,635\n🇪🇸 BAS 109,771\n🇷🇸 CZV 96,884\n🇪🇸 RMB 94,698\n🇬🇷 OLY 85,752\n🇪🇸 FCB 83,095\n🇹🇷 FNB 80,279\n🇫🇷 ASV 74,972\n🇮🇹 AXM 65,531\n🇬🇷 PAO 64,955\n🇩🇪 BER 58,752\n🇲🇨 ASM 58,695\n🇩🇪 BAY 29,872\n\n— Darius Garuolis (@DariusGaruolis) April 14, 2022\n\n\nCet autre classement est moins flatteur pour les deux équipes françaises puisque ce sont elles qui attirent le moins de spectateurs à l’extérieur.\n\n\nOn average, which visiting team attracted the most fans this #EuroLeague season?\n\n🇪🇸 FCB 7,571\n🇹🇷 FNB 7,053\n🇩🇪 BAY 6,270\n🇪🇸 RMB 6,237\n🇮🇹 AXM 6,076\n🇬🇷 OLY 5,992\n🇩🇪 BER 5,759\n🇬🇷 PAO 5,386\n🇮🇱 MTA 5,383\n🇷🇸 CZV 5,059\n🇹🇷 EFS 4,940\n🇱🇹 ZAL 4,760\n🇪🇸 BAS 4,711\n🇲🇨 ASM 4,666\n🇫🇷 ASV 4,638\n\n— Darius Garuolis (@DariusGaruolis) April 15, 2022\n\n\nPhoto : Astroballe (Infinity Nine Media)
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WNBA : Une jeune française va prendre part au camp d’entraînement du Chicago Sky
Le Chicago Sky, champion WNBA en titre, continue de renforcer son effectif pour son camp d’entraînement avec l’arrivée d’une jeune française en la personne d’Emmanuelle Tahane.\n\nDe Marne-la Vallée à Chicago. À seulement 22 ans, Emmanuelle Tahane a déjà connu de multiples univers différents et elle s’apprête à un découvrir un nouveau, puisqu’elle a été appelée pour le camp d’entraînement du Chicago Sky, franchise championne WNBA en 2021. Internationale tricolore chez les jeunes, celle qui a initialement été formée Marne-la-Vallée, puis à l’INSEP, a remporté le championnat d’Europe U18 féminin en 2018. Mais c’est surtout de l’autre côté de l’atlantique, aux États-Unis, qu’Emmanuelle Tahane a continué de s’aguerrir. Elle a partagé ses années universitaires entre les Missouri Tigers (2017-2019) et les Rhode Island Rams (2020-2022), où elle s’est imposée comme titulaire. Lors de sa dernière année, elle tournait à 13,7 points, 8,9 rebonds et 2,8 passes décisives de moyenne.\n\nÀ noter que le camp d’entraînement du Chicago Sky va débuter le dimanche 17 avril. James Wade, le coach américain naturalisé français de cette franchise de l’Illinois, aura jusqu’au 5 mai pour finaliser son effectif en ne retenant que 12 joueuses sur les 21 présentes à l’heure actuelle.\n\n\nContinuing to build towards training camp.\n\nWelcome to #Skytown, Emmanuelle!\n\n📰 https://t.co/oAJCAUsWYJ pic.twitter.com/9Rza7bh5Em\n\n— Chicago Sky (@chicagosky) April 14, 2022\n\n\nPhoto : Emmanuelle Tahane (FIBA)
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Grèce : Le Panathinaikos assuré de bénéficier de sa salle olympique pendant 49 ans
Suite à un accord entre le ministère des Sports, le Panathinaikos va pouvoir bénéficier de la salle OAKA pour les 49 prochaines années.\n\nL’Olympic Indoor Hall, alias OAKA, a été construit pour accueillir le tournoi de basket-ball des Jeux Olympiques d’Athènes en 2004 et peut accueillir jusqu’à 19 250 spectateurs. C’est une décision très importante pour le trèfle, qui restera ainsi dans sa « maison » et a déclaré dans un communiqué que c’est l’un des jours les plus importants de l’histoire du club.\n\n« La concession d’OAKA au Panathinaikos a été notre principale préoccupation, car le stade est le fondement principal du développement, de la durabilité et du fonctionnement d’une association. La « Mecque » du basket européen est désormais « verte ».«\n\nLa salle restera cependant à la disposition de la Fédération pour les matches et entraînements des équipes nationales et pour l’accueil de manifestations internationales.\n\nPar ailleurs, suite au dernier derby contre Olympiakos dans le championnat grec, le Pana a écopé d’une amende pouvant aller jusqu’à 3 400 € pour des slogans injurieux, des jets de liquides sur le banc adverse, et aussi des incidents à l’intérieur du stade. Juste de la routine.
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Euroleague : Thomas Walkup (Olympiakos) se dit «prêt à affronter» Mike James et Monaco
À l’approche du quart de finale entre l’Olympiakos et Monaco, Thomas Walkup a été brièvement interrogé à propos d’une mission qui s’annonce essentielle pour le club grec : défendre sur Mike James.\n\nInterrogé par Eurohoops, à quelques jours du début des playoffs d’Euroleague et donc, de ce quart de finale opposant l’Olympiakos à Monaco, Thomas Walkup n’a pas caché son ambition : mettre un frein aux ardeurs offensives d’un certain Mike James et mettre tout en oeuvre pour rejoindre le Final Four de la compétition. Pour cela, il va falloir faire tomber l’AS Monaco avec un avantage, celui du terrain, obtenu grâce à une deuxième place acquise au terme de la saison régulière.\n\n« Oui. Je suis prêt. Bien sûr, c’est un grand joueur. Ce sera une tâche difficile mais je suis prêt à l’affronter. Nous allons entrer dans une phase d’étude, regarder des vidéos et nous assurer que nous sommes prêts pour lui. La chance est de jouer dans le Final Four. Cela n’arrive pas souvent dans votre carrière. Quand une opportunité comme celle-ci se présente, vous devez en profiter. Et c’est ce que nous allons faire. »Thomas Walkup, Olympiakos\n\nÀ noter que Mike James, cette saison, en Euroleague, c’est une moyenne de 16,2 points, 5,8 passes et 3 rebonds par match. Mais c’est aussi et surtout une performance à 25 points lors de la victoire de Monaco contre l’Olympiakos en mars dernier.\n\nPhoto : Thomas Walkup vs Mike James (Euroleague)
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Les 6 infos de la semaine : Strasbourg quitte la scène européenne, Evan Fournier confirme sa présence à l’Euro
Vous n’avez pas suivi quotidiennement l’actualité du basket français et international cette semaine ? Pas de panique, la rédaction de Basket Europe vous résume l’essentiel de ce qu’il ne fallait pas louper du 10 au 15 avril.\n\n\nEuroleague : cap sur les playoffs !\n\nDeux affiches étaient déjà connues : Barcelone – Bayern Munich et Olympiakos – Monaco. La victoire du Maccabi en baisser de rideau de la saison régulière d’Euroleague a ainsi gelé les deux dernières confrontations des playoffs de l’exercice : Olimpia Milan – Anadolu Efes et Real Madrid – Maccabi Tel Aviv. Premier représentant français dans le top 8 depuis... 2001, l’ASM lancera sa campagne de playoffs à Athènes dès mercredi (20h), avant le match 2 prévu vendredi (18h), deux matches à suivre via le dispositif de L’Equipe. A noter que le Real Madrid – et ses quatre mousquetaires devenus trois avec la mise à l’écart de Thomas Heurtel – est en pleine crise après cinq défaites de rang, et que l’ASVEL a touché plus de primes que Monaco cette saison en Euroleague malgré son avant-dernière place.\n\n\nBCL : Strasbourg éliminé par l’Hapoël Holon\n\nSi la Roca Team est en quarts d’Euroleague et les Metropolitans 92 en huitièmes de finale d’Eurocup (mercredi contre Venise), il n’y a plus de clubs français en BCL. Défait en deux manches par l’Hapoël Holon, Strasbourg a quitté la compétition au stade des quarts de finale, un an après avoir atteint le Final Four. Prêté par Andorre, Amine Noua terminera la saison avec le club alsacien, du moins en Betclic Elite. En revanche, le meneur international Sylvain Francisco est qualifié pour le Final Four de BCL grâce à sa victoire avec Manresa sur l’Unicaja Malaga d’Axel Bouteille.\n\n\nEuroBasket 2022 : Evan Fournier sera là, Gobert dans le flou, Maledon potentiellement disponible\n\nL’équipe de France s’affine pour l’Euro. Après les forfaits de Nando De Colo et Nicolas Batum, Evan Fournier a lui officialisé sa présence à l’EuroBasket, qui se déroulera en septembre prochain. Même chose pour Théo Maledon, qui se dit disponible pour les Bleus cet été, après sa fin de saison avec le Thunder. Rudy Gobert prendra quant à lui le temps de la réflexion après les playoffs NBA où il affronte, avec le Jazz d’Utah, Dallas au premier tour. A noter que le Monténégro devrait prendre la place de la Russie dans cette compétition. En parlant d’annonces, plusieurs tribunes ont été signées par les sportifs pour appeler à ne pas voter pour l’extrême-droite au deuxième tour des élections présidentielles. Parmi les basketteurs signataires, on retrouve Céline Dumerc, Boris Diaw, Tony Parker mais aussi les dirigeants Jean-Pierre Siutat et Marie-Sophie Obama.\n\n\nFéminines : Gabby Williams sur le toit de l’Europe avec Sopron, changement de règlement en vue en LFB !\n\nSi Bourges est toujours sur son nuage après le titre d’Eurocup – une épopée à revivre en Inside -, ce sont les Hongroises de Sopron qui ont été sacrées dimanche dernier, pour la première fois, championnes d’Europe grâce à leur victoire en finale de l’Euroleague sur Fenerbahçe. L’internationale tricolore Gabby Williams a même été élue MVP de la finale. En Ligue Féminine, l’assemblée générale annuelle a donné lieu a une modification majeure : l’attribution des places en coupes d’Europe déterminée par le nombre d’internationales françaises pour la saison 2023-2024, dans le but que le maximum de Françaises participent à l’Euroleague durant l’exercice précédant les JO de Paris 2024. Les playoffs de LFB seront eux diffusés sur Sport en France.\n\n\nBetclic Elite : Thomas Andrieux choisi pour la mission maintien du Champagne Basket\n\nLanterne rouge de Betclic Elite, le Champagne Basket – qui a accueilli la légende NBA John Stockton, père de Michael, mardi soir contre Nanterre – a remplacé Cédric Heitz par Thomas Andrieux à la tête de son équipe professionnelle. Il reste désormais six matches à l’équipe de la Marne (7-21) pour se sauver et viser la 16e place actuellement détenue par Le Portel (9-19). A noter que Cholet, dans la zone rouge à la mi-saison, est revenu à une victoire des playoffs... et en rêve !\n\n\nDossier Pro B 2021-2022 : découvrez en exclusivité le salaire de tous les joueurs de LNB\n\nDepuis plusieurs saisons, la rédaction de Basket Europe publie son désormais traditionnel dossier sur les salaires de LNB. Après les salaires de Betclic Élite, publiés au mois de janvier et février dernier, nous avons dévoilé cette semaine les salaires des joueurs et coachs des équipes de Pro B de la saison 2021-2022 (méthodologie et liste à retrouver ici). Pour profiter de ces contenus premium, et bien d’autres, abonnez-vous !\n\n\nMais aussi...\n\n * Abonnés : Les Français de l’étranger / Les Français des Etats-Unis\n * NBA : Tony Parker dans le 5 majeur européen de l’histoire !\n * NM1 : Malgré la montée en Pro B l’entraîneur d’Angers Sylvain Delorme sur le départ / 5 100 spectateurs pour l’inauguration de l’Arena Futuroscope à Poitiers\n * Vidéo : L’hommage au « Prési » de l’Elan Béarnais Pierre Seillant\n * Le grand ménage de printemps du Panathinaïkos\n * Jure Zdovc remplacé par Kazys Maksvytis à la tête du Zalgiris Kaunas\n * L’ancien Limougeaud Bruno Caboclo élu MVP de la finale de la BCL Americas\n * Vidéo : Valériane Ayayi-Vukosavljevic, maman de retour à l’entraînement\n * Vidéo : Quand un arbitre fait sa demande en mariage à une joueuse en plein match !\n\nAu quotidien, la rédaction de Basket Europe vous propose de nombreux contenus pour vous faire vivre au plus près les événements du basket français et européen, en accès libre ou premium pour nos abonnés. Pour faire partie de ce cercle de privilégiés, abonnez-vous !\n\nPhoto : Evan Fournier (FIBA)
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Fin de saison pour Alix Duchet, victime d’une grave entorse du genou...
Sortie sur blessure lors de la finale d’Eurocup féminine remportée par Bourges, Alix Duchet ne rejouera pas cette saison.\n\nBien que couronnée championne de l’Eurocup féminine avec Bourges il y a une semaine de cela, Alix Duchet n’a pas pu prendre part à l’intégralité de la finale, elle qui est sortie sur blessure, touchée à un genou. Après avoir passé toute une batterie d’examens, le diagnostic est tombé. L’internationale tricolore souffre d’une « grave entorse du genou, avec lésions ligamentaires et méniscales », comme l’a annoncé Bourges via son site internet. De quoi éloigner la meneuse des parquets pendant plusieurs mois.\n\nBourges et l’équipe de France féminine devront donc faire sans elle jusqu’à son retour sur les parquets. Un énième coup de massue pour Alix Duchet qui a déjà été victime de deux ruptures des ligaments croisés du genou et qui a déjà dû faire l’impasse sur de nombreux matchs dans sa jeune carrière. La réaction de la meneuse de 24 ans :\n\n« Je suis forcément très triste aujourd’hui. Cette blessure est injuste car j’ai fait tout mon possible pour revenir au plus haut niveau après plusieurs mois d’absence. Maintenant, je vais prendre le temps d’accepter cette blessure, et je reviendrai plus forte. »Alix Duchet, joueuse de Bourges\n\nPhoto : Alix Duchet (Eurocup féminine)
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Euroleague : selon Joffrey Lauvergne, l’Olympiakos va éliminer Monaco
Les playoffs d’Euroleague vont débuter. Les pronostics vont bon train. Et Joffrey Lauvergne de s’y prêter pour BasketNews, lui qui voit Monaco se faire sortir dès les quarts de finale.\n\nJoffrey Lauvergne s’est prêté au jeu des pronostics en vue des playoffs d’Euroleague. Interrogé par BasketNews, l’intérieur français du Zalgiris Kaunas a livré ses impressions quant aux quarts de finale, livrant notamment un mauvais présage pour l’AS Monaco, mais pas que...\n\nPour les quarts de finale\n\nVictoire de Barcelone face au Bayern Munich (3 à 1) : « Munich a encore fait une grande saison, mais je crois que le FC Barcelone est beaucoup plus fort. »\n\nVictoire du Maccabi Tel-Aviv face au Real Madrid (3 à 2) : « Le Real joue, comme tout le monde le sait, un peu moins bien qu’à son habitude. Le Maccabi a été bon récemment. Wow, cette série est difficile. Vous savez quoi ? Je vais faire passer le Maccabi. Le Real n’est pas au mieux de sa forme, et j’aimerais voir le Maccabi au Final Four à nouveau. »\n\nVictoire de l’Anadolu Efes face à Milan (3 à 2) : « Vous y croyez ? Cette série des playoffs est folle. L’Anadolu ne joue pas non plus de son mieux, mais je vais quand même le qualifier. S’ils font tout bien, ils sont tout simplement trop forts. C’est la même équipe que l’année dernière, cette année ils luttent un peu plus. Mais je crois encore en eux. S’ils veulent allumer le moteur, ils le feront. C’est toujours la meilleure équipe d’Europe. »\n\nVictoire de l’Olympiakos face à Monaco (3 à 2) : « Monaco joue très bien. Mais je pense que l’équipe de l’Olympiakos a plus d’expérience, elle a aussi l’avantage de jouer devant son public. Je crois que ça ira jusqu’au bout, mais je vois Olympiakos. »\n\nPour les demi-finales\n\nVictoires de Barcelone face au Maccabi Tel-Aviv et de l’Anadolu Efes face à l’Olympiakos : « C’est fou d’avoir une saison aussi longue et de ne jouer qu’un seul match. Les équipes se préparent pour les matchs et ainsi de suite, mais il peut se passer tellement de choses en un seul match. Je vais faire comme si nous jouions les demi-finales en deux matchs. Je dirais que Barcelone battra le Maccabi et que l’AnadoluEfes battra l’Olympiakos. »\n\nPour la finale\n\nVictoire finale de Barcelone face à l’Anadolu Efes : « Je mettrai le Maccabi comme vainqueur de la 3ème place. Pour la grande finale, mettons Barcelone. Pour la même raison – ils ont eu une grande saison, ils sont bien préparés pour prendre leur revanche de l’année dernière. La finale est une fois de plus Barcelone contre Efes, et Barcelone gagne cette fois. »\n\nPhoto : Joffrey Lauvergne (Euroleague)
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Italie : Épinglé pour son comportement jugé inacceptable, l’entraîneur de Varèse prend la porte
Johan Roijakkers a été licencié de son poste d’entraîneur de Varèse en raison de ses méthodes jugées « trop brutales ».\n\nMême s’il affichait un bilan excellent de 8 victoires en 13 matchs depuis son arrivée à la tête de l’équipe italienne de Varèse, en janvier 2022, Johan Roijakkers a été licencié « en raison d’une conduite non conforme aux principes du club ». Plusieurs journaux italiens ont enquêté sur cette décision et ont finalement fait état de problèmes comportementaux.\n\nÀ savoir que, selon les informations rapportées par Sportando, il y aurait eu une dispute entre l’entraîneur néerlandais de 41 ans, souvent pointé du doigt pour les mots durs qu’il utilise, et certains des joueurs de son équipe pendant un match, de quoi entacher encore davantage la relation entre les différentes parties. Un comportement « inacceptable » et des méthodes « trop brutales » selon Luis Scola, PDG du club de Varèse.\n\nPhoto : Johan Roijakkers (FIBA)
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L’Euroleague à la recherche de raisons juridiques pour évincer le CSKA Moscou ?
Selon des informations rapportées par Eurohoops, le divorce entre l’Euroleague et le CSKA Moscou est de plus en plus proche d’être consommé.\n\nExclu de l’Euroleague depuis l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe, le CSKA Moscou s’est depuis concentré sur la VTB League, le championnat local. Mais en coulisses, le cas du club russe – comme de tous les clubs russes d’ailleurs – est au centre des préoccupations. Faut-il les exclure définitivement ? Selon Jordi Bertomeu, « il sera très difficile pour les clubs russes de revenir si la situation reste telle qu’elle est maintenant... »\n\nSelon les informations d’Artem Komarov, rapportées par Eurohoops, l’Euroleague chercherait désormais des raisons juridiques pour retirer la licence du CSKA Moscou si nécessaire, mais le dossier s’annonce extrêmement complexe.\n\n« L’Euroleague évalue les chances de priver le CSKA Moscou de sa licence, selon deux sources au fait du dossier. La décision n’est pas encore prise, mais l’Euroleagiue a demandé à un cabinet d’avocats de trouver toutes les raisons légales de le faire au cas où cela serait nécessaire. Ce n’était pas une histoire facile, car le propriétaire du CSKA Moscou – Norilsk Nickel – n’est pas sous le coup de sanctions, donc l’Euroleague ne peut pas faire grand-chose pour l’instant. Mais ils se plongent dans ce qu’ils peuvent faire si la situation ne s’améliore pas.\n\nL’une des façons de se débarrasser d’un club titulaire d’une licence A est de payer pour cela. Le problème ici, comme me l’a dit une autre source, est qu’il n’y a pas de somme fixe pour l’Euroleague s’ils veulent laisser l’équipe derrière eux. Par exemple, si un club veut quitter l’Euroleague, il doit payer au moins 10 millions d’euros, voire plus si cela se produit en cours de saison. Mais si c’est l’Euroleague qui veut se séparer, il n’y a pas de montant fixe. »Artem Komarov, via Eurohoops\n\n\nEuroleague is evaluating the chances to deprive CSKA of their licence, per two sources familiar with the matter. It’s not decided already, but EL asked a law firm to find all the legal reasons to do so in case it will be needed.\n\n— Artem Komarov (@art_basket) April 15, 2022\n\n\nPhoto : CSKA Moscou
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Baskonia s’offre les services d’un des meilleurs marqueurs et rebondeurs du championnat australien
Le pivot néo-zélandais Yanni Wetzell s’est engagé avec Baskonia, en provenance du club des New Zealand Breakers.\n\nYanni Wetzell. Ce pivot néo-zélandais de 25 ans et 2,08 m a signé en faveur du club espagnol de Baskonia, lui qui évoluait sous les couleurs des New Zealand Breakers, équipe engagée au sein du championnat australien (où évoluent notamment Hugo Besson et Ousmane Dieng, deux prospects français). Il était tout simplement le meilleur marqueur de son équipe, avec 17,7 points de moyenne à 60% de réussite aux tirs, auxquels viennent s’ajouter pas moins de 8,2 rebonds. De quoi faire de Yanni Wetzell l’un des leaders statistiques du championnat, lui qui figure à la sixième place des meilleurs marqueurs et des meilleurs rebondeurs.\n\nLe club des New Zealand Breakers a officialisé le fait qu’ils aient accepté de libérer Yanni Wetzell de son contrat dans un communiqué, confirmant également que ce dernier allait rejoindre Baskonia. Un contrat courant jusqu’à la fin de la saison mais qui comprend aussi, selon BasketNews, une option pour la saison prochaine. Ce à quoi le principal concerné a réagi.\n\n« L’opportunité de jouer en Euroleague est l’un de mes objectifs depuis toujours, elle est juste arrivée plus tôt que prévu. Je tiens à remercier les Breakers pour leur incroyable soutien et ce que j’ai appris au cours de ma saison avec le club. Cette opportunité ne se serait pas présentée sans l’énergie inébranlable que l’équipe d’entraîneurs des Breakers a mise dans mon jeu. Je suis un Breaker pour la vie ! »Yanni Wetzell\n\n\nYanni Wetzell is joining Euro League & Liga ACB side Saski Baskonia ahead of the Spanish side's end of season push for post-season success.\n\nSam Timmins has been elesurevated into his position in the roster, read more about Yanni's move on our websitehttps://t.co/icEi6shK0y pic.twitter.com/g1qejqdS99\n\n— Sky Sport New Zealand Breakers (@NZBreakers) April 15, 2022\n\n\nPhoto : Yanni Wetzell (New Zealand Breakers)
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Vidéo rétro : Les 20 ans du titre de champion d’Europe de Limoges dans une émission spéciale de 2013
En ce 15 avril 2022, nous fêtons bien évidemment les 29 ans du titre de champion d’Europe de Limoges. Pour l’occasion, la chaîne CSP Replay a publié la vidéo d’une émission spéciale diffusée en 2013, pour les 20 ans de ce sacre, avec entre autres George Eddy, Fred Forte et un Beaublanc en fusion.\n\n« Il fait chaud comme un barbecue » disait George Eddy à l’occasion d’une émission spéciale, dédiée aux célébrations des 20 ans du titre de champion d’Europe du Limoges CSP, à Beaublanc, avant le match face à Paris Levallois, le 15 avril 2013. À l’époque, cet épisode de « Lundi Basket » était diffusé sur la chaîne Sport+ avec George Eddy donc, Ludovic Deroin à la présentation, David Cozette aux commentaires, Frédéric Forte et Richard Dacoury comme invités. Du beau monde pour une émission ô combien spéciale, avec des reportages à foison sur le sacre du club limougeaud.\n\nUne vidéo retrouvée et publiée par CSP Replay.\n\nPhoto : Lundi Basket (Sport+)
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Yann Rivoal, président de l’ESSM Le Portel : «Le compte à rebours est lancé...»
Alors qu’il ne reste que six matchs de Betclic Elite à disputer pour Le Portel, la lutte pour le maintien s’annonce acharnée. Yann Rivoal, président du club, s’est exprimé par le biais d’un communiqué officiel, appelant au soutien de celles et ceux qui souhaitent voir les Stellistes dans l’élite du basket français la saison prochaine.\n\nLe communiqué en question, rédigé par Yann Rivoal et publié sur le site officiel de l’ESSM Le Portel :\n\nChers Supporters et Partenaires, chers Amis,\n\nLa saison régulière touche à sa fin, le compte à rebours est lancé : il reste 6 matchs à disputer et il faudra en gagner quelques uns afin de conserver notre place dans l’élite du basket Français dans laquelle notre ESSM est installée depuis 6 ans.\n\nAlors que nous allions jouer en décembre notre match à Paris pour le compte de la 11ème journée de la Betclic Elite, peu de monde, même parmi nos plus fidèles soutiens, pensait que nous pouvions revenir dans la course au maintien et pour cause, seulement 2 victoires à notre actif... Covid oblige ce match a été dirigé de notre coté par le tandem Eric Girard-Arnaud Ricoux, en place depuis cette 3ème victoire et depuis l’équipe en a ajouté 6 autres soit un total de 9 avant d’aborder le sprint final.\n\nJe tiens à remercier la détermination d’Eric qui a accepté la mission que je lui ai confiée et aussi l’intelligence de nos joueurs de prendre les matchs les uns après les autres avec l’aide exceptionnelle de notre staff technique (sportif et physique) et médical et c’est par l’addition des efforts de tous que ce redressement a été possible ; notre club a retrouvé son identité et se mêle désormais à la lutte pour le maintien.\n\nComme vous tous, je suis de très près l’actualité du basket et nous rentrons dans une période excitante et indécise qui livrera son verdict le mardi 17 mai à l’issue de la réception de Fos Provence au Chaudron. Je comprends votre possible inquiétude et particulièrement celle de l’un de nos meilleurs supporters, le Maire de notre commune du Portel et avec lequel nous ne tarderons pas à établir un communiqué commun.\n\nJe ne peux pas imaginer que notre club puisse être traité différemment des autres et je reste persuadé que le basket possède en son sein ces vertus nécessaires qui sont le respect et l’équité : notre public n’a-t-il pas réservé une standing ovation au club de Monaco, par un soir de défaite, lors de sa sortie du parquet du Chaudron ? Notre public a l’intelligence et la capacité de reconnaitre la supériorité d’un adversaire car on ne cache pas notre plaisir de recevoir l’élite du basket Français dans notre Chaudron Portelois et bien au delà. Cependant il ne serait pas juste de ne pas dire que la frustration a parfois existé et notre force principale repose sur une espérance de justice pour faire vivre notre plaisir et notre fierté et je souhaite au plus profond de moi qu’il en soit ainsi pour ces 6 prochaines journées.\n\nDans l’attente de vous revoir très nombreux lors de nos 3 dernières rencontres à domicile, car nous avons besoin d’un ÉNORME soutien et cela vous savez faire !\n\nVive l’ESSM puisque vous le valez bien.\n\nYann Rivoal\n\nPhoto : Yann Rivoal (ESSM Le Portel)
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Vidéo : Quand un arbitre fait sa demande en mariage à une joueuse en plein match !
La ligue monténégrine de basket féminin a eu le droit à une bien jolie séquence cette semaine, quand un arbitre a demandé à l’une des joueuses de l’épouser.\n\nElle a dit oui ! Alors qu’elle s’apprêtait à tirer un lancer franc, Violeta Lazarević, joueuse de la ligue monténégrine, a été interrompue par l’arbitre Stefan Vuković. Ce dernier s’est mis à genoux pour lui faire sa demande en mariage. Surprise, elle lui a finalement dit oui. Un instant d’émotion qui s’est achevé par un grand moment de joie entre toutes les joueuses et les arbitres de cette rencontre.\n\nAprès quoi la principale concernée a déclaré : « Je n’en avais vraiment aucune idée. Stefan m’a même caché qu’il arbitrait ce match, il ne m’a rien dit. J’étais en colère contre lui pour ça ! Mais finalement, je ne peux même pas décrire ce que je ressens. Tout était soudain, complètement inattendu ! En tout cas, je n’ai pas besoin de souligner à quel point je suis heureuse. »\n\n\npic.twitter.com/ng9WdOHs7c\n\n— Out of Context Women's Basketball (@WBBOutOfContext) April 13, 2022\n
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Jean-Pierre Siutat et Marie-Sophie Obama parmi les 220 signataires d’une nouvelle tribune appelant à «faire barrage à l’extrême droite»
Plus de 200 acteurs du sport se mobilisent, dans une nouvelle tribune publiée cette fois sur le site L’Équipe, avec pour but d’appeler à voter Emmanuel Macron au second tour de la présidentielle pour faire barrage à l’extrême droite.\n\nLa présidentielle bat son plein. Alors que les deux candidats qui se sont qualifiés pour le second tour sont désormais connus, nombreux sont ceux qui s’élèvent contre l’un et l’autre. Dans le monde du sport, envisager que l’extrême droite arrive au pouvoir semble impossible. Du moins, c’est ce qu’ont laissé entendre plusieurs centaines d’acteurs de ce monde, dont une cinquantaine dans une première tribune publiée par Franceinfo et Le Parisien-Aujourd’hui en France. Ce vendredi, dans une nouvelle tribune publiée cette fois dans L’Équipe, ce sont pas moins de 220 personnes qui appellent à « faire barrage à la candidate du Rassemblement National (à savoir Marine Le Pen) en votant pour Emmanuel Macron au deuxième tour de l’élection présidentielle ». Parmi eux, Jean-Pierre Siutat (Président de la Fédération Française de Basket) et Marie-Sophie Obama (Présidente déléguée de LDLC ASVEL Féminin).\n\nLa tribune :\n\n« Nous, président(e)s de fédérations, responsables et bénévoles d’associations, élu(e)s chargé(e)s des sports, dirigeant(e)s et salarié(e)s de structures sportives ou simples acteurs engagés du monde du sport, nous nous mobilisons contre l’élection de Marine Le Pen et l’arrivée de l’extrême droite à la tête du pays. Ses rares prises de position sur le sport sont révélatrices d’une vision nationaliste et stigmatisante contraire aux valeurs qui fondent notre engagement sportif. Dans le projet du Rassemblement National , les mesures pour le sport se focalisent uniquement sur les clubs « devenus de véritables officines de recrutement tant pour l’extrémisme religieux que pour la délinquance ». Les fédérations et les clubs sportifs sont prévenus, les pouvoirs publics « doivent d’urgence reprendre la main ». Pour Marine Le Pen, « le mythe « Black, Blanc, Beur » découlant de la victoire de l’équipe de France en 1998 a fait long feu. ». Acteurs engagés du monde du sport, nous sommes fiers quand le sport se met au service de la lutte contre le racisme ; quand les sportifs s’engagent pour la fraternité, pour l’égalité entre les femmes et les hommes ou qu’ils luttent contre l’homophobie et toutes les formes de violences. Nous sommes fiers quand le sport démontre qu’il est un vecteur puissant d’inclusion dans nos quartiers et nos campagnes ; quand il sert d’ascenseur social à des jeunes issus de la diversité. Nous sommes fiers quand le sport est le porte-drapeau des valeurs républicaines. Notre pays s’apprête à recevoir les Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024. Cet événement représente une opportunité historique pour donner enfin au sport la place qu’il mérite : faire du sport un pilier pour la jeunesse, de la petite enfance à l’université ; le rendre réellement accessible à tous, partout sur le territoire, à tous les âges de vie et quelles que soient les chances laissées par l’existence ; l’utiliser plus encore dans les politiques de santé ; porter un projet européen pour préserver notre modèle sportif, nos clubs et nos championnats ; faire du sport un moteur puissant d’inclusion sociale et de développement économique. C’est pourquoi nous appelons, à titre personnel et au-delà de la diversité des convictions que nous avons pu exprimer au premier tour, à faire barrage à l’extrême droite en votant pour Emmanuel Macron le 24 avril prochain ».\n\nLes signataires de la tribune :\n\nJean-Philippe Acensi, Michael Aloisio, Jean-Michel Aulas, Claude Atcher, Philippe Bana, Béatrice Barbusse, Marie Barsacq, James Blateau, Thierry Braillard, Virgile Caillet, Michel Callot, Dominique Carlac’h, Betty Charlier, David Douillet, Martine Duclos, Jacques-Henri Eyraud, Loïc Fery, Valérie Fourneyron, Brigitte Henriques, Céline Jobert, Frédérique Jossinet, Nicolas Julia, Marie-Amélie Le Fur, Olivier Letang, Véronique Moreira, Stéphane Nomis, Marie-Sophie Obama, Philippe Oddou, Ludovic Roye, Didier Seminet, Jean-Pierre Siutat, Eric Tanguy, Robins Ttchale-Watchou, Magali Tezenas du Montcel, Anne Tournier-Lasserve, Patrick Vajda, Jean Zoungrana, Claire Allard, Frédéric Alliot, Nadir Allouache, Bernard Amsallem, Colette Andrusyszyn, Thibault Aoustin, Antoine Aubour, Christian Babonneau, Yanis Bacha, Véronique Barre, Pierre Barthelem, Aïmane Bassiouni, Marc Batard, Vincent Batigne, Patrick Bayeux, Jean-Marie Bellicini, Sébastien Bequart, Julien Berenger, Charles-Henri Bernardi, Kévin Bernardi, Sylvain Berthenod, Alain Bertholom, Didier Besseyre, Maël Besson, Gladys Bezier, Leslie Bigini, Philippe Biro, Antony Bloch, David Blough, Yves Boissière, Richard Bouigue, Frédéric Bouix, Emeline Bourre, Jérémy Botton, Patrick Braouezec, Alexandre Bregon, Jean-Christophe Breillat, Jacques Bungert, Axel Carree, Alain Carrière, Brice Chambard, Laurent Chambertin, Mathieu Charpentier, Vincent Chaudel, Margot Chave, Yacine Chikhi, Laurent Choukroun, Vincent Chupin, Laurent Ciubini, Isabelle Collette, Bernard Comment, Arnaud Courtier, Clément Darras, Armand de Rendinger, Audrey Delacroix, Frédéric Delannoy, Jean-Luc Denechaud, Séverine Desbouys, Brigitte Deydier, Rémi Dhalluin, Frédéric De Meglio, Louis Dieu, Edouard Donnelly, Jacques Donzel, Philippe Doucet, Lilia Douihech, Patrick Doussot, Fabrice Dubuisson, Gilles Dufeigneux, Françoise Dussere, Julie Eissen, Daniel Emelin, Claude Fauquet, Charlotte Feraille, Charles Ferreira, Michel Filliau, Arnaud Flanquart, Laurence Frère, Jean-François Froustey, Arnaud Gandais, Bruno Gares, Pascal Gentil, Charlotte Gigard Fabre, Jean-Marc Gillet, André Giraud, Carole Gomez, Cédric Gosse, Jean Gracia, Alexis Gramblat, Pascal Grizot, Philippe Grunenbaum, Jean-Baptiste Guegan, Patrick Guillou, David Guillouf, Fabrice Halipre, Stéphane Hatot, Nathalie Henaff, Benoît Henry, Karim Herida, William Heude, Cyril Jacobsen, Emmanuelle Jaeger, Régis Juanico, Skander Karaa, Jean-Pierre Karaquillo, Hakim Khellaf, Roland Krzentowski, Lionel Lacaze, Romain Lachens, Bruno Lalande, Philippe Lamblin, Clotilde Larrose, David Lazarus, Sylvie Le Maux, André Leclecq, Jean Leclercq, Kévin Legrand, Yoann Lemaire, Anne-Marie Lemoine, Rémi Leonetti, Christophe Lepetit, Arnaud Leroux, Gatien Letartre, Aurélie Lienhart, Philippe Lot, Jean-Jacques Lozach, Aymeric Magne, Laure Martin, Jérôme Martin, Tony Martin, Laurent Martini, Alain Martres, Florence Masnada, Denis Masseglia, Cédric Messina, Thierry Messina, Gaëlle Millon, Olivier Monnat, Gilles Moretton, Jean-Jacques Mulot, Grégory Murac, Michèle My, Michel Naniche, Guillaume Naslin, Dominique Nato, Jean-Michel Oprendek, Xavier Parenteau, Valérie Pasquier, Johann Pellicot, Frédéric Pereira, Bertrand Perrin, Jean-Claude Perrin, Clément Picard, Julien Pierre, Marie-Françoise Potereau, Pierre Rabadan, Claire Rabes, Patrick Ranvier, Thomas Remoleur, Philippe Renaud, Stéphane Renaud, Antoine Richard, Souad Rochdi, Florence Rodes, Vincent Roger, Mickael Romezy, Sébastien Rouault, Jean-Emile Rouaux, Yann Roubert, Bénédicte Rouby, Paul-Emile Saab, Hassane Sadok, Lahcen Salhi, Charles Salmon, Maxime Sauvage, Gilles Sezionale, Arnaud Simon, Serge Simon, Romain Sombret, Bruno Storai, Bouabdellah Tahri, Alain Talarmin, Thierry Teboul, Cédric Terret, Alain Toledano, Alain Valentin, Jean-François Vilotte, Jean Vintzel, Patrick Wolff, Claude-Hélène Yvard-Guermonprez, Soria Zidelkhile, Nathalie Zimmerman.\n\nPhoto : Jean-Pierre Siutat (FBBB)
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Thomas Andrieux nouveau coach du Champagne Basket pour les deux prochaines saisons
Lanterne rouge de Betclic Elite, le Champagne Basket a remplacé Cédric Heitz par Thomas Andrieux à la tête de son équipe professionnelle.\n\nQuatre jours après avoir remercié son coach Cédric Heitz, en place depuis 2017, Châlons-Reims a misé sur Thomas Andrieux pour sa mission maintien. Car, pour rappel, le Champagne Basket est des plus mal engagés dans cette course : il n’a pas gagné depuis le 4 février, reste sur 9 revers consécutifs et compte actuellement 7 victoires pour 21 défaites, soit deux succès de moins que le premier non-relégable, Le Portel (8-19).\n\nThomas Andrieux, ancien joueur formé à l’ASVEL, est passé par Roanne, Saint-Étienne, Boulazac et surtout... Châlons-en-Champagne, de 2003 à 2005 puis Reims de 2005 à 2007. Mais depuis, l’entraîneur de 45 ans a passé 13 ans au sein du club périgourdin de Boulazac, dont 3 à la tête de l’équipe première. Club qu’il a quitté en 2021.\n\n\n🚨🖋 Thomas ANDRIEUX est le nouveau coach du CHAMPAGNE BASKET dès maintenant et pour les deux prochaines saisons ➡️ https://t.co/xsPBhnOvel pic.twitter.com/H6irnNYf53\n\n— Champagne Basket 🧙‍♂️ (@ChampBasketOff) April 15, 2022\n\n\nPhoto : Thomas Andrieux
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Euroleague : Antoine Diot et Joffrey Lauvergne parmi les joueurs qui n’ont pas joué un match de playoffs en six saisons minimum
Tout comme sept autres joueurs, Antoine Diot et Joffrey Lauvergne n’ont jamais joué un seul match de playoffs d’Euroleague en six saisons ou plus dans cette compétition...\n\nAlors que Lyon-Villeurbanne et le Zalgiris Kaunas ne sont pas parvenus à se qualifier pour les playoffs d’Euroleague cette saison, il y a deux joueurs français qui, malgré un nombre suffisamment élevé de saisons jouées au plus haut niveau européen, n’ont jamais disputé une seule minute de ces phases finales. En l’occurence, il s’agit d’Antoine Diot et de Joffrey Lauvergne, qui ont tous les deux ont pris part à des matchs d’Euroleague sur six saisons différentes (avec Le Mans, Strasbourg et l’ASVEL pour le premier, avec l’Elan Chalon, le Partizan Belgrade, le Fenerbahce et le Zalgiris Kaunas pour le second). À noter que Joffrey Lauvergne aurait pu briser ce triste bilan lorsqu’il évoluait sous le maillot du Fenerbahce mais qu’il était blessé au moment des playoffs...\n\nMais les deux français ne sont pas les seuls à afficher cette statistique, relevée par Darius Garuolis. En effet, ils sont neuf joueurs à n’avoir jamais joué un match de playoffs d’Euroleague au cours de leurs six saisons ou plus dans cette même compétition : Antoine Diot et Joffrey Lauvergne donc, mais aussi Maodo Lo, Nemanja Nedovic, Mantas Kalnietis, Marcus Eriksson, Mindaugas Kuzminskas, Yovel Zoosman et Zoran Dragic.\n\n\nPlayers who never played a #EuroLeague playoffs game in their 6 or more seasons:\n\n🇫🇷 Antoine Diot\n🇩🇪 Maodo Lo\n🇷🇸 Nemanja Nedovic\n🇱🇹 Mantas Kalnietis\n🇸🇪 Marcus Eriksson\n🇱🇹 Mindaugas Kuzminskas\n🇮🇱 Yovel Zoosman\n🇸🇮 Zoran Dragic\n🇫🇷 Joffrey Lauvergne\n\n— Darius Garuolis (@DariusGaruolis) April 14, 2022\n\n\nPhotos : Antoine Diot (Infinity Nine Media) et Joffrey Lauvergne (Twitter)
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Vidéo : L’inside de la finale d’Eurocup féminine remportée par Bourges
Le 7 avril dernier, le Tango Bourges remportait le sixième titre européen de son histoire, au terme d’une finale tout simplement historique (74 à 38). Une semaine après son sacre face à une impuissante équipe de Venise, Bourges a publié une vidéo : l’Atermovie. Replongez-vous dans ce match à l’issue sublime. Et savourez.\n\nPhoto : Bourges (Eurocup féminine)
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Il y a 30 ans, le Partizan Belgrade était champion d’Europe – Le fabuleux buzzer beater de Sasa Djordjevic
16 avril 1992. Les gamins du Partizan Belgrade du coach Zeljko Obradovic étaient sacrés champions d’Europe par la grâce d’un buzzer beater d’anthologie de Sasa Djordjevic.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »] Radojica Nikcevic a été assassiné au matin du 7 octobre 1993 alors qu’il sortait de sa Mercedes. Un témoin a vu deux hommes vêtus d’une salopette le guetter et l’un d’eux a tiré à bout portant dans la nuque de l’homme d’affaires millionnaire. Radojica Nikcevic était le fondateur de la première station de radio privée de Belgrade, directeur d’une coopérative d’habitation, proche du régime du président serbe de l’époque, Slobodan Milosevic, et président du Partizan Belgrade. Le lendemain, les condoléances du trop célèbre narcotrafiquant Pablo Escobar ont été publiées dans les journaux du pays, preuve ultime de l’aspect sulfureux de Nikcevic. Les assassins n’ont jamais été retrouvés.\n\n20 ans plus tard, dans un film sur l’épopée du Partizan, l’illustre coach Zeljko Obradovic a déclaré que le triomphe en Euroleague en 1992 ne se serait pas produit sans Radojica Nikcevic. « C’est lui qui m’a convaincu que je pouvais diriger l’équipe. »\n\nDragan Kicanovic choisit Zeljko Obradovic\n\nOn peut rembobiner le film jusqu’en 1989. Cette année-là, Cantu coaché par Carlo Recalcati, fait figure de favori pour décrocher la Coupe Korac (C3) avec Antonello Riva, 26 ans, surnommé Superman en raison de ses larges épaules. Riva va marquer un total de 55 points sur les deux matches de la finale, mais ni sa performance, ni les 13 points d’avance pris par l’équipe italienne à l’aller, ne vont empêcher le Partizan de remporter le trophée grâce à un succès de 19 points au retour.\n\nLe choc, en finale du championnat yougoslave, face au Jugoplastika Split, qui venait de remporter le premier de ses trois trophées consécutifs dans le championnat d’Europe des clubs -l’ancêtre de l’Euroleague- était attendu comme une sorte de Super Coupe d’Europe, mais il fut le théâtre d’un scandale. En colère à cause de l’arbitrage et le jet d’une pièce de monnaie sur Vlade Divac, les joueurs du Partizan quittèrent le terrain au milieu du deuxième match et Split du coach Bozidar Maljkovic fut reconnu comme le champion national.\n\nL’homme qui était à la base de la génération montante du Partizan était le directeur sportif Dragan Kicanovic, l’un des meilleurs basketteurs du monde dit amateur des années 70. Il savait à la fois critiquer ses joueurs et aussi distribuer généreusement des compliments, sans jamais faire état de son illustre passé de joueur. « Mais l’administration du Partizan ne s’est pas développée aussi vite que l’équipe », a regretté plus tard Vlade Divac. « Cela a conduit au chaos. On faisait ce que l’on voulait, et à cause de notre jeunesse, on a fait des bêtises qui ont eu un impact négatif sur le jeu. Une fois, sans prévenir, je suis parti pendant trois jours en Italie et je n’avais aucune raison de faire ça. »\n\nLe Partizan va ensuite assister à une véritable fuite des cerveaux. Le meneur de jeu Sasa Djordjevic est parti faire son service militaire, Vlade Divac et Zarko Paspalj s’en sont allés en NBA, et l’entraîneur Dusko Vujosevic à Grenade. Sans eux, l’équipe de la capitale ne termina que huitième du championnat suivant. Un an plus tard, Vujosevic revint à Belgrade, mais à l’Etoile Rouge. Ranko Zeravica fut à même de reprendre le job de coach, mais rechigna à s’occuper de ce fardeau. Dragan Kikanovic fut en quête d’un nouvel entraîneur mais sans pouvoir lui offrir des perspectives financières alléchantes ; le club était si pauvre qu’il demanda à l’agent Luciano Capicchioni de lui fournir des paires de basket. C’est alors que se produit le déclic.\n\nMeneur de jeu de la sélection yougoslave, Zeljko Obradovic avait 31 ans. Cinq ans auparavant, il avait suivi une formation d’entraîneur et il s’était occupé de Predrag Danilovic lorsqu’il avait 16 ans. Sa carrière fut interrompue lorsqu’il a dû purger une peine de deux ans de prison pour avoir causé la mort d’un piéton lors d’un accident de voiture. Il avait repris place sur le terrain au Partizan et en équipe nationale lorsque se profila l’Eurobasket à Rome. « Je n’ai pas d’entraîneur pour la saison prochaine », lui a avoua Kicanovic. « Eh bien, il s’avère que j’ai un entraîneur pour toi », a répondu Zeljko. « Et qui est-ce ? », a demandé Kicanovic. « Moi-même », a tranché Obradovic qui a relevé ce pari risqué en sacrifiant le championnat d’Europe qui vit le sacre de la Yougoslavie pourtant privée de Drazen Petrovic et sur la fin de Jure Zdovc.\n\nDjordjevic-Danilovic, un tandem qui ne se parlait pas\n\nSasa Djordjevic a été un temps tenu à l’écart de l’équipe nationale du fait du conflit entre son père et le coach Dusan Ivkovic, ainsi que son incompatibilité de jeu avec Drazen Petrovic, qui avait besoin autour de lui de forts défenseurs comme Jure Zdovc. Djordjevic a été couronné champion d’Europe à Rome, en compagnie de Predrag Danilovic.\n\nNatif de Sarajevo, Danilovic accepta l’offre de Dusko Vujosevic de rejoindre le Partizan malgré les protestations de sa mère et l’interdiction du Bosna Sarajevo. « Son président, Mirza Delibasic ne m’a pas laissé partir, mais je suis quand même parti, ce qui, selon les règles de l’époque, signifiait une interdiction d’un an », s’est souvenu Danilovic. « Puis, pour une raison quelconque, le président de la fédération l’a prolongé d’un an et je me suis envolé pour l’Amérique, où j’ai terminé mes études et amélioré mon anglais. Quand je suis revenu au Partizan, je me suis entraîné 7 à 8 heures par jour, j’ai joué sous un faux nom et, à cause du surmenage, j’ai provoqué une bagarre dans l’un des matchs. » Danilovic a marqué 10 points dans chacun des deux matches de la finale de la Coupe Korac 89, mais en raison d’une fracture de la jambe, il a raté presque toute la saison suivante et la Coupe du monde en Argentine. A son retour de l’infirmerie, et Djordjevic de l’armée, le Partizan a obtenu la meilleure ligne arrière d’Europe.\n\nEt pourtant, les deux joueurs s’ignoraient en dehors du parquet. « Ils ont cessé de parler après un conflit à l’entraînement », a écrit Aleksa Nikolic sur le site de la Radio Télévision de Serbie. « Tous deux ont montré leur fierté. Même assis avec des copines à la même table de café, ils ne se parlaient pas. Mais dans les matches, personne n’a remarqué les désaccords. » « Ils étaient de vrais amis sur le terrain », a ajouté Zeljko Obradovic . « Ils se comprenaient parfaitement, même s’ils ne communiquaient pas ensemble. Je dis souvent aux basketteurs : « Trouver un ami dans un café, c’est facile. Mais un ami qui vous aidera dans le jeu est beaucoup plus difficile ». Danilovic et Djordjevic formaient un duo phénoménal. »\n\nAvec en plus le départ de Miroslac Pecarski en Grèce, la frontline du Partizan était déficitaire. Aussi, elle s’enrichit de Slavisa Koprivica du BMI Belgrade et d’un couple de jeunes centres, Mladjan Silobad de l’Etoile Rouge et Zeljko Rebraca de Novi Sad. Tous les joueurs du Partizan étaient serbes, sauf Ivo Nakic, qui était croate. Ils avaient 21 ans et demi de moyenne d’âge. Zeljko Obradovic fit par ailleurs appel à la science du professeur Aleksandar Nikolic, le démiurge du basket yougo. « Nikolic ne s’est pas assis sur le banc et n’est pas allé à des matches en dehors de Belgrade », a témoigné Vladimir Stankovic, journaliste au magazine Kos, « mais il a participé à l’entraînement, éliminant les erreurs et les mauvaises habitudes des joueurs. Et Zeljko a regardé et appris. »\n\nEn raison de la guerre en cours en Yougoslavie, les trois équipes yougos ont été obligées de jouer l’ensemble de leurs matches à domicile en dehors de leur pays. Le maire de Fuenlabrada, une ville proche de Madrid, qui avait poussé à l’édification d’une salle, baptisée du nom de Fernando Martín en l’honneur du premier joueur espagnol en NBA, décédé dans un accident de voiture en 1989, voulait impliquer ses administrés dans le basket, et c’est pourquoi il pris la décision d’accueillir le Partizan, alors que le Cibona Zagreb était hébergé à Puerto Real et Jugoplastika Split à La Corogne. Il s’attendait à rassembler tout au plus un millier de spectateurs à chaque match, il y en eut trois à quatre fois plus. Le Partizan a même été activement soutenu lors de ses déplacements à Estudiantes Madrid, à la Joventud Badalona, aux entraînements, alors que ses joueurs se sont vu offrir des gâteaux aux anniversaires.\n\nJouer ses matches de coupe d’Europe à l’étranger n’était pas pour autant une sinécure. Il est arrivé que l’équipe soit le mercredi soir en Espagne, et prenne l’avion après dîner pour arriver par avion à Belgrade vers 5 heures du matin, s’entraîne le soir, et ait sur l’agenda un match de championnat le lendemain. Les joueurs ont souffert d’insomnie, et souvent se réveillaient sans savoir dans quelle ville ils étaient.\n\nCes va-et-vient n’ont pas pour autant perturbé la marche en avant du Partizan. Ils se sont sortis avec quelques égratignures du groupe préliminaire mais bien vivants, avant d’éliminer le Knorr Bologne, deux manches à une, en quart-de-finale, en ayant la possibilité de jouer un match au Pionir de Belgrade, à moitié vide. « Le club voulait gagner de l’argent et en a fait trop avec le prix des billets », a admis le manager du Partizan, Dragan Todoric. « Seulement 2000-2500 personnes sont venues au seul vrai match à domicile de cette Euroleague. »\n\n« Incroyable ! Incroyable ! »\n\nLe Final Four d’Istanbul, qui fut couvert par 75 chaînes de télévision, se tint dans un contexte douloureux pour les Yougos. « Au printemps 1992, le chaos régnait à Sarajevo. Les parents de Sasa (Danilovic) sont restés là-bas et j’ai vécu avec lui dans la même pièce et j’ai vu à quel point il était nerveux, il ne pouvait pas dormir. Il était constamment dans une attente anxieuse et a appelé chez lui, persuadant ses parents de déménager à Belgrade, mais ils ne voulaient pas quitter leur appartement à Sarajevo », rapporte Mladan Silobad.\n\nLe Partizan eut comme premier adversaire le Phillips Milan de l’ex-star de NBA, le pétulant Darry Dawkins, et trois finalises de l’EuroBasket 1991, Antonello Riva, Davide Pessina et Riccardo Pitis. Zeljko Obradovic sut motiver ses troupes en leur déclarant : « Les journalistes italiens estiment nos chances de gagner à 15 % ». « Nous étions comme des bébés qui apprenaient à marcher », se souvient le centre Mladjan Silobad. « Ils ne savaient pas ce qu’étaient les chutes et la douleur. Et donc nous avons avancé dans le tournoi. Avais-je peur de Dawkins ? Oui, j’ai juste joué du mieux que je pouvais, et puis, il s’avère que je l’ai arrêté. Certes, il pesait 130 kg et moi 94. Seul Rebraca était plus léger que moi avec ses 92 kilos. » Zoran Stevanovic se souvient parfaitement de sa rencontre avec le colosse américain : « Dawkins m’a donné un coup de coude dans la gorge. Pendant deux jours, je n’ai pas pu récupérer et même prendre une gorgée d’eau. » Le tournant du match se situa à trois minutes de la fin lorsque Chocolate Thunder Dawkins (21 points et 19 rebonds) écopa d’une sévère cinquième faute. Le Partizan s’imposa 82-75. Le plus beau était encore à venir.\n\nQuelques secondes auparavant, l’affaire paraissait enveloppée. Tomas Jofresa, l’une des figures-clé de l’équipe de la Joventud Badalone, avec son frère Rafa et Jordi Villacampa, venait de marquer son 18e point. Les Espagnols, qui quelques mois auparavant avaient fait trembler les Los Angeles Lakers à Paris, avaient neuf doigts et demi sur le trophée de la Ligue des Champions, l’appellation de l’Euroleague à l’époque. On a alors vécu l’un des plus grands moments de l’histoire du basket européen. Il restait 9 secondes à jouer. Slavisa Koprivica a passé le ballon dare-dare à Sasa Djorjevic, qui a couru sur le côté droit et fait un coast to coast. Djordjevic n’a pas pensé à un seul moment assurer un panier à deux-points. Il s’est dit : banco ! Il a fait un bond des deux pieds conservant son équilibre en l’air, et envoyé la balle au-delà de la ligne située alors à 6,25m. « Au moment où Predrag Danilović a été éliminé en raison de fautes, tout le monde savait que Djordjevic prendrait ce tir décisif. Tomas Jofresa l’a suivi pendant le sprint à Abdi Ipekci Hall à Istanbul, mais il n’a pas réussi à voler le ballon à un moment crucial. « Morales est venu l’aider, mais il était en retard et personne n’a pu arrêter ce tir du gars, qui jouera plus tard pour Barcelone et le Real Madrid », a écrit un journaliste espagnol.\n\nLa balle est entrée dans le filet. 71-70. Le Partizan Belgrade et son équipe de 21 ans et demi de moyenne d’âge était champion d’Europe. « Incroyable, incroyable ! », a crié de dépit l’entraîneur de la Juventud Lolo Sainz. « Mon rêve d’enfant est devenu réalité ! En tant qu’enfants, jouant dans les cours d’école, sur du béton, nous avons souvent imaginé de tels matches : le temps presse et il faut marquer le dernier point, tout le monde est debout. Je suis un homme heureux parce que mon rêve est devenu réalité. Je ne me suis jamais senti aussi bien qu’alors », a déclaré Djordjevic aux médias en Serbie des années après son exploit d’anthologie. « Ce panier a changé ma carrière, a augmenté ma confiance en moi. Depuis lors, j’ai toujours pris la responsabilité de prendre ce dernier shoot. Certaines balles ne sont pas entrées, mais il y a eu plus de moments heureux que de déceptions. »\n\nLe panier de Djordjevic a changé non seulement sa carrière, mais aussi le destin du Partizan et de son coach, Zeljko Obradovic. « Ce shoot a changé toutes nos vies. L’émotion que j’ai ressentie avec ce titre, je ne l’ai plus jamais ressentie de ma vie », avoue Obradovic, qui cumule depuis un Championnat d’Europe et une Coupe du monde, une médaille d’argent olympique, et neuf Euroleague avec cinq équipes différentes, dont une avec la Joventut, deux ans plus tard à Tel-Aviv.\n\nx\n\n[armelse]\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »] Radojica Nikcevic a été assassiné au matin du 7 octobre 1993 alors qu’il sortait de sa Mercedes. Un témoin a vu deux hommes vêtus d’une salopette le guetter et l’un d’eux a tiré à bout portant dans la nuque de l’homme d’affaires millionnaire. Radojica Nikcevic était le fondateur de la première station de radio privée de Belgrade, directeur d’une coopérative d’habitation, proche du régime du président serbe de l’époque, Slobodan Milosevic, et président du Partizan Belgrade. Le lendemain, les condoléances du trop célèbre narcotrafiquant Pablo Escobar ont été publiées dans les journaux du pays, preuve ultime de l’aspect sulfureux de Nikcevic. Les assassins n’ont jamais été retrouvés.\n\n20 ans plus tard, dans un film sur l’épopée du Partizan, l’illustre coach Zeljko Obradovic a déclaré que le triomphe en Euroleague en 1992 ne se serait pas produit sans Radojica Nikcevic. « C’est lui qui m’a convaincu que je pouvais diriger l’équipe. »\n\nDragan Kicanovic choisit Zeljko Obradovic\n\nOn peut rembobiner le film jusqu’en 1989. Cette année-là, Cantu coaché par Carlo Recalcati, fait figure de favori pour décrocher la Coupe Korac (C3) avec Antonello Riva, 26 ans, surnommé Superman en raison de ses larges épaules. Riva va marquer un total de 55 points sur les deux matches de la finale, mais ni sa performance, ni les 13 points d’avance pris par l’équipe italienne à l’aller, ne vont empêcher le Partizan de remporter le trophée grâce à un succès de 19 points au retour.\n\nLe choc, en finale du championnat yougoslave, face au Jugoplastika Split, qui venait de remporter le premier de ses trois trophées consécutifs dans le championnat d’Europe des clubs -l’ancêtre de l’Euroleague- était attendu comme une sorte de Super Coupe d’Europe, mais il fut le théâtre d’un scandale. En colère à cause de l’arbitrage et le jet d’une pièce de monnaie sur\n\n[/arm_restrict_content]\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto d’ouverture : Partizan
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Spécial Salaires Pro B 2021-22 : les bonnes et mauvaises affaires non-JFL, Marquis Jackson et Djordje Milosevic excellents, Tomislav Gabric et Nana Foulland moins
Après les « Top 10 » et « Flop 10 » des JFL, voici celui des non-JFL, qui permet de constater que plusieurs clubs ont réussi d’excellentes affaires, avec des joueurs plutôt modestement payés pour un rendement haut de gamme. À l’inverse, certains autres clubs se sont plus ou moins fourvoyés en donnant de beaux salaires à des joueurs qui n’ont pas apporté ce que l’on attendait d’eux.\n\nÉquipe par équipe, au quotidien, et par ordre alphabétique, Basket Europe sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B, dont voici le douxième et dernier épisode.\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année en vous abonnant.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nAprès le top/flop JFL, place aujourd’hui à celui des non-JFL, joueurs au statut Cotonou, Bosman ou étranger (le plus souvent des Américains). Pour dresser ces « Top 10 » et « Flop 10 » (les dix joueurs les plus rentables et les dix moins rentables), nous nous sommes basés sur les évaluations de tous les joueurs de Pro B (évaluations relevées le 10 avril), en les divisant par le montant du salaire de chaque joueur et en multipliant le résultat obtenu par 100 000 afin d’obtenir un chiffre « parlant ». Par ailleurs, nous avons délibérément exclu de ces classements les joueurs arrivés en cours de saison, dont le rendement perçu peut être faussé (en bien ou en mal). Enfin, pour établir notre classement des « Top » et « Flop », nous avons également pondéré les chiffres obtenus en fonction des résultats des équipes – de sorte que bien peu de joueurs évoluant dans des clubs de bas de tableau apparaissent dans le « Top 10 » alors qu’à l’inverse rares sont ceux jouant pour une équipe de haut de classement à figurer dans un « Flop 10 ».\n\n\nLes meilleures affaires non-JFL\n\nDu côté des clubs qui ont réussi à recruter des non-JFL d’excellente qualité à tarif réduit, quatre clubs sortent du lot : Évreux, Aix-Maurienne, Saint-Vallier et Lille, soit trois équipes (les premières citées) en lice pour une place en playoffs et une dernière tentant d’éviter la relégation. Dans le club normand, on ne peut que se satisfaire d’avoir réussi deux « coups » en embauchant un meneur arrivant de Suisse, Marquis Jackson, et un extérieur arrivant du Monténégro, Djordje Milosevic. Soient les deux meilleures évaluations d’une équipe 6e de Pro B à l’heure actuelle tout en percevant le 82e salaire de la division.\n\nDe son côté, Aix-Maurienne ne s’est pas plus trompé en faisant confiance au Dominicain Juan José Garcia (63e salaire de Pro B), excellent lorsqu’il n’est pas blessé, et au pivot sénégalais Cheick Sane, solide pour un petit salaire.\n\nDu côté de Saint-Vallier, on a plutôt fait dans la valeur sûre, avec un Demond Watt déjà au club la saison passée en NM1 et très convaincant en Pro B pour le 97e salaire de la division ainsi qu’un Ryan Rhoomes chipé à Saint-Quentin pour un salaire modeste mais un rendement dans la lignée de sa saison passée (14,6 d’évaluation en 2020-21).\n\nPour sa part, Lille a prolongé son meneur Raijon Kelly sans faire de folies financières alors qu’Adonys Henriquez ne présente peut-être pas des stats mirobolantes, mais il est payé au même tarif que de jeunes Français en devenir (au 150e salaire de Pro B).\n\nDans le même ordre d’idées, Guillaume Payen-Boucard a prouvé qu’il pouvait franchir le palier entre NM1 et Pro B avec Denain tout en ne coûtant pas des fortunes au club (96e salaire du championnat). Enfin, bien qu’il soit englué dans le marasme rouennais, club promis à la descente, Brandon Edwards a tiré son épingle du jeu, au moins statistiquement, à un tarif très raisonnable.\n\nEn comparaison avec le Top 10 JFL, on notera qu’un seul non-JFL (Adonys Henriquez) est moins payé que la plupart des bonnes affaires JFL, mais aussi qu’aucun de ces non-JFL ne présente un « rapport qualité-prix » aussi élevés que leurs homologues JFL. Logique puisque mieux payés.\n\n\nLa liste des meilleures affaires non-JFL\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22EquipeEvalQ/PMarquis Jackson1-2USA202242 000,00 €Evreux16,639,52Djordje Milosevic2-3SRB202242 000,00 €Evreux16,138,33Juan Jose Garcia4DOM202245 000,00 €Aix-Maurienne16,035,56Demond Watt4-5USA202238 000,00 €Saint-Vallier14,237,37Ryan Rhoomes5USA/JAM202242 000,00 €Saint-Vallier14,133,57Raijon Kelly1-2USA202245 000,00 €Lille14,331,78Brandon Edwards4-5USA202245 000,00 €Rouen15,534,44Guillaume Payen-Boucard3-4CAN202239 000,00 €Denain13,133,59Adonys Henriquez2-3USA/DOM202225 000,00 €Lille8,132,40Cheick Sane5SEN202235 000,00 €Aix-Maurienne11,131,71\n\n\nLes moins bonnes affaires non-JFL\n\nÀ l’autre bout de ce classement, nous trouvons des joueurs au profil différent : plusieurs (trois, précisément) évoluent dans des clubs de haut de tableau, où ils ont un statut de remplaçant, limitant d’autant leur temps de jeu et leur rendement ; les six autres évoluent dans des équipes menacées de relégation tout en disposant pour la plupart (à une exception près) de gros salaires.\n\nÀ Chalon, l’international croate Tomislav Gabric (4e joueur le mieux payé de Pro B) n’a pas vraiment réussi à s’imposer dans la rotation, évoluant en substitut de Mickaël Gelabale lorsque celui-ci sort du parquet. De même, à Antibes, Temidayo Yussuf évolue dans l’ombre de Jean-Marc Pansa tout en ayant un salaire lui permettant de figurer dans le Top 20 des meilleurs salaires de Pro B. Percevant des émoluments plus modestes, Sasa Borovnjak est tout de même le plus haut salaire de Saint-Chamond, mais il a été relégué sur le banc du fait de l’explosion de Mathieu Boyer.\n\nDeux joueurs de Boulazac figurent aussi dans ce Flop 10. Nana Foulland et Quentin Serron présentent certes des statistiques de bon niveau, mais leurs très hauts salaires pour la division et la place d’avant-dernier de Pro B du club périgourdin prouvent qu’ils n’ont pas réussi à tirer leur équipe vers le haut. Une constatation qui s’applique également à Filip Adamovic, le meneur de Rouen ou à Terry Smith à Nantes. Lien Philip, lui, a vu ses statistiques décroître significativement (13,9 d’évaluation la saison passée) depuis qu’il a quitté Saint-Quentin, ne parvenant pas à faire figurer Quimper en haut de tableau.\n\nQuant à David Jackson (deuxième salaire sur la saison du club breton derrière Lien Phillip), espéré comme le maître à jouer de Quimper, il a sans doute effectué la saison de trop, avec des performances décevantes pour son statut avant de se blesser de manière durable. Enfin, Nisre Zouzoua a été engagé à petit prix par l’ASA, mais les peu de matchs qu’il a pu jouer (10 rencontres disputées seulement du fait de blessures) ont montré qu’il avait du mal à passer le cap entre NM1 (il y était 3e marqueur de la division la saison passée) et Pro B.\n\n\nLa liste des moins bonnes affaires non-JFL\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22EquipeEvalQ/PTomislav Gabric3-4CRO202290 000,00 €Chalon7,68,44David Jackson2-3USA202258 000,00 €Quimper7,312,59Nana Foulland5USA202295 000,00 €Boulazac13,614,32Quentin Serron2BEL202285 000,00 €Boulazac12,014,12Temidayo Yussuf5USA/NIG202270 000,00 €Antibes9,313,29Filip Adamovic1SRB/BOS202465 000,00 €Rouen11,117,08Sasa Borovnjak5SRB/POR202260 000,00 €Saint-Chamond9,616,00Lien Phillip4-5CAN/GRE202260 000,00 €Quimper10,217,00Terry Smith2-1USA/ARM202385 000,00 €Nantes14,917,53Nisre Zouzoua2USA/CIV202233 500,00 €ASA Basket5,717,01\n\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\n\nPhoto d’ouverture : Djordje Milosevic – Évreux (photo ALM Évreux) – Juan José Garcia – Aix-Maurienne (photo AMSB) – Marquis Jackson – Évreux (photo ALM Évreux) – Montage Basket Europe\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nAprès le top/flop JFL, place aujourd’hui à celui des non-JFL, joueurs au statut Cotonou, Bosman ou étranger (le plus souvent des Américains). Du côté des clubs qui ont réussi à recruter des non-JFL d’excellente qualité à tarif réduit, quatre clubs sortent du lot : Évreux, Aix-Maurienne, Saint-Vallier et...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
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Angelo Tsagarakis, nouveau coach de l’équipe grecque de 3×3 : «Le 3×3 est une question de créativité»
Né en France, d’un père grec Antonis Tsagarakis, et international français de 3×3, Angelo Tsagarakis a été intronisé l’entraîneur de l’équipe grecque de 3×3.\n\nAncien joueur pro en France et en Grèce, Angelo Tsagarakis a été sur la fin de sa carrière un brillant ambassadeur du 3×3, notamment médaillé d’argent aux championnats du monde 2017 à Nantes en 2017. Il est désormais consultant sur Sport en France et LNB TV, et donc le nouveau sélectionneur de l’équipe grecque de 3×3.\n\n« Mon cœur, mon corps et mon âme appartiennent à la fois à la France et à la Grèce. J’ai eu le grand honneur de représenter ma patrie (la France) en tant que joueur pendant de nombreuses années, alors me voir offrir maintenant l’opportunité de représenter mon autre patrie (la Grèce) en tant qu’entraîneur, c’est très spécial et émouvant pour moi. Si vous me connaissiez en tant que joueur, vous pouvez d’ores et déjà prévoir que nos équipes vont jouer avec une confiance et une agressivité formidables. La compétitivité était l’essence même de mon style de jeu, donc mes équipes transposeront toujours cette philosophie sur le terrain. Le 3×3 est une question de créativité et de compétitivité, et si un joueur fait preuve de flair sur le terrain, cela signifie qu’il est libéré et inspiré. Je voudrais donc certainement cela pour mes joueurs », a-t-il accordé à la FIBA dans un entretien.\n\nPortée par l’aura de Giannis Antetokounmpo en 5×5, la Grèce n’est pas – encore – un pays dominant en 3×3. Ça ne saurait tarder, même si Angelo Tsagarakis prévient que cela sera un processus.\n\n« La Grèce a une culture de basket fantastique. Pour devenir une puissance, les gens doivent aborder le 3×3 comme ils ont maîtrisé le 5×5. Nous avons le talent. Nous avons d’excellents entraîneurs. Nous avons des fans fantastiques. Tout ce qui manquait, c’était la volonté de plonger dans le 3×3 comme (les Grecs) ont plongé dans le basket-ball dans les années 80. Nous commençons tout ce programme avec une nouvelle ambition. Mais j’ai été très clair avec la fédération dès le départ, cela va être un processus. Nous pouvons éventuellement dépasser les attentes, mais si nous voulons atteindre le sommet et rester au sommet, nous devons changer la culture en Grèce. »\n\nPhoto : Angelo Tsagarakis (FIBA)
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L’attribution des places en coupes d’Europe déterminée par le nombre d’internationales françaises pour la saison 2023-2024 de LFB !
Le règlement de la Ligue Féminine de Basket (LFB) a été modifié jeudi lors de l’assemblée générale annuelle, et notamment l’attribution des places en coupes d’Europe pour la saison 2023-2024... qui précédera les Jeux Olympiques de Paris 2024.\n\n33 membres représentant la Fédération Française de BasketBall (FFBB), clubs, joueuses, entraîneurs, collectivités territoriales et monde de l’entreprise, se sont réunis, en visioconférence, ce jeudi 14 avril à l’occasion de l’assemblée générale ordinaire de la LFB. Durant celle-ci, deux dispositions réglementaires ont été votées.\n\nLa plus importante concerne la modification de l’attribution des places en coupes d’Europe, pour la saison 2023-2024 uniquement. Une décision qui risque d’impacter fortement le recrutement de certains clubs lors des deux prochaines saisons car les places seront attribuées dans l’ordre préférentiel suivant...\n\n1. Qui aura dans son effectif le plus d’internationales seniors françaises (5×5 ou 3×3 et sous contrat pour la saison 2023-2024) * ;\n2. Qui aura gagné le titre de Champion de France LFB 2023 ;\n3. Qui aura terminé à la première place de la saison régulière ;\n4. Qui aura gagné la Coupe de France.\n* Liste établie par la Direction Technique Nationale et connue uniquement de celle-ci, la date du décompte ayant été fixée au 17 mai 2023.\n\nSelon le communiqué, cette règle doit « permettre au plus grand nombre d’internationales françaises de participer à la meilleure compétition européenne, l’Euroleague, et ce en prévision des Jeux Olympiques de Paris 2024 ».\n\n\nChangement de format en playoffs\n\nL’autre modification concerne la formule sportive des saisons 2022-2023 et 2023-2024, pour les playoffs uniquement. Jusqu’à présent, les quarts et demi-finales des playoffs se jouaient en deux manches gagnantes et la finale en trois manches gagnantes.\n\n« Dans le but d’alléger un calendrier très chargé pour les deux prochaines saisons et ainsi avoir des dates de report en cas de besoin, les playoffs LFB seront modifiés comme suit :\n– Les quarts et demi-finales se joueront en matchs aller/retour avec match retour sur le terrain du mieux classé à l’issue de la saison régulière ;\n– La finale se jouera au meilleur des trois matchs avec matchs 2 et éventuellement 3 sur le terrain du mieux classé à l’issue de la saison régulière. »\n\nToujours selon le communiqué, « ces modifications donneront également plus de temps de préparation à l’Équipe de France féminine et solliciteront moins les internationales sur des fins de saison chargées ».\n\n\nVaccination et médiatisation\n\nCarole Force, présidente de la LFB, a par ailleurs souligné la très bonne tenue globale de la saison régulière 2021-2022 malgré la situation sanitaire. Une position partagée par Gérard Murgues, médecin de la LFB, qui a indiqué que le taux de vaccination des joueuses (99,5 %) et le professionnalisme des clubs avaient permis de ne reporter que deux matches.\n\nCôté médiatisation, 100 % des rencontres auront été diffusées en fin de saison régulière sur la chaîne YouTube de la FFBB, dont plus de la moitié (73/132) en production enrichie grâce aux accords avec les clubs, leurs partenaires et les chaînes locales. La diffusion à venir des playoffs LFB sur « Sport en France » va également apporter de la visibilité, sur une chaîne gratuite, de la course au titre de champion de France LFB 2022.\n\nLe mot de Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB : « Je souhaite féliciter le club de Bourges qui a répondu au défi organisationnel puis sportif en remportant le titre d’Eurocup 2022. Après les deux médailles des Bleues juste avant la saison de LFB, ce magnifique succès doit rejaillir sur nos Équipes de France 5×5 et 3×3 dans la perspective des Jeux de Paris 2024. C’est cet objectif commun de performance qui doit nous guider pour mettre les Bleues, grâce notamment à nos clubs, dans les meilleures conditions de réussite possibles. »\n\nPhoto : Marine Johannès (Eurocup)
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Malgré la montée en Pro B, l’entraîneur d’Angers Sylvain Delorme proche d’un départ
Sylvain Delorme (47 ans) ne devrait pas poursuivre l’aventure sur le banc d’Angers à l’échelon supérieur en Pro B selon Le Courrier de l’Ouest.\n\nQuelques jours seulement après la célébration du titre de champion de France de Nationale 1, synonyme de montée en Pro B, le club angevin s’apprêterait à officialiser le départ de son entraîneur Sylvain Delorme. Pourtant sous contrat jusqu’en 2023, l’ancien coach des Espoirs de Cholet serait sur le départ selon Le Courrier de l’Ouest.\n\nAngers a joué plusieurs saisons en Pro B avant d’être relégué en NM1 en 2007. L’Etoile Angers Basket est née, en mars 2017, de la fusion entre l’ABC et l’Etoile d’Or Saint-Léonard. Après un passage en NM2, le club est remonté en NM1 en 2018-2019 et a officialisé son retour en LNB grâce notamment aux résultats de Sylvain Delorme.\n\nPhoto : Sylvain Delorme (Cholet)
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Un arbitre ukrainien dirigera des matches de championnat italien
Arbitre habitué des joutes européennes, Boris Ryzhyk dirigera des rencontres de Serie A italienne en signe de solidarité de la fédération italienne envers l’Ukraine.\n\nS’il ne peut exercer son métier en Ukraine du fait de l’invasion russe, l’arbitre Boris Ryzhyk va pouvoir officier en Italie le temps de la fin de saison. L’Ukrainien a été invité par la fédération italienne, qui l’a fait savoir au travers d’un communiqué.\n\n« Lega Basket Serie A exprime son approbation du choix de la Fédération italienne de basketball d’inclure l’arbitre ukrainien Boris Ryzhyk parmi les directeurs de match de Serie A. C’est un signe important de proximité et de solidarité envers le peuple ukrainien et en même temps une opportunité d’enrichissement technique pour l’arbitrage de haut niveau en Italie.\nPour cette raison, la Ligue souhaite la bienvenue à Boris et l’attend sur les terrains de jeu de Serie A auxquels nous sommes sûrs qu’il apportera une grande contribution de professionnalisme, de capacité et d’expérience comme en témoigne son parcours national et international de haut niveau, notamment en Euroleague, la plus grande compétition européenne. »\n\nPhoto : Boris Ryzhyk (Euroleague)
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Faites votre bracket des playoffs d’Euroleague !
L’Euroleague permet à ses fans de parier sur les playoffs de la compétition.\n\nDepuis mercredi soir, le tableau des playoffs de l’Euroleague version 2021-2022 est complet. Rappelons-le, Monaco est qualifié pour le top 8, une première pour un représentant français depuis... 2001. Pour vous aussi remplir votre bracket, cliquez ici.\n\nPhoto : Euroleague
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Le MVP de la semaine par TCL : Demonte Harper (J27 et J28)
TCL, partenaire de la LNB et de BasketEurope vous propose de découvrir en vidéo le MVP de la semaine !\n\nhttps://www.facebook.com/watch/?v=313898497482667
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Fin de saison pour Obi Enechionyia, l’ASA Basket le remplace par le Bosnien Fahrudin Manjgafic
Obi Enechionyia blessé jusqu’à la fin de la saison, l’Alliance Sport Alsace fait appel à l’intérieur bosnien Fahrudin Manjgafic (2,07 m, 25 ans).\n\nRemonté à la 11e place du classement grâce à une série de 7 victoires en 9 matches, l’ASA Basket a encore toutes ses chances de se qualifier pour les playoffs. Raison pour laquelle le club alsacien a décidé de remplacer son intérieur Obi Enechionyia (2,08 m, 26 ans), blessé à la main lors du dernier match remporté vendredi contre Antibes – qui tournait à 12,7 points à 44,3 % aux tirs et 4,2 rebonds en 28 minutes – par un pigiste médical.\n\nLe club de Gries-Souffel a jeté son dévolu sur le Bosnien Fahrudin Manjgafic (2,07 m, 25 ans). L’intérieur formé dans son pays natal vient de terminer la saison de première division avec le club serbe de Novi Pazar, dont il était le meilleur marqueur (19,8 points) et rebondeur (7,3 prises). Auparavant, il n’avait joué qu’en Bosnie-Herzégovine. Arrivé en Alsace, il ne sait pas encore s’il sera qualifié pour la réception de Boulazac vendredi soir (20h).\n\nPhoto : Fahrudin Manjgafic (ABA League)
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Grèce : Georgios Vovoras est le nouveau coach du Panathinaïkos
Dimitris Priftis remercié, le Panathinaïkos a misé sur Georgios Vovoras pour la fin de saison 2021-2022.\n\nAlors que le propriétaire Dimitris Giannakopoulos a décidé de faire le ménage au sein du club, avec de très nombreux changements après notamment la non-qualification du Pana pour les playoffs (13e), les Verts ont trouvé un remplaçant à Dimitris Priftis sur le banc en la personne de Georgios Vovoras.\n\nLe club grec l’a officialisé ce jeudi midi dans un communiqué officiel. L’entraîneur de 45 ans avait déjà été coach du club, assistant de 2012 et 2014 puis de 2016 à 2020, avant d’être promu entraîneur principal. Après de mauvais résultats, il avait pourtant quitté l’équipe au milieu de la campagne 2020-2021. Il a travaillé à Debrecen, en Hongrie, de novembre à février de cette année.\n\n« Nous savons tous très bien où nous en sommes et la responsabilité que nous avons de servir le Panathinaikos. Nous avons une situation difficile devant nous mais aussi un grand défi et nous voulons être prêts mentalement et sportivement à répondre comme le club le mérite. Nous n’avons pas besoin d’en dire plus, nous devons simplement baisser la tête et travailler en équipe », a déclaré Georgios Vovoras sur le site officiel du club.\n\nL’ancien assistant de Xavi Pascual et Rick Pitino sera assisté de Christos Serelis, Thanasis Giaples et Isidoros Koutsos.\n\n\nΗ ΚΑΕ Παναθηναϊκός ΟΠΑΠ ανακοινώνει την έναρξη της συνεργασίας της με τον κόουτς Γιώργο Βόβορα, μέχρι το τέλος της τρέχουσας αγωνιστικής περιόδου.\n\nΠερισσότερα εδώ: https://t.co/vjJltUvfFw#paobc #panathinaikosbcopap pic.twitter.com/3ts9Fvu9eJ\n\n— Panathinaikos BC (@paobcgr) April 14, 2022\n\n\nPhoto : Georgios Vovoras (Euroleague)
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Espagne : défait par Bilbao, le Real Madrid est en pleine crise
Mercredi soir, Bilbao a infligé au Real Madrid une troisième défaite de rang en Liga Endesa, la cinquième consécutive toutes compétitions confondues. Les Merengues vivent la période la plus difficile de leur saison avant d’affronter le Maccabi Tel Aviv en quarts de finale d’Euroleague.\n\nCe fut une soirée de fête à Bilbao. Le public de Miribilla a vu le maillot de son entraîneur et ancien international passé par le Real Madrid Alex Mumbru retiré, mais aussi une victoire de prestige. Pour l’occasion, Bilbao – 11e de Liga Endesa – s’est surpassé pour vaincre le Real Madrid (79-67).\n\nUne victoire acquise grâce aux performances des deux Français Damien Inglis (14 points, 6 rebonds, 4 passes) et Jonathan Rousselle (11 points, 3 rebonds, 2 passes). Leur équipe menait même de 18 points dans le troisième acte (60-42).\n\nLa défaite fait tomber l’équipe madrilène – toujours au deuxième rang (19-9) – à même hauteur que Manresa et Badalone (18-9) et surtout, l’envoie très loin de Barcelone (22-5). Après avoir écarté Thomas Heurtel et Trey Thompkins, le Real Madrid est en crise. Et les playoffs d’Euroleague arrivent très vite, dans six jours.\n\n« Bilbao était meilleur que nous dans toutes les facettes du match. Nous avons eu du mal à trouver une continuité dans notre jeu. Nous avons fait beaucoup trop d’erreurs. Nous devons nous améliorer car ces erreurs nous coûtent vraiment cher. Tu es toujours inquiet quand tu perds. Ce qui m’inquiète le plus, c’est que cette équipe soit compétitive au plus haut niveau. Mon obligation est d’anticiper et de chercher un réaction », affirmait l’entraîneur Pablo Laso après la rencontre.\n\nPhoto : Guerschon Yabusele (Euroleague)
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Les Français des Etats-Unis : Jaylen Hoard termine la saison en boulet de canon
La saison régulière est terminée en NBA. Quatre de nos représentants sont qualifiés pour les playoffs (Pons, Tillie, Ntilikina et Gobert) et deux jouent le Play-In (Batum et Luwawu-Cabarrot). Malgré l’élimination, Jaylen Hoard a réussi une fin de saison incroyable.\n\nDe la NBA à la NCAA en passant par la G-League, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français aux Etats-Unis.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nJaylen Hoard profite des derniers matchs pour se montrer\n\nJaylen Hoard a disputé les trois dernières rencontres de la saison dans le Cinq de départ du Thunder. Il les a mises à profit pour passer plus de 42 minutes par match sur le parquet. En attaque, il a tenté rien de moins que 20 tirs en moyenne. Il en a réussi 9 (soit 45% de réussite). Il a ainsi marqué plus de 21 points par match. Il a également pris 12,3 rebonds et 3,3 passes décisives. Avec 26,3 d’évaluation, il a réussi des performances totalement inattendues pour un joueur pas (encore) établi en NBA. Son match phare de la semaine s’est produit lors du déplacement aux Lakers. Pour l’occasion, il a scoré 27 points et pris 17 rebonds. Le Normand a cumulé une évaluation de 38. Il a égalé la meilleure performance de sa carrière professionnelle. Le seul bémol se situe au niveau des résultats collectifs. En effet, Oklahoma City a perdu les trois rencontres disputées et la saison est terminée.\n\n\nRudy Gobert prépare les playoffs\n\nRudy Gobert a terminé la saison régulière sur des performances dans la continuité de celles de la saison dans son ensemble. Il a simplement été plus présent sur le terrain offensif. Il a en effet marqué 18 points avec une réussite aux shoots à plus de 80%. A contrario, sa moyenne de rebonds est descendue à 11,7. En un peu moins de 30 minutes par match, le joueur choisi par Denver à la Draft 2013 a ainsi collecté une évaluation de 26,7. Avec deux victoires sur les trois derniers matchs, le Jazz se classe finalement cinquième de la Conférence Ouest et affrontera Dallas au premier tour sans l’avantage du terrain. D’un point de vue personnel, Rudy Gobert sort de la saison régulière avec les titres de meilleur rebondeur (14,7) et joueur le plus adroit aux tirs (71,3%).\n\n\nNicolas Batum premier en action en Play-In\n\nAvec deux victoires cette semaine, les Clippers ont assuré un bilan final positif (avec 42 victoires et 40 défaites). Sans ses deux superstars (Kawhi Leonard et Paul George), ils ont tout de même réussi à accrocher la huitième place de la Conférence Ouest. Celle-ci est qualificative pour le Play-In. Le premier match décisif pour l’accès aux playoffs les a emmenés chez le septième, Minnesota. Avec le retour de George dans l’effectif, Nicolas Batum est tout de même resté dans le Cinq de départ. Il a même disputé 27 minutes. Son match a été quelque peu mitigé. Offensivement, son jeu s’est fait principalement à longue distance. Il a marqué 7 points (à 2/6 aux tirs). Avec 4 rebonds et 2 passes, il a obtenu une évaluation de 9. Cela n’a pas été suffisant pour l’emporter et ce sont les Wolves qui affronteront Memphis au premier tour. Il reste une chance aux Clippers. Ils recevront le vainqueur de New Orleans-San Antonio. En cas de victoire, ils gagneront le droit d’affronter Phoenix.\n\n\nLe 5 majeur de la semaine :\n\nKillian Hayes (Detroit) : 8,3 points (36% aux tirs dont 18,2% à trois points, 83,3% aux lancers-francs), 2,7 rebonds, 2 passes pour 8,3 d’évaluation en 22,3 minutes (3 matchs, 3 titularisations, 3 défaites).\n\nEvan Fournier (New York) : 10,3 points (32,4% aux tirs dont 30,8% à trois points, 50% aux lancers-francs), 3,3 rebonds, 3,3 passes pour 10,3 d’évaluation en 29 minutes (3 matchs, 3 titularisations, 2 victoires-1 défaite).\n\nNicolas Batum (Los Angeles Clippers) : 6 points (46,2% aux tirs dont 44,4% à trois points, 50% aux lancers-francs), 4,7 rebonds, 2,3 passes pour 10,7 d’évaluation en 24,7 minutes (3 matchs, 3 titularisations, 2 victoires-1 défaite).\n\nJaylen Hoard (Oklahoma City) : 21,3 points (45% aux tirs dont 38,9% à trois points, 75% aux lancers-francs), 12,3 rebonds, 3,3 passes pour 26,3 d’évaluation en 42,3 minutes (3 matchs, 3 titularisations, 3 défaites).\n\nRudy Gobert (Utah) : 18 points (81,8% aux tirs, 66,7% aux lancers-francs), 11,7 rebonds, 1,3 passe pour 26,7 d’évaluation en 29,3 minutes (3 matchs, 3 titularisations, 2 victoires-1 défaite).\n\nNBA\n\nTimothé Luwawu-Cabarrot (Atlanta) : 0 point (0% à trois points), 1,5 rebond, 0,5 passe pour 0 d’évaluation en 10,5 minutes (2 matchs, 1 victoire-1 défaite).\n\nFrank Ntilikina (Dallas) : 1 point (50% aux tirs dont 0% à trois points) pour 0,5 d’évaluation en 3 minutes (2 matchs, 2 victoires).\n\nThéo Maledon (Oklahoma City) : N’a pas joué.\n\nKillian Tillie (Memphis) : N’a pas joué.\n\nYves Pons (Memphis) : 2,7 points (27,3% aux tirs dont 28,6% à trois points), 2 rebonds, 0,3 passe pour 4 d’évaluation en 12,3 minutes (3 matchs, 1 victoire-2 défaites).\n\nJoël Ayayi (Washington) : N’a pas joué.\n\nG-LEAGUE\n\nJoël Ayayi (Capital City) : 2 points (25% aux tirs), 1 rebond, 3 passes pour 2 d’évaluation en 15 minutes (1 match, 1 titularisation, 1 défaite).\n\nPhoto d’ouverture : Jaylen Hoard (OKC-NBA)\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n\nJaylen Hoard profite des derniers matchs pour se montrer\n\nJaylen Hoard a disputé les trois dernières rencontres de la saison dans le Cinq de départ du Thunder. Il les a mises à profit pour passer plus de 42 minutes par match sur le parquet. En attaque, il a tenté rien de moins que 20 tirs en moyenne. Il en a réussi 9 (soit 45% de réussite). Il a ainsi marqué plus de 21 points par match. Il a également pris 12,3 rebonds et 3,3 passes décisives. Avec 26,3 d’évaluation, il a réussi des performances totalement inattendues pour un joueur pas (encore) établi en NBA. Son match phare de la semaine s’est produit lors du déplacement aux Lakers. Pour l’occasion, il a scoré 27 points et pris 17 rebonds. Le Normand a cumulé une évaluation de 38. Il a égalé la meilleure performance de sa carrière professionnelle. Le seul bémol se situe au niveau des résultats collectifs. En effet, Oklahoma City a perdu les trois rencontres disputées et la saison est terminée.\n\n\nRudy Gobert prépare les Play-Offs\n\nRudy Gobert a terminé la saison régulière sur des performances dans la continuité de celles de la saison dans son ensemble. Il a simplement été plus présent sur le terrain offensif. Il a en effet marqué 18 points avec une réussite aux shoots à plus de 80%. A contrario, sa moyenne de rebonds est descendue à 11,7. En un peu moins de 30 minutes par match, le joueur choisi par Denver à la Draft 2013 a ainsi collecté une évaluation de 26,7. Avec deux victoires sur les trois derniers matchs, le Jazz se classe finalement cinquième de la Conférence Ouest et affrontera Dallas au premier tour sans l’avantage du terrain.\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Jaylen Hoard (OKC-NBA)
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Euroleague : Nando De Colo en passe de boucler sa... 7e saison consécutive dans le club des 50/40/90 d’adresse !
Déjà numéro un de l’histoire à l’évaluation cumulée en Euroleague, Nando De Colo écrit un peu plus sa légende en Europe.\n\nLa mauvaise saison collective du Fenerbahçe en Euroleague – 12e place, 10 victoires pour 18 défaites – cache une performance exceptionnelle de longévité pour Nando De Colo. Pour la septième saison consécutive, il tourne à un exceptionnel 50/40/90 d’adresse aux tirs.\n\nDepuis la saison 2015-2016, l’international tricolore a toujours tourné à plus de 50 % d’adresse aux tirs, 40 % à 3-points et 90 % aux lancers francs en Euroleague. Si cette barre n’a pas été atteinte sur la scène européenne cette année (47,8 % à 2-points, 31,6 % à 3-points et 87,1 % aux lancers en 21 matches), Nando De Colo tourne actuellement à 16,0 points à 50,6 % aux tirs (dont 46,2 % à 3-points et 90,0 % aux lancers) et 5,1 passes dans le championnat turc, alors qu’il reste trois matches à jouer et que l’international français est sur le flanc (mollet).\n\n\nNando De Colo @NandoDeColo been one of the best all around players in Europe for years. His passing is ELITE and sets him apart. Efficiency is off the charts hitting the 50/40/90 club 7 years straight which hasn’t been done at any level 🤯 @FBBasketbol pic.twitter.com/0NFitQqPWJ\n\n— Swish Cultures (@swishcultures_) April 13, 2022\n\n\nA titre de comparaison, en NBA, Steve Nash a réussi à maintenir ce niveau de performance pendant trois années consécutives entre les saisons 2007-2008 et 2009-2010. Et c’était déjà un exploit !\n\nPhoto : Nando De Colo (Euroleague)
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EuroBasket : Rudy Gobert décidera de sa présence après les playoffs NBA
Le pivot titulaire des Bleus Rudy Gobert prendra le temps de la réflexion après les playoffs NBA pour décider s’il disputera ou non l’Euro 2022.\n\nAprès les annonces successives des forfaits de Nando De Colo et du capitaine Nicolas Batum pour l’EuroBasket 2022 en Allemagne, Italie, Géorgie et République Tchèque (phase finale en Allemagne) du 1er au 18 septembre prochain, les Français de NBA continuent d’annoncer leur présence ou non pour l’événement. Si Evan Fournier souhaite jouer avec les Bleus et Théo Maledon a noté qu’il se rendait disponible dans l’éventualité d’une sélection, Rudy Gobert n’a pas encore tranché.\n\nLe pivot titulaire des Bleus (2,16 m, 29 ans) l’a annoncé à l’occasion d’un événement caritatif dans le cadre de son partenariat avec Yop, organisé à Sèvres (Hauts-de-Seine) où 61 700 euros ont été levés pour sa fondation (Rudy’s Kids Foundation) et qui serviront notamment à la rénovation du terrain sur lequel Gobzilla jouait, enfant, dans sa ville natale de Saint-Quentin (Aisne).\n\n« Pour l’instant, j’ai la tête aux playoffs NBA avec Utah. Je n’ai pas pris de décision. On verra comment je serai, psychologiquement et physiquement », a-t-il annoncé à L’Equipe.\n\n\nParis 2024 : « On peut légitimement espérer que notre sport et nos athlètes soient traités avec un peu plus de respect »\n\nLe pivot français du Utah Jazz prendra le temps de la réflexion, après les playoffs NBA, qu’il entame ce weekend contre Dallas, pour décider si oui ou non il disputera l’Euro 2022 avec les Bleus. D’ici là, il espère remporter le titre de meilleur défenseur de l’année pour la quatrième fois et ainsi revenir à hauteur de Ben Wallace et Dikembe Mutombo.\n\nL’ancien Choletais est également revenu sur la polémique du choix de la salle pour la phase 1 de basket aux JO de Paris 2024.\n\n« C’est bien que ces conversations aient eu lieu, qu’on se soit rendu compte qu’il était compliqué que le sport collectif numéro un des Jeux soit installé dans les conditions initiales (au hall 6 du parc des Expositions de la porte de Versailles, à Paris). Il y a beaucoup de sports à gérer pour les JO, mais on peut légitimement espérer que notre sport et nos athlètes soient traités avec un peu plus de respect. (...) On rénove le playground de Saint-Quentin, ce sera peut-être là, c’est la surprise ! Je sais qu’à Paris il y a une super salle, l’AccorArena, et qu’avec le basket, elle serait remplie tous les soirs. Alors... »\n\nPhoto : Rudy Gobert (FIBA)
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Euroleague : saison régulière terminée, les quatre affiches des playoffs sont connues
On connaissait déjà deux affiches : Barcelone – Bayern Munich et Olympiakos – Monaco. La victoire du Maccabi Tel Aviv en baisser de rideau de la saison régulière d’Euroleague détermine ainsi les deux dernières confrontations des playoffs de l’exercice 2021-2022.\n\nLa saison régulière 2021-22 de l’Euroleague s’est achevée mercredi soir avec la victoire du Maccabi Tel Aviv sur Fenerbahçe à domicile (85-76). Grâce à ce succès, les Israéliens terminent 5e de la saison régulière, se qualifient pour la première fois depuis 2015 en quarts et affronteront le Real Madrid (4e) pour une place au Final Four. Derrière eux, les champions d’Europe en titre de l’Anadolu Efes (6e) auront fort à faire face à l’Olimpia Milan (3e), pas épargné par les blessures et cas de Covid ces derniers jours.\n\nRappelons que Barcelone, leader de la saison régulière, jouera contre le Bayern Munich tandis que l’Olympiakos fêtera son grand retour en playoffs face à l’AS Monaco qui a réussi à se qualifier pour les playoffs dès sa première participation à l’Euroleague. Les playoffs débuteront mardi prochain, le 19 avril.\n\nCalendrier playoffs / Classement final saison 2021-2022\n\nRangEquipeMatchsGagnésPerdusPourcentage1FC Barcelone2821775 %2Olympiakos2819967,9 %3Olimpia Milan2819967,9 %4Real Madrid28181064,3 %5Maccabi Tel Aviv28171160,7 %6Anadolu Efes28161257,1 %7AS Monaco28151353,6 %8Bayern Munich28141450 %9Baskonia28121642,9 %10ALBA Berlin28121642,9 %11Etoile Rouge28121642,9 %12Fenerbahçe28101835,7 %13Panathinaïkos2891932,1 %14ASVEL2882028,6 %15Zalgiris Kaunas2882028,6 %\n\nPhoto : Adrien Moerman (Euroleague)
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Forcés de porter le masque, les ultras de l’Olimpia Milan ne reviendront pas au Forum pour les quarts de finale d’Euroleague
Les Ultras Milano ont décidé de quitter à nouveau le Forum en raison des restrictions sanitaires et du manque de soutien les concernant. L’ambiance à Milan est menacée pour les quarts de finale de playoffs d’Euroleague.\n\nTant qu’il y aura une obligation de porter des masques à l’intérieur, les ultras de l’Olimpia Milan ne remettront pas les pieds au Mediolanum Forum pour les matches à domicile de leur équipe. La formation italienne d’Ettore Messina, déjà perturbée par les blessures de Tommaso Baldasso et Ben Bentil et les cas de Covid, devra faire sans son kop pour les deux premières manches des quarts de finale de playoffs contre les champions d’Europe en titre, Anadolu Efes.\n\nLe communiqué des Ultras Milano :\n\n« Après Sassari et Bologne dans une ambiance absolument détendue où nous étions revenus soutenir notre équipe sans aucune restriction, nous nous attendions à un accueil à bras ouverts dans notre maison et... au lieu de cela, on nous envoie la police pour poursuivre les Ultras Milano et seulement les Ultras Milano. Même la société Olimpia s’est avérée victime de l’intolérance de ceux qui continuent à vouloir se renforcer avec des lois devenues ridicules avec la conclusion de l’accord de santé d’urgence et désormais considéré comme obsolète dans tous les autres stades et lieux de loisirs où le bon sens règne.\nSupporter avec le masque n’est pas une option pour ceux qui sont dans les virages et pour ces raisons, nous continuerons à suivre l’Olimpia. Quand les conditions auront changé et l’obligation du port du masque aura définitivement disparu, nous reviendrons au Forum. Nous regrettons de ne pas pouvoir être aux côtés de l’équipe dans un moment important comme les quarts de finale de l’Euroleague mais comme nous l’avons déjà dit, nos droits et nos valeurs passent avant tout match. Rendez-vous au Forum en mai... peut-être ! »\n\nPhoto : Ultras Milano
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Spécial Salaires Pro B 2021-22 : les bonnes et mauvaises affaires JFL, Mathieu Boyer et Lionel Gaudoux les très bonnes pioches, Fréjus Zerbo et Abdel Kader Sylla hors du coup
D’un côté, certains JFL de Pro B réalisent une saison de toute beauté, à un niveau où personne ne les attendait. De l’autre, des joueurs au CV replet sont totalement passé au travers, ne justifiant pas, pour certains, les salaires copieux qui leur étaient versés. Analyse de ces « Top 10 » et « Flop 10 » JFL.\n\nÉquipe par équipe, au quotidien, et par ordre alphabétique, Basket Europe sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B, dont voici le onzième épisode.\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année en vous abonnant.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nAprès avoir décortiqué dans le détail le salaire des quelques 200 joueurs évoluant actuellement en Pro B (non compris les joueurs coupés et les aspirants et stagiaires), nous avons établi le Top 20 des plus hauts salaires de ce championnat. Un Top 20 qui ne tient pas forcément compte des performances des joueurs qui y figurent.\n\nC’est pourquoi nous nous intéressons maintenant aux basketteurs de Pro B qui proposent le meilleur « rapport qualité-prix » et à ceux qui, à l’inverse, affichent un rendement loin de leur passé et de leurs émoluments, en commençant par les JFL (nous évoquerons les non-JFL demain).\n\nPour dresser ces « Top 10 » et « Flop 10 » (les dix joueurs les plus rentables et les dix moins rentables), nous nous sommes basés sur les évaluations de tous les joueurs de Pro B (évaluations relevées le 10 avril), en les divisant par le montant du salaire de chaque joueur et en multipliant le résultat obtenu par 100 000 afin d’obtenir un chiffre « parlant ». Pour les joueurs qui n’ont disputé qu’une partie de la saison, nous avons établi une projection de leur salaire sur la période jouée pour toute l’année (salaire sur 12 mois pour les JFL, mais le salaire dans le tableau est celui concrètement perçu). Enfin, pour établir notre classement des « Top » et « Flop », nous avons également pondéré les chiffres obtenus en fonction des résultats des équipes – de sorte que bien peu de joueurs évoluant dans des clubs de bas de tableau apparaissent dans le « Top 10 » alors qu’à l’inverse rares sont ceux jouant pour une équipe de haut de classement à figurer dans un « Flop 10 ».\n\n\nLes meilleures affaires JFL\n\nEn nous concentrant sur les JFL représentant les meilleures affaires de la division, nous avons dégagé dix joueurs dont les performances sont des plus brillantes au vu de leur salaire – le joueur le mieux payé de ce « Top 10 » émarge à seulement 38 000 € (97e salaire de Pro B), le moins payé à 16 000 € (188e salaire de Pro B).\n\nCe classement est dominé par deux joueurs qui effectuent leurs premiers pas professionnels en Pro B. Et, même s’ils ont été dominants la saison passée en NM1, peu nombreux étaient ceux qui attendaient Mathieu Boyer (Saint-Chamond) et Lionel Gaudoux (Saint-Quentin) à pareille fête : meilleure évaluation de leur équipe, ils contribuent plus que largement à la bonne saison de leur club, premier au classement pour les Couramiauds, cinquième pour les Nordistes.\n\nDerrière eux, Serge Mourtala (Vichy-Clermont) explose enfin en Auvergne, montrant de nets progrès par rapport aux précédents exercices au club tout en continuant à percevoir un salaire modeste. De son côté, Dylan Affo Mama affole les compteurs à Tours après avoir dû passer par la NM1 pour s’affirmer au sortir du centre de formation de Boulazac. Quant à Shekinah Munanga, qui comme Boyer et Gaudoux, effectue sa première saison professionnelle de Pro B, il se montre très à son avantage à Évreux.\n\nDerrière eux dans notre classement (subjectif), Clément Frisch réalise une très belle saison à Denain, de même que Lucas Bourhis dans le marasme de Rouen. Du côté de Vichy-Clermont, outre Serge Mourtala, deux autres petits salaires réalisent un exercice très encourageant, les jeunes Mamadou Guisse et Léopold Delaunay. Enfin, Lorenzo Thirouard-Samson prend de l’ampleur à Lille tout en figurant encore parmi les jeunes joueurs de la division.\n\n\nLes meilleures affaires JFL\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22EquipeEvalQ/PMathieu Boyer5FRA202338 000,00 €Saint-Chamond16,743,95Lionel Gaudoux5-4FRA202235 000,00 €Saint-Quentin14,942,57Serge Mourtala5NGR202220 000,00 €Vichy-Clermont12,361,50Dylan Affo Mama3FRA2022 (+ buyout 12k)29 000,00 €Tours15,051,72Shekinah Munanga3-4RDC202225 000,00 €Evreux11,445,60Clément Frisch4-3FRA2022 (prêt)24 000,00 €Denain10,845,00Lucas Bourhis1FRA8 mois32 500,00 €Rouen13,240,62Mamadou Guisse3FRA202416 000,00 €Vichy-Clermont7,043,75Lorenzo Thirouard-Samson3-2FRAstagiaire puis pro (2022)20 000,00 €Lille8,241,00Léopold Delaunay2FRA202221 000,00 €Vichy-Clermont8,640,95\n\n\nLes moins bonnes affaires JFL\n\nÀ l’autre bout du spectre, plusieurs joueurs déçoivent, avec des profils différents. Certains sont des professionnels confirmés vus à l’étage supérieur, d’autres de jeunes joueurs ne confirmant pas encore le potentiel qu’on leur prête, d’autres enfin ayant du mal à s’affirmer à un niveau qu’ils ne connaissaient pas jusqu’alors.\n\nDans la première catégorie, Fréjus Zerbo (Aix-Maurienne) et Abdel Kader Sylla (Nantes) sortent du lot pour de mauvaises raisons : malgré leur CV, leur rendement est famélique et ils disparaissent progressivement de la rotation de leur équipe. Derrière eux, Ousmane Camara et Ludovic Beyhurst, qui bénéficient de salaires confortables, ne se sont pas encore adaptés aux contraintes de la Pro B, eux qui sont arrivés en cours de saison dans leur club respectif. À Chalon-sur-Saône, Kevin Harley n’a pas l’excuse du manque d’expérience de la Pro B, lui qui y a joué plusieurs saisons, mais ses blessures successives et la forte concurrence à l’Élan Chalon ne lui permettent pas d’avoir un rendement à la hauteur de ses gages.\n\nDu côté des jeunes qui n’apportent pas ce que l’on espérait d’eux, Jules Rambaut a lui aussi souffert de blessures et doit composer avec le collectif défaillant d’un Boulazac en chute libre. Dans des équipes nettement mieux classées, Babacar Niasse, Armand Mensah et Léopold Ca n’ont pas réussi à s’installer dans la rotation et, malgré des salaires réduits (tous à 30 000 € maximum), déçoivent. Enfin, Thomas Tshikaya vit une première saison difficile en Pro B avec Aix-Maurienne, lui qui évolué un peu partout dans le monde mais découvre la deuxième division française.\n\n\nLes moins bonnes affaires JFL\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22EquipeEvalQ/PFréjus Zerbo5CIV/BKF202230 000,00 €Aix-Maurienne1,75,67Abdel Kader Sylla5SEY202265 000,00 €Nantes3,96,50Ousmane Camara5FRA5 mois40 000,00 €Rouen5,97,38Thomas Tshikaya3-4FRA202230 000,00 €Aix-Maurienne1,24,00Jules Rambaut4-5FRA202335 000,00 €Boulazac1,74,86Babacar Niasse2FRA202236 000,00 €Chalon3,08,33Kevin Harley2-1FRA202372 000,00 €Chalon6,69,17Armand Mensah1-2FRA202225 000,00 €Denain2,39,20Léopold Ca4-5FRA202430 000,00 €Antibes2,89,33\n\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\n\nPhoto d’ouverture : Mathieu Boyer – Saint-Chamond (photo SCVDG – Laurent Peigue) – Lionel Gaudoux – Saint-Quentin (photo SQBB – Grégory Portelette) – Montage Basket Europe\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nAprès avoir décortiqué dans le détail le salaire des quelques 200 joueurs évoluant actuellement en Pro B (non compris les joueurs coupés et les aspirants et stagiaires), nous avons établi le Top 20 des plus hauts salaires de ce championnat. Un Top 20 qui ne tient pas forcément compte des performances des joueurs qui y figurent.\n\nC’est pourquoi nous nous intéressons maintenant aux basketteurs de Pro B qui proposent le meilleur « rapport qualité-prix » et à ceux qui, à l’inverse, affichent un rendement loin de leur passé et de leurs émoluments, en commençant par les JFL (nous évoquerons les non-JFL demain).\n\nPour dresser ces « Top 10 » et « Flop 10 » (les dix joueurs les plus rentables et les dix moins rentables), nous nous sommes basés sur les évaluations de tous les joueurs de Pro B (évaluations relevées le 10 avril), en les divisant par le montant du salaire de chaque joueur et en multipliant le résultat obtenu par 100 000 afin d’obtenir un chiffre « parlant ». Pour les joueurs qui n’ont disputé qu’une partie de la saison, nous avons établi une projection de leur salaire sur la période jouée pour toute l’année (salaire sur 12 mois pour les JFL, sur 10 mois pour les non-JFL). Enfin, pour établir notre classement des « Top » et « Flop », nous avons également pondéré les chiffres obtenus en fonction des résultats des équipes – de sorte que bien peu de joueurs évoluant dans des clubs de bas de tableau apparaissent dans le « Top 10 » alors qu’à l’inverse rares sont ceux jouant pour une équipe de haut de classement à figurer dans un « Flop 10 ».\n\n\nLes meilleures affaires JFL\n\nEn nous concentrant sur les JFL représentant les meilleures affaires de la division, nous avons dégagé dix joueurs dont les performances sont des plus brillantes au vu de leur salaire – le joueur le mieux payé de ce « Top 10 » émarge à seulement 38 000 € (97e salaire de Pro B), le moins payé à 16 000 € (188e salaire de Pro B).\n\nCe classement est dominé par deux joueurs qui effectuent leurs premiers pas professionnels en Pro B. Et, même s’ils ont été dominants la saison passée en NM1, peu nombreux étaient ceux qui attendaient\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
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Mario Hezonja (Kazan) : «Il y a beaucoup de choses que je n’aime pas en NBA»
L’ailier croate Mario Hezonja (2,03 m, 27 ans) a réalisé une superbe saison d’Euroleague avec UNICS Kazan (14,2 points et 6,1 rebonds) avant que le club russe soit mis au piquet. Lui qui a joué pour Orlando, New York et Portland de 2015 à 2020, certifie dans une interview pour Tatar-inform qu’il n’a pas spécialement envie de retourner en NBA.\n\nHezonja considère cette saison comme l’une des plus accomplies de sa carrière.\n\n« Oh, bien sûr. A Barcelone, j’étais très jeune. Et puis, en NBA, j’étais jeune aussi, je n’étais pas toujours le premier violon. Et à Kazan, j’ai eu beaucoup de chance, ne serait-ce que parce que trois de nos entraîneurs parlent croate (Velimir Perasovic, Milan Karakash et le Serbe Djordje Varagic). Ils me soutiennent beaucoup, m’aident, tout comme le président du club. Super organisation ici. »\n\nEt donc, à la question de savoir si c’est son projet de faire un nouveau saut en NBA, il répond :\n\n« Non. Il y a beaucoup de choses que je n’aime pas là-bas. Il n’y a aucune envie de revenir en NBA, j’y ai vu beaucoup de choses. L’été, quand commencent les préparatifs de la saison NBA, il y a un niveau complètement différent, c’est quelque chose d’incroyable. Par conséquent, chaque été, je retourne en Amérique et je prépare la saison là-bas, avec de grands joueurs, je le répète, c’est un niveau complètement différent. Mais si nous parlons de savoir si je retourne en NBA ou non, alors tout peut arriver, mais je n’y retournerai pas. Je n’ai pas eu autant de respect sur le terrain que je le méritais. De plus, à mon avis, le basket en NBA est plus un spectacle qu’un match. »\n\nPar ailleurs, le Croate parle du fait que son père, et aussi son oncle, ont été des joueurs professionnels de water-polo.\n\n« Mon père a été à un moment donné le meilleur gardien de but d’Europe en water-polo. Il était excellent dans ce sport. Mais la guerre a commencé et il a dû partir au front. Et quand mon père est revenu de la guerre, j’ai toujours joué au water-polo avec lui et ses amis, bien que j’étais tout petit à l’époque. Parallèlement, je jouais au football, au handball et au basket. Et mon père m’a dit : choisis une chose. Et j’ai choisi le basket. »\n\nPhoto : Euroleague
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Pays-Bas : L’as des interceptions de la FIBA Europe Cup va tirer sa révérence
Worthy De Jong (1,93m, 34 ans) est l’un des rares joueurs néerlandais à être entré dans les livres de record du basket européen. A 34 ans, il a annoncé sa retraite à la fin de la saison.\n\nDe Jong est le seul joueur de l’histoire de la FIBA Europe Cup à atteindre la barre des 100 interceptions, tout en se classant dans le top 10 pour les points (4e), les passes décisives (4e), les rebonds (6e) et les contres (6e).\n\nL’international néerlandais met fin à une carrière professionnelle de 13 ans qui a commencé en 2009 après avoir passé la majorité de ce temps avec le ZZ Leiden. Il a également joué pour Boulogne-sur-Mer lors de la saison 2016-17.\n\n« J’ai joué au basket professionnel pendant 13 ans et j’ai tout donné sur le terrain de basket », a-t-il déclaré au site de la FIBA. « Chaque entraînement et chaque match, je me suis donné à 100% pour en tirer le meilleur parti avec mon équipe. Je suis très reconnaissant à l’organisation, aux sponsors, aux bénévoles et aux fans de Zorg en Zekerheid Leiden pour toutes les merveilleuses années que j’ai pu jouer ici. Je peux me remémorer une période fantastique de ma vie, au cours de laquelle j’ai pu faire de ma passion pour le basket mon métier. »\n\nDe Jong a obtenu une moyenne de 11,3 points, 4,1 rebonds et 5,4 passes décisives par match lors de la saison actuelle de FIBA Europe Cup, alors que Leiden s’est qualifié pour les demi-finales pour la première fois de son histoire.\n\nIl pourrait tirer sa révérence à l’ EuroBasket 2022 s’il est sélectionné par l’équipe nationale avant de se tourner vers le basket 3×3.\n\nPhoto : FIBA
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Guy Prat, l’assistant de Pierre Vincent à l’ASVEL, prend les rênes de Villeurbanne
Assistant à l’ASVEL féminin depuis 2017, Guy Prat (58 ans) souhaitait reprendre sa carrière d’entraîneur principal. Ce sera en NF1 du côté de Villeurbanne.\n\nAncien coach principal à Frontignan et à Autun, l’ancien joueur Guy Prat avait, depuis 2007, la casquette d’assistant coach. Il a accompagné Valéry Demory à Montpellier pendant 10 ans avant de le suivre à l’ASVEL, où il était depuis cette saison l’assistant principal de Pierre Vincent.\n\nLe Lyonnais d’origine change ainsi de projet et succède à Virginie Kevorkian – qui a fait ses adieux la semaine dernière devant près d’un millier de spectateurs – sur le banc de l’ASVEL Villeurbanne en NF1. Son contrat court sur les trois prochaines années.\n\n« J’aspirais à être coach numéro 1 et le projet m’a tout de suite séduit, parce qu’il allie la performance, le côté social et humain », a confié Guy Prat au Progrès.\n\nIl sera accompagné d’un nouveau président, Jean-Matthieu Delacourt, entrepreneur de 44 ans, créateur de la « fédération des très petites entreprises » et passionné de sport, qui succède à Blandine Toullier. Avec ces mouvements, l’objectif du club est clair : monter en Ligue 2 dans les deux ans et doubler le budget, actuellement de 320 000 euros, alors que l’équipe vient de terminer 10e du dernier exercice de NF1 (Poule B).\n\nPhoto : Guy Prat (ASVEL féminin)
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John Stockton était présent mardi soir à Châlons-en-Champagne
C’est un communiqué du club qui nous l’apprend, John Stockton était présent, hier soir, pour le match Champagne Basket vs Nanterre.\n\n« Hier soir, le Champagne Basket a pu compter sur le soutien d’un supporter de marque. John Stockton, était en effet venu discrètement encourager son fils Michael. Très discret, il fallait soit être dans la confidence, soit être un fin connaisseur de basket pour reconnaitre le Champion Olympique en 1992 avec la Dream Team. 9 fois consécutives meilleur passeur de la ligue et meilleur passeur de l’histoire de la NBA, MVP en 1993, 2 fois finaliste du championnat face aux Bulls de Michael Jordan, 10 fois All Star,... Ce n’est rien de moins que l’un des plus grands joueurs de l’histoire du basket qui nous a fait l’honneur de sa présence. »\n\nMalheureusement pour lui, le Champagne Basket a pris une claque face à Nanterre (73-104) et Michael Stockton a été peu en verve (5 points et 3 passes en 23 minutes). La situation du club marnais est de plus en plus périlleuse.\n\n« C’est une grosse défaite subite à la maison, a constaté le nouveau coach, Frédéric Jaudon. C’est une grosse défaite car on n’a pas existé dès la deuxième minute du match. On avait demandé à durcir le jeu, à rendre les choses difficiles à l’adversaire et on n’a pas réussi à le faire. On a perdu une quantité de ballon inconcevable et on a perdu des joueurs qui étaient complètement à côté de leur niveau. Je suis déçu de prendre 30 points à la maison. On va continuer, tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir. Quand on est dernier, il faut gagner des matchs. »
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Moustapha Fall (Olympiakos), à propos de l’AS Monaco : «Ils sont vraiment attachés à leur entraîneur et cela fait la différence»
Il est évident que l’Olympiakos se méfie de son quart-de-finale face à l’AS Monaco. Et dans une interview à BasketNews, Moustapha Fall (2,18m, 30 ans) prévient que la Roca Team a changé de statut depuis que Sasa Obradovic est son coach.\n\n« Nous nous attendons à des matchs très difficiles. C’est une équipe très bien entraînée et talentueuse. Nous avons l’avantage du terrain et nous voulons en tirer le meilleur parti, mais nous savons que ce sera un bon combat. »\n\nLe 5 novembre, Olympiakos avait laminé les Monégasques en Grèce (85-65), mais ceux-ci ont pris une belle revanche, au retour, en Principauté (92-72).\n\n« Pour moi, c’est une équipe totalement différente maintenant. Ils ne jouent plus de la même manière qu’avant. Je ne sais pas combien de victoires consécutives ils ont remportées dans la deuxième partie de la saison, mais même dans les matchs qu’ils ont perdus, ce n’était que de quelques points. Ils jouent en défense maintenant », poursuit-il. « Avant, ils ne jouaient aucune défense. Ils sont vraiment attachés à leur entraîneur et cela fait la différence. »\n\nA propos du renouvellement de son contrat jusqu’en 2025, l’international confirme :\n\n« J’aime la situation ici, le club, l’organisation, les fans et leur passion. Pour moi, ce fut une décision facile. L’Olympiakos est une grande équipe. Et vivre en Grèce est également agréable pour moi et ma famille. J’aime être ici et nous avons aussi gagné, donc je n’ai aucune raison de tester le marché en été. »\n\nPhoto : Euroleague
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Cholet a désormais des envies de playoffs
Après avoir flirté avec la zone rouge, Cholet Basket est quasiment définitivement assuré de se maintenir en Betclic Elite, et n’est plus qu’à une victoire du Mans, le 8e.\n\nCela a fait dire à son coach Laurent Vila après la victoire sur Orléans (80-71), des propos rapportés par Le Courrier de l’Ouest :\n\n« Comme quoi, tout est possible dans ce championnat très dense. Les playoffs, ce n’est pas qu’un rêve. »\n\nBoris Dallo est dans le même état d’esprit :\n\n« On savait que ce serait un match difficile face à une équipe qui se bat pour le maintien. Il fallait que l’on imprime le rythme surtout défensivement, pour ne pas leur laisser d’espoir de gagner ce match. Ça fait partie du job de gérer ces moments où on a un petit trou d’air. On l’a fait comme il se devait dans le 3e quart. On garde notre objectif en vie, et on regarde match par match. Une salle pleine c’est bénéfique, cela nous donne l’énergie dont on a besoin. Le point de vue de nos adversaires a changé à notre sujet, mais nous, on reste concentrés sur nous-même. On regarde dans le haut et pas derrière nous. Le match de samedi va être très important. Bourg est une équipe d’Eurocup avec 12 joueurs très performants. »\n\nFace à Orléans, ce sont D.J. Hogg (19 d’évaluation), Dominic Artis (19) et O.D. Anosike (18) qui ont accompli les meilleures performances individuelles, et surtout, malgré une différence finale au score peu élevée, on note le 97-66 global à l’éval.\n\nPhoto : Boris Dallo (Thomas Savoja)
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Grèce : Frangiskos Alvertis quitte aussi le Panathinaikos
Après 32 ans au club comme joueur, entraîneur et cadre administratif, Frangiskos Alvertis quitte le Panathinaikos.\n\nLe propriétaire Dimitris Giannakopulos a décidé de faire le ménage au club. Alors que Le Directeur Général, Dimitris Diamantidis, et le Directeur Sportif, Nikos Pappas, ont été licenciés, et que le président Panagiotis Triantopoulos a démissionné, Frangiskos Alvertis avait été relevé de ses fonctions de co-GM, mais en conservant la possibilité de demeurer au club comme manager de l’équipe, ce qu’il n’a pas accepté.\n\nFrangiskos Alvertis a rencontré dans la matinée Dimitris Diamantidis, puis ils se sont rendus ensemble à la salle OAKA pour saluer les joueurs et leurs anciens collaborateurs.\n\n« Que de la fierté, de l’honneur et de l’amour pour l’équipe. Les raisons de mon départ sont purement personnelles », a t-il simplement écris.\n\nAlvertis et Diamantidis sont les deux seuls joueurs du club dont les maillots ont été retirés.
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Vidéo : L’interview décalée de Valériane (Basket Landes) et Gérald (Pau) Ayayi
Basket Landes et l’Elan Béarnais Pau-Orthez seront réunis à Paris, le samedi 23 avril à l’occasion des finales de Coupe de France. Un moment unique pour Valériane et Gérald Ayayi, qui se sont retrouvés au Palais des Sports de Pau pour une interview décalée.\n\nPhoto: FIBA
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BCL : Manresa et Sylvain Francisco qualifiés pour le Final Four
Le Baxi Manresa a réussi à s’imposer à Malaga (89-91) et s’est qualifié ainsi pour le Final Four de la Basketball Champions League.\n\nLe Nigérian Chima Moneke (24 points et 5 rebonds) et Sylvain Francisco (17 points et 4 passes, dont un trois-points pour égaliser à 89-89 avec 36,3 secondes à jouer) ont été les deux meilleurs marqueurs de Manresa. Joe Thomasson a marqué le panier décisif alors qu’il restait une seconde à jouer au chrono. Moneke a été intense sur le terrain et... à la fin du match.\n\n« J’adore le basket, cette ambiance », a-t-il déclaré après plusieurs minutes à écouter les huées des supporters locaux mais satisfait d’avoir guidé son équipe à une belle victoire. « On va au Final Four et c’est super mais ça ne s’arrête pas là. La saison n’est pas finie », a-t-il prévenu.\n\nSon coéquipier Sylvain Francisco a analysé les raisons de la victoires de son équipe en conférence de presse :\n\n« Ils ont commencé à changer défensivement et ils nous ont créé beaucoup de problèmes mais nous avons été dans cette situation plusieurs fois cette saison et nous sommes très confiants. Nous avons fait de bonnes défenses et trouvé des solutions en attaque. »
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EuroBasket 2022 – Evan Fournier à propos du forfait de Nicolas Batum : «Je trouve dommage qu’il se projette avant même les playoffs»
Les New York Knicks ont terminé 11e de la Conférence Est, aussi la saison NBA d’Evan Fournier (2,01 m, 29 ans) est terminée. Pour L’Equipe, il s’est projeté sur l’EuroBasket -1er au 18 septembre-, commentant les forfaits de Nando de Colo et Nicolas Batum.\n\n« Frank (Ntilikina) devrait avoir plus de responsabilités à la mène. On va évaluer les jeunes, notamment avec la fenêtre en juin. Je pense à Théo (Maledon), je pense à Killian Hayes... et d’autres joueurs que je n’ai pas en tête là. Timothé (Luwawu-Cabarrot) devrait lui combler l’absence de Nico et passer clairement titulaire. Mais je vais d’abord voir Vincent (Collet, le sélectionneur). Avec Rudy (Gobert), on était déjà cadres, donc notre rôle ne change pas, mais on aurait été moins seuls avec Nando et Nico. Nando nous l’avait dit le soir même de la médaille d’argent à Tokyo, ce qui traduisait à quel point il en avait besoin. Pour Nicolas, je n’ai pas mon mot à dire, mais je trouve dommage qu’il se projette avant même les playoffs. C’est quand même le capitaine de l’équipe. Donc je suis déçu, mais je lui fais confiance. Là où je ne suis pas d’accord, c’est de voir 2024 comme une récompense. C’est une compétition comme une autre, même si elle est plus médiatisée. Ce qu’on vit tous les étés vaut aussi le coup, et tu ne sais pas ce qu’il va se passer en trois ans. »\n\nPhoto : FIBA
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Spécial Salaires Pro B 2021-22 : le Top 20 des salaires, Antoine Eïto et Mickaël Gelabale tout en haut, Chalon a cassé sa tirelire
Parmi le top 20 des plus hauts salaires pratiqués dans la deuxième division française, deux Français, Antoine Eïto et Mike Gelabale, arrivent en tête. Et leur club, l’Élan Chalon, fort de son imposante masse salariale, place 5 joueurs dans ce top 20. Personne ne fait mieux, évidemment.\n\nÉquipe par équipe, au quotidien, et par ordre alphabétique, Basket Europe sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B, dont voici le dixième épisode.\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année en vous abonnant.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nLe top 20 des salaires de Pro B comporte peu de surprises. Si ce n’est que l’on dénombre 10 Français parmi les 22 joueurs les mieux payés (et non 20 car il y a trois ex-aequo sur le vingtième salaire de Pro B). Du reste, si l’on établissait un top 20 des joueurs formés localement (JFL), le 20e émargerait à 55 000 €, une somme identique à celle perçue par le 20e étranger. En moyenne, le joueur faisant partie du top 20 gagne près de 82 000 euros annuels net. Un joli chèque.\n\nCela étant, les salaires de Pro B sont sans commune mesure avec ceux pratiqués en Betclic Élite, même en ne tenant pas compte des énormes émoluments des Monégasques Mike James et Donatas Motiejunas. Avec leurs 120 000 € par an, Antoine Eïto et Mike Gelabale ne figureraient qu’aux alentours de la 80e place des plus hauts salaires de première division. Derrière eux, les salaires de ce top 20 de Pro B se positionneraient entre la 112e et la 158e place du classement dans l’élite. Une donnée qui montre bien l’écart existant entre les deux championnats en termes de finances.\n\nSi l’on s’intéresse aux clubs qui payent le mieux leurs joueurs, on ne peut que constater la prédominance de Chalon-sur-Saône, avec cinq joueurs dans ce top 20 (Tomislav Gabric, Damien Bouquet et Kevin Harley y rejoignant Antoine Eïto et Mike Gelabale). Suit derrière Boulazac, avec 3,5 joueurs (le « demi joueur » étant Marquis Wright, dont le salaire sur la saison est le cumul de ses gains avec Boulazac – 25 000 € – et ceux avec l’ASA – 50 000 € –, équipe avec laquelle il finit la saison après avoir été coupé du club périgourdin). On trouve ensuite trois membres du top 20 jouant pour Antibes et Nantes, deux pour Blois et Nancy, un pour Lille, Rouen et Tours. Enfin, comme déjà vu, l’ASA figure dans le classement grâce à son « demi joueur » Marquis Wright.\n\nÀ l’analyse de cette répartition par clubs, il est intéressant de constater que de très bien payer un ou des joueur(s) (de Pro B s’entend) ne garantit en rien un bon classement dans la division. Si Chalon, Nancy, Blois et Antibes figurent en haut de classement, ils sont tous devancés par Saint-Chamond, dont le joueur le mieux payé, Sasa Borojnak, touche le 24e salaire de Pro B. À l’autre bout du spectre, Nantes, Boulazac et plus encore Rouen sont en position de relégable ou bien proche de l’être, malgré un ou plusieurs joueurs très correctement payés. Preuve que l’alchimie d’une équipe apporte souvent plus de résultats que le recrutement d’une ou plusieurs « stars ».\n\nPar ailleurs, il est tout aussi intéressant de noter que quelques joueurs, coupés ou arrivés en cours de saison, bénéficieraient de revenus leur permettant d’intégrer le top 20 s’ils avaient disputé toute la saison dans leur club. Cela étant, il faut bien prendre en compte que ces calculs sont tout à fait théoriques, les clubs concernés n’ayant sans doute pas signé des contrats avec ces joueurs à cette hauteur.\n\nCe qui n’empêche que Martins Meiers, prêté au bout de 4 mois par l’Élan Chalon au club polonais de Slask Wroclaw, serait le joueur le mieux payé de Pro B (environ 130 000 €) s’il était resté toute la saison. 8 joueurs arrivés en cours de saison pourraient entrer dans le top 20 s’ils avaient disputé un exercice complet : à Chalon, Jonathan Augustin-Fairell, Desmond Washington et Rolands Freimanis ; Nicolas de Jong et Jamar Wilson à Boulazac, Ousmane Camara à Rouen, Kevin Dinal à Nantes et Georgi Joseph à Aix-Maurienne... Une fois de plus, l’on constate que Boulazac, Rouen et Nantes ont investi dans des recrues amenées à pallier des absences et à redresser l’équipe sans résultat probant.\n\nDernier point, dix joueurs de notre top 20 ont déjà évolué en première division, ce qui montre qu’ils sont prêts à descendre d’un étage tout en ne réduisant pas de manière considérable leurs émoluments. Mais si la plupart d’entre-eux se montrent performants, les 3,9 d’évaluation d’Abdel Kader Sylla font désordre pour ce niveau de salaire.\n\n\nLes 20 salaires les plus importants de Pro B\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22Equipe1Antoine Eito1FRA2024120 000,00 €Chalon1Mickael Gelabale3-4FRA2022120 000,00 €Chalon3Nana Foulland5USA202295 000,00 €Boulazac4Caleb Walker3-2USA202290 000,00 €Nancy4Charles Thomas4USA202290 000,00 €Nantes4Tomislav Gabric3-4CRO202290 000,00 €Chalon4Damien Bouquet3-2FRA202490 000,00 €Chalon8Tyren Johnson4USA202285 000,00 €Blois8Quentin Serron2BEL202285 000,00 €Boulazac8Stephane Gombauld4-5FRA202385 000,00 €Nancy8Terry Smith2-1USA/ARM202385 000,00 €Nantes12Jean-Marc Pansa5-4FRA202575 000,00 €Antibes12Marquis Wright1USA8 mois + 3 mois75 000,00 €ASA Basket + Boulazac14Kevin Harley2-1FRA202372 000,00 €Chalon15Tim Derksen3-2USA/ITA202270 000,00 €Antibes15Temidayo Yussuf5USA/NIG202270 000,00 €Antibes15Alexis Tanghe4-5FRA202270 000,00 €Blois15Jean-Victor Traoré4FRA202270 000,00 €Lille15Tyran De Lattibeaudiere4-5JAM202270 000,00 €Tours20Ivan Février4-3FRA202265 000,00 €Boulazac20Filip Adamovic1SRB/BOS202465 000,00 €Rouen20Abdel Kader Sylla5SEY202265 000,00 €Nantes\n\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10 %.\n\nPhoto d’ouverture : Antoine Eito (Chalon) – Nana Foulland (Boulazac) – Mike Gelabale (Chalon)\n/ Charlotte Geoffray – montage Basket Europe\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nLe top 20 des salaires de Pro B comporte peu de surprises, si ce n’est que l’on y dénombre 10 joueurs français. Du reste, si l’on établissait un top 20 des joueurs formés localement (JFL), le 20e émargerait à 55 000 €, une somme identique à celle perçue par le 20e étranger. En moyenne, le joueur faisant partie du top 20 gagne près de 82 000 euros annuels net. Un joli chèque.\n\nCela étant, les salaires de Pro B sont sans commune mesure avec ceux pratiqués en Betclic Élite, même en ne tenant pas compte des énormes émoluments des Monégasques Mike James et Donatas Motiejunas...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
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Basketball Champions League : Strasbourg a pris la porte
Vaincue une deuxième fois par l’Hapoël Holon (80-81), la SIG Strasbourg est éliminée en quart-de-finale de la BCL.\n\nMatt Mitchell avait donné l’avantage aux Alsaciens à 30 secondes du buzzer sur un 2+1, mais c’est Joe Ragland qui inscrivait le panier victorieux à 11 secondes de la fin puisque le même Matt Mitchell ratait ensuite le shot décisif.\n\nC’est sa défaillance dans le troisième quart-temps (12-27), qui a privé la SIG de son avantage constitué à la 14e minute (35-20) et maintenu à la mi-temps (49-35). Sinon son dernier shoot manqué, Matt Mitchell a été très bon avec 24 points, alors que Léo Cavalière a loupé d’un cheveu le double double (9 points et 10 rebonds).\n\n« On n’a pas su se mettre à l’abri », a constaté Jean-Baptiste Maille, propos rapportés par les DNA. « On réalise peut-être un bon match mais on est d’abord éliminé de la BCL. J’aurais préféré faire un mauvais match et jouer une belle. On n’a pas su accélérer encore et nos erreurs nous coûtent cher. »\n\nMonaco et Boulogne-Levallois sont désormais les deux seules équipes françaises encore en course dans les coupes européennes. Quant à la SIG, avec Amine Noua en renfort, elle pourra jouer les trublions dans le championnat national et elle va se retrouver en finale de la Coupe de France, le 23 avril, face à Pau.\n\nPhoto : Léo Cavalière (FIBA)
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Grèce : La légende du club, Dimitris Diamantidis et tout le staff virés du Panathinaikos !
Le Directeur Général, Dimitris Diamantidis, et le Directeur Sportif, Nikos Pappas ont été licenciés par le Panathinaikos. Le co-GM, Fragiskos Alvertis a été relevé de ses fonctions, mais conserve la possibilité de demeurer au club comme manager de l’équipe. Quant au président Panagiotis Triantopoulos, il a démissionné !\n\nL’ancien entraîneur du club Argiris Pedoulakis, est déjà embauché en tant que nouveau directeur technique de l’équipe et il reste à savoir qui sera le nouvel entraîneur. Le Pana pourrait faire revenir George Vovoras parti à Debrecen. Ce tourbillon est survenu quelques heures après la défaite à domicile face à l’Olympiakos et alors que le Pana a terminé à une médiocre 13e place en Euroleague. Derrière ces décisions incroyables, on trouve la main du sanguin propriétaire Dimitris Giannakopoulos :\n\n« Il y a deux ans, suite à la décision du propriétaire de mettre l’équipe en vente, la direction de l’équipe a été confiée à M. Triantopoulos, Alvertis, et Diamantidis. L’objectif clair depuis le début était que l’organisation fonctionne avec un budget équilibré et crée un noyau de base d’athlètes et construise une équipe pour aujourd’hui et surtout pour demain. Cependant, la partie financière a été un échec complet, entraînant une charge du propriétaire de 3 millions d’euros, jusqu’à présent. Par conséquent, M. Dimitris Giannakopoulos a accepté la démission de M. Panagiotis Triantopoulos du poste de président de l’équipe. M. Triantopoulos restera cependant à son poste institutionnel jusqu’au 30/6/22 afin de ne pas créer de problème dans le bon fonctionnement de l’équipe », écrit le club dans un communiqué.\n\nPhoto : Dimitris Diamantidis
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Nenad Markovic (coach Dijon) après la victoire sur Monaco : «Marquer 96 points à une telle équipe...»
Monaco est tombé à Dijon (96-87), et laisse la première place de Betclic Elite à Boulogne-Levallois.\n\nCe n’est pas tous les jours que l’on accroche à son tableau de chasse une équipe du top 8 de l’Euroleague. La JDA Dijon l’a fait. Même si, à chaque match de Betlic Elite, le coach monégasque Sasa Obradovic laisse pour des raisons règlementaires des joueurs étrangers de côté. C’était cette fois le cas pour Paris Lee, Rob Gray, Brock Motum et Donatas Motiejunas. Mais Mike James (17 points), Will Thomas (16) et encore Donta Hall (12 points et 6 rebonds) et Alpha Diallo (10 points et 7 rebonds) étaient bien là. Cela n’a pas été suffisant.\n\nAprès trois défaites d’affilée, la JDA s’est magnifiquement reprise, notamment grâce à une belle adresse en première mi-temps (65% de réussite, 13/22 à trois-points au final), et, après avoir mené de 14 points, elle a su résister au forcing de la Roca Team dans les dernières minutes. Avec 19 points et 8 passes, David Holston a été une fois encore épatant. Tout comme Khadeen Carrington (26 points) et Rashard Kelly (11 points et 8 rebonds).\n\n« J’ai senti tout de suite qu’on mettait plus d’énergie dans nos courses, notre circulation de balle, et notre défense, a commenté le coach Nenad Markovic, propos rapportés par Le Bien Public. Depuis le match contre Chalons/Reims, je sentais qu’on était un peu éteint physiquement et mentalement, mais je savais qu’on pouvait faire mieux si on retrouvait la bonne énergie. Strasbourg nous avait donné une leçon sur la façon de courir pour s’offrir des shoots rapides, et à l’entraînement on avait vu ce qu’il fallait faire mieux. Là on a tout de suite été dans le bon rythme. Marquer 96 points à une telle équipe, j’en suis vraiment heureux pour les fans, pour les joueurs. Moi aussi je suis heureux mais je veux gagner tous les matches. »\n\nPhoto : Nenad Markovic (FIBA)
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NM1 : 5 100 spectateurs à Poitiers et une 2e place assurée
5 100 spectateurs pour l’inauguration du Futuroscope de Poitiers et une victoire de l’équipe locale sur Lyon (72-67), qui lui assure la 2e place de la poule haute.\n\nPoitiers a inauguré son aréna à guichets fermés, dans une belle ambiance, et voici les Poitevins assurés de la deuxième place de la poule haute à deux journées de la fin car Le Havre a été battu à La Rochelle. Le PB86 aura ainsi jusqu’au bout l’avantage du terrain en playoffs.\n\nL’équipe de Andy Thornton-Jones a tout de même souffert pour s’imposer aux Lyonnais en raison d’une terrible maladresse dans les tirs primés (1/21), et avec son arme offensive privilégiée, Marcus Relphorde à seulement 4 points.\n\n\n« C’est assez classique quand on arrive dans une grande salle où l’on n’a pas de repères. Des joueurs qui, d’habitude, tournent à 30 ou 40 % à trois points, n’ont pas réussi à régler la mire. Mais on a trouvé d’autres moyens pour aller chercher le match, » s’est félicité le coach pour La Nouvelle République. « On savait qu’il fallait un match défensif pour battre cette équipe. On a fait les stops au moment où il fallait, notamment Charly (Pontens) et Lovro (Mazalin) à la toute fin », a ajouté Marius Chambre.\n\n\nPas de doute l’Arena Futuroscope mérite la Pro B. Encore un effort...\n\nPhoto : Poitiers B86
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Les Français de l’étranger : Mam Jaiteh fait le show
Cette semaine se disputaient les fins de saison régulière en Euroleague et en Eurocup. Celles-ci ont été marquées par les performances d’Adrien Moerman et de Louis Labeyrie. En Italie, Mam Jaiteh et Isaia Cordinier ont été décisifs dans la belle victoire de la Virtus Bologna sur Milan.\n\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Turquie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nMam Jaiteh réussit son meilleur match de la saison en Lega\n\nEn Italie, la Virtus Bologna recevait Milan pour le match au sommet du basket italien. Mam Jaiteh a débuté la rencontre au poste de pivot. Il était opposé à l’Américain Kaleb Tarczewski. Il a été la seconde option offensive de son équipe avec 11 tirs tentés (derrière Kyle Weems). Très efficace, il en a transformés 8 pour marquer 18 points. Il a été le co-meilleur marqueur du match à égalité avec Weems et Isaia Cordinier. Il en a également été le meilleur rebondeur avec 15 unités (soit la moitié du total de l’équipe lombarde). Son joli double-double lui a permis d’obtenir une évaluation de 29. Le Francilien a été le MVP de ce match capital pour le classement final. Il a réalisé ses meilleures performances de la saison en championnat en terme d’évaluation et de points. Il a aussi établi son record de rebonds de la saison toutes compétitions confondues. Au final, l’équipe d’Emilie-Romagne a remporté la rencontre largement 83-65. Cette victoire lui a donné deux victoires d’avance en tête de la Lega à six matchs du terme.\n\n\nAdrien Moerman très efficace contre le Bayern Munich\n\nEn Euroleague, pour l’avant-dernier match de la saison régulière, l’Anadolu Efes recevait le Bayern Munich. Adrien Moerman était sur le terrain pour commencer le match. Il a partagé son temps de jeu à l’intérieur avec Chris Singleton. Il a ainsi disputé 21 minutes. Il a parfaitement mis à profit son temps de jeu pour réussir un match complet. En attaque, il a réussi un excellent 3/4 à longue distance et un parfait 4/4 à deux points. Il a ainsi scoré 17 points. Avec 6 rebonds en sus, l’ancien Orléanais a pu collecter une évaluation de 19. Il a été le meilleur Français de la semaine dans la compétition phare du Continent. Le duo qu’il a formé avec Shane Larkin a été décisif dans la victoire du club stambouliote à domicile 81-76. L’équipe d’Ergin Ataman est pour le moment sixième avant le dernier match de saison régulière mercredi.\n\n\nLouis Labeyrie décisif en sortie de banc\n\nEn Eurocup, pour le dernier match de la saison régulière, Valencia recevait l’équipe allemande d’Ulm. Louis Labeyrie était remplaçant au début du match derrière le duo Jaime Pradilla-Mike Tobey. Il a malgré tout bénéficié du plus gros temps de jeu de l’équipe avec 24 minutes. Très impliqué offensivement, il a rentré les trois quarts des huit tirs tentés. Il a notamment réussi un sans-faute de loin (avec 2/2). Cette excellente adresse lui a donné la possibilité d’inscrire 14 points. A sa contribution en attaque, il a ajouté 5 rebonds. Au final, l’ancien joueur de Hyères-Toulon a obtenu une évaluation de 20, soit la troisième de l’équipe derrière Jaime Pradilla et Bojan Dubljevic. Le secteur intérieur espagnol a été primordial dans la large victoire 103-71. Deuxième de son groupe, l’équipe de Joan Peñarroya sera opposé en Playoffs à une autre équipe allemande, Hamburg.\n\n\nLe 5 majeur de la semaine :\n\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : Starter à la mène. 9 points (3/7 aux tirs dont 2/3 à trois points, 1/2 aux lancers-francs), 7 rebonds, 6 passes pour 18 d’évaluation en 24 minutes (défaite 76-69 contre Venezia en Eurocup).\n\nIsaia Cordinier (Virtus Bologna) : Starter à l’arrière. 18 points (5/7 aux tirs dont 1/3 à trois points, 7/7 aux lancers-francs), 3 rebonds, 2 passes pour 23 d’évaluation en 35 minutes (victoire 83-65 contre Milano en Italie).\n\nLouis Labeyrie (Valencia) : 14 points (6/8 aux tirs dont 2/2 à trois points), 5 rebonds pour 20 d’évaluation en 24 minutes (victoire 103-71 contre Ulm en Eurocup).\n\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : Starter à l’intérieur. 17 points (7/8 aux tirs dont 3/4 à trois points), 6 rebonds pour 19 d’évaluation en 21 minutes (victoire 81-76 contre le Bayern Munich en Euroleague).\n\nMam Jaiteh (Virtus Bologna) : Starter au pivot. 18 points (8/11 aux tirs, 2/2 aux lancers-francs), 15 rebonds, 1 passe et 4 ballons perdus pour 29 d’évaluation en 29 minutes (victoire 83-65 contre Milano en Italie).\n\nEUROLEAGUE\n\nThomas Heurtel (Real Madrid) : N’a pas joué (contre le Bayern Munich).\n\nFabien Causeur (Real Madrid) : Starter à l’arrière. 12 points (4/5 à trois points), 2 rebonds, 4 passes pour 15 d’évaluation en 15 minutes (défaite 97-88 contre le Bayern Munich).\n\nGuerschon Yabusele (Real Madrid) : Starter à l’intérieur. 12 points (3/9 aux tirs dont 1/4 à trois points, 5/6 aux lancers-francs), 4 rebonds, 2 passes pour 11 d’évaluation en 31 minutes (défaite 97-88 contre le Bayern Munich).\n\nVincent Poirier (Real Madrid) : 2 points (2/2 aux lancers-francs), 1 rebond, 2 passes pour 3 d’évaluation en 13 minutes (défaite 97-88 contre le Bayern Munich).\n\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : N’a pas joué (contre le Bayern Munich et à l’Etoile Rouge Belgrade).\n\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : Starter à l’intérieur. 7 points (3/4 aux tirs dont 1/1 à trois points, 0/1 aux lancers-francs), 4 rebonds pour 8 d’évaluation en 19 minutes (défaite 93-85 à l’Etoile Rouge Belgrade).\n\nNando De Colo (Fenerbahçe) : N’a pas joué (contre le Panathinaikos).\n\nEUROCUP\n\nAmine Noua (Andorra) : N’a pas joué (au Slask Wroclaw).\n\nMouhammadou Jaiteh (Virtus Bologna) : Starter au pivot. 11 points (4/6 aux tirs, 3/7 aux lancers-francs), 5 rebonds, 2 passes et 4 ballons perdus pour 16 d’évaluation en 19 minutes (victoire 90-68 à Bourg).\n\nIsaia Cordinier (Virtus Bologne) : Starter à l’arrière. 8 points (3/6 aux tirs dont 2/5 à trois points, 0/2 aux lancers-francs), 4 rebonds, 1 passe pour 10 d’évaluation en 22 minutes (victoire 90-68 à Bourg).\n\nMathias Lessort (Partizan Belgrade) : 6 points (2/6 aux tirs, 2/2 aux lancers-francs), 8 rebonds pour 9 d’évaluation en 20 minutes (victoire 79-63 à Trento).\n\nBASKETBALL CHAMPIONS LEAGUE\n\nSylvain Francisco (Manresa) : 12 points (4/12 aux tirs dont 4/8 à trois points), 2 rebonds, 1 passe pour 6 d’évaluation en 20 minutes (victoire 86-63 contre Malaga).\n\nAxel Bouteille (Malaga) : 8 points (3/12 aux tirs dont 2/7 à trois points), 3 rebonds pour 0 d’évaluation en 22 minutes (défaite 86-63 à Manresa).\n\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : 5 points (2/5 aux tirs dont 1/3 à trois points), 1 rebond, 1 passe et 3 interceptions pour 6 d’évaluation en 23 minutes (victoire 93-75 contre Strasbourg).\n\nESPAGNE\n\nThomas Heurtel (Real Madrid) : N’a pas joué (à Barcelona).\n\nFabien Causeur (Real Madrid) : 3 points (1/2 aux tirs dont 1/1 à trois points), 1 rebond, 3 ballons perdus pour 0 d’évaluation en 13 minutes (défaite 108-97 à Barcelona).\n\nGuerschon Yabusele (Real Madrid) : Starter à l’intérieur. 13 points (4/7 aux tirs dont 1/2 à trois points, 4/5 aux lancers-francs), 3 rebonds pour 17 d’évaluation en 32 minutes (défaite 108-97 à Barcelona).\n\nVincent Poirier (Real Madrid) : 14 points (3/4 aux tirs, 8/12 aux lancers-francs), 6 rebonds, 1 passe pour 18 d’évaluation en 24 minutes (défaite 108-97 à Barcelona).\n\nLouis Labeyrie (Valencia) : N’a pas joué (à Bilbao).\n\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : Starter à la mène. 2 points (1/5 aux tirs dont 0/2 à trois points), 2 rebonds, 4 passes et 3 ballons perdus pour 5 d’évaluation en 27 minutes (défaite 86-75 à Murcia).\n\nAmine Noua (Andorra) : N’a pas joué (à Malaga).\n\nAxel Bouteille (Malaga) : 6 points (2/5 aux tirs dont 1/2 à trois points, 1/2 aux lancers-francs), 5 rebonds pour 7 d’évaluation en 16 minutes (victoire 78-74 contre Andorra).\n\nSylvain Francisco (Manresa) : 6 points (2/8 aux tirs dont 2/5 à trois points), 3 passes pour 2 d’évaluation en 20 minutes (victoire 95-91 contre Badalona).\n\nIbrahim Magassa (Sevilla) : N’a pas joué (contre Zaragoza).\n\nJonathan Rousselle (Bilbao) : 11 points (4/6 aux tirs dont 3/4 à trois points), 3 rebonds, 2 passes pour 13 d’évaluation en 19 minutes (victoire 84-78 contre Valencia).\n\nDamien Inglis (Bilbao) : 19 points (8/13 aux tirs dont 0/2 à trois points, 3/5 aux lancers-francs), 5 rebonds, 2 passes pour 19 d’évaluation en 23 minutes (victoire 84-78 contre Valencia).\n\nTURQUIE\n\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : N’a pas joué (contre Afyon).\n\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : n’a pas joué (contre Afyon).\n\nNando De Colo (Fenerbahçe) : N’a pas joué (contre Galatasaray).\n\nAmath M’Baye (Pinar Karsiyaka) : Starter à l’intérieur. 13 points (2/10 aux tirs dont 1/4 à trois points, 8/8 aux lancers-francs), 4 rebonds, 2 passes pour 10 d’évaluation en 25 minutes (victoire 79-78 contre le Tofas Bursa).\n\nAlpha Kaba (Gaziantep) : N’a pas joué (contre Petkim Spor).\n\nMurat Kozan (Petkim Spor) : N’a pas joué (à Gaziantep).\n\nGRECE\n\nMoustapha Fall (Olympiacos) : Starter au pivot. 5 points (1/2 aux tirs, 3/4 aux lancers-francs), 4 rebonds, 2 passes pour 7 d’évaluation en 13 minutes (victoire 89-67 contre l’Aris Salonique).\n\nStarter au pivot. 6 points (3/5 aux tirs, 0/1 aux lancers-francs), 4 rebonds, 2 passes et 3 ballons perdus pour 7 d’évaluation en 26 minutes (victoire 68-62 au Panathinaikos).\n\nLivio Jean-Charles (Olympiacos) : 4 points (2/4 aux tirs dont 0/1 à trois points, 0/2 aux lancers-francs), 5 rebonds, 2 passes pour 8 d’évaluation en 17 minutes (victoire 89-67 contre l’Aris Salonique).\n\nN’a pas joué (au Panathinaikos).\n\nKim Tillie (Kolossos) : N’a pas joué (contre Promitheas).\n\nLIGUE ADRIATIQUE\n\nMathias Lessort (Partizan Belgrade) : 10 points (4/4 aux tirs, 2/4 aux lancers-francs), 8 rebonds, 1 passe pour 19 d’évaluation en 21 minutes (victoire 97-68 au Mega Mozzart Belgrade).\n\nMalcolm Cazalon (Mega Mozzart Belgrade) : 11 points (4/10 aux tirs dont 1/5 à trois points, 2/2 aux lancers-francs), 1 rebond, 1 passe pour 5 d’évaluation en 21 minutes (défaite 97-68 contre le Partizan Belgrade).\n\nISRAEL\n\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : Starter à l’arrière. 5 points (1/3 à trois points, 2/2 aux lancers-francs), 2 passes pour 5 d’évaluation en 23 minutes (victoire 85-82 contre le Maccabi Tel-Aviv).\n\nLITUANIE\n\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : N’a pas joué (à Jonava).\n\nDaryl Doualla (Nevezis) : Starter à l’arrière. 3 points (1/2 aux tirs, 1/3 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 passe pour 1 d’évaluation en 16 minutes (victoire 93-83 contre Siaulai).\n\nBNXT LEAGUE\n\nKevin Franceschi (Brussels) : N’a pas joué (contre Hague).\n\nMaxime Carene (Limburg) : N’a pas joué (contre Yoast).\n\nPOLOGNE\n\nAaron Cel (Torun) : Starter à l’intérieur. 6 points (2/5 aux tirs, 2/2 aux lancers-francs), 4 rebonds pour 6 d’évaluation en 15 minutes (défaite 92-87 à Szczecin).\n\nROUMANIE\n\nAlexandre Gavrilovic (Oradea) : Starter au pivot. 11 points (5/7 aux tirs dont 1/1 à trois points), 2 rebonds, 2 passes pour 14 d’évaluation en 20 minutes (victoire 79-67 contre le Dinamo Bucarest).\n\nStarter au pivot. 4 points (2/4 aux tirs), 4 rebonds pour 6 d’évaluation en 10 minutes (victoire 63-61 contre Craiova).\n\nJoris Ortega (Miercurea Ciuc) : N’a pas joué (à Galati).\n\nSERBIE\n\nEmmanuel Monceau (Kolubara) : N’a pas joué (contre Vrsac).\n\nESPAGNE (LEB Oro)\n\nEdwin Jackson (Estudiantes Madrid) : N’a pas joué (contre Granada).\n\nDarel Poirier (Estudiantes Madrid) : N’a pas joué (contre Granada).\n\nSidy Cissoko (Juaristi) : 0 point (0/2 aux tirs dont 0/1 à trois points), 1 passe et 3 ballons perdus pour -2 d’évaluation en 13 minutes (défaite 75-53 contre Caceres).\n\nYannis Mendy (Palma) : N’a pas joué (à Castello).\n\nNBL\n\nTom Digbeu (Brisbane) : 14 points (5/9 aux tirs dont 1/3 à trois points, 3/3 aux lancers-francs), 1 rebond, 5 passes pour 16 d’évaluation en 23 minutes (défaite 108-77 contre Illawara).\n\n15 points (4/9 aux tirs dont 2/4 à trois points, 5/6 aux lancers-francs), 2 rebonds, 3 passes pour 15 d’évaluation en 26 minutes (victoire 93-85 à Adelaide).\n\nHugo Besson (New Zealand) : 15 points (4/9 aux tirs dont 0/5 à trois points, 7/8 aux lancers-francs), 3 rebonds, 4 passes et 3 interceptions pour 18 d’évaluation en 26 minutes (défaite 89-80 à Perth).\n\n8 points (3/8 aux tirs dont 2/6 à trois points), 3 rebonds, 4 passes pour 9 d’évaluation en 21 minutes (défaite 99-89 contre Phoenix).\n\nOusmane Dieng (New Zealand) : 11 points (5/9 aux tirs dont 1/3 à trois points, 0/1 aux lancers-francs), 3 rebonds, 1 passe pour 10 d’évaluation en 19 minutes (défaite 89-80 à Perth).\n\n22 points (8/12 aux tirs dont 4/6 à trois points, 2/2 aux lancers-francs), 6 rebonds, 6 passes pour 34 d’évaluation en 30 minutes (défaite 99-89 contre Phoenix).\n\nPhoto d’ouverture : Mam Jaiteh (Virtus Bologna-Lega)\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n\nMam Jaiteh réussit son meilleur match de la saison en Lega\n\nEn Italie, la Virtus Bologna recevait Milan pour le match au sommet du basket italien. Mam Jaiteh a débuté la rencontre au poste de pivot. Il était opposé à l’Américain Kaleb Tarczewski. Il a été la seconde option offensive de son équipe avec 11 tirs tentés (derrière Kyle Weems). Très efficace, il en a transformés 8 pour marquer 18 points. Il a été le co-meilleur marqueur du match à égalité avec Weems et Isaia Cordinier. Il en a également été le meilleur rebondeur avec 15 unités (soit la moitié du total de l’équipe lombarde). Son joli double-double lui a permis d’obtenir une évaluation de 29. Le Francilien a été le MVP de ce match capital pour le classement final. Il a réalisé ses meilleures performances de la saison en championnat en terme d’évaluation et de points. Il a aussi établi son record de rebonds de la saison toutes compétitions confondues. Au final, l’équipe d’Emilie-Romagne a remporté la rencontre largement 83-65. Cette victoire lui a donné deux victoires d’avance en tête de la Lega à six matchs du terme.\n\n\nAdrien Moerman très efficace contre le Bayern Munich\n\nEn Euroleague, pour l’avant-dernier match de la saison régulière, l’Anadolu Efes recevait le Bayern Munich. Adrien Moerman était sur le terrain pour commencer le match. Il a partagé son temps de jeu à l’intérieur avec Chris Singleton. Il a ainsi disputé 21 minutes. Il a parfaitement mis à profit son temps de jeu pour réussir un match complet. En attaque, il a réussi un excellent 3/4 à longue distance et un parfait 4/4 à deux points. Il a ainsi scoré 17 points. Avec 6 rebonds en sus, l’ancien Orléanais a pu collecter une évaluation de 19. Il a été le meilleur Français de la semaine dans la compétition phare du Continent.\n\n[/arm_restrict_content]\n\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Mam Jaiteh (Virtus Bologna-Lega)
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Donatas Motiejunas (Monaco) : «Nous avons peut-être des joueurs inexpérimentés, mais nous avons des combattants qui n’abandonneront pas»
L’effervescence monte en Grèce à l’approche du quart-de-finale des playoffs d’Euroleague d’Olympiakos face à l’AS Monaco. C’est le pivot lituanien de la Roca Team, Donatas Motiejunas (2,13m, 31 ans), qui a eu les honneurs de BN Sports. Voici quelques extraits.\n\nA propos de la fin de la saison régulière :\n\n« Etre dans les playoffs a été quelque chose d’incroyable pour l’équipe. C’est une très grande réussite pour Monaco. Notre record (NDLR : victoires/défaites) est tombé lorsque les équipes russes ont été éliminées, mais cela a encore accru notre concentration. Nous étions complètement concentrés sur l’objectif, obtenir les victoires dans les matchs restants, afin d’entrer dans les playoffs. Nous sommes très heureux de l’avoir fait. Maintenant, nous avons un défi encore plus grand devant nous. Tout Monaco attend ces matchs avec impatience et nous attendons un grand soutien de tous. »\n\nA propos du quart-de-finale contre Olympiakos :\n\n« Je ne pense pas que nous soyons inquiets. Les gens nous sous-estiment beaucoup depuis le début de la saison. On se souvient qu’il y a eu un vote sur la position que Monaco occupera à la fin de la saison régulière et tout le monde a dit que nous serons 14e-16e. Nous avons été les outsiders toute l’année, mais grâce à notre dévouement et à notre travail acharné, nous avons atteint notre objectif et nous continuerons donc à nous battre dans les playoffs. Alors oui, nous avons peut-être des joueurs inexpérimentés, mais nous avons des combattants qui n’abandonneront pas. »\n\n\nA propos de Mike James :\n\n« Mike est un super coéquipier et un homme formidable. J’ai passé beaucoup de temps avec lui cette année. Il est très talentueux sur le terrain, mais aussi très sensible et bon garçon en dehors du terrain. Je suis très heureux qu’il soit dans l’équipe et j’ai eu l’occasion de discuter avec lui. Il rend tout le monde meilleur quand il joue au basket, il est toujours positif et il a gagné beaucoup de matchs pour nous cette année. »\n\nA propos de Sasa Obradovic :\n\n« L’entraîneur Obradovic est arrivé à un stade où les choses n’allaient pas très bien ou comme nous nous y attendions tous. On avait essuyé quelques défaites aussi bien en championnat de France qu’en Euroleague et on prenait du retard au classement. Beaucoup de choses ont changé depuis l’arrivée de l’entraîneur Obradovic. Il a réussi à influencer l’équipe, non seulement dans sa façon de jouer sur le terrain, mais aussi dans la chimie en dehors du terrain. Il mérite donc les éloges. Je pense que tout le monde était content de ce changement.«\n\nPhoto : Euroleague
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Vassilis Spanoulis : «J’étais dur avec moi-même et quand je m’étais fixé un objectif, je faisais tout pour l’atteindre»
L’Euroleague a réuni Tony Parker, le Grec Vassilis Spanoulis et la mère du Serbe Luka Doncic, Mirjam Poterbin, dans la vidéo « Table Talk: Life of a Prospect ». Le trois invités donnent des conseils aux enfants pour réussir dans le basket.\n\nTony Parker parle ainsi de l’importance que la famille doit jouer dans l’ascension d’un prospect :\n\n« Ma mère m’a toujours aidé à trouver le juste milieu. »\n\nLa mère de Luka Doncic a accompagné son fils lorsque, adolescent, il a signé pour le Real Madrid.\n\n« J’ai essayé de le protéger autant que possible. Je pense qu’il est également très important que (les jeunes athlètes) s’expriment. Je pense que parfois les enfants sont très timides pour dire ce qu’ils ressentent. »\n\nVassilis Spanoulis a parlé de son amour du jeu et de son rapport à l’argent :\n\n« Nous ne nous soucions pas de l’argent ; nous n’avions même pas pensé à comment gagner de l’argent... Tout ce à quoi nous pensions, c’est comment devenir un meilleur joueur. Je recommande aux joueurs adolescents d’être humbles et surtout d’aimer le basket-ball et d’aimer travailler. J’ai toujours voulu être un joueur. Je voulais jouer au basket professionnellement. Le basket était mon amour. J’ai des enfants maintenant et je ne veux pas les pousser là-dedans. Ils doivent aimer ça. J’avais des rêves et des ambitions et je voulais être le meilleur possible. »\n\nIl a également fait une référence à la fameuse pression du sportif à l’époque où il jouait :\n\n» Je n’avais pas de pression en jouant au basket, car j’ai eu la chance de faire ça par amour. Beaucoup de gens dans leur vie font d’autres boulots pour survivre. Après un mauvais match ou un mauvais entraînement, je réfléchissais à ce sur quoi je devais travailler pour m’améliorer. Je n’ai pas perdu confiance en mes capacités ni en la confiance en moi. J’étais dur avec moi-même et quand je m’étais fixé un objectif, je faisais tout pour l’atteindre ».\n\nPhoto : Vassilis Spanoulis (Euroleague)
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Espagne : Le propriétaire de San Pablo Burgos va injecter 800 000 euros pour effacer les dettes
Félix Sancho, qui détient 99 % des actions du club, assume les pertes générées entre 2021 et 2022 par San Pablo Burgos, double vainqueur de la Basketball Champions League.\n\nHereda San Pablo Burgos a été le club d’ACB le plus touché par la pandémie du Covid-19. Les raisons sont claires : les deux tiers de ses revenus dépendent directement ou indirectement de la billetterie et, avec près de 10 000 spectateurs en moyenne par match, le club est le leader de l’ACB en nombre d’abonnés et en affluence. Burgos a clôturé l’exercice 2020-2021 avec des pertes et s’attend à avoir de nouveau des chiffres rouges cette saison. Son président, Félix Sancho, couvrira le déficit.\n\nOn note que Burgos a soulevé le trophée de la BCL les deux dernières saisons empochant deux millions d’euros de primes au total. Après impôts et primes aux joueurs, le club a enregistré un résultat net exceptionnel de 1,2 million d’euros, qui a été utilisé lors des deux premières saisons impactées par le Covid-19.\n\nLe budget de cette année est le plus élevé de son histoire, avec plus de 4,8 millions d’euros.\n\n« Nous n’avons aucune dette vis-à-vis des fournisseurs, du personnel ou des institutions, nous sommes en parfaite santé, et si nous assumons ce déficit c’est dû à une situation exceptionnelle et sachant que cette dette n’est qu’interne », commente le président au site économique 2playbook. «Nous avons toujours travaillé pour comprendre le club en tant qu’entreprise et pour être financièrement viable. Et maintenant, nous comprenons qu’en raison de la situation qui s’est produite, nous devons assumer cet effort pour continuer à prendre soin du produit que nous avons construit ».\n\nPhoto : FIBA
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Céline Dumerc, Valériane Ayayi-Vukosavljevic, Boris Diaw et Tony Parker appellent à voter pour Emmanuel Macron
Une cinquantaine de sportifs appellent à voter pour Emmanuel Macron au 2e tour de la Présidentielle. Parmi eux les basketteurs Céline Dumerc, Valériane Ayayi-Vukosavljevic, Boris Diaw et Tony Parker.\n\nDans un tribune dans Le Parisien et France Info, ces sportifs déclarent :\n\n« Je déclare ouverts les Jeux de Paris célébrant la 33e Olympiade de l’ère moderne. » C’est par ces mots qu’il reviendra au prochain chef de l’État d’ouvrir officiellement les Jeux olympiques de Paris 2024. Ce vendredi 26 juillet 2024, à l’issue de la cérémonie d’ouverture sur la Seine parmi des dizaines de chefs d’État, devant les athlètes du monde entier et des milliards de téléspectateurs, celui ou celle qui sera élu le 24 avril incarnera le pays aux yeux du monde. Quelques semaines plus tard, il ou elle ouvrira également les Jeux paralympiques.\n\n« Nous, sportives et sportifs français de tous horizons et de toutes disciplines, ne pouvons imaginer que ce moment historique soit marqué du sceau d’une présidence d’extrême droite. Si nous sommes pleinement conscients des difficultés que traversent de nombreux Français, nous avons la conviction que le vote pour un parti qui mettrait en danger les valeurs républicaines serait le pire des remèdes. Le sport auquel nous croyons, celui des valeurs de l’olympisme, est fait d’amitié et de respect ; il est le lieu de la mixité. Il refuse toutes les discriminations. Partout sur le territoire, dans nos villes, nos banlieues et nos campagnes, le sport est un remède puissant à l’exclusion. Dans ces temps incertains, il est un vecteur de rassemblement. C’est le cas quand toute une nation se rappelle qu’elle est UNE en vibrant à l’unisson derrière les exploits de ses sportifs.\n\n« C’est parce que nous croyons en ce sport-là, fraternel et inclusif, que nous nous engageons pour éviter que notre nation place à sa tête une présidente qui incarne tout le contraire, la stigmatisation de l’autre, le repli sur soi, le nationalisme. Et que nous appelons donc à voter pour Emmanuel Macron le 24 avril prochain. »\n\nLes signataires : Clarisse Agbégnénou (judo), Samir Aït Saïd (gymnastique), Valériane Ayayi Vukosavljević (basket), Brahim Asloum (boxe), Romain Bardet (cyclisme), Cécilia Berder (escrime), Alain Bernard (natation), Marie Bochet (paraski alpin), Laure Boulleau (football), Justine Braisaz-Bouchet (biathlon), Romain Cannone (escrime), Souleymane Cissokho (boxe), Élodie Clouvel (pentathlon), Cléopâtre Darleux (handball), Isabelle Demongeot (tennis), Stéphane Diagana (athlétisme), Boris Diaw (basket), Céline Dumerc (basket), Antoine Dupont (rugby), Gévrise Émane (judo), Maud Fontenoy (voile), Pierre Gasly (F 1), Edgar Grospiron (ski de bosses), Amandine Henry (football), Stéphane Houdet (paratennis), Muriel Hurtis (athlétisme), Mickaël Jeremiasz (paratennis), Nikola Karabatic (handball), Raphaël Ibañez (rugby), Jean Le Cam (voile), Eugénie Le Sommer (football), Christophe Lemaitre (athlétisme), Laure Manaudou (natation), Blaise Matuidi (football), Frédéric Michalak (rugby), Estelle Mossely (boxe), Earvin Ngapeth (volley-ball), Valérie Nicolas (handball), Yannick Noah (tennis), Sarah Ourahmoune (boxe), Jean-Pierre Papin (football), Tony Parker (basket), Dimitri Payet (football), Marie-José Pérec (athlétisme), Allison Pineau (handball), Thibaut Pinot (cyclisme), Jackson Richardson (handball), Charles Rozoy (paranatation), Jo-Wilfried Tsonga (tennis), Jessy Trémoulière (rugby), Cameron Woki (rugby), Tony Yoka (boxe).\n\nPhoto : Emmanuel Macron au tournoi de 3×3 des Jeux Olympiques (FIBA)
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Camps de basket : Avec SEJ votre stage de basket mais pas seulement !
Pendant les vacances, découvrez l’esprit village olympique des stages de basket avec SEJ !\n\nSports Elite Jeunes est un organisme proposant diverses formules de colonies de vacances et séjours sportifs pour les jeunes de 6 à 17 ans : foot, basket, hand, gymnastique, ski... Avec plus de 45 ans d’expérience, il se place parmi les pionniers de l’activité et séduit par la qualité de ses offres. Plus de 20 sports sont proposés chaque année, dotés d’équipements de haut niveau et encadrés par des coachs diplômés. Entre activités complémentaires et nombreux moments de convivialité : tout est mis en œuvre pour que les jeunes passent des vacances enrichissantes et inoubliables dans les campus.\n\nA l’origine, c’est Jacky Chazalon, véritable légende du basket français et l’une des meilleures joueuses du monde, qui a fondé SEJ. C’est donc la raison pour laquelle le basket est si profondément ancré dans l’ADN de la marque !\n\n\nSEJ, de véritables campus sportifs\n\nSEJ a développé un concept novateur de « mini villages olympiques ». La marque possède 8 centres répartis sur le territoire français, les deux principaux étant situés à Vichy et Mâcon. Chacun propose de multiples sports et formules, par classe d’âge. Ainsi, quel que soit leur sport de prédilection, les jeunes se retrouvent pour tous les autres moments phares de la journée : repas, sorties, veillées... Un séjour SEJ ce n’est pas seulement un stage sportif, c’est aussi tous les avantages d’une colonie de vacances ! De nouveaux copains, des activités ludiques, des soirées à thème animées par les coachs... Et, au retour, des souvenirs plein la tête !\n\n\nDes coachs expérimentés pour un séjour de qualité\n\nConscients que l’accompagnement quotidien des enfants et la qualité des entrainements de ses séjours sont primordiaux, Sports Elite Jeunes assure un taux d’encadrement deux fois plus important que ce qu’impose la législation. Par ailleurs, ce sont uniquement des coachs et animateurs diplômés qui sont engagés, garantissant ainsi aux jeunes une réelle progression et des conditions de sécurité optimales. Au-delà de la pratique sportive, ils partagent la vie quotidienne des enfants et les accompagnent à chaque moment de la journée par leurs conseils, leur expertise, leur expérience ; le tout dans une ambiance bienveillante et conviviale\n\n\nLes stages de basket chez SEJ : Dunks & shoots imparables !\n\nVotre enfant est passionné de basket ? Il ne sera pas déçu puisque les stages sont disponibles à toutes les vacances scolaires ! Au programme ? La meilleure combinaison pour s’amuser mais aussi progresser : technique, tactiques et stratégies, mental, challenge et compétition ! Les entrainements sur la machine à shooter Shoot-Gun 6000 permettront de travailler la gestuelle et la répétition du tir extérieur.\n\nDeux formules sont disponibles : SEJ Academy pour un séjour intensif comprenant 30h de basket par semaine ou MySports pour du basket tous les matins et, l’après-midi, une activité à choisir parmi trois options (anglais, sports innovants ou e-sport). Le basket chez SEJ c’est à Mâcon et Vichy. Ces centres sont accessibles facilement et pour tous grâce aux solutions de pré et post acheminement proposées par SEJ.\n\n\nLes séjours Sports Elite Jeunes en résumé...\n\n * A Vichy (03) et Mâcon (71)\n * Machine à shooter\n * 2 formules : Academy (intensif, 30h de basket/semaine) et MySports (basket le matin et une option l’après-midi parmi : anglais, sports innovants ou e-sports)\n * Taux d’encadrement 2x supérieur à ce qu’impose la législation + des coachs et animateurs professionnels\n * Stages disponibles à toutes les vacances scolaires\n * + de 20 sports disponibles\n * Solutions de pré et post acheminement\n\nJe découvre les camps SEJ !\n\n\nDécouvrez SEJ en vidéo !
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La boss de la WNBA à propos de l’emprisonnement de Brittney Griner : «Nous sommes tous frustrés, mais nous devons être patients»
La commissioner de la WNBA, Cathy Engelbert, a déclaré que la ligue faisait tout son possible pour que Brittney Griner, emprisonnée en Russie, puisse retourner aux Etats-Unis aussi vite que possible.\n\nRappelons que Brittney Griner a été arrêtée à l’aéroport de Moscou, le 17 février, après que les autorités russes ont trouvé, disent-elles, des cartouches de vapotage contenant de l’huile dérivée du cannabis dans ses bagages, ce qui est passible d’une peine maximale de 10 ans de prison.\n\n« C’est une situation inimaginable pour BG », a déclaré Engelbert, propos relayés par ESPN. « Elle continue d’avoir tout notre soutien. Certes, nous essayons tout ce que nous pouvons, sous tous les angles, en travaillant avec sa représentation légale, son agent, les élus, l’administration. Simplement tout le monde dans notre écosystème pour essayer de trouver des moyens de la ramener à la maison en toute sécurité et aussi rapidement que possible. »\n\nHolly Rowe d’ESPN a rapporté que les Mercury ont l’intention de payer à Griner l’intégralité de son salaire pour 2022 (227 900 $) et que la WNBA envisageait de donner à la franchise un « soulagement » concernant le plafond salarial en raison de l’absence de Griner.\n\n« De toute évidence, nous sommes dans une situation géopolitique très complexe avec la Russie, l’Ukraine », a déclaré Engelbert. « Nous recevons une tonne de soutien du gouvernement, de spécialistes. Sa représentation peut rendre visite à Brittney, nous savons qu’elle est en sécurité. Mais nous voulons la ramener à la maison. Nous suivons les conseils (...) Je sais que nous sommes tous frustrés, mais nous devons être patients. Les joueuses ont été incroyables en suivant les conseils qu’elles reçoivent et que nous recevons afin de ne pas compromettre sa sécurité de quelque manière que ce soit. »\n\nEngelbert a assuré qu’elle avait dit aux joueuses la même chose qu’elle avait toujours dit à sa propre fille.\n\n« J’irais jusqu’au bout de la Terre pour vous aider si vous avez des problèmes. Et je dis la même chose à propos de Brittney Griner. »
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Pro B : Maxime Pacquaut sera le coach de Chalon jusqu’à la fin de la saison
Après la mise à l’écart de l’Allemand Sébastian Machowski, l’Elan Chalon a pris la décision de faire confiance au poste de son coach à son adjoint, Maxime Pacquaut, jusqu’à la fin de la saison.\n\nMaxime Pacquaut a débuté à l’Elan Chalon en... benjamin. Il a oeuvré au sein de l’association auprès des féminines avant d’entrer dans le giron des pros. Il sera assisté d’Alexis Sangouard, directeur et responsable pédagogique de FormApi Chalon.\n\nMaxime PACQUAUT en bref\n\nNé le 12 Juin 1982 à Saint-Rémy\n\nAssistant de Jean-Denys Choulet depuis la saison 2016-2017\n\nAuparavant Entraîneur des Cadets France de la saison 2013-2014 à la saison 2015-2016\n\nEntraîneur / Animateur au sein du club sur différentes équipes (féminines et masculines) depuis maintenant 12 ans\n\nChampion de France 2017\n\nPhoto : Elan Chalon
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Vidéo : L’hommage au «Prési» de l’Elan Béarnais Pierre Seillant
Voici la vidéo complète réalisée par la Ligue Nationale de Basket lors de l’hommage en l’honneur de l’ancien président de l’Elan Béarnais, Pierre Seillant, qui s’est tenu dimanche au palais des sports de Pau lors du clasico. L’ancien directeur sportif et de la communication, Gérard Bouscarel, était de nouveau au micro pour annoncer les anciens joueurs présents.\n\n\n\Le Presi\ ✨\n\n🙏 Revivez le vibrant hommage de l'Élan Béarnais pour son historique président Pierre Seillant.\n\n🏟 Le parquet du Palais des Sports de Pau portera désormais son nom.#BetclicELITE @EBPLO pic.twitter.com/VNCHCbV03Z\n\n— LNB (@LNBofficiel) April 11, 2022\n
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EuroBasket 2022 : Le Monténégro pourrait prendre la place de la Russie
Le Monténégro pourrait être repêché par la Fédération Internationale et participer à l’EuroBasket 2022 cet été.\n\nLa Russie, ses clubs et ses équipes nationales, ont été suspendus par la FIBA en raison de l’invasion de l’Ukraine. La FIBA qui devrait confirmer en mai son exclusion définitive. La Russie a été versée dans le groupe de Tbilissi, en Géorgie, avec le pays hôte, l’Espagne, la Bulgarie, la Belgique et la Turquie. C’est le Monténégro qui devrait prendre sa place en tant qu’équipe la mieux classée au ranking FIBA (25e place).\n\nLors des qualifications, le Monténégro avait été éliminé par la France et la Grande-Bretagne. L’Allemagne, quatrième du groupe, était qualifiée d’office en tant que pays organisateur.\n\nPhoto : Justin Cobbs (Monténégro)
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L’ancien Limougeaud Bruno Caboclo élu MVP de la finale de la Basketball Champions League Americas
L’ailier brésilien Bruno Caboclo (2,06m, 26 ans) a été élu MVP de la finale de la troisième édition de la Basketball Champions League Americas.\n\nAprès être passé par le Limoges CSP en 2021, le Brésilien est retourné dans son pays, à Novo Basquete Brasil, pus au Sao Paulo FC avec qui il a gagné la BCL, battent en finale Bigua, 84-80. A cette occasion, il a cumulé 29 points à 11/15 aux tirs, 7 rebonds et 3 contres pour une évaluation de 31.\n\nCaboclo était le deuxième meilleur marqueur de la Basketball Champions League Americas avant ce match, derrière Donald Sims de Bigua, avec une moyenne de 23,3 points par match.\n\nPhoto : FIBA
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Vincent Loriot (Directeur Sportif du Mans) : «Je suis content de retrouver Limoges dans les équipes qui comptent»
Ce mardi soir, Le Mans, qui est sur une série de trois défaites, se rend à Limoges pour un match charnière dans la perspective de jouer les playoffs. Vincent Loriot, le directeur sportif du MSB, analyse l’équipe du CSP pour Ouest France :\n\n« Je suis vraiment content de retrouver Limoges dans les équipes qui comptent dans ce championnat. C’est une équipe qui, sans forcément de grands moyens, un entraîneur étranger pas très connu, Massimo Cancellieri, dans un environnement pas évident, par le travail, la rigueur et une personnalité très entière de son entraîneur, a su traverser des mauvais moments pour afficher un visage conquérant, uni, au meilleur moment de la saison. Ils jouent vraiment comme un bloc. Le match contre Pau a été symbolique de cela.\n\nIls ont aujourd’hui une équipe au grand complet, avec des rôles bien définis, bien accepté. On a des joueurs qui étaient dans la nasse qui se révèlent aussi. Quand tu formes un bon groupe équipe, même les joueurs de l’ombre, en difficulté, restent accroché au wagon pour trouver leur moment de gloire, d’utilité. C’est une belle montée en puissance collective. Avant, Nicolas Lang sortait du lot, et ne semblait pas esseulé, car tu as aussi Massinburg, mais, quand tu passais au travers, tu avais fait le plus gros du chemin, aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Tout le monde s’y est mis et ça forme un groupe intéressant, homogène. »\n\nPhoto : CJ Massinburg (CSP)
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Vidéo : Un reportage sur Valériane Ayayi, maman, qui est de retour à l’entraînement
Un reportage de Tout le Sport sur l’internationale de Basket Landes, Valériane Ayayi, qui a donné naissance, en janvier, à une petite fille, et qui va bientôt retrouver les entraînements collectifs puis la compétition.\n\n\n🏀 Après de glorieux Jeux Olympiques à Tokyo (médaille de bronze 🥉) tout en jouant enceinte, nous retrouvons @valeriane_ayayi qui retrouve les terrains deux mois après son accouchement. 💪 #TLS #ToutLeSport #basketball pic.twitter.com/lc0CF9jzWM\n\n— francetvsport (@francetvsport) April 11, 2022\n\n\nPhoto : FIBA
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