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Spécial Salaires Pro B 2021-22 : Tours tient le choc de la remontée, Vichy-Clermont avisé
Si l’un, Vichy-Clermont, est un habitué des joutes de Pro B, l’autre, Tours, fait son retour à ce niveau après 23 ans d’absence. Une différence d’expérience de la division qui explique sans doute en partie la trajectoire des deux clubs : malgré des moyens assez conséquents, le TMB est à la peine alors que la JAV, moins bien lotie financièrement, réussit un parcours encourageant, malgré la longue blessure de son emblématique capitaine, Charles-Henri Bronchard.\n\nÉquipe par équipe, au quotidien, et par ordre alphabétique, Basket Europe sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B, dont voici le neuvième épisode.\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année en vous abonnant.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nTours : un promu aux ambitions frustrées\n\nBudget annoncé : 1 973 000 € (10e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 752 000 € (7e)\nClassement (au 12 avril) : 14e (12 victoires – 16 défaites)\n\nFraîchement revenu en Pro B après 23 saisons de disette, Tours – sous son appellation de Tours Métropole Basket (TMB) – a mis les moyens pour réussir à ce niveau, avec la 7e masse salariale de la division. Et le début d’exercice n’a fait que confirmer ces ambitions : à mi-décembre, le TMB pensait lutter pour les playoffs avec un beau bilan de 6 victoires pour 3 défaites.\n\nMais, par la suite, la machine s’est enrayée, avec notamment une série de quatre défaites consécutives entre la fin décembre et le début de février. Ce qui conduit aujourd’hui le club à plutôt regarder derrière lui que devant, ne comptant que deux victoires de plus que le premier relégable.\n\nIl faut dire que l’équipe souffre de quelques failles. Si elle fait le travail en attaque (7e à la marque, 79,4 points, 2e réussite à 2-points, 55,8 %, 3e au rebond, 37,3, 1e au rebond défensif, 28,6), tout n’est pas rose de ce côté du parquet (16e réussite à 3-points, 32,3 %, 17e aux interceptions, 5,9, 18e aux balles perdues, 15,4).\n\nEt la défense tourangelle ne rattrape rien, au contraire. Avec 80,9 points encaissés par match, le TMB est 16e de Pro B, ne provoquant entre autres que 12,7 balles perdues pour ses adversaires, 2e plus mauvaise moyenne du domaine. Et elle n’est pas si dominatrice que les chiffres pourraient le laisser penser au rebond, en concédant 36,5 à ses opposants, 15e moyenne de la division.\n\nSur le plan individuel, les deux gros salaires de l’équipe, Tyran de Lattibeaudière (15e salaire de Pro B, 14,3 d’évaluation) et James Batemon (43e salaire, 14,2 d’évaluation) font le job, sans plus. L’excellente surprise pour le coach Pierre Tavano (7e salaire des coachs de Pro B) tient au superbe rendement du jeune Dylan Affo Mama, 11e évaluation du championnat (15,0) pour le... 144e salaire de la division !\n\nÀ l’inverse, Amadou Sidibé (12,8 d’évaluation pour le 65e salaire de Pro B), Marques Townes (remplaçant d’Ahmed Doumbia, 11,7 d’évaluation) et, surtout, Ralph Temgoua (82e salaire mais 3,1 d’évaluation sur les 12 matchs joués), n’apportent pas autant que prévu. De leur côté, Fabien Ateba (99e salaire, 8,3 d’évaluation), Jayson Tchicamboud (163e salaire, 5,7 d’évaluation) et Vincent Pourchot (106e salaire, 5,2 d’évaluation) donnent ce pour quoi ils sont payés, mais sans plus.\n\nIl reste une demi-douzaine de matches au TMB – dont quatre face à des concurrents directs pour le maintien – pour resserrer sa défense et ainsi s’épargner les affres d’un retour immédiat en NM1. Le potentiel est là, il faut maintenant le concrétiser.\n\n\nLes salaires de Tours\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22Tyran De Lattibeaudiere4-5JAM202270 000,00 €James Batemon1USA202253 000,00 €Amadou Sidibe5-4USA/CIV202245 000,00 €Ralph Temgoua2-3CMR/FRA202243 000,00 €Fabien Ateba3-2FRA202238 000,00 €Vincent Pourchot5FRA202236 000,00 €Dylan Affo Mama3FRA2022 (+ buyout 12k)29 000,00 €Ahmed Doumbia2-1FRA(6 mois)27 000,00 €Jayson Tchicamboud1FRA2022 (prêt)24 000,00 €Marques Townes2-1DOM/USA6 mois22 000,00 €Badr Moujib4FRA202215 000,00 €Florian Leopold5-4FRA5 mois14 000,00 €Seydou Ndiaye2FRA(7 mois)12 000,00 €Georgi Joseph5FRA(2 mois)10 000,00 €Jean-François Kebe1CIV(1,5 mois)3 500,00 €CoachPierre TavanocoachFRA202256 000,00 €\n\n\nVichy-Clermont : d’intéressants progrès\n\nBudget annoncé : 1 906 000 € (12e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 661 500 € (11e)\nClassement (au 12 avril) : 7e (14 victoires – 12 défaites)\n\nAprès une saison 2020-21 sans saveur particulière (11e avec un bilan de 16 victoires pour 18 défaites avec la 11e masse salariale), la JAV Vichy-Clermont a quelque peu augmenté ses moyens (+ 71 500 € de masse salariale) sans pour autant monter dans la hiérarchie financière de la division.\n\nD’où le pari de bâtir un effectif sans gros salaire, mais mixant harmonieusement expérience et talents prometteurs. Le problème, c’est que « Charly » Bronchard, l’expérimenté capitaine, s’est rompu les ligaments croisés avant le début du championnat (il est de retour depuis deux matchs). Une absence qui a pesé en début d’exercice : sur les 9 premiers matchs de la saison, la JAV a enregistré 5 défaites pour 4 victoires.\n\nLa suite de la saison, avec Jimmy Djimrabaye pour suppléer la plus belle barbe de Pro B, s’est révélée bien plus réjouissante, avec 7 victoires pour 3 défaites entre la mi-décembre et la mi-mars. Las, depuis, Vichy-Clermont ne s’est imposé que deux fois en 6 matchs, encaissant même 3 défaites consécutives fin mars. Ce qui n’empêche toutefois pas le club auvergnat de se positionner parmi les prétendants aux playoffs, un classement plus conforme au statut de l’équipe que celui de l’année précédente.\n\nSi la défense n’a pas été trop décevante (77,9 points encaissés, 8e de Pro B), Vichy-Clermont s’est surtout appuyé sur son attaque pour se distinguer, avec 80,9 points marqués par rencontre (5e de la division). Pourtant, l’adresse a pêché : dernier à la réussite à deux-points (49,8 %) sur un fort volume de tentatives (40,6 par match, 3e de Pro B) et dans la moyenne (35,3 %, 8e du championnat) à 3-points.\n\nMais, si le collectif a eu du mal à se trouver (16,3 passes, 17e), la JAV s’est montrée impériale au rebond : 1er au total des rebonds avec 38,1 prises par match, dont 12,4 rebonds offensifs (également 1er de Pro B). Autres points forts de l’équipe, une belle capacité à intercepter des ballons (8,2, 2e du championnat) et à provoquer des fautes (21,3 par match, 1e). Ce qui s’est traduit par 20,9 lancers francs accordés par rencontre (1er) mais une réussite médiocre (70,9 % rentrés, 15e moyenne de Pro B).\n\nDe l’autre côté du parquet, la JAV a laissé ses adversaires tirer à 51,7 % à 2-points (7e plus mauvaise moyenne), prendre 36,5 rebonds (3e plus importante moyenne) dont 10,8 rebonds offensifs (4e meilleure moyenne) et réaliser 18,8 passes décisives (6e meilleure moyenne pour les adversaires). En revanche, Vichy-Clermont a fait perdre 16,2 balles à ses opposants, 3e moyenne de Pro B.\n\nPour parvenir à ces résultats très corrects, la JAV n’a pas trop pu compter sur l’un de ses plus gros salaires, Corey Fisher (44e salaire de la division), qui n’a produit que 8,9 d’évaluation alors que Dominez Burnett, aux émoluments équivalents, fournissait à 13,5 d’évaluation. C’est surtout la jeune garde auvergnate qui constitue la grande satisfaction de l’équipe, symbolisant ses progrès : Serge Mourtala (173e salaire de Pro B) vaut 12,3 d’évaluation, Samir Gbetkom (130e salaire) 10,0 d’évaluation, Léopold Delaunay (171e salaire) 8,7 d’évaluation et Mamadou Guisse (195e salaire) 7,0 d’évaluation.\n\nEt pour son retour, Charles-Henri Bronchard (65e salaire) a fait du bien à l’équipe, avec ses 12,5 d’évaluation sur deux matchs. De quoi satisfaire coach Guillaume Vizade (11e coach le mieux payé de Pro B). Et permettre à la JAV de continuer à espérer une qualification pour les playoffs.\n\n\nLes salaires de Vichy-Clermont\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22Dominez Burnett3USA202252 000,00 €Corey Fisher1USA/GEO202252 000,00 €Thomas Ceci-Diop4-3FRA202245 000,00 €Charles-Henri Bronchard4FRA202245 000,00 €Cedric Bah4-5CIV202340 000,00 €Thomas Ville2FRA202340 000,00 €Samir Gbetkom1CAM202230 000,00 €Jimmy Djimrabaye4-5CAF9 mois30 000,00 €Leopold Delaunay2FRA202221 000,00 €Serge Mourtala5NGR202220 000,00 €Mamadou Guisse3FRA202416 000,00 €CoachGuillaume VizadecoachFRA202248 000,00 €\n\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\n\nPhoto d’ouverture : Amadou Sidibé – Tours (photo TMB) / Samir Gbetkom – Vichy-Clermont (photo JAV CM – Alain Chenevière) – Montage Basket Europe\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n\nTours : un promu aux ambitions frustrées\n\nBudget annoncé : 1 973 000 € (10e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 752 000 € (7e)\nClassement (au 12 avril) : 14e (12 victoires – 16 défaites)\n\nFraîchement revenu en Pro B après 23 saisons de disette, Tours – sous son appellation de Tours Métropole Basket (TMB) – a mis les moyens pour réussir à ce niveau, avec la 7e masse salariale de la division. Et le début d’exercice n’a fait que confirmer ces ambitions : à mi-décembre, le TMB pensait lutter pour les playoffs avec un beau bilan de 6 victoires pour 3 défaites.\n\nMais, par la suite, la machine s’est enrayée, avec notamment une série de quatre défaites consécutives entre la fin décembre et le début de février. Ce qui conduit aujourd’hui le club à plutôt regarder derrière lui que devant...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
Parle moi en détail de :
ITW Valentin Cavelier, directeur général de Bourges : «On a atteint un premier objectif, il nous en reste deux autres »
La présidente Agnès Saint-Gès et le directeur général Valentin Cavelier savourent. Jeudi soir, Bourges a remporté l’Eurocup, leur premier trophée depuis qu’ils gèrent le club ensemble. Ils visent le triplé, alors qu’une finale de coupe de France les attend (le 23 avril contre Basket Landes) et que le Tango est déjà assuré de la première place de la saison régulière en LFB.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nArrivé dans le Cher en 2018, le directeur général Valentin Cavelier mène sa barque et son duo avec la présidente Agnès Saint-Gès, sans faire de vague. L’ancien DG de Villeneuve d’Ascq (2011-2018) et de la Chorale de Roanne (2005-2009) fait le point sur les sujets chauds du moment : le sixième sacre européen de l’histoire du club, l’espoir d’une augmentation du budget, la volonté d’organiser un Final Four d’Euroleague, le recrutement de la saison prochaine, le développement du centre de formation mais aussi ses envies de tout rafler en fin de saison, championnat et coupe de France compris. Entretien.\n\nQuelques heures après ce titre d’Eurocup (interview réalisée le lendemain de la finale), êtes-vous un homme heureux ?\n« Très heureux. Fatigué mais heureux (rires). C’est un accomplissement d’autant plus magique qu’on a eu très peu de temps pour l’organiser et que tout s’est déroulé comme on avait espéré que ça se passe, avec le titre au bout. Ce n’est pas souvent que ça arrive dans une carrière de directeur général. »\n\nComment avez-vous fêté le titre ?\n« De la manière la plus simple possible, avec tous les gens qui nous aident au quotidien : nos partenaires, les collectivités, nos supporters. C’était une grande communion avec tout le monde : on a fini avec les joueuses, les salariés... Il n’y avait pas de barrière. C’était vraiment bien. »\n\n\n« Les filles savent pourquoi elles sont venues jouer à Bourges »\n\nQuel effet ça fait d’être derrière, de construire un effectif qui gagne ?\n« Je dis souvent que le poste de directeur général est un poste de l’ombre. Mais cette ombre, quand on voit la réussite et le bonheur que ça peut apporter autour de nous, c’est hyper gratifiant. C’est un travail d’équipe, puisqu’on travaille ensemble avec Agnès (Saint-Gès) depuis qu’elle a été intronisée présidente (NDLR : en juin 2019). C’est notre premier titre ensemble, et on en est très contents. »\n\nDepuis votre arrivée en septembre 2018, Bourges a gagné énormément de matches mais pas énormément de titres, à l’exception de la coupe de France 2019. Ce titre en coupe d’Europe vient-il concrétiser le travail réalisé ces dernières années ?\n« Si je dis qu’il le concrétise, cela voudrait dire qu’on a fini la saison. On s’est donnés des objectifs en début de saison, on en a atteint un, mais il nous en reste deux autres. Les meilleurs moments arrivent, entre guillemets. Car on s’est donné les moyens de pouvoir participer à la finale de la coupe de France (contre Basket Landes le 23 avril), on va finir au sommet de la saison régulière de Ligue Féminine donc on aura un tirage entre guillemets favorable pour les playoffs. Mais si demain on devait être éliminés dès les quarts de finale, on serait les premiers déçus. Donc il y a encore des objectifs, c’est ce que je disais à mes équipes administratives après le titre : profitons de ces moments-là, et retournons au travail très vite pour préparer la finale de la coupe de France, et après cet événement, les playoffs. On fera le bilan à ce moment-là. »\n\nEn conférence de presse, Olivier Lafargue répondait hier à un confrère en plaisantant : « Vous croyez sincèrement que ces filles-là ne vont pas se remobiliser pour aller chercher d’autres titres ? ». Tout le monde est sur la même longueur d’ondes ?\n« Bien sûr, les filles savent comment a été pensée l’équipe, quelle est son ADN, sa longévité, tout ce qui se fait au quotidien. Il y a plein de choses qui ne se voient pas aujourd’hui mais qui font que l’équipe est soudée. On a vu hier que chaque joueuse pouvait se battre pour sa coéquipière. Les petites erreurs de l’une étaient comblées par la présence d’une autre. Ce genre de questions (à propos de la remobilisation) me fait toujours sourire... Venise n’était pas démobilisé quand elles ont joué hier, la motivation était là. Sauf que des fois, on tombe simplement sur plus fort que soi. Demain, peut-être que Basket Landes sera plus fort que nous en finale de la coupe de France, ça ne voudra pas dire que nous ne nous sommes pas mobilisés. Il ne faut pas grand chose pour déclencher l’étincelle. Les filles savent pourquoi elles sont venues jouer à Bourges, ce n’est pas pour jouer le maintien, c’est pour gagner des titres. »\n\nLe club a toujours été la meilleure défense de Ligue Féminine depuis votre arrivée. Hier, le titre a été remporté avec seulement 38 points encaissés. C’est la défense qui fait gagner des titres ?\n« L’équipe, c’est entre les mains de l’entraîneur. Nous, on lui met les moyens à disposition et lui construit l’équipe. Mais, oui, je pense que ça fait partie de l’ADN d’Olivier (Lafargue), dans l’ADN du Bourges Basket d’avoir une défense dure et stricte. C’est vrai qu’hier, ça a particulièrement bien marché. Une finale avec aussi peu de points, ça n’a pas dû arriver souvent (NDLR : jamais un club n’avait encaissé moins de 45 points en finale depuis la création de l’Eurocup féminine en 2003, c’est arrivé une fois en coupe Ronchetti, l’ancêtre de la compétition, en 1973 où le Slavia Prague avait encaissé 37 unités au match retour face au grand Spartak Leningrad). C’est ce qui était magique. On a vraiment pu savourer avant la fin du match. Tout est retombé. A 5 minutes de la fin, on savait qu’on allait gagner, il y avait trop d’écart... Et puis on peut se féliciter de l’avoir organisé (sourire). »\n\n\n« Demain, on veut se donner les moyens d’organiser un Final Four d’Euroleague »\n\nQuel est le coût total de l’organisation du Final Four de l’Eurocup ?\n« Le budget total de l’organisation du Final Four de l’Eurocup est de 180 000 euros, financés par les collectivités, les partenaires, la billetterie. Ce n’était pas gagné d’avance. On sait que ça a aussi pu déplaire de demander de nouveau un coup de main. Après, on a toujours été assez clair sur le fait qu’on souhaitait se donner les moyens d’organiser un Final Four. Et encore, ce n’est pas les mêmes prix qu’un Final Four d’Euroleague. Demain, on veut se donner les moyens d’organiser un Final Four d’Euroleague. »\n\nQuand on voit le résultat, on se dit aussi que l’investissement, ça paie ?\n« L’investissement, ça paie, oui. On a voulu se donner les moyens de jouer à domicile pour donner une chance supplémentaire à nos filles en termes de fatigue, de récupération, et surtout en termes de public. Les gens l’ont vu hier, le public n’a fait qu’un derrière ses joueuses, il a vraiment joué son rôle de sixième homme, et ils l’avaient vu aussi mardi soir en demi-finale. La ferveur est là. »\n\nEn janvier 2020, Bourges voulait porter son budget à 4 millions d’euros – il était de 3,5 millions avant la crise sanitaire – et décrocher un Final Four d’ici 2024. Le Final Four, c’est fait, où en est le budget actuel et futur ?\n« Vous avez mis le doigt là où il fallait. Je pense qu’on aurait pu atteindre cette barre des 4 millions d’euros sans la crise sanitaire. Avec le Covid, on a fait deux pas en arrière, le budget de la saison est de 3,2 millions d’euros. Il faut qu’on rattrape notre retard et qu’on accélère. Après, on a mis en place les équipes pour, et les résultats nous aideront à valider cette politique. Je ne dis pas que c’est impossible. On va se donner les moyens d’atteindre cet objectif de 4 millions d’euros, on a deux ans pour l’atteindre. On est descendus un petit peu parce que nos partenaires ont subi le contrecoup du Covid mais on s’aperçoit qu’on a aussi un retour très important des gens dans la salle, parce qu’il y a eu des inquiétudes que les gens reviennent après la crise sanitaire, et il y en a toujours une sachant que le masque n’est plus obligatoire et que ça peut en gêner certains... On va espérer que la saison prochaine soit une saison normale, qu’on fidélise les gens qui sont venus et qu’on aille en chercher d’autres car on sait qu’on a la capacité de le faire, et le territoire pour le faire. »\n\n« Avec Valentin Cavelier, on est un vrai binôme et en plaisantant, je dis très souvent que l’on a remplacé Pierre Fosset par deux personnes », nous disait Agnès Saint-Gès dans une interview. C’est toujours le cas ? Comment fonctionne votre duo et comment a-t-il évolué ?\n« Il fonctionne comme au début. Agnès est une cheffe d’entreprise, qu’elle doit gérer, et je suis en charge du quotidien, des salariés, de la stratégie de développement du club. On n’a pas changé d’un iota le fonctionnement qu’on avait depuis son arrivée. J’ai envie de dire que notre binôme s’est de plus en plus renforcé car on essaie de faire le point plus régulièrement ensemble par rapport à la stratégie et notre vision des choses. Parfois, nos équipes nous disent qu’on veut aller trop vite. On essaie en tout cas de ne pas faire s’endormir ce beau et grand club. »\n\nHistoriquement, Bourges a connu plusieurs concurrents à travers les époques : Valenciennes au début des années 2000, l’ASVEL depuis quelques saisons. Comment expliquez-vous que le club soit toujours présent, quelle que soit la concurrence, et sur la durée ?\n« Il faut repartir à l’ADN du club. Quand on a repris le club, il était en haut de l’affiche. Et, avec Agnès, il était hors de question de nous dire qu’on allait faire autre chose que de le garder tout en haut. La pression est importante vis-à-vis de notre conseil d’administration, nos actionnaires, nos partenaires, nos abonnés, nos collectivités. Mais quand on travaille sur l’excellence et la performance, on essaie de se donner les moyens pour l’atteindre. Pour rien au monde je ne donnerai ma place aujourd’hui (sourire). »\n\n\n« Quand on voit son niveau, je pense que Kristen Mann ferait une erreur de partir à la retraite. Après, ça dépend d’elle (rires) »\n\nEn LFB, les clubs se positionnent très tôt sur le recrutement de la saison suivante. Où en est le recrutement de la saison prochaine ?\n« Le recrutement avance, il est loin d’être terminé. Après, on a toujours eu la stratégie de communiquer en fin de saison pour ne pas perturber notre groupe, mais aussi parce qu’on veut vivre l’instant présent avec le groupe qu’on a aujourd’hui. La politique du club a toujours été celle de la stabilité donc c’est rare qu’on transforme toute l’équipe, à moins que demain nous ayons des mauvais résultats. Ça suit son cours, sans précipitation. »\n\nIliana Rupert, MVP de la finale d’Eurocup à 20 ans, sera-t-elle le visage de Bourges à moyen terme ?\n« Iliana fait une saison à son image : explosive, rayonnante. Elle fait partie du club et de son ADN. Après, on connait ses projets de WNBA, ses projets de jouer à l’étranger. Nous, on l’accompagnera au mieux et on la gardera le plus longtemps possible. Après, on sera aussi heureux de la voir évoluer dans des clubs plus huppés que le nôtre quand elle aura fini son temps chez nous. »\n\nL’an dernier, Kristen Mann avait annoncé qu’il s’agissait de sa dernière saison en carrière puis elle est repartie pour un nouveau défi. S’agit-il vraiment de sa dernière danse ?\n« Quand on voit son niveau hier, je pense qu’elle ferait une erreur de partir à la retraite. Après, ça dépend d’elle (rires). »\n\nLe coach Olivier Lafargue est sous contrat jusqu’en 2023...\n« (Il coupe) On fera le point en fin de saison. Avec Olivier, on a toujours eu un rapport très transparent par rapport aux objectifs de début de saison. On n’a pas eu beaucoup de trophées depuis son arrivée, mais c’est aussi dû à la crise sanitaire. Ce qui est certain, c’est qu’il sera encore chez nous la saison prochaine, qu’il est en train de travailler sur son effectif et qu’on travaille sereinement tous ensemble. Il n’y a pas de perturbation à avoir. »\n\nOù en est votre centre de formation ? Avez-vous toujours ce projet de donner la priorité à des jeunes pour évoluer jusqu’en équipe première ?\n« En 2019, on avait lancé le projet « Tango 2024 » que vous avez évoqué précédemment. Dans ce projet-là, on avait souhaité maintenant l’excellence sportive au niveau des pros comme du centre de formation. Aujourd’hui, on essaie de mettre des moyens pour que le centre puisse former des jeunes, formés localement ou non, pour évoluer demain en équipe première, à l’image d’une Pauline Astier par exemple. Le centre de formation atteint le Final Four en U18 et en U20. Cela veut dire que les résultats sont là. Il faut encore qu’on passe une étape pour pouvoir concurrencer l’ASVEL, qui est en NF1 aujourd’hui. Ça permet de pousser les équipes à faire plus, même si on sait aujourd’hui qu’on est déjà un centre de formation reconnu en France. »\n\n\n« Je ne suis pas quelqu’un qui se met en avant, ce n’est pas dans mon ADN »\n\nSur un plan plus personnel, vous êtes un homme relativement discret. Ça fait partie de votre façon d’être ?\n« C’est ça. Le plus important, ça reste l’institution et l’équipe dans laquelle je travaille. Ici, c’est Bourges. J’ai vécu sept ans à Villeneuve d’Ascq (de 2011 à 2018), on a été champions de France, on a gagné la même coupe d’Europe que Bourges, l’Eurocup. Avant, j’ai travaillé dans le basket masculin à Roanne, où on a été champions de France en 2007, avant d’organiser l’Euroleague à Clermont-Ferrand... Je sais que j’ai de la chance dans mon parcours car j’ai déjà gagné pas mal de choses. Mais au-delà de mes résultats, ce qui me passionne le plus, ce n’est pas mes médailles ou mon trophée, c’est ce qui se passe autour. Tout ça, ce sont des résultats d’équipe avant tout. Je ne suis pas quelqu’un qui se met en avant, ce n’est pas dans mon ADN. Jamais je ne serai très expansif, mais rien que de voir la réussite d’une stratégie et d’un développement mis en place, ça me fait évidemment très plaisir (sourire). »\n\nVous avez débuté comme manager général de la Chorale de Roanne, donc dans le basket masculin. Quelles sont les différences dans la gestion d’un club masculin et féminin ?\n« Ce n’est pas tant différent. Le niveau de performance qu’on veut mettre en place, autant dans le sport masculin que féminin, reste le même. Après, ça peut être une question de budget. Mais, globalement, j’ai toujours dit que ce poste de directeur général, j’aurais pu l’avoir dans du handball, du foot, du volley... J’adore le sport féminin et le basket féminin, c’est pour ça que je suis là aujourd’hui. Quand je suis parti de Villeneuve d’Ascq, je ne pensais pas me retrouver ici. C’est Pierre Fosset qui m’avait contacté à l’époque. Quand on veut mettre en place un haut degré d’exigence, quelle que soit le lieu, la discipline ou le genre, il faut travailler dur, peut-être un peu plus dur quand il s’agit de sport féminin. Mais quand on a des résultats comme ici à Bourges, ça valide les sacrifices. »\n\nVous avez également été directeur général d’un club de rugby à Montauban entre 2009 et 2010. Que retenez-vous de cette expérience ?\n« C’était une bonne expérience, mais vraiment très différente parce que j’avais un rôle très particulier : je devais faire un audit sur un club qui n’allait pas bien. Je ne suis pas resté assez longtemps, à peine deux ans, pour me faire une idée de la gestion d’un club de top 14. C’est une expérience qui m’a fait grandir. Pour rien au monde je ne l’aurais pas faite. Je n’ai pas eu le temps de mettre en place tout ce que j’aurais aimé faire là-bas, mais ce n’est pas grave, c’était une étape. »\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\nArrivé dans le Cher en 2018, le directeur général Valentin Cavelier mène sa barque et son duo avec la présidente Agnès Saint-Gès, sans faire de vague. L’ancien DG de Villeneuve d’Ascq (2011-2018) et de la Chorale de Roanne (2005-2009) fait le point sur les sujets chauds du moment : le sixième sacre européen de l’histoire du club, l’espoir d’une augmentation du budget, la volonté d’organiser un Final Four d’Euroleague, le recrutement de la saison prochaine, le développement du centre de formation mais aussi ses envies de tout rafler en fin de saison, championnat et coupe de France compris. Entretien.\n\nQuelques heures après ce titre d’Eurocup (interview réalisée le lendemain de la finale), êtes-vous un homme heureux ?\n« Très heureux. Fatigué mais heureux (rires). C’est un accomplissement d’autant plus magique qu’on a eu très peu de temps pour l’organiser et que tout s’est déroulé comme on avait espéré que ça se passe, avec le titre au bout. Ce n’est pas souvent que ça arrive dans une carrière de directeur général. »\n\nQuel est le coût total de l’organisation du Final Four de l’Eurocup ?\n« Le budget total de l’organisation du Final Four de l’Eurocup est de 180 000 euros, financés par les collectivités, les partenaires, la billetterie. Ce n’était pas gagné d’avance. On sait que...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : Bourges, Valentin Cavelier débout à gauche (FIBA)
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Est-ce un handicap d’être grandes... en dehors d’un terrain de basket ?
Le Parisien consacre un article sur la difficulté, dans la vie de tous les jours, pour une femme d’être (très) grande. Cela concerne évidemment quantité de basketteuses et donc de nos lectrices.\n\nIl est admis que l’on est grande à partir de 1,77 m et que cela représente 2 à 3% de la population féminine française. Or, dans le basket professionnel, quantité de joueuses sont listées à plus de 1,80 m et même 1,90 m.\n\n« Quand la grande taille au féminin est associée dans les représentations sociales à l’élégance, à la réussite et à la séduction, elle devient pour les femmes de très grande taille associée à un vécu quotidien stigmatisant et désagréable, source potentielle de souffrances et de difficultés à trouver sa place en société », analyse la sociologue au CNRS, Marie Buscatto, autrice de l’ouvrage « La très grande taille au féminin : Les ambivalences d’une stature hors norme » (CNRS Éditions).\n\nSelon une étude Ifop pour Wyylde, datant de fin janvier 2022, 20 % des hommes (26 % chez les jeunes hommes) refuseraient d’être en couple avec une femme « sensiblement » plus grande qu’eux... Toutefois, Iris, une Parisienne, de seulement... 1,78 m, estime que sa taille n’est pas excluante.\n\n« Non, pas du tout, balaie la jeune fille. J’en ai juste marre qu’on me demande si je fais du basket. »\n\nEt pour celles qui font du basket, est-ce vraiment un « handicap » ? Qu’en pense la Hongroise Bernadett Hatar, vainqueur de l’Euroleague ce week-end avec Sopron, et qui culmine à 2,08 m ? L’article est à lire ici.\n\nPhoto : Bernadett Hatar (FIBA)
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Dix ans plus tard, le Partizan Belgrade paye toujours Aleks Maric
L’ancien pivot serbo-australien Aleks Maric (2,11m, 37 ans) a quitté le Partizan Belgrade en 2010, il est devenu entraîneur adjoint en Australie mais il est pourtant toujours payé par les Serbes... Une vieille dette.\n\nEn dix ans, Aleks Maric a joué pour le Lokomotiv Kouban, le Maccabi Tel-Aviv, Galatasaray, Bandar, Gran Canaria, Buducnost, Obradoiro, les Sydney Kings et Al Muharraq, et depuis 2019, il est entraîneur adjoint à Sydney. C’est le président Ostoja Mijailovic qui a révélé l’info :\n\n« Lors du match contre Mega Basketball, j’ai rencontré Alex Maric, que je respecte beaucoup. Maric est toujours dans la... masse salariale du Partizan ! Quand on distribue des salaires tous les mois, il y a de l’argent pour Maric et les joueurs de sa génération à qui on doit de l’argent. Les dettes nous suivront encore longtemps. »
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Italie : Isaïa Cordinier a reçu les compliments du patron de la Virtus Bologne
Suite à la victoire de prestige sur Armani Milan (83-65), Isaïa Cordinier (1,96m, 25 ans), qui a compilé 18 points à 5/7 aux tirs du champ et 7/7 aux lancers-francs, et 3 rebonds, a reçu les louanges du propriétaire/mécène de la Virtus Bologne, Massimo Zanetti :\n\n« Je suis content pour la ville de Bologne et pour le public extraordinaire de la Juventus. Cordinier est un guerrier incroyable. Aujourd’hui pourtant, tout le monde a bien joué et comme toujours Teodosic a fait des choses extraordinaires. Milan était sans plusieurs joueurs, mais nous aussi avons dû surmonter des problèmes similaires dans le passé. Manion ? (NDLR : Niccolo Manion n’est pas entré en jeu). C’est l’entraîneur Scariolo qui décide, mais il n’y a aucun doute sur les qualités du garçon « .\n\nPar ailleurs, au Corrierie di Bologna, Massimo Zanetti a confirmé que jouer l’Euroleague est une priorité pour son club.\n\n« Au-delà de la publicité personnelle, la raison de l’Euroleague est de pouvoir créer des équipes de niveau encore plus élevé pour notre public raffiné. »
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Thomas Heurtel a t-il été écarté du Real Madrid pour avoir fait la fête à Athènes la nuit avant un match ?
Thomas Heurtel, Trey Thompkins et aussi Guerschon Yabusele auraient été surpris en train de faire la fête à Athènes, à quelques heures d’un match face au Panathinaikos. C’est ce que croit savoir le site grec SDNA et le quotidien sportif Marca.\n\nLe Real Madrid a annoncé que Thomas Heurtel et Trey Thompkins ne font plus partie de son effectif pour des raisons disciplinaires, mais sans donner de précisions sur le motif exact.\n\n« Le meneur français et l’ailier américain ont été punis pour être sortis faire la fête quelques heures avant d’affronter le Panathinaikos dans le match correspondant à l’avant-dernière journée de la phase régulière de l’Euroleague et dans lequel le Real Madrid a fini par perdre 87-86 dans le final à l’OAKA. », écrit Marca.\n\nSelon l’agence de presse grecque SDNA, les deux joueurs sont revenus alors qu’il faisait déjà jour et quelques heures avant le début du match. Un match où Heurtel a été le meilleur marqueur de son équipe avec 18 points à 4/4 à trois-points !\n\n« Malgré le fait que leurs performances aient été optimales sur le terrain, le manque de discipline des deux joueurs à un moment clé de la saison pour l’équipe blanche a conduit le staff technique et le club à prendre l’une des décisions les plus drastiques de mémoire de Madrid de la dernière décennie », poursuit Marca.\n\nEn ce qui concerne Yabusele, qui a re-signé en janvier jusqu’en 2025, le Real a été plus clément -en rapport avec son contrat ?-préférant lui infliger une amende, alors qu’il n’a pas marqué de points face au Pana et pris 6 rebonds.\n\nPhoto : Thomas Heurtel (Euroleague)
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Zalgiris Kaunas : Jure Zdovc est remplacé par Kazys Maksvytis
Le séjour du coach slovène Jurij Zdovc au Zalgiris Kaunas aura été de courte durée. Arrivé en octobre, il est remplacé dès à présent par le coach de l’équipe nationale lituanienne, Kazys Maksvytis.\n\nAncien champion d’Europe avec le Limoges CSP en tant que joueur, en 1993, Jurij Zdovc a été le coach de Boulogne-Levallois la saison dernière. Il avait pris en octobre le relais de l’Autrichien Martin Schiller au Zalgiris.\n\n« Tout d’abord, je voudrais remercier l’entraîneur Zdovc pour son travail et son dévouement. Jure a rejoint l’équipe à un moment vraiment difficile, il a essayé d’aider l’équipe et mérite beaucoup d’éloges pour cela », a déclaré le directeur du club, Paulius Motiejūnas. « Cependant, nous avons décidé de jeter les bases non seulement pour la fin de cette saison, mais aussi pour l’année prochaine, nous avons donc décidé de faire les changements maintenant. Ce n’est un secret pour personne que Maksvytis devra passer l’été à travailler pour l’équipe nationale masculine de basket-ball de Lituanie, il pourra donc utiliser les mois de cette saison pour faire connaissance avec les joueurs et les entraîneurs, ainsi que pour transmettre sa philosophie et sa mentalité aux personnes qui resteront dans le club, afin qu’il puisse préparer la nouvelle saison avec un plan clair. »\n\nMaksvytis était l’entraîneur de Parma en Russie avant de quitter le club après l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Son contrat avec le Zalgiris est de 2+1, non compris cette saison.\n\nPhoto: Jure Zdovc (Zalgiris)
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Kyvon Davenport ne jouera plus pour Orléans
L’ailier américain Kyvon Davenport (2,03m, 24 ans) ne jouera plus de la saison pour Orléans Loiret Basket. Il a été mis à l’écart par le coach Germain Castano.\n\n« Le concernant, le staff évoquait avec un certain agacement des douleurs récurrentes à la cheville pour expliquer ses forfaits récents. Alors qu’il s’était entraîné normalement la veille et que l’OLB venait de perdre Youssou Ndoye, un autre intérieur, son absence sur la feuille de match contre Villeurbanne samedi a donc été la goutte d’eau », écrit la République du Centre.\n\nVoilà l’OLB dans l’embarras avec un joueur en moins dans le roster (8,7 points et 5,0 rebonds) alors que l’équipe du Loiret est en lutte pour le maintien (16e avec 8 victoires et 18 défaites).
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Euroleague : 1 058 500 euros de primes pour l’ASVEL, 903 000 pour Monaco
L’ASVEL a gagné 1 058 500 de primes en Euroleague, et l’AS Monaco 903 000 suivant des chiffres fournis par Mozzart Sport.\n\nC’est le Maccabi Tel Aviv qui a gagné le plus d’argent pour cette saison 2021-22. Cinq équipes touchent plus de 3 millions d’euros, mais ce sont des rentrées bien loin de compenser le poste des dépenses. Ces chiffres prennent en compte les trois équipes russes, mais on ne sait pas encore quelle position les actionnaires d’ECA vont prendre à leur sujet.\n\nLes revenus des clubs de l’Euroleague pour la saison régulière 2021-22 :\n(club : Market Pool – Bonus de victoire – total) /en euros/\n\n 1. Maccabi Tel-Aviv : 3 145 881 – 629 000 – 3 774 881\n 2. Olympiakos 2 681 625 – 740 000 – 3 421 625\n 3. Barcelone : 2 319 424 – 888 000 – 3 207 424\n 4. Real Madrid : 2 319 424 – 851 000 – 3 170 424\n 5. Panathinaikos : 2 681 625 – 370 000 – 3 051 625\n 6. Milan : 1 275 000 – 777 000 – 2 052 000\n 7. Anadolu Efes : 1 275 000 – 666 000 – 1 941 000\n 8. Fenerbahçe : 1 275 000 – 481 000 – 1 756 000\n 9. Vitoria : 1 140 768 – 444 000 – 1 584 768\n 10. Munich: 943 500 – 518 000 – 1 461 500\n 11. ASVEL : 688 500 – 370 000 – 1 058 500\n 12. Kaunas : 688 500 – 296 000 – 984 500\n 13. Monaco : 200 000 – 703 000 – 903 000\n 14. Saint-Petersbourg : 200 000 – 518 000 – 718 000\n 15. CSKA Moscou 200 000 – 518 000 – 718 000\n 16. Kazan : 200 000 – 518 000 – 718 000\n 17. Etoile Rouge Belgrade : 200 000 – 518 000 – 718 000\n 18. Berlin: 200 000 – 518 000 – 718 000\n\nPhoto : ASVEL, Infinity Nine Media
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NBA : Tony Parker dans le 5 Majeur européen de l’Histoire !
Tony Parker fait partie de la All-Time NBA European First Team suite à un vote effectué dans le cadre des festivités pour les 75 ans de la ligue américaine.\n\nLe Grec Giannis Antetokounmpo, le Slovène Luka Doncic, l’Espagnol Pau Gasol, et l’Allemand Dirk Nowitzki, qui a obtenu le plus de suffrages, sont les autres membres de ce cinq majeur. Incontestablement, les joueurs contemporains ont été privilégiés.\n\nLes Serbes Nikola Jokic et Peja Stojakovic, les Croates Drazen Petrovic et Toni Kukoc, et le Lituanien Arvidas Sabonis forment le deuxième cinq.\n\n\nTP 💎\n\n🇫🇷 All-Time NBA EUROPEAN TEAM.\n\n4x NBA Champion 🏆🏆🏆🏆\n2007 Finals MVP 🏆\n6x All-Star ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️\n4x All-NBA 🎖🎖🎖🎖\n2001-02 All-Rookie 🏅#NBA75EuroVote pic.twitter.com/NF63mMqUHI\n\n— NBA France (@NBAFRANCE) April 11, 2022\n
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Amine Noua prêté par Andorre à Strasbourg !
A la recherche d’un renfort, la SIG Strasbourg officialise ce lundi l’arrivée de l’intérieur français, Amine Noua (2,04 m, 25 ans), qui est prêté par le club d’Andorre jusqu’à la fin de la saison en cours.\n\nLyonnais de naissance, Amine Noua a grandi et évolué dans toutes les catégories au sein de l’ASVEL. Ce poste 4 shooteur était un des éléments indéfectibles du centre de formation du club jusqu’à sa première apparition au sein de l’effectif professionnel le 9 janvier 2016, saison lors de laquelle il a gagné son premier titre de champion de France.\nL’été suivant, il s’est particulièrement fait remarquer en remportant la médaille de bronze des championnats d’Europe U20, tout en étant élu dans le cinq majeur de la compétition (12,9pts-7,9rbs-16,6 d’éval). En cinq ans et quelques 300 matches avec l’ASVEL, il a finalement remporté trois titres de champion de France (2016, 2019 et 2021), deux coupes de France (2019 et 2021) et a été nommé deux fois All Star (2017 et 2018). Membre du Team France, il compte à ce jour neuf sélections chez les Bleus.\nL’été dernier, il a décidé de quitter le nid et de tenter sa chance à Andorre avec qui il a signé un contrat de deux ans. Avec ce nouveau club, il a participé à 13 matches en Eurocup et 21 en Liga ACB. Approché par la SIG Strasbourg, le club andorran a accepté l’offre qui lui a été proposée laissant Amine Noua revenir en France jusqu’à la fin de la saison 2021-22 sous les couleurs alsaciennes. Une signature que commente le Directeur Sportif Nicola Alberani :\n\n« Je suis très heureux que nous ayons trouvé un accord pour ce prêt d’Amine Noua. La situation liée à l’absence de Jaromir Bohacik est très compliquée donc trouver un joueur de ce niveau, avec une grosse envie de jouer et un fort enthousiasme à l’idée de nous rejoindre est une bénédiction. Je pense qu’il va rentrer parfaitement dans notre schéma collectif très rapidement. On a un certain nombre d’attentes à la suite de cette signature car c’est un très bon joueur. Enfin, je tiens à remercier le club pour l’effort et la confiance une nouvelle fois consentis pour permettre cette belle signature afin de compléter l’équipe ».\n\n\nLe coach Lassi Tuovi ne cache pas sa satisfaction de voir cette opportunité se réaliser afin de compléter son équipe :\n\n« Nous sommes très heureux de pouvoir ajouter un joueur de ce niveau à notre équipe. L’un des éléments les plus importants est que nous signons un joueur qui connait le championnat, qui l’a déjà gagné et qui a l’expérience de ce que c’est de faire partie d’une équipe qui gagne. Je sais que ce n’est jamais simple pour un joueur de rejoindre une nouvelle équipe à ce moment de la saison, mais après mes discussions avec Amine je suis très optimiste sur le fait qu’il nous apporte ce dont nous avons besoin : de l’expérience, de la taille, du scoring, mais également la mentalité que nous devons avoir dans cette dernière ligne droite de la saison. Il a connu une saison difficile avec Andorre et notre travail est aussi de lui permettre de retrouver la confiance et son basket. Je suis très heureux de son arrivée dans le groupe et je suis confiant pour cette fin de saison ».\n\nAmine Noua a tourné à 6,7 points et 2,3 rebonds pour 6,0 d’évaluation en 21 matches avec Andorre. Des stats sensiblement en retrait vis à vis de celles obtenues avec l’ASVEL les quatre saisons précédentes.\n\nPhoto : Infinity Nine Media
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Les playoffs de la Ligue Féminine sur Sport en France
A partir du 7 mai, les playoffs de la Ligue Féminine seront diffusés sur Sport en France.\n\nL’accord passé avec la FFBB comprend la production et la diffusion en direct des playoffs et, en complément, trois émissions spéciales autour de ces playoffs. Les matchs de playoffs seront diffusés gratuitement en direct sur la chaîne TV de Sport en France ainsi que sur l’application mobile, et le site internet de la chaîne.\n\nCalendrier des playoffs\nQuarts de finale : match aller le 7 mai, retour le 10 mai et belle éventuelle le 13 mai\n\nDemi-finale : match aller le 17 mai, retour le 20 mai et belle éventuelle le 23 mai\n\nFinale : match 1 le 29 mai, match 2 le 31 mai, match 3 le 4 juin, match 4 le 6 juin (si besoin), match 5 le 9 juin (si besoin)\n\nDéclaration de Guillaume Sampic, directeur général de Media365, éditeur de Sport en France :\n\n“Je remercie Jean-Pierre Siutat et Carole Force pour ce partenariat. C’est une belle preuve de reconnaissance du travail accompli par Sport en France depuis 3 ans : donner de la visibilité au sport et au sport féminin en particulier. Grâce à cet accord de coproduction et de diffusion avec la FFBB et grâce au soutien de l’ANS, la Ligue Féminine de Basketball sera à l’honneur sur Sport en France. Ce nouveau partenariat conforte la place de Sport en France comme le média TV et digital du sport français.\n\nDéclaration de Carole Force, présidente de la Ligue Féminine de Basketball :\n\n« Les playoffs de Ligue Féminine disposeront cette saison d’une visibilité exceptionnelle sur une chaîne gratuite et je m’en réjouis. Je tiens donc à remercier le CNOSF, l’ANS, Sport en France et la Fédération Française de Basketball pour tout le travail accompli pour arriver à une telle médiatisation de notre discipline. C’est une juste récompense des efforts faits par les 12 clubs et la FFBB pour structurer et développer la Ligue Féminine. Vous aurez l’occasion de voir en mai prochain, sur Sport en France, l’élite féminine du basket français qui se disputera le titre. Au regard de la saison régulière qui doucement s’achève, ces playoffs LFB promettent d’être intenses et disputés entre les 8 meilleures équipes du championnat.«\n\nSport en France est accessible sur : Orange (174) | Bouygues (192) | FREE (190) | SFR (129) | Molotov | MyTvchain | Samsung TV | Application Mobile : App Store & Google Play | www.sportenfrance.com\n\n\nSport en France, toujours plus de sport féminin sur son antenne.\n\nCet accord s’inscrit dans la poursuite de la médiatisation du sport féminin sur les antennes de Sport en France. Depuis 3 ans, 45% du temps d’antenne est consacré au sport féminin. Via ses différents programmes, Sport en France se positionne plus que jamais comme le média audiovisuel du sport féminin français.\n\nLa diffusion de la Ligue Féminine de Basket confirme ce positionnement et vient compléter les nombreux programmes déjà existants sur la chaîne :\n\n– « La victoire est en elles », l’émission 100% sport féminin, tous les lundis à 19h\n– Compétitions sportives féminines : Ligue féminine de handball, match de hockey de l’équipe de France féminine, Tour de cyclisme féminin de Bretagne et des Pyrénées, Rugby à XIII féminin à venir...\n– Enfin, la rédaction accueille depuis la rentrée 2 nouvelles consultantes, anciennes championnes aux côtés de Maxine Eouzan : Gévrise Emane (judo), Marie Martinod (ski). Ces trois anciennes athlètes proposent des séries de magazine au plus près des athlètes et entraîneurs français.\n\nPhoto : Céline Dumerc (FIBA)
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La Mini-Movie de la victoire de Cholet au Mans
Cholet Basket a parfaitement négocié le virage du Mans (67-80). C’est ce que nous raconte cette Mini Movie réalisée par le club.\n\nPhoto : MSB
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Evan Fournier confirme qu’il sera présent à l’EuroBasket 2022
Selon The Athletic, Evan Fournier (2,01m, 29 ans) sera bel et bien présent à l’EuroBasket cet été.\n\nAprès les forfaits de Nando De Colo et Nicolas Batum, cette nouvelle, qui n’est pas une surprise car le joueur des New York Knicks a annoncé plusieurs fois avoir soif de médailles, est forcément réjouissante. Les Bleus ont été placés dans la première phase de l’EuroBasket dans le groupe de Cologne avec l’Allemagne, la Slovénie, la Lituanie, la Bosnie-Herzégovine et la Hongrie. Ils auront aussi à jouer cet été quatre matches dans le cadre des qualifications à la Coupe du monde.\n\nL’autre leader de l’équipe de France, Rudy Gobert, pivot du Utah Jazz, a déjà publiquement confié qu’il avait comme objectif de remporter l’or européen.\n\nPhoto: FIBA\n\n\nEvan Fournier confirms he will play for France in EuroBasket this upcoming September.\n\n— Fred Katz (@FredKatz) April 11, 2022\n
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Gabby Williams, MVP du Final Four de l’Euroleague féminine : «Je suis toujours sous le choc»
C’était hier, dimanche, le jour de grâce de Gabby Williams (1,80m, 25 ans), qui a remporté l’Euroleague avec Sopron -victoire en finale sur Fenerbahçe (60-55)- et qui a été élue MVP du Final Four.\n\nL’internationale a établi une moyenne de 14,5 points, 5,0 rebonds et 3,5 interceptions sur l’ensemble des deux matches et a réussi à calmer l’ardeur de l’Ukrainienne Alina Iagupova en finale, ce qui est une véritable prouesse.\n\n« Je suis toujours sous le choc », a t-elle commenté. « C’est tellement fun. C’est tellement incroyable. C’est vraiment, vraiment bien en ce moment. Être si concentrée sur chaque possession est quelque chose qu’aucun de nous n’oubliera jamais. »\n\nLa Franco-Américaine a confié que jouer devant un public turc hostile, à Istanbul, a été une source de motivation.\n\n« En fait, je voulais que Fenerbahce remporte sa demi-finale, parce que je voulais jouer dans ce type d’ d’environnement, c’est ce pour quoi nous vivons en tant qu’athlètes. J’ai joué devant peut-être des foules plus importantes aux États-Unis, mais elles ne sont pas turques et l’atmosphère n’a jamais été comme ça avant. Nous avons apprécié le défi d’essayer de les faire taire et cela n’a fait que nous motiver davantage. »\n\nPhoto : FIBA
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Espagne : Le Real Madrid encore trop juste dans le clasico
Le Real Madrid s’est bien battu dans le clasico, mais il a fini par s’avouer vaincu en prolongations (108-97).\n\nLe coach du Barça Sarunas Jasikevicius a ainsi obtenu sa 11e victoire en 14 matches contre le Real, alors que celui-ci a enregistré une 16e défaite en 27 matchs depuis le clasico du match aller. La crise n’est donc pas terminée.\n\n« Ce sont les détails qui font la différence dans ce type de match. Il y en a qu’on peut contrôler et d’autres qu’on ne peut pas », a estimé l’entraîneur madrilène, Pablo Laso, qui s’est dit « fier » des efforts de son équipe contre le Barça. « C’était un match très équilibré et les deux équipes ont joué à un très haut niveau. »\n\nDu côté du Barça, Jasikevicius a été surpris par l’évolution du match et le score prolifique.\n\n« C’est la nuit de Rolands Smits et Nigel Hayes, bien que tout le monde y ait contribué. Je ne m’attendais pas à ce type de match, je m’attendais à un match comme celui de la Coupe, à 60 ou 65 points. Mais nous avons été très bons en attaque. Quand tu marques beaucoup, tout semble plus beau, mais ce qui te fait gagner est toujours la même chose : l’effort et le sacrifice. »\n\nNicola Laprovittola (20 points), Roland Smith (18), Dante Exum (16) et Nigel Hayes (16) ont été les meilleurs marqueurs du Barça. Gabriel Deck (17), Vincent Poirier (14 et 6 rebonds), Walter Tavares (14) et Guerschon Yabusele (13 et 3 rebonds) au Real. Pour sa part, Fabien Causeur a scoré 3 points.\n\nPhoto : Dante Exum (Barça, Liga ACB)
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Italie : Un show de Mam Jaiteh lors de la victoire de la Virtus Bologne sur Milan
La Virtus Bologne n’a pas fait de détails lors de sa victoire sur Armani Milan (83-65) et Mam Jaiteh a été royal: 18 points et 15 rebonds. Au classement, Bologne a désormais deux victoires d’avance sur Milan.\n\nIsaia Cordiner et Kyle Weems ont également été très efficaces avec 18 points chacun, tandis que Tornike Shengelia a ajouté 10 points et 7 rebonds. Pour Milan, Ben Bentil a marqué 15 points, Tomasso Baldaso 12 et Nico Melli 10 points. Sergio Rodriguez, Shavon Shields, Troy Daniels et Gigi Datome étaient absents en raison du Covid-19 et de blessures.\n\nLa Virtus menait 46-34 à la mi-temps et a pris une avance de 20 points à la fin du troisième quart-temps pour ne jamais plus être inquiétée.\n\n« Je suis heureux que les fans aient vu un grand match et que deux entrepreneurs comme Zanetti et Armani, deux grands entrepreneurs du basket italien, aient été gratifiés par un événement comme celui de ce soir qu’ils méritent absolument pour ce qu’ils font pour le basket italien », a commenté le coach de la Virtus, Sergio Scariolo. « Le joueur clé en attaque à mon avis était Mam (Jaiteh). Il a terminé les actions et il a attiré l’attention des joueurs du périmètre. »\n\nPhoto : Mam Jaiteh (Virtus)
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Spécial Salaires Pro B 2021-22 : Saint-Quentin encore au top, Saint-Vallier exploite au mieux ses ressources
L’un, Saint-Quentin, n’en finit plus de surprendre – ce qui n’est plus une surprise – même au vu des petits moyens du club. Quant à l’autre, Saint-Vallier, peu de monde l’attendait en telle posture, luttant pour les playoffs, alors que le club accédait en Pro B avec des ressources très modestes. Dans les deux équipes, les salaires légers n’empêchent pas certains joueurs de réaliser de très belles performances.\n\nÉquipe par équipe, au quotidien, et par ordre alphabétique, Basket Europe sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B, dont voici le huitième épisode.\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année en vous abonnant.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nSaint-Quentin : presqu’aussi bien !\n\nBudget annoncé : 1 861 000 € (13e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 621 500 € (14e)\nClassement (au 10 avril) : 5e (16 victoires – 11 défaites)\n\nAprès une saison de très haut vol à la surprise quasi-générale (3e du championnat avec 22 victoires pour 12 défaites, le titre de MVP pour Parker Jackson-Cartwright, celui de meilleur jeune pour Hugo Besson et, pour faire bonne mesure, celui d’entraîneur de l’année pour Julien Mahé), on se demandait si le SQBB allait pouvoir réitérer ses magnifiques performances avec un effectif profondément chamboulé (8 départs et autant d’arrivées) et des moyens financiers en relatif retrait (inférieure de 1 000 €, la masse salariale 2020-21 de Saint-Quentin était la 9e de la division, elle est aujourd’hui la 14e).\n\nLe début de saison du SQBB a laissé craindre le pire : au bout de 12 journées, l’équipe de Julien Mahé naviguait dans les bas-fonds du classement, avec 4 victoires pour 8 défaites (dont une série de cinq revers consécutifs). Puis, fin janvier, Saint-Quentin a enfin trouvé la clé, alignant sept victoires de rang jusqu’à mi-mars. De quoi mettre le club en excellente position pour les playoffs.\n\nPour obtenir ces résultats, Julien Mahé s’est principalement attaché à créer un collectif soudé. Certes, ses 79,0 points marqués n’en font que la 8e équipe de Pro B dans ce secteur et l’équipe ne réalise que 17,8 passes par match (9e de Pro B) mais elle est aussi celle qui perd le moins de ballons : 12,7 par match. En outre, elle est adroite de près, entrant 54,9 % de ses tentatives à deux-points (5e de la division). De quoi relativiser un rebond peu présent (34,4 prises par match, 15e du championnat).\n\nAvec son budget joueurs resserré, Saint-Quentin n’a bien sûr pas pu signer de « star » du championnat. À défaut, le club a réussi son recrutement, à l’exception du meneur Pedro Barral, peu adapté au jeu demandé par Julien Mahé. Mais, à cette exception près, le coach n’a pas à se plaindre de ses recrues, pourtant très raisonnablement payées. Le joueur gagnant le plus dans l’effectif, Jhornan Zamora (48e salaire de Pro B) ne déçoit pas, avec ses 12,4 d’évaluation, pas plus que les autres cadres : Deane Williams 13,6 d’évaluation pour le 65e salaire), Kresimir Ljubicic (9,8 d’évaluation pour le 83e salaire), Benoît Gillet (8,8 d’évaluation pour le 99e salaire) ou Kendall Anthony (48e salaire en projection sur la saison pour 11,9 d’évaluation).\n\nMais le très beau coup du SQBB a été la signature de Lionel Gaudoux, prometteur en NM1 et qui explose au niveau supérieur pour un salaire minimal (le 112e de Pro B) : 14,8 d’évaluation, tout simplement la meilleure de l’équipe ! Ajoutons à cela des jeunes capables de coups d’éclat comme Lucas Boucaud, Neftali Difuidi ou Kymany Houinsou, Saint-Quentin a toujours une bonne tête d’équipe surprise du championnat (même si Saint-Chamond fait encore mieux). Et Julien Mahé, 5e entraîneur le mieux payé de la division, a bien mérité ses 10 000 € d’augmentation.\n\n\nLes salaires de Saint-Quentin\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22Jhornan Zamora3-2ESP/VEN202250 000,00 €Deane Williams4GBR202245 000,00 €Kresimir Ljubicic5CRO202242 000,00 €Kendall Anthony1USA8 mois40 000,00 €Benoit Gillet2FRA202338 000,00 €Lionel Gaudoux5-4FRA202235 000,00 €William Pfister4-3FRA202235 000,00 €Calvin Hippolyte3FRA202328 000,00 €Lucas Boucaud1FRA202220 000,00 €Neftali Difuidi2-3FRA2022 (prêt)20 000,00 €Leo Billon3FRA202216 000,00 €Kymany Houinsou2-1FRA6 mois (prêt)15 000,00 €Pedro Barral1ARG(3 mois)9 000,00 €CoachJulien MahécoachFRA202260 000,00 €\n\n\nSaint-Vallier : le promu donne son bonjour\n\nBudget annoncé : 1 357 000 € (18e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 602 000 € (16e)\nClassement (au 10 avril) : 9e (13 victoires – 15 défaites)\n\nSaint-Vallier a la saison dernière brillamment décroché son accession en Pro B. Mais, avec un effectif bien peu retouché et des moyens financiers modestes, on pouvait craindre que l’année soit douloureuse pour les Drômois. Ce que le début d’exercice a semblé confirmer : avec deux petites victoires pour cinq défaites, Saint-Vallier semblait parti pour faire l’ascenseur. Puis, début décembre, le SVBD a enclenché la marche avant, réalisant l’excellent bilan de 7 victoires pour 3 défaites en l’espace de deux mois. Et si la suite est un peu moins brillante, le club drômois présente un bilan équilibré et se retrouve en position de se qualifier pour les playoffs.\n\nÀ lire les statistiques, on peut s’interroger sur ce qui permet à Saint-Vallier de figurer aussi haut dans le classement : 17e attaque (74,7 points marqués) et 13e défense (79,7 points encaissés), cela n’a rien d’encourageant. Quand en plus une équipe figure au dernier rang de la Pro B aux interceptions (5,1) et aux balles perdues (17,1), il y a de quoi se poser encore plus de questions. Mais s’il ne brille pas dans tous les domaines, le SVBD sait s’appuyer sur ses forces. L’équipe est la deuxième de la division aux rebonds (37,8), elle n’autorise ses adversaires qu’à inscrire 48,4 % de leurs tentatives à deux-points (personne en Pro B ne fait mieux).\n\nSaint-Vallier présente surtout un collectif soudé, s’appuyant principalement sur 8 joueurs, dont 7 produisant de 7,2 à 14,3 d’évaluation. Après le départ d’un Akeem Williams peu convaincant et son remplaçement par le Lituanien Ovidijus Varanauskas, le SVBD a trouvé la bonne carburation, en s’appuyant sur les qualités de passeur de Marcos Suka-Umu (4,6 passes, 12,9 d’évaluation, 58e salaire de Pro B), sur la solidité tout-terrain de Ryan Rhoomes (14,1 d’évaluation pour le 83e salaire de la division), sur le jeu très complet de Demond Watt (14,3 d’évaluation pour le 99e salaire) et les bons services rendus par les « soutiers » Varanauskas (9,0 d’évaluation pour le 130e salaire annuel de la division), Florent Tortosa (7,8 pour le 105e salaire), Pape Beye (7,7 pour le 106e salaire), sans oublier Alexis Thomas (7,2 pour le 123e salaire), qui pour sa première saison à ce niveau a agréablement surpris même s’il baisse un peu de pied depuis le début de l’année civile.\n\nL’entraîneur Philippe Namyst (14e salaire de coach de Pro B, et dernier de ceux ayant effectué toute la saison pour le moment) a donc poli un collectif efficace, qui permet au SVBD de regarder vers le haut du classement plutôt que vers ses dernières positions.\n\n\nLes salaires de Saint-Vallier\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22Marcos Suka-Umu2ESP202249 000,00 €Ryan Rhoomes5USA/JAM202242 000,00 €Demond Watt4-5USA202238 000,00 €Florent Tortosa3FRA202237 000,00 €Pape Beye5-4SEN202236 000,00 €Alexis Thomas4FRA202234 000,00 €Xavier Gaillou1-2FRA202230 000,00 €Vincent Ateba3-4FRA202226 000,00 €Arthur Bruyas3-2FRA2022 (prêt)24 000,00 €Ovidijus Varanauskas1LIT5 mois15 000,00 €Akeem Williams1USA/GBR(4 mois)15 000,00 €CoachPhilippe NamystcoachFRA202240 000,00 €\n\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\n\nPhoto d’ouverture : Kendall Anthony – Saint-Quentin (photo SQBB – com1declic.net) – Demond Watt – Saint-Vallier (photo SVBD – HR) – Montage Basket Europe\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n\nSaint-Quentin : presqu’aussi bien !\n\nBudget annoncé : 1 861 000 € (13e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 621 500 € (14e)\nClassement (au 10 avril) : 5e (16 victoires – 11 défaites)\n\nAprès une saison de très haut vol à la surprise quasi-générale (3e du championnat avec 22 victoires pour 12 défaites, le titre de MVP pour Parker Jackson-Cartwright, celui de meilleur jeune pour Hugo Besson et, pour faire bonne mesure, celui d’entraîneur de l’année pour Julien Mahé), on se demandait si le SQBB allait pouvoir réitérer ses magnifiques performances avec un effectif profondément chamboulé (8 départs et autant d’arrivées) et des moyens financiers en relatif retrait (inférieure de 1 000 €, la masse salariale 2020-21 de Saint-Quentin était la 9e de la division, elle est aujourd’hui la 14e).\n\nLe début de saison du SQBB a laissé craindre le pire : au bout de 12 journées, l’équipe de Julien Mahé naviguait dans les bas-fonds du classement. Puis...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
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Le programme TV by TCL : Monaco et Strasbourg deux fois à l’affiche
En attendant les quarts-de-finale d’Euroleague, le programme TV de la semaine est allégé, mais on y retrouve deux matches de Monaco et de Strasbourg.\n\nMardi 12 avril :\n\n20h00 – Strasbourg/Hapoël Holon – BCL – LNBTV\n\n20h30 – Dijon/Monaco – Betclic Elite – Sport en France\n\nSamedi 16 avril :\n\n18h00 – Strasbourg/Boulogne – Betclic Elite – Sport en France\n\nDimanche 17 avril :\n\n19h00 – Monaco/Pau -Betclic Elite – BeIN Sports 3\n\n\nCOMMENT REGARDER LE BASKET\n\nbeIN SPORTS\nbeIN SPORTS 1, 2 et 3 sont accessible sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52 – Canal Sat : canaux 66 à 68 – Free : canaux 31 à 33 – Orange: canaux 45 à 47 ou 176 à 178 – SFR : canaux 115 à 117)\n\nSPORT EN FRANCE\nAccessible gratuitement sur les Boxes : Bouygues : canal 192 – Free : canal 190 – Orange : canal 174 – SFR : canal 129 – sur Molotov TV et Samsung TV Plus\net sur www.sportenfrance.com\n\nSTATIONS REGIONALES DE FRANCE 3\nLes chaînes sont accessibles gratuitement localement sur la TNT. Elles sont accessibles également sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 301 à 324 – Canal Sat : canaux 350 à 373 – Free : canaux 301 à 326 – Orange : canaux 211 à 236 – SFR : canaux 431 à 456)\n\nLNB TV – LA PLATEFORME DIGITALE OTT DE LA LNB\nLa plateforme diffuse l’ensemble des matches* de Betclic ÉLITE et de PROB. Ils sont disponibles dans leur intégralité, en live et en replay et sont tous commentés.\nTrois façons d’accéder\n– Sur le site LNB\n– Sur le site LNB TV\n– En téléchargeant l’application LNB sur iOS ou Android\n\nVotre compte utilisateur LNB TV vous permet de vous connecter à ces 3 interfaces.\n\nPhoto : Matt Mitchell (SIG Strasbourg, FIBA)
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Des clubs chinois en VTB League ? Pas à l’ordre du jour
Les clubs chinois ne participeront pas à la VTB United Basketball League dans un proche avenir, mais l’apparition d’équipes d’autres pays est possible. Cette opinion a été exprimée à l’agence TASS par le président honoraire de la ligue, Sergei Ivanov.\n\nLes club estonien du Kalev Talinn et polonais du Zelena Gora ont quitté la VTB United League suite à l’invasion de l’Ukraine par la Russie. La rumeur a couru qu’un rapprochement avec des clubs chinois était en cours, mais Ivanov la dément.\n\n« Je ne pense pas que des clubs chinois apparaîtront dans notre ligue dans un avenir proche. Mais quant à l’avenir de la VTB United League, ce n’est pas la quantité mais la qualité qui compte pour moi. La VTB League reste internationale. Pourquoi devrions-nous exclure les Biélorusses, les Kazakhs ? Peut-être que quelqu’un d’autre voudra venir, l’apparition d’équipes d’autres pays est possible », a-t-il ajouté.\n\nPar ailleurs, il a commenté l’information du journal serbe Kurir comme quoi le CSKA pourrait créer un tournoi alternatif à l’Euroleague, qui inclurait des clubs russes, serbes, hongrois, grecs et israéliens.\n\n« Vous pouvez écrire ce que vous voulez. Malheureusement, nous avons des journalistes, ce n’est pas un reproche pour vous, ne vous en offusquez pas, qui ne répondent jamais de leurs propos », a déclaré Ivanov.\n\nPhoto : VTB League
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L’oeil de Fred Weis – Limoges rafle un nouveau Clasico, Bourges puissance six, Strasbourg en mode survie
Retrouvez régulièrement l’analyse des matches commentés à la télévision par Fred Weis sur Basket Europe.\n\nAu programme du jour : la première victoire de Limoges dans un Clasico à Pau depuis 2013 mais aussi le sixième trophée européen de Bourges, vainqueur de l’Eurocup au Prado dans une finale de rêve contre Venise, ou encore la défaite inaugurale de Strasbourg à Holon en quarts de finale de BCL avant le match retour mardi soir (20h).\n\nCette vidéo a été réalisée en partenariat avec Big Camp, le camp de basket de Fred Weis, et est à retrouver sur la chaîne YouTube Basket Europe et le site de Basket Europe.
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Vidéos : Le parquet du palais des sports de Pau baptisé Pierre Seillant
A l’occasion du clasico contre Limoges, l’Elan Béarnais a honoré son ancien président emblématique, Pierre Seillant.\n\nLe parquet du palais des sports de Pau portera désormais son nom. Un parterre d’anciens joueurs du club ont assisté à la cérémonie en compagnie des 7 500 spectateurs du match.\n\n\nLes anciens joueurs de l’@EBPLO sont réunis pour rendre hommage à Pierre Seillant 🙌#Classico #LNBextra pic.twitter.com/RARGyJV7jF\n\n— LNB (@LNBofficiel) April 10, 2022\n\n\n\n🥲 | Retrouvailles magiques entre le Prési et Dragan Lukovski : la soirée spéciale Pierre Seillant à l’occasion du 111eme #clasico débute bien ! pic.twitter.com/QUb3WKh3tz\n\n— EBPLO (@EBPLO) April 10, 2022\n\n\n\nLe parquet du Palais des Sports portera désormais son nom 🙌\n\nLe parquet Pierre Seillant #Classico #LNBextra #BetclicELITE pic.twitter.com/oOks7KqtFz\n\n— LNB (@LNBofficiel) April 10, 2022\n
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Euroleague féminine : Sopron est champion d’Europe, Gabby Williams MVP !
Les Hongroises de Sopron ont été sacrées, cet après-midi, pour la première fois, championnes d’Europe grâce à leur victoire en finale de l’Euroleague sur Fenerbahçe (60-55). Gabby Williams (1,80m, 25 ans) a été élue MVP de la finale.\n\nGabby Williams a réalisé un match magnifique, extrêmement intense, qui se lit dans ses propres statistiques (16 points à 7/14 aux tirs, 4 rebonds, 3 passes, 4 interceptions, le tout pour la meilleure évaluation du match, 17), mais aussi dans celles de l’Ukrainienne Alina Iagupova qu’elle a marqué à la culotte (4/18 aux shoots). Incontestablement, la Franco-Américaine a davantage de liberté en club qu’en équipe de France et elle y exprime toutes ses qualités de all-around player. Dans l’autre camp, Bria Hartley a été beaucoup plus discrète avec 3 points et 3 rebonds.\n\nA Istanbul, dans une ambiance évidemment 100% en faveur des Turques -9 500 spectateurs à l’Ulker Sports Arena-, les Hongroises ont eu le mérite de ne jamais perdre leurs nerfs. Outre Gabby Williams, la meneuse Szofia Fegyvernek, la Serbe Jelena Brooks (11 rebonds) et la géante hongroise Bernadett Hatar dont les longs bras ont souvent émergé de la mêlée, ont été les principales individualités de Sopron.\n\nUn 12-0 pour commencer\n\nFenerbahçe est demeuré sans marquer pendant les 7’25 premières minutes de jeu, en ratant ses 12 premiers shoots. Le temps aussi pour Sopron d’amasser 12 points. La meneuse de 37 ans, Szofia Fegyvernek avait scoré 9 des 16 premiers points de son équipe, mais c’est Gabby Williams qui était la top-scoreuse de son équipe à la mi-temps avec 10 points. A ce moment-là, Sopron avait un avantage de 10 points (29-19) construit grâce à une défense qui avait amené son adversaire à un misérable 18,5% de réussite aux tirs avec un 1/9 pour Iagupova.\n\nLe Fener est monté en intensité au début de la deuxième mi-temps, effaçant très vite son retard, notamment grâce à l’opportunisme de la meneuse turque Olcay Cakir, mais sans jamais complètement opérer la jonction, et après trente minutes, les Hongroises étaient encore solidement en tête : 45-38.\n\nLes Turques ont tenu bon notamment grâce aux paniers extérieurs de la Suédoise Amanda Zahui. Elles se rapprochaient même à trois points à deux minutes du final (58-55). Mais Kayla McBride ratait un panier primé et l’égalisation, les Hongroises conservaient leur calme, et Szofia Fegyvernek puis Gabby Williams assuraient leur victoire sur la ligne des lancers.\n\nLa boxscore est ICI.\n\n\n😤🔐 @gabbywilliams15 not fazed by ANYTHING!@WBSopron x #EuroLeagueWomen pic.twitter.com/ZniNbowQI7\n\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) April 10, 2022\n\n\n\nThe atmosphere in the women's EuroLeague final in Istanbul is getting louder and louder ⚡️ pic.twitter.com/QwUGgmRFKE\n\n— BasketNews (@BasketNews_com) April 10, 2022\n\n\n\n🎵 MVP, MVP, MVP! 🎶\n\n💎@gabbywilliams15 💎 is your #EuroLeagueWomen FINAL FOUR MVP! pic.twitter.com/NQr0NCvjSN\n\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) April 10, 2022\n\n\nPhoto : FIBA
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Cédric Heitz n’est plus le coach du Champagne Basket
C’est par un communiqué lapidaire que le Champagne Basket annonce que Cédric Heitz, 48 ans, n’est plus le coach de l’équipe marnaise.\n\n« Le comité de direction du Champagne Basket a décidé ce samedi 9 avril la mise en retrait de la gestion de l’équipe professionnelle de son entraîneur principal, Cedric Heitz. La conduite des entraînements a été confiée aux 1er et 2nd assistants, Frédéric Jaudon et Mickael Pivaud. »\n\nUne décision qui s’explique par le fait que le Champagne Basket est lanterne rouge du championnat (7 victoires pour 20 défaites), mais qui est tout de même un peu injuste car l’Alsacien a fait du bon travail avec peu de moyens depuis son arrivée au club, en 2017, alors qu’il venait d’être élu Meilleur Entraîneur de Pro B avec Charleville.\n\nPhoto : Thomas Savoja
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Les 6 infos de la semaine : Bourges sur le toit de l’Europe, Nicolas Batum forfait pour l’Euro
Vous n’avez pas suivi quotidiennement l’actualité du basket français et international cette semaine ? Pas de panique, la rédaction de Basket Europe vous résume l’essentiel de ce qu’il ne fallait pas louper du 3 au 10 avril.\n\n\nÀ domicile, Bourges remporte le Final Four de l’Eurocup, son sixième titre européen\n\nDans un Prado surchauffé, le Tango Bourges a remporté jeudi soir le sixième titre européen de son histoire, le premier depuis 2016, en dominant Venise de la tête et des épaules. Une finale historique, où le collectif d’Olivier Lafargue n’a encaissé que 38 points. MVP de la finale, Iliana Rupert, ses coéquipières, le coach et la présidente nous ont livré leurs premières réactions. Pour arriver jusqu’en finale, les Berruyères avaient réalisé un comeback sensationnel contre Galatasaray en demi-finale, remontant un déficit de 13 points dans le dernier quart-temps. A noter que les internationales Gabby Williams (Sopron) et Bria Hartley (Fenerbahçe) s’affronteront elles pour le titre d’Euroleague ce dimanche après-midi à 17h.\n\n\nNicolas Batum renonce à l’EuroBasket 2022\n\nVendredi, Nicolas Batum a annoncé qu’il ne participerait pas à l’EuroBasket 2022 en septembre prochain. Il s’agit du deuxième forfait d’envergure après celui de Nando De Colo, et il concerne aussi les qualifications à la Coupe du monde 2023 qui sont intégrées à l’agenda estival. Pour l’ailier des Clippers, les raisons sont personnelles – sa fille est née il y a 15 mois – mais aussi physiques – la priorité est donnée au repos, avant une saison NBA 2022-2023 qui s’annonce longue, et avec un espoir de titre.\n\n\nEuroleague : Monaco valide son ticket pour les playoffs... et sa participation pour la saison prochaine !\n\nSemaine historique pour la Roca Team. L’AS Monaco a non seulement validé son ticket pour les playoffs d’Euroleague – et sécurisé la 7e place – mais aussi officialisé sa participation pour la saison prochaine. La formation de la Principauté a également fêté le titre de MVP du mois de mars pour Mike James. Et le chemin ne s’arrête pas là : l’équipe de Sasa Obradovic – prolongé jusqu’à l’été 2023 – défiera l’Olympiakos, 2e de la saison régulière (19-9), en playoffs. Rendez-vous pour la première manche mercredi 20 avril à Athènes. Egalement qualifié pour les playoffs, le Real Madrid a lui écarté Thomas Heurtel, pour des raisons assez floues. A noter que l’ASVEL termine au 14e rang, soit à l’avant-dernière place de la compétition, après son ultime défaite à domicile contre Milan.\n\n\nEurocup/BCL : Boulogne-Levallois affrontera Venise en huitièmes, Strasbourg manque sa première manche contre Holon en quarts\n\nVainqueurs de Lietkabelis mercredi, les Metropolitans 92 ont validé leur belle 3e place de la saison régulière d’Eurocup. Dernier représentant français dans cette compétition après l’élimination de Bourg – défait par la Virtus Bologne en baisser de rideau -, Boulogne-Levallois accueillera Venise en huitièmes de finale, le 19 ou 20 avril prochain, dans un seul et unique match à élimination directe. En BCL, Strasbourg a « pris une claque » sur le parquet de l’Hapoël Holon mercredi soir et jouera sa survie dans la compétition à domicile ce mardi (20h).\n\n\nFrance : Orléans en danger en Betclic Elite, Boulazac aussi en Pro B, et Angers de retour en LNB !\n\nToujours leader grâce à sa victoire à Bourg, Boulogne-Levallois a officialisé l’arrivée de l’ancien limougeaud Jerome Randle comme joker médical de David Michineau. Sur une série de cinq défaites consécutives – dont trois contre Boulogne-Levallois, Monaco et l’ASVEL -, Orléans est tout proche de la zone rouge (8-18, 16e) en Betclic Elite. Au-delà des résultats, le club a subi une nouvelle blessure, celle de son pivot dominant, Youssou Ndoye (fracture de la main), remplacé par Emanuel Terry. En Pro B, si Saint-Chamond continue de s’échapper en tête et que Chalon coince, jusqu’à avoir remercié son entraîneur, Boulazac – rétrogradé de l’Elite la saison dernière – est en très mauvaise posture après sa défaite samedi contre Rouen, lanterne rouge déjà quasiment en Nationale 1. A l’inverse, née en 2017 de la fusion entre l’Etoile d’Or Saint-Léonard et Angers BC, l’Etoile d’Angers a officialisé sa promotion dans l’antichambre de l’Elite. A noter par ailleurs la prolongation de Vafessa Fofana avec le BCM Gravelines-Dunkerque jusqu’en 2025.\n\n\nVers la création d’une ligue dissidente de l’Euroleague à l’initiative du CSKA Moscou ?\n\nS’il est probable que les clubs russes ne réintégreront pas l’Euroleague pour la saison 2022-2023, le président du CSKA Moscou aurait, selon les médias russes, jeté les bases d’une nouvelle compétition soutenue par Gazprom – puissante société russe spécialisée dans le gaz naturel et le pétrole – et dont le plateau pourrait être constitué de clubs russes, turcs, grecs, serbes, monténégrins, slovènes et croates, et même bulgares et hongrois. Une information à prendre avec des pincettes, notamment après les événements survenus la semaine dernière en Euroleague quand l’Etoile Rouge de Belgrade a refusé de tenir une bannière « Stop the war » à Kaunas. Détenue en Russie, la championne olympique américaine Brittney Griner risquerait elle 5 ans d’emprisonnement dans un camp de travail.\n\nDossier Pro B 2021-2022 : découvrez en exclusivité le salaire de tous les joueurs de LNB\nVous en avez pris l’habitude depuis plusieurs saisons, la rédaction de Basket Europe publie son désormais traditionnel dossier sur les salaires de LNB. Après les salaires de Betclic Élite, publiés au mois de janvier et février dernier, voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs des équipes de Pro B de la saison 2021-2022 (méthodologie et premiers épisodes à retrouver ici). Ces salaires sont publiés quotidiennement, à raison de deux équipes par article, par ordre alphabétique. Pour profiter de tous ces contenus premium, et bien d’autres, abonnez-vous !\n\n\nMais aussi...\n\n * Abonnés : Entretien exclusif avec Yannick Zachée, aventurier de Koh Lanta et basketteur au Cannet (NM2) : « J’ai pris un mini-tsunami dans la tronche »\n * Abonnés : Les Français de l’étranger\n * Manu Ginobili intronisé au Hall of Fame\n * Ouverture d’un NBA Store à Paris\n * Quand les plus grandes stars de l’Euroleague rendent hommage à Paulius Jankunas (Zalgiris Kaunas)\n * Domination totale du Pôle France, qui remporte l’ANGT U18 de Varèse et rallie le tournoi final\n * NM1 : l’Arena de Poitiers à guichets fermés pour l’inauguration contre Lyon SO ce mardi\n * 1,16 million d’euros, voilà ce que demande Zvezdan Mitrovic à l’ASVEL\n * Axel Toupane (Paris) honoré par le prestigieux magazine Forbes France\n * Le numéro 12 d’Ilian Evtimov a été retiré à Chalon\n * Ergin Ataman de retour à la tête de la sélection turque ?\n * Décès de l’ancien coach de la Croatie, finaliste aux JO de Barcelone contre la Dream Team et de Javier Imbroda, ancien entraîneur de la sélection espagnole\n\nAu quotidien, la rédaction de Basket Europe vous propose de nombreux contenus pour vous faire vivre au plus près les événements du basket français et européen, en accès libre ou premium pour nos abonnés. Pour faire partie de ce cercle de privilégiés, abonnez-vous !\n\nPhoto : Bourges (FIBA)
Quelles sont les dernières informations sur :
Italie : Le 184e clasico, Virtus Bologne – Milan
Comme en France avec Pau-Limoges, c’est aujourd’hui dimanche de clasico en Italie avec le match Virtus Bologne vs Armani Milan. Le 184e de l’histoire.\n\nLA FORME DU MOMENT\n\nLa Virtus est sur une série de 10 victoires dans le championnat national -la dernière à Trieste- et vient de se sortir du piège tendu, en Eurocup, à Bourg-en-Bresse. Les Milanais ont perdu récemment à Sassari et se sont repris à Villeurbanne en Euroleague.\n\nLES PRECEDENTS\n\nLe premier clasico a été joué le 19 décembre 1948 avec une victoire des Milanais, 24-37. Dans le décompte final, Milan mène 104 à 79, mais à domicile Virtus domine 54-35. Les deux clubs se sont affrontés lors des deux dernières finales de Super Coupe, 2021 et 2022 (la première remportée par Milan, la seconde par Bologne) et en finale du dernier Scudetto (gagné par Virtus 4-0). En saison régulière, Milan a remporté ses trois derniers matchs face à Bologne.\n\nLE DERNIER EN DATE\n\nLe match aller s’est joué le 5 janvier lors de la 13e journée et a été un véritable show. Au final, Armani Milan a gagné 102-99 guidé par les 20 points de Jerian Grant, les 16 points et 9 passes de Sergio Rodriguez et les 14 points et 5 rebonds de Kyle Hines. La performance monstre de 34 points de Marco Belinelli n’a pas été ainsi suffisante.\n\nPhoto : Mam Jaiteh (Virtus)
Parle moi en détail de :
Laurent Legname (coach de Bourg) : «Depuis un petit mois on est quand même bien»
La JL Bourg n’a pas pu accrocher Boulogne-Levallois à son palmarès (73-80). Son coach Laurent Legname veut positiver et ne perd pas espoir de décrocher une place en playoffs, même si son équipe compte trois victoires de retard sur les équipes qui en sont à quinze, mais aussi avec un nombre de matches à jouer supérieur.\n\n« Chaque fois, je vais répéter un peu les mêmes choses. De bonnes choses, de très bonnes choses, et puis, dès fois, on perd le fil conducteur du match. Sans raison. Ce soir, ce sont par exemples les balles perdues. On en fait 15 vraiment cruciales. C’est ce qui leur permet d’avoir du jeu rapide en première mi-temps, de faire l’écart dans le deuxième quart-temps. Quand on revient à 63 partout, on enchaîne deux balles perdues sans aucune raison pour les faire passer à 69-63. On connaissait bien leurs forces, leurs qualités de vitesse sur jeu rapide, leur transition qui est efficace avec (Will) Cummings qui met du rythme, et en première mi-temps, on n’est pas prêt sur le replis défensif, sur leur transition. Ils nous mettent plus de 25 points sur 40 là-dessus. Par contre, dès que l’on a voulu se partager la balle, on a vu de bonnes choses (...) En fait de match, on est tombé sur un (Jordan) McRae en état de grâce, qui met des shoots très difficiles, c’est le talent qui a fait la différence (...) On a encore huit matches à jouer (NDLR: neuf en fait). Prenons match par match. Je dis ça depuis le match contre Le Mans. Depuis un petit mois on est quand même bien. On a perdu ce soir contre une équipe qui a fait son match, qui est leader du championnat, il ne faut pas l’oublier. On verra en fin de saison. »\n\nPhoto : Thomas Savoja
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Elric Delord (coach du Mans) : «On n’a pas beaucoup de joueurs et ça nous fait mal au moral»
Après trois défaites de rang (Pau, et surtout Fos et Cholet à domicile), la place du Mans dans le top 8 ne tient plus qu’à un fil.\n\nLe MSB a été débordé à Antarès par Cholet Basket (67-80). L’équipe sarthoise est pétrifiée par les forfaits. A ceux de Terry Tarpey et Scott Bamforth est venu s’ajouter hier celui du meneur Darius Johnson Odom. Contre Fos, c’était Dante Cunningham qui avait hissé le drapeau blanc. Mais, dans les mêmes conditions, elle parvenait la saison dernière à conserver son esprit conquérant. Pas cette fois.\n\n« On a manqué de lucidité, on était en retard défensivement. On était cuits », a commenté le coach Elric Delord, propos rapportés par Ouest France. « La défaite de trop ? Ce sont des conneries. Toutes les équipes du championnat, à part Monaco, ont eu une série d’au moins trois défaites. On n’a pas beaucoup de joueurs et ça nous fait mal au moral. On en retrouve un et on en perd un autre. Ce n’est pas tant une question de joueur mais de rotations. Cholet a fait jouer ses joueurs une vingtaine de minutes alors qu’on est plus autour de 30 minutes au MSB. Et ça dure depuis trois semaines donc on y laisse du jus et de la gomme. »\n\n« On a deux matches à venir (Nanterre et Limoges). On va travailler comme on a l’habitude de travailler, et les prendre au sérieux. On va jouer les coups à 100%. On va prendre ces matches un par un, et voir ce qu’il en est, et pour le groupe, ce serait bien d’être en playoffs, oui. Ce serait la récompense, et se dire aussi que ce qui n’ont pas pu être là vont revenir. Ce serait bien pour tout le monde. Maintenant, il faut gagner, sinon c’est compliqué. Je reste confiant, mais il faut être soudés pour se sortir de là, » a ajouté Williams Narace.\n\nPhoto : Elric Delord (MSB)
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Pro B : Le numéro 12 d’Ilian Evtimov a été retiré à Chalon
Moment d’émotion au Colisée lorsque le numéro 12 d’Ilian Evtimov a été retiré. Son maillot a rejoint celui de Blake Schilb au plafond.\n\nLa cérémonie a eu lieu dans le cadre des festivités pour les 10 ans du fameux triplé de 2012. Ilian Evtimov ayant joué à l’Elan de 2010 à 2016. Malheureusement pour eux, la soirée a été gâchée pour les Bourguignons qui ont perdu en prolongation face à Evreux (90-92). Pas d’effet Maxime Pacquaut, qui a pris le relais -temporaire ou non- de l’Allemand Sebastian Machowski, qui vient d’être licencié.\n\nPhoto : Elan Chalon
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Spécial Salaires Pro B 2021-22 : Rouen et Saint-Chamond, du catastrophique au formidable
Plus opposés en Pro B, ça n’existe pas ! Pourtant, à la base, financièrement, Rouen et Saint-Chamond naviguent dans les mêmes eaux. Mais si le second épate son monde en caracolant en tête de la saison régulière, le premier vit un désastre, bon dernier de Pro B avec un infime espoir de sauver sa place dans la division. Une attaque ultra-performante d’un côté, une défense aux abonnés absents de l’autre, et voilà comment l’on se retrouve aux deux extrémités du classement, avec des moyens comparables.\n\nÉquipe par équipe, au quotidien, et par ordre alphabétique, Basket Europe sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B, dont voici le septième épisode.\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année en vous abonnant.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nRouen : le désastre absolu\n\nBudget annoncé : 2 842 000 € (6e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 670 000 € (10e)\nClassement (au 9 avril) : 18e (4 victoires – 23 défaites)\n\nLe Rouen Métropole Basket (RMB) n’avait déjà pas vécu une saison 2020-21 de belle facture (conclue à la 14e place avec un bilan de 13 victoires pour 21 défaites, une défense encaissant 83,5 points par match). Et le club fait encore pire cette année, n’ayant décroché que 4 victoires pour 23 défaites... à 6 victoires de la 17e place. Autant dire : à l’instant où sont écrites ces lignes, il ne reste que quelques heures avant l’officialisation de la relégation en Nationale 1.\n\nAlors, certes, Rouen a connu une baisse de moyens (- 53 500 € pour la masse salariale). Mais cela n’explique pas tout – il s’agit encore de la 10e masse salariale de Pro B. Difficile alors de comprendre comment l’équipe normande a pu enchaîner des séries de 5 défaites, puis 6, puis 8 !\n\nL’une des explications de ce parcours cauchemardesque concerne l’avant saison régulière, qui a vu plusieurs joueurs se blesser ou ne pas s’adapter à la Pro B (Ben Emelogu). Mais le RMB n’a jamais embrayé. Et, surtout, s’il s’est montré plutôt triste en attaque (76,6 points, 15e de Pro B), ce fut encore bien pire en défense : 88,4 points encaissés, 59,7 % à deux-points et 37,4 % à trois-points laissés aux opposants, 21,2 passes décisives permises à l’adversaire, évaluation de 110,7 pour le contradicteur, il s’agit pour chacun de ces critères du plus mauvais bilan du championnat.\n\nComme souvent, ce cauchemar a coûté son poste au coach, Alexandre Ménard, licencié le 31 janvier sur un bilan de 3 victoires pour 13 défaites. Mais son remplaçant, Ludovic Pouillart, a fait encore moins bien : 1 victoire pour 10 défaites.\n\nIl faut dire que l’effectif normand n’a guère aidé, se montrant assez peu performant dans l’ensemble, sans même parler de sa propension à ne pas défendre. Brandon Edwards, 65e salaire de Pro B, est l’une des rares satisfactions offensives, avec ses 15,3 d’évaluation. Seuls à l’accompagner du côté positif, Pierre-Étienne Drouault (24e salaire, 13,7 d’évaluation) et le prometteur Lucas Bourhis (98e salaire sur l’année, 13,0 d’évaluation).\n\nDifficile, et même impossible, d’en dire autant des autres joueurs a priori majeurs de l’effectif. Avec le 20e salaire, Filip Adamovic ne produit que 9,9 d’évaluation, bien loin de ses 18,3 d’évaluation de la saison passée avec Gries-Oberhoffen. Arrivant de première division allemande, Isaiah Philmore, 24e salaire, ne génère que 10,5 d’évaluation. Quant à l’ancien de première division Ousmane Camara (qui serait tout proche des 100 000 € sur l’année, soit le 3e salaire de Pro B), il tourne à un faible rendement pour son standing (5,9 d’évaluation).\n\nIl faudrait un miracle – que Rouen remporte tous ses matches et qu’au moins deux des équipes qui figurent juste au-dessus au classement perdent tous les leurs, sans évoquer le point average – pour que le RMB ait une toute petite chance de sauver sa place en Pro B. Malgré ses moyens confortables, Rouen évoluera ainsi en NM1 la saison prochaine, sauf repêchage.\n\n\nLes salaires de Rouen\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22Filip Adamovic1SRB/BOS202465 000,00 €Pierre-Etienne Drouault3-2FRA202260 000,00 €Isaiah Philmore4-3USA/GER202260 000,00 €Brandon Edwards4-5USA202245 000,00 €Ousmane Camara5FRA5 mois40 000,00 €Earvine Bassoumba5CGO202235 000,00 €Djordje Simeunovic3-4SRB8 mois34 000,00 €Benoit Injai2-1FRA202230 000,00 €Lucas Bourhis1FRA8 mois26 000,00 €Marcus Gomis1-2FRA202222 800,00 €Brice Dessert5-4FRA202418 000,00 €Martins Igbanu5NIG(2 mois)6 000,00 €Ben Emelogu3USA/NIG(0,5 mois)2 500,00 €Coach sLudovic PouillartcoachFRA5 mois15 000,00 €Alexandre MénardcoachFRA(7 mois, 2023)38 500,00 €\n\n\nSaint-Chamond : la montée en ligne de mire\n\nBudget annoncé : 2 006 000 € (9e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 656 000 € (12e)\nClassement (au 9 avril) : 1e (21 victoires – 6 défaites)\n\nSi Rouen est au fond du trou, le Saint-Chamond Basket Vallée de Gier vit un rêve éveillé. Pensez, à sept journées de la fin de la saison régulière, les Couramiauds comptent deux défaites de moins – et quatre victoires de plus – que leur premier poursuivant au classement, Nancy. Une belle façon de fêter ce qui devait être la dernière saison de l’emblématique entraîneur Alain Thinet – qui a décidé, au vu des résultats, de rempiler pour une dernière danse (aujourd’hui âgé de 68 ans, il est au club depuis 2010).\n\nEt d’oublier un exercice passé maussade, terminé à la 16e place du classement (11 victoires pour 23 défaites). Ce en ayant peu augmenté ses moyens (+ 44 500 € de masse budgétaire) et en ayant reculé dans la hiérarchie de la Pro B sur ce critère (de 10e à 12e).\n\nOn n’attendait donc pas le SCBVG à pareille fête, même si Alain Thinet a toujours su concocter des collectifs très bien huilés. Et pourtant, Saint-Chamond se montre dominateur, tout particulièrement en attaque : meilleure attaque (85,3 points marqués), meilleure réussite à deux (56,7 %) et trois-points (40,5 %), meilleure équipe à la passe (21,5 par match), meilleure évaluation moyenne (102,7), n’en jetez plus ! Autant dire qu’avec une attaque aussi pétaradante, la défense relativement moyenne de l’équipe (79,4 points encaissés, 12e de Pro B) n’est pas un souci.\n\nL’une des caractéristiques de l’effectif couramiaud est qu’il est resté pratiquement identique tout au long de la saison – seul Mohamed Queta, blessé, étant aujourd’hui remplacé par Michel-Ofik Nzege. Surtout, Alain Thinet a bâti autour de ses deux grognards Mathieu Guichard et Jonathan Hoyaux (tout deux 48e salaire de Pro B), un effectif aussi surprenant qu’épatant. Akwasi Yeboah, déjà très en vue la saison passée avec Saint-Quentin, semble être la « patte de lapin » qu’il faut avoir dans son équipe pour performer (14,5 d’évaluation pour le 35e salaire de Pro B), alors que Hasan Varence, payé à tout petit prix (127e salaire) se montre parfaitement rentable (10,0 d’évaluation).\n\nLe plus haut salaire de l’équipe, Sasa Borovnjak (24e salaire de Pro B) ne produit que 9,8 d’évaluation, mais en seulement 19 minutes. Ce rendement a une explication toute trouvée : arrivant en droite ligne de NM1 (où il avait la meilleure évaluation de la division), Mathieu Boyer a pris la place de pivot titulaire au serbo-portugais tout en fracassant tout sur son passage : 14e marqueur, 12e rebondeur, 5e joueur le plus adroit à deux-points, 3e de Pro B à l’évaluation (16,8), le tout en 22,5 minutes par match et pour le 99e salaire de la division ! Pas besoin de chercher plus loin la meilleure affaire de Pro B.\n\nSauf effondrement inattendu lors de la dernière ligne droite de la saison – une défaite contre son poursuivant Nancy le 22 avril pourrait relancer le suspens -, Saint-Chamond paraît bien parti pour accéder à la Betclic Élite. Le meilleur moyen d’inaugurer sa nouvelle salle, l’Arena Saint-Étienne Métropole (4 200 places), et d’offrir un beau bouquet final à Alain Thinet.\n\n\nLes salaires de Saint-Chamond\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22Sasa Borovnjak5SRB/POR202260 000,00 €Akwasi Yeboah3GBR/GHA202255 000,00 €Jonathan Hoyaux2-3FRA202450 000,00 €Mathieu Guichard1FRA202450 000,00 €Mathieu Boyer5FRA202338 000,00 €Michael Oguine2-1USA/NIG202235 000,00 €Hasan Varence4USA202233 000,00 €Mohamed Queta4FRA/GUI202228 000,00 €Théo Bouteille1-2FRA202227 000,00 €Kamel Ammour3FRA/ALG202225 000,00 €Theo Magrit1FRA202213 000,00 €Michel-Ofik Nzege4SUI1 mois3 500,00 €Coach / AssistantsAlain ThinetcoachFRA202350 000,00 €\n\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\n\nPhoto d’ouverture : Filip Adamovic – Rouen (photo RMB Maéva Parmentier – Lancelot Dubut-Hermel) – Mohamed Queta et Mathieu Boyer – Saint-Chamond (photo SCBVG) – Montage Basket Europe\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n\nRouen : le désastre absolu\n\nBudget annoncé : 2 842 000 € (6e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 670 000 € (10e)\nClassement (au 9 avril) : 18e (4 victoires – 23 défaites)\n\nLe Rouen Métropole Basket (RMB) n’avait déjà pas vécu une saison 2020-21 de belle facture (conclue à la 14e place avec un bilan de 13 victoires pour 21 défaites, une défense encaissant 83,5 points par match). Et le club fait encore pire cette année, n’ayant décroché que 4 victoires pour 23 défaites... à 6 victoires de la 17e place. Autant dire : à l’instant où sont écrites ces lignes, il ne reste que quelques heures avant l’officialisation de la relégation en Nationale 1.\n\nAlors, certes, Rouen a connu une baisse de moyens (- 53 500 € pour la masse salariale). Mais cela n’explique pas tout – il s’agit encore de la 10e masse salariale de Pro B. Difficile alors de comprendre comment l’équipe normande a pu enchaîner des séries de 5 défaites, puis 6, puis 8 ! L’une des explications de ce parcours cauchemardesque concerne...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
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Pro B : Cruel pour Boulazac...
En perdant à domicile (96-97) face à la lanterne rouge, Rouen, le Boulazac Basket Dordogne a mis un pied en Nationale 1.\n\nCruel car c’est à 1 seconde et 7 dixième du buzzer que Isaiah Philmore a inscris le panier de la gagne. Cruel car Quentin Serron avait positionné son équipe devant au score sur un trois-points et le BBD n’a pas su empêcher l’Américain d’armer son tir. Cruel car il s’est présenté toujours sans Nic Moore, qui s’entraîne encore sans opposition, et son international finlandais Jamar Wilson victime d’une déchirure aux ischio-jambiers. Cruel pour le coach Alexandre Ménard, qui était celui du RMB auparavant. Cruel pour Bathiste Tchouaffé qui a mis 25 points dans la soirée.\n\n« On a mal défendu la dernière possession. On est tous dans le même bateau. Là, ça fait mal au moral, ça fait jamais du bien de perdre au buzzer... Notre calendrier est plus abordable que certaines autres équipes, » a lâché celui-ci en conférence de presse, propos rapportés par Sud Ouest.\n\nLe constat est simple : le BBD est 17e à une victoire de Nantes et à deux de quatre équipes. Tout est encore possible, mais il ne lui reste plus que six cartouches.\n\n\nLe tir de la gagne pour Isaiah Philmore !! 🏹🔥 #GORMB pic.twitter.com/1fqcFmE4xK\n\n— Rouen Métropole Basket (@RouenMBasket) April 9, 2022\n\n\nPhoto : Bathiste Tchouaffé (BBD)
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L’hommage à Pierre Seillant lors du clasico Pau-Limoges
Ce dimanche, à 18h, pour le clasico Pau-Limoges, l’Elan Béarnais va rendre un hommage appuyé à son ancien président emblématique, Pierre Seillant, 81 ans.\n\nSans Pierre Seillant et ses célèbres piques à l’égard des Limougeauds dans les années 80-90, il n’y aurait pas eu de clasico, et tout simplement pas d’Elan Béarnais au plus haut niveau national et européen. Il était évidemment présent pour la première édition, le 14 octobre 1978, et la victoire d’Orthez, 113-80. Ils seront cet après-midi 7 500 au palais des sports dont un beau parterre de célébrités locales pour l’acclamer et le remercier de son (chef d’) oeuvre.\n\nMême si le clasico n’a plus tout à fait le parfum d’antan avec les Richard Dacoury, Stéphane Ostrowski, les frères Gadou, Freddy Fauthoux, cela reste une belle affiche pour le public et aussi les joueurs, comme en témoigne Jérémy Leloup dans La République des Pyrénées :\n\n« Après Dijon, dans le vestiaire, on a parlé aussitôt du Clasico, avec l’envie de faire une grosse semaine d’entraînements pour y arriver fin prêt. On est tous excités par rapport à ça, de voir un Palais plein qui va faire beaucoup de bruit. il y a aussi l’hommage à Monsieur Seillant, plein de choses qui font que l’excitation est particulière, » raconte t-il. « J’ai connu des finales Strasbourg – Limoges, j’ai vu l’engouement que ça générait à Limoges. Je me suis dit qu’un Clasico à Pau ce devait être pas mal aussi. Mais depuis que je suis ici, j’en ai joué un à huis clos, un second avec 800 personnes ! Je n’ai jamais pu goûter à ça, à un Palais plein pour Limoges. Quand tu es compétiteur, c’est ce dont tu as envie. A nous de le rendre sur le terrain, ce qu’on fait en ce moment, on donne aux gens envie de revenir. Pourvu qu’on continue sur cette lancée pour avoir un Palais plein jusqu’à la fin de la saison. »\n\nPhoto : Maxi-Basket
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Vidéo rétro : Un résumé de ASVEL – Challans en 1987
Le résumé sur TF1 -oui, il y avait du basket- d’un ASVEL-Challans datant de 1987.\n\nAvec Philip Szaniel, Jacques Monclar, Norris Bell, Willie Redden, Valéry Demory, Philippe Hervé, Kevin Figaro, Alain Gilles et Michel Gomez sur le banc, et des commentaires de la Voix du Basket des années 70, Jean Raynal. En bonus la version de FR3 Lyon.\n\nC’est Darluque qui a pêché cette nouvelle pépite.\n\nPhoto : Jean Raynal et Alain Gilles (Musée du Basket)
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Un journaliste grec est tombé sous le charme de l’équipe de l’INSEP
Le journaliste grec du site internet Gazzetta, Antonis Kalkavouras, est dithyrambique sur l’équipe de l’INSEP qu’il a vu triompher à l’Adidas Next Generation de Varèse et prédit que les Bleus rafleront les médailles lors de la prochaine décennie et qu’ils vont inonder la NBA.\n\nNotre confrère a déjà été impressionné par les jeunes de l’ASVEL et les trois joueurs de l’équipe de Vassilis Spanoulis à Patras (Illan Piétrus, Pacôme Dadiet et Mohamed Diawara), mais il ajoute :\n\n« Le plus gros « électrochoc » est toutefois venu de la prestation grandiose de l’équipe dirigée par la célèbre école française de sport INSEP, lors de la 3e étape de l’ANGT, qui s’est déroulée il y a quelques jours à Varèse. Les enfants de l’Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance (de là sont venus Parker, Diaw, Fournier, Lauvergne, Turiaf), financé par le gouvernement français, ont laissé tout le monde sans voix et étaient de loin l’équipe la plus dominante présentée à cet événement de l’année. L’équipe de Lamine Kebe a fait un 4/4 avec des actions concises, atteignant le titre et se qualifiant pour la phase finale avec une différence moyenne de 30,7 points par match. Mais le plus impressionnant reste le jeu très agressif de l’équipe basée dans la forêt de Vincennes (aux portes de Paris) des deux côtés du terrain, donnant un poids énorme aux qualités athlétiques qui caractérisent ses joueurs. »\n\nIl conclut en écrivant :\n\n« On l’aura compris, ceux qui auront la chance d’être présents à Belgrade (il y aura Villeurbanne, l’INSEP et des joueurs français qui soutiendront les équipes des joueurs sélectionnés) auront un avant-goût non négligeable de l’énorme contre-attaque préparée par le basket français. »
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Le MVP de la semaine par TCL : Lasan Kromah (J26)
TCL, partenaire de la LNB et de BasketEurope vous propose de découvrir en vidéo le MVP de la semaine.\n\nhttps://www.facebook.com/watch/?v=489998282594621
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Orléans : Emanuel Terry en pigiste médical de Youssou Ndoye
L’intérieur américain Emanuel Terry (2,06m, 25 ans), est le pigiste médical de Youssou Ndoye à Orléans.\n\nC’est un ailier-fort qui va être appelé à opérer au pivot, le poste laissé vacant par Youssou Ndoye. Il a joué un peu en NBA (6 matches) davantage en G-League et aussi en Europe, à Banvit (Turquie), à l’Hapoël Jerusalem et à l’Etoile Rouge de Belgrade. Cette saison, il était retourné en G-League, aux Stockton Kings, pour 14,2 points et 8,6 rebonds.\n\nEmanuel Terry arrive dans une équipe qui vient de subir une nouvelle défaite face à l’ASVEL (73-87), et qui avec 8 victoires est coincée à l’avant-dernière place avec Fos.
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Vidéo : Les highlights de Victor Wembanyama lors de Orléans-ASVEL
Victor Wembanyama (2,19 m, 18 ans) a encore fait des siennes lors de la victoire de l’ASVEL sur Orléans (73-87) : 17 points, 5 rebonds, 4 contres pour 20 d’évaluation. A apprécier en images...\n\n\n👑🦄 VICTOR WEMBANYAMA MVP !\n\nPour la 2ème fois de suite en #BetclicELITE, Victor Wembanyama (18 ans) est le meilleur joueur de @LDLCASVEL !\n\n17 PTS, 5 RBDS, 4 CTS & 20 D'ÉVAL 🔥 pic.twitter.com/xRutJxct0X\n\n— LNB (@LNBofficiel) April 9, 2022\n\n\nPhoto : Euroleague
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Le coach Pablo Laso confirme la mise à l’écart de Thomas Heurtel du Real Madrid : «Ma décision est définitive»
Le coach du Real Madrid, Pablo Laso, a confirmé lors d’une conférence de presse l’information d’Encestando comme quoi Thomas Heurtel et Trey Thompkins ne rejoueront plus de la saison. Il a toutefois été très flou dans ses explications.\n\n« C’est une décision technique, je fais confiance aux autres joueurs que j’ai dans l’équipe, une pleine confiance », a t-il déclaré. « Désormais, Thomas et Trey ne s’entraînent pas avec l’équipe et ils ne jouent pas par décision technique (...) La décision m’appartient étant donné que j’ai pleinement confiance dans les 13 joueurs qui vont maintenant jouer à leur meilleur niveau d’ici la fin de la saison et que nous serons à nouveau l’équipe que nous voulons tous voir. Je ne sais pas si nous allons gagner tous les matchs ou les perdre, mais je sais que je suis convaincu que les 13 autres joueurs feront de leur mieux pour y parvenir. (...) Je ne pense pas beaucoup à Heurtel ou Thompkins, ou Llull, Tavares et Poirier, je pense à l’équipe, à pouvoir mieux jouer. Vous me posez des questions sur les joueurs, sur les gens, mais l’équipe est toujours au-dessus des gens (...) Dans la vie de toute personne, il y a de bons et de mauvais moments. Si dans mon cas on ne comptait que les défaites ou les victoires, ce ne serait pas un moment confortable. Nous avons perdu trois matchs de suite, mais j’ai eu beaucoup de moments difficiles, pas seulement celui-ci, et bien sûr ce n’est pas le plus difficile. Il est obligatoire pour un coach de savoir que vous allez avoir de bons et de mauvais moments et de savoir comment les gérer. Je ne pense pas que ce soit le plus difficile pour moi depuis que j’entraîne le Real Madrid ».\n\nPhoto : Euroleague
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Daniel Hackett de retour de Russie : «Je suis à peu près sûr que 90% des Russes ne veulent pas la guerre»
Le meneur de jeu de la Virtus Bologne, Daniel Hackett (1,96m, 34 ans), a accordé une interview au magazine italien Sportweek dans laquelle il explique pourquoi il a décidé de quitter le CSKA Moscou après quatre ans passé là-bas.\n\n« J’ai espéré jusqu’à la toute fin que notre saison puisse continuer. Mais quand la décision de l’Euroleague est devenue officielle, tout a changé. Mes coéquipiers étrangers ont quitté le club les uns après les autres, j’étais le dernier à partir, mais c’était le moment de changer. Après quatre ans là-bas, cependant, c’était moche de partir de cette façon ».\n\nLe meneur italien estime que le peuple russe est pieds et poings liés par le régime de Vladimir Poutine.\n\n« Personne au sein du club ne voulait que cela se produise. Je suis à peu près sûr que 90% des Russes ne veulent pas la guerre. Malheureusement, là-bas, vous vivez sous une dictature qui se montre maintenant dans toute sa force et son évidence. Ils n’autorisent pas la dissidence ou la libre circulation des idées. Nous l’avons vu la première nuit après le début de la guerre. Rien que sur la Place Rouge, plus de 2 000 personnes ont été arrêtées (...) Beaucoup de gens savent qu’ils vivent dans une dictature », a poursuivi Hackett. « Ils acceptent le fait parce qu’ils n’ont pas d’autre choix. A moins que le poids des sanctions financières ne devienne si insupportable qu’ils se révoltent, mais en ce moment, les gens sont à genoux, et ils n’ont pas d’autre choix. »\n\nPhoto : Euroleague
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Euroleague : Les dates de playoffs de Monaco
L’Euroleague a publié le calendrier des quarts de finale qui débuteront les 19 et 20 avril.\n\nLe FC Barcelone, qui a terminé premier de la saison régulière, affrontera le Bayern Munich, huitième, tandis que l’Olympiakos Le Pirée, deuxième de la saison régulière, affrontera l’AS Monaco, septième. Les autres duels sont tributaires du dernier match de saison régulière entre le Maccabi et Fenerbahçe prévu le mercredi 13 avril.\n\nVoici les dates des matches de l’AS Monaco.\n\n\nMATCH 1\n\nOLYMPIAKOS LE PIREE contre AS MONACO\n\n20 AVRIL 2022 ; 21h00 heure locale, 20h00 CEST\n\n\nMATCH 2\n\nOLYMPIAKOS LE PIREE contre AS MONACO\n\n22 AVRIL 2022 ; 19h00 heure locale, 18h00 CEST\n\n\nMATCH 3\n\nAS MONACO contre OLYMPIAKOS LE PIREE\n\n27 AVRIL 2022 ; 21h00 heure locale, 21h00 CEST\n\n\nMATCH 4\n\nAS MONACO contre OLYMPIAKOS LE PIREE (si nécessaire)\n\n29 AVRIL 2022 ; 21h00 heure locale, 21h00 CEST\n\n\nMATCH 5\n\nOLYMPIAKOS LE PIREE contre AS MONACO (si nécessaire)\n\nA DETERMINER\n\nPhoto : Dontas Motiejunas (Euroleague)
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Italie : Ettore Messina va renouveler son contrat avec Milan jusqu’en 2024
Arrivé à Armani Milan à l’été 2019, Ettore Messina, 62 ans, va bientôt renouveler son contrat pour deux ans supplémentaires avec le club lombard.\n\nL’ancien assistant aux San Antonio Spurs a confirmé l’information dans ses déclarations à la Gazzetta dello Sport :\n\n« J’ai reçu le plein soutien et l’estime de M. Armani. Les mots qu’il a prononcés après avoir remporté la Coupe d’Italie étaient très importants pour moi et je me sens encore plus obligé. J’ai l’intention de lui rendre la confiance qu’il me témoigne.«\n\nMilan est actuellement classé 2e du championnat d’Italie (20 victoires et 2 défaites) derrière la Virtus Bologne (19-4), tout en finissant 3e de la saison régulière d’Euroleague.\n\nPhoto : Thomas Savoja
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JO Paris 2024 : Une nouvelle option, Lille !
Selon Le Parisien, le stade Pierre-Mauroy de Villeneuve d’Ascq, dans la banlieue de Lille, pourrait accueillir la phase préliminaire du tournoi de basket des Jeux Olympiques de Paris 2024.\n\nPour avoir été très peu prévoyant, le comité d’organisation des Jeux Olympiques de Paris 2024 fait face à un casse-tête. Puisque la fédération internationale a refusé que la phase préliminaire du tournoi de basket soit jouée dans le Hall 6 du Parc des Expositions de la Porte de Versailles, où l’installer sachant que l’AccorArena de Bercy (gymnastique artistique) et l’Arena 2 de la Porte de la Chapelle (badminton) sont déjà réservées ? Lyon, Orléans, Reims, Le Tremblay sont des solutions de replis. Mais encore.\n\n« Sur le papier, l’Arena lyonnaise apparaît comme une des solutions les moins coûteuses en province, puisque Paris 2024 opère déjà le stade de football situé dans le même périmètre. Mais une autre Arena pourrait figurer sur la liste des options : le stade Pierre-Mauroy, qui accueille le handball » écrit Le Parisien. « Selon nos informations, le sujet de rapatrier la phase préliminaire du handball au Hall 6 (le site initialement prévu) est sur la table. Ainsi le basket pourrait y être transféré le temps des matchs de poules, avant de retrouver Bercy dès les quarts de finale. En deuxième semaine, Pierre-Mauroy accueillerait comme prévu la phase finale du handball. »\n\nLe Stade Pierre-Mauroy fut le cadre de l’EuroBasket 2015 avec un record d’Europe d’affluence pour un match de basket indoor à 23 372 spectateurs pour la finale, Espagne-Lituanie.\n\nLe Parisien explique qu’il va falloir convaincre la FIBA d’aller en province, ainsi que... la ville de Paris.\n\n.
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L’ancien Limougeaud Jerome Randle à Boulogne-Levallois
Le meneur de jeu américain Jerome Randle (1,75m, 34 ans) vient de signer aux Metropolitans 92 en tant que pigiste médical de David Michineau.\n\nJerome Randle est connu en France pour avoir porté le maillot du Limoges CSP lors de la saison 2016-17, pour 10,1 points et 4,0 passes en 14 matches.\n\nCet ancien étudiant des Golden Bears de California a beaucoup voyagé. Citons le Zalgiris Kaunas, l’Australie, et encore le Lokomotiv Kouban Krasnodar, Fuenlabrada et Séville. Il était cette saison en Ukraine, au BK Boudivelnyk Kiev, où il tournait à 16,9 points, 5,1 passes décisives et 1,8 rebond par match, mais il a évidemment dû en partir en raison de l’invasion russe.\n\nPhoto : Euroleague
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NM1 : Angers retourne en Pro B
Malgré sa défaite au Havre (76-91), l’Etoile Angers Basket est certaine de retourner en Pro B.\n\nLes Angevins ont profité de la défaite de Poitiers à Caen (74-67) pour assurer la réalisation de leur objectif.\n\n« On n’a pas du tout suivi ce que faisait Poitiers donc on a appris le résultat, deux ou trois minutes après la fin de notre match. Ça passe sur une défaite, dans une rencontre où on s’est fait chahuter. Donc oui, on est presque déçu d’obtenir un trophée comme ça, » a confié le coach Sylvain Delorme à Ouest-France.\n\nL’ABC a joué plusieurs saisons en Pro B avant d’être relégué en NM1 en 2007. L’Etoile Angers Basket est née, en mars 2017, de la fusion entre l’ABC et l’Etoile d’Or Saint-Léonard. Après un passage en NM2 lors de la saison, le club est remonté en NM1 en 2018-19.\n\nPhoto : Etoile d’Or Angers
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Espagne : Thomas Heurtel serait devenu indésirable au Real Madrid
Il est probable que Thomas Heurtel (1,89m, 33 ans) et Trey Thompkins (2,08m, 31 ans) ne joueront plus de la saison pour le Real Madrid.\n\nAprès les défaites de la semaine dernière sur les terrains du Panathinaikos et de Tenerife, et avant d’affronter le Bayern Munich, le coach Pablo Laso a pris la décision de se séparer des deux joueurs, selon des informations de Encestando. Heurtel et Thompkins ne se sont pas entraînés jeudi avec l’équipe et ils n’étaient pas sur la feuille de match lors de la nouvelle défaite du Real, hier soir, contre le Bayern Munich (88-97) au cours de laquelle l’équipe blanche a encaissé un 27-56 dans les 16 dernières minutes. Le Real Madrid est plongé depuis quelques semaines dans une crise profonde.\n\nEn Euroleague, Thomas Heurtel tourne à la moyenne 9 points et 4,6 passes décisives en 27 matchs et 19 minutes de temps de jeu.\n\n« Il existe pour cet été une option de séparation par le club pour un montant qui ne dépasse pas 100 000 euros, bien qu’il puisse y avoir un accord de résiliation du contrat au préalable », précise As.\n\nThomas Heurtel avait été écarté de la même façon par le FC Barcelone, en janvier 2021, et avait rebondi à l’ASVEL à partir de février.\n\nEncestando complète l’information en affirmant que les autres joueurs ont été avertis du fait que Heurtel et Thompkins ne rejoueront plus avec l’équipe, et que Alberto Abalde est le nouveau meneur titulaire. Par ailleurs, Guerschon Yabusele aurait été condamné à une amende « pour certains comportements antisportifs. » (sic)\n\nPhoto: Euroleague
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Euroleague : Ce sera Monaco-Olympiakos en quart-de-finale
Hier soir, l’AS Monaco a battu l’ALBA Berlin, 91 à 74, pour clore sa première saison en Euroleague à la 7e place et affrontera Olympiakos en quart-de-finale.\n\nDwayne Bacon (19 points, 6 passes) et Donatas Motiejunas (18 points) ont été les leaders statistiques de la Roca Team, qui menait déjà 49-37 à la mi-temps.\n\n« Nous avons joué à un niveau élevé, ils ont joué à un niveau élevé, et je suis simplement heureux que mon équipe ait joué aussi fort que possible pour montrer que nous pouvons nous battre pour quelque chose. En playoffs, ce sera très difficile. L’Olympiakos joue très bien, ils sont très bons, mais n’importe qui peut être battu si nous jouons de la bonne manière tous les soirs », a commenté Dwayne Bacon.\n\n« Nous avons donné toute l’énergie, tout le monde a joué dur et c’est une belle victoire d’équipe pour nous tous », a ajouté Dontas Motiejunas. « Mais avoir un entraîneur qui ne fait qu’amplifier le fait que nous devons gagner chaque match, que nous allons gagner chaque match avec ce genre d’attitude, cela facilite en quelque sorte la venue au match et la préparation. La saison régulière est terminée, il faut l’oublier, tirer un trait. C’est 0-0, on recommence par les playoffs. Nous avons un énorme combat devant nous. »\n\nLe 23 mars, l’ASM a balayé Olympiakos, 92-72, à Gaston-Médecin, mais il ne faut pas trop s’attarder sur ce résultat, même s’il est source d’espoirs.\n\n« Nous avons fait une deuxième partie de saison parfaite », s’est félicité le coach Sasa Obradovic. « Nous avons été dominateurs, joué un excellent basket. Moi, en tant qu’entraîneur, j’ai beaucoup de raisons d’être heureux. Mais c’est la fin d’une compétition, et maintenant commence l’autre. Ce que nous avons fait de bien dans le passé doit rester dans le passé. Nous devons renforcer la confiance pour le meilleur qui vient, à savoir les playoffs. Il est toujours important de garder le rythme. Je pense que la contribution de tous les gars nous a aidés à gagner. Il est trop tôt pour se faire une idée de l’Olympiakos. Comme je l’ai dit, c’est une compétition complètement différente, donc nous devrons être prêts. »\n\nLes quarts-de-finale :\n\nFC Barcelone (1) – Bayern Munich (8)\n\nOlympiakos Le Pirée (2) – AS Monaco (7)\n\nMilan (3) – Anadolu Efes ou Tel-Aviv (6)\n\nMadrid (4) – Anadolu Efes ou Tel-Aviv (5)
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Jean-Michel «Mac» Veaudor, le kiné devenu international
Jean-Michel Veaudor est dans son domaine une sommité. Mais sa sélection en équipe de France est enveloppée d’un voile de mystère.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nLe site de la fédération ne fait pas réellement état de son statut d’international. Un Veaudor est mentionné dans la liste des Bleus de tous les temps, à la date du 5 août 1979, pour un match amical à Cotonou contre le Bénin ponctué par un score fleuve : 118-93. Le Veaudor en question a marqué 2 points, se prénomme Marc et aucun club n’est identifié à son sujet. Etrange.\n\nJean-Michel Veaudor a fait son premier strapping à 22 ans, alors qu’il effectuait sa dernière année d’étude de kiné. Son patient était illustre : Alain Gilles, meilleur basketteur du XXe siècle. En fait, son frère François était pote avec Michel Buffière, le fils d’André, qui était alors l’entraîneur de l’ASVEL. Et son deuxième client fut son équipier de la JALT Le Mans, Gilles Prod’homme, le père d’Elise, ancienne joueuse de Ligue Féminine, et aujourd’hui coach des espoirs de la JDA Dijon. Jean-Michel Veaudor était à bonne école avec deux pionniers, Alain Roux et Jacques Lamy, qui avaient un cabinet de kinésithérapie à Coulaines, dans la banlieue du Mans, qui sera plus tard connu pour abriter, à la Jeunesse Sportive, le tennisman Jo-Wilfried Tsonga, ainsi que Jérémy Leloup, Iliana Rupert et Alexia Chartereau.\n\n« Alain était précurseur des soins des sportifs car il avait connu Wanono, une sorte de guérisseur sur Paris, qui a exercé jusqu’au début des années 70. Celui-ci avait été le premier à comprendre le traitement manuel sur la pathologie musculaire, en particulier sur le traitement des claquages. Ça reste pour moi le traitement essentiel des blessures musculaires. Alain avait ramené ça dans sa pratique. Il a été le premier à établir les protocoles en pathologie musculaire des sportifs. Il a été le kiné en équipe de France de basket jusqu’en 1976. Sur un tournoi pré-olympique aux Pays-Bas, il avait vu un traineur américain qui avait amené des Etats-Unis les premières bandes avec les techniques de strapping. C’est lui qui avait mis en pratique les premiers strappings sur les chevilles. J’avais appris ça avec eux et c’est sûr que c’est dans le basket, en France, que les premiers strappings ont été posés, alors que le premier kiné dans le foot, c’est Jean-Paul Serini. »\n\nAlain Roux a eu également entre ses mains les basketteurs du Mans, de Berck, de Tours, des équipes de foot, et ouvert au Mans une pizzeria, Maio, qui sera l’un des centres névralgiques de la vie mancelle. Jean-Michel Veaudor est entré dans le cabinet Roux-Lamy, et tout naturellement, il a pris la succession d’Alain Roux, au sein de l’équipe de France et du SCM Le Mans, avec qui il a participé à la conquête de trois titres de champion de France. De décembre 1976 lors d’un match France-Finlande à Evry, jusqu’aux Jeux Olympiques de Los Angeles en 1984, Jean-Michel Veaudor a sacrifié ses vacances à sa passion. Il a joué à la JALT jusqu’à la Nationale IV, puis avec l’équipe réserve et les anciens.\n\n« Mac, tu rentres ! »\n\nL’année 1979 fut particulièrement riche en compétitions. Après une série de matches de préparation, l’équipe de France gagna ses trois matches de l’éphémère Coupe intercontinentale dont l’un contre les Etats-Unis à Lyon-Gerland (98-86) ; le premier succès de l’histoire face aux Américains, qui n’avaient dépêché, il est vrai, en France, que des acteurs de Série C. Elle a eu ensuite à avaler, en mai, des qualifications au championnat d’Europe, puis, quinze jours plus tard, fatiguée, l’Euro proprement dit en Italie avec une huitième place à la clé. Après une coupure en juillet, les Bleus eurent à leur agenda une tournée en Afrique, et la suite de la Coupe intercontinentale, au Mexique, à Porto-Rico et en Argentine !\n\nLe coach Pierre Dao avait le chic pour dégotter des fonds dans le cadre d’échanges culturels et sportifs, et c’est ainsi que l’équipe de France se retrouva sur le continent africain, pour un match à Dakar contre le Sénégal, deux contre le Bénin à Cotonou et Porto-Novo, et un petit denier à Bamako contre le Mali. Avec autant de victoires à la clé. Mais comment donc, Jean-Michel Veaudor s’est-il retrouvé sous le maillot national ? Il raconte.\n\n« Ils n’avaient sélectionné que dix joueurs et au moment de partir, il en manquait un. Je crois que c’était Bill Cain. Il n’y avait pas de chef de délégation. C’était le médecin, Jacques Huguet, qui faisait fonction. Il y avait aussi avec nous un arbitre, qui a arbitré le premier match contre le Sénégal avec un arbitre africain. L’ambassadeur était venu dans les vestiaires nous prévenir avant le match pour nous demander de gagner. La salle était hostile. Un concours de sifflets entre notre arbitre et l’arbitre sénégalais. Le match s’est terminé à 4 contre 4. Cela avait été plus que tendu. Même s’il y avait trois classes d’écart, l’arbitre africain avait massacré le match. L’équipe de France avait gagné parce que notre arbitre avait pris les choses en mains dans les trois dernières minutes. Je crois que c’est Eric Beugnot qui avait mis les derniers paniers à l’arrache pour gagner. Sauf que derrière on s’est retrouvé bloqué deux heures dans les vestiaires. On était sorti grâce à Mathieu Bisseni qui s’était mis devant le bus pour écarter les gens. Dao dit alors « on n’a que 9 mecs sur la feuille. On finit à 4, ce n’est pas possible. » C’est Eric qui lui a dit « tu n’as qu’à mettre Mac sur la feuille. » « Mais Mac ne sait pas jouer au basket ! » « Si, il est capable de tenir le ballon et comme ça, on sera dix. » Je me suis retrouvé inscrit sur la feuille le match d’après. J’ai mis un maillot et un short. Mon anniversaire est le 6 août, là c’était le 5. Le match au Bénin s’est joué en plein air avec des militaires cubains autour du stade. Pareil, le match ne se déroule pas très bien sur le plan de l’ambiance. Finalement, ça se décante dans les dix dernières minutes. Je pense que c’est Eric qui a concocté un truc avec Dao : « s’il y a de l’écart, on fait entrer Mac. » C’est ce qui s’est passé à 5-6 minutes de la fin. Dao fait changement. « Mac, tu rentres ! » C’est comme ça que je me suis retrouvé à jouer 5-6 minutes. Il y a eu deux points et un lancer-franc. Un mec m’avait grimpé dessus... Voilà comment j’ai joué en équipe de France (rires). »\n\nSi la FFBB a officiellement retenu une sélection, Jean-Michel « Mac » Veaudor est formel, il a marqué 3 points la première fois contre le Bénin et joué deux ou trois minutes, la deuxième rencontre contre le même adversaire. Evidemment, de tels moments, ça ne s’oublie pas. « Tout ça est devenu important beaucoup plus tard, quand tu regardes un peu dans le rétro. Aujourd’hui, évidemment, plus rien de ça ne serait possible ! »\n\nA l’époque, le basket n’était pas professionnel -surtout dans ses structures-, pas d’Internet, pas un seul journaliste français était sur place, aussi le kiné a joué ses deux matches d’internationaux dans la clandestinité. Même la revue fédérale Basketball sera très discrète sur ce voyage au long cours. « Si, on a été suivi par un mec de Jeune Afrique, qui était un journaliste extrêmement virulent, qui faisait de la politique sur la tournée de l’équipe de France, et qui nous assassinait en disant que l’on était les nouveaux colons sportifs de l’Afrique. Quand il était avec nous, il était gentil-gentil, mais on était tombé sur l’un de ses articles via Jacky Lamothe. Les mecs l’avaient chopé dans sa chambre et balancé à l’eau dans la piscine de l’hôtel. Sauf qu’il ne savait pas nager ! On l’avait récupéré à la petite cuillère et derrière, il nous avait assassinés. »\n\nUne der avec l’ami Greg Beugnot\n\nDonc, vous avez compris, Marc Veaudor, c’est en fait Jean-Michel Veaudor de son surnom Mac. Rien à voir avec les MacIntosh, mais il y a un rapport avec le basket américain. « C’était au retour d’un match à Orthez, que l’on avait terminé au petit matin en mangeant des huitres. J’avais un match le lendemain avec la JALT, le dimanche après-midi. Je jouais encore en équipe Une. Il y avait à la JALT un Américain qui s’appelait Christopher Lynch. Une pince, qui prenait tous les tickets shoots. Jacky Lamothe et Greg Beugnot étaient venus voir le match. Lynch ne mettait pas un panier. Les mecs sur le banc disent, ‘il faut faire jouer Veaudor’. Je rentre en deuxième mi-temps. Ce fut l’état de grâce. J’aurais pu tirer les yeux fermés, ça serait rentré. J’ai eu quatre ou cinq positions de shoots. J’ai dû louper un shoot, mettre 15 ou 20 points. Le journaliste a titré « Mac Veaudor, l’Américain de la JALT ». Derrière ça, les mecs m’ont tous appelé Mac. Dans le basket, je suis resté Mac. »\n\nLes Jeux de Los Angeles de 1984 ont laissé un goût amer aux internationaux et aussi à leur kiné. La mise à l’écart d’Eric Beugnot avait alors précipité le retrait de Jean-Michel Veaudor de l’équipe de France. Il a continué à recevoir des basketteurs de haut niveau dans son cabinet, comme Jean-Michel Sénégal, Bob Riley, Antoine Rigaudeau et ceux des équipes de Greg Beugnot. Et de d’autres disciplines, et sa notoriété d’ostéopathe s’est décuplée lorsqu’il a été rendu public qu’il avait soulagé le judoka David Douillet de ses douleurs dorsales. Aujourd’hui, à 67 ans, Jean-Michel Veaudor a mis la pédale douce, mais il met son doigté au service des footballeurs du PSG, comme consultant référent ostéopathe. Il se rend chaque semaine au Camp des Loges et en cas d’urgence.\n\nSa dernière apparition dans le basket pro remonte à 2012, lorsque l’Elan Chalon, de l’inévitable Greg Beugnot, a réalisé le fameux triplé. « Après son dernier échec en finale avec l’ASVEL, on avait passé la nuit ensemble, il était effondré de tristesse. Je lui avais dit : tu vas reprendre un club, et tant que tu ne seras pas champion, je reste avec toi. Il est parti ensuite en Italie et quand il est revenu, il a pris Chalon. Il les a sauvés de la relégation in-extremis en fin de saison et après j’ai enclenché avec lui. J’avais beaucoup de plaisir à bosser là-bas en étant en osmose avec l’entraîneur, le préparateur physique, je crois que je n’ai jamais aussi bien bossé que cette année-là avec des résultats sportifs issus du suivi et en récup et en blessures que l’on a fait ensemble. C’est un souvenir de boulot extraordinaire. Il y a des images que je n’oublierai pas. Je lui avais dit que jamais je ne m’assiérai sur un banc de touche sauf quand il jouerait une finale. La finale du championnat était contre Le Mans, je l’ai faite sur le banc, et à deux minutes de la fin, quand le score était assuré, qu’il a vu que c’était gagné, il a fait un aller-retour le long du banc. On ne s’est rien dit, mais on s’est regardé dix secondes les yeux dans les yeux, on s’était compris. S’il y avait eu une autre reconstruction d’équipe, j’aurais continué avec lui pour finir dans le basket. »\n\nx\n\n[armelse]\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\nLe site de la fédération ne fait pas réellement état de son statut d’international. Un Veaudor est mentionné dans la liste des Bleus de tous les temps, à la date du 5 août 1979, pour un match amical à Cotonou contre le Bénin ponctué par un score fleuve : 118-93. Le Veaudor en question a marqué 2 points, se prénomme Marc et aucun club n’est identifié à son sujet. Etrange.\n\nJean-Michel Veaudor a fait son premier strapping à 22 ans, alors qu’il effectuait sa dernière année d’étude de kiné. Son patient était illustre : Alain Gilles, meilleur basketteur du XXe siècle. En fait, son frère François était pote avec Michel Buffière, le fils d’André, qui était alors l’entraîneur de l’ASVEL. Et son deuxième client fut son équipier de la JALT Le Mans, Gilles Prod’homme, le père d’Elise, ancienne joueuse de Ligue Féminine, et aujourd’hui coach des espoirs de la JDA Dijon. Jean-Michel Veaudor était à bonne école avec deux pionniers,\n\n[/arm_restrict_content]\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\n\n\n\nPhoto d’ouverture : Au TQO de Paris, en 1984 (Maxi-Basket)
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Spécial Salaires Pro B 2021-22 : Nantes et Quimper, pas à la hauteur des attentes
Nantes et Quimper présentent des similitudes : des moyens en hausse, figurant dans la première moitié du classement de Pro B en termes de masse salariale, mais des résultats loin des promesses entrevues et des résultats de la saison passée. En cause, une grande irrégularité, des recrutements pas entièrement satisfaisants et, notamment pour les Béliers de Kemper, des blessures très préjudiciables.\n\nÉquipe par équipe, au quotidien, et par ordre alphabétique, Basket Europe sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B, dont voici le sixième épisode.\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année en vous abonnant.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nNantes : plus de moyens pour faire moins bien\n\nBudget annoncé : 2 863 000 € (5e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 972 000 € (4e)\nClassement (au 7 avril) : 15e (11 victoires – 16 défaites)\n\nLe Nantes Basket Hermine (NBH) espérait faire mieux que la saison passée (10e avec 17 victoires et autant de défaites) en haussant budget (+ 285 000 €) et sa masse salariale (+ 174 000 €). Résultat : l’Hermine fait, pour le moment, moins bien que l’année dernière. La faute notamment à une irrégularité chronique, capable de passer 31 points à Denain comme d’encaisser 26 points de débours à Nancy. Comptez en supplément une série cauchemardesque entre le 12 décembre et le 4 février conclue avec une victoire pour 7 défaites, entraînant le renvoi du coach Jean-Baptiste Lecrosnier le 28 janvier (sur un bilan de 6 victoires pour 9 défaites). Mais son successeur, Jean-Marc Dupraz, n’a guère fait mieux : 5 victoires pour 6 défaites.\n\nEn fait, les maux du NBH sont peu ou prou les mêmes que la saison passée, un côté « robinet d’eau tiède » sans saveur. Nantes navigue ainsi entre la 10e et la 13e place en Pro B sur les points marqués, ceux encaissés, la réussite à deux-points, le rebond, les passes décisives. À côté de cela, pas de point fort (6e au rebond offensif tout de même) ni de point très faible (mais un rebond défensif 15e de la division).\n\nLe souci de Nantes, c’est surtout que les nouveaux venus ne sont pas à la hauteur des attentes et de leurs émoluments. Ainsi, Charles Thomas vaut 13,3 d’évaluation mais il est le 4e plus haut salaire de Pro B. De même, Jonathan Kasibabu (10,8) vaut tout juste le 36e salaire de la division. En définitive, ce sont surtout les « anciens » de la maison qui apportent peu ou prou ce qu’on attend d’eux vis-à-vis de l’investissement. 8e salaire de Pro B, Terry Smith aligne 14,8 d’évaluation alors que Xavier Forcada, 22e salaire, vaut 14,1. Seule déception à noter, Abdel Kader Sylla, proche du 20e salaire de Pro B, au rendement minimal de 3,9 d’évaluation.\n\nLes playoffs ne sont plus d’actualité pour le NBH (quatre défaites de plus que le 8e à sept journées de la fin de la saison régulière) mais il va falloir que les gros salaires nantais justifient enfin leurs émoluments si Nantes ne veut pas tout perdre. Car le club n’a qu’une victoire d’avance sur la zone rouge.\n\n\nLes salaires de Nantes\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22Charles Thomas4USA202290 000,00 €Terry Smith2-1USA/ARM202385 000,00 €Abdel Kader Sylla5SEY202263 000,00 €Xavier Forcada1-2ESP202260 000,00 €Jonathan Kasibabu5-4RDC202255 000,00 €Jerome Sanchez3FRA202350 000,00 €Lamine Sambe2-3SEN202248 000,00 €Garry Chathuant4FRA202245 000,00 €Kevin Dinal4-5FRA5 mois35 000,00 €Dominykas Domarkas1-2LIT4 mois20 000,00 €Harvey Gauthier1FRA202418 000,00 €Jean-François Kebe1CIV4 mois12 000,00 €Tavrion Dawson4-5USA2 mois12 000,00 €CoachJean-Marc DuprazcoachFRA5 mois35 000,00 €Jean-Bapstiste LecrosniercoachFRA(7 mois)30 000,00 €\n\n\nQuimper : une mécanique grippée\n\nBudget annoncé : 2 540 000 € (8e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 691 000 € (9e)\nClassement (au 7 avril) : 16e (10 victoires – 16 défaites)\n\nAprès sa très belle saison 2020-21 (6e avec 21 victoires pour 13 défaites), Quimper s’est donné les moyens de voir encore plus haut, augmentant son budget de 370 000 € et sa masse salariale de 59 500 €. Il faut croire que cela n’a pas été suffisant, au vu du classement actuel des Béliers de Kemper et de leur spirale négative : entre le 11 janvier et le 4 février, ils ont enchaîné 6 défaites consécutives puis 4 autres entre le 12 mars et le 2 avril.\n\nCe plongeon correspond peu ou prou à l’absence de David Jackson, le maître à jouer breton s’étant blessé pour le reste de la saison fin décembre. Depuis, rien ne va, l’attaque quimpéroise s’étant totalement enrayée : avec 75,6 points marqués, elle est la 16e de la division, l’équipe étant également dernière de Pro B aux rebonds et 17e en matière de tentatives et de réussite à trois-points. Seule lueur positive, le faible nombre de balles perdues : 13,1 par match, 3e meilleure moyenne de la division.\n\nOutre la blessure de David Jackson, deuxième salaire de l’équipe (32e de Pro B), dont l’influence allait bien au-delà de ses 7,3 d’évaluation, les Béliers de Kemper ont pâti d’un recrutement raté. Lien Phillip, excellent l’année dernière avec Saint-Quentin, a vu son salaire augmenter de manière substantielle (il était à 42 000 € la saison dernière) mais son rendement chuter à 9,9 d’évaluation. De même, Ryan Harrow (62e salaire de Pro B) ne fait guère d’étincelles (9,2 d’évaluation), pas plus que Ryan Reid, bien moins rentable que la saison dernière (7,8 d’évaluation contre 10,8) alors que Quimper lui a octroyé une augmentation de 4 000 € sur l’année.\n\nPour trouver des satisfactions, il faut regarder du côté des JFL. Bastien Vautier, de retour de blessure, affiche un bon 13,6 d’évaluation alors qu’il serait payé 42 000 € sur une saison complète. Et Digué Diawara, 65e salaire de la division, réalise un bon exercice, avec 13,4 d’évaluation, tout comme Théo Léon (9,3 d’évaluation pour le 88e salaire de Pro B).\n\nBref, ça ne va pas très fort pour Quimper, qui en est aujourd’hui plus à regarder vers la zone de relégation (Boulazac, 17e, n’est qu’à une victoire derrière) que vers les playoffs. Une année sans. Et des doutes avant la fin de saison.\n\n\nLes salaires de Quimper\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22Lien Phillip4-5CAN/GRE202260 000,00 €David Jackson2-3USA202258 000,00 €Ryan Harrow1-2USA/JAM202247 500,00 €Digue Diawara3-4FRA202245 000,00 €Ryan Reid5USA/JAM202244 000,00 €Theo Leon1FRA202340 000,00 €Paul-Lou Duwiquet2FRA202335 000,00 €Quentin Ruel4-3FRA202230 000,00 €Johan Randriamananjara3-2FRA202222 000,00 €Bastien Vautier5FRA6 mois21 000,00 €Yasiin Joseph1CAN4 mois18 000,00 €Florian Leopold5-4FRA(7 mois)16 000,00 €Carlton Guyton2USA(2 mois)7 000,00 €CoachLaurent FoirestcoachFRA202465 000,00 €\n\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\n\nPhoto d’ouverture : Terry Smith – Nantes (photo NBH) – Bastien Vautier – Quimper (photo Béliers de Kemper) – Montage Basket Europe\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n\nNantes : plus de moyens pour faire moins bien\n\nBudget annoncé : 2 863 000 € (5e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 972 000 € (4e)\nClassement (au 7 avril) : 15e (11 victoires – 16 défaites)\n\nLe Nantes Basket Hermine (NBH) espérait faire mieux que la saison passée (10e avec 17 victoires et autant de défaites) en haussant budget (+ 285 000 €) et sa masse salariale (+ 174 000 €). Résultat : l’Hermine fait, pour le moment, moins bien que l’année dernière. La faute notamment à une irrégularité chronique, capable de passer 31 points à Denain comme d’encaisser 26 points de débours à Nancy. Comptez en supplément une série cauchemardesque entre le 12 décembre et le 4 février conclue avec une victoire pour 7 défaites, entraînant le renvoi du coach Jean-Baptiste Lecrosnier le 28 janvier (sur un bilan de 6 victoires pour 9 défaites). Mais son successeur, Jean-Marc Dupraz, n’a guère fait mieux : 5 victoires pour 6 défaites.\n\nEn fait, les maux du NBH sont peu ou prou les mêmes que la saison passée...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
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Brittney Griner risquerait 5 ans d’emprisonnement dans un camp de travail russe
Selon un expert juridique américain, spécialisé dans le droit russe, qui s’est exprimé sur Fox News, l’Américaine Brittney Griner risque une peine de 5 ans d’emprisonnement dans un camp de travail.\n\nIl y a un an, Brittney Griner gagnait l’Euroleague avec UMMC Ekateinbourg. Alors qu’elle retournait dans l’Oural, elle a été placée, en février, en garde à vue à l’aéroport de Moscou pour avoir, soit-disant, introduit en contrebande dans le pays des cartouches de vapotage contenant de l’huile de haschich.\n\nBeaucoup pensent maintenant que Griner est utilisée comme une sorte de monnaie d’échange alors que les États-Unis et le reste du monde occidental exercent une pression majeure sur la Russie en réponse à son invasion de l’Ukraine.\n\n« Vous parlez de cinq ans, pas de prison, mais d’un camp de travail », a déclaré Peter Maggs à Fox News. « Une chose que je trouve un peu inquiétante, c’est cette prolongation de sa détention provisoire de deux mois à trois mois, car il faut s’adresser à une autorité supérieure pour la faire s’allonger. »\n\nUn responsable de l’ambassade des États-Unis à Moscou aurait trouvé Griner en « bon état » après avoir obtenu l’accès consulaire à la femme de 31 ans.\n\nPhoto : FIBA
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Italie : Les séries de victoires consécutives, Milan intouchable
Brescia a porté à 13 sa série de victoires consécutives qui dure depuis le 19 décembre. Seuls quatre clubs de Serie A ont une si longue séquence dans leur histoire. Tout en haut, Milan est intouchable.\n\nL’équipe s’appelait alors Simmenthal Milan, et elle a réussi une série de 47 succès d’affilée sur presque deux ans, au début des années soixantes.\n\nVoici un point sur les records par équipe.\n\nEQUIPESERIESAISONDATEMilan47de 1961-62 à 1963-6404/02/1962-09/02/1964Virtus Bologne212000-0105/11/2000-04/03/2001Varese181970-7118/10/1970-14/03/1971Sassari152018-1917/03/2019-02/06/2019Brescia132021-2219/12/2021 – apertaFortitudo Bologne12de 1999-00 à 2000-0123/05/1999-07/11/1999Brescia132021-2219/12/2021 – en coursPesaro101980-8130/12/1980-22/02/1981Brindisi102020-2104/10/2020-13/12/2020Venise81973-7403/02/1974-31/03/1974Crèmone82015-1601/11/2015-23/12/2016Trente82016-1723/05/2017-27/05/2017Reggio Emilia72016-1711/10/2016-27/11/2016Trevise62020-2107/03/2021 – 11/04/2021Trieste52018-1924/03/19-20/04/2019Naples52021-2207/11/21-12/12/2021Tortona22021-223 fois – en cours\n\nPhoto : Pallacanestro Brescia
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Russie : C’est acté, le Lituanien Mindaugas Kuzminskas ne jouera plus pour le Zenit Saint-Petersbourg
Cela ne faisait aucun doute, c’est désormais officiel : le Lituanien Mindaugas Kuzminskas (2,05m, 32 ans) ne jouera plus pour le Zenit St. Petersbourg.\n\nIl a fallu attendre près de deux mois pour que la séparation soit officialisée alors que le dernier match du Lituanien sous le maillot du Zenit remonte au 10 février face à Berlin.\n\nEn Euroleague, Kuzminskas a rapporté 5,0 points, 2,0 rebonds et 0,3 passe en 22 matches.\n\nAvant d’arriver au Zenit à l’été 2021, le Lituanien avait déjà joué en Russie avec le Lokomotiv Kouban Krasnodar.\n\nPhoto : FIBA
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Euroleague féminine : Bria Hartley et Fenerbahçe rejoignent Sopron en finale
Longtemps mené, Fenerbahçe a réussi à laisser sur place Prague dans le dernier quart-temps pour l’emporter 83-74.\n\nLes Praguoises avaient réussi à prendre une dizaine de points d’avance, notamment par la productivité de Brionna Jones (21 points, 7 rebonds), Teja Oblak (22 points) et Alyssa Thomas (12 points, 14 rebonds, 8 passes). Mais le Fener et sa Dream Team étrangère -Olkay Cakir est la seule turque à avoir eu véritablement du temps de jeu- ont complètement retourné le match en asséchant l’attaque adverse dans la première moitié du dernier quart-temps (15-1) avant de se relâcher un peu, l’effort accompli.\n\nComme souvent, l’Ukrainienne Alina Iagupova a représenté une force offensive exceptionnelle : 24 points et 7 passes. Au poste de meneuse, Bria Hartley a été très solide avec 10 points, 6 passes, 3 rebonds et 2 interceptions en 27 minutes.\n\nFenerbahçe sera opposé dimanche en finale à Sopron, avec ainsi un face à face Bria Hartley vs Gabby Williams.\n\nLa boxscore est ICI.\n\n\n⛸️ @Breezyyy14 SNACTHED HER ANKLES ⛸️#EuroLeagueWomen x @fbkadinbasket pic.twitter.com/llQ49Fm8aU\n\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) April 8, 2022\n\n\nPhoto : Bria Hartley (FIBA)
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Euroleague féminine : Gabby Williams et Sopron en finale
Cet après-midi, l’équipe hongroise de Sopron a vaincu Salamanque en demi-finale de l’Euroleague (74-69).\n\nSopron Basket a mené tout le match, longtemps d’une quinzaine de points (47-31 à la mi-temps), mais son matelas s’est peu à peu dégonflé, sans que les Hongroises perdent totalement la tête. La Serbe Jelena Brooks a été brillante offensivement (27 points à 10/16 aux tirs), la pivot hongroise Barnadett Hatar comme souvent solide (15 points, 10 rebonds, 3 contres), alors que Gabby Williams a ajusté 13 points (malgré un 0/5 aux lancers-francs), 6 rebonds, 6 passes et 3 interceptions, tout en défendant sur la MVP de l’Euroleague, Kahleah Copper (23 points à 9/18 aux shoots). Aucune autre joueuse de Salamanque a marqué en double figure.\n\n« C’était un effort d’équipe incroyable dès le début. Nous étions vraiment concentrées sur ce que nous devions faire. Tout le monde, sur le terrain, sur le banc, le staff et les supporters étaient tous de la partie. Nous l’avons ressenti et nous avons gardé notre concentration pendant 40 minutes. Je suis tellement heureuse », a déclaré Jelena Brooks.\n\nSopron rencontrera en finale le vainqueur de Fenerbahçe -avec Bria Hartley- vs Prague.\n\nLa boxscore est ICI.\n\nPhoto : FIBA
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Vafessa Fofana à Gravelines jusqu’en 2025
Déjà sous contrat jusqu’en 2023, l’ailier franco-ivoirien Vafessa Fofana (1,98m, 29 ans) prolonge de deux ans son contrat avec le BCM Gravelines-Dunkerque.\n\n« C’est un tout », donne t-il comme réponse à La Voix du Nord qui lui demande les raisons de ce choix. « Il n’y a pas qu’un seul élément. Que ce soit le club, le coach, la direction, tout le staff. La ville ne fait pas rêver de fou, on ne va pas commencer à mentir ici (sourire). Ça se passe bien individuellement pour moi. Et puis, je suis bien ici, je suis bien dans la région du Nord. Il n’y a vraiment rien à dire. C’est un tout. C’est la première fois que je renouvelle un an avant le terme de mon contrat (...) Le club de Gravelines n’est pas à sa place, je pense. On va tout faire pour le remettre à la place qu’il mérite. »\n\nVafessa Fofana toune depuis le début de saison à 6,6 points, 4,3 rebonds et 2,0 passes.\n\nPhoto : Thomas Savoja
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Betclic Elite : Les nouvelles dates des playoffs
En raison des contraintes liées aux qualifications en Playoffs des Compétitions Européennes de la SIG Strasbourg, de l’AS Monaco Basket et de Boulogne-Levallois Metroplitans 92, le Comité Directeur de la LNB a décidé de modifier la date de la dernière journée de saison régulière de Betclic Elite ainsi que le calendrier de ses playoffs.\n\nBetclic ELITE 34ème Journée\nMardi 17 mai 2022 à 20h30 (toutes les rencontres auront lieu à la même heure)\n\nPlayoffs Betclic ELITE 2022\nQuart de Finale Aller : 24 et 25 mai 2022\nQuart de Finale Retour : 27 et 28 mai 2022\nQuart de Finale Belle : 29 et 30 mai 2022\n\nDemi-finale Match 1 : 1er et 2 juin 2022\nDemi-finale Match 2 : 3 et 4 juin 2022\nDemi-finale Match 3 : 6 et 7 juin 2022\nDemi-finale Match 4 : 8 et 9 juin 2022\nDemi-finale Match 5 : 11 et 12 juin 2022\n\nFinale Episode 1 : 15 juin 2022\nFinale Episode 2 : 17 juin 2022\nFinale Episode 3 : 20 juin 2022\nFinale Episode 4 : 22 juin 2022\nFinale Epilogue : 25 juin 2022\n\nPhoto : Jeremy Senglin (Nanterre, Thomas Savoja)
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Vidéo : Le Best of de Sarah Michel au Final Four de l’Eurocup
Présente dans tous les secteurs du jeu, Sarah Michel (1,80m, 33 ans) a été prépondérante dans le triomphe de Bourges au Final Four de l’Eurocup. Voici ses meilleurs moments en images.\n\n\nNot all superheroes wear capes 🦸‍♀️\n\nSarah Michel has been a huge ✘-factor in the #EuroCupWomen Final 4!@BourgesBasket | @FRABasketball 🇫🇷 pic.twitter.com/x1xsV84Ceb\n\n— EuroCup Women (@EuroCupWomen) April 8, 2022\n\n\nPhoto : FIBA
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Nicolas Batum forfait à l’Euro 2022 !
Nicolas Batum (2,03m, 33 ans) a annoncé à First Team qu’il ne participera pas à l’EuroBasket 2022 cet été.\n\n« Alors cela va pas plaire, je le sais. De toute façon quand tu refuses une sélection... (...) Je fais ça aussi parce que ma petite fille est née en janvier dernier et depuis 15 mois je n’ai pas passé beaucoup de temps avec elle non plus. J’ai envie de profiter de ça aussi ».\n\nIl s’agit du deuxième forfait d’envergure après celui de Nando De Colo, et il concerne aussi les qualifications à la Coupe du monde 2023 qui sont intégrés à l’agenda estival.\n\n« J’ai échangé avec Nicolas dimanche dernier », commente le coach Vincent Collet pour Team France Basket. « Il m’a fait part de sa réflexion quant à une éventuelle absence à l’EuroBasket. Pour des raisons familiales et physiques. Cette décision n’était pas définitive. Je lui ai demandé de patienter et nous devions à nouveau en parler la semaine prochaine. J’ai découvert son annonce aujourd’hui. Je prends acte de cette information. »\n\nNicolas Batum compte 155 sélections en équipe de France depuis juillet 2009. Il a participé à 3 Jeux Olympiques, 3 Coupe du monde et 4 EuroBasket.\n\nEn 58 matches avec les Los Angeles Clippers, il tourne cette saison à 8,4 points, 4,3 rebonds et 1,7 passes.\n\n\n\Ça va pas plaire, je le sais !\ – @nicolas88batum à propos de sa décision de ne pas participer à l'Euro 🗣 pic.twitter.com/XMWZjFJg5q\n\n— First Team (@FirstTeam101) April 8, 2022\n
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Ouverture d’un NBA Store à Paris
Lids, le géant mondial de la distribution, va exploiter le nouveau NBA Store dans le quartier latin de Paris. Le magasin sur trois étages proposera les dernières nouveautés de la NBA et de la WNBA : des maillots Nike, des vêtements, des objets sportifs de collection et bien plus encore. Ouverture cet été.\n\nLa National Basketball Association et Fanatics, une plateforme sportive numérique et l’un des plus grands fournisseurs mondiaux de produits sportifs sous licence, ont annoncé aujourd’hui l’ouverture du premier NBA Store à Paris cet été. Le nouveau magasin, qui sera exploité par le géant de la distribution Lids et situé au 20 Boulevard Saint-Michel dans le quartier latin de Paris, sera le troisième NBA Store en Europe, après Londres et Milan.\n\nLe magasin de plus de 300 mètres carrés sur trois étages proposera une large gamme de produits et de souvenirs officiels de la NBA et de la WNBA, notamment des maillots, des vêtements, des casquettes et bonnets, des articles de sport, des jouets et des objets de collection de grandes marques telles que Nike, Mitchell & Ness, New Era ou Wilson. La boutique proposera également des vêtements et des articles exclusifs NBA Paris, ainsi qu’un espace de personnalisation où les fans pourront personnaliser les maillots et les casquettes des 30 équipes de la NBA.\n\nDans le cadre du partenariat de la NBA avec Fanatics, d’autres NBA Stores internationaux gérés par Lids devraient ouvrir cette année. Les lieux et les détails supplémentaires seront annoncés à une date ultérieure.\n\n« À l’intersection de la mode et de la culture du basket-ball, Paris a une tradition unique pour le jeu et certains des fans de la NBA les plus passionnés d’Europe », a déclaré Steve Griffiths NBA Europe and Middle East Senior Director, Global Partnerships. « Avec Fanatics et Lids, nous avons hâte d’accueillir les fans de France et d’ailleurs dans ce nouvel espace passionnant et interactif où ils pourront célébrer leur passion pour la NBA avec style. »\n\n« Lids est ravi d’ouvrir le premier NBA Store à Paris », a déclaré le président de Lids Sports Group, Britten Maughan. « Notre emplacement sur le boulevard Saint-Michel, offrira le plus grand assortiment de produits NBA du pays et sera une destination pour les habitants et les touristes. La NBA est une marque internationale et a prouvé qu’elle avait un large attrait au niveau mondial. Le nouveau NBA Store de Paris proposera à la fois des vêtements pour les fans et une mode inspirée de la culture NBA aux États-Unis. »
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Final Four : Bria Hartley et Gabby Williams à la conquête du titre européen
Les deux Franco-Américaines Bria Hartley (Fenerbahçe) et Gabby Williams (Sopron) participent au Final Four d’Istanbul, qui commence cet après-midi.\n\nLes anciens vainqueurs -en 2011- de Perfumerias Avenida Salamanque affronteront Sopron Basket, qui n’a pas encore remporté l’épreuve, avant qu’un autre ancien champion ZVVZ USK Prague -en 2015- se mesure aux hôtes de Fenerbahce Safiport qui cherchent également un premier titre historique. L’absence de la super puissance UMMC Ekaterinbourg, bannie de la compétition comme les autres équipes russes, rend le verdict final très incertain.\n\n\nParfumeries Avenida Salamanque vs Sopron Basket\n\nPerfumerias Avenida a terminé deuxième de la saison régulière dans le groupe A avec un record de 11-3, alors que Sopron a établi une marque de 8-6. En Hongrie, le champion en titre a été défait en finale de la Coupe le mois dernier par le DVTK Miskolc, mais il a pris sa revanche en demi-finale des playoffs.\n\nGabby Williams aura probablement la charge de défendre sur la MVP de l’Euroleague, Kahleah Copper (22,5 points, 6,1 rebonds). L’internationale française a terminé deuxième lors du vote pour l’élection de la Meilleure Défenseur de l’Année, elle a réalisé 37 interceptions, ce qui est un record dans la compétition, et elle apporte aussi une contribution majeure en attaque (13,4 points, 5,6 rebonds, 3,7 passes). L’autre joueuse phare de l’équipe hongroise est la géante Bernadett Hatar (2,08m, 13,6 points, 8,5 rebonds).\n\nSopron Basket participe aux demi-finales pour la quatrième saison consécutive, mais n’est parvenu en finale qu’une seule fois en 2018. Avec 62,8 points encaissés, sa défense est la meilleure de l’Euroleague.\n\n\n\nZVVZ USK Praha contre Fenerbahçe Istanbul\n\nLes Turques auront l’avantage du terrain. Elles ont remporté leurs 11 derniers matches dont les 2 en quarts-de-finale contre Lattes-Montpellier. Elles sont leaders du championnat national (21-2), mais elles ont perdu en finale de la Coupe de Turquie contre le CBK Mersin Yenisehir.\n\nFenerbahce a atteint les demi-finales pour la huitième fois au cours des 10 dernières années, et trois fois la finale, mais il n’a jamais gagné. On suivra attentivement le carré d’as composé des Américaines Elizabeth Williams (21,8 d’évaluation avec 9,2 rebonds), Kayla McBride (19,0 points), de l’Ukrainienne Alina Iagupova (16,2 points) et de l’Allemande Satou Sabally (16,1 points).\n\nBria Hartley est arrivée en fin de saison pour jouer 5 matches. Après sa longue indisponibilité suite à une grave blessure au genou, elle n’a pas encore retrouvé toutes ses capacités (5,2 points, 1,4 passe en 16′).\n\nLe ZVVZ USK Prague a terminé la saison régulière de l’Euroleague avec 10 victoires et quatre défaites, ce qui leur a valu la troisième place du groupe A. Sur le plan national, les joueuses de la capitale sont toujours aussi dominatrices, ayant remporté tous les matchs de la ZBL. L’Espagnole Maria Conde a sans doute été la meilleure joueuse de toute la compétition au cours des dernières semaines, à tel point qu’elle n’était pas loin d’être nommée MVP de la saison.\n\nPrague est la dernière équipe non russe à avoir remporté le titre, en 2015... en battant Fenerbahce en demi-finale. Au cours des sept années suivantes, les Tchèques ont perdu trois fois en demi-finale.\n\nPhoto : Gabby Williams (Sopron, FIBA)\n
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Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB : «Tout le basket français se réjouit de cette nouvelle performance de Bourges»
Le président de la FFBB, Jean-Pierre Siutat, et la présidente de la ligue féminine, Carole Force, se sont exprimées suite à la victoire de Bourges en finale de l’Eurocup face à Milan (74-38).\n\nJean-Pierre SIUTAT : « Tout le basket français se réjouit de cette nouvelle performance de Bourges, club emblématique de notre discipline. J’adresse mes félicitations les plus chaleureuses à Agnès ST-Gès, sa présidente, Olivier Lafargue, son entraîneur, ainsi qu’aux joueuses qui ont su répondre présentes lors d’un rendez-vous majeur du basket européen. Ce sixième titre européen pour Bourges vient récompenser le travail de tout un club, soutenu par les collectivités locales, ses partenaires et ses supporters. Il démontre une nouvelle fois la qualité du basket féminin français qui continue de performer, années après années. »\n\nCarole FORCE : « Au nom de la Ligue Féminine et de ses clubs, toutes mes félicitations au club de Bourges, à sa Présidente, Agnès ST-Gès, aux joueuses, au staff sans oublier les supporters pour leur victoire en Eurocoupe. Les Tango ont montré le plus beau des visages du basket français, celui qui gagne. Au-delà du défi sportif, Bourges a su relever celui de la logistique en organisant, en à peine deux semaines, ce Final Four au Prado. Ce sixième titre européen pour le club berruyer intervient après deux saisons difficiles pour le sport en général. Il démontre qu’avec de l’ambition et de la résilience, tout est possible. »\n\nLes équipes féminines françaises qui ont remporté une Coupe d’Europe :\n\nEurocup (ex-Coupe Ronchetti) :\n\nBourges en 1995, 2016 et 2021 ; Villeneuve d’Ascq en 2015 ; Pays d’Aix en 2003; Tarbes en 1996\n\nEuroleague :\n\nBourges en 1997, 1998 et 2001; Valenciennes en 2002 et 2004\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=54n4h9aedsA&ab_channel=FIBA-TheBasketballChannel\n\nPhoto : FIBA
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Spécial Salaires Pro B 2021-22 : Lille optimise ses moyens, Nancy encore plus
Si, budgétairement parlant, Lille figure dans le « ventre mou » de la Pro B alors que Nancy est assez proche du podium, les deux équipes font preuve, chacune à son niveau, de performances optimales. Les Red Giants sont à portée de play-offs alors que le SLUC est le premier poursuivant du leader, Saint-Chamond. Deux belles réussites qui s’appuient sur la défense et des recrutements judicieux.\n\nÉquipe par équipe, au quotidien, et par ordre alphabétique, Basket Europe sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B, dont voici le cinquième épisode.\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année en vous abonnant.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nLille : la parole à la défense\n\nBudget annoncé : 1 765 000 € (14e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 650 000 € (13e)\nClassement (au 7 avril) : 12e (12 victoires – 15 défaites)\n\nLa saison dernière, le LMBC finissait 9e de la saison régulière (18 victoires pour 16 défaites), une position très satisfaisante au vu d’une masse salariale de 570 000 €, la 13e du championnat. Cette année, Lille a vu son budget (+ 275 000 €) et sa masse salariale (+ 80 000 €) augmenter sans que cela change quoi que ce soit à son classement financier en Pro B.\n\nEt, au vu des résultats actuels des Red Giants, qui les placent à une victoire des playoffs, on peut dire que l’équipe du Nord réussit une saison relativement conforme à la précédente. Sauf que, à deux victoires derrière, il y a aussi la zone de relégation.\n\nL’investissement global fut très raisonnable, le « totem » Jean-Victor Traoré étant le seul joueur bénéficiant d’un salaire haut de gamme, le 15e de la division. Derrière, Zimmy Nwogbo est 48e au même classement, Thomas Hieu-Courtois et Raijon Kelly 65e. Ce qui n’empêche pas ces joueurs d’être performants : Hieu-Courtois et Kelly dépassent tous deux les 14 d’évaluation, Nwogbo est à 13,2 (constituant une bonne pioche de recrutement) et Traoré à 12,3.\n\nMieux encore, le Dominicain Adonys Henriquez, signé à un tout petit tarif (153e salaire de Pro B !), se révèle une très bonne affaire, avec ses 8,0 d’évaluation. Et l’on pourrait en dire autant d’Asier Zengotitabengoa (8,9 d’évaluation) ou du jeune Yohan Choupas (7,2 d’évaluation).\n\nSi l’équipe ne brille pas en attaque (15e dans ce secteur avec 76,4 points par match), elle figure parmi les plus redoutables de Pro B en défense : 75,9 points encaissés (5e dans le domaine), une marque de fabrique de Maxime Bézin, coach disposant d’un salaire très moyen pour sa corporation (13e). En faisant preuve d’un peu plus d’adresse (même si elle est déjà honorable), le LMBC a encore une (petite) chance de viser les playoffs, ce qui constituerait une satisfaction par rapport à ses moyens.\n\n\nLes salaires de Lille\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22Jean-Victor Traoré4FRA202270 000,00 €Zimmy Nwogbo5USA/NIG202250 000,00 €Thomas Hieu-Courtois4-5FRA202345 000,00 €Raijon Kelly1-2USA202245 000,00 €Asier Zengotitabengoa3-2ESP202234 000,00 €Yohan Choupas2-1FRA202227 000,00 €Adonys Henriquez2-3USA/DOM202225 000,00 €Lorenzo Thirouard-Samson3-2FRA2022 (stagiaire puis pro)20 000,00 €Essome Miyem5FRA202220 000,00 €Louis Rucklin1FRA202220 000,00 €Soriah Bangura4-5FRA(2 mois)7 000,00 €CoachMaxime BézincoachFRA202245 000,00 €\n\n\nNancy : des ambitions élevées et des moyens raisonnables\n\nBudget annoncé : 3 346 000 € (3e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 835 500 € (5e)\nClassement (au 7 avril) : 2e (18 victoires – 8 défaites)\n\nNancy a une idée bien en tête depuis sa descente en 2017 : remonter en Betclic Élite. Et cela sans faire de folies. Ainsi, si son budget a augmenté d’environ 150 000 € par rapport à la saison passée, sa masse salariale, elle, a gonflé de... 500 € ! Il s’agit ainsi seulement de la 5e somme dédiée aux salaires des joueurs et du coach. Bien loin de ce que dépensent sur le même poste Boulazac (400 000 € de plus) et Chalon (600 000 € de plus).\n\nCe qui n’empêche pas le SLUC de figurer devant ces grosses machines au classement. Du reste, sans deux mini-séries de deux défaites consécutives courant novembre et courant février, les Cougars pourraient titiller le leader Saint-Chamond d’encore plus près. Aux heures où sont écrites ces lignes, ils sont – hormis Saint-Chamond – les seuls à pouvoir encore rêver d’une accession directe car un duel les attend face au leader le 22 avril.\n\nIl faut dire que le nouveau coach, Sylvain Lautié (assez peu payé, avec le 14e salaire des coachs de Pro B), a réussi son recrutement et a instauré un style de jeu payant. 4e défense de Pro B (75,8 points encaissés), le SLUC flambe également de l’autre côté du parquet, avec la 3e attaque (82,1 points).\n\nQuant au recrutement, il est des plus payants. Caleb Walker, 4e plus haut salaire de Pro B, produit 15,6 d’évaluation, 8e moyenne de la division. Mais ce n’est rien par rapport à Stéphane Gombauld, signé à un salaire confortable (8e de Pro B), qui renverse tout sur son passage : 1e à la marque, au rebond, 2e aux fautes provoquées, 3e au contre, 4e au +/-, de quoi se retrouver 1er à l’évaluation (23,0), près de 6 points devant le deuxième !\n\nAutre bonne pioche, Mathis Keita, recruté à un tarif très raisonnable, qui se révèle un chef d’orchestre de très bon niveau (12,4 d’évaluation). Et si Josh Ayaji (9,2 d’évaluation), Mérédis Houmounou (6,9) et Vincent Vent (5,5) n’apportent pas statistiquement ce que l’on pourrait attendre d’eux au vu de leurs émoluments, Antony Labanca (10,5) et, plus encore, David Skara (11,2), de retour en Pro B après une expérience malheureuse en Betclic Élite, permettent à Nancy de viser très haut.\n\nEn cas de défaillance de Saint-Chamond, qui compte deux défaites de moins que le SLUC, les Cougars se montreront très certainement prêts à sauter sur leur proie.\n\n\nLes salaires de Nancy\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22Caleb Walker3-2USA202290 000,00 €Stephane Gombauld4-5FRA202385 000,00 €Josh Ajayi5-4NIG/USA202262 000,00 €Vincent Vent5FRA202254 000,00 €Meredis Houmounou2FRA202352 000,00 €Mathis Keita1FRA202248 000,00 €Antony Labanca2FRA202447 000,00 €Charles Nkaloulou4CGO202245 000,00 €David Skara4CRO6,5 mois35 000,00 €Lucas Ugolin3-2FRA202430 000,00 €Ludovic Beyhurst1FRA5 mois30 000,00 €Jean-Frederic Morency4FRA(2 mois)16 000,00 €Siriman Kanoute1MAL(7 mois)10 000,00 €CoachSylvain LautiécoachFRA202240 000,00 €\n\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\n\nPhoto d’ouverture : Stéphane Gombauld – Nancy (photo Élan Chalon/Charlotte Geoffray) – Raijon Kelly – Lille (photo LMBC) – Montage Basket Europe\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n\nLille : la parole à la défense\n\nBudget annoncé : 1 765 000 € (14e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 650 000 € (13e)\nClassement (au 7 avril) : 12e (12 victoires – 15 défaites)\n\nLa saison dernière, le LMBC finissait 9e de la saison régulière (18 victoires pour 16 défaites), une position très satisfaisante au vu d’une masse salariale de 570 000 €, la 13e du championnat. Cette année, Lille a vu son budget (+ 275 000 €) et sa masse salariale (+ 80 000 €) augmenter sans que cela change quoi que ce soit à son classement financier en Pro B.\n\nEt, au vu des résultats actuels des Red Giants, qui les placent à une victoire des playoffs, on peut dire que l’équipe du Nord réussit une saison relativement conforme à la précédente. Sauf que, à deux victoires derrière, il y a aussi la zone de relégation.\n\nL’investissement global fut très raisonnable. Le seul joueur bénéficiant d’un salaire haut de gamme...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
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Ettore Messina (coach Milan): «Au final, il a fallu un peu de chance»
Comme à Milan en octobre (73-72), l’ASVEL a laissé passer sa chance de tomber Armani Milan, à l’Astroballe (80-81), et de clôturer ainsi sa saison en beauté.\n\nFace à une équipe milanaise privée de nombreux éléments, l’ASVEL a pu bénéficier d’un David Lighty en pleine forme, qui a battu ses records de points (28) et d’évaluation (29), alors que Victor Wembanyama (18 points et 6 rebonds) confirme qu’il est en train de passer un cap. A Milan, on notera les 24 points de Malcolm Delaney et encore les 8 rebonds de Niolo Melli.\n\n« Je suis extrêmement heureux », a lâché le coach italien Ettore Messina en conférence de presse. « Compte tenu des deux matchs que nous avons gagnés contre le CSKA, nous avons terminé avec 21 victoires comme l’an dernier et pour la deuxième année consécutive, nous sommes parmi les quatre premiers. Je pense que c’est un excellent résultat. Et puis gagner ici, face à une très bonne équipe bien organisée, alors qu’il nous manquait tant de joueurs, ce n’est pas rien. Tout le monde a contribué à cette victoire, tout le monde a aidé l’équipe. On a eu plusieurs très bons moments, tant en attaque qu’en défense, en risquant de les gâcher avec une terrible soirée sur la ligne des lancers-francs (6/16). Au final, il a fallu un peu de chance. Cependant, en défendant bien sur la dernière possession, nous avons gagné. Alors oui je suis très content. Nous avions tellement de raisons de choisir de ne pas défendre nos chances, mais nous l’avons fait et gagner nous aidera à bien nous préparer pour les playoffs ».\n\nVilleurbanne clôture ainsi sa saison d’Euroleague avec huit victoires et vingt défaites, plus deux succès pour du beurre face au CSKA Moscou et l’Unics Kazan.\n\nA lire ICI son bilan complet.\n\nPhoto : Chris Jones (ASVEL, Euroleague)
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Bourges a été le club féminin le plus mentionné en mars sur les sites sportifs
Un pointage réalisé par les équipes de Sport Business Consulting, pour Women Sports, a permis d’établir que le Tango Bourges Basket a été le club féminin le plus mentionné au mois de mars sur un échantillon significatif de la presse web sportive non spécialisée*.\n\nIl s’agit donc d’une performance réalisée en amont du Final Four de l’Eurocup. D’ailleurs les clubs de Ligue Féminine se taillent la part du lion puisqu’ils sont quatre dans le top-5, et Basket Landes figure sur le podium. En revanche, les joueuses de tennis squattent le top-10 au niveau individuel.\n\nClassement individuel :\n\n1 – Caroline Garcia, tennis, 43 points\n\n2 – Iga Swiatek, tennis, 34 points\n\n3 – Tessa Worley, ski, 28 points\n\n4 – Naomi Osaka, tennis, 19 points\n5 – Perrine Laffont, ski, 18 points\n6 – Ashleigh Barty, tennis, 16 points\n7 – Alizé Cornet, tennis, 17 points\n– Mikaela Shiffrin, ski, 17 points\n8 – Elina Svitolina, tennis, 16 points\n– Dayana Yastremska, tennis, 16 points\n9 Leylah Fernandez, tennis, 15 points\n-Simona Halep, tennis, 15 points\n10 – Maria Sakkari, tennis, 14 points\n\nClassement équipes :\n\n1 – Tango Bourges basket, 24 points\n\n2 – PSG Féminines foot, 18 points\n\n3 – Basket Landes, 17 points\n\n4 – Lattes Montpellier basket, 16 points\n5 – ASVEL Féminin basket, 15 points\n6 – Brest Bretagne handball, 11 points\n7 – Metz handball, 9 points\n– Moulins Yzeure Foot 03 Auvergne, 9 points\n– Le Cannet volley 9 points\n8 – FC Nantes féminin, 8 points\n9 – OL Féminin football, 7 points\n10 – Bourg-de-Péage handball, 7 points\n\n* www.sport.fr, www.lequipe.fr, www.eurosport.fr, www.sports.fr, www.sport365.fr, rmcsport.bfmtv.com et sport24.lefigaro.fr.
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ASVEL, récit d’une saison d’Euroleague contrastée en 10 moments forts
Après un excellent début d’exercice 2021-2022, l’ASVEL a perdu pied dans la compétition européenne reine pour terminer à une anecdotique 14e place (8-20), soit le même classement que la saison dernière. Sauf que, cette fois-ci, l’exclusion des clubs russes au mois de mars ne laisse qu’une seule équipe derrière les champions de France en titre, le Zalgiris Kaunas, avec le même bilan. Retour sur une saison contrastée, des espoirs de début de saison suite aux victoires sur l’Anadolu Efes et le CSKA Moscou à la série inquiétante de défaites, et les doutes qui vont avec.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\n1er octobre 2021 : ASVEL – Zalgiris Kaunas, débuts en fanfare\n\nMalgré une préparation catastrophique et la perte de sa recrue phare de l’intersaison – l’intérieur Raymar Morgan – quelques jours plus tôt pour de longs mois, l’ASVEL débutait sa troisième campagne d’Euroleague consécutive, la première en tant que membre permanent, de la meilleure des manières. Une victoire sans trembler face au Zalgiris Kaunas à l’Astroballe (88-76).\n\nL’homme du match ? Elie Okobo, bien sûr, 23 points ce soir-là et auteur d’un parfait 9/9 aux tirs, dont 3/3 derrière l’arc. Avec 14 points et 6 passes décisives, Chris Jones réussissait également ses débuts sous le maillot villeurbannais. D’entrée de jeu, l’équipe de T.J. Parker dévoilait sa plus belle carte : son backcourt. Un succès inaugural marquant le début d’une série de six victoires consécutives toutes compétitions confondues et laissant envisager de très belles batailles. Prometteur.\n\n\n12 octobre 2021 : ASVEL – Anadolu Efes, un champion d’Europe est tombé à l’Astroballe\n\nLe 12 octobre, LDLC ASVEL était encore invaincu, fort de trois succès en Betclic Elite et deux en Euroleague. Se présentait le champion d’Europe en titre, l’Anadolu Efes, et son duo Vasilije Micic – Shane Larkin. Privée de David Lighty, Antoine Diot et de Victor Wembanyama, l’équipe de T.J. Parker encaissait ni plus ni moins 49 points en première mi-temps. Le score affichait même de 19 points de retard dans le troisième quart-temps (37-56, 24e). L’affaire semblait entendue et se profilait une fin de soirée calvaire.\n\nPourtant, les champions de France en titre n’avaient pas dit leur dernier mot et entamaient une remontée historique. Chris Jones, Paul Lacombe, Elie Okobo et William Howard eurent tous leur moment de gloire et le dernier cité inscrivait le panier de l’égalisation à 3-points à l’entrée du money-time (67-67, 36e). Sur un drive de Dylan Osetkowski, Kostas Antetokounmpo mettait la claquette de la gagne à 12 secondes du terme (75-73). Sur l’action suivante, le frère de Giannis gênait Shane Larkin, qui ratait le 3-points de la victoire. L’Astroballe, et le président Tony Parker, pouvaient exulter. À ce moment précis, l’ASVEL était coleader invaincu de l’Euroleague (3-0).\n\n\n21 octobre 2021 : Olimpia Milan – ASVEL, si près du but\n\nSept jours après avoir connu sa première défaite de la saison, à domicile contre le Maccabi Tel Aviv, l’ASVEL se déplaçait chez le grand Olimpia Milan d’Ettore Messina, l’un des favoris au titre européen. En grande forme, le collectif villeurbannais était en place défensivement. En attaque, le duo Chris Jones – Elie Okobo cueillait à sec l’équipe italienne et Lyon-Villeurbanne, équipe la plus adroite à 3-points sur le début de saison, rentrait au vestiaire avec 14 points d’avance (26-40) !\n\nEt puis, les Milanais se sont réveillés, le doute s’est installé, et l’ASVEL a perdu pied. Les coéquipiers de Shavon Shields et Nicolo Melli repassaient devant dans l’ultime quart-temps, et si Elie Okobo – sur un nuage depuis le début de la compétition – permettait à son équipe de repasser devant à une minute du terme, c’est bien l’Olimpia Milan qui tenait son hold-up grâce à un tir de Devon Hall (73-72). Un coup d’arrêt, mais de l’espoir vis-à-vis notamment du niveau de jeu défensif.\n\n\n27 octobre 2021 : ASVEL – CSKA Moscou, un exploit à guichets fermés\n\nAlors que le dossier des droits TV européens était au point mort pour le premier mois de compétition réussi des Villeurbannais, l’ASVEL recevait le CSKA Moscou à guichets fermés (5 560 spectateurs) le 27 octobre pour la grande première sur OL TV. Comme six jours plus tôt, Elie Okobo et ses partenaires faisaient douter un grand d’Europe en première mi-temps et comptaient très vite 18 points d’avance (23-5, 8e). Au passage, Victor Wembanyama inscrivait ce soir-là son premier panier en Euroleague. Mais, comme face à Milan, l’ASVEL fut obligée de regarder dans le rétroviseur.\n\nL’équipe de Dimitris Itoudis prenait les commandes dans le troisième quart-temps (51-56, 29e), et celle de T.J. Parker ne tenait bon que grâce à sa défense retrouvée dans le quatrième acte. Elle s’en remettait à Elie Okobo dans le moneytime pour décrocher un succès de prestige (70-68), au bon souvenir de Jordan Taylor en novembre 2019, qui avait déjà permis aux Villeurbannais de l’emporter sur le fil face au club de l’Armée russe. On commençait sérieusement à se dire que cette équipe pouvait légitimement « faire mieux que la saison précédente », l’objectif répété de T.J. Parker.\n\n\n29 octobre 2021 : Panathinaïkos – ASVEL, le grand soir d’Elie Okobo\n\nQuarante-huit heures après son exploit contre le CSKA Moscou, l’ASVEL se déplaçait dans l’une des places fortes du basket européen, chez le Panathinaïkos. Quasiment toujours devant sans jamais décrocher les locaux, les coéquipiers de Chris Jones ne réalisaient pas une grande première mi-temps mais étaient devant au score (38-43), un bon indicateur. Le troisième quart-temps non plus, ni le début du quatrième, tout en gardant la tête (63-65, 35e).\n\nPuis est venu le show Elie Okobo. Ce soir-là, l’international français devenait inarrêtable. Il inscrivait 17 points dans le seul quatrième quart, dont plusieurs step back à 3-points, pour terminer à 35 points à 13/19 aux tirs pour 37 d’évaluation en 31 minutes. Performance titanesque. Avec 5 victoires et 2 défaites, l’ASVEL était 3e ex-aequo de la compétition. Le coach villeurbannais se refusait alors à parler de « playoffs », même si le niveau de jeu affiché pouvait laisser penser le contraire.\n\n\n16/19 novembre 2021 : ASVEL – Real Madrid / FC Barcelone, brutal retour sur terre\n\nC’est véritablement en novembre que la saison de l’ASVEL a commencé à basculer, après un mois et demi d’euphorie. Dès le début du mois, ce fut l’hécatombe dans le vestiaire villeurbannais avec les blessures de David Lighty (main droite, trois mois), Antoine Diot (mollet, un mois) et Victor Wembanyama (doigt, un mois) ajouté à l’absence de Raymar Morgan (remplacé par James Gist, absent jusqu’à mi-mars). Pour ajouter un peu de profondeur au banc, l’ancien monégasque Marcos Knight a rejoint le groupe.\n\nMalgré cet ajout tardif, l’ASVEL n’a rien pu faire contre le Real Madrid, leader du début de saison (74-87) et porté par un Fabien Causeur des grands soirs (25 points). Trois jours plus tard, le FC Barcelone se présentait face à une équipe encore plus diminuée du fait des absences de Dylan Osetkowski et Marcos Knight, tous deux testés positifs au Covid-19 juste avant la rencontre. Même tarif : une large défaite (60-80). Pas une très bonne publicité pour la première retransmission de La Chaîne L’Equipe, qui avait annoncé un dispositif de la diffusion de 10 matches.\n\n\n26 novembre 2021 : Monaco – ASVEL, William Howard terrasse la Roca Team sur un buzzer miraculeux du milieu de terrain\n\nLa rencontre n’a pas eu l’exposition qu’elle méritait, tant en raison de l’absence de diffuseur traditionnel – match non retransmis par La Chaîne L’Equipe – que de la fenêtre internationale France-Monténégro prévue à 30 minutes d’intervalle. Mais le premier duel entre représentants du championnat de France en Euroleague depuis 2000 a tenu toutes ses promesses.\n\nAuteur de son record en carrière contre Monaco (23 points, 10 rebonds), William Howard a donné la victoire à l’ASVEL – malgré sept absents, dont Paul Lacombe, plus quatre membres du staff – sur un buzzer désespéré du milieu du terrain à Gaston-Médecin (85-84). Probablement l’exploit le plus significatif au vu de la profondeur de banc villeurbannaise ce soir-là, mais aussi l’élément déclencheur du départ, quelques jours plus tard, de Zvezdan Mitrovic à la tête de la Roca Team. À ce moment-là, l’ASVEL retrouvait le top 8 qu’elle venait de quitter et Monaco sortait du top 10.\n\n\n18 janvier 2022 : ASVEL – Monaco, la revanche de la Roca Team\n\nÀ l’heure du match retour, moins de deux mois plus tard, la dynamique entre les deux représentants français s’était parfaitement inversée. Le nouveau coach monégasque Sasa Obradovic venait d’enchaîner deux succès en Euroleague, le troisième en cinq matches, quand l’ASVEL n’avait, depuis début novembre, engrangé que deux victoires en dix matches : l’aller à Monaco et la 600e rencontre européenne de son histoire contre un Fenerbahçe ayant perdu ses deux leaders Nando De Colo et Jan Vesely sur blessure. Maigre butin.\n\nA l’image de ces dynamiques, la Roca Team infligeait alors ce 18 janvier une véritable correction aux Villeurbannais (75-100). Une démonstration offensive initiée par le quatuor Mike James – Donatas Motiejunas – Dwayne Bacon – Alpha Diallo. Toujours privé de Raymar Morgan, David Lighty, Victor Wembanyama mais aussi William Howard, T.J. Parker se permettait même se lancer le jeune Zaccharie Risacher, né en 2005. Pour la première fois de la saison, Lyon-Villeurbanne quittait le top 10. Et n’allait plus jamais y revenir.\n\n28 février 2022 : les clubs russes suspendus, l’ASVEL dégringole un peu plus au classement\nAutre moment fort de la saison : la suspension des équipes russes de l’Euroleague. A la suite de l’invasion en Ukraine, ECA – la société qui organise la compétition – a réagi en suspendant dans un premier temps les équipes russes le 28 février, puis trois semaines plus tard en les excluant définitivement.Vainqueur notamment du CSKA Moscou et de l’UNICS Kazan à domicile, l’ASVEL perdait ainsi deux précieuses victoires au classement, tombait au 13e rang, et pouvait définitivement dire adieu à la course aux playoffs. Le 17 mars, Lyon-Villeurbanne s’inclinait même pour la 8e fois consécutive en Euroleague, sa pire série de la saison, contre le Real Madrid, pourtant extrêmement diminué (70-58).\n\n\n23 mars 2022 : Zalgiris Kaunas – ASVEL, enfin une victoire... Et un match référence pour Victor Wembanyama\n\nPour enfin décrocher une nouvelle victoire en deuxième partie de saison – alors qu’elle avait subi un vrai coup d’arrêt en l’absence d’Elie Okobo (épaule) -, l’ASVEL s’en est remise à un « choc » face à la lanterne rouge de la compétition, le Zalgiris Kaunas. Ce 23 mars, l’équipe de T.J. Parker mettait fin à une longue série de huit défaites à l’extérieur (68-72). Une éternité.\n\nEt ce notamment grâce à la meilleure performance de Victor Wembanyama en Euroleague : 14 points (6/7 à deux-points), 5 rebonds, 5 contres, 2 passes et 2 interceptions pour 23 d’évaluation en 28 minutes. Blessé à plusieurs reprises en début de saison puis de plus en plus responsabilisé, le potentiel futur numéro 1 de la draft NBA 2023 fut le grand « gagnant » de la deuxième partie de saison d’Euroleague villeurbannaise, lui qui a augmenté significativement son temps de jeu... et son rendement.\n\n\n26 mars 2022 : ASVEL – Olympiakos, des joueurs préservés... pour tomber de plus haut en Coupe de France\n\nAu match aller contre l’Olympiakos, le 18 décembre dernier, l’ASVEL avait tout simplement subi sa plus large défaite de la saison (89-54). Au match retour, les grands débuts de Raymar Morgan, après six mois d’absence, n’ont pas suffi à l’emporter (80-94). La 7e défaite en 8 matches pour les Villeurbannais. Anecdotique, car de nombreux joueurs avaient été préservés pour « la mission plus importante du weekend ».\n\nCar, au-delà de cette rencontre, les esprits étaient ailleurs, tous portés sur le top 8 de la Coupe de France avec, dès le lendemain soir, un quart de finale à disputer contre le BCM Gravelines. Et une occasion de titre à ne pas manquer. Loupé, puisque l’équipe de l’ancien coach villeurbannais J.D. Jackson éliminait l’ASVEL sur un buzzer beater assassin de Kenny Kadji.\n\nAu moment des comptes, la saison d’Euroleague fut décevante, les objectifs en Coupe de France non atteints, et les certitudes, à l’heure de terminer la saison de Betclic Elite, aux abonnés absents. Plus gros budget de l’histoire d’une saison de championnat de France, le double tenant du titre n’aura d’autre choix que de se relever en Betclic Elite. Sous peine de faire chou blanc cette saison.\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n\n1er octobre 2021 : ASVEL – Zalgiris Kaunas, débuts en fanfare\n\nMalgré une préparation catastrophique et la perte de sa recrue phare de l’intersaison – l’intérieur Raymar Morgan – quelques jours plus tôt pour de longs mois, l’ASVEL débutait sa troisième campagne d’Euroleague consécutive, la première en tant que membre permanent, de la meilleure des manières. Une victoire sans trembler face au Zalgiris Kaunas à l’Astroballe (88-76).\n\nL’homme du match ? Elie Okobo, bien sûr, 23 points ce soir-là et auteur d’un parfait 9/9 aux tirs, dont 3/3 derrière l’arc. Avec 14 points et 6 passes décisives, Chris Jones réussissait également ses débuts sous le maillot villeurbannais. D’entrée de jeu, l’équipe de T.J. Parker dévoilait sa plus belle carte : son backcourt. Un succès inaugural marquant le début d’une série de six victoires consécutives toutes compétitions confondues et laissant envisager de très belles batailles. Prometteur.\n\n\n12 octobre 2021 : ASVEL – Anadolu Efes, un champion d’Europe est tombé à l’Astroballe\n\nLe 12 octobre, LDLC ASVEL était encore invaincu, fort de trois succès en Betclic Elite et deux en Euroleague. Se présentait le champion d’Europe en titre...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\n\nPhoto : ASVEL (Euroleague)
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Le chiffre : 1,167M€, ce que demande Zvezdan Mitrovic à l’ASVEL
Le Conseil des Prud’hommes de Lyon a entendu, hier, les avocats du Monténégrin Zvezdan Mitrovic et de l’ASVEL, en rapport au licenciement de celui qui était coach de l’équipe du président Tony Parker, et qui avait été licencié le 19 mai 2020, alors qu’il était sous contrat jusqu’à la fin de la saison 2020-21.\n\n« Le jugement sera rendu le 21 juillet. Je demande 1,167 million d’euros de dommages et intérêts, et les frais de procédure. Quant au dossier entre Zvezdan Mitrovic et Monaco, il a été réglé en quinze minutes. Entre gentlemen, » a révélé Maître Xavier Lecerf, avocat de Mitrovic, au Progrès.\n\nPhoto : FIBA
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NM1 : 5 100 spectateurs pour l’inauguration de l’Arena de Poitiers
Le PB86 annonce que son match contre Lyon So, du mardi 12 avril, qui va servir d’inauguration à l’Arena Futuroscope se jouera à guichets fermés, soit 5 100 spectateurs.\n\n« Le club fait face à un afflux de demandes bien supérieur à la capacité de la salle, symbole de l’attente née autour de cette enceinte et de la popularité de l’équipe et du club de basket local. Tout le monde ne pourra malheureusement pas accéder à cette rencontre et nous le regrettons bien évidemment », écrit le club dans un communiqué.\n\nPoitiers est 2e du groupe A (10 victoires et 4 défaites) et Lyon 10e (4 victoires et 11 défaites).
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Sarunas Jasikevicius, coach de Barcelone, fier d’être Lituanien: «Nous sommes chanceux d’être indépendant, d’avoir une démocratie et de choisir notre destin»
La Lituanie a déclaré son indépendance en 1990. Sarunas Jasikevicus avait alors 14 ans. Lors d’une interview à Catalunya Radio, le coach du FC Barcelone s’est souvenu de cette période difficile et de la fierté des Lituaniens à s’être débarrassé du joug soviétique.\n\n« Quand tu deviens indépendant de la Russie, c’est dur parce qu’ils te coupent tout. J’avais l’habitude de faire la queue avec mes parents pour manger. Après, vous êtes content d’être un pays indépendant. Nous sommes ravis de faire partie de l’Otan », a insisté le Lituanien.\n\nJasikevicius a expliqué ses souvenirs de la période où il y avait une pénurie de produits de base.\n\n« On manquait de nourriture, de boisson, d’essence... Je me souviens bien des premières années de notre indépendance. Il y avait des files d’attente pour acheter du riz, du papier toilette... Tout était limité. »\n\nJasikevicius est bien connu en tant qu’ambassadeur de Lituanie dans le monde, l’une des raisons pour lesquelles il est un héros national.\n\n« J’ai eu la chance d’étudier aux États-Unis, et quand je revenais chaque été, j’ai pu voir de nouvelles choses, comment tout se construisait. Heureusement, j’ai pu vivre neuf ans dans mon pays. Nous sommes chanceux d’être indépendant, d’avoir une démocratie et de choisir notre destin. »\n\nC’est parce qu’il a souffert de l’oppression soviétique que Jasikevicius a alerté récemment les Espagnols à propos de l’invasion des troupes russes en Ukraine.\n\n« Si les gens pensent qu’ils vivent trop loin, ils se trompent. J’ai toujours été contre la politique, mais ce n’est pas de la politique, c’est une guerre. Vous allez sur Facebook ou vous voyez des photos et vous vous sentez mal. Ça va tacher nos vies. C’est pire que la pandémie. »\n\nPhoto : Euroleague
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Mike James (Monaco) : «Avec Sasa Obradovic, on parle à peu près le même langage»
Mike James, qui a clamé à quel point il aimait vivre à Monaco, a également déclaré être sur la même longueur d’onde que son coach, Sasa Obradovic.\n\nMike James semble s’épanouir à Monaco. C’est du moins ce qu’il a confié dans une interview accordée à l’Euroleague : « C’est beaucoup plus petit mais il fait très beau, il y a de bons endroits pour manger, a-t-il déclaré. Cela me permet de trouver un bon équilibre et je pense que c’est vraiment relaxant. Je m’y plais et j’aime vivre ici. » Mais l’Américain, qui a porté la Roca Team jusqu’à une qualification en playoffs d’Euroleague, a également été amené à parler de son entraîneur, Sasa Obradovic, qui vient tout juste d’être prolongé pour la saison prochaine. Et il faut croire que les deux hommes sont à peu de choses près sur la même longueur d’ondes en ce qui concerne le basket.\n\n« Honnêtement, je ne l’ai jamais vu jouer, ce qui est dommage car j’ai vu jouer pratiquement tout le monde. Je dois le regarder jouer mais oui, j’ai entendu dire qu’il était bon. On entend des choses sur les gens et ils disent à quel point il était bon et compétitif. Je pense donc que nous parlons à peu près le même langage en ce qui concerne le basket. Nous sommes tous les deux ultra compétitifs, nous voulons gagner et nous sommes comme ça. »Mike James, joueur de l’AS Monaco\n\nPhoto : Mike James (Euroleague)
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Iliana Rupert, MVP de la finale d’Eurocup : «C’est comme dans un rêve»
Jeudi soir, le Tango Bourges a remporté le sixième titre européen de son histoire en infligeant à Venise une raclée historique en finale (74-38). Réactions.\n\nIliana Rupert, intérieure de Bourges et MVP de la finale : « C’est comme dans un rêve. Gagner une finale, à la maison, avec un tel niveau de défense, une adresse folle... On a proposé un basket incroyable. Si on m’avait dit ça en septembre, j’aurais signé tout de suite. Mais je ne suis pas surprise : je savais que j’étais prête personnellement, et que toutes mes coéquipières l’étaient aussi. En tant qu’équipe, on était prêtes. Cette confiance nous a porté. (...) Ce premier titre européen, je le place très haut. C’est mon premier, le premier d’une plus grande lignée jusqu’à la fin de la saison, je l’espère. Il faudra compléter les deux dernières lignes. »\n\nElodie Godin, capitaine de Bourges : « Après une demi-finale compliquée, on est allé chercher ce titre grâce à une défense irréprochable pendant 40 minutes. Quand on défend comme ça, qu’est-ce qui peut nous arriver ? Et pourtant, ce soir, on joue sans Isa (Yacoubou), sans Endy (Miyem), sans Alix (Duchet) qui sort sur blessure dès le deuxième quart-temps. C’est là où on voit le caractère de cette équipe. Il nous manquait du monde mais tout le monde est capable de prendre ses responsabilités, tout le monde se donne à fond. Je suis très fière de mon équipe. Ce soir, on va profiter de ce titre européen. C’est le première de ma carrière, à 36 ans, ça fait longtemps que je l’attendais. C’est extraordinaire. »\n\nOlivier Lafargue, coach de Bourges : « Notre défense a été extrêmement performante. Les filles, quand elles ont accroché quelque chose, elles n’ont plus voulu le lâcher. On est rentré dans leurs têtes, nous, le public, tout le monde. Ce titre, c’est le fruit de tout le travail individuel, collectif, d’un staff qui bosse tout le temps et qui essaie de mettre les joueuses dans les meilleures conditions pour pouvoir performer. Ramener une nouvelle coupe européenne, c’est magique. C’est l’aboutissement de deux ans de travail avec ce groupe, qui a réalisé des choses absolument fantastiques. Ce n’est pas parce qu’on a perdu à la dernière seconde l’année dernière que le travail effectué n’était pas fantastique. On a fait du très bon boulot, de l’excellent boulot, et on continue de le faire cette année. Mais on a encore faim. On va savourer, et quand il sera temps de basculer, on basculera pour aller chercher le reste. »\n\nAgnès Saint-Gès, présidente de Bourges : « Je suis très fière. Cette sixième coupe d’Europe représente beaucoup de choses pour la ville, pour le club : la continuité qu’on s’est engagé à mettre en place quand j’ai repris la présidence... On sort de deux ans de Covid. Avoir une salle comme on a eu avec plus de 4 400 personnes, c’est la fête qu’on voulait avoir. Le public a vraiment joué son rôle de 6e homme à fond. A 6 minutes de la fin, j’avais les larmes aux yeux. En début de saison, on s’est fixé l’objectif d’aller chercher les trois titres. On en a déjà un, et pas n’importe lequel, on va essayer d’aller en chercher un autre dans 15 jours (finale de la Coupe de France), ce sera déjà une autre étape. »\n\nÀ Bourges.\n\nPhoto : Bourges (FIBA)
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Bourges remporte l’Eurocup, son sixième titre européen, en écrasant Venise en finale !
Dans un Prado à guichets fermés, le Tango Bourges a remporté jeudi soir le sixième titre européen de son histoire, le premier depuis 2016, en dominant Venise de la tête et des épaules (74-38). Une finale historique, où le collectif d’Olivier Lafargue n’a encaissé que 38 points. Du jamais vu.\n\nHistorique. Le public du Prado rêvait d’un sixième titre européen, et il l’a eu. Et de quelle manière ! Après la Coupe Ronchetti en 1995, l’Euroleague en 1997, 1998 – à domicile – et 2001, et l’Eurocup en 2016, l’équipe d’Olivier Lafargue a remporté ce jeudi 7 avril le sixième trophée européen du club. Et celui-ci, les Berruyères ne l’ont pas volé. Reversées en Eurocup après vingt-six saisons d’affilée débutées en Euroleague, les Tango ont livré une campagne presque parfaite (18 victoires, 2 défaites), à l’image d’une finale sensationnelle, devant leurs supporters, où leur adversaire du soir, le Reyer Venezia, n’a jamais mené une seule seconde. Et inscrit seulement 38 petits points (74-38).\n\nA l’inverse de la demi-finale, les Tango rentraient parfaitement dans leur finale. Elles prenaient les commandes dès la première action, grâce à leur métronome offensive Elin Eldebrink, pour ne plus jamais la lâcher. L’hyperactive Sarah Michel enchaînait plusieurs interceptions, passes décisives et rebonds offensifs. De quoi prendre assez rapidement les devants (10-6, 5e). Mais grâce à leur énergie, les joueuses d’Olivier Lafargue dominaient surtout leurs adversaires défensivement : seulement 12 points encaissés et 5 pertes de balles provoquées dans le premier quart (17-12).\n\n\n9 points encaissés en deuxième mi-temps, du jamais vu !\n\nPuis est venu le show Iliana Rupert. Auteure de 15 points en première mi-temps à 7/9 aux tirs, l’internationale tricolore réussissait peu ou prou tout ce qu’elle entreprenait offensivement. De la même manière, Laetitia Guapo sanctionnait deux fois dans le corner derrière l’arc pour faire grimper l’avance à +11 (27-16, 13e).\n\nDépassées jusqu’alors, les Italiennes tentaient de se réveiller. Puis la blessure d’Alix Duchet, sortie sur blessure (genou), après un contact avec Yvonne Anderson, a paradoxalement galvanisé le Prado, qui sifflait désormais l’internationale serbe à chaque possession, et mettait la pression sur Venise. Un ultime tir de Sarah Michel permettait à Bourges de virer largement en tête à la pause (38-29).\n\n\nILIANA RUP3RT 🔥👀\n\n11 points in 11 minutes for @Iliana_rups...@BourgesBasket | #EuroCupWomen pic.twitter.com/wVI1Akgfv2\n\n— EuroCup Women (@EuroCupWomen) April 7, 2022\n\n\nEt ce ne fut que le début de la soirée de rêve des Tangos. Sur un nuage, Keisha Hampton inscrivait plusieurs paniers en déséquilibre. Offensivement, le récital continuait sans qu’aucune Italienne n’arrive à contenir le collectif berruyer. Mieux, les joueuses d’Olivier Lafargue ne concédaient que 5 petits points dans le troisième quart-temps (51-34).\n\nUne véritable forteresse, verrouillée à double tour. Pensez, à cheval sur les deux derniers quarts-temps, Bourges n’encaissait pas un seul panier pendant... 9 minutes (67-36). Debout, le Prado pouvait acclamer ses guerrières pendant les deux dernières minutes jusqu’au coup de sifflet final (74-38). Avec une certitude : une déculottée de la sorte en finale, il n’en reverra pas de sitôt !\n\n\nIliana Rupert élue MVP !\n\nMeilleure scoreuse de la finale avec 25 points (à 12/16 aux tirs), mais aussi 8 rebonds pour 30 d’évaluation et un +/- de +35, l’internationale tricolore Iliana Rupert fut logiquement élue MVP de la finale. Mais à voir cette démonstration collective, chacune aurait pu l’être ce jeudi soir. Y compris Sarah Michel (7 points, 8 rebonds, 7 passes, 6 interceptions), et même l’entraîneur Olivier Lafargue. Et la soirée de rêve ne fait que commencer...\n\n\nBuild Different 💯🇫🇷\n\n2020: @EuroLeagueWomen Young Player of The Year\n2021: @EuroLeagueWomen Young Player of The Year\n2022: #EuroCupWomen Final 4 MVP pic.twitter.com/p9r0aGaRdj\n\n— EuroCup Women (@EuroCupWomen) April 7, 2022\n\n\nÀ Bourges.\n\nBoxscore Bourges – Reyer Venezia / Revoir la rencontre\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=54n4h9aedsA\n\nPhoto : Bourges (FIBA)
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Battu par Bourges en demi-finale, Galatasaray décroche la 3e place de l’Eurocup féminine
Une heure avant la grande finale opposant Bourges à Venise, Galatasaray a pris la 3e place de la saison d’Eurocup 2021-2022 en prenant le dessus sur Mersin dans une petite finale 100 % turque au Prado (75-67).\n\nPour l’honneur. Toutes deux extrêmement proches de la finale après avoir mené largement en demie, les deux équipes turques de Mersin et Galatasaray s’affrontaient pour la 3e place de l’Eurocup ce jeudi après-midi. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’y a pas eu photo au Prado. Mersin, bourreau de l’ASVEL en quarts de finale – et abattu après sa défaite contre Venise -, n’a pas résisté à Galatasaray, l’équipe à deux doigts de faire tomber le Tango Bourges en demi-finale de son Final Four (75-67).\n\nUn 12-0 passé par les coéquipières de Kelsey Plum (16 points, dont 13 en première mi-temps) avait donné une première indication juste avant la pause (42-34). La seconde est survenue lors du troisième acte. Dès le retour des vestiaires, Mersin a été incapable d’inscrire le moindre panier pendant... 8 minutes sans pour autant que Galatasaray ne connaisse de baisse de régime en attaque (57-34, 28e). Si l’écart est tombé sous la barre des 10 points dans l’ultime minute, le matelas était trop épais pour pouvoir espérer revenir à hauteur.\n\n\n📊 24.7 PPG | 7.7 RPG | 5.2 APG\n🥉 #EuroCupWomen Third Place\n\nA magnificent campaign, finished in style for @KelseyPlum10. pic.twitter.com/pxprSQtedL\n\n— EuroCup Women (@EuroCupWomen) April 7, 2022\n\n\n\nLe public du Prado s’est chauffé avant la finale... à guichets fermés\n\nHormis sa scoreuse Kelsey Plum (16 points, 8 rebonds, 7 passes décisives), quatre autres joueuses de Galatasaray ont dépassé les 10 unités : Tina Krajisnik (13 points, 12 rebonds), Melis Gulcan (16 points), Kaela Davis (17 points, 7 rebonds) et Merve Aydin (10 points, 8 rebonds). Côté Mersin, seule Deanna Bonner (22 points, 13 rebonds) s’est montrée à la hauteur.\n\n2 000 personnes étaient présentes pour la petite finale. La finale sera jouera elle à guichets fermés (5 000 places) ce jeudi soir. Pour rappel, après avoir réalisé l’exploit de renverser Galatasaray en demi-finale, Bourges jouera sa finale face à Venise à 20 heures. Un match à suivre à la télévision sur Sport en France.\n\nÀ Bourges.\n\nBoxscore Galatasaray – Mersin / Revoir la rencontre ci-dessous\n\nPhoto : Galatasaray (FIBA)
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Euroleague : Objectif deuxième place pour le Real Madrid, Pablo Laso réaffirme qu’il a confiance en ses joueurs
La saison régulière d’Euroleague touche à sa fin mais rien n’est définitivement fixé pour le Real Madrid, qui peut encore finir deuxième, troisième ou quatrième. Confiant, Pablo Laso vise la meilleure place possible.\n\nAlors qu’il ne reste qu’un match à disputer pour le Real Madrid dans cette saison régulière d’Euroleague, tout peut encore bougé au classement. À savoir que si les hommes de Pablo Laso l’emportent face au Bayern Munich, il décrocheront la deuxième place. Mais s’il s’inclinent, ils pourraient finir troisième si Milan perd également, voire même quatrième si Milan gagne.\n\nUne chose est sûre, l’entraîneur du Real Madrid va tout faire pour que ses joueurs aillent chercher ce succès, synonyme de deuxième place. Pour autant, il juge que le fait de s’être qualifié et d’avoir sécurisé l’avantage du parquet en playoffs doit enlever un tant soit peu de la pression qui pèse sur les épaules des madrilènes. c-C’est du moins ce qu’il a confié dans des propos rapportés par Marca.\n\n« Je ne suis pas une personne orientée vers les résultats. Nous sommes dans un moment compliqué et difficile de la saison, mais nous nous sommes qualifiés pour les playoffs avec l’avantage du terrain et nous allons nous battre pour finir deuxième. [...] Dans le sport, quand on gagne, on a l’impression que tout va bien et quand on perd, on a des doutes. Si nous gagnons et que nous sommes deuxièmes, nos rivaux pourraient être le Maccabi, l’Anadolu Efes et Monaco et j’ai beaucoup de respect pour les trois. Je ne comprendrais pas une plus grande pression pour cette raison, car nous avons le facteur domicile assuré.\n\nLa question émotionnelle est toujours compliquée car chaque joueur est différent, encore plus dans une saison comme celle-ci qui a contraint toutes les équipes à des situations étranges de suspensions de matchs, de jouer quatre matchs en sept jours, avec de nombreuses blessures. Il y a des saisons où tout se passe bien et d’autres où c’est plus difficile. Mais mon niveau de confiance dans l’équipe est toujours le même du 1er septembre à la fin. Il y a peut-être des choses que j’aime plus et d’autres moins, mais je crois en tous mes joueurs. Par exemple, si Vincent Poirier ne marque pas 25 points et ne prend pas 15 rebonds, j’espère qu’il le fera, je vais continuer à croire en lui ! »Pablo Laso, entraîneur du Real Madrid\n\nPhoto : Pablo Laso (Euroleague)
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Mike James (Monaco) sur les playoffs d’Euroleague : «En tant qu’équipe, nous n’avons pas de pression»
Interrogé par l’Euroleague, Mike James a livré son point de vue sur les playoffs d’Euroleague, auxquels Monaco va se confronter prochainement, balayant l’idée d’une quelconque pression.\n\nQualifiée pour les playoffs d’Euroleague grâce à une seconde partie de saison régulière remarquable, l’AS Monaco est assurée de terminer en septième position et d’affronter l’Olympiakos ou le Real Madrid en quart de finale. Une grande première pour la Roca Team. Mike James, dans une interview accordée à l’Euroleague, s’est exprimé sur ce qui change en playoffs et sur l’impact que ça peut avoir sur certains joueurs, voire certaines équipes.\n\n« Honnêtement, je pense que ce qu’on vient de réaliser, c’est bon pour notre confiance. Mais en playoffs, tous les matchs, ça change. On se concentre un peu plus sur chaque joueur et sur les différents styles. Je pense que c’est juste une bonne chose que nous ayons gagné contre ces équipes parce que nous en avions besoin et c’est bon pour notre confiance et bon de savoir que nous pouvons gagner des matchs comme ça. Mais je pense qu’en playoffs, le jeu entier va changer.\n\nEn tant qu’équipe, nous n’avons pas de pression. Mais je pense qu’à l’approche des playoffs, certains joueurs ont toujours plus de pression que d’autres. Moi, en tant que personne, ne pas aller au Final Four n’est pas une bonne chose, pour mon statut dans la ligue et pour le très haut niveau auquel je souhaite jouer. Mais il est évident que les équipes qui ont l’avantage de jouer à domicile ont une plus grande pression. Il est probable que l’Anadolu Efes ait des attentes plus élevées, étant donné qu’il est le champion en titre. »Mike James, joueur de l’AS Monaco\n\nPhoto : Mike James (Euroleague)
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Contre Milan, Antoine Diot (Lyon-Villeurbanne) va disputer le 100ème match d’Euroleague de sa carrière
Pour son dernier match européen de la saison, l’ASVEL reçoit Milan. L’occasion pour Antoine Diot d’atteindre la barre des 100 rencontres disputées dans cette compétition.\n\nÉliminés de la course aux playoffs d’Euroleague depuis quelques temps maintenant, les joueurs de l’ASVEL Lyon-Vileurbanne vont tout de même avoir à coeur de terminer sur une bonne note. Pour leur dernier match européen de la saison, ils reçoivent Milan (coup d’envoi ce jeudi à 21 heures). Cette équipe, assurée de finir dans le Top 4 de la compétition et meilleure défense avec seulement 71,8 points encaissés par match, affiche de grandes ambitions et compte rééditer la même performance qu’au match aller, du moins au niveau du résultat. Pour rappel, les Milanais s’étaient imposés d’un point, sur un shoot décisif de Devon Hall, après avoir compté jusqu’à 16 unités de retard. Une défaite frustrante pour l’ASVEL, 73 à 72.\n\nMais au-delà du match, il y a un joueur de l’effectif de TJ Parker qui va « fêter » sa 100ème apparition lors d’un match d’Euroleague (dont 68 avec l’ASVEL), en la personne d’Antoine Diot. Il est le deuxième Villeurbannais à atteindre cette barre après James Gist et ses 297 matchs.\n\n\n📝 L'avant-match | Le contexte, l'adversaire, chiffre...\n\nL'avant-match LDLC ASVEL 🆚 @OlimpiaMI1936 ⤵\n\n✍ https://t.co/WgFykTDMXq#LDLCASVEL #EuroLeague pic.twitter.com/zarVeSaRIP\n\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) April 7, 2022\n\n\nPhoto : Antoine Diot (Infinity Nine Media)
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L’Euroleague Basketball lance une toute nouvelle application mobile pour toutes ses compétitions
Par le biais d’un communiqué, l’Euroleague Basketball a annoncé le lancement d’une nouvelle application permettant de suivre toutes les compétitions : Euroleague, Eurocup et même l’ANGT. On y retrouve des photos, des vidéos, des highlights, des articles et toute l’actualité de ces tournois.\n\nLe communiqué de l’Euroleague :\n\nLe plaisir de suivre les compétitions de basket-ball de l’Euroligue vient de devenir plus facile et plus dynamique avec le lancement de toutes nouvelles applications mobiles sur iOS et Android.\n\nLes fans de l’Euroligue Turkish Airlines, de l’EuroCup et de l’Adidas Next Generation Tournament pourront désormais voir les moments les plus fascinants, les images et les histoires de tous les matchs – au fur et à mesure qu’ils se déroulent – directement dans la paume de leur main.\n\nLes nouvelles applications sont conçues pour permettre aux fans de suivre l’action du match, qu’ils suivent des équipes d’EuroLeague qui tentent de devenir des champions continentaux, des équipes d’EuroCup qui tentent de les rejoindre, des équipes ANGT remplies d’étoiles montantes – ou les trois !\n\nLes nouvelles applications portent chaque compétition à un niveau supérieur grâce à un nouveau design dynamique, des fonctions de personnalisation pour les fans et une nouvelle expérience de jeu en direct enrichie par des statistiques en temps réel et des vidéos des meilleures actions, rendant l’action plus immédiate que jamais pour les fans.\n\nTout cela fait partie du projet de transformation numérique en cours de l’Euroleague Basketball visant à améliorer le plaisir du meilleur basket du continent pour les nouveaux fans comme pour les fans invétérés.\n\n« Nous sommes sûrs que les fans adopteront ces applications actualisées et tournées vers l’avenir qui apportent tout le dynamisme des matchs de l’EuroLeague, de l’EuroCup et de l’ANGT là où ils se trouvent à tout moment », a déclaré Alex Ferrer Kristjansson, directeur du marketing et de la communication de l’Euroleague Basketball. « L’expérience en jeu est la première réalisation de ces nouvelles applications, mais elles sont également prévues pour être flexibles de manière à nous permettre de continuer à nous adapter à ce que les fans veulent, saison après saison. »\n\nPour lancer les nouvelles applications, Euroleague Basketball s’est associé au leader du secteur, InCrowd, une agence basée au Royaume-Uni qui se concentre sur l’expérience numérique alimentée par les données et dont la liste de clients comprend la F1, l’UEFA, la FIFA, la Bundesliga, Sky Sports et bien d’autres.\n\nLes applications sont disponibles sur l’Apple Store et Google Play, respectivement, alors n’attendez pas. Téléchargez dès maintenant les nouvelles applications Euroleague Basketball et mettez-vous dans le bain comme jamais auparavant !\n\nPhoto : Euroleague
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FIBA Europe Cup : la finale opposera le Bahcesehir à Reggio Emilia
Vainqueurs de leur demi-finale respective, le Bahcesehir et Reggio Emilia s’affronteront en finale de la FIBA Europe Cup.\n\nLe Bahcesehir et Reggio Emilia s’affronteront lors de la finale de l’édition 2022 de la FIBA Europe Cup après avoir remporté leur demi-finale respective ce mercredi. La formation turque est parvenue à se défaire des Néerlandais de Leiden, avec deux victoires en deux rencontres et un score cumulé de 167 à 153, tandis que l’équipe italienne a rattrapé un déficit de deux points face aux Bakken Bears, pour finalement l’emporter 164 à 146 sur l’ensemble des deux matchs.\n\nÀ noter que cette finale se jouera au meilleur des deux manches, le match aller étant prévu à Bologne le 20 avril et le match retour à Istanbul le 27 avril.\n\n\nTwo teams. Just one trophy. 🏟️\n\n🇹🇷 @BKBasketbol ⚔️ @PallacReggiana 🇮🇹\n📅 April 20 @ 🇮🇹 | April 27 @ 🇹🇷\n\nWho will be crowned #FIBAEuropeCup Champions? 🏆\n\n— FIBA Europe Cup (@FIBAEuropeCup) April 6, 2022\n\n\nPhoto : FIBA Europe Cup
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Maillots collectors, tombola solidaire... Le Mans se mobilise pour soutenir l’Ukraine
Désireux de venir en aide aux populations ukrainiennes, Le Mans va faire gagner douze tenues officielles du club, aux couleurs de l’Ukraine, lors d’une tombola solidaire.\n\nCe samedi 9 avril, Le Mans va affronter Cholet avec un maillot aux couleurs jaune et bleue de l’Ukraine. Des tenues collectors qui seront dédicacées et qui seront à gagner par la suite, le club sarthois ayant décidé d’organiser une tombola au profit de La Croix Rouge, pour venir en soutien au peuple ukrainien, meurtri depuis le début de l’invasion des troupes russes.\n\nToutes les informations dans le communiqué du club :\n\nLa Croix-Rouge française, comme plusieurs autres associations, a lancé un appel à dons dès le début du conflit en soutien aux populations ukrainiennes, en coordination avec l’ensemble des acteurs du Mouvement International de la Croix-Rouge et du Croissant Rouge, en Ukraine et dans les pays voisins de l’Ukraine.\n\nLe Mans Sarthe Basket, avec l’aide de son équipementier SKILLS, souhaitait participer à ce mouvement de solidarité, et a décidé d’organiser une tombola au profit de La Croix Rouge avec en lots exceptionnels les douze tenues officielles collectors qui seront portées lors du match MSB/Cholet Basket programmé ce samedi 9 avril à 15h15 à la salle Christian Baltzer. Ces tenues sublimées, qui seront exceptionnellement aux couleurs jaunes et bleues de l’Ukraine, ont été fabriquées en France par SKILLS sur du polyester 100% issu de bouteilles plastiques et plastiques recyclés.\n\nL’intégralité des sommes récoltées lors de la tombola sera reversée à La Croix Rouge. Dès aujourd’hui et jusqu’au mercredi 20 avril, les supporters du MSB auront la possibilité d’acheter un ou plusieurs billets de tombola à 10€ sur la Boutique en ligne, à la Boutique Officielle à Antarès le soir du match, ou encore au siège du club.\nUn tirage au sort permettra de désigner les douze gagnants qui recevront chacun un maillot et un short dédicacés par les joueurs du MSB.\n\nParce que nous devons tous faire face à une crise exceptionnelle aux portes de l’Europe, les joueurs participeront à cette tombola pour montrer l’exemple.\nGrâce à votre générosité, nous pourrons répondre de manière concrète aux besoins humanitaires sur place, venir en aide aux personnes touchées par cette guerre, et intervenir sur le long terme, pour accompagner et reconstruire. Faites un don.\n\nLe MSB vous remercie par avance pour votre générosité et votre solidarité.\n\n\n🇺🇦 Une tenue spéciale pour l'Ukraine 🙏\n\nÀ l'occasion du derby contre @CB_officiel ce samedi, les joueurs porteront une tenue spéciale aux couleurs de l'Ukraine avec l’aide de son équipementier @Skills_Fr 🔵🟡\n\n➕d'infos : https://t.co/VNHSgT2YQl pic.twitter.com/6uH8SYy0r7\n\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) April 7, 2022\n\n\nPhoto : MSB
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Pour la finale de l’Eurocup féminine, Sarah Michel veut que Bourges fasse parler «le coeur, les tripes, la tête»
Après avoir réalisé l’exploit de renverser Galatasaray en demi-finale, Bourges enchaîne avec la finale, ce jeudi, face à Venise. Un match qui ne va pas se jouer uniquement sur le niveau basket selon Sarah Michel.\n\nBourges n’est plus qu’à une victoire de soulever le trophée de l’Eurocup féminine. Pour cela, il va falloir que les Tango l’emportent face à Venise, deux jours seulement après leur demi-finale héroïque contre Galatasaray (69 à 67). Dans un entretien accordé à Le Berry Républicain, Sarah Michel a livré ses impressions quant à ces deux rencontres. La vice-capitaine du Bourges Basket martèle l’importance de l’envie et de l’état d’esprit, deux éléments cruciaux qui pourraient faire basculer cette finale en faveur des joueuses d’Olivier Lafargue.\n\nC‘est vrai qu’on ne s’était pas mises dans une situation très simple... C’était compliqué, mais on savait qu’on ne lâcherait rien jusqu’au bout. On est restées assez sereines malgré les 13 points d’écart. Mais ça relève un peu de l’exploit, oui. Sur des matchs couperets comme celui-là, c’est l’état d’esprit, l’envie, la cohésion, le cœur que l’équipe met dans ce qu’elle fait qui comptent. Dans des demi-finales ou finales, c’est le cœur, les tripes, la tête qui parlent.\n\nOn s’est sorties de cette demi-finale sans avoir beaucoup mené. Mais on s’en est tirées. On a envie d’aller au bout. Mais on sait que ça ne va pas être simple ; Venise est une belle équipe qui a sorti Mersin en demi-finale. Le temps entre les deux matchs est très court, il faut retrouver de la fraîcheur. On va mettre en place des choses défensivement, et offensivement. Mais la finale ne va pas se jouer sur le basket pur, ce sera plus sur l’état d’esprit.Sarah Michel, joueuse de Bourges\n\nCoup d’envoi de cette finale, ce jeudi à 20 heures. Un match à suivre sur Sport en France.\n\nPhoto : Sarah Michel (Eurocup féminine)
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Pro B : Sebastian Machowski n’est plus l’entraîneur de l’Elan Chalon !
Arrivé l’été dernier, l’entraîneur allemand Sebastian Machowski paie cash la série noire de l’Elan Chalon.\n\nCinq défaites sur les six derniers matchs, dont une à l’importance colossale dans un duel importantissime en vue de la montée face à Saint-Chamond, et voilà que Sebastian Machowski vient d’être remercié par l’Elan Chalon. Une décision qui a été rendue officielle par le biais d’un communiqué, dans lequel il est précisé que c’est Maxime Pacquaut qui va assurer l’intérim, à commencer lors de la réception d’Évreux ce samedi.\n\nEn attendant de trouver un nouvel entraîneur, l’Elan Chalon, actuel troisième de Pro B avec 17 victoires et 10 défaites, vise toujours une remontée en première division.
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Euroleague : tous les scénarios possibles pour les playoffs, avec une affiche déjà connue
Alors que la saison régulière d’Euroleague touche à sa fin, la suite de la compétition commence à se dessiner. On sait notamment que trois des huit équipes qualifiées pour les playoffs ne bougeront plus des places auxquelles elles sont actuellement.\n\nFC Barcelone contre Bayern Munich. La toute première affiche connue de ces playoffs d’Euroleague n’est autre que celle entre le vainqueur de la saison régulière et le huitième. À la suite de la défaite de la formation allemande contre l’Anadolu Efes, ce mercredi soir, ces deux équipes sont sûres, de par leur bilan respectif, de ne plus changer de place d’ici la fin de la saison.\n\nCe même match a également verrouillé la septième place de l’AS Monaco. Les joueurs de Sasa Obradovic, qui a d’ailleurs été prolongé pour la prochaine saison à la tête de la Roca Team, affronteront donc le deuxième de la saison régulière pour leur toute première participation aux playoffs d’Euroleague. Ce sera donc, soit l’Olympiakos, soit le Real Madrid.\n\nTous les scénarios possibles d’ici la fin de la saison régulière d’Euroleague (chaque équipe n’a plus qu’un match à disputer, sauf le Maccabi Tel-Aviv, à qui il en reste deux) :\n\n * FC Barcelone (21-6)\n\nA décroché la première place et affrontera le Bayern Munich en quart de finale.\n\n * Olympiacos Piraeus (19-9)\n\nFinira 2ème si : défaite du Real Madrid pour son dernier match.\nFinira 3ème si : victoire du Real Madrid et défaite de Milan ou si victoires de Milan et Madrid.\n\n * Real Madrid (18-9)\n\nFinira 2ème si : victoire pour son dernier match contre le Bayern Munich.\nFinira 3ème si : défaite pour son dernier match contre le Bayern Munich et défaite de Milan.\nFinira 4ème si : défaite pour son dernier match contre le Bayern Munich et victoire de Milan.\n\n * AX Armani Exchange Milan (18-9)\n\nFinira 3ème si : victoire pour son dernier match contre l’ASVEL et défaite du Real Madrid.\nFinira 4ème si : défaite pour son dernier match contre l’ASVEL et victoire du Real Madrid.\n\n * Anadolu Efes Istanbul (16-11)\n\nFinira 5ème si : victoire pour son dernier match contre l’Étoile Rouge de Belgrade ou si le Maccabi Tel-Aviv perd au moins une fois.\nFinira 6ème si : défaite pour son dernier match contre l’Étoile Rouge de Belgrade et le Maccabi Tel-Aviv gagne ses deux derniers matchs.\n\n * Maccabi Playtika Tel Aviv (15-11)\n\nFinira 5ème si : deux victoires pour ses deux derniers matchs et défaite de l’Anadolu Efes.\nFinira 6ème si : au moins une défaite pour ses deux derniers matchs et victoire de l’Anadolu Efes.\n\n * AS Monaco (14-13)\n\nA décroché la 7ème place et affrontera la 2ème meilleure équipe (Olympiakos ou Real Madrid).\n\n * FC Bayern Munich (13-14)\n\nA décroché 8ème place et affrontera le FC Barcelone en quart de finale.
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Ergin Ataman confirme la possibilité d’un retour à la tête de la sélection turque
L’actuel entraîneur de l’Anadolu Efes s’est exprimé sur la possibilité de (re)prendre les rênes de l’équipe nationale turque.\n\nAlors que la Fédération turque de basket a officiellement mis fin au contrat d’Orhun Ene et qu’un nouvel entraîneur est attendu à la tête de l’équipe nationale de Turquie, le nom d’Ergin Ataman revient avec insistance. À 56 ans, celui qui a déjà été appelé à la tête de la sélection turque, entre 2014 et 2016, pourrait-il vraiment envisager un retour à ce poste ? Interrogé à ce propos après la victoire de l’Anadolu Efes contre le Bayern Munich en Euroleague (81 à 76), ce mercredi soir, Ergin Ataman a acquiescé.\n\n« Il n’y a pas encore d’offre concrète mais il est vrai que nous allons rencontrer des responsables de la fédération dans les prochains jours. Il y a certainement une possibilité que la coopération se fasse. »Ergin Ataman, entraîneur de l’Anadolu Efes et candidat au poste d’entraîneur de l’équipe nationale de Turquie\n\nPhoto : Ergin Ataman (Euroleague)
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Eurocup : un huitième de finale face à Venise pour Boulogne-Levallois
Qualifiés pour les playoffs d’Eurocup, les Metropolitans 92 vont affronter Venise en huitième de finale.\n\nLa saison régulière de l’Eurocup ayant pris fin ce mercredi, le tableau des phases à élimination directe a été dévoilé. Et Boulogne-Levallois, dernier représentant français dans cette compétition, de tomber, pour son huitième de finale, face à Venise. La formation italienne, qui a terminé sixième du groupe B, va devoir se déplacer sur le parquet des Metropolitans 92, qui ont pour rappel décroché l’avantage du terrain en terminant la phase de groupes à la troisième place (avec un bilan de 11 victoires pour 5 défaites.\n\nPour rappel, le format de l’Eurocup a changé et les 16 équipes encore en lice vont désormais s’affronter dans des phases à élimination directe, sur un seul et unique match. Les huitièmes de finale se tiendront les 19 et 20 avril prochains.\n\nLe tableau complet :\n\nPhoto : Venise (Eurocup)
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Eurocup : Boulogne-Levallois bat le Lietkabelis et termine troisième de son groupe, Vincent Collet «très heureux»
Les Metropolitans 92 ont terminé cette phase de groupes en beauté, avec une prestigieuse victoire contre le Lietkabelis (76 à 69).\n\nBoulogne-Levallois contre le Lietkabelis Panevezys. Un duel d’Eurocup entre deux équipes qui affichaient le même objectif, à savoir terminer à la troisième place du groupe A, et qui a tenu toutes ses promesses. Ce match, accroché de bout en bout, se sera joué dans le dernier quart-temps. Et les Metropolitans 92 ont pu compter sur un Will Cummings performant (22 points pour 26 d’évaluation) et un Vince Hunter bondissant (19 points), qui a claqué quatre dunks au milieu du dernier acte, pour se détacher au score. Et même s’il leur a fallu batailler jusqu’au bout, les hommes de Vincent Collet sont allés chercher cette victoire (leur huitième sur leur neuf derniers matchs), sur le score de 76 à 69.\n\nRésultat, Boulogne-Levallois termine à la troisième place du groupe A, avec un bilan de 11 victoires et 5 défaites et jouera à domicile lors des huitièmes de finale. De quoi satisfaire Vincent Collet et Will Cummings, qui se sont exprimés après la rencontre.\n\n« Un très bon joueur de chez nous a été éjecté et l’équipe jouait plus ensemble, se battait. Nous avons augmenté notre intensité et obtenu quelques interceptions pour faire la différence dans les deux dernières minutes. Mais je suis très fier de ce que l’équipe a fait. C’est une victoire pour laquelle nous avons dû nous battre, car c’est une très bonne équipe qui avait le même objectif que nous, donc nous en sommes très heureux. »Vincent Collet, entraîneur de Boulogne-Levallois\n\n« Je suis fier de mon équipe, nous sommes vraiment sortis et nous nous sommes battus. Nous sommes restés ensemble et avons produit de bonnes séries à la fin. »Will Cummings, meneur de Boulogne-Levallois\n\nPhoto : Vince Hunter (Eurocup)
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BCL – Quart de finale : Strasbourg a «pris une claque» sur le parquet de l’Hapoel Holon
Pendant presque 40 minutes, la SIG Strasbourg a couru derrière le score, jusqu’à s’incliner, inexorablement, contre l’Hapoel Holon (93 à 75). Les joueurs de Lassi Tuovi sont désormais dos au mur.\n\nSur son parquet, l’Hapoel Holon est parvenu à avoir la main sur le score pendant la quasi-totalité de ce premier match en quart de finale de Basketball Champions League, face à une SIG Strasbourg trop juste. Trop juste pour faire meilleure figure, trop juste pour que ses efforts soient récompensés, trop juste pour que ses séries et ses coups d’accélérateur lui permettent de faire chuter un adversaire coriace. Et ce malgré les 18 points de Matt Mitchell, les 16 unités de Kameron Taylor ou encore les 12 points et 9 rebonds de Yannis Morin.\n\nCar s’il y a bien un symbole de la domination de l’équipe israélienne, c’est Joe Ragland. Quelques minutes seulement après avoir posé avec son trophée de MVP du mois de mars en Basketball Champions League, le meneur américain a récité son basket, terminant le match en double-double avec 12 points inscrits et 12 passes décisives délivrées. Le tandem Chris Johnson (18 points et 9 rebonds) – Michale Kayser (15 points et 7 rebonds) termine avec 46 d’évaluation, 23 chacun, soit la meilleure marque d’une soirée par la victoire de l’Hapoel Holon. Score final : 93 à 75.\n\nPour espérer rallier le Final Four de la Basketball Champions League, les Strasbourgeois vont devoir l’emporter par deux fois face à ce même adversaire. Car s’ils s’inclinent, au terme du prochain match qu’ils disputeront à domicile, le 12 avril prochain, ils quitteront la compétition. Présents en conférence de presse d’après-match, Lassi Tuovi et Gaylor Curier ont livré leurs premières impressions sur cette large défaite concédée en terres israéliennes.\n\n« Quand une équipe mène pendant 39 minutes et 31 secondes, elle mérite de gagner le match. Ils étaient plus énergiques, plus humbles et ont nié toutes nos forces. Nous n’étions pas au niveau pour gagner ce match, c’était le fait aujourd’hui. Le prochain match est dans six jours, nous devons être prêts pour cela. Ce que nous devons changer ? Notre préparation. Quand vous regardez notre premier quart-temps, vous ne savez absolument pas ce que nous avions préparé pour ce match, nous avions peur et nous étions passifs. Et la personne que l’on pointe du doigt dans ces cas-là, c’est le coach. J’en assume la responsabilité. Et puis, nous devons nous aligner au niveau de la compétition. Maintenant, les dés sont jetés, nous devons être prêts à nous battre d’entrée de jeu. »Lassi Tuovi, entraîneur de la SIG Strasbourg\n\n« On a pris une claque, c’est tout ce que je peux dire. Nous n’étions pas prêts physiquement pour ce type d’intensité. Peut-être pas physiquement. Mentalement, nous n’étions pas prêts à relever ce défi physique, d’autant plus qu’ils se sont nourris de l’énergie que leur public leur a transmis. D’autant plus que pour beaucoup, c’était la première fois qu’on jouait à ce niveau donc il y avait un peu de tension. Mais maintenant nous savons ce qu’il faut faire, nous sommes impatients de jouer à domicile. Je ne suis pas vraiment inquiet, je connais mes coéquipiers, on va rebondir. »Gaylor Curier, SIG Strasbourg\n\nPhoto : Lassi Tuovi (Basketball Champions League)
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Spécial Salaires Pro B 2021-22 : Denain fait bien avec peu, Évreux très bien avec très peu
Comment réaliser une bonne saison tout en ne disposant d’une masse salariale du troisième tiers de la division ? En recrutant malin, en bâtissant un collectif soudé et, en ce qui concerne Denain et Évreux, en s’appuyant sur des arguments diamétralement opposés ! Si le premier privilégie la défense et le second l’attaque, les deux clubs exploitent au mieux leurs petits moyens.\n\nÉquipe par équipe, au quotidien, et par ordre alphabétique, Basket Europe sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B, dont voici le quatrième épisode.\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année en vous abonnant.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nDenain : la Divine surprise\n\nBudget annoncé : 1 908 000 € (11e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 621 500 € (14e)\nClassement (au 7 avril) : 11e (12 victoires – 14 défaites)\n\n2020-21 a été une année exceptionnelle pour l’ASC Denain Voltaire. Avec la 15e masse salariale de la division, le club a réussi l’exploit de terminer 5e de la saison régulière (21 victoires pour 13 défaites). Autant dire que faire aussi bien au cours du nouvel exercice risquait de se révéler difficile, même si le club a réussi à augmenter budget et masse salariale.\n\nEt le début de saison n’a pas été à la hauteur des espérances, avec un meneur (James Washington) remercié après une campagne de Leaders Cup très moyenne, remplacé par un Myles Mack qui n’a pas réussi à redresser la barre. Au bout de 17 journées, Denain cumulait 6 victoires pour 11 défaites. Depuis, Mack est parti et a été remplacé par Divine Myles. Un changement qui a imposé un effort financier à l’ASCDV (Myles est mieux payé que Mack) mais qui s’est révélé rentable : depuis son arrivée, Denain a enregistré 5 victoires pour 3 défaites, remontant à la 12e place.\n\nPour le reste, avec ses petits moyens, Denain n’a pu recruter que des joueurs au CV modeste ou des jeunes prometteurs, notamment Clément Frisch. Le tout pour des sommes modiques : le joueur le mieux payé de l’effectif, David Efianayi, n’est que le 44e salaire de Pro B et les deux suivants (Milanovic et Payen-Boucard) les 83e et 98e salaires.\n\nDès lors, Rémy Valin (5e coach le mieux payé de Pro B) n’a eu d’autre choix que de tout miser sur la défense : si l’équipe possède la dernière attaque de la division (73,4 points marqués), elle est aussi sa première défense (74,3 points encaissés). Ce qui n’empêche pas l’Américano-Nigérien David Efianayi de figurer au sixième rang des marqueurs de Pro B.\n\nAutre spécificité nordiste, si les cinq joueurs majeurs de l’effectif (Divine Myles, David Efianayi, Guillaume Payen-Boucard, Milan Milanovic et Clément Frisch, soit les quatre plus gros salaires mensuels et un Frisch tenant ses promesses) affichent entre 11,4 et 13,8 d’évaluation, leurs remplaçants tournent à 7,3 d’évaluation ou moins, mais le mieux payé d’entre-eux, Rigo Edzata, n’émarge qu’à 38 000 €, les quatre autres joueurs du banc gagnant entre 20 000 et 33 000 €.\n\nDes joueurs rentables, donc, qui permettent à l’ASC Denain Voltaire de réaliser une saison peut-être moins brillante que la précédente mais tout de même au-dessus de ce que le classement des masses salariales aurait pu laisser penser.\n\n\nLes salaires de Denain\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22David Efianayi2USA/NIG202352 000,00 €Milan Milovanovic5SRB9 mois42 000,00 €Guillaume Payen-Boucard3-4CAN202239 000,00 €Rigo Edzata4-5RDC202238 000,00 €Matthieu Missonnier2-1FRA202233 000,00 €Divine Myles1USA/KOS5 mois25 000,00 €Quentin Losser5-4FRA202225 000,00 €Armand Mensah1-2FRA202225 000,00 €Clément Frisch4-3FRAprêt (2022)24 000,00 €Florian Pouaveyoun3-4FRA202220 000,00 €Soriah Bangura4-5FRA5 mois15 000,00 €Myles Mack1USA/HON(4 mois)15 000,00 €James Washington1USA(2 mois)10 000,00 €Martins Igbanu5NIG(2 mois)8 000,00 €CoachRémy ValincoachFRA202360 000,00 €\n\n\nÉvreux : un rapport qualité-prix haut de gamme\n\nBudget annoncé : 1 704 000 € (16e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 600 500 € (17e)\nClassement (au 7 avril) : 6e (15 victoires – 12 défaites)\n\nÉvreux réalise une saison bien au-dessus des attentes, notamment après un exercice précédent mitigé (12e avec 16 victoires pour 18 défaites). Certes, l’ALM a haussé sa masse salariale de plus de 50 000 € (545 000 € en 2020-21), mais ce montant ne place plus le club qu’en 17e place de Pro B au lieu de 16e l’année passée.\n\nDans ces conditions, remporter la Leaders Cup Pro B, le premier titre de l’histoire du club – en disposant tout de même de Nancy en finale – et se retrouver en position de jouer les playoffs – malgré l’assurance d’en être grâce au titre – est remarquable. Et le coach Neno Asceric (9e salaire des coachs de Pro B), n’y est pas pour rien, lui qui a instillé un jeu tourné vers l’attaque : 17e défense de Pro B (82,0 points encaissés), l’ALM est la deuxième attaque du championnat (84,5 points).\n\nPour obtenir ce rendement, coach Asceric a su recruter malin, même si Andreja Stevanovic n’a jamais su s’adapter à la Pro B. En revanche, Marquis Jackson et Djordje Milosevic (tous deux 84e salaire de Pro B) ont tiré l’équipe vers le haut : ils sont respectivement 3e et 6e de Pro B à l’évaluation ! Un sacré rapport qualité-prix, donc.\n\nMieux encore, si les deux autres joueurs à toucher 40 000 €, Fabien Paschal et Julius Kazakauskas, se montrent précieux, l’ALM a tiré le gros lot avec le bondissant Shekinah Munanga, 154e salaire de Pro B et auteur de 11,6 d’évaluation. Ce qui compense la blessure avant même le début de saison de Thibaut Daval-Braquet et celle en cours de saison d’Antoine Wallez. Plus généralement, Évreux a réussi à très bien partager les responsabilités, 6 joueurs émargeant à plus de 10 d’évaluation (sans compter Antoine Wallez, out pour la saison).\n\nÀ noter, Bangaly Fofana, qui a touché jusqu’à 160 000 € en Pro A, en 2017-18, se contente aujourd’hui d’un salaire, porté sur l’année, de 60 000 €. Ce qui ne l’empêche pas de se montrer performant sur un petit temps de jeu (8,4 d’évaluation en 15 minutes). En bref, Évreux a réussi un recrutement très astucieux, qui lui permet d’avoir de belles ambitions à tout petit prix.\n\n\nLes salaires d’Évreux\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22Djordje Milosevic2-3SRB202242 000,00 €Marquis Jackson1-2USA202242 000,00 €Fabien Paschal5FRA202240 000,00 €Julius Kazakauskas4LTN202240 000,00 €Antoine Wallez4-5FRA202238 000,00 €Thibault Daval-Braquet5FRA202330 000,00 €Bangaly Fofana5FRA6 mois30 000,00 €Shekinah Munanga3-4RDC202225 000,00 €Tommy Ghezala1FRA202325 000,00 €Dimitri Radnic2-1FRA202220 000,00 €Paolo Marinelli2CRO6 mois20 000,00 €Andreja Stevanovic2SRB(4 mois)12 000,00 €Armel Traoré3FRAprêt (4 mois)8 000,00 €Javion Hamlet1-2USA(1 mois)3 000,00 €CoachNeno AscericcoachSRB/AUT202354 000,00 €\n\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\n\nPhoto d’ouverture : Denain (photo Denain Voltaire/Pascal Thurotte) – Shekinah Munanga – Évreux (photo ALM Évreux/Sabine de Leest) – Montage Basket Europe\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n\nDenain : la Divine surprise\n\nBudget annoncé : 1 908 000 € (11e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 621 500 € (14e)\nClassement (au 7 avril) : 11e (12 victoires – 14 défaites)\n\n2020-21 a été une année exceptionnelle pour l’ASC Denain Voltaire. Avec la 15e masse salariale de la division, le club a réussi l’exploit de terminer 5e de la saison régulière (21 victoires pour 13 défaites). Autant dire que faire aussi bien au cours du nouvel exercice risquait de se révéler difficile, même si le club a réussi à augmenter budget et masse salariale.\n\nEt le début de saison n’a pas été à la hauteur des espérances, avec un meneur (James Washington) remercié après une campagne de Leaders Cup très moyenne, remplacé par un Myles Mack qui n’a pas réussi à redresser la barre. Au bout de 17 journées, Denain cumulait 6 victoires pour 11 défaites. Depuis, Mack est parti et a été remplacé par Divine Myles. Un changement qui a imposé un effort financier à l’ASCDV (Myles est payé...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
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Finale Eurocup féminine : Venise, du solide pour Bourges
Bourges a tout à craindre de Venise en finale de l’Eurocup. Les Italiennes sont revenues aussi du Diable Vauvert...\n\nEn demi-finale, Umana Reyer Venise a mis à terre le CBK Mersin (85-80) après avoir compté un retard se chiffrant à 16 points. Un vigoureux 19-4 a permis à l’équipe italienne de se relancer. C’est en prenant soin du ballon -10 turnovers contre 18 aux Turques- qu’elle a pu sortir Mersin, qui faisait figure de favori pour le trophée\n\n« Les filles ont été des lionnes, elles méritent un énorme bravo. C’était un grand match, elles ont peut-être joué l’un des meilleurs matchs de leur vie et elles doivent être fières de ce qu’elles ont accompli. J’ai vraiment de la chance de pouvoir faire partie de ce groupe et de travailler avec elles : c’est un grand privilège pour moi et pour tout le monde, » a commenté le coach Andrea Mazzon.\n\nVenise s’est appuyé sur un trio d’étrangères dont deux sont bien connues au niveau international. 1) La meneuse américano-serbe Yvonne Anderson (1,75m, 32 ans, 25 points, 9 passes), 1) la pivot espagnole Astou Ndour (1,98m, 27 ans, 18 points, 7 rebonds) et 3) l’ailière américaine Kayla Thornton (1,85m, 29 ans, 24 points, 5 rebonds). Dans le passé, Anderson et Ndour ont déjà fait souffrir les internationales françaises avec leur équipe respective.\n\nUmana Reyer a disputé cette saison en Euroleague, terminant 6e dans le groupe de Lattes-Montpellier. C’est aussi le principal concurrent à Schio dans le championnat national : 17 victoires et 2 défaites contre 22-0. C’est aussi une équipe qui a une revanche à prendre puisqu’elle a été battue en finale de cette Eurocup en 2018 et en 2021.\n\nLa finale est diffusée ce soir, à partir de 19h50, sur Sport en France.\n\nUn incident s’est produit lors de la demi-finale. Un supporter turc a jeté une bouteille d’eau sur le terrain au moment où Astou Ndour était sur la ligne des lancers-francs. Heureusement, sans atteindre quiconque.\n\n\nEsto es LAMENTABLE 🤬\n\nUn aficionado lanza una botella a Astou Ndour en unos tiros libres.\n\nLa afición del Cukurova ha demostrado ir en contra de los valores del baloncesto más de una vez. pic.twitter.com/wlwUKrlckW\n\n— Manu Fresno (@Maanuf96) April 5, 2022\n\n\nPhoto : Yvonne Anderson (FIBA)
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Anton Ponkrashov ou l’expérience d’un joueur russe en Iran
Ancien joueur du CSKA Moscou et d’autres clubs de son pays, le Russe Anton Ponkrashov (2,00m, 35 ans) a été champion d’Europe en 2007, et il a gagné le bronze aux Jeux olympiques de 2012 et à l’EuroBasket 2011. Il a la particularité de jouer en Iran et il témoigne de son expérience à Sports.\n\nAnton Ponkrashov donne des précisions sur le statut des étrangers dont l’un des meilleurs est l’ancien Limougeaud, Jerome Randle.\n\n« Seuls deux étrangers par équipe sont autorisés en Iran. Mon rôle est très différent de ce qu’il était dans le Championnat de Russie : ici, il faut non seulement organiser, mais aussi marquer des points. Fondamentalement, l’attaque est construite autour de moi, de sorte que je crée par moi-même et je marque des points par moi-même. J’ai un rôle que les étrangers jouent habituellement dans la VTB League; ils nous amènent une personne qui doit marquer 30 points. Ainsi, à l’âge de 35 ans, j’ai essayé le rôle d’un étranger. »\n\nAux dires de Ponkrashov, on sent que l’arbitrage est spécial en Iran.\n\n« C’est très différent. Mon partenaire serbe Nikola Dragovic est moins patient, je suis plus détendu à ce sujet, car j’ai souvent beaucoup joué dans la rue, les décisions injustes ne provoquent pas chez moi d’émotions particulièrement fortes. Le niveau est différent : il y a ceux qui arbitrent bien, il y a ceux qui vous laissent jouer durement. Ils jouent toujours dur contre moi, « un si beau gars de Russie est venu », c’est une motivation supplémentaire pour tout le monde. Dans tous les matches, il y a des exclusions, des scandales et des réclamations. Tout le monde a le sentiment d’être traité injustement. Mais je n’ai remarqué aucun jeu sale pendant six mois. »\n\nA propos des salaires et du niveau de vie des basketteurs, le Russe note :\n\n« Vous devez comprendre que tout n’est pas si beau et fabuleux en Iran. Il y a une forte stratification entre les riches et les pauvres, et il y a pas mal de joueurs issus des classes pauvres. Le basket-ball pour eux n’est pas seulement une lutte pour des victoires, non seulement une opportunité de se défoncer, mais aussi un moyen de se nourrir et de nourrir leur famille. Dans mon équipe, cela se voit clairement. Il y a quelques personnes issues de familles pauvres, et pour elles le basket est une chance d’avoir une vie meilleure. Je ne parlerai pas en chiffres. Je ne sais pas quel est leurs salaires. Cela ne m’a jamais intéressé et, en principe, le monde n’est pas construit autour de l’argent. »
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Axel Toupane (Paris Basketball) honoré par le prestigieux magazine Forbes France
Comme chaque année, Forbes France propose de découvrir 30 pépites du paysage entrepreneurial français et parmi celles-ci figure l’international du Paris Basketball, Axel Toupane.\n\nIl s’agit de la 6e édition du palmarès 30 Under 30 qui dévoile la nouvelle génération de leaders, d’artistes ou encore de sportifs qui révolutionnent leurs secteurs respectifs.\n\n« C’est un honneur de pouvoir représenter mes pairs dans un classement si prestigieux, et de pouvoir montrer qu’on est plus que de simple athlète. Cela vient récompenser tout ce que j’entreprends en dehors des terrains depuis maintenant 5 ans : Les Prochains LeadersDEIMOS et Heex Technologies.🚀, » écrit Axel Toupane sur les réseaux sociaux.\n\nEn sus de sa carrière de joueur, l’ancien NBAer a suivi des cursus à SDA Bocconi, HEC Paris, et à l’Emylon Business School.\n\nPhoto : Thomas Savoja
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Eurocup féminine : La finale Bourges-Venise demain sur Sport en France
Ce n’est que dans la dernière ligne droite que la finale de l’Eurocup féminine a trouvé un diffuseur, qui est Sport en France.\n\nPas besoin de suivre le match sur le Youtube de la FIBA avec des commentaires (peu enthousiastes) en anglais, la finale Tango Bourges Basket vs Reyer Venise sera diffusée, demain, à partir de 19h50 sur Sport en France. Un choix logique étant donné la performance sportive de l’équipe du Cher, qui de plus va bénéficier du support de son public du Prado.\n\nLes commentaires seront assurés par Lukas Nicot et Frédéric Weis.\n\n\n🚨LA FINALE DE BOURGES SUR SPORT EN FRANCE!\n\nCe jeudi à 19H50, vivez la finale de l'EuroCup en direct depuis le Prado 🌋 A domicile @BourgesBasket est à 40 minutes d'un nouveau sacre 🏆\n\nMerci à @ffbasketball & @Agence_du_Sport pour leur soutien\n\n🎙️@Bigfredstyle @LukasNicot pic.twitter.com/9Xepj2rU81\n\n— Sport en France (@sport_en_france) April 6, 2022\n\n\nPhoto : FIBA
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Cédric Heitz (coach Champagne Basket) : «On a beau donner le maximum, on n’est pas payé de nos efforts»
Face à Monaco, une équipe du top 8 de l’Euroleague, le Champagne Basket n’a pas tenu la distance (90-107). Son coach, Cédric Heitz, et son meneur Dustin Ware ne veulent pas pur autant douter. Le prochain match à Gravelines sera loud d’enjeu.\n\nCédric Heitz, coach du Champagne Basket : « Toujours la même déception, celle de la défaite. On a beau donner le maximum, on n’est pas payé de nos efforts pour diverses raisons. Ce soir la première mi-temps est aboutie. On marque 90 points contre Monaco, qui est l’une des meilleures équipes d’Europe. Derrière malheureusement on peut dire ce qu’on veut, mais on rate 3 tirs ouverts, des layups. Dès qu’on a plus la capacité de marquer, c’est compliqué. On a proposé une défense virile face à un ogre. On peut se regarder dans le miroir quand on voit nos matchs face à Boulogne-Levallois et Monaco. On a un match qui arrive très vite et on n’a pas de blessé c’est important. »\n\nDustin Ware, meneur du Champagne Basket : « Évidemment Monaco est une très bonne équipe. Avec des bons atouts offensifs et défensifs. Le début du troisième quart temps a été difficile. Ils ont été très agressifs. Malheureusement, nous n’avons pas été en mesure d’égaler leur intensité et c’est quelque chose sur quoi nous devons nous concentrer pour aller de l’avant. Mais je pense que nous avons réalisé beaucoup de bonnes choses. De toute évidence, il faut continuer à être combatif de la sorte. Je pense qu’au cours des derniers matchs, c’est quelque chose qui a augmenté chez nous et nous allons continuer. »\n\nPhoto : Cédric Heitz (Jacques Cormarèche)
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Sasa Obradovic sera de nouveau le coach de Monaco pour la saison 2022-23
Le Serbe Sasa Obradovic, 53 ans, sera de nouveau le coach de l’AS Monaco pour la saison 2022-23. L’information provient de son agent, Misko Raznatovic de Beobasket.\n\nCela ne surprend personne étant donné les résultats obtenus par le Serbe, qui a emmené la Roca Team aux playoffs de l’Euroleague, ce qui lui donne l’assurance de jouer de nouveau la compétition la saison prochaine.\n\nDéjà coach de l’ASM de février 2019 à juin 2020, Obradovic a pris le relais de Zvezdan Mitrovic en décembre dernier après un passage peu concluant à l’Etoile Rouge de Belgrade.\n\n\nAfter great success this year with qualification for EL play off, Sasa Obradovic will be head coach of As Monaco for the season 22-23!#BeoBasket\n\n— Misko4Raznatovic (@MiskoRaznatovic) April 6, 2022\n\n\nPhoto : Thomas Savoja
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Vidéo : La qualification de Bourges vu de l’intérieur
C’est cette fois de l’intérieur que cette Aftermovie nous fait vivre la qualification des filles de Bourges à la finale de l’Eurocup.\n\nPhoto : Kristen Mann et Sarah Michel (FIBA)
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Youssou Ndoye (Orléans) victime d’une fracture de la main
C’est un énorme coup dur pour Orléans : son pivot sénégalais Youssou Ndoye (2,13m, 30 ans) s’est fracturé la main, ce qui va entraîner une indisponibilité de plusieurs semaines.\n\nYoussou Ndoye, c’est le 4e marqueur (17,2 points), et meilleur rebondeur (8,0) de la Betclic Elite, le pilier de l’OLB alors que le club du Loiret est en mauvaise posture (16e avec 8 victoires et 17 défaites). Il est à la recherche d’un pigiste médical, mais faut-il en trouver un bon...\n\n\n🚑Youssou Ndoye\n\nVictime d'une fracture de la main lors de la rencontre face à Monaco, notre pivot sera tenu éloigné des parquets pour une durée encore indéterminée\n\nLe club est actuellement à la recherche d'un pigiste#TousOLB #BetclicELITE pic.twitter.com/Vn8k8DKJ2U\n\n— OrléansLoiretBasket (@OLB45) April 6, 2022\n\n\nPhoto : Jacques Cormarèche
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Le CSKA Moscou aurait la volonté de créer une ligue dissidente de l’Euroleague
Il faut prendre ce genre d’information avec des pincettes : selon Maxbet Sport, le président du CSKA Moscou, Andrei Vatoutine, aurait jeté les bases d’une nouvelle compétition qui entrerait frontalement en concurrence avec l’Euroleague.\n\nIl est très probable que les clubs russes ne vont pas réintégrer l’Euroleague pour la saison 2022-23, aussi Andrei Vatoutine prendrait les devants et aurait conclu un accord avec Gazprom -une société russe spécialisée dans le gaz naturel et le pétrole- pour financier une nouvelle ligue dissidente. Le plateau pourrait être constitué du CSKA Moscou, du Zenit Saint-Petersbourg, d’UNICS Kazan et du Lokomotiv Kouban et... de clubs turcs, grecs, serbes, monténégrins, slovènes et croates, et même bulgares et hongrois. Le Fenerbahçe, Anadolu Efes, Olympiakos, le Panathinaikos, le Partizan, l’Etoile Rouge, Buducnost, le Cibona Zagreb et Cedevita Olimpija auraient reçu des invitations.\n\n« Avec Gazprom, l’entrée de quelques autres entreprises est attendue, et il est prévu que tout le monde investisse ensemble environ 100 000 000 d’euros. Les clubs obtiendraient bien plus que les clubs de l’Euroleague », écrit Maxbet Sport.\n\nUn véritable big bang dans le basket -et le sport- européen en cas de concrétisation. Affaire à suivre comme on dit.\n\nPhoto : Andrei Vatoutine (CSKA)
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Grégoire Lefèbvre (DG du Champagne Basket) : «Je considère qu’on sera en Betclic Elite la saison prochaine»
Le Champagne Basket peut-il toujours croire en son salut ? Pour son Directeur Général, la réponse est oui.\n\nComme attendu, les Champenois sont passés, hier soir, sous le rouleau compresseur monégasque (90-107) avec le meneur Paris Lee au poste de pilotage : 21 points, 9 passes, 7 rebonds et 35 d’évaluation !\n\nLa situation du Champagne Basket est disons très problématique. A 8 journées de la fin, il est bon dernier avec 7 victoires, soit 1 de retard sur Fos et Orléans et 2 sur Le Portel. Cette défaite face à Monaco est la septième de suite... Dans une interview à L’Union, le Directeur Général, Grégoire Lefèbvre, se montre pourtant optimiste :\n\n« On sait que l’aléa sportif, c’est le cœur de notre métier. On y est forcément préparé. Je n’ai pas envie de dire que le Champagne Basket est habitué aux situations difficiles mais on peut considérer qu’on a une certaine expérience là-dessus. On a un sang-froid assez louable au sein de l’équipe dirigeante et du staff technique qui continue à avoir la confiance du club. On gère la situation même si ce n’est pas simple. En tant que directeur général, il ne faut pas que ça pollue mon travail sur les perspectives de développement du club. C’est là tout le paradoxe. On doit gérer une situation sportive très difficile dont il serait aisé de dire qu’elle nous offre que très peu d’éclaircie aujourd’hui. Mais, je considère qu’on sera en Betclic Elite la saison prochaine. »
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Vidéo : Les highlights de la qualification de Bourges à la finale de l’Eurocup
Bourges a réalisé une superbe remontada pour s’imposer à Galatasaray (69-67) et se qualifier ainsi à la finale de l’Eurocup féminine. Jeudi, c’est le Reyer Venise que Iliana Rupert and Co affronteront pour le trophée.\n\nVoici les meilleurs moments de la demi-finale.\n\nhttps://www.youtube.com/watch?v=pPVoESLhVq4
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Eurocup : Bourg a tenu une mi-temps face à la Virtus Bologne
Sous les yeux d’Antoine Rigaudeau venu voir son ancienne équipe, la JL Bourg a crû une mi-temps (47-37) pouvoir dompter la Virtus Bologne avant de prendre en pleine face la puissance italienne (68-90).\n\nLes Italiens ont passé un 27-8 aux Bressans dans le troisième quart-temps, puis un 26-13 dans le dernier avec à la baguette l’ancien tsar de Moscou, Daniel Hackett (17 points à 5/7 à trois-points). Les espoirs des équipiers d’Axel Julien (10 points et 5 passes) de réaliser un exploit pour leur clôture de saison en Eurocup étaient ainsi anéantis. Mam Jaiteh (11 points et 5 rebonds) et Isaia Cordinier (8 points et 4 rebonds) ont bien rempli leurs tâches dans le camp de la Virtus.\n\n« En première mi-temps, nous étions concentrés. Nous allions les chercher haut, nous parlions. Il y avait de l’entraide. Avec moins d’adresse de notre part en deuxième mi-temps, cela leur donnait des rebonds et plus de phases de transition. Mais nous n’y étions plus. Nous avons baissé la tête trop vite. Peut-être que les joueurs ont cru à l’exploit et qu’ils ont eu un retour de bâton. Ils n’ont pas eu les ressources mentales pour finir la compétition la tête haute », constatait le coach Laurent Legname en conférence de presse, propos rapportés par Le Progrès.\n\nLa JL termine ainsi sa première expérience en Eurocup à l’avant-dernière place du groupe avec 6 victoires et 12 défaites. Son coach a fait remarquer que les absences successives de Maxime Courby, CJ Harris et Pierre Pelos et surtout du pivot Eric Mika ont coûté cher pour espérer davantage.\n\nPhoto : Isaia Cordinier (Bologne, Eurocupbasketball)
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Pro B : Nancy fait la bonne opération de la soirée
Chalon et Blois battus ce mardi, le SLUC Nancy fait figure de solide dauphin de Saint-Chamond.\n\nAvec 25 points et 7 rebonds en 22 minutes de Stéphane Gombauld , le SLUC a remporté à Antibes son cinquième succès d’affilée, en menant tout le match pour s’imposer 69-85 avec un écart qui est allé au préalable jusqu’à 20 points (61-81). David Skara (14 points et 7 rebonds) et Mathis Keita (11 points, 7 passes) ont également apporté de solides pierres à l’édifice.\n\n« On a réussi une prestation aboutie avec une certaine forme de constance. J’ai un groupe de joueurs avec beaucoup de valeur et de plus en plus stable émotionnellement. Les garçons ont été bons en défense et en attaque, il faut les féliciter. Je tire un gros coup de chapeau à l’équipe. Je ne regarde pas Saint-Chamond, mais le top 4. On a vécu beaucoup de choses depuis le début de saison mais on apprend de nos erreurs, » a commenté le coach lorrain, Sylvain Lautié, propos rapportés par L’Est Républicain.\n\nBlois est tombé à domicile face à l’Alliance Sport Alsace (77-92) et Chalon, de nouveau, à Quimper (92-86), si bien que Nancy (26 matches, 18 victoires) est deuxième derrière Saint-Chamond (27, 21) et devant Chalon (27, 17) et Blois (26, 16).\n\nPhoto : Stéphane Gombauld (SLUC)
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Spécial Salaires Pro B 2021-22 : Boulazac et Chalon, gros budgets mais destins opposés
Boulazac et Chalon-sur-Saône possèdent les deux plus gros budgets et les deux plus importantes masses salariales de Pro B. Mais si l’Élan réalise une saison quasi-conforme à ses ambitions, le Boulazac Basket Dordogne, en position de relégable, vit un cauchemar éveillé.\n\nÉquipe par équipe, au quotidien, et par ordre alphabétique, Basket Europe sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B, dont voici le troisième épisode.\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année en vous abonnant.\n\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\n\n\nBoulazac : l’accident industriel\n\nBudget annoncé : 3 570 000 € (2e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 1 247 000 € (2e)\nClassement (au 4 avril) : 17e (10 victoires – 16 défaites)\n\nRelégué de Jeep Élite en Pro B la saison dernière, le Boulazac Basket Dordogne est, après 26 journées, parti pour connaître une deuxième relégation de suite, cette fois-ci en NM1, réalisant un exercice 2021-22 catastrophique. Pourtant, le BBD avait – sur le papier – mis les moyens pour tenter de remonter au plus vite dans l’élite, avec un budget et une masse salariale équivalente à ceux de la saison précédente (3 383 000 € de budget, 1 277 000 € de masse salariale en 2020-21).\n\nCe qui avait permis à Boulazac de constituer une équipe a priori rutilante, comprenant Ivan Février, Quentin Serron ou autres Bathiste Tchouaffé. Mais l’équipe a débuté la saison par quatre défaites, la faute à plusieurs erreurs de casting, dont l’ailier Chris-Ebou Ndow et le meneur Marquis Wright... bien plus épanoui du côté de l’ASA Basket.\n\nL’arrivée de Nic Moore a enclenché un redressement, le club périgourdin enchaînant cinq victoires... Puis l’ancien meneur de Nanterre et Châlons-Reims s’est blessé après 11 matchs. Rejoignant à l’infirmerie une longue litanie de joueurs : seul Olivier Cortale a disputé toutes les rencontres de l’équipe ! Et le jeu boulazacois est aujourd’hui mené par Jamar Wilson, qui remplace Vytenis Cyzauskas (blessé), lui-même remplaçant de Nic Moore qui a remplacé Marquis Wright !\n\nLe coach Nikola Antic n’a pas survécu au désastre, coupé le 16 mars sur un bilan de 10 victoires pour 14 défaites et une 14e place. Son successeur sur le banc, Alexandre Ménard (lui-même coupé de Rouen fin janvier), n’a pour le moment pas fait mieux, enregistrant deux défaites pour ses débuts.\n\nBien évidemment, dans un tel contexte, peu de joueurs justifient leur salaire, d’autant plus que ces émoluments sont plutôt élevés. Le pivot Nana Foulland possède le troisième plus haut salaire de Pro B pour une production moyenne (9,6 points, 13,7 d’évaluation) alors que Quentin Serron est décevant, tout comme Bathiste Tchouaffé voire Olivier Cortale, tous gagnant 55 000 € ou plus. Hormis Nic Moore (19,4 d’évaluation en 11 matchs), seul Ivan Février tire son épingle du jeu avec ses 16,9 points. Bien peu alors que le BBD aligne cinq joueurs parmi les 36 mieux payés de la division (Foulland, Serron, Février, Tchouaffé et Cortale).\n\nBoulazac n’est pas encore relégué, n’étant qu’à une victoire des premiers non-relégables. Mais le BBD n’a d’autre choix que de se montrer enfin à la hauteur de ses moyens s’il veut sauver sa tête.\n\n\nLes salaires de Boulazac\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22Nana Foulland5USA202295 000,00 €Quentin Serron2BEL202285 000,00 €Ivan Février4-3FRA202265 000,00 €Olivier Cortale5-4FRA202360 000,00 €Bathiste Tchouaffe2-3FRA202355 000,00 €Nic Moore1USA8 mois (2023)50 000,00 €Nicolas De Jong5NED/FRA8 mois47 000,00 €Jules Rambaut4-5FRA202335 000,00 €Vytenis Cyzauskas2-1LIT6 mois35 000,00 €Luc Loubaki2-3FRA202233 000,00 €Jamar Wilson1-2USA3 mois27 000,00 €Marquis Wright1USA(3 mois)25 000,00 €Paul Billong1FRA202220 000,00 €Chris-Ebou Ndow3NOR(4 mois)18 000,00 €Alex Campbell1JAM/CAN(2 mois)10 000,00 €CoachAlexandre MénardcoachFRA3,5 mois18 000,00 €Nikola AnticcoachMTN(9 mois) (2023)55 000,00 €\n\n\nChalon : peut mieux faire\n\nBudget annoncé : 5 051 000 € (1e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 1 443 000 € (1e)\nClassement (au 4 avril) : 3e (17 victoires – 9 défaites)\n\nRelégué comme Boulazac de première division, l’Élan Chalon a lui aussi mis les petits plats dans les grands afin de remonter au plus vite dans l’élite, avec un budget et une masse salariale très proche de ceux de la saison passée (respectivement 5 045 000 € et 1 648 000 € en 2020-21). De quoi assurer un casting ronflant, avec Antoine Eïto, Mickaël Gelabale, Damien Bouquet ou Kevin Harley, des JFL reconnus et jouant en première division l’an dernier.\n\nCe qui n’a pas empêché les Chalonnais de mal démarrer leur saison (4 victoires pour 3 défaites), par la faute d’erreurs de casting : le meneur Ahmaad Rorie pas au niveau attendu, le pivot letton Martins Meiers ne s’adaptant pas aux spécificités de la Pro B. En outre, l’Élan Chalon a connu son lot de blessures et contaminations au Covid-19, seuls Damien Bouquet, Tomislav Gabric et Kevin Harley ayant disputé l’intégralité des rencontres. Et si le club avait redressé la barre entre fin décembre et début février (7 victoires consécutives), il connaît un sévère coup d’arrêt depuis : 4 défaites sur les 5 derniers matchs.\n\nPourtant, les joueurs chalonnais sont très bien payés pour la Pro B. Antoine Eïto et Mike Gelabale sont les deux seuls joueurs de Pro B à plus de 100 000 €, ils auraient sans doute été devancés par Martins Meiers si celui-ci n’était pas parti au bout de 4 mois (prêté en Pologne). Tomislav Gabric et Damien Bouquet figurent également parmi les 10 joueurs les mieux payés de Pro B. Les trois joueurs français figurent parmi les satisfactions de la saison, alors que l’international croate se montre quelque peu décevant, tout comme Kevin Harley. En revanche, Mathis Dossou-Yovo se montre plus que rentable pour un salaire relativement peu élevé alors que le jeune malgache Sitraka Raharimanantoanina a montré son potentiel par séquence (5,2 d’évaluation) pour un tout petit prix.\n\nLes hommes du coach allemand Sebastian Machowski (le deuxième entraîneur le mieux payé de Pro B) vont devoir hausser leur niveau pour briser leur actuelle série de défaites et aborder les playoffs – la première place du classement est encore accessible sur le papier mais semble hors de portée, Saint-Chamond possédant trois victoires de plus à 8 journées de la fin de la saison régulière, et ayant le point average sur Chalon – de la meilleure des manières, avec si possible une montée à la clé. Tout autre résultat ressemblerait à un échec, au vu des moyens mis en œuvre.\n\n\nLes salaires de Chalon\n\nJoueursPosteNatDurée de contratSalaire 21/22Antoine Eïto1FRA2024120 000,00 €Mickael Gelabale3-4FRA2022120 000,00 €Tomislav Gabric3-4CRO202290 000,00 €Damien Bouquet3-2FRA202490 000,00 €Kevin Harley2-1FRA202372 000,00 €Jonathan Augustin-Fairell5BAH8 mois55 000,00 €Martins Meiers5LET(4 mois – puis prêt)55 000,00 €Desmond Washington1USA7 mois50 000,00 €Mathis Dossou-Yovo5-4FRA202248 000,00 €Babacar Niasse2FRA202236 000,00 €Rolands Freimanis4-5LET3,5 mois30 000,00 €Ahmaad Rorie1USA(4 mois)25 000,00 €Sitraka Raharimanantoanina4MAD202420 000,00 €Jordan Aboudou1FRA3,5 mois15 000,00 €CoachSebastian MachowskicoachGER202370 000,00 €\n\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\n\nPhoto d’ouverture : Olivier Cortale – Boulazac (photo BBD)/Antoine Eïto – Chalon (photo Élan Chalon – Charlotte Geoffray) – Montage Basket Europe\n\n.\n\n.\n\n[armelse]\n\n\nBoulazac : l’accident industriel\n\nBudget annoncé : 3 570 000 € (2e)\nMasse salariale budgetée (brut) : 1 247 000 € (2e)\nClassement (au 4 avril) : 17e (10 victoires – 16 défaites)\n\nRelégué de Jeep Élite en Pro B la saison dernière, le Boulazac Basket Dordogne est, après 26 journées, parti pour connaître une deuxième relégation de suite, cette fois-ci en NM1, réalisant un exercice 2021-22 catastrophique. Pourtant, le BBD avait – sur le papier – mis les moyens pour tenter de remonter au plus vite dans l’élite, avec un budget et une masse salariale équivalente à ceux de la saison précédente (3 383 000 € de budget, 1 277 000 € de masse salariale en 2020-21).\n\nCe qui avait permis à Boulazac de constituer une équipe a priori rutilante, comprenant Ivan Février, Quentin Serron ou autres Bathiste Tchouaffé. Mais l’équipe a débuté la saison par quatre défaites, la faute à plusieurs erreurs de casting, dont l’ailier Chris-Ebou Ndow et le meneur Marquis Wright... bien plus épanoui du côté de l’ASA Basket.\n\nL’arrivée de Nic Moore a enclenché un redressement, le club périgourdin enchaînant cinq victoires... Puis l’ancien meneur de Nanterre et Châlons-Reims s’est blessé...\n\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]
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