input
stringlengths
3
198
output
stringlengths
4
67k
instruction
stringclasses
8 values
Pro B : Un record de 45 points pour Tray Buchanan (La Rochelle)
Denain a été enseveli dans le troisième quart-temps avec un 0-28 entre la 23e et la 36e minute et sur l'ensemble du match Tray Buchanan (1,87 m, 25 ans) a été somptueux à trois-points avec un 8/9 en en 34 minutes. A ses 45 points, il faut ajouter 5 rebonds et 4 passes pour 49 d'évaluation.\n\nC'est à l'AEL Limassol que Tray Buchanan a connu la saison dernière sa première expérience européenne avec 22,7 points de moyenne à la clé. Cette année, il a déjà cartonné plusieurs fois passant notamment 31 points à Aix-Maurienne la semaine dernière. Pas étonnant de le retrouver en tête des marqueurs de Pro B avec 21,3 points.\n\nVoici donc La Rochelle nanti d'une septième victoire d'affilée et d'un seul échec en 9 matches. Vichy (100-82 contre Evreux) et Orléans (74-81 à Fos) tiennent pour l'instant la cadence.
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Jean-Denys Choulet à propos de Saint-Quentin : \C’est un public de connaisseurs\
Ce n'était pas attendu mais SQBB possède à ce jour deux victoires de plus que la Chorale (7 contre 5). La tâche ne s'annonce pas facile pour les joueurs de la Loire. L'ASVEL, Chalon, Bourg et Cholet sont déjà tombés cette saison en Picardie.\n\n«Ils font un parcours remarquable, apprécie Jean-Denys Choulet, le coach roannais dans les colonnes du Progrès. Ils jouent en équipe et le mérite en revient à Julien (Mahé, le coach). J’ai connu l’ambiance à l’époque des «Mimiles». C’est une des meilleures salles de France. Et eux (au contraire de Vacheresse) ont retrouvé cette ambiance. C’est un public de connaisseurs et de supporteurs, il est en osmose avec son équipe et contrairement à d’autres salles, l’ambiance n’est pas malsaine», glisse Jean-Denys Choulet.\n\nRoanne ne s'exporte pas très bien depuis le début de saison avec une seule victoire de prestige à l'extérieur face à Bourg. De plus, les hommes de JDC sortent de deux échecs à Levallois et à la maison contre Dijon. Le meneur Antoine Diot sait que lui et ses équipiers vont devoir livrer une bataille et hausser leur niveau de jeu.\n\n«Si on ne trouve pas les solutions offensivement et qu’on leur laisse des munitions pour nous abattre, cela va être très compliqué. À nous de contrôler le rythme du match, les mettre sur demi-terrain.»
Écrivez un article sur :
NBA : 21 points et 20 rebonds pour Victor Wembanyama
Les Spurs sont sortis du terrain la tête basse une fois encore après leur défaite, 112-121, face aux Chicago Bulls. Le record de matches perdus de la franchise établi la saison dernière a été égalé. Triste.\n\nLe rayon de lumière a été une fois encore Victor Wembanyama qui a réussi un double double double avec 21 points à 8/20 aux tirs (0/4 à trois-points), 5/6 aux lancers-francs, et 20 rebonds (7 offensifs) plus 4 passes, 4 contres et 1 interception. Le tout en 32 minutes. On observe que le Français a pris près de la moitié des rebonds de son équipe (44).\n\nA 19 ans et 338 jours, Victor Wembanyama fait mieux que Dwight Howard, âgé de 19 ans et 342 jours quand il a cumulé 20 points et 20 rebonds en 2005. En plus de ce record de précocité, il est aussi le premier rookie à réussir au moins 20 points, 20 rebonds et 4 contres depuis Shaquille O'Neal en 1992, avec Orlando.
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Gianmarco Pozzecco « surpris » par la déroute de l'ASVEL contre Valence
Les lumières du 8 décembre n’ont pas suffi à créer l’étincelle. Quinze jours après son inauguration « électrisante », la LDLC Arena a vécu une bien triste soirée, aux antipodes de la double prolongation face au Bayern Munich. Les 8 287 spectacteurs présents à Décines - la fermeture du dernier anneau ayant empêché d’en réunir davantage, et c’était peut-être mieux ainsi - pour la deuxième soirée d’Euroleague dans la nouvelle salle ont assisté au premier naufrage de l’ère Gianmarco Pozzecco.\n\nAlors qu’ils n’avaient que deux longueurs de retard à la pause (33-35), les Villeurbannais ont vécu une deuxième mi-temps cauchemardesque (28,6 % de réussite aux tirs, 0/10 à trois points, 13 balles perdues pour 5 passes décisives) qui fit descendre des sifflets des tribunes. Il faut dire que les supporters s’impatientent, eux qui n’ont plus connu le succès à domicile en Euroleague depuis le 26 janvier. L'attente est bien trop longue. « Nous sommes des professionnels, nous sommes payés pour gagner les matches, il faut les gagner... C’est compliqué, dur à vivre, et ça fait c**** de voir les gens partir avant la fin, nous siffler », a acquiescé, recroquevillé et les traits tirés, l'immense Youssoupha Fall en zone mixte.\n\nTout autant tiraillé par cet acte manqué qui fait tâche, face à un adversaire pourtant à sa portée, le coach villeurbannais a affiché sa déception, voire sa surprise, en conférence de presse :\n\n« Depuis que je suis ici, nous avions plutôt été très bons offensivement. C’est la première fois que nous perdons de la sorte, que nous avons arrêté de jouer. Il y a peut-être un peu de fatigue, mais cela ne doit absolument pas être une excuse. Je suis assez triste et, pour tout dire, assez surpris. Parce que, ce soir, il nous a manqué quelque chose, à l’évidence. Je pensais que nous étions sur la bonne voie pour gagner un match à domicile mais, ce soir, nous ne l’étions pas du tout. Même en première mi-temps, nous ne jouions pas bien. Nous n’avons pas saisi l’opportunité de revenir à la pause avec l’avantage alors que nous aurions pu prendre. En deuxième mi-temps, nous avons trop dribblé, nous n’avons plus partagé la balle. Ce qui me gêne le plus, c’est que nous avons lâché sur la fin. »\n\n\nUne disette offensive\n\nDepuis l’arrivée du sélectionneur de la Nazionale italienne, l’ASVEL n’avait jamais inscrit moins de 68 points. Au contraire, elle affichait enfin de la sérénité dans le secteur offensif sur les derniers matches avec 95 points de moyenne contre Barcelone, Boulogne-Levallois et le Maccabi Tel-Aviv, les trois derniers adversaires en date. Les 55 unités inscrits, le plus petit total depuis le 29 mars dernier et une défaite contre l’Olympiakos (81-55), ont rappelé les heures sombres du dernier exercice villeurbannais en Euroleague, où l’équipe de T.J. Parker avait terminé par 13 revers de rang.\n\n« Nous avons galéré offensivement. Peut-être que nous nous sommes un peu trop focalisés sur la défense, qui n’était pas si mauvaise que ça, avance Youssoupha Fall. En tout cas, nous n’avons pas assez partagé la balle, et ça s’est vu. C’est dommage, car se partager la balle, ça ne doit pas être si dur que ça. Nous devons trouver un meilleur équilibre ». L’électrochoc Pozzecco passé, doit-on s'inquiéter outre-mesure du niveau affiché par Villeurbanne ? « J’espère que ce soir est un accident, reprend l’entraîneur italien. Nous devons continuer de jouer et reprendre là où nous en étions jusqu’hier. Nous sommes capables de bien jouer. Nous l’avons démontré à Barcelone, à Monaco, à la maison contre la Virtus, contre le Maccabi. Nous aurions pu gagner chacun de ces matches. Pas ce soir, où nous en étions très loin. »\n\n« On dit souvent qu’il faut un mois et demi pour qu’une équipe s’adapte à la philosophie d’un nouveau coach »\n\nMoins tranchant en conférence de presse, l’ancien international espagnol désormais coach de Valencia Basket, Alex Mumbru, ne partage pas cet avis. Et en même temps, il n’allait pas dire le contraire : « En première mi-temps, nous étions au même niveau. L’ASVEL a eu une opportunité de s’envoler au deuxième quart mais nous avons réussi à trouver des solutions pour les contrôler. Nous avons bien mieux défendu ensuite en les laissant à 22 points en deuxième mi-temps. »\n\nPensez-vous que les Villeurbannais sont fatigués par les courtes rotations de Pozzecco ? a relancé le journaliste du Progrès, Luc Paganon. « ll vaudrait mieux lui poser la question. On dit souvent qu’il faut un mois et demi pour qu’une équipe s’adapte à la philosophie d’un nouveau coach. Gianmarco (Pozzecco) est un très bon entraîneur, avec de l’énergie à revendre. Cela ne fait que quelques semaines qu’il est là. Je pense qu’il a besoin de plus de temps pour que l’ASVEL soit compétitive. Parfois, quand on joue quatre matches en huit jours, ce sont des choses qui arrivent. Dans ces moments-là, ça se joue souvent à l’énergie, force est de constater que nous en avions un peu plus aujourd’hui. »\n\n\nBientôt un renfort ?\n\nEn effet, l’entraîneur italien s’appuie rarement sur plus de neuf joueurs différents en Euroleague. Boris Dallo enchaîne les matches en civil, le bondissant Mbaye Ndiaye n’a sa chance qu’en championnat, le jeune Noam Yaacov est responsabilisé de manière sporadique tandis que l’apport de John Egbunu à l’intérieur reste particulièrement limité. Alors que Frank Jackson n’a pas été remplacé depuis la mi-novembre, ses rotations posent forcément question sur le moyen terme.\n\n« Nous avons des problèmes. Nous allons devoir prendre des décisions pour aider l’équipe à mieux jouer. Nous devons positiver et trouver, avec le club, une manière d’aider les joueurs », a poursuivi le coach villeurbannais. Deux jours plus tôt, après le court revers contre le Maccabi, Gianmarco Pozzecco avait déjà laissé entendre qu’il pourrait y avoir un renfort dans le roster de l’ASVEL. « Je fais confiance à mes joueurs. Nous explorons des options avec mon staff mais la première est de continuer à croire en eux », s’était-il défendu.\n\nCe renfort potentiel ne sera pas Thomas Heurtel, Villeurbanne n’étant pas en mesure de racheter le - gros - contrat du meneur du Zénith Saint-Pétersbourg, mais il devrait concerner la ligne arrière. Après le déplacement à Paris ce dimanche, avec la place de dauphin de Monaco en Betclic Elite en jeu, l’ASVEL aura quelques jours pour passer à l’action et « aller de l’avant », comme l'a répété Gianmarco Pozzecco cette semaine. Vai avanti !\n\nASVEL : Quelles affluences à la LDLC Arena ?L’ASVEL enchaîne les défaites à domicile en Euroleague et se retrouve devant le défi de rassembler un nombreux public alors qu’elle va bientôt investir définitivement la LDLC Arena pour ses matches européens.BasketEurope.comLa rédaction
Donnez une analyse détaillée de :
La ligue veut donner la parole à ses anciens joueurs
En cachant son identité, Frédéric Weis raconte qu’un joueur français actuel de la Betclic Elite en pleine ascension ne savait pas qui est Antoine Rigaudeau. «C’est pourtant l’un des top 3-4 meilleurs joueurs de l’histoire du basket français. Et ce n’est pas quelqu’un qui a joué dans les années soixante-dix, c’est quelqu’un de quasiment contemporain.» Et Big Fred d’ajouter à son propos: «On nous connaît comme consultant, mais on ne sait pas si on a joué ou pas.»\n\nPape-Philippe Amagou constate à l’inversequ'«un jeune joueur qui arrive en NBA connaît Bob Cousy et Wilt Chamberlain parce qu’on y parle de statistiques.» Il est probable que le joueur français mentionné ci-dessus a entendu parler du record de 100 points dans un match NBA de Wilt Chamberlain, mais ignore qui détient le record de la ligue en la matière et tout autant depuis la création de la première division*.\n\nLe basket français souffre d’un terrible déficit de connaissances historiques malgré les efforts hardis de Gérard Bosc à l’origine d’une commission fédérale du patrimoine et de l’Académie du Basket, l’équivalent du Hall of Fame américain. Et donc certains joueurs pros eux-mêmes baignés dans un univers de réseaux sociaux ultra américanisés en savent bien plus sur les Philadelphia Warriors des années soixante que sur les vice-champions olympiques de Sydney.\n\n«Je me rends compte chaque année que les joueurs ne connaissent pas les anciens et je les force à regarder ce reportage magnifique sur Moustapha Sonko, ''du Playground aux JO''», rapporte de son côté Amara Sy. «Ils se rendent compte qu’il était super en avance sur son temps et après, ils vont se documenter. C’est quelque chose qu’ils font depuis toujours très bien aux Etats-Unis, c’est cette transmission, de valoriser les anciens. On doit être fier de notre championnat et pour ça, on doit mettre la lumière sur ce que l’on a fait et sur ce que l’on doit faire dans le futur.» Frédéric Weis, qui manipule les mots aussi bien que les ballons depuis qu’il est devenu consultant TV sort cet aphorisme : «Pour savoir où tu vas, il faut savoir d’où tu viens.»\n\n\n26 légendes pour l’instant\n\nLa Ligue Nationale de Basket (LNB) vient de prendre une décision simple, évidente, et pourtant révolutionnaire: elle veut valoriser son patrimoine, son histoire, ses acteurs. «On est parti d’un constat fondateur qui est que l’on a une identification assez faible de certains de nos acteurs majeurs passés et présents. A notre avis, nos anciens joueurs ne sont pas assez présents dans l’écosystème du basket français. Parce qu’ils sont partis à l’étranger, qu’ils sont à la retraite, les liens sont distendus. Il y a une reconnaissance insuffisante à leur égard. Et il y a une absence de connexion intergénérationnelle donc de transmission. Ça nous paraît important de recréer ces liens entre générations», explique le Directeur Général de la LNB, Fabrice Jouhaud. Et c’est ainsi que sont nées les «Légendes» de la LNB qui vont avoir le devoir pour ceux qui sont motivés de faire de la représentation et tout autant d’être pourvoyeurs d’idées à mettre en pratique.\n\nSans doute ne faut-il pas prendre à la lettre le terme de «légende». Ce sont en fait des joueurs - et quelque coaches - qui ont œuvré pour le bénéfice de la ligue. Ils sont actuellement vingt-six dont (seulement) six étrangers, mais la série est en cours. Fabrice Jouhaud précise très vite: «Il y a des critères d’éligibilité subjectifs. Ce ne sont pas les tables de la loi, ce n’est pas gravé. Ça pourra évoluer mais il fallait que l’on parte d’une base.»\n\nPour l’instant, pour être une légende, si l’on est Français, il faut comptabiliser 100 matches dans les championnats LNB et avoir été sélectionné 50 fois en équipe de France ou avoir été élu MVP ou All-Star. Pour les étrangers, soit avoir été MVP soit avoir été membre du cinq majeur d’une décennie. La LNB n’a pas calculé combien de joueurs obéissent à ces critères mais le champ semble large. Même s’ils n’apparaissent pas dans la liste, la LNB n’a pas rejeté les vieux de la vieille, tel Hervé Dubuisson, qui ont accompli l’essentiel de leur carrière avant la création de la ligue, en 1987. Ni ceux qui l’ont marqué fortement de leur empreinte avant de partir sous d’autres cieux; Victor Wembanyama en est le symbole. «Il y a une différence entre les joueurs qui sont légendes, qui entrent dans les critères, mais qui n’ont pas forcément envie de participer aux activités, et ceux qui sont dans le programme», précise Fabrice Jouhaud. «Tu peux bouder la ligue pour x raisons et tu seras quand même légende car tu remplis les critères et tu as été un super joueur. On ne va pas exclure les gens parce qu’ils n’aiment pas la ligue.»\n\n\nUn site internet avec leurs records\n\nL’initiative de la LNB a été bien perçue par les joueurs sollicités. «C’est vrai qu’il manquait quelque chose», témoigne Crawford Palmer. «Je crois que c’est pour ça qu’il y a tant de monde qui a réagi à la démarche de la ligue. Lors du premier rassemblement que l’on a fait début septembre, la première remarque est venue d’Antoine (Rigaudeau) qui a dit: ‘on vous remercie car c’est la première fois dans ma carrière et post-carrière que je suis sollicité par la ligue française ou par les instances pour donner notre avis’.» Le médaillé d’argent olympique de Sydney ajoute: «Une des raisons pour lesquelles certaines personnes gardent un peu de distance, c’est qu’ils attendent de voir ce que c’est concrètement.»\n\nAntoine Rigaudeau est l’un des joueurs les plus actifs pour porter des sujets et animer des discussions. Car l’objectif de la Ligue n’est pas seulement de célébrer ses «légendes» mais aussi de profiter de leur expertise, de leur avis, de leur vision. «On a envie aussi que ça serve d’émulation et que les joueurs actuels aient envie de faire partie des légendes LNB. Ce qui est important, c’est la notion de transmission. On veut créer un patrimoine et le transmettre», affirme Fabrice Jouhaud.\n\nLes légendes sont invitées à participer à des évènements, que ce soit avec des clubs, des sponsors de clubs ou de la ligue, sur des séminaires. Eloignés géographiquement, les étrangers pourront être présents à la carte, notamment pour des évènements de leurs anciens clubs.\n\nUne identité visuelle a été créée pour ce programme ainsi qu’un site dédié et la LNB promet pour bientôt un stat center avec une foultitude de records sur l’histoire de la ligue, ce qui manque actuellement cruellement. Les joueurs marquants antérieurs à la création de la LNB ne seront pas exclus et l’Américain du Limoges CSP, Ed Murphy, qui a fait une razzia sur les titres de meilleur marqueur dans la première moitié des années quatre-vingt sera, nous dit-on, honoré comme il se doit. On nous promet aussi des vidéos, des documentaires.\n\n«Je sais que dans tous les sports, les anciens joueurs sont souvent frustrés de ne pas être impliqués. Le danger de les impliquer - je l’ai vu dans une vie antérieure (NDLR: Il a été Communications Chief à la FIFA) - c’est de faire un programme où ils sont juste utilisés pour l’image. C’est hyper clair: nous, on ne veut pas de ça. Pour la concrétisation, pour certains d’entre-eux, ils ont participé au jury du All-Star Game, ils vont remettre pour beaucoup d’entre eux les maillots aux All-Stars. La transmission, ça commence par là. On espère créer des évènements sans doute plus spectaculaires», annonce Fabrice Jouhaud.\n\nLa Ligue veut pousser ses légendes à aller sur des plateaux télé grand public pour parler des évènements basket pour qu’ils commencent à être identifiés comme des références. «On a la chance d’avoir Fred (Weis) qui est aux Grandes Gueules du sport de RMC et qui parle sur d’autres sports. C’est important qu’à un moment, ils aient une légitimité qui dépasse le basket. Tout se rejoint, il y a l’aspect, les jeunes, la valeur, les transmissions. Le basket mérite d’être davantage reconnu mais ça, on le pense tous, c’est une espèce de tarte à la crème», estime Fabrice Jouhaud.\n\nSuivant leurs aspirations personnelles, les légendes pourront être amenés, pourquoi pas, à prendre place dans les instances de la ligue. C’est déjà le cas de Pape-Philippe Amagou, aux multiples activités, et d’Antoine Rigaudeau, qui ont été élus comme personnalités qualifiées et de Amara Sy qui siège au Comité Directeur en tant que président du Syndicat des Joueurs (SNB). Des légendes qui s’interrogent par ailleurs sur le fait que si les anciennes internationales Carole Force, Nathalie Lesdema et Frédérique Prud’homme figurent au Bureau Fédéral, ce n’est pas le cas d’un seul ancien international. «On ne veut surtout pas les utiliser politiquement. En revanche, évidemment qu’il y a un pouvoir d’influence. S’ils remontent des envies, des projets, des alertes sur certaines choses, peut-être que ça peut avoir ensuite une influence sur les instances. Il faut que la ligue, je parle des instances, démontre vis-à-vis d’eux notre bonne foi, que notre engagement est réel et concret et que la transparence que l’on a prônée s’applique», souligne Fabrice Jouhaud. «La ligue de basket ne doit pas tout le temps reprocher aux autres de ne pas insister sur son histoire, sa grandeur. Il faut qu’elle prenne ses responsabilités et c’est ça que l’on a envie de faire. Une institution est toujours conservatrice et c’est bien d’avoir des gens qui vous bottent les fesses, qui vous font réfléchir, qui vous oblige à sortir de vos bureaux. C’est pour ça que c’est important d’avoir ce programme et ces gens-là.»\n\n\nLEURS TEMOIGNAGES\n\n\nCrawford Palmer\n\n53 ans. Franco-Américain. Vice-champion olympique à Sydney en 2000. Ancien directeur sportif en équipe de France, à Chalon et Limoges.\n«S’il y a eu des tensions, ça vient aussi du fait que l’on était frustré que l’on avait vécu des choses. On connait le basket, français, européen, ou américain, et on ne nous a jamais sollicité pour apporter quelque chose au basket français qui pouvait être intéressant. Pour se caler sur ce qui marche bien, aux Etats-Unis, ils ont leur Hall of Fame, leurs 50 meilleurs joueurs, c’est créer l’intérêt autour des acteurs. Je n’ai rien contre les arbitres, mais ce n’est pas normal qu’il y ait un corps qui prenne une part importante de la vie du basket en règle générale. On n’est jamais venu solliciter des joueurs. Donc c’est une très bonne chose d’avoir fait cette démarche.\n\nMoi, je peux témoigner sur la fédération puisque j’y ai passé quatre ans et demi. J’ai été formé, j’ai passé des diplômes grâce à la fédération et JPDV (NDLR: Jean-Pierre De Vincenzi, son coach aux Jeux Olympiques de Sydney et qui fut ensuite DTN) mais tu n’as aucun pouvoir de proposition ou de décision. On te dit, «c’est intéressant, on verra». A un moment, ça fatigue. Ce que l’on espère, c’est que ça c’est du passé. Pour la fédération, on verra. La structure du basket en France, c’est compliqué. (Pour avoir un impact à la fédération) Il faut être élu, haut placé, c’est un jeu politique. Il y en a qui maîtrisent très bien. Nous, naturellement, c’est plus facile dans le monde pro. Et la ligue, c’est le monde pro.»\n\n\nAmara Sy\n\n42 ans. Franco-Malien. International malien. Président du Syndicat des Joueurs. Directeur sportif du Paris Basketball.\n«C’est une initiative qui aurait dû être prise beaucoup plus tôt mais comme on dit, mieux vaut tard que jamais. Là, c’est le début de quelque chose. On va voir comment les différents acteurs vont s’impliquer. C’est important de remettre les joueurs au centre car ce sont tout simplement eux que les gens viennent voir. Moi, c’est différent car j’ai arrêté récemment, mais je comprends que les joueurs aient une certaine frustration. C’est vrai que de ne plus être sollicité, de ne plus se sentir important, je peux comprendre leur frustration. Aujourd’hui, ils ont une certaine expérience, une certaine expertise par rapport au basket. Ils ont porté très haut les couleurs de notre championnat. Forcément, il faut se servir de cette expérience-là. Pour les gens qui travaillent dans les locaux de la LNB et qui ne sont pas sur le terrain, peut-être que cette expertise peut apporter certaines solutions. C’est le début, on va voir comment ça va se passer. On sera amené à se rencontrer, à échanger, à faire des opérations. Forcément, en discutant entre nous, il y a des idées qui vont surgir et peut-être pourra-t-on avancer encore plus vite.»\n\n\nFrédéric Weis\n\n46 ans. Vice-champion olympique à Sydney en 2000. Consultant basket pour différentes chaînes de TV.\n«Si on n’a pas le droit de dire ce que l’on veut, ça ne nous intéresse pas d’être dans le programme. Tout de suite, on nous a rassuré en disant de ne pas s’inquiéter, que l’on est toujours libres (...) On est en train de s’apprivoiser. Il y a deux ans, je détestais la ligue. Vous ne m’auriez jamais demandé de venir ici parce qu’il y avait un marasme dans cette ligue. L’image dégagée était affreuse. On a besoin d’apprendre à se connaître. On vient tous d’horizons différents et on peut tous apporter un petit quelque chose sur un domaine particulier. Je prends mon cas. J’ai joué pendant dix ans en Espagne. J’y ai vu des choses qui fonctionnent et des choses qui ne fonctionnent pas. On peut apporter ça à la ligue. On veut l’aider, la faire progresser. Jusque-là, on avait l’impression d’être des potiches. Lorsqu’on jouait au basket, on était très sympathiques et après, c’est fini. C’est de ne pas avoir cette puissance de proposition qui nous a gêné plus que de ne pas être reconnu. De ne pas être reconnu, je m’en fous un petit peu et je pense que c’est un peu le cas de mes coéquipiers. Mais par contre, se dire que l’on peut aider le basket français à franchir des paliers, c’est plus intéressant.\n\nDès que j’ai arrêté ma carrière, j’ai vu Jean-Pierre Siutat et je lui ai dit que j’aimerais m’investir. Il m’a dit que je n’avais pas beaucoup de compétences. Je lui ai répondu que je l’entendais mais que j’avais la volonté d’apprendre et d’être formé. C’est resté lettre morte. Et je suis assez choqué de me dire que le petit frère de la fédération fait les choses mieux que la fédération elle-même. Les joueurs sont aussi des mecs qui réfléchissent, qui ont une vision sur leur sport. Si on reste seulement sur les bureaux, c’est mort. Si on reste seulement sur les sportifs, c’est mort. Par contre, le mélange des deux, je crois que ça peut être intéressant. On a l’impression que la ligue a envie de bouger et comme nous aussi, ça tombe bien, mais c’est un mensonge de dire que le basket mérite mieux à l’instant T.\n\nJe pense qu’une fédération qui travaille sans aucun ancien dedans, c’est une fédération qui ne vaut rien. Je le dis, je le répète, je n’ai pas de problème avec ça. Le bureau, c’est très bien, mais si tu n’as pas le sportif de l’autre côté, ça n’a aucun intérêt. Et je pense que l’on est tous prêt à entrer à la fédération et à aider. Pas en disant, on est les meilleurs, on est les champions, on est là pour apporter notre pierre à l’édifice comme vous allez le faire. Et on est prêt à se former. Je pense que depuis 2000, il ne s’est rien passé. On est dans l’immobilisme complet et après on s’étonne qu’il y ait des problèmes. C’est très bien de parler du 3x3 mais le 5x5 ça existe toujours et nous, on y a joué, on connaît un peu. On ne peut pas juste être là pour faire une petite pub pour la ligue. On ne peut pas changer l’image d’une ligue en un an alors que ça fait trente ans qu’elle ne bouge pas et qu’elle fait n’importe quoi. On demande donc à voir, mais si on est là, c’est qu’on y croit.»\n\n\nPape-Philippe Amagou\n\n48 ans. Franco-sénégalo-ivoirien. International ivoirien. Consultant pour Cap Gimini et basket pour différentes chaînes de TV.\n«Un des sujets qui me plaît beaucoup, c’est la reconversion. On a tous dû en faire et c’est un sujet par rapport aux joueurs qui jouent actuellement. Ce qui me plaît dans notre ambition, c’est la partie connexion. Là-dessus, on a vraiment à apporter. Ça me parait fou que l’on dise à un joueur comme Fred, qui a 18 ou 20 ans derrière lui, qui a été vice-champion olympique, qu’il n’a pas beaucoup de compétences.\n\nAujourd’hui, je suis dans le monde du travail, je suis sorti un peu de l’écosystème du basket et en réalité un sportif de haut niveau, il a une revalorisation sur le marché du travail qui est incroyable. Nous, on peut apporter au niveau de l’accompagnement des joueurs actuels dans leur reconversion. C’est une des thématiques, mais je suis sûr qu’il y en aura mille autres. Il faut créer ce sentiment d’appartenance car ça crée du branding. Ce n’est pas vintage, c’est une ambition tournée vers l’avenir.»\n\n\nMam Diarra\n\n43 ans. Médaillé de bronze à l’Euro 2005. Ancien directeur sportif du Paris Basketball.\n«Certains joueurs sont sceptiques mais au fur et à mesure qu’ils vont voir ce que l’on va faire, ils vont intégrer ce groupe-là. Il ne faut pas se focaliser sur le mot légende, tout le monde en a une perception différente. Pour moi, l’aspect le plus important, c’est la formation. De plus en plus de clubs se disent formateurs, mais tous ne peuvent pas l'affirmer. Pendant ma carrière, j'ai fait plusieurs constats par rapport à certains manques. Je me suis dit qu’il fallait que je fasse quelque chose à mon niveau. Pourquoi pas mutualiser certaines choses avec la LNB? Il y a un travail énorme à faire. Le rugby, qui est vu comme un sport de bourrins, a fait un travail de marketing. Ils ont resserré leurs maillots, le Stade Français est venu, ils ont mis du rose, ils ont fait un calendrier...»\n\n*61 points par Ron Davis (Mulhouse BC) contre le Racing Paris le 29 octobre 88. 71 points par Jean-Pierre Staelens (Denain) contre Valenciennes le 4 mars 1967.\n\n[REDIFF] Dossier : Les cartons en France et en Europe – Basket EuropeFut une époque où la défense n’était pas une priorité et parfois les circonstances -comme le vent au saut en longueur- étaient très favorables. Jean-Pierre Staelens, Bob Thate, Ron Davis, Jim Signorile, Erman Kunter, Drazen Petrovic, Radivoj Korac et Zdenco Babic ont ainsi de diverses manières laissBasketEurope.comPascal Legendre
Rédigez un rapport sur :
Euroleague : Shane Larkin MVP de la 13e journée
Après divers problèmes physiques -cela lui a coûté indirectement son passeport turc-, Shane Larkin (1,82 m, 31 ans) est revenu à son meilleur niveau et grâce à une performance de premier choix, il a mené l'Anadolu Efes Istanbul à une victoire on the road, 89-97, contre l'ALBA Berlin lors de la 13e journée de la saison régulière de l'Euroleague. Il a ainsi remporté le trophée de MVP de la journée pour la 16e fois de sa carrière !\n\nLarkin a terminé le match avec un PIR (évaluation) de 41, le plus élevé jusqu'à présent cette saison. Il a marqué 11 de ses 32 points au cours du dernier quart-temps, aidant l'Efes à faire basculer le match dans son camp. Larkin a terminé le match en réussissant un 4 sur 5 à deux-points, un 5 sur 9 à trois-points et ses 9 lancers francs. Il a également contribué au succès des Turcs avec 4 rebonds, 4 passes décisives et 3 interceptions, tout en provoquant 9 fautes personnelles.\n\nL'autre joueur à avoir remporté 16 trophée de MVP de la journée en Euroleague est Nando De Colo.
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
JD Jackson (Antibes) : \L'objectif moyen long terme, c'est la Pro A\
Le Franco-Canadien s'est livré au micro de France 3 Côte d'Azur et il y affirme qu'il est arrivé à la bonne place même si l'équipe azuréenne est figée en dernière position de la Pro B avec 2 victoires et 8 défaites dont la dernière ce vendredi à Aix-Maurienne (75-69), qui était à égalité avec elle au classement. Rappelons que JD Jackson fut auparavant le coach du Mans, de l'ASVEL et de Gravelines.\n\n\Depuis la saison dernière, j'étais à la recherche d'un projet intéressant avec beaucoup d'ambition. Et le club m'a fait une proposition. Le projet est bien structuré et en plus, je ressens de l'attachement avec Antibes, affirme t-il. J'ai joué ici pendant deux saisons(entre 1997 et 1999, ndlr). Mais ça date ! J'ai un fils qui est né dans la région, il est adulte maintenant ! (rires) Ça me fait vraiment plaisir de revenir. L'équipe était en Pro A à l'époque, l'objectif de ce club est de retrouver ce niveau-là sur la durée. L'équipe est très stable, bien structurée avec un projet fait pour durer. Je viens d'arriver, il va me falloir du temps pour assimiler un certain nombre de choses, mais pour l'instant, je suis bluffé par le professionnalisme du club. Il y a des belles choses en perspectives\. Il reprend : \J'aurais un problème dans la tête si je n'étais pas content de revenir vivre sur la Côte d'Azur ! (rires) C'est très plaisant. Antibes est une commune très sympathique. Les gens sont très investis dans le club. C'est idéal. Après, il ne faut pas qu'on se leurre. On est en bas de classement, on n’est pas là pour bronzer ! On va bosser beaucoup. Il y aura beaucoup d'effort et beaucoup d'entraînement pour remonter la pente. On pourra profiter de la Côte cet été peut-être !\\n\nJD Jackson veut oublier les déboires actuels et se projette vers l'avenir :\n\n\L'objectif moyen long terme, c'est la Pro A. Ils ne sont pas trop pressés, mais ils sont ambitieux. Ils veulent retrouver leur place d'antan. On est tous conscients qu'on n'est pas les seuls. Le club sait qu'il faut vraiment prendre du temps. Il faut de la régularité et il faut créer une vraie identité professionnelle. Avoir une ossature de joueurs et d'infrastructure qui fait qu'on est vraiment consistants et capables de monter. Ce n’est pas juste sur un pari que ça va se jouer, mais sur la durée et se maintenir à ce niveau. Cela va prendre du temps, c'est difficile de se fixer une date.\\n
Donnez une analyse détaillée de :
Suisse : L'ancien NBAer Thabo Sefolosha n'est pas élu président de la fédération
Ce sont les délégués des associations régionales (40) et des clubs de l’élite (20) qui ont élu Andrea Siviero président lors d’une Assemblée générale extraordinaire. Thabo Sefolosha a obtenu 18 voix et Andrea Siviero le double. Les deux autres candidats, Alexandre Marangoni, ex-président de Fribourg Olympic, et Salem Fedal, supporter du BBC Nyon, ont chacun reçu une voix.\n\n“Bravo à lui, a commenté Sefolosha en direction du vainqueur. Il y a forcément une part de déception, j’ai mis beaucoup d’efforts dans cette élection. J’avais envie de m’impliquer dans le basket et la jeunesse en Suisse mais voilà, tant pis. Je pense avoir mieux à offrir que mon image.”\n\nFormé à l'Elan Chalon, Thabo Sefolosha est entré en NBA en 2006 pour en ressortir en 2020. Il a fait un retour éclair avec le Vevey Riviera Basket en fin de saison dernière.
Parle moi en détail de :
Quand Lahaou Konate revient dans le club de ses débuts
L'opération s'est tenue dans nouveau format créé par Rookicks\WeGive Back\. Cela implique des athlètes professionnels, artistes, créateurs qui font le vœu d’aider celui ou celle qui est à l’origine de leur succès. Dans ce premier épisode, Rookicks a invité Lahaou Konaté, à participer à ce nouveau concept en lui demandant à qui il voulait \Give Back\ et voici ce qu'il a répondu :\n\n\Je veux rendre à l’AS Orly Basket, mon premier club en région parisienne, là où tout a commencé́.Je souhaite faire une surprise au club et offrir aux U15 (50 joueurs) des équipements professionnels.\\n\nNé à Créteil, Lahaou Konaté a également porté le maillot de Charenton -avec Evan Fournier- avant de rejoindre les espoirs de Hyères-Toulon et d'y faire ses débuts en Pro A.\n\nAccompagnés par l’équipementier Puma, les 50 joueurs des U15 de l’AS Orly ont ainsi pu avoir la surprise de la venue de Konaté et ont pu échanger et participer à un petit training avec le joueur. Lahaou Konaté et Rookicks ont également régalé les jeunes en leur offrant à chacun une paire et une tenue complète.\n\nPour découvrir ce premier épisode avec Lahaou Konaté :ICI
Rédigez un rapport sur :
Les Belges vers un record de spectateurs pour du sport féminin
C'est certain, les Belgian Cats joueront devant plus de 10 000 spectateurs, le 8 février au Sportpaleis d'Anvers contre les États-Unis. Or, le record d'affluence en Belgique est détenu par la finale de la Coupe de Belgique de football avec 9 027 spectateurs le 18 mai 2023. Il suffira donc de comptabiliser chaque entrée pour déclarer un nouveau record.\n\nLes finales de la Coupe de Belgique de volley rassemblent régulièrement plus de 10 000 personnes à Anvers mais elles concernent à la fois les hommes et les femmes.\n\nMieux encore : la capacité du Sportpaleis en configuration basket sera portée à 17 500 places or le record de spectateurs pour un match masculin est de 17 250, à l'occasion de la Night of the Giants organisée elle aussi à Anvers le 23 mars 2018. Alors si l'engouement pour les championnes d'Europe se confirme, pourquoi ne pas aller décrocher aussi ce record.\n\nLe record d'affluence pour un match de basket féminin en Belgique date de la finale de l'Eurocup de mars 2015 entre les Castors Braine et Villeneuve d'Ascq au Dôme de Charleroi devant 6 500 personnes. Celui-là est certain de tomber.
Écrivez un article sur :
Chalon : 26 points, un record pour Antoine Eito
L'Elan a mené tout au long du match et Antoine Eito a été sa locomotive. Ses 26 points se décomposent en un 2/4 à deux-points, un superbe 7/12 à trois-points et... un petit 1/3 aux lancers-francs. Pour que la soirée soit parfaite, il a ajouté 6 rebonds, 5 passes et 2 interceptions. Avec une seule balle perdue, son évaluation a atteint 29.\n\n\EtAntoine (Eïto) s’est réveillé au bon moment. Il a débloqué la situation, d’autant plus que Nikolic a eu des problèmes de fautes toute la soirée\, a souligné le coach Savo Vucevic en conférence de presse rapporte le JSL.\n\nCette victoire avec le point average est très précieuse dans la course au maintien et c'est ce que le MVP du match a tenu à mettre en avant :\n\n«On gagne de 18 points, c’est bien. Ce match-là était coché. On a bien attaqué globalement. Dès qu’on se passait la balle, on trouvait des solutions face à leurs aides... et beaucoup moins quand on gelait le ballon. Je mets 26 points ce soir, c’est mon record en saison régulière. Mais je m’en fous. J’étais très content après Limoges alors que j’avais marqué 3-points. Maintenant, on a deux jours off, je vais passer une bonne soirée et un bon week-end.»\n\n\n\n\n\nIl a pris feu 🔥\n\nAntoine Eito en mode tireur d'élite face à Blois 🎯\n\n26 PTS - 7/12 de loin - 29 d'EVAL @ELANCHALON #BetclicELITE pic.twitter.com/P28YBPEm99\n\n— LNB (@LNBofficiel) December 9, 2023\n\n\nITW Antoine Eito (Elan Chalon): «Je n’ai pas mon âge, j’ai dix ans de moins»Antoine Eito (1,86 m, 35 ans) en est à sa 18e saison de Ligue Nationale de Basket et il a retrouvé l’élite après deux ans de Pro B. L’âge semble ne pas avoir de prise sur le meneur de l’Elan Chalon dont la personnalité est l’une des plus riches du basket pro français. Entretien. Photo d’oBasketEurope.comPascal Legendre
Expliquez les points forts de :
Dijon-Nanterre : Et Benjamin Sene a surgi
A 34 secondes de la fin du match, Govian Oniangue conclu deux lancers-francs. 79-82. Temps-mort et balle à Nanterre qui la perd. Gregor Hrovat (20 points, 4/8 à trois-points) enfile un panier derrière l'arc. 82-82. 19 secondes à jouer et tout reste à faire.\n\nLa JDA a donc réussi sa course poursuite alors qu'elle a connu de sales moments comme ce 0-13 avec un Desi Rodriguez à 23 points et 30 d'évaluation. Seulement, c'est Benjamin Sene (14 points) qui a eu le ballon du match, il ne l'a pas partagé et il a planté le panier de la gagne au buzzer.\n\n«C’était un match important pour nous, où les neuf joueurs devaient apporter, mais certains n’ont pas existé cesoir», a tonné le coach Nenad Markovic en conférence de presse écrit Le Bien Public.\n\nLa JDA est ainsi toujours enlisé en bas de tableau alors que Nanterre solidifie sa place dans le top 5. Sa victoire en terre bourguignonne, l'équipe de Pascal Donnadieu la doit notamment à sa belle adresse : 61,7% à deux-points, 75,6 à trois-points, 73,3% aux lancers-francs. Et aussi à sa défense.\n\n«On a fait 35 minutes de haute volée avec des choix défensifs payants pour qu’ils n’utilisent pas (Jacques) Alingué sur le short roll, ou pour qu’ils ne s’enflamment pas sur jeu rapide. Je sais qu’ils ont l’habitude de renverser des matches, et ils ont d’ailleurs bien failli le faire avec leurs 28 points dans le 4equart».\n\nBENJAMIN SENE POUR LA VICTOIRE ! 😱✅@Nanterre92 x @LNBofficiel#SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/73mnrGFXkh\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 9, 2023\n
Parle moi en détail de :
Massimo Cancellieri (Strasbourg) : \L'équipe a joué un match de merde !\
La conclusion du coach Massimo Cancellieri est claire :\n\n\L’équipe qui avait le plus envie de gagner ce soir c’était Gravelines. Je vais parler à mes joueurs pour essayer de comprendre pourquoi nous avons joué sans la volonté de gagner. Nous avons perdu les 4 quart-temps. Il n’y avait pas beaucoup de monde sur le terrain de notre côté. L’équipe a joué un match de merde: c’est tout!\\n\nLa déconfiture chez une équipe qui lutte pour sa survie est symbolisée par le -2 à l'évaluation de Nysier Brooks et de Chaundee Brown.\n\n\Est-ce qu’un joueur a essayé ? Pour moi, non! Gravelines a fait une pression tout terrain, a mis Fofana sur Phil Booth et après l’équipe était morte. Mais il n’y a pas que Phil Booth. Ce n’est pas que Phil Booth qui doit faire gagner le match. L’équipe n’était pas là. J’ai essayé de mettre un peu tout le monde, mais... l’équipe n’a pas joué avec un engagement suffisant pour gagner un match comme celui-là.\\n\nLa SIG n'a donc pas été capable de confirmer sa série de trois victoires (Le Portel, Blois, Nancy) et ne sort pas du ventre mou du championnat.\n\n\Comme l’a déjà dit Sylvain Lautié, ce n’est pas une honte de perdre ici, mais moi j’ai envie de gagner. Le problème n’est pas de perdre contre Gravelines, mais de ne pas avoir essayé de gagner. C’est ça le problème! Ils n’ont pas marqué beaucoup de points et nous, on n’a rien marqué. S’ils ont un peu d’adresse on perd ce match 100 à 50. Travailler la semaine comme on l’a fait pour après faire un match comme ça... Je n’ai pas envie. Ça ne sert à rien d’être une équipe d’entraînement. Ce qui compte c’est gagner le match! Ce match était le plus mauvais de la saison en termes d’attitudes. Ce soir va passer et demain nous allons nous remettre au travail.\
Expliquez les points forts de :
LFB : Gabby Williams sort l'ASVEL d'un mauvais pas
Les Bretonnes ont été poussées par une Cimenterie forte de 2 300 spectateurs et par son Américaine Roxy Barahman (21 points, 10 passes). D'ailleurs, il n'est pas anodin que c'est sa sortie pour cinq fautes qui a condamné Landerneau en prolongation.\n\n«On ne défend pas assez pour se mettre à l’abri dans ce type de matchs, a constaté le coach de l'ASVEL, David Gautier pour Le Progrès. Ce n’est pas nouveau et il faut qu’on arrive à faire plus. On a été devant toute la partie avant qu’elles ne passent devant à +2 à un moment important (72-74, 38e). On a eu le mérite de tenir et d’aller chercher cette victoire au mental. En ayant assez bien géré la prolongation.»\n\n«On s’est bien battues mais pas suffisamment pour l’emporter. On est déçues» a commenté Amy Okwonkwo pour le Télégramme. Son coach Wani Muganguzi a ajouté : «on est frustré par la manière car trop de détails cumulés nous empêchent de gagner. On perd trop de duels également ce soir.»\n\nDécidément, les Lyonnaises ont bien du mal à confirmer leur statut, celle d'une équipe d'Euroleague gorgée d'internationales. Outre Alexia Chery-Chartereau (20 points), c'est l'une d'elle qui a fait la différence, Gabby Williams et ses 28 points et 4 interceptions. Malgré tout, le bilan comptable est bon avec une quatrième victoire de rang en championnat. Mais il ne faudra pas qu'elles jouent plus longtemps avec le feu si les Lyonnaises veulent lutter pour le titre national.\n\n\n
Expliquez les points forts de :
Laurent Vila (Cholet) : \Craig Randall n’est pas le messie\
Cholet Basket manque de scoreurs. L'équipe de Laurent Vila n'avait marqué que 60 points contre Saint-Quentin et 59 contre Gravelines. L'arrivée de l'arrière Craig Randall (1,92 m, 27 ans) devait débloquer la situation. Ne venait-il pas de dépasser les 20 points en moyenne aussi bien en G-League qu'en Australie avec 40% de réussite à trois-points aux Adelaïde 36ers ? Dans la semaine, le coach s'était montré très enthousiaste à la perspective de le voir renforcer son effectif.\n\nLes Choletais ont scoré 78 points contre la JL Bourg. C'est mieux. Mais Craig Randall n'a pas mis dans la cible une seule de ses 9 tentatives derrières l'arc et son total de points s'est figé à 8. Laurent Vila a pu constater qu'il y a parfois de la marge entre ce que l'on voit sur des images et la réalité du terrain, surtout avec un joueur qui découvre l'Europe et ses préceptes. Il réclame de la patiente.\n\n\Randall évidemment ne peut pas s’intégrer aussi rapidement. C’est à nous de le couvrir sur certains moments. Craig n’est pas le messie, et tout le monde va devoir hausser son niveau de jeu, avec ou sans lui. Le match de Blois peut nous faire passer dans la crise ou nous remettre sur une bonne dynamique,\ a t-il commenté en conférence de presse rapporte Ouest France.\n\nLaurent Vila fait allusion aux sept défaites consécutives de CB qui glisse inexorablement en direction de la zone rouge et qui va affronter samedi prochain une équipe blésoise encore plus mal en point. Craig Randall promet qu'il va rectifier le tir.\n\n«Je serai meilleur au prochain match. Je n’ai qu’une semaine d’entraînement, avec une semaine de plus je vais mieux connaître mes coéquipiers. C’est une ligue dure, et contre une bonne équipe. En 2e mi-temps on a prouvé que l’on était une bonne équipe aussi. Cela va être dur mais cela va être du plaisir aussi. On va apprendre de cela et être prêt pour 40minutes. Un homme ne peut pas tout changer mais je peux assurer au public qu’on va gagner des matchs.»
Parle moi en détail de :
LFB : Tarbes a résisté à Bourges avec seulement quatre joueuses pros
OK, Bourges était privé de Kayla Alexander, Ana Maria Filip et Sarah Michel mais son effectif replet en fait un candidat à la fois au titre de champion de France et à l'Eurocup. Le TGB n'a ni le même budget, ni les mêmes ambitions et ni le même roster. Pour ce déplacement dans le Cher, il a a dû se passer d'Isabelle Yacoubou, Carla Leite et Marie-Paule Foppossi, sans parler de Lou Bobst et Serena Kessler, qui doivent se remettre d'une opération au genou.\n\n« On n’a pas fait l’impasse sur ce match mais à aucun moment on a envisagé de le gagner, a déclaré le coach François Gomez à La Dépêche. « On a bien tenu la première mi-temps mais un peu craqué dans le troisième quart-temps, constatait pour sa part Jess-Mine Zodia, Après, c’est du haut de tableau donc c’est normal de subir un peu surtout avec la fatigue et le manque de rotations ».\n\nOn peut mettre en avant côté Bourges la performance de Pauline Astier (20 points, 5 rebonds 4 passes), 21 ans, mais aussi celles de la bleusaille périgourdine. Et c'est ce qu'a fait François Gomez.\n\n« Nos jeunes de 18-19 ans, on en est très fiers. Lindsay Dorléans, c’était son premier match en ligue féminine, elle met dix points contre Bourges, elle n’a pas froid aux yeux la gamine ! On avait une hiérarchie très bien implantée et elle est complètement bouleversée. Les joueuses qui jouent en ce moment nous expliquent qu’elles sont là. Elles étoffent l’effectif et on sait qu’elles peuvent jouer. C’est bien, car le match de samedi prochain contre Angers, on a l’intention de le gagner ! »
Donnez une analyse détaillée de :
Nicolo Melli (Milan) : \Je suis une pièce importante dans l'histoire d'un club\
Nicolo Melli n'est pas un joueur de statistiques. Il a appris pourtant à se rendre indispensable.\n\n« En ce qui me concerne, j'ai eu deux leçons qui m'ont beaucoup aidé dans ma carrière.La première, qui m'a beaucoup aidé dans une période difficile c'est d'essayer de faire les choses qui permettent de rester sur le terrain.Si vous marquez 20 points à chaque match, c'est évident que vous jouez, mais cela n'a jamais été le cas pour moi.J'ai donc appris, en observant et en étudiant les adversaires, ce que je pouvais faire pour rester sur le terrain.J'ai toujours réussi à saisir les rebonds, même au niveau des jeunes. Défendre, c'est quelque chose que j'ai appris, en travaillant dur, puis les passes.J'aime regarder le basket alors j'ai étudié les situations.J'ai eu des entraîneurs comme (Andrea) Trinchieri et (Zeljko) Obradovic qui m'ont aidé à comprendre comment lire les matchs.L'autre - et j'en suis convaincu - est que si l'on gagne en équipe, tout le monde en profite.Surtout à haut niveau, si vous êtes un gagnant ou quelqu'un qui aide l'équipe à gagner, cela finit par vous servir.Si une équipe a des ambitions de haut niveau, ceux qui lui permettent de gagner sont récompensés.Ce n'est pas seulement une question économique, mais une question de satisfaction.On dit que les trophées sont remplis de poussière et que seules les émotions comptent.Je suis d’accord, mais je n’ai aucun problème à épousseter les trophées.Si cela peut aider... Nous dépensons tellement d'efforts, d'engagement, d'émotions, que vous voulez gagner.Ce n’est pas la seule chose qui compte, mais c’est l’une des plus importantes. »\n\nA la question de savoir s'il a déjà le regard tourné vers son après-carrière, Nicolo Melli est clair :\n\n\Non, je n'y pense pas, alors j'aimerais jouer au moins jusqu'en 2028, donc j'ai un autre cycle olympique après cette année.J'en ai aussi parlé avec Gigi (Datome) : l'important c'est de rester à un haut niveau, de bien faire les choses, d'être présentable.Je pense que je le suis toujours.La seule chose c'est que, quand ils m'ont donné le premier ballon pour un record, c'était peut-être les rebonds, je n'ai pas écrit dessus à quoi ça correspondait.Je dois le faire car il commence à y en avoir beaucoup.J'en n'aurais jamais autant que Kyle Hines en a dans sa cave ou son entrepôt, mais je dois commencer à écrire à quoi ils correspondent, sinon je vais me perdre.\\n\nNicolo Melli a déjà joué sous d'autres tuniques y compris en NBA, mais il en est à sa huitième saison milanaise, ce qui lui permet d'en être aujourd'hui sa référence.\n\n« Etant enfant, j'ai beaucoup suivi le football et j'ai toujours apprécié des joueurs comme Javier Zanetti, Alessandro Del Piero, Francesco Totti, ou au basket Dirk Nowitzki à Dallas, les porte-drapeaux.Je ne pense pas que je sois un porte-drapeau, mais être une pièce importante dans l'histoire d'un club, ne serait-ce que pour les apparitions, c'est bien.Ce n'est pas ce dont vous rêvez quand vous êtes enfant, ce ne sont pas les rêves que vous avez, mais en grandissant, vous réalisez que vous étiez une présence importante, d'un club important.Tout le monde ne peut pas le faire, j'y suis parvenu.\
Écrivez un article sur :
Espagne : Le Real Madrid bouscule Gran Canaria
Pour remporter une très large victoire (97-71), le Real a mis tout de suite les points sur les i avec un 14-0 destructeur. Avec 19 points, Mario Henzonja a été le meilleur marqueur du Real mais les Français ont également été productifs : 13 points (3/4 à trois-points) pour Fabien Causeur et 10 points et 6 rebonds pour Vincent Poirier. A l'inverse, à Gran Canaria, Andrew Albicy s'est contenté de 2 points et 2 rebonds.\n\nAvec cette victoire le Real Madrid a assuré sa présence à la Coupe du Roi (Copa del Rey) qui va se tenir à Malaga du 15 au 18 février. Le Real est l'actuel leader de la Ligue Endesa avec 12 victoires et une seule défaite et pour la troisième année consécutive, c'est l'équipe qui a gagné le plus rapidement son billet pour le tournoi.\n\nIl faut rappeler que Gran Canaria est invaincu en Eurocup (10-0) mais qu'il n'est que 7e en liga Endesa (7-6). Cela démontre une fois encore la richesse du championnat espagnol.
Expliquez les points forts de :
Le Portel lâche prise dans le 4e quart-temps face à Monaco
Si l'ESSM a pu longtemps tenir tête à une équipe qui possède... 13 fois son budget, c'est grâce à l'ambiance enivrante de son Chaudron, provoquée pour une part importante par ses Musicos, grâce à la vaillance de ses joueurs, et aussi du fait que l'AS Monaco s'est présentée dans une configuration championnat de France.\n\nSon diamant Mike James n'était pas sur la feuille de match, pas plus que son pivot Domantas Motiejunas, Jordan Loyd toujours à l'infirmerie, et Kemba Walker dont on se pose de plus en plus la question de son utilité. De plus, John Brown n'est pas entré en jeu. Ajoutons que Mam Jaiteh a été plusieurs fois étourdi et que Terry Tarpey, qui ne joue pas en Euroleague, a été très discret (0 point, 2 d'éval).\n\nLes Monégasques qui sont sur les deux fronts pouvaient légitimement manquer de ressorts après une semaine très chargée avec des voyages en Serbie et en Lituanie, mais ce sont toutefois, outre Matthew Strazel, à qui Sasa Obradovic a donné les clés du camion, ses \Européens\, Elie Okobo (meilleur marqueur avec 16 points), qui a eu un max de ballon, Alpha Diallo, dont on vante la placidité à chaque match, et Donta Hall, déterminant dans le money time en cumulant interception/dunk/contre/rebond offensif, qui ont été décisifs\n\nLe Portel menait 55-51 à la 28e sur une interception ponctuée d'un dunk de Digue Diawara (11 points, 7 rebonds, 4 interceptions). Phlandrous Fleming (14 points) et Bastien Vautier (12 points, 5 rebonds) abattaient un sacré travail... Mais tout d'un coup l'ESMM n'a plus rentré ses shoots -elle n'a conclu qu'un seul de ses 15 derniers shoots à trois-points. Ce sont les Portelois qui tiraient la langue et les Monégasques ont fait parler leur puissance pour se détacher : 66-61 (35e), 70-63 à 3'45...\n\nLa boxscore est ICI.\n\n🇫🇮🇫🇮🇫🇮🇫🇮🇫🇮🇫🇮🇫🇮🇫🇮🇫🇮🇫🇮🇫🇮🇫🇮🇫🇮🇫🇮\n\nPendant ce temps-là, tout le public scande le nom de @EdonMaxhuni et @EMPP_LESMUSICOS déploie une banderole en finlandais à la gloire de notre meneur...\n\nReste avec nous Edon 🥹 pic.twitter.com/Slj8npSZmz\n\n— ESSM Le Portel (@ESSMbasket) December 10, 2023\n
Donnez une analyse détaillée de :
LFB : Villeneuve d'Ascq chute à Basket Landes, Bourges seul leader
Les Berruyères sont sur une série de 15 victoires, toutes compétitions confondues, après celle obtenue samedi face à Tarbes (75-60). Et elles n'ont connu qu'un seul faux-pas en 10 journées de Ligue Féminine. La défaite de Villeneuve d'Ascq leur donne ainsi un succès d'avance au classement.\n\nC'est la pivot allemande Luisa Geiselsoder qui a apporté la victoire aux Landaises à trois secondes de la fin alors que l'Américaine Kennedy Burke a eu également le shoot de la gagne au buzzer et en déséquilibre mais l'a manqué. Luisa Geiselsoder a d'ailleurs fait un match plein avec 13 points et 12 rebonds alors que la meneuse Alexis Peterson a été la meilleure marqueuse du match avec 18 points. Malgré son shoot manqué, Kennedy Burke termine top-scoreuse de l'ESBVA avec 17 points et c'est elle qui avait permis à son équipe d'égaliser à 64-64 sur un 2+1.\n\nLa perf de @basketLandes 🏀\nMoment de bonheur 💙🤍\nBravo 👏🏻👏🏻👏🏻#Landes #Possible pic.twitter.com/eJvYltkkHy\n\n— Didier G (@DGadou) December 10, 2023\n\n\nLa boxscore est ICI.
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Allemagne : La révélation Niners Chemnitz
A une unité près les Niners Chemnitz n'ont pas réussi ainsi à égaler le record datant de la saison dernière du Telekom Baskets Bonn de la majorité actuelle des joueurs du Paris Basketball, mais leur success story est célébrée en Allemagne. Depuis que les Niners ont fait le saut en première division en 2020, ils n’ont cessé de s’améliorer d’année en année.Ils ont été la première équipe d'Allemagne de l'Est à se qualifier pour les playoffs de la Bundesliga en 2022 et ils sont en tête du championnat avec 9 victoires et 1 défaite\n\nL'entraîneur national Gordon Herbert souligne le travail que les Niners accomplissent depuis des années.\n\n« Je suis impressionné par la façon dont Chemnitz joue en ce moment. Ils se débrouillent extrêmement bien offensivement et défensivement.En Rodrigo Pastore, ils ont un très bon entraîneur\, a déclaré le coach champion du monde dans une interview à la \Freie Presse\.\C'est impressionnant ce que Rodrigo Pastore et tout le club ont réalisé là-bas ces dernières années.\\n\nL'Argentin au passeport italien de 51 ans Rodrigo Pastore est en poste à Chemnitz depuis l'été 2015 et il s'est depuis longtemps fait un nom au niveau international en tant que travailleur méticuleux et expert tactique.\n\n\Ses équipes ont une structure claire et ses ajustements tactiques pendant le match sont imaginatifs et précis\, a déclaré Stefan Koch, double entraîneur de l'année en Bundesliga et actuellement consultant à la télévision.\n\nL'équipe de Chemnitz a surmonté de nombreuses blessures pour se retrouver en tête de la Bundesliga, et atteindre le deuxième tour de la FIBA Europe Cup invaincus.\n\nMalgré tout, la bête noire des Niners de l'ancien Strasbourgeois DeAndre Lansdwone (11,2 points, 5,2 rebonds et 5,0 passes en FIBA Europe Cup) est incontestablement le champion en titre, Ulm, puisque c'est la seule équipe qui l'avait déjà fait chuter au préalable lors de la première journée de championnat.
Écrivez un article sur :
Pro B : Julien Espinosa n'est plus le coach de l'Alliance Sport Alsace
\Cette transition vise à insuffler un nouvel élan au sein de l'équipe, renforçant notre détermination à rester en pro B. Nous entamons une recherche minutieuse pour trouver un successeur capable de guider l'équipe,\ écrit le club dans un communiqué.\n\nJulien Espinosa était le coach de l'ASA depuis le 24 février 2022. Il paye le mauvais classement de son équipe (17e avec 2 victoires et 8 défaites), à égalité avec Antibes qui a de son côté remplacé Daniel Goethals par JD Jackson.
Expliquez les points forts de :
Vidéo : Le résumé long format de Paris-ASVEL
Les Parisiens ont été guidés par Tyson Ward (20 points, 7 rebonds, 27 d'évaluation) et TJ Shorts (19 points, 10 passes), sans oublier des tirs de haut niveau de Nadir Hifi (16 points) alors que les Villeurbannais, un moment largués, se soient réveillés.\n\nLes Parisiens ont ainsi rejoint leurs adversaires du jour à la 2e place (11 victoires et 4 défaites). Par la même occasion, les Monégasques se sont envolés (14-1).\n\nVoici les meilleurs moments du match.
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Limoges bientôt privé de Simisola Shittu ?
C'est Le Populaire qui a donné l'information le premier et c'est France Bleu Limousin qui l'a confirmée : Simisola Shittu (2,08 m, 24 ans) est rentré aux Etats-Unis pour des \raisons personnelles\ et pourrait quitter définitivement le CSP pour un autre motif : des sollicitations venues d'ailleurs.\n\n\Il se pose la question. Pour nous, cela va dépendre de savoir si on a une offre sur la table. Si on récupère un buy out et qu'on a un joueur derrière, pourquoi ne pas le faire?\ répond le directeur sportif Kevin Anstett à France Bleu Limousin. \Le plus important, c'est le sportif. Le terrain. Ce n'est jamais évident de reprendre un nouveau joueur, l'incorporer. S'il n'y a personne sur le marché, cela ne va pas forcément nous intéresser\.\n\nSimisola Shittu, c'est jusqu'à présent 6,6 points et 4,7 rebonds en 16 minutes dans une équipe qui tourne rond puisqu'elle vient de se sortir de la zone rouge -au détriment de Blois- alors qu'elle a été pénalisée de trois victoires. Une équipe qui espère également profiter pour le déplacement à Dijon du retour de Nicolas Lang remis de sa blessure et qui pourra aussi ainsi honorer sa sélection au All-Star Game.\n\n\n
Expliquez les points forts de :
Mohamed Dabone, le nouveau Wembanyama ?
La vidéo s'est propagée sur les réseaux sociaux. Lors du Tournoi de la Fondation Leucémie et Lymphome à l'issue duquel il a été nommé MVP, Mohamed Dabone a cumulé 25 points, 14 rebonds, 6 contres et une évaluation de 40lors de la finale Barcelone-Real Madrid. D'autant plus impressionnant que le Burkinabe serait né en 2011 -échaudé par d'autres cas, on préfère mettre le conditionnel- alors qu'il s'agissait d'un tournoi de U15.\n\nArrivé en Espagne l'été dernier, Mohamed Dabone a déjà joué dans les équipes des différentes catégories du Barça jusqu'en junior. Il se fait remarquer par sa présence défensive et tout autant par sa polyvalence en attaque. Il est notamment capable de marquer à trois-points.\n\nLe Burkina Faso est une ancienne colonie française, sous le nom de Haute-Volta qui a obtenu l'indépendance en 1960. On ne serait pas surpris de voir Mohamed Dabone naturalisé espagnol dans quelques années...
Écrivez un article sur :
Le programme TV : Une semaine à l'italienne pour les clubs français d'Eurocup
Mardi 12 décembre :\n18h30 - Promitheas Patras (Grèce) / Dijon - BCL -DAZN\n20h00 - ASVEL F / Fenerbahçe - Euroleague féminine -Skweek\n20h30 - Ostende (Belgique) / Strasbourg - BCL -DAZN\n20h30 - Paris / Venise (Italie) - Eurocup -Skweek\n\nMercredi 13 décembre :\n19h30 - Bourg / Trento (Italie) - Eurocup - Skweek\n19h30 - Basket Landes / Mersin (Turquie) - Euroleague féminine - Skweek\n20h00 - Villeneuve d'Ascq / Perfumerias Avenida (Espagne) - Euroleague féminine - Skweek\n\nJeudi 14 décembre :\n21h00 - ASVEL / Panathinaïkos (Grèce) - Euroleague - Skweek / La Chaine L'Equipe\n\nVendredi 15 décembre :\n18h45 - Fenerbahçe (Turquie) / Monaco - Euroleague - Skweek\n\nSamedi 16 décembre :\n16h00 - Blois / Cholet - Betclic Elite - Skweek\n18h30 - Dijon / Limoges - Betclic Elite - Skweek\n18h30 - Le Mans / Saint-Quentin - Betclic Elite - Skweek\n18h30 - Nanterre / Gravelines-Dunkerque - Betclic Elite - Skweek\n18h30 - Strasbourg / Boulogne-Levallois - Betclic Elite - Skweek\n19h00 - Villeneuve d'Ascq / Saint-Amand - LFB - Skweek\n21h00 - Bourg / Paris - Betclic Elite - Skweek\n\nDimanche 17 décembre :\n14h30 - Monaco / Roanne - Betclic Elite - Skweek\n15h15 - Charnay / ASVEL F - LFB -Sport en France\n16h30 - Le Portel / Nancy - Betclic Elite - Skweek\n19h00 - ASVEL / Chalon - Betclic Elite -La Chaine L'Equipe\n\nREGARDER LE BASKET FRANÇAIS ET EUROPÉEN LORS DE LA SAISON2023-2024:\nÀ LA TÉLÉVISION TRADITIONNELLE:\nLA CHAINE L'EQUIPE\nLa Chaîne L'Equipe retransmet un match de Betclic Elitechaque dimancheet quelques rencontres d'Euroleague. Disponible sur le canal 21 de la TNT.\nBEIN SPORTS\nBeIN Sports diffuse les équipes de France et la NBA. Ses chaines sont accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52, Canal Sat : canaux 66 à 68, Free : canaux 31 à 33, Orange : canaux 46 à 48 ou 176 à 178, SFR : canaux 115 à 117).\nFRANCE 3 REGIONS\nFrance Télévisions retransmet, sur ses antennes régionales, quelques affiches de Pro B et de Ligue Féminine (canaux 301 à 324).\nSPORT EN FRANCE\nLa chaîne gratuite diffuse une affiche par journée de Ligue Féminine (SFR : canal 129, Orange : canal 174, Free : canal 190 et Bouygues, canal 192).\n\nSUR INTERNET :\nSKWEEK\nL'intégralité des matches deBetclic Elite, d'Euroleague et d'Eurocup masculine, un match par semaine de Ligue Féminine, de l'Euroleague et de l'Eurocup féminine, le top 8 Coupe de France et du 3x3 sont diffusés en live et disponibles en replay sur la plateformeSkweek.\nLNB TV\nLa plateforme digitale (OTT) de la LNB retransmet l'ensemble des matches de Pro B. Ils sont disponibles en intégralité, en live et en replay. Trois façons d’y accéder: sur le siteLNB, sur le siteLNB TVou en téléchargeant l’application LNB suriOSouAndroid.\nDAZN\nLa plateforme de diffusion d'événements sportifs diffuse désormais les matches des clubs français en BCL. Il est possible d'y accéderpar internetou en téléchargeant l'application suriOSouAndroid.\nYOUTUBE\nLes chaînes YouTube de laFFBB, de laFIBAet de laFIBA 3x3diffusent gratuitement et en direct des matches de leurs compétitions : notamment la Ligue Féminine, l'Eurocup féminine et compétitions internationales de jeunes ainsi que diverses compétitions de 3x3 notamment.
Expliquez les points forts de :
Les Français de l'étranger : Yves Pons et Stéphane Gombauld omniprésents
Cette semaine, un vent frais a soufflé sur l'Europe du basket au niveau des joueurs français. Malgré deux journées d'Euroleague, les meilleures performances tricolores sont à mettre au crédit d'individualités peu habituées à se distinguer, à l'image de Frédéric Bourdillon. Resté en Israël malgré le conflit qui a touché le pays, l'arrière a patiemment attendu la reprise du championnat et signé la meilleure performance française de la semaine au scoring : 23 points, accompagnés de 5 rebonds, 3 passes décisive et la victoire pour sa nouvelle équipe, le Bnei Herzliya.\n\nAutre carton, celui d'Yves Pons avec Girona. Après un excellent début de saison suivi d'une baisse de régime, l'ancien de l'ASVEL est reparti fort : malgré la défaite de son équipe, il a inscrit 22 points, avec également 8 rebonds et 3 interceptions. Une grosse activité également démontrée par Stéphane Gombauld, toujours efficace malgré les difficultés de son équipe de Sassari : en BCL, l'ancien Nancéien a livré un match complet (17 points, 7 rebonds, 3 passes, 4 interceptions, 3 contres mais aussi 3 balles perdues).\n\n\nPremière réussie pour Amine Noua à Tortona\n\nParti de l'Hapoël Holon pour rejoindre l'Italie et Tortona, Amine Noua a parfaitement réussi ses débuts avec sa nouvelle équipe. Avec 17 points, 6 rebonds et 2 passes décisives, l'ailier-fort n'a pas pu empêcher la courte défaite de son équipe mais confirme sa bonne intégration dans une équipe ambitieuse.\n\nEnfin, on relèvera aussi les belles performances de Sylvain Francisco avec le Bayern Munich (22 points, 5 passes décisives), de Damien Inglis en Liga Endesa (16 points, 12 rebonds) ou encore de Jerry Boutsiele en Turquie (15 points, 13 rebonds).\n\n\n\n\nCOUPES D'EUROPE\n\nEUROLEAGUE\n\nSylvain Francisco(Bayern Munich)\nVictoire 91-84 contre Milan puis défaite 77-69 contre l'Olympiakos\n10,5 points, 2 rebonds, 4,5 passes décisives, 1 interception et 3,5 pertes de balle en 21 minutes\n\nFabien Causeur(Real Madrid)\nVictoires 77-71 contre l'Olympiakos puis 90-78 contre le Panathinaïkos\n2,5 points, 2 rebonds et 1 passe décisive en 15 minutes\n\nGuerschon Yabusele(Real Madrid)\nVictoires 77-71 contre l'Olympiakos puis 90-78 contre le Panathinaïkos\nBlessé\n\nVincent Poirier(Real Madrid)\nVictoires 77-71 contre l'Olympiakos puis 90-78 contre le Panathinaïkos\n1 point, 3,5 rebonds, 0,5 passe décisive, 1 interception et 2,5 contres en 17 minutes\n\nDamien Inglis(Valence)\nVictoires 85-81 contre l'Etoile Rouge de Belgrade puis 78-55 contre l'ASVEL\n3,5 points, 5 rebonds, 2 passes décisives et 1,5 interception en 17 minutes\n\nRodrigue Beaubois(Anadolu Efes)\nVictoires 71-68 contre le Panathinaïkos puis 97-89 contre l'ALBA Berlin\nBlessé\n\nIsmaël Kamagaté(Olimpia Milan)\nDéfaites 91-84 contre le Bayern Munich puis 82-69 contre le Partizan Belgrade\n0 point, 0 rebond, 0 passe décisive et 1 perte de balle en 2 minutes\n\nIsaïa Cordinier(Virtus Bologne)\nVictoires 80-75 contre Barcelone puis 100-90 contre le Maccabi Tel-Aviv\n7,5 points, 3,5 rebonds, 4 passes décisives, 1 interception et 1,5 perte de balle en 18 minutes\n\nMathias Lessort(Panathinaïkos)\nDéfaites 71-68 contre l'Anadolu Efes puis 90-78 contre le Real Madrid\n15,5 points, 4 rebonds, 1 passe décisive, 1,5 contre, 1 interception et 1 perte de balle en 31 minutes\n\nMoustapha Fall(Olympiakos)\nDéfaite 77-71 contre le Real Madrid puis victoire 77-69 contre le Bayern Munich\n8,5 points, 4 rebonds et 1 passe décisive en 24 minutes\n\nEUROCUP\n\nJaylen Hoard(Hapoël Tel-Aviv)\nVictoire 95-80 contre Ljubljana\n17 points, 6 rebonds, 2 passes décisives, 1 interception et 1 perte de balle en 21 minutes\n\nYoan Makoundou(Buducnost Podgorica)\nVictoire 83-81 contre Lietkabelis\n6 points, 6 rebonds, 2 passes décisives, 1 interception, 2 contres et 1 perte de balle en 11 minutes\n\nPierre Pelos(Gran Canaria)\nVictoire 93-65 contre l'Aris\n7 points, 3 rebonds, 1 passe décisive et 1 interception en 17 minutes\n\nAndrew Albicy(Gran Canaria)\nVictoire 93-65 contre l'Aris\n5 points, 1 rebond, 7 passes décisives, 2 interceptions et 3 pertes de balle en 19 minutes\n\nPacome Dadiet(Ulm)\nVictoire 85-83 contre Trento\n4 points et 1 rebond en 10 minutes\n\nNoa Essengue(Ulm)\nVictoire 85-83 contre Trento\nN'a pas joué.\n\nAdam Mokoka(Cluj-Napoca)\nDéfaite 95-84 contre Türk Telekom\n2 points, 3 rebonds, 2 passes décisives, 1 interception, 1 contre et 2 pertes de balle en 26 minutes\n\nBCL\n\nDavid Michineau(Bursaspor)\nVictoire 77-65 contre Breogan\n11 points, 6 passes décisives, 1 interception et 2 pertes de balle en 25 minutes\n\nStéphane Gombauld(Sassari)\nDéfaite 110-79 contre l'AEK Athènes\n12 points, 7 rebonds, 3 passes décisives, 4 interception, 3 contres et 3 pertes de balle en 25 minutes\n\nAmine Noua(Tortona)\nPas de match cette semaine\n\nFIBA EUROPE CUP\n\nAxel Bouteille(Bahcesehir)\nVictoire 100-90 contre le Legia Varsovie\n5 points, 3 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception, 1 contre et 2 pertes de balle en 13 minutes\n\nJerry Boutsiele(Bahcesehir)\nVictoire 100-90 contre le Legia Varsovie\n9 points, 7 rebonds, 2 passes décisives, 1 contre et 2 pertes de balle en 29 minutes\n\n\nCHAMPIONNATS ETRANGERS\n\nESPAGNE\n\nFabien Causeur(Real Madrid)\nVictoire 97-71 contre Gran Canaria\n13 points, 2 rebonds, 2 passes décisives et 1 perte de balle en 22 minutes\n\nGuerschon Yabusele(Real Madrid)\nVictoire 97-71 contre Gran Canaria\nBlessé\n\nVincent Poirier(Real Madrid)\nVictoire 97-71 contre Gran Canaria\n10 points, 6 rebonds, 1 passe décisive et 2 pertes de balle en 19 minutes\n\nAndrew Albicy(Gran Canaria)\nDéfaite 97-71 contre le Real Madrid\n2 points, 2 rebonds et 1 perte de balle en 15 minutes\n\nPierre Pelos(Gran Canaria)\nDéfaite 97-71 contre le Real Madrid\n4 points, 6 rebonds, 1 passe décisive et 1 interception en 21 minutes\n\nDamien Inglis(Valence)\nVictoire 85-77 contre Murcie\n16 points, 12 rebonds, 4 passes décisives, 2 contres, 1 interception et 1 perte de balle en 29 minutes\n\nYves Pons(Girona)\nDéfaite 101-87 contre Manresa\n22 points, 8 rebonds, 3 interceptions, 1 contre et 1 perte de balle en 28 minutes\n\nTURQUIE\n\nRodrigue Beaubois(Anadolu Efes)\nMatch ce lundi contre Fenerbahçe\nBlessé.\n\nAxel Bouteille(Bahcesehir)\nDéfaite 95-94 contre le Besiktas\n11 points, 2 rebonds et 4 passes décisives en 25 minutes\n\nJerry Boutsiele(Bahcesehir)\nDéfaite 95-94 contre le Besiktas\n15 points, 13 rebonds, 3 passes décisives, 2 interceptions et 3 pertes de balle en 30 minutes\n\nDavid Michineau(Bursaspor)\nDéfaite 87-85 contre Merkezefendi\n2 points, 3 rebonds, 4 passes décisives et 2 pertes de balle en 21 minutes\n\nITALIE\n\nIsmaël Kamagaté(Olimpia Milan)\nVictoire 82-80 contre Bologne\nN'a pas joué.\n\nIsaïa Cordinier(Virtus Bologne)\nDéfaite 82-80 contre Milan\n11 points, 4 rebonds, 5 passes décisives, 2 interceptions et 2 pertes de balle en 27 minutes\n\nAmine Noua (Tortona)\nDéfaite 100-97 contre Pistoia\n17 points, 6 rebonds, 2 passes décisives et 2 contres en 24 minutes\n\nStéphane Gombauld(Sassari)\nDéfaite 110-65 contre Sassari\n17 points, 7 rebonds, 3 contres et 2 pertes de balle en 27 minutes\n\nGRÈCE\n\nMoustapha Fall(Olympiakos)\nMatch ce lundi contre Karditsas\n\n\nMathias Lessort(Panathinaïkos)\nVictoire 97-85 contre le PAOK\n2 points, 1 rebond, 1 contre et 2 pertes de balle en 13 minutes\n\n\nALLEMAGNE\n\nSylvain Francisco(Bayern Munich)\nVictoire 86-78 contre Bonn\n22 points, 3 rebonds, 5 passes décisives, 2 interceptions et 3 pertes de balle en 26 minutes\n\nLéo Westermann(Crailsheim)\nPas de match cette semaine\n\nPacome Dadiet(Ulm)\nVictoire 87-78 contre Chemnitz\n2 points, 1 rebond et 1 perte de balle en 15 minutes\n\nNoa Essengue(Ulm)\nVictoire 87-78 contre Chemnitz\nN'a pas joué\n\nISRAEL\n\nJaylen Hoard(Hapoël Tel-Aviv)\nVictoire 90-66 contre Galil Elyon\n19 points, 3 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception et 2 contres en 19 minutes\n\nFrédéric Bourdillon(Bnei Herzliya)\nVictoire 91-81 contre l'Hapoël Eilat\n23 points, 5 rebonds, 3 passes décisives et 2 interception en 32 minutes\n\nLIGUE ADRIATIQUE\n\nYoan Makoundou(Buducnost Podgorica)\nVictoire 82-76 contre le FMP Belgrade\n10 points, 7 rebonds, et 2 interceptions en 23 minutes\n\nHugo Besson(FMP)\nDéfaite 82-76 contre le Buducnost Podgorica\n19 points, 8 rebonds, 3 passes décisives et 3 pertes de balle en 33 minutes\n\nLuka Asceric(FMP)\nDéfaite 82-76 contre le Buducnost Podgorica\nN'a pas joué\n\nAlexandre Gavrilovic(Mornar Bar)\nDéfaite 86-74 contre Ljubljana\n6 points, 7 rebonds, 2 passes décisives et 2 contres en 24 minutes\n\nRUSSIE\n\nThomas Heurtel(Zenit Saint-Petersbourg)\nDéfaite 104-89 contre le CSKA Moscou\n18 points, 1 rebond, 6 passes décisives, 1 interception et 1 perte de balle en 30 minutes\n\nAdrien Moerman(Zenit Saint-Petersbourg)\nDéfaite 104-89 contre le CSKA Moscou\n7 points, 5 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception et 1 perte de balle en 22 minutes\n\nLivio Jean-Charles(CSKA Moscou)\nVictoire 104-89 contre le Zenit Saint-Petersbourg\n6 points, 3 rebonds, 2 passes décisives et 2 pertes de balle en 17 minutes\n\nAmath M'Baye(CSKA Moscou)\nVictoire 104-89 contre le Zenit Saint-Petersbourg\n12 points, 4 rebonds, 2 passes décisives et 1 perte de balle en 32 minutes\n\nLouis Labeyrie(UNICS Kazan)\nDéfaite 82-75 contre le Lokomotiv Kuban\n5 points, 5 rebonds, 1 passe décisive et 1 interception en 36 minutes\n\nAUSTRALIE\n\nAlexandre Sarr(Perth Wildcats)\nDéfaite 100-82 contre les Illawarra Hawks\n13 points, 5 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception, 2 contres et 1 perte de balle en 26 minutes\n\nBNXT LEAGUE\n\nJared Ambrose(Circus Brussels)\nN'a pas joué\n\nThomas Hanquiez(Circus Brussels)\nN'a pas joué\n\nPOLOGNE\n\nAaron Cel(Torun)\nVictoire 104-83 contre Gliwice\n7 points, 4 rebonds, 4 passes décisives et 2 pertes de balle en 20 minutes\n\nROUMANIE\n\nAdam Mokoka(Cluj-Napoca)\nVictoire 88-85 contre Voluntari\n7 points, 5 rebonds et 1 passe décisive en 20 minutes\n\nThomas Smallwood(Laguna Sharks Bucarest)\nDéfaite 82-49 contre le Dinamo Bucarest\n11 points, 9 rebonds, 2 passes décisives et 2 pertes de balle en 31 minutes\n\n
Expliquez les points forts de :
Sept franchises NBA pour voir Zaccharie Risacher et Tidjane Salaün
Dans son édition du jour, Le Courrier de l'Ouest donne les noms des franchises représentées à La Meilleraie : les San Antonio Spurs, les Philadelphie Sixers, les Portland TrailBlazers, les Phoenix Suns, les Washington Wizards, le Miami Heat et le Oklahoma Thunder. Il s'agissait de scouts et aussi de General Managers. Les Detroit Pistons, les Dallas Mavericks et les Sacramento Sacramento s'étaient décommandés. Ils avaient tous dans leur viseur le Burgien Zaccharie Risacher et le Choletais Tidjane Salaün.\n\n\Évoluer sous les yeux des scouts NBA est devenu pour eux une habitude. Il n’y a pas eu un match à domicile sans qu’on ait au moins en recruteur en tribune. Je crois que les équipes NBA sont toutes déjà venues au moins une fois cette saison,\ indique Guillaume Costentin, le Directeur Sportif de Cholet Basket au quotidien du Maine-et-Loire.\n\nZaccharie Risacher (2,07 m, 18 ans) s'est avéré le meilleur marqueur du match avec 20 points à 4/7 à trois-points. Tidjane Salaün (2,06 m, 18 ans) a été davantage en demi-teinte avec 13 points et 5 rebonds, mais aussi 5 balles perdues et 5 fautes.\n\n\Ils (les scouts NBA) viennent scruter les axes d’amélioration, la complémentarité par rapport à leur effectif actuel, analyse l'ancien Choletais Cédric Ferchaud consultant sur Skweek. Le fait d’être présent dans la salle leur permet aussi de voir des attitudes corporelles, la manière dont les joueurs absorbent la pression et gèrent la frustration. Et ils n’ont jamais trop d’infos.\\n\nZachharie Risacher figure à la 3e place de la dernière prévision pour la Draft 2024 de ESPN, Tidjane Salaün à la 15e.\n\nAnother big game for projected No. 3 pick Zaccharie Risacher in France, dropping 20 points in 25 minutes, including several clutch one on one buckets to ice the game down the stretch. The 6'10, 18-year old is shooting 47% for 3 on the season. pic.twitter.com/IuvpEEzihy\n\n— Jonathan Givony (@DraftExpress) December 11, 2023\n
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Nebojša Bogavac quitte les Métropolitans pour devenir coach à l'Alliance Sport Alsace
Nebojša Bogavac, qui fut international pour la Serbie-Monténégro, est une figure du basket français ayant joué au Mans, à l'ASVEL et à la JDA Dijon. Sa carrière de coach a débuté en Serbie, auKK Vrsac, il a également dirigé la sélection U18 du Monténégro et il a rejoint la SIG Strasbourg en 2013 pour y être l'adjoint de Vincent Collet.\n\nLors de la saison 2022-2023, Nebojsa a occupé le poste de coach du club monténégrin duKK Podgorica. En cette saison 2023-2024, il a débuté sur le banc des Metropolitans 92 en tant qu'assistant de Laurent Foirest, puis de Jean-Paul Besson suite à l'éviction de ce dernier. Les Mets qui se retrouvent ainsi avec un staff déplumé.\n\nLe nouveau coach de l'ASA prend les rênes de l'équipe alsacienne dès ce lundi alors que se profile unmatch crucial contre Aix-Mauriennevendredi.
Donnez une analyse détaillée de :
Jorge Garbajosa (FIBA Europe) : \Nous souhaitons une harmonisation totale des compétitions\
A propos des matches des équipes nationales l'hiver :\n\n\Ce n'est pas facile.Nous avons l'accord de février avec l'Euroleague selon lequel les matches de cette fenêtre ne chevauchent pas les matches de l'Euroleague.Il s’agit d’un accord extrêmement significatif, plutôt que symbolique, mais c’est un petit accord.C'est un accord pour un an, pour un match précis, c'est une semaine.J'aimerais parvenir à un accord sur 20 ans.Se mettre d'accord sur des années d'organisation, d'harmonisation des compétitions, que chacun ait son espace, que chacun ait sa valeur, une reconnaissance mutuelle de leur importance.La FIBA n'a jamais minimisé l'importance de l'Euroleague, mais personne ne peut nier que le plus grand impact du basket-ball est l'équipe nationale de chaque pays et nous ne parlons pas de jouer 25 matchs.Un accord est difficile mais je suis optimiste.Nous avons des réunions et nous continuerons d’en avoir.Nous avancerons plus ou moins, mais nous savons clairement où nous voulons aller.Nous souhaitons une harmonisation totale des compétitions sans nuire aux compétitions nationales, qui sont notre pain quotidien.\n\nA propos du nombre de Coupes d'Europe :\n\n\Je pense que trois est un bon nombre, plus que quatre.La FIBA Europe Cup, plus méconnue en Espagne, à laquelle participe Saragosse, est un tournoi nécessaire pour accueillir de nombreuses équipes, qui ont peut-être besoin de voir ce que c'est que de jouer en Europe, cela leur permet d'avoir une visibilité dans une Europe qu’ils ne peuvent peut-être pas avoir au plus haut niveau.Elle représente 35 pays et a une valeur importante sur le plan sportif et commercial.Je n'ai rien contre l'Euroleague.Je suis un grand fan de la Basketball Champions League, qui a un format très attractif, tant sur le plan sportif qu'économique.Chaque match compte, chaque match est nécessaire aux fans.Et le retour que vous recevez si vous progressez dans la compétition est très intéressant.\\n\nOn en conclut donc que Jorge Garbajosa serait pour la suppression de l'Eurocup ou de sa fusion avec la BCL.\n\nA propos de l'implantation d'une équipe de l'Euroleague à Dubaï :\n\n\Je n'arrive pas à bien me prononcer, parce que ce que je sais vient des médias, je n'ai pas de communication officielle.Donc pour l'instant je le mets en quarantaine.Non, je n'aime pas particulièrement ça et je n'aime pas ça parce que je crois aussi, je ne sais pas si c'est très juste de le dire, que quand il faut aller chercher des ressources en dehors de son écosystème naturel, c'est que quelque chose ne s'est pas bien passé.Mais je ne veux pas m'aventurer parce que je ne sais pas ce qui est vrai.\\n\nRapprochement avec l’Euroleague, Jeux Olympiques, naturalisations... Le secrétaire général de la FIBA se livreÀ l’occasion du cinquième anniversaire de son élection à la tête de la FIBA, le secrétaire général Andreas Zagklis a passé en revue l’année 2023 et s’est projeté sur 2024, une année olympique particulièrement attendue.BasketEurope.comClément Carton
Écrivez un article sur :
Scandale en Italie : La TV interrompt Milan-Virtus avant la fin
Ce match de prestige a donné lieu, selon les commentateurs, à une bonne audience avec 200 000 téléspectateurs, en clair, sur la chaîne Nove, même si on remarque qu'ils étaient le même jour 537 000 pour le championnat d'Europe de natation en petit bassin et 278 000 pour du patinage artistique, les deux évènements sur la RAI Due.\n\nSeulement, les chers téléspectateurs n'ont pas vu les trois dernières secondes. Milan menait 82-80 mais le meneur de la Virtus Daniel Hackett avait la balle en mains. Au moment où il s'apprête à shooter... une publicité surgit sur l'écran, puis deux, trois, jusqu'au moment où prend place le talk show Che tempo che fa.\n\nComment s’est terminé le match ?Les téléspectateurs ne le sauront jamais, car il n'y aura même pas de retour au Forum pour donner le score et peut-être s'excuser. C'est par un communiqué sur les réseaux que Discovery Italia le fera plus tard.\n\nCet incident rappelle ce qui était arrivé le 23 janvier 1993, en France, lorsqu'un match Gravelines-Cholet avec 47 points d'Antoine Rigaudeau et 35 d'Olivier Bourgain fut interrompu sans crier gare sur FR3. Et comme les fans français en leur temps, les tifosi se sont déchaînés sur les réseaux sociaux et les médias ont également tiré à boulets rouges. Ainsi, on peut lire dans Tuttosport :\n\n\Cette année, les chaînes de télévision qui détiennent les droits, Dazn en tête, font enfin beaucoup pour promouvoir le produit. Mais il faudrait alors avoir des connaissances pour éviter de se ridiculiser. La Rai a été très critiquée en 2020 pour un final identique, mais le match était déjà décidé. Il s'agit de décaler le prochain programme sur le planning, de mieux s'organiser. Il faut savoir que le basket n'est pas un sport avec un horaire précis. Et quel sport est prévisible désormais ? Pas même le football avec du temps additionnel de cinq minutes ou plus. Mais pour le football, on attend toujours.\\n\nTiens, en Italie, on fait le même constat qu'en France.\n\nAu final, Milan a bien remporté le match 82-80 avec Nicolo Melli à 15 points et 7 rebonds.
Expliquez les points forts de :
Allemagne : Karim Jallow blanchi dans une affaire de dopage
L'Agence nationale antidopage allemande (NADA) a annoncé que le joueur du Ratiopharm Ulm Karim Jallow (1,98m, 26 ans) avait été acquitté par le Tribunal arbitral allemand du sport (DIS).La NADA avait engagé une procédure contre Jallow parce qu'il aurait violé les obligations de déclaration et de contrôle à trois reprises en douze mois, il y a plus d'un an et demi.Le Munichois d'origine n’a jamais été accusé de \dopage réel\, mais s'il avait été reconnu coupable, il aurait quand même été condamné à une suspension d'au moins un an, voire deux ans.Jallow a déclaré dans une interview au service de streaming Dyn : \Un nuage sombre planait sur moi. Maintenant, je peux à nouveau jouer librement.\\n\nJallow, qui tourne à 16,8 points de moyenne, avec un superbe 60,7% de réussite aux tirs dont 53,3% à trois-points, est probablement avec Johannes Thiemann d'Alba Berlin et Isaac Bonga et Andreas Obst du Bayern Munich, le meilleur joueur allemand de la Bundesliga. Il s'était retiré de la pré-sélection de l'équipe nationale allemande et donc de l'équipe nationale elle-même en raison de l'enquête de la NADA.\n\nSa chance de participer aux Jeux Olympiques de Paris l'année prochaine est probablement nulle car son dossier n’est peut-être pas encore complètement refermé.Jusqu'à présent, ni la NADA ni personne d'autre en dehors du tribunal arbitral sportif ne connaît la raison de l'acquittement de Jallow, mais dès que ces informations seront disponibles, les enquêteurs souhaitent envisager des voies de recours devant le Tribunal international arbitral du sport (TAS).
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Betclic Elite : Nadir Hifi élu Joueur du mois de novembre
Nadir Hifi a été l'auteur de 13,7 points à 45% à trois-points pour 10,2 d'évaluation durant la période. C'est la troisième fois qu'il remporte le trophée -c'était la saison dernière avec Le Portel-, mais c'est une première pour le club parisien.\n\nNadir Hifi a été préféré à DeVante Jones (Le Mans), Shavon Thompson (Nancy) et Bastien Vautier (Le Portel).
Parle moi en détail de :
Kemba Walker (Monaco) : \Mon amour pour le jeu est ce qui me fait continuer\
L'ancien champion NCAA a passé 12 saisons en NBA, où il a été sélectionné à quatre reprises dans l'équipe All-Star et il reste le meilleur marqueur de tous les temps dans l'histoire de la franchise des Charlotte Hornets. Avant de devenir célèbre, Walker était un enfant de New York qui adorait le basket-ball et perfectionnait ses compétences sur les terrains asphaltés. Celui sur lequel il a commencé à briller était le célèbre Rucker Park, que Walker a continué à fréquenter même après avoir été à l'université.\n\n« Le streetball, c’est là où j’ai commencé. Je voulais donc continuer à y aller autant que possible\, a commenté Walker à propos de ses années à jouer au Rucker. \C'était de bons moments.\\n\nAprès avoir joué pour la Rice High School, où il était le coéquipier du futur joueur de l'Euroleague, de Gravelines et de Boulazac, Edgar Sosa, Kemba Walker a joué à la fac à l'Université du Connecticut. C'est là qu'il a gagné le surnom de «Cardiac Kemba» pour son buzzer beating jumper en quarts de finale du tournoi de la Big East.Walker et UConn ont continué à écrire l'histoire jusqu'à remporter le championnat NCAA 2011. Quelques mois plus tard, il a été recruté par l'idole de son père, Michael Jordan, et les Hornets. Bien qu’il ait atteint des niveaux de renommée et de richesse -près de 200 millions de dollars de gains en carrière- dont Walker n’aurait pas pu rêver lorsqu’il était enfant à New York, ce n’est pas ce qui l’a conduit au succès.\n\n\Mon amour pour le jeu est ce qui me fait continuer. J'aime jouer au basket. C'est ce qui m'apporte de la joie. C'est ce qui me fait oublier tout ce qui se passe dans ma vie. C'est ce qui me permet de continuer, chaque jour, peu importe à quel point c'est difficile.\\n\nWalker avait de nombreux coéquipiers européens, notamment français, pendant son séjour en NBA. Et lorsque l'offre de jouer pour Monaco en Euroleague est arrivée, l'Américain était prêt à relever le défi.\n\n\Je voulais vivre une nouvelle expérience. Je voulais essayer de découvrir le monde. Et cela a vraiment été un ajustement facile », a-t-il expliqué. « Ces gars m'ont accueilli à bras ouverts, m'ont traité avec beaucoup de respect. Cela a vraiment rendu ma transition très facile. En tant que personne venant des États-Unis et arrivant ici pour la première fois depuis un certain temps, tout ce que vous pouvez demander, c'est être accueilli de la bonne manière. Et c’est quelque chose que j’apprécie beaucoup de la part de mes coéquipiers. Ces gars-là font partie des meilleurs coéquipiers que j’ai jamais eu. Ces gars sont incroyables, j’aime être avec eux tous les jours. J’apprécie chaque matin de savoir que je viens m’entraîner avec ces gars... Ils rendent les choses amusantes.\\n\nKemba Walker a quand même bien du mal à récupérer de sa grave blessure au genou. Il n'a eu droit qu'à 10 minutes en moyenne sur 10 matches d'Euroleague et il n'est pas inscrit en Betclic Elite.\n\nLa vidéo (en anglais) :
Rédigez un rapport sur :
Tyrus McGee, un arrière américain à Strasbourg
Tyrus McGee est engagé par la SIG jusqu’à la fin de la saison 2023-24. Le club alsacien a dû attendre la lettre de sortie d'Eilat avant de pouvoir annoncer cette signature d’un joueur connu en France pour avoir évolué avec Pau-Lacq-Orthez lors de la saison 2019-20 (13,8 points, 2,8 rebonds, 2,2 passes).\n\nSorti de l’Université D’Iowa State en 2013, Tyrus McGee a par ailleurs évolué dans différents championnats européens (Espagne, Allemagne, Italie, Turquie, Israël) et en Chine. La saison dernière, à Galatasaray, il pointait à 11,9 points (40% de réussite à trois-points), 2,2 rebonds et 2,4 passes.\n\n
Rédigez un rapport sur :
Matt Pokora : \J'ai envie que la SIG devienne le troisième club derrière Monaco et l’Asvel\
Le chanteur Matt Pokora est désormais actionnaire de la SIG à hauteur de 300 000 euros, et dans un entretien au quotidien L'Equipe, il confie que c'est lors de vacances avec le président Tony Parker qu'il a été incité à faire cette démarche, le basket ne nécessitant pas des fonds comparables au football.\n\n\Oui, il connaît ma passion pour le basket et ma vision marketing : comment vendre quelque chose à un public. En France, on a un numéro 1 de draft NBA ,un joueur au Hall of Fame NBA, un triple meilleur défenseur de l’année et des médailles avec l’équipe nationale. Ce n’est pas normal qu’on soit un des pays les plus mal lotis en Europe en termes d’exposition ou de droits télévisuels. Tout le monde a la NBA comme référence, ses maillots, ses parquets, mais quand on zappe sur la Betclic Élite, on a du mal à identifier les logos, les couleurs des équipes. Il y a un travail à faire dans la façon de vendre ce sport, de faire en sorte que ce soit un show.\\n\nMatt Pokora peut-il devenir un jour propriétaire de la SIG comme son ami Tony Parker à l'ASVEL ?\n\n\Pourquoi pas(sourire). Mais comme je l’expliquais, Strasbourg, c’est un cas particulier, avec plus de 100 actionnaires dont un qui a aussi mis 300 000 euros (la société1DoTech). L’exposition sera aussi totalement différente : si je fais un post sur le parquet, c’est un million de vues sur les réseaux sociaux. Mon image peut aider pour trouver des sponsors, des opportunités qui peuvent bénéficier après à l’équipe. On a une grande ville, un vrai potentiel avec le public puisqu’on fait de bonnes affluences alors qu’on joue trop souvent en même temps que le foot. J’ai envie qu’on passe un cap et que la SIG devienne le troisième club derrière Monaco et l’Asvel.\
Écrivez un article sur :
Espagne : 6 200 spectateurs en moyenne en novembre
Le championnat espagnol a enregistré en novembre une fréquentation moyenne dans les salles de 84,7% contre 71,3% la saison dernière sur le même mois. Ce taux est quasi identique à celui d'octobre (84,9%).\n\nLe match entreSurne Bilbao Basket etle Real Madrid, à la Bilbao Arena le 12 novembre, a totalisé le plus grand nombre de spectateurs avec 9 897 personnes dans la salle.A l'autre bout de l'échelle, c'est le match entre MoraBanc Andorra et Baxi Manresa, au Pavelló del Govern le 11 novembre, qui a attiré le moins de spectateurs soit... 4 056.\n\nJusqu'à sept équipes disposent de salles pouvant accueillir entre 5 000 et 6 000 spectateurs, tandis quesix autres disposent d'une arèna d'une capacité comprise entre 10 000 et 16 000 sièges.\n\nA ce jour en Betclic Elite, seul le Rhénus de Strasbourg atteint tout juste les 6 200 places de capacité. Les records de spectateurs ont été réalisés lors de délocalisations à la Paris Défense Arena et à l'Accor Arena de Paris.
Écrivez un article sur :
Wembanyama : 15 points, 18 rebonds, 5 contres et toujours pas de victoire
Un chiffre pique particulièrement les yeux, le 5 sur 41 derrière l'arc soit 12,2 % ! Victor Wembanyama n'a pas été plus adroit que les autres à cette distance (1/6), mais il a été épatant en défense, où il a capté 16 rebonds et ajouté 5 contres, dont l'un sur le pivot adverse, le Turc Alperen Sengun qu'il a par la suite postérisé.\n\nSur ses 20 premiers matches, Wemby a engrangé en moyenne 19,0 points, 10,2 rebonds et 2,7 contres. Comme les Américains sortent des statistiques dans tous les sens, on apprend que seulement quatre autres rookies dans l'histoire de la NBA ont établi une moyenne de 19-10-2 après le même nombre de matches : David Robinson (1989-90), Shaquille O’Neal (1992-93), Ralph Sampson (1983-84) et Hakeem Olajuwon (1984-85).\n\n\Ce n'est pas facile, mais nous savons que nous n'avons pas d'autre choix que de continuer\, a déclaré Wembanyama après ce nouvel échec. « Personne ne doute qu’à long terme, nous serons gagnants. Bien sûr, je déteste perdre, mais je reste concentré sur l’objectif à long terme.\
Écrivez un article sur :
Euroleague : Les joueurs du Maccabi devraient subir une baisse de leurs salaires
Suite à l'attaque du Hamas, le Maccabi est contraint de jouer ses matches \à domicile\ à huis clos à Belgrade, ce qui provoque une énorme perte financière. La direction du club a entamé des discussions avec les joueurs de l'équipe afin de mettre en œuvre une réduction de leurs salaires, indiqueWalla Sport.\n\nLe Maccabi invoque la \force majeure\ pour éviter que cette décision ne soit accueillie négativement par l'Association des joueurs de l'Euroleague (ELPA).\n\n\Lors de leur entretien d'hier soir, les responsables de l'Association des joueurs de l'Euroleague ont eu du mal à évaluer le montant de la réduction qui sera convenue, mais on estime qu'au moins 10 pour cent du salaire sera réduit. Dans le même temps, la promesse a été faite que si la situation change et que les Jaunes peuvent de nouveau accueillir du public en Israël, la mesure sera annulée\, écrit le site israélien.\n\nLes employés du club connaîtront une mesure analogue mais avec une réduction de 15% des salaires.
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Janelle Salaün parle de son frère Tidjane
A l'instar des Risacher, Zaccharie et Aïnhoa, les Salaün sont deux espoirs mondiaux du basket. La fille est déjà en équipe de France, le garçon est promis au premier tour de la prochaine draft NBA. Pour Basketball, la revue fédérale, et après avoir précisé que son nom se prononce \Salin\, Janelle donne son avis sur son frère.\n\n«On a le même profil physique. Il commence sa carrière et je trouve qu'il n'a pas encore toutes les compétences dans la lecture du jeu. Ça se voit qu'il vient d'arriver. On est pareil dans l'énergie, dans la volonté de prendre de l'espace et de faire ressentir notre présence. Il n'a pas ce tir à mi-distance que j'affectionne beaucoup. Aujourd'hui c'est 3-points ou dunk. Ce qu'il a de plus c'est cette capacité à finir près du cercle. Il agresse le cercle. Son envergure lui sert. Il n'est pas encore assez à l'aise dans le dribble pour réussir à faire la feinte et ne pas s'empaler dans la défense. Nous sommes très différents. Nous sommes bosseurs mais il a énormément confiance en lui point à 18 ans, il prend la balle et dit à son meneur de s'écarter. À son âge je n'aurais jamais pu! Ce que j'aime c'est cette insouciance. Il prend ses responsabilités. D'un autre côté je lui reproche de ne pas être assez dans le contrôle et de ne pas assez réfléchir.»
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Les Metropolitans confirment Jean-Paul Besson comme coach
Jean-Paul Besson est le fils de l'ancien joueur de la JA Vichy et entraîneur de l'équipe de France féminine, Paul Besson, et le père du joueur Hugo Besson. Après sa carrière de joueur -il fut notamment champion de France Pro B avec la JAV- il avait transité par l'Elan Chalon. Cette saison, il a repris le coaching de l'équipe des Mets lorsque Laurent Foirest a été écarté. Cette semaine, son adjoint Nebojša Bogavac a annoncé son départ pour l'Alliance Sport Alsace. Voici le communiqué du club :\n\n\La direction des Metropolitans 92 a décidé de confirmer Jean-Paul Besson au poste de Coach principal de l’équipe professionnelle. Earvin Schneider arrive également au club en tant que second assistant et sur l’analyse vidéo. Besson et Schneider ont déjà eu l’occasion de travailler ensemble en tant que coach et assistant à l’Elan Chalon. Le club recherche un nouveau coach adjoint pour compléter son staff. Des contacts sont déjà établis, notamment avec Stéphane Dumas.\
Écrivez un article sur :
Les Etats-Unis vont jouer deux matches à Londres avant les JO
Les matches se tiendrontles 20 et 22 juillet à l'O2 Arena dont la capacité est proche de 20 000 places.\n\n\USA Basketball attend avec impatience l'excitation d'une année olympique et l'opportunité d'organiser le USA Basketball Showcase à Las Vegas et à Londres\, a déclaréJim Tooley, PDG d'USA Basketball.« Affronter le Soudan du Sud et l’Allemagne offrira des opportunités d’entraînement optimales alors que nous nous préparons à défendre notre médaille d’or à Paris et nous sommes ravis de les accueillir l’été prochain. »\n\nPour commencer la préparation olympique, les Américains tiendront un camp d'entraînement à Las Vegas, leur centre d'entraînement de longue date.\n\nLes Américains concourront à Paris pour leur cinquièmemédaille d'or olympique consécutive et leur 17e au total.\n\nUSA Basketball sera représenté par quatre équipes aux Jeux Olympiques de 2024, avec les équipes de 5x5 hommes et femmes et de 3x3 hommes et femmes.Les États-Unis sont champions olympiques en titre du 5x5 hommes et femmes et du 3x3 femmes.L'équipe de 3x3 hommes fera ses débuts olympiques l’été prochain.\n\n«C'est une excellente opportunité de jouer contre les États-Unis juste avant les Jeux olympiques.Une dernière mise au point pour affronter probablement le favori des Jeux Olympiques.C'est pour nous un très bon instrument de mesure.Le match se joue dans une grande salle.C'est toujours un grand défi pour nous de jouer contre les États-Unis,\ a commenté le coach allemand Gordon Herbert.\n\n
Expliquez les points forts de :
Eurocup : Paris submerge Venise et signe une nouvelle victoire
Entre un long déplacement européen en Lituanie et des chocs de Betclic Elite contre Monaco, l'ASVEL et bientôt Bourg, le Paris Basketball n'est pas gâté par le calendrier depuis le début du mois de décembre. Pourtant, hormis un revers logiquement concédé sur le Rocher, l'équipe de Tuomas Iisalo tient bien son rang, comme elle l'a à nouveau démontré en Eurocup ce mardi soir face à Venise.\n\nDéjà vainqueurs à l'aller en Italie, Les Parisiens ont accéléré après un premier quart-temps serré avant de s'envoler au score (100-70) face à la nouvelle équipe d'Aamir Simms (9 points), qui a connu un retour très difficile à la Halle Carpentier.\n\n\nHifi en feu\n\nBien en place dès le début, Venise réalisait un bon début de match et ne laissait pas les locaux installer leur rythme rapide habituel (8-12 après 5 minutes de jeu). En panne d'adresse extérieure (0/8 au tir derrière l'arc), Paris trouvait d'autres solutions en attaque pour terminer ce premier quart-temps accroché à égalité avec les Vénitiens (24-24).\n\nUn véritable chassé-croisé s'engageait alors entre deux équipes décidée à ne pas se lâcher. Avec un Nadir Hifi dans la lignée de ses dernières prestations (14 points à la pause, 18 au total) et une défense montée d'un niveau, l'équipe de la capitale prenait tout de même un premier ascendant sur des Italiens en échec. À la mi-temps, l'écart atteignait les 12 points en faveur des locaux (51-39).\n\n\nUn troisième quart à sens unique\n\nToujours dans une bonne dynamique, T.J. Shorts et ses coéquipiers continuaient de mettre au supplice la défense adverse. Ils prenaient jusqu'à 32 points d'avance au cours d'un troisième quart-temps qui tournait à la démonstration face à des Italiens complètement dépassés (85-53). Le sort du match étant déjà scellé, le dernier quart-temps ne servira qu'à confirmer l'emprise parisienne sur cette rencontre (100-70).\n\nLargement dominateurs, les hommes de Tuomas Iisalo signent donc une nouvelle victoire sur la scène européenne, déjà la 10e en 11 journées. De quoi conforter leur place de leader du groupe A de la compétition. Un bilan qu'ils pourront encore améliorer avec la réception d'Hambourg (9e) la semaine prochaine, précédée d'un beau défi à Bourg ce samedi en Betclic Elite.\n\n\n\nÀ Paris.\n\nComfortable win for @ParisBasketball ✅#RoadToGreatness pic.twitter.com/aTeq9bJvzh\n\n— BKT EuroCup (@EuroCup) December 12, 2023\n\n\nBoxscore Paris - Venise / Classement Eurocup
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Euroleague féminine : L'ASVEL s'offre le champion d'Europe
Champion d'Europe en titre, Fenerbahçe n'avait plus perdu toutes compétitions confondues depuis le 7janvier et une défaite à Mersin, 77-68, et on s'attendait à ce que les Turques bouclent une année complète sans fauter une seule fois. Dans leur palmarès figure notamment deux très, très larges succès sur les Lyonnaises, en Supercup (52-109) et à l'aller en Euroleague (106-57).\n\nMeurtri par les blessures, Lyon a eu beaucoup de mal à être compétitif en début de saison aussi bien en championnat (6 victoires et 4 défaites) qu'en Euroleague (1 seule victoire pour 7 défaites jusque là). Un 10-0 en fin de match prouve que les filles de David Gautier ont retrouvé tout leur punch.\n\nGabby Williams s'est montrée une fois encore indispensable (19 points, 7 rebonds, 5 passes, 2 interceptions) alors que Alexia Chery-Chartereau a fait preuve d'une belle adresse (19 points à 8/11 aux shoots). De quoi résister au trio Natasha Howard, Kayla McBride, Emma Meesseman qui a marqué 65 des 81 points turcs.\n\n«C’est une très belle victoire contre une équipe du Fener un peu diminuée mais nous aussi et il ne faut pas minimiser ce que l’on a fait, retrouve t-on comme commenraire d'Endy Miyem dans Le Progrès. On a su mettre de l’énergie, beaucoup de cœur et d’envie, être solidaire et on a su faire les choses ensemble des deux côtés du terrain.»\n\nL'ASVEL conserve ainsi une petite chance d'atteindre les quarts-de-finale.
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
BCL : La JDA Dijon directement qualifiée pour le top 16 de la BCL
C'est défensivement que la JDA a obtenu son ticket pour le top 16 et c'est son vieux grognard de David Holston qui a été son chef de chantier avec pas moins de 7 interceptions ! Une performance qui prouve une fois encore que le petit Américain a toujours bon pied, bon oeil (et bonne main) à bientôt 38 ans. Il se retrouve ainsi à une unité du record de la BCL détenu par son ancien équipier Jeremy Leloup depuis octobre 2017 alors qu'il portait le maillot de Strasbourg.\n\nDe l'autre côté du terrain, David Holston a assuré 14 points mais sans grande réussite derrière l'arc (3/12) et c'est Ahmad Caver qui s'est révélé le meilleur marqueur de la JDA avec 18 points. C'est son adresse générale (23/69) qui a failli coûter cher à Dijon, mais quand la défense va, tout va.
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
Les belles perspectives du Paris Basketball
\Avant tout, je voudrais féliciter Paris pour sa performance incroyable, ils méritent de remporter ce match car ils étaient largement la meilleure équipe.\ Battu dans les grandes largeurs dans la capitale française ce mardi (100-70), le coach de Venise, Neven Spahija, n'a pu que reconnaitre la supériorité de son adversaire du soir en conférence de presse d'après-match. Un constat partagé par la quasi-intégralité des techniciens qui ont croisé la route de l'équipe de Tuomas Iisalo, qui a remporté 10 de ses 11 rencontres européennes depuis le début de la saison. Leader incontesté du groupe A de l'Eurocup, le Paris Basketball a même rejoint Gran Canaria en tête des meilleurs bilans de la compétition à la suite de la défaite des Espagnols à Ulm (103-99) un peu plus tôt dans la soirée.\n\nAprès un début de match hésitant avec un déficit d'adresse à trois points (seulement 7 tirs primés réussis sur 27 au total), T.J. Shorts et ses coéquipiers ont trouvé leur salut en imposant leur rythme infernal pour finalement atteindre les 100 points et s'imposer très largement : \La clé a été d’améliorer notre défense à partir de la fin du deuxième quart-temps et pendant toute la deuxième mi-temps\, a analysé le coach parisien Tuomas Iisalo en conférence de presse après la rencontre. \Cela nous a permis d’obtenir beaucoup d’opportunités de marquer en transition. On a aussi pu impliquer tout le banc, ce qui est toujours positif pour permettre aux jeunes joueurs de prendre de l’expérience\.\n\n\Nadir Hifi a un futur brillant devant lui\\n\nS'il estime tout de même que son équipe est perfectible et qu'elle \n'a pas fait un très bon match sur beaucoup d’aspects\, il s'en satisfera largement au cœur d'un mois de décembre particulièrement chargé. Et pour le moment très réussi, la large défaite à Monaco étant en partie effacée par les trois victoires suivantes à Vilnius et contre Venise en Eurocup, mais surtout contre l'ASVEL le week-end dernier. Un enchainement complété par le déplacement à Bourg ce week-end et dont Iisalo compte se servir pour faire passer un nouveau cap à son équipe : \On a beaucoup de matches, l’une des clés est donc de toujours rester concentrés. Peu importe le temps de préparation dont on dispose, il faut analyser ce que l’on fait de bien et ce que l’on doit améliorer pour l’appliquer ensuite sur le terrain. En tout cas, j’aime la direction que l’équipe prend\.\n\nDésormais craint en France comme dans toute l'Europe, le Paris Basketball se sait attendu mais parvient pour le moment à assumer parfaitement ce nouveau statut. Sa belle saison, le club la doit évidement à la force de son collectif, au talent de son meneur T.J. Shorts, mais aussi à l'éclosion de Nadir Hifi au plus haut niveau. Sélectionné au All-Star Game LNB et élu joueur du mois de novembre en Betclic Elite, l'ancien du Portel reste sur une moyenne de quasiment 20 points au cours des trois derniers matches : \En tant que basketteur professionnel, il comprend vite, il travaille beaucoup et il est très ouvert à l’apprentissage de nouvelles choses. C’est la clé pour qu’il continue de progresser, il a un futur brillant devant lui\, détaille son coach, attentif au développement du joueur de 21 ans.\n\nDébut février à l'Adidas Arena\n\nAu-delà de cette large victoire qui confirme une première partie de saison réussie, le Paris Basketball s'apprête même à changer de dimension. Installé dans la Halle Carpentier depuis sa création en 2018, le jeune club s'apprête à inaugurer sa toute nouvelle Adidas Arena (8 000 places). Avec deux délocalisations à l'Accor Arena pour les matches de Betclic Elite contre Strasbourg et Monaco, il ne lui reste que trois rencontres d'Eurocup à disputer dans le XIIIe arrondissement de la capitale avant de s'installer dans sa nouvelle enceinte début février.\n\nPour Paris, les perspectives sont claires : le club vise l'Euroleague et veut créer un élan encore plus important autour de lui avec l'arrivée de sa nouvelle salle dans le nord de la ville. Tuomas Iisalo en est conscient mais sait aussi qu'il faudra continuer à progresser pour bien prendre ce virage : \Je pense que ça peut changer beaucoup de choses. Avoir notre propre Arena va nous aider en termes d’identification, pour attirer plus de fans. Mais la chose la plus compliquée sera de continuer à proposer une production de qualité. Pas seulement de remporter des victoires, mais aussi de jouer un basket auquel tous les supporters et les suiveurs du club seront fiers d’être associés\. Des aspirations à la hauteur du potentiel de la ville et de la vision de son propriétaire David Kahn, qui pourrait bien réussir son pari de replacer Paris sur la carte européenne du basket de très haut niveau.\n\n\n\nÀ Paris.
Expliquez les points forts de :
Vincent Collet soutient Trumo Bogavac, nouveau coach de l'ASA
Vincent Collet sera présent au match ASA-Aix Maurienne de vendredi et il a déjà fait part aux Dernières Nouvelles d'Alsace de toute l'estime qu'il porte à Nebojsa Bogavac, qui fut son joueur au Mans et à Villeurbanne et son assistant à Strasbourg.\n\n«C’est un homme qui porte de vraies valeurs, notamment la loyauté. En tant que joueur, quand je l’ai eu à l’ASVEL, ou plus tard quand il a été mon assistant, il a toujours fait le maximum pour soutenir et aider. Des valeurs fortes dans la tradition du Monténégro, je pense, et de l’école yougoslave aussi. Il a été international à l’Euro 2003 en Suède, je l’y avais croisé, j’étais assistant de l’équipe de France.»\n\nVincent Collet estime que les valeurs humaines et professionnelles du Monténégrin peuvent donner un coup de booster à l'ASA qui se retrouve actuellement à l'avant-dernière place de Pro B avec 2 victoires pour 8 défaites.\n\n«Il est inspiré par la force du collectif, ce qui lui vient de l’école yougoslave, le partage de la balle et la défense. Je pense qu’il va essayer d’inculquer ces valeurs-là à l’ASA. L’état d’esprit qui peut changer la face des choses. Parfois, il ne s’agit pas toujours de jouer mieux, mais d’empêcher les autres de bien jouer. Il va tout faire pour transmettre ça à ses joueurs. Parfois, ça tient à de petites choses, comme le fait de jouer ensemble, or c’est ensemble qu’ils se sortiront de cette situation.»
Donnez une analyse détaillée de :
Les participants au concours de dunks du All-Star Game LNB dévoilés
Le concours se déroulera à la mi-temps du match et quatre candidats tenteront de succéder à Yves Pons, qui ne peut défendre son titre puisqu'il joue dorénavant en Espagne, à Girone. On remarque que ce concours sera cette fois 100% français et que Allan Dokossi est le doyen du haut de ses 23 ans.\n\n-Juhann Begarin(1,96 m, 21 ans, Nanterre)\n-Allan Dokossi(2,03 m, 23 ans, Dijon)\n-Killian Malwaya(1,97 m, 18 ans, Evreux)\n-Tidjane Salaün(2,06 m, 18 ans, Cholet)\n\nLes 10 derniers vainqueurs du concours de dunks :\n2012 : L.D. Williams (JL Bourg-en-Bresse)\n2013 : Travis Leslie (ASVEL Lyon-Villeurbanne)\n2014 : Yakuba Ouattara (ASC Denain Voltaire PH)\n2015 : Yakuba Ouattara (AS Monaco Basket)\n2016 : Jérémy Nzeulie (Elan Chalon/Saône)\n2017 : D.J. Stephens (Le Mans SB)\n2018 : Kevin Harley (Poitiers Basket 86)\n2019 : D.J. Stephens (Le Mans SB)\n2020 : x\n2021 : Dylan Affo Mama (Tours Métropole Basket)\n2022 : Yves Pons (LDLC ASVEL)
Rédigez un rapport sur :
Fenerbahçe : Le coach Dimitris Itoudis prend la porte
Dimitris Itoudis a signé à l'été 2022 un contrat de trois ans avec le club turc. Il a conduit Fenerbahce jusqu'aux playoffs de l'Euroleague 2023, mais son équipe y a trébuché contre l'Olympiakos et elle n'a remporté aucun autre trophée en 2022-23.\n\nAvec un bilan de 6 victoires et 7 défaites, le Fener est actuellement à la 11e place du classement de l'Euroleague. Selon le site grec SDNA, c'est l'échec lors du derby face à l'Anadolu Efes qui aurait précipité sa chute. L'équipe stambouliote occupe actuellement la deuxième place au niveau national avec 8 victoires et 3 défaites.\n\nDimitris Itoudis a remporté l'Euroleague avec le CSKA Moscou en 2016 et 2019 et les deux fois il a été élu entraîneur de l'année. Son palmarès comprend également 6 titres de champion de la VTB League et quantité de trophées avec le Panathinaikos comme adjoint. Par ailleurs, il a été démis de ses fonctions de coach de l'équipe nationale grecque car la fédération ne voulait pas qu'il cumule un emploi de coach dans un club.\n\nLe Lituanien Sarunas Jasikevicius serait pressenti pour lui succéder sur le banc de Fenerbahçe, plutôt qu'Andrea Trinchieri.
Écrivez un article sur :
Gabriel Deck et l'Argentine : \Aucun de nous n'est Ginobili...\
A propos de son retour au Real Madrid :\n\n\La vérité est que c'est top, je suis heureux d'être ici à Madrid, le club pour lequel je suis venu en Europe pour la première fois et où ils m'ont reçu de la meilleure façon.Je suis heureux d'être dans cette nouvelle étape après mon séjour aux États-Unis et également content du moment vécu par l'équipe (NDLR : Le Real est en tête de l'Euroleague et du championnat national). Pour moi, c'est le meilleur club du monde, parce qu'ils m'ont traité de la meilleure façon et parce que chaque jour vous participez à des matchs, à des entraînements et même lorsque vous êtes en vacances, vous attendez de revenir pour commencer la saison.Il s'agit d'être toujours au sommet.\\n\nA propos de son séjour en NBA pour seulement 17 matches à Oklahoma City de 2020 à 2022 :\n\n\C'était une expérience, une de plus.Évidemment, j'aurais aimé avoir plus de participations, être sur le terrain.Au début, je jouais, puis non.C'est frustrant, parce que tu veux être là et montrer que tu sais jouer, mais c'est déjà arrivé, j'ai les meilleurs souvenirs, mais aujourd'hui je suis à Madrid, où ils m'aiment et où tu peux montrer que tu es à la hauteur d'une grande compétition.\\n\nA propos de la non-qualification de l'Argentine à la Coupe du monde 2023 et aux Jeux Olympiques de 2024 :\n\n\Eh bien, maintenant c'est fini.À l'époque, nous étions très battus, évidemment très blessés, car l'Argentine veut toujours être dans les meilleurs tournois et l'a été ces dernières années.Cette fois, cela ne s’est pas produit, mais notre mentalité est de continuer à construire ce que nous avons fait.Ce n’est pas encore fini, beaucoup de joueurs sont jeunes, nous avons du chemin à parcourir et j’espère qu’il en sera ainsi en équipe nationale.Nous devons continuer à construire et donner aux plus jeunes l’orientation vers où nous voulons aller.Il y a beaucoup de nouveaux joueurs qui peuvent s'ajouter et demain ils prendront sûrement les places laissées par Facu (Campazzo), Lapro (Nicolas Laprovittola), (Nicolas) Brussino, (Patricio) Garino ou moi, qui sont ceux qui sont là depuis le plus longtemps.Mais maintenant, nous devons penser à la suite, bien faire les choses dans les tournois qui nous attendent et essayer de nous réunir à un moment donné pour nous entraîner, partager et ne pas perdre cette ligne que l'équipe porte depuis de nombreuses années (...) Ce qui se passe, c'est que les gens se sont habitués, je pense, à cette époque où on gagnait tout, où il y avait six ou sept joueurs en NBA.Aujourd'hui, c'est une réalité différente, il y en a beaucoup en Europe, mais ils sont jeunes, aucun de nous n'est (Manu) Ginobili, aucun de nous n'est (Andres) Nocioni, (Luis) Scola ou (FAbricio) Oberto.Nous essayons évidemment de nous concentrer et d’être meilleurs de jour en jour, mais aujourd’hui c’est un autre processus et un autre moment.C'est pour ça que je vous dis que les gens là-bas se sont habitués à ça et maintenant, être laissé de côté, c'est comme un coup très dur, mais ça peut aussi arriver.Ils font partie des processus dans lesquels il faut descendre pour monter.\\n\n
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
Télex du 13/12/2023
Vainqueur de Venise, Paris poursuit son ascension\n\nBattu logiquement à Monaco il y a dix jours, Paris a parfaitement réagi à domiclile en signant une victoire de prestige contre l'ASVEL avant d'enchainer en Eurocup contre Valence ce mardi (100-70). Un succès de plus dans une première partie de saison réussie par les Parisiens, qui se projettent désormais sur l'inauguration prochaine de leur nouvelle Adidas Arena (8 000 places).\n\nLes belles perspectives du Paris BasketballBattu logiquement à Monaco il y a dix jours, Paris a parfaitement réagi à domicile en signant une victoire de prestige contre l’ASVEL, avant de surclasser Venise ce mardi. De belles perspectives se dessinent pour le club parisien, d’autant que l’inauguration de sa nouvelle Adidas Arena approche.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\nEuroleague féminine : l'exploit de l'ASVEL face au Fenerbahçe\n\nCe mardi soir, l'ASVEL a réalisé un énorme exploit en battant le Fenerbahçe en Euroleague féminine. Au terme d'un match plein, l'équipe de David Gautier a mis fin à l'incroyable série de 51 victoires des Turques (89-81), qui n'avaient plus connu la défaite depuis le 7 janvier dernier. Les Lionnes sont bien de retour et comptent faire oublier leur début de saison cauchemardesque.\n\nEuroleague féminine : L’ASVEL s’offre le champion d’EuropeEnorme exploit de l’ASVEL qui a mis fin ce mardi soir à une série de 51 victoires de Fenerbahçe (89-81).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nDijon au rendez-vous du top 16 de la BCL\n\nEmbourbé dans le milieu de classement de la Betclic Elite depuis le début de saison, la JDA Dijon montre un tout autre visage sur la scène européenne. Les hommes de Nenad Markovic sont allés décrocher sur le fil une cinquième victoire en autant de matches de BCL sur le parquet des Grecs de Patras (71-68 après prolongation). Un parcours jusqu'ici parfait qui leur assure la première place de leur groupe et une qualification pour le top 16 de la compétition.\n\nBCL : La JDA Dijon directement qualifiée pour le top 16 de la BCLGrâce à sa victoire en prolongation à Promithéas Patras (68-71), la JDA Dijon atteint le top 16 de la Basketball Champions League pour la troisième fois de suite.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLa jeunesse française à l'honneur du concours de dunks du All-Star Game LNB\n\nAprès avoir dévoilé les joueurs sélectionnés pour le All-Star Game et ses différents concours il y a deux semaines, la Ligue Nationale de Basket (LNB) a dévoilé les participants au concours de dunks ce mardi. Juhann Begarin (Nanterre), Allan Dokossi (Dijon), Killian Malwaya (Evreux) et Tidjane Salaün (Cholet) tenteront de prendre la succession d'Yves Pons le 30 décembre prochain.\n\nLes participants au concours de dunks du All-Star Game LNB dévoilésLa sélection pour le Dunk Contest du All-Star Game LNB 2023 est officiellement connue.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nDimitris Itoudis et le Fenerbahçe, c'est terminé\n\nDeuxième du championnat turc et 12e de l'Euroleague, le Fenerbahçe connait un début de saison décevant. Handicapée par plusieurs blessure, l'équipe turque connaît son premier gros bouleversement de la saison. Arrivé à l'été 2022 sur le banc de l'équipe, le coach Dimitris Itoudis a été licencié par sa direction. Le Lituanien Sarunas Jasikevicius est le favori à sa succession.\n\nFenerbahçe : Le coach Dimitris Itoudis prend la porteC’est officiel, le coach grec Dimitris Itoudis, 53 ans, est licencié par le Fenerbahçe.BasketEurope.comLa rédaction
Parle moi en détail de :
Canada : Shai Gilgeous-Alexander élu sportif de l’année
C’était son année. En 2023, Shai Gilgeous-Alexander a tout raflé. Devenu l’un des meilleurs joueurs de la planète, le combo guard du Oklahoma City Thunder a reçu le Northern Star Award, le trophée qui récompense le sportif de l’année au Canada. Depuis la création de cette distinction en 1936, un seul basketteur avait séduit la presse canadienne au point d’arriver au sommet du classement (Steve Nash en 2005).\n\nCinquième meilleur marqueur NBA avec 30,4 points et premier intercepteur avec 2,8 ballons volés en moyenne, le Canadien a été élu All-Star en février puis nommé dans la All-NBA First Team. Surtout, il a mené le Canada jusqu’à la médaille de bronze de la Coupe du monde, avec une sélection dans le meilleur cinq du tournoi, en ouvrant notamment la compétition par un chef-d’oeuvre face aux Bleus (27 points, 13 rebonds et 6 passes dans une victoire 95-65).\n\n« En 2024, je promets que mes coéquipiers et moi-même rendrons nos compatriotes canadiens fiers à Paris »\n\n« Je suis honoré d’avoir été choisi. Depuis mon enfance à Hamilton jusqu’à aujourd’hui, en tant que membre de l’équipe nationale canadienne, j’ai vu à quel point le basket s’était développé au Canada. Je suis fier d’y avoir contribué en jouant avec le Thunder et en participant à la Coupe du monde l’été dernier. En 2024, je promets que mes coéquipiers et moi-même rendrons nos compatriotes canadiens fiers à Paris », a réagi SGA dans le Toronto Star.\n\nLe rendez-vous est pris.
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
Eurocup : Bourg assure face à Trente
C'est par un début de match très brouillon que les deux formations ont souhaité annoncer la couleur d'une rencontre maigre au score (4-2, 5e). À l'expérience, Axel Julien débloquit la situation lors de son entrée en jeu. Entre création et alternance dans le jeu de Bourg-en-Bresse, tout allait mieux. Notamment dans le secteur intérieur avec un Bodian Massa en forme (15-10, 10e).\n\nLe deuxième quart-temps a commencé comme s'est terminé le premier acte : un jeu placé davantage efficace et agressif de la JL et toujours autant de difficultés en attaque pour l'équipe italienne. Jeremy Morgan et Godwin Omenaka dans la peinture faisaient même le break pour les locataires d'Ekinox (23-14, 13e). Un temps fort bressan qui a sans doute réveillé l'orgueil des visiteurs. Portés par leur force vive Myles Stephens et une belle réussite longue distance, ils revenaient alors à un petit point à la mi-temps (35-34, 20e).\n\nLewis avait tout vu 💥😵@JLBourgBasket x @EuroCup #SKWEEKLive pic.twitter.com/PA1bem4C3m\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 13, 2023\n\n\n\nEn seconde période, une victoire avec la manière\n\nAu retour des vestiaires, le collectif de Freddy Fauthoux a voulu faire oublier la fin de la première mi-temps. Le tempo s'est accéléré et Bourg-en-Bresse reprenait alors l'ascendant sur le match. Mieux encore, Isiaha Mike inscrivait le premier panier à trois-points (48-41, 27e) de la Jeu après 10 tentatives loupées. À la fin du troisième quart-temps, le plus gros écart était même réalisé grâce à la malice de Maxime Courby (56-47, 30e).\n\nAvec plus de confiance, le spectacle est monté crescendo si bien qu'à cinq minutes du terme, les Bressans portaient le coup de grâce à coup de contre-attaques et de défense de fer. Zaccharie Risacher s'épanouissait enfin au scoring pendant que Maksim Salash prenait un peu de lumière (70-55, 36e). Le trois-points de Derek Cooke Jr. ne changera rien (76-66, 39e).\n\nBourg reste ainsi le dauphin de Gran Canaria dans le groupe B de l'Eurocup, avec neuf victoires pour deux défaites. Mais pas le temps de souffler, un prochain défi d'ampleur attend la JL avec la réception du Paris Basketball samedi à 21h en Betclic Elite.\n\nBoxscore JL Bourg - Trente / Calendrier Eurocup / Classement Eurocup
Écrivez un article sur :
FIBA Europe Cup : quand Thomas Cornely sauve Gravelines
Sous les yeux du légendaire John Stockton, Thomas Cornely a joué les héros. A Sportica, Gravelines-Dunkerque s’est sorti d’une situation périlleuse grâce au petit miracle de son meneur, auteur d’un rebond improbable suivi d’un buzzer beater, quasiment en claquette, face à Saragosse (70-69).\n\n🚨 GAME WINNER ALERT 🚨\n\nA last second tip ensures the W for @BCMBasket in #FIBAEuropeCup 😱 pic.twitter.com/TQabKKw45B\n\n— FIBA Europe Cup (@FIBAEuropeCup) December 13, 2023\n\n\n🚨GAME WINNER🚨\n\nRevivez l’incroyable buzzer beater de Thomas Cornely ! 🤯#TousBCM pic.twitter.com/NzkeIepOrQ\n\n— BCM Basketball (@BCMBasket) December 13, 2023\n\n\nLes Maritimes ont eu besoin d'un miracle dans un match où ils avaient pris le meilleur départ (17-10 après dix minutes). Revenus à hauteur dans le troisième acte, les Espagnols - dernière équipe à gagner face au FC Barcelone en Liga Endesa - menaient encore de quatre points à moins de trente secondes de la fin (65-69) avant que Chris Babb (13 points à 4/14 aux tirs), d’un tir à 3-points, et donc son héros du soir (6 points, 4 rebonds, 3 passes) ne sauvent le BCM.\n\nC'est la deuxième victoire en deux matches de top 16 de la FIBA Europe Cup pour les hommes de Jean-Christophe Prat, qui vont pouvoir se concentrer sur le championnat jusqu'à la reprise de la compétition européenne début janvier face aux Tchèques de Nymburk.\n\nBoxscore Gravelines - Saragosse
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
Dijon : Laurent Legname remplace Nenad Markovic !
C’est un retour qui ne manquera pas de faire parler. Après deux actes manqués à Bourg-en-Bresse puis Gravelines, Laurent Legname va retrouver le club avec lequel il a bâti sa légende : la JDA Dijon, comme l'a confirmé le club en début d'après-midi. Le technicien varois de 46 ans va remplacer Nenad Markovic sur le banc de l’équipe professionnelle du club bourguignon.\n\nLa séparation avec le coach bosnien avait été actée par le président Thierry Degorce avant même la victoire face à Patras de ce mardi - Dijon étant encore invaincu en BCL et directement qualifié pour le Top 16. Deux ans et demi après son arrivée, Nenad Markovic quitte ainsi le navire bourguignon après un début de saison décevant en Betclic Elite (6 victoires, 9 défaites). La disponibilité de Laurent Legname, écarté du BCM début octobre, a bien évidemment accéléré le processus de remplacement.\n\n\nRetrouvailles avec David Holston et Jacques Alingue\n\nSous l’égide du technicien bosnien de 55 ans, les Bourguignons ont atteint deux fois le top 16 de BCL et la demi-finale du championnat de France en 2022 avant de perdre en quarts en 2023 malgré une quatrième place en saison régulière.\n\nQuant à Laurent Legname, quel meilleur endroit pour rebondir que Dijon, l’équipe qu’il a propulsée sur le devant de la scène française entre 2015 et 2021, remportant notamment la Leaders Cup en 2020 ? Il y retrouvera ses anciens disciples dont le meneur David Holston et l’intérieur Jacques Alingue, mais aussi Vitalis Chikoko, qu’il avait tenté de faire venir à Gravelines.
Quelles sont les dernières informations sur :
Un immense Victor Wembanyama... et une 18e défaite de rang pour les Spurs
Préservé en raison d’un mollet douloureux, LeBron James a sans doute apprécié l’énorme duel entre Anthony Davis (37 points, 10 rebonds, 4 interceptions) et Victor Wembanyama (30 points, 13 rebonds, 6 contres, 3 interceptions), les deux héros de la soirée. D’autant plus que les Los Angeles Lakers, 5e de la conférence Ouest et vainqueurs du tournoi de mi-saison à Las Vegas, ont poursuivi leur moisson dans le Texas au terme d’un match où l’écart final (122-119) ne reflète pas véritablement la dynamique d’une rencontre dominée par les Californiens.\n\nDans ce marasme, Victor Wembanyama a de nouveau noirci la feuille en réalisant le 12e double-double de sa carrière en NBA et en atteignant la barre des 30 points pour la deuxième fois. Épaulé par un super Keldon Johnson (28 points, 8 passes, 5 rebonds), l’ancienne pépite des Metropolitans 92 a surtout réalisé un superbe quatrième quart-temps (14 points à 100 %, 4 rebonds et 2 contres), permettant aux Spurs de remonter un écart de 20 points.Sorti pour six fautes dans les ultimes secondes, le numéro 1 de la dernière Draft s’est montré adroit (11/21 aux tirs dont 4/5 à 3-points), malgré 5 balles perdues en 33 minutes.\n\nWEMBY. 👽\n\n30 POINTS\n13 REBONDS\n6 CONTRES\n4x 3PM\n\n19 ans. pic.twitter.com/PSUQn31NIV\n\n— NBA France (@NBAFRANCE) December 14, 2023\n\n\nLa franchise de San Antonio attend toujours une victoire depuis le 2 novembre dernier. Cette 18e défaite consécutive pourra être vengée dès ce vendredi, toujours à domicile face au Lakers.
Écrivez un article sur :
Euroleague féminine : Villeneuve-d’Ascq dans le top 4
Au lendemain de l’exploit de l’ASVEL face à Fenerbahçe, l’ESBVA a également montré les crocs sur la scène européenne. Les Nordistes ont signé un de leurs matches références contre les Espagnoles de Salamanque, deuxièmes au classement avant la neuvième journée d'Euroleague Women (82-58).\n\nAuteur d’un 26-8 dans le dernier quart-temps, les joueuses de Rachid Meziane ont parfaitement terminé, à l’image de Kariata Diaby (26 points et 11 rebonds) et Kennedy Burke (16 points et 10 rebonds), qui finissent la partie en double double. En face, la franco-américaine Bria Hartley a inscrit 9 points en 17 minutes en sortie de banc.\n\nCompilé à la défaite de Polkowice à Prague, leader du groupe, ce succès fait grimper Villeneuve-d'Ascq (5-4) dans le top 4 du groupe B de l’Euroleague féminine, avant un déplacement périlleux chez le deuxième du groupe, Mersin (6-3). Le bourreau de Basket Landes de ce mercredi soir à Mitterand (72-70).\n\nAvec leur septième défaite en neuf matches, les filles de Julie Barennes ont pratiquement dit adieu aux playoffs.\n\nBoxscore Villeneuve d’Ascq - Salamanque / Boxscore Basket Landes - Cukurova / Classement Euroleague Women
Rédigez un rapport sur :
Jean-Michel Aulas candidat au rachat de la LDLC Arena
Inaugurée il y a trois semaines, la LDLC Arena se cherche un nouveau propriétaire. Alors qu’OL Groupe, via son président John Textor, a fait connaître son intention de la vendre, que Tony Parker s’est positionné, avec le président de Monaco, pour un rachat, c’est au tour de Jean-Michel Aulas de faire acte de candidature. Le dossier serait sur la table depuis quinze jours et JMA devrait rapidement soumettre une offre.\n\nDans l’émission « Le studio des légendes », qui sera diffusée ce samedi à 20h sur Europe 1, l’ancien président de l’OL a fait connaître son intention de démissionner du poste d’administrateur d’OL Groupe, au profit de son fils Alexandre dans un premier temps, et de candidater via sa société familiale Holnest au rachat de l’Arena, à laquelle il est très attaché.\n\nLa salle multifonctions et antre de l’ASVEL en Euroleague, dont le coût s’élève à 141 millions, financés à 100 % par OL Groupe (un tiers en fonds propres, deux tiers via un crédit-bail immobilier), peut accueillir 12 000 personnes en configuration basket et 16 000 en configuration spectacle. Avec 80 à 120 événements attendus chaque année, les bénéfices annuels sont estimés entre 10 et 15 millions d’euros net.\n\n« C'est non seulement l'une des plus belles salles d'Europe en matière de concerts, de basketball et de réalisation événementielle, mais c'est aussi une réalisation incroyable que nous avions faite sur le plan environnement avec le président de la Communauté urbaine. On a donc décidé de se porter candidat à l'acquisition de cette salle », a donc confirmé Jean-Michel Aulas lors de cet entretien avec le journaliste Jacques Vendroux.\n\nRappelons que, dès le 6 octobre, Tony Parker, l’actionnaire majoritaire et le président de l’ASVEL, qui doit réintégrer à moyen terme de board de l’OL, s’était porté candidat au rachat de « l’entièreté » de l’enceinte avec Alexey Fedorychev, le patron de Monaco. « C’est très important pour l’ASVEL, et ce serait bien que la salle reste dans l’écosystème lyonnais », s’était-il fendu.\n\n\nDeux matches à l'Astroballe et non à la LDLC Arena\n\nDans son plan initial, l’ASVEL devait disputer onze rencontres d'Euroleague à la LDLC Arena cette saison. Mais, plombée par ses résultats (aucune victoire à domicile depuis le 26 janvier), l’équipe villeurbannaise va annuler deux rencontres dans sa nouvelle enceinte : contre Kaunas (le 4 janvier) et Berlin (le 12 janvier), en raison du mécontentement des fans. Les réceptions du Panathinaïkos de ce jeudi soir, de l'Olympiakos (22 décembre) et du Real Madrid (28 décembre) auront quant à elles bien lieu à l’Arena.\n\nASVEL : une première « électrisante » à la LDLC ArenaPour son inauguration, jeudi 23 novembre, la toute fraîche LDLC Arena a vécu une soirée inoubliable. Battue au bout de deux prolongations (100-101) par le Bayern Munich après avoir eu trois occasions de gagner au buzzer, l’ASVEL a tout de même réalisé une entrée mémorable dans son nouvel écrin.BasketEurope.comClément Carton
Quelles sont les dernières informations sur :
L’ASVEL toujours en recherche d’un meneur
En se séparant de Frank Jackson à la mi-novembre, l’ASVEL a réduit sa rotation sur la ligne extérieure. Et en l’absence temporaire de Nando De Colo, Paris Lee a pratiquement tenu la mène à lui seul, épaulé par le jeune Noam Yaacov et l’ailier Timothé Luwawu-Cabarrot, qui n’est pas un meneur de métier. Forcément, cette réduction de voilure au poste 1 suivie d’une série de défaites en Euroleague (2-11 après 13 journées) s’accompagne d’une réflexion en interne.\n\nAprès avoir sondé Thomas Heurtel, dont le salaire de 1,5 million d’euros annuel au Zénit Saint-Pétersbourg est impossible à égaler, Villeurbanne scrute donc le marché des meneurs. A cet égard, le nom de Niccolo Mannion (1,90 m , 22 ans), déjà apparu sur une liste villeurbannaise au printemps dernier, est revenu dans les couloirs de l’Astroballe, selon Emiliano Carchia.\n\nNico Mannion is expected to leave Baskonia, I am told.\nSome teams showed interest in him: Asvel, Milano and Tortona. Varese was never an option, Buducnost and Prometey surveyed. Last games showed there isn’t feeling with Dusko Ivanovic.\n\n— Emiliano Carchia (@Carchia) December 13, 2023\n\n\n\nPas d'approche... pour le moment\n\nEn instance de départ à Baskonia, où son temps de jeu moyen est passé de 18 à 6 minutes en Euroleague à l’arrivée de Dusko Ivanovic, l’international italien aurait été approché par plusieurs clubs, dont l’ASVEL. L'équipe coachée par l’actuel sélectionneur de la Nazionale, Gianmarco Pozzecco. “Il a peut-être discuté avec son sélectionneur, dont il semble proche, mais il n’y a pas d’approche de l’ASVEL pour le moment concernant Nico Mannion”, a toutefois nuancé le directeur sportif Michel Veyronnet, joint ce jeudi matin par téléphone.\n\nL’Olimpia Milan, Tortone, Buducnost Podgorica ou Prometey apparaissent comme d’autres options envisageables pour l’Italien de 22 ans, qui n’est pas encore parvenu à faire sa place en Euroleague (5,9 points, 2,6 passes décisives avec la Virtus Bologne l’an dernier) malgré un début de carrière plutôt remarqué outre-Atlantique avec les Golden State Warriors.\n\n\nPatience, patience\n\nSelon nos informations, l’Italien a signé un contrat de 600 000 dollars pour la saison en cours avec Baskonia, où il tourne à 6 points à 38 % aux tirs, 1,3 rebond et 2,3 passes décisives en 13 minutes sur huit rencontres d’Euroleague. De quoi rebuter plus d'un club à s'aligner sur une telle proposition.\n\nMalgré ses résultats décevants en Euroleague, l’ASVEL reste donc patiente, en espérant se renforcer d’un meneur “dans les semaines à venir”.\n\nEn outre, John Egbunu étant relativement peu utilisé par Gianmarco Pozzecco en Euroleague, il se murmure que Villeurbanne explorerait également le marché des intérieurs.\n\nITW Timothé Luwawu-Cabarrot (ASVEL) : “Ettore Messina m’a jugé sans me connaître”Son départ de Milan lié à sa mauvaise entente avec Ettore Messina, sa venue à l’ASVEL en quête de responsabilités, sa renaissance avec Gianmarco Pozzecco, son rapport à la NBA, son désir de retrouver l’équipe de France aux Jeux Olympiques de Paris 2024... Timothé Luwawu-Cabarrot (2,01 m, 28 ans) s’estBasketEurope.comClément Carton
Parle moi en détail de :
Kenny Atkinson et Fred Sarre intègrent le staff de l’équipe de France !
Deux mois après l’annonce du départ de Laurent Foirest, assistant de l’équipe nationale depuis 2017, la fédération française de basket (FFBB) a officialisé, par la voix du General Manager du Team France Basket, Boris Diaw, plusieurs modifications dans la composition du staff.\n\nTout d’abord, le staff des Bleus fait appel à Kenny Atkinson comme nouvel assistant de Vincent Collet. Ancien meneur de Montpellier, Golbey-Epinal, Mulhouse, Nantes et Evreux, entre autres, l’Américain est l’actuel bras droit de Steve Kerr chez les Golden State Warriors.\n\nAssistant de Michel Gomez au Paris Basket Racing de 2004 à 2006, où il a remporté la Coupe de France en 2005, il a rejoint la NBA en 2008 comme assistant de Mike D’Antoni aux New York Knicks, puis de Mike Budenholzer chez les Atlanta Hawks. Coach principal des Brooklyn Nets en 2016, qu’il a mené en playoffs en 2019, il a retrouvé un poste d’adjoint chez les Los Angeles Clippers en 2020-2021, puis chez Golden State Warriors depuis 2021, remportant un titre NBA en 2022.\n\nDoté de multiples expériences en France, en Europe et en NBA, le coach répondait ainsi aux critères de recherche du staff technique. “Il apportera une véritable plus-value à l’équipe des techniciens déjà en place”, précise le communiqué.\n\n\nFred Sarre remplace Yann Barbitch\n\nDirecteur sportif depuis 2014, puis general manager adjoint depuis 2021, Yann Barbitch, a en revanche exprimé le souhait de consacrer plus de temps à d’autres projets professionnels. D’un commun accord avec la fédération, il a été décidé de mettre un terme à cette collaboration.\n\nPour le remplacer dans ses missions, le Team France Basket fait appel à Frédéric Sarre, qui sera en fonction dès la prochaine fenêtre internationale de février 2024. Sept fois champion de France et entraîneur de l’année en 2005 et 2012, l’ancien coach de s’était reconverti en 2015 comme directeur sportif de la JL Bourg, avant de prendre sa retraite au début de la saison 2023-2024. Le voilà reparti pour un nouveau défi.
Quelles sont les dernières informations sur :
La DNCCG rend visite au Limoges CSP
C'est Le Populaire, toujours bien informé, qui révèle cette information, qui entre dans le cadre des finances du club limougeaud qui battent de l'aile, ce qui lui a valu à la mi-novembre un retrait de trois victoires. La DNCCG serait même déjà sur place jusqu'à demain dans les bureaux du club.\n\n\ Si les comptes du club ont récemment été certifiés, ils demeurent dans le rouge et le premier trimestre de l'année civile pourrait même être capital pour l'avenir du Limoges CSP, écrit Le Populaire.\n\nSur le plan sportif, et malgré sa pénalité de trois victoires, le CSP a sorti la tête hors de l'eau (5-7), laissant Blois, Gravelines et Boulogne-Levallois dans la zone de relégation.\n\n
Écrivez un article sur :
Bastien Vautier : \À Nancy, je me serais peut-être retrouvé derrière Shevon Thompson\
Après six saisons de Pro B, Bastien Vautier a fait le grand saut et son excellente première saison dans l'élite (15,6 points à 71,% de réussite aux tirs et 5,6 rebonds) se traduit par une sélection dans le cinq de départ du All-Star Game. Il a fait part de sa joie à L'Est Républicain :\n\n\De la fierté, de la satisfaction... Être sélectionné pour ma première saison en Betclic Élite, c’est fou! C’est une satisfaction, parce que ça confirme que je continue de progresser, année après année. Et c’est ce que l’on recherche quand on est sportif professionnel.\\n\nAu fait, pourquoi Bastien Vautier n'a t-il pas choisi cet été de retourner au SLUC avec qui il a été champion de France espoir en 2017, joué trois saisons en Pro B et même... un match dans l'élite, alors que le club lorrain lui a fait une proposition ?\n\n\C’est une question un peu... difficile. Nancy, c’est mon club de cœur. Honnêtement, ça a été un vrai cas de conscience pour moi et ça a été compliqué de refuser cette proposition. Pour être franc, je cherchais l’équipe au sein de laquelle je pourrais avoir le plus de responsabilités. Je ne dis pas que je n’en aurais pas eu à Nancy. Mais j’ai estimé que j’en aurais sans doute plus au Portel. Aujourd’hui, c’est le cas. Je suis même devenu capitaine... À Nancy, je me serais peut-être retrouvé derrière Shevon Thompson... Avec du recul, je n’ai aucun regret. Je fais un bon début de saison et le SLUC aussi...\\n\n
Quelles sont les dernières informations sur :
Officiel : Sarunas Jasikevicius est le nouveau coach de Fenerbahçe
Sarunas Jasikevicius connaît la maison puisqu'il y a fait un tour comme joueur en 2011. Ce fut l'une des étapes de sa brillante carrière qui l'a notamment amené à être champion d'Europe avec son équipe nationale en 2003, a gagné la médaille de bronze aux JO de Sydney, et trois fois l'Euroleague avec des clubs différents (Maccabi Tel-Aviv, FC Barcelone et Panathinaikos).\n\nComme coach, il a pour l'instant connu deux clubs, le Zalgiris Kaunas et le FC Barcelone. S'il est parvenu à gagner deux fois le titre de champion d'Espagne avec le club catalan (2021 et 2023), il n'a pas réussi à décrocher l'Euroleague malgré trois Final Four et son contrat n'a pas été renouvelé à la fin de la saison dernière. Il était depuis sans club.\n\nAvec 6 victoires et 7 défaites, Fenerbahçe partage actuellement la 11e place de l'Euroleague. Le Lituanien pourrait faire ses débuts sur le banc ce vendredi pour la venue sur le Bosphore de l'AS Monaco.
Rédigez un rapport sur :
La présidente de Tarbes parmi le top 20 des leaders qui font l’économie du sport en France
Comme nous l'annoncions il y a quelques jours, c'est le président délégué de l'ASVEL, Gaëtan Muller, qui a été reconnu numéro 1 de ce classement. Et donc Jeannie Cointre se retrouve également bien placée.\n\n\Être reconnue dans le journal L’EQUIPE parmi les 100 leaders qui font l’économie du sport en France et faire partie de ces 100 lauréats n’est pas seulement un honneur mais c’est aussi et avant tout une responsabilité car le sport est un fabuleux vecteur de développement social et économique, un formidable soft power au service de la jeunesse, de la formation et de l’inclusion: autant de valeurs qui font l’ADNdu TGB et sur lesquelles nous bâtissons le nouveau projet du club pour les trois prochaines années !\ commente t-elle.\n\nJeannie Cointre est cheffe d'entreprise dans le BTP, ancienne joueuse professionnelle, et présidente du TGB depuis la rentrée. Elle avait déclaré à l'époque de sa nomination à Women Sports :\n\n« La vie est faite de rencontres, et celle avec François Gomez est un moment important de ma vie. Lorsque j’ai appris que le club de Tarbes était en difficulté, j’ai décidé de l’aider. Voir le TGB disparaitre était impensable tant le club est une institution du haut niveau du basket français. Mon arrivée est accompagnée d’un projet qui permettra au club de se professionnaliser et de développer une vision entrepreneuriale. Le travail a déjà commencé et nous sommes à un moment de transition qui a pour objectif de retrouver le haut du tableau ces prochaines saisons.\\n\n\n\n
Rédigez un rapport sur :
Eurocup féminine : Bourges se balade à Antalya
Un round d'observation (23-24) et les Tango ont violemment appuyé sur l'accélérateur pour infliger un 7-33 aux Turques dans le deuxième acte. Circulez, il n'y avait plus rien à voir. Dans le quatrième quart-temps, les Françaises ont de nouveau mis la tête sous l'eau à leurs adversaires, 7-35.\n\nTima Pouye (19 points et aussi 7 rebonds) et Alix Duchet (20 points) ont été les deux meilleures marqueuses de Bourges. Le rebond a donné lieu à un véritable massacre : 61 prises à 23 ! Quant à l'évaluation générale (164 à 30), c'est un parfait résumé de l'ultra domination des Tango.\n\nLa boxscore est ICI.\n\n
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
LNB : 13e édition des Pères Noël Verts dans les salles
De nombreuses actions seront proposées par les clubs:collecte de jouets neufs, lancer de peluches sur les parquets, collecte alimentaire de produits festifs, sans oublierle symbolique bonnet vert porté par les joueurs lors de la présentation d’équipe, emblème de l’Opération des Pères Noël Verts.\n\nDès ce vendredi pour le Championnat de France Pro Betpendant 13 jours, les rencontres seront placés sous le signe de lasolidarité. Les clubs soutiendront le Secours Populaire Français espérant ainsi réitérer le même succès que les éditions précédentes (80% de taux de remplissage pour les salles de Pro B et90% pour celles de Betclic Elitelors des journées de Noël l'an passé).Pour l'occasion, des bacs seront mis en place dans chaque club afin decollecter des jouets neufs en faveur des enfants accompagnés par le Secours Populaire Français.
Parle moi en détail de :
Euroleague : nouvelle défaite pour l'ASVEL, battue à domicile par le Panathinaïkos
Après deux défaites sur le fil contre le Bayern Munich et le Maccabi Tel-Aviv ainsi qu'un revers beaucoup plus large contre Valence la semaine dernière, l'ASVEL attendait encore sa première victoire à la LDLC Arena à l'heure de recevoir le Panathinaïkos ce jeudi soir. Malheureusement, les ambitions villeurbannaises ont une nouvelle fois été contrariées par une équipe grecque supérieure d'un point de vue collectif (81-89).\n\nLa rencontre démarrait plutôt bien entre deux équipes qui échangeaient les paniers (12-12). Après dix minutes assez offensives, le score était toujours serré mais c'est bien l'équipe visiteuse, menée par le Français Matthias Lessort (14 points) et la star grecque Kostas Sloukas (18 points, 12 passes décisives, 5 rebonds) qui virait en tête (21-24).\n\n\nLe Pana plus adroit\n\nDe plus en plus à l'aise au fil des minutes, le collectif grec s'installait petit à petit et créait un premier écart important à la faveur d'une belle adresse extérieure (25-41). En face, Joffrey Lauvergne (10 points, 11 rebonds) et les Villeurbannais tentaient de laisser passer l'orage mais leur maladresse (25% de réussite derrière l'arc) les maintenait à 9 points de leurs adversaires à mi-parcours (36-45).\n\nSymbole de la grande forme du Pana, Kendrick Nunn (13 points) se muait en leader offensif en alternant entre storing et création pour ses coéquipiers. En dehors de l'Américain, l'attaque grecque connaissait tout de même une baisse de régime qui permettait aux hommes de Gianmarco Pozzecco de revenir complètement dans le match avant le début du quatrième quart-temps (60-64).\n\n\nLe retour avorté de l'ASVEL\n\nProfitant de leur bonne dynamique, les joueurs de l'ASVEL se montraient agressifs, provoquaient des fautes et revenaient même à égalité à 6 minutes de la fin (69-69) ! Un retour finalement bien contenu par des visiteurs solides, qui ont su recréer une légère avance et la conserver jusqu'au bout, avec un Kostas Antetokounmpo décisif en défense face à son ancienne équipe (81-89).\n\nMenée pendant la majorité du match, l'ASVEL a bien cru pouvoir réaliser le hold-up dans la dernière période mais a encore une fois été un peu courte pour assurer la victoire. Cette 12e défaite en 14 rencontres n'arrange pas les affaires du club de Tony Parker, toujours 17e et avant-dernier de l'Euroleague. Réaction attendue dès la semaine prochaine, avec deux matches à Milan et contre l'Olympiakos.\n\nSeventh W of the season for @paobcgr ☘️#EveryGameMatters pic.twitter.com/bO1UkzfzDZ\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 14, 2023\n\n\n\n\nBoxscore ASVEL - Panathinaïkos / Classement Euroleague
Quelles sont les dernières informations sur :
Quand Kenny Atkinson a déclaré sa flamme pour la France
Kenny Atkinson a joué comme meneur de jeu pour Montpellier, Golbey-Epinal, Mulhouse, Nantes par deux fois et Evreux. Il a été ensuite assistant coach au Paris Basketball Racing de 2004 à 2006, de Jacques Monclar puis de... Gordon Herbert, l'actuel coach de l'équipe d'Allemagne.\n\nA BasketUSA, Kenny Atkinson a raconté, il y a six ans, que sa grand-mère qui venait du Québec parlait exclusivement français, que son arrière grand-mère était française, et qu'il a toujours euce petit quelque chose en lui qui l’attirait inévitablement vers la France. Ses meilleurs souvenirs ?\n\n«Ah, je ne sais pas, je suis simplement un francophile ! J’adore la nourriture, j’adore les gens. J’y ai passé des années merveilleuses en tant que joueur puis en tant qu’entraîneur. J’ai mangé la culture française [en français, ndlr]. Je me suis vraiment immergé dans la culture française. Je suis un bon vivant [en français également, ndlr]. J’aime la mentalité française et puis, c’est un pays magnifique. Que ce soit à Dijon, à Epinal, j’ai apprécié chaque ville où je suis passé. Et à chaque fois, j’ai appris quelque chose de nouveau sur moi-même, en tant qu’entraîneur mais aussi en tant qu’individu. Honnêtement, sans cette expérience en France, je ne pense pas que j’en serai là où j’en suis maintenant. J’ai beaucoup appris sur moi-même et ça m’a permis de mieux comprendre le monde en général.»\n\nL'actuel assistant-coach des Golden State Warriors assure avoir appris des joueurs et des entraîneurs français et à l'époque, il regrettait de ne pas être retourné en France. Il va donc combler bientôt ce \manque\. Il pourra de nouveau goûter son plat préféré, le foi gras, et revoir sa ville préférée.\n\n«Nantes est, comme vous dites, sous-estimée [en français, ndlr] mais bon, la plus belle ville, c’est Paris. Mais chaque ville où je suis passé, j’ai adoré. J’ai adoré Epinal, j’ai adoré Montpellier, j’ai adoré Mulhouse aussi. Mais Paris, c’est le top. Il y a tellement de choses à voir et à faire.»\n\nNotamment y disputer les Jeux Olympiques...
Rédigez un rapport sur :
Théo Maledon n'est plus un joueur de NBA
A la fin septembre, Théo Maledon avait signé un two way contract avec les Hornets. Il y aura joué 13 matchs cette saison pour une moyenne de 4,2 points, 1,8 rebond et 2,2 passes par match.\n\n\n\n\n\n\n\nAu total, l'ancien Villeurbannais a disputé 173 matches sur 4 saisons en NBA avec Oklahoma City et donc Charlotte. Devenu free agent, il peut retourner en G-League ou en Europe. Son ancien club de l'ASVEL manque cruellement d'un meneur de jeu.
Quelles sont les dernières informations sur :
Gianmarco Pozzecco (ASVEL) : \Oui, je suis très en colère\
Visiblement très en colère, le coach italien a tout d'abord refusé de répondre aux questions de l'EuroleagueTV, puis il est sorti des vestiaires en claquant la porte avant de venir en salle de presse avec un visage décomposé comme le rapporte le quotidien Le Progrès :\n\n«Je n’ai rien à dire. Si vous avez des questions, j’y répondrai volontiers.Oui, je suis très en colère. Mon rôle est de protéger mes joueurs et je continuerai à les protéger jusqu’à ce que je meurs. Mais il n’y a rien à faire,» a t-il tonné. «Mon job est d’aider mes joueurs et mon club avec mes assistants. Je dois aider mon équipe à gagner, lui donner des choses pour qu’elle joue mieux. Si quelqu’un a des conseils, dans le club, je les prends!»\n\nL'ASVEL manque pour le moins cruellement d'un meneur de jeu depuis le départ de Frank Jackson non remplacé. Pozzecco en a t-il parlé avec son président Tony Parker ? Son avenir sur le banc villeurbannais est-il menacé ?\n\n«Je lui parlerai plus tard. Aujourd’hui, on a presque fait le maximum et on mérite de gagner plus de matches. Mais il nous manque clairement quelque chose. Mon avenir? Je vais sur le terrain, je fais de mon mieux, je donne tout. J’ai toujours fait ça et je vais continuer à le faire. Le reste, ce n’est pas mon affaire. Peu importe ce qu’il se passe pour moi-même.»\n\nGianmarco Pozzecco's analysis of ASVEL - Panathinaikos pic.twitter.com/KkJmA7lehR\n\n— Antonis Stroggylakis (@AStroggylakis) December 14, 2023\n
Parle moi en détail de :
Fedcom veut acheter trois ou quatre arénas en Europe !
C'est le milliardaire d'origine russe et de nationalité hongroise et monégasque, Alexey Fedorychev, président de l'AS Monaco basket, qui est le propriétaire de Fedcom et Fedcom Media, la société qui possède la plateforme Skweek. Dans une interview à Capital, son bras droit Oleg Petrov reconnaît que la rentabilité ne peut être effectué via les abonnements et qu'il lorgne sur plusieurs arénas en Europe notamment la LDLC Arena en partenariat avec Tony Parker.\n\n\Oui, nous échangeons avec le propriétaire actuel, OL Groupe,et son président John Textor qui a lancé un process d’appel d’offres pour céder la salle. C’est une opportunité pour nous de grandir en France, en nous diversifiant. Nous sommes aujourd’hui diffuseur du basket français et de l’Euroleague mais ne pensons pas pouvoir être rentable juste en proposant à nos abonnés des matchs. C’est pourquoi notre stratégie, c’est de se diversifier en achetant des «Arena» en Europe pour devenir organisateur d’évènements. Évidemment pour des matchs de basket, mais aussi des concerts, des spectacles, etc... Ce modèle de salle polyvalente, à l’américaine, a fait ses preuves et peut être hyper rentable (on parle de 10 à 15 millions d'euros de bénéfices annuels, NDLR). Il ajoute : \Oui, nous prospectons activement en Espagne, à Madrid ou à Barcelone, où nous avons déjà un studio, mais aussi à Berlin et à Londres, où l’Euroleague voudrait installer durablement une franchise (les London Lions, N.D.L.R.). Notre objectif, c’est d’acheter trois ou quatre Arena en Europe pour accompagner l’essor de l’Euroleague sur des marchés où le basket européen n’est pas encore très développé.\\n\nOleg Petrov ne souhaite pas rendre public le nombre d'abonnés à Skweek mais affirme qu'il a été multiplié par trois depuis le début de la saison. Il confirme par ailleurs lorgner sur les droits TV de la NBA qui appartiennent à BeIN Sports jusqu'à la fin de la présente saison.
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
La Halle Vacheresse de Roanne va avoir son \cube\
Créé sur le modèle américain, le \cube\ qui est disposé au plafond des arenas en surplombant le rond central du terrain est devenu un outil indispensable aux clubs pour faire des animations interactive avec les fans, donner le score et des statistiques et commercialiser des spots publicitaires. Il est présent désormais dans toutes les nouvelles arénas.\n\nL'intercommunalité a budgété 170 000 euros pour investir dans cet écran 4 faces dans cette Halle André-Vacheresse, qui porte le nom d'un ancien joueur de la Chorale, qui a été bâtie en 1988 et qui a subi une extension en 2011 permettant de passer de 3085à 5000places.\n\nLe projet se fera sans l'aval de l'opposition classée à gauche, qui par la voix de Franck Beysson a déclaré que c'est un non sens écologique et que les gens passent déjà suffisamment de temps sur les écrans comme ça.\n\n«Nous ne convaincrons pas Monsieur Beysson du bien-fondé de nos actions. Si on suivait sa logique, il faudrait fermer la Halle Vacheresse puisque ceux qui s'y rendent se déplacent souvent en voiture,» a taclé Yves Nicolin, président de Roannais Agglomération, cité par le Pays Roannais.
Expliquez les points forts de :
La renaissance limougeaude d'Alexandre Chassang : \Il avait ce côté revanchard\
Samedi 26 juin 2021, Kindarena de Rouen. Pour la première finale de championnat de France de son histoire, Dijon s'incline en finale des playoffs face à l'ASVEL. La fin d'un cycle pour le club et plusieurs de ses joueurs, dont Alexandre Chassang, qui quitte la JDA sur une grosse déception mais aussi avec la satisfaction d'avoir écrit la plus belle page de l'histoire du club bourguignon. Après trois saisons au cours desquelles il s'est complètement révélé en Betclic Elite, le pivot espérait passer un nouveau cap dans sa carrière. Malheureusement, tout ne va pas se passer comme prévu par la suite.\n\nÀ ce moment-là, Chassang n'a qu'une volonté : tenter sa chance à l'étranger. Si, de son propre aveu, \l'intersaison a été compliquée, avec peu de propositions intéressantes\, il se décide tout de même à rejoindre la Turquie et le promu Yalova. Une expérience qui va tourner court au bout de quelques semaines, le Français choisissant de quitter le club après un seul match de championnat. Retour au point de départ ou presque pour l'intérieur, qui rejoint son mentor Laurent Legname à la JL Bourg, où il connait un début de saison difficile.\n\n\nDeux saisons difficiles mais instructives à Bourg\n\n\Je suis arrivé là-bas et ça a été vraiment compliqué pour moi avec l'échec de cet essai à l'étranger, le fait de ne pas avoir fait de préparation avec l'équipe\, se remémore-t-il. Après quelques mois à prendre ses marques, le pivot réalise tout de même une bonne deuxième partie de saison, bien qu'entachée par le bilan sportif décevant de son équipe : \Je pense qu'individuellement, j'ai montré mon réel niveau en deuxième partie de saison où j'avais plutôt de bonnes stats. Malheureusement, collectivement, c'était compliqué et on n'a pas su se qualifier pour les playoffs\.\n\nÀ l'intersaison suivante, Bourg entame son remaniement mais Alexandre Chassang honore sa deuxième année de contrat. Un exercice encore plus délicat entre méforme sportive, blessures et rôle limité : \Ça a été plus compliqué d'un point de vue individuel, mais on a fait une très bonne saison collective. Ces deux saisons m'ont permis de continuer d'apprendre des choses dans ma carrière et elles me sont toujours très utiles\. La nécessité d'un nouveau départ se fait sentir pour l'international français, à la recherche d'une équipe dans laquelle il pourra à nouveau s'exprimer pleinement après deux années mitigées.\n\nCette opportunité, il la trouve à Limoges, où son profil fait l'unanimité entre le nouveau coach Ilias Kantzouris et le directeur sportif Kevin Anstett : \Je n'ai pas considéré Alexandre comme un pari parce que j'étais vraiment persuadé de ce qu'il pouvait apporter dans un bon système et dans la bonne équipe\, développe le dirigeant. \Il correspond parfaitement au profil du poste 5 moderne qui peut s'écarter à trois points, qui peut être un très bon playmaker sur short roll ou dans différentes situations et qui, défensivement, apporte sa dureté et son intelligence de jeu à l'équipe. Et puis il avait ce côté revanchard, une volonté de prouver\. Après seulement une demi-saison, le mariage entre les deux parties peut déjà être considéré comme une réussite.\n\nAuteur de sa meilleure saison statistique depuis ses années dijonnaises (8,3 points, 6,3 rebonds, 50,5 % de réussite au tir, dont 43,5 % à trois points), Alexandre Chassang s'est parfaitement inséré dans le dispositif du coach Kantzouris - \quelqu'un de perfectionniste, qui aime ses joueurs et veut toujours tirer le meilleur d'eux et de ses équipes\ - et est l'un des éléments de base de la version 2023-24 du CSP. \J'ai plutôt de bonnes sensations\, confirme l'intéressé. \Je suis passé à côté de trois matches qui me pénalisent un peu au niveau de mes chiffres. Sinon, je suis dans ce que je voulais. Je suis content et j'espère que ça va continuer comme ça. Je vais essayer de prendre plus de responsabilités en attaque\.\n\nAuteur une fois de plus d’une performance exceptionnelle hier soir, Alexandre Chassang est dans une forme olympique 💪\n\nSa moyenne sur les 4 derniers matchs ⬇️\n\n🎯 14.8 PTS (57% À 3PTS)\n⚡️ 7.3 REB\n🎁 2,5 PD\n📊 18.5 EVAL\n\nC’EST FORT 🤯 pic.twitter.com/iesOlCD7F5\n\n— Limoges CSP (@limogescsp) November 20, 2023\n\n\nD'autant que le natif de Châtenay-Malabry se révèle petit à petit comme un élément important du vestiaire, un leader sur et en dehors du parquet. Une nouvelle dimension qui a agréablement surpris au sein du club, comme le confirme Kevin Anstett : \En prenant l'exemple de notre dernier match à Nancy, on était partis un peu en mission sans Nicolas (Lang) ni Simi (Shittu). Il a vraiment pris à cœur ce rôle et il a été top. Je trouve que même mentalement, il passe un cap. Même sans réussite dans ses tirs, il ne s'est pas frustré et est resté dans son match. Je suis très content de ce que peut apporter Alexandre sur cet aspect-là\. Si Chassang et son équipe tournent bien depuis septembre, un gros point noir est venu assombrir leur saison pourtant bien engagée dans le courant du mois de novembre.\n\nAlors qu'il comptait à ce moment-là un bilan positif de 6 victoires en 11 rencontres, le CSP s'est vu infliger une pénalité de trois victoires pour des irrégularités dans ses comptes. Une sanction qui a fait passer l'équipe du top 8 à la zone rouge, dans une saison de Betclic Elite particulièrement serrée à l'issue de laquelle trois équipes seront reléguées. \À Limoges, on sait que ce n'est pas plat, il y a toujours des rebondissements !\ affirme l'intérieur. \En y signant, on sait que tout est possible et que parfois, l'extra-sportif peut prendre un peu le dessus. Ça me permet de connaître une nouvelle expérience et de me concentrer le plus possible sur ce que je peux contrôler\.\n\n\Il y aura beaucoup de regrets si on ne récupère pas nos victoires et qu'on rate les playoffs de peu\\n\nPourtant, à croire l'ancien de Hyères-Toulon, la mauvaise nouvelle n'a pas perturbé outre mesure l'équilibre établi dans l'équipe : \On évite d'en parler. On est dans notre bulle des dix joueurs, du staff, on reste sur les victoires qu'on a gagnées. Pour nous, au classement, on est sixième. Il n'y a pas de pression qui est mise, en tout cas, du côté sportif. On essaye de s'entrainer le mieux possible, de prendre tous les matchs les uns après les autres et d'en gagner un maximum\. Un constat compréhensible mais qui ne change en rien la situation du club, toujours dans la zone dangereuse en bas de classement en Betclic Elite.\n\nCe qui n'empêche pas Alexandre Chassang de se montrer optimiste pour la suite de la saison, d'autant que la sanction infligée au club n'est pas figée. Des procédures d'appel de la première décision ont été lancées et la possibilité de voir la pénalité réduite au cours des prochains jours existe : \J'espère qu'on va récupérer des victoires. On va essayer de jouer les troubles-fêtes jusqu'au bout. Dans un premier temps, l'objectif va être de se maintenir facilement, puis de tenter de rejoindre les play-offs\. Un objectif toujours accessible même en cas de non-réduction de la pénalité au vu de la configuration très dense du championnat.\n\nEn attendant d'être fixé sur la décision finale des instances du basket français, le joueur de 29 ans espère en tout cas que cette dernière n'aura pas d'influence sur le bilan final de la saison : \Il y aura beaucoup de regrets si on ne récupère pas nos victoires et qu'on rate les playoffs de peu. Ça serait un crève-coeur, mais ça, on ne peut pas le savoir pour l'instant\. Il s'attache donc à se concentrer sur le futur immédiat, avec un déplacement à la saveur spéciale à Dijon ce week-end.\n\n\nUn avenir tout tracé à Limoges ?\n\nUn match particulier pour l'ancien de la maison, qui espère jouer des tours aux Dijonnais dans leur Palais des Sports et confirmer la bonne forme de son équipe à l'extérieur (5 victoires pour 3 défaites) depuis le début de la saison : \C'est toujours une rencontre un peu spéciale et un plaisir de revenir à Dijon. Pour l'instant, j'y ai vécu les meilleures années de ma carrière et je ne garde que des bons souvenirs de là-bas\. Une nouvelle victoire permettrait au CSP de poursuivre sa remontée et de doubler son adversaire du soir.\n\nS'il ne souhaite pas forcément se projeter au-delà de cette saison, Chassang admet qu'il se verrait bien s'installer dans le Limousin, où il a enfin trouvé un cadre qui lui permet de s'épanouir. Satisfait d'un joueur qu'il a signé jusqu'en 2025, Kevin Anstett abonde dans le même sens : \Il est important d'avoir une base JFL de qualité comme avec Alexandre Chassang, Nicolas Lang ou même Lucas Beaufort, et de construire quelque chose sur la durée\. Malgré les difficultés, Alexandre Chassang semble donc arrivé au bon endroit et au bon moment. Son histoire avec le CSP a parfaitement commencé et semble bien partie pour durer.\n
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
Partizan Belgrade : Un budget de 20 millions d'euros, mais...
C'est à la télévision TV Prva que le président du Partizan a fait cette déclaration :\n\n\Cette année, nous avons le plus gros budget de l'histoire du Partizan car nous avons l'ambition d'aller jusqu'au bout dans les deux compétitions les plus importantes. Notre budget fait partie des 8 meilleures équipes de l'Euroleague. Nous avons alloué environ 20 000 000 € pour l'ensemble de l'organisation, dont 8 millions d'euros pour rembourser les dettes. »\n\nSi on comprend bien, le budget effectif du Partizan ne sera donc que de 12M€. Il faut savoir cependant que la masse salariale dans certains pays comme la Serbie est proportionnellement plus importante qu'en France. Ostoja Mijailovic a ajouté que le club devrait bientôt régler toute la dette restante et veut jouer la transparence.\n\n\Nous avons déjà payé 5 millions d'euros d'impôts. Nous avons encore une dette de 3 millions d'euros à payer. Nous allons contracter un emprunt à long terme et régler la dette restante. Nous payons régulièrement la TVA et nous réglons également régulièrement toutes les autres dettes. Lorsque nous paierons trois millions supplémentaires, nous n'aurons plus de dettes.\ Il s'avance même en disant : \Nous serons le club le plus stable d'Europe en matière de finances.\\n\nA voir.
Parle moi en détail de :
Ron Anderson, le joueur aux 664 matches NBA resté fidèle à la France
On l’imagine siroter un punch coco au bord de sa piscine, pêcher l’espadon à Miami, jouer au golf à Key Biscane. Ron Anderson a très bien gagné sa vie, même si les salaires en NBA n’étaient pas à son époque hypertrophiés comme aujourd’hui. Le site Hoopshype fait état d’un gain de 2,675 000 dollars rien que sur quatre saisons aux Philadephia Sixers de 1991 à 1994, soit 5 942 000€ en tenant compte de l’inflation ou si vous préférez 5 400 000 euros. Et Ron Anderson a joué au total pendant dix saisons en NBA, à Cleveland, Indiana, New Jersey et Washington en plus de Phila.\n\nLe tout lui a permis d’engranger 664 matches et de profiter à fond de son arme numéro 1: le shoot. Il a ainsi tourné sur l'ensemble de sa carrière en NBA à 10,6 points de moyenne et 47,9% de réussite aux tirs. Il a côtoyé Charles Barkley, Manute Bol, World B. Free, Wayman Tisdale, Gheorghe Muresan, Kenny Anderson, et Terence Stansbury avec qui il organisera plus tard un camp en France. Il s’est fait télescoper par Dennis Rodman ce qui a meurtri son genou et surtout il a planté 34 points face aux Chicago Bulls de Michael Jordan et 36 contre les Boston Celtics de Larry Bird et autant contre les New York Knicks de Pat Ewing.\n\nPar contre, le filiforme Ron Anderson a avoué ne pas avoir fait de muscu et reconnaissait que la défense n’était pas son credo.«Je ne pense pas que ce soit le fait d'avoir été un joueur unidimensionnel qui était mon problème», analysera t-il plus tard en France pour le mensuel Maxi-Basket. «Parce qu'en fait c'était ça mon rôle en NBA. Être 6e homme, sortir du banc et scorer. C'est ce que j'ai toujours fait. Simplement, sur ma dernière saison, j'ai eu un problème de genou, et j'ai eu du mal à revenir. Je n'ai pas pu retourner en NBA. Alors je suis parti en CBA parce que c'était une occasion de jouer, mais je n'ai pas aimé du tout parce que ce n'est vraiment pas une Ligue professionnelle, moins qu'ici en France par exemple.» Dans un autre numéro de Maxi-Basket, l’Américain lâchait cette confidence prémonitoire: «Ce n'est pas que j'aime particulièrement voyager, c'est mon boulot. Mais quand je prendrai ma retraite je serai plus relax.»\n\n\nVigile dans un supermarché\n\nRon Anderson est donc arrivé en France, en 1994, à Montpellier. Il avait déjà 36 ans et termina meilleur marqueur de Pro A à la moyenne de 25,5 points. Malgré quelques petites infidélités, il va poursuivre sa carrière dans l'Hexagone, au Mans -il remporta le concours de tirs à trois-points du All-Star Game en 1997-, à Tours, de nouveau à Montpellier. Il descend alors d’un cran, en Pro B, pour jouer 4 matches à Angers et 4 autres à Nantes. Il file sur ses 42 ans. Il vient de mettre un point final à sa carrière de basketteur professionnel mais pas question d’arrêter de s’amuser.\n\nRon Anderson, l’ancien NBAer, signe alors à La Séguinière Saint-Louis Basket, un club d'un patelin de 4 000 habitants, tout proche de Cholet et qui navigue alors en Régionale 1. Il y fait son nid avec Corinne, une infirmière rencontrée au Mans. L’histoire est tellement extraordinaire que le très sérieux quotidien Le Monde y dépêchera un journaliste pour écrire un article sur lui. Ron va rester dix ans dans la salle de l’Arceau et ses 350 places. Non seulement, il continue d’enfiler les paniers, mais son comportement est jugé exemplaire par le président du club Laurent Verron: «A chaque fois qu'on a besoin de quelqu'un pour intervenir dans une école ou remettre une médaille, il est le premier à se proposer. Ron a toujours le sourire, même avec les arbitres pour leur expliquer qu'ils se trompent. Pour lui, \les problèmes n'existent pas\. C'est d'ailleurs sa devise.»\n\nLe fait le plus invraisemblable c’est lorsque fut révélé que Ron Anderson était devenu vigile à l’Intermarché de Saint-André-de-la Marche, une autre bourgade du coin. Pas parce qu’il était ruiné et contraint de gagner quelques euros mais pour s’occuper! Le terme «vigile» était d’ailleurs un peu inapproprié pour son activité. «Il s'est adapté à la clientèle majoritairement rurale de notre magasin. Il aide les gens à charger leurs courses dans la voiture, range les caddies sur le parking, transporte les tables de jardin et les bouteilles de gaz... Et toujours avec la même gentillesse», confiait le directeur du magasin, Fabien Bouyer.\n\nUn joueur en activité en France porte toujours le nom de Ron Anderson. Son fils, Ron Jr, vu à Berck, Rueil, Saint-Chamond, Poitiers, La Rochelle, Toulouse, et Loon Plage et qui est aujourd’hui à Quimper en Nationale 1. Suivre son parcours est pour le père une raison supplémentaire de rester en France.\n\n\n«Je faisais 500, 700 shoots par jour à l’entraînement»\n\nAviez-vous du plaisir de jouer en Nationale 3 à plus de 50 ans?\n\nAh! oui. Comme tout le monde dit, c’est exceptionnel, mais j’avais une passion pour le basket et j’avais toujours dit que si physiquement je pouvais continuer, je continuerai. Mais à 52 ans, mes genoux ont dit «arrête»!\n\nVous aviez déjà mal au genou lors de votre dernière année en NBA?\n\nOui, mais ce n’était rien de grave. J’ai joué ensuite en France avec de l’arthrose dans le genou, mais encore une fois, ce n’était rien de grave.\n\nComment étaient les autres parties de votre corps à 50 ans?\n\nJ’étais en forme... Ce qui me motivait, c’est que j’adore le basket, je jouais très fort et c’était un grand plaisir.\n\nVous n’avez jamais eu de blessures graves durant votre carrière?\n\nNon. Sauf à la fin. Maintenant, j’ai un protège-genoux avec cinq vis! Je ne peux plus courir, du tout (sourire). J’ai eu un problème aux artères, j’ai été opéré de ça, il y a un an. Et ça fait deux ans que je ne peux plus faire du sport, mais je fais beaucoup de jacuzzi et relax (sourire).\n\nC’est une frustration de ne plus pouvoir faire du sport aujourd’hui?\n\nNon car je suis mon fils. Je prends un grand plaisir de le regarder jouer. Et j’ai aussi une petite fille de quatre ans. C’est un grand plaisir pour moi.\n\nDans une interview à Maxi-Basket, vous aviez déclaré que vous aviez de très bonnes habitudes alimentairesquand vous étiez joueur. Ça vous a aidé à faire une longue carrière?\n\nJe ne sais pas si ça c’est vraiment correct (rires). Non, non, je n’avais pas un truc spécial. Mais j’ai travaillé dur et je crois que c’est ça qui a prolongé ma carrière. Je courais beaucoup. Voilà.\n\nEn NBA vous étiez le premier à arriver à la salle et le dernier à partir?\n\nC’est ça, il faut. En fait, quand j’ai mis les pieds en NBA, je me suis qu’il fallait que j’y reste. J’y suis resté dix ans et pour ça il faut travailler. Quand je suis arrivé en France, j’étais un peu surpris parce que pendant les vacances, les gens ne faisaient pas grand-chose. Moi, je courais et j’étais prêt pour le premier entraînement. J’espère avoir été un exemple pour les autres. Heureusement, j’ai joué avec de bons joueurs de basket et aussi de bons gars et pour moi le meilleur coach, Alain Weis, au Mans. Il connaissait très bien le basket et comment faire pour mettre un groupe ensemble. J’ai joué aussi avec de très bons joueurs qui ont accepté le fait que j’étais le meilleur. Ils avaient beaucoup de respect. Mais pour moi, j’ai juste fait mon boulot. Je suis toujours resté humble, je n’ai pas pris la grosse tête parce que j’avais joué en NBA. J’étais juste un joueur dans l’équipe qui joue fort, c’est tout. Alain Weisz est un coach qui, quand les choses ne marchaient pas, même moi, je sortais. J’ai un grand respect pour lui.\n\nVotre spécialité cela a toujours été le shoot ?\n\nOui. Et quand je suis entré en NBA, c’était mon job de shooter, de scorer comme on dit. Mais je travaillais beaucoup. Je faisais 500, 700 shoots par jour à l’entraînement.\n\nVous avez marqué 36 points contre les Boston Celtics de Larry Bird. C’est l’un de vos plus grands souvenirs?\n\nOui, mais encore plus quand j’ai marqué 32 points à Chicago. Bien sûr, on n’a pas gagné souvent contre les Chicago Bulls de cette époque-là, ils étaient très forts! Mais comme je suis né à Chicago, ça c’est encore un meilleur souvenir que Boston.\n\nVous avez été ensuite entraineur en Régionale 3 à Bégrolles?\n\nCe n’est pas malheureusement du bon temps passé là-bas. J’étais très dur comme coach et je coachais des jeunes de 17-18 ans et c’est dur de les motiver à cet âge-là.\n\nVous n’avez pas eu envie d’entraîner à plus haut niveau, en professionnel?\n\nJe ne sais pas du tout! J’aime bien coacher des jeunes. Les jeunes ont beaucoup envie d’être coaché par un joueur qui a joué en NBA.\n\nC’est justement exceptionnel qu’un ancien joueur de NBA reste en France. Vous en connaissez d’autres?\n\nNon. Moi, j’aime bien la France. C’est tranquille. Montpellier est ma ville préférée. J’ai peut-être envie d’acheter quelque chose là-bas.\n\nIl y a eu Michael Brooks, un autre ancien joueur de NBA, qui est longtemps resté en France après sa carrière professionnelle?\n\nOui, et il y a aussi Ken Dancy, Billy Goodwin et Terence Stansbury qui sont là aussi (NDLR: Michael Brooks a joué 319 matches en NBA, Terence Stansbury 192, Billy Goodwin et Ken Dancy n’y ont pas joué). On faisait un camp de basket en France tous les quatre. C’était super mais j’ai arrêté car je ne peux plus bouger comme il faut.\n\nVous vous êtes marié avec une Française?\n\nNon, je n’étais pas été marié en France. J’étais marié avec la mère de mon fils aux Etats-Unis. J’ai eu ma fille avec une Française qui a vingt ans aujourd’hui. Je suis avec quelqu’un aujourd’hui mais je ne vis pas avec.\n\nOù êtes-vous installé exactement?\n\nJ’ai été installé à Cholet quand je vivais avec la maman de ma fille pendant cinq ou six ans. Maintenant, je suis dans le Nord! Parce que mon fils a joué à Loos Plage et il m’a demandé de le suivre. J’habite là. J’ai laissé ma maison à Cholet. J’ai déménagé pour mon fils mais cette année, il est parti à Quimper. Je suis resté dans le Nord car j’avais beaucoup de rendez-vous avec des médecins à cause de mes soucis de santé. Et voilà.\n\nQu’est-ce qui vous manque des Etats-Unis, vous qui venez justement de Chicago, une très grande ville ?\n\nOui... Je suis allé aux Etats-Unis l’année dernière car j’ai perdu ma mère. Ma sœur est marié, ça fait toujours du bien de voir la famille et tout ça mais ma vie maintenant est en France.\n\nAvez-vous acquis la nationalité française?\n\nNon.\n\nPourquoi?\n\nC’est ça la question: pourquoi? Pour moi, ça ne change pas grand-chose.\n\nTouchez-vous la retraite de la NBA?\n\nOui, depuis longtemps. Depuis mes 45 ans en fait. Quand tu joues cinq ans en NBA, tu touches ta retraite à 45 ans. Je touche la retraite aux Etats-Unis et en France.\n\nPourquoi avez travaillé comme vigile dans un supermarché?\n\nJ’étais à l’époque avec la maman de ma fille et un jour elle m’a demandé si je n’avais pas envie de travailler. J’ai répondu: pas forcément (rires). Elle a insisté en continuant de parler de ça. J’ai dit OK. Et j’ai fait ça. Aux Etats-Unis, avant d’entrer au junior college, j’ai travaillé dans un supermarché à Chicago. Travailler de nouveau dans un supermarché, c’est juste une situation qui est arrivée. Je me suis juste dit «pourquoi pas?» car en ce temps-là, je ne faisais rien du tout.\n\nAlliez-vous voir des matches de Cholet Basket?\n\nOui mais pas beaucoup. C’était bien à Loon Plage, je n’en loupais pas un. Ils ont tout gagné pour monter en Pro B mais le club n’avait pas le budget, la situation, pour le faire. C’est dommage. Je ne vais pas à Gravelines, mais je suis scotché devant ma télé, la NBA, j’adore le basket des femmes, le basket en général.\n\nAvez-vous encore des relations avec des joueurs de NBA de votre époque?\n\nNon. Du tout. J’ai toujours été tout seul. J’ai des contacts sur facebook de temps en temps mais c’est tout.\n\nVous pensez rester jusqu’à la fin de vos jours en France?\n\nOui. Je ne crois pas que je vais retourner aux Etats-Unis. Je vais rester en France.
Quelles sont les dernières informations sur :
Quentin Serron : \Sans être heureux, ça ne vaut pas la peine de jouer à l’étranger\
Quentin Serron n'avait joué que six matches la saison dernière en raison d'une opération des ligaments croisés au genou alors qu'il en était à la première année d'un contrat de trois ans avec le Limburg United.\n\n\C’était la première fois que je subissais une telle blessure au genou, raconte t-il à la Dernière Heure. Il y avait donc une part de doutes, surtout à ce stade de ma carrière.J’ai un jeu fortement basé sur l’explosivité, que ce soit en attaque ou en défense, et je me suis demandé si je parviendrais encore à exploiter ça et à sauter comme avant. En début de rééducation, la douleur était très vive et tu prends un coup en sentant que ta jambe n’est plus capable de réaliser même un petit exercice basique. Il faut pouvoir rester positif et fort mentalement. Mais j’ai été bien soutenu par mes équipiers, le staff, les kinés et ma famille.”\n\nLe Belge tourne à la moyenne de 7,5 points, 2,5 passes et 2,2 rebonds en 22 minutes en moyenne par match en sortie de banc.\n\n“Je suis un peu surpris que ça se passe aussi bien. Même s’il faut sans doute encore s’attendre à des hauts et des bas. J’estime encore avoir une marge de progression. Mais je ne me concentre pas sur mes stats. Le plus important reste ma santé physique. Quand on a traversé une si longue période d’indisponibilité, à mon âge, on a envie de profiter de chaque match. Et les bons résultats de l’équipe accroissent encore plus le plaisir d’être de retour.”\n\nQuentin Serron a connu sa première expérience à l'étranger, à Gravelines -deux ans à partir de 2016- avant de passer à Strasbourg -deux autres années-, Bilbao et Boulazac pour l'exercice 2021-22 en Pro B.\n\n“J’ai vécu des bonnes expériences et des moins bonnes. Quand tu as un statut d’étranger au sein d’une équipe, tu as plus de pression et on peut vite te mettre sur le côté si ça ne tourne pas. C’est ce qui m’est arrivé à Strasbourg avec qui j’ai gagné la Leaders Cup en France avant d’être écarté la saison suivante. Cela m'a cependant permis de rejoindre Bilbao et de réaliser un rêve en jouant dans le championnat d’Espagne. Même si ce n’était pas facile car je suis resté éloigné de ma famille très longtemps à cause du Covid à cette époque. La famille est ma priorité et, après une saison moyenne à Boulazac, j’ai senti qu’il était temps de revenir en Belgique. Sans être heureux, ça ne vaut pas la peine de jouer à l’étranger. Et Limburg m’a convaincu en me présentant un projet ambitieux.”
Écrivez un article sur :
Télex du 15/12/2023
Gianmarco Pozzecco (ASVEL) : \Oui, je suis très en colère\\n\nBattu par le Panathinaïkos ce jeudi soir en Euroleague, l'ASVEL enchaine une 13e défaite consécutive à domicile sur la scène européenne. Un nouveau revers qui a fortement agacé son coach Gianmarco Pozzecco, qui s'est dit \très en colère\ après la rencontre.\n\nGianmarco Pozzecco (ASVEL) : “Oui, je suis très en colère”L’ASVEL a enregistré face au Panathinaikos sa 13e défaite de rang à domicile et cela a provoqué la colère et le désarroi de son coach Gianmarco Pozzecco.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\n\n\nFedcom prêt à se positionner pour le rachat de plusieurs arénas européennes\n\nEgalement propriétaire de l'AS Monaco Basket et de la plateforme Skweek, Fedcom n'a pas terminé ses investissements dans le sport. La société détenue par le milliardaire Alexey Fedorychev souhaiterait se positionner pour le rachat de plusieurs arénas en Europe, dont la nouvelle LDLC Arena de l'ASVEL.\n\nFedcom veut acheter trois ou quatre arénas en Europe !Le directeur général de Fedcom Media, Oleg Petrov, a confirmé vouloir acheter la LDLC Arena et d’autres arènas en Europe.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nThéo Maledon et les Charlotte Hornets, c'est terminé !\n\nSignataire d'un two-way contract avec les Charlotte Hornets avant le début de la saison NBA, Théo Maledon va quitter la Caroline du Nord. Le meneur français a été coupé par la franchise américaine et se retrouve sans contrat pour la suite de la saison. Reste à savoir s'il rebondira en G-League ou en Europe.\n\nThéo Maledon n’est plus un joueur de NBALe meneur de jeu international Théo Maledon (1,92 m, 22 ans) a été coupé cette nuit par les Charlotte Hornets.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nLes raisons de l'amour de Kenny Atkinson pour la France\n\nPrésent dans les staffs de différentes équipes en NBA au cours des dernières années, Kenny Atkinson a un lien particulier avec la France. Le nouvel assistant-coach de Vincent Collet dans le staff des Bleus a longtemps joué puis entrainé dans l'Hexagone et garde de très bon souvenir de cette partie de sa vie.\n\nQuand Kenny Atkinson a déclaré sa flamme pour la FranceEngagé par la fédération comme assistant coach en équipe de France, l’Américain Kenny Atkinson a fait un long passage dans notre pays comme joueur puis assistant et il a très apprécié ces moments-là.BasketEurope.comLa rédaction
Expliquez les points forts de :
Le récap' des articles Premium de la semaine
La LNB veut donner la parole à ses légendes\n\nDésireuse de mieux valoriser son patrimoine et notamment de mettre en avant les joueurs qui ont marqué l'histoire du championnat de France, la Ligue Nationale de Basket vient de lancer son projet \LNB Légendes\. Nous avons recueilli le témoignage de cinq de ces anciennes gloires au sujet de cette initiative.\n\nLa ligue veut donner la parole à ses anciens joueursLa Ligue Nationale de Basket (LNB) tend la main à ses anciennes gloires pour valoriser son patrimoine. Cinq joueurs, cinq légendes apportent leurs témoignages.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\n\n\nLe Paris Basketball poursuit son ascension\n\nTrès ambitieux depuis sa création en 2018, à l'image de son propriétaire américain David Kahn, le Paris Basketball connait enfin une ascension sportive digne de ses prétentions cette saison. Bien reparti avec des victoires contre l'ASVEL et Venise après sa défaite à Monaco il y a deux semaines, le club de la capitale française se tourne désormais vers l'inauguration prochaine de sa nouvelle salle, l'Adidas Arena.\n\nLes belles perspectives du Paris BasketballBattu logiquement à Monaco il y a dix jours, Paris a parfaitement réagi à domicile en signant une victoire de prestige contre l’ASVEL, avant de surclasser Venise ce mardi. De belles perspectives se dessinent pour le club parisien, d’autant que l’inauguration de sa nouvelle Adidas Arena approche.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\n\n\nLes lignes extérieures de l'ASVEL bientôt renforcées ?\n\nRéduite depuis le départ de Frank Jackson à la mi-novembre, la rotation de l'ASVEL se retrouve un peu courte sur les lignes arrières avec la Betclic Elite et l'Euroleague à jouer. De quoi pousser le club de Tony Parker à envisager de recruter dans le secteur extérieur, alors que les noms du meneur italien Nico Mannion et Theo Maledon ont circulé ces derniers jours.\n\nL’ASVEL toujours en recherche d’un meneurBien que le nom de Nico Mannion ait été avancé, l’ASVEL sonde toujours le marché pour se renforcer sur la ligne arrière.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nAlexandre Chassang en pleine renaissance avec Limoges\n\nEn échec à Bourg au cours des deux dernières saisons, Alexandre Chassang retrouve son meilleur niveau sous le maillot de Limoges depuis le début de l'exercice 2023-2024. Une belle saison que le pivot espère poursuivre dès ce samedi avec un déplacement à Dijon, où il s'est révélé entre 2018 et 2021.\n\nLa renaissance limougeaude d’Alexandre Chassang : “Il avait ce côté revanchard”En difficulté à Bourg la saison dernière, Alexandre Chassang est de retour à son meilleur niveau avec Limoges. En déplacement ce samedi à Dijon, où il s’est révélé au plus haut niveau entre 2018 et 2021, le All-Star se projette sur la suite de la saison avec détermination.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\n\n\nGrand entretien avec Aymeric Jeanneau, manager général de La Rochelle\n\nChampion de France avec l'ASVEL et Strasbourg, l'ancien international Aymeric Jeanneau a entamé son après-carrière il y a dix ans, en 2013. Directeur marketing et des ventes à la SIG Strasbourg, il a été promu le manager général de sa section basket du Stade Rochelais en avril 2020. Il nous raconte les dessous de son aventure à La Rochelle, au pays du rugby... et du basket !\n\nITW Aymeric Jeanneau (manager général): «Le Stade Rochelais avait envie d’écrire une page avec le basket»L’ancien international Aymeric Jeanneau, 45 ans, est le manager général du Stade Rochelais, actuellement leader de Pro B.BasketEurope.comPascal Legendre
Rédigez un rapport sur :
Rémi Lesca dans les Landes : \Ca fait du bien de revivre toute ma jeunesse\
Pour les non initiés, l'ESMS c'est 'l'Elan Souémontain Montgaillardais Sarraziétois et l'ancien Palois meilleur ennemi de Beaublanc à Limoges, se plait visiblement à ce niveau.\n\n\J’ai toujours dit que certains joueurs auraient pu jouer plus haut. Mais s’ils sont là, c’est qu’il leur a manqué une part de réussite. Des joueurs talentueux, il y en a de partout et on le voit avec cette Nationale 2 qui est très homogène et relevée. C’est un bon championnat, ça fait du bien de jouer à ce niveau-là dans les Landes et de revivre toute ma jeunesse, raconte t-il à Sud Ouest.\n\nLa présence de Romain Hillotte dans l'équipe n'est pas étrangère à son choix de prendre une licence à l'ESMS au sortir de deux saisons à l'Union Tarbes Lourdes en N1.\n\n\C’est un ensemble de choses. Il y a d’abord la manière dont est géré le club, son fonctionnement, ses ambitions, je n’avais aucun doute là-dessus. En plus de jouer de sur un parquet, ce qui est une bonne chose pour mes vieux genoux et mes vieilles chevilles, évidemment la présence de Romain a été un élément important dans ma prise de décision.\\n\nEn parallèle, Rémi Lesca suit des cours pour assurer une reconversion dans les assurances.\n\n\Avec ce double projet, ce n’est pas évident. Je dois jongler entre les cours à Paris et la réorganisation des entraînements par les coachs pour s’entraîner en fin de semaine. Le fait d’être un peu loin de l’équipe pendant quelques mois est aussi un peu frustrant. Mais c’est comme ça, il faut s’y faire. Cela fait partie des sacrifices et il faut se battre pour ça.\
Quelles sont les dernières informations sur :
Monaco chute sur le parquet de Fenerbahçe
Sasa Obradovic avait raison de se méfier de la bête blessée. Alors que Fenerbahçe a remplacé Dimitris Itoudis par Sarunas Jasikevicius il y a tout juste 24 heures, l’AS Monaco n’a pas saisi l’opportunité de l’instabilité du changement de coach. Au contraire, cela a donné des ailes à des Turcs combatifs qui ont bénéficié d’un nombre incalculable de deuxièmes chances (17 rebonds offensifs, 47 prises à 28).\n\nMaladroite derrière l’arc (5/22 à 3-points), la Roca Team n’est pas parvenue à imposer son jeu offensif habituel, malgré un Mike James dominant (24 points à 4/7 derrière l'arc, 5 rebonds, 3 passes décisives). En l’absence de Jordan Loyd (dos), Kemba Walker n’a pas pesé défensivement (6 points à 3/7 en 11 minutes). Cela dit, une défaite à l’Ulker Sports Arena ne constitue pas tant une surprise qu’il n’y parait puisque les Jaunes et Bleus n’ont toujours pas perdu à domicile en six rencontres d’Euroleague.\n\nSCOTTIE WILBEKIN 🤩@FBBasketbol x @EuroLeague#SKWEEKLive #EveryGameMatters pic.twitter.com/DXsCngoMIu\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 15, 2023\n\n\n\nLe réveil de Mike James n’a pas suffi\n\nSans prendre le large, Fenerbahçe a contrôlé durant l’intégralité de la rencontre. Coach à la réputation défensive, Sarunas Jasikevicius a d'abord assisté à un récital offensif du duo Nigel Hayes-Davis (23 points à 7/17 aux tirs, 6 rebonds) - Scottie Wilbekin (13 points, 5 passes), mis en orbite d'entrée de jeu (15-10, 5e).\n\nLarguée à 12 points en fin de deuxième quart-temps, la Roca Team était revenue à une longueur grâce au réveil de Mike James, puni d’une faute technique pour avoir célébré un 3-points et vengé d'un buzzer à la mi-temps (46-45).\n\n😱 MIKE JAMES EN MODE PATRON AU 🚨 !@ASMonaco_Basket x @EuroLeague#SKWEEKLive #EveryGameMatters pic.twitter.com/YN4atNiJ1L\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 15, 2023\n\n\nMais le retour sur le parquet des coéquipiers de Nick Calathes, que les rumeurs annoncent sur le départ vers l’Olimpia Milan (54-47, 24e, 68-57, 30e), n’a finalement jamais été en mesure d'être comblé. Ce malgré une adresse turque fluctuante (9/30 derrière l’arc).\n\nComme souvent, les courtes rotations de Sasa Obradovic n’ont guère laissé d’occasions aux Frenchies de briller. Hormis Elie Okobo (14 points, 4 passes en 27 minutes), Petr Cornélie et Terry Tarpey - propulsé dans le cinq de départ - ont cumulé 11 petites minutes et -4 d'évaluation cumulée, tandis que Matthew Strazel et Mam Jaiteh ne sont pas entrés en jeu.\n\nAprès 14 journées, le trio de tête composé du Real Madrid, du FC Barcelone et de la Virtus Bologne, tous à 10 victoires ou plus, se détache au classement. Derrière, Monaco (8-6) mène une meute plus dense que jamais, avec un seul succès d’avance sur le douzième, en réalité 10e ex-aequo... Fenerbahçe (7-7).\n\nBoxscore Fenerbahçe - Monaco / Classement Euroleague
Quelles sont les dernières informations sur :
Pro B : Un record de spectateurs pour Orléans, la victoire pour Vichy
7 676 spectateurs ont garni ce vendredi soir les tribunes de la CO'Met, ce qui est très sensiblement supérieur au précédent record établi lors de la venue de Pau avec 6 409 unités. Le public a poussé son équipe mais en vain. A 77-72 à la 38e minutes, les Orléanais paraissaient pourtant avoir les choses en mains. Seulement, ils ont été inattentifs en défense et fait des mauvais choix en attaque. Les 12 rebonds de Jean-Fabrice Dossou ne les ont pas empêchés de plus d'être dominés dans ce secteur (34-44).\n\n« C’est un match à regrets », a commenté leur coach Germain Castano, rapporte la République du Centre « Tu perds d’un peu plus d’une possession en faisant des conneries, avec des faillites individuelles. Si on veut être dans le haut de tableau, il faut être beaucoup plus disciplinés et tueurs. »\n\nTueurs, les hommes de Guillaume Vizade l'ont été. A commencer par Emmanuel Omogbo (16 points, 7 rebonds) et les jeunes Ilias Kamardine et Noah Penda (11 points et 5 rebonds chacun).\n\nC'est ainsi qu'Orléans laisse la deuxième place à Vichy en retombant au niveau de Boulazac, tout en perdant le Britannique Noah Horchler, qui préfère quitter le navire plutôt que d'attendre la fin de l'année.
Quelles sont les dernières informations sur :
Euroleague : Joseph Bissang victime de propos racistes à Olympiakos
L'incident s'est produit à 26,1 secondes avant la fin du match Olympiakos-Valence (56-63). Joseph Bissang a interrompu la rencontre et demandé que soit écrit sur la feuille de match le fait qu'un des spectateurs qui était placé en bord de terrain l'avait insulté en criant : \Allez f- - toi-même singe noir\ Le club grec a déjà annoncé que le supporter en question était banni à vie de l'aréna\n\n\L'Olympiakos a toujours été contre toute forme et tout acte de racisme. C’est pour cette raison que nous condamnons sans équivoque l’attaque verbale d’aujourd’hui d’un « fan » de notre équipe contre l’un des arbitres du match. Nous annonçons également que son abonnement est immédiatement supprimé et que son entrée au Stade de la Paix et de l'Amitié est interdite à jamais ».\n\nIl reste à savoir si l'Olympiakos sera néanmoins sanctionné et s'il devra jouer un ou deux de ses prochains matches à huis clos.\n\n\L’arbitre français Joseph Bissang a été victime hier soir en Grèce d’une agression raciste lors d’une rencontre d’Euroleague. La FFBB tient à lui apporter tout son soutien à la suite de cet incident inacceptable. Elle a d'ores et déjà demandé à l'Euroleague et la fédération grecque de prendre des mesures conformes à la gravité des faits. La Fédération Française de Basket-Ball rappelle que le racisme n’a pas sa place dans notre sport et dans la société\, écrit la FFBB dans un communiqué.\n\n
Donnez une analyse détaillée de :
Strasbourg et Chaundee Brown, la séparation
Chaundee Brown a joué 15 matches de Betclic Elite avec la SIG pour 7,8 points, 2,3 rebonds et 5,5 d'évaluation alors qu'il s'est fendu de 8,4 points, 2,8 rebonds et 7,6 d’évaluation en Basketball Champions League.\n\nChaundee Brown est remplacé dans les deux compétitions parTyrus McGee dont le contrat et sa participation à la Betclic Elite ont été validés par la DNCCG.Il jouera son premier match de championnat ce samedi 16 décembre face aux Metropolitans 92.
Écrivez un article sur :
Blois-Cholet : « Le match des deux cancres des sept dernières journées »
Le point commun entre les deux équipes ? Alors qu'elles avaient bien commencé la saison, elles ont perdu leurs sept derniers matches, ce qui fait dire à Mickaël Hay, le coach de l'ADA Blois.\n\n«Ça va être le match des deux cancres des sept dernières journées.»\n\nAprès la dernière et lourde défaite à Chalon (93-75), le coach blésois en avait lourd sur la patate. Il a lâché quelques petites phrases dans La Nouvelle République qui laissent à penser qu'il veut redonner de la confiance à ses troupes.\n\n«Les mecs sont concernés, ils ne lâchent pas, moi non plus. Donc il n’y a pas de raison que ça ne paye pas... Nos pourcentages sont en énorme baisse, à la fois à 2-points et à 3-points. Donc il y a un manque de confiance, de réussite... Je ne suis pas là pour tailler les mecs. Je sais qu’à un moment donné ça va revenir.»\n\nDans le Maine-et-Loire, son confrère Laurent Vila cherche aussi à re-mobiliser ses troupes, qui font de belles choses en Basketball Champions League (3 victoires, 2 défaites) mais qui donc sont dans une impasse en Betclic Elite.\n\n« Là, avec sept défaites de suite, il faut arrêter de déconner », tonne t-il dans Le Courrier de l'Ouest « Mais ça, j’aurais voulu qu’on se le dise dès la deuxième défaite... Les bonnes choses du début de saison, il faut évidemment les garder en mémoire, mais ça s’arrête. Oui, on l’a fait mais on a aussi perdu sept fois de suite. »\n\nCholet attend notamment que son nouvel américain Craig Randall, recruté pour ses qualités de shooteur, retrouve la mire après son 0/9 à trois-points contre Bourg. Alors que Blois est dans la zone rouge écarlate (5 victoires, 11 défaites avec ainsi un match de plus que ses adversaires), Cholet a glissé à la 12e place (6-9). D'où l'importance de l'enjeu.\n\n« Ce n’est pas qu’on refuse de parler de maintien et de regarder vers le bas », commente Gérald Ayayi. « C’est qu’on ne l’accepte pas. On sait qu’on vaut mieux que ce que nous produisons actuellement. C’est la raison pour laquelle ce match à Blois est comme un tournant de notre saison. Nous avons tous à cœur de bien finir 2023 afin de lancer 2024 avec nos objectifs intacts. »
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
Blois : Robert Woodard part à l'étranger
Robert Woodard a participé avec l'ADA à 14 matches pour 9,5 points, 4,9 rebonds et 1,8 passe. Il ne sera pas en tenue pour le match de ce samedi après-midi face à Cholet.\n\n\Notamment artisan d’un premier succès important face au BCM Gravelines-Dunkerque en ouverture du championnat, Robert aura donc joué son dernier match sous les couleurs blésoises à Chalon samedi dernier puisque les négociations se sont accélérées ces derniers jours avec la sollicitation d’un club étranger parallèlement aux réflexions d’ajustement du staff de l’ADA. Le poste 4 américainva donc relever un nouveau challenge et nous lui souhaitons toute la réussite possible avec son futur Club,\ écrit le club du Loir et Cher dans un communiqué.\n\nL'ADA Blois précise :\n\n\Le Club sera en mesure de communiquer dans quelques heures l’identité d’un nouveau joueur qui va rejoindre l’ADA avec l’objectif de finir au mieux l’année 2023et la suite de la saison en Betclic Elite !\
Donnez une analyse détaillée de :
Euroleague : L'Etoile Rouge à un budget de... 15 777 062 euros
Comme son confrère et néanmoins ennemi intime du Partizan, Ostoja Mijailovic, a rendu public le budget de son club, Nebojsa Covic, lui a répliqué et sur la même chaîne TV Prva et avec la précision d'un expert comptable pour bien insister sur le fait qu'il n'a rien à cacher.\n\n\Le budget de l'Étoile Rouge est de 15 777 062 euros. Disons environ 15 millions 800. Les dépenses pour les joueurs, selon le fair-play financier de l'Euroleague, ne peuvent pas dépasser 65,0% du budget. Cela signifie que nos dépenses pour les joueurs se situent autour de 10, 200 000 euros, plus précisément 10 192 738 euros. C’est le budget de la saison 23-24. Bien entendu, le budget est une question vivante au cas où il y aurait des arrivées ou des départs. Cela va certainement changer.\\n\nIl ne peut pas y avoir une déclaration de l'un sans une critique de l'autre, que ce soit clairement ou avec des sous-entendus.\n\n\L'Etoile Rouge respecte cela et nous espérons que d'autres le feront. Nous étions soumis à des mesures l'année dernière, nos voisins s'engageant sans relâche pour empêcher (Facundo) Campazzo de jouer. Nous avons soumis le rapport de la dernière saison à l'Euroleague début novembre et la date limite est le 20 décembre\.\n\nActuellement, en Euroleague, l'Etoile Rouge est positionnée 14e (5 victoires et 9 défaites) et le Partizan 4e (8-6).
Quelles sont les principales nouvelles concernant :
\Le racisme n'a pas sa place dans le basket de l'Euroleague!\
Après le club de l'Olympiakos lui-même, la FFBB et la LNB, ce sont le Conseil des head coach de l'EuroLeague (EHCB), l'Association des joueurs de l'EuroLeague (ELPA) et l'Union des officiels de l'Euroleague de basket-ball (UEBO) qui ont publié un communiqué de presse commun :\n\n\Nous avons assisté, notamment ces dernières années, à une augmentation des incidents verbaux et non verbaux envers les joueurs, les entraîneurs et les arbitres. Les chants insultants sont désormais acceptés et les lignes (rouges) sont régulièrement franchies. Les supporters rendent l'Euroleague spéciale et leur dévouement est plus qu'apprécié. Nous savons que notre travail est sous surveillance et que les critiques positives sont toujours les bienvenues, mais il doit y avoir des limites claires au comportement des fans. Cela s’applique encore plus aux supporters assis au bord du terrain, ayant un accès direct aux joueurs, aux entraîneurs et aux arbitres. Nous souhaitons vous rappeler que chaque titulaire de siège sur le terrain doit respecter un ensemble de règles. Ces règles sont clairement énoncées dans les conditions générales lors de l’achat des billets. Nous ne sommes pas contre les fans qui font preuve de passion, d’amour et de dévouement, mais nous sommes totalement contre les fans qui deviennent actifs dans le jeu lui-même.\n\nLa réaction rapide de l'Olympiakos avec l'interdiction immédiate à vie du supporter qui a utilisé une insulte raciste envers l'arbitre Joseph Bissang devrait être une référence désormais. Ces dernières années, nous avons assisté à des tendances au manque de respect, notamment envers les arbitres, ce qui est inacceptable. Un tel comportement s’est malheureusement répandu dans de multiples domaines et nous souhaitons souligner notre obligation de modèle auprès de nos enfants et des générations futures d’entraîneurs, de joueurs et d’arbitres. Entraîneurs, joueurs et arbitres sont solidaires: le racisme n'a pas sa place dans le basket de l'Euroleague!\
Rédigez un rapport sur :
L'ancien coach de Limoges Mehdy Mary à la tête de la Tunisie
La FTBB a précisé, sur sa page officielle facebook, que le contrat liant la fédération à Mario Palma, désigné en juillet dernier, a été rompu à l’amiable du fait de problèmes de santé dont souffre le coach portugais.\n\nMehdy Mary a tenu des rôles de coaches de U21 en clubs et d'assistant dans différentes équipes de France de jeunes (U18, U19 et U20). Il a également entrainé les équipes de Neuchatel (Suisse) et de Limoges de 2019 à 2021.
Donnez une analyse détaillée de :
Canada : Arbitres insultés dans un championnat de jeunes, le huis clos décrété !
Le problème de l'incivilité des parents vis à vis des arbitres touche toutes les parties du monde et donc la Nouvelle-Ecosse, une province à l'extrême est du Canada. Le président de laMetro Basketball Association, Chris Lerette, a ainsi déclaré :\n\n\Des comportements abusifs de la part des spectateurs envers les officiels se produisent depuis des années. Cela n'a jamais été acceptable, mais nous avons atteint un niveau extrême.\\n\nChris Lerette a récemment envoyé une lettre aux parents dans laquelle il dénonçait le nombre croissant de spectateurs et d'entraîneurs qui continuent d'insulter les arbitres et les gardiens de sécurité et de mépriser les joueurs des autres équipes.\n\n\La semaine dernière, nous avons atteint un point critique. Il est clair que certains spectateurs et parents ont perdu de vue la vraie raison pour laquelle nous pratiquons ce sport: pour les enfants\, peut-on lire dans le courrier envoyée par Chris Lerette.\n\nLes joueurs qui disputent des matchs dans cette ligue sont âgés de 8 à 18ans. La plupart d'entre eux ont moins de 16ans. Il faut savoir que l'association a perdu 12arbitres jusqu'à présent cette saison en raison des abus des spectateurs ! Et avant même le début de la saison, 25autres avaient décidé de ne pas revenir cette année après avoir officié la saison dernière.\n\n\Nous espérons que cette fin de semaine permettra aux parents et aux spectateurs qui crient après les arbitres de réfléchir à leur comportement.\
Donnez une analyse détaillée de :
Cholet la tête hors de l'eau, Blois dans les sables mouvants
Craig Randall a été recruté pour marquer des points pour une équipe choletaise souvent contrainte au pain sec et à l'eau en attaque. Et Craig Randall shoote, shoote, shoote. L'Américain avait raté ses 9 tirs à trois-points contre Bourg. Il en a pris 19 contre Blois ! Pour en réussir 6. Si l'on prend en compte ses autres tentatives, il en totalise 26 pour 25 points.\n\nAutant dire que le jeune homme est... crispant. C'est un trou noir. Vous lui donnez le ballon, vous ne le voyez généralement plus. A voir si c'est vraiment rentable car au final son évaluation n'est que de 10.\n\nC'est vrai que l'on a davantage apprécié l'énergie des deux jeunes Blésois Armel Traoré, auteur d'un double double (16 points et 12 rebonds) et Brisse Dessert (15 d'évaluation en 18 minutes) ou... le sens collectif des autres Choletais. C'est ainsi que c'est sur une passe de TJ Campbell (14 points et 6 passes) que Neal Sako (12 points, 8 rebonds et 3 passes) a asséné un dunk qui a permis à Cholet Basket de passer en tête à 78-79 après avoir été mené l'essentiel du match.\n\nCraig Randall a raté un nouvel essai à trois-points mais Thomas Hieu-Courtois, qui avait réalisé un parfait 4/4 derrière l'arc jusque là en a manqué un lui aussi à 19 secondes de la fin. Malheureux Thomas Hieu-Courtois qui a eu le ballon de la gagne 13 secondes plus tard, mais une fois encore le ballon a rebondi sur le cercle. Son équipier Tobin Carbery s'est bien saisi du rebond offensif et il a réussi finalement à projeter le ballon dans le cercle... Mais après le buzzer. Oui, tout cela a tenu à trois fois rien.\n\nCe soir, Cholet Basket, qui a interrompu une série de sept défaites de rang, respire un peu mieux. Quant à l'ADA Blois, elle s'enlise dans les sables mouvants.
Donnez une analyse détaillée de :
Laurent Legname (Dijon) \Même dans mes rêves les plus fous...\
Laurent Legname a été renvoyé du BCM Gravelines-Dunkerque alors que son bilan n'affichait que des défaites. Il est venu à la rescousse de son ancien club, la JDA Dijon pas très bien en point dans le championnat national pour remplacer Nenad Markovic. Le Sudiste avait déjà coaché la JDA de 2015 et 2021 et dès sa reprise en mains de l'équipe, celle-ci vient de signer une victoire tonitruante.\n\nIl s'agit du plus gros débours depuis le début de la saison du CSP privé de Nicolas Lang, insuffisamment remis de sa blessure, et de Simisola Shittu qui ne veut plus jouer pour le club et qui, selon Le Populaire, devrait être remplacé par l'ancien Strasbourgeois Ike Udanoh. Les Limougeauds ont fait trois derniers quart-temps horribles : -10, -17, et -10. Les statistiques font état de 26 balles perdues limougeaudes -6 pour le seule Nemanja Nenadic- et de 13 interceptions -pour la JDA, évidemment- à 2. Danilo Nikolic (17 points) a été le seul à essayer de renflouer le bateau limougeaud qui s'est vite transformé en radeau. A Dijon, une mention doit être accordé au Slovène Gregor Hrovat (21 points et 20 d'évaluation).\n\nUn résultat inattendu alors que sans ses trois victoires en moins, Limoges serait devant Dijon au classement. On peut parler du fameux choc psychologique qui intervient parfois avec un changement de coach en cours de saison.\n\n«Même dans mes rêves les plus fous, je n’aurais pas pu imaginer un tel écart, une telle osmose entre les gars et une communion avec le public comme on a vu, surtout en deuxième mi-temps, a savouré Laurent Legname rapporte Le Bien Public. Ca fait du bien, il faut que tout le monde en profite. Et j’en profite également.Au bout de cinq minutes, je prends un temps-mort, on est à 4-15, dû déjà à la qualité de Limoges avec une adresse exceptionnelle dont plusieurs tirs vraiment difficiles sur la gueule de nos joueurs. Nous on était un peu crispé, on loupait des shoots ouverts, on se cherchait un peu, peut-être dû au contexte actuel. On faisait aussi trop d’erreurs défensives, puis au 2equart on les laisse déjà à 16 points marqués. Les gars qui sont rentrés ont apporté des choses intéressantes pour nous permettre de passer devant.»
Expliquez les points forts de :
Quand Stéphane Risacher remet son maillot de All-Star à son fiston
Stéphane Risacher, 51 ans, vice-champion olympique à Sydney en 2000, vient très souvent voir son fils jouer, mais ce samedi à Ekinox, il a eu une tâche très agréable en tant que \légende\ de la LNB; lui remettre son maillot pour son premier All-Star Game, le 30 décembre à l'Accor Arena. On s'aperçoit d'ailleurs sur la photo que le fiston (2,07 m) est bel et bien plus grand que papa listé à 2,03 m.\n\nZaccharie Risacher fait partie d'un paquet de joueurs burgiens -6 au total- qui ont atteint les 10 d'évaluation ; c'est d'ailleurs son total pour 7 points, 5 rebonds, 2 passes, 1 contre et 1 interception. La JL a réussi à la force du poignet à renverser une situation qui était apparue un temps compromise avec l'inévitable TJ Shorts (17 points, 5 passes) aux manettes de Paris.\n\nAu-delà d'une victoire de prestige, la JL se retrouve ainsi à hauteur de Paris et de l'ASVEL avec 11 victoires et 5 défaites.\n\nEN FAMILLE 😍\nLégende LNB, Stéphane Risacher remet à son fils le maillot du @ASGLNB ⭐️@JLBourgBasket x #BetclicELITE pic.twitter.com/CFmLrIs9JC\n\n— LNB (@LNBofficiel) December 16, 2023\n
Quelles sont les dernières informations sur :
Vidéo : Et le Manceau Trevor Hudgins loupa son 3e lancer-franc
Il reste 3 secondes et 3 dixièmes. Le meneur américain du MSB Trevor Hudgins hérite de 3 lancers-francs. Il met le premier, le deuxième, mais le troisième roule sur le cercle. Tyran De Lattibaudière chope le rebond offensif et a le temps d'armer son tir avant la sirène. Le ballon frappe le cercle. Terminé.\n\n«On était devant une bonne partie du match. Et on perd, on fait des choix et des erreurs bêtes à la fin. Quand on était à plus dix, plus douze, on s’est arrêté de défendre. On a aussi des tirs, on ne les met pas. On peut refaire plein de choses quand on perd. Il y a plein de choses à corriger. Après le dernier temps mort, on ne fait pas ce qui est demandé... Mais après, quand ça se joue à un point; tu as le lancer franc pour aller en prolongation. Donc oui, c’est décevant,» a reconnu le coach Eric Delord en conférence de presse rapporte Ouest France.\n\nSaint-Quentin est aux abords du top 8 et peut encore rêver de Leaders Cup avant de recevoir Le Portel. Avec 4 défaites en 5 matches, Le Mans va devoir faire attention à ce que la deuxième partie de saison ne tourne pas au vinaigre.\n\nCette fin de match complètement folle à Antarès entre le @MSB_Officiel et le @SQBB_Officiel ! 😱#SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/x2E9xOuxaM\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 16, 2023\n
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
Télex du 15/12/2023
Cholet la tête hors de l'eau, Blois dans les sables mouvants\n\nSa victoire à Blois après un combat acharné (78-80) donne de l'air à Cholet Basket, qui a maintenant deux victoires d'avance sur son adversaire du jour.\n\nCholet la tête hors de l’eau, Blois dans les sables mouvantsSa victoire à Blois après un combat acharné (78-80) donne de l’air à Cholet Basket, qui a maintenant deux victoires d’avance sur son adversaire du jour.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nL'ancien coach de Limoges Mehdy Mary à la tête de la Tunisie\n\nMehdy Mary, 43 ans, a été nommé coach de la sélection tunisienne en remplacement du Portugais Mario Palma, a annoncé la Fédération.\n\nMehdy Mary a tenu des rôles de coaches de U21 en clubs et d'assistant dans différentes équipes de France de jeunes (U18, U19 et U20). Il a également entrainé les équipes de Neuchatel (Suisse) et de Limoges de 2019 à 2021.\n\nL’ancien coach de Limoges Mehdy Mary à la tête de la TunisieMehdy Mary, 43 ans, a été nommé coach de la sélection tunisienne en remplacement du Portugais Mario Palma, a annoncé la Fédération.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\Le racisme n'a pas sa place dans le basket de l'Euroleague!\\n\nLes insultes racistes à l'égard de l'arbitre Joseph Bissang lors du match Olympiakos-Valence font tout naturellement réagir dans toutes les strates du basket européen.\n\nAprès le club de l'Olympiakos lui-même, la FFBB et la LNB, ce sont le Conseil des head coach de l'EuroLeague (EHCB), l'Association des joueurs de l'EuroLeague (ELPA) et l'Union des officiels de l'Euroleague de basket-ball (UEBO) qui ont publié un communiqué de presse commun.\n\n“Le racisme n’a pas sa place dans le basket de l’Euroleague!”Les insultes racistes à l’égard de l’arbitre Joseph Bissang lors du match Olympiakos-Valence font tout naturellement réagir dans toutes les strates du basket européen.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nBlois-Cholet : « Le match des deux cancres des sept dernières journées »\n\nLe point commun entre les deux équipes ? Alors qu'elles avaient bien commencé la saison, elles ont perdu leurs sept derniers matches, ce qui fait dire à Mickaël Hay, le coach de l'ADA Blois.\n\n«Ça va être le match des deux cancres des sept dernières journées.»\n\nAprès la dernière et lourde défaite à Chalon (93-75), le coach blésois en avait lourd sur la patate. Il a lâché quelques petites phrases dans La Nouvelle République qui laissent à penser qu'il veut redonner de la confiance à ses troupes.\n\nBlois-Cholet : « Le match des deux cancres des sept dernières journées »Le match Blois-Cholet de ce samedi après-midi (16h) revêt déjà un côté dramatique.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEuroleague : Joseph Bissang victime de propos racistes à Olympiakos\n\nL'incident s'est produit à 26,1 secondes avant la fin du match Olympiakos-Valence (56-63). Joseph Bissang a interrompu la rencontre et demandé que soit écrit sur la feuille de match le fait qu'un des spectateurs qui était placé en bord de terrain l'avait insulté en criant : \Allez f- - toi-même singe noir\ Le club grec a déjà annoncé que le supporter en question était banni à vie de l'aréna.\n\nEuroleague : Joseph Bissang victime de propos racistes à OlympiakosUne procédure disciplinaire devrait être ouverte par l’Euroleague après les insultes racistes d’un supporter envers l’arbitre français Joseph Bissang.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nPro B : Un record de spectateurs pour Orléans, la victoire pour Vichy\n\n7 676 spectateurs ont garni ce vendredi soir les tribunes de la CO'Met, ce qui est très sensiblement supérieur au précédent record établi lors de la venue de Pau avec 6 409 unités. Le public a poussé son équipe mais en vain. A 77-72 à la 38e minutes, les Orléanais paraissaient pourtant avoir les choses en mains. Seulement, ils ont été inattentifs en défense et fait des mauvais choix en attaque. Les 12 rebonds de Jean-Fabrice Dossou ne les ont pas empêchés de plus d'être dominés dans ce secteur (34-44).\n\nPro B : Un record de spectateurs pour Orléans, la victoire pour VichyCe choc de la 11e journée restera historique pour l’OLB grâce à l’affluence mais c’est la JAV qui en est sorti vainqueur (81-85).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nRémi Lesca dans les Landes : \Ca fait du bien de revivre toute ma jeunesse\\n\nPour les non initiés, l'ESMS c'est l'Elan Souémontain Montgaillardais Sarraziétois et l'ancien Palois meilleur ennemi de Beaublanc à Limoges, se plait visiblement à ce niveau.\n\n\J’ai toujours dit que certains joueurs auraient pu jouer plus haut. Mais s’ils sont là, c’est qu’il leur a manqué une part de réussite. Des joueurs talentueux, il y en a de partout et on le voit avec cette Nationale 2 qui est très homogène et relevée. C’est un bon championnat, ça fait du bien de jouer à ce niveau-là dans les Landes et de revivre toute ma jeunesse, raconte t-il à Sud Ouest.\n\nRémi Lesca dans les Landes : “Ca fait du bien de revivre toute ma jeunesse”Le Landais Rémi Lesca -il est né à Dax, il y a 33 ans- est revenu dans son département natal pour jouer en Nationale 2 à l’ESMS.BasketEurope.comLa rédaction
Parle moi en détail de :
L'ASVEL et Nico Mannion, ça se précise
Depuis le retour à Baskonia Vitoria de l'entraîneur Dusko Ivanovic, le temps de jeu de Nico Manion (1,88 m, 22 ans) a été réduite à peau de chagrin. Ainsi, il n'a pas joué lors du dernier match d'Euroleague contre son ancien club, Virtus Bologne. Ses moyennes cette saison sont de 6,0 points, 2,2 passes et 1,2 rebond.\n\nDe l'autre côté, depuis le départ de Frank Jackson, l'ASVEL est en manque de rotation au poste de meneur et elle dispose d'un atout maître pour séduire Nico Mannion, son coach, Gianmarco Pozzecco, qui est aussi celui de l'équipe nationale d'Italie.\n\nNé à Sienne, Nico Mannion est Italien via sa mère alors que son père Pace Mannion est un ancien NBAer qui a joué en Italie.\n\nhttps://www.basketeurope.com/lasvel-meneur-mannion-rumeurs/\n\nL’ASVEL toujours en recherche d’un meneurBien que le nom de Nico Mannion ait été avancé, l’ASVEL sonde toujours le marché pour se renforcer sur la ligne arrière.BasketEurope.comClément Carton
Donnez une analyse détaillée de :
L'ancien MVP de Betclic Elite, Will Cummings à l'Hapoël Tel-Aviv
Will Cummings a été élu MVP de la Betclic Elite lors de la saison 2021-22 alors qu'il portait le maillot de Boulogne-Levallois. Il a débuté le présent exercice dans la Ligue australienne NBL avec le South East Melbourne Phoenix obtenant en moyenne 14,5 points, 3,3 rebonds et 2,7 passes décisives en 12 matches avant d'être libéré par le club il y a quelques jours.\n\nWill Cummings est également passé par Trento, Darussafaka, le Lokomotiv Kouban, Oldenburg, l'Aris Salonique et la Chine. Il a gagné l'Eurocup 2018 avec le club turc et été élu MVP de du championnat allemand en 2019.\n\nL'Hapoël a actuellement un bilan de 8victoires et 2 défaites dans le groupe du Paris Basketball.\n\nRediff – Will Cummings (Boulogne-Levallois), unique en son genre – Basket EuropeCette saison, le meneur de Boulogne-Levallois fut l’une des très grosses pointures du championnat. Son impact sur le jeu et les résultats de son équipe, sa régularité et son talent individuel ont fait de lui le MVP de la saison régulière de Betclic Elite. Déjà distingué (meilleur marqueur du champioBasketEurope.comLiliane Trévisan\n\n
Écrivez un article sur :
Monaco-Roanne : Matthew Strazel éblouissant
Matthew Strazel a 21 ans. C'est une donnée qu'il ne faut pas oublier. Jusqu'ici, il n'a eu la possibilité de s'exprimer que cinq fois en Euroleague pour soixante minutes au total car il faut laisser un peu de temps à la superstar Kemba Walker. Est-ce justifié ? Il y a franchement débat.\n\nEn Betclic Elite, le coach Sasa Obradovic accorde davantage de temps de jeu à l'ancien Villeurbannais. Ce fut le cas en ce dimanche après-midi et en 31 minutes, il a offert une régalade au public de Gaston-Médecin.\n\nA l'issue de la première mi-temps, Strazel en était déjà 18 points à 3 sur 4 à trois-points. Il n'a pas autant scoré en deuxième période car il a moins shooté mais il quand même battu son record de points en carrière avec 23 points sur un panier primé après step back. Le minot s'est davantage concentré sur les passes et après deux caviars à Jaron Blossmogame et Yakuba Ouattara, il en cumulé 11, là aussi un record en pro. Evidemment, c'est lui qui a obtenu la meilleure évaluation : 30.\n\nC'est l'ensemble de ses équipiers qui ont pu profiter de ses offrandes ; les Monégasques ont converti 18 de leurs 26 tirs derrière l'arc. Et ils ont battu un autre record, celui du nombre de points cette saison en Betclic Elite, qui appartenait jusqu'ici à Paris face au Mans (112).\n\nMAIS C'EST QUOI CE CHANTIER DE STRAZEL 🤯🤯🤯\n18 PTS déjà à 1 point de son record de saison....@mtwbucket32 x @ASMonaco_Basket@LNBofficiel #SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/JV6pevjv2R\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 17, 2023\n
Quelles sont les dernières informations sur :
Télex du 16/12/2023
Monaco-Roanne : Matthew Strazel éblouissant\n\nTel un lapin pris dans un phare, la Chorale de Roanne a été éblouie par l'AS Monaco (116-73) et son meneur juvénile Matthew Strazel.\n\nMatthew Strazel a 21 ans. C'est une donnée qu'il ne faut pas oublier. Jusqu'ici, il n'a eu la possibilité de s'exprimer que cinq fois en Euroleague pour soixante minutes au total car il faut laisser un peu de temps à la superstar Kemba Walker. Est-ce justifié ? Il y a franchement débat.\n\nMonaco-Roanne : Matthew Strazel éblouissantTel un lapin pris dans un phrase, la Chorale de Roanne a été éblouie par l’AS Monaco (116-73) et son meneur juvénile Matthew Strazel.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nL'ancien MVP de Betclic Elite, Will Cummings à l'Hapoël Tel-Aviv\n\nLe meneur de jeu américain Will Cummings (1,88 m, 31 ans) a été recruté par l'Hapoël Tel-Aviv.\n\nWill Cummings a été élu MVP de la Betclic Elite lors de la saison 2021-22 alors qu'il portait le maillot de Boulogne-Levallois. Il a débuté le présent exercice dans la Ligue australienne NBL avec le South East Melbourne Phoenix obtenant en moyenne 14,5 points, 3,3 rebonds et 2,7 passes décisives en 12 matches avant d'être libéré par le club il y a quelques jours.\n\nL’ancien MVP de Betclic Elite, Will Cummings à l’Hapoël Tel-AvivLe meneur de jeu américain Will Cummings (1,88 m, 31 ans) a été recruté par l’Hapoël Tel-Aviv.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nL'ASVEL et Nico Mannion, ça se précise\n\nDifférentes sources en Europe indiquent que l'ASVEL est favorite pour enrôler le meneur de jeu international italien Nico Mannion.\n\nDepuis le retour à Baskonia Vitoria de l'entraîneur Dusko Ivanovic, le temps de jeu de Nico Manion (1,88 m, 22 ans) a été réduite à peau de chagrin. Ainsi, il n'a pas joué lors du dernier match d'Euroleague contre son ancien club, Virtus Bologne. Ses moyennes cette saison sont de 6,0 points, 2,2 passes et 1,2 rebond.\n\nL’ASVEL et Nico Mannion, ça se préciseDifférentes sources en Europe indiquent que l’ASVEL est favorite pour enrôler le meneur de jeu international italien Nico Mannion.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nVidéo : Et le Manceau Trevor Hudgins loupa son 3e lancer-franc\n\nLe match Le Mans-Saint-Quentin s'est joué à pile ou face et la pièce est retombée du côté de SQBB (76-77).\n\nIl reste 3 secondes et 3 dixièmes. Le meneur américain du MSB Trevor Hudgins hérite de 3 lancers-francs. Il met le premier, le deuxième, mais le troisième roule sur le cercle. Tyran De Lattibaudière chope le rebond offensif et a le temps d'armer son tir avant la sirène. Le ballon frappe le cercle. Terminé.\n\nVidéo : Et le Manceau Trevor Hudgins loupa son 3e lancer-francLe match Le Mans-Saint-Quentin s’est joué à pile ou face et la pièce est retombée du côté de SQBB (76-77).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nQuand Stéphane Risacher remet son maillot de All-Star à son fiston\n\nLa JL Bourg a réussi à faire tomber le Paris Basketball (83-81). L'occasion aussi pour Zaccharie Risacher de se voir offrir le maillot du All-Star Game des mains de son père, Stéphane.\n\nQuand Stéphane Risacher remet son maillot de All-Star à son fistonLa JL Bourg a réussi à faire tomber le Paris Basketball (83-81). L’occasion aussi pour Zaccharie Risacher de se voir offrir le maillot du All-Star Game des mains de son père, Stéphane.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nLaurent Legname (Dijon) \Même dans mes rêves les plus fous...\\n\nPour le retour de Laurent Legname au pays, Dijon a humilié Limoges, 90-60.\n\nLaurent Legname a été renvoyé du BCM Gravelines-Dunkerque alors que son bilan n'affichait que des défaites. Il est venu à la rescousse de son ancien club, la JDA Dijon pas très bien en point dans le championnat national pour remplacer Nenad Markovic. Le Sudiste avait déjà coaché la JDA de 2015 et 2021 et dès sa reprise en mains de l'équipe, celle-ci vient de signer une victoire tonitruante.\n\nLaurent Legname (Dijon) “Même dans mes rêves les plus fous...”Pour le retour de Laurent Legname au pays, Dijon a humilié Limoges, 90-60.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEuroleague : L'Etoile Rouge à un budget de... 15 777 062 euros\n\nLe président de l'Etoile Rouge de Belgrade, Nebojsa Covic, a dévoilé le budget de son club au centime près.\n\nComme son confrère et néanmoins ennemi intime du Partizan, Ostoja Mijailovic, a rendu public le budget de son club, Nebojsa Covic, lui a répliqué et sur la même chaîneTV Prvaet avec la précision d'un expert comptable pour bien insister sur le fait qu'il n'a rien à cacher.\n\n\Le budget de l'Étoile Rouge est de 15 777 062 euros. Disons environ 15 millions 800. Les dépenses pour les joueurs, selon le fair-play financier de l'Euroleague, ne peuvent pas dépasser 65,0% du budget. Cela signifie que nos dépenses pour les joueurs se situent autour de 10, 200 000 euros, plus précisément 10 192 738 euros. C’est le budget de la saison 23-24. Bien entendu, le budget est une question vivante au cas où il y aurait des arrivées ou des départs. Cela va certainement changer.\\n\nEuroleague : L’Etoile Rouge à un budget de... 15 777 062 eurosLe président de l’Etoile Rouge de Belgrade, Nebojsa Covic, a dévoilé le budget de son club au centime près.BasketEurope.comLa rédaction
Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.
Jermaine Love quitte Chalon
En 15 matches, l'Américain, qui arrivait de Novgorod en VTB League, s'est fendu de 9,5 points (39,2% à trois-points) et 1,8 passe en 23 minutes et son temps de jeu a été amoindri par la venue de Demonte Harper. Il rejoint Peristeri, 6e du championnat grec, et engagé en BCL dans le groupe du Mans.
Écrivez un article sur :
Nanterre en Leaders Cup, Benjamin Sene marche sur l’eau
C’est le seul trophée qui manque au palmarès du club, et de Pascal Donnadieu dont c’est la dernière saison. Et qui ne pouvait s’empêcher d’en sourire. «Oui, c’est vrai, on peut toujours rêver, même si la marche est quand même un peu haute. Peut-être sur un malentendu...»\n\nIl fallait bien un peu de légèreté, pour fêter cette dixième victoire nanterrienne, qui classe le club banlieusard dans le top 8, et qui, dixit son coach «permet, sauf catastrophe, de ne pas se faire peur dans un championnat qui est une guerre pour éviter les dernières places». Mais, Nanterre est revenu de très loin pour l’arracher cette dixième. Très mal embarqué, en mal d’intensité, avec une adresse pathétique (21% au premier quart, 33% à la mi-temps), Nanterre subissait le défi physique et l’envie de Gravelines, dégringolant jusqu’à -16 (25-41, 19ème).\n\nBenjamin Sene, dominant et plus mature\n\nIl faudra plus de rigueur, d’énergie défensive et un grand numéro du duo Desi Rodriguez (13 points )- Benjamin Sene (22 points) dans l’acte 2 pour que Nanterre refasse son retard, assoit son rebond, et parvienne enfin à décrocher les Nordistes , encore en tête à deux minutes de la fin (64-66).\n\nAuteur d’un panier au buzzer pour battre Dijon, de son troisième match au-dessus des vingt points (24 points face au Mans, 27 contre l’ASVEL, 25 contre Gravelines), et surtout d’un gros rayonnement sur le money-time, Sene marche sur l’eau en ce moment. Le meneur français cumule des matches consistants (il est aussi le deuxième passeur du groupe derrière Justin Bibbins à 4,1 passes) et son impact fait de lui le vrai leader et patron de l’équipe banlieusarde. A 29 ans, il apparaît aujourd’hui comme un vrai joueur dominant, et plus mature. De bon augure pour Nanterre, où il a resigné pour trois saisons cet été.\n\nLES REACTIONS\n\nJohn Stockton(Gravelines) : « Là, tout de suite, à chaud, je suis déçu. Pour la défaite. Mais pas en ce qui concerne la dynamique d’équipe qui est la nôtre depuis quelques semaines. On est sur une meilleure voie, même s’il reste beaucoup de choses à améliorer, sur lesquelles on doit être plus concentrés. On leur a permis d’inverser le momentum du matchcar on perd trop de balles, on laisse des rebonds aussi, ça leur laisse des chances de revenir. On n’est pas encore l’équipe qu’on voudrait être, mais on montre qu’on reste compétitifs, chacun se bat pour l’autre.»\n\nJean-Christophe Prat(coach Gravelines) : « Je ne m’attarde pas sur les frustrations de cette défaite. Je n’ai pas le temps de m’attarder sur les frustrations, mais plus sur les points de progrès. On a eu de bons runs dans ce match, mais ensuite on peut se déconcentrer totalement. On manque de constance. Il y a des choses qu’on aurait pu contrôler et on n’a pas su. Cette équipe peut avoir un autre futur si elle continue à travailler comme elle le fait au quotidien. Elle joue avec intensité, même si elle est perfectible.Il y a sept semaines, ce n’était pas la même équipe. Là on a acquis la certitude qu’à part Paris, Monaco, on peut jouer les yeux dans les yeux avec tout le monde. » \n\nPascal Donnadieu(coach Nanterre) : « Etre en Leaders Cup (NDLR: pour la première fois depuis 2020) c’est beaucoup de joie. D’autant plus quand je regarde le point de départ de ce groupe, en début de saison: une préparation tronquée, Ibou (Fall Faye) qui n’avait pas joué un match, nos quinze points encaissés à Strasbourg... Les joueurs sont récompensés aujourd’hui de leur abnégation. C’est une victoire à l’image de ce groupe, un peu en désordre parfois. Mais c’est une équipe qui quand elle est dans la difficulté, quand elle est derrière, ce qui nous est arrivé plus d’une fois cette saison, et c’est une mauvaise habitude, mais on trouve toujours les ressources mentales et le jeu pour revenir et chercher la victoire. Benjamin Sene? Au vu de sa première partie de saison, il aurait mérité d’être au All Star Game, il n’en est pas loin. Il a tellement progressé dans le leadership, il sait faire jouer les autres, et il a maintenant cette capacité à être «clutch», à prendre ses responsabilités en fin de match. »\n\nBenjamin Sene (Nanterre): «Celle-là elle très importante, car elle nous permet d’assurer la Leaders Cup, et c’était un des objectifs de la saison. On savait que contre une équipe comme Gravelines, avec un nouveau staff,et qui revient bien, ce serait compliqué. Et notre première mi-temps n’était vraiment pas belle, et c’est bien d’avoir su revenir dans ce match, vue la situation où on était. C’est quelque chose qu’on a vécu plusieurs fois cette saison, mais il faudrait éviter de se mettre dans cette situation, d’avoir des trous d’air comme ça. Il faut qu’on prenne conscience de ça. Moi, je n’ai pas l’impression de jouer différemment, je n’ai pas vraiment changé quelque chose. Pour bien jouer au basket, il faut beaucoup de mental, il faut y être mentalement. Et la confiance que je sens, la confiance que me fait Pascal, c’est quelque chose qui me permet de m’exprimer, ça me va bien».
Parle moi en détail de :