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LFB : L'exploit de Charnay, Tarbes avec un mini-effectif

Deux résultats à retenir de ce dimanche : Charnay a fait tomber l'ASVEL (68-65) et Tarbes a disposé d'Angers (57-49) en n'utilisant pratiquement que cinq joueuses.\n\nL'adage qui peut le plus peut le moins a été démenti en Bourgogne. Après avoir mis fin mardi à l'invincibilité de Fenerbahçe en Euroleague, les Lyonnaises ont chuté face au promu en Ligue Féminine prouvant leur instabilité. Ce n'est pas la faute à Gabby Williams qui a réalisé une fois encore un match de Superwoman avec 13 points et 14 rebonds. L'ancienne Endy Miyem (35 ans) a également fait de très bonnes choses (12 points, 5 rebonds, 3 passes), mais c'est la production de l'ensemble qui s'est révélée insuffisante. Ce sont surtout les balles perdues (21, le double de Charnay) qui ont côté cher aux filles de David Gautier.\n\nPour les Pinkies, Maeva Djaldi-Tabdi a sorti le grand jeu avec un double double : 19 points, 10 rebonds pour 25 d'évaluation. Leur engagement défensif a permis aux Bourguignonnes de compenser une certaine maladresse (37%). Et c'est ainsi qu'après 11 journées les deux équipes se retrouvent à égalité à la 5e place avec 6 victoires et 5 défaites. Totalement imprévisible.\n\nSur la feuille de marque de Tarbes-Angers, ce qui saute aux yeux c'est que quatre Tarbaises (Carla Leite, Nancy Fora, Camille Droguet et Jess Zodia) ont joué les 40 minutes disponibles. Et Dominique Malonga lestée de quatre fautes n'est sortie que cinq minutes.\n\nSi Carla Leite a été la meilleure marqueuse avec 22 points, elle a aussi commis 9 balles perdues (la fatigue ?) et chacune sur le terrain a apporté une contribution presque équivalente. Ainsi Camille Droguet qui avant cette saison a essentiellement joué en Ligue 2 et en Lituanie où elle était partie dans le cadre de ses études, a manqué d'un souffle un double double : 9 points et 11 rebonds.\n\nA noter la petitesse du score dans le dernier quart-temps (9-8) et le fait que Leïla Laca, a été en-dessous de son niveau habituel (2/11 aux shoots, 3 d'éval).\n\n

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Grèce : Un All-Star Game devant 3 000 spectateurs

Tout comme la LNB, la ligue grecque possède son All-Star Game, mais ce n'est pas un match entre Grecs et étrangers qui est organisé. A l'instar de la NBA, un joueur d'Olympiakos, le Gréco-Américain Thomas Walkup, a choisi ses joueurs et un joueur du Panathinaikos -forcément-, Kostas Sloukas, les siens. A noter que Moustapha Fall n'a pas été invité.\n\nC'est -toujours une évidence-, un autre joueur d'Olympiakos, qui jouait pour l'équipe Walkup, Isaiah Canaan, qui a été élu MVP. Les défenses étaient proscrites et le meneur américain d'1,80 m et 22 ans a marqué 27 points tandis que Luka Brajkovic du PAOK a ajouté 25 points avec un 7/7 à trois-points.\n\nLaurynas Beliauskas du PAOK a gagné le concours de tirs à trois-points en battant Vasilis Toliopoulos de l'Aris Salonique en finale. Quant à Nate Renfro de Peristeri, il s'est adjugé le concours de dunk. Par ailleurs, les anciens joueurs Giannis Bourouris et John Korfas, ainsi que l'entraîneur Soulis Markopoulos, sont entrés au Hall of Fame de la Ligue grecque.\n\nCe All-Star Game s'est tenu à Karditsa, une ville qui a été ravagée par les inondations et dans une salle beaucoup plus modeste que l'Accor Arena de Paris puisque ce sont seulement trois milliers de spectateurs qui y ont assisté.

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Le programme TV : Fin de la première phase de la BCL, nouvelle double journée d'Euroleague

Mardi 19 décembre :\n18h00 - Cluj-Napoca (Roumanie) / Bourg - Eurocup -Skweek\n18h00 - Cholet / Tenerife (Espagne) - BCL - DAZN\n18h00 - Szombathely (Hongrie) / Le Mans - BCL - DAZN\n18h30 - Rytas Vilnius (Lituanie) / Dijon - BCL - DAZN\n20h00 - Strasbourg / Oldenbourg - BCL - DAZN\n\nMercredi 20 décembre :\n19h00 - Monaco / Panathinaïkos (Grèce) - Euroleague - Skweek\n20h30 - Paris / Hambourg (Allemagne) - Eurocup - Skweek\n20h30 - Milan (Italie) / ASVEL - Euroleague - Skweek\n\nVendredi 22 décembre :\n19h45 - ASVEL / Olympiakos (Grèce) - Euroleague - Skweek\n20h30 - Bayern Munich (Allemagne) / Monaco - Euroleague - Skweek\n\nSamedi 23 décembre :\n16h30 - Nancy / Bourg - Betclic Elite - Skweek\n16h30 - Roanne / Gravelines-Dunkerque - Betclic Elite - Skweek\n16h30 - Saint-Quentin / Le Portel - Betclic Elite - Skweek\n19h00 - Paris / Strasbourg - Betclic Elite - Skweek\n20h30 - Blois / Boulogne-Levallois - Betclic Elite - Skweek\n20h30 - Chalon / Cholet - Betclic Elite - Skweek\n20h30 - Le Mans / Dijon - Betclic Elite - Skweek\n21h00 - Limoges / Nanterre - Betclic Elite - La Chaine L'Equipe\n\nREGARDER LE BASKET FRANÇAIS ET EUROPÉEN LORS DE LA SAISON2023-2024:\nÀ LA TÉLÉVISION TRADITIONNELLE:\nLA CHAINE L'EQUIPE\nLa Chaîne L'Equipe retransmet un match de Betclic Elitechaque dimancheet quelques rencontres d'Euroleague. Disponible sur le canal 21 de la TNT.\nBEIN SPORTS\nBeIN Sports diffuse les équipes de France et la NBA. Ses chaines sont accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52, Canal Sat : canaux 66 à 68, Free : canaux 31 à 33, Orange : canaux 46 à 48 ou 176 à 178, SFR : canaux 115 à 117).\nFRANCE 3 REGIONS\nFrance Télévisions retransmet, sur ses antennes régionales, quelques affiches de Pro B et de Ligue Féminine (canaux 301 à 324).\nSPORT EN FRANCE\nLa chaîne gratuite diffuse une affiche par journée de Ligue Féminine (SFR : canal 129, Orange : canal 174, Free : canal 190 et Bouygues, canal 192).\n\nSUR INTERNET :\nSKWEEK\nL'intégralité des matches deBetclic Elite, d'Euroleague et d'Eurocup masculine, un match par semaine de Ligue Féminine, de l'Euroleague et de l'Eurocup féminine, le top 8 Coupe de France et du 3x3 sont diffusés en live et disponibles en replay sur la plateformeSkweek.\nLNB TV\nLa plateforme digitale (OTT) de la LNB retransmet l'ensemble des matches de Pro B. Ils sont disponibles en intégralité, en live et en replay. Trois façons d’y accéder: sur le siteLNB, sur le siteLNB TVou en téléchargeant l’application LNB suriOSouAndroid.\nDAZN\nLa plateforme de diffusion d'événements sportifs diffuse désormais les matches des clubs français en BCL. Il est possible d'y accéderpar internetou en téléchargeant l'application suriOSouAndroid.\nYOUTUBE\nLes chaînes YouTube de laFFBB, de laFIBAet de laFIBA 3x3diffusent gratuitement et en direct des matches de leurs compétitions : notamment la Ligue Féminine, l'Eurocup féminine et compétitions internationales de jeunes ainsi que diverses compétitions de 3x3 notamment.

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Théo Maledon récupère un two-way contract à Phoenix

Libéré il y a quelques jours de son engagement avec Charlotte, l'international Théo Maledon (1,92 m, 22 ans) rejoint les Phoenix Suns rapporteThe Athletic. Ce \two-way contract\ lui permettra de jouer en G-League tout en profitant d'opportunités dans l'équipe de NBA de l'Arizona.\n\nLa saison dernière, le Normand n'avait joué que 13 matches avec les Hornets pour 4,2 points et 2,2 passes en 15' de moyenne.\n\n\n\n\n

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Les Français de l'étranger : Jerry Boutsiele roi du double-double, le carton de David Michineau

Le carton de la semaine parmi les Français expatriés en Europe est à mettre à l'actif de David Michineau. Arrivé cet été à Bursaspor, le meneur y réalise une belle saison comme en témoigne sa prestation du week-end dans le championnat turc. Contre Manisa, le joueur de 29 ans a réalisé un gros match statistique avec 28 points, 6 rebonds et 9 passes décisives pour 32 d'évaluation ! Seule déception : la courte défaite de son équipe (98-95).\n\nToujours en Turquie, Jerry Boutsiele (Bahçesehir) continue de s'éclater et enchaine les matches en double-double. Entre la FIBA Europe Cup et la Süper Lig, l'intérieur a réalisé une nouvelle belle semaine avec 31 points, 20 rebonds et 7 passes décisives en deux matches. Son coéquipier Axel Bouteille n'est pas en reste, avec notamment une dernière rencontre à 21 points, 5 rebonds et la victoire contre Galatasaray. Le duo tourne à plein régime et continue d'impressionner.\n\n\nLes intérieurs français costauds sur la scène européenne\n\nEn Euroleague, Matthias Lessort confirme sa première partie de saison réussie au Panathinaïkos avec un bon match contre l'ASVEL. Efficace, le pivot a fait souffrir le secteur intérieur villeurbannais, contribuant à la victoire de son équipe en France avec 14 points et 3 rebonds, malgré une certaine maladresse aux lancers-francs. Dans un autre genre, Isaïa Cordinier se montre aussi performant, dans le sillage d'une équipe de Bologne redoutable depuis le début de saison. L'arrière-ailier a encore eu un bel impact cette semaine avec 12 points, 8 rebonds et 3 passes décisives dans une victoire à Vitoria.\n\nEnfin, notons les copies solides rendues par Vincent Poirier (11 points, 9 rebonds) avec le Real Madrid en Euroleague, Jaylen Hoard (20 points, 5 rebonds) avec l'Hapoel Tel-Aviv ou encore Pierre Pelos avec Gran Canaria en Eurocup.\n\n\nCOUPES D'EUROPE\n\nEUROLEAGUE\n\nSylvain Francisco(Bayern Munich)\nDéfaite 88-73 contre le Real Madrid\n11 points, 3 rebonds, 2 passes décisives, 1 interception et 2 pertes de balle en 17 minutes\n\nFabien Causeur(Real Madrid)\nVictoire 88-73 contre le Bayern Munich\n6 points, 2 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception, 1 contre et 1 perte de balle en 17 minutes\n\nGuerschon Yabusele(Real Madrid)\nVictoire 88-73 contre le Bayern Munich\nBlessé\n\nVincent Poirier(Real Madrid)\nVictoire 88-73 contre le Bayern Munich\n11 points, 9 rebonds et 1 interception en 19 minutes\n\nDamien Inglis(Valence)\nVictoire 63-56 contre l'Olympiakos\n10 points, 1 rebond, 1 interception et 1 perte de balle en 14 minutes\n\nRodrigue Beaubois(Anadolu Efes)\nDéfaite 95-86 contre le Maccabi Tel-Aviv\nBlessé\n\nIsmaël Kamagaté(Olimpia Milan)\nVictoire 90-86 contre Barcelone\nN'a pas joué\n\nIsaïa Cordinier(Virtus Bologne)\nVictoire 91-81 contre Baskonia\n12 points, 8 rebonds, 3 passes décisives et 2 pertes de balle en 23 minutes\n\nMathias Lessort(Panathinaïkos)\nVictoire 89-81 contre l'ASVEL\n14 points, 3 rebonds, 1 passe décisive, 1 contre et 2 pertes de balle en 25 minutes\n\nMoustapha Fall(Olympiakos)\nDéfaite 63-56 contre Valence\n7 points, 7 rebonds, 1 passe décisive, 2 interceptions et 1 contre en 27 minutes\n\nEUROCUP\n\nJaylen Hoard(Hapoël Tel-Aviv)\nVictoire 89-81 contre le BC Wolves\n20 points, 5 rebonds, 1 interception et 3 pertes de balle en 24 minutes\n\nYoan Makoundou(Buducnost Podgorica)\nDéfaite 96-73 contre Türk Telekom\n7 points, 4 rebonds, 1 passe décisive et 2 pertes de balle en 22 minutes\n\nPierre Pelos(Gran Canaria)\nDéfaite 103-99 contre Ulm\n5 points, 7 rebonds et 1 passe décisive en 23 minutes\n\nAndrew Albicy(Gran Canaria)\nDéfaite 103-99 contre Ulm\n7 points, 2 passes décisives et 1 perte de balle en 19 minutes\n\nPacome Dadiet(Ulm)\nVictoire 103-99 contre Gran Canaria\n7 points en 13 minutes\n\nNoa Essengue(Ulm)\nVictoire 103-99 contre Gran Canaria\nN'a pas joué.\n\nAdam Mokoka(Cluj-Napoca)\nVictoire 80-76 contre Wroclaw\n11 points, 5 rebonds, 1 passe décisive et 2 interception en 23 minutes\n\nBCL\n\nDavid Michineau(Bursaspor)\nPas de match cette semaine\n\nStéphane Gombauld(Sassari)\nPas de match cette semaine\n\nAmine Noua(Tortona)\nDéfaite 87-75 contre Murcia\n3 points, 2 rebonds, 1 contre et 1 perte de balle en 16 minutes\n\nFIBA EUROPE CUP\n\nAxel Bouteille(Bahcesehir)\nVictoire 82-67 contre le Sporting Portugal\n13 points, 1 rebond, 2 passe décisive et 1 perte de balle en 28 minutes\n\nJerry Boutsiele(Bahcesehir)\nVictoire 82-67 contre le Sporting Portugal\n15 points, 10 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception et 2 pertes de balle en 38 minutes\n\n\nCHAMPIONNATS ETRANGERS\n\nESPAGNE\n\nFabien Causeur(Real Madrid)\nVictoire 85-74 contre Obradoiro\nN'a pas joué\n\nGuerschon Yabusele(Real Madrid)\nVictoire 85-74 contre Obradoiro\nBlessé\n\nVincent Poirier(Real Madrid)\nVictoire 85-74 contre Obradoiro\n6 points et 2 rebonds en 17 minutes\n\nAndrew Albicy(Gran Canaria)\nVictoire 83-75 contre Bilbao\n7 points, 1 rebond, 4 passes décisives, 1 interception et 1 perte de balle en 15 minutes\n\nPierre Pelos(Gran Canaria)\nVictoire 83-75 contre Bilbao\n12 points, 7 rebonds, 2 passes décisives, 2 interceptions et 1 perte de balle en 27 minutes\n\nDamien Inglis(Valence)\nVictoire 86-82 contre Andorre\n2 points, 5 rebonds, 3 passes décisives, 2 interceptions et 1 perte de balle en 19 minutes\n\nYves Pons(Girona)\nDéfaite 82-67 contre Badalone\n8 points, 5 rebonds, 2 interceptions, 1 contre et 1 perte de balle en 22 minutes\n\nTURQUIE\n\nRodrigue Beaubois(Anadolu Efes)\nDéfaite 85-77 contre le Besiktas\nBlessé.\n\nAxel Bouteille(Bahcesehir)\nVictoire 92-86 contre Galatasaray\n21 points, 5 rebonds, 3 passes décisives, 2 interceptions et 1 perte de balle en 30 minutes\n\nJerry Boutsiele(Bahcesehir)\nVictoire 92-86 contre Galatasaray\n16 points, 10 rebonds, 6 passes décisives, 1 interception et 1 contre en 37 minutes\n\nDavid Michineau(Bursaspor)\nDéfaite 98-95 contre Manisa\n28 points, 6 rebonds, 9 passes décisives, 1 interception, 1 contre et 3 pertes de balle en 32 minutes\n\nITALIE\n\nIsmaël Kamagaté(Olimpia Milan)\nVictoire 74-70 contre Varese\nN'a pas joué\n\nIsaïa Cordinier(Virtus Bologne)\nDéfaite 85-84 contre Venise\n7 points, 6 rebonds, 1 interception, 1 contre et 4 pertes de balle en 24 minutes\n\nAmine Noua(Tortona)\nDéfaite 83-67 contre Crémone\n4 points, 4 rebonds et 2 pertes de balle en 20 minutes\n\nStéphane Gombauld(Sassari)\nVictoire 84-81 contre Brindisi\n11 points, 4 rebonds, 1 passe décisive et 1 perte de balle en 22 minutes\n\nGRÈCE\n\nMoustapha Fall(Olympiakos)\nPas de match ce week-end\n\nMathias Lessort(Panathinaïkos)\nPas de match ce week-end\n\nALLEMAGNE\n\nSylvain Francisco(Bayern Munich)\nVictoire 95-80 contre Ulm\n10 points, 1 rebond, 2 passes décisives, 1 interception et 1 perte de balle en 18 minutes\n\nLéo Westermann(Crailsheim)\nVictoire 87-84 contre Tubingen\nN'a pas joué\n\nPacome Dadiet(Ulm)\nDéfaite 95-80 contre le Bayern Munich\n0 point, 2 rebond, 1 passe décisive, 1 interception et 1 perte de balle en 16 minutes\n\nNoa Essengue(Ulm)\nDéfaite 95-80 contre le Bayern Munich\n1 contre en 3 minutes\n\nISRAEL\n\nJaylen Hoard(Hapoël Tel-Aviv)\nVictoire 97-94 contre Ness Ziona\n7 points, 3 rebonds et 1 interception en 22 minutes\n\nFrédéric Bourdillon(Bnei Herzliya)\nDéfaite 94-74 contre le Maccabi Tel-Aviv\n9 points, 1 rebond, 2 passes décisives et 3 interception en 24 minutes\n\nLIGUE ADRIATIQUE\n\nYoan Makoundou(Buducnost Podgorica)\nDéfaite 96-83 contre le Partizan Belgrade\n12 points, 6 rebonds, 1 passe décisive, 1 contre et 2 passes décisives en 25 minutes\n\nHugo Besson(FMP)\nDéfaite 92-77 contre le Zadar\n13 points, 5 rebonds, 4 passes décisives et 3 pertes de balle en 29 minutes\n\nLuka Asceric(FMP)\nDéfaite 92-77 contre le Zadar\nN'a pas joué\n\nAlexandre Gavrilovic(Mornar Bar)\nDéfaite 79-71 contre Borac\n4 points et 1 perte de balle en 18 minutes\n\nRUSSIE\n\nThomas Heurtel(Zenit Saint-Petersbourg)\nVictoire 93-48 contre le MBA Moscou\n5 points, 1 rebond, 9 passes décisives, 1 interception et 4 pertes de balle en 19 minutes\n\nAdrien Moerman(Zenit Saint-Petersbourg)\nVictoire 93-48 contre le MBA Moscou\n3 points, 2 rebonds et 4 interceptions en 19 minutes\n\nLivio Jean-Charles(CSKA Moscou)\nVictoire 96-66 contre Saratov\n11 points, 1 rebond, 2 passes décisives, 1 interception et 1 contre en 16 minutes\n\nAmath M'Baye(CSKA Moscou)\nVictoire 96-66 contre Saratov\n19 points, 4 rebonds, 2 passes décisives, 3 contres et 2 pertes de balle en 22 minutes\n\nLouis Labeyrie(UNICS Kazan)\nVictoire 97-75 contre Astana\nN'a pas joué\n\nAUSTRALIE\n\nAlexandre Sarr(Perth Wildcats)\nVictoire 89-88 contre les Tasmania JackJumpers\n7 points, 2 rebonds, 1 passe décisive, 2 contres et 1 perte de balle en 15 minutes\n\nBNXT LEAGUE\n\nJared Ambrose(Circus Brussels)\nVictoire 74-72 contre Courtrai\n4 points, 1 rebond, 1 passe décisive et 1 perte de balle en 9 minutes\n\nThomas Hanquiez(Circus Brussels)\nVictoire 74-72 contre Courtrai\nN'a pas joué\n\nPOLOGNE\n\nAaron Cel(Torun)\nVictoire 78-75 contre Wroclaw\n3 points, 7 rebonds, 1 passe décisive et 1 perte de balle en 19 minutes\n\nROUMANIE\n\nAdam Mokoka(Cluj-Napoca)\nVictoire 96-66 contre Timisoara\n5 points, 1 rebond, 1 passe décisive, 1 contre et 2 pertes de balle en 19 minutes\n\nThomas Smallwood(Laguna Sharks Bucarest)\nDéfaite 91-74 contre Targu Jiu\n16 points, 8 rebonds, 2 passes décisives et 3 pertes de balle en 32 minutes

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Bathiste Tchouaffe (Champagne Basket) : \La Pro B est une ligue un peu folle\

Après avoir mené de 19 points en première mi-temps, les Champenois se sont éteints et ont concédé une défaite, 79-82, à domicile, face à Boulazac. La quatrième en cinq matches.\n\n«On a encore oublié de défendre en deuxième mi-temps. À un moment donné, il faut se poser la question de savoir si on veut vraiment gagner le match. Il n’y a pas de grande analyse à faire, je ne vais pas en faire trop. Il faut marquer les paniers et les lancers-francs où on a tourné à 58 % de réussite dont 0 sur 4 dans la dernière minute, ça veut dire beaucoup», constatait Thomas Andrieux auprès de L'Union.\n\nLe Champagne Basket possède la moins bonne adresse à deux-points de toute la division (45,5 %) et personne ne paraît capable de prendre en mains le leadership offensif (Mathis Keita est le numéro 1 de l'équipe au scoring avec 11,7 points). Les Champenois ont pourtant déjà prouvé qu'ils ont du répondant puisqu'ils se sont hissés en finale de la Leaders Cup Pro B. Ces résultats médiocres sont-ils problématique pour le long terme ?\n\n«C’est une question qui se pose dans beaucoup de clubs, notamment chez celui qui a été finaliste du dernier championnat, commente Bathiste Tchouaffé.Mais il faut se dire qu’on est qualifiés en finale de la Leaders Cup, il suffit de gagner un match et notre saison change du tout au tout. C’est la Pro B. C’est une ligue un peu folle. Il y a des renversements de situation dans tous les sens, des équipes qui te surprennent, d’autres que tu penses dominatrices et qui ne le sont finalement pas. On se lève tous les matins en ayant la motivation.»\n\nLe Champagne Basket pourra-t-il enclencher un cercle vertueux dès ce mardi à Vichy ? La tâche ne sera pas facile face à une équipe auvergnate qui, lui, tient ses promesses. La JAV sera aussi son adversaire en finale de la Leaders Cup Pro B, le 18 février à l’Arena Loire de Saint-Chamond.

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Ranking FIBA jeunes : les Françaises restent sur le podium

Comme en 2022, les Etats-Unis restent la puissance numéro 1 du basket féminin mondial. A l’instar des séniors, les jeunes Américaines ont tout raflé cette saison, y compris la Coupe du monde U19 à Madrid devant 7 000 spectateurs. Cela se traduit sans surprise dans la mise à jour du classement FIBA jeunes - qui prend en compte tous les résultats des compétitions internationales de U16 à U19 - en cette fin d’année 2023.\n\nAvec un titre chez les U16, une finale chez les U18 et une 4e place à la Coupe du monde U17, la France conserve de justesse sa deuxième place (726,2 points). En effet, trois nations se tiennent dans un mouchoir de poche à la lecture de ce ranking puisque le Canada (721,1 points) et l’Espagne (717,9 points) suivent de très près.\n\nNotons que l’Australie, sur le podium de l’édition 2022, tombe au 5e rang et que le Japon entre dans le top 10 directement à la 9e place. La Slovénie, la Hongrie, la Belgique et la Finlande complètent un top 10 qui comprend six nations européennes.\n\n> Le classement FIBA jeunes, comment ça marche ?

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Limoges : Ike Udanoh remplace Simi Shittu

Comme le laissait entendre Le Populaire du Centre, Simisola Shittu n’est plus Limougeaud. Désireux de s’en aller, le pivot canadien aux 6,6 points et 4,7 rebonds de moyenne en 14 matches de Betclic Elite ne finira pas la saison en Haute-Vienne. Le Limoges CSP a annoncé ce lundi l’arrivée de son remplaçant, Ike Udanoh (2,02 m, 34 ans), qui débarque après 8 matches dans la rotation de Bonn, tenant du titre de la BCL.\n\nBien connu en France pour s’être révélé avec Hyères-Toulon en 2016-2017 et avoir charbonné avec Strasbourg lors des trois dernières saisons, le pivot américano-nigérian va retrouver la Betclic Elite et compléter le poste 5 avec Alexandre Chassang, avec lequel il avait déjà collaboré dans le Var. Il retrouvera par ailleurs Lucas Beaufort et l’assistant Romain Leroy, qu’il a côtoyés en Alsace.\n\nJoueur de l’ombre (4,3 points à 47 %, 3,6 rebonds et 1,2 passe décisive en 2022-2023), passé par la D5 allemande en début de carrière, Ike Udanoh apportera à Limoges un profil défensif complémentaire d’Alex Chassang... et du leadership. « Ike est un joueur expérimenté qui vient nous donner de la force et la volonté de faire les petits efforts nécessaires pour rendre ses coéquipiers meilleurs », souligne en toile de fond son nouveau coach, Ilias Kantzouris.\n\nLa renaissance limougeaude d’Alexandre Chassang : “Il avait ce côté revanchard”En difficulté à Bourg la saison dernière, Alexandre Chassang est de retour à son meilleur niveau avec Limoges. En déplacement ce samedi à Dijon, où il s’est révélé au plus haut niveau entre 2018 et 2021, le All-Star se projette sur la suite de la saison avec détermination.BasketEurope.comValentin Perrot

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Telex du 18/12/2023

Charnay surprend l'ASVEL, Tarbes solide avec une rotation réduite\n\nPour la dernière journée de Ligue Féminine de l'année 2023, Charnay s'est offert la performance du week-end. À domicile, les Pinkies ont réalisé l'exploit en battant l'ASVEL ce dimanche (68-65). Malgré un effectif décimé, Tarbes s'est également distingué en venant à bout d'Angers (57-49).\n\nLFB : L’exploit de Charnay, Tarbes avec un mini-effectifDeux résultats à retenir de ce dimanche : Charnay a fait tomber l’ASVEL (68-65) et Tarbes a disposé d’Angers (57-49) en n’utilisant pratiquement que cinq joueuses.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nIke Udanoh officialisé par Limoges pour remplacer Simi Shittu\n\nAnnoncé il y a quelques heures, le départ de Limoges du pivot Simisola Shittu a été compensé : ce lundi, le CSP a annoncé l'arrivée d'Ike Udanoh jusqu'à la fin de la saison. Ancien joueur de Strasbourg, l'intérieur de 34 ans tentera d'apporter sa dureté et son expérience à sa nouvelle équipe.\n\nLimoges : Ike Udanoh remplace Simi ShittuAprès avoir officialisé le départ de Simisola Shittu, le Limoges CSP a annoncé l’arrivée de l’ancien Strasbourgeois Ike Udanoh jusqu’à la fin de la saison.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nSignataire d'un two-way contract à Phoenix, Théo Maledon reste en NBA\n\nThéo Maledon ne reviendra pas tout de suite en Europe. Coupé par les Charlotte Hornets il y a quelques jours, l'ancien meneur de l'ASVEL a accepté une nouvelle proposition en NBA. Il vient de signer un two-way contract avec les Phoenix Suns, où évolue notamment Kevin Durant. Une nouvelle opportunité pour le joueur de 22 ans, qui évoluera à la fois en NBA et en G-League.\n\nThéo Maledon récupère un two-way contract à PhoenixPas de retour précipité en Europe pour Théo Maledon, qui s’est vu offert un “two-way contract” par les Phoenix Suns.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nJosh Carlton quitte Boulogne-Levallois pour la Turquie\n\nSur le départ depuis l'arrivée d'Alen Omic sur son poste, Josh Carlton a enfin fait ses adieux à Boulogne-Levallois. Auteur d'une saison prometteuse au Mans l'année dernière, l'Américain n'est pas parvenu à complètement confirmer dans les Hauts-de-Seine. Il va tenter de se relancer chez les Turcs de Darussafaka, en pleine reconstruction après avoir renouvelé une grande partie de leur effectif au cours des dernières semaines.\n\nBoulogne-Levallois : Direction la Turquie pour Josh CarltonMis de côté depuis l’arrivée d’Alen Omic, le pivot Josh Carlton a quitté les Metropolitans 92 et s’apprête à rejoindre le club turc de Darussafaka.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nLa France toujours deuxième du ranking FIBA jeunes\n\nAvec un titre chez les U16, une finale chez les U18 et une 4e place à la Coupe du monde U17, la France conserve sa deuxième place au classement mondial. Devancées par les intouchables Etats-Unis, les jeunes Françaises se placent juste devant le Canada et l'Espagne.\n\nRanking FIBA jeunes : les Françaises restent sur le podiumEn 2023, la France figure toujours à la deuxième place du classement FIBA des jeunes filles derrière les Etats-Unis et devant le Canada, qui monte sur le podium mondial.BasketEurope.comLa rédaction

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Boulogne-Levallois : Direction la Turquie pour Josh Carlton

Auteur d’une saison de découverte européenne prometteuse avec Le Mans, Josh Carlton était une des recrues phares de Boulogne-Levallois cet été. Pour autant, le pivot américain (2,08 m, 24 ans) ne s’est pas imposé comme espéré dans les Hauts-de-Seine. Barré par Alen Omic depuis début novembre, il est sorti de la rotation (10,5 points à 58,6 % aux tirs, 5 rebonds et 0,8 passe décisive en moins de 19 minutes sur les 13 premiers matches) avant de réapparaître à Strasbourg ce weekend.\n\nC’était en réalité un baroud d’honneur puisque l’ancien pensionnaire d’U-Conn s’apprête à découvrir la Turquie. Il va s’engager ce mardi avec Darussafaka Istanbul, selon Basketfaul. Les Mets 92 ont annoncé avoir trouvé un accord de séparation avec le joueur ce lundi.\n\nIl met les pieds dans un club qui vient de libérer tous ses joueurs étrangers à l’exception de Muhammad-Ali Abdur-Rahkman, à l’image de Kyle Allman qui a rejoint le voisin du Besiktas. A noter que Darussafaka joue sa survie en BCL ce mardi soir contre Riga.

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Up To The League, une plateforme pour prendre le contrôle de sa carrière

Up To The League est une plateforme innovante qui offre à tous les basketteuses et basketteurs l'opportunité de suivre leur carrière sportive comme des professionnels. Conçue pour répondre aux besoins des jeunes joueurs ambitieux, cette plateforme ouvre la voie à une visibilité accrue, à des statistiques détaillées et à des opportunités de connexion dans le monde du basket.\n\nCette plateforme permet de créer son propre profil de joueur ou de coach, de télécharger des photos et des vidéos de ses moments forts sur le terrain, et de suivre ses statistiques match après match. Bref, de prendre le contrôle de sa carrière.\n\n\Comme de nombreux joueurs de basket amateurs, j'ai toujours rêvé de plus de visibilité et de moyens pour présenter mes performances sur le terrain aux personnes qui comptent : coéquipiers, adversaires et coachs, explique Rabah, cofondateur d'Up To The League. Up To The League est la réponse à ce besoin. C'est un véritable écosystème et terrain de jeu motivant pour les joueurs de basket, combinant mes informations grâce au profil complet (photo, âge, taille, envergure, points forts, postes ...), mes statistiques (minutes, points marqués, réussite à 2 points et à 3 points ...), des distinctions avec l’identification des \impact player\ des matchs, et des opportunités de se montrer et d'être contacté par un coach. Les joueurs peuvent montrer aux coachs qu’ils sont disponibles pour un nouveau projet sportif en un clic.\\n\nUp To The League travaille déjà avec des acteurs du basket de différents niveaux, comme des clubs amateurs, des centres de formation masculins et féminins puis des camps de basket. Depuis un an, c'est plus de 160 coachs et joueurs de tous niveaux, de tous âges et de différentes régions qui testent l'application.\n\nL'objectif déclaré est qu'à partir de son profil, le joueur pourra suivre ses statistiques et son évolution, identifier ses points forts et axes d'amélioration, s'inscrire à un camp de basket permettant de progresser, et postuler dans le bon centre de formation qui correspond à son projet sportif.

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Guerschon Yabusele: Un retour programmé dans un mois

\n\nGuerschon Yabusele (2,04 m, 28 ans depuis le 17 décembre) s'est blessé, le 16 novembre, lors de la première mi-temps du match Monaco-Real Madrid et souffre d'unedéchirure partielle du ligament latéral interne du genou gauche, avait annoncé le Real.\n\nUne blessure suffisamment sérieuse pour faire craindre une longue indisponibilité allant peut-être jusqu'aux Jeux Olympiques de Paris. Les nouvelles sur sa santé qui nous sont parvenues laissent entendre une reprise de la compétition pour la deuxième semaine de janvier.\n\nEn 7 matches d'Euroleague, le Normand s'était fendu de 10,3 points (64,3% à deux-points, 56,5% à trois-points, 15/15 aux lancers-francs) et 5,0 rebonds pour 14,6 d'évaluation.

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Pro B - Julien Cortey (La Rochelle) : \L'objectif est toujours le maintien\

Interrogé par France Bleu La Rochelle, le coach Julien Cortey confirme que son équipe a une sorte de cible accrochée dans le dos :\n\n\Oui, c'est ce qu'on se dit à chaque match.On a un statut différent. En début de saison, je pense que personne ne nous attendait et maintenant, on veut battre le leader. L'idée, c'est de rester concentrés sur ce qu'on fait, ne pas se laisser griser par cette première place, rester sur nos principes collectifs et ne pas se mettre plus de pression que cela. C'est super d'être premiers, mais ce n'était pas un objectif au départ. Il ne faut pas que ça devienne embarrassant et que ça nous paralyse. Il faut savourer le plus longtemps possible et aborder les matchs, juste en essayant de maintenir notre dynamique et de proposer le même jeu tous les matches.\\n\nDonc La Rochelle est très raisonnable dans ses objectifs. Pas de changements.\n\n\Non, our l'instant les objectifs sont toujours les mêmes, à savoir le maintien. C'est ce qui avait été été fixé en début de saison. C'était compliqué de fixer des objectifs chiffrés parce qu'on dépend aussi beaucoup des autres équipes. Moi, je parlais beaucoup de notre performance individuelle, donc on est resté là dessus. C'était de proposer le meilleur basket possible en terme d'attractivité, asseoir notre base défensive et se concentrer sur nous. Je pense que le plus important, qu'on gagne ou qu'on perde, c'est de toujours vouloir s'améliorer et rester dans ce qu'on fait de bien.\

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BCL : Cholet et Strasbourg pour la 1ère place

La JDA Dijon est en Lituanie face à Vilnius, son dauphin du groupe, et elle n'a plus rien à gagner au classement puisqu'elle est au plafond, certaine de terminer première. Sinon qu'elle peut réaliser le grand chelem ; elle en est à cinq victoires en autant de journées.\n\nRappelons l'essentiel : les premiers de chaque groupe sont directement qualifiés pour la deuxième phase de poules, le fameux top 16. Les deuxièmes et troisièmes devront passer par les play-ins, une série au meilleur des trois matchs qui débutera le... 2 ou 3 janvier. Donc dans ce cas le Réveillon se passera à l'entraînement !\n\nCholet reçoit à La Meilleraie Lenovo Tenerife qui possède une victoire de plus que l'équipe du Maine-et-Loire.\n\n« On considère que c’est la finale du groupe, et on a la chance de la jouer à domicile », commente l’entraîneur Laurent Vila dans le Courrier de l'Ouest. « L’idée première c’est de jouer pour être premier de ce groupe, malgré tout assez corsé. Mais pouvoir reprendre un peu plus tard en janvier serait une récompense et ça fait partie des leviers de motivation pour ce match, mais ça ne doit pas être le principal. »\n\nC'est dans le groupe E de Strasbourg où la situation est la plus embrouillée. Aucune des quatre équipes ne connaît son sort à 40 minutes du buzzer final et la SIG peut terminer à n'importe quelle des quatre places. L'idéal, c'est évidemment de s'imposer au Rhénus face aux Allemands d'Oldenbourg. Il sera toujours temps de voir à ce moment-là si cette victoire est synonyme de Top 16 ou de play-ins.\n\nQuant au Mans, tout était joué pour lui avant même de se rendre en Hongrie pour s'opposer à Szombathely qui avait largement gagné en Sarthe à l'aller (63-81)... Cela ne va pas empêcher les Hongrois de finir en queue de peloton du groupe. Les Manceaux terminent deuxièmes derrière Malaga, sans doute l'équipe numéro un de la compétition, et joueront donc les play-ins. Le coach Elric Delord devrait préserver son meneur de jeu DeVante Jones pour les échéances futures et faire largement appel à son banc y compris les jeunes.

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Un tournoi de l'Euroleague Basketball Adidas Next Generation à Paris

Le format reste le même, le vainqueur de chaque tournoi de qualification de l'ANGT se qualifiant pour tenter de conquérir la couronne continentale des clubs juniors lors du Final Four de l'Euroleague 2024 à Berlin, en Allemagne.\n\nÀ chaque étape de qualification, une nouvelle équipe Next Generation composée de jeunes stars issues de clubs non affiliés à d’autres clubs de l’ANGT sera parmi les huit participants, garantissant ainsi qu’une gamme complète des meilleurs talents du continent sera représentée dans le tournoi. L'ancienne star de l'Euroleague, Petteri Koponen, reprendra son rôle de head coach des quatre équipes Next Generation de la saison dernière. Cette saison, l'équipe Next Generation Select ne participera pas aux finales ANGT à huit équipes. Sa place sera occupée par une équipe différente via une wild card.\n\nLe premier événement de qualification de cette saison aura lieu du 26 au 28 janvier à Podgorica, avec le SC Derby comme club hôte. Cela marque le début des qualifications de l'ANGT dans la capitale monténégrine. L'Etoile Rouge de Belgrade accueillera le deuxième tournoi du 1er au 3 mars. Une première qualification de l'ANGT en dehors de l'Europe continentale aura lieu à Dubaï du 22 au 24 mars, avec l'équipe locale de la Dubai Basketball Academy comme hôte de l'événement. Le tournoi se jouera à la Coca Cola Arena de Dubaï d'une capacité de 17 000 spectateurs.\n\nLe quatrième et dernier tournoi de qualification se déroulera du 29 au 31 mars à Paris, organisée par Skweek avec le soutien coordonné d'Adidas et du Paris Basketball. L'ANGT revient dans la capitale française pour la première fois depuis l'accueil de la Finale de 2010. Les qualifications se joueront dans la nouvelle Adidas Arena de Paris.\n\nCette saison marque la 22e édition de l'ANGT. La compétition a vu un gratin des stars du basket-ball remplir ses rangs, parmi lesquelles de futures stars de l'Euroleague et de la NBA telles que Goga Bitadze, Omri Casspi, Luigi Datome, Luca Doncic, Vasilije Micic, Nikola Mirotic, Donatas Motiejunas, Dario Saric. , Milos Teodosic, Domantas Sabonis, Kristaps Porzingis, Jonas Valanciunas et Victor Wembanyama, entre autres.

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ITW Guillaume Costentin (Cholet) : “Je suis directeur sportif mais je ne recrute pas les joueurs”

À 41 ans, l’ancien meneur de jeu est épanoui dans sa nouvelle vie. Directeur sportif de Cholet Basket, Guillaume Costentin oeuvre désormais en coulisses, où il prend définitivement ses marques au sein du club des Mauges, dans lequel il est arrivé le 1er mars dernier. Joint au téléphone durant une trentaine de minutes, il est revenu sur son parcours quelque peu atypique, lui qui, après une carrière de joueur majoritairement passée entre Poitiers, Evreux et La Rochelle, a débuté sa reconversion professionnelle par un poste de directeur sportif chez les Flammes Carolo, à Charleville-Mézières.\n\nQuel a été votre parcours avant d’être nommé directeur sportif de Cholet Basket ?\n“Ça n'a pas été un parcours simple ou classique, et j’en suis assez fier. Tout a commencé à Cholet, où j’ai joué ici en cadets (NDLR : Champion de France 1997-1998) après le Pôle Espoir de Normandie. Mais mon aventure choletaise a été de courte durée puisque je n’ai pas été conservé. Alors j’ai fait une deuxième année Espoirs, en Pro B, à Saint-Brieuc. Mais le club a déposé le bilan, alors je suis parti à Evreux pour ma troisième année U18. J’ai fait deux années là-bas, où j’ai joué mes premières minutes en Pro A.\n\nAu terme de ma formation, Evreux ne m’a pas proposé de contrat. Comme je souhaitais continuer à la fac, un concours de circonstances m’a emmené à Châtellerault, à côté de Poitiers, en NM2, pendant deux ans, le temps de mon DEUG. C’est à ce moment-là que je me suis rapproché de Poitiers, j’avais envie d’intégrer ce groupe. J’y suis resté de 2003 à 2011, avec à la clé un titre de NM1 en 2006, un titre de Pro B en 2009, deux années de Pro A dont la dernière bien entachée de blessures. J’ai rebondi à Evreux, où nous avons atteint quatre fois les playoffs en cinq ans et où j’ai terminé sur une finale d’accession perdue contre Le Portel, en 2016. Mon dernier projet sportif m’a emmené à La Rochelle, au moment où le club s’appelait encore Rupella, en NM2, avec lequel nous sommes montés en NM1. J’ai fait partie de la première équipe du Stade Rochelais basket en 2018-2019. Je savais que c’était ma dernière année en tant que joueur et je le vivais très bien. C’était une belle aventure malgré un petit contretemps dans ma reconversion.\n\nAprès ma carrière, j’ai donc démarré la formation de directeur sportif ouverte par la Ligue Nationale de Basket en lien avec l’UFR Staps de Grenoble. J’ai fait partie de la première promotion et obtenu mon DU. Pendant cette formation, j’ai été en stage à l’ASVEL avec François Lamy, conseiller du président Parker. Le Covid a bousculé les plans, disons, alors je suis parti en observation à Charleville-Mézières, chez les Flammes Carolo, après discussion avec Amel Bouderra que je connais hors du cadre basket. Après quelques jours d’immersion, le DG Romuald Yernaux m’a proposé un poste avec des missions bien précises. Après mûre réflexion, on a fait le choix de déménager en famille pour deux saisons à Charleville, dans un club qui joue le top 6 en Ligue Féminine et la Coupe d'Europe tous les ans depuis quelques années. C’était une première expérience très enrichissante, formatrice et réussie.\n\nComment s’est fait votre arrivée - ou retour, donc - à Cholet comme directeur sportif ?\nAvec ma femme, on a fait le choix de revenir sur la côte atlantique qui est plutôt une terre de basket avec des clubs en Vendée, dans les Pays de la Loire, les Mauges, la Loire-Atlantique... Dans le même temps, Thierry Chevrier venait d’annoncer qu’il allait prendre sa retraite et que Cholet allait tenter de se structurer différemment. Donc j’ai fait le pari de revenir dans la région car, même si je me dirigeais vers une période sans poste, des portes allaient peut-être s’ouvrir. C’est ce qui s’est passé avec Cholet, qui a ouvert le poste de directeur sportif fin novembre 2022. J’ai suivi le parcours de recrutement classique, j’ai été recruté et j’ai pris mon poste au 1er mars, en cours de saison. C’était un timing un peu surprenant mais au moins, j’étais tout de suite dans le bain (rires). J’ai assez vite repris des missions similaires à celles que j’ai connu à Charleville. Cela a soulagé mes collaborateurs, ça s'est fait naturellement.\n\n“Le financier, c’est le nerf de la guerre. C’est toujours plus facile de mettre l’argent sur le terrain. On pourrait avoir tendance à se dire que c’est le terrain qui nous fait grandir, ce n’est pas toujours le cas”\n\nPourquoi avoir choisi de devenir directeur sportif ?\nJ’avais cette idée pratiquement depuis le début. A la sortie du lycée, quand je vais à la fac, je m’oriente vers le management du sport. J’avais envie de travailler dans un club, soit dans la partie pro soit dans la partie administrative, autour du terrain. Par exemple, je n'ai jamais été dans une réflexion de devenir coach. Finalement, j’ai été au bout du process. Quand le diplôme a été créé (NDLR : en 2019), la formation a validé la réflexion que j'avais du poste.\n\nQuand vous êtes-vous rendu compte que c’était un job d’avenir ?\nIl n’y a pas eu de déclic. Les clubs ont toujours eu besoin de se structurer pour tendre vers le haut niveau. Je savais qu’il y avait un besoin, au-delà des coaches. Certaines organisations ont eu du mal à franchir le pas pour salarier quelqu’un pour encadrer le sportif mais cela commence à changer. C’est ce que j’avais salué par exemple à Charleville. J’avais dit à la direction du club que c’était respectable d’ouvrir un poste, de débloquer des finances pour salarier quelqu’un. Le financier, c’est le nerf de la guerre, et c’est toujours plus facile de mettre tout l’argent sur le terrain. On pourrait avoir tendance à se dire que c’est le terrain qui nous fait grandir. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas. Il faut savoir se structurer. Cholet a remplacé Thierry Chevrier en ouvrant deux postes : celui de directeur général (Cédric Colbaut) puis quelques mois après, celui de directeur sportif.\n\nEn France, la palette du directeur sportif reste floue...\nA titre personnel, j’assimile plus le manager general, qui est un terme anglais, au directeur général. Dans un organigramme, il y a la direction ou le directoire et les différents pôles, qui sont différents d’un club à l’autre. Après, il peut y avoir un directeur sportif comme il peut y avoir un directeur commercial, marketing ou comptable, avec des missions propres à chaque organisation mais toujours ciblées sur le terrain. Aujourd’hui, en Betclic Elite, les équipes qui performent le plus ont toutes un directeur sportif.\n\nQuel est votre champ d’action à Cholet ?\nA Cholet, le directeur sportif gère la partie professionnelle et l’académie Gautier, aussi bien staff que joueurs. On fait le lien avec les fédérations, française et internationale pour ce qui nous concerne puisque l’on dispute la BCL, avec aussi la partie administrative locale, sécu, mutuelle, préfecture... Il y a aussi la partie logistique avec la gestion des déplacements des transporteurs, des hôtels, des voitures. On doit également gérer les besoins de communication, partenariats, avec les collaborateurs. En parallèle, il y a un lien très étroit avec Cédric (Colbaut) avec les projets du club et la situation comptable.\nBien évidemment, je fais aussi le lien avec le staff technique. Et ce n'est peut-être pas facile à faire comprendre mais, même si je suis directeur sportif, je ne recrute pas les joueurs. A Cholet, ce n’est pas le DS qui prend cette décision, et cela a été évoqué dès le début. Le dernier mot revient toujours au coach principal (Laurent Vila). C’est lui qui entraîne et qui fait jouer, donc il y a une certaine logique. Bien sûr, nous sommes évidemment en discussion. Quand le coach a un besoin, je me mets en quête de son profil auprès des agents, c’est moi qui redescend les infos au coach si besoin et l’échange se fait comme ça. J’apporte ma touche financière sur le profil. Mais tant que le coach ne m’a pas dit “c’est ce joueur-là qu’on veut”, le choix n’est pas arrêté. Une fois que c’est fait, je m’occupe de la partie administrative avec les agents, qui va de la contractualisation à la logistique pour installer le joueur et enfin le qualifier auprès des ligues.\nConcernant le terrain, je m’occupe des pros mais aussi de l’Académie, pour les U18 et les U21. Une autre de mes prérogatives est aussi de faire le lien entre les scouts qui nous demandent d’assister aux rencontres et aux entraînements. C'est une partie assez intéressante, qui nous permet aussi de promouvoir l’image du club et de sa formation.\n\n“Le marché féminin est moins conséquent que le marché masculin. Chez les filles, c’est très vite la course à l’armement pour tenter de faire venir les meilleures joueuses françaises. Chez les garçons, la concurrence est mondiale”\n\nVous avez commencé sur le secteur féminin à Charleville avant Cholet. Qu’est-ce qui diffère le plus selon le genre, en tant que directeur sportif ?\nLa particularité du job, c’est que 80 % des missions sont identiques d’un club à l’autre, fille ou garçon. Les relations avec les agents, les relations avec la fédération internationale pour la coupe d’Europe, la qualification des effectifs... ce sont des missions qui se ressemblent beaucoup. La grosse différence entre les deux structures de Charleville et de Cholet, c’est tout ce qui concerne l’académie Gautier. Il y avait un bon centre de formation à Charleville mais ici, l’académie est presque une institution. C’est beaucoup plus conséquent ici. Il y a le suivi des joueurs qui sont à l’académie mais aussi les jeunes pros que l’on a signé pro et que l’on a prêté (NDLR : Mathéo Leray à La Rochelle, Lucas Duféal à Vichy, Naoll Balfourier à Palma). L’objectif est de jouer les premiers rôles chaque année. Cela demande du temps, de l’investissement et de la concertation avec Régis (Boissié).\nAutre différence : si l’on évoque la partie recrutement, le marché féminin est moins conséquent que le marché masculin. Chez les filles, c’est très vite la course à l’armement pour tenter de faire venir les meilleures joueuses françaises. La particularité, c’est que pratiquement tous les effectifs de la saison suivante sont finalisés dès le mois de décembre/janvier. Chez les garçons, c’est bien plus tard. La caractéristique nouvelle à prendre en compte est que la concurrence est mondiale. Le marché du basket masculin est mondial. D’une année à l’autre, un joueur peut aller en Nouvelle-Zélande, en Asie, aux Etats-Unis, ailleurs en Europe... Et j’emploie le terme concurrence car nous, clubs français comme Cholet, on n’a pas des moyens illimités. On ne peut pas rivaliser par rapport à des pays où les taxes et charges sont bien plus favorables. Il y a deux exemples récents à Cholet : Perry Ellis qui a signé en D3 japonaise, Dominic Artis qui est parti chez un promu turc. On ne peut pas s’aligner sur les sommes qui leur sont proposées.\n\nCe n’est pas commun d’avoir trois joueurs prêtés mais c’est la résultante des performances du centre de formation. Comment les suivez-vous ? Les verra-t-on la saison prochaine à Cholet ?\nCet été, j’ai signé quatre premiers contrats pro. Tidjane (Salaün) est resté dans le groupe pro avec nous. Pour les trois autres, on s’est orienté vers un prêt. Un prêt, ça ne se fait jamais de façon anodine, cela part d’une vraie réflexion entre toutes les parties. Le joueur est prêté parce qu'on croit en lui mais que l’on estime qu’il n’est peut-être pas encore prêt, pour nous et même pour lui. De toute façon, la réflexion est collégiale. On ne maîtrise jamais tout mais on essaye d’anticiper la finalité, qui est celle d’un retour au club.\nMathéo Leray a été prêté un an à La Rochelle, il avait exprimé le souhait d’avoir des responsabilités et de s’endurcir en Pro B sur une première année de prêt, et on doit refaire le point à la fin de la saison. Concernant Lucas Duféal, on est tombés d’accord avec ses représentants et Guillaume Vizade (coach de Vichy) sur un prêt de deux ans pour une belle évolution, avant potentiellement une intégration au groupe pro chez nous. Naoll Balfourier avait aussi exprimé son souhait de sortir du contexte de l’académie. On l’a prêté dans un club en Espagne dans un projet de développement individuel très spécifique. Voilà, tout le monde est en phase, il me semble. Je les suis autant que possible, étape par étape, je me suis déjà déplacé, notamment à La Rochelle. J’aimerais me déplacer plus mais ce n’est pas simple étant donné que je suis sur tous les déplacements des pros. Heureusement, on a la chance de pouvoir échanger très facilement aujourd’hui.\n\nLes stats des trois prospects prêtés par Cholet :\nMathéo Leray (La Rochelle, 1er de Pro B) : 5,6 points à 34,6 % aux tirs, 3,2 rebonds et 4,4 passes décisives pour 8,3 d’évaluation en 19 minutes\nLucas Duféal (Vichy, 2e de Pro B) : 6,9 points à 58,9 % aux tirs, 5,5 rebonds et 1,5 contre pour 12,3 d’évaluation en 20 minutes\nNaoll Balfourier (Palma, 12e de LEB Plata, D3 espagnole) : 3 points en 3 minutes, 1 match disputé (blessure à la cheville)\n\nY a-t-il une sorte de confrérie des directeurs sportifs avec des échanges ?\nNon, j’en connais quelques-uns par ma carrière de joueur et j’apprends à connaître les autres. Je me dis qu’on est adversaires à un moment donné mais qu’on défend tous le basket français, donc l’idée est de bien s’entendre et qu’on puisse s'entraider si besoin. Même s’il n’y a pas de confrérie, on essaie de se rendre disponibles et facilitateurs dans nos échanges, soit pour les déplacements, soit dans la transmission d’infos sur des profils spécifiques. Admettons que mon coach soit intéressé par un joueur passé par une équipe française, je vais me mettre en quête d’informations auprès du club concerné. Et on rend volontiers la pareille. Il faut que tout le monde s’y retrouve, que le joueur puisse s’épanouir et que Cholet ait, notamment en raison de ces échanges, une bonne image.\n\n“Directeur sportif est une profession encore nouvelle, un peu méconnue, dont les contours du poste ne sont pas encore maîtrisés par tous”\n\nQuel regard portez-vous sur le fait que, comme pour les coaches, il y a une concurrence étrangère accrue dans le championnat de France (Monaco, Paris, Strasbourg notamment) ?\nJe dirais que la concurrence étrangère est liée à l’envergure du club. Il ne faut pas que ce soit mal interprété ou péjoratif. Mais, comme vous les avez cités, Monaco et Paris sont aujourd’hui dans une autre sphère économique, notamment en termes de recrutement étranger. C’est un autre monde, où l’internationalisation est très forte. Dans le cas de Strasbourg, leur recrutement de coach et de directeur sportif va de pair. Le profil du DS étant assez particulier et lié à chaque organisation, le candidat idéal est lié à la volonté de l’organisation, aux valeurs du territoire. Après, ce sont des choix d’organisation et de direction de club.\nJe fais partie de la première promotion du diplôme. Je sais qu’il y a entre 8 et 10 directeurs sportifs français diplômés chaque année et ça ne fait que quelques années que ça existe vraiment. Ça reste une profession encore nouvelle, un peu méconnue, dont les contours du poste ne sont pas encore maîtrisés par tous. Dans certains pays, cela existe depuis un peu plus longtemps. Forcément, certaines personnes ont un peu plus de vécu ou un CV un petit peu plus étoffé. C’est sans doute ce qui joue dans le fait que ces profils arrivent en France. Maintenant, je n’ai pas d’avis particulier, on n’a pas beaucoup de recul. C’est difficile de savoir si c’est positif ou négatif. On a quand même de grands clubs français avec des directeurs sportifs français en poste.\n\nAller à l’étranger, est-ce une option pour vous à l’avenir ?\nMe concernant, je suis à Cholet et ça se passe très bien. Comme je l’ai montré durant ma carrière de joueur, je suis quelqu’un d’assez fidèle aux couleurs que je défends. Maintenant, je vais bientôt avoir 42 ans, j’ai encore pas mal d’années devant moi, donc je ne m’interdis rien. Je ne dis pas “je n’irai jamais”, je ne dis pas “j’irai à tout prix”. Je ne sais pas, cela dépendra des opportunités. Le basket est un sport mondial, on est à l’abri de rien. Une expérience à l’étranger, ça peut aussi être très intéressant et enrichissant.\n\nPourquoi a-t-on peu de dirigeants français, ce que l’on peut étendre aux coachs, à l’étranger ?\nConcernant les postes de direction à l’étranger, je pense, dans un premier temps, qu’on est pas assez bien structurés en France. Tous les clubs ne sont pas encore staffés, avec des salariés sur des postes importants. Alors, de là à imaginer postuler à l'étranger, il y a encore un peu de marge. Après, peut-être que c’est difficile pour nous, Français, de partir à l’étranger. Si l’on est positif, cela signifierait qu’on est quand même pas si mal que ça chez nous. On pourrait aussi se dire qu’il n’y a pas d'opportunités à l’étranger, ou qu’il y a suffisamment de postes chez nous, et que ça satisfait tout le monde. Pour faire un lien avec votre question, si on reprend l’exemple des Italiens de Strasbourg, on peut aussi se dire que s’il y a un jour un directeur sportif français installé dans un club européen, ça pourrait aussi faciliter l’arrivée d’un coach français à l’étranger, bien sûr. Peut-être que ce sera le cas dans les prochaines années.\n\n“La Meilleraie est bien remplie mais on ne peut pas pousser les murs”\n\nAvec quelques mois de recul, de quel œil voyez-vous l’évolution de Cholet Basket ? Que manque-t-il encore à ce club pour passer un cap ?\nCholet Basket progresse car le club se structure. Il y a un directeur général, un directeur sportif, on a salarié un intendant, un coach responsable du développement individuel. On coche les cases les unes après les autres et on essaie de ne pas prendre trop de retard sur les autres clubs. Car il ne faut pas oublier qu’il y a trois descentes à la fin de l’année et que l’écart entre les clubs est réduit. Globalement, l’évolution est plutôt très positive parce qu’aujourd’hui, le club est pratiquement au maximum de ce qu’il peut faire en termes de partenariats, de développement. On est en pleine réflexion sur des projets qui nous permettraient de passer un cap, notamment la nouvelle salle. Aujourd’hui, on a une grosse difficulté sur le plan sportif pour faire cohabiter tout le monde et avoir une certaine liberté de pratique. Ce n’est pas un secret de dire qu’on n’a qu’un seul parquet de disponible sur Cholet. C’est difficile pour nous de proposer du développement, des séances supplémentaires, du travail individuel, de travailler en symbiose entre les pros et les deux équipes de l’Académie. C’est une vraie limite, tout le monde en est conscient.\nOn attend avec impatience d’avoir une nouvelle salle, de nouvelles infrastructures. La Meilleraie est bien remplie mais on ne peut pas pousser les murs. Le service marketing peut difficilement proposer plus de sièges pour les partenaires car il n’y en a plus de disponibles. On est rattrapé par nos limites d’infrastructures. Quelque part, cela a du positif car Cholet attire du monde, les gens ont plaisir et envie de nous rejoindre. On en a eu une démonstration en fin de saison dernière avec deux guichets fermés pour la demie et la finale de la FIBA Europe Cup, qui est la plus petite des Coupes d’Europe. On avait aussi un taux de remplissage de 97 % la saison dernière. Sur le plan sportif, on est revenus en coupe d’Europe, on a gagné notre place en BCL, on a encore une chance de terminer premier de notre groupe (ce mardi soir à 18h) et ainsi de se qualifier directement dans le top 16, ce qui serait incroyable et un signe fort de l’évolution du club.\n\nComment expliquez-vous cette traversée du désert de sept défaites de suite en Betclic Elite ?\nSi j'avais une explication très précise, ce serait facile (rires). Plus sérieusement, je pense qu’on a payé notre débauche d’énergie, à la fois physique et nerveuse car le calendrier a été très chargé, donc pas simple à gérer. On a enchaîné un déplacement à Dijon, une semaine de qualifications de BCL en Turquie, avec une vraie pression à chaque journée parce que c’était un vrai objectif de se qualifier. Début octobre, on a très vite enchaîné championnat et BCL avec de gros matches deux fois par semaine. Pendant ce temps-là, les équipes en difficulté ont bien travaillé et certaines se rebellent, défendent chèrement leur peau. Tout ça mis bout à bout, cela mène à moins d’adresse, un peu de doute. D’où l’importance de la victoire à Blois. On vise un bilan équilibré fin décembre.\n\nComment l’équipe s’adapte-t-elle à l’arrivée de Craig Randall, qui est un serial scoreur (19 tentatives à 3-points contre Blois) ?\nSon arrivée est très récente mais il a effectivement montré qu’il n’allait pas hésiter à shooter. Il avait été en échec contre Bourg (0/9 derrière l’arc), il a été un petit peu plus en réussite contre Blois (6/19). C’est effectivement un style de joueur qu’on n’avait pas jusqu’à présent. Cela demandera un petit peu de temps pour que tout le monde puisse s’y retrouver, lui compris car il découvre le championnat de France. Je retiens surtout la victoire à Blois, car il fallait casser la dynamique négative, peu importe la manière. C’est le cas. On peut aborder les matches de décembre un petit peu plus sereinement.\\n\nMi-temps avec... Neal Sako (Cholet) : “Sans ma blessure, je ne sais pas si j’aurais choisi le tennis ou le basket”Basketteur à la personnalité et au parcours atypiques, Neal Sako ne cesse de progresser depuis ses débuts en Betclic Elite en 2018. Elu meilleur joueur du mois d’octobre dans le championnat de France, le pivot de Cholet est l’invité de notre rubrique “Mi-temps avec...”.BasketEurope.comValentin Perrot

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Ranking FIBA Jeunes : Les Bleus toujours à la 3e place

Les Etats-Unis sont d'indéracinables leaders du basket mondial chez les garçons comme chez les filles, ce même s'ils ont terminé 4e à la Coupe du Monde U19. L'Espagne occupe une nouvelle fois la deuxième place mondiale, passant de 722,6 points à 745,9. Les Espagnols ont mis fin à une disette de 24 ans et ont remporté leur deuxième médaille d'or mondial en U19, tout en remportant également l'Euro U16.\n\nAlors qu'elle est 2e chez les filles, la France se positionne à une solide 3e place chez les garçons après avoir terminé deuxième de la Coupe du Monde U19, troisième du championnat d'Europe U16 et quatrième en U18.\n\nLa plus forte progression du Top 25 est l'oeuvre de l'Allemagne, qui a grimpé de 12 places au 10e rang grâce à sa troisième place au Championnat d'Europe U18 pour son tout premier podium dans le tournoi et sa cinquième place au Championnat d'Europe U16. La nation avec la plus forte progression est la Hongrie, qui a grimpé de 23 places pour atteindre la 40e.\n\nPour plus d'informations sur la méthode utilisée dans le calcul du classement mondial, veuillez vous référer au \Comment ça marche\.\n\nCliquezicipour consulter le classement mondial complet.

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Tous les billets pour le Final Four de l'Euroleague ont été vendus

En conséquence, le Final Four se déroulera devant une salle comble de 14 500 spectateurs à la Mercedes-Benz Arena de Berlin, en Allemagne, du 24 au 26 mai. Les demi-finales se joueront le vendredi à 18h00 et 21h00, tandis que le dimanche, le match pour la troisième place se tiendra à 17h00 et cédera sa place à la grande finale qui se jouera trois heures plus tard.\n\nAprès que les billets en prévente, mis à disposition ce lundi, aient été vendus en une heure seulement, la forte demande pour l'événement a vu les billets du grand public se vendre en moins de quatre heures, mardi matin. Toutefois chaque équipe qualifiée se verra attribuer environ 600 billets dans différentes catégories qu'elle mettra à disposition par ses propres moyens. Dans le même temps, les fans pourront bientôt acheter et vendre des billets via le marché officiel de fan à fan sur www.f4tickets.com.\n

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Télex du 19/12/2023

Guerschon Yabusele (Real Madrid) de retour mi-janvier ?\n\nBlessé au genou et indisponible depuis mi-novembre, Guerschon Yabusele prend son mal en patience. Une attente qui devrait durer encore un mois, d'après nos informations. Le retour à la compétition de l'ailier-fort français du Real Madrid pourrait en effet avoir lieu dans la deuxième moitié du mois de janvier.\n\nGuerschon Yabusele: Un retour programmé dans un moisSelon nos informations, Guerschon Yabusele devrait reprendre la compétition dans la deuxième moitié du mois de janvier.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nParis va accueillir un tournoi de l'Euroleague Basketball Adidas Next Generation\n\nLe tournoi Euroleague Basketball Adidas Next Generation, réservé aux U18, a publié son calendrier de qualification pour 2024. Paris est l'une des quatre villes hôtes avec Dubaï (Émirats Arabes Unis), Podgorica (Monténégro) et Belgrade (Serbie). Dernière date du calendrier de cette saison, le tournoi parisien aura lieu du 29 au 31 mars à la nouvelle Adidas Arena de Paris.\n\nUn tournoi de l’Euroleague Basketball Adidas Next Generation à ParisLe tournoi Euroleague Basketball Adidas Next Generation, réservé aux U18, a publié son calendrier de qualification pour 2024. Paris est l’une des quatre villes hôtes avec Dubaï (Émirats Arabes Unis), Podgorica (Monténégro) et Belgrade (Serbie).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nLa France reste sur le podium au Ranking FIBA Jeunes\n\nBénéficiant de son bel été, la France conserve sa troisième place au Ranking FIBA Jeunes. Toujours sur le podium mondial, elle reste toutefois devancée par les intouchables Américains, mais également par l'Espagne, qui connait chaque été le succès quelle que soit la catégorie d'âge.\n\nRanking FIBA Jeunes : Les Bleus toujours à la 3e placeSes résultats estivaux permettent à la France de conserver sa 3e place au Ranking FIBA pour les jeunes masculins derrière les Etats-Unis et l’Espagne.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nLe Final Four de l'Euroleague déjà annoncé à guichets fermés\n\nEvénement phare du basket européen, le Final Four de l'Euroleague mobilise déjà les fans de basket de toute l'Europe. Ses chiffres de billetterie en témoignent : les billets grand public ont été épuisés en moins de quatre heures alors que tous les billets en prévente avaient été vendus en une heure. Un bel engouement pour le tournoi final de la meilleure compétition européenne des clubs, qui se déroulera à Berlin du 24 au 26 mai prochains.\n\nTous les billets pour le Final Four de l’Euroleague ont été vendusLes billets grand public pour le Final Four de l’Euroleague 2024 à Berlin ont été épuisés en moins de quatre heures alors que tous les billets en prévente avaient été été vendus en une heure.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nITW Guillaume Costentin (Cholet) : “Je suis directeur sportif mais je ne recrute pas les joueurs”\n\nPolitique sportive, recrutement, logistique, structuration... Guillaume Costentin détaille ses missions de directeur sportif à Cholet Basket et revient sur son parcours dans un entretien à Basket Europe.\n\n“Le financier, c’est le nerf de la guerre. C’est toujours plus facile de mettre l’argent sur le terrain. On pourrait avoir tendance à se dire que c’est le terrain qui nous fait grandir, ce n’est pas toujours le cas”\n\nITW Guillaume Costentin (Cholet) : “Je suis directeur sportif mais je ne recrute pas les joueurs”Politique sportive, recrutement, logistique, structuration... Guillaume Costentin détaille ses missions de directeur sportif à Cholet Basket et revient sur son parcours dans un entretien à Basket Europe.BasketEurope.comClément Carton

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Entrez dans la légende de Berck

L’auteure, Corine Caulier est la fille de Jean Caulier, qui fut l’un des piliers de l’AS Berck devenue le Berck BC. L’équipe de cette petite ville de 14 000 habitants à l’époque a été championne de France en 1973 et 1974 et participé à la finale de la Coupe des Champions, l’Euroleague de l’époque, en 1974 et 1975. Jamais club français n’était parvenu à un tel résultat et seul le Limoges CSP fera mieux.\n\nNous avons demandé à Corine Caulier de (re)prendre sa plume pour nous parler de son livre, ce qu’elle a fait avec une passion évidente.\n\nComment est né le projet:\n\n\Souvent on me demande, comment m’est venue l’idée avec mon compagnon Laurent Monfroy (co-auteur) d’écrire ce livre. La genèse de ce projet fort ambitieux est au départ le fruit d’une rencontre, le fruit du hasard. Au détour d’une bibliothèque de livres d’occasion à qui l’on donne une seconde vie peut -être une seconde chance. Alors que nous arpentions les allées de cette librairie associative et solidaire de Lille, mon regard s’est immédiatement figé non pas sur un bouquin rayonné dans les étagères mais sur livre posé avec indifférence sur une table basse bon marché. Bizarrement, ce grand livre bleu me donnait le sentiment qu’il attendait ma venue. Sur la couverture de ce livre de sport et plus précisément de basketball, on pouvait y reconnaître Tony Parker, Yannick Souvré et sur la troisième image je reconnu une photo: mon père et ses équipiers qui bien des années auparavant marquèrent par leurs exploits l’histoire du basket national voire international.\n\nC’est en achetant et en consultant avec dévotion ce grand livre que m’est apparue comme une évidence l’idée et surtout l’envie de faire découvrir ou redécouvrir à un large public, la fabuleuse histoire de la petite station balnéaire du nord de la France qui défia en son temps les plus grandes équipes européennes de Basketball.\n\nAu départ le titre était la fabuleuse épopée du basket berckois mais trop encyclopédique, je voulais quelque chose de plus dynamique et interactif! C’est ainsi que nous avons passé de longues soirées après notre boulot (moi prof d’EPS sur Lille et Laurent éducateur sportif) à relire tous les articles des archives familiales concoctées par mes grands-parents Mathilde et Pierre dans des cahiers un peu jaunis. Laurent a synthétisé les textes les plus importants tandis que je m'attelais à sélectionner les plus belles photos et à imaginer le graphisme du futur bouquin.\n\nLe plus difficile fut de faire des choix d'articles, de photos, de commentaires, d'anecdotes mais tout choix est un renoncement: le livre aurait fait au moins 400 pages sinon. Aujourd’hui en regardant ce livre comme un enfant qui vient de naître, mon ambition est de passer ce patrimoine régional et nationalà la postérité : l’Aventure hors du commun du basket Berckois.\n\nMais je rêve un jour d’un musée du basket berckois pour faire partager au plus grand nombre cette belle histoire qui a marqué les plus belles pages du basket français et européen.\n\nl’ASB est un patrimoine sportif qu'il faut préserver et faire connaître aux jeunes générations pour ne pas oublier et ne pas oublier ces hommes qui ont fait de Berck lehaut lieu basket français en son temps et l'ont sorti de l'anonymat\n\nJ'ai retrouvé l’année à laquelle j'avais acheté ce livre c'était en 2017. A l'époque je me disais que j'avais largement le temps puisque je voulais sortir le livre pour les 50 ans du premier titre de champion de France 1973 (donc en 2023) mais le temps file si vite. J'ai pris mon temps... trop de temps car mon seul regret et que Yves-Marie Vérove, Jean-Pierre Sailly, Jean Racz et Jean Galle n'aient pas eu la joie de feuilleter cet ouvrage (RIP).\\n\nQuels anciens joueurs, coachs, dirigeants ont été contactés:\n\n\En contact avec les anciens joueurs de l'équipe de mon père qui me racontaient quelques anecdotes et répondaient à mes questions notamment Yves Marie Verove et Ken Gardner par Messenger des Etats Unis (Il est basé dans l’Utah à Salt Lake City). Jean Galle pour la préface comme une évidence: il me l'a écrite 3 ans avant la sortie du livre cela me tenait à cœur que ce soit lui: le coach de légende qui a façonné ce groupe.\\n\nA-t-elle entendu parler de cette épopée quand elle était petite:\n\n\Mon père vivait sa passion mais ne m'en parlait pas, ce sont les gens qui m'en parlaient avec bienveillance et admiration, nous avons toujours été les filles de ... mais quel plaisir!\n\nA l'époque où mon père est devenu champion de France en 1973 je n'avais que 2 ans. Je ne me souviens donc pas des matchs d'anthologie au palais des sports mais j'ai grandi dans cette famille du basket et j'ai en moi cet état d'esprit toujours présent: le sens de la fête de l'amitié, de gars sérieux à l’entrainement mais qui ne se prenaient pas au sérieux. Mais trop petite, je n’ai pas su analyser les indices qui traînaient chez mes grands-parents paternels: un poster jauni de papa avec le sponsor Balamundi, une photo sur laquelle il portait un costume avec l’écusson bleu blanc rouge de l'équipe de France militaire et un vase qui trônait au-dessus de l'armoire de la salle à manger; un vase grec qui m'aurait fait comprendre qu'il avait joué contre des équipes européennes étant donné que mes grands-parents ne voyageaient jamais. Originaires de St Martin les Boulogne (mon père a débuté à SOMB en double surclassement.)\n\nMe reviennent en mémoire les heures passées dans ce gigantesque palais des sports comme une 2e maison avec en tête ces escaliers mouchetés blancs et noirs, la buvette sous un nuage de fumée de cigarettes, le crissement des baskets sur le parquet en bois, le bruit du ballon et un peu plus vieille dans les années 80 alors que Berck avait quitté l'élite il régnait encore une ambiance endiablée avec ce public qui criait à gorge déployée:«allez Berck! allez Berck!»\n\nAvec la sortie du livre je retourne au Palais pour le proposer au public et j’assiste au match. Quand le public se met à crier, à chanter mais surtout à crier le même ALLEZ BERCK, c’est ma madeleine de Proust incontestablement, j’en frissonne.\\n\nL’organisation du «retour des champions» du 7 juin 2003:\n\n\20 ans auparavant germa l’idée de fêter sans grandes ambitions aucunes, l’anniversaire de mon père dans lequel j’aurais invité autour d’une bonne bouffe comme savait le faire les basketteurs de cette époque, l’équipe avec qui, lui et ses coéquipiers furent champions de France de basket en 1973. Cependant, poussée par l’énergie de certains membres de ma famille qui estimaient qu’il fallait voir plus loin. Je me lançais dans une aventure, afin de créer un événement public d’envergure pour permettre à tous ceux qui participèrent directement ou indirectement de revoir les héros de cette époque glorieuse.\n\nC’est ainsi que naquit le projet fou de vouloir remplir à nouveau le palais des sports qui a vu tant d’exploits, connu tant d’émotions sportives à l’occasion d’un match de retrouvailles. Aidée par une équipe motivée, la première des choses fut de créer une association au titre évocateur de LEGENDE 73 avec mes sœurs (je suis l’ainée puis Catherine et Séverine).\n\nPour ne rien cacher mon père n'y croyait pas au départ à cette aventure, il pensait que c'était trop loin dans le temps, que ses potes ne répondraient pas à l'appel et que personne ne nous aiderait pour mettre sur pied ce projet, que personne ne serait intéressé et pourtant.... Mais au fil du temps et à force de recherches acharnées pour retrouver les champions, il se m’y a y croire de plus en plus . Je l'entends encore dire Yves Marie est d'accord? Vous avez retrouvé Ken? Et là, la petite étincelle s'est allumée dans son cœur et... 9 mois plus tard le 7 juin 2003 une superbe communion entre les champions et le public a eu lieu et une fois de plus la magie opérait: 30 ans plus tard incroyable!! Retrouvailles chargées de tant d'émotions.\n\nLes papis ont remis le maillot et disputé un match amical contre l'équipe du Touquet que mon père avait entraîné dans les années 80: un Jubilé somme toute! mais collectif comme toujours. Le collectif c’était la force de Berck: pas de vedettes! Des hommes unis vers un seul but: Jouer et GAGNER. Le moment le plus fort fut leur entrée sur le terrain au son de la musique bittersweet symphonie de The verve. Tout le public était debout à les ovationner; j'en ai même vu pleurer. L’émotion était trop grande et les souvenirs de leur jeunesse remontaient à la surface: Ah nostalgie quand tu nous tiens! A l'issue de cet événement notre père nous a dit:« vous m'avez comblé à vie je n'ai plus besoin de cadeaux de Noël, d'anniversaire, fête des pères: merci mes filles!»\n\nAnecdote: Il faut savoir qu’en toute modestie, LEGENDE 73 et le retour des champions a été un électrochoc pour Bruno Fiolet le fils de René Fiolet (ancien dirigeant de lASB) qui révèle que grâce au retour des champions en 2003 il a souhaité relancer sérieusement le basket à Berck qui joue actuellement en NM1. Légende 73 a fait des émules et les gens célèbrent depuis la date d'anniversaire des retrouvailles avec nostalgie et d'ailleurs un ancien joueur de Berck Didier Fourquet calaisien a créé un site sur Facebook dédié basket berckois (chroniques illustrées ...)\n\nPs: dans le livre figure un QR code pour revivre le match et entrer dans l’intimité du groupe en donnant accès à un film d’1h10.\\n\nLa réaction des gens quand ils ont appris la sortie de ce livre:\n\n\Nous avons révélé le plus tard possible la sortie du livre, car le projet était tellement ambitieux à nos yeux que nous ne voulions pas avoir de pression (car amateur sur toute la ligne) auprès des supporters ou des gens qui ont connu de près ou de loin cette époque. Nous avons travaillé en secret; même si j'avais envie de le révéler au plus grand nombre.\n\nL'accueil du livre auprès des lecteurs me touche énormément: je l'ai fait pour eux.\n\nCertains me disent que faire connaître l'histoire c'est une belle œuvre; que le livre est pour eux le moyen de revivre une des plus belles sinon la plus belle époque de leur vie ou tout au moins du basket nordiste. Il refait surgir beaucoup d'émotion au public qui a connu ses belles années\n\nJe l'ai voulu accessible pour tous (déjà par le prix) Les lecteurs me disent qu’à peine acheté plongé dedans et impossible de ne pas le finir d'une seule traite; que l'ouvrage est agréable; que la collection d'images et d'anecdotes sont très bien diffusées dans l'ordre si bien que le supporter s'y retrouve rapidement; les textes sont courts et sincères et quand on commence ce livre on va jusqu'au bout.\n\nJe suis heureuse parce que ce livre à l'image de l'ASB dans les années 70 à (re)trouver son public. Ce qui me ravit également c'est l'intérêt des jeunes enfants, des ados qui posent des questions sur l'histoire de l’ASB lors des journées dédicaces. Je suis en quelque sorte une une des héritières d’un passé sportif glorieux, et je veux le partager pour rendre hommage «à la bande à Galle».\\n\nOù le livre est-il distribué:\n\n\Tout d'abord, j'ai voulu faire travailler l'imprimeur local APRIM& HENRY dans le Montreuillois. Cette imprimerie travaillait déjà à l'époque avec le club de basket berckois (le premier numéro de la revue allez Berck: journal bimensuel dédié à la vie du club est sorti dans ces locaux). La confection du livre se veut en relation avec les années 70 c'est à dire un livre assez authentique : couverture cartonnée sans pelliculage et papier recyclé qui donne cet effet vintage.\n\nJe suis en auto-édition: je gère donc tout de A à Z, et cela m'enchante, cela m'oblige à me réinventer J'ai toujours été attirée par l'artistique alors l'iconographie et l’utilisation des logiciels comme indesign et Photoshop m’a ravi et j'ai appris.\n\nL’auto-édition c'est aussi la diffusion de l'ouvrage. Le livre est distribué dans les commerces berckois principalement et également les soirs de matchs à domicile à Berck au Palais des sports (construit en 1973 spécialement pour l’équipe montante afin d’accueillir les grandes équipes européennes comme celle d’Athènes pour son inauguration le 6 décembre 1973: Au match aller à Athènes les basketteurs berckois furent accueillis dans un cadre indigne pour une Coupe d’Europe, malmenés par un public uniquement masculin tentant de les brûler avec des cigarettes aux abords du terrains, crachats.... Submergés paralysés par le froid ils ne peuvent déployer leur jeu. Jean Galle dira que son équipe qu’elle n'a pas mal joué mais n'a pas pu jouer: ils étaient tombés dans un guet-apens et perdent de 19pts).\n\nMatch retour le 6 décembre le capitaine grec a reçu par le club des supporters une couronne mortuaire en guise de fanion et devant le banc des supporters trône un cercueil en carton... hallucinant! le journaliste de l'équipe Dominique Grimaud intitule son article «on a inauguré un enfer»\n\nDiffusion principale du livre: un site internet Légende73.com pour les commandes : les gens peuvent le retirer chez mes parents à Berck (avec une dédicace du vieux numero 10) ou se le faire livrer à domicile ou par mondial Relay. Il me reste à ce jour à rayonner dans la région Hauts de France mais La télévision France 3 Côte d'Opale ainsi que les radios locales en parlent. Il y a également les réseaux sociaux, la fédération française de basket a réalisé un article via le musée du basket (patrimoine). Les magazines de baskets spécialisés relayent mon livre.\\n\nEntrez dans la légende par Corine Caulier. www.legende73.com. 248 pages. 30 euros.\n\nRétro - Pierre Galle raconte la saga de Berck, champion de France il y a 50 ans et deux fois demi-finaliste de la Coupe des ChampionsL’ascension de l’AS Berck fut vertigineuse. Elle l’emmena à deux titres de champion de France (1973 et 74) et à deux demi-finales de la Coupe des Champions (1974 et 75), l’équivalent de l’Euroleague. Jean Galle était son coach, son frère Pierre son meneur de jeu. Il nous raconte cette épopée, qui fêBasketEurope.comPascal Legendre

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Eurocup : Bourg vainqueur du duel des outsiders contre Cluj-Napoca

En embuscade derrière Gran Canaria dans le groupe B de l'Eurocup, Bourg et Cluj-Napoca s'affrontaient ce mardi pour tenter de prendre l'ascendant dans la course aux deux premières places. Après un match aller serré et remporté par la JL dans leur salle d'Ekinox en octobre, les Bressans ont cette fois largement pris le dessus sur l'équipe du Français Adam Mokoka (89-98). Privé d'un Zaccharie Risacher très performant sur la scène européenne cette saison, le collectif burgien a su trouver d'autres solutions pour signer une victoire incontestable.\n\n\nUn festival offensif en première mi-temps\n\nMalgré le bon début de match de l'ex-shooteur de Strasbourg Jarell Eddie, Bourg mettait la main sur le match dès les première minutes. Le duo JeQuan Lewis-Isiaha Mike (21 points à eux deux dans le premier quart temps) mettait le feu à une défense roumaine dépassée, offrant déjà une confortable avance de 20 points à la JL après 10 minutes (17-37) !\n\nAuteurs d'une entame quasi-parfaite d'un point de vue offensif, les hommes de Frédéric Fauthoux baissaient légèrement la cadence mais parvenaient à maintenir leur avance. Avec un collectif au diapason et une adresse remarquable (55% de réussite au tir, 9/16 à trois points), les Burgiens bouclaient une première mi-temps totalement maîtrisée (35-55).\n\n\nLes Burgiens sérieux jusqu'au bout\n\nRapidement dans la pénalité lors du troisième quart, Bourg ne paniquait pas pour autant et bénéficiaient de la performance énorme d'Isiaha Mike (28 points, record en carrière en Eurocup, accompagnés de 8 rebonds). Alors que le match tombait dans un faux-rythme, D.J. Seeley (20 points) et ses partenaires en profitaient pour réduire l'écart à 13 points à 10 minutes de la fin (65-78).\n\nUn espoir de retour finalement balayé par les visiteurs, qui n'ont pas craqué malgré un retour des Roumains à 5 points. Victorieuse de 9 points au final (89-98), l'équipe française (10 succès en 12 matchs) prend ses distances avec son adversaire du soir et s'approprie un peu plus la deuxième place du groupe B. Prochaine étape européenne pour la JL : un choc à domicile contre Gran Canaria mardi prochain.\n\nLIVE ⭐️⭐️⭐️⭐️\n\n@UBTCluj 89 🆚 98 JL Bourg\n\nTrès belle victoire de la JL face à des roumains qui n'auront rien lâché dans ce match💪\n\nRendez-vous samedi chez le @SLUCbasketNancy pour consolider cette belle dynamique ! 💫 #WeRedy #RoadtoGreatness @EuroCup pic.twitter.com/X8lbX465Gf\n\n— JL Bourg Basket (@JLBourgBasket) December 19, 2023\n\n\nBoxscore Cluj-Napoca - Bourg / Classement Eurocup

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BCL : Strasbourg fait le travail face à Oldenbourg et se qualifie pour le top 16 !

Dans un groupe E particulièrement dense cette saison en BCL, l'enjeu était important pour Strasbourg à l'occasion de cette dernière journée de la première phase. Opposée aux Allemands d'Oldenbourg ce mardi, la SIG visait la première place de sa poule, synonyme de qualification directe pour le top 16 de la compétition européenne.\n\nPour obtenir cette première position tant convoitée, les Alsaciens devaient d'abord l'emporter au Rhénus en espérant que le Pinar Karsiyaka ne fasse pas mieux à Ostende au même moment. Malgré une fin de match compliquée, la SIG a atteint son objectif en validant sa victoire en fin de match après avoir dominé la majorité de la rencontre (85-77).\n\n\nUne première mi-temps laborieuse des deux côtés\n\nMieux partis face à une équipe qu'ils ont déjà battue en Allemagne il y a deux mois, les hommes de Massimo Cancellieri ont fait la course en tête dans le premier quart-temps. Sans pour autant décrocher les visiteurs, eux aussi en course pour une qualification et déterminé à jouer le coup à fond (18-17).\n\nDans un match dur, les attaques se montraient brouillonnes et un véritable bras de fer s'engageait entre les deux équipes (24-24). Alors qu'ils semblaient en difficulté, Quinton Hooker (15 points, 5 rebonds, 4 passes décisives) et ses coéquipiers plaçaient une accélération soudaine pour signer un 12-2 et mener de 9 points à mi-parcours (41-32).\n\n\nLa SIG assure l'essentiel\n\nVirtuellement premiers à la mi-temps, les Strasbourgeois restaient à la merci d'un carton de Karsiyaka. Conscients de cette situation, les joueurs de Massimo Cancellieri enfonçaient le clou (52-38). À 10 minutes du buzzer final, ils restaient en bonne position grâce notamment à une bonne séquence de Phil Booth (19 points, 6 passes décisives) à trois points (65-51).\n\nFace à une équipe d'Oldenbourg de retour à un haut niveau d'intensité, la SIG serrait le jeu et donnait tout pour conserver plus de 10 points d'avance. Malgré la sortie de Paul Lacombe à cinq minutes de la fin pour accumulation de fautes et un baroud d'honneur des Allemands, les locaux tenaient le coup pour valider un succès décisif (85-77).\n\n🟥🟥🟥🟥SCORE FINAL\n\nVICTOOOOOOOIREEEE BABYYYY 🔥🔥🔥🔥🔥\n\n✅ @sigstrasbourg : 85\n❌ @EWE_Baskets : 77#gosig #SIGOLD #BasketballCL pic.twitter.com/Kds11yGvXW\n\n— SIG Strasbourg (@sigstrasbourg) December 19, 2023\n\n\nS'ils ont légèrement tremblé sur la fin, les Strasbourgeois assurent l'essentiel avec la victoire. En prenant en compte le succès arraché par Ostende face à Karsiyaka (78-76), la SIG termine donc seule en tête du Groupe E dans cette première phase ! Un bel accomplissement pour une équipe issue du tour préliminaire de cette BCL. Comme Dijon, les Alsaciens s'évitent donc le play-in de début janvier et seront au rendez-vous du top 16 de la compétition européenne.\n\nBoxscore Strasbourg - Oldenbourg / Classement BCL

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Leila Lacan (Angers) absente pour 8 semaines

Leila Lacan a été touché au genou lors de la défaite à Tarbes de ce week-end. Elle est bien entendu forfait pour le match retour d'Eurocup prévu ce mercredi face aux Polonaises de Gorzow. Le club angevin cherche une pigiste médicale.\n\nLaila Lacan est l'une des pièces maîtresses d'Angers. Elle a tourné à 11,4 points, 3,1 passes et 9,7 d’évaluation en 30 minutes en Ligue Féminine, et 14,6 points, 3,2 passes et 15,4 d’évaluation en 21minutes en Eurocup.\n\nCe contre-temps devrait aussi priver Leila Lacan du Tournoi de Qualification Olympique dont le groupe de la France est programmé en Chine du 8 au 11 février, et qui doit servir de test pour les Bleues qui sont d'ores et déjà qualifiées pour les JO de Paris.\n\n🤕Point infirmerie.\n\nEn raison d’une entorse au genou survenue lors du dernier match contre Tarbes ce dimanche, Leila Lacan sera absente des terrains pendant 8 semaines. Actuellement, le club recherche activement une pigiste médicale. pic.twitter.com/wEOlA9Zxuo\n\n— UFAB 49 (@ufab49) December 19, 2023\n

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Mike James : \La Roca Team, ce n’est pas juste moi qui prend les shoots à la fin\

Le site Eurohoops, qui fait référence sur le continent, considère que Mike James (1,85 m, 33 ans) est en tête des prétendants au trophée de MVP de la saison d'Euroleague alors que la compétition va bientôt accomplir la moitié du parcours. Il fait remarquer que le meneur américain est actuellement le seul joueur de l’Euroleague à mener son équipe en termes de points, de passes décisives et de rebonds, ce qui est pour le moins impressionnant.\n\n\C’est bien beau et cela montre à quel point James a un impact sur Monaco, mais ce qui le maintient principalement à la première place, c’est la façon dont il a personnellement amené son équipe à remporter des victoires. Un bon exemple a été le match contre l'Olympiakos Le Pirée: 10 points au cours des dernières 2:28 d'une bataille très serrée, des paniers cruciaux qui témoignent de sa qualité et une reconnaissance de Giorgos Bartzokas pour avoir décidé du résultat\, écrit le site.\n\nDepuis le début de la saison, Mike James tourne à 19,4 points, 5,0 passes et 4,6 rebonds. Et son pourcentage à trois-points est excellent (43%) quand on connait le volume de shoots pris (93 en 14 matches) et souvent dans des positions... abracadabrantes. On peut noter que Mike James remplit très correctement son contrat en Betclic Elite où il a été aligné 14 fois pour 23 minutes en moyenne. Ses stats ne signifient pas grand chose mais il a fait gagner son équipe 13 fois sur 14 matches.\n\nLe Panathinaikos est un autre match pour tester ses capacités. L'Américain, qui n'entre plus dans des bouderies quand ça ne tourne pas rond -33 ans, l'âge de la sagesse ?-, dit de ne pas vouloir tirer la couverture à lui.\n\n«Le Panathinaïkos n’est qu’à une victoire de nous au classement, l’importance du match se lit naturellement, déclare t-il sur le site du club. Le Pana joue de mieux en mieux car ils ont commencé avec des blessés, ça va être un gros match et j'espère que nous allons repartir avec la victoire. Mon rôle dans l’équipe ? J'avance jour après jour pour devenir le meilleur joueur possible. Je suis là pour aider à gagner, partager et être agressif. La Roca Team, c’est une équipe, un groupe, des circuits sur le terrain, des connexions, ce n’est pas juste moi qui prend les shoots à la fin. Je suis satisfait du rendement de l’équipe en championnat et en Euroleague et je me sens très bien dans ce groupe. Nous voulons aller le plus loin possible, nous avons des ambitions. Le Pana est un rival direct, une équipe complète, nous allons nous présenter pour livrer notre meilleure prestation.»\n\nC'est à la fin du bal que l'on paie les musiciens. Donc attendons la fin de la saison pour répondre à la question posée ci-dessus. Mais disons que c'est bien parti.

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BCL : Le Mans défiera le Promitheas Patras au play-in

Tout était déjà joué avant même de se rendre en Hongrie pour le MSB, assuré de la deuxième place du groupe A en BCL derrière Malaga. Et tant mieux pour les hommes d’Elric Delord, battus sans incidence ce mardi soir en Hongrie, à Szombathely, sur le fil du rasoir (75-73).\n\nAlors que les coéquipiers de Matt Lewis (13 points) étaient devant durant la majorité de la partie (35-38 à la pause) et qu’ils comptaient encore 6 points d’avance à 2 minutes du terme (66-72), les Hongrois ont multiplié les gros tirs dans le moneytime pour inverser la tendance. Déjà auteur des deux lancers-francs de l’égalisation à 30 secondes du terme, l’international hongrois Zoltan Perl (24 points à 10/18 aux tirs, 5 rebonds, 5 passes) a assassiné le MSB dans les dernières secondes sur un fadeway à 2-points.\n\nIt's official, the town's now called S-Zoltan-thely 😮‍💨#BasketballCL I @falco_kc pic.twitter.com/KQMoobkpus\n\n— Basketball Champions League (@BasketballCL) December 19, 2023\n\n\nCela n’empêchera pas les Hongrois de finir en queue de peloton du groupe A, mais c’est bien dommage pour le MSB, qui avait tout de même mis au repos Devante Jones et donné du temps de jeu aux jeunes Raphael Djasrambaye (6 points, 5 rebonds en 11 minutes) et Loïc Grasshoff (4 points, 3 rebonds en 15 minutes).\n\nMalgré ce revers, Le Mans termine deuxième du groupe A derrière Malaga et jouera donc le play-in de BCL avec l’avantage du terrain, à partir du 2 ou 3 janvier. Les hommes d’Elric Delord défieront le Promitheas Patras - le succès du Rytas Vilnius sur Dijon (79-77) mettant fin au suspens dans le groupe B, où les Grecs finissent 3e - pour une place dans le top 16, au meilleur des trois manches.\n\nBoxscore Szombathely - Le Mans / Classement BCL\n\nBCL : Battu par Tenerife, Cholet devra passer par le play-inCe mardi soir à la Meilleraie, Cholet a manqué de peu de chiper la première place du groupe C à Tenerife (85-91). Mais la victoire de Darussafaka sur Riga lui assure tout de même l’avantage du terrain au play-in de la BCL.BasketEurope.comClément Carton

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BCL : Battu par Tenerife, Cholet devra passer par le play-in

Assuré de passer au prochain tour depuis sa victoire sur Darussafaka, Cholet Basket avait une occasion en or de s’éviter le play-in en s’imposant face à Tenerife. Un défi de taille face au demi-finaliste sortant, double vainqueur de la BCL et large vainqueur au match aller. Malgré une prestation d’ensemble correcte ce mardi soir à la Meilleraie, les hommes de Laurent Vila n’ont pas pu empêcher les Espagnols de sécuriser la victoire (85-91) et ainsi la première place du groupe C.\n\nLes Choletais regretteront sans doute leur maladresse extérieure (10/31 derrière l’arc) à l’image de leur entame ratée (12-22 après dix minutes). Ce qui n’avait pas empêché les coéquipiers de Tidjane Salaün (18 points à 5/6 aux tirs) et Joël Ayayi (13 points, 6 rebonds, 4 passes, 3 interceptions) de rentrer aux vestiaires en tête après le buzzer de Craig Randall (42-40).\n\n🎯 Maybe you should have @TidjaneSalaun in the @ASGLNB three-point contest too, @LNBofficiel.\n\nThe 18-year-old forward shot 3/4 from deep in the first half, to bring @CB_officiel back in the game!#BasketballCL pic.twitter.com/krUWVh2UNS\n\n— Basketball Champions League (@BasketballCL) December 19, 2023\n\n\nLe mano-a-mano a pratiquement duré jusqu’au bout (73-73, 37e) mais les quatre tirs à 3-points de Jaime Fernandez (11 points), Marcelino Huertas (15 points, 8 passes) et Aaron Doornekamp (15 points) ont éteint les espoirs choletais. Auteur d’un très bon match, Neal Sako (10 points, 9 rebonds) est sorti sur blessure dans les dernières minutes en grimaçant... Affaire à suivre.\n\n\nL’avantage du terrain au play-in\n\nEn outre, cette défaite n’a pas d’incidence sur le classement de Cholet Basket, qui bénéficie de la victoire de Darussafaka contre Riga (87-81) pour conserver la 2e place du groupe C. Cela assure aux hommes de Laurent Vila l’avantage du terrain lors du play-in de BCL à compter du 2 ou 3 janvier. Les Choletais défieront le 3e du groupe D (Ludwigbourg, Szczecin ou Sassari), au meilleur des trois manches, pour une place dans le top 16.\n\nBoxscore Cholet - Tenerife / Classement BCL\n\nITW Guillaume Costentin (Cholet) : “Je suis directeur sportif mais je ne recrute pas les joueurs”Politique sportive, recrutement, logistique, structuration... Guillaume Costentin détaille ses missions de directeur sportif à Cholet Basket et revient sur son parcours dans un entretien à Basket Europe.BasketEurope.comClément Carton

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Pro B : Antibes frappe dur à Pau

Antibes, c'était neuf défaites lors des onze premières journées et six d'affilée avant de venir à Pau. L'effet du changement de coach ne s'était pas vraiment fait ressentir vendredi dernier face à Saint-Chamond mais JD Jackson a pu apprécier cette fois la vitalité retrouvée de son équipe.\n\nLe Franco-Canadien a pu compter sur le terrain sur un Mathieu Boyer (2,05 m, 28 ans) qui s'est démultiplié avec 27 points à 13/19 aux tirs, 9 rebonds, et 3 passes pour un 34 d'évaluation. Le vice-champion du monde U19 Zacharie Perrin a également passé une bonne soirée (14 points, 7 rebonds). Les Antibois ont pu aussi bénéficier de la bienveillance des Palois qui se sont fait mener par le bout du nez dès qu'ils sont entrés sur le terrain : 9-27 à l'issue du premier quart-temps. Autre statistique qui peut rendre amers les supporters palois : 68 à 113 sur l'ensemble du match à l'évaluation.\n\n«On savait que cette équipe ne resterait pas dans cette position. Il y a de très bons joueurs, un changement de coach récent. On avait prévenu les joueurs» a réagi après coup le coach de l'Elan, Eric Bartecheky, rapporte La République des Pyrénées. «Le match, on le perd dans le premier quart-temps, même avant le match, dans la préparation mentale. On marque 9 points dans le premier quart, on en prend 27, et il n’y a rien à dire! Ce qui est regrettable c’est que dans le combat, les attitudes, l’intensité, on n’est pas présent. Rien à dire, on mérite de perdre. On n’était pas prêts à faire face à une telle intensité.»\n\nAlors que Pau sort du top-5, Antibes a rejoint le Champagne Basket, Angers et Fos et s'ils continuent avec la même intensité les Sharks vont grimper au classement.

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Coupe de France : L'éclaircie se confirme pour Gravelines

Cela va incontestablement mieux à Gravelines depuis que Jean-Christophe Prat a pris place sur le banc. Les Nordistes ont démontré qu'ils avaient du caractère quand ils ont réussi à inverser une tendance très défavorable avec 14 points de retard. C'est notamment grâce à leur moisson au rebonds (31 à 44) qu'ils ont réussi la manoeuvre. Avec 16 points et 8 rebonds, Tajuan Agee a été le joueur le plus en vue au BCM.\n\n«Je me pose encore la question de savoir comment on a gagné ce match-là, a commenté Jean-Christophe Prat pour La Nouvelle République. Pendant 28 minutes, on n’était pas là. Cela peut arriver pendant un match de coupe de France comme celui-ci. J’ai senti, qu’à la fin du troisième quart-temps, on avait repris le momentum. Je savais que ça pouvait basculer car, depuis que j’ai récupéré ce groupe, on a une vraie assise défensive. Sur 4/5 minutes, on est capable de faire énormément de stops et des écarts. Et pourtant, c’était un record du monde de lay-ups manqués.»\n\nCe match avait une importance toute relative pour les deux équipes et après huit défaites de rang en championnat, l’ADAa obligation de s'imposer samedi face à Boulogne-Levallois. C'est presque déjà une question de vie ou de mort. Pendant ce temps, Gravelines voudra faire un coup à Roanne, un autre mal classé.\n\n\nBlois (Betclic Elite) -Gravelines-Dunkerque (Betclic Elite):70-73\n\nA suivre :\n\nSamedi 6 janvier 2024\n17h00 : Châlons-Reims (Pro B) - Saint Chamond (Pro B)\n\nDimanche 7 janvier 2024\n18h00 : Rennes (NM1) - Nancy (Betclic Elite)\n\nDéjà joués\nNanterre (Betclic Elite)- Limoges (Betclic Elite) :87-81\nLe Portel (Betclic Elite)– Fos-sur-Mer (Pro B) :88-78\nSaint-Quentin (Betclic Elite)– Nantes (Pro B) :92-49\nAntibes (Pro B) –Pau-Orthez (Pro B):84-85\nVichy (Pro B)– Lille (Pro B) :85-69\n\nLe tirage au sort des 8e de finale aura lieu le mercredi 10 janvier 2024

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Français de NBA : bilan et perspectives à quelques mois de Paris 2024

Victor Wembanyama, l'éclaircie dans le ciel gris du Texas\n\n\Il est dur, vraiment fort avec sa taille et son toucher de balle.Il n'a même pas beaucoup manipulé le ballon. Il s'est contenté de faire des choses simples. Et c'est ce que font les grands joueurs\. L'hommage de Kevin Durant, MVP en 2014, en dit long sur l'impression laissée par Victor Wembanyama dans ce début de saison NBA. Il faut dire que l'ailier de 35 ans et son équipe des Phoenix Suns ont été les premiers à subir l'explosion du Français, auteur d'une prestation à 38 points et 10 rebonds pour sa 5e rencontre dans la ligue américaine.\n\nUne performance remarquable qui constitue le point d'orgue d'un début de saison réussi pour un joueur de 19 ans qui connaît sa première saison en NBA (19 points, 11 rebonds, 2,7 passes décisives et 3 contres en 30 minutes de moyenne). Alors qu'il a choisi de prolonger sa carrière sur les bancs pour accompagner le début de carrière de \Wemby\, le légendaire coach des San Antonio Spurs Gregg Popovich est lui aussi impressionné par son nouveau joueur, à qui il prédit déjà un très grand avenir dans un entretien accordé à Sky Sport il y a quelques semaines :\n\n\Beaucoup de joueurs ont du talent dans cette ligue, maisceux qui deviennent des superstars ont quelque chose que les autres n'ont pas, et c'est ce qu'ils ont dans la tête.Du caractère, de la confiance en soi, une discipline unique, un fondement d'excellence personnelle qui les amène à concourir et à persévérer jour après jour, année après année.Il a un caractère unique, qu'on ne retrouve pas chez tous les joueurs. Il sait parfaitement qui il est, il se sent bien dans sa peau. Ilsait qu'il doit ignorer l'énorme battage médiatique qui l'entoure, il comprend qu'il a du travail mais il veut travailler, définir ce que doit vraiment être son jeu.\\n\n⚡️ En plus d'avoir mis fin à la série de défaites, Victor Wembanyama nous a sorti un nouveau double-double cette nuit !\n\n13 points, 15 rebonds & 5 passes décisives ! 🔥\n\n✅ face aux Lakers (129-115)\n\npic.twitter.com/u8MaEzh3du\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 16, 2023\n\n\nPourtant, et malgré toutes ces éloges, on peut déceler de nombreux points d'amélioration dans le jeu du phénomène français. Au-delà d'une saison collective médiocre et dont il n'est pas vraiment responsable, Wembanyama a encore des progrès à faire au niveau de sa sélection de tirs, de ses choix ou encore de sa capacité à faire jouer ses coéquipiers. Un constat fait par Vincent Collet, sélectionneur de l'équipe de France et ancien coach du joueur à Boulogne-Levallois, sur le plateau de BeIN Sports :\n\n\D’un point de vue statistique, c’est quand même consistant pour une première année. Après, quand on connaît bien Victor et qu’on connaît les attentes autour de lui, il faut qu’il continue à monter. Ce qui me déçoit un peu, c’est le pourcentage aux tirs. Pour moi, ce n’est pas suffisant pour un joueur comme lui [...] C’est aussi une question de prise de décision. C’est là où Victor a une marge de progression. Quand on prend de meilleurs tirs, on a plus de chances de les mettre. Il faut qu’il progresse sur ses aspects-là. Et puis la relation aux autres. Contre Sacramento, il prend 26 tirs et il fait 0 passe décisive. Pour moi, c’est gênant (sourire).\\n\nQuelques axes d’amélioration qui n'inquiètent pas outre-mesure le sélectionneur, qui compte sur son intérieur pour les Jeux Olympiques. Ses débuts dans une grande compétition avec l'équipe de France sont forcément très attendus par le public français après la défection de l'été dernier à la Coupe du monde.\n\n\nBilal Coulibaly, la bonne surprise se confirme\n\nCoéquipier de Wembanyama la saison dernière dans les Hauts-de-Seine, Bilal Coulibaly continue de surprendre. S'il ne possède évidemment pas l'aura du numéro 1 de la dernière Draft, l'ailier révélé il y a moins d'un an en Betclic Elite trace sa route : en 2023, le joueur de 19 ans est tout simplement passé du statut de cadre de l'équipe Espoirs des Metropolitans 92 à celui de joueur de rôle efficace en NBA avec les Washington Wizards ! Une évolution express qui surprend à peine Vincent Collet, qui l'a vu éclore dans le monde professionnel il y a quelques mois : \Lorsqu'il intègre une nouvelle équipe, un niveau plus élevé, Bilal va toujours s'approprier ce qu'il faut faire pour être utile à cette équipe. Il l'avait très bien fait avec nous l'an passé et là, il recommence de la même façon. Il est déjà bien mais je crois qu'il va continuer à monter.\\n\nProfil typique du 3&D (joueur capable de défendre fort et adroit à trois points) tant recherché dans la NBA moderne, Coulibaly parvient à rentabiliser son temps de jeu avec des capacités défensives très intéressantes, mais aussi en montrant régulièrement de belles choses en attaque (9,4 points de moyenne, une pointe à 20 unités contre les Brooklyn Nets). De quoi impressionner jusqu'à ses propres coéquipiers dans la capitale américaine, à l'image de l'ailier-fort Kyle Kuzma à la mi-novembre : \C’est une vraie éponge. Il veut devenir un très bon joueur, et il est très mature. Il joue avec une telle maîtrise qu’il ne fait pas trop d’erreurs\. Bémol dans un début de saison inespéré pour le 7e choix de la dernière Draft : une équipe de Washington peu performante (14e sur 15 équipes dans la Conférence Est) et de nombreuses défaites.\n\n🇫🇷 Bilal Coulibaly auteur de 16 points dont 4 paniers à 3PTS face aux Pelicans !\n\n16 POINTS\n5 REBONDS\n6-9 FG\n4-6 à 3 points #ForTheDistrict pic.twitter.com/8BmM5E94Li\n\n— NBA France (@NBAFRANCE) December 14, 2023\n\n\nPour autant, cette situation sportive délicate a probablement accéléré la responsabilisation du Français, devenu le plus jeune titulaire de l'histoire de la franchise et désormais 6e homme attitré de l'équipe menée par Wes Unseld Jr. Après ce très bon début d'exercice, l'ancien des Mets se projette dans le futur avec ambition tout en sachant qu'il devra se montrer patient, à l'image de ses déclarations à BeIN Sports en novembre : \C'est un rêve de gamin mais c'est la réalité. Maintenant, j'espère que beaucoup d'autres choses arriveront dans le futur. Je suis pressé d'enchainer les matchs et de m'habituer au rythme, ça va beaucoup plus vite qu'en France. Le coach me parle beaucoup. Il me dit que je suis jeune, qu'il ne faut pas trop que je me presse, que je me frustre si je ne fais pas les stats que je veux faire\.\n\nEnvisagé en équipe de France par Vincent Collet depuis la fin de saison dernière, parfois vu comme le successeur de Nicolas Batum sous le maillot bleu, Bilal Coulibaly sera sans aucun doute l'un des joueurs à suivre d'ici la fin de la saison en NBA.\n\n\nNicolas Batum, un nouveau départ bénéfique\n\nEn attendant de voir son jeune compatriote briguer sa place, le taulier Nicolas Batum, qui vient de fêter ses 35 ans, est toujours là. Pour sa dernière saison en NBA, l'ailier s'imaginait sans doute rester aux Los Angeles Clippers mais il n'en a finalement rien été. Transféré par les Californiens et récupéré par les 76ers de Philadelphie, le capitaine de la France est reparti du bon pied avec sa nouvelle équipe.\n\nEn échec dans leur volonté de titre depuis plusieurs années, Joel Embiid et les Sixers ont rapidement trouvé en lui leur homme à tout faire, pièce essentielle d'un collectif qui tourne bien et capable de contribuer dans beaucoup de secteurs du jeu (6,2 points, 3,9 rebonds et 2,2 passes en 25 minutes en moyenne) : \J'ai toujours beaucoup admiré le jeu de Batum\, expliquait Nick Nurse, le coach de Philadelphie, à Sixers Wire début décembre.\J'ai déjà essayé de l'avoir dans mon équipe.C’est un très bon basketteur à bien des égards.Lorsque vous jouez contre ces gars-là, vous voyez certaines choses qu'il a faites dans le passé. Ilfait vraiment beaucoup de choses à un niveauélevé des deux côtés du terrain et a un impact sur le résultat du match\. Un enthousiasme partagé au sein même de l'équipe.\n\nS'il n'évoluera finalement pas aux côtés du joueur de 35 ans en sélection nationale, Joel Embiid semble lui aussi ravi de ce qu'apporte son nouveau coéquipier à une équipe des Sixers bien placée au classement (3e de la Conférence Ouest) : \Il est la clé. Il est spécial. Sa façon de jouer colle avec tout ce dont nous avons besoin\, avance le MVP 2023 avant d'étayer son propos pour Clutch Points. \C’est un excellent shooteur, un excellent défenseur et il a un super QI basket. Il correspond vraiment à tous nos besoins\.\n\nAussi inattendu soit-il, ce nouveau départ a également été salué par Vincent Collet, qui y voit l'occasion pour son joueur de s'épanouir encore plus que sa situation à Los Angeles ne lui aurait permis : \Ce trade est une bonne nouvelle pour l'équipe de France. Avec les Clippers, ça devenait de plus en plus fermé pour lui. Pour nous, il était important qu'il ait un rôle un peu différent, plus complet. Je pense qu'il peut l'obtenir aux Sixers car c'est un facilitateur\. Bonne nouvelle, donc, pour les Bleus, qui auront besoin de leur capitaine cet été.\n\n\nRudy Gobert à l'apogée de sa carrière ?\n\nEn difficulté ces deux dernières années après avoir pourtant été élu trois fois meilleur défenseur de la NBA, Rudy Gobert est de retour au top depuis la fin du mois d'octobre (12,4 points, 12 rebonds et 1,2 passe en 32 minutes). Une grande forme qui rejaillit logiquement sur les résultats de son équipe des Minnesota Timberwolves, leaders inattendus de la conférence Ouest dans ce premier tiers de saison : \Je n'ai jamais vu Rudy (Gobert) aussi fort qu'en ce moment. Je pense juste qu’il est plus à l’aise, plus heureux, plus installé et plus en paix avec l’endroit dans lequel il se trouve et les personnes avec qui il est. Il était déjà professionnel dans tous les domaines la saison dernière. Mais cette année, il est déterminé à l’idée de redevenir le joueur qu’il était, de se prouver à lui-même, à ses coéquipiers, aux fans et à tout le monde qu’il valait le coût de son transfert\, développait son entraineur, Chris Finch, à la sortie d'une nouvelle victoire contre San Antonio (102-94) le 7 décembre dernier.\n\nRudy Gobert en mode XXL 😤\n\n26 POINTS\n12 REBONDS\n3 CONTRES\n10-12 FG\n\nVictoire des @Timberwolves ! pic.twitter.com/pyeTSNFygw\n\n— NBA France (@NBAFRANCE) December 3, 2023\n\n\nUn an après son transfert de l'Utah vers le Minnesota, le pivot semble en effet prendre une nouvelle dimension, à l'image du duo complémentaire qu'il forme dans la raquette avec Karl-Anthony Towns. Un sentiment confirmé par l'intéressé lui-même, interrogé par BeIN Sports : \Je suis à un niveau technique, physique, spirituel en tant que leader aussi, auquel je n'ai jamais été auparavant. En impact sur une équipe, c'est sûrement ma meilleure saison, et ce n'est que le début. J'ai l'habitude de monter en puissance. Ça montre que le travail paie, que les gens commencent à comprendre et respecter ce que j'apporte à une équipe\.\n\nPorté par ses performances, le natif de Saint-Quentin a affiché ses hautes ambitions en déclarant avoir pour objectif d'être champion NBA en juin prochain. Après avoir connu quelques difficultés dans le sillage de l'équipe de France à la dernière Coupe du monde, on l'imagine également revanchard à l'heure de se préparer à disputer le tournoi des Jeux Olympiques de Paris d'ici quelques mois.\n\n\nEvan Fournier toujours dans l'impasse\n\nJusqu'ici très positif, le bilan de cette première partie de saison NBA des Bleus est légèrement terni par le cas Evan Fournier. Mis au placard par les New York Knicks en fin de saison dernière, l'arrière espérait repartir du bon pied pour cette nouvelle saison et convaincre son coach Tom Thibodeau de lui offrir une nouvelle chance, comme il l'a déclaré au New York Daily News lors de la présaison : \J’ai l’espoir de jouer. Je suis peut-être fou, je ne sais pas... Peut-être que Tom Thibodeau a déjà pris sa décision, mais mon but est de le mettre dans une position où il devra penser à me faire jouer. Etje vais traiter chaque entraînement et chaque opportunité que j’ai comme si c’était ma dernièreet on s’appuiera là-dessus. Franchement, c’est comme ça que j’aborde les choses.\\n\nMalheureusement pour le joueur de 31 ans, l'entraineur américain s'est montré inflexible en conférence de presse en début de saison : \J’ai beaucoup de respect pour lui... Mais c’est dur de débattre avec un bilan de 37 victoires pour 22 défaites, et un meilleur net rating (depuis sa sortie de la rotation des Knicks). Ce n'est pas une question d'individu. Il s’agit de l’équipe, c’est comme ça qu’on travaille ici.\ Ainsi, il ne lui a accordé qu'une seule apparition mi-novembre (2 points à 1/6 aux tirs en 16 minutes contre Washington) à la suite de plusieurs blessures sur la ligne arrière des New-Yorkais, faisant de lui le joueur le moins utilisé de l'effectif des Knicks.\n\nDe quoi faire naître de logiques inquiétudes dans l'esprit de Vincent Collet, qui a fait de Fournier son fer de lance offensif en équipe de France depuis plusieurs années déjà : \C'est une situation qu'on observe. Je souhaite bien sûr qu'il puisse changer d'endroit pour pouvoir rejouer. C'est un peu compliqué mais pour l'instant, il y a encore de l'espoir. Nous n'en sommes qu'au début de cette saison NBA, il faudrait que ça se fasse assez rapidement. Une deuxième saison consécutive (sans jouer), c'est très pesant\, rappelait le technicien de 60 ans.\n\nUn dossier à suivre avec attention, en espérant une évolution positive peu probable à New York ou un transfert d'ici au 8 février, date limite pour effectuer des changements d'effectif cette saison en NBA.\n\n\nKillan Hayes, des progrès et un avenir en Bleu ?\n\nDernier cas étudié parmi les Français de NBA, le dossier de Killian Hayes est peut-être en train de se débloquer après plusieurs années d'incertitudes. Très prometteur à ses débuts en NBA, comme en témoigne sa 7e place à la Draft 2020, le meneur semblait plafonner depuis son arrivée dans la ligue américaine. Doté de réelles qualités de création et d'un sens de la passe, le Franco-Américain a longtemps été pénalisé par une adresse aux tirs assez aléatoire.\n\nAprès quelques premières apparitions compliquées en tout début de saison, le joueur de 22 ans fait toujours preuve d'une irrégularité assez importante mais a montré par séquence qu'il est capable de faire bien mieux que ce que ses statistiques ne le montrent (9,1 points et 4,4 passes décisives de moyenne mais un pic à 23 points et 9 passes). Dans le marasme de Detroit (25 défaites de suite !), il a eu le mérite d'acquérir la confiance du coach Monty Williams en s'imposant comme titulaire : \Parfois, il faut juste un certain temps aux gars pour comprendre qui ils sont, ce qu'ils peuvent faire et ne pas perdre confiance en eux\, a affirmé l'entraineur des Pistons au Detroit Free Press au sujet de Hayes. \Peut-être qu'il s'approche de ce point où il voit le jeu ralentir pour lui.C'est encore un jeune meneur en développement, mais nous aimons la façon dont il a progressé cette année\.\n\nAlors que la question de la mène se pose également en équipe de France, la montée en puissance de Killian Hayes pourrait également se révéler précieuse pour apporter des solution au staff des Bleus : \Pour moi, il a vraiment progressé par rapport à la saison passée. Je suis sa trajectoire avec intérêt parce que je trouve que c'est prometteur\, confirmait Vincent Collet en novembre. \Il a enchainé les matchs à 6-7 passes de façon régulière, certaines fois en commençant à scorer avec un pourcentage au tir qui s'est un peu relevé. C'était vraiment le point noir dans ses prestations l'an passé, il y a une amélioration\. Au point de le voir sous le maillot tricolore cet été ? La concurrence est rude mais une sélection n'est pas impossible.\n\nFrank Ntilikina sur le chemin du retour, la dernière chance en NBA pour Théo Maledon ?\nParmi les 14 Français qui ont débuté la saison avec un contrat NBA, certains se trouvent dans des situations particulières. C'est le cas de Frank Ntilikina avec les Charlotte Hornets. Alors qu'il avait obtenu un contrat en Caroline du Nord après deux saisons aux Dallas Mavericks, le meneur formé à Strasbourg a eu la malchance de se fracturer le tibia lors de la présaison avec sa nouvelle franchise. Il devrait malgré tout, selon nos informations, faire son retour dans la nuit de samedi à dimanche contre les Denver Nuggets ou au match suivant, prévu dans la nuit de mardi à mercredi prochain contre les Los Angeles Clippers.\n\nEn revanche, il ne croisera pas Théo Maledon pour son retour à l'entrainement. Egalement chez les Hornets en début de saison, le natif de Rouen est peu à peu sorti de la rotation du coach Steve Clifford avant d'être coupé par la franchise il y a une semaine. Alors qu'un retour en Europe aurait pu être envisageable, le joueur de 22 ans a choisi de tenter sa chance dans une troisième franchise en NBA en acceptant un two-way contract de la part des Phoenix Suns. Sa dernière chance dans la ligue américaine après un début de parcours mitigé ?\n\nEnfin, au contraire des autres Tricolores de NBA qui ne bénéficient pas d'un temps de jeu régulier, Ousmane Dieng a réussi à se faire une petite place dans l'effectif de l'Oklahoma City Thunder. Dans la lignée d'une première saison encourageante dans la pépinière de jeunes talents de l'Oklahoma, l'ailier livre des prestations prometteuses. Si ses moyennes restent modestes (4,3 points, 1,7 rebond, 0,9 passe décisive en 11 minutes), le Français poursuit son développement parallèle en G-League. Son match à 18 points, 3 rebonds et 3 passes décisives contre le Utah Jazz il y a dix jours laisse entrevoir une belle marge de progression.\n\nPeu voire pas du tout utilisés en NBA, Olivier Sarr, Rayan Rupert, Moussa Diabaté, Sidy Cissoko et Malcolm Cazalon auront quant à eux du mal à séduire le sélectionneur des Bleus pour faire leur place dans le groupe France l'été prochain.\n\nITW Timothé Luwawu-Cabarrot (ASVEL) : “Ettore Messina m’a jugé sans me connaître”Son départ de Milan lié à sa mauvaise entente avec Ettore Messina, sa venue à l’ASVEL en quête de responsabilités, sa renaissance avec Gianmarco Pozzecco, son rapport à la NBA, son désir de retrouver l’équipe de France aux Jeux Olympiques de Paris 2024... Timothé Luwawu-Cabarrot (2,01 m, 28 ans) s’estBasketEurope.comClément Carton

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Les Ultras du Partizan provoquent des incidents à Valence

Assistant-coach à l'ASVEL féminin, Yoann Cabioc'h a filmé les incidents qui se sont produits à La Fonteta. On y voit un groupe d'ultras du Partizan, possesseurs de billets pour le secteur 218 qui a occupé des sièges dans le secteur 219 pour se regrouper. Lorsque les abonnés du Valencia Basket sont arrivés à leurs places, ils ont essuyé des quolibets et même des menaces. Cette provocation et le fait qu'ils fumaient dans l'enceinte, ce qui est interdit depuis plusieurs années en Espagne, a provoqué une charge de la police jamais vue auparavant à La Fonteta selon le quotidien Las Provincias.\n\nSuite à l'intervention des forces de sécurité, 16 supporters du Partizan ont été expulsés de la salle et 4 procès-verbaux ont été dressés pour violation de la loi sur le sport, certaines des personnes enregistrées présentant des signes évidents d'ivresse.\n\nLe directeur général du Valencia Basket, Enric Carbonell, s'est rendu sur le terrain pour demander la collaboration de Zoran Savic, mais le directeur sportif du Partizan et légende du club serbe a rejeté cette demande.\n\n\Encore une attitude honteuse et regrettable. Et, espérons-le, également puni par l'Euroleague, car le manque de collaboration du club serbe (le match aurait pu être arrêté et un message envoyé sur le système de sonorisation en serbe par lui-même ou par un visage reconnaissable du club aurait apaisé ses partisans) ne peut être toléré. L'ampleur du manque de respect était telle que Valencia Basket, comme a pu le confirmer Las Provincias, a menacé d'arrêter le match et de demander sa suspension au cas où un seul incident dans les tribunes se répéterait. Chose qui, heureusement, ne fut pas nécessaire.\\n\nUne spectatrice a écrit sur les réseaux sociaux :\n\n\J'ai eu peur à La Fonteta, pas seulement dans le secteur 220. également dans les toilettes.Vous leur avez permis d'entrer dans les toilettes des filles, de frapper aux portes et de crier. J'ai été enfermé pendant cinq minutes jusqu'à ce que l'un d'eux décide de sortir.\\n\nLe club espagnol s'est fendu d'un communiqué dans lequel on peut lire :\n\n\Nous souhaitons présenter nos excuses aux supporters présents à proximité du secteur 218, pour les événements organisés par les supporters du Partizan.Ils ont occupé des sièges qui n'étaient pas les leurs et ont fait preuve d'un comportement inciviqueobligeant à l'action des forces de sécurité et à la nécessité de déplacer les supporters locaux. Le club travaillera pour que quelque chose de similaire ne se reproduise plus.\\n\nLe Partizan s'est imposé 67-72 avec 25 d'évaluation de Kevin Punter. Il s'agit de la 5e victoire- de rang des Serbes. Très bien, tout comme l'engouement populaire extraordinaire enregistré à la Stark Arena de Belgrade. Mais les Serbes qui demandent à cor et à cri une licence A permanente à l'Euroleague doivent réprimer de tels comportements pour s'en montrer dignes.\n\nC'est cadeau... En direct de Valencia / Partizan 😅 pic.twitter.com/FOZeMs0puc\n\n— Yoann Cabioc'h ⚓ (@Y_Cab_4) December 19, 2023\n

Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.

Le Monégasque Jordan Loyd suspendu quatre matches

C'est un communiqué daté du 19 décembre de la Commission Juridique et de Discipline de la Ligue Nationale de Basket qui révèle la sanction. Jordan Loyd (1,93 m, 30 ans) a en fait déjà purgé deux matches de pénalité contre Le Portel (9 décembre) et Roanne (17). Les deux autres matches où il sera absent seront ceux face à Boulogne-Levallois (26 décembre) et l'ASVEL (reporté au 6 février).\n\nHandicapé par des problèmes au dos, Jordan Loyd n'a disputé jusqu'ici que 4 matches de Betclic Elite et 5 d'Euroleague.\n\n🟥 Jordan Loyd expulsé, le Monégasque a dégoupillé au duel avec Gauthier Denis !\n\nSuivez le match Monaco-Paris en direct sur la chaine L'Équipe : https://t.co/bZzATUPkNL #lequipeBASKET pic.twitter.com/C8SyBRfAxJ\n\n— la chaine L'Équipe (@lachainelequipe) December 3, 2023\n

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Gordon Herbert souhaite que Dennis Schröder soit porte-drapeau aux JO de Paris

\Il le faut ! Il est champion du monde et MVP de la Coupe du Monde, il n’y a pas mieux que ça. En outre, il a beaucoup fait pour l’Allemagne et le basket-ball dans le pays. Dennis serait le bon choix\, a déclaré Herbert dans une interview accordée à Sport Bild.\n\nGrâce au succès historique de la Coupe du monde en septembre dernier, au cours de laquelle Dennis Schröder a été élu meilleur joueur du tournoi, les Allemands sont déjà qualifiés pour les Jeux olympiques. Une médaille sera là encore l'objectif.\n\n\Nous ne pouvons pas être satisfaits de ce que nous avons accompli. Faire comprendre cela aux joueurs sera ma plus grande tâche.\\n\nLe coach canadien compte ouvrir la porte à d'autres joueurs à cette occasion :\n\n\Prenez Nick Weiler-Babb par exemple. Il n'était pas là en Asie parce qu'il était blessé. Il faudra que je voie à quoi ça ressemble avec lui.\\n\nPar ailleurs, Gordon Herbert, qui est sous contrat jusqu'en 2025 avec la fédération allemande, envisage du changement dans l'équipe après les Jeux olympiques :\n\n\Je m'attends à ce que certains joueurs terminent leur carrière en équipe nationale après les Jeux olympiques. C'est difficile, surtout pour ceux qui ont entre 20 et 30 ans, de jouer pour leur pays l'été après une longue saison. Il se pourrait également qu’un joueur comme Franz Wagner prenne un an ou deux pour travailler son corps\, explique Herbert.

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Gianmarco Pozzecco (ASVEL) : \Je vois l'Euroleague comme une nouvelle expérience\

\nCest l'occasion pour Poz de dresser un premier bilan de son action au sein de l'ASVEL pour La Gazzetta dello Sport alors qu'il affiche 2 victoires pour 8 défaites :\n\n\Je voudrais commencer par dire que j'ai participé à cette compétition en tant que Gianmarco Pozzecco, un entraîneur expérimenté et conscient de son rôle. Même au début, je ne me sentais pas comme un apprenti dans un domaine difficile et compliqué. Mais par rapport à mes expériences précédentes, en tant qu’étudiant de première année, j’ai dû faire face à de nouvelles situations. A commencer par le nombre élevé de matches qui oblige l'entraîneur à gérer son énergie également en fonction du championnat interne très compétitif en France, puis la relation avec les joueurs, dont certains sont des légendes du sport, et des professionnels aux fortes personnalités. Je pense que j'ai bien géré les deux situations, même si je regrette que nous aurions pu remporter quelques victoires supplémentaires en Euroleague si nous n'avions pas gâché les matchs contre le Bayern et le Maccabi. Et quand nous avons perdu, à l'exception de la vilaine défaite contre Valence, nous nous sommes toujours battus jusqu'au bout. Je vois l'Euroleague comme une nouvelle expérience. Mais je reste moi-même.\\n\nPour Pozzecco, le match de ce soir à Milan revêt évidemment un caractère spécial :\n\n\Je suis convaincu que ce sera une grande soirée pour toutes les émotions que je ressentirai. Si on arrive à gagner, ce sera encore plus beau (rires...). À Milan, j'ai réussi à atteindre deux objectifs personnels qui me tenaient beaucoup à cœur : d'abord, gagner l'affection des supporters malgré le fait que mon origine varaise (NDLR : de Varèse) soit tatouée sur ma peau, un lien avec le club de mon seul titre de champion en tant que joueur qui ne mourra jamais et que les fans de Forum ont su respecter. Ensuite, je crois que j'ai bien fait dans mon rôle d'adjoint lors d'une saison passionnante pour Olimpia qui nous a permis de remporter le 29e scudetto. Je serrerai tout le monde dans mes bras, en commençant par Kyle Hines et Shavon Shields, en terminant par tous mes potes. Pour moi, ce rendez-vous est vraiment spécial.\\n

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Télex du 20/12/2023

Eurocup : euphorique, Paris passe 120 points à Hambourg !\n\nCe mercredi soir, le Paris Basketball a une nouvelle fois imposé sa loi aux Allemands d'Hambourg (120-91). Avec le plus gros total de points de l'histoire du club, les Parisiens confortent leur statut de leader du Groupe A de l'Eurocup avant de recevoir les London Lions la semaine prochaine.\n\nEurocup : euphorique, Paris passe 120 points à Hambourg !Ce mercredi soir, le Paris Basketball a une nouvelle fois imposé sa loi aux Allemands d’Hambourg (120-91). Avec le plus gros total de points de l’histoire du club, les Parisiens confortent leur statut de leader du Groupe A de l’Eurocup avant de recevoir les London Lions la semaine prochaine.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\nEntretien croisé - Eric Girard (Le Portel) et Julien Mahé (Saint-Quentin), créateurs d’exploits : “Les petits budgets ne veulent pas dire derniers de la classe”\n\nHabitués à faire des miracles avec leurs équipes respectives et à déjouer les pronostics malgré des moyens limités, Eric Girard (Le Portel) et Julien Mahé (Saint-Quentin) vont se disputer une place en Leaders Cup à l'occasion du derby, samedi à Pierre-Ratte. Nous les avons réuni pour une interview croisée exclusive.\n\nEntretien croisé - Eric Girard (Le Portel) et Julien Mahé (Saint-Quentin), créateurs d’exploits : “Les petits budgets ne veulent pas dire derniers de la classe”Dans la saison de tous les dangers en Betclic Elite, Le Portel et Saint-Quentin déjouent les pronostics. Avant le derby de samedi à Pierre-Ratte, qualification pour la Leaders Cup à la clé, nous avons réuni leurs coaches Eric Girard et Julien Mahé dans une interview croisée exclusive.BasketEurope.comClément Carton\n\n\n\n\nSinistre à Milan, l’ASVEL est lanterne rouge de l’Euroleague\n\nAsphyxiée par l’Olimpia Milan ce mercredi soir (84-61), l’ASVEL figure désormais seule à la dernière place au classement de l’Euroleague. Et Nando De Colo, touché au mollet, est sorti sur blessure en fin de premier quart-temps...\n\nSinistre à Milan, l’ASVEL est lanterne rouge de l’EuroleagueAsphyxiée par l’Olimpia Milan ce mercredi soir (84-61), l’ASVEL figure désormais seule à la dernière place au classement de l’Euroleague. Et Nando De Colo, touché au mollet, est sorti sur blessure en fin de premier quart-temps...BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLa LNB suspend Jordan Loyd (Monaco) pour quatre matches\n\nPour avoir agressé Gautier Denis lors du match face au Paris Basketball, le Monégasque Jordan Loyd a été suspendu quatre matches fermes. L'arrière a déjà purgé deux d'entre eux lors des derniers matches, mais manquera la dernière rencontre de Betclic Elite de la Roca Team en 2023, prévue mardi prochain sur le parquet de Boulogne-Levallois.\n\nLe Monégasque Jordan Loyd suspendu quatre matchesPour avoir agressé Gautier Denis lors du match face au Paris Basketball, le Monégasque Jordan Loyd a été suspendu quatre matches fermes.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEuroleague féminine : Exploit de Villeneuve d'Ascq en Turquie\n\nL'ESBVA s'est imposée à Cukurova en Turquie et avec une belle marge : +16 (54-70). Kennedy Burke (19 points, 7 rebonds, 27 d'éval) a été la locomotive de l'équipe, mais on peut aussi remarquer le double double de Janelle Salaün (12 points et 10 rebonds).\n\nEuroleague féminine : Exploit de Villeneuve d’Ascq en TurquieL’ESBVA s’est imposée à Cukurova en Turquie et avec une belle marge : +16 (54-70).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLa réaction éclatante d'Antibes à Pau\n\nJusqu'ici bloqués à la dernière place de la Pro B malgré des ambitions de début de saison bien plus élevées, les Sharks d'Antibes se sont brutalement réveillés ce mardi. Ils ont donné une leçon à l'Elan Béarnais sur son parquet, réagissant après six défaites de suite en championnat grâce notamment à l'excellente prestation de Mathieu Boyer (27 points, 9 rebonds, 3 passes).\n\nPro B : Antibes frappe dur à PauLanterne rouge du championnat, Antibes a littéralement dégommé Pau en Béarn (66-87).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nGravelines confirme son retour aux affaires à Blois\n\nLe match de 16e de finale de Coupe de France entre Blois et Gravelines était celui entre deux équipes mal en point en championnat. Et ce sont les Nordistes qui en sont sortis vainqueurs (70-73). Ils confirment ainsi leur montée en puissance constatée en Betclic Elite ces dernières semaines.\n\nCoupe de France : L’éclaircie se confirme pour GravelinesLe match de 16e de finale de Coupe de France entre Blois et Gravelines était celui entre deux équipes mal en point en championnat. Et ce sont les Nordistes qui en sont sortis vainqueurs (70-73).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\n\n\nDennis Schröder futur porte-drapeau de l'Allemagne aux JO ?\n\nL'entraîneur de l'équipe d'Allemagne, Gordon Herbert soutient le capitaine champion du monde Dennis Schröder en tant que porte-drapeau de la délégation allemande aux Jeux Olympiques de 2024 à Paris : \Il le faut ! Il est champion du monde et MVP de la Coupe du Monde, il n’y a pas mieux que ça. En outre, il a beaucoup fait pour l’Allemagne et le basket-ball dans le pays. Dennis serait le bon choix\.\n\nGordon Herbert souhaite que Dennis Schröder soit porte-drapeau aux JO de ParisL’entraîneur de l’équipe d’Allemagne, Gordon Herbert soutient le capitaine champion du monde Dennis Schröder en tant que porte-drapeau de la délégation allemande aux Jeux Olympiques de 2024 à Paris.BasketEurope.comLa rédaction\n\n

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Tiago Splitter à propos de Wembanyama : \Ce qui est dit de lui n'est pas exagéré\

L'avis de Tiago Splitter est intéressant car il possède une forte expérience de joueur en Europe -il a été élu MVP de l'ACB avec Vitoria- et il a joué cinq saisons pour les San Antonio Spurs. Il est aujourd'hui assistant coach aux Houston Rockets. Voici ce qu'il pense de la NBA comparée à l'Europe :\n\n\Le basket-ball s'est mondialisé, il n'y a plus de trucs ni de secretset désormais les 3-4 meilleurs joueurs de la NBA sont étrangers.Il est très difficile aujourd'hui de dire pourquoi les niveaux se rapprochent, mais les États-Unis ont toujours une usine de création de joueurs de basket-ball et la culture sportive est très forte.En fin de compte, les meilleurs joueurs veulent jouer en NBA. Il est très facile de dire que le (vrai) basket-ball n'est pas joué en NBA parce que c'est un mensonge.\\n\nComme chacun le Brésilien observe Victor Wembanyama et il partage son admiration pour le rookie français.\n\n\Ce qui est dit de lui n'est pas exagéré, mais il doit encore apprendre et savoir utiliser son corps. Il a de la qualité et est dans une équipe où ils vont travailler sur lui, on me dit qu'il a une très bonne mentalité, qu'il est le premier à arriver et le dernier à partiret cela vous donne déjà des indications que ce joueur va être l'une des références de la Ligue. (Gregg) Popovich va lui donner la mentalité dont il a besoin, il doit passer par un processus car c'est très rare d'arriver en NBA et d'en marquer 30 par match.\\n\nTiago Splitter évoque par ailleurs son avenir à terme :\n\n\Il est difficile de dessiner ce que je veux ou ce qui va se passer, en ce moment je suis très à l'aise à Houston, j'ai plus de responsabilités et j'apprends.Bien sûr, mon objectif est d'être entraîneur principal soit en NBA, soit en Europe, c'est quelque chose que j'ai en tête, je ne ferme aucune porte.\

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Entretien croisé - Eric Girard (Le Portel) et Julien Mahé (Saint-Quentin), créateurs d’exploits : “Les petits budgets ne veulent pas dire derniers de la classe”

On leur prédisait l’enfer dans une saison à trois descentes. Il en faut bien plus pour faire peur au Portel et au promu Saint-Quentin qui, chacun à leur manière, ont créé la sensation sur ce début de saison de Betclic Elite. A tel point que les deux plus petits budgets de la division, pratiquement jumeaux sur le plan financier (3,6 millions d’euros chacun) et comptable (8 victoires et autant de défaites après 16 journées), joueront face-à-face ce samedi après-midi (16h30) à Pierre-Ratte, avec comme enjeu une qualification pour la Leaders Cup. Avant le derby, nous avons réuni les deux coachs faiseurs de miracles, Eric Girard et Julien Mahé, pour nous éclairer sur ces exploits répétés... qui n’en sont plus.\n\nSi on vous avait dit que vous alliez jouer une “finale” pour vous qualifier à la Leaders Cup dans un derby sur la dernière journée de la phase aller, on imagine que vous auriez signé tout de suite...\n\nEric Girard, coach du Portel : “Évidemment. Même si chez nous, on a un peu l’habitude d’être le plus petit budget et qu’on nous prédise chaque année la descente depuis huit saisons... et encore plus cette année avec les trois descentes. Nous avons déjà joué les playoffs, la coupe d’Europe, nous avons fait une finale de Coupe de France et terminé plusieurs fois 11-12e en championnat. C’est toujours dur mais Le Portel a un certain savoir-faire. Cette expérience permet sans doute d’avoir une dose de stress moins importante. Ce qui change de d’habitude cette saison, même si nous avions aussi commencé par six défaites l’année dernière, c’est ce départ à 0-5 qui était un malus d’entrée de jeu. D’autant que nous avons perdu sur blessure les deux seuls joueurs que l’on avait réussi à garder par rapport à la saison précédente (NDLR : Benoît Mangin et Charles-Noé Abouo). Alors, enchaîner six succès sans aucun joueur de la saison passée, se retrouver dans le top 8 et y rester durant 15 journées, c’est d’autant plus exceptionnel. Ce n’était pas évident, car on sait qu’il faut du temps pour incorporer des nouveaux joueurs. L’équipe a fait un travail remarquable.”\n\nJulien Mahé, coach de Saint-Quentin : “Personne ne pouvait croire à ce scénario. Nous non plus puisque nous découvrons la division, le club la redécouvre après plus de 30 années sans y avoir participé. Un seul joueur avait vraiment joué en Betclic Elite, Dominic Olejniczak, plus moi et mon adjoint - préparateur physique. Ça a vraiment été une découverte pour la plupart d'entre nous. Évidemment, c'est une grosse surprise d'être là mais c'est pas non plus immérité compte tenu de notre parcours sur cette première partie de saison puisque nous avons rarement été dominés et nous avons réussi à tirer notre épingle du jeu la plupart du temps. Terminer la phase aller avec un derby à domicile, avec le même objectif à court terme pour les deux équipes, c’est un scénario très sympa... même si les deux équipes ont avant tout un objectif de maintien à la fin de la saison, il ne faut pas l'oublier.”\n\nDans un championnat où les gros budgets explosent, avez-vous l’impression d’être les vilains petits canards ?\n\nJulien Mahé : “Vous savez, nous avons gagné le droit de monter sur le terrain. Nous avons construit notre remontée en terminant sur le podium de Pro B trois fois d’affilée. Bien sûr, nous sommes montés avec nos qualités et nos défauts, mais le club a fait beaucoup d'efforts. Les partenaires publics nous ont énormément aidé pour être en mesure d'accueillir les autres équipes dans des conditions agréables. Nous nous sommes mis aux normes avec un nouveau parquet, un nouveau tableau d'affichage. Nous n’avons rien volé. Certes, il y a des budgets mais, à la fin, ça reste du sport. En aucun cas nous ne sommes les vilains petits canards. A l’inverse, je dirais plutôt qu'on amène un vent de fraîcheur, avec une salle magnifique à tous les matches. Sur les matches télévisés, je pense que tout le monde a vu que l'ambiance était extraordinaire chez nous. Nos supporters font la plupart des déplacements, ils étaient encore au Mans samedi soir. Et sur le terrain, on fait jouer de jeunes joueurs français qui montrent qu'ils sont capables de jouer en Betclic Elite. Je pense que c'est plutôt tout bon pour le basket français d'avoir aussi des équipes qui jouent comme ça. On peut évidemment faire le parallèle avec Le Portel, avec leur public, leur salle, leur construction d’équipe et trois joueurs qui viennent de Pro B. On a quand même des méthodes assez similaires, effectivement.”\n\nEric Girard : “Nous ne sommes pas les vilains petits canards. De toute façon, il y a toujours des petits et des gros. Personnellement, je vois plutôt cela comme un vrai progrès dans la société et dans le basket moderne. C’est une excellente chose d’avoir des locomotives qui ont vraiment les moyens d’être performants en Betclic Elite mais également de faire des résultats en coupe d’Europe, y compris en Euroleague. Les budgets de Monaco et Villeurbanne font qu’ils sont en mesure d’exister au plus haut niveau européen. Nous ne sommes plus dans la période que j’ai connu avec Cholet ou Strasbourg où on faisait l’Euroleague avec 5 millions d’euros de budget, où on jouait pour faire de la figuration. C’était plus une récompense qu’autre chose. On voit aussi que tous les clubs français sont dans les meilleurs dans chacune des compétitions européennes, que ce soit l’Eurocup, la BCL ou la FIBA Europe Cup. Ce qui était loin d’être le cas par le passé, à quelques exceptions près. Le basket français a progressé, et c’est top. Je ne suis pas du tout jaloux ou aigri par rapport à ça. Aujourd’hui, Le Portel et Saint-Quentin ont les deux plus petits budgets, c’est un fait. Cela ne veut pas dire que nous sommes les derniers de la classe. Avec un peu de savoir-faire, d’expérience, de talent, de chance, on est capables de jouer au moins le milieu de tableau presque chaque année.”\n\n“Certains agents ont compris qu’en faisant passer leur joueur chez nous tout en étant cohérent en termes de prix, ils seraient gagnants par la suite” - Eric Girard\n\nCompte tenu du retard financier - et par conséquent structurel - sur la concurrence en Betclic Elite, quelle est votre méthode pour recruter ?\n\nJulien Mahé : “Il y a deux choses. D’abord, l’objectif est de gagner du temps, comme nous avons fait cet été. Nous souhaitions vraiment conserver une vraie ossature de la saison passée. C’est pour cela que nous avons gardé cinq joueurs aux cinq postes de jeu. Ça nous a énormément servi d'avoir les cinq anciens en même temps sur le terrain en début de saison. Ils sont en osmose entre eux, ils comprennent exactement ce qu'on attend d’eux et se trouvent les yeux fermés. Ensuite, sur le recrutement des joueurs étrangers, comme c’était le cas en Pro B, on sait que, dès qu’on est en concurrence avec un club de Pro A, le joueur n’est pas pour nous. Donc il faut être un peu plus malin et patient. Ici, on a une méthode de recrutement depuis pas mal de saisons. Nous voulons prendre des joueurs qui ont du potentiel, qui ont des choses à prouver, qu'on veut aider à faire progresser individuellement et qui ont un état d'esprit de vouloir aider l’équipe. Alors, le recrutement estival est souvent très long parce qu'on prend beaucoup de temps, on a besoin de regarder énormément de vidéos et de prendre beaucoup de renseignements sur les joueurs et les hommes. C’est évidemment une méthode perfectible. Ce n'est pas une science exacte, mais dans ce qu'on veut faire transparaître sur le terrain, c'est plutôt positif.”\n\nEric Girard : “Nous avons lancé la mode de recruter en priorité les meilleurs français de Pro B depuis maintenant quelques années, quasiment depuis que nous sommes montés il y a huit ans car nous n’avions pas de joueur étiqueté Pro A à ce moment-là. Cela avait bien fonctionné puisque nous avions fait les playoffs. Nous avons toujours gardé cette idée-là même si, aujourd’hui, beaucoup d’équipes viennent piocher dans ce réservoir, qui devient de plus en plus restreint pour nous. Auparavant, nous étions capables d’aller chercher les meilleurs éléments de Pro B à des tarifs incroyables. Aujourd’hui, tout augmente. Les mêmes joueurs avec les mêmes qualités coûtent plus cher. Malgré tout, on a désormais un savoir-faire. Certains agents ont compris qu’en faisant passer leur joueur par Le Portel tout en étant cohérent en termes de prix, ils seraient gagnants par la suite. Les années précédentes nous aident à recruter un Bastien Vautier, un Ivan Février ou un Digue Diawara, qui étaient les meilleurs à leur poste en Pro B l’an dernier et qui avaient sans doute des propositions plus intéressantes que chez nous sur le plan financier mais qui espéraient - à juste titre - faire une bonne saison individuelle et collective pour laquelle ils seraient récompensés à un moment ou un autre.”\n\nSaint-Quentin comme Le Portel font partie des derniers clubs de Betclic Élite à ne pas avoir de directeur sportif à part entière. Est-ce un frein ? Est-ce amené à changer ?\n\nEric Girard : “J’ai effectivement cette double casquette de coach et directeur sportif depuis que je suis arrivé (en 2012). Par mon expérience, c’est vrai que j’ai tout de suite eu un rôle de manager en plus de coach. Je l’ai toujours gardé. Malgré mes demandes à répétition, nous n’avons jamais eu les moyens d’en changer. Comme ça a toujours fonctionné, les dirigeants ont souhaité que je garde cette double casquette et “économiser” un salaire pour mettre l’argent sur les joueurs et sur un staff de plus en plus compétent. Mais évidemment que je rêve de travailler avec une étiquette en moins. Cette organisation me fait certes gagner du temps, et est globalement cohérente car je valide les choix sportifs avec mon staff et le président valide les choix financiers, mais cela est quand même prenant. Quand un coach pourrait défrayer un peu, il faut que je vérifie les contrats, que je négocie avec les agents, que j’organise les déplacements... Moultes choses qui usent. Maintenant, je comprends qu’ici, ce n’est pas simple. Mais évidemment qu’avoir un manager au Portel, surtout à ce niveau-là, ça devient obligatoire à l’avenir.”\n\nJulien Mahé : “Nous concernant, il faudrait poser la question au président. Mais le SQBB a grandi très vite. Il y a eu deux montées en quatre ans. Quand le président est arrivé, en 2018-2019, le club était en NM1 ! Entre le moment où je suis arrivé, en février 2020, et aujourd'hui, le club a vraiment évolué. Il faut aussi lui laisser le temps de se structurer. Je pense que la structuration de Saint-Quentin se fera par un possible maintien en Betclic Elite, même s’il ne faudra pas non plus tout jeter s’il y a une descente en Pro B à la fin de la saison. Cela se fera palier par palier, avec cette volonté de faire partie des 16 équipes de l’élite.”\n\n“Julien Mahé est un coach qui fait excellemment bien son job. Il a redonné ses lettres de noblesse à une ville qui sommeillait, à un club qui était habitué au très haut niveau. Il est l’un des coaches qu’il faut vraiment suivre de près dans ce championnat” - Eric Girard\n\nSaint-Quentin - Le Portel, c’est un derby entre deux équipes très bien coachées. Quel regard portez-vous sur l’entraîneur adverse ?\n\nJulien Mahé : “Déjà, je suis admiratif du parcours d’Eric (Girard) dans son ensemble. 1 000 matches en carrière, ce n’est pas neutre. Cholet, Strasbourg avec le titre de champion de France à la clé en 2006, Limoges, Le Portel... C’est un parcours exceptionnel. Je retiens surtout qu’il a fait du Portel une place forte en partant de Pro B et en arrivant à maintenir ce club chaque saison en Pro A. La seule année où ça a moins marché, en 2020, ils ont été sauvés, comme nous en Pro B où nous étions mal embarqués. C'est remarquable. Et puis, Eric Girard apporte son identité de jeu. A chaque fois que nous jouons contre les équipes coachées par lui, nous savons que ça va être un challenge.”\n\nEric Girard : “Julien (Mahé) est un coach qui fait excellemment bien son job. Je ne l’ai pas suivi à 200 % mais je le suis depuis que nous étions voisins, quand il a commencé à Gravelines. Et on sait tous que pour durer au BCM, il faut être costaud. Depuis, il a parfaitement rebondi. Il a redonné ses lettres de noblesse à une ville qui sommeillait, à un club qui était habitué au très haut niveau il y a longtemps, en faisant d’une équipe de Pro B avec des moyens très faibles une équipe de Pro A qui mérite amplement sa place. Il est l’un des coaches qu’il faut vraiment suivre de près dans ce championnat.”\n\nEt sur la saison de votre adversaire ?\n\nEric Girard : “Il faut féliciter Saint-Quentin pour son début de saison. C’est une équipe qui me fait penser à celle que nous avions bâtie l’année où nous étions montés (en 2016-2017). Nous avions gardé une certaine ossature, une certaine dynamique de la montée de Pro B. C’est d’ailleurs la seule saison où nous étions parvenus à faire les playoffs. Pour faire le parallèle, le SQBB est monté sans avoir un budget dans le top 4 de la Pro B, comme nous à l’époque. C’est la meilleure défense du championnat, comme nous à l’époque. Au moment où on se parle, tout est relativement similaire entre les résultats des deux clubs. C’est une belle histoire, surtout quand des dirigeants d’autres clubs pensaient qu’ils n'allaient pas du tout être concernés et qui ont voté - de façon incohérente - en faveur de trois descentes au lieu de deux pour favoriser un ou deux grands clubs. Aujourd’hui, comme souvent par le passé, certains clubs sont dans la difficulté, là où ils ne pensaient pas l’être. Si l’on a la chance ou le talent de gagner samedi, peut-être que le rêve de Saint-Quentin et du Portel pourrait perdurer et que, dans un cas de figure très favorable - je n’ai pas fait les calculs -, nous fassions tous deux la Leaders Cup. Le rêve serait fabuleux. Ce serait un sacré exploit.”\n\nJulien Mahé : “Après des débuts difficiles (0-5), Le Portel a retrouvé l'identité qui a fait sa force les années précédentes. C’est une équipe très agressive. Les changements défensifs prônés par Eric Girard commencent à mieux fonctionner. Il fallait un peu de temps aux joueurs pour assimiler tout cela, notamment quand on recrute des jeunes joueurs. Les deux changements dans l’effectif, avec les arrivées d’Edon Maxhuni et Robert Turner, ont été déterminants. Leur facteur domicile fonctionne mais pas seulement parce qu'ils sont allés chercher des victoires à l'extérieur, comme à Limoges. Ils sont solides, très durs à jouer. Et puis il y a une belle mise en valeur des jeunes joueurs français. Je ne suis pas complètement surpris par ce que font Bastien Vautier, Ivan Février et Digue Diawara puisque ce sont des garçons que nous avons rencontré sur les dernières saisons. On sait que c'est solide, que c'est physique, avec une vraie volonté de courir. Contre Nancy ce week-end, ils ont vraiment développé un basket de très haut niveau pendant 30 minutes.\n\nÇa montre bien aussi que tout peut basculer très vite dans le basket. Après cinq matches, personne ne les voyait rebondir. Aujourd'hui, ils sont bien installés au milieu du tableau. Mais je pense qu'ils gardent aussi les pieds sur terre, comme nous. Il ne faut pas oublier que la saison est longue et que le premier objectif, c'est le maintien car il n’y a pas de grande marge. Cela va se jouer jusqu'au bout. Si ça continue comme ça, l’écart entre la qualification en playoffs et le maintien sera de plus en plus faible. C'est très spécial mais ça fait aussi le bonheur de la Betclic Elite et de tous les gens qui la suivent car il y a un suspense exceptionnel.”\n\n“Avec Le Portel, la rivalité est un petit peu différente mais je pense qu’on se ressemble davantage, bien plus que Gravelines, et qu’on a surtout chacun des publics extraordinaires” - Julien Mahé\n\nLe Portel et Saint-Quentin se sont rarement croisés dans l’histoire. C’est un derby, malgré les deux heures de route entre les deux villes. A-t-il une signification pour les joueurs ?\n\nEric Girard : “Pour les joueurs, pas tellement, d’autant que les joueurs changent beaucoup d’équipe d’une année sur l’autre, comme pour nous cette année. Et comme vous l’avez dit, quand il y a deux heures de route, alors ce n’est pas aussi prononcé que Boulogne-sur-Mer ou Gravelines, contre lesquels on a déjà joué deux derbys cette année, en coupe de France et en championnat. Ce sera le troisième. C’est peut-être le moins passionné des trois mais ça ne sera pas le moins passionnant, car il y a à la clé une place pour la Leaders Cup. Il n’y a pas cette passion historique de derby mais il y a cette similarité, pour l’un comme pour l’autre, d’avoir cette chance malgré que l’on ait les deux plus petits budgets. La Leaders Cup ne changera pas nos vies car gagner trois matches de suite en trois jours, avec la grande différence de longueur d’effectif par rapport aux cadors, c’est pratiquement impossible pour des clubs comme Le Portel ou Saint-Quentin. Ça ne nous rapportera rien mis à part le prestige, qui est de valoriser la ville, le club et l’équipe. Mais c’est une plus-value non négligeable, y compris médiatique. Et je serais très heureux de donner aux joueurs et au staff cette reconnaissance qu’ils méritent.”\n\nJulien Mahé : “Par l'histoire, les deux clubs se sont rarement croisés mais ça reste un derby régional des Hauts-de-France. A Saint-Quentin, on considère qu’on a deux derbies, contre Gravelines et contre Le Portel. Contre Gravelines, je dirais que c'est plus historique du fait que les clubs se sont rencontrés il y a trente ans. Je suis passé par les deux clubs et on m’a toujours parlé du derby entre le SQBB et le BCM de la fin des années 80 et début des années 90. Avec Le Portel, la rivalité est un petit peu différente mais je pense qu’on se ressemble davantage, bien plus que Gravelines, et qu’on a surtout chacun des publics extraordinaires. Je sais que beaucoup de supporters du Portel vont venir samedi et j’en suis ravi parce que ça va donner une ambiance extraordinaire dans la salle. Par rapport à cette ferveur, c'est déjà un beau derby, qui a du sens.”\n\nPour vous, qui est le meilleur public de France ?\n\nJulien Mahé : “Pour moi, c’est évidemment celui du SQBB (rires). Mais j’ai beaucoup de respect pour Le Portel. Vous savez, c'est mon deuxième poste d'entraîneur pro à Saint-Quentin. Le premier, c'était à Gravelines. Donc, je n’ai joué que des derbies contre Le Portel. Que ce soit à Sportica ou au Chaudron, il n’y en a eu que des magnifiques. Je me souviens du premier de l'histoire en Pro A du temps où j’étais assistant de Christian Monschau. Il y avait une tribune orange, une tribune verte, et c'était magnifique. Mais évidemment que le meilleur public de France, c'est celui du SQBB.\n\nLe public de Pierre-Ratte a une vraie influence sur les joueurs, c’est évident. Ce qu’on vit ici est assez extraordinaire. La passion qu'ont les gens pour le basket, c’est fabuleux. Ici, il n’y a aucun impact par les horaires de diffusion, tous les matches se jouent à guichets fermés. Nos supporters nous suivent aussi en déplacement. Peu d’équipes sont accompagnées comme nous le sommes. Nous avons gagné quatre fois à l’extérieur et à chaque fois, nous avions au moins un bus de supporters. A Nanterre, on avait 300 personnes avec nous. C’est magnifique. Nos joueurs ont vraiment compris qu’ils étaient soutenus comme peu d'équipe dans la division et ils ont évidemment envie de faire plaisir à leur supporters.”\n\nEric Girard : “Je connais assez bien le public de Saint-Quentin. Il y a moins de chants de supporters qu’au Portel. Là-bas, c’est plus d’encouragements et de tambours, qui sont très bruyants et empêchent une certaine communication entre les joueurs et le staff. Pierre-Ratte, c’est petit mais c’est sans doute la salle la plus bruyante. Ça résonne très fort, plus fort qu’au Chaudron ou à Beaublanc par exemple, qui sont les deux salles les plus chaudes. Je connais évidemment bien les deux. Limoges, c’est un public très versatile. Si vous gagnez là-bas, le public est extraordinaire. J’ai fait des briefings dans le vestiaire, avant d’être opéré à l’époque, où j’avais du mal à parler à mes joueurs tellement il y avait de bruit dans la salle avant que les joueurs ne rentrent sur le terrain. Mais on sait aussi que le public de Limoges, étant un public qui a tout gagné, est très difficile. Quand l’équipe est dans une série compliquée, ça peut aussi se retourner contre eux.\n\nLe public du Portel est différent. Il y a beaucoup d’encouragements. C’est un public de connaisseurs également mais il n’a pas connu de titre en première division, pour des raisons que l’on comprend. Il est exigeant mais très compréhensif, même dans les moments difficiles. Les gens sont conscients qu’on fait avec les moyens du bord et que rester en première division pendant huit saisons, c’est déjà exceptionnel. Le public rêve qu’on se maintienne, et ça a déjà une vraie valeur de jouer à ce niveau-là dans une ville de 9 000 habitants avec le plus petit budget du championnat. Quand Saint-Quentin monte dans l’élite, la mairie donne un million d’euros de plus, ça aide. Chez nous, le budget de la mairie reste identique car le maire ne peut pas faire plus, et il faut aller chercher la différence avec des partenaires, ce qui n’est pas toujours évident par rapport à des grandes villes.”\n\nEric Girard, 1 000 matches en pro : “J’ai l’impression de commencer ma carrière”\nLe week-end dernier contre Nancy, Eric Girard a coaché pour la 1000e fois de sa carrière. Une barre symbolique rarement atteinte dans les hautes sphères du basket français, et commentée par l’intéressé, évidemment heureux de permettre à l'ESSM Le Portel de s’établir dans l’élite, année après année : “Je ne fais pas le compte de mes matches mais, quand j’ai failli arrêter ma carrière de coach pour devenir manager, c’est vrai que j’avais commencé à calculer un peu par curiosité. Et je me suis rendu compte que je n’étais pas loin des 1 000 matches, ce qui est finalement assez logique puisque j’ai 27 ans de coaching derrière moi, avec quelques interruptions dues à la maladie. Ce qui est peut-être le plus marquant, c’est que, avec les résultats qu’on a, j’ai l’impression de commencer ma carrière. C’est plutôt plaisant, à bientôt 60 ans. D’autant plus que j’aurais pu tout perdre avec mon cancer. Si je n’avais pas pu reparler à peu près correctement, je n’aurais pas pu reprendre le coaching. Quelques années après, c’est une grande satisfaction de continuer de coacher normalement et d’avoir ces résultats aujourd’hui.”\n\nA lire également :\n> La belle aventure du promu Saint-Quentin, 30 ans après\n> Mi-temps avec Bastien Vautier (Le Portel)\n> Mi-temps avec Mathis Dossou-Yovo (Saint-Quentin)\n\n\n\n“Il y a cinq ans, personne n’aurait misé 10 euros sur notre retour” : la belle aventure du promu Saint-Quentin, 30 ans aprèsLongtemps bloqué dans les divisions inférieures après avoir connu la première division entre 1988 et 1993, le Saint-Quentin Basket-Ball est de retour au plus haut niveau cette saison. La récompense d’un travail entamé il y a cinq ans pour le club, qui accuse un retard certain sur d’autres concurrentBasketEurope.comValentin Perrot

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Euroleague féminine : Exploit de Villeneuve d'Ascq en Turquie

Pour apprécier ce résultat, il faut savoir que Cukurova occupait jusque-là la 2e place du groupe B avec 6 victoires et 4 défaites, et ainsi l'ESBVA double l'équipe turque au classement grâce au point-average, en attendant les matches de la soirée de Salamanque et Polkowice.\n\nL'ESBVA a fait la course en tête dès le deuxième quart-temps malgré les efforts de l'Américaine Marina Mabrey (26 points et 7 rebonds). L'Ukrainienne Alina Iagupova, qui tournait jusqu'ici à 17,6 points a été tenue à 5 unités. Pour sa part, Olivia Epoupa s'est contentée de 2 points et 1 d'évaluation.\n\nDans le camp nordiste, une fois encore Kennedy Burke (19 points, 7 rebonds, 27 d'éval) a été la locomotive de l'équipe, mais on peut aussi remarquer le double double de Janelle Salaün (12 points et 10 rebonds).\n\nPlus que jamais l'ESBVA peut croire à une qualification pour les quarts-de-finale alors qu'il reste quatre journées.\n\nLa boxscore est ICI.

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Eurocup : euphorique, Paris passe 120 points à Hambourg !

Bien installé en tête du groupe A de l'Eurocup (10 victoires pour une seule défaite), le Paris Basketball pouvait enregistrer pour la première fois de la saison le meilleur bilan de la compétition ce mercredi. Longtemps détenteur de ce dernier dans le groupe B, Gran Canaria vient d'enchainer deux défaites, laissant un boulevard aux Parisiens face à une équipe d'Hambourg en difficulté en Europe (2 victoires en 11 rencontres) et largement battue chez elle à l'aller (69-105).\n\nUne opportunité saisie avec autorité par les hommes de Tuomas Iisalo, une nouvelle fois vainqueurs à la Halle Carpentier au terme d'un festival offensif (120-91). Avec notamment un TJ Shorts en mode MVP (26 points, 3 rebonds, 7 passes décisives), les Parisiens ont d'abord fait parler leur attaque avant de faire la différence dans la deuxième partie de la rencontre face à un adversaire complètement débordé.\n\n\nUn 7/7 aux tirs pour commencer\n\nSans complexe et avec beaucoup d'adresse, les deux équipes proposaient un début de match offensif. À ce petit jeu, les locaux se montraient plus appliqués en attaque en marquant leurs sept premiers tirs. Boostée par cette très haute réussite (13/19 aux tirs), l'attaque parisienne bouclait ce premier quart-temps avec 35 points inscrits et déjà un premier écart (35-27).\n\nAprès un bon départ dans la lignée de son entame, Paris semblait marquer le pas dans ce deuxième quart. Moins en réussite et plus brouillonnes qu'en début de rencontre, les deux équipes se neutralisaient. Ce scénario permettait tout de même au club de la capitale française, porté par un TJ Shorts des grands soirs (15 points, 6 passes décisives à la mi-temps), de compter 11 points d'avance à la mi-temps (59-48).\n\n\nUne soirée offensive historique\n\nLes joueurs de Tuomas Iisalo le savaient : ils se devaient de durcir le ton en défense pour décrocher définitivement leurs adversaires. La montée en intensité attendue avait bien avec des Parisiens qui se détachaient inévitablement pour aborder les dix dernières minutes avec une marge très importante (88-67). La dernière période ne sera qu'une formalité pour un Paris Basketball sûr de sa force, qui signe un nouveau succès retentissant en Eurocup avec 120 points et un record offensif à la clé ! (120-91)\n\nWI-NING FEE-LING 🖤❤️💙 pic.twitter.com/IVxyH86e6x\n\n— Paris Basketball (@ParisBasketball) December 20, 2023\n\n\nSi le score final ne traduit pas forcément la belle résistance d'Hambourg en première mi-temps, Mehdy Ngouama (18 points) et ses coéquipiers se sont bien montrés supérieurs pour empocher leur 11e succès en 12 rencontres européennes cette saison. Ils sont plus que jamais leaders de leur groupe et recevront une nouvelle fois la semaine prochaine, avec une affiche contre les London Lions.\n\nBoxscore Paris - Hambourg / Classement Eurocup

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Marius Grigonis crucifie Monaco au buzzer !

En l’espace de deux secondes, Elie Okobo a sauvé puis éteint la Roca Team. Auteur d’un panier avec la faute pour permettre à Monaco de prendre deux points d’avance à 2,5 secondes du buzzer (88-90), l’international français a manqué de lucidité en jetant son lancer-franc contre la planche sans toucher l’arceau. Ce qui s'appelle une faute professionnelle puisqu'il a redonné l’ultime possession au Panathinaïkos, de l'autre côté du terrain, qui a trouvé par miracle Marius Grigonis (15 points à 3/5 derrière l'arc). Alors, le shooteur lituanien s'est élevé à 3-points... devant Elie Okobo, pour climatiser Gaston-Médecin. Le vrai héros, c'est bien lui !\n\nLE DAGGER DE GRIGONIS POUR LA VICTOIRE 🤯🤯🤯@paobcgr x @EuroLeague#SKWEEKLive #EveryGameMatters pic.twitter.com/53Z2Uqz2Ed\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 20, 2023\n\n\nC’est une défaite d’autant plus frustrante pour l’équipe de Sasa Obradovic qu'elle a compté jusqu’à 15 points d’avance (60-45, 26e), s’appuyant notamment sur un très bon Kemba Walker, qui a livré son match référence (13 points à 2/2 à 3-points et 7/8 aux lancers, 3 rebonds, 2 passes, 2 interceptions pour 21 d’évaluation en moins de 15 minutes), et un Mike James dominant (16 points, 4 rebonds, 6 passes).\n\nLa Roca Team avait le match en mains (47-39 à la pause), malgré un léger retard à l’allumage (12-20, 8e) qui se traduisait par un déchet inhabituel (8 pertes de balles en première mi-temps, 15 au final). Mais elle s'est sabordée, laissant les coéquipiers de Mathias Lessort (16 points) et Kostas Sloukas (17 points) s'accrocher au tableau d'affichage, et donc porter le coup fatal. Clin d'oeil historique : c'est la première victoire du Pana contre Monaco, deux équipes qui ne s'étaient jusqu'alors affrontées qu'à quatre reprises.\n\nTrying to keep it cool when @ThiasLsf joins your interview...\n\nAll in a nights work for Grigonis 🎤 pic.twitter.com/VO3qkC7Ujl\n\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 20, 2023\n\n\nCe revers est lourd de conséquences pour la Roca Team, rejointe par le Pantahinaïkos au classement (8 victoires, 7 défaites) et qui sort provisoirement du top 6 avant de se déplacer sur le parquet du Bayern Munich vendredi soir.\n\nBoxscore Monaco - Panathinaïkos / Classement Euroleague

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Sinistre à Milan, l’ASVEL est lanterne rouge de l’Euroleague

Que la saison de l’ASVEL en Euroleague promet d’être longue. A Milan, Villeurbanne a touché le fond, au sens propre comme au figuré. Et après seulement 15 journées, l’équipe de Gianmarco Pozzecco (2-13) peut déjà dire adieu au play-in, sachant qu’elle figure à la dernière place, à une victoire de l’Alba Berlin et déjà trois du Zalgiris Kaunas...\n\nMercredi soir, l’ASVEL n’a existé que durant un quart-temps (22-21), prenant l’eau défensivement contre des Italiens bien inspirés (27 passes décisives), à l’image de Shevon Shields (13 points, 5 rebonds, 6 passes, 3 interceptions) ou Nicolo Melli (17 points).\n\nNicolo Melli got jump 👀@OlimpiaMI1936 x @EuroLeague#SKWEEKLive #EveryGameMatters pic.twitter.com/iyqzM8YDqv\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 20, 2023\n\n\nA l’exception de Joffrey Lauvergne (12 points, 5 rebonds), ce fut un naufrage collectif en attaque (31 % à 2-points, 18 ballons perdus dont 8 pour Timothé Luwawu-Cabarrot). Pour autant, Gianmarco Pozzecco n’a pas utilisé Mbaye Ndiaye et Noam Yaacov, cantonnés sur le banc. Ce qui laisse songeur, d’autant que Nando De Colo a quitté ses partenaires en se tenant le mollet au premier quart-temps... C’est ce qui s’appelle une soirée sans, mais l’ASVEL est habituée ces derniers temps.\n\nAu contraire, la formation d’Ettore Messina a pu faire tourner les cadres. Le Français Ismael Kamagate (4 points, 2 rebonds en 8 minutes) a même pointé le bout de son nez. La résultante étant que l’Olimpia Milan retrouve des couleurs et remonte à la 14e place au classement, à deux victoires du top 6.\n\nBoxscore Olimpia Milan - ASVEL / Classement Euroleague

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Euroleague féminine : L'ASVEL cartonne à Valence

Incroyables Lyonnaises. Après avoir fait chuter l'indéracinable Fenerbahçe, elles avaient, dans la foulée, échoué lamentablement à Charnay, et voici qu'elles ont laminé les Espagnoles de Valence, des concurrentes directes au top 4 et en empochant le point-average.\n\nFace à une équipe où figurent plusieurs têtes connues du championnat de France et la star Alba Torrens qui est sorti du terrain avec un misérable -3 d'évaluation (!), les choses n'ont pas traîné. Dans le premier quart-temps, les filles de David Gautier ont déjà fait une différence (+7) avant de donner un coup de massue aux Espagnoles dans le deuxième (+17 en marquant 30 points). Ce qui est parfait c'est que la victoire a été collective avec Gabby Williams (21 d'évaluation avec 11 points, 6 rebonds, 5 passes et 3 interceptions) et Julie Allemand (20 d'éval avc 16 points, 5 rebonds, 4 passes et 2 interceptions) en figures de proue.\n\nAttention : le chemin est encore très pentu pour accrocher la 4e place tant le retard accumulé était important. Schio, qui est en quatrième position, possède trois victoires de plus et il ne reste plus que quatre journées. Il faudra donc un enchevêtrement de résultats favorables aux Lyonnaises pour qu'elles aillent en quart-de-finale.\n\nLa boxscore est ICI.\n\nDe son côté, Basket Landes n'a pu éviter une 8e défaite en Pologne. Malgré le retour à la compétition d'Alexis Peterson (15 points), les Landaises ont subi leur deuxième revers le plus lourd après celui de Prague (85-63), même si le coach de Polkowice a fait tourner son effectif en fin de match.\n\nLa boxscore est ICI.

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Eurocup féminine : Roche Vendée et Lattes-Montpellier au top 16

Dans le choc franco-français, Roche Vendée a vaincu Charleville et affrontera Riga au prochain tour. Vaciana Gomis (21 points) et Tiffany Clarke (19) ont emmené l'attaque vendéenne. Malgré les 13 prises de Lauren Scherf, les Ardennaises ont été dominées au rebond (47-35). Rappelons qu'à l'aller, les deux équipes s'étaient séparées sur un résultat nul (71-71).\n\nPas de frayeurs pour Lattes-Montpellier, qui avait concédé un handicap de huit points en République tchèque et qui a battu Brno dans les grandes largeurs au retour (89-59) avec un superbe double double de Alisia Jenkins (19 points et 16 rebonds).\n\nPrivé de Leïla Lacan, Angers a bien lutté contre les Polonaises de Gorzow avant de lâcher prises (68-75). Double double également pour Kekelly Elenga avec 17 points et 11 rebonds.\n\nBourges va très certainement assurer sa qualification ce soir face à Antalya après avoir dominé outrageusement en Turquie à l'aller (51-108).

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BCL : Le programme du mois de janvier pour les quatre équipes françaises

Les vainqueurs des huit groupes ont déjà obtenu leur place pour les huitièmes de finale, tandis que les équipes classées deuxième et troisième s'affronteront dans les Play-Ins pour avoir une chance de les rejoindre, les équipes classées deuxièmes de la saison régulière ayant l'avantage du terrain. Ces Play-Ins auront lieu les 2 et 3 janvier puis les 9 et 10 janvier. Les vainqueurs se qualifieront pour les huitièmes de finale.\n\nLes huitièmes de finale se tiendront du 24janvier au 22mars2024, les deux meilleures équipes de chaque groupe se qualifiant pour les quarts de finale.\n\n\nPlay-Ins BCL (meilleur des trois):\n\nLe Mans (A2) – Promitheas (B3)\nRytas (B2) – Peristéri (A3)\nCholet (C2) – Dinamo Sassari (D3)\nLudwigsbourg (D2) – Darussafaka (C3)\nPinar Karsiyaka (E2) – Rio Breogan (F3)\nHapoël Holon (F2) – Filou Ostende (E3)\nPAOK Salonique (G2) – Tofas Bursa (H3)\nPanier Derthona (H2) - Galatasaray(G3)\n\n\nHuitièmes de finale :\n\nGroupeI\nMalaga\nSIG Strasbourg\nVainqueur C2 vs D3\nGagnant G2 contre H3\n\nGroupe J\nJDA Dijon\nTelekom Bonn\nVainqueur D2 vs C3\nGagnant H2 contre G3\n\nGroupe K\nLenovo Ténérife\nHapoël Jérusalem\nGagnant B2 contre A3\nGagnant E2 contre F3\n\nGroupe L\nAEK Athènes\nUCAM Murcie\nGagnant A2 contre B3\nGagnant F2 contre E3

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Vidéo : Un reportage de France 3 sur Gravelines

Le BCM est ce que l'on appelle un \club historique\ puisqu'il est apparu dans l'élite en 1988 soit quatre ans après sa création. Après 10 défaites d'affilée, les Nordistes ont retrouvé des couleurs sous la houlette du coach Jean-Christophe Prat puisqu'ils en sont à 4 victoires en 6 matches. Le maintien est encore possible même si avec trois descentes, le pari sera difficile à tenir.

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Italie : Nico Mannion officiellement à Varèse

Nico Mannion quitte ainsi Baskonia Vitoria où son temps de jeu était rabougri (12 minutes en moyenne sur 10 matches) pour l'avant-dernier du championnat italien (3 victoires et 9 défaites). Le commentaire de Maksim Horowitz, directeur général de la stratégie de Varèse :\n\n«Aujourd'hui, nous accueillons Niccolò Mannion qui devient officiellement un joueur de notre équipe. Nico est un jeune joueur qui apporte à notre cause une combinaison unique de dynamisme, de créativité, d’habileté et d’intelligence du basket-ball. En tant que joueur de l'équipe nationale italienne, nous savons que Nico est heureux de revenir en Italie et de jouer avec le maillot de Varèse et nous sommes également heureux qu'il puisse découvrir nos supporters et notre ville. Nous sommes convaincus qu’il s’intégrera bien dans l’équipe et dans notre système de jeu. Nous pensons que Nico peut non seulement nous permettre de nous améliorer par rapport à notre saison actuelle, mais aussi qu’il peut devenir lui-même encore plus fort. Nous avons hâte de le voir jouer avec nous!\

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Le 21 décembre, Journée mondiale du patrimoine du basket-ball

La journée du 21 décembre est l'occasion de présenter les actions du Musée du Basket et de la Commission Patrimoine & Légendes de la FFBB en faveur de la préservation et de la mise en valeur de l'histoire et du patrimoine du basket-ball. Au préalable, il est utile de rappeler que le 27 décembre 1893, on a joué pour la première fois au basket sur le vieux continent, à Paris, au gymnase de l'Union Chrétienne des Jeunes Gens (UCJG Paris), au 14 rue de Trévise\n\nLes actions qui ont reçu le label «Olympiade culturelle»\n\n-Première présentation au public de la bannière de l'UCJG Paris, plus ancien objet lié au basketball en Europe et joyau des collections du Musée du basket, dans le cadre de l'exposition Victoire ! La fabrique des héros présentée au Musée de l'Armée jusqu'au 28 janvier 2024.\n\n-Exposition Le basket aux Jeux Olympiques qui sera présenté du 10 janvier au 29 février 2024 sur les grilles de l'hôtel de ville de Paris.\n\n-Histoire du sport en 52 épisodes : Deux articles («Les Américains débarquent dans le basket français» et «Roland-Garros terre de basket-ball » seront publiés sur le blog Gallica de la Bibliothèque Nationale de France et bénéficieront du label. L'objectif est notamment de mettre en valeur les collections liées au sport numérisés et mis en ligne sur Gallica pour lesquelles la FFBB et le Musée du Basket ont été pionniers.\n\n-Intervention lors du colloque «Histoire et archives des fédérations sportives en France» qui a eu lieu les 20 et 21 novembre 2023 à l’INSEP et aux Archives nationales de France à Pierrefitte.\n\nLes autres projets:\n\n-Campagne de recueil de témoignages centrés sur le lien avec les équipes de France de basket (joueuses/joueurs, entraîneurs, médecins, fans, arbitres, journalistes, dirigeants...) préparée par la Commission Patrimoine & Légendes.\n\n-Soutien à la campagne de restauration du bâtiment de l’UCJG Paris et de son gymnase.\n\n*Le Musée du Basket a été fondé en 1984 par Gérard Bosc et René Lozach sous la forme d’une association. Il est devenu un fonds de dotation en 2023 et est actuellement présidé par Michel Rat. Le Musée, selon ses statuts, a pour objet de rechercher, recueillir, acquérir, répertorier, restaurer, reproduire, diffuser, conserver et exposer des documents et objets de toute nature se rapportant au basket-ball et à son histoire.\n\n*La Commission Patrimoine & Légendes de la FFBB, sous la présidence de Françoise Amiaud, élue au Comité Directeur de la Fédération, a pour objectif d’animer un réseau de correspondants patrimoines issus des ligues régionales de basket-ball et de proposer et mettre en œuvre des projets de mise en valeur du patrimoine et des grands noms du basket-ball.\n\n\n\n

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TJ Shorts (Paris) élu MVP de la 12e Journée d'Eurocup

TJ Shorts a alimenté l'une des plus belles performances offensives de l'histoire de l'Eurocup mercredi soir, menant le Paris Basketball à une victoire à domicile 120-91 contre Veolia Towers Hambourg et remportant ainsi les honneurs de MVP pour la 12e journée.\n\nSon record de la saison de 26 points et un 37 PIR (évaluation) ont été atteints en seulement 22 minutes et 26 secondes sur le terrain. Shorts a réussi un 11/13 aux tirs du champ et ses 4 tentatives de lancers-francs. De plus, le meneur de jeu parisien a délivré 7 passes décisives, pris 3 rebonds et réalisé 2 interceptions, le total de points de l'équipe de la capitale étant le deuxième plus élevé de tous les temps de l'Eurocup en temps réglementaire. Shorts, qui fut la saison dernière élu MVP de la Basketball Champions League, compte désormais trois trophées de MVP en 12 matchs pour sa première saison en Eurocup.\n\n

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Télex du 21/12/2023

Bria Hartley retourne à Galatasaray\n\nBria Hartley (1,73 m, 31 ans) a quitté Salamanque pour retourner à Galatasaray, a annoncé le club turc. La Franco-Américaine a déjà joué pour Galatasaray lors de la saison 2019-2020, ainsi que dans deux autres clubs turcs, Mersin et Fenerbahçe.\n\nBria Hartley retourne à GalatasarayLa Franco-Américaine Bria Hartley (1,73 m, 31 ans) a quitté Salamanque pour retourner à Galatasaray annonce le club turc.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nMoustapha Sonko nouveau general manager des Metropolitans 92\n\nSurprise à Boulogne-Levallois avec la nomination de Moustapha Sonko, 51 ans, comme general manager alors que Stéphane Dumas devient premier assistant du coach Jean-Paul Besson. Le médaillé d’argent aux Jeux de Sydney a déjà été responsable du centre de formation des Mets. Il remplace de facto Alain Weisz, parti à la retraite en juin dernier.\n\nMoustapha Sonko nouveau general manager des Metropolitans 92Surprise à Boulogne-Levallois avec la nomination de Moustapha Sonko, 51 ans, comme general manager alors que Stéphane Dumas devient premier assistant du coach Jean-Paul Besson.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLe 21 décembre, Journée mondiale du patrimoine du basket-ball\n\nLe basket-ball a été créé le 21 décembre 1891 à Springfield, Massachusetts. L’Assemblée générale des Nations Unies a décidé de faire de ce jour la Journée mondiale du basket-ball. La FFBB et le Musée du Basket français se sont associées à l'événement.\n\nLe 21 décembre, Journée mondiale du patrimoine du basket-ballLe basket-ball a été créé le 21 décembre 1891 à Springfield, Massachusetts. L’Assemblée générale des Nations Unies a décidé de faire de ce jour la Journée mondiale du basket-ball. La FFBB et le Musée du Basket français s’associent à l’événement.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nTJ Shorts (Paris) élu MVP de la 12e Journée d'Eurocup\n\nT.J. Shorts (1,75 m, 26 ans) a été élu MVP de la 12e journée d'Eurocup. Le meneur de jeu du Paris Basketball a alimenté l'une des plus belles performances offensives de l'histoire de la compétition ce mercredi soir, menant le Paris Basketball àune victoire à domicile contre Hambourg (120-91).\n\nTJ Shorts (Paris) élu MVP de la 12e Journée d’EurocupLe meneur de jeu du Paris Basketball TJ Shorts (1,75 m, 26 ans) a été élu MVP de la 12e journée d’Eurocup.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nItalie : Nico Mannion officiellement à Varèse\n\nL'international italien Niccolò Mannion (1,90 m, 22 ans) ne sera pas le nouveau meneur de jeu de l'ASVEL. Il a choisi de retourner dans son pays, à Varèse.\n\nItalie : Nico Mannion officiellement à VarèseL’international italien Niccolò Mannion (1,90 m, 22 ans) ne sera pas le nouveau meneur de jeu de l’ASVEL. Il a choisi de retourner dans son pays, à Varèse.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nVidéo : Un reportage de France 3 sur Gravelines\n\nPour France 3, Lukas Nicot a réalisé ce reportage au coeur du BCM Gravelines-Dunkerque qui lutte pour son maintien en Betclic Elite pour sa 36e année consécutive en première division.\n\nVidéo : Un reportage de France 3 sur GravelinesPour France 3, Luka Nicot a réalisé ce reportage au coeur du BCM Gravelines-Dunkerque qui lutte pour son maintien en Betclic Elite pour sa 36e année consécutive en première division.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nBCL : Le programme du mois de janvier pour les quatre équipes françaises\n\nAlors que la saison régulière de la Basketball Champions League s'est terminée, place aux play-ins. Ils auront lieu les 2 et 3 janvier puis les 9 et 10 janvier. Les vainqueurs se qualifieront pour les huitièmes de finale. Cholet et Le Mans y participent. Il y aura ensuite le top 16, avec Dijon et Strasbourg.\n\nBCL : Le programme du mois de janvier pour les quatre équipes françaisesAlors que la saison régulière de la Basketball Champions League s’est terminée, place aux play-Ins puis aux 8e de finale.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEurocup féminine : Roche Vendée et Lattes-Montpellier au top 16\n\nRoche Vendée et Lattes-Montpellier se sont qualifiés pour les 8e de finale ce mercredi alors que Charleville-Mézières et Angers ont été éliminés. Bourges les a rejoint ce jeudi soir en battant une deuxième fois Antalya dans les grandes largeurs (90-69).\n\nEurocup féminine : Roche Vendée et Lattes-Montpellier au top 16Roche Vendée et Lattes-Montpellier se sont qualifiés pour les 8e de finale alors que Charleville et Angers ont été éliminés.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEuroleague féminine : L'ASVEL cartonne à Valence\n\nL'ASVEL est définitivement relancée. Après avoir fait chuter l'indéracinable Fenerbahçe, elles avaient, dans la foulée, échoué lamentablement à Charnay, et voici qu'elles ont laminé les Espagnoles de Valence (70-91), des concurrentes directes au top 4 et en empochant le point-average.\n\nEuroleague féminine : L’ASVEL cartonne à ValenceL’ASVEL est définitivement relancée après son triomphe à Valence (70-91), Basket Landes ne peut résister à Polkowice (88-72).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nTiago Splitter à propos de Wembanyama : \Ce qui est dit de lui n'est pas exagéré\\n\nL'ancien pivot international brésilien Tiago Splitter, 38 ans, dit tout le bien qu'il pense de Victor Wembanyama dans une interview à Radio Marca.\n\n\Ce qui est dit de lui n'est pas exagéré, mais il doit encore apprendre et savoir utiliser son corps. Il a de la qualité et est dans une équipe où ils vont travailler sur lui, on me dit qu'il a une très bonnementalité, qu'il est le premier à arriver et le dernier à partiret cela vous donne déjà des indications que ce joueur va être l'une des références de la Ligue. (Gregg) Popovich va lui donner la mentalité dont il a besoin, il doit passer par un processus car c'est très rare d'arriver en NBA et d'en marquer 30 par match.\\n\nTiago Splitter à propos de Wembanyama : “Ce qui est dit de lui n’est pas exagéré”L’ancien pivot international Tiago Splitter, 38 ans, dit tout le bien qu’il pense de Victor Wembanyama dans une interview à Radio Marca.BasketEurope.comLa rédaction

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Espagne : Unicaja Malaga pour une 11e victoire consécutive

Bientôt 11 victoires d'affilée pour Malaga ? C'est un record dans l'histoire du club andalou, établi depuis lasaison 2005-2006lorsque l'équipe était entraînée par l'actuel sélectionneur national espagnol, l'Italien Sergio Scariolo. Celui-ci pourrait bien être égalé ce vendredi soir contre Murcie (21h30).\n\nLes Andalous coachés aujourd'hui par Ibon Navarro occupent actuellementla deuxième place du classement avec onze victoires et trois défaitesderrière le Real Madrid. Ils se sont qualifiés pour le top 16 de la Basketball Champions League comme premiers de leur groupe, malgré leur défaite sans conséquence, mercredi, en Grèce contre Peristeri (76 -73) et celle au Mans plus tôt dans la saison (85-78), ce qui avait constituée une surprise. D'autre part, l'Unicajas'est débarrassée du club turc de Bursa (75-90)et a également terminé première de son groupe de BCL.\n\nMalaga a profité de ce match sans enjeu pour relancer le centre brésilien Augusto Lima, qui était à l'arrêt depuis 357 jours après s'être blessé au genou en décembre 2022 lors d'un match contre... l'UCAM Murcie. Lima a joué neuf minutes et demie avec six points et cinq rebonds, en plus d'une bonne défense.C'est plus ou moins ce qu'il faisait avant sa blessure. Celui-ci vient de révéler une anecdote croustillante :\n\n\À cause de la religion, ma grand-mère pensait que c'était une mauvaise chose d'être gaucher et ils ont essayé de me changer, alors je me considère comme ambidextre...\\n\nLes deux équipes se sont affrontées lors de 56 matchs officiels, avec39 victoires pour l'Unicaja et 17 pour l'UCAM.À l'extérieur, l'équipe de Malaga a disputé 29 matchs, avec 19 victoires et 10 défaites.

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Moustapha Sonko nouveau general manager des Metropolitans 92

Moustapha Sonko est une légende des playgrouds parisiens, et il a notamment été médaillé d’argent aux Jeux de Sydney. Il a déjà été responsable du centre de formation des Mets puis il a épaulé son successeur Philippe Sudre au sein de l'équipe espoirs et en intervenant dans des clubs en Ile-de-France. Il était par ailleurs ambassadeur du club, une fonction qu'il conserve. Il remplace de facto Alain Weisz parti à la retraite en juin dernier.\n\nStéphane Dumasa gagné la Coupe Korac en 2000 avec Limoges. Il a fait ensuite ses débuts d’entraineur adjoint à Gran Canaria en 2020. C’est aux côtés de Jaka Lakovic que Dumas a remporté l’Eurocup avec le club espagnol. Il a ensuite pris les rênes de l’équipe de Rabat au Maroc.\n\nL'un comme l'autre ont une mission ardue qui les attend : relever les Mets bons derniers de Betclic Elite (16 défaites pour seulement 2 victoires) et alors que l'équipe paraît aller à vau-l’eau. Le départ du pivot américain Josh Carlton pour les Turcs de Darussafaka étant le dernier épisode.

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Bria Hartley retourne à Galatasaray

Bria Hartley a déjà joué pour Galatasaray lors de la saison 2019-20, ainsi que dans deux autres clubs turcs, Mersin et Fenerbahçe.\n\nBria Hartley a obtenu le passeport français via sa grand-mère en 2018 et elle a joué pour l'équipe de France au Championnat d'Europe 2019 et elle y a remporté une médaille d'argent. Elle a été victime d’une rupture des ligaments croisés au genou droit, puis deux ans ans plus tard au genou gauche. Cela a interrompu à la fois sa carrière en WNBA, en Europe, et en équipe de France où c'est Gabby Williams qui a pris sa place de \naturalisée FIBA\.\n\nLa Newyorkaise n'a pas retrouvé depuis toutes ses capacités physiques. Avec Salamanque, elle a joué 10 matches d'Euroleague pour 6,0 points (31,1% aux tirs), 2,6 rebonds et 1,7 passe en 18 minutes de temps de jeu moyen.

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Quand Alessandro Pajola perd une dent sur un contact avec Damien Inglis

Pas joli, Pajola ! Le basket est un sport de contact et l'arrière de la Virtus Bologne Alessandro Pajola l'a appris à ses dépens jeudi soir. A trois minutes de la fin du troisième quart-temps, l’intérieur français de Valence, Damien Inglis, a reçu le ballon au poste et a assené - involontairement - un coup de coude à hauteur du visage d’Alessandro Pajola.\n\nL’international italien s'est immédiatement effondré au sol. Le replay a montré que le joueur de 24 ans avait perdu une dent, ce qui a valu à Damien Inglis une faute antisportive.\n\nServiette sur la bouche, l'Italien a ensuite assisté depuis le banc à la défaite de ses partenaires, qui étaient en tête à sa sortie (49-50, 27e). A domicile, Valence a inversé la tendance en limitant la Virtus Bologne, auteur de 19 pertes de balles, à 24 points en deuxième mi-temps (79-71), s’appuyant de l’autre côté du terrain sur l’ancien Villeurbannais, Chris Jones (17 points), auteur des lancers francs importants à 28 secondes de la fin.\n\nAu classement, les Espagnols remontent à la 5e place (9-7) tandis que les Italiens restent dauphins (11-5) du Real Madrid. Peu de monde l’aurait parié mais ces deux équipes surprises méritent bien leur place à une journée de la mi-championnat.

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Milos Teodosic, la jeunesse éternelle

Les légendes ne meurent jamais. A bientôt 37 ans, Milos Teodosic s’est fendu de l’un de ses meilleurs matches en carrière jeudi soir. Le Serbe a compilé 27 points à 6/9 à 3-points, a été parfait sur la ligne des lancers-francs, a volé 2 ballons et a saisi 2 rebonds. Aussi, il a distillé 14 passes décisives, soit un record en carrière égalé. Soit un total de 40 d’évaluation, à 3 unités de son record établi à son firmament, en novembre 2016, du temps où il évoluait au CSKA Moscou.\n\n« Milos a été incroyable aujourd'hui. Son talent et ses skills ont absolument déteint sur l’équipe. Tout le monde a contribué de manière significative, y compris Lazic avec cinq fautes, mais Milos mérite des éloges pour sa performance », a affirmé son coach Ioannis Sfairopoulos. « Teodosic était en contrôle tout le match. Nous avons tenté de changer de défense à plusieurs reprises sur lui, mais il a systématiquement trouvé le moyen d'avoir un impact sur le match », a ajouté l’entraineur du Maccabi Tel-Aviv, Oded Kattash.\n\nSurtout, le MVP 2010 de l’Euroleague a permis à l’Etoile Rouge de Belgrade de retrouver le chemin de la victoire (92-98), la première... à l’extérieur, bien que le match ait eu lieu dans la capitale serbe, au Pionir, mais sans supporters - le Maccabi Tel-Aviv a élu domicile à Belgrade depuis le conflit au Proche-Orient.\n\n« C'était une réaction fantastique de l'équipe après la défaite contre le Real, a réagi Milos Teodosic après la rencontre. J’espère que nous ne persisterons pas dans cette tendance à l’incohérence. De ce match, nous devons tirer tous les points positifs, grandir en équipe et élever notre forme. Mes 14 passes décisives sont le fruit de mes coéquipiers. J’aimerais pouvoir en distribuer 20, mais cela dépend toujours de mes coéquipiers. »\n\nDeux d’entre eux, Joël Bolomboy (20 points, 6 rebonds) et Rokas Giedraitis (16 points) ont d’ailleurs brillé à ses côtés.\n\nAprès 16 journées, les hommes de Sfairopoulos pointent à la 15e place (6-10), à deux victoires du top 10. Pour surfer sur la vague, alors que l’autre meneur Shabazz Napier vient de quitter l’Etoile Rouge pour Milan, le Red Star aura bien besoin de sa superstar locale, 36 ans ou pas.

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Strasbourg : la rénovation du Rhénus au point mort

Des pannes de chauffage, des trous dans la toiture, des étais pour consolider l’enceinte... Comme l’écrit à juste titre Les Dernières Nouvelles d’Alsace, le Rhénus fait un peu plus que son âge de 20 ans. Problème : la SIG Strasbourg devrait continuer à utiliser sa salle actuelle en l’état pour une durée indéterminée puisque le projet d’une rénovation, né en 2018 et porté par l’ancien président, Martial Bellon, n’avance pas, selon le journal local.\n\nCe mercredi, une assemblée générale de Wacken Immo, la société qui porte le projet de transformation du Rhénus en une Arena de 8 000 places, n’a pas apporté les garanties espérées. A noter que le Crédit Mutuel a indiqué « renoncer au naming du projet Arena » via son porte-parole.Dans un contexte d’inflation généralisée, il faut dire que la crise de gouvernance à la tête de la SIG depuis le mois de juin - Christophe Lasvigne a succédé à Olivier Klotz fin octobre - a plutôt favorisé le statu quo ces dernières semaines.\n\nA ce jour, aucune alternative n’est avancée. Si la SIG se démène sur le terrain, avec une qualification directe pour le top 16 de BCL, on ne peut pas en dire autant en coulisses, alors qu'elle fait partie des trois seuls clubs de l'élite ayant réduit son budget cette saison (avec Boulogne-Levallois et Limoges).

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Télex du 22/12/2023

Euroleague : Monaco rebondit, l'ASVEL coule\n\nCe vendredi soir, l'ASVEL a subi sa huitième défaite d'affilée en Euroleague face à l'Olympiakos à la LDLC Arena (73-85), un match dans lequel Moustapha Fall a battu son record de contres en carrière (8). A l'opposé, l'AS Monaco d'un grand Mike James (28 points) a remis la machine en route face au Bayern Munich d'un Sylvain Franscisco record (80-91).\n\nPortée par Mike James, Monaco rebondit face au Bayern !Quarante-huit heures après la défaite traumatisante face au Panathinaïkos, l’AS Monaco a réagi sur le parquet du Bayern Munich (80-91). Mike James (28 points) a de nouveau été magistral, notamment dans le dernier quart-temps.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nSanction légèrement réduite en appel pour Limoges\n\nC’est officiel : le Limoges CSP vient de récupérer une des trois victoires qui lui avaient été retirées pour présentation de comptes non fidèles et sincères. Un petit soulagement pour le club, même s'il est donc éliminé de la course à la Leaders Cup. La pénalité financière de 15 000 € infligée au CSP a également été ramenée à 10 000 €.\n\nLimoges récupère une victoire devant la Chambre d’appel de la FFBBC’est officiel : le Limoges CSP vient de récupérer une des trois victoires qui lui avaient été retirées pour présentation de comptes non fidèles et sincères.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nLe projet de rénovation du Rhénus de Strasbourg à nouveau retardé\n\nLancé en 2018 et porté par l'ancien président de Strasbourg Martial Bellon, le projet de rénovation du Rhénus qui aurait dû aboutir à un agrandissement de la salle (8 000 places, contre 6 200 actuellement) n'avance pas. La SIG devrait donc encore évoluer dans sa salle actuelle en l'état pour une durée indéterminée.\n\nStrasbourg : la rénovation du Rhénus au point mortLe projet de rénovation du Rhénus a du plomb dans l’aile. La SIG Strasbourg compte pourtant dessus pour rester compétitive.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nShabazz Napier (Etoile Rouge de Belgrade) va terminer la saison à Milan\n\nAprès des mois de polémique, Shabazz Napier a finalement quitté l’Etoile Rouge de Belgrade pour revenir à l’Olimpia Milan jusqu'à la fin de la saison. Un club où il a déjà évolué l'an passé, réalisant une deuxième partie de saison de très haut niveau pour sa découverte de l'Europe. L'Américain va une nouvelle fois tenter d'aider le club milanais à se relever après un début de saison délicat.\n\nEuroleague : Shabazz Napier de retour à MilanAprès des mois de polémique, Shabazz Napier a finalement quitté l’Etoile Rouge de Belgrade pour revenir à l’Olimpia Milan jusqu’à la fin de la saison.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nTouché par le Covid et la grippe, Gravelines ne se rendra pas à Roanne\n\nAlors qu'un duel primordial pour le maintien devait avoir lieu ce samedi entre Roanne et Gravelines-Dunkerque, des cas de Covid et de grippe détectés dans l'effectif du BCM ont poussé la LNB à repousser la rencontre à une date ultérieure. Sans doute déception pour les supporters de la Chorale, qui devaient remplir la Halle Vacheresse pour encourager leur équipe à l'approche de Noël.\n\nRoanne - Gravelines reporté pour des cas de Covid et grippeImportant duel pour le maintien en Betclic Elite, la rencontre entre la Chorale de Roanne et le BCM Gravelines-Dunkerque, initialement programmée ce samedi 23 décembre, a été reportée pour des cas de Covid et de grippe au sein de l’effectif maritime.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nEdon Maxhuni prolonge le plaisir jusqu'à la fin de la saison avec Le Portel\n\nAlors que sa pige se terminait au 31 décembre, le meneur international finlandais Edon Maxhuni et l'ESSM Le Portel ont fini par trouver un terrain d’entente pour une prolongation. Grand acteur du redressement spectaculaire de l'ESSM, le joueur de 25 ans va rester au club jusqu'à la fin de la saison.\n\nEdon Maxhuni va finir la saison avec Le PortelAlors que sa pige se terminait au 31 décembre, le meneur international finlandais Edon Maxhuni et l’ESSM Le Portel ont fini par trouver un terrain d’entente jusqu’à la fin de la saison 2023-2024.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nMilos Teodosic fait encore des miracles avec l'Etoile Rouge de Belgrade\n\nMilos Teodosic ne vieillit pas, il se bonifie avec le temps. À 36 ans, le magicien de l’Etoile Rouge de Belgrade a réalisé l’une de ses meilleures performances en carrière jeudi soir contre le Maccabi Tel-Aviv (victoire 92-98)... avec 27 points, 14 passes décisives et 40 d’évaluation !\n\nMilos Teodosic, la jeunesse éternelleA 36 ans, le magicien de l’Etoile Rouge de Belgrade, Milos Teodosic, a réalisé l’une de ses meilleures performances en carrière jeudi soir contre le Maccabi Tel-Aviv (victoire 92-98)... avec 27 points, 14 passes décisives et 40 d’évaluation !BasketEurope.comClément Carton

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Le Mans : la Leaders Cup en cadeau de Noël\n\nGrâce à sa victoire sur Dijon ce samedi (76-67), Le Mans est le dernier invité à la Leaders Cup. Voilà qui boucle une phase aller faite de hauts et de bas dans un championnat qui a été rarement aussi incertain. Le retour du MSB dans le top 8, c'est notre dossier du weekend.\n\nLe Mans: La Leaders Cup en cadeau de NoëlGrâce à sa victoire sur Dijon (76-67), Le Mans est le dernier invité à la Leaders Cup. Voilà qui conclue une phase aller faite de hauts et de bas dans un championnat qui a été rarement aussi incertain.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\nFrançais de NBA : bilan et perspectives à quelques mois de Paris 2024\n\nAprès deux mois de compétition, nous atteignons le tiers de la saison régulière de la NBA. L'occasion de faire un état des lieux des principaux Français évoluant dans la ligue américaine et de se projeter sur l'échéance olympique de Paris 2024. Avec une majorité de satisfactions mais aussi quelques interrogations.\n\nFrançais de NBA : bilan et perspectives à quelques mois de Paris 2024Après deux mois de compétition, nous atteignons le tiers de la saison régulière de la NBA. L’occasion de faire un état des lieux des principaux Français évoluant dans la ligue américaine et de se projeter sur l’échéance olympique de Paris 2024.BasketEurope.comValentin Perrot\n\n\nEntretien croisé - Eric Girard (Le Portel) et Julien Mahé (Saint-Quentin), créateurs d’exploits : “Les petits budgets ne veulent pas dire derniers de la classe”\n\nHabitués à faire des miracles avec leurs équipes respectives et à déjouer les pronostics malgré des moyens limités, Eric Girard (Le Portel) et Julien Mahé (Saint-Quentin) ont disputé leur place en Leaders Cup à l'occasion du derby, samedi à Pierre-Ratte. Nous les avions réuni en début de semaine pour une grande interview croisée.\n\nEntretien croisé - Eric Girard (Le Portel) et Julien Mahé (Saint-Quentin), créateurs d’exploits : “Les petits budgets ne veulent pas dire derniers de la classe”Dans la saison de tous les dangers en Betclic Elite, Le Portel et Saint-Quentin déjouent les pronostics. Avant le derby de samedi à Pierre-Ratte, qualification pour la Leaders Cup à la clé, nous avons réuni leurs coaches Eric Girard et Julien Mahé dans une interview croisée exclusive.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nITW Guillaume Costentin (Cholet) : “Je suis directeur sportif mais je ne recrute pas les joueurs”\n\nArrivé en cours de saison dernière à Cholet, Guillaume Costentin occupe un rôle stratégique au sein du club. Politique sportive, recrutement, logistique, structuration... Le directeur sportif de CB détaille les missions liées à son poste et revient sur son parcours jusqu'ici.\n\nITW Guillaume Costentin (Cholet) : “Je suis directeur sportif mais je ne recrute pas les joueurs”Politique sportive, recrutement, logistique, structuration... Guillaume Costentin détaille ses missions de directeur sportif à Cholet Basket et revient sur son parcours dans un entretien à Basket Europe.BasketEurope.comClément Carton\n\n\nRon Anderson, le joueur aux 664 matches NBA resté fidèle à la France\n\nAvec ses 10 saisons et 664 matches disputés en NBA, l'Américain Ron Anderson n'était pas forcément destiné à venir s'installer en France. Pourtant, à 65 ans, celui qui a joué en Régionale dans le Maine-et-Loire jusqu'à ses 52 ans habite toujours dans l'Hexagone, un pays auquel il reste fidèle depuis la fin de sa carrière professionnelle.\n\nRon Anderson, le joueur aux 664 matches NBA resté fidèle à la FranceEntretien avec Ron Anderson, l’homme aux 10 saisons de NBA, qui a joué en Régionale dans le Maine-et-Loire jusqu’à 52 ans et qui à la retraite, n’a pas l’intention de quitter la France.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\nNanterre en Leaders Cup, Benjamin Sene marche sur l’eau\n\nEn disposant de Gravelines samedi dernier (78-75), Nanterre a validé son retour en Leaders Cup pour la première fois depuis 2020 après avoir réalisé une bonne première moitié de saison. Un premier accomplissement que le club francilien doit en partie à l'excellente forme de Benjamin Sene, qui s'est plusieurs fois montré décisif.\n\nNanterre en Leaders Cup, Benjamin Sene marche sur l’eauC’est chose faite, en disposant de Gravelines, sur son parquet (78-75), Nanterre a signé la victoire qui lui permet de retrouver la Leaders Cup, dont le club banlieusard était absent depuis l’édition 2020 (en comptant deux éditions annulées pour cause d’épidémie de COVID).BasketEurope.comLiliane Trévisan\n\n\nLa renaissance limougeaude d'Alexandre Chassang : \Il était revanchard\\n\nEn échec à Bourg au cours des deux dernières saisons,Alexandre Chassang retrouve son meilleur niveau sous le maillot de Limogesdepuis le début de l'exercice 2023-2024. Des performances qui lui ont permis d'obtenir une sélection au All-Star Game et rappellent qu'il reste l'une des valeurs sûres du championnat à son poste.\n\nLa renaissance limougeaude d’Alexandre Chassang : “Il avait ce côté revanchard”En difficulté à Bourg la saison dernière, Alexandre Chassang est de retour à son meilleur niveau avec Limoges. En déplacement ce samedi à Dijon, où il s’est révélé au plus haut niveau entre 2018 et 2021, le All-Star se projette sur la suite de la saison avec détermination.BasketEurope.comValentin Perrot

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Euroleague : Shabazz Napier de retour à Milan

La saison dernière, Shabazz Napier a fait une entrée fracassante en Europe en ayant un très fort impact sur la remontée de l’Olimpia Milan en Euroleague. Avec 15,0 points, 3,9 passes décisives et 1,1 interception pour 16,4 d’évaluation en 12 rencontres, le combo-guard américain (1,85 m, 32 ans) avait contribué au redressement de l’équipe italienne, bien que celle-ci ait loupé les playoffs de peu.\n\nCes performances ont attiré de nombreuses écuries européennes cet été et le meneur a atterri à l’Etoile Rouge de Belgrade. Mais, souvent gêné physiquement, son apport n’a pas convaincu les Serbes de tout faire pour le retenir, lui qui tournait à 9,8 points, 2,3 passes décisives et 1,3 interception pour 7,8 d’évaluation moyenne sur 12 matches.\n\nAlors, Shabazz Napier a quitté Belgrade et s’est engagé jeudi soir avec... l’Olimpia Milan, malgré son désaccord passé avec le coach Ettore Messina. Ce dernier avait révélé que l’Américain avait des prétentions salariales trop élevées, ce à quoi le joueur a répondu sur Instagram : “Votre équipe n’a pas bien débuté, et moi non plus, mais arrêtez de m’utiliser comme raison, arrêtez de mentir à vos fans pour régler vos problèmes.”\n\nIl semblerait que ces deux là ont mis de côté leurs différends pour redresser ensemble l’Olimpia Milan. Quatorzième en Euroleague (6-9) avant de recevoir le Panathinaïkos ce vendredi soir, la formation italienne pointe également à la 6e place en Serie A. Alors que Nikola Mirotic est sur le flanc, Shabazz Napier sera-t-il le sauveur lombard ?\n\nEuroleague - Shabazz Napier et Ettore Messina : la polémiqueLe meneur de jeu américain Shabazz Napier (1,80 m, 32 ans) a été une fois encore décevant lors de la défaite de l’Etoile Rouge de Belgrade face à Barcelone. Veut-il retourner à Milan ? Il semble finalement que non. Le match face à Barcelone a été le plus faible de la saison de l’Américain ShaBasketEurope.comla rédaction

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Mous Fall (Olympiakos) : « L’ASVEL ne va pas bien, nous non plus »

L’ASVEL ne marche pas fort en ce mois de décembre. Dernière de la classe en Euroleague et sur une série en cours de sept revers, l’équipe de Gianmarco Pozzecco aurait bien besoin réchauffer les cœurs avant les fêtes et ainsi débloquer le compteur à domicile, alors que Villeurbanne n’a plus gagné à la maison depuis le 26 janvier dernier. La tâche s’annonce âpre car c’est un grand d’Europe, l’Olympiakos, qui se présente vendredi soir (19h45) pour la troisième à la LDLC Arena.\n\nA quelques secondes du titre européen en mai dernier, les Grecs ne sont pourtant pas dans une dynamique exceptionnelle, pointant à la 11e place (7-8) avant la 16e journée. « Nous avons le même problème depuis le début de l’année. On finit mal les matches. Nous avons eu des nouveaux joueurs. C’est sûr que Sloukas et Vezenkov étaient deux pièces importantes de l’équipe, mais nous étions bien au début avant d’avoir beaucoup de blessés. J’espère que tout le monde arrivera à se mettre en rythme pour compenser les absences », concède le pivot des Reds, Moustapha Fall, dans les colonnes du Progrès.\n\n« Je ne suis pas spécialement surpris parce que cela fait deux ou trois saisons que l’ASVEL n’est pas très performante en Euroleague »\n\nMais l’international français, qui a découvert l’Euroleague à Villeurbanne avant de briller depuis trois saisons avec l’équipe du Pirée, sait aussi que l’ASVEL est loin du compte. « Je ne suis pas spécialement surpris, parce que cela fait deux ou trois saisons qu’ils ne sont pas très performants en Euroleague. Ils tentent souvent des paris mais ils ne peuvent pas toujours être gagnants. Ce sera compliqué tant qu’ils ne seront pas en mesure de garder leurs joueurs. Mais l’ASVEL reste une équipe très athlétique et je m’attends à un match très difficile, même si Nando n’est pas là. Ils ne vont pas bien, mais nous non plus. Et, l’an dernier, nous étions au meilleur de notre forme et nous avions perdu à l’Astroballe », se remémore le champion de France 2021.\n\nUne piqûre de rappel qui pourrait servir aux hommes de Georgios Bartzokas, tandis que ceux de Gianmarco Pozzecco sont en plein doute.\n\nNando De Colo ne devrait pas rejouer avant 2024\nAsphyxiée mercredi à Milan, l’ASVEL a perdu Nando De Colo, touché au mollet (contracture) et absent jusqu’en 2024. Une nouvelle absence qui fait tâche et qui met encore davantage de plomb dans l’aile - ou la mène, sachant qu’un meneur est toujours recherché - de la formation villeurbannaise, qui recevra également le Real Madrid, champion d’Europe en titre, le 28 décembre. Sa participation au All-Star Game, le 30 décembre, est par la même occasion largement compromise.

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Limoges récupère une victoire devant la Chambre d'appel de la FFBB

Suspendu au verdict de la chambre d’appel de la fédération française de basket (FFBB) depuis le début de la semaine, le Limoges CSP a eu gain de cause... Enfin, seulement en partie. Car le club limougeaud n’a récupéré qu'une des trois victoires qui lui avaient été retirées mi-novembre par la Direction nationale du conseil et du contrôle de gestion (DNCCG), annonce le CSP par communiqué.\n\nPour rappel, Limoges avait reçu cette sanction, conformément à l’article 52-2-1-2 des règlements de la LNB, pour présentation de comptes non fidèles et sincères, le gendarme financier estimant qu’il y avait “une dégradation significative entre l’estimé des comptes et les comptes clôturés au 30 juin 2023”.\n\nNotons que les 15 000 euros d’amende ont été réduits à 10 000 euros et que le club de Céline Forte “attend désormais la notification de la décision ainsi que la motivation retenue pour envisager la saisine du CNOSF”, dans un délai de 15 jours.\n\n\nDe l’air pour le CSP, Nancy qualifié pour la Leaders Cup\n\nSur le plan comptable, Limoges sort ainsi de la zone rouge (6-8) et revient à la 14e place de Betclic Elite. Roanne (6-10, 15e) et Blois (5-12, 16e) se retrouvent quant à eux dans une position moins favorable, tandis que Gravelines (4-12) et Boulogne-Levallois (2-14) figurent toujours aux deux dernières places.\n\nAu passage, cette décision qualifie automatiquement... le SLUC Nancy à la Leaders Cup. En cas d’annulation de la sanction, le club lorrain aurait pu terminer derrière Limoges, et donc neuvième sur un concours de circonstances. Un scénario qui n’arrivera pas... A priori !

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Roanne - Gravelines reporté pour des cas de Covid et grippe

C’est une bien mauvaise farce avant Noël : le comité sanitaire de la Ligue Nationale de Basket (LNB) a décidé du report de la rencontre entre la Chorale Roanne Basket et le BCM Gravelines-Dunkerque. L'annonce intervient à peine 30 heures avant le duel, important en vue du maintien - Roanne étant 15e et Gravelines 17e après l’appel de Limoges - puisque l'entre-deux était prévu ce samedi à 16h30 à la Halle André-Vacheresse.\n\n« Cette décision de dernière minute qui s’impose au club est motivée par des cas de Covid-19 et de grippes dans les rangs nordistes », précise le club roannais par communiqué. Cela fera des déçus puisque 5 000 spectateurs étaient attendus dans l’enceinte roannaise.\n\ni️ Communiqué\n\nSuite à des cas de Covid et grippes survenus ces dernières heures au sein de l’effectif du BCM Gravelines-Dunkerque, le comité sanitaire de la LNB a décidé le report de la rencontre suivante en #BetclicELITE :\n\n➡️ J17 @ChoraleRoanne - @BCMBasket pic.twitter.com/lGHXRcHYzF\n\n— LNB (@LNBofficiel) December 22, 2023\n

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Un cadeau de dernière minute ?

\nTu t'y prends toujours au dernier moment pour tes cadeaux de Noël ?L'offre de Noël BasketEuropeest le cadeau idéal 🎄\n\nIdée de cadeau de dernière minute : un abonnement BasketEurope 1\nan - 30 % + poster de Nicolas Batum.\n\nOffre Promo -30%\n\n\nEn 2024, Basket Europe proposera comme chaque année en exclusivité tous les salaires des joueurs et des coaches de Betclic Elite et de Pro B. En plus d'une couverture de l'info française et européenne 7/7, nous aurons deux envoyés spéciaux pour vous faire vivre au plus près les Jeux Olympiques de Paris 2024.\n\nJ'EN PROFITE\n\nPassez de bonnes fêtes !

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Edon Maxhuni va finir la saison avec Le Portel

#UnisPourMaxhuni. C’est par ce hashtag plutôt bien senti que l’ESSM Le Portel a officialisé la nouvelle. Comme Eric Girard nous le confiait il y a quelques jours, Edon Maxhuni a bel et bien prolongé jusqu’à la fin de la saison avec Le Portel, après avoir fait patienter les dirigeants nordistes.\n\n« Son agent voulait que le joueur patiente pour lui donner le temps de regarder en Europe les possibilités, ce que je peux comprendre, même si je pense que ça a pu perturber le joueur, au moins sur le dernier match, a noté son entraîneur Eric Girard dans La Voix du Nord. Tous les avantages qu’il peut avoir ici, à savoir le temps de jeu, jouer dans une bonne équipe avec un groupe et un staff qui lui fait confiance, avec un salaire correct, ont pris le dessus sur le reste. »\n\n#UnisPourMaxhuni pic.twitter.com/pfpJLpr4mN\n\n— ESSM Le Portel (@ESSMbasket) December 22, 2023\n\n\nArrivé en tant que pigiste de Benoit Mangin, le meneur international finlandais a cartonné d’entrée de jeu avec 12,9 points par match, 4,2 passes décisives et 10 d’évaluation moyenne, et surtout une belle série de victoires - 7 en 10 rencontres - qui permet à l’ESSM de s’offrir une finale contre Saint-Quentin pour accéder à la Leaders Cup.\n\nIl est à souligner que sa prolongation, rendue officielle ce vendredi après-midi, a été possible par le fait que la DNCCG, gendarme financier de la LNB, a accepté la demande d’augmentation de la masse salariale du club stelliste.\n\nEntretien croisé - Eric Girard (Le Portel) et Julien Mahé (Saint-Quentin), créateurs d’exploits : “Les petits budgets ne veulent pas dire derniers de la classe”Dans la saison de tous les dangers en Betclic Elite, Le Portel et Saint-Quentin déjouent les pronostics. Avant le derby de samedi à Pierre-Ratte, qualification pour la Leaders Cup à la clé, nous avons réuni leurs coaches Eric Girard et Julien Mahé dans une interview croisée exclusive.BasketEurope.comClément Carton

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Course à la Leaders Cup 2024 : huit équipes encore en course ce samedi

Cela ne faisait plus l'ombre d'un doute, mais la confirmation était attendue : un an et demi après sa remontée en Betclic Elite, Nancy disputera bien la Leaders Cup en 2024. Avec sa très belle première partie de saison et son bilan de 9 victoires pour 7 défaites, il ne manquait au SLUC que la confirmation qu'il ne pourrait pas être rattrapé par une éventuelle suppression de la sanction de trois victoires infligée à Limoges à la mi-novembre.\n\n8 matchs avant Noël 🏀🎄\n\nRDV sur @skweektv et sur @lachainelequipe ce samedi !#BetclicELITE pic.twitter.com/yMvuLBdvB8\n\n— LNB (@LNBofficiel) December 21, 2023\n\n\nAvec un seul succès récupéré ce vendredi, le CSP est désormais hors de portée des Nancéiens mais aussi d'un potentiel top 8 à la mi-saison. Huit équipes (Strasbourg, Saint-Quentin, Le Portel, Dijon, Cholet, Chalon et Le Mans) restent donc en course pour décrocher ce samedi l'un des deux derniers tickets et rejoindre Monaco, Paris, l'ASVEL, Bourg et Nanterre à Saint-Chamond.\n\n\nUne \finale\ entre Saint-Quentin et Le Portel, de nombreuses incertitudes pour la dernière place qualificative\n\nParmi tous ces prétendants, trois ont la chance d'avoir leur destin entre leurs mains. Bonnes surprises de cette première partie de saison, Saint-Quentin et Le Portel s'affrontent dans un derby des Hauts-de-France dont le vainqueur sera automatiquement propulsé au tournoi de mi-saison de la LNB. Rappelons qu'en cas d'égalité, ce sont les équipes avec le meilleur point-average général qui seront récompensées.\n\nEntretien croisé - Eric Girard (Le Portel) et Julien Mahé (Saint-Quentin), créateurs d’exploits : “Les petits budgets ne veulent pas dire derniers de la classe”Dans la saison de tous les dangers en Betclic Elite, Le Portel et Saint-Quentin déjouent les pronostics. Avant le derby de samedi à Pierre-Ratte, qualification pour la Leaders Cup à la clé, nous avons réuni leurs coaches Eric Girard et Julien Mahé dans une interview croisée exclusive.BasketEurope.comClément Carton\n\nActuellement dans le top 8 avec un bilan équilibré (8 victoires-8 défaites), Strasbourg sera également assuré de participer à nouveau à la compétition s'il s'impose à Paris. Tout sauf une évidence au vu du niveau de l'équipe de Tuomas Iisalo cette saison, d'autant qu'une défaite de la SIG ouvrirait la porte aux équipes situées juste derrière au classement.\n\n\nDijon, poursuivant le mieux placé\n\nÀ l'affût en tête du groupe de poursuivants, la JDA Dijon pourrait profiter d'un revers strasbourgeois pour décrocher une qualification inespérée il y a encore quelques semaines. Avec un panier-average général bien plus élevé que ses concurrents (+61, seule équipe dans le positif avec Saint-Quentin parmi les clubs en course), elle arracherait sa place dans le top 8 en s'imposant au Mans. De son côté, le MSB pourrait lui aussi se qualifier en cas de victoire contre les Dijonnais et de défaite de Strasbourg, qui ne possède qu'un mince avantage sur les Sarthois au panier-average (-9 pour la SIG, -18 pour les Manceaux).\n\nLa tâche s'annonce encore plus compliquée pour Chalon et Cholet, même si le vainqueur de la rencontre opposant les deux équipes aura encore une chance de se qualifier pour la Leaders Cup. Il lui faudra alors s'imposer le plus largement possible, espérer les défaites de Strasbourg et Dijon tout en dépassant la SIG et Le Mans au panier average (actuellement à -36 pour CB et à -42 pour l'Elan). L'alignement des planètes est possible mais la probabilité de voir l'une des deux équipes dans le top 8 à la mi-saison reste faible.\n\n👀🔚 Le classement avant la dernière journée de la phase aller ce week-end !#BetclicELITE pic.twitter.com/qsMViQgIPm\n\n— LNB (@LNBofficiel) December 18, 2023\n\n\nLes scénarios possibles pour l'attribution des deux dernières places pour la Leaders Cup 2024 sont donc multiples et annoncent une journée passionnante en Betclic Elite. Après 17 épisodes pleins de surprises, qui décrochera finalement le droit de se rendre dans la Loire du 16 au 18 février et tenter de remporter le premier titre de la saison ? Réponse ce samedi en fin de soirée.\n\nEntretien croisé - Eric Girard (Le Portel) et Julien Mahé (Saint-Quentin), créateurs d’exploits : “Les petits budgets ne veulent pas dire derniers de la classe”Dans la saison de tous les dangers en Betclic Elite, Le Portel et Saint-Quentin déjouent les pronostics. Avant le derby de samedi à Pierre-Ratte, qualification pour la Leaders Cup à la clé, nous avons réuni leurs coaches Eric Girard et Julien Mahé dans une interview croisée exclusive.BasketEurope.comClément Carton

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Saint-Amand destitue Alexis Morris : \Personne ne pouvait plus la voir\

Le cas Alexis Morris restera sans doute comme l'un des mystères les plus énigmatiques de cette saison 2023-24 en LFB. Recrutée par Saint-Amand pendant la trêve internationale de novembre avec sa coéquipière LaDazhia Williams, la meneuse était très attendue dans une équipe de Saint-Amand en difficulté depuis le début de la saison.\n\nIl faut dire que l'Américaine de 24 ans s'apparentait à un gros coup pour le club nordiste, qui récupérait une joueuse majeure des LSU Tigers, champions NCAA en 2023. Un talent certain qu'elle n'a jamais véritablement exploité en France, faisant bien plus parler d'elle pour ses écarts de comportement que par ses performances sur les parquets. Au point de se mettre à dos le staff technique, comme l'a expliqué le coach Julien Pincemin à la Voix du Nord :\n\n\Franchement, je n’ai jamais vécu ça, elle pensait révolutionner le basket et se prenait pour une star mais il n’y a pas de star ici.[...] Elle n’était pas du tout prête physiquement, sur le premier entraînement, elle était essoufflée au bout de deux allers-retours, je me suis dit que ça allait être compliqué même si on a dépensé beaucoup d’énergie pour la mettre dans de bonnes conditions. On ne l’a pas retenue, personne ne pouvait plus la voir\\n\nPlus apparue en match officiel depuis le 9 décembre, Morris a donc été priée de trouver un nouveau point de chute. Elle quitte le club après avoir disputé seulement trois rencontres et laisse derrière elle son ex-coéquipière LaDazhia Williams, dont l'avenir reste également flou malgré de bonnes performances (12,5 points et 5,3 rebonds de moyenne).

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Les étrangers du Maccabi Tel-Aviv refusent une réduction de salaire

C’est une bien triste saison que vit le Maccabi Tel-Aviv, loin de ses supporters. Le conflit au Proche-Orient a une autre conséquence néfaste pour le club-nation, qui a élu domicile à Belgrade pour les matches d’Euroleague et doit réduire les dépenses... qu’il ne pouvait pas prévoir au préalable.\n\nLe président emblématique, Shimon Mizrahi, a ainsi proposé à ses joueurs de réduire de 15 % leur salaire, avec une restitution de l’argent manquant dès lors que la situation se stabilisera. Un procédé qui amène son lot d’incertitudes.\n\nSans garanties, alors que l’équipe israélienne doit rentrer pour la première fois à Tel-Aviv depuis le 5 octobre, les joueurs américains ont ainsi réfuté catégoriquement cette suggestion au point de déclarer forfait pour les rencontres de ligue israélienne. Cette décision a été prise à l’issue de la défaite contre l’Etoile Rouge de Belgrade ce jeudi soir.\n\nLes sept joueurs étrangers, dont Wade Baldwin - blessé aux ischios-jambiers qu'on ne reverra pas avant fin février en Euroleague -, Lorenzo Brown, Josh Nebo et Bonzie Colson sont donc restés à Belgrade. Ils ne disputeront pas leurs deux prochains matches de championnat israélien ce week-end et retrouveront l’Euroleague à Kaunas la semaine prochaine.

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L’ASVEL à la peine face à l’Olympiakos

“Je ne sais pas quoi dire. En attaque, c’est pas terrible. En défense, c’est encore pire”. Voilà le constat dressé par l’intérieur villeurbannais Joffrey Lauvergne au micro de Skweek à la mi-temps (37-49). Et pour cause, l’ASVEL n’a pas montré grand-chose aux 8 488 spectateurs de la LDLC Arena, si ce n’est qu’il y avait un classe d’écart avec l’Olympiakos, pourtant en difficulté ces dernières semaines. Mais le géant grec n’est quand même pas vice-champion d’Europe pour rien.\n\nEn somme, ce huitième revers d’affilée en Euroleague ne reflète que les carences habituelles des hommes de Gianmarco Pozzecco. La plus mauvaise défense de la compétition a encore encaissé 85 points, subissant de nouveau l’adresse de ses adversaires (11/26 à 3-points et surtout 67 % à 2-points). Dur de rivaliser quand le collectif de ASVEL peinait à dépasser les 20 % derrière l’arc (4/19)...\n\nTIMOTHÉ LUWAWU-CABARROT 🔥\n\nInsigne : spécialiste du coin. 🏹@LDLCASVEL x @EuroLeague#SKWEEKLive #EveryGameMatters pic.twitter.com/EeDBDGYTYG\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 22, 2023\n\n\n\nMoustapha Fall en mode tour de contrôle\n\nSoulignons la domination de l’ancien Villeurbannais Moustapha Fall (2 points, 7 rebonds, 7 passes et... 8 contres, record en carrière) et d'Alex Peters (17 points) dans la raquette. Notons aussi les coups de chauds d'Isaiah Canaan (19 points à 4/7 à 3-points), Nigel Williams-Goss (11 points, 5 rebonds, 7 passes) ou Shaquielle McKissic (13 points), qui ont tous connu leur moment de grâce. L’équipe de Georgios Bartzokas rééquilibre son bilan (8-8) et revient tout proche du top 10.\n\nEn l’absence de Nando De Colo, Paris Lee (16 points à 4/13 aux tirs, 7 passes), Timothé Luwawu-Cabarrot (16 points à 6/12 aux tirs), ou Mike Scott (12 points) ont chacun tenté de prendre le jeu à leur compte pour les Villeurbannais. En vain, vous l’aurez compris, même si l’écart, de 18 points en milieu de troisième acte (41-59, 24e) a été réduit dans les ultimes minutes.\n\nFanny à domicile depuis le 26 janvier dernier, l’ASVEL s’enlise au classement de l’Euroleague (2-14). Et dire que la dernière équipe de la phase aller à se présenter face aux Villeurbannais est le Real Madrid, leader incontesté de l’Euroleague...\n\nBoxscore ASVEL - Olympiakos / Classement Euroleague

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Portée par Mike James, Monaco rebondit face au Bayern !

Touchée par la défaite au buzzer contre le Panathinaïkos après avoir eu le match en mains, la Roca Team a réagi. Ce vendredi soir au BMW Park, l’AS Monaco a maîtrisé son sujet malgré la tentative de retour du Bayern Munich de Sylvain Francisco, auteur de son record de points en Euroleague (21 points à 5/9 à 3-points, 4 passes décisives et 7 fautes provoquées pour 26 d’évaluation en 23 minutes).\n\nAuteur de 28 points à 9/14 aux tirs et 8/10 aux lancers et 3 passes décisives pour 29 d’évaluation en 31 minutes, Mike James a de nouveau porté ses partenaires dans les moments importants, avec plusieurs shoots de grande classe dans le moneytime. Il a aussi donné des ailes à Elie Okobo (19 points à 8/8 aux lancers, 5 passes), qui avait à cœur de se racheter de la bourde qui a coûté la victoire aux siens quarante-huit heures plus tôt.\n\nQUI POUR STOPPER MIKE JAMES ? 🥶@ASMonaco_Basket x @EuroLeague#SKWEEKLive #EveryGameMatters pic.twitter.com/ZWq4tIDS7q\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 22, 2023\n\n\n\nUne première mi-temps parfaite\n\nDominatrice d’entrée de jeu malgré sa maladresse extérieure (1/9 à 3-points à la pause, 5/17 au final), l’équipe de Sasa Obradovic a cadenassé les Bavarois - aucun lancer franc tenté après 20 minutes - en première mi-temps (31-46).\n\nAprès avoir compté 20 points d’avance de le troisième acte (36-56, 24e), la Roca Team a vu son avance fondre (60-65, 30e) devant l’adresse des coéquipiers de Carsen Edwards (16 points) et Nick Weiler-Babb (9 points à 3/5 derrière l’arc). Mais son talent offensif et sa discipline (8 pertes de balles) ont finalement repris le dessus.\n\nL’AS Monaco (9-7) remonte ainsi à la 4e place ex-aequo avec le Panathinaïkos, le Partizan Belgrade, Fenerbahçe, Valence, Baskonia et le Maccabi Tel-Aviv. Ce que l’on appelle un peloton bien chargé !\n\nBoxscore Bayern Munich - Monaco / Classement Euroleague\n\nL’ASVEL à la peine face à l’OlympiakosCe vendredi 22 décembre, l’ASVEL a concédé sa huitième défaite d’affilée en Euroleague en s’inclinant très nettement face à l’Olympiakos de Moustapha Fall à la LDLC Arena (73-85).BasketEurope.comClément Carton

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Ike Nwamu et Nancy se séparent

Une année 2023 et puis s’en va. Arrivé le 6 janvier dernier, Ike Nwamu repart quasiment un an plus tard, à cheval sur une saison bien moins réussie que la fin du premier exercice. Ce vendredi soir, le SLUC Nancy a annoncé leur séparation, qui semblait inéluctable depuis l’arrivée de Caleb Walker.\n\nEt pour cause, l’arrière américano-nigérian n’était utilisé que 11 minutes par match cette saison, pour un apport de 3,5 points et 1,3 passe. Des statistiques quasiment réduites de moitié par rapport à la deuxième partie de saison dernière. Ce départ sera-t-il suivi de celui de Jordan Bowden ? Réponse dans les prochaines semaines.\n\nLe @SLUCbasketNancy et Ike Nwamu ont convenu de mettre un terme d’un commun accord à leur relation contractuelle.\n\nLe Club tient à remercier Ike pour son professionnalisme et sa gentillesse et lui souhaite la meilleure des continuations dans la suite de sa carrière.#GoSLUC pic.twitter.com/WtvW7Lg3Lz\n\n— SLUC Nancy Basket (@SLUCbasketNancy) December 22, 2023\n

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Pro B : La Rochelle s’échappe, Fos et Angers s’enfoncent

Julien Cortey a beau répéter que l’objectif du Stade Rochelais est le maintien, son équipe marche sur la Pro B depuis 13 journées. Ce vendredi soir, à l’extérieur, elle a surclassé Evreux et son entraîneur Neno Asceric - qui a quitté le terrain en signe de protestation contre l’arbitrage en fin de partie - en s’appuyant sur son shooteur suédois Johan Lofberg, 29 points à 10/12 aux tirs dont... 5/5 à 3-points, trois jours après son carton à 33 d’évaluation à Poitiers.\n\n#ProB L’image de la soirée. Neno Asceric exclu après une prestation arbitrale de piètre qualité de messieurs Gaduel, Pierre, Lemaire. On ne le répétera jamais assez, les acteurs sont les joueurs et non les postiers ! pic.twitter.com/pOXz6erJrL\n\n— Alexandre Sanson (@aem_sanson) December 22, 2023\n\n\nLa Rochelle compte ainsi deux succès d’avance sur son dauphin, Vichy, battu à Rouen (84-77), et sur Boulazac, qui recevra un Elan Béarnais diminué - sans Travis Munnings, en congé paternité, et peut-être Kendall Anthony, coup à la main gauche - ce samedi soir.\n\n\nFos-sur-Mer et Angers sont relégables\n\nDe l’autre côté du spectre, Fos-sur-Mer est dans la tourmente. Alors que Rémi Giuitta ne “s’attend à rien avec cet effectif-là”, son équipe s’est de nouveau inclinée à Nantes (82-70) et est lanterne rouge du championnat, avec 3 victoires et 10 défaites. Un bilan partagé avec Angers qui, sans Kevin Marfo, parti au Danemark, sans Tommy Ghezala, blessé, et sans Maodo Nguirane, pas encore opérationnel, est lourdement tombée face à Orléans (92-105), porté par un Zena Edosomwan en double double (21 points, 11 rebonds).\n\nSoulignons les victoires à domicile d’Antibes sur Poitiers (83-69), avec un grand Matthieu Boyer (22 points à 9/12 aux tirs et 14 rebonds pour 33 d’évaluation), et du Champagne Basket (75-52). Deux gros poissons qui se donnent un peu d’air.\n\nRésultats Pro B / Classement Pro B\n\nITW Aymeric Jeanneau (manager général): «Le Stade Rochelais avait envie d’écrire une page avec le basket»L’ancien international Aymeric Jeanneau, 45 ans, est le manager général du Stade Rochelais, actuellement leader de Pro B.BasketEurope.comPascal Legendre

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Gianmarco Pozzecco (ASVEL) : « Mes joueurs ont besoin d'aide »

14. C’est le nombre de défaites consécutives à domicile en Euroleague de l’ASVEL, qui n’a plus gagné devant ses supporters depuis... le 26 janvier dernier. C’est aussi le nombre de revers de l’équipe villeurbannaise après seulement 16 journées européennes. Malgré le changement d’entraîneur, T.J. Parker ayant été remplacé par Gianmarco Pozzecco à la mi-octobre, Villeurbanne est à la peine, à l’image de la domination de l’Olympiakos à la LDLC Arena ce vendredi soir (73-85).\n\n« L'Olympiakos méritait de gagner. Je suis fier de mes joueurs, ils n'ont jamais abandonné. Je me sens mal pour eux car ils ont besoin d'aide, c'est clair. Même si on ne lâche pas, même si on se rapproche, au point de commencer à pouvoir croire à la victoire, il manque quelque chose. Charles (Kahudi) a fait un super match, il nous a apporté de l'énergie à un moment important, a emmené tout le monde, ce qui était un signal. Mais nous avons oublié de donner la balle à l'intérieur, à Youssoupha (Fall). On a raté beaucoup de shoots ouverts », a concédé le coach italien en conférence de presse.\n\n« Pour pouvoir continuer à nous battre, on a besoin d'ajouter quelque chose »\n\nEn suspens depuis plusieurs semaines, la question d’un éventuel renfort à la mène est plus que jamais d’actualité, sachant que Nando De Colo (mollet) est sur le flanc... et que Gianmarco Pozzecco ne s’appuie que sur ses joueurs majeurs, Boris Dallo, Noam Yaacov et Mbaye Ndiaye étant notamment cantonnés tout au plus à des poignées de secondes en Euroleague.\n\n« On regarde le marché, ce n’est pas facile. Je ne me plains pas des joueurs, il faut que ce soit clair. Mais on a des problèmes, on doit couvrir certains postes, comme toutes les autres équipes en Euroleague. On verra ce qui est possible et on avisera. Je ne veux pas qu'on lâche. On mérite d'y arriver, de gagner, pour lancer la machine, et pour cela, pour pouvoir continuer à nous battre, on a besoin d'ajouter quelque chose », a ajouté Gianmarco Pozzecco.\n\n\nMoustapha Fall s’occupe de tout\n\nDe l’autre côté, cette victoire permet à l’Olympiakos de rééquilibrer son bilan (8-8). L’ancien Villeurbannais Moustapha Fall, auteur de 2 points, 7 rebonds, 7 passes et surtout 8 contres - un record pour un joueur de l'Olympiakos ! - a dominé les débats.\n\n« Je prends ce que je peux prendre. Je veux gagner et je ne force jamais rien. Marquer 0 ou 20 points m'importe peu. Je veux gagner. Tant qu'on gagne, je dors bien. J'essaie de faire ce que l'équipe me demande de faire. Ce soir, j'ai trouvé mes coéquipiers, des espaces. J'ai fait mon travail. Je n'ai pas beaucoup tiré car le match donnait beaucoup de tirs ouverts à nos extérieurs, et qu'ils étaient en rythme. C'est ça qui est bien avec cette équipe. Personne ne force. Que tu prennes 2 ou 15 tirs, peu importe. C'est ce qui a fait notre succès ces deux dernières années et c'est la philosophie avec laquelle on doit renouer si on veut retrouver le Final Four », a-t-il ajouté au micro de L’Equipe.\n\nMais la réaction à retenir est celle de son entraîneur, Georgios Bartzokas, en conférence de presse, qui ne tarit pas d’éloges sur l’international français.\n\n« Depuis que Moustapha (Fall) est arrivé, il y a deux ans, il est l'une des raisons principales pour lesquelles nous avons remporté les deux derniers championnats et fait deux Final Four, dont une finale. Sa contribution est énorme, de par la manière dont il pense le basket. Il n'est pas égoïste, veut aider ses coéquipiers, jouer pour gagner. Avoir un big man capable de réaliser 8 contres, faire 7 passes (il a atteint 11 en ligue grecque), tout en restant humble ? C'est aussi crucial que rare. Il n'y a pas que lui bien sûr, mais il a fait un match extraordinaire ce soir. »

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Agnes Studer et Ziomara Morrison signent à Charleville-Mézières

C’est une trêve hivernale mouvementée du côté de Charleville-Mézières. Recrutées à la reprise pour pallier aux blessures de Sara Chevaugeon et d’Aby Gaye, Kristina Topuzovic et Adut Bulgak repartent le devoir accompli (8,4 points, 3,1 rebonds et 12,3 d'évaluation pour la Serbe en Eurocup et 7,9 points, 4,7 rebonds pour 8,4 d’évaluation pour la Sud-Soudanaise en LFB). Les deux internationales françaises feront leur retour à la compétition dans les prochaines semaines.\n\nEn revanche, les Flammes Carolo devront continuer de faire sans leur meneuse Coline Franchelin, touchée aux ligaments croisés. Raison pour laquelle Romuald Yernaux a mis la main sur une cadre de la sélection hongroise, Agnès Studer (1,68 m, 26 ans), pour le reste de la saison. Elle arrive en provenance du club turc de Mersin. Elle tournait à 9,9 points, 4,7 passes et 2,3 rebonds sur la campagne d'Euroleague 2022-2023 avec Szekszard. Une aubaine, donc, alors que le club n’a plus que la Ligue Féminine et la Coupe de France à jouer après l’élimination en Eurocup.\n\n“Je crois que l'on retombe très bien sur nos pattes car Agnès est à la fois une très bonne joueuse mais aussi une très bonne personne. Elle dispose d'une éthique de travail qui me convient parfaitement. C'est vraiment la meneuse qu'il nous fallait. Elle a le niveau Euroleague. C'est un coup de chance que l'on ait pu finaliser un accord avec cette joueuse. Cela me conforte dans la hiérarchie et l'équilibre que l'on va pouvoir retrouver à la mène”, a commenté le coach et directeur général Romuald Yernaux.\n\nEnfin, Charleville-Mézières avait réservé à ses fans une dernière retouche hivernale. Le club a annoncé ce samedi l’arrivée de Ziomara Morrison (1,95 m, 34 ans). La pivot chilienne débarque en provenance de l’Olympiakos avec lequel elle disputait l’Eurocup. Surtout, elle émargeait à 14,5 points, 10,1 rebonds et 18,2 d'évaluation sur la campagne d’Euroleague 2022-2023 avec les Kangoeroes Mechelen. L’ancienne de Roche Vendée et de Nantes revient en France pour se relancer.\n\n✍️ Ziomara Morrison est une Flamme 🔥\n\n▪ Poste 5 - 1m95\n▪ Chilienne 🇨🇱\n▪ 34 ans\n\n📊 14,5 points, 10,1 rebonds et 18,2 d'éval en @EuroLeagueWomen avec Kangoeroes Mechelen lors de la saison 2022-2023.\n\nToutes les infos 👉 https://t.co/Qbc7vcbeej pic.twitter.com/kGloJiBVku\n\n— Flammes Carolo (@FlammesCarolo) December 23, 2023\n

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Eurocup féminine : le programme des 8e de finale

Après les éliminations de Charleville-Mézières et Angers, trois équipes françaises sont encore en lice au sein du top 16 de l’Eurocup féminine. Les huitièmes de finale auront lieu les 10-11 et 17-18 janvier sous format aller-retour.\n\nVainqueur d’Antalya dans les grandes largeurs (198 à 120 sur les deux matches), Bourges affrontera un autre club turc, Besiktas, qui a éliminé le Zabiny Brno de l’internationale tricolore Lou Lopez Sénéchal au tour précédent.\n\nLattes-Montpellier fera face aux Italiennes du Dinamo Sassari, tombeuses des Belges de Namur en seizièmes de finale. Moins gâtées, les joueuses de Roche Vendée devront batailler fort face aux Lettones du TTT Riga.\n\nOutre Bourges, plusieurs favoris se détachent. Le finaliste sortant, Galatasaray, le finaliste des éditions 2021 et 2022, Venise, mais aussi Gérone, Londres et Riga, sont tous invaincus jusqu’à présent. Rappelons que l’Eurocup réussit plutôt bien aux clubs français puisque l’ASVEL et Bourges sont les deux dernières équipes à avoir soulevé le trophée.\n\nLe programme des 8e de finale :\nBourges (FRA) - Besiktas (TUR)\nLondon Lions (GBR) - Gernika (ESP)\nReyer Venezia (ITA) - Arka Gdynia (POL)\nGalatasaray (TUR) - Gorzow (POL)\nSpar Girona (ESP) - Cadi La Seu (ESP)\nTTT Riga (LAT) - Roche Vendée (FRA)\nNKA Pecs (HUN) - Kayseri (TUR)\nLattes-Montpellier (FRA) - Dinamo Sassari (ITA)

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Panathinaïkos : pas de fracture pour Mathias Lessort

Plus de peur que de mal pour Mathias Lessort. Retombé lourdement sur le dos après un contact aérien avec Nicolo Melli à trois minutes de la fin du match, l’international français avait quitté ses partenaires soutenu par deux membres du staff médical du Panathinaïkos, ce qui laissait présager d’une absence longue durée.\n\nTerrible injury of Mathias Lessort. 😯 #paobc pic.twitter.com/ADmGBB7kQE\n\n— Basketball Sphere (EN) (@BSphere_) December 22, 2023\n\n\nHeureusement pour lui, les examens médicaux effectués après le match ont révélé que l’international français ne souffre pas d’une quelconque fracture au dos. Par précaution, Mathias Lessort devrait manquer le match de championnat grec contre le Promitheas Patras mais il pourrait être disponible face à l'Étoile Rouge de Belgrade, son ancien club, jeudi prochain.\n\nAvant sa sortie, le pivot martiniquais avait encore une fois pesé dans les rangs du Panathinaïkos avec 16 points à 7/11 aux tirs, 6 rebonds et 17 d’évaluation, comme deux jours plus tôt à Monaco. Grâce à ce succès (69-76), les Verts figurent à la 4e place ex-aequo après 16 journées d’Euroleague.

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Télex du 23/12/2023

Saint-Quentin et Le Mans valident leur ticket pour la Leaders Cup\n\nCela mérite un petit astérisque afin d'officialiser définitivement le plateau de la Leaders Cup mais, sauf nouveau retournement de situation lié aucas Limoges CSP, on connaît donc enfin les huit équipes qualifiées pour l'événement de mi-saison, qui aura lieu du 16 au 18 février à Saint-Chamond. Dans l’ordre, on retrouve Monaco, Paris, Villeurbanne, Bourg-en-Bresse, Nanterre, Nancy,Saint-Quentin et... Le Mans. Le SQBB a validé son ticket en empochant le derby contre Le Portel tandis que le MSB a pris le dessus sur la JDA Dijon, ce qui lui permet de doubler Strasbourg, Cholet et Le Portel au point average.\n\nLe Mans arrache le dernier billet pour la Leaders CupEn l’emportant sur la JDA Dijon ce samedi à Antarès (76-67), le MSB grimpe à la 8e place de Betclic Elite et se qualifie - en principe - pour la Leaders Cup. Sauf revirement de situation à la suite de l’appel du Limoges CSP...BasketEurope.comClément Carton\n\n\nGianmarco Pozzecco (ASVEL) : « Mes joueurs ont besoin d'aide »\n\nVendredi soir, l’ASVEL a concédé sa huitième défaite d’affilée en Euroleague en s’inclinant face à l’Olympiakos d’un grand Moustapha Fall (73-85). Un revers amer pour le coach villeurbannais Gianmarco Pozzecco, qui espère un renfort... mais le dossier est complexe.\n\nGianmarco Pozzecco (ASVEL) : « Mes joueurs ont besoin d’aide »Vendredi soir, l’ASVEL a concédé sa huitième défaite d’affilée en Euroleague en s’inclinant face à l’Olympiakos d’un grand Moustapha Fall (73-85). Un revers amer pour le coach villeurbannais Gianmarco Pozzecco, qui espère un renfort.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nPanathinaïkos : pas de fracture pour Mathias Lessort\n\nLes examens effectués après la victoire du Panathinaïkos contre l’Olimpia Milan (69-76) n’ont pas révélé de fracture pour Mathias Lessort. L'international français était retombé sur le dos puis sorti sur blessure en fin de match après un contact aérien spectaculaire avec Nicolo Melli.\n\nPanathinaïkos : pas de fracture pour Mathias LessortLes examens effectués après la victoire du Panathinaïkos contre l’Olimpia Milan (69-76) n’ont pas révélé de fracture pour Mathias Lessort.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLes étrangers du Maccabi Tel-Aviv refusent une réduction de salaire\n\nProposée par le président du Maccabi Tel-Aviv, Shimon Mizrahi, en raison des dépenses liées aux délocalisations à Belgrade en Euroleague, la réduction de 15 % de salaire a été refusée par ses joueurs américains. Ceux-ci boycottent le weekend de compétition en ligue israélienne.\n\nLes étrangers du Maccabi Tel-Aviv refusent une réduction de salaireProposée par le président du Maccabi Tel-Aviv, Shimon Mizrahi, en raison des dépenses liées aux délocalisations à Belgrade en Euroleague, la réduction de salaire a été refusée par ses joueurs américains.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nNancy et Ike Nwamu, c'est terminé\n\nD’un commun accord, le SLUC Nancy et Ike Nwamu ont rompu leur contrat. L’arrière américano-nigérian n’était utilisé que 11 minutes par match cette saison, pour un apport famélique de 3,5 points et 1,3 passe.\n\nIke Nwamu et Nancy se séparentD’un commun accord, le SLUC Nancy et Ike Nwamu ont rompu leur contrat.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLFB : Chamboule-tout à Charleville-Mézières, Villeneuve d'Ascq met la main sur une championne d'Europe\n\nLes Flammes Carolo sont actives sur le marché des transferts. Les pigistes Kristina Topuzovic et Adut Bulgak sont reparties tandis que la meneuse hongroise Agnes Studer et l’intérieure chilienne Ziomara Morrison arrivent, en plus des retours d'Aby Gaye et Sara Chevaugeon. A Villeneuve d'Ascq, c'est la championne d'Europe belge Bethy Mununga qui débarque comme pigiste de Maïa Hirsch.\n\nLa championne d’Europe belge Bethy Mununga renforce Villeneuve D’AscqPour pallier à l’absence de Maïa Hirsch, blessée à la cheville, Villeneuve d’Ascq fait appel à l’internationale belge Bethy Mununga.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nPro B : La Rochelle s’échappe, Fos et Angers s’enfoncent\n\nLa 13e journée de Pro B a permis de constater que La Rochelle, vainqueur à Evreux, s’échappait en tête du classement, quand Angers et Fos-sur-Mer, battus par Orléans et Nantes, sont dans la zone rouge. Antibes et Champagne Basket se sont relancés.\n\nPro B : La Rochelle s’échappe, Fos et Angers s’enfoncentLa 13e journée de Pro B a permis de constater que La Rochelle, vainqueur à Evreux, s’échappait au classement, quand Angers et Fos-sur-Mer, battus par Orléans et Nantes, sont dans la zone rouge.BasketEurope.comLa rédaction

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La championne d’Europe belge Bethy Mununga renforce Villeneuve D’Ascq

Rachid Meziane fait fonctionner ses connexions avec la sélection belge. Après Maxuella Lisowa, le coach de Villeneuve d’Ascq fait appel à Bethy Mununga (1,83 m, 26 ans) comme joker médical de Maïa Hirsch, blessée à la cheville.\n\nFormée aux Etats-Unis, l’ailière polyvalente jouait pour le club roumain de Sepsi-SIC depuis deux saisons en Euroleague (7,3 points, 11,8 rebonds pour 12,3 d’évaluation sur le début d'exercice, qualifications comprises). Surtout, elle avait un rôle important (1,6 point et 5,6 rebonds en 15 minutes) dans la rotation de l’équipe belge qui a remporté le titre de champion d’Europe en Slovénie au mois de juin dernier.\n\nAprès 11 journées, l’ESBVA (9-2) est deuxième au classement de la Ligue Féminine. Aussi, Villeneuve d’Ascq est bien installée dans le top 4 de son groupe en Euroleague féminine après sa victoire à Mersin.\n\nKB DANS L'ÉQUIPE ELW DU MOIS ! 🔥\n\nVotez pour Kennedy MVP DU MOIS ! 🫵⤵️https://t.co/C5O1jqbT2H 🗳️\n\nEt votez pour Kennedy JOUEUESE DE LA SEMAINE 10 ! 🫵⤵️https://t.co/t4D21M6UkQ 🗳️#AllezLesGuerrières 🔴⚪️ #EuroLeagueWomen pic.twitter.com/dDkPvdlLr2\n\n— ESBVA-LM (@ESBVALM) December 22, 2023\n

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Saint-Quentin surclasse Le Portel et valide sa place à la Leaders Cup

C’est assurément la sensation de cette phase aller. Saint-Quentin, qui a retrouvé à la rentrée l’élite du basket français trente ans après l’avoir quittée, va disputer la Leaders Cup au mois de février prochain à Saint-Chamond. Le SQBB a validé sa place dans le top 8 de Betclic Elite grâce à une nouvelle victoire, la neuvième de la saison en dix-sept rencontres, dans un derby enflammé contre son quasi-jumeau, Le Portel. Et avec la manière !\n\nL’équipe de Julien Mahé a régalé Pierre-Ratte ce samedi après-midi. La meilleure défense du championnat de France est restée fidèle à ses fondamentaux en empêchant l’ESSM de déployer son jeu, à l’image d’un premier quart-temps à sens unique où les hommes d’Eric Girard ont perdu 9 ballons (22-9). Le tout en développant un jeu offensif léché et collectif - les 10 joueurs se partageant équitablement le temps de jeu - avec une très belle adresse extérieure (12/20 à 3-points après 30 minutes).\n\nLE GROS BUZZER DE TYGER CAMPBELL ! 🚨@SQBB_Officiel x @LNBofficiel#SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/o30ciNVk9D\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 23, 2023\n\n\nAprès avoir compté jusqu’à 22 points d’avance dans le deuxième acte (42-20, 18e), les coéquipiers de Tyger Campbell (18 points à 4/5 à 3-points), Mathis Dossou-Yovo (7 points, 10 rebonds en 13 minutes) et Melvin Ajinca (17 points à 6/8 aux tirs) ont résisté à la tentative de retour des Stellistes au retour des vestiaires (51-39, 23e), s’assurant une fin de match tranquille en reprenant 20 longueurs d’avance en fin de troisième (73-52). Un problème d’affichage a ralenti le rythme du quatrième acte mais Le Portel n’a pas trouvé davantage de réussite (45 % à 2-points, 29 % à 3-points) pour revenir dans le match.\n\n\nBenoît Gillet a son maillot retiré\n\nC’est une soirée parfaite pour le SQBB, qui avait également honoré son capitaine emblématique, Benoît Gillet, passé par le club entre 2017 et 2023, en avant-match. Arrivé en Picardie à l’époque de la Nationale 1, l’Auxerrois avait emmené le club jusqu’à la Betclic Elite, faisant l’unanimité au sein du club. Son passage est désormais marqué au fer rouge et son maillot numéro 7 accroché au mur du Palais des Sports Pierre-Ratte.\n\nLe maillot retiré de Benoit Gillet ! 💫\n\n🗣️ \Vous êtes le meilleur public de France !\#SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/kGUPSrNuKu\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 23, 2023\n\n\nEn revanche, avec un bilan négatif (8-9) à l’issue de la phase aller, Le Portel est exclu du top 8 et n’ira donc pas à Saint-Chamond (16-18 février). Une qualification qui aurait tout de même relevé du miracle après ses cinq défaites inaugurales. A noter que la JL Bourg a dominé le SLUC Nancy (59-85), qui termine ainsi la phase aller avec le même bilan que Saint-Quentin (9-8).\n\nBoxscore Saint-Quentin - Le Portel / Classement Betclic Elite\n\nEntretien croisé - Eric Girard (Le Portel) et Julien Mahé (Saint-Quentin), créateurs d’exploits : “Les petits budgets ne veulent pas dire derniers de la classe”Dans la saison de tous les dangers en Betclic Elite, Le Portel et Saint-Quentin déjouent les pronostics. Avant le derby de samedi à Pierre-Ratte, qualification pour la Leaders Cup à la clé, nous avons réuni leurs coaches Eric Girard et Julien Mahé dans une interview croisée exclusive.BasketEurope.comClément Carton

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Le Mans arrache le dernier billet pour la Leaders Cup

Cela mérite un petit astérisque afin d'officialiser définitivement le plateau de la Leaders Cup mais, sauf nouveau retournement de situation lié au cas Limoges CSP, on connaît donc enfin les huit équipes qualifiées. Dans l’ordre, on retrouve Monaco, Paris, Villeurbanne, Bourg-en-Bresse, Nanterre, Nancy, Saint-Quentin et... Le Mans.\n\nQuasiment sans discontinuer dans la deuxième partie du classement de Betclic Elite sur la phase aller, l’équipe d’Elric Delord a chipé le huitième et dernier billet qualificatif pour le tournoi de mi-saison grâce à son succès sur la JDA Dijon (76-67) combiné à la défaite de Strasbourg à Paris (78-67). Et ce indépendamment de la victoire de Cholet à Châlon-sur-Saône, alors qu’Antoine Eito a manqué le tir de la gagne au buzzer (79-81).\n\nLE SHOOT DE L'ANNÉEEEEEEE ? 😱😱😱@MSB_Officiel x @LNBofficiel#SKWEEKLive #BetclicELITE pic.twitter.com/CNfKYiDhs9\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 23, 2023\n\n\n\nQuatre équipes départagées au point average\n\nAinsi, le MSB repasse in extremis à la 8e place grâce à son point-average favorable (-9) vis-à-vis de Strasbourg (-20), Cholet (-34) et Le Portel (-107), qui affichent tous un bilan de 8 victoires et 9 défaites après 17 journées. Ce qui lui assure - en théorie, donc - le dernier billet pour la Leaders Cup, qui aura lieu à Saint-Chamond du 16 au 18 février prochain.\n\nPour l'emporter samedi soir, Le Mans a pu compter sur un excellent Devante Jones, préservé mardi en BCL et auteur d’un double-double (14 points, 10 passes décisives), mais aussi d’un Williams Narace plutôt inspiré (14 points, 5 rebonds). Le MSB a été devant durant l’essentiel de la partie mais a dû patienter jusqu’au moneytime (64-63, 37e) pour faire la différence, en multipliant les stops défensifs dans les trois dernières minutes.\n\nRésultats 17e journée / Classement Betclic Elite\n\nSaint-Quentin surclasse Le Portel et valide sa place à la Leaders CupCe samedi après-midi à Pierre-Ratte, le promu Saint-Quentin n’a laissé aucune chance au Portel (88-67). L’équipe de Julien Mahé ira à la Leaders Cup en février, ce qui est une véritable prouesse.BasketEurope.comClément Carton

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Le classement de Betclic Elite à la mi-saison

Sans grande surprise, l’AS Monaco est champion d’automne en n’ayant concédé qu’une seule défaite lors de la phase aller, à Nancy. Derrière, trois équipes se battent pour la place de dauphin depuis plusieurs semaines, à savoir le Paris Basketball, l’ASVEL ainsi que la JL Bourg, tous à 12 victoires pour 5 défaites.\n\nUn peu plus loin au classement, la grosse cote de la première partie de saison est Saint-Quentin, meilleure défense du championnat, sixième ex-aequo avec Nancy et qualifié pour la Leaders Cup malgré le plus petit budget de la division (3,6 millions d’euros). Il est à noter que, sans l’annulation de ses deux victoires, le Limoges CSP figurerait dans le top 8 à la mi-saison, qui est alors occupé par Le Mans.\n\nLes résultats de ce gros samedi en #BetlicELITE 👀\n\nQu'est-ce qui t'as le plus marqué dans ces 7 matchs ? 🍿 pic.twitter.com/Vh16joR35g\n\n— LNB (@LNBofficiel) December 23, 2023\n\n\nEnfin, après un départ catastrophique, le finaliste sortant, Boulogne-Levallois, est lanterne rouge du championnat de France avec seulement 2 victoires pour 15 défaites. Le club des Hauts-de-Seine est accompagné par le BCM Gravelines-Dunkerque (4-12, un match en retard) et l'ADA Blois (6-12, un match de plus) dans la zone rouge.\n\nLe classement de Betclic Elite à la mi-saison :\n1. Monaco* (15-1)\n2. Paris (12-5)\n3. Villeurbanne (12-5)\n4. Bourg-en-Bresse (12-5)\n5. Nanterre (10-7)\n6. Nancy (9-8)\n7. Saint-Quentin (9-8)\n8. Le Mans (8-9)\n9. Strasbourg (8-9)\n10. Le Portel (8-9)\n11. Cholet (8-9)\n12. Dijon (7-10)\n13. Chalon-sur-Saône (7-10)\n14. Limoges** (7-8)\n15. Roanne* (6-10)\n16. Blois*** (6-12)\n17. Gravelines-Dunkerque* (4-12)\n18. Boulogne-Levallois (2-15)\n\n*Un match en retard\n**Sanction disciplinaire\n***Un match en avance\n\nLe Mans arrache le dernier billet pour la Leaders CupEn l’emportant sur la JDA Dijon ce samedi à Antarès (76-67), le MSB grimpe à la 8e place de Betclic Elite et se qualifie - en principe - pour la Leaders Cup. Sauf revirement de situation à la suite de l’appel du Limoges CSP...BasketEurope.comClément Carton

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Blois met fin à sa série noire : “Une nouvelle saison commence”

Pendant que les yeux étaient braqués sur les qualifications de Saint-Quentin et Le Mans à la Leaders Cup, un duel importantissime pour le maintien avait lieu au Jeu de Paume entre Blois et Boulogne-Levallois. Celui-ci a tourné à l’avantage de l’ADA Blois. Après une série de neuf défaites d’affilée toutes compétitions confondues, l’équipe de Mickaël Hay s’est libérée d’un poids avant les fêtes.\n\nSur courant alternatif, les Blésois ont tout de même maîtrisé durant l’essentiel de la partie, s’appuyant sur leur domination aux rebonds (40 à 32) et leur collectif (25 passes décisives pour 13 pertes de balles) pour faire progressivement le trou (74-58, 30e) et résister sur l’ultime quart-temps (95-84).\n\n« Je vais retenir la victoire dans un premier temps car ça fait longtemps qu’on l’attendait. Et puis je vais pointer l’énergie déployée par l’équipe. Aujourd’hui, c’est normal qu’il y ait des hauts et des bas dans un match comme la confiance n’est pas vraiment là. Il y a eu quelques moments où on a baissé la tête mais on a su se relever en proposant des choses intéressantes », a commenté le coach Mickaël Hay auprès de La Nouvelle République.\n\n\nMilan Barbitch à un rebond du triple-double\n\nSur le plan individuel, les cadres blésois ont pris les choses en main, notamment Milan Barbitch, qui termine tout proche d’un triple-double (15 points, 9 rebonds et 10 passes décisives). « C’est un grand ouf de soulagement. On s’est dit avec les gars qu’une nouvelle saison commençait pour nous. On avait à cœur de bien commencer, même s’il y a eu des erreurs et des périodes où c’était dur. Au final, on a fait un bon match et la victoire fait du bien », a repris le néo All-Star.\n\nMILAN BARBITCH SUR UN NUAGE ! 🌤️\n\nLe meneur français de Blois frôle le triple-double d'un tout petit rebond... 🥵\n\n📊 15 PTS • 9 REB • 10 AST • 24 PIR#SKWEEKLive #BetclicELITE\n\n📸 @ngtuan pic.twitter.com/yIxGEG2k9a\n\n— SKWEEK (@skweektv) December 23, 2023\n\n\nSoulignons par ailleurs les belles prestations de Brice Dessert (10 points, 7 rebonds, 3 contres pour 21 d’évaluation) et de la nouvelle recrue Rashard Kelly, déjà indispensable (9 points, 7 rebonds, 4 passes décisives, 3 interceptions pour 17 d’évaluation en 25 minutes). Mais aussi l’efficacité de Thomas Hieu-Courtois (15 points à 6/7 de réussite aux tirs) ou encore l’apport offensif de Tobin Carberry (18 points, 5 passes).\n\n« Le manque de cohésion et de ''fighting spirit'' est criant » - Jean-Paul Besson (coach de Boulogne-Levallois)\n\nBattre la lanterne rouge du championnat n’a rien d’un exploit mais l’ADA Blois est sur le chemin de la guérison. En revanche, les Metropolitans 92 ont quatre victoires de retard sur le premier non-relégable à la mi-saison. Un gouffre.\n\n« Le manque de cohésion et de ''fighting spirit'' est criant. Pourtant, la prestation à Strasbourg était intéressante de ce point de vue-là. De toute façon, on ne peut pas gagner à l’extérieur en encaissant 95 points et en désunissant dès qu’il y a un grain de sable dans la machine », a retenu Jean-Paul Besson, le coach de Boulogne-Levallois.À raison.\n\nBoxscore Blois - Boulogne-Levallois / Classement Betclic Elite

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Victor Wembanyama se blesse à l’échauffement

Déjà gêné par sa cheville droite, ce qui l'avait forcé à manquer le match à Milwaukee le 19 décembre, puis à être contraint à 22 minutes de jeu à Chicago deux jours plus tard, Victor Wembanyama s'est à nouveau tordu la cheville, samedi soir, avant le match face à Dallas. Alors qu'il sautait sur un lay-up, le numéro un de la dernière draft est retombé sur le pied d'un ball-boy des Mavericks.\n\nWemby out for the game after stepping on Mavs employee during warmups 🚨 pic.twitter.com/fupZJCHTVP\n\n— Bleacher Report (@BleacherReport) December 24, 2023\n\n\nAprès avoir grimacé et rejoint le vestiaire, Wemby est revenu sur le parquet mais son coach Gregg Popovich a décidé de ne pas le solliciter, alors qu'une restriction de minutes était déjà prévue en amont de la rencontre. « Si c'était un match de play-offs, je l'aurais fait jouer. Il n'était pas très content de ma décision, mais mieux vaut être extra-prudent dans ces cas-là », a expliqué Pop après la rencontre, dans des propos repris par L'Équipe.\n\nSans le phénomène français, les Spurs, bons derniers de la conférence Ouest, ont concédé à Dallas une 24e défaite en 28 matches, et dans les grandes largeurs (144-119). Comme d’habitude, les planètes se sont alignées vers le Slovène Luka Doncic, qui a réalisé un triple-double à 39 points, 10 passes décisives et 12 rebonds en seulement trois quart-temps. Le 36e de sa carrière.

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Strasbourg rate une nouvelle fois la Leaders Cup

Vainqueur de la Leaders Cup en 2015 et 2019, la SIG Strasbourg va louper l’événement de mi-saison pour la deuxième fois d’affilée. Comme la saison dernière, les Alsaciens ne font pas partie du top 8 de Betclic Elite à la mi-saison. Cette fois, cela s’est joué au point average défavorable par rapport au Mans, qui a pourtant le même bilan (8-9).\n\nPour Paul Lacombe, ce n’est pas la courte défaite contre le Paris Basketball, dauphin de Monaco, ce samedi devant les 7 500 spectateurs de l’Accor Arena (78-67), qui est responsable de cette absence :\n\n« La défaite est un peu frustrante car on a été toujours plus ou moins dans le match. C’est une belle équipe. On a respecté le plan de jeu défensivement. On les tient quand même en dessous de 80 points, ce qui est assez rare pour cette équipe donc c’est une belle réussite à ce niveau-là. Comme à Gravelines, on n’a pas été capable de mettre un panier. On le paie ce soir. Il y a certaines défaites plus constructives que d’autres et celle-là en fait partie. On s'est battu avec nos armes. Mais on aurait pu s'octroyer la Leaders Cup bien avant, c'est vraiment dommage ! On va essayer de se rattraper dès mardi face à Chalon », a souligné sur le site officiel de la SIG.\n\n« Il nous manque une victoire pour être dans les clous à mi-parcours »\n\nLa frustration reste bien présente pour les joueurs de Massimo Cancellieri, qui avaient réduit, entre autres par leur zone, la meilleure attaque de l’Eurocup à 7/37 à 3-points... mais la laissant prendre 20 rebonds offensifs !\n\n« C’était très difficile de répondre à l’adversité proposée par Paris. C’était frustrant, mais Paris pousse à ça, à frustrer les autres équipes en jouant sur un de ses atouts, l’énergie. Nous avons fait un match défensivement solide, mais offensivement c’était difficile. On a manque de constance. Par exemple, quand on revient à 46-43, on fait deux fois gamelle et après ils repartent... Nous avons essayé, on avait de l’énergie, mais il y a une vraie différence entre les deux équipes et ça s’est démontré ce soir. Les matches allers sont finis et il nous manque une victoire pour être dans les clous à mi-parcours. Ce n’est pas la catastrophe, mais ça veut dire pas de Leaders Cup », a conclu l’entraîneur italien de la SIG.\n\nLe classement de Betclic Elite à la mi-saisonMonaco domine le classement de l’exercice 2023-2024 de Betclic Elite à la mi-saison, devant le trio Paris - Villeurbanne - Bourg. Boulogne-Levallois, Gravelines et Blois sont relégables.BasketEurope.comLa rédaction

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Pro B : Boulazac, 9 à la suite

Difficile de passer à côté des deux équipes en forme du moment en Pro B. Tandis que La Rochelle a décroché sa dixième victoire d’affilée la veille à Evreux, Boulazac a enregistré un neuvième succès de rang.\n\nAu Palio, contre un Élan Béarnais diminué, qui se déplaçait avec seulement six joueurs pro, Travis Munnings venant d’être papa et Kendall Anthony étant touché à la main, l’équipe d’Alexandre Ménard a largement dominé les débats en première mi-temps (51-40) bien que cela ne se reflète pas dans le score final (82-76).\n\n« On a du mal à rester constants 40 minutes avec la fatigue. On aurait pu gagner de 10 ou 12 points mais on a parfois ralenti, joué à contre-courant, refusé des tirs. Il nous manque notre meilleur marqueur, Hugo Robineau, mais on a fait le boulot avec des joueurs qui ont mouillé le maillot. Le Palio donne de l’énergie, c’est incroyable. On est à dix victoires, on se rapproche du maintien. On finit avec 22 passes décisives, cela montre que tout le monde est important. Par exemple, Angelo Warner n’était pas dedans au retour des vestiaires mais quand il revient sur le terrain, il scelle le sort du match », a constaté le coach périgourdin dans Sud-Ouest.\n\nSi le discours reste mesuré, il y a fort à parier que le BBD, troisième à l’issue de la 13e journée (10-3) à deux victoires du Stade Rochelais, ne jouera pas que pour le maintien en fin de saison.\n\nPau-Orthez toujours en sous-nombre\n« C’est terrible pour nous d’avoir deux joueurs majeurs absents. C’est un contexte difficile pour nous contre une équipe en confiance, dans une salle pleine. On ne lâche pas, à la fin, on peut même se rapprocher. On est dominés dans l’ensemble de la partie mais on a le mérite d’être revenus. Jeudi, on n’était que huit à l’entraînement. Les joueurs se sont battus, mais on était quand même en mesure de faire mieux dès le début », a concédé le coach palois Eric Bartecheky. L'Élan Béarnais reste dans le top 8 (7-6, 7e), un moindre mal.

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Le Mans: La Leaders Cup en cadeau de Noël

Même si ses antécédents dans l’élite sont bien plus anciens, Le Mans y est revenu la même année, 1990, où Dijon a fait son apparition pour la première fois. Depuis, MSB et JDA y sont devenus des pensionnaires fidèles. Sur le plan national, les Manceaux se sont constitué un palmarès plus copieux avec notamment deux titres de champions de France alors que les Dijonnais se sont contentés de deux Semaine des As/Leaders Cup, une Coupe de France et une Coupe de la Ligue, il y a trente ans, très vite tombée dans la fosse commune des trophées. En revanche, là où le MSB s’est à chaque fois planté, la JDA a brillé deux fois en Europe, en Eurocup Challenge avec une finale en 2004 - une coupe qui n’a pas fait non plus long feu - et en Basketball Champions League avec une méritoire troisième place en 2020.\n\nUn autre dénominateur commun saute aux yeux: la JDA possède la 5e masse salariale de la Betclic Elite et le MSB la 6e. Tous les deux disputent cette saison la BCL avec une totale réussite pour l’instant pour les Bourguignons, directement qualifiés pour le top 16, alors que les Sarthois devront passer par les play-ins face aux Grecs de Promitheas Patras pour espérer en faire autant. Et avant de s’affronter à Antarès, les deux équipes étaient strictement sur la même ligne en France avec 7 victoires et 9 défaites, un bilan en deça des objectifs.\n\nOn peut remarquer également que les deux camps ont bâti ces dernières années leur stratégie sur un homme lige. Mais si David Holston, 38 ans à la fin janvier, accomplit sa 9e saison avec Dijon à un rythme un peu inférieur aux dernières années, Terry Tarpey a obtenu un laissez-passer pour Monaco après six saisons au Mans.\n\nEncore une similitude: dans la semaine précédente, les deux équipes ne se sont pas données à fond en BCL car leurs matches n’avaient plus d’incidence. Gregor Hrovat a été mis au repos en raison d’une blessure au pied, et David Holston n’a pas participé au dernier quart-temps face à Rytas Vilnius. Elric Delord a dispensé du déplacement en Hongrie son meneur DeVante Jones et donné des minutes à ses jeunes joueurs.\n\nEn revanche, les deux clubs n’ont pas eu la même conduite au cours des semaines de mer agitée. Alors que le MSB fait toujours confiance à Elric Delord, la Jeanne a remercié sans attendre son coach Nenad Markovic pour faire revenir Laurent Legname, qui a déjà tenu le poste de pilotage de 2015 à 2021.Une première en cours de saison au club depuis le départ du Suisse Randoald Dessarzin en janvier 2010.\n\nVoici donc posées les pièces sur l’échiquier pour un match sinon vital pour les deux équipes du moins déjà fondamental dans la course aux playoffs et... pour éviter d’être mêlé à la lutte pour le maintien.\n\n\nLa suprématie au rebond\n\n«Le Mans Sarthe Basket est qualifié pour la Leaders Cup», hurle le speaker alors que les fans – 5 900 présents dans Antarès et bien inspirés - célèbrent leurs héros. La conclusion a une soirée qui a vu 12 changements de leader mais que le MSB a plutôt maîtrisé. Ce même s’il est resté longtemps dans ses starting blocks mettant trois minutes pour enregistrer son premier... shoot. D’ailleurs, les premiers échanges furent marqués par de la maladresse en tous genres pour les Manceaux et spécialement dans la finition pour les Dijonnais, Cameron Hunt inscrivant 9 des 11 premiers points de son équipe, qui tomba ensuite en panne sèche pour se faire distancer par leurs hôtes (24-16, 12e).\n\n«Il y a beaucoup de déception car on livre un match plutôt correct. On le démarre bien on est bien en rythme défensivement. Ils n’ont pas vraiment de solutions. Malheureusement, sur nos premières attaques, on a beaucoup de shoots ouverts que l’on ne concrétise pas», analysait après coup Laurent Legname. «Je pense que le fait de ne pas avoir validé ce bon début de match par un peu d’écart a laissé Le Mans dans le match. Après, on s’est peu un frustré, on a tenté des choses un peu difficiles alors qu’on exécutait bien sur les cinq premières minutes. C’est ce qui a fait que l’on a perdu six ballons dans le premier quart-temps. On leur a donné du jeu rapide alors qu’on avait dit que c’était l’une des clés du match. Et du coup, on a toujours couru un peu derrière.»\n\nDavid Holston n’a marqué ses premiers points, sur lancers-francs, qu’après 14 minutes de jeu, mais le farfadet (16 points) a eu ses séquences fructueuses comme Cameron Hunt (17 points), Gregor Hrovat (14 points) et même Vitalis Chikoko (13 points et 6 rebonds), même s’il a mis du temps à sortir de sa boîte.\n\nLe Mans menait 56 à 34 à l’évaluation à la mi-temps, mais bizarrerie des chiffres, n’avait qu’un avantage de 6 points (40-34) au score, et suite à deux missiles de David Holston, la JDA a égalisé et est même passée en tête. Ce n’est que dans le dernier acte que les Manceaux ont fait une différence définitive profitant d’une défense rigoureuse et de leur suprématie au rebond (40 à 27). «Le Mans est une bonne équipe et qui a fait une grosse différence au rebond», constatait Cameron Hunt. «Ils nous ont contrôlé et c'était l'une des clés. Al’extérieur, on sait que c'est toujours difficile sur une fin de match. On n'a pas réussi à faire des stops, pour avoir plus de rythme, et courir.»\n\n«A chaque fois que l’on revenait, soit on laissait un rebond offensif encore une fois ou du jeu rapide», constatait Laurent Legname. «On a vraiment des shoots ouverts ce soir avec Robin (Ducoté) et Giovan (Oniangue), je ne leur en veux pas du tout, ça peut arriver et ils ont été investis défensivement, ils ont apporté d’autres choses. Mais à un moment donné, il faut marquer des paniers surtout à l’extérieur. Alors qu’il y a eu à un moment donné trois paniers à trois-points plus que chanceux du Mans. Et après on a eu du mal à contrôler leur short roll avec Yeguete et Narace. L’écart de neuf points est un peu dur car on est plus proche de 4 ou 6 points.»\n\nLa faiblesse de la JDA au rebond est récurrente puisque si elle est royale aux interceptions (1ère du championnat avec 8,5), elle est dernière au rebond (30,7) et aux passes décisives (15,9), ce qui est inquiétant. Elle a aussi encore prouvé que si elle gagne un match sur deux depuis septembre avec une belle régularité, son corolaire est de ne jamais avoir obtenu jusqu’ici deux succès de suite en Betclic Elite. «J’espère avoir beaucoup plus de temps après le break pour travailler. Et en attendant, on a un match contre Roanne qu’il faut gagner pour finir l’année civile sur une bonne note», a visé Laurent Legname.\n\n\nLes carences de Selom Mawugbe\n\nLe Mans est une équipe versatile, ce qui est sans doute dû à la jeunesse de ses Américains, et qui souffre de la faiblesse de son pivot Selom Mawugbe, athlétique, fort contreur (2e de Betclic Elite) mais inopérant balle en mains. Le MSB n’a pas fait jusqu’ici ce que l’on peut qualifier d’exploits - sinon en BCL face à Malaga, ce qui peut être considéré comme une référence - ne s’imposant qu’au seul Nancy, à Antarès, contre les équipes qui le précèdent au classement.\n\nIl a perdu plusieurs matches de peu (-3 Cholet, -1 Limoges, -1 Saint-Quentin) en s’affaissant dans le dernier quart-temps. Seul le All-Star DeVante Jones représente un danger constant en attaque, alors que Nate Mason, recruté cet été pour être le go to guy, a complètement failli dans sa mission au point d’être remplacé par Trevor Hudgins, qui comme ses compatriotes doit s’adapter à un tout autre niveau, lui qui vient de Division II NCAA.\n\nA l’inverse ses JFL font du très bon travail depuis la rentrée et lorsque l’un est inapte - Abdoulaye Ndoye a pris le relais de Williams Narace à l’infirmerie -, ça déséquilibre tout le groupe. Le pivot Wil Yeguete est ainsi exemplaire et masque en partie les carences de Selom Mawugbe. «Déjà, on est très content d’avoir remporté ce match», insistait le capitaine du MSB. «C’était notre but. Surtout que la semaine dernière - contre Saint-Quentin -, c’était un match vraiment à notre portée et on n’avait pas fait le taf. Là, on a réussi à tenir en fin de match, même si ça n’a pas été parfait et que l’on a fait beaucoup d’erreurs. C’est un match qui peut nous mettre sur le bon chemin. J’espère qu’on va s’inspirer de ce match-là. On a surtout défendu en fin de match, c’était la clé. Il y a beaucoup de personnes qui ont contribué à cette victoire. Williams (Narace) fait un gros match pour nous ce soir. C’était un effort collectif complet même si ce n’était pas très beau. On n’a pas trop mis dedans offensivement. C’est peut-être mieux de gagner comme ça car on sait que si on fait le taf on peut remporter le match.»\n\nWilfried Yeguete a par ailleurs mis l’accent sur la densité du championnat et sur les progrès qu’il reste à accomplirpour son équipe:«On était 13e, on gagne un match et on est dans le top 8. C’est vraiment serré en France. C’est ça qui est frustrant quand on perd des matches de pas beaucoup. Il y a beaucoup d’équipes qui sont très fortes cette année. C’est très homogène et quand on gagne deux ou trois matches d’affilée, on peut s’installer dans le top 8. C’est ça que je dis aux joueurs. J’espère que l’on va apprendre de cette première partie de saison. La semaine dernière, on a mal géré la fin de match et là, on a été mieux. J’espère qu’au fur et à mesure des semaines, des mois, on sera de mieux en mieux pour faire une meilleure deuxième partie de saison.»\n\nCar si Le Mans est qualifié pour la Leaders Cup - ce qui n’aurait pas été le cas si Limoges avait récupéré une victoire supplémentaire en appel -, qu’il a les moyens d’accrocher une place en playoffs et aussi dans le top 16 de la BCL, tout comme Dijon, il a encore besoin de regarder dans le rétro pour ne pas se laisser surprendre dans la course au maintien.\n\n\nElric Delord: \J’ai trouvé que l’on était plus rigoureux surtout sur la partie défensive\\n\nEn conférence de presse, le coach du MSB est apparu satisfait. Extraits.\n\nSur la qualification à la Leaders Cup:\n«La logique était que Saint-Quentin batte Le Portel et que Paris batte Strasbourg. On savait que nous, en gagnant, on avait 90-95 % de chances d’aller à la Leaders Cup. Mais il fallait gagner!»\n\nSur le match:\n«On ne commence pas bien le match. On finit à 14 ballons perdus et on en perd 4-5 sur les 6 premières possessions, je crois. On est un peu nerveux et c’est pour ça que je rentre vite dans les rotations. Après, tout le monde s’est relâché et c’était mieux. Le début du troisième quart-temps, c’est surtout (David) Holston. On avait pris un risque sur les pick and roll car on savait que si on arrivait à couper leur jeu de passes, on était aussi exposé à la magie de David. C’est ce qui s’est passé. On a dû s’adapter. En première mi-temps, ça a très bien fonctionné. Les gars ont bien réagi. Je retiens aussi notre capacité à bien s’ajuster durant le match, en attaque, en défense. A part le tout début, et quand ils sont passés devant dans le troisième quart-temps, on a été devant tout le match. Ça ne se joue à pas grand-chose. Le shoot en fin de possession un peu ave maria de DeVante (Jones), qui fait lever la salle, ça a été un premier tournant. Le tir de (Robin) Ducoté à la fin du troisième quart-temps, qui tape le fond de l’arceau, c’était un deuxième tournant. C’est tombé de notre côté. Sur d’autres matches, ce n’est pas tombé de notre côté. J’ai trouvé que l’on était plus rigoureux surtout sur la partie défensive.»\n\nSur l’atmosphère à Antarès:\n«C’est la particularité de ces matches de Noël, il y a une ambiance qui est très différente à Antarès, qui est beaucoup plus festive, positive. On s’est senti poussé. Il y a eu des moments où on était moins bien mais la salle, à chaque fois, nous a permis d’avoir l’énergie positive qui descendait des tribunes. Pour nous, c’était top.»\n\nSur la relativité du classement:\n«Avant cette journée de championnat, on est 13e et là on est 8e et on va à la Leaders Cup. Sur une possession, contre Cholet, Limoges, Saint-Quentin, on perd d’un point. Ce soir, sur deux ou trois possessions, on gagne. L'analyse est complètement différente à l’issue des matches allers alors que ça se joue à rien. C’est ce que j’ai dit après aux joueurs dans le vestiaire. Il faut que l’on en ait conscience que ça se joue à rien, que tout compte et que si on veut s’en sortir; c’est en mettant l’énergie défensive que l’on a mis. Peut-être que l’on a un peu moins de jus après pour mettre des tirs mais on tient encore une équipe à moins de 70 points. Ce n’est pas la première fois cette saison. On a besoin de ça.»\n\nSur le retour de Williams Narace (14 points et 5 rebonds) après sa blessure:\n«Il a été monstrueux. Déjà, il fait un vrai bon match contre Szombathely (en BCL). C’était l’occasion de lui donner du temps de jeu. Il a besoin de jouer, de retrouver du rythme, des sensations de match. Il revient d’une longue blessure et on ne s’entraîne pas beaucoup car on enchaîne les matches. C’était compliqué pour lui de revenir tout de suite. Il a confirmé ce soir le match de Szombathely et ça nous a bien aidé.»\n\nSur le bilan de cette première partie de saison:\n«On est un groupe jeune qui avance. Il y a eu des hauts, des bas, de très hautes performances et aussi des mauvaises mais plutôt en début de saison. Il faut continuer à avancer en espérant que tout le monde soit en bonne santé. (Sur les bénéfices à retirer une fois la BCL terminée). J’espère qu’on arrêtera le plus tard possible! Du coup, il faut que l’on arrive à trouver plus de solutions pour gagner plus de match en attendant même si on pense que les playoffs vont se jouer aux alentours d’un bilan équilibré. Et c’est tellement serré que peut-être même moins. On va à Cholet, c’est un match important. Effectivement, normalement, on prend de l’expérience à travers les matches de BCL. Malaga, par exemple, nous a beaucoup aidé à grandir sur plein de choses, à l’aller comme au retour. On joue en moyenne tous les quatre jours, et le problème des matches à répétition c’est que l’on n’a pas de temps de travail. Et quand on a un nouveau groupe et un groupe de jeunes dont la plupart découvre l’Europe, en tous les cas à ce niveau-là, il faut serrer les dents.»\n\nSur les blessures qui peuvent faire basculer une saison:\n«Abdou (Ndoye) nous manque beaucoup pour beaucoup de raisons. Mais on a aussi un groupe solidaire, qui avance. Tyran (De Lattibaudière) nous fait beaucoup de bien (NDLR: L’intérieur jamaïcain a été recruté comme pigiste médical et va quitter le MSB en janvier). On a souvent tendance à oublier que lorsque l’on est en difficulté, on est en nombre restreint. Il y a deux ou trois ans - personne ne s’en souvient -, on a été dans le top 4 pendant 25 journées et après, la moitié de l’effectif s’est blessé en une semaine. On ne gagne plus un match en fin de saison et on finit 9e, je crois. La réalité c’est que l’on est aussi dépendant de ça. Il n'y a pas beaucoup de joueurs sur le marché. Donc effectivement, il faut essayer d’être en bonne santé. On est tiraillé entre la récupération, l’entraînement, mais en le contrôlant car plus on tape et on plus on a de risques de blessures... Mais il ne faut pas être en sous-entraînement non plus. C’est un équilibre qui est très complexe entre le fait que l’on a besoin de travailler et que l’on a besoin de tout le monde en bonne santé. Car si on travaille très bien et que l’on a la moitié de l’équipe qui est blessée, ça ne sert pas à grand-chose.»\n\nITW Guillaume Costentin (Cholet) : “Je suis directeur sportif mais je ne recrute pas les joueurs”Politique sportive, recrutement, logistique, structuration... Guillaume Costentin détaille ses missions de directeur sportif à Cholet Basket et revient sur son parcours dans un entretien à Basket Europe.BasketEurope.comClément Carton

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Nicolas Lang (Limoges) après la victoire sur Nanterre : “C’est prometteur”

En début de semaine, le Limoges CSP ne récupérait \que\ l’une des trois victoires qui lui avaient été retirées mi-novembre par la Direction nationale du conseil et du contrôle de gestion (DNCCG). Une décision regrettée par le vestiaire limougeaud, à commencer par Nicolas Lang, interrogé par Le Populaire du Centre. « Il faut laisser tomber l’affaire. On a assez espéré pendant un mois et demi. Récupérer une victoire, c’est se satisfaire de trop peu. Maintenant, on passe à autre chose même si toute l’équipe est très déçue. J’ai de la peine pour les gars et le staff technique. Tu ne signes pas dans un club pour ça », a concédé le capitaine.\n\nLa frustration restait de mise malgré la victoire contre Nanterre (79-68), la neuvième de la saison, qui venait valider un bilan positif à l’issue de la première phase. « Au classement, on est à 7 victoires mais sur le terrain, on en est à 9. On aurait fait la Leaders Cup sans cette sanction. Dans un championnat aussi relevé, c’est prometteur », a noté pour France Bleu Limousin Nicolas Lang, de retour d’une blessure à une côte avec 15 points en sortie de banc face aux Franciliens.\n\n\n\nSur le plan tactique, le CSP a largement dominé les débats après une bonne première période. Lucas Beaufort (11 points, 6 rebonds, 4 passes) et Danilo Nikolic (10 points, 9 rebonds) ont confirmé leur bonne forme du moment. Auteur de 15 points à 4/9 à 3-points, Tyree Appleby a été prépondérant en deuxième mi-temps.\n\n« Défensivement, on a retenu les leçons du match de Coupe de France, on leur a laissé beaucoup moins de jeu rapide. Même quand ils l’ont eu, on a fait le petit effort ou la bonne faute pour arrêter leurs contre-attaques. On a eu une belle première période. On n’a pas eu de réussite en deuxième mi-temps. Malgré tout, on est restés dans le match. Tyree (Appleby) m’a vraiment fait plaisir parce qu’il a perdu deux balles de suite, il a loupé un lancer et il met des gros shoots derrière. Il prouve qu’il ne faut jamais abandonner », a ajouté Nicolas Lang au micro de la radio locale.\n\nCertes, sauf procédure d’appel auprès du CNOSF et revirement de situation improbable, Limoges ne fera pas la Leaders Cup en février prochain. Mais tout le monde peut reconnaître que, sur le terrain, l’équipe d’Ilias Kantzouris mérite mieux que son officielle 14e place à l’issue de la phase aller.\n\nLe classement de Betclic Elite à la mi-saisonMonaco domine le classement de l’exercice 2023-2024 de Betclic Elite à la mi-saison, devant le trio Paris - Villeurbanne - Bourg. Boulogne-Levallois, Gravelines et Blois sont relégables.BasketEurope.comLa rédaction

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Italie : Rayjon Tucker claque le dunk de l’année

Rayjon Tucker a livré un cadeau de Noël avant l'heure. Ce samedi 23 décembre, l’ailier américain de Venise a claqué un dunk d’une extrême violence lors de la 13e journée du championnat italien. L'ancien NBAer a postérisé l’intérieur de Brescia, Michael Cobbins, durant le deuxième quart-temps. Ce dernier devrait se souvenir à vie d’avoir tenté de se mettre sur son passage...\n\nOMFGGGGGGGGG 😵 @th3flighttuck @REYER1872 @LegaBasketA pic.twitter.com/jSpeyxX2aC\n\n— Overtime (@overtime) December 24, 2023\n\n\nAu-delà de ce dunk monstrueux, Rayjon Tucker a compilé 17 points et 6 rebonds et permis à Venise de décrocher une dixième victoire de la saison (86-71). Résultat : le Reyer Venezia double son adversaire du soir et pointe à la première place de la Lega avec le même bilan de 10-3. La Virtus Bologne (9-4, 3e) et l’Olimpia Milan (8-5, 5e) ne sont pas loin derrière, dans un championnat tout aussi dense que la Betclic Elite.

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Vidéo : concours d’anecdotes entre cadors de Betclic Elite

En ce jour de Noël, la LNB présente son premier concours d’anecdotes de la saison. Armel Traoré (Blois) et Mam Jaiteh (Monaco) font face à Nadir Hifi (Paris) et Axel Toupane (Boulogne-Levallois). Quel duo sortira vainqueur ?

Écris moi un article dont le titre est la phrase suivante.

Le programme TV : Cap sur le All-Star Game LNB

Ce samedi, le All-Star Game LNB sera diffusé en intégralité sur Skweek dès 19h30 sans pub ni interruption, avec la paire historique David Cozette - Stephen Brun au commentaire sur place à l’Accor Arena ainsi que Niels Onimus à la présentation courtside. Le match des étoiles sera aussi diffusé en clair sur La Chaîne L'Equipe.\n\nLundi 25 décembre (NBA Christmas Day) :\n18h00 : New York Knicks / Milwaukee Bucks - NBA - BeIN Sports 1\n20h30 : Denver Nuggets / Golden State Warriors - NBA - BeIN Sports 1\n23h00 : Los Angeles Lakers / Boston Celtics - NBA - BeIN Sports 1\n02h00 : Miami Heat / Philadelphia 76ers - NBA - BeIN Sports 1\n04h30 : Phoenix Suns / Dallas Mavericks - NBA - BeIN Sports 1\n\nMardi 26 décembre :\n17h30 - Strasbourg / Chalon - Betclic Elite - Skweek\n19h00 - Bourg / Gran Canaria (Espagne) - Eurocup - Skweek\n20h00 - Boulogne-Levallois / Monaco - Betclic Elite - Skweek\n20h45 - Paris / Londres (Grande-Bretagne) - Eurocup - Skweek\n\nMercredi 27 décembre :\n18h30 - Le Portel / Limoges - Betclic Elite - Skweek\n21h00 - Cholet / Le Mans - Betclic Elite - Skweek\n21h00 - Dijon / Roanne - Betclic Elite - Skweek\n\nJeudi 28 décembre :\n18h30 - Gravelines / Paris - Betclic Elite - Skweek\n20h00 - ASVEL / Real Madrid (Espagne) - Euroleague - Skweek\n21h00 - Nanterre / Nancy - Betclic Elite - Skweek\n21h00 - Bourg / Saint-Quentin - Betclic Elite - Skweek et La Chaîne L’Equipe\n\nVendredi 29 décembre :\n21h00 - Monaco / Barcelone (Espagne) - Euroleague - Skweek\n\nSamedi 30 décembre :\n20h45 : All-Star Game LNB 2023 - Skweek (en intégralité à partir de 19h30) et La Chaîne L’Equipe\n\nAll-Star Game LNB : les sélections France et Monde dévoilées !La Ligue Nationale de Basket (LNB) a annoncé les 12 joueurs qui représenteront la sélection France et la sélection Monde lors du All-Star Game 2023, qui aura lieu le 30 décembre prochain à l’Accor Arena.BasketEurope.comLa rédaction\n\nREGARDER LE BASKET FRANÇAIS ET EUROPÉEN LORS DE LA SAISON2023-2024:\nÀ LA TÉLÉVISION TRADITIONNELLE:\nLA CHAINE L'ÉQUIPE\nLa Chaîne L'Équipe retransmet un match de Betclic Elitechaque dimancheet quelques rencontres d'Euroleague. Disponible sur le canal 21 de la TNT.\nBEIN SPORTS\nBeIN Sports diffuse les équipes de France et la NBA. Ses chaînes sont accessibles sur les Boxes et Canal Sat (Bouygues : canaux 51 à 52, Canal Sat : canaux 66 à 68, Free : canaux 31 à 33, Orange : canaux 46 à 48 ou 176 à 178, SFR : canaux 115 à 117).\nFRANCE 3 RÉGIONS\nFrance Télévisions retransmet, sur ses antennes régionales, quelques affiches de Pro B et de Ligue Féminine (canaux 301 à 324).\nSPORT EN FRANCE\nLa chaîne gratuite diffuse une affiche par journée de Ligue Féminine (SFR : canal 129, Orange : canal 174, Free : canal 190 et Bouygues, canal 192).\n\nSUR INTERNET :\nSKWEEK\nL'intégralité des matches deBetclic Elite, d'Euroleague et d'Eurocup masculine, un match par semaine de Ligue Féminine, de l'Euroleague et de l'Eurocup féminine, le top 8 Coupe de France et du 3x3 sont diffusés en live et disponibles en replay sur la plateformeSkweek.\nLNB TV\nLa plateforme digitale (OTT) de la LNB retransmet l'ensemble des matches de Pro B. Ils sont disponibles en intégralité, en live et en replay. Trois façons d’y accéder: sur le siteLNB, sur le siteLNB TVou en téléchargeant l’application LNB suriOSouAndroid.\nDAZN\nLa plateforme de diffusion d'événements sportifs diffuse désormais les matches des clubs français en BCL. Il est possible d'y accéderpar internetou en téléchargeant l'application suriOSouAndroid.\nYOUTUBE\nLes chaînes YouTube de laFFBB, de laFIBAet de laFIBA 3x3diffusent gratuitement et en direct des matches de leurs compétitions : notamment la Ligue Féminine, l'Eurocup féminine et compétitions internationales de jeunes ainsi que diverses compétitions de 3x3 notamment.

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Serbie : Svetislav Pesic pense complémentarité pour sa sélection aux JO

À l’image de celui de la France, le réservoir serbe est particulièrement riche. À tel point que la sélection de Svetislav Pesic a atteint la finale de la Coupe du monde en septembre dernier malgré les défections de plusieurs stars, dont Nikola Jokic. Sera-t-il présent aux Jeux Olympiques de Paris 2024 ? Dans une interview à la RTS, le sélectionneur serbe a confirmé qu’il serait le premier à savoir si le double MVP et champion NBA 2023 validait sa venue.\n\n“On sait à peu près contre qui on va jouer à Paris, et avec qui on va jouer, même si c'est bien sûr trop tôt. Les médias soulèvent toujours la question de savoir pourquoi tel joueur joue, pourquoi un autre ne joue pas, et parfois les supporters sont en colère contre Nikola Jokic. C’est plus complexe que cela. Il faut comprendre qu’il joue énormément de matches en NBA, que des blessures surviennent et qu’une fatigue mentale s'installe”, a-t-il rappelé.\n\nSvetislav Pesic a également été interrogé sur l'absence de Milos Teodosic en équipe nationale. L'ancien MVP de l'Euroleague, nommé MVP de la 16e journée, a notamment été privé de l’EuroBasket 2022 puis de la Coupe du monde 2023, ce qui avait provoqué la polémique en Serbie.\n\n“On a tendance à prendre pour acquis le fait que les 12 meilleurs joueurs devraient jouer en équipe nationale, mais je ne le pense pas. Je crois que les meilleurs doivent certes aller en sélection, mais ce sont ceux qui se complètent et s’entendent le mieux entre eux qui doivent être pris. Bien sûr, une équipe a besoin de joueurs exceptionnels pour obtenir les meilleurs résultats. Cela signifie des joueurs de grande qualité, car après tout, dans les fins de matches difficiles, les joueurs doivent prendre des décisions dans les dernières secondes”, a souligné le sélectionneur serbe.\n\nMilos Teodosic, la jeunesse éternelleA 36 ans, le magicien de l’Etoile Rouge de Belgrade, Milos Teodosic, a réalisé l’une de ses meilleures performances en carrière jeudi soir contre le Maccabi Tel-Aviv (victoire 92-98)... avec 27 points, 14 passes décisives et 40 d’évaluation !BasketEurope.comClément Carton

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Fred Weis : “Impossible que la France ramène une médaille à Paris”

Les résultats décevants des équipes de France féminine et masculine lors des dernières compétitions internationales n’ont pas convaincu Frédéric Weis. Interrogé sur les chances de médailles des Bleu(e)s dans Les Grandes Gueules du Sport sur RMC, le consultant aux multiples casquettes n’a pas mâché ses mots. Selon lui, les sélections de Jean-Aimé Toupane et Vincent Collet n’ont pas le niveau pour atteindre le podium à Paris en 2024.\n\n“Pour moi, il n’y a aucune chance que la France ramène une médaille, hommes et femmes confondus. Depuis que Jean-Aimé Toupane est arrivé à la tête de l’équipe de France (féminine), ça ne se passe pas super bien. Certains diront que les Bleues ont fait médaille de bronze au dernier championnat d’Europe, mais c’était un Euro tellement peu relevé que ce n’est pas significatif. Aux JO, il faudra aussi affronter l’Australie, la Chine, les Etats-Unis évidemment. Honnêtement, j’y crois très peu.\nChez les garçons, je suis inquiet depuis les Jeux de Tokyo. Sans le contre de Batum, on peut passer à la trappe contre la Slovénie, qui n’est pas la meilleure équipe du monde. Ensuite, c’est un miracle d’arriver en finale de l’Euro mais on prend une leçon de basket par l’Espagne, qui jouait avec trois mecs en déambulateur et deux avec une jambe en moins. Ce n’était pas une vraie performance. Et, on l’a vu à la Coupe du monde, on est très limités. Il n’y a rien de péjoratif à dire ça mais on a des leaders plus que vieillissants : Evan Fournier, Nando De Colo, Nico Batum. Evan Fournier est notre leader offensif et ne joue pas depuis très longtemps (en NBA). Notre seul pivot capable de jouer dos au panier, Mous Fall, ne viendra peut-être pas. On ne sait pas dans quel niveau physique Guerschon Yabusele se trouvera après s’être fait opérer. Alors, oui, il y aura peut-être Victor Wembanyama. Mais, tout seul, il ne peut pas tout faire, et c’est normal, c’est juste un joueur de basket mais il a besoin de coéquipiers pour l’aider. Pour moi, cette équipe est plus faible. Même si on a recruté Kenny Atkinson (assistant-coach), qui est un Américain qui connaît bien le basket, on n’a plus vraiment le potentiel pour faire ce qu’il faut.”

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Télex de Noël

Le Mans: La Leaders Cup en cadeau de Noël\n\nGrâce à sa victoire sur Dijon (76-67), Le Mans est le dernier invité à la Leaders Cup. Voilà qui conclue une phase aller faite de hauts et de bas dans un championnat qui a été rarement aussi incertain. Le MSB est notre focus du weekend.\n\nLe Mans: La Leaders Cup en cadeau de NoëlGrâce à sa victoire sur Dijon (76-67), Le Mans est le dernier invité à la Leaders Cup. Voilà qui conclue une phase aller faite de hauts et de bas dans un championnat qui a été rarement aussi incertain.BasketEurope.comPascal Legendre\n\n\nLimoges et Strasbourg n'iront pas à Saint-Chamond\n\nEn revanche, pas de Leaders Cup pour Limoges et Strasbourg. Sans le retrait de ses deux victoires pour présentation de comptes non fidèles et sincères, le CSP aurait terminé dans le top 8 de Betclic Elite à la mi-saison.Malgré la frustration, le capitaine Nicolas Lang veut avancer. Le constat est le même pour Paul Lacombe, déçu de la défaite de Strasbourg à Paris. La SIG loupera l'événement de Saint-Chamond pour la deuxième année consécutive.\n\nNicolas Lang (Limoges) après la victoire sur Nanterre : “C’est prometteur”Sans le retrait des deux victoires, le Limoges CSP aurait terminé dans le top 8 de Betclic Elite à la mi-saison et disputé la Leaders Cup.Malgré la frustration, le capitaine Nicolas Lang veut avancer.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nBlois met fin à sa série noire : “Une nouvelle saison commence”\n\nAprès neuf défaites de rang, les Blésois d’un Milan Barbitch en quasi triple-double se sont relancés contre la lanterne rouge, Boulogne-Levallois (95-84). «C’est un grand ouf de soulagement. Une nouvelle saison commence pour nous», a commenté le néo All-Star.\n\nLe classement de Betclic Elite à la mi-saisonMonaco domine le classement de l’exercice 2023-2024 de Betclic Elite à la mi-saison, devant le trio Paris - Villeurbanne - Bourg. Boulogne-Levallois, Gravelines et Blois sont relégables.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nPro B : Boulazac, neuf à la suite\n\nInvaincu depuis début novembre, Boulazac s’est offert un cadeau de Noël en empochant une neuvième victoire de rang face à l’Elan Béarnais, dans le derby aquitain (82-76).Le BBD talonne le Stade Rochelais au classement de Pro B.\n\nPro B : Boulazac, 9 à la suiteInvaincu depuis début novembre, Boulazac s’est offert un cadeau de Noël en empochant une neuvième victoire de rang face à l’Elan Béarnais, dans le derby aquitain (82-76).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nNBA : Victor Wembanyama se blesse à l’échauffement\n\nSans Victor Wembanyama, blessé par malchance à la cheville en retombant sur le pied d'un ball boy à l’échauffement, les San Antonio Spurs ont pris une raclée sur le parquet des Dallas Mavericks (144-119) d'un Luka Doncic en triple-double (39 points, 12 rebonds, 10 passes).\n\nVictor Wembanyama se blesse à l’échauffementSans Victor Wembanyama, blessé par malchance à l’échauffement, San Antonio a pris une veste sur le parquet des Dallas Mavericks (144-119), emmenés par un très grand Luka Doncic (39 points, 12 rebonds, 10 passes).BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nItalie : Rayjon Tucker claque le dunk de l’année\n\nSamedi soir, l’ancien NBAer Rayjon Tucker a posé l’un des plus beaux dunks de la saison dans la victoire du Reyer Venezia contre Brescia, dans le championnat italien.\n\nItalie : quand Rayjon Tucker claque le dunk de l’annéeSamedi soir, l’ancien NBAer Rayjon Tucker a posé l’un des plus beaux dunks de la saison dans la victoire du Reyer Venezia contre Brescia, dans le championnat italien .BasketEurope.comLa rédaction

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Basket Europe vous souhaite un joyeux Noël !

Comme à chaque Noël, nous vous souhaitons de profiter de vos familles, de vos proches, de vos amis et de tous ceux que vous aimez.\n\nNous profitons de l’occasion pour vous remercier, vous, lecteurs de Basket Europe, toujours plus nombreux. Nous continuerons à vous informer chaque jour de l’année sur notre nouveau site.\n\nNotre défi reste toujours le même au fil des ans : vous informer au mieux et partager encore longtemps notre passion du basket français, européen et international.\n\nUn nouveau chapitre pour Basket Europe : Innovations et défis à venirAujourd’hui, je m’adresse à vous, non seulement en tant que directeur de publication de Basket Europe, mais aussi en tant que fervent amoureux du basket, pour partager avec vous une étape importante de notre aventure.BasketEurope.comMaxime Weber

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Jaleen Smith, de la Virtus Bologne au Partizan Belgrade

La rumeur circulait depuis plusieurs jours. Dimanche soir, le Partizan Belgrade a officialisé l’arrivée de Jaleen Smith jusqu’à la fin de la saison. Il épaulera Kevin Punter, Aleksa Avramovic, Ognjen Jaramaz et Danilo Andjusic sur la ligne arrière de l’équipe de Zeljko Obradovic.\n\nLeader de l’Alba Berlin lors des deux dernières saisons, le combo-guard américano-croate (1,93 m, 29 ans) avait pratiquement réduit de moitié son rendement statistique avec l’équipe italienne cette saison en Euroleague (5,3 points, 1,5 rebond et 0,8 passe pour 4,6 d’évaluation en 11 minutes).\n\n\C'était une situation étrange. Avant la saison avec la Virtus, Sergio Scariolo avait un plan pour que je joue un rôle de combo-guard. Cependant, lorsque la situation avec (Iffe) Lundberg n'a pas été résolue, un nouvel entraîneur est intervenu et Iffe est resté avec l'équipe. À ce moment-là, Bologne avait trois arrières avec des compétences similaires, et ce n'était qu'une question de temps avant que quelqu'un soit laissé de côté. Le nouvel entraîneur (Luca Banchi) avait le luxe de choisir avec qui il voulait construire le jeu, et malheureusement, j'ai fini par être exclu\, a commenté l'intéressé sur Mozzart Sport.\n\nA l’instant T, la Virtus Bologne figure à la 2e place ex-aequo de l’Euroleague avec un bilan de 11 victoires pour 5 défaites. Le Partizan est 4e ex-eaquo avec six autres équipes, avec 9 succès pour 7 revers.

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Podcast : TimeOut Cabioc’h avec Marine Johannès et Gabby Williams

Actuellement assistant-coach à l’ASVEL féminin, le Breton Yoann Cabioc’h a réuni Marine Johannès et Gabby Williams dans son dernier podcast, TimeOut Cabioc’h. Les deux égéries du basket féminin français se livrent dans deux épisodes d’une heure, où elles évoquent aussi bien leur vie privée et professionnelle, en France et aux Etats-Unis. Un échange dans la bonne humeur à réécouter sans modération durant les fêtes.\n\nPartie 1 :\n\nPartie 2 :

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Sportica, la salle de Gravelines, détruite par un gigantesque incendie

Comme rapporté par La Voix du Nord, un immense incendie s'est déclaré ce lundi 25 décembre aux alentours de 13 heures à Sportica, la résidence principale du club du BCM Gravelines Dunkerque, qui devait recevoir le Paris Basketball jeudi à guichets fermés (3 043 places assises).\n\n[🚨🚒 Feu de bâtiment / Gravelines]\n\n15h17:\n7️⃣ lances à eau sont en manœuvre pour maîtriser le plus rapidement possible le feu d’un complexe sportif à Gravelines.\n\nPlus de 1️⃣0️⃣0️⃣0️⃣m2 sont concernés.\n\nLes sapeurs-pompiers sont pleinement engagés face à ce sinistre. pic.twitter.com/NzXgWSzz2e\n\n— SDIS 59 (@Sdis59) December 25, 2023\n\n\nPeu après 16 heures, le feu a été circonscrit sans toutefois être éteint. La centaine de pompiers a eu énormément de mal à contenir le feu en raison du vent. Le premier bilan est très lourd, la piscine, la cafétéria et la salle de basket sont détruites, néanmoins il n'y a pas de blessé.\n\nMerci à tous pour vos messages de soutien.\n\nLes pompiers sont en train de faire le maximum pour venir à bout de cet incendie horrible qui est en train de détruire notre Sportica...\n\nMerci à ces héros, nous leurs envoyons toute notre force 🧡 pic.twitter.com/F4GdrdDqGl\n\n— BCM Basketball (@BCMBasket) December 25, 2023\n\n\nLe maire de Gravelines, Bertrand Ringot, a confié sur France Bleu Nord que l’incendie avait été causé par un problème technique au niveau de la piscine, actuellement fermée pour cause de vidange annuelle. « Il s’agit d’un très grave incendie et il faudra sans doute tout reconstruire », a commenté l'élu.\n\nMais il reste deux murs 😱😰 Force @BCMBasket 🙏🏼 pic.twitter.com/Arnp8Itj5J\n\n— Nadir Hifi (@NadirHifi) December 25, 2023\n\n\nC’est un nouvel événement terrible dans la saison cauchemardesque du BCM, relégable à la mi-saison (4 victoires et 12 défaites). En cette journée de Noël, le club a reçu une immense vague de soutien du basket français et international sur les réseaux sociaux.\n\nHervé Beddeleem (Gravelines) : « On ne sait pas ce que l’on va devenir »Alors que Sportica est partie en fumée, le directeur exécutif du BCM Gravelines-Dunkerque, Hervé Beddeleem, a livré sa première réaction à La Voix du Nord.BasketEurope.comLa rédaction

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Hervé Beddeleem (Gravelines) : « On ne sait pas ce que l’on va devenir »

C’est un triste jour pour le basket français et surtout pour le BCM Gravelines-Dunkerque. Troisième club le plus historique de l’élite derrière l’ASVEL et Cholet, le club nordiste vient de perdre sa maison, Sportica, ravagée par un gigantesque incendie. Alors que le feu a été circonscrit mais pas encore éteint, les dirigeants maritimes ont livré leurs premières réactions.\n\nActuellement en vacances, le directeur exécutif gravelinois, Hervé Beddeleem, est évidemment sous le choc, comme il l'a confié à La Voix du Nord.\n\n« Je suis désemparé, nous allons tout perdre. La salle, les vestiaires, le matériel du kiné. Les joueurs seront sans maillots, sans shorts. Et sans chaussures puisqu’ils les laissent dans les vestiaires... On ne sait pas ce que l’on va devenir. Le match contre Paris (ce jeudi) ne pourra avoir lieu et pour les suivants, il va falloir trouver une solution. »\n\nSur BFM TV, le dirigeant du BCM a qualifié l'événement d’une « catastrophe incommensurable ». « Quarante ans de vie dans Sportica sont partis en fumée. Tout était fermé, en entretien. Et il n'y avait pas d'entraînement. Si on avait été en période de grosse fréquentation à la piscine ou s'il y avait eu un entraînement à la salle de basket, ça aurait été catastrophique », a ajouté le président du club, Christian Devos, auprès de l'AFP.\n\n🔥 Images déchirantes à Gravelines : Sportica en train de brûler, en proie aux flammes d'un énorme incendie...\n\n🏟️ https://t.co/4HYGhqmQWp pic.twitter.com/IJcdTgejkl\n\n— BeBasket (@Be_BasketFr) December 25, 2023\n\n\nReste à savoir où les joueurs de Jean-Christophe Prat disputeront leurs prochaines rencontres à domicile. Même si rien n'a encore été annoncé, la salle Calypso de Calais (près de 3 400 places en configuration basket) semble la plus à même de recevoir des matches du championnat de France et de la Coupe d'Europe.\n\nEn attendant d’en savoir plus, les autres clubs de Betclic Elite ont apporté leur soutien au BCM sur les réseaux. C’est tout le basket français qui est en état de choc.

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Télex du 25/12/2023

Sportica, la salle du BCM Gravelines-Dunkerque, détruite par un gigantesque incendie\n\nMonument du basket français, Sportica, la salle de basket du BCM Gravelines-Dunkerque, a été ravagée par un incendie ce lundi 25 décembre. C'est tout le basket français qui est en état de choc, à l'image du directeur exécutif Hervé Beddeleem : «Je suis désemparé, nous allons tout perdre. La salle, les vestiaires, le matériel du kiné. Les joueurs seront sans maillots, sans shorts. Et sans chaussures puisqu’ils les laissent dans les vestiaires... On ne sait pas ce que l’on va devenir. Le match contre Paris (ce jeudi) ne pourra avoir lieu et pour les suivants, il va falloir trouver une solution. »\n\nHervé Beddeleem (Gravelines) : « On ne sait pas ce que l’on va devenir »Alors que Sportica est partie en fumée, le directeur exécutif du BCM Gravelines-Dunkerque, Hervé Beddeleem, a livré sa première réaction à La Voix du Nord.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nFrédéric Weis : “Impossible que la France ramène une médaille à Paris”\n\nA sept mois des Jeux Olympiques de Paris 2024, le médaillé d’argent à Sydney, Fred Weis, ne croit pas à une potentielle médaille pour le basket français, hommes et femmes compris.\n\nFred Weis : “Impossible que la France ramène une médaille à Paris”A sept mois des Jeux Olympiques de Paris 2024, le médaillé d’argent à Sydney, Fred Weis, ne croit pas à une potentielle médaille pour le basket français, hommes et femmes compris.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nJaleen Smith, de la Virtus Bologne au Partizan Belgrade\n\nMVP du championnat allemand en 2021, Jaleen Smith quitte la Virtus Bologne et s’engage au Partizan Belgrade. Leader de l’Alba Berlin lors des deux dernières saisons, le combo-guard américano-croate (1,93 m, 29 ans) avait pratiquement réduit de moitié son rendement statistique avec l’équipe italienne cette saison en Euroleague.\n\nJaleen Smith, de la Virtus Bologne au Partizan BelgradeMVP du championnat allemand en 2021, Jaleen Smith quitte la Virtus Bologne et s’engage au Partizan Belgrade.BasketEurope.comLa rédaction\n\n\nLe programme TV : Du choix pour le All-Star Game LNB\n\nEn cette semaine de Noël, les fans de basket français auront l'occasion de profiter de la Betclic Elite en semaine mais aussi du All-Star Game, samedi 30 décembre, en clair ou en intégralité.\n\nLe programme TV : Cap sur le All-Star Game LNBEn cette semaine de Noël, les fans de basket français auront l’occasion de profiter de la Betclic Elite en semaine mais aussi du All-Star Game, samedi 30 décembre.BasketEurope.comLa rédaction

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LFB : Alix Duchet prolonge à Bourges jusqu'en 2027

Alix Duchet a annoncé la nouvelle aux fans dans une vidéo où elle est déguisée en Mère Noël. Arrivée au TBB en 2020, son contrat s'achevait initialement à la fin de la présente saison.\n\nLa meneuse s'est remise de deux sérieuses blessures au genou, au point d'être un rouage essentiel de l'équipe leader de la Ligue Féminine et également très performante en Eurocup. Ses stats dans les deux compétitions sont très similaires : 9,6 points, 4,1 passes et 3,1 rebonds dans la compétition nationale, et 9,6 points, 4,4 passes et 2 rebonds en Europe.\n\n🤶La Mère Noël a laissé un beau cadeau aux fans Tango 🧡#Alix2027 pic.twitter.com/fTPTEu37EP\n\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) December 25, 2023\n\n\n\n\n

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Le maire de Gravelines assure: «Sportica sera reconstruit»

Gravelines (12 000 habitants) a perdu dans un incendie ultra rapide et ravageur son Sportica, un complexe sportif, culturel et commercial qui s’étend sur 25 000 m2, et qui servait de refuge au Basket Club Maritime depuis 1986. Le match de jeudi contre Paris a été reporté en 2024 dans une salle à définir car tout a brûlé, les maillots, les chaussures, les ballons...\n\nLe maire de la ville, Bertrand Ringot s’est exprimé sur Delta FM:\n\n«Terrible épreuve pour les Gravelinoises et les Gravelinois et plus généralement pour les habitants de l’agglomération car Sportica c'est beaucoup de souvenirs pour nous tous. Je suis sur place depuis 13h00, j'avais espoir qu'on arrive à éteindre le feu côté piscine puisqu'il a démarré de là mais il a été à une vitesse sidérante avec le vent, la hauteur. Il s'est propagé très, très vite donc c'est vraiment un choc. On essaie de s'organiser au mieux. Quatre-vingt-dix-sept pompiers sont présents sur place depuis plusieurs heures et ils sont encore en train de combattre le feu. La configuration du bâtiment fait en sorte que malheureusement le feu est allé très vite d'un espace à l'autre donc par les couloirs. Le plus rapide ça a été vraiment dans la cafétéria. C'était sidérant la vitesse à laquelle il s'est propagé.»\n\nLa mythique salle du BCM Gravelines n’est plus ...\n\nTerriblement attristé.\n\n#Gravelines pic.twitter.com/RU3zNbgPkT\n\n— Julien (@Lebron2405) December 25, 2023\n\n\nPas de mots ..... pic.twitter.com/UN8pkTcXEI\n\n— Romuald COUSTRE (@rcoustre) December 26, 2023\n\n\nLe BCM devrait jouer ses prochains matches soit au Calypso de Calais (3 000 places) ou au Stade de Flandres à Dunkerque (2 400 places), alors que Bertrand Ringot promet la reconstruction de Sportica, sachant que celle-ci prendra plus de deux ans.\n\n«Mon job, si je peux dire, c’est aussi d’aller de l’avant, de s’organiser dans les prochaines semaines, les prochains mois pour le reconstruire. C’est ce qu’on va faire. On va le moderniser, on va le reconstruire, le Sportica. On était d'ailleurs engagé paradoxalement dans cette démarche. On avait engagé la première phase on devait engager la 2e phase et la 3e phase donc maintenant les choses vont devoir se faire à mon avis différemment. On va y réfléchir dans les prochains jours.»\n\nIl n'échappe évidemment à personne que cet incendie s'inscrit dans un contexte sportif très difficile pour le BCM qui lutte pour son maintien en Betclic Elite, lui qui y appartient depuis la saison 1988-89.\n\nCourage à vous @BCMBasket 💔Heureusement, les dégâts n’ont pas fait de victime. Merci aux pompiers pour leur intervention rapide et efficace. Solidarité dans cette épreuve avec le club, ses 80 salariés, ses bénévoles, ses équipes et la ville de @_Gravelines qui est si investie à... https://t.co/4LMgeQMDBE\n\n— Amélie Oudéa-Castéra (@AOC1978) December 25, 2023\n

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Pau : Une absence de plusieurs semaines pour Kendall Anthony

C'est face à Antibes que Kendall Anthony s'est blessé à la main et il était inopérant pour le match de ce week-end perdu à Boulazac (82-76). Un handicap de poids car l'Américain tournait à 14,3 points (11e de Pro B), 2,1 rebonds et 5,0 passes en 30 minutes de temps de jeu moyen avec une pointe à 36 points face à Vichy. Pau est en quête d'un pigiste médical.

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