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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière@! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière ! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que @de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat ! Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur@, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens @@de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour.
Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière@! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière ! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que @de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat ! Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur@, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens @@de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même?
Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ?
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière@! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière ! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que @de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat ! Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur@, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens @@de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu.
Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière@! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière ! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que @de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat ! Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur@, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens @@de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur.
Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière@! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière ! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que @de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat ! Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur@, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens @@de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une
C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord.
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Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs.
Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs.
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Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail.
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-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
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-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur.
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Je me recommande aussi à vos prières.
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-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
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Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite.
Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite.
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-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel !
Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel !
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-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas.
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-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur.
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-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
-85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De-
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Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples.
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-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner.
-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner.
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-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables.
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-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une.
Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une.
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-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait.
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-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières.
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-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre.
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-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée.
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-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
-98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à
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-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins.
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-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général.
b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général.
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-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
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-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
- Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien.
-Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien.
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-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique.
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-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
- Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane.
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-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium.
Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium.
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-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique.
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-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
-21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique.
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-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints.
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-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire.
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-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
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-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
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-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
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-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
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-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
-74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime.
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INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
INTRODUCTION Quique aethera carpere possent Credidit esse deos. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8.
INTRODUCTION Quique aethera carpere possent Credidit esse deos.
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INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
INTRODUCTION Quique aethera carpere possent Credidit esse deos. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux!
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INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
INTRODUCTION Quique aethera carpere possent Credidit esse deos. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
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INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
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Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là.
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INTRODUCTION Quique aethera carpere possent Credidit esse deos. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère.
Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère.
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INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
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Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à
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6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour yous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, dépariement des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770,il entra au service le i3 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne l'ut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lut-môme et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour yous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, dépariement des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770,@il entra au service le i3 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne l'ut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lut-môme et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour vous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, département des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770, il entra au service le 13 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne @fut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lui-même et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour yous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire.
6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour vous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire.
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6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour yous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, dépariement des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770,il entra au service le i3 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne l'ut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lut-môme et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour yous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, dépariement des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770,@il entra au service le i3 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne l'ut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lut-môme et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour vous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, département des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770, il entra au service le 13 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne @fut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lui-même et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc.
Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc.
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6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour yous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, dépariement des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770,il entra au service le i3 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne l'ut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lut-môme et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour yous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, dépariement des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770,@il entra au service le i3 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne l'ut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lut-môme et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour vous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, département des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770, il entra au service le 13 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne @fut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lui-même et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
Né à Lourdes, dépariement des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770,il entra au service le i3 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort!
Né à Lourdes, département des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770, il entra au service le 13 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort!
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6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour yous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, dépariement des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770,il entra au service le i3 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne l'ut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lut-môme et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour yous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, dépariement des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770,@il entra au service le i3 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne l'ut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lut-môme et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour vous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, département des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770, il entra au service le 13 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne @fut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lui-même et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand.
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6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour yous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, dépariement des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770,@il entra au service le i3 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne l'ut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lut-môme et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour vous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, département des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770, il entra au service le 13 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne @fut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lui-même et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
Ce ne l'ut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lut-môme et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur.
Ce ne fut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lui-même et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur.
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6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour yous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, dépariement des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770,@il entra au service le i3 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne l'ut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lut-môme et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
6 grels, peines et larmes les autres servent à nous consoler c'est pour diminuer ces re-grets, atténuer votre peine, et suspendre un instant le cours de vos larmes, que ma voix vient interrompre le silence des tombeaux c'est pour vous entretenir des souvenirs nom-breux qui nous restent de l'illustre Général dont nous déplorons la perte, que j'ose dis-traire un moment vos coeurs des religieuses pensées que ce lieu funéraire inspire. Le baron Jean-Pierre MARANSIN, qui main-tenant dort du sommeil des justes, était lieu-tenant-général, chevalier de St-Louis, com-mandant de la Légion-d'Honneur, etc. Né à Lourdes, département des Hautes-Pyrénées, le 20 mars 1770, il entra au service le 13 février 1792 et, pour me servir des expressions du général Lamarque, il dit, comme les hé-ros d'Ossian, en embrassant la profession des armes Je serai grand ou mort! ... Fidèle à cette généreuse pensée, il devint grand. Ce ne @fut pas en invoquant une nais-sance illustre qu'il s'illustra lui-même et sut se placer au premier rang il obtint ses gra-des au péril de sa vie, ses décorations à la pointe de l'épée, et ses titres de noblesse fu-rent scellés du sang le plus pur. Si je me sentais de force à être son histo-
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-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent h Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent h Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent à Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent h Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton.
-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent à Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton.
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-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent h Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent h Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent à Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété.
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-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent h Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent h Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent à Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères.
15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères.
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-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent h Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent h Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent à Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington.
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-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent h Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent à Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans.
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-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent h Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent à Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères.
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-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent h Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent à Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
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-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent h Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
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-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent h Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
-483 -contre la religion et ses ministres, firent jeter en prison l'abbé de Monchy, en 1793, et l'envoyè-rent à Rochefort pour être déporté au-delà des mers, s'il résistait au méphytisme du Washing-ton. Il n'y put résister il succomba au mois d'octobre 1794 parmi tant d'autres victimes de la plus féroce impiété. 15. Neveu N. , prêtre et chanoine de Mont-faucon, si riche en confesseurs et en martyrs il ne quitta point ce bourg après la dispersion de son chapitre mais la rage anti-religieuse qui possédait les chefs du département de la Meuse ne leur permit pas d'épargner ce fidèle cha-noine plus que ses confrères. Il fut donc empri-sonné, et condamné comme eux à aller chercher la mort sur le Washington. Il y arriva au prin-temps de 1794, et y mourut au mois de sep-tembre suivant, à l'âge de cinquante ans. 16. Notin N. , prêtre, chanoine et chantre du chapitre de Montfaucon, resta dans son domi-cile, comme plusieurs autres de ses confrères. La même impiété qui persécutait ses amis ne l'é-pargna pas. Il fut comme eux emprisonné, traîné à Rochefort, et jeté sur le Washington, où il succomba au même âge et presque en même temps que le précédent. 17. Nonvelet N. , prêtre, chanoine et chan-tre du chapitre de Montfaucon. Les autorités
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-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écailles blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N2O3. -@On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique C18H8NO5, HO. -@Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales.
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-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écailles blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N2O3. -@On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique C18H8NO5, HO. -@Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires.
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-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écailles blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N2O3. -@On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique C18H8NO5, HO. -@Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
b Créatinine C8H7N203.
b Créatinine C8H7N2O3.
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-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écailles blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N2O3. -@On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique C18H8NO5, HO. -@Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
- On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité.
-On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité.
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-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écailles blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N2O3. -@On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique C18H8NO5, HO. -@Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur.
On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur.
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-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écailles blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N2O3. -@On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique C18H8NO5, HO. -@Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc.
Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc.
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-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écailles blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N2O3. -@On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique C18H8NO5, HO. -@Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures.
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-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écailles blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N2O3. -@On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique C18H8NO5, HO. -@Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux.
On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux.
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-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écailles blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N2O3. -@On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique C18H8NO5, HO. -@Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
2° Acide hippurique G18H8N05, HO.
2° Acide hippurique C18H8NO5, HO.
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0.060606
0.285714
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-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écailles blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N2O3. -@On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique C18H8NO5, HO. -@Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
- Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool.
-Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool.
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-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écailles blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N2O3. -@On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique C18H8NO5, HO. -@Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée.
Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée.
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-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écailles blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N2O3. -@On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique C18H8NO5, HO. -@Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique.
Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique.
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-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écailles blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N2O3. -@On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique C18H8NO5, HO. -@Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique.
On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique.
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-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écaillés blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N203. - On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique G18H8N05, HO. - Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
-Si -Par le refroidissement il se sépare de l'azotate ou de l'oxa-late d'urée sous forme d'écailles blanches brillantes ou de tables hexagonales. L'oxalate d'urée forme quelquefois des prismes quadrangulaires. b Créatinine C8H7N2O3. -@On traite la plus grande portion de la solution alcoolique avec quelques gouttes d'eau de chaux, et on ajoute ensuite une solution de chlo-rure de calcium, jusqu'à ce qu'il ne se forme plus de pré-cipité. On évapore le liquide filtré au bain-marie, jusqu'à ce qu'il ne présente plus qu'un volume de 10 à 12 CC, on l'introduit dans un petit vase à précipité, et après refroidis-sement on le décompose par 1 2 CC d'une solution alcoo-lique de chlorure de zinc pur. Après une forte agitation, il se forme bientôt un trouble et il se sépare un composé cristallin de créatinine et de chlorure de zinc. On examine au microscope le précipité cristallin, qui s'est déposé au bout de quelques heures. On remarque ainsi le plus sou-vent de fines aiguilles groupées concentriquement et pré-sentant des rosaces complètes ou des bouquets qui s'entre-croisent ou sont placés deux à deux, de telle sorte qu'ils ressemblent à des pinceaux qui sont collés l'un dans l'au-tre par leurs tuyaux. 2° Acide hippurique C18H8NO5, HO. -@Les deux tiers du résidu obtenu en III sont faiblement acidulés par l'acide chlorhydrique, ils sont ensuite triturés avec du sulfate de barite et épuisés avec de l'alcool. Le liquide alcoolique est saturé avec de la lessive de soude, l'alcool est retiré par dis-tillation, et le liquide sirupeux restant est évaporé à siccité au bain-marie, après avoir été additionné d'acide oxalique destiné à fixer l'urée. Le résidu, après avoir été pulvérisé, est épuisé avec l'éther, le liquide éthéré est soumis à la distillation, et ce nouveau résidu est traité à chaud par un lait de chaux, pour éliminer l'excès d'acide oxalique. On filtre, on réduit à un petit volume le liquide résultant et on acidule par l'acide chlorhydrique. Au bout de quelque
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-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-ture. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Regina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi.
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-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-ture. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Regina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice.
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-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-ture. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Regina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels.
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-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-ture. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Regina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi.
La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi.
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-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-ture. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Regina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre.
Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre.
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-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-ture. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Regina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé.
Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-ture.
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-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-ture. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Regina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina.
Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Regina.
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-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-ture. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Regina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice.
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-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-ture. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Regina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
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-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-ture. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Regina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages.
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-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-turé. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Begina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
-89-J'espère être dans un quart d'heure auprès de Dieu je ne cesserai de le prier jusqu'à ce qu'il vous ait tous réunis avec moi. Il avait témoigné le désir d'aller à pied jus-qu'au lieu du supplice. Comme on le lui refusa, il monta sans insister dans la charrette destinée aux criminels. La multitude indignée commen-çait à murmurer M. Musart calma les esprits par ce peu de mots Point de bruit, mes amis, point de bruit en cela je puis obéir à la loi. Le bourreau lui enleva son chapeau, et le respec-table patient souffrit encore cette nouvelle igno-minie sans se plaindre. Ce fut en cet état qu'on lui fit prendre le chemin de la place de la Cou-ture. Au moment du départ, il entonna d'une voix ferme le Salve, Regina. Sa parente, made-moiselle Nicole Coyon, malgré la douleur dont elle ne pouvait se défendre, trouva la force de le continuer, avec beaucoup d'autres personnes courageuses qui escortèrent la charrette jusqu'au lieu du supplice. Le reste de la foule suivait dans un morne silence. Si l'on excepte quelques hom-mes de la révolution, qui croyaient sans doute en revoir les beaux jours, la douleur et la cons-ternation étaient peintes sur tous les visages. M. Musart seul, toujours semblable à lui-même, portait sur son front l'empreinte d'une joie cé-leste. Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
Durant tout le trajet, sa bouche ne s'ou-
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-18 -§ 31. Acide urique. - Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et ïurine pathologique. - L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. - Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. - Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. - On évapore jusque con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
-18 -§ 31. Acide urique. - Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et @ïurine pathologique. - L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. - Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. - Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. - On évapore jusqu@e con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
-18 -§ 31. Acide urique. -@Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et l'urine pathologique. -@L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de 0gr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. -@Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. -@Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. -@On évapore jusqu'à con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
31. Acide urique.
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-18 -§ 31. Acide urique. - Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et ïurine pathologique. - L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. - Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. - Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. - On évapore jusque con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
-18 -§ 31. Acide urique. - Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et @ïurine pathologique. - L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. - Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. - Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. - On évapore jusqu@e con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
-18 -§ 31. Acide urique. -@Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et l'urine pathologique. -@L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de 0gr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. -@Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. -@Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. -@On évapore jusqu'à con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
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-18 -§ 31. Acide urique. - Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et ïurine pathologique. - L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. - Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. - Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. - On évapore jusque con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
-18 -§ 31. Acide urique. - Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et @ïurine pathologique. - L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. - Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. - Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. - On évapore jusqu@e con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
-18 -§ 31. Acide urique. -@Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et l'urine pathologique. -@L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de 0gr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. -@Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. -@Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. -@On évapore jusqu'à con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
- L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures.
-L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de 0gr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures.
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-18 -§ 31. Acide urique. - Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et ïurine pathologique. - L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. - Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. - Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. - On évapore jusque con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
-18 -§ 31. Acide urique. - Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et @ïurine pathologique. - L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. - Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. - Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. - On évapore jusqu@e con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
-18 -§ 31. Acide urique. -@Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et l'urine pathologique. -@L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de 0gr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. -@Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. -@Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. -@On évapore jusqu'à con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
- Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang.
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-18 -§ 31. Acide urique. - Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et ïurine pathologique. - L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. - Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. - Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. - On évapore jusque con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
-18 -§ 31. Acide urique. - Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et @ïurine pathologique. - L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. - Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. - Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. - On évapore jusqu@e con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
-18 -§ 31. Acide urique. -@Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et l'urine pathologique. -@L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de 0gr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. -@Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. -@Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. -@On évapore jusqu'à con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
- Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque.
-Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque.
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-18 -§ 31. Acide urique. - Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et ïurine pathologique. - L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. - Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. - Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. - On évapore jusque con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
-18 -§ 31. Acide urique. - Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et @ïurine pathologique. - L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. - Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. - Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. - On évapore jusqu@e con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
-18 -§ 31. Acide urique. -@Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et l'urine pathologique. -@L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de 0gr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. -@Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. -@Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. -@On évapore jusqu'à con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
§ 32. Recherche chimique.
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-18 -§ 31. Acide urique. - Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et ïurine pathologique. - L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. - Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. - Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. - On évapore jusque con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
-18 -§ 31. Acide urique. - Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et @ïurine pathologique. - L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de ogr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. - Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. - Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. - On évapore jusqu@e con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
-18 -§ 31. Acide urique. -@Proportion de l'acide urique dans l'urine normale et l'urine pathologique. -@L'acide urique se trouve dans l'urine en partie libre et en partie à l'état d'urates, et sa quantité varie de 0gr 2 à 1 gramme dans l'urine normale pour vingt-quatre heures. Augmentation. -@Il augmente dans les digestions trou-blées, dans tous les états fiévreux, de même que dans les affections des voies respiratoires et dans les troubles sur-venus dans la circulation du sang. Diminution. -@Il se comporte sous ce rapport comme l'urée, et, comme elle, il peut être transformé en ammo-niaque. § 32. Recherche chimique. -@On évapore jusqu'à con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu. On épuise le résidu par l'alcool pour en retirer l'urée et les matières extractives, et le nouveau résidu ne contient plus que l'acide urique, le mucus et les sels. Une partie du résidu, traitée par l'acide nitrique à chaud, se dissout presque totalement, et la solution évaporée au bain-marie donne un résidu rougeâtre qui, humecté avec de l'ammoniaque en évitant un excès , donne la coloration rouge pourpre de la murexide, passant elle-même au bleu pourpre par l'addition d'une goutte de lessive de potasse. Une autre partie du résidu est dissoute dans la potasse, et la solution traitée par l'acide chlorhydrique est aban-donnée au repos pendant une demi-heure l'acide urique est séparé ainsi sous forme de cristaux visibles au micros-cope. Si l'acide urique existe en quantité notable, il suffit d'ajouter de l'acide chlorhydrique à 200 ou 300 grammes d'urine et d'abandonner le tout au repos pendant douze à vingt-quatre heures. Au bout de ce temps l'acide urique s'est séparé en cristaux colorés, faciles à reconnaître au mi-croscope.
- On évapore jusque con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu.
-On évapore jusqu'à con-sistance sirupeuse 100 à 200 grammes d'urine dont on a séparé préalablement par ébullition l'albumine, s'il y avait lieu.
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