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-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur.
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-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme.
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-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire.
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-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
4° Essai avec la potasse caustique.
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-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
- On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide.
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-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive.
S'il y a présence de sucre, la portion du liquide chauffée se colore en jaune, ou même en rouge brun, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive.
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-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
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-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude .
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-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
-29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du
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-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818.
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-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique.
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-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
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-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims.
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-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
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Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims.
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-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière.
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-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
-116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans.
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-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait.
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-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors.
Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors.
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-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins.
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-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
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Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée.
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-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer.
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-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables.
De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables.
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-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins.
Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins.
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-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM.
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-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
Guérin, Carton et Montrosier.
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-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
-145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7
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1,845
-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en route. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux.
-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux.
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-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en route. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
Plusieurs moururent en roule.
Plusieurs moururent en route.
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-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en route. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement.
Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement.
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-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
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Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés.
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Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété.
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-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
-470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en route. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république!
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
- DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive.
-DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive.
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat.
Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat.
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
, lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre.
, 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre.
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer.
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale.
Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale.
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy.
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue.
Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue.
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour.
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte.
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies.
On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies.
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes.
Cette théorie ne s'applique qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes.
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité?
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S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et
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-43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière !
-43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière !
-43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent de ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière !
-43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence.
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-43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière !
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-43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière !
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La position était des plus em-barrassantes.
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Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière !
Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent de ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière !
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude.
Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude.
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface.
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
C'est là le second point du problème à résoudre.
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface.
La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface.
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé.
Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé.
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé.
Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé.
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral.
Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral.
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés.
On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés.
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100.
Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -découper ce moulage -enlever la feuille de gélatine -peser le mor-ceau d'étain découpé -diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100.
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
On obtient ainsi la surface cherchée.
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile.
Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile.
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts?
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
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-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
-8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique.
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0.037037
252.txt
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-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. 0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. 0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous@@@@@ Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. O enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous..... Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement d@e coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu.
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-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. 0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. 0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous@@@@@ Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. O enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous..... Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement d@e coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété.
O enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété.
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-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. 0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. 0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous@@@@@ Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. O enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous..... Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement d@e coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer.
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-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. 0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. 0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous@@@@@ Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. O enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous..... Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement d@e coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté.
Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté.
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-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. 0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. 0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous@@@@@ Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
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Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur....
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-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. 0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. 0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous@@@@@ Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. O enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous..... Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement d@e coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ?
O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ?
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-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. 0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. 0 enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous@@@@@ Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement dé' coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
-59 -voeu de tous les moments c'est la grâce que je ne cesserai de demander à Dieu. O enfants ché-ris de la sainte Eglise ! n'ayez aucune inquiétude pour ce qui nous regarde la Providence prend soin de nous il ne nous manque que d'être au milieu de vous..... Il n'est rien que le bon peu-ple parmi lequel nous vivons ne fasse pour tâ-cher de nous consoler mais toutes ces atten-tions ne font que vous retracer plus vivement à notre mémoire, en nous rappelant la tendresse que vous aviez pour nous, et la douce consola-tion que nous donnait votre piété. Ce souvenir me fait éprouver comme un déchirement d@e coeur qu'il serait difficile de vous exprimer. Je me console cependant par la pensée que notre éloignement n'aura rien diminué de votre attache-ment à la vraie religion, et qu'en retournant au milieu de vous je n'aurai qu'à me glorifier de votre fermeté. Ce que je vous dis, je le dis à tons Il n'est aucune de mes brebis qui ne soit tou-jours présente à mon coeur.... O portion chérie du troupeau dé Jésus-Christ ! mes plus doux moments sont ceux où je m'occupe de vous et quand est-ce que je ne m'en occupe pas ? J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
J'y pense le jour, j'y pense la nuit, j'y pense en m'éveillant, j'y pense surtout au pied des saints autels, et en y pensant je suis souvent attendri jusqu'aux larmes.
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-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage.et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendantune année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage.et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendant@une année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendant une année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage.et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles.
-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles.
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-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage.et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendantune année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage.et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendant@une année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendant une année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs.
Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs.
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-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage.et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendantune année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage.et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendant@une année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendant une année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendantune année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire.
Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendant une année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire.
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-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage.et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendantune année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage.et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendant@une année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendant une année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable.
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-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage.et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendant@une année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendant une année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison.
Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison.
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-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage.et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendant@une année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
-27 -tout le reste du temps elle donnait ordre au ménage et s'occupait à quelque chose d'utile à la maison, sans être jamais oisive, malgré ses douleurs continuelles. Au bout d'environ un an et demi, elle se sentit fortement inspiré de demander à Dieu, par l'intercession de la sainte Vierge , la grâce de pouvoir marcher avec des béquilles sans pourtant rien perdre de ses douleurs. Pour l'obtenir, elle promit de jeûner tous les samedis, et de dire tous les jours, pendant une année, un chapelet pour le repos des âmes du purgatoire. Elle fut exaucée à la fête de la Nativité de la Irès-sainte Vierge, et rendit au fils et à la Mère de très-humbles actions de grâces pour un bienfait aussi considérable. Mais sa reconnaissance s'augmenta bien da-vantage, lorsque, trois ans après sa chute, étant restée seule dans l'église d'Arradon, le jour de la Fête-Dieu, pendant qu'on faisait la procession du Saint-Sacrement, elle de-manda à la sainte Vierge, et obtint d'elle sur-le-champ une pleine et parfaite guérison. Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
Elle fut si touchée de cette nouvelle faveur, qu'elle eût voulu que tout le monde l'eût ai-dée à en bénir notre Seigneur et sa sainte Mère et ce ne fut que dans cette vue qu'elle 2
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Etce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait@? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là@? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et@ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 18@@@1 -@Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vous que j'aille droit au fait ? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. -@Qu'entendez-vous par là ? -@Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. -@Quelle supposition ! -@Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine@, mon trésor on peut varier indéfiniment l'expression , je vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Etce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait@? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là@? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et@ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 18@@@1 -@Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vous que j'aille droit au fait ? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. -@Qu'entendez-vous par là ? -@Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. -@Quelle supposition ! -@Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine@, mon trésor on peut varier indéfiniment l'expression , je vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait@? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là@? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et@ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 18@@@1 -@Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vous que j'aille droit au fait ? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. -@Qu'entendez-vous par là ? -@Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. -@Quelle supposition ! -@Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine@, mon trésor on peut varier indéfiniment l'expression , je vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait@? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là@? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et@ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 18@@@1 -@Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vous que j'aille droit au fait ? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. -@Qu'entendez-vous par là ? -@Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. -@Quelle supposition ! -@Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine@, mon trésor on peut varier indéfiniment l'expression , je vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait@? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là@? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et@ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 18@@@1 -@Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vous que j'aille droit au fait ? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. -@Qu'entendez-vous par là ? -@Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. -@Quelle supposition ! -@Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine@, mon trésor on peut varier indéfiniment l'expression , je vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait?
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Etce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait@? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là@? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et@ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 18@@@1 -@Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vous que j'aille droit au fait ? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. -@Qu'entendez-vous par là ? -@Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. -@Quelle supposition ! -@Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine@, mon trésor on peut varier indéfiniment l'expression , je vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait@? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là@? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et@ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 18@@@1 -@Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vous que j'aille droit au fait ? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. -@Qu'entendez-vous par là ? -@Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. -@Quelle supposition ! -@Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine@, mon trésor on peut varier indéfiniment l'expression , je vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Etce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait@? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là@? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et@ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 18@@@1 -@Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vous que j'aille droit au fait ? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. -@Qu'entendez-vous par là ? -@Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. -@Quelle supposition ! -@Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine@, mon trésor on peut varier indéfiniment l'expression , je vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait@? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là@? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et@ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 18@@@1 -@Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vous que j'aille droit au fait ? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. -@Qu'entendez-vous par là ? -@Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. -@Quelle supposition ! -@Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine@, mon trésor on peut varier indéfiniment l'expression , je vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
Etce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face.
Et ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Etce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait@? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là@? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et@ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 18@@@1 -@Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vous que j'aille droit au fait ? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. -@Qu'entendez-vous par là ? -@Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. -@Quelle supposition ! -@Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine@, mon trésor on peut varier indéfiniment l'expression , je vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
Vous voyez que je parle carrément.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait@? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là@? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et@ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 18@@@1 -@Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vous que j'aille droit au fait ? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. -@Qu'entendez-vous par là ? -@Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. -@Quelle supposition ! -@Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine@, mon trésor on peut varier indéfiniment l'expression , je vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
- Quelle supposition !
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Etce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait@? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là@? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et@ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 18@@@1 -@Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vous que j'aille droit au fait ? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. -@Qu'entendez-vous par là ? -@Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. -@Quelle supposition ! -@Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine@, mon trésor on peut varier indéfiniment l'expression , je vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
- Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal.
-Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 181 11 - Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vpus que j'aille droit au fait@? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. - Qu'entendez-vous par là@? - Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et@ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. - Quelle supposition ! - Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine,, mon trésor on peut varier indéfiniment J'expression ,ije vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des-injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 18@@@1 -@Ce qu'il vous plaira, pourvu que vous n'y alliez pas par quatre chemins. J'aime les gens ronds et je les mets à l'aise. Rien ne sert de se cacher derrière le doigt. Tenez, voulez-vous que j'aille droit au fait ? Oui. Eh bien ! vous avez du tintoin. -@Qu'entendez-vous par là ? -@Du tintoin. Le mot est clair il appartient à un vocabu-laire connu. Et ce tintoin, mon garçon, c'est de ne pouvoir aller de ce pas chez la voisine d'en face. Vous voyez que je parle carrément. -@Quelle supposition ! -@Je ne suppose rien, grand homme, je vois ce qui est, je lis dans votre âme comme si elle était de cristal. Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies. Or, voici ce que me dit la vôtre, depuis cinq ou six heures que je la tiens en arrêt. Ce matin, avant de quitter le quartier pour aller cueillir les palmes d'un diplôme, vous avez dit à l'objet de vos voeux Mon cher amour ou tout autre petit nom que vous vou-drez, le détail est indifférent , ma toute belle, ma reine@, mon trésor on peut varier indéfiniment l'expression , je vais courir la grande chance. Alea jacta est, traduction libre le sort en est jeté. Je vais me trouver en face de huit ou dix gaillards, à qui la nature et le gouvernement ont conféré le droit de dis-tribuer des brevets d'éloquence. Suivant qu'ils seront en bonne ou en mauvaise humeur, qu'ils auront bien ou mal dormi la nuit d'avant, bien ou mal digéré, pris leurs bonnes ou leurs mauvaises lunettes, j'aurai mon parchemin ou je ne l'aurai pas. Si je ne l'ai pas, j'irai ensevelir ma douleur dans la profondeur des forêts environnantes et décocherai mes plaintes à tous les échos de la banlieue. La solitude est l'a-sile naturel des grands désappointements on se console des injustices de l'homme en se réfugiant dans les bras de la nature. Mais si je l'ai, si j'obtiens mon affaire, si je dompte cet aréopage quinteux, si je me tire cette épine du pied et triomphe sur toute la ligne des robes noires, oh ! alors, ma divine, je tiens à ce que vous en ayez la primeur. Sitôt nommé, sitôt parti la licence me prêtera ses ailes et je vo-lerai près de vous au lieu d'un bachelier, vous aurez à vos pieds un avocat, c'est-à-dire un être qui peut désormais por-
Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies.
Pour être votre inférieur sur le Digeste, je n'en suis pas moins votre maître dans l'art d'étudier les physionomies.
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