title
stringlengths
1
141
text
stringlengths
7
229k
Ligne de Carrouges à Trun
La ligne de Carrouges à Trun était l'une des deux lignes de Voie ferrée d'intérêt local à voie métrique des Voies Ferrées Économiques de l'Orne (VFEO). Elle reliait les zones rurales de Fleuré, Boucé, Vieux-Pont, Rânes et Carrouges (au sud) et de Bailleul et Trun (au nord) à la ville d'Argentan, sous-préfecture de l'Orne en Basse-Normandie. Elle est mise en service en 1913 et fermée définitivement en 1937. Histoire Chronologie Mises en service : Argentan à Trun : Argentan à Boucé : Boucé à Carrouges : Fermetures : Argentan à Trun : vers 1936 Intégrale :mardi après le marché d'Argentan toujours très fréquenté (jusqu'à ce jour, le tram était géré en dernier lieu par la société STAO du Mans ) Remplacement par des autobus STAO, sur le même itinéraire Carrouges-Rânes-Boucé-Argentan, avec arrêt prévu à la gare de Rânes sur les fiches-horaires. Création Le projet initial d'une voie ferrée entre Domfront et Mortagne (avec divers itinéraires possibles ) apparut vers 1880 mais tarda à se concrétiser. Cela explique la somme allouée par le Conseil municipal de Rânes pour faciliter les déplacements des Rânais et le transport des marchandises produites par l'agriculture (bestiaux, pommes...) et l'industrie locale (castine pour le haut-fourneau, gueuses de fonte, produits des forges et des carrières de granit des Monts. Le projet était d'autant plus intéressant qu'il prévoyait de prolonger la ligne de tramway au-delà de Trun vers Vimoutiers et au delà de Carrouges vers Lalacelle (La Lentillière), où elle aurait été reliée au réseau ferré (à voie normale) Alençon-Domfront . Exploitation Dans la traversée d'Argentan, le tramway avait plusieurs arrêts: la gare du tram (route d'Écouché) pour le transbordement des marchandises vers la ligne à écartement normal, la gare des trains Argentan–État pour le transfert des voyageurs vers Paris, Granville, Caen, Alençon, Le Mans.... Du fait du tracé emprunté par la ligne de tram, la ville d'Argentan disposait d'une ébauche de tramway urbain via la Rue de la République puis la Place des 3 Croix. Caractéristiques Tracé Le tracé de la ligne se trouvait essentiellement sur les voies routières avec quelques exceptions : une section en site propre en lacets entre Sévigny et Bailleul, pour adoucir la dénivellation existant entre la forêt de Gouffern et la route à Bailleul. Au niveau d'Argentan-Local, la voie s'éloignait aussi vers l'est de la route (de Flers) qu'elle retrouvait peu avant de franchir le ruisseau La Baize sur un pont commun. Entre Vieux-Pont et Boucé, la voie s'écartait de quelques mètres de la route sur une plateforme distincte au niveau de la côte dite de "La Pilloure", la voie ferrée bénéficiant ainsi d'un amoindrissement de la pente. Le bourg de Boucé était également contourné par la voie ferrée, du croisement RD2/RD48 côté Argentan, jusqu'à la RD48 après "La Goulafrière" côté Vieux-Pont. À l'entrée de Vieux-Pont venant de Boucé, la ligne bénéficiait d'une tranchée spécifique longeant la route, adoucissant là aussi la dénivellation. La principale section en site propre intégral se trouvait entre les gares de Vieux-Pont et Rânes, dont la gare se trouvait au lieu-dit "le Ménil Angot". Gares Trun Coulonces Villedieu-lès-Bailleul Bailleul Sévigny Crennes Argentan–Trois Croix Argentan–Carrefour Saint-Jacques Argentan–État : correspondances trains à la gare d'Argentan (Réseau de l'État) Argentan–Local Fleuré Boucé Vieux-Pont Rânes Le Champ-de-la-Pierre Saint-Martin-l'Aiguillon Sainte-Marguerite-de-Carrouges Carrouges Notes et références Voir aussi Articles connexes Gare d'Argentan Voie ferrée d'intérêt local Liens externes Carrouges - Trun Ancien chemin de fer secondaire dans l'Orne Ancien chemin de fer secondaire à écartement métrique dans l'Orne
سيتو ألونسو
سيتو ألونسو هو مدرب كرة سلة إسباني، ولد في 4 ديسمبر 1975 في مدريد في إسبانيا. مراجع وصلات خارجية مدربو كرة سلة إسبان مواليد 1975 مدربو ساسكي باسكونيا مدربو جوفينتوت بادالونا مدربو بلباو باسكت
Sankt Petersburg
Sankt Petersburg est un jeu de société créé par Bernd Brunnhofer (alias Michael Tummelhofer) et édité par Hans im Glück en 2004. Jeu de cartes pour 2 à 6 joueurs, à partir de 12 ans, pour une durée approximative de 50 minutes. Le jeu est réédité et francisé en 1976 par Filosofia. Il est désormais connu sous le titre Saint-Pétersbourg. Extensions Une première extension, The Banquet, apparaît d'abord dans le magazine Spielbox de . Le set est composé de 12 nouvelles cartes. En 2008, Sankt Petersburg: New Society est lancé. Cette nouvelle prise a été nominée pour le prix Golden Geek 2009 à la meilleure extension. Récompense Notes et références Liens externes Sankt Petersburg
Yoshinori Tateyama
Yoshinori Tateyama (né le à Daitō (Osaka), Japon) est un lanceur de relève droitier des Ligues majeures faisant partie des Hanshin Tigers. Joueur des Rangers du Texas en 2011 et 2012, Yoshinori Tateyama était l'un des rares lanceurs de balle tire-bouchon des Ligues majeures. Carrière Japon Yoshinori Tateyama évolue 12 ans en Ligue Pacifique du Japon pour les Hokkaido Nippon Ham Fighters Il y joue 438 matchs, dont 401 comme lanceur de relève et 7 comme lanceur partant. Sa moyenne de points mérités s'élève à 3,43 en 661 manches et deux tiers lancées. Il remporte 35 victoires, subit 43 défaites, réalise 27 sauvetages, lance 4 matchs complets dont un blanchissage dans ses rares sorties comme partant, et totalise 488 retraits sur des prises. Ligue majeure de baseball En novembre 2010, Tateyama signe un contrat d'un an et deux années d'option avec les Rangers du Texas de la Ligue majeure de baseball. Assigné début 2011 à Express de Round Rock, l'équipe de ligue mineure des Rangers au niveau AAA, il y montre une moyenne de points mérités de 2,14 avec une victoire à sa seule décision en 14 sorties, lorsqu'il est promu par l'équipe du Texas. Tateyama fait ses débuts dans les majeures comme lanceur de relève pour les Rangers le contre les White Sox de Chicago. Il est le quatrième athlète natif du Japon à porter les couleurs des Rangers du Texas. À sa troisième sortie pour Texas le 28 mai, il lance trois manches pour mériter son premier sauvetage dans le baseball majeur. Il remporte sa première victoire le 21 juin sur les Astros de Houston et en ajoute une autre plus tard pour terminer la saison avec une fiche de 2-0 avec un sauvetage et une moyenne de points mérités en 44 manches lancées. Il joue 39 parties des Rangers en 2011 et compte 43 retraits sur des prises. En 2012, sa moyenne s'élève à 9,00 en seulement 17 manches lancées en 14 parties pour Texas, mais il enregistre 18 retraits sur des prises et remporte une victoire comme seule décision. Il entreprend la saison 2013 avec l'équipe de Round Rock, le club-école des Rangers, mais ceux-ci le cèdent aux Yankees de New York le , et le lanceur termine l'année dans les mineures avec les RailRiders de Scranton/Wilkes-Barre, club affilié aux Yankees. Notes et références Liens externes Profil de Yoshinori Tateyama sur le site des Ligues majeures de baseball. Statistiques de Yoshinori Tateyama sur Baseball-Reference. Statistiques de Yoshinori Tateyama au Japon. Naissance en décembre 1975 Joueur japonais de baseball Joueur des Hokkaido Nippon Ham Fighters Joueur des Rangers du Texas Lanceur des ligues majeures de baseball Naissance à Daitō
Valdete Idrizi
Valdete Idrizi, née en 1973 à Mitrovica (Kosovo), est une militante sociale kosovare qui agit pour les droits des femmes, pour la paix et la reconstruction de relations entre les albanais et les serbes. Elle fait partie d'une minorité ethnique du Kosovo, du nord de Mitrovica. Elle a fondé et est la directrice de Community Building Mitrovica, une ONG qui a pour objectif la construction de la communauté dans la région de Mitrovica ainsi que la paix. Elle est également la directrice de Kosovo Foundation for Open Society. En 2008, Valdete Idrizi reçoit, du département d'État des États-Unis, le Prix international de la femme de courage. En 2009, elle reçoit le Prix international Soroptimist pour la paix. Références Source Personnalité féminine kosovare Lauréate du prix international de la femme de courage Militant pour les droits des femmes Naissance en 1973 Naissance à Kosovska Mitrovica
Ługi-Radły
Ługi-Radły est une localité polonaise de la gmina de Przystajń, située dans le powiat de Kłobuck en voïvodie de Silésie. Notes et références Village dans la voïvodie de Silésie Powiat de Kłobuck
Branka Konatar
Branka Konatar, née le , est une joueuse monténégrine de handball. Elle évolue pour le club slovène du RK Krim et l'équipe nationale du Monténégro. Elle a été sélectionnée pour représenter le Monténégro en Championnat du monde 2017. Palmarès compétitions nationales championne du Monténégro en 2018 et 2019 (avec ŽRK Budućnost Podgorica) vainqueur de la coupe du Monténégro en 2018 et 2019 (avec ŽRK Budućnost Podgorica) Références Liens externes Naissance en novembre 1999 Handballeuse internationale monténégrine Wikipédia:ébauche sportif monténégrin Naissance à Podgorica Joueuse du ŽRK Budućnost Podgorica Joueuse du RK Krim
Sealand (pays de Galles)
Sealand est une localité du pays de Galles située dans le comté de Flint (). En 2001, sa population était de . Notes et références Liens externes http://www.visionofbritain.org.uk/place/8807 Communauté dans le Flintshire
Simon-Pierre Bestion
Simon-Pierre Bestion de Camboulas, dit Simon-Pierre Bestion, né le à Rodez, est un musicien, chef d'orchestre et chef de chœur français. Biographie Simon-Pierre Bestion passe la majorité de son enfance en Vendée. Il reçoit ses premiers cours de musique par Abel Gaborit, alors organiste titulaire de la Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption de Luçon. Il est plongé très tôt dans l'univers artistique de ses parents, fondateurs d'une petite compagnie de théâtre musical de marionnettes. Ces derniers transforment un ancien hangar à bateau jouxtant la maison familiale en petit théâtre. Simon-Pierre et ses quatre frères aident leurs parents aux lumières, à la musique, à la billetterie et au bar. Il poursuit sa formation au Conservatoire de Nantes avec Michel Bourcier, y obtient un prix d'orgue et de formation musicale et se forme en parallèle au clavecin à Paris, recevant les conseils de musiciens et musiciennes prestigieux. En 2006, il est finaliste du concours international d'orgue de Béthune, avant de se lancer dans la direction de chœur au Conservatoire de Nantes puis au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Lyon. Il fonde en 2007, toujours étudiant, l'ensemble Europa Barocca, puis le choeur Luce Del Canto l'année suivante. Ces deux entités donnent naissance à la compagnie La Tempête, en 2015. Il collabore également avec des institutions culturelles, notamment en tant que chef invité pour des créations ou des opéras. Il reçoit en 2022 le prix de la fondation Bettencourt-Schueller et de l'Académie des Beaux-arts pour le chant choral. Démarche artistique Simon-Pierre Bestion défend l'intérêt de laisser à l'interprète une très grande liberté dans la manipulation de la matière musicale, la nécessité d'une appropriation très personnelle et totale des œuvres explorées. Marqué très tôt par les œuvres de compositeurs tels que Jean-Louis Florentz, Maurice Ohana ou Leonard Bernstein, il défend une exploration musicale où l'intention sonore prime sur les impératifs musicologiques. Il est profondément marqué par les polyphonies vocales anciennes et les traditions musicales extra-occidentales, dont on retrouve des traces régulières dans ses créations. D'un point de vue scénique, il explore des nouvelles formes d'expression dans le concert classique, mobilisant aussi un travail visuel et acoustique lors de ses représentations. Créations principales 2015 : The Tempest, d'après William Shakespeare (Locke, Purcell, Hersant, Martin, Pécou) - conception arrangements et direction - en disque (2015 - Alpha Classics - alpha608) 2016 : Nocturne (Rachmaninov, chants byzantins) - conception et direction - en disque (2022 - Alpha Classics - alpha897) 2016 : Azahar (Igor Stravinsky, Machaut, Ohana, Alfonso X) - conception, arrangements et direction - en disque (2016 - Alpha Classics - alpha261) 2017 : Vespro (Monteverdi, Anonyme) - conception, arrangements et direction - en disque (2019 - Alpha Classics - alpha552) 2018 : Larmes de Résurrection (Schütz, Schein) - conception, arrangements et direction - en disque (2018 - Alpha Classics - alpha394) 2019 : Bach Minimaliste (Bach, Adams, Gorecki, Alain, Pärt) - en collaboration avec l'artiste numérique Jemma Woolmore 2019 : Jérusalem / Prophete(s) (Liszt, Rachmaninov, Pärt, Schütz, chants traditionnels, ...) - conception, arrangements et direction 2019 : La Bomba Flamenca (Jannequin, de Manchicourt, Narvaez, de Morales, de Orto, Flecha ..) - conception, arrangements et direction 2020 : Hypnos (De Févin, Senfl, Pärt, Tavener, Isaac, Greif, ....) conception, arrangements et direction - en disque (2022 - Alpha Classics - alpha786) 2021 : Stabat Mater (Dvořák, Scarlatti) - conception arrangements et direction Notes et références Liens externes Site de la compagnie La Tempête Chef d'orchestre français Naissance en mars 1988 Naissance à Rodez Élève du conservatoire à rayonnement régional de Nantes
Tonel
António Leonel Vilar Nogueira Sousa, mieux connu sous le nom de Tonel (né le à Lourosa, Portugal) est un footballeur international portugais. Il évolue actuellement au poste de défenseur central à Belenenses Biographie Club Sélection Palmarès Liens externes Footballeur international portugais Naissance en avril 1980 Naissance à Santa Maria da Feira Joueur de l'Associação Académica de Coimbra Joueur du CS Marítimo Joueur du Sporting Clube de Portugal Joueur du Dinamo Zagreb Joueur du SC Beira-Mar Joueur du CD Feirense Joueur du CF Belenenses
Aden Lava Flow Wilderness
L'Aden Lava Flow Wilderness est une aire protégée américaine, au Nouveau-Mexique. Cette Wilderness Area relevant du Bureau of Land Management s'étend sur au sein de l'Organ Mountains-Desert Peaks National Monument. Articles connexes Autres aires protégées de l'Organ Mountains-Desert Peaks National Monument : Broad Canyon Wilderness Cinder Cone Wilderness Liens externes Wilderness relevant du Bureau of Land Management au Nouveau-Mexique Aire protégée créée en 2019 Organ Mountains-Desert Peaks National Monument
(133861) Debrawilmer
(133861) Debrawilmer est un astéroïde de la ceinture principale. Description (133861) Debrawilmer est un astéroïde de la ceinture principale. Il fut découvert le aux monts Santa Catalina par le projet CSS. Il présente une orbite caractérisée par un demi-grand axe de 3,21 UA, une excentricité de 0,12 et une inclinaison de 16,7° par rapport à l'écliptique. Il est nommé d'après un contributeur de la mission OSIRIS-REx dont l'objet est l'étude de l'astéroïde (101955) Bénou. Articles connexes Liste des planètes mineures (133001-134000) Ceinture d'astéroïdes Références Planète mineure découverte en 2004 Astéroïde de la ceinture principale Objet céleste découvert par le Catalina Sky Survey Objet céleste découvert à la Station Catalina Debrawilmer
Psammophis notostictus
Psammophis notostictus est une espèce de serpents de la famille des Lamprophiidae. Répartition Cette espèce se rencontre : en Afrique du Sud ; dans le sud de l'Angola ; en Namibie ; au Botswana. Publication originale Peters, 1867 : Über eine Sammlung von Flederthieren und Amphibien aus Otjimbingue in Südwestafrica, welche Hr. Missionär Hahn dem zoologischen Museum zugesandt hat. Monatsberichte der Königlichen Preussischen Akademie der Wissenschaften zu Berlin, , (texte intégral). Notes et références Liens externes Psammophiinae Serpent (nom scientifique)
Francie
Le mot Francie a été créé par convention par des historiens pour rendre le mot latin Francia autrement que par France (dont c'est la traduction ordinaire), dès lors qu'on se situe aux époques mérovingienne ou carolingienne. Il s'agit, par l'emploi de ce mot, de rendre compte de la multiplicité des royaumes francs sans les confondre avec la France, et d'éviter un anachronisme même si, du Moyen Âge au , les auteurs traduisaient Francia par France sans recours au terme Francie (on ne percevait pas de rupture entre les deux concepts, les rois de France étant les successeurs des rois des Francs, et le changement de titre s'étant fait progressivement ; officiellement, les rois de France porteront exclusivement le titre de roi des Francs, Rex Francorum dans leur titulature latine, jusqu'au et, encore au , des médailles royales reprendront le titre de roi des Francs ; les rois de France sont d'ailleurs comptés et numérotés à partir des rois mérovingiens). L'utilisation du mot Francie a été étudiée par les historiens, notamment Carlrichard Brühl et Margret Lugge, comme révélateur du sentiment d'appartenance au royaume des Francs. Sous les Mérovingiens, le mot Francie est utilisé pour désigner l'ensemble du royaume des Francs, incluant donc la Neustrie et l'Austrasie. Sous les premiers Carolingiens, il continue de désigner l'ensemble des possessions franques à l'exception de l'Italie, puis, après le traité de Verdun de 843, chacun des royaumes issus du partage. À partir du , le mot Francie ne sera appliqué qu'au seul royaume des Francs de l'ouest (qui deviendra le royaume de France), tout en désignant également une région précise, celle du domaine royal. À l'est, dans le monde germanique, il ne désignera plus que la Franconie et la Lotharingie, régions peuplées de Francs, surtout après le remplacement de la dynastie franque des Carolingiens par la dynastie saxonne des Ottoniens. Le mot Francie sous les Mérovingiens Dès l’époque mérovingienne, on prit l’habitude de parler de « Francia » pour désigner l'ensemble du royaume des Francs. Le mot « Francia » apparaît chez Saint Jérôme (vers 348-420) qui la situe sur la rive droite du Rhin et sur des monnaies romaines célébrant des victoires contre ce peuple franc dont le nom signifierait libre. Le royaume des Francs fondé par Clovis est par la suite souvent divisé en sous-royaumes, appelés « parts de royaume » ou « états séparés », suivant la coutume franque de partage équitable du royaume entre les fils du souverain. Les périodes d'unité monarchique sont plutôt exceptionnelles. Cependant, l'unité de ces différents sous-royaumes constituant la Francie est en permanence reconnue, malgré des affrontements parfois violents. Le sentiment d'appartenance à une entité commune et supérieure, le royaume des Francs, couvrant l'essentiel de la Gaule et uni par l'allégeance à une même dynastie royale, reste fort chez les Francs. Ces royaumes savent par ailleurs faire taire leurs conflits internes pour s'unir contre les d'autres royaumes, comme lors des assauts des rois francs contre les Burgondes. Par ailleurs, malgré les partages du royaume unifié par Clovis , tous ses descendants régnant sur des portions du royaume des Francs porteront le titre de roi des Francs, manifestant par là la conscience de l'unité et de l'identité particulière de la Francie. Cette unité de la Francie se manifeste aussi par le caractère indivis de Paris, siège du royaume par la volonté de Clovis , puis la proximité des différentes capitales dans le bassin parisien. Le mot Francie sous les Carolingiens Identité entre Francie et royaume des Francs avant le traité de Verdun (751-843) L'usage de Francie pour désigner le royaume des Francs se maintient sous les premiers Carolingiens. Quelques actes de Charlemagne opposent Francia et Italia, de même qu’à partir de 801 la formule de date de certains capitulaires. Francia se retrouve dans cette acception dans de nombreux textes : chez Éginhard, Nithard, Ermold le Noir, dans les Annales royales et les Annales de Saint-Bertin. À la fin du IX siècle, du fait des conquêtes de Charlemagne, Notker se sent obligé d’expliquer le terme Francie par l’énumération des peuples qu’il englobe, dans une œuvre destinée à perpétuer la mémoire du premier empereur franc. Dès les règnes de Pépin le Bref, Charlemagne et de Louis le Pieux, le mot Francia commence à désigner à la fois l'ensemble du royaume des Francs et une partie de celui-ci. Sous Pépin le Bref, il désigne les régions entre Loire et Rhin par opposition à la Bavière, l'Aquitaine, l'Italie, la Burgondie. Nithard use d’expressions comme tota Francia  ou universa Francia pour désigner le royaume des Francs, réservant Francia à la zone comprise entre la Loire et la Seine ou la Loire et le Rhin. La biographie anonyme de Louis le Pieux oppose Francia à Burgundia, Aquitania, Germania. Polysémie du mot Francie après le traité de Verdun (843) Le passage insensible de Francie, ensemble du territoire soumis aux Francs au nord des Alpes (regnum Francorum), à Francie, simple portion du royaume des Francs se lit clairement dans la formule de date des actes de Lothaire : Lorsqu’il dépose son père en 833-834 et juste après sa mort, il utilise la formule distinguant Francia et Italia selon l’usage de Charlemagne, assimilant la France à l'ensemble du royaume des Francs. Après 843, Francia désigne tout aussi bien la Francie médiane confiée à l'empereur Lothaire , que la Francie de l’Est confiée à Louis le Germanique, ou la Francie de l’Ouest confiée à Charles II le Chauve. De fait, Réginon de Prüm utilise le mot Francie tantôt pour désigner l’ensemble du regnum Francorum, tantôt le royaume de l’ouest, tantôt celui de l’est. Mais l'usage du terme va évoluer différemment dans les trois royaumes. Deux solutions s’offrirent alors : soit préciser le terme de Francie par des épithètes, comme médiane, occidentale, orientale ; soit désigner les royaumes du nom de leur souverain, pratique à l’origine du nom de Lorraine, Lotharingie signifiant royaume de Lothaire. De même, le royaume de l’Ouest fut appelé Carolingie par Widukind mais ce fut sans conséquence durable. Utilisation du mot Francie dans le royaume de l'est Le mot Francie n'est utilisé pour désigner le royaume des Francs orientaux que tant que le trône est occupé par des Carolingiens mais cet emploi du terme cohabite avec une acception plus restrictive correspondant aux zones colonisées par des Francs : ainsi, les actes de Charles III et d’Arnulf de Carinthie appellent Francie la seule partie alémanique du royaume oriental ou bien l’ensemble de cette dernière quand l’unité est refaite. Le royaume des Francs l'est est appelé Francie dans les Annales de Fulda, dans la continuation du Breviarum Erchanberti composée à l’abbaye de Reichenau, dans les Annales de Xanten. Au , dans le royaume de l'est, Francia peut donc désigner soit l’ensemble du royaume, soit une partie de celui-ci, auquel cas le terme renvoie à la Francie du Main ou Franconie (« Mainfranken ») et la Francie du Rhin ou Lotharingie (« Rheinfranken »), par opposition aux territoires des peuples germaniques soumis par les Francs : Alemania, Baioaria, Frisia, Saxonia. En effet, le terme de Francie orientale est antérieur au royaume confié à Louis le Germanique : en 805, les Annales de Metz parlent des orientales Franci, comme les Annales royales, les Annales dites d'Éginhard, ce dernier dans sa Vita Karoli. Le terme de Francie orientale désigne avant 843, les zones peuplées de Francs ethniques à savoir la Francie du Main ou Franconie (« Mainfranken ») et la Francie du Rhin ou Lotharingie (« Rheinfranken »). Vers 840, la Passio Kiliani situe Wurzbourg dans le territoire des australes Franci. Charles III sera le dernier roi de l’est à désigner son royaume sous le nom d’orientalis Francia et les souverains de la dynastie saxonne abandonne toute référence à la Francie pour désigner leur royaume. Contrairement à leurs homologues de l'ouest, ils n'emploient que très rarement le titre de roi des Francs, par exemple lors du traité de Bonn de 921 qui cite les rex occidentalium Francorum (roi des Francs occidentaux) et rex orientalium Francorum (roi des Francs orientaux). Otton de Freising affirme que la Francia Orientalis ou Francie orientale s'appelle désormais Teutonicum regnum, parfois traduit en Français par royaume de Germanie, et il lie le changement de terminologie avec l’arrivée au pouvoir de la dynastie saxonne . Le terme, parfois employé au fil des actes, ne désigne alors plus que la Francie du Main, ce que, dès le milieu du peut-être et sûrement dès le premier quart du , on commence à appeler Franconie. On retrouve la même spécialisation du terme Francie dans des sources historiographiques comme la vie d’Henri II par Adalbert, les Gesta des archevêques de Magdebourg, la biographie d’Otton de Bamberg par Herbord. D'ailleurs, l'opposition entre Francia occidentalis et Francia orientalis ne sert plus qu’à opposer Francie du Rhin (Lotharingie) et Francie du Main (Franconie) dans un diplôme d’Otton , le mot Franc conservant en Germanie une acception essentiellement ethnique par analogie avec le nom des autres peuples germaniques. La non-utilisation du mot Francie pour désigner le royaume de l'est est liée à la distinction faite entre Franc au sens ethnique du terme à l'est et Franc au sens politique du terme à l'ouest : Liutprand de Crémone oppose ainsi les Franci Teutonici de la Francie orientale à la Francie occidentale, Francia quam Romanam dicunt, expression qui a son pendant au XI siècle dans la Latina Francia de Wipo et de Brunon de Merseburg. De même, au X et au XI siècles l'idée que les Francs de l'est germaniques doivent être distingués des Francs de l'ouest ou Français apparaît dans l'espace germanique chez Lampert de Hersfeld qui évoque la Francia Theutonica et Ekkehard d’Aura qui distingue nettement les Franci ou Francs des Francigenae ou Français. Des clercs du prirent soin de distinguer Francs de Français : ainsi, pour Geoffroi de Viterbe, la vera Francia est la région d’entre Meuse et Main. Et Guillaume de Malmesbury note que les habitants de la Lotharingie, ceux de l’Alémanie et « autres peuples transrhénans » veulent se faire appeler Franci ou Francs pour être distingués des Galli ou Français. Utilisation du mot Francie dans le royaume de l'ouest De fait, dans le royaume de l'ouest qui recouvre le territoire originel du royaume des Francs, dès le , le terme « Franc » a perdu toute connotation ethnique du fait des mariages mixtes entre Gallo-romains et Francs et de l'enrôlement dans l'armée de non-Germains. Seul le royaume de l'ouest conservera le nom de Francia ou France . Charles II le Chauve ne fait d’abord référence qu’à ses années de règne, sans précision géographique, puis à partir de son avènement à l’empire (le ), sa chancellerie prend le parti de désigner ses années de règne dans le royaume occidentale par le terme de Francia ou Francie. Le royaume occidental est appelé Francie par Hincmar en 876-877 dans les Annales de Saint-Bertin, dans les Annales de Saint-Vaast, par des poètes comme Sedulius Scottus, tout comme dans les formules de date de certains diplômes royaux. En 877, Louis II le Bègue reprend un temps l’équivalence entre royaume de l'Ouest et Francie, avant que sa chancellerie ne revienne à l’usage de la datation d’après les seules années de règne. Au , l’expression de rex occidentalium francorum figure dans l’œuvre de Richer ; vers 900, l’évêque Asser en Angleterre parle du regnum occidentalium Francorum et l’expression est aussi connue en Lotharingie. Dans les années 911-912, à la suite de la récupération de la Lotharingie, Charles III remet à l’honneur le tire de « rex Francorum » qui sera prédominant chez ses successeurs dans les actes du , et renforcera l'identification entre France, royaume des Francs et Francie occidentale. Dans les actes de Louis IV, le mot Francie désigne l'ensemble du royaume des Francs). Chez Gerbert, proche de la cour de l'est, comme chez Flodoard, seuls les rois de l’Ouest ont droit au titre de reges Francorum de même que le regnum Francorum est le seul royaume occidental. Utilisation du mot Francie en tant que régions Pendant que le mot Francie continue de désigner l'ensemble du royaume de l'ouest, contrairement à ce qui se passe dans le royaume de l'est, un phénomène analogue se produit dans les deux royaumes : la restriction du sens à une portion de chacun des deux royaumes, à l’est comme à l’ouest : À l'est, la Francie s’oppose à la Saxe, la Bavière, la Frise et correspond géographiquement à la Franconie et à la Lotharingie ; À l'ouest, la Francie s’oppose à la Bourgogne, l’Aquitaine, la Septimanie, la Provence et correspond géographiquement à l'Île-de-France. Cette évolution est précoce et les deux usages larges et restreints peuvent cohabiter chez un même auteur, par exemple chez Flodoard au , chez qui le mot Francie désigne l’espace situé entre Loire et Meuse, ou bien la totalité du royaume des Francs de l’ouest. Le mot Francie sous les Capétiens Certains historiens utilisent souvent le mot France pour traduire Francia au lieu de Francie à partir des seuls Capétiens ; d'autres historiens, constatant l'absence de risque de confusion avec la dislocation de la Francie médiane puis la non-revendication au par le royaume de l'est dominé par une dynastie saxonne du nom Francia, parlent de la France carolingienne pour parler de la Francie occidentale comme Renée Mussot-Goulard. Sous les Capétiens comme sous les derniers Carolingiens, l'usage du mot Francia ou France pour désigner non pas la totalité du royaume de l'ouest mais le seul domaine royal cohabitera longtemps avec cette dernière acception, puis se raréfiera avant de disparaître totalement avec l'apparition du terme Île-de-France. Il existe des textes officiels des rois capétiens utilisant le terme « Francia » dès la deuxième moitié du ; Philippe note dans un de ses diplômes : « Philippo regnante in Francia » en 1083 ; vers 1100, la Chronique universelle d’Hugues de Fleury voit dans le partage de 843, la naissance de la Francia, de l’Italia, de l’Alemania mais il utilise également Francia dans le sens restreint de pays d’outre-Loire ou d’Outre-Seine. Au , France désigne parfois l’ensemble du royaume et on parle alors selon l'usage carolingien de Francia tota. C’est la Francia qu’évoque le roi Louis VI pour mobiliser ses troupes en 1124 avant la décisive rencontre avec les impériaux. Au , le Pseudo-Turpin expliquera d'ailleurs pourquoi la Gaule a été appelée France du fait qu'elle est libre de toute servitude. Les croisades en enregistrant et confortant l’élargissement du terme Francs avec par exemple la Gesta Dei per Francos de Guibert de Nogent ont contribué à cette raréfaction de l'acceptation restreinte. Le mot Francia, ou Francie toujours traduit par France, peut désigner également l'ensemble du royaume de France au . À partir du règne de Philippe Auguste, Francia désigne tout le royaume. L’expression de regnum franciæ ou royaume de France est utilisée par la chancellerie au lieu de royaume des Francs mais c’est en 1254 que Rex Francorum laisse la place à Rex Franciæ. Notes et références Notes Références Voir aussi Bibliographie Articles connexes Royaumes francs Généalogie des Mérovingiens Empire carolingien Histoire des Francs État historique en Allemagne Territoire du haut Moyen Âge de:Frankenreich
Armand Tallier
Armand Urbain Édouard Espitallier, dit Armand Tallier, est un acteur français né à Marseille le et mort à Paris le . Biographie Acteur au théâtre et au cinéma au cours de la période du muet, Armand Tallier crée le Studio des Ursulines avec Laurence Myrga, à Paris en 1925, afin d'assurer la diffusion des films d'avant-garde : la première séance a lieu en janvier 1926. Filmographie partielle 1915 : L'Heure du rêve de Léonce Perret 1916 : Un mariage de raison de Louis Feuillade : Jean Févrière 1917 : Mater dolorosa d'Abel Gance : François Rolland 1917 : Les feuilles tombent de Georges Monca : Georges La Marre 1917 : La Vénus d'Arles de Georges Denola 1917 : La Comtesse de Somerive de Georges Denola et Jean Kemm : Kerdren 1917 : L'Esclave de Phidias de Léonce Perret et Louis Feuillade 1918 : Les Travailleurs de la mer d'André Antoine : Ebenezer 1918 : Marion de Lorme d'Henry Krauss : Gaspard de Saverny 1919 : Âmes d'Orient de Léon Poirier : Jean Troyon 1919 : Le Bercail de Marcel L'Herbier 1920 : Le Penseur de Léon Poirier : Jean Kardec 1921 : Mathias Sandorf de Henri Fescourt : Pierre Bathory 1922 : Jocelyn de Léon Poirier : Jocelyn 1925 : La Chaussée des géants de Robert Boudrioz et Jean Durand : François Gérard 1925 : La Brière de Léon Poirier : Jannin 1926 : Le Soleil de minuit de Richard Garrick et Jean Legrand : André Varennes Hommage Prix Armand-Tallier Notes et références Bibliographie Armand Tallier et le Studio des Ursulines, AFCAE, 1963 Liens externes Armand Tallier sur Les Gens du cinéma Acteur français de cinéma Nom de scène Exploitant de salles de cinéma en France Naissance en août 1887 Naissance à Marseille Décès en mars 1958 Décès dans le 8e arrondissement de Paris Décès à 70 ans
ديفيد غاردنر
ديفيد غاردنر (11 سبتمبر 1940 في المملكة المتحدة - ) هو لاعب كريكت بريطاني. لعب مع . مراجع وصلات خارجية أشخاص من ويلتشاير رياضيون من سويندون لاعبو كريكت إنجليز مواليد 1940 لاعبو كريكت من ويلتشاير
Cercle sportif Mars Bischheim 1905
Le Cercle sportif Mars Bischheim 1905 est un ancien club de football français basé à Bischheim. Le club s'appellait tout d'abord avant de prendre le nom de CS Mars Bischheim en 1919. Il comportait une section masculine et une section féminine. En proie à des problèmes financiers, le club dépose le bilan à l'été 2017. La section masculine est principalement reprise par le voisin FC Soleil Bischheim, tandis que la section féminine qui évoluait en DH Alsace rejoint l'AS Pierrots Vauban de Strasbourg. Section féminine La section féminine voit le jour en 2004, la plupart des joueuses provenant de la dissolution de la section féminine du SC Schiltigheim la même année. Jusqu'en 2016, l'équipe jouait au deuxième niveau national dans le championnat de Division 2. En 2016, elle a été reléguée en DH Alsace où elle y disputa une saison, avant le dépôt de bilan du club. Section masculine Entraîneurs 2012-2014 : Stéphane Mickisz Notes et références Club sportif fondé en 1905 Club sportif disparu en 2017 Bischheim Bischheim Bischheim Bischheim
Donatus Magnus
Donatus Magnus (ou Donat le Grand), né vers 273, et mort vers 355, est un évêque schismatique berbère d'Afrique du Nord, dont les partisans prirent le nom de donatistes. Évêque de en Numidie, il provoqua un schisme vers 305 en refusant d'admettre à la communion les traîtres (), ou renégats, c'est-à-dire ceux qui ont livré les vases sacrés et les livres saints aux païens pendant la persécution de Dioclétien, reniant par là le christianisme. Animateur intransigeant de la contestation contre la nomination de l'évêque de Carthage en 307, il est à l'origine du schisme qui porte son nom, le donatisme, qui divisa les chrétiens africains pendant le . Il fit déposer Caecilianus, évêque de Carthage, qu'il accusait d'indulgence par rapport aux traîtres ; mais il fut lui-même excommunié par le pape Miltiade (313), par le concile de Rome (313) et au concile d'Arles (314). Il se révolta, se porta avec ses partisans aux plus grands excès contre les chrétiens non schismatiques et déclencha une guerre civile qui désola l'Afrique sous les règnes de Constantin Ier et de ses successeurs jusqu'à l'invasion des Vandales, qui persécutèrent également donatistes et chrétiens non schismatiques. Parménien lui succéda. La signification profonde du schisme est sujette à débat : on peut y voir l'effet d'une lutte ethnique entre la population romanisée et celle numide, ou celui d'une lutte de classes entre colons et indigènes. Plus profondément encore, ces aspects sociaux et politiques s'enracinent dans l'histoire de l'Église africaine, car l'Église donatiste prolonge les traditions locales, centrées en particulier sur le culte des martyrs. L'Église « catholique », c'est en réalité l'Église « ultra-marine » pour les autochtones, laquelle essaie d'imposer des règles universelles contre le particularisme national. Il faudra tout le génie de saint Augustin pour arriver à résorber le schisme. Notes et références Sources Vincent Serralda et André Huard, Le Berbère... Lumière de l'Occident, 95-97, Nouvelles Éditions Latines, Paris, 1990,. Encyclopédie Saint Augustin, art « Donat, donatisme » de R. Markus, Paris, Cerf, 2005, et suivantes. Annexes Articles connexes Donatisme Optat de Milève Église de Carthage Concile de Cirta Donatisme Évêque en Numidie Évêque du IVe siècle Histoire du christianisme en Afrique
Le Verdict (film, 1962)
Le Verdict (titre original : ) est un film britannique réalisé par Peter Glenville, sorti en 1962. Synopsis Graham Weir est un instituteur dont le casier judiciaire pour avoir refusé de se battre pendant la Seconde Guerre mondiale l'a empêché de progresser davantage dans sa carrière d'enseignant. Des années plus tard, il est marié à une femme très aigrie et officie dans une école avec de nombreux élèves turbulents. Son intérêt sincère pour les progrès de ses élèves l'amène à s'impliquer dans leurs situations personnelles. Son attention particulière pour Shirley Taylor, une étudiante qui a le béguin pour lui, le conduit à de sérieux ennuis... Fiche technique Titre : Le Verdict Titre original : Réalisation : Peter Glenville Scénario : James Barlow et Peter Glenville Photographie : Oswald Morris Montage : Jim Clark Musique : Jean-Michel Damase Direction artistique : Tony Woollard Décors : Wilfred Shingleton Décorateur de plateau : Peter James Costumes : Beatrice Dawson Producteurs : James H. Ware producteur associé, James Woolf et John Woolf (non crédité) Société de production : Romulus Films* Pays d'origine : Royaume-Uni Langue : anglais Format : Noir et Blanc - Son : Mono (Westrex Recording System) Genre : Film dramatique Durée : 130 minutes Date de sortie : Mostra de Venise : New York Distribution Laurence Olivier : Graham Weir Simone Signoret : Anna Sarah Miles : Shirley Taylor Terence Stamp : Mitchell Hugh Griffith : O'Hara Roland Culver : Trowman Dudley Foster : Détective Sergent Keirnan Frank Pettingell : Ferguson Thora Hird : Taylor Norman Bird : M. Taylor Allan Cuthbertson : Sylvan-Jones Barbara Ferris : Joan Rosamund Greenwood : Constance Derren Nesbitt : Locataire Voir aussi Articles connexes Cinéma britannique Bibliographie Monthly Film Bulletin, 345 Sight and Sound, automne 1962, p. 208 Jeanine Marroncle, « Venise 1962 », Téléciné, 107, Paris, Fédération des Loisirs et Culture Cinématographique (FLECC), , Cahiers du cinéma, 144, Liens externes Film britannique sorti en 1962 Film dramatique britannique Film avec une musique composée par Jean-Michel Damase Film britannique en noir et blanc Film en anglais
La Dordogne (ZNIEFF)
Le site La Dordogne est une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) française des départements de la Dordogne et de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine, et très marginalement du Lot, en région Occitanie. Situation Limité aux départements de la Dordogne, de la Gironde et du Lot, le site « la Dordogne » correspond essentiellement au lit mineur du cours d'eau éponyme, depuis Le Roc et Peyrillac-et-Millac à l'est, jusqu'à presque sa confluence avec la Garonne entre Ambès et Bourg, pour former l'estuaire de la Gironde ; il s'étend sur , sur le territoire de riveraines de la Dordogne, , et une dans le Lot. Description Le site « La Dordogne » est une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de , c'est-à-dire qu'elle représente un ensemble naturel riche ou peu modifié, qui offre des potentialités biologiques importantes. Elle possède un rôle fonctionnel ainsi qu'une cohérence écologique et paysagère et inclut territorialement l'intégralité de seize ZNIEFF de beaucoup plus restreintes concernant quatre zones de couasnes et douze frayères. Des recensements y ont été effectués aux niveaux faunistique et floristique. Faune recensée Espèces animales déterminantes De 2013 à 2018, huit espèces déterminantes animales y ont été répertoriées (six insectes, un mammifère et un oiseau) : six insectes odonates : la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Gomphe à crochets (Onychogomphus uncatus), le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii), le Gomphe semblable (Gomphus simillimus), le Gomphe vulgaire (Gomphus vulgatissimus) et la Libellule fauve (Libellula fulva) ; un mammifère : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) ; un oiseau : le Faucon pèlerin (Falco peregrinus). Autres espèces animales Quarante-trois autres espèces animales y ont été recensées : deux agnathes : la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et la Lamproie marine (Petromyzon marinus) ; un crustacé : l'Écrevisse américaine (Faxonius limosus) ; trois mammifères : la Fouine (Martes foina), le Ragondin (Myocastor coypus) et le Renard roux (Vulpes vulpes) ; un mollusque : la Mulette épaisse (Unio crassus) ; dix-huit oiseaux : l'Aigrette garzette (Egretta garzetta), la Bécassine des marais (Gallinago gallinago), la Bergeronnette des ruisseaux (Motacilla cinerea), la Bouscarle de Cetti (Cettia cetti), le Bruant des roseaux (Emberiza schoeniclus), le Canard colvert (Anas platyrhynchos), le Chevalier cul-blanc (Tringa ochropus), le Chevalier guignette (Actitis hypoleucos), le Choucas des tours (Coloeus monedula), le Cincle plongeur (Cinclus cinclus), la Gallinule poule d'eau (Gallinula chloropus), le Grand Corbeau (Corvus corax), la Grue cendrée (Grus grus), le Héron cendré (Ardea cinerea), le Martin-pêcheur d'Europe (Alcedo atthis), la Pie-grièche écorcheur (Lanius collurio), le Tarin des aulnes (Spinus spinus) et le Vanneau huppé (Vanellus vanellus)) ; dix-huit poissons : l'Ablette (Alburnus alburnus), l'Anguille d'Europe (Anguilla anguilla), le Barbeau commun (Barbus barbus), la Bouvière (Rhodeus amarus), la Brème commune (Abramis brama), le Chabot commun (Cottus gobio), le Chevesne (Squalius cephalus), le Gardon (Rutilus rutilus), le Goujon (Gobio gobio), le Grand brochet (Esox lucius), la Grémille (Gymnocephalus cernua), la Loche franche (Barbatula barbatula), la Perche commune (Perca fluviatilis), la Perche soleil (Lepomis gibbosus), le Toxostome (Parachondrostoma toxostoma), la Truite fario (Salmo trutta), le Vairon (Phoxinus phoxinus) et la Vandoise (Leuciscus leuciscus). Flore recensée Espèces végétales déterminantes De 2009 à 2019, cinquante-sept espèces déterminantes végétales ont été recensées sur la ZNIEFF : l'Arabette Tourette (Pseudoturritis turrita), la Balsamine des bois (Impatiens noli-tangere), la Berle dressée (Berula erecta), la Bugle de Genève (Ajuga genevensis), la Camomille mixte (), la Campanule étalée (Campanula patula), la Cardère velue (Dipsacus pilosus), Coincya monensis, la Cotonnière pyramidale (Filago pyramidata), la Crassule mousse (Crassula tillaea), la Crépide bisannuelle (Crepis biennis), la Digitale jaune (Digitalis lutea), la Dorine à feuilles opposées (Chrysosplenium oppositifolium), le Doronic à feuilles en cœur (Doronicum pardalianches), l'Égopode podagraire (Aegopodium podagraria), la Fétuque géante (Lolium giganteum), le Flûteau nageant (Luronium natans), la Gastridie ventrue (), la Gratiole officinale (Gratiola officinalis), le Groseillier des Alpes (Ribes alpinum), le Gypsophile des murailles (Gypsophila muralis), l'Isnardie des marais (Ludwigia palustris), le Jonc à tiges comprimées (Juncus compressus), la Laîche à épis grêles (), la Laîche aiguë (Carex acuta), la Laîche fausse-brize (), la Laîche vésiculeuse (Carex vesicaria), la Lentille d'eau à trois sillons (Lemna trisulca), la Lindernie rampante (Lindernia procumbens), la Lunaire vivace (Lunaria rediviva), la Luzule des bois (Luzula sylvatica), la Lysimaque des bois (Lysimachia nemorum), le Myriophylle verticillé (Myriophyllum verticillatum), la Naïade marine (Najas marina), l'Osier rouge (Salix purpurea), le Pâturin des marais (Poa palustris), le Persil des montagnes (Oreoselinum nigrum), la Petite Ciguë élevée (Aethusa cynapium subsp. elata), la Petite Renouée (), le Polypode austral (Polypodium cambricum), le Polystic à aiguillons (Polystichum aculeatum), le Potamot dense (Groenlandia densa), le Potamot des Alpes (Potamogeton alpinus), le Potamot filiforme (Potamogeton trichoides), le Potamot perfolié (Potamogeton perfoliatus), la Pulicaire commune (Pulicaria vulgaris), la Pulmonaire semblable (Pulmonaria affinis), la Rorippe des Pyrénées (Rorippa pyrenaica), le Saule à trois étamines (Salix triandra), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus), le Scirpe épingle (Eleocharis acicularis), la Scrofulaire des chiens (Scrophularia canina), le Souchet de Michel (Cyperus michelianus), le Souchet jaunâtre (Cyperus flavescens), le Trèfle étalé (Trifolium patens), la Vallisnérie spiralée (Vallisneria spiralis) et la Zannichellie des marais (Zannichellia palustris). Autres espèces végétales Trente-neuf autres espèces végétales non déterminantes y ont été répertoriées, principalement entre 2009 et 2019 : l'Agrostide stolonifère (Agrostis stolonifera), l'Ail des ours (Allium ursinum), l'Alchémille oubliée (Aphanes australis), l'Amarante de Bouchon (Amaranthus hybridus subsp. bouchonii), l'Amarante échancrée (Amaranthus blitum subsp. emarginatus), l'Ancolie commune (Aquilegia vulgaris), l'Aulne glutineux (Alnus glutinosa), la Berce de Sibérie (Heracleum sibiricum), le Bident tripartite (Bidens tripartita), le Brome dressé (Bromus erectus), la Capillaire de Montpellier (Adiantum capillus-veneris), le Cornifle nageant (Ceratophyllum demersum), le Cresson des marais (Rorippa palustris), , l'Élodée de Nuttall (Elodea nuttallii), l'Épiaire des marais (Stachys palustris), l'Érable negundo (Acer negundo), le Frêne élevé (Fraxinus excelsior), le Groseillier à grappes (Ribes rubrum), la Jussie rampante (Ludwigia peploides), la Knautie d'Auvergne (Knautia arvernensis), la Laîche espacée (Carex remota), la Laîche faux souchet (Carex pseudocyperus), la Lentille d'eau à nombreuses racines (), la Lindernie fausse-gratiole (Lindernia dubia), l'Ornithogale des Pyrénées (Ornithogalum pyrenaicum), le Panic pied-de-coq (Echinochloa crus-galli), le Peuplier noir (Populus nigra), Physcomitrella patens, le Polypogon de Montpellier (Polypogon monspeliensis), le Potamot de Berchtold (), le Potamot pectiné (Stuckenia pectinata), la Renouée persicaire (Persicaria maculosa), Riccia cavernosa, la Riccie flottante (Riccia fluitans), le Saule blanc (Salix alba), le Souchet robuste (Cyperus eragrostis), le Trèfle strié (Trifolium striatum) et la Véronique des montagnes (Veronica montana). Protection de la flore Deux espèces végétales de la ZNIEFF, la Gratiole officinale et la Pulicaire commune, sont protégées sur l'ensemble du territoire français. Espaces connexes Natura 2000 Limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, le site Natura 2000 « La Dordogne » correspond essentiellement au lit mineur du cours d'eau éponyme, ainsi qu'à la végétation de ses berges et à quelques sur les de son parcours, depuis son entrée dans le département de la Dordogne à Cazoulès, jusqu'à sa confluence avec la Garonne entre Ambès et Saint-Seurin-de-Bourg, pour former l'estuaire de la Gironde ; il s'étend sur , sur le territoire de riveraines de la Dordogne, et . Son emprise est en grande partie comprise dans celle de la ZNIEFF du même nom, et associe en plus Cazoulès, qui fait partie de la ZNIEFF « La Dordogne quercynoise » et quatre communes girondines associées à la ZNIEFF « Estuaire de la Gironde » : Bayon-sur-Gironde et Saint-Seurin-de-Bourg intégralement, ainsi que partiellement Ambès (en aval du lieu-dit Troubadis) et Bourg (en aval de son confluent avec le ruisseau des Marguerites). Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées. ZNIEFF Plusieurs ZNIEFF de , de superficies restreintes concernant quatre zones de couasnes et douze frayères sont incluses dans la ZNIEFF de de la Dordogne : couasne de Carsac ; couasnes de Saint-Julien-de-Lampon ; couasnes de Siorac et du Buisson ; couasnes de Veyrignac et Aillac ; frayère d'Arveyres ; frayère de Beaupoil ; frayère de Bergerac ; frayère de le Gambul ; frayère de Lamothe-Montravel ; frayère de Pessac-sur-Dordogne ; frayère du Pinson ; frayère du Pont de la Beauze ; frayère du Port du Fleix ; frayère de Saint-Aulaye ; frayère de Saint-Jean-de-Blaignac ; frayère de Saint-Martin. Ces douze frayères sont potentiellement celles où peut se reproduire l'Esturgeon d'Europe, celle de Bergerac étant la plus éloignée de l'océan, à , juste en aval du barrage de Bergerac. Notes et références Notes Références Voir aussi Articles connexes Liste des ZNIEFF de la Dordogne Liste des ZNIEFF du Lot Liste des ZNIEFF de la Gironde La Dordogne (Natura 2000) Dordogne (fleuve français) Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique ZNIEFF de type II en Dordogne ZNIEFF de type II en Gironde ZNIEFF de type II dans le Lot
Emma-Kate Lidbury
Emma-Kate Lidbury née le dans le comté de Wiltshire est une triathlète professionnelle anglaise, multiple vainqueur sur distance Ironman 70.3. Biographie Jeunesse Journaliste de formation à l'Université de Cardiff, Emma-Kate Lidbury a découvert le triathlon grâce à son métier à l'Oxford Mail and Times en 2005. L'hebdomadaire parrainait le premier triathlon de Blenheim dans l'Oxfordshire, ils voulaient qu'un journaliste fasse la course, le choix fut assez rapide puisqu'Emma-Kate fut nageuse de compétition lorsqu'elle était adolescente. Carrière en triathlon Emma-Kate remporte l'Ironman 70.3 Augusta en 2011, trophée qu'elle défend un an plus tard, seulement battue par la championne du monde en titre l'australienne Melissa Hauschildt. Le doublé, elle le réussit à Majorque où elle remporte l'Ironman 70.3 en 2011 et 2012. En 2013, elle confirme sur l'épreuve du circuit 70.3 au Texas par sa plus belle victoire devant quatre américaines réputées Kelly Williamson, Caitlin Snow, Liz Lyles et Jessica Jacobs. L'année d'après, elle triomphe à l'Ironman 70.3 Kansas. Vie privée L'ancienne journaliste a commencé comme triathlète professionnelle en 2009 et vit maintenant à Oxford avec son partenaire Ian Osborne. Palmarès Les tableaux présentent les résultats les plus significatifs (podium) obtenus sur le circuit international de triathlon depuis 2010. Notes et références Voir aussi Articles connexes Ironman 70.3 Liens externes Triathlète anglaise Naissance en février 1980 Naissance dans le Wiltshire
Gare de Matsusaka
La est une gare ferroviaire de la ville de Matsusaka, dans la préfecture de Mie au Japon. Elle est exploitée par les compagnies JR Central et Kintetsu. Situation ferroviaire La gare de Matsusaka est située au point kilométrique (PK) 34,6 de la ligne principale Kisei et au PK 8,4 de la ligne Kintetsu Yamada. Elle marque le début de la ligne Meishō. Historique La gare de Matsusaka a été inaugurée le . Service des voyageurs Accueil La gare dispose d'un bâtiment voyageurs, avec guichets, ouvert tous les jours. Desserte JR Central Ligne principale Kisei : voies 1 et 3 : direction Kameyama et Nagoya voie 4 : direction Shingū et Iseshi Ligne Meishō : voie 5 : direction Ieki et Ise-Okitsu Kintetsu Ligne Kintetsu Yamada : voies 6 et 7 : direction Ise-Nakagawa, Kintetsu-Nagoya, Osaka-Uehommachi et Kyoto voies 7 et 8 : direction Ujiyamada et Kashikojima Notes et références Liens externes La gare de Matsusaka sur le site de la JR Central La gare de Matsusaka sur le site de la Kintetsu Gare dans la préfecture de Mie Gare JR Central Gare Kintetsu Gare mise en service en 1894
Valla (Burkina Faso)
Valla est une commune rurale située dans le département de Malba de la province du Poni dans la région Sud-Ouest au Burkina Faso. Géographie Histoire Économie Santé et éducation Le centre de soins le plus proche de Valla est le centre de santé et de promotion sociale (CSPS) de Malba tandis que le centre hospitalier régional (CHR) de la province se trouve à Gaoua. Notes et références Ville dans le département de Malba
Ernst Reicher
Ernst Reicher, né le à Berlin et mort le à Prague, est un acteur et réalisateur allemand. Biographie Filmographie sélective Comme réalisateur 1917 : Das Geschäft 1920 : Der Sprung ins Dunkle 1921 : Das Rattenloch coréalisé avec Max Obal (+ acteur) 1923 : Im letzten Augenblick (+ acteur) Comme acteur 1913 : Richard Wagner de Carl Froelich 1916 : Gräfin de Castro d'Adolf Gärtner 1924 : La Belle Aventure (Das schöne Abenteuer) de Manfred Noa 1932 : Raspoutine d'Adolf Trotz 1936 : Le Golem de Julien Duvivier Notes et références Liens externes Réalisateur allemand Acteur allemand Naissance en septembre 1885 Naissance à Berlin Décès en mai 1936 Décès à Prague Décès à 50 ans
Communauté rurale de Touba Fall
La communauté rurale de Touba Fall est une communauté rurale du Sénégal située au centre-ouest du pays. Elle fait partie de l'arrondissement de Ndame, du département de Mbacké et de la région de Diourbel. Lors du dernier recensement, la CR comptait personnes et ménages. Notes et références Touba Fall
Vilayet d'Erzurum
Le vilayet d'Erzurum (en turc ottoman : ولايت ارضروم, Vilâyet-i Erzurum) est un vilayet de l'Empire ottoman. Créé en 1867, il disparaît en 1923. Sa capitale est Erzurum. Histoire Le vilayet d'Erzurum remplace l'ancien eyalet ou pachalik d'Erzurum en 1867. En 1875, il est partagé entre les vilayets d'Erzurum, de Bitlis, de Van, de Hakkari, de Dersim (Hozat) et de Kars-Çildir (Kars). À la suite de la guerre russo-turque de 1877-1878, la région de Kars est annexée à l'Empire russe et devient l'oblast de Kars. En février-, la ville d'Erzurum entre en insurrection pendant deux semaines. Les manifestants, membres de l'armée, de l'administration ou des classes moyennes, demandent l'abolition des nouveaux impôts, la dissolution de la cavalerie tribale kurde (Hamidiés) et le retour à la Constitution ottomane de 1876. le gouverneur est séquestré par les mécontents mais le chef de la 4 armée, , refuse d'intervenir contre les manifestants et obtient le renvoi du gouverneur. De nouvelles manifestations éclatent en , un des meneurs étant le mufti de la ville : des heurts entre manifestants et policiers entraînent un petit nombre de tués et blessés mais, de nouveau, Zeki Pacha refuse de réprimer les manifestants. À la différence des troubles des années précédentes, ceux de 1906 rassemblent musulmans et chrétiens et ne conduisent à aucune violence interethnique contre ces derniers Erzurum fait partie des six vilayets de l'est de l'Anatolie dont la population comprend une importante minorité arménienne. Mehmet Celal Bey, gouverneur d'Erzurum en 1910-1911, sera un des rares hommes d’État ottomans à s'opposer à la déportation des Arméniens en 1915. En 1911, la armée ottomane, chargée de la défense de la frontière du Caucase, établit son état-major à Erzincan. Pendant la Première Guerre mondiale en Orient, la province est envahie par l'armée impériale russe qui remporte la bataille d'Erzurum en . La révolution d'Octobre 1917 amène la Russie à se retirer de la campagne du Caucase par l'armistice d'Erzincan, signé avec les Ottomans le , et à leur laisser le pays par le traité de Batoum (). La région est revendiquée par la république d'Arménie qui l'obtient par le traité de Sèvres en août 1920 mais ces dispositions n'entrent jamais en vigueur. Au (juillet-), les nationalistes turcs, sous la présidence de Mustafa Kemal, proclament leur refus de tout partage de l'Anatolie : c'est le point de départ de la guerre d'indépendance turque. En 1923, le traité de Lausanne reconnaît l'autorité de la Turquie sur la région. Territoire Le vilayet d'Erzurum est situé dans le nord-est de l'Anatolie, à la frontière avec la Perse et la Russie. Il est bordé au nord-ouest par le vilayet de Trébizonde, à l'ouest par le vilayet de Sivas, au sud-ouest par les vilayets de Mamouret-ul-Aziz et de Diyarbekir et au sud-est par les vilayets de Bitlis et de Van. Il contient les sources de l'Araxe et de l'Euphrate. Subdivisions Le vilayet est divisé en trois sandjaks : le sandjak d'Erzurum ; le sandjak d'Erzincan le sandjak de Bayezid. Notes et références Voir aussi Articles connexes Six vilayets Lien externe Louis-Frédéric Hoffmann, Le vilayet d'Erzeroum. D'après des documents fournis par M. Vital Cuinet, M. C., Secrétaire de l'Administration de la dette publique ottomane, à Constantinople. Première partie in Le Globe. Revue genevoise de géographie, tome 30, 1891. p. 74-101. Bibliographie Vilayet de l'Empire ottoman Anatolie ottomane Erzurum Division administrative fondée en 1867
Cadillac Orleans
La Cadillac Orleans était un concept-car conçu par Cadillac pour le circuit du salon de l'auto de 1953. Ce fut le premier concept de hardtop à quatre portes. La conception du toit rigide a éliminé le montant B traditionnel que l'on trouve sur la plupart des voitures de l'époque. Propulsée par un moteur Cadillac V8 d'une puissance de 210 ch (157 kW), l'Orleans n'a jamais été mise en production. Les innovations de conception sur cette voiture ne seront pas mises dans une voiture de production avant la berline Cadillac DeVille de 1956. La voiture comportait également des portes suicide, un pare-brise enveloppant, la climatisation complète et plusieurs tentatives d'amélioration de la sécurité, telles qu'une caractéristique qui permettait d'ouvrir les portes uniquement si la voiture était au point mort. Une autre caractéristique de luxe unique était l'ajout d'un convertisseur courant alternatif / courant continu et d'une prise domestique normale pour permettre aux appareils électroniques d'être connectés à la voiture. Un compartiment dans le dossier contenait un rasoir électrique pour hommes, une trousse de toilette et un miroir. Références Orleans Automobile des années 1950
Mort de Sandra Bland
La mort de Sandra Bland est une affaire judiciaire américaine provoquée par le suicide controversé en prison de la militante afro-américaine Sandra Bland le 13 juillet 2015, trois jours après son arrestation pour défaut de signalisation en conduisant. Sandra Bland Biographie Sandra Bland est née le 7 février 1987 à Naperville, dans la banlieue de Chicago en Illinois. Ses parents divorcent alors qu'elle est enfant et elle grandit dans le quartier pauvre mais dynamique de Valley, dans l'ouest de la ville, avec sa mère qui cumule plusieurs emplois et ses quatre sœurs. En 1996, la famille déménage dans un appartement à Hinsdale puis dans une maison à Villa Park où Sandra Bland étudie au lycée Willowbrook et se révèle une excellente élève. En 2005, elle entre à l'université A&M de Prairie View au Texas, l'une des universités historiquement noires pour étudier l'agriculture. Elle obtient une bourse de la fanfare et intègre la sororité Sigma Gamma Rho. Diplômée en 2009, elle retourne dans l'Illinois. Activiste Black Lives Matter Militante pour les droits civiques, en particulier au sein du mouvement Black Lives Matter, Sandra Bland poste à partir de janvier 2015 des vidéos sur les réseaux sociaux sous le titre Sandy Speaks où elle traite notamment des violences policières. Son dernier message publié sur Twitter concerne la fusillade de l'église de Charleston en Caroline du Sud où Dylann Roof, un homme blanc, a tué neuf personnes noires. Arrestation Le 9 juillet 2015, elle retourne au Texas pour un entretien d'embauche à l'université A&M de Prairie View et est engagée comme coordinatrice de la sensibilisation de la communauté. Elle est interpellée le lendemain alors qu'elle se rendait à son nouveau travail pour ne pas avoir mis son clignotant par le policier Brian Encinia âgé de 30 ans. La situation dégénère et Sandra Bland est arrêtée pour « agression sur fonctionnaire » et emprisonnée, faute de pouvoir payer la caution dont le montant s'élève à 5 000 dollars. Elle est retrouvée morte dans sa cellule trois jours plus tard. Selon plusieurs sources, la vidéo de l'arrestation qui a été filmée depuis le véhicule de police disposant d'une caméra et diffusée par les autorités, aurait été modifiée, en coupant certaines scènes dans l'intérêt du policier. Filmographie L'affaire a fait l'objet d'un film documentaire réalisé par les cinéastes Kate Davis et David Heilbroner pour la chaîne de télévision HBO, diffusé en 2018, Say Her Name: The Life and Death of Sandra Bland. Références Articles connexes Black Lives Matter Say Her Name Pas de justice, pas de paix Homicide Juillet 2015 aux États-Unis Afro-Américains Black Lives Matter 2015 au Texas Say Her Name Bland
Tommy Sheppard
Tommy Sheppard, né le à Coleraine (Irlande du Nord), est un homme politique britannique, membre du Parti national écossais (SNP) et député à la Chambre des communes du Royaume-Uni de la circonscription d'Édimbourg-Est depuis . Militant républicain, il est anciennement porte-parole du SNP pour le Bureau du Cabinet. Il est également connu pour avoir fondé les Stand Comedy Clubs à Édimbourg et à Glasgow. Jeunesse et éducation Sheppard est né à Coleraine, comté de Londonderry, en Irlande du Nord, en 1959 et déménage à Portstewart à l'âge de sept ans. Il fait ses études à la Coleraine Academical Institution avant de fréquenter l'Université d'Aberdeen pour étudier la médecine . Il obtient un diplôme en politique et en sociologie en 1982. La même année, il est élu vice-président du NUS et s'installe à Londres . Carrière politique Il quitte le NUS en 1984 pour travailler dans l'East End de Londres et en 1986, il est élu membre travailliste du Hackney London Borough Council. En 1990, il est chef adjoint du Conseil . Sheppard se présente sans succès à Bury St Edmunds aux élections générales de 1992 au Royaume-Uni pour le Parti travailliste, avec 14 767 voix et 23,6% des voix. Il retourne en Écosse et s'installe à Édimbourg, prenant un poste au Conseil de district. En 1994, il est nommé secrétaire général adjoint du Parti travailliste écossais sous John Smith. En 1997, il est débarqué en raison de désaccords politiques internes. Il cesse de renouveler son adhésion au Parti travailliste en 2003, déclarant: «J'ai rejoint le Parti travailliste en 1979, juste avant mon anniversaire. Maintenant, 25 ans plus tard, j'ai enfin réussi à annuler le prélèvement automatique. Je ne peux plus me résoudre à voter travailliste. Mon point de vue a à peine changé, mais clairement le Parti travailliste a changé. Je ne peux plus croire que le Parti travailliste est susceptible de changer beaucoup le monde, ou du moins pas dans une direction que je voudrais ". En 2012, il est l'organisateur de la campagne à Edimbourg Sud pour Yes Scotland, mais n'a rejoint le SNP qu'en 2014 après le référendum sur l'indépendance de l'Écosse en 2014. Il est choisi comme candidat pour la circonscription d'Edimbourg Est et obtient 23 188 voix et 49,2% des suffrages, avec une majorité de 9 106 voix et battant la députée travailliste sortante Sheila Gilmore. En , il est élu au Comité exécutif national du SNP. En , la commission parlementaire des normes annonce que M. Sheppard fait l'objet d'une enquête pour revenus non déclarés. Il est réprimandé dans la presse par le président Lord Bew, qui demande que des réformes soient apportées au processus de contrôle des revenus des députés. Sheppard est un républicain convaincu, et lors du Mariage du prince William et de Catherine Middleton, son attitude suscite quelques critiques . Sheppard est athée et humaniste et est élu vice-président du groupe humaniste parlementaire multipartite en 2017 . Il conserve son siège à Édimbourg-Est lors des élections générales au Royaume-Uni de 2017, mais avec une majorité légèrement réduite . Au cours de la campagne, il exhorte les Verts écossais à se retirer dans les sièges marginaux où le vote indépendantiste pourrait être divisé . À la suite des élections de 2017, qu'il qualifie de "réveil majeur" pour le SNP, Sheppard encourage le Premier ministre Nicola Sturgeon à abandonner les projets d'un deuxième référendum sur l'indépendance écossaise avant le Brexit. Il suggère que la cause de l'indépendance de l'Écosse serait mieux servie si Sturgeon offrait à l'Écosse un vote sur une future relation avec l'Union européenne après le Brexit et seulement une fois que l'Écosse serait devenue indépendante . En , il affirme que l'Écosse a toujours un mandat pour un deuxième référendum sur l'indépendance et que les conservateurs ont tort de penser que la perte de sièges du SNP lors des élections générales anticipées a retardé le calendrier d'un deuxième vote . Il exprime son admiration pour le réformateur et radical écossais du Thomas Muir, liant la politique et la vie de Muir au mouvement indépendantiste écossais moderne . En 2018, il est largement considéré comme l'un des prétendants possibles à l'élection à la direction des députés du Parti national écossais de 2018, après s'être présenté à la précédente élection à la direction des députés de 2016, mais il ne se présente pas . Sheppard est cofondateur et ancien directeur et promoteur des Stand Comedy Clubs à Édimbourg, Glasgow et Newcastle . Vie privée En 2016, il déclare à John Pienaar sur BBC Radio 5 Live qu'il a pris des amphétamines et du cannabis quand il était plus jeune . Il est associé honoraire de la National Secular Society . Références Liens externes Député du 58e Parlement du Royaume-Uni Député du 57e Parlement du Royaume-Uni Député du 56e Parlement du Royaume-Uni Député du Parti national écossais Personnalité du Parti travailliste écossais Personnalité politique liée à l'Irlande du Nord Républicain britannique Étudiant de l'université d'Aberdeen Naissance en mars 1959
Le Lycéen
Le Lycéen est un film français réalisé par Christophe Honoré et sorti en 2022. Ce film a été projeté en sélection officielle lors du festival international du film de Saint-Sébastien 2022, où l'acteur principal, Paul Kircher, reçoit le prix de la meilleure interprétation. Synopsis Lucas, jeune adolescent, voit son existence voler en éclats à la mort soudaine de son père. Il voit désormais sa vie comme une bête sauvage qu'il lui faut dompter. Avec l'aide de sa mère et de son frère, Lucas va devoir lutter pour apprendre à espérer et aimer de nouveau. Fiche technique Titre original : Le Lycéen Réalisation et scénario : Christophe Honoré Photographie : Rémy Chevrin Montage : Chantal Hymans Musique : Yoshihiro Kanno Production : Philippe Martin, David Thion Société de production : Les Films Pelléas Société de distribution : Memento Distribution Pays de production : Langue originale : français Genre : drame Durée : Dates de sortie : Canada : (Festival international du film de Toronto) France : Classification : France : tous publics avec avertissement lors de sa sortie en salles mais déconseillé aux moins de 12 ans à la télévision. Distribution Paul Kircher : Lucas Ronis Vincent Lacoste : Quentin Ronis Juliette Binoche : Isabelle Ronis Erwan Kepoa Falé : Lilio Roso Adrien Casse : Oscar Pascal Cervo : Père Benoît Anne Kessler : Sonia Christophe Honoré : Claude Ronis Elliot Jenicot : Thierry Matéo Demurtas : Gabriel Production Genèse et développement Christophe Honoré s'est inspiré de sa propre vie pour écrire le rôle de Lucas. « Je m’étais donné comme cible d’exprimer des émotions liées à une période particulière de mon adolescence lorsque mon père a disparu. C’est un film que j’ai souvent reporté mais là, j’ignore d’ailleurs pourquoi, je me sentais assez armé pour essayer de me reprojeter dans cette histoire. » Distribution des rôles La recherche de l'acteur pour le rôle principal a duré trois mois. Paul Kircher a été sélectionné parmi plus de trois cents jeunes adolescents. Pour préparer le rôle, Christophe Honoré lui demande notamment de lire La Tendresse d'Edmund White et de visionner À nos amours de Maurice Pialat, pour s'imprégner du personnage de Lucas. Pour le rôle du frère de Lucas, Christophe Honoré fait appel à Vincent Lacoste. Il s'agit de leur troisième collaboration, après Plaire, aimer et courir vite et Chambre 212. Accueil Critiques Le film est globalement très apprécié de la critique et reçoit une moyenne de 3,8/5 par la presse sur AlloCiné. Le critique Jean-Marc Lalanne des Inrockuptibles, considère que le Lycéen est « un feu d'artifice vivace et virtuose, où toutes les possibilités expressives du cinéma atteignent un point d'incandescence » mais également « un objet de jouissance esthétique ». Dans Le Monde, Jacques Mandelbaum écrit que si Christophe Honoré « a su admirablement restituer l’alchimie complexe de ce passage qu’est l’adolescence », c'est en partie grâce « à son jeune acteur, Paul Kircher, qui possède, sans se forcer et à un degré suprêmement cinégénique, ces vertus ». Enfin, Le Parisien y voit « un film d’inspiration autobiographique extrêmement sensible, sensuel et émouvant » et souligne « le charme singulier » de Paul Kircher, « qui révèle une incroyable présence et confère à ce drame une sincérité bouleversante ». Pour L'Humanité « en se mettant à nu comme jamais, Christophe Honoré tend un miroir à notre époque inquiète sans jamais oublier la joie, la légèreté et l’insouciance auxquelles ont droit tous les adolescents ». Le magazine Première considère que « de l’ensemble se dégage un étrange mélange de vulnérabilité et de force, mais aussi quelque chose de duveteux, de réconfortant ». Pour Libération, « Il est émouvant de retrouver la fraîcheur du regard du cinéaste dans ce portrait d’adolescence, qui embrasse tout à la fois ce quelque chose d’égoïste, tête à claque, tragique, cette idiotie romantique d’un jeune homme qui se marre avec des idées noires ». Box-office Distinctions Récompenses Festival international du film de Saint-Sébastien 2022 : Concha d’argent de la Meilleure interprétation : Paul Kircher Festival de films francophones Cinemania 2022 : Prix du meilleur acteur : Paul Kircher Nominations Prix Louis-Delluc 2022 : Meilleur film Prix Lumières 2023 : Meilleur scénario pour Christophe Honoré Révélation masculine pour Paul Kircher César 2023 : Meilleur espoir masculin pour Paul Kircher Festival du film de Cabourg 2023 : section Ciné Swann Notes et références Liens externes Film français sorti en 2022 Film dramatique français Film réalisé par Christophe Honoré Film français sur l'homosexualité masculine Film sur les enfants et les adolescents LGBT Film sur la sexualité des mineurs Film sur la famille Film sur le deuil Film sur la dépression
Lucelia Blanco
Lucelia Blanco, née le à Barranquilla, est une grimpeuse vénézuélienne. Elle participe à la coupe du monde d'escalade de vitesse ainsi qu'aux championnats panaméricains d'escalade de bloc et de vitesse. Biographie Palmarès Championnats du monde d'escalade Coupe du monde d'escalade 2008 Médaille d'or en vitesse 2010 Médaille de bronze en vitesse Championnats panaméricains 2012 Médaille d'or en vitesse 2010 Médaille d'or en vitesse Médaille d'argent en bloc Notes et références Naissance en juin 1982 Grimpeuse vénézuélienne Grimpeuse compétitrice
Lons
Lons (prononcer ; en béarnais Lons ou Louns) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine. Le gentilé est Lonsois. Géographie Localisation La commune de Lons se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle se situe à par la route de Pau, préfecture du département. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau. Les communes les plus proches sont : Billère (), Laroin (), Lescar (), Jurançon (), Pau (), Gelos (), Artiguelouve (), Bizanos (). Sur le plan historique et culturel, Lons fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté. Hydrographie Les terres de la commune sont arrosées par le gave de Pau et par ses affluents, les ruisseaux la Herrère, le Mohedan et l'Ousse des Bois, elle-même rejointe sur la commune par le canal du Moulin et son tributaire, le ruisseau le Lau (alimenté par le ruisseau Lescoure). Des affluents du Luy de Béarn, l'Aïgue Longue (alimenté par le ruisseau le Lata sur la commune) et l'Uzan, coulent également sur le territoire de Lons. Climat Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs. Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après. Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat complétée par des études régionales prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et qui se trouve à à vol d'oiseau, où la température moyenne annuelle évolue de pour la période 1971-2000, à pour 1981-2010, puis à pour 1991-2020. Milieux naturels et biodiversité Réseau Natura 2000 Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau », d'une superficie de , un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues encore vivace et une au titre de la « directive Oiseaux » : le « barrage d'Artix et saligue du gave de Pau », d'une superficie de , une vaste zone allongée bordant les saligues du gave, et incluant des terres agricoles et urbaines en amont d'un barrage. Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de est recensée sur la commune : le « lac d'Artix et les saligues aval du gave de pau » (), couvrant du département et une ZNIEFF de : le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » (), couvrant dont 10 dans les Landes, 59 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées. Autres milieux naturels Lons est fréquemment qualifiée de « ville verte ». En effet, avec environ 80 hectares d'espaces verts, la commune de Lons propose un cadre de vie naturel verdoyant, arboré et boisé. Le Lanot du Castet (La petite lande du château) est un espace naturel et agricole situé en grande partie sur la commune de Lons. D’une superficie de plus de 50 hectares d’un seul tenant, ce poumon vert se situe entre le quartier du Tonkin, le chemin des vignes et la voie Nord-Sud. Lieu prisé des Lonsois, il se compose de bois de feuillus, de prairies fleuries, de champs avec talus et fossés, d’une petite rivière, de coteaux et d’une saulaie sauvage. C’est un corridor écologique à la faune et à la flore remarquables, ainsi qu'une liaison douce entre les communes de Lescar, Billère et Lons. La ville de Lons propose des chemins de promenade (guide du « Par-ci Par-Lons »). Urbanisme Typologie Lons est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. Elle appartient à l'unité urbaine de Pau, une agglomération intra-départementale regroupant et en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire, qui regroupe , est catégorisée dans les aires de à moins de . Occupation des sols L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (79,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (59,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (50,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (24,4 %), terres arables (10,6 %), forêts (7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %), eaux continentales (0,4 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui). Lieux-dits et hameaux Le Bourg ; Le Mail, quartier commercial comprenant un hypermarché, des commerces et des hôtels ; Le Perlic, ZAC créée à partir de 1975 ; Le Pesqué Lourd ; Pont-Long ; Le Tonkin ; La Zone (zone industrielle). Voies de communication et transports La commune est desservie par les routes nationales 117 et 417. Risques majeurs Le territoire de la commune de Lons est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle. Risques naturels La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Pau, regroupant concernées par un risque de débordement du gave de Pau, un des qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1800, crue la plus importante enregistrée à Orthez (H = au pont d'Orthez), du , exceptionnelle par son ampleur géographique, des 27 et , la plus grosse crue enregistrée à Lourdes depuis 1875, du , du ( à Orthez pour Q = ), du , du ( à Rieulhès pour Q = ) et du . Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de à ), moyen (temps de retour de à ) et extrême (temps de retour de l'ordre de , qui met en défaut tout système de protection). La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1992, 1993, 1996, 2006, 2008, 2009 et 2011. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 1,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort. Risque particulier Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Lons est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments. Toponymie Le toponyme Lons apparaît sous les formes Lod et Sanctus-Petrus de Alod (respectivement et 1101, cartulaire de Lescar), Laas, Lagos, Laoos et Laos (, Anciens Fors), Laoos, Loth et Los (respectivement 1170 et pour les deux dernières formes, cartulaire de Sauvelade<ref name="Sauvelade">Cartulaire de l'abbaye Notre-Dame de Sauvelade, publié par extraits dans les preuves de lHistoire de Béarn de Pierre de Marca</ref>), Léos (1385, censier de Béarn), Loos et Leoos (respectivement 1540 et 1546, réformation de Béarn). Son nom béarnais est Lons ou Louns''. Histoire Paul Raymond note qu'en 1385, Lons comptait trente-et-un feux et dépendait du bailliage de Pau. La baronnie de Lons devint un marquisat en 1648 qui englobait Abitain, Anoye, Baleix, Castillon, Juillacq, le Leu (hameau d'Oraàs), Lion, Lons, Maspie, Oraàs, Peyrède (fief d'Oraàs), Sauvagnon et Viellepinte. Héraldique Politique et administration Tendances politiques et résultats Liste des maires Intercommunalité La ville de Lons fait partie de sept structures intercommunales : l’agence publique de gestion locale ; la communauté d'agglomération de Pau Béarn Pyrénées ; le SIVU pour le service de soins infirmiers à domicile pour personnes âgées du canton de Lescar ; le SIVU pour le stationnement des gens du voyage Lons - Billère ; le syndicat AEP de la région de Jurançon ; le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ; le syndicat intercommunal de défense contre les inondations du gave de Pau. Lons accueille le siège du SIVU pour le stationnement des gens du voyage Lons - Billère. Historique des logos Jumelages . Population et société Démographie Lons fait partie de l'aire urbaine de Pau. Avec aujourd'hui plus de 12 000 habitants, la Ville de Lons a réussi le pari de devenir une commune pleinement urbaine tout en préservant son cachet et son environnement naturel originel : subtil équilibre entre infrastructures et espaces verts, entre services variés à la population et aménagements de zones d'activités, entre habitat traditionnel et habitat contemporain, Lons est aujourd'hui une commune attractive. Économie et industrie La commune fait partiellement partie de la zone d'appellation fromagère de l'ossau-iraty. Elle héberge plusieurs ateliers et usines, dont une usine Candia pour les laits aromatisés. Culture locale et patrimoine Patrimoine religieux L'église Saint-Jean-Baptiste date de 1846 alors que l'église Saint-Julien a été construite en 1936. On lui reconnaît des influences Art déco. L'église Saint-Julien est inscrite au titre des monuments historiques depuis . Les services de l'État ont en effet reconnu l'église lonsoise comme « ayant un intérêt d'art et d'histoire suffisant pour rendre désirable » sa conservation. La Commission Régionale du patrimoine et des sites avait justifié sa demande d'inscription en raison de la qualité du décor intérieur de l'église St-Julien. L'Espace James Chambaud, équipement culturel communal Équipement communal à vocation communautaire, l'Espace James-Chambaud est composé de trois entités, une salle de spectacle d'une jauge modulable de 300 à 750 places, d'une école de musique municipale de 300 élèves et du service culturel de la mairie de Lons. Une saison culturelle pluridisciplinaire et accessible à tous est proposé par l'Espace James-Chambaud. Ce dernier a ouvert ses portes le , pour un week-end inaugural avec un concert du chanteur Cali. Ils se sont produits à l'Espace James Chambaud : Cali, Faada Freddy, Arno, Rosemary Standley... Médiathèque Ouverte en 2008, la médiathèque de Lons a intégré le réseau de lecture publique de la Communauté d'agglomération Pau-Pyrénées le . La médiathèque de Lons offre un choix de plus de 50 000 documents : livres, CD, DVD, un coin presse ainsi qu'un accès à de nombreuses ressources électroniques : catalogue en ligne, encyclopédies en ligne, bibliothèque numérique et plus largement Internet. Équipements Éducation La commune dispose de trois écoles maternelles (école Lartigue, Perlic Sud, Sylvain-Toulet), trois écoles primaires (école Lartigue, Perlic Nord et Henri-Perrot), ainsi que d'une école municipale de musique et d'une école municipale de théâtre. Après la réhabilitation de l'école Perlic Sud en 2016, le groupe scolaire Perlic Nord sera démoli puis reconstruit, pour une ouverture à la rentrée 2018, afin de créer une nouvelle école adaptée aux usages pédagogiques actuels et prendre en compte la croissance démographique du nord de la commune. Sports et équipements sportifs La Commune de Lons dispose de nombreuses installations sportives, dont certaines, comme la piscine Aqualons, constituent des références à l'échelle de l'agglomération paloise. Au-delà des équipements, le Service Municipal des Sports et les associations proposent une large palette d'activités sportives. Les équipements sportifs sont principalement répartis sur trois secteurs géographiques : le Bourg, la Plaine des Sports, le Perlic. L'ensemble des installations sportives de la commune est entretenu et géré par les services municipaux et notamment par le Service des Sports qui organise leur utilisation. La piscine Aqualons Ouverte en 1992, dans un cadre verdoyant, Aqualons est un lieu qui allie natation (650 m de plan d'eau, 8 lignes d'eau), bien-être (bain bouillonnant, hammam, douche déferlante, nage à contre-courant, pataugeoire...), sensations (toboggan de 45 m...) et musculation (espace de remise en forme). L'association Barracudas, basée à Aqualons, forte de plus de 600 adhérents, propose également des activités telles que la natation sportive, l'aquagym... Complexe sportif du Moulin Le complexe sportif du Moulin est situé au centre de la commune (mail de Coubertin) et dispose de : une salle omnisport, une salle des arts martiaux, un trinquet, deux squashs, un mur d'escalade, un terrain d'honneur (utilisé par le Football Club de Lons) et le terrain du Moulin. Plaine des Sports de Lons La Plaine des Sports est un lieu fédérateur de la commune, située au centre de la ville, elle propose de nombreuses activités sportives en plein air dans un cadre verdoyant et arboré. Elle est souvent qualifiée de « vitrine de la ville » car elle représente à elle seule la « ville verte » qu'est Lons. Elle dispose de d'un terrain de football à 7, deux terrains stabilisés de football, des terrains de mini-basket et de handball, un parcours course d'orientation, d'un parcours C.R.A.P.A. (avec un parcours de santé), d'un parcours d'équitation, d'un boulodrome, d'un Roller / Skate Park, d'un City Stade, d'un fronton, d'un terrain de Beach-volley et d'une aire de Fitness Complexe sportif Georges Martin Le complexe sportif Georges Martin est situé dans le bourg de Lons (bas de ville) et dispose de : une salle omnisports « Jean-René Bellocq » (surnommée la salle penchée), deux terrains de tennis couverts (résine dure), 3 terrains de tennis non couverts (1 synthétique, 1 enrobé, 1 résine dure), une salle polyvalente « Gérard Forgues », terrains d'honneur de rugby, terrain d'entraînement de rugby, terrain « baby » de rugby, terrain mini-poussins de rugby et un terrain réservé au rugby féminin. Le Lons rugby féminin, anciennement RC Lons jusqu'en 2015, est un club féminin de rugby à XV participant au championnat de France féminin de rugby à XV. Stade du Perlic Il dispose d'un terrain de Football et de deux terrains de tennis non couverts en libre accès. Mini-golf Installé dans un sous bois, le mini-golf du Moulin propose 18 pistes. Transports urbains Lons''' est desservie par le réseau de bus Idelis : La commune est desservie par 7 lignes en journée du lundi au samedi : Lons — Perlic Sud ↔ Pau — Stades du Hameau Lescar — Soleil ↔ Pau — CST Jean Feger Lons — Perlic / Billère — J. Gois ↔ Pau — Cité Multimédia Lescar — Soleil ↔ Bizanos — Beau Soleil / Artigueloutan — Salle des Fêtes Poey-de-Lescar — Z.A. D817 / Lescar — Collège S. Palay ↔ Idron — Mairie Lescar — Quartier Libre ↔ Pau — Porte des Pyrénées Lescar — Soleil ↔ Pau — EFS Les dimanches, jours fériés, ainsi qu'en soirée, Lons est desservie par 2 lignes : Lons — Perlic Sud ↔ Pau — Pôle Bosquet Lescar — Soleil ↔ Pau — Pôle Bosquet Personnalités liées à la commune Nées au Louis Cluchague, né en 1902 à Lons et décédé en 1978 à Pau, est un joueur français de rugby à XV ; Michel Hacq, né en 1909 à Lons, est un commissaire de police français qui constitue une des figures emblématiques de la résistance policière. James Chambaud, ancien maire et président du FC Pau. Notes et références Notes et cartes Notes Cartes Références Voir aussi Articles connexes Liste des communes des Pyrénées-Atlantiques Liens externes Communauté d’agglomération de Pau Pyrénées Commune dans les Pyrénées-Atlantiques Commune dans l'arrondissement de Pau Commune du Béarn Unité urbaine de Pau Aire d'attraction de Pau
Jardim de Guerra
Jardim de Guerra est un film brésilien réalisé par Neville de Almeida, sorti en 1969. Synopsis Edson tombe amoureux d'une aspirante réalisatrice. Alors qu'il cherche des fonds pour qu'elle puisse faire son film, il est arrêté et torturé par la police. Fiche technique Titre : Jardim de Guerra Réalisation : Neville de Almeida Scénario : Jorge Mautner, Guará Rodrigues et Neville de Almeida Dialogues additionnels : Rogério Sganzerla Musique : Vidal França et Fernando Lona Photographie : Dib Lutfi Montage : Guará Rodrigues et Geraldo Veloso Production : Billy Davis et Neville de Almeida Société de production : J. P. Produções Cinematográficas, Neville de Almeida Produções Cinematográficas et Tekla Filmes Pays : Genre : Drame Durée : 100 minutes Dates de sortie : : Distribution Joel Barcellos : Edson Maria do Rosário Paulo Villaça : Basbaum Ezequiel Neves Jorge Mautner Guará Rodrigues Distinctions Le film a été présenté à la Quinzaine des réalisateurs lors du festival de Cannes 1969. Censure Critique de la dictature militaire au Brésil, le film a été le film le plus censuré du cinéma brésilien avec 48 coupures. Notes et références Liens externes Film brésilien sorti en 1969 Film dramatique brésilien Film politique brésilien Film mettant en scène un réalisateur Film sur la violence policière Film censuré
Widdecombe
Widdecombe, Widdicombe ou Widecombe peut être : Widecombe in the Moor, village du Devon en Angleterre ; Ann Widdecombe, femme politique britannique ; Josh Widdicombe, humoriste et présentateur britannique. Voir aussi Homonymie de patronyme
نقش وهب ذو سماوي
نقش وهب ذو سماوي هو أحد النقوش المدونة بخط المسند الجنوبي التي عثر عليها في قرية الفاو بالمملكة العربية السعودية، ويتحدث النقش عن ملك عربي (من أصل نجراني) يدعى «وهب ذو سماوي ذبيان بن أبيثع» كان يحكم تحالفاً قبلياً ضم ثلاثة قبائل هي ذاكر، وأمير، ومهأمر بنهاية القرن الثاني قبل الميلاد في نجران والفاو، ومن خلال النقش يتبين بأن الملك قرر بناء نصب تذكاري لمعبوده اللات في قرية طلو (الفاو حالياً)، يذكر أنه حكمت ثلاث ممالك في نجران من القرن السابع إلى الثاني قبل الميلاد، حيث حكمت مهأمر من القرن السابع إلى الرابع قبل الميلاد، يليها أمير (في تحالف مع مهأمر) من القرن الثالث إلى الثاني قبل الميلاد، ثم تلتها ذاكر (في تحالف مع أمير ومهأمر) من نهاية القرن الثاني قبل الميلاد. . الاستكشاف تم العثور على النقش أثناء التنقيبات الأثرية التي أجرتها جامعة الملك سعود في موقع الفاو، في معبد اللات، وهو محفوظ حاليًا في متحف كلية السياحة والآثار بجامعة الملك سعود بالرياض، دون النقش بخط المسند الجنوبي على كتلة مستطيلة من الحجر الجيري، يتكون من ثلاثة أسطر، يحتوي في بدايته على رمز ديني بشكل رأس وعل، يُرَجح أنه يمثل أحد رموز المعبود (اللات) الذي أقام صاحب النقش عليه نصبًا تذكاريًا في المعبد. النقش النص 1. whbḏsmwy / ḏbyn / bn / ʾbyṯʿ / m 2. lk / ḏkr / wʾmr / wmhʾmrm / bny / wnṣb / ʾl 3. hthw / ʾlt / bqryt / ṭlw / fsmʿt / lhw 1. وهـ ب ذ س م وي | ذ ب ي ن | ب ن | أ ب ي ث ع | م 2. ل ك | ذ ك ر | وأ م ر | وم هـ أ م ر م | ب ن ي | ون ص ب | أ ل 3. هـ ت هـ و | أ ل ت | ب ق ر ي ت ط ل و | ف س م ع ت | ل هـ و. المعنى: وهب ذو سماوي ذبيان ابن أبيثع ملك ذاكر وأمير ومهأمر بنى ونصب (نصب تذكاري) لآلهته اللات بقرية طلو فسمعت له. تأريخ النقش يلاحظ أن شكل حرف الـ (ر) به أخدود في وسطه يشبه نقطة المثلث وهذا الشكل مميز لنقوش المسند في القرن الأول قبل الميلاد، ويحتوي حرف الـ (و) على شكل دائرة، وكان شكل حرف الـ (م) مفتوحًا، بالإضافة إلى ذلك تظهر الأحرف (ذ) و (أ) و (ن) بخطوط مستقيمة ومتموجة٬ تشير كل هذه الخصائص الخطية إلى أن تأريخ هذا النقش الجديد من الفاو يعود إلى القرن الثاني أو الأول قبل الميلاد. اللغة إذا كان يمكن استبعاد التمييم في اسم القبيلة مهأمرم (السطر2) فيمكن اعتبار لغة النقش هي اللغة العربية الشمالية، وما يشهد على ذلك أنه تم كتابة اسم قبيلة أمير دون تمييم، علاوة على ذلك فإن الفعل «ب ن ي» مكتوب عليه حرف العلة (ي)، وكذلك اسم المعبود اللات مكتوب مع أداة التعريف «ال»، وفي النقوش السبئية يتم كتابة اسم (ا ل ت) مع أدوات تعريف مختلفة، مثل «هـ ن ل ت»، «هـ ل ت»، ومع أداة التعريف (ن) في نهاية الاسم. دراسة النقش نشرت دراسة حول النقش باللغة الإنجليزية في مجلة الآثار الشرقية مجلد 11، 2018 م، الصادرة عن المعهد الألماني لدراسة الآثار الشرقية في برلين، أعدها الدكتور سعيد فايز السعيد من معهد الملك عبد الله للبحوث والاستشارات بجامعة الملك سعود. شرح المفردات وهب ذو سماوي: اسم علم يرد لأول مرة في النقوش مع اللقب (ملك)، وهو اسم مركب من جزأين: اسم «وَهب» بمعنى «أعطى» واسم «الإله السماوي»، ومعنى الاسم بشقيه يصبح «هبة (الإله) سماوي» أو هبة السماء. وهو من الأسماء المركبة التي يندر ورودها بهذه الصيغة التي تذكر هذا الإله بعينه. حيث يذكر النقش (AJ 385) من عين جمال في نجران اسم علم مركب يتكون من جزأين: اسم «حرام» واسم: «س م و» وهو اختصار للاسم: «ذ س م ا وي» ٬ والمعبود ذو سماوي هو الإله الرسمي لنجران والمناطق المحيطة بها. وقد تم تخصيص عدة معابد لهذا الإله في المستوطنات القديمة في واحة نجران، ورجما، وضربان، وهو المعبود الرسمي لقبيلة أمير. تم العثور على معبد ذو سماوي في منطقة (حِما) في موقع عين حلقان، الذي يحتوي على نقش صخري كتب عليه اسم ذو سماوي. كما تم الكشف عن عبادة ذو سماوي في وادي الشظيف في منطقة الجوف في اليمن، حيث تم تخصيص معبد «يغرو» له. ووفقًا للنقوش، أيضًا في مدن الجوف القديمة في هرم، وبراقش، وكذلك في مدينة مأرب، كانت توجد العديد من المعابد المكرسة لعبادة ذو سماوي، لكن لا يزال مجهولًا أماكن تواجد هذه المعابد على وجه التحديد. ذاكر: اسم قبيلة ومملكة ورد ذكرها  في النقش السبئي (Demirjian1) الذي يؤرخ إلى القرن السادس قبل الميلاد بصيغة (ذ ك ر م)، كتب هذا النقش مبعوث الملك السبئي (ي د ع أ ل ب ي ن)، الذي يتحدث فيه عن قدوم (وفد دبلوماسي) إلى أرض ودولة في شمال شبه الجزيرة العربية. ويشير في السطور 18 و 19 إلى قبائل (ذ ك ر م) و (ل ح ي ن) و (أب أ وس) و (ح ن ك). أمير: اسم قبيلة ومملكة مشهورة في النقوش العربية الجنوبية (اليمنية القديمة)، كانت أراضيها تمتد حتى واحة نجران. دخلت قبيلة أمير في حلف مع قبيلة مهأمر منذ القرن السابع قبل الميلاد، عندما أقامت الأخيرة مملكة مستقلة. ومن المعروف أن مملكة مهأمر قد تعرضت لحملات عسكرية (تأديبية) قام بها السبئيون خلال القرنين السابع والسادس قبل الميلاد في عهد المكاربة. وفي الآونة الأخيرة، اكتشف فريق التنقيب السعودي في نجران نقشًا جديدًا يعود إلى القرن الثالث قبل الميلاد، يذكر اسم ملك أمير (هـ وت ر ع ث ت | ذ ر ح ا ن | ب ن | م س ي ك م). وحتى الآن يعتبر هذا الملك هو الملك الوحيد المعروف لقبيلة أمير. مهأمر: اسم قبيلة ومملكة كانت أراضيها في إقليم نجران، ورد ذكرها في النقش السبئي (RES 3943) الذي يؤرخ إلى القرن السابع قبل الميلاد، حيث يذكر هذا النقش حملة عسكرية قام بها الملك السبئي (ك ر ب أ ل  وت ر | ب ن | ذ م ر ع ل ي) ضد (ل ي ع ذ ر أ ل) ملك مهأمر. وهناك نقش جديد يذكر ملك آخر لمهأمر يحمل الاسم نفسه: (ل ي ع ذ ر أ ل). ومع ذلك فقد تم تأرخة هذا النقش إلى القرن الرابع قبل الميلاد. وبناءً على ذلك، يمكن الإشارة إلى أن مملكة مهأمر ربما استمرت تقريبًا أربعة قرون (من القرن السابع - الرابع قبل الميلاد)، ومن المُرَجح أن تكون مملكة أمير قد ظهرت كمملكة مستقلة في القرن الثالث قبل الميلاد. تفسير النقش • يلقي هذا النقش الملكي الجديد الضوء على التاريخ السياسي لنجران والفاو في القرون التي سبقت العصر المشترك. • صاحب النقش هو الملك وهب ذو سماوي ذبيان ابن أبيثع، الذي يرد ذكره لأول مرة، في هذا النقش. • يثير مضمون هذا النقش، في ضوء المعرفة المتوفرة حاليًا، عددًا من الأسئلة التاريخية المعقدة فيما يتعلق بمملكتي نجران والفاو. • أول هذه الأسئلة يدور حول هوية الملك وأصله، وكذلك هوية والده «أبيثع». • يتضمن اسم الملك اسم الإله الرئيس لنجران (ذو سماوي) وهذا يشير إلى أن الملك (وهب ذو سماوي) من أصل نجراني، وما يؤكد صحة هذه الفرضية، هو أن اسم أبو الملك (أ ب ي ث ع) معروفاً بين الأسماء الشخصية في نقوش نجران، بالإضافة إلى قائمة ملوك حضرموت مثل (أب ي ث ع س ل ح ن | ب ن ذ م ر ع ل ي) في النقشKR 2,3)) و (ي ش ر أ ل | ب ن | أ ب ي ث ع | م ك ر ب | ح ض ر م وت) المذكور في النقش  (KR 10) والنقش (RES 2687). • وبناءً على ورود ذكر «أ ب ي ث ع» في نقوش نجران، فمن المُرَجح أن  صاحب هذا النقش (وهب ذو سماوي)، يكون أبن «أ ب ي ث ع». ومع ذلك، لا يزال السؤال حول هوية وأصل «أ ب ي ث ع». الذي يظهر اسمه على العملات العربية الشرقية التي يعود تاريخها إلى نهاية القرن الثالث قبل الميلاد. إذا اعتبرنا أن «أ ب ي ث ع» على العملات هو نفس «أ ب ي ث ع» الموجود في نقوش «بير حما» و «وادي الشظيف» - ربما كان حاكمًا لإحدى الممالك الصغيرة في شرق الجزيرة العربية. وإذا كان الأمر كذلك فربما يكون قد شكل تحالفًا مع قبائل ذاكر وأمير ومهأمر في نجران لتشكيل مملكة تضم واحة نجران والفاو وهاجر (جرها) في شرق شبه الجزيرة العربية. • فيما يتعلق بموقع قبيلة ذاكر المذكورة في هذا النقش الملكي إلى جانب قبائل أمير ومهأمر (م ل ك | ذ ك ر| وأ م ي ر | وم هـ أ م ر)، هناك العديد من الاحتمالات بأن هذه القبيلة هي نفسها التي ورد ذكرها في النقش السبئي (Demirjian 1/19) الذي  يؤرخ إلى القرن السادس قبل الميلاد. وفي نقش أخر تم ذكر أرض هذه القبيلة مع قبائل لحيان، و (أب أوس) و (حنك). • من المعروف أن أرض لحيان تقع في شمال غرب شبه الجزيرة العربية، ويرجح أن أرض قبيلة حنك كانت موجودة في الفاو. • من المرجح أن مركز قبيلة حنك كان أولاً في الفاو، ثم انتقل في حوالي (القرن الثالث إلى الثاني قبل الميلاد) إلى موقع بين الفاو ونجران، ووادي الجوف في اليمن. استقرت قبيلة ذاكر في نفس أماكن قبيلة حنك، أي في الفاو، التي كانت تسيطر على المنطقة الواقعة بين وادي الدواسر ونجران، وبالتالي يمكن تفسير تحالف ذاكر مع قبيلتي أمير ومهأمر. • لا تزال هذه الفرضية مجرد رأي قابل للصحة أو الخطأ حتى هذه اللحظة، نظرًا لأن النقوش لا تقدم أدلة واضحة ودامغة. • هذا الافتراض يشير إلى أن (ذ ك ر م) المذكورة في نقوش القرن السادس قبل الميلاد هي نفسها (ذ ك ر) المذكورة في هذا النقش، وإذا كان هذا صحيحاً فإن تاريخ ظهور «الفاو» على الساحة السياسية ودورها المهم في تجارة القوافل  يعود إلى القرن السادس قبل الميلاد، وبالتالي تحدد الفرضية الحالية تاريخ هذه الأحداث إلى القرن الرابع قبل الميلاد. • يبدو أن عملات (أ ب ي ث ع) التي تم العثور عليها في المنطقة الشرقية من شبه الجزيرة العربية تشير إلى أن أراضي ذاكر ربما كانت تقع في تلك المنطقة التي ازدهرت فيها مدنها خلال القرنين الرابع والثالث قبل الميلاد، وبالتالي فقد أدت دوراً مهمًا في تجارة القوافل بين جنوب وجنوب غرب وشرق الجزيرة العربية. • من المرجح أن قبيلة ذاكر دخلت في حلف ضم كل قبيلة أمير وقبيلة مهأمر امتد من نجران عبر الفاو إلى شرق الجزيرة العربية. استنتاج • بناءً على الأدلة المذكورة أعلاه والمتاحة حتى الآن، يمكن أن نفترض أن موقع أراضي قبيلة ذاكر قد تكون بين الفاو ونجران، وأنه في حوالي القرن الثاني قبل الميلاد تشكلت مملكة جديدة عرفت باسم (ذاكر) على إثر قيام تحالف ضم كل من قبائل ذاكر وأمير ومهأمر. وأن الملك وهب ذو سماوي هو ابن أبيثع الذي ورد ذكره في نقوش نجران ووادي الشظيف والفاو. • حكمت ثلاث ممالك في نجران من القرن السابع إلى الثاني قبل الميلاد. حيث حكمت مهأمر من القرن السابع إلى الرابع قبل الميلاد، يليها أمير (في تحالف مع مهأمر) من القرن الثالث إلى الثاني قبل الميلاد، ثم تلتها ذاكر (في تحالف مع أمير ومهأمر) من نهاية القرن الثاني قبل الميلاد. ملوك مهأمر وأمير وذاكر جدول يوضح التسلسل الزمني لملوك وممالك مهأمر٬ وأمير٬ وذاكر مراجع آثار السعودية
Chronologie des dynasties chinoises
Cet article propose une chronologie des dynasties majeures dans l'histoire de la Chine (en ). Généralité et avertissements L'histoire de la Chine est rarement aussi nette que ne le laisse entendre son étude systématique par dynastie : il est en effet rare qu'une dynastie s'éteigne calmement et laisse la place rapidement et en douceur à la dynastie suivante. Une nouvelle dynastie est souvent établie avant la chute finale du pouvoir précédent et elle continue souvent un temps encore après sa chute, sous la forme de prétendants isolés sur les marges, espérant encore faire renaître la dynastie de leurs grands ancêtres récemment déposés. De plus, la Chine a eu de longues périodes de divisions, différentes régions étant alors gouvernées par des groupes différents, et habitées par des populations et des cultures différentes. Lors de ces périodes de divisions, il n'y avait aucune dynastie régnant sur l'ensemble de la Chine, mais plutôt un ensemble de royaumes ayant chacun sa dynastie, aux dates de début et de fin propres. Pour les périodes mythiques, les dates sont claires. Cela devient plus complexe pour les périodes plus documentées, faisant apparaître la complexité de chaque période de transition et faisant donc naître des interprétations différentes chez les experts. C'est le cas pour et à partir des Zhou occidentaux. Pour comprendre à quel point le passage d'une dynastie à l'autre peut être confus, prenons l'exemple de la transition entre les Ming et les Qing : Par convention, la date de 1644 marque la prise de Pékin par les armées mandchoues de la (future) dynastie Qing, qui permit alors le règne des Mandchous sur l'ensemble de la Chine impériale, succédant ainsi à la dynastie Ming qu'ils détruisaient. Pourtant, la dynastie des Qing fut établie en 1636 (ou même en 1616, sous un autre nom définissant le même groupe), tandis que le dernier empereur Ming ne fut pas déposé avant 1662 (voire 1683). Le passage d'une dynastie à une autre est donc une affaire longue et complexe, avec des avancées et des reculs, il fallut ainsi près de 20 ans au pouvoir dominant des Qing pour se faire reconnaître, s'imposer, et devenir incontesté sur l'ensemble du territoire chinois. Aussi, il est factuellement incorrect de considérer que le transfert de légitimité de la dynastie Ming à la dynastie Qing s'effectua en 1644. Pour plus de détails sur les dynasties listées ci-dessous et leurs empereurs, cliquer sur le lien adéquat dans le tableau ci-dessous. Cliquer sur H pour obtenir l'article historique de la dynastie, et sur E pour la liste de ses empereurs (ou gouverneurs). Chronologie des dynasties Représentation graphique Voir aussi Chronologie du monde chinois Liste des monarques de Chine Notes et références Bibliographie China Handbook Editorial Committee, China Handbook Series: History (trans., Dun J. Li), Pékin, 1982, 188-89; and Shao Chang Lee, "China's Cultural Development" (wall chart), East Lansing, 1984. Dynastie chinoise Histoire de la Chine
Péninsule d'Araya
La péninsule d'Araya est une péninsule, située au nord-est du Venezuela face à la ville de Cumaná, capitale de l'État de Sucre. Longue d'environ sur 6 à large, elle délimite au sud le . Au nord se trouve l'île de Margarita, À son extrémité ouest se trouve la ville d'Araya célèbre pour ses marais salants. Histoire Dans les années 1620, les combats entre Hollandais et Espagnols autour de la lagune sont très violents et font plusieurs centaines de morts. Les Hollandais reçoivent un soutien des Amérindiens, évalué à 200 combattants par les autorités espagnoles. Ces dernières font pendre plusieurs Hollandais en reconnaissance à Trinidad, envisagent d'empoisonner la lagune et craignent que les Hollandais ne construisent une forteresse sur les lieux. Les salines Salines d' Araya Les salines d'Araya au nord de Cumaná sont toujours en exploitation actuellement et voient le jour en 1567, quand fut fondée la ville de Caracas par les Espagnols. Elles étaient exploitées par les techniciens en hydrologie des Pays-Bas espagnols, qui devinrent une dizaine d'années plus tard néerlandais. Le site était fréquenté dès le par des aventuriers hollandais qui revendaient ce sel à très bon prix en Europe du Nord ou dans d'autres îles de la caraïbe, où il était l'ingrédient indispensable au procédé de boucanage de la viande et d'autres aliments, permettant de les conserver durant les longues semaines passées en mer. Autres salines Les autres salines exploitées dans l'empire espagnol aux et sont situées sur l'île de Mona, à Coryndon près de Port-Margot à Hispaniola et sur l'île de la Tortue Salée au large de Cumana. Articles connexes État de Sucre Notes et références État de Sucre Araya
Fógartach
Fógartach mac Neill († 724) roi de Brega du Sud (est du royaume de Mide) et Ard ri Érenn de 722 à 724. Il est une identification possible du « Glúnshalach» du Baile Chuinn Chétchathaig Origine Fogartach mac Néill est le fils du dynaste Niall mac Cernaig Sotail († 701), un membre du Síl nÁedo Sláine, une branche de la dynastie des Uí Néill du Sud qui s'adonne à des conflits fratricides réguliers pendant et après l'époque de Fogartach. On ignore sa date de naissance mais il devait être adulte vers 697 car un certain « Focortoch » apparaît comme signataire de la « Loi des Innocents » d'Adomnan d'Iona qui est promulguée cette année-là et son père est lui certainement un des autres signataires. Biographie Fogartach apparaît pour la première fois dans les Chroniques d'Irlande en 704, quand allié avec les autres dynastes des Uí Néill du sud dont Bodbchad Midi le frère de Murchad Midi mac Diarmato il tente d'envahir le Leinster : ils sont défaits, les rois de Mide et du Cenél Lóegairi sont tués. Certaines listes royales le considèrent cependant comme roi de Tara, le titre formel de l'Ard ri Erenn c'est-à-dire du Haut Roi d'Irlande dès cette époque, soit seul ou en corégence avec Congal mac Fergusa des Uí Neill du Nord, alors que la plupart des listes avancent qu'il n'est devenu roi de Tara qu'après le règne de Fergal (mort en 722). Cette interprétation est liée à une erreur de transcription des annalistes dans l'entrée de l'année 704 des annales d'Ulster -« a fui »(was) au lieu de « fugit » (i.e: « fuit» ) et qu'un compilateur de listes de règne ayant interprété la lecture de cette erreur pour l'expression latine commune « fuit uictor » c'est-à-dire « fut vainqueur » et présumé à partir de cela que Fogartach avait atteint la suzeraineté sur les Uí Néill et par conséquent la royauté de Tara. Les années suivantes il tente de renforcer la base de son pouvoir peut-être autour de Clonard et prétend en vain au titre de roi des Uí Néill après la mort de Congal Cendmagair du Cenél Conaill en 710. En 714 il est expulsé de son royaume et exilé en Grande Bretagne. Les chroniques ne donnent pas le nom du royaume duquel il est expulsé ; il est probable qu'il s'agit de celui des Uí Néill du Sud. Les seules chroniques qui avancent par qui il aurait été forcé de s'exiler sont les tardives et peu dignes de confiance Annales des quatre maîtres, qui désignent Fergal mac Máele Dúin, roi de Tara, comme le responsable de son exil. De son côté l'historienne Edel Bhreathnach estime qu'il s'agit probablement de Murchad Midi mac Diarmato du Clan Cholmáin. Dans cette hypothèse c'est la mort de Murchad Midi mac Diarmato tué par son frère, Conall Grant Ua Cernaich en 715 qui lui permet de recouvrer son royaume l'année suivante . L'année suivante Fogartach est responsable d'une perturbation lors de la foire de Tailtiu (Teltown). Il s'agissait de la foire royale des rois de Tara, et l'action de Fogartach semble être un défi contre Fergal mac Máele Dúin ; cependant, aucun détail n'est donné sur les objectifs de Fogartach. Son frère Conall Grant qui était devenu le principal dynaste des Uí Néill du Sud est tué en 718 par l’Ard ri Érenn Fergal mac Máele Dúin. Fógartach devient alors un vassal de Fergal. On ignore s'il a participé à la désastreuse campagne des Uí Neill contre le Leinster au cours de laquelle le l’Ard ri Érenn perd la vie en 722 lors de la bataille d'Allen, au nord de Kildare . Toutefois il s’empare alors du titre d’Ard ri Érenn, mais semble avoir également été battu par les forces du Leinster à Tailtu. Fógartach est finalement vaincu et tué à la bataille de Cenn Delgthen le 7 (ou 30) octobre 724 par son cousin Cináed mac Írgalaig un autre prétendant du Síl nÁedo Sláine soutenu par Domnall Midi le fils de Murchad Midi du Clan Cholmáin. Fogartach serait inhumé au Monastère de Clonard dans l'actuel comté de Meath. Postérité D’une épouse inconnue Fógartach laisse six fils et une fille : Flann Foirbthe († 716 ou 748) , Cernach († 738) , Fergus († 751) , Fínsnechta († 761) , Cumascach († 797) (?) , Coirpre (exilé en 769 † 771) . Dúnflaith († 774) . Notes et références Sources Edel Bhreathnach The kingship and landscape of Tara Editor Four Courts Press for The Discovery Programme Dublin (2005) . Francis J.Byrne Irish Kings and High-Kings, Courts Press History Classics Dublin (2001) Philip Irwin « Fogartach mac Néill (d. 724) », Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004. Annales des quatre maîtres Lien externe Annales d'Ulster Ard ri semi-historique d'Irlande (roi suprême d'Irlande) Roi de Brega au VIIIe siècle Décès en 724 Personnalité du haut Moyen Âge par nom Noblesse irlandaise du haut Moyen Âge Ard ri Érenn du VIIIe siècle
Et la femme créa l'homme parfait
Et la femme créa l'homme parfait (Making Mr. Right) est un film américain réalisé par Susan Seidelman, sorti en 1987. Synopsis Ulysses, un androïde calqué sur le modèle de son concepteur, a été fabriqué dans le but d'effectuer de longues et périlleuses missions à travers l'espace. Seulement il va faire la connaissance de Frankie, la responsable "image" du projet, et rapidement ressentir des émotions humaines jusque-là encore insoupçonnées. Fiche technique Titre français : Et la femme créa l'homme parfait Titre original : Making Mr. Right Réalisation : Susan Seidelman Scénario : Floyd Byars & Laurie Frank Musique : Chaz Jankel Photographie : Edward Lachman Montage : Andrew Mondshein Production : Joel Tuber & Mike Wise Sociétés de production : Barry & Enright Productions & Orion Pictures Société de distribution : Orion Pictures Pays : Langue : Anglais Format : Couleur - Dolby - 1.85:1 Genre : Comédie romantiqueet science-fiction Durée : 95 min Date de sortie : () Distribution John Malkovich (VF : Dominique Collignon-Maurin) : Dr. Jeff Peters / Ulysses Ann Magnuson (VF : Marie-Christine Darah) : Frankie Stone Glenne Headly (VF : Francine Lainé) : Trish Ben Masters (VF : Jean-Claude Montalban) : Steve Marcus Laurie Metcalf (VF : Laurence Crouzet) : Sandy Polly Bergen : Estelle Stone Harsh Nayyar (VF : Mario Santini) : Dr. Ramdas Susan Berman (VF : Virginie Ledieu) : Ivy Stone Hart Bochner (VF : Marc Alfos) : Don Polly Draper : Suzy Duncan Christian Clemenson (VF : Marc François) : Bruce Anecdote John Malkovich et Glenne Headly étaient mari et femme sur le tournage puisqu'ils furent mariés de 1982 à 1988. Liens externes Article dans le New York Times http://www.tcm.com/tcmdb/title/82474/Making-Mr-Right/ Film américain sorti en 1987 Comédie romantique américaine Comédie américaine de science-fiction Film d'Orion Pictures Film mettant en scène un androïde Film tourné à Miami
Meidjamba
Meidjamba est un village du Cameroun situé dans le département du Djérem et la région de l'Adamaoua. Il fait partie de la commune de Tibati. Population En 1967, Meidjamba comptait , principalement des Gbaya. Lors du recensement de 2005, le village était habité par , 616 de sexe masculin et 655 de sexe féminin. Notes et références Annexes Bibliographie . . Lien externe . Village dans la région de l'Adamaoua
Spotted Eagle
(en français « aigle tacheté ») est le nom de plusieurs chefs indiens, dont un chef sioux. Notes et références Chef amérindien des États-Unis
Pawan Kumar Bansal
Pawan Kumar Bansal (né le ) est un homme politique indien du parti Congrès national indien, ancien ministre des transports ferroviaires du gouvernement Manmohan Singh (du au ). En 2020, il est désigné comme trésorier du Congrès. Notes et références Source Naissance en juillet 1948 Personnalité du Congrès national indien
Joey Cramer
Joey Cramer (de son nom de naissance Deleriyes August Joe Fisher Cramer) est un acteur canadien, né le , à Vancouver, Colombie-Britannique. Il est principalement connu pour avoir interprété le rôle de David Freeman dans le film de 1986 Le Vol du Navigateur. Filmographie partielle Cinéma 1984 : Runaway : L'Évadé du futur 1986 : Le Clan de la caverne des ours 1986 : Le Vol du Navigateur 1996 : Le Dernier Anniversaire (non crédité) Télévision 1986 : Arabesque (2 épisodes) 1987 : L'enfant au traîneau Distinctions Nominations Saturn Award : Nominé au Saturn Award du meilleur jeune acteur 1987 (Le Vol du Navigateur) Liens externes Acteur canadien Naissance à Vancouver Naissance en août 1973
18 vendémiaire
Le octidi 18 vendémiaire, officiellement dénommé jour du sarrasin, est un jour de l'année du calendrier républicain. Il reste 347 jours avant la fin de l'année, 348 en cas d'année sextile. C'était généralement le du mois d'octobre dans le calendrier grégorien. 17 vendémiaire - 18 vendémiaire - 19 vendémiaire Événements An II : Culte de la Raison Reprise de Lyon Deuxième bataille de Moulin-aux-Chèvres. An X : traité de Paris. Naissances Décès An II : Joseph-Marie Amiot (né en 1718), prêtre jésuite, astronome et historien français, missionnaire en Chine. An IV : Francesco Antonio Zaccaria, théologien et historien italien (° ). Notes et références 18
Goulrypchi (municipalité)
La municipalité de Goulrypchi (en géorgien : გულრიფშის მუნიციპალიტეტი, phonétiquement goulripchis mounitsipalitéti) est un district de la république autonome d'Abkhazie, république sécessionniste de la Géorgie depuis 1992 et dont l'indépendance n'est pas reconnue internationalement (à l'exception de la Russie depuis 2008). En 2011, il comptait . Références Municipalité en Géorgie District en Abkhazie
الدوري الشمالي لكرة القدم 1921–22
الدوري الشمالي لكرة القدم 1921–22 هو موسم من . فاز فيه . نتائج الموسم مراجع 1921–22 في دوريات كرة قدم إنجليزية الدوري الشمالي لكرة القدم مواسم الدوري الشمالي لكرة القدم
Paul Thalamas
Paul Thalamas (-) est un cuisinier français. Il est né à Lavelanet dans l'Ariège et décédé à Roquebrune-Cap-Martin. Biographie Il fit son apprentissage de cuisinier à Carcassonne. Il fut ensuite commis de cuisine à Toulouse, sous les ordres de M. Gardanne, puis à Marseille, au Grand Hôtel du Louvre dont le chef était Apollon Caillat. Après son service militaire, il est engagé par Auguste Escoffier au Savoy à Londres. Il le suit ensuite au Carlton. En 1898, il fait l'ouverture du Ritz à Paris, comme chef de partie. Il fut ensuite nommé chef de formation des brigades dans les hôtels que César Ritz et Auguste Escoffier ouvrirent à Salsomagiore (1900) Rome, Naples, Lucerne, Berlin, Le Caire, Francfort. En 1907, il est chef au Aldon Hôtel de Berlin et à l'Esplanade de Hambourg. En 1909, il est chef à l'Exposition Internationale de Francfort. Il commence alors à collaborer à la revue L’Art culinaire, dont Auguste Escoffier était l'un des fondateurs. Il y publiera régulièrement des articles. De 1909 à 1914, il est sous-chef puis Chef au Princess Hotel à Londres. Il est mobilisé pendant la Guerre de 1914-1918. En 1919, il est Chef des cuisines du Casino de San Sebastián, en Espagne. De 1919 à 1928, il sera successivement Chef de partie à l’Hôtel de Paris de Monte-Carlo, puis dans cette même ville à l'Hôtel Hermitage. Il fera l'ouverture de l’Hôtel Provençal à Juan-les-Pins puis sera Chef du Royal à Contrexéville. De 1928 à 1939, il dirige les cuisines de l'Hôtel Alexandra à Menton (propriété de M. Bjorkman, vice-consul de Suède). Avec lui, il créera, en 1937, le restaurant Le Soleil de Minuit à l'Exposition universelle de Paris. En 1939, il reprend, avec sa femme Julie, le fonds de commerce de l'Hôtel Portica, à Roquebrune-Cap-Martin et se met aux fourneaux. Il en est chassé par la guerre. Sa fille, Jeanne Neyrat-Thalamas ressuscite cette pension de famille en 1948 et il se remet à faire la cuisine. Il ne s'en éloignera jamais. Il écrit toujours beaucoup, sur la cuisine, les cuisiniers, et surtout sur Auguste Escoffier auquel il vouait un véritable culte et avec lequel il fut toujours en contact jusqu'à sa mort en 1936. En 1956, il publie, en anglais, un livre sur Escoffier, rédigé avec son ami Eugène Herbodeau. Il sera, quelques années avant sa mort et avec Eugène Herbodeau, l'instigateur de la Fondation Auguste Escoffier que sa fille, Jeanne Neyrat-Thalamas dirigera ensuite pendant plus de vingt ans, à partir de 1966. Œuvres Avec Eugène Herbodeau : Auguste Escoffier, le grand maître de la cuisine française, Londres, 1956 Liens externes Site de la Fondation Escoffier Cuisinier français Naissance à Lavelanet Naissance en janvier 1872 Décès en mai 1960 Décès à Roquebrune-Cap-Martin Décès à 88 ans
Bataille des Alpes
Le terme de bataille des Alpes désigne l'affrontement entre la France et l'Italie en juin 1940 dans le cadre de la bataille de France lors de la Seconde Guerre mondiale. Elle oppose l’armée des Alpes française, commandée par le général René Olry, subordonné par le général Montagne et le général Magnien, au groupe d'armées Ouest italien (I et armées), dirigé par le prince Humbert de Savoie, sur la crête des Alpes ; l’armée des Alpes doit ensuite également affronter le Panzerkorps allemand du général Erich Hoepner qui arrive du nord et prend l’offensive dans la vallée du Rhône. Déroulement de l'invasion italienne Les combats au sol Le , jour de la déclaration de guerre par l'Italie, l'armée des Alpes du général Olry ne dispose que d'environ répartis en trois divisions d'infanterie de réserve de type B, trois secteurs fortifiés (de la Savoie, du Dauphiné et des Alpes-Maritimes) et un secteur défensif (du Rhône) de la ligne Maginot, le tout appuyé par une forte artillerie de montagne (). Parmi ces forces, il y a 84 sections d'éclaireurs-skieurs qui sont des troupes d'élite. Les forts alpins sont essentiellement des modèles de type Séré de Rivières, construits à partir de 1880. Dès 1928, ils sont renforcés par de nouvelles constructions, essentiellement réparties dans les Alpes du Sud. L'on trouve également des ouvrages de la ligne Maginot alpine. Cette armée a été victime de plusieurs ponctions importantes, d'abord à cause de la campagne de Scandinavie, puis de la défaite sur le front du Nord-Est. À la déclaration de guerre, elle fait sauter les routes et tunnels susceptibles d'être utilisés par le groupe d'armées Ouest du prince Humbert de Savoie. Les forces italiennes regroupent , soit plus de , peu entraînés, mal équipés et peu motivés. Malgré tout, ces forces lancent quelques attaques entre le et le . Elles sont repoussées. Des attaques aériennes italiennes sur Toulon et les aérodromes du secteur sont repoussées et l'aviation française attaque les terrains de Gênes et de Turin. Le , les Italiens, sur ordre de Mussolini, lancent une violente attaque générale. À Menton le corps italien est repoussé par les forces du secteur fortifié des Alpes-Maritimes (moins d'une division). Dans l'après-midi, quatre mortiers français de ouvrent le feu du fort de l'Infernet sur le fort du mont Chaberton qui menace Briançon plus bas avec ses huit canons de gros calibre. Six des huit tourelles sont détruites. Le 23, les Italiens s'emparent d'une petite partie de Menton. Partout ailleurs, les forces françaises résistent, bien qu'étant en infériorité numérique. Partout comme à la bataille de Pont Saint-Louis, les forces françaises se battent furieusement. De plus, depuis le , le général Olry a dû prélever des forces, notamment de l'artillerie pour préparer un second front, devant la menace allemande. En effet, le 15, les Allemands sont à Dijon. Il crée le groupement du général Cartier, avec des unités disparates, une division coloniale qui servait de réserve d'armée, des marins, quelques chars, de l'infanterie qui se sont repliées depuis le Nord-Est. Ce groupement est équipé avec du matériel de récupération. Les qui le composent vont être chargés de tenir sur trois lignes de défense successives : le Rhône, l'Isère, la Durance. Lyon étant déclaré ville ouverte, le groupement Cartier doit se replier dans le département de l'Isère, après de durs combats à Chasselay. Dans la soirée du 20, Olry fait sauter les ponts. Malheureusement, au nord des Alpes, la région de Seyssel et Culoz est maintenant sous le contrôle du d'armées, en pleine débâcle, et les mêmes consignes ne sont pas appliquées. Malgré la résistance de quelques éléments, comme le vieux Fort l'Écluse, le groupement A du Panzerkorps du général Erich Hoepner composé pour l'essentiel d'éléments de la division motorisée, parti de Bourg-en-Bresse, occupe Aix-les-Bains le . Le groupement B ( panzer) est stoppé à Voreppe, à une douzaine de kilomètres de Grenoble durant deux jours par l'artillerie française du général Georges Cartier et du général de brigade Georges Marchand placé sous son commandement, qui lui inflige de très lourdes pertes les . Le feu nourri d'une batterie de 155GPF et de deux de 105, positionnées du côté de Claix dont le tir est réglé par le capitaine de réserve Lombard installé sur le bec de l'Échaillon, tout comme par deux batteries de 75 et huit pièces de 47 de marine installées sur les deux rives de l'Isère bloque les blindés allemands. Une colonne motorisée allemande tente une manœuvre de débordement par le nord en enlevant le col de la Placette, mais reste bloquée dans sa progression vers Voreppe. La bataille des Alpes prend fin avec l’armistice du 24 juin 1940 signé entre la France et l’Italie. L'armistice en vigueur à partir du à l'aube apporte une conclusion à cette bataille de Voreppe, qui empêche l'occupation de Grenoble. Les pertes italiennes sont d'environ , d'environ 250 soldats pour l'armée des Alpes et sont inconnues pour le groupement Cartier. Les combats aériens La Regia Aeronautica affronte l'Armée de l'Air lors de la bataille des Alpes. Des vols de reconnaissance débutent sur le territoire français le . Des bombardements sont effectués à partir du 13 juin sur les ports de Toulon et Marseille, les aérodromes de Fayence, d’Hyères, de Cuers-Pierrefeu, du Cannet-des-Maures et sur les forts de la frontière italo-française. Huit bombardiers Fiat BR.20 Cicogna et sept chasseurs Fiat CR.42 Falco sont mis hors de combat, détruits ou endommagés par la chasse, la DCA ou les conditions météorologiques. Quelques bombardements italiens sans dégâts importants sont également menés contre les villes corses de Calvi et de Bonifacio. Notes et références Voir aussi Articles connexes Armée des Alpes (Seconde Guerre mondiale) Bataille de Menton Combats dans le vallon du Seuil Bataille de la vallée du Rhône (1940) Mur alpin italien (Vallo Alpino, similaire à la ligne Maginot française) Isola (Alpes-Maritimes) Avant-poste d'Isola Deuxième bataille des Alpes (1944-1945) Bibliographie . . David Zambon, « L'heure des décisions irrévocables : 10 juin 1940, l'Italie entre en guerre », in Histoire(s) de la Dernière Guerre, 5, mai 2010. . . Site internet Théâtre méditerranéen de la Seconde Guerre mondiale Bataille ou opération de la Seconde Guerre mondiale Alpes Bataille de 1940 Front de l'Ouest de la Seconde Guerre mondiale Conflit et bataille en montagne Alpes Juin 1940 Invasion en France
Aéroport de Saratov
L'aéroport Tsentralni de Saratov () est un aéroport international desservant la ville de Saratov. C'est la plateforme aérienne principale de Saratov Airlines. Installations Le gestionnaire de l'aéroport, « Airports of Regions » (en russe: Аэропорты регионов) démarre la construction d'un nouvel aéroport en janvier 2015, connu sous le nom d'aéroport Gagarine. Situation Compagnies aériennes et destinations Mis à jour le 11/02/2020 Références Liens externes Saratov Transport à Saratov
Canton d'Acoua
Le canton d'Acoua est une ancienne division administrative française située dans le département de Mayotte et la région Mayotte. Géographie Histoire Administration Composition Le canton était composé de l'unique commune d'Acoua. À la suite du redécoupage des cantons pour 2015, la commune est rattachée au canton de Mtsamboro. Démographie Notes et références Notes Références Voir aussi Articles connexes Mayotte Liste des cantons de Mayotte Liste des communes de Mayotte Liste des circonscriptions législatives de Mayotte Nouveau canton de Mtsamboro Acoua Grande-Terre (Mayotte)
Comté de Lee (Illinois)
Le comté de Lee est un comté situé dans l'État de l'Illinois, aux États-Unis. En 2000, sa population est de habitants. Son siège est Dixon. Liens externes
محمد فاتاو
محمد فاتاو لاعب كرة قدم غاني . لعب سابقاً في نادي القادسية السعودي . روابط خارجية محمد فاتاو المراجع لاعبو كرة قدم رجالية غانيون لاعبو كرة قدم رجالية مغتربون في السعودية لاعبو كرة قدم رجالية مغتربون في تركيا لاعبو كرة قدم رجالية مغتربون في الهند لاعبو كرة قدم رجالية مغتربون في الكويت أشخاص على قيد الحياة رياضيون غانيون مغتربون في السعودية رياضيون غانيون مغتربون في العراق رياضيون غانيون مغتربون في الكويت رياضيون غانيون مغتربون في الهند رياضيون غانيون مغتربون في إسبانيا رياضيون غانيون مغتربون في تركيا رياضيون من أكرا لاعبو الدوري الإسباني لاعبو الدوري الإسباني الدرجة الثالثة لاعبو الدوري الإسباني الدرجة الثانية لاعبو الدوري الإسباني الدرجة الثانية ب لاعبو الدوري التركي الممتاز لاعبو الدوري الكويتي لاعبو دوري المحترفين السعودي لاعبو رايو فايكانو لاعبو غازي عنتاب سبور لاعبو كرة قدم رجالية مغتربون في العراق لاعبو كرة قدم رجالية مغتربون في إسبانيا لاعبو كرة قدم غانيون لاعبو كرة قدم غانيون مغتربون لاعبو كرة قدم مغتربون في السعودية لاعبو كرة قدم مغتربون في العراق لاعبو كرة قدم مغتربون في الكويت لاعبو كرة قدم مغتربون في الهند لاعبو كرة قدم مغتربون في إسبانيا لاعبو كرة قدم مغتربون في تركيا لاعبو كرة قدم من أكرا لاعبو محمدان لاعبو نادي القادسية (السعودية) لاعبو نادي الكويت لاعبو نادي ألميريا لاعبو نادي زاخو لاعبو نادي سبارتاك فارنا لاعبو نادي غرناطة لاعبو وسط كرة قدم رجالية مواليد 1992
Conception Bay South
Conception Bay South (CBS) est une ville de Terre-Neuve-et-Labrador, au Canada. Elle est située sur la rive sud de la baie de la Conception dans la péninsule d'Avalon sur l'île de Terre-Neuve. Elle est à 20 km environ au sud-ouest de Saint-Jean de Terre-Neuve. Elle fait partie de la région métropolitaine de Saint-Jean et la plupart des résidents sont employés à Saint-Jean ou Mount Pearl. La ville fut formée en 1973 par la fusion de neuf communautés : Chamberlains, Foxtrap, Kelligrews, Lawrence Pond, Long Pond, Manuels, Seal Cove, Topsail et Upper Gullies. La ville possède une activité géologique, à savoir des gisements de fossiles le long de Manuels River. Les fossiles trouvés sont semblables à ceux trouvés dans le sud de l'Espagne, du Portugal et de l'Afrique du nord, mais différents de ceux trouvés dans l'ouest de Terre-Neuve. Démographie Municipalités limitrophes Références Lien externe Ville à Terre-Neuve-et-Labrador Terre-Neuve
Kingsley Obiekwu
Kingsley Obiekwu, né le à Igbuzo au Nigeria, est un footballeur international nigérian, qui évoluait au poste de défenseur. Biographie Carrière en club Avec le club néerlandais du Go Ahead Eagles, Kingsley Obiekwu dispute 4 match en Eredivisie, et 59 matchs pour 7 buts inscrits en Eerste Divisie (deuxième division néerlandaise). Carrière internationale Kingsley Obiekwu fait partie de la liste des 18 joueurs nigérians sélectionnés pour disputer les Jeux olympiques d'été de 1996 d'Atlanta. Il ne dispute aucune rencontre lors du tournoi qui voit le Nigeria être sacré champion olympique. Il compte 7 sélections avec l'équipe du Nigeria entre 1996 et 1999. Palmarès Médaillé d'or aux Jeux olympiques d'été de 1996 Références Liens externes Footballeur international nigérian Joueur du Go Ahead Eagles Joueur du Shabab Al-Ahli Joueur d'Al-Masry Club Footballeur aux Jeux olympiques d'été de 1996 Champion olympique nigérian Naissance au Nigeria Naissance en novembre 1974
Taşköprü
Taşköprü est une ville et un district de la province de Kastamonu dans la région de la mer Noire en Turquie. Géographie Histoire Ville en Turquie District dans la province de Kastamonu
Fréquence Paris Plurielle
Fréquence Paris Plurielle (en abrégé : FPP), est une radio associative généraliste française créée en 1992 et qui émet sur Paris et sa banlieue sur la fréquence . Elle est membre de la Fédération des Radios Associatives d'Ile de France. Héritière du mouvement des radios libres, elle ne diffuse aucune publicité et reste avec Ici et Maintenant !, Radio libertaire, Radio Courtoisie, et Aligre FM une des dernières radios associatives non commerciales en région parisienne. Histoire Issue d’un regroupement entre différents secteurs exclus du paysage audiovisuel français, Fréquence Paris Plurielle a développé un média qui se veut proche des luttes et des alternatives politique et sociales. De Radio Tomate… En 1981, alors que tombe le monopole d'État sur la radiodiffusion, le Centre d'initiative pour de nouveaux espaces de liberté (CINEL), piloté notamment par Félix Guattari, participe à la création d'une radio associative, Radio Tomate, qui s'inscrit dans une « réappropriation individuelle collective et (…) un usage interactif des machines d’information, de communication, d’intelligence, d’art et de culture ». La radio est animée par des militants, notamment issus du mouvement autonome . Elle vise à ouvrir de nouveaux espaces de débat et d'information politiques, et à lutter contre la répression des mouvements sociaux. La première Radio Tomate ne dure que deux ans. Le projet est ensuite réactivé en 1988, toujours sur le principe de donner la parole aux personnes en lutte. L'antenne émet sur le en région parisienne, et partage la fréquence, et donc le temps d'antenne, avec plusieurs autres radios. Radio Tomate anime à l'époque cinq émissions, sur les questions des mal logés, de la précarité, de la double peine, des luttes anti-carcérales (Parloir libre), et une émission punk. Lorsqu'émerge le projet plus large d'une radio associative assumant une pleine fréquence, les animateurs de Radio Tomate décident de cette nouvelle antenne. et Fréquence Libre… Parallèlement, en 1991, diverses associations de travailleurs immigrés en lien avec la Confédération Nationale des Radios Libres (CNRL), déposent un projet de radio, Fréquence Libre, auprès du CSA. Le projet, mené par Habib Laïdi, et porté par l'Association des travailleurs turcs, l'Union des Travailleurs Immigrés Tunisiens, l'Union des travailleurs africains en France, l'Association des marocains de France et l'ARAC, vise à donner la parole aux diverses communautés immigrées. Le projet de Fréquence Libre est rejeté par le CSA. … à Fréquence Paris Plurielle C'est ainsi qu'en 1991, se réunissent autour du projet de Fréquence Paris Plurielle des acteurs des médias libres et des mouvements sociaux, parmi lesquels : Yvan Jossen (Les Pieds dans le Paf), Jacques Soncin (alors directeur de la Confédération nationale des radios libres), Christine Hudin et Guy Dardel (de Radio Tomate), Annie Simon (CEDETIM, centre d’études et d’initiatives de solidarité internationale). Le projet est validé par le CSA en 1992 : Fréquence Paris Plurielle se voit attribuer le et commence à émettre sur 24. FPP, qui a commencé à construire sa grille autour, notamment, de la solidarité internationale, décide d'accueillir l'équipe de Fréquence Libre sur son antenne et consacre toujours aujourd'hui le quart de sa grille aux communautés immigrées de la région parisienne. La radio s'installe d'abord à La Plaine Saint-Denis, dans la banlieue nord de Paris. À la suite de la tempête de 1999, qui dévaste les studios, elle déménage dans le quartier de Stalingrad, dans le de Paris, et met en place avec diverses structures associatives engagées dans les médias ou l'économie sociale, une « Maison des Médias Libres ». Depuis 2009 la nouvelle adresse est : 1, rue de la Solidarité dans le de Paris. . Programmation La programmation de Fréquence Paris Plurielle repose sur une centaine d'émissions dont quatre-vingt-dix pour cent sont hebdomadaires et réalisées par plus de 200 bénévoles qui se relaient dans les deux studios de la radio. Contrairement à ce qui se pratique dans les médias traditionnels, les formats longs sont privilégiés, afin de prendre le temps de développer les idées et de dialoguer. La grille se structure donc en trois grands secteurs : politique et social, culture, musiques. Ces secteurs restent néanmoins indicatifs, . Secteur social, politique et solidarité internationale Fréquence Paris Plurielle se veut un lieu de libre expression des minorités sociales qui combattent toutes les formes d'exclusion et d'oppression. La radio est indépendante de tout parti politique ou religieux. Des associations ou des collectifs engagés dans les mouvements sociaux informent et débattent ainsi des questions de société : sans-papiers, droit au logement, chômage, prisons, écologie, féminisme, SIDA, tiers monde, handicap. Lors de grèves, manifestations, révoltes, FPP donne la parole aux personnes en lutte et ouvre des espaces de débat sur sa grille : cela a été le cas lors des mouvements de 1995 et 2007 ou lors des émeutes de 2005 en France, mais également lors de la mobilisation en faveur du journaliste noir américain Mumia Abu-Jamal ou lors de l'insurrection d'Oaxaca au Mexique en 2006. Secteur des communautés immigrées Quatorze communautés immigrées s'expriment notamment en bilingue (français et langue du pays d'origine) sur l'antenne : maghrébine, africaine francophone, turque, caribéenne, kanak, iranienne, comorienne, rom, kurde, malgache, latino-américaine, tchétchène. Ces communautés, qui s'adressent donc à la fois aux auditeurs francophones et non francophones, informent ainsi sur l'actualité du pays d'origine et de la communauté en France, transmettent des informations pratiques (papiers, école, vie en France), et jouent un rôle de transmission et de dialogue. Un certain nombre d'émissions sont reprises dans des radios associatives en Afrique (notamment au Sénégal et au Mali) et en Amérique du Sud. Secteur musical Les émissions musicales : musiques du monde, punk, opéra, jazz, funk, musique électronique, chanson française… . Notes et références Liens externes « Fréquence Paris Plurielle », un documentaire de Marion Lary (1999) en libre diffusion émission sur la Radio Tomate et les débuts de Fréquence Paris Plurielle Radio en Île-de-France Station de radio locale en France Station de radio à Paris Station de radio multilingue Station de radio associative Station de radio culturelle Station de radio éclectique en musique Communautés en radio Station de radio fondée en 1992 Média alternatif Radio sans publicité Association ou organisme ayant son siège en Île-de-France
(15584) Yumaokamoto
est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes découvert en 2000. Description a été découvert le à l'observatoire Magdalena Ridge, situé dans le comté de Socorro, au Nouveau-Mexique (États-Unis), par le projet Lincoln Near-Earth Asteroid Research (LINEAR). Caractéristiques orbitales L'orbite de cet astéroïde est caractérisée par un demi-grand axe de , un périhélie de , une excentricité de 0,06 et une inclinaison de 13,49° par rapport à l'écliptique. Du fait de ces caractéristiques, à savoir un demi-grand axe compris entre 2 et et un périhélie supérieur à , il est classé, selon la , comme objet de la ceinture principale d'astéroïdes. Caractéristiques physiques a une magnitude absolue (H) de 13,8 et un albédo estimé à 0,267. Voir aussi Articles connexes Liste des planètes mineures (14001-15000) Ceinture d'astéroïdes Références Objet céleste découvert en 2000 Objet céleste nommé d'après le finaliste d'un concours Astéroïde de la ceinture principale Objet céleste découvert par LINEAR Objet céleste découvert à l'observatoire Magdalena Ridge
The Look of Love (chanson de Madonna)
est une chanson de l'artiste et actrice américaine Madonna ; composée pour le film , dans lequel elle tient le rôle principal, elle fait partie de la bande originale. C'est le troisième et dernier single de l'album commercialisé le sous le label . En plein tournage du film, qui s'appelait alors , Madonna demanda au producteur Patrick Leonard de composer une chanson reflétant le caractère de son personnage. La chanson a pour nom : , référence explicite au rôle de l'acteur James Stewart dans le film Fenêtre sur cour. Les percussions constituent l'instrumentation principale de . Appréciée des critiques qui la considèrent d'une vérité poignante et comme le de l'album, atteint le top 10 en Belgique, Irlande, Pays-Bas et Royaume-Uni. Le titre est également classé dans les hits-parades français, allemand et suisse, tout en étant dans le top 20 du . Madonna l'interprète seulement pour le en 1987. Durant sa prestation, Madonna semble perdue sur scène, comme son personnage dans le film. Genèse et développement En 1986, Madonna joue dans son troisième film : , connu à l'époque sous le nom de . Ayant besoin de chansons pour la bande originale du film, elle contacte Patrick Leonard et Stephen Bray, qui ont écrit et produit son troisième album studio, en 1986. Elle leur demande une chanson entraînante et une autre plus sérieuse. Elle se rend au studio et développe le refrain avec Patrick Leonard. Celui-ci lui remet l'enregistrement car il travaille sur d'autres parties ; à elle de terminer la mélodie et les paroles de la chanson. Cela donne un morceau entraînant , le premier de la bande originale. Quant à la chanson sérieuse réclamée par la star, elle est écrite et produite une journée après et devient : . Après avoir terminé les paroles, Madonna demande que la chanson s'appelle et exige le changement de titre du film ; considérant comme un meilleur titre que . Analysant le rôle de la musique dans le film, elle explique : La star s'inspire du regard que l'acteur James Stewart lance à Grace Kelly dans le film Fenêtre sur cour. À ce sujet elle déclare : . sort comme troisième de la bande originale au Royaume-Uni, dans plusieurs pays européens et au Japon. , une piste de l'album Madonna, apparaît en face B. En 1989, la chanson est utilisée comme face B du . Composition démarre par des synthétiseurs et un , suivis par des sons de percussions et d'une note dans un registre aigu, contrastant avec celui des synthétiseurs. La chanson continue de cette façon jusqu'au dernier couplet, où une guitare acoustique vient soutenir la chanteuse. Deux voix sont audibles dans les paroles . Selon l'auteur Rikky Rooksby, dans , la chanteuse modifie sa voix pour faire passer davantage de sentiments dans . Elle prononce le mot en dessous de la tonalité de Ré mineur. Le mot est alors chanté dans un registre aigu de l'échelle musicale et donne ainsi une impression de suspension comme le timbre de l'accord en neuvième mineur qui dissocie l'harmonie entre les autres notes. La chanson se situe dans une signature rythmique commune 4/4 avec un tempo modéré de 80 pulsations par minute. Elle est composée dans une tonalité de Ré mineur, la gamme vocale de Madonna enjambant les notes Sol5 et Si3. a une séquence basique de Sol, Rém, Fam et Si comme progression d'accords. Accueil Critiques de la presse Rikky Rooksby considère la chanson comme l' de la bande originale, avec , et la qualifie de . J. Randy Taraborrelli, auteur de , déclare que . Pour Vince Aletti de , est la . John Evan Seery, auteur de , pense lui qu'elle figure le de Madonna. David Denby du magazine fait remarquer que est le joyau de l'album. Jay Boyar d' loue la chanson et dit : . Stephen Holden de pense que . Succès dans les hits-parades Au Royaume-Uni, sort le et entre dans le à la quinzième position. La semaine suivante, elle atteint la neuvième place du classement, et devient son premier à ne pas entrer dans le top 5 depuis . La chanson reste présente dans le hit-parade pendant sept semaines. Selon l', la chanson se serait vendue à exemplaires au Royaume-Uni en . En Allemagne, elle démarre à la du classement le et monte à la semaine suivante. Elle reste sept semaines dans le classement. En Irlande, le entre dans le top 10 et se loge au sixième rang. À travers le reste de l'Europe, il est neuvième en Belgique, en France, huitième aux Pays-Bas et vingtième en Suisse. Sur l' de , il arrive dix-septième. Interprétation scénique Madonna interprète la chanson lors de son en 1987. C'est la septième chanson de la programmation. La star est habillée d'un pantalon lamé couleur or et d'un haut sans manches. Quand elle finit sa prestation de , les projecteurs se focalisent sur elle. L'introduction musicale de commence, et Madonna erre sur la scène, en faisant semblant d'être perdue. Elle représente son personnage de Nikki dans lorsqu'elle erre ainsi. La chanson finie, Madonna fait semblant d'avancer en faisant des gestes tandis que le tapis roulant la pousse vers l'arrière et l'emmène en dehors de la scène. Versions vinyle (Version album) – 4:01 (Version album) – 4:12 vinyle – 4:01 – 4:12 – 5:09 (Ré-édition) – 4:01 – 5:09 – 4:12 Crédits Madonna - auteur, productrice, chant Patrick Leonard - auteur, producteur, mixage audio Shep Pettibone - mixage audio, producteur supplémentaire Junior Vasquez - ingénieur du mixage, éditage audio Steve Peck - ingénieur du mixage Donna DeLory - chœurs Niki Haris - chœurs Source Classements par pays Compléments Notes Références Références bibliographiques Bibliographie Liens externes Chanson interprétée par Madonna Chanson de cinéma Single musical sorti en 1987 Single publié par Sire Records Chanson écrite par Madonna Chanson écrite par Patrick Leonard
American Patriot
() est une série télévisée américaine en d'environ créée par Steven Conrad et produite par Prime Video. Le pilote a été mis en ligne le , et a été suivie par une série complète. La première saison a été diffusée intégralement le , et la deuxième saison le . Dans tous les pays francophones, la série est disponible sur Prime Video. Synopsis John Allerton, dit « Lakeman » est un agent secret en pleine dépression à la couverture singulière. Il doit se faire passer pour un ingénieur en vue de truquer une élection présidentielle en Iran afin d’éviter un possible programme de missile nucléaire, mais des complications lors d’un voyage au Luxembourg vont compliquer la mission et impliquer toute sa famille dans une course contre la montre pour éviter de dévoiler l’opération clandestine. Distribution Michael Dorman  : John Tavner Terry O'Quinn : Tom Tavner Kurtwood Smith : Leslie Claret Michael Chernus : Edward Tavner Kathleen Munroe : Alice Tavner  : Détective Agathe Albans Chris Conrad : Dennis McClaren Julian Richings : Peter Icabod Mark Boone Junior : Rob Saperstein Gil Bellows : Lawrence Lacroix : Stephen Tchoo Tony Fitzpatrick : Jack Birdbath Sylvie Sadarnac : l'inspecteur Lucie Prum-Waltzing Charlotte Arnold  : Ally O'Dhonaill Sadieh Rifai : Mahtma El-Mashad Hana Mae Lee : Numi Zoe Schwartz : Sophie Kane Mahon : Mikham Candahar   : Gregory Gordon : Kkyman Candahar Sabina Zeynalova : Sandrine Gernsback Matthieu Lunt  : l'inspecteur Emile Mills Norme Sousa : Edgar Barros Jaclyn Hennell : Lori Nikolas Kontomanolis : Wallace Candahar Version française Société de doublage : Deluxe Media Paris Direction artistique : Ivana Coppola Production La saison 1 n’est pas tournée au Luxembourg, mais à Prague. On peut apercevoir le Pont Charles à plusieurs reprises. En , la série est renouvelée pour une deuxième saison. La scène du piano géant est une référence au film Big. Épisodes Première saison (2015–2017) Milwaukee, États-Unis () Place C-19 () Homme Mac Millan () L'Agenda de John () Un monsieur triste en costume () La Dynamique structurelle du flux () Bonjour, est-ce que Charlie est là ? () Le Luxembourg contre John Lakeman (L'Affaire Contre John Lakeman) Dick Cheney () Les Cercles de résonance () Deuxième saison (2018) Les Évènements de Paris () Le Méridien de danger Vantasner () Les doigts dans l'engrenage () La Goule () Une armée d'étrangers () Chargé () Quitter Paris () Références Liens externes Série télévisée créée en 2015 Série télévisée disparue en 2018 Série télévisée américaine des années 2010 Série télévisée de Prime Video Série télévisée tournée dans les Hauts-de-France
Vénus en fourrure
Vénus en fourrure (titre original : ou , littéralement Les malices de Vénus), est un film germano-helvético-italien réalisé par Massimo Dallamano (Max Dillmann), sorti en 1969. Basé sur le célèbre roman de Leopold von Sacher-Masoch, La Vénus à la fourrure, le film raconte les passions perverses d'un jeune couple. Séverin regarde la belle Wanda nue dans sa fourrure, ce qui lui donne un tourbillon d'émotions à cause d’un épisode douloureux de sa jeunesse. Synopsis Après une première rencontre avec la belle Wanda, Séverin décide secrètement de la suivre et de l’observer. Il la voit sous la douche ou aller avec des inconnus. Se développe entre eux une étrange relation dominant/dominé. Mais cette relation échoue finalement. Séverin se console avec Gracia, la femme de ménage, tandis que Wanda rencontre Bruno. Séverin, trop humilié par Bruno, veut guérir de sa frustration avec une prostituée qui se révèle être Wanda. À la fin, Séverin ne peut plus supporter cet amour impossible et devient fou. Sorti en Allemagne, en 1969 et la même année en Italie sous le titre Venere nuda (La Vénus nue) où il a été immédiatement censuré, il ne ressortit qu'en 1975 dans les cinémas italiens, sous la forme censurée. Fiche technique Titre : Vénus en fourrure Titre original : Le malizie di Venere Réalisation : Massimo Dallamano Scénario : Inge Hilger, Fabio Massimo Production : Luggi Waldleitner Montage : Hans Zeiler Photographie : Sergio D’Offizzi Musique : Gianfranco Reverberi Pays d'origine : / / Genre : film dramatique, film érotique Durée : Dates de sortie : Autres titres connus Venere in pelliccia Venere nuda Venus im Pelz El placer de Venus Devil in the Flesh Kiihottava kosketus Venus in Furs (titre international) Distribution Laura Antonelli : Wanda Régis Vallée : Séverin Loren Ewing : Bruno Renate Kasché : Gracia Werner Pochath : Manfred Mady Rahl : Helga Wolf Ackva : Bailiff Peter Heeg : le psychiatre Josil Raquel : Carmen Michael Kroll : le peintre Fred Newmann : le gardien Source de la traduction Liens externes Film réalisé par Massimo Dallamano Film italien sorti en 1969 Film allemand sorti en 1969 Film suisse sorti en 1969 Giallo Film dramatique italien Film dramatique allemand Film dramatique suisse Film érotique italien Film érotique allemand Film érotique suisse Adaptation d'un roman autrichien au cinéma Leopold von Sacher-Masoch Film érotique des années 1960
Aldebert en scène
Aldebert en scène est le quatrième album du chanteur français Aldebert, sorti le . Il s'agit d'un album live. Liste des pistes Notes et références Liens externes Album de chanson française Album musical sorti en 2005 Album publié par Warner Records Album d'Aldebert
Leebotwood
Leebotwood est une paroisse civile et un village du Shropshire, en Angleterre. Notes et références Liens externes Village dans le Shropshire Paroisse civile dans le Shropshire
Syringa
Syringa est un genre d'arbustes appartenant à la famille des Oleaceae et composé d'une vingtaine d'espèces. Ce genre regroupe plusieurs des lilas véritables. L'espèce la plus répandue est Syringa vulgaris, le lilas commun, parfois subspontané dans les haies et les bois. Étymologie Syringa Le nom scientifique Syringa a été donné par Linné. Il correspond au latin syringa (= roseau) et évoque la tige creuse des pousses de certains lilas. Lilas Certaines espèces sont originaires d'Orient, sans doute de Perse, comme l'indique son nom : d'abord écrit lilac, c'est un emprunt à l'arabe lîlak (ليلك), lui-même issu du persan nîlak, qui signifie bleuté (dérivé de l'adjectif sanskrit nila = bleu). Utilisation Il est cultivé pour ses fleurs odorantes dont la couleur varie selon les espèces et les variétés. Il existe plus de 2 000 cultivars de lilas. Classification et systématique Principales espèces Syringa afghanica Syringa emodi - Himalayan Lilac Syringa josikaea - Lilas de Hongrie Syringa komarowii (syn. S. reflexa) Syringa laciniata - Cut-leaf Lilac Syringa mairei Syringa meyeri Syringa oblata Syringa persica Syringa pinetorum Syringa pinnatifolia Syringa protolaciniata Syringa pubescens (syn. S. julianae, S. patula) Syringa pubescens subsp. microphylla - Lilas à petites feuilles Syringa reticulata (syn. S. pekinensis) - Lilas du Japon Syringa spontanea Syringa sweginzowii Syringa tibetica Syringa tomentella Syringa villosa - Lilas duveteux (originaire de Chine) Syringa vulgaris - Lilas commun Syringa wardii Syringa wolfii Syringa yunnanensis - Yunnan Lilac Syringa ×persica - Lilas de Perse Liste des espèces Selon : Selon : Galeries Syringa vulgaris Syringa × persica Syringa oblata Notes et références (1104) Syringa, astéroïde nommé d'après cette plante. Liens externes Genre d'Angiospermes (nom scientifique) Oleaceae
Le Cœur de l'océan
Le Cœur de l'océan () est un téléfilm américain réalisé par Michael D. Sellers et diffusé en 2010. Synopsis Aux États-Unis, des experts en dauphins confrontent la Marine quand leur programme de sonars est suspecté de provoquer la mort des animaux. Fiche technique Titre original : Scénario : Wendell Morris Durée : 85 min Pays : Distribution Paul Wesley (VF : Stéphane Pouplard) : Craig Morrison Caitlin Wachs : Alyssa David Keith (VF : Thierry Buisson) : Hawk Michael Ironside : Blaine Ivana Milicevic (VF : Armelle Gallaud) : Gwen George Harris : Daniel Christine Adams : Tamika Samantha Jade : Kita Leah Eneas (VF : Céline Ronté) : Liz Duvey Roman Dent : Marine voleur #1 Bella King : Petite fille Greg Lee : Homme dans l'ombre Algerita Wynn Lewis : Infirmière Mike Lutz : Lieutenant Johnson Tah Kevin Njokom : Marine Adam Rizzieri : Officier de la marine Jane Wall : Michelle Waters Souce VF Notes et références Liens externes Téléfilm américain des années 2010 Téléfilm diffusé en 2010 Téléfilm dramatique Téléfilm se déroulant aux États-Unis Film mettant en scène un dauphin
Chapelle Saint-Martin de Niort
La chapelle Saint-Martin est une chapelle catholique située à Niort dans les Deux-Sèvres. D'architecture romane et fondée au XIIe siècle, elle est consacrée à saint Martin, apôtre des Gaules. Histoire La chapelle se trouve dans le quartier de la Recouvrance au nord-ouest de Niort, près de la rocade, dans un site qui a été déjà habité par les Romains. Des fouilles archéologiques ont mis au jour en 1973 cent soixante-sept tombes mérovingiennes alentour. Un prieuré est édifié par les chanoines augustins au XIIe siècle, puis affilié aux génovéfains. Il dépend de l'abbaye de la Couronne, près d'Angoulême. Le prieuré est ravagé pendant les guerres de religion. Il n'est pas relevé, seule subsiste la chapelle qui est désaffectée au culte à la Révolution et sert ensuite à divers usages profanes. Elle est vendue en 1999 à la Fraternité de la Transfiguration qui la rend au culte en l'an 2000. Celui-ci est célébré en latin. La chapelle est totalement réhabilitée en 2015. Description Le portail d'entrée est flanqué de piliers à chapiteaux sans aucun décor, supportant des arcs légèrement brisés. Le tympan ne montre aucun décor. La façade ne présente aucun ornement et elle est éclairée par une toute petite fenêtre en hauteur. La chapelle, très sobre, se présente sous la forme d'un édifice roman à nef unique, voûtée en plein cintre. Elle est accolée à un ancien bâtiment conventuel. Le maître-autel est en bois foncé très simple, flanqué de deux statues sulpiciennes ; celle de gauche représentant la Vierge à l'Enfant, celle de droite saint Joseph. Notes et références Niort Niort Martin Niort Niort Martin Niort
Tobias Stimmer
Tobias Stimmer ( à Schaffhouse, Suisse - ) est un dessinateur, peintre et graveur d'origine suisse. Biographie Son père, Christoffel Stimmer, est maître d'école à Schaffhouse. Fils aîné d'une fratrie de onze enfants, Tobias Stimmer, débute probablement un apprentissage à 14 ans, à Schaffhouse ou à Zurich (sa formation n'est pas connue précisément). Certains auteurs lui attribuent un contact avec la peinture vénitienne, mais sans précisions sur un éventuel séjour dans la Cité des Doges. En , il achète une maison à Schaffhouse avec son père et ses frères Abel et Loth. Après un passage à Bâle, il se rend à Strasbourg où étudie son frère Isaac, et noue ses premières relations avec l'imprimeur et éditeur Bernhard Jobin. De retour en Suisse en 1564, devenant avec Hans Asper le plus important portraitiste suisse, Tobias Stimmer exécute plusieurs œuvres pour différents commanditaires, dont le portrait de Conrad Gessner, conservé à Schaffhouse, ou le diptyque des époux Schwytzer et Lochmann, conservé au Kunstmuseum de Bâle. D'autres commandes suivent, portraits de la famille Peyer à Schaffhouse, portraits de familles de Zurich et Saint-Gall. À la demande de sa ville natale, il propose un projet, qui sera retenu, pour une coupe d'argent destinée à honorer le savant Conrad Dasypodius, et décore une horloge astronomique pour l'horloger Habrecht de Schaffhouse en 1566. Durant l'hiver 1569-1570, Tobias Stimmer se rend à Côme, dans le nord de l'Italie, à la demande de l'éditeur bâlois Pietro Perna, pour y reproduire par dessin les portraits de la célèbre galerie du cardinal-historien Paolo Giovio, ou Paul Jove. Ces dessins illustreront, quelques années plus tard, la publication de l'ouvrage Elogia virorum illustrium. Stimmer revient à Strasbourg, au printemps 1570, à l'invitation de Bernhard Jobin, et devient le parrain du fils aîné de celui-ci le suivant. Jobin est le beau-frère de l'écrivain protestant Johann Fischart, et ainsi naît la collaboration entre Jobin, Fischart et Stimmer. Arrivé à Strasbourg en 1570, il entreprend l'année suivante les peintures du buffet de l'horloge astronomique de la cathédrale de Strasbourg, à la demande du mathématicien Conrad Dasypodius, qui avait été chargé par la ville de la construction de cette horloge avec les frères Habrecht. Stimmer réalise les peintures in situ, avec la collaboration de son jeune frère Josias. Il dessine également les grisailles des statues et les maquettes des personnages animés de l'horloge. Le sculpteur auteur des sculptures est encore inconnu. Il exécute de nombreuses maquettes de vitraux (Scheibenrisse), aussi bien pour des bâtiments officiels que pour des maisons de riches particuliers. Sa production d'illustrations pour les éditions de livres est impressionnante, les gravures se comptent par centaines. Il produit des gravures pour illustrer des scènes (Freischiessen, ou concours de tir de Strasbourg), des portraits de contemporains ou d'hommes célèbres. Après avoir exécuté le portrait du Margrave Philipp II de Bade en 1576, il devient peintre officiel de la cour du Margrave, qui lui confie la réalisation de la décoration murale de la salle des fêtes du Neues Schloss de Baden-Baden en 1577. Il confie certaines parties à son frère Abel, qui terminera la décoration après la mort de Stimmer, devenant ainsi peintre de la cour de Bade (le château de Baden-Baden sera incendié et détruit par les troupes de Vauban lors de l'invasion de l'Allemagne). Après avoir acquis le droit de bourgeoisie à Strasbourg en 1582, Stimmer effectue un dernier voyage à Schaffhouse en 1583, et décède subitement à Strasbourg le 14 janvier 1584 à l'âge de 45 ans. Œuvres Très présent dans les villes de Schaffhouse, Strasbourg et Baden-Baden, essentiellement comme portraitiste, il est cependant également à l'origine de peintures murales et d'un grand nombre de gravures (scènes bibliques, allégories). Il n'existe pas, pour l'heur, de catalogue raisonné de l'oeuvre de Tobias Stimmer. Cependant, de nombreuses collections, publiques ou privées, possèdent tableaux, dessins, gravures ou livres illustrés, aussi bien en Europe qu'outre Atlantique. Le Musée Allerheiligen de Schaffhouse (Suisse, canton de Schaffhouse), à travers la fondation Peyer, possède quelques-uns des six portraits peints par Stimmer qui subsistent dans le monde (le bombardement par erreur de l'aviation américaine, en 1945, a détruit une grande partie du musée). Subsiste aujourd'hui sa peinture murale sur le bâtiment "Haus zum Ritter" à Schaffhouse, restaurée à deux reprises depuis le . Tobias Stimmer réalise les illustrations de nombreux ouvrages, en collaboration avec des imprimeurs, dont Bernhard Jobin à Strasbourg ou Thomas Gwarin à Bâle. Dessins Beaux-Arts de Paris : Étude d'homme nu, vu de profil et tenant un bâton. Détails de bras et de jambe. Plume, encre de Chine, lavis d'encre de Chine, rehauts de gouache blanche sur papier rouge, H. 0,200 ; L. 0,153 m. Ce dessin daté de 1563 offre un remarquable exemple de sa production de jeunesse. Son attribution est attestée par son monogramme composé de ses initiales en capitales entrelacées. Cette étude s'apparente à une académie d'après modèle vivant. L'artiste privilégie l'attitude cambrée au détriment de l'exactitude anatomique. L'usage du papier de couleur brique rouge traduit la dette de l'artiste envers ses aînés, notamment Niklaus Manuel Deutsch et Hans Baldung. Le dessin des Beaux-Arts peut être rapproché du Christ en croix (1561, British Museum, Londres) et d'une Bacchanale (1560-1565, Staatliche Galerie, Dessau), deux dessins contemporains réalisés par Tobias Stimmer. Projet pour un vitrail aux armes des familles von Waldkirch et May, d'après Tobias Stimmer, plume, encre brune et lavis d'encre de Chine, H. 0,419 ; L. 0,315 m. Cette étude de vitrail armorié n'est pas datée avec certitude, mais elle est située vers la fin des années 1560. L'auteur est certainement issu de l'entourage de Tobias Stimmer et le dessin est sans doute réalisé d'après un carton original perdu. Elle est sans doute destinée à une fenêtre réalisée à Schaffhouse, comme le révèlent les armes du commanditaire von Waldkirch. Allégorie dite de l'Âge d'or, d'après Tobias Stimmer, pinceau, lavis d'encre de Chine, rehauts de gouache blanche sur papier gris sombre, H. 0,306 ; L. 0,398 m. Cette feuille présente par son sujet et son style de nombreux points communs avec d'autres feuilles du maître. Il existe au Kunstmuseum de Bâle un fragment de la composition des Beaux-Arts. La version originale de cette composition semble perdue. L'inscription Aurea A[e]tas - en haut au centre de la feuille - désigne cette scène comme une illustration du mythe de l'Âge d'or. Ce dessin, exécuté dans l'atelier de Stimmer, est sans doute l'unique témoin, avec le fragment de Bâle, d'un projet ambitieux élaboré autour des années 1580. Notes et références Annexes Bibliographie Christiane D. Anderson, « Tobias Stimmer », Print Quarterly, vol. 2, , 1985. Hans Lieb, « Tobias Stimmers Geburt und Tod », dans Schaffhauser Beiträge zur Geschichte, vol. 67, 1990, p. 255-262. Max Bendel, Tobias Stimmer - Leben und Werke, Zurich, 1940. August Stolberg, Tobias Stimmer, sein Leben und seine Werke, Strasbourg, 1901. Christian Geelhaar, Tobias Stimmer (cat. exp. Kunstmuseum de Bâle), 2009. Paul Ganz, La peinture suisse avant la Renaissance, Paris, 1925. Margarete Barnass, Die Bibelillustration Tobias Stimmer, Heidelberg, 1932. Pierre Kintz, Tobias Stimmer - approche de quelques figures bibliques, Strasbourg (BNU), 2017. Pierre Kintz, Les Figures Bibliques de Tobias Stimmer : une expression du maniérisme à l'ère de la Réforme (Thèse de Doctorat en Histoire de l'Art, soutenue le 16 décembre 2022), Université de Strasbourg, 2022. Pierre Kintz, « Scènes de meurtre, de combats et de bataille illustrant le Flavius-Josèphe paru chez Theodosius Rihel à Strasbourg en 1574 », illustré par Tobias Stimmer, in Revue d'Alsace, n°148, 2022. Liens externes Photos de Haus zum Ritter dans les archives de Schaffhouse. Article sur le Mannerisme dans la Columbia encyclopedia. Peintre suisse du XVIe siècle Peintre portraitiste suisse Peintre schaffhousois Graveur suisse du XVIe siècle Naissance en avril 1539 Naissance à Schaffhouse Décès en janvier 1584 Décès à Strasbourg Décès à 44 ans
Les Mamelles (Guyane)
Les Mamelles ou Les Deux Filles sont deux îlets de Guyane, parmi les îlets de Rémire, appartenant administrativement à Cayenne. Lien externe Vue satellite Île inhabitée en Guyane
Villa Léone
La villa Léone est une voie du de Paris, en France. Situation et accès La villa Léone est une voie située dans le de Paris. Elle débute au 16, rue Bardinet et se termine en impasse. Origine du nom Historique Annexes Articles connexes Liste des voies du 14e arrondissement de Paris Liens externes Villa Léone (mairie de Paris) Références Leone Léone
Léon Brard
Léon Brard (né Léon Antoine Brard le à Caen et mort le à Tours) est un peintre et céramiste français. Biographie Natif de Caen, Léon Brard déménage à Tours en 1859. Disciple de Charles-Jean Avisseau, il partage avec Auguste François Chauvigné le fait d'avoir d'abord été peintre avant de produire de la céramique. Il est influencé par l'art du et produit des assiettes patronymiques ou en trompe l'œil dans le goût de cette époque. Il s'est également essayé à des sujets hispano-mauresques et révolutionnaires. Il a la particularité d'avoir combiné des techniques d'émaux colorés avec de l'étain. Notes et références Liens externes Peintre français du XIXe siècle Céramiste français Naissance en février 1830 Naissance à Caen au XIXe siècle Décès en août 1902 Décès à Tours Décès à 72 ans
Double dames des Internationaux de France 2004
Cet article présente les résultats détaillés du double dames de l’édition 2004 des Internationaux de France de tennis qui est disputé du 24 mai au . Ce tournoi est le deuxième de la tournée du Grand Chelem. Faits marquants Virginia Ruano Pascual et Paola Suárez battent Svetlana Kuznetsova et Elena Likhovtseva en finale de cette édition ; il s'agit du de cette équipe dans les tournois du Grand Chelem et de leur sur le circuit WTA. Parcours Résultats Tableau final Premiers tours Première partie Deuxième partie Troisième partie Quatrième partie Notes et références Voir aussi Article connexe Palmarès du double dames des Internationaux de France Lien externe Site officiel du tournoi Navigation 2004 France Double dames Tennis en France en 2004 Tennis en mai 2004 Tennis en juin 2004 Sport en France en juin 2004
John Haines
John Haines, né le à Norfolk en Virginie et mort le à Fairbanks en Alaska, est un poète américain. Biographie Œuvre traduite en français Récit Références Liens externes Poète américain du XXe siècle Poète américain du XXIe siècle Mémorialiste américain Mémorialiste du XXe siècle Professeur à l'université de l'Alaska de Fairbanks Boursier Guggenheim Naissance à Norfolk (Virginie) Naissance en juin 1924 Décès en mars 2011 Décès à Fairbanks (Alaska) Décès à 86 ans
Catherine Lusurier
Catherine Lusurier, née en 1752 et morte le à Paris, est une artiste peintre française. Biographie Catherine Lusurier est originaire de Paris; sa mère, Jeanne Callot, est couturière, alors que son père Pierre est membre d'une famille de chapeliers. Elle est la nièce du peintre Hubert Drouais, auprès duquel elle apprend la peinture. Après la mort du maître, elle continue à vivre avec sa veuve Marie-Marguerite Lusurier, rue des Orties dans la paroisse de Saint-Roch à Paris, aujourd'hui, disparue et remplacée par l'avenue de l'Opéra. Elle travaille probablement avec François-Hubert Drouais et son fils Jean-Germain Drouais dans leur atelier. Vingt et un tableaux, y compris les portraits de Jean-Germain Drouais à l’âge de quinze ans et de Jean le Rond D'Alembert, lui sont attribués. Catherine Lusurier n'a que vingt-huit ans au moment de sa mort en 1781. Un dessin appartient à la collection de la National Gallery of Art de Washington et un portrait de jeune fille, anciennement attribué à François-Hubert Drouais, se trouve dans la collection du Musée d'art de Milwaukee. Un portrait intitulée la Petite dessinatrice est conservé au Kunsthalle de Brême. Le portrait de Jean Drouais est conservé au Louvre, tandis que celui de D’Alembert se trouve dans la collection du Musée Carnavalet. Le musée du Louvre conserve d'elle Jean-Germain Drouais dessinant, (avec l'inscription suivante au fond, à droite : ). Références Voir aussi Bibliographie . Liens externes Naissance en 1752 Décès en janvier 1781 Peintre française Peintre français du XVIIIe siècle Décès à Paris
Jelebu
Jelebu est un des districts le plus étendu dans l’État malaisien de Negeri Sembilan avec plus de . Il est limitrophe des districts de Seremban, de Kuala Pilah et de Jempol au sud, de l’état de Selangor à l’ouest et de l’état de Pahang à l’est. Jelebu est un district avec une industrie agricole en expansion. Jelebu a connu une histoire de colonisation britannique et japonaise plus infâme que les autres districts de Negeri Sembilan. Nombreux artéfacts de valeur qui datent de l’ère de colonisation ont été découverts dans la petite ville agricole de Sungai Muntoh, qui était une ville minière très prospère il y a un siècle. Ces artéfacts sont maintenant exposés au musée de l’État. Titi et la ville avoisinante de Sungai Muntoh sont les villes minières les plus prospères au Jelebu. L’industrie de l’étain qui était en plein essor a joué une raison pour laquelle le massacre de Titi a eu lieu, avec plus de (majoritairement chinoises). Au total, environ ont été tuées sous l’occupation japonaise pendant la Seconde Guerre mondiale. C’est au Jelebu que l’on a enregistré le climat le plus chaud en Malaisie. La partie sud-ouest du district est la plus sèche de toute Malaisie, avec les précipitations les moins élevées dans le pays. Cependant le matin y est relativement doux avec une visibilité réduite à cause des brouillards. L’industrie de l’hévéa et l’industrie minière sont les secteurs les plus importants pendant la colonisation britannique ce qui fait la Malaisie britannique une des colonies la plus riche en ressources naturelles. Justement, c’est au Jelebu que l’on trouvait une des meilleures qualités de l’hévéa et de l’acier au monde. La culture de l’ananas y est parmi la plus importante en Malaisie péninsulaire. Jelebu abrite les principaux centres de réhabilitation pour toxicomanes qui sont les plus avancés dans l’état. Références Negeri Sembilan
Myszczyn
Myszczyn [ˈmɨʂt͡ʂɨn] est un village polonais, situé dans la gmina d'Ożarów Mazowiecki de la Powiat de Varsovie-ouest dans la voïvodie de Mazovie dans le centre-est de la Pologne. Il se situe à environ 9 kilomètres à l'ouest d'Ożarów Mazowiecki (chef-lieu) et à 22 kilomètres à l'ouest de Varsovie. Le village a une population de 136 habitants en 2009. Village dans la voïvodie de Mazovie Powiat de Varsovie-ouest
Scaramouche (roman)
Scaramouche () est un roman historique britannique en trois parties de Rafael Sabatini publié en . Très librement inspiré de la vie du vrai Scaramouche, Tiberio Fiorelli, l’action en est déplacée sous la Révolution française et la personnalité de Scaramouche dissimule le jeune avocat « André-Louis Moreau ». Au cours de ses péripéties amoureuses, contraint par les circonstances de changer plusieurs fois de camp, il devient successivement acteur dans le rôle de Scaramouche, révolutionnaire, politicien et maitre d’escrime, confondant ses ennemis tant par sa parole que son escrime. Contraint par les circonstances de changer plusieurs fois de camp, de cynique qu’il était, il devient, paradoxalement, idéaliste. Le récit s’ouvre sur la phrase mémorable : Résumé André-Louis Moreau est un bâtard qui ignore qui est son père. Ayant pris le parti de son condisciple Philippe de Vilmorin dans une question de justice, il est amené à prendre sa succession lorsque celui est tué en duel par un aristocrate arrogant, le marquis de la Tour d’Azyr. Entrainé dans le sillage de la Révolution française naissante, il est recherché et doit se cacher au sein d’une troupe d’acteurs itinérants, où il joue le rôle de Scaramouche. Il entreprend une liaison avec la fille du directeur de la troupe que celle-ci rompra pour le marquis de la Tour d’Azyr, pourtant fiancé à sa cousine Aline. À Nantes, André-Louis doit quitter la troupe, après avoir déclenché une émeute contre le marquis qui a brutalement réprimé un soulèvement à Rennes. Forcé de se cacher, il monte à Paris où il prend des cours escrimes avant de succéder à son maitre, tué dans une émeute de la Révolution. Il se réconcilie avec son parrain et fait la rencontre de , qui lui porte un intérêt presque maternel. Élu aux États généraux de 1789, il tue ou blesse gravement, y compris La Tour d’Azyr, tous les « spadassinicides » de la noblesse qui le défient. Après la journée du 10 août 1792, il procure un permis de voyage à Aline et à , dont il apprend qu’elle est sa mère. Après un ultime avec la Tour d’Azyr, lui révèle que le marquis est son père. André-Louis décide de quitter Paris avec les deux femmes et son parrain. De retour dans une relative sécurité à Gavrillac, André-Louis et Aline démêlent la nature véritable des sentiments qu’ils éprouvent pour l’autre et se déclarent leur amour. Suite Une décennie plus tard, Sabatini a donné à son roman une suite intitulée Scaramouche le faiseur de rois (), qui n’a pas été aussi bien accueillie. Adaptations Scaramouche (1952), réalisé par George Sidney, avec Stewart Granger, Janet Leigh et Mel Ferrer. Scaramouche (2006), pièce de théâtre de Pierre-Yves Lemieux, théâtre Denise-Pelletier. Notes et références Notes Références Roman britannique paru en 1921 Roman de cape et d'épée Roman historique se déroulant sous la Révolution française Roman britannique adapté au cinéma Roman se déroulant au XVIIIe siècle
Jean Labach
Jean Labach ( à l'Hôpital - , à L'Hôpital), est un homme politique français de la . Il fut député de la Moselle de 1928 à 1932. Biographie Jean Labach naît le à l'Hôpital en Lorraine annexée d'un cultivateur. Ouvrier-mécanicien aux Houillères jusqu'en 1923 avant de devenir exploitant agricole, il devient maire de l'Hôpital en 1919, fonction qu'il assume jusqu'en 1935. Il est aussi conseiller d'arrondissement du canton de Saint-Avold. Il participe à la fondation du parti chrétien social dans l'est mosellan. Il est élu député de la Moselle le avec le soutien des catholiques de tendance autonomiste au second tour. Il participe ensuite à la création de l'Union chrétienne sociale de Lorraine en 1928 après négociation avec l'URL. Le , il intervient en séance publique pour faire état du malaise ressenti par les populations d’Alsace-lorraine et exprimer leur attachement à leurs institutions propres. Inscrit au groupe des démocrates populaires, qui rassemble les alsaciens-mosellans régionalistes, il restera député de la Moselle jusqu'au placé dans la minorité des alsaciens-lorrains autonomistes. Il se représente en 1932 face à deux modérés et un communiste et se place deuxième mais lors du second tour, il est défait par Alex Wiltzer. Labach propose la création d'un organe consultatif élu au suffrage universel et avec un budget propre. Jean Labach décéda le . Notes et références Sources Voir aussi Droit local en Alsace et en Moselle Liens externes Député de la Moselle (Troisième République) Député de la quatorzième législature de la Troisième République Maire de la Moselle Naissance dans le district de Lorraine Naissance en octobre 1872 Décès en octobre 1962 Décès à 90 ans Décès en Moselle L'Hôpital (Moselle)
A Page from Life
est un film muet américain réalisé par Frank Lloyd et sorti en 1914. Synopsis Fiche technique Titre : Réalisation : Frank Lloyd Scénario : Frank Lloyd Production : Rex Motion Picture Company Distribution : Universal Film Manufacturing Company Genre : Film dramatique Dates de sortie : : Distribution Herbert Rawlinson : Maybrick Ann Little : Rita Carter Frank Lloyd : Charles Breen William Worthington : Carter Notes et références Liens externes Film américain sorti en 1914 Film dramatique américain Film réalisé par Frank Lloyd Court métrage américain Film muet américain Film américain en noir et blanc
جينو بوزانسكي
جينو بوزانسكي مواليد 4 مايو 1925 في مملكة المجر - الوفاة 11 يناير 2015 في ازترغوم، كان لاعب كرة قدم مجري كان يلعب كمدافع. سبق له أن لعب في كأس العالم لكرة القدم مع منتخب بلاده. فاز بميدالية أوليمبية في مسابقة كرة القدم. روابط خارجية مراجع لاعبو كرة قدم رجالية مجريون لاعبو كرة قدم من مقاطعة تولنا مدافعو كرة قدم رجالية حائزون على ميداليات في الألعاب الأولمبية الصيفية 1952 حاصلون على ميداليات أولمبية في كرة القدم لاعبو دوروجي لاعبو كأس العالم 1954 لاعبو كرة قدم في الألعاب الأولمبية الصيفية 1952 لاعبو كرة قدم مجريون لاعبو كرة قدم مجريون أولمبيون لاعبو منتخب المجر لكرة القدم مجريون فازوا بالميدالية الذهبية الأولمبية مدربو كرة قدم مجريون مواليد 1925 وفيات 2015 رياضيون من مقاطعة تولنا
نادي الجيل موسم 2017–18
موسم نادي الجيل 2017–18 لم يشارك نادي الجيل في دوري الدرجة الأولى، شارك للمرة التاسعة في دوري الدرجة الثانية. شارك النادي خلال هذا الموسم في كأس خادم الحرمين الشريفين. نظرة عامّة حصيلة النتائج ملخص النتائج الدوري معلومات عامّة النصف الأول بدأ نادي الجيل مشواره في دوري الدرجة الأولى بقوّة حيثُ نجحَ في العودة بنقطةٍ ثمينةٍ الجولة الافتتاحيّة حينما فرض تعادلًا إيجابيًا (1 – 1) على نادي الوشم في معقل هذا الأخير بمحافظة شقراء في العشرين من تشرين الأول/أكتوبر 2017، ثمّ حقَّق في الجولة المواليّة انتصارًا صعبًا على نادي الثقبة في الأحساء بهدفٍ نظيفٍ، قبل أن يُؤكّد على انطلاقتهِ القويّة حينما اكتسحَ في الجولة الثالثة نادي الحجاز بثلاثيّة نظيفة في المباراة التي استضافها ملعب الأمير عبد الله بن جلوي في الرابع من تشرين الثاني/نوفمبر. أكمل الجيل بدايتهُ الممتازة فنجحَ في الجولة الرابعة في اقتناصِ تعادلٍ مثيرٍ من ميدان العين بهدفٍ في كلّ شبكة، ثمّ تغلب بسهولة في الجولة المواليّة على حسابِ نادي الصقور، لكنه سقط في فخّ الخسارة لأول مرةٍ بعد خمس جولات من انطلاق الدوري وجاءت الهزيمة في الجولة السادسة أمام نادي المزاحمية بهدفٍ نظيفٍ في مدينة المزاحمية في آخر أسبوع من شهر تشرين الثاني/نوفمبر 2017. استفاق الجيل بسرعةٍ من خسارة الجولة الماضيّة فدوَّن انتصارًا صعبًا ومهمًا على نادي الشرق في الجولة السابعة في المباراة التي جرت على أرضيّة ملعب الأمير عبد الله بن جلوي بالأحساء، ثمّ أعقبها بتعادلٍ أمام نادي وج في ملعب الملك فهد بمدينة الطائف في الثامن من كانون الأول/ديسمبر، لكنّه تعرض لخسارة مفاجئة ومدويّة نوعًا ما حينما تغلّب عليه نادي التقدم بهدف نظيف في عُقر الدار في الجولة التاسعة مُكبّدًا الفريق الأحسائي أول خسارةٍ له على أرضيّة ملعبه وثاني خسارة في الدوري. خلال تسعِ جولات خاضها، تمكّن الجيل من الفوزِ في أربع مباريات وتعادل في ثلاثٍ أخرى بينما سقط في مبارتينِ فقط جامعًا بذلك 15 نقطة مزاحمًا باقي الفرق على صدارة جدول الترتيب ولو بشكل مؤقّت. النصف الثاني لم تكن بداية النصف الثاني من الدوري كبداية النصف الأول لنادي الجيل، فمع أنه حقَّق انتصارًا في الجولة الافتتاحيّة لهذا النصف داخل الديار على حساب نادي الوشم الذي كان قد تعادل مع ذهابًا، إلّا أنه دخل في دوامةٍ من النتائج السلبيّة: البداية كانت من الجولة الحادية عشر حينما فشل في العودة بأيّ نقطةٍ من الخبر ذلك بعدما تعرض لهزيمةٍ هناك أمام نادي الثقبة بهدفينِ مقابل واحد، ثمّ سافر في الجولة المواليّة نحو محافظة بلجرشي وعينه على النقاط الثلاث للبقاء في صدارة الترتيب لكنّه اصطدم هناك بخصمٍ عنيدٍ هو نادي الحجاز الذي تمكّن في آخر دقائق المباراة في تحقيقِ فوز مهمٍ ومثير بثلاثة أهداف مقابل اثنين على حسابِ النادي الأحسائي الذي واصل مسلسل تضييع النقاط. استضافَ الجيل في السادس والعشرين من كانون الثاني/يناير 2010 نادي العين في مباراة كانت سهلة على الورق لكنّ لاعبي الفريق الأحسائي أضاعوا نقاط المباراة برعونة بعدما اقتنص العين الرياضي هدفًا في الدقائق القاتلة مُنهيًا المباراة بالتعادل الإيجابي هدفٌ في كلّ شبكة وحارمًا نادي الجيل من الفوز للمباراة الثالثة تواليًا. بعد سلسلة الخسارات والنتائج السلبيّة تلك، انتفض النادي السماوي فنجحَ في الجولة الرابعة عشر في خطفِ نقاط المباراة من يدِ نادي الصقور حينما تغلّب عليه بهدفين مقابل واحد في المباراة التي جمعت الفريقينِ على أرضيّة ملعب مدينة الملك خالد الرياضيّة بتبوك في الثاني من شباط/فبراير 2018، ثمّ تفوق على نادي المزاحمية في الأحساء بثلاثة أهداف مقابل اثنين مواصلًا بذلك جمع النقاط وتعويض ما فاته في الجولات القليلة الماضيّة. حلَّ الجيل ضيفًا ثقيلًا في الجولة السادسة عشر على نادي الشرق ونجح بصعوبة بالغة في تخطّي فخيّ الهزيمة والتعادل حيثُ تفوق وسط الدلم بهدفٍ نظيفٍ عائدًا للأحساء بالعلامة الكاملة، وهي ذات العلامةُ التي حصَّلها في الجولة المواليّة سحقَ نادي وج بثلاثة أهداف مقابل واحد ضامنًا بذلك المركز الثاني وباحثًا عن أيّ هفوةٍ للمتصدر من أجل اقتناص اللقب، الذي فقدهُ رسميًا في الجولة الختاميّة حينما سقط سقوطًا مدويًا في المذنب أمام نادي التقدم الذي شكّل له عقدة كبيرة هذا الموسم بعدما خسر أمامه مباراة الذهاب والإياب معًا. نجح الجيلُ إذن في تسع جولاتٍ لعبها في إطار النصف الثاني من الدوري في تحقيقِ الانتصار خمس مرات وتعادل مرة وحيدة بينما خسر ثلاث مواجهات جامعًا بذلك 16 نقطة، بنقطة إضافيّة واحدة زائدة عمَّا حَصَّلهُ في النصف الأول من الدوري وواصلًا للنقطة الحادية والثلاثين في الجموع الكّلي ضامنًا بذلك المركز الثاني المؤهل مباشرة لدوري الدرجة الأولى. قائمة المباريات جدول الترتيب تمكّن نادي الجيل في 18 جولة خاضها من حصدِ 31 نقطة وذلك بعد تسع انتصارات وأربع تعادلات مقابل خمس خسائر. نجح الجيل بهذا الرصيدِ من النقاط في احتلال المركز الثاني وهو مركزٌ مؤهِّلٌ لدوري الدرجة الأولى الموسم المُقبِل. سجَّل الجيل خلال الجولات الثمانيّة عشر ما مجموعه 25 هدفًا (بمعدل 1.38 في كلّ مباراة) كثالث أقوى خطّ هجوم بينما تلقّت شباكهُ 17 هدفًا فقط (بمعدل 0.94 في كلّ مباراة) كثاني أقوى خطّ دفاعٍ في الدوري. حلَّ الجيل خلف نادي الوشم الذي جاء في المركز الأول متوَّجًا باللقب وذلك بعدما جمع 35 نقطة – بفارقِ أربع نقاطٍ فقط عن الوصيف – من خلال فوزه في عشر مباريات وتعادله في خمسة مقابل خسارة ثلاثة مباريات فقط. في المقابل، جاء خلف نادي الجيل نادٍ آخر هو العين الذي جمعَ 31 نقطة هو الآخر مناصفة مع الجيل لكنّ الأخير تفوّق عليهِ في فرق الأهداف (+8 مقابل +6)، ومع ذلك فقد تأهل العين للعبِ الملحق مع صاحب المركز الثالث من المجموعة أ لمعرفة هويّة المتأهل الرابع لدوري الدرجة الأولى. قائمة المباريات هذه قائمةٌ بمباريات نادي الجيل في دوري الدرجة الثانيّة (المجموعة ب) موسم 2017–18: إحصائيات سجّل الجيل 25 هدفًا (بمعدل 1.38 في كلّ مباراة) بينما تلقّت شباكه 17 هدفًا (بمعدل 0.94في كل مباراة). سجّل الجيل 14 هدفًا في المباريات التي خاضها على أرضيّة ملعبه بينما تلقَّى 7 أهداف. سجّل العدالة 11 هدفًا خارج دياره وتلقَّى في مقابل ذلك 10 أهداف. خسر الجيل مبارتين على التوالي كأطول سلسلة هزائم له في الدوري وذلك في الجولتين الحادية عشر والثانيّة عشر. حقَّقَ الجيل أربع انتصاراتٍ على التوالي وذلك من الجولة الرابعة عشر حتى الجولة السابعة عشر. أكبر انتصارٍ حقّقه نادي الجيل في الموسم الكرويّ 2017–18 كان داخل ميدانهِ على حسابِ نادي الحجاز بثلاثّية نظيفة في الجولة الثالثة. أكبر خسارةٍ تعرض لها النادي الأحسائي كانت في الجولة الثانية عشر حينما خسر في بلجرشي أمام نادي الحجاز بثلاثة أهداف مقابل هدفين. كأس الملك معلومات عامّة بعد النتائج الطيّبة التي حققها نادي الجيل طوال جولات الدوري، بدأ الفريق الأحسائي مشواره في التصفيات المؤهّلة لكأس الملك التي تُعرف رسميًا باسمِ كأس خادم الحرمين الشريفين. أول مباراة لنادي الجيل في التصفيات كانت أمام النادي الأحسائي الآخر العدالة الطامحِ أيضًا لعبور التصفيات والوصول للمراحل الإقصائيّة. احتضنَ ملعب الأمير عبد الله بن جلوي – الذي هو ملعبُ الفريقينِ معًا – المباراة في الرابع عشر من تشرين الثاني/نوفمبر 2017 والتي انتهت للنادي السماوي بهدفٍ نظيفٍ ظلَّ صامدًا حتى نهاية المباراة لينجح الجيل في المرور للدور الثاني من التصفيات التي أوقعتهُ في مواجهة ناريّة مع نادي الزلفي. كانت حظوظُ الفريقينِ متقاربة جدًا مع أفضليّة طفيفة لنادي الجيل كونز المباراة ستُلعب على أرضيّة ملعبه، ومع ذلك فقد فشل الأخير في استغلال الأمور ليتعرض لهزيمة قاسيّة على يدِ منافسه الزلفي بثلاثة أهداف مقابل واحد مودّعًا التصفيات من دورها الثاني وفاشلًا في الوصول للمراحل الإقصائيّة من الكأس. قائمة المباريات هذه قائمةُ المبارتين اللتين ظهرَ فيهما نادي الجيل في التصفيات التأهيليّة لكأس الملك: إحصائيات شارك نادي الجيل في مبارتين في إطار التصفيات المؤهّلة لكأس الملك، حيثُ نجحَ في الفوز بواحدة لكنّه خسر الثانيّة وفشل في التأهل للمنافسة على الكأس. سجَّل نادي الجيل في المبارتين هدفينِ (بمعدل هدف في كلّ مباراة) بينما استقبلت شباكه ثلاثة أهداف كلها في المباراة الثانيّة. المراجع أندية كرة قدم أسست في 1976
Lejarzo
Lejarzo en espagnol ou Lexartzu en basque, est une commune ou contrée de la municipalité d'Ayala, dans la province d'Alava, dans la Communauté autonome basque, en Espagne. Référence Voir aussi Liste des municipalités de la province d'Alava Concejo en Alava
Carl Steinhäuser
Carl Steinhäuser, né le 3 juillet 1813 à Brême et mort le 9 décembre 1879, à Karlsruhe, est un sculpteur allemand représentant du classicisme. Biographie Steinhäuser est le fils aîné d'un sculpteur sur bois originaire d'Allemagne méridionale, installé à Brême où il avait ouvert une boutique d'encadrements de miroirs. Le frère de Carl Steinhäuser, Adolph Steinhäuser, est peintre et son autre frère, Wilhelm Steinhäuser, est sculpteur. Steinhäuser apprend d'abord la peinture auprès du peintre brémois Stephan Messerer, puis il étudie à Berlin à l'Académie des arts. C'est alors qu'il change d'orientation pour se diriger vers la sculpture, sous la direction de Rauch. En 1835, ils voyagent ensemble en Italie et font un long séjour à Rome. En 1863, il est nommé professeur à l'Académie des beaux-arts de Karlsruhe. Steinhäuser est l'auteur de nombreuses sculptures de marbre d'inspiration résolument néoclassique et qui d'après le Meyers Konversations-Lexikon . Il crée le monument d'Heinrich Olbers à Brême et celui de Johann Smidt, le Vase de Steinhäuser, la statue de Goethe avec Psyché à Weimar (aujourd'hui au Nouveau Musée de Weimar), la Psyché à Brême et Hermann et Dorothée à Karlsruhe. À partir de 1865, Steinhäuser prend part en plus à la gestion et au conseil artistique d'une carrière de marbre, à l'enlèvement et au traitement du marbre à Laas dans le Tyrol du Sud. Carl Steinhäuser était l'époux de la peintre de genre et d'histoire Pauline Steinhäuser, née Francke (1809–1866), dont il a deux enfants, Maria (épouse Bellardi), qui restera à Rome, et Johannes, sculpteur, qui administrera les marbres de Laas où il demeurera. Carl Steinhäuser est inhumé au cimetière principal de Karlsruhe. Parmi les élèves de Steinhäuser, l'on compte Otto Lessing et Carl Friedrich Moest. Quelques œuvres Vase de Steinhäuser, Brême, Wallanlagen, 1855 Monument à Olbers, Brême, Wallanlagen, 1850 Hero et Leandre, Berlin, Château de Charlottenbourg, vers 1850 Bibliographie Herbert Schwarzwälder: Das Große Bremen-Lexikon 2., aktualisierte, überarbeitete und erweiterte Auflage. Edition Temmen, Bremen 2003, . Helke Kammerer-Grothaus: Carl Johann Steinhäuser 1813–1879, ein Bildhauer aus Bremen. Aschenbeck Media, Delmenhorst 2004, ISBN {3-932292-64-2. Notes et références Liens externes Sculpteur allemand du XIXe siècle Naissance en juillet 1813 Naissance à Brême Décès en décembre 1879 Décès à Karlsruhe Personnalité inhumée au cimetière central de Karlsruhe Décès à 66 ans
Velella (homonymie)
Velella peut faire référence à: Velella, un genre de cnidaires hydrozoaires pélagique. , sous-marins de la Regia Marina, dont : Velella, lancé au début des et ayant servi pendant la Première Guerre mondiale ; Velella, en service à partir de 1936 et ayant servi pendant la Seconde Guerre mondiale.
Mossana Debesay
Mossana Abraham Debesay, née le à Asmara en Érythrée, est une cycliste érythréenne. Elle a notamment été championne d'Afrique et championne d'Érythrée à plusieurs reprises. Ses frères, Fregalsi, Jacob, Kindishih, Mekseb sont également coureurs cyclistes. Palmarès Par année 2014 au championnat d'Érythrée du contre-la-montre au championnat d'Érythrée sur route 2015 Médaillée d'or du contre-la-montre aux Jeux africains Championne d'Érythrée sur route Championne d'Érythrée de la course du contre-la-montre Médaillée de bronze du championnat d'Afrique du contre-la-montre par équipes 2016 Championne d'Érythrée de la course du contre-la-montre Médaillée de bronze du championnat d'Afrique du contre-la-montre par équipes 2017 Championne d'Érythrée de la course du contre-la-montre Championne d'Afrique du contre-la-montre par équipes (avec Wehazit Kidane, Bisrat Ghebremeskel et Wegaheta Gebrihiwt) Médaillée d'argent du championnat d'Afrique du contre-la-montre 2018 Championne d'Afrique du contre-la-montre Médaillée d'argent du championnat d'Afrique du contre-la-montre par équipes Médaillée de bronze du championnat d'Afrique sur route 2019 Championne d'Afrique sur route Médaillée d'argent du championnat d'Afrique du contre-la-montre par équipes Médaillée d'argent du contre-la-montre par équipes aux Jeux africains au championnat d'Érythrée sur route au championnat d'Érythrée du contre-la-montre'' Classements mondiaux Références Liens externes Coureuse cycliste érythréenne Naissance en novembre 1993 Naissance à Asmara Coureuse cycliste aux Jeux olympiques d'été de 2020 Championne d'Afrique de cyclisme sur route
Max von Basse
Max von Basse est un général allemand durant la Seconde Guerre mondiale. Biographie Il entre dans l'armée en 1902 au . En 1910, il est détaché militaire à Münster. Durant la Première Guerre mondiale, il est blessé en 1917 et reste 15 mois en convalescence. Au début de la Seconde Guerre mondiale, il est chef de région, puis de 1940 à 1943, il est membre de l'état major du 8e corps d'armée (Allemagne). Le , il devient commandant du 12e corps d'armée (Allemagne). Ses deux fils, officiers, Diederich et Bobst, sont morts durant la seconde guerre mondiale. Décorations Références Generalmajor de la Heer de la Wehrmacht Naissance en mars 1883 Naissance à Kamen (Allemagne) Naissance dans la province de Westphalie Décès en février 1949 Décès à Wiesbaden Décès à 65 ans
Photo (magazine)
Photo est un magazine bimestriel français consacré à la photographie. Le magazine traite de la photographie sous ses nombreux aspects, du photojournalisme à la photographie d'avant-garde, en passant par la mode, la nature, le nu artistique — qui caractérise la plupart de ses couvertures. Il rend compte des grandes actualités de la photographie et des tendances en France et dans le monde, aborde la technique photographique (la photographie mobile, la photo d'applications, l'argentique, le numérique) et fait appel aux grands photographes en leur donnant la parole. Photo, par sa longévité et sa présence à l’international, est, selon sa signature, « la référence de l'image depuis 1967 ». Historique En 1967, Daniel Filipacchi, à la tête d'un groupe d'une vingtaine de titres, crée Photo (titre souvent stylisé en lettres capitales) sur une idée du photojournaliste de Paris Match Walter Carone. En , Catherine Deneuve inaugure le magazine, photographiée par David Bailey, son compagnon d'alors. Roger Thérond Roger Thérond, ancien rédacteur en chef de Paris Match, rejoint la direction du magazine et lance en 1977 le « concours des amateurs » (qui perdure aujourd'hui avec photos candidates chaque année). Il occupe officiellement la fonction de directeur associé à la publication dès . Il sollicite parmi les plus prestigieux photographes du moment, tels que Brassaï, Cartier-Bresson ou Willy Rizzo. Jean-Louis Swiners, ancien rédacteur en chef de terre d'images, se joint à l'équipe dès le second numéro et devient directeur de la publicité jusqu'en 1974. Régis Pagniez dessine le logo et le design et crée les portfolios qui contribuent au succès du magazine. Il quitte la rédaction quelques années plus tard pour émigrer aux États-Unis. Walter Carone est nommé directeur de la rédaction de 1970 à 1973. Jean-Jacques Naudet Jusqu'en 1988, Jean-Jacques Naudet exerce des responsabilités au sein de la rédaction. Puis, en 1988, il laisse la place à Michel Decron, qui devient rédacteur en chef. Michel Decron Spécialiste de la photographie sous-marine, Michel Decron a réalisé de nombreux reportages pour Paris Match. Éric Colmet-Daâge Éric Colmet-Daâge seconde Régis Pagniez dans un premier temps. Il devient directeur de la rédaction et le directeur artistique de Photo en 1994. Il fait évoluer le magazine conjointement avec la nouvelle rédactrice en chef adjointe, Agnès Grégoire. Agnès Grégoire Évolution du contenu La photo d’avant-garde donne le ton du magazine dès la fin des années 1960 (Art Kane, Pete Turner, Jay Maisel). Dès ses débuts également, Photo se distingue , tels Lucien Clergue, Guy Bourdin, Jeanloup Sieff, Brigitte Bardot par Claude Azoulay, les érotiques de Henri Cartier-Bresson… Entre deux « scoops sexys », le magazine provoque parfois le scandale, exposant transsexuels et hermaphrodites en couverture, ou proposant des photos de mineures par Louis Malle. Créé en pleine guerre du Viet Nam et avant mai 1968, le magazine accorde aussi la part belle au reportage de terrain, puis aux thèmes liés à la nature et s’inscrit tout au long de son histoire proche du monde de la mode, accueillant par exemple les travaux de Cecil Beaton, Helmut Newton, William Klein… En 1989, le magazine Photo crée le festival « Visa pour l’image », qui rassemble depuis, chaque année à Perpignan, des photojournalistes du monde entier (expositions, rencontres, projections). Le festival est rapidement reconnu sur le plan international parmi les professionnels de l'image, et est dirigé par Jean-François Leroy. Photo met à profit ses relations privilégiées avec les plus grands photographes en les faisant intervenir à l’écrit dans le magazine, avec divers acteurs étrangers au monde la photographie. Plusieurs de ces correspondants ont parrainé le numéro annuel « spécial amateurs », en introduisant par un texte l’une des thématiques, selon leur spécialité. Photo reçoit chaque année jusqu'à images dans le cadre du « Plus grand concours photo du monde » organisé par le magazine. Publié en PAO dès le début des années 1990, Photo lance son site internet dès 1995. Après la mort de Roger Thérond en 2001, le groupe HFM, qui détenait déjà 50 % du capital du mensuel, a acquis le solde auprès des héritiers en 2002. Dix ans plus tard, en 2011, le magazine est revendu à Magweb. Monika Bacardi et David Swaelens-Kane en deviennent propriétaires en 2014. De nos jours Daniel Filipacchi est président d'honneur. Lady Monika Bacardi est présidente d’honneur, David Swaelens-Kane est directeur de la publication et directeur des rédactions. Éric Colmet-Daâge est editor-at-large. Agnès Grégoire est directrice de la rédaction. En 2020, le magazine est racheté par Francis Dagnan, propriétaire du studio Harcourt. Autour de Photo Le magazine « Photo » est lié à diverses activités autour de la photo, dont Photo Management (« coaching » d'artistes), initiées par EPMA depuis 2015. Photo Management intervient dans le soutien de jeunes talents en les exposant en Europe et en Amérique, via des partenariats divers. Le magazine réalise plus de la moitié de ses ventes à l'étranger, dans 70 pays environ. Voir aussi Articles connexes Chasseur d'images Fisheye France Photographie Openeye Photofan Polka Magazine Réponses Photo Terre d'images WorkFlow Liens externes Notes et références Presse consacrée à la photographie Presse mensuelle en France Photographie en France Hachette Filipacchi Médias Titre de presse créé en 1967
خوان بابلو فيلالوبوس
خوان بابلو فيلالوبوس هو مؤلف وشخصية أعمال وكاتب مكسيكي، ولد في 1973 في غوادالاخارا في المكسيك. مراجع وصلات خارجية أشخاص من غوادالاخارا كتاب مكسيكيون كتاب مكسيكيون في القرن 21 مترجمون مكسيكيون مواليد 1973
Raïon des Nagaïbaks
Le raïon Nagaïbakski (en , Nabaïbakskïi raïon) est une subdivision administrative de l'oblast de Tcheliabinsk, en Russie. Son centre administratif est le village de Ferchampenouaz. Il doit son nom à l'ancienne tribu nomade des Nagaïbaks ou Nogaïbaks. Géographie Le raïon Nagaïbakski est limité au nord et à l'est par le raïon de Tchesma, au sud-est par le raïon de Kartaly, au sud-ouest par le raïon d'Agapovka et à l'ouest par le raïon de Verkhneouralsk. Histoire Divers traces d'activité humaine datant du et . Le plus grand tumulus de la région, nommé Ouba Taou, légué par une peuplade sarmate Artefacts de l'âge du bronze Économie Économie agricole fondée sur l'élevage. Religion Le doyenné orthodoxe des Nagaïbaks, dépendant de l'éparchie de Magnitogorsk, recoupe les limites du raïon. Annexes Notes et références Liens externes Site officiel du raïon
Call of Duty: Zombies
Call of Duty: Zombies est un jeu vidéo de tir à la première personne développé par Ideaworks Game Studio et publié par Activision pour iOS. Il s'agit d'un spin-off de la série Call of Duty, basé sur le mode Zombies de Call of Duty: World at War. Le jeu est sorti dans le monde entier le 16 novembre 2009. Le jeu permet de jouer en coopération en mode multijoueur localement via un réseau ad hoc Wi-Fi ou Bluetooth, ou globalement via Internet. Il est également fourni avec les trois autres cartes, Verrückt, Shi No Numa et Der Riese. Une suite du jeu, Call of Duty: Black Ops - Zombies, a été publiée par Activision. Le jeu se déroule à l'origine dans un bunker allemand (Nacht der Untoten) pendant la Seconde Guerre mondiale, du point de vue d'un marine américain. Des soldats SS devenus zombies tentent d'infiltrer le bunker et d'attaquer les joueurs, qui doivent alors se défendre. Gameplay L'objectif du jeu est de survivre à chaque tour d'invasion de zombies, après quoi un tour plus difficile commence. Le joueur commence le jeu avec un Colt 1911 et a accès à une attaque de mêlée via un couteau de combat, ainsi qu'à un maximum de 4 grenades à main. En combattant les zombies, les joueurs reçoivent des points. Ces points sont utilisés pour acheter des armes, des avantages et l'accès à différentes parties de la carte. Certaines cartes ont des variations de zombies qui apparaissent lors de vagues spécifiques, comme les chiens de l'enfer zombie. Les zombies entrent depuis l'extérieur de la carte jouable par des entrées barricadées. Au fur et à mesure des tours, la difficulté augmente et les zombies peuvent enlever les barricades plus rapidement. Les joueurs reçoivent des points pour remplacer les barricades ainsi que pour tuer les zombies. Le jeu dispose d'une variété de perks qui peuvent être achetés avec des points et qui donnent aux joueurs des capacités améliorées. En plus des perks, il y a des instances aléatoires de power-up qui sont laissés derrière quand un zombie est tué pour aider les joueurs. Certaines cartes peuvent également contenir des "Easter Eggs" que les joueurs peuvent exécuter pour jouer de la musique, obtenir une récompense ou en apprendre davantage sur l'histoire énigmatique de la série. Notes et références Jeu vidéo sorti en 2009 Jeu Activision Jeu iOS Call of Duty Jeu vidéo développé au Royaume-Uni Jeu vidéo de zombie Jeu vidéo se déroulant au Japon Jeu vidéo se déroulant en Allemagne
Tomcat
En anglais, tomcat, ou tom ou tommiecat, est un mot pour « matou », un chat mâle non castré. Le mot est aussi notamment utilisé pour : Grumman F-14 Tomcat, un avion de chasse. En informatique, Apache Tomcat, un serveur web pour des applications java. Tomcat est le surnom du modèle de moto ZX-10 1000 produit par Kawasaki en 1988-89. Tomcat est un jeu vidéo pour plusieurs ordinateurs 8 bit. Tomcat est un logiciel utilitaire pour ordinateur Amstrad CPC. Le Beretta Tomcat est un pistolet. Le Waspair HM 81 Tomcat est un ULM.
Estève Caseponce
Estève Caseponce, ou Casapança, né le à Céret (Pyrénées-Orientales) et mort le dans la même ville, est un écrivain français d'expression catalane et française. Biographie Prêtre à Arles-sur-Tech et instituteur à Perpignan, Estève Caseponce participe en 1906 au Premier congrès international de la langue catalane à Barcelone. Retraité en 1908, il part s'installer à Barcelone, où il vit jusqu'en 1923. Il fait partie pendant la Première Guerre mondiale d'un comité d'aide aux alliés. Conscient que les coutumes de sa région sont sur le point de disparaître, Estève Caseponce recueille des échantillons de la littérature orale du Vallespir, mettant par écrit pour la première fois les contes populaires de la région. Œuvres . . . . Notes et références Voir aussi Bibliographie Edmond Brazès La vie et l'œuvre de Mossèn Estève Caseponce, Céret, impr. J. Coste (1948) Liens externes Écrivain lié aux Pyrénées-Orientales Écrivain français du XXe siècle Écrivain français du XIXe siècle Écrivain de langue catalane Mythologie catalane Naissance en septembre 1850 Naissance à Céret Décès en décembre 1932 Décès à 82 ans Décès à Céret
Courage Compétition
Courage Compétition était une écurie de course automobile basée au Mans, près du circuit de la Sarthe. Elle est fondée par Yves Courage le , pilote automobile français engagé en courses de côte dans les années 1970 puis aux 24 Heures du Mans, elle appartient depuis septembre 2007 au Groupe Oreca. Histoire Yves Courage Yves Courage est né le 27 avril 1948. Il entame sa carrière de pilote automobile en 1972 et s'engage dans différentes catégories de course de côte tout au long des années 1970. En 1980, il a remporté plus de 80 victoires dont le Mont-Dore. En 1977, il s'engage pour la première fois aux 24 Heures du Mans. En 1981, avec Jean-Philippe Grand, il termine l'épreuve à la du classement général mais vainqueur de la catégorie dans laquelle leur Lola-BMW était engagée. Dans la foulée de ce succès, Yves Courage décide de fonder sa propre écurie de course et commence la construction d'un prototype avec lequel il pourra courir l'édition des 24 Heures du Mans 1982. Premières années En 1982, après de longues nuits blanches de travail, la Cougar C01, répondant au règlement du nouveau groupe C est engagée aux du Nurburgring. Elle est équipée du Ford-Cosworth V8 DFL et la société française Primagaz fait confiance au nouveau constructeur sarthois grâce à Jacques Petitjean, responsable de la communication de la marque. Aux 24 Heures du Mans, l'équipage que compose Yves Courage avec Jean-Philippe Grand et Michel Dubois est contraint d'abandonner après 78 tours de course. Il revient en 1983 avec une C01 modifiée, puis en 1984 avec la C02. Ces deux tentatives se soldent par autant d'abandons. Les vibrations causées par le V8 Ford ont, à chaque fois, raison de la fiabilité des Courage. Il annonce alors la conclusion d'un accord avec Porsche pour les 24 Heures du Mans 1985. Ère Porsche En 1985, Yves Courage annonce la conclusion d'un accord avec Porsche afin de remplacer le moteur Ford-Cosworth. Pour s'adapter au moteur turbo flat-6 du constructeur allemand, Courage construit un nouveau châssis : la Courage C12. Les effets de ce changement se font très vite ressentir : la C12 termine puis en 1986. En 1987, la C20 termine des 24 Heures derrière la Porsche 962C officielle et une autre 962C préparée par Courage Compétition. La même année, Courage participe partiellement au championnat du monde des voitures de sport et l'écurie obtient la du classement des constructeurs. Yves Courage choisit alors d'abandonner sa carrière de pilote pour se consacrer pleinement à la gestion de son équipe. En 1988, l'écurie n'est pas en mesure de réitérer ses exploits. La Courage C22 abandonne après 66 tours et ne marque des points qu'à une seule occasion lors du championnat des voitures de sport. L'année suivante, Courage aligne quatre voitures au départ des 24 Heures : deux Courage-Porsche C22LM et une March-Nissan engagées dans la catégorie C1 du Groupe C, une Courage-Porsche C20B dans la catégorie C2. Seule cette dernière réussit à terminer l'épreuve, à la du classement général et surtout à la de sa catégorie. Au championnat des voitures de sport, l'écurie termine à la des constructeurs, marquant des points cinq fois sur huit. L'année suivante, la C24S rallie l'arrivée du Mans à la puis à la en 1991. À la suite de changements dans la réglementation, Courage engage des C28LM dans la nouvelle catégorie C3 (la meilleure, conduite entre autres par Henri Pescarolo, termine à la , de sa catégorie) mais ne peut pas s'engager dans la dernière édition du championnat du monde des voitures de sport, le moteur Porsche turbo flat-6 n'étant plus aux normes pour y figurer. En 1993, deux des trois C30LM terminent la course aux et . En 1994, la meilleure C32LM se classe . En 1995, avec Bob Wollek, Éric Hélary et Mario Andretti, la Courage-Porsche C34 13 se classe à un tour de la McLaren F1 GTR qui remporte l'épreuve. En 1996, les Courage C30 terminent aux et , respectivement et de la catégorie Le Mans Prototypes (LMP) nouvellement crée dans laquelle elles sont engagées. L'un des deux équipages est emmené par Henri Pescarolo, qui commence à développer sa propre écurie en partenariat avec Courage. Les bons résultats sont une nouvelle fois au rendez-vous pour le duo en 1997 et les Courage C31 terminent aux , et . Après plus de dix ans de partenariat avec Porsche, Courage s'engage pour la dernière fois en 1998 avec des moteurs allemands à bout de souffle. Les Courage terminent aux et . Henri Pescarolo s'engage une toute dernière fois avec une Courage-Porsche aux 24 Heures du Mans 1999 avant de créer officiellement son équipe, Pescarolo Sport. Moteurs Nissan Dans l'objectif de mettre au point un prototype ouvert pour l'édition 1999, le constructeur nippon Nissan se tourne vers Courage pour concevoir un châssis et développer le moteur japonais. Ainsi, en 1998, deux Courage propulsées par des moteurs Nissan sont engagées au départ avec le moteur VRH35Z V8 Turbo auparavant utilisés la Nissan R390 GT1 mais les deux abandonnent. Nissan poursuit sa collaboration avec Courage en 1999 et achète un châssis C52 pour courir aux côtés de leur propre prototype R391, alors que l'écurie française continue d'utiliser et de développer les moteurs Nissan dans sa propre voiture. La Courage-Nissan engagée par Courage termine , la Courage-Nissan engagée par Nissan et Henri Pescarolo dans sa Courage-Porsche rallie l'arrivée à la . À la suite du rachat de Nissan par Renault, le programme sportif en endurance de la marque nippone prend fin en 1999 alors que Courage Compétition avait, avant l'épreuve mancelle, prolongé son partenariat. Ère moderne Pour l'édition de l'an 2000, Courage construit un nouveau châssis, conçu par Paolo Catone pour s'engager dans la catégorie LMP1 : la C60. À la suite de l'arrêt du partenariat Nissan, Courage Compétition ne peut s'engager officiellement et vend le de la C60 à SMG dirigé par Philippe Gache. Initialement développée pour le V8 Atmo de la Nissan R391 vue au Mans en 1999, le V10 Judd remplace le moteur japonais. Dans le même temps, Henri Pescarolo engage une C52 équipée d'un moteur Peugeot turbocompressé basé sur celui de la 607 V6. Si l'ancien châssis utilisé par Pescarolo Sport termine à une brillante , la C60 n'atteint pas l'arrivée. En 2001, Pescarolo achète deux nouvelles C60. L'une des deux voitures termine à la , tandis que la Courage engagée par SMG et toujours équipée du V10 Judd ne peut terminer l'épreuve. En 2002, Courage Compétition revient officiellement avec une C60 Judd confiée au trio Cottaz-Derichebourg-Bjork. Après divers ennuis dans la soirée et une partie de la nuit, la C60 officielle termine . Deux autres C60 sont engagées par Pescarolo Sport. Ces voitures présentes des carrosseries inédites développées par André de Cortanze. Alors que l'une d'elles abandonnera, l'autre terminera de l'épreuve. Fin 2002, Courage Compétition décide de diversifier ses activités et construit une LMP675 : la C65, petit prototype développé sur la base de la C60. Initialement projet 100 % sarthois, cette voiture est équipée du moteur JPX fabriqué à Vibraye lorsqu'elle se présente au pesage des 24 Heures du Mans 2003. Elle est emmenée par un équipage médiatique composé de Philippe Alliot, David Hallyday et Carl Rosenblad. L'autre voiture engagée, une C60 est quant à elle confiée au trio français Jonathan Cochet, Stephan Grégoire et Jean-Marc Gounon - remplaçant de Boris Derichebourg après son accident en FFSA GT à Pau. La C60 sera l'actrice d'une fin de course mémorable où elle se battra pour la jusque dans le dernier tour contre la Panoz officielle de Olivier Beretta et la Dome de Jan Lammers. Finalement, privée d'embrayage, la Courage terminera . En , l'ACO, souhaitant mettre en place un championnat d'endurance européen en 2004, organise les km du Mans sur le circuit Bugatti. Courage y engage sa C65 toujours équipée du JPX pour un équipage inédit composé du russe Roman Rusinov, du San Marinais Enrico Muscioni et du belge Wim Eyckmans. Sous une pluie diluvienne, la petite Courage ne trouvera pas d'adversaire à sa taille, survolera la catégorie LMP675 et terminera au général. 2004 est une année charnière pour Courage. Le constructeur sarthois, fort de sa victoire aux km du Mans, décide de s'engager pleinement dans la catégorie LMP675 devenue entre-temps LMP2. Des teams, comme le Paul Belmondo Racing ou Epsilon Sport souhaitant s'engager dans le nouveau championnat s'approchent de Courage pour se procurer une C65. Devant cette nouvelle activité, décision est prise de ne s'engager qu'au Mans avant de participer à la seconde partie du championnat officiellement. Deux engagements sont demandés aux 24 Heures au nom de Courage (Courage C65 JPX), deux au nom d'Epsilon Sport (Courage C65 JPX) et un au nom de Belmondo (Courage C65 AER) qui a déjà participé aux km de Monza, du championnat. En 2004, Courage s'engage dans le championnat « Le Mans Endurance Series » nouvellement créé par l'ACO et remporte le classement des constructeurs de la catégorie LMP2 mais échoue à terminer aux 24 Heures avec la C65, alors que la C60 18 du team Pescarolo termine à la , derrière les Audi qui dominent la course. Cette C60 n'a plus grand-chose en rapport avec les C60 d'origine, l'écurie de « Pesca » l'ayant fortement modifiée. Pour cette édition, Courage fournit également des châssis « clients » à plusieurs équipes, entre autres au Paul Belmondo Racing. Une dizaine de C65 seront ainsi produites, faisant de Courage le plus gros fournisseurs de châssis de la catégorie LMP2. Pour l'édition des 2005 des 24 Heures, Courage reprend la C60 pour en faire un prototype « hybride ». La Courage C60 officielle termine à la tandis qu'une Pescarolo C60 fortement modifiée termine à la . Courage Compétition aligne deux voitures dans le championnat Le Mans Serie avec les soutiens de Yokohama et de Mugen Motorsports. Le V8 de l'entreprise japonaise remplace le V10 Judd, en échange d'un châssis Courage pour l'engager dans le championnat nippon Le Mans Challenge. Le châssis C60, jugé trop âgé par Courage, est remplacé par la nouvelle LC70 LMP1 dont l'équipe suisse Spirit acquiert un exemplaire. Pescarolo, lui, continue d'engager sa C60 modifiée. Pescarolo Sport domine le championnat et remporte les cinq courses, la voiture engagée par Spirit termine et les deux Courage officielles et . La nouvelle Courage connaît de nombreux problèmes de fiabilité et ne peut faire de bons résultants malgré sa compétitivité. En LMP2, la Courage cliente du team Barazi-Epsilon remporte le championnat. Et dans le championnat ALMS, l'équipe officielle Mazda termine à la avec une Courage C65. Aux 24 Heures du Mans, Pescarolo termine aux et tandis que les Courage LC70 ne peuvent terminer la course. Courage construit un nouveau châssis pour remplacer la C65 en LMP2 : la Courage LC75. Acura en achète trois afin de s'engager en ALMS mais modifie la carrosserie à tel point que la voiture est ré-homologué en tant qu'Acura ARX-01. Courage met fin à sa collaboration avec Mugen et utilise un moteur AER dans ses voitures d'usine. Pour se conformer à la nouvelle réglementation, Pescarolo Sport construit un nouveau châssis tout en continuant d'utiliser la carrosserie de la C60 : la voiture devient officiellement « Pescarolo 01 ». Aux 24 Heures, la meilleure Pescarolo termine et la meilleure Courage . Le , Oreca annonce le rachat de Courage Compétition. Yves Courage reste dans l'entreprise et Oreca exprime son désir d'utiliser l'ingénierie de Courage afin de développer un nouveau prototype LMP1. Aux 24 Heures 2008, la meilleure Courage-Oreca, à nouveau équipée du moteur Judd, termine à la . En , Yves Courage présente son projet M0.11 porté par une nouvelle entité baptisée Courage Matis. Le rapprochement entre Courage et Matis a été réalisé et rendu possible grâce au concours de Alex Villard, ancien ingénieur de piste chez Courage Compétition de 1998 à fin 2002, et employé par Matis depuis 2003. L'objectif est de faire courir un prototype 100 % électrique dès les 24 Heures du Mans 2011. Le projet ne verra finalement pas le jour. Modèles Notes et références Bibliographie Articles connexes Oreca Pescarolo Sport Liens externes Site officiel Écurie d'endurance Écurie de sport automobile en France Entreprise fondée en 1981 Constructeur de voitures de course Écurie du championnat du monde des voitures de sport
Route 452
Il existe plusieurs routes ayant comme numéro 452 dans le monde. Route fédérale 452 en Allemagne RS-452 au Brésil Route nationale 452 en France Route régionale 452 en Slovénie
Pa-hay-okee Trail
Le Pa-hay-okee Trail, ou Pa-hay-okee Overlook, est un sentier d'interprétation du parc national des Everglades, un parc national américain qui protège une partie des Everglades, dans le sud de la Floride. En forme de boucle, il démarre et débouche sur un parc de stationnement de la route principale reliant Florida City à Flamingo en traversant le parc. Annexes Articles connexes Parc national des Everglades. Liens externes Promenade en planches dans un parc national aux États-Unis Sentier d'interprétation en Floride Sentier d'interprétation dans un parc national aux États-Unis Architecture dans le parc national des Everglades Transport dans le parc national des Everglades
Gračanica (canton de Tuzla)
Gračanica (en cyrillique : ) est une ville et une municipalité de Bosnie-Herzégovine située dans le canton de Tuzla et dans la fédération de Bosnie-et-Herzégovine. Selon les premiers résultats du recensement bosnien de 2013, la ville intra muros compte habitants et la municipalité . Géographie Gračanica est située au nord-est de la Bosnie-Herzégovine, à l'est de Doboj et à l'ouest de Tuzla. La municipalité s'étend sur une grande partie de la basse vallée de la rivière Spreča et sur une partie des monts Trebava. Elle est entourée par les municipalités Gradačac au nord, Srebrenik à l'est, Lukavac au sud-est et par celles de Petrovo et Doboj Istok au sud et à l'ouest. Histoire Gračanica est mentionnée pour la première fois, à propos de sa mine de fer, dans des archives ottomanes datant de 1528. Elle obtint le statut de ville en 1548 et prit son essor au , sous l'impulsion d'Ahmed-paša Budimlija, qui y construisit la Mosquée blanche, un hammam et une tour de l'horloge (en bosnien : ). Durant la période autrichienne, elle connut un important développement économique et culturel. En 1991, avant la guerre de Bosnie, la municipalité couvrait une superficie de et, en plus de la ville, comptait 28 localités. Après la guerre et à la suite des accords de Dayton, une municipalité de Petrovo a été créée et rattachée à la république serbe de Bosnie (Republika Srpska) ; elle ne compte plus que 20 localités réparties sur un territoire de . Localités La municipalité de Gračanica compte 23 localités : Démographie Ville intra muros Évolution historique de la population dans la ville intra muros Répartition de la population par nationalités dans la ville intra muros (1991) Municipalité Évolution historique de la population dans la municipalité Répartition de la population par nationalités dans la municipalité (1991) En 1991, sur un total de habitants, la population se répartissait de la manière suivante : Politique À la suite des élections locales de 2012, les 30 sièges de l'assemblée municipale se répartissaient de la manière suivante : Nusret Helić, membre du Parti social-démocrate (SDP), a été réélu maire de la municipalité. Culture Sport Éducation Économie Tourisme La ville de Gračanica intra muros abrite plusieurs lieux inscrits sur la liste des monuments nationaux de Bosnie-Herzégovine : le site archéologique de Korića Han où ont été mis au jour des vestiges remontant à la Préhistoire ; la tour de l'horloge, qui remonte à la période ottomane ; la maison de Mara Popović, construite en 1840 ; l'Hôtel de ville, un ancien konak construit en 1887 ; la moquée de Hadži Džafer (Lipanjska džamija), avec son cimetière l'église de l'Ascension, début du , classée avec son iconostase. Personnalités Mustafa Kamarić Mustafa Beganović Vedin Musić (né en 1973), footballeur Nijaz Omerović Amel Ćurić Ibrahim Jukan Hafiz Husein ef. Mujić Minja Stjepanović Fikret Mehinović Marija Babović Halim Mulaibrahimović Mehmed Imširović Sabrija Prohić Osman Fazlić Fikret Konjić Rusmir Djedović Izet Mašić Osman Puškar Hajrudin Junuzović Refik Mustajbašić, peintre Mihret Topčagić (né en 1989), footballeur Nihad Halilbegović (né en 1945), historien, journaliste, homme politique Amer Jukan (né en 1978), footballeur Branko Cvetković (né en 1984), joueur de basket-ball Branko Lazarević (né en 1984), footballeur Muhamed Konjić (né en 1970), footballeur Nebojša Radmanović (né en 1949), homme politique Mitar Lukić (né en 1957), footballeur Besim Šerbečić (né en 1998), footballeur bosnien Jumelages La ville de Gračanica est jumelée avec : Notes et références Voir aussi Articles connexes Villes de Bosnie-Herzégovine Municipalités de Bosnie-Herzégovine Liens externes Site officiel Localité de Gračanica Fleury-les-Aubrais
نطريق مغاربي
نطريق مغاربي هو من الزواحف يتبع النطريق من الأحناش. انظر أيضاً النطريق مراجع أصنوفات سماها كارولوس لينيوس نطريق مغاربي أنواع القائمة الحمراء غير المهددة ثعابين إفريقيا ثعابين الماء زواحف أوروبا زواحف شمال إفريقيا زواحف وصفت في 1758 نطريق مغاربي
Decap Attack
Decap Attack est un jeu vidéo de plates-formes développé par Vic Tokai et édité par Sega en 1991 sur Mega Drive. Le jeu est un remake de Magical Hat no Buttobi Turbo! Daibōken, dont les graphismes, les musiques et le héros ont été changés. Le joueur incarne la créature du Dr Frankenstein, une sorte de momie sans tête, qui doit empêcher le maître des enfers de contrôler le monde. Il est guidé au fil des niveaux par le Dr Frankestein et Igor, son fidèle serviteur. Les textes sont en anglais. Système de jeu Le jeu est plutôt simple et s'adresse à un public assez jeune. Le personnage peut sauter, frapper avec sa machoire extensible, lancer un crâne, ou encore utiliser des potions magiques pour augmenter ses capacités durant quelques secondes. Jeu de plates-formes Jeu vidéo sorti en 1991 Jeu Mega Drive Jeu sur la console virtuelle de la Wii Jeu Windows Jeu iOS Jeu Android Jeu vidéo développé au Japon Jeu Vic Tokai Jeu Sega
Le Kid (homonymie)
Le Kid peut désigner : Le Kid, une comédie dramatique muette américaine écrite, produite et réalisée par Charlie Chaplin, sortie en 1921 Le Kid, un groupe de musique suédois de pop, formé en 2008 Voir aussi
Offensive Kovel-Lublin
L'offensive Kovel-Lublin est une offensive soviétique menée du , en lien avec les opérations Bagration et Lvov-Sandomir. Elle réduit le saillant créé par les succès de ces deux opérations, au nord comme au sud. De plus, elle est destinée à prendre Lublin et assurer ainsi aux communistes polonais une base territoriale en Pologne même. Contexte historique Dans un contexte marqué par les coups de boutoir au nord et au sud, les unités allemandes déployées en Ukraine occidentale ont été dépouillées d'un certain nombre de moyens défensifs et offensifs, afin de permettre à Model, de parer au plus pressé, au nord, comme au sud. Par ailleurs, depuis le mois de , un comité gouvernemental polonais favorable à l'Union soviétique a été mis en place et la conquête de la ville de Lublin, peuplée de , pourrait fournir à ce gouvernement une base territoriale. C'est à ce titre que la ville devient au printemps 1944 un objectif politique de première ampleur. Préparation Moyens déployés Lentement, à partir du mois de , les Soviétiques accumulent dans le secteur où doit se déclencher l'offensive des moyens destinés à percer le front allemand, tandis les unités de l'Axe ont été dépouillées de leurs moyens, ou renforcées avec des unités peu motivées ou considérablement affaiblies, comme les divisions hongroises. En effet, durant l'été 1944, la Wehrmacht déploie dans le secteur de Kovel neuf divisions, soit , appuyés par 100 canons d'assaut et 160 chasseurs de chars. Face à ces unités disparates, les Soviétiques déploient des moyens de grande ampleur, cinq armées, dont la polonaise, soit , appuyés par d'assaut. Planification L'offensive de Kovel-Lublin constitue une offensive qui doit être replacée dans la séquence opérationnelle prévue pour l'Armée rouge à l'été 1944. De ce fait, ses concepteurs l'intègrent à une chaîne d'opérations aux objectifs limités et séquencées. Dans ce cadre, l'offensive Kovel-Lublin est pensée comme un moyen supplémentaire d'émiettement de la masse blindée allemande composant le groupe d'armées Nord-Ukraine, capable d'arrêter la plus forte offensive soviétique. Les plans soviétiques sont basés sur le principe des opérations dans la profondeur du dispositif adverse, la ville de Lublin, à 250 km de la ligne de front, étant l'objectif final de cette offensive où se mêlent visées opérationnelles et objectifs politiques. Cette planification opérationnelle demeure cependant souple, évoluant en fonction du déroulement des opérations, Staline faisant parvenir à Rokossovski des directives fixant de nouveaux objectifs, ou modifiant les précédents, tout au long de l'offensive. Opérations Percées soviétiques Lancée le , par une opération de diversion contre les unités hongroises mal équipées, l'offensive est déclenchée le lendemain au petit matin, écrasant et perçant les défenses allemandes. Le lendemain, l'aviation soviétique attaque les positions défensives allemandes, tandis que les troupes au sol se rendent rapidement maîtresses de la première ligne de défense allemande. Déroute allemande Dès le premier soir, les faubourg de Lublin sont atteints par les blindés soviétiques opérant dans la profondeur des unités allemandes. la ville a été déclarée place forte par Hitler, en vertu du décret du est encerclée le et libérée le 25, malgré une tentative de secours, qui parvient à sauver quelques dizaines d'hommes. Cette déroute est cependant amoindrie par le raidissement allemand à proximité de la Vistule et du San ; en effet, les unités allemandes survivantes parviennent à se regrouper de l'autre côté du fleuve Conséquences Conséquences militaires À l'issue de ces succès, une tête de pont à l'Ouest de la Vistule, la première, est constituée le . Contenues par les concentrations allemandes dans le secteur, les unités soviétiques parvenues dans la région se limitent aux objectifs qui leur ont été assignés, se plaçant rapidement en état de défense. Conséquences politiques Majdanek À ces conséquences militaires s'ajoute l'impact de la libération du Camp de Majdanek, situé dans la banlieue de Lublin. La découverte de ce camp d'extermination, alors le premier libéré par les Alliés, marque le début d'un changement de la politique soviétique à l'égard des Allemands engagés dans le conflit. La découverte de ce camp fait l'objet d'une intense campagne de publicité, assurée par les reporters soviétiques et relayée aussi bien en Union soviétique que sur le front. De même, les correspondants de guerre alliés sont conviés à se rendre sur place, mais ces reporters doivent affronter le scepticisme de leurs compatriotes. De plus, les responsables soviétiques, notamment Nikolaï Boulganine, organisent dans le camp des pèlerinages de soldats dont les unités sont déployées dans la région. Traductions, notes et références Notes Références Bibliographie Glantz, David M. & House, Jonathan, When Titans Clashed: How the Red Army Stopped Hitler, Lawrence, Kansas: University Press of Kansas, 1995. Philippe Masson, Histoire de l'Armée allemande. 1939-1945, Perrin, 1994. Samuel W. Mitcham Jr., Crumbling Empire: The German Defeat in the East, 1944, 2001. Robert Dr Watt, Feeling the Full Force of a Four Point Offensive: Re-Interpreting The Red Army's 1944 Belorussian and L'vov-Przemyśl Operations. The Journal of Slavic Military Studies. Routledge Taylor & Francis Group. . Bataille ou opération de la Seconde Guerre mondiale Bataille de la Seconde Guerre mondiale impliquant l'Allemagne Bataille de la Seconde Guerre mondiale impliquant l'Union soviétique Bataille de 1944
Bataille de Tempé
La bataille de Tempé, en / Máchi ton Tempón, également appelée bataille de la gorge de Tempé et bataille de la gorge de Pinios, est un combat d'arrière-garde mené par les troupes australiennes et néo-zélandaises, lors de l'invasion allemande de la Grèce, le . La bataille se déroule au milieu de l'avancée des forces allemandes, dans le centre de la Grèce, et voit un élément de la taille d'une brigade, surnommé , mener une action de retardement contre des éléments de deux divisions allemandes, soutenus par des forces blindées. Au cours d'une journée de durs combats, les Anzac subissent de lourdes pertes et sont contraints de quitter la gorge, mais leur résistance permet aux autres forces alliées de se retirer par Larissa, et une nouvelle position défensive est ensuite établie autour des Thermopyles. Contexte Alors que le principal contingent allié se replie des forces allemandes vers le sud de la Grèce, une action d'attente est jugée nécessaire pour retarder les Allemands qui les poursuivent dans la vallée de Tempé, un site jugé approprié pour la défense. La force affectée à cette action est baptisée Force Anzac. Elle est relativement petite, composée de deux bataillons de la Seconde force impériale australienne de la brigade australienne - les 2/2 et 2/3 - combattant aux côtés de forces néo-zélandaises composées du , de la Batterie du régiment de campagne et de la Troupe L du régiment anti-tank. Certaines de ces unités avaient récemment combattu en Libye contre les Italiens, avant d'être transportées à la hâte en Grèce pour aider à contrer l'invasion allemande. La Force Anzac est commandée par le général Arthur Allen. Les unités australiennes sont armées de mortiers, d'armes légères et de fusils antichars, tandis que la force néo-zélandaise dispose de pièces d'artillerie, dont des canons de 25 livres, mais manque de munitions. Les fusils antichar Boys sont largement inefficaces, et les chenillettes d'infanterie Universal Carrier doivent être remplacées. À cette époque, il n'y a presque pas de blindés britanniques en Grèce, de nombreux chars ayant été détruits par des chars Waffen-SS lors de la bataille de Vevi, le . Bataille Le , la division de montagne allemande, commandée par le général Ferdinand Schörner, s'aligne sur l'autre rive de la rivière Pénée, par rapport à la force Anzac. La rivière est franchissable à pied à cet endroit. L'objectif des Allemands est d'attaquer le goulot d'étranglement de Larissa, où le corps principal des Anzac s'engouffre, et de couper leur retraite. L'objectif d'Allen est de tenir la zone avec son unité pour protéger le retrait de la force principale. La force Anzac s'aligne le long des points de passage allemands attendus. Les compagnies sont positionnées de manière plutôt clairsemée, avec entre chacune d'elles. Le 2/2 bataillon australien doit soutenir le quartier général d'Allen. Il se trouve à la position de défense la plus vitale, au centre de la ligne, en face de Gónni, d'où les forces allemandes vont attaquer. Le bataillon néo-zélandais se forme sur la droite et détruit un pont pour empêcher son utilisation par les Allemands. Le a cependant subi des pertes antérieures à Platamon et a perdu une grande partie de son équipement. Deux compagnies du 2/3 Bataillon australien sont positionnées sur la gauche. La confrontation commence juste après 7 heures avec une attaque de Gónni vers le 2/2 bataillon ; plus tard, vers midi, des unités allemandes, dirigées par le Lieutenant-Colonel Hermann Balck, attaquent le bataillon néo-zélandais. Balck a déjà repoussé le bataillon, quelques jours auparavant, à Platamon, surpris par l'apparition de véhicules allemands en raison du terrain. Le bataillon néo-zélandais ne peut résister face aux unités de Balcks, et est presque débordé, se repliant dans les collines. À ce moment-là, des chars allemands traversent la rivière Pinios, que le bataillon garde. La est donc la seule unité restée sur le terrain pour poursuivre la bataille. Une unité de porte-canons Bren tente de repousser les troupes allemandes qui traversent la rivière, mais elle échoue et certains des porte-canons sont perdus. Les mortiers sont initialement hors de portée des troupes allemandes, mais sont délibérément (et dangereusement) surchargés pour leur donner une plus grande portée. Malgré des actions de maintien désespérées, à 17h30, la bataille dégénère au chaos et le 2/2 est dispersé sous les attaques allemandes. Conséquences À 18 h 45, les compagnies qui peuvent être contactées reçoivent l'ordre de se retirer. Les forces Anzac ont été fortement diminuées par les attaques allemandes, mais elles réussissent à tenir le terrain pendant la journée, permettant aux forces principales de s'échapper par Larissa. Les Australiens et les Néo-Zélandais se déplacent pendant toute la nuit, avec des éléments menant de nouvelles actions de retardement pendant leur retrait, et à l'aube du , ils occupent une nouvelle position défensive autour des Thermopyles. Les pertes de la brigade au cours de la bataille s'élevent à environ ou blessés et . Le bataillon néo-zélandais compte quatre morts ou blessés. Les pertes allemandes s'élevent à environ ou blessés. À la suite de la bataille, le 2/2 bataillon est en grande partie démantelé et ne combat en tant qu'unité complète qu'après la fin des combats en Grèce. Notes et références Bibliographie . . . . . . Bataille de la Seconde Guerre mondiale impliquant la Nouvelle-Zélande Bataille de la Seconde Guerre mondiale impliquant l'Australie Bataille impliquant la Grèce Bataille de 1941 1941 en Grèce Histoire de la Grèce pendant la Seconde Guerre mondiale
That's the Stuff
That's the Stuff est le deuxième album studio du groupe Autograph sorti en 1985. L'album a été enregistré et mixé aux Record Plant Studios à Los Angeles. Une version différente a été publiée en 1986 avec une couverture bleue et de légères différences au niveau des illustrations. Cette version de l'album comporte une reprise du groupe Grand Funk Railroad, We're an American Band, remplaçant ainsi la sixième piste Six String Fever. L'album s'est classé à la au Billboard 200 le et est resté classé 4 semaines dans les charts américains. Deux singles extraits de l'album ont été publiés, That's the Stuff et Blondes in Black Cars qui a atteint la au Mainstream Rock Tracks chart en 1985. Composition du groupe Steve Plunkett - chants, guitare Steve Lynch - guitare solo Randy Rand - basse Steven Isham - claviers Keni Richards - batterie Liste des titres Version originale 1985 (rouge) Version réimprimée 2001 (bleu) Notes et références Album musical sorti en 1985 Album d'Autograph Album publié par RCA Records Album publié par Spitfire Records Album enregistré aux Record Plant Studios