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Championnats du monde de voile 1998
Cette page rapporte les résultats de la voile aux Championnats du monde de voile 1998. Épreuves au programme Deux épreuves de voile sont au programme de ces Championnats du monde de voile : 49er (2 équipiers) Bandol, , Finn (1 équipier) Athènes, , Règles Pour obtenir le score final, on additionne les places obtenues à chaque course, hormis celle où le classement a été le moins bon. Le vainqueur est celui qui a le plus petit nombre de points. Tableau des médailles pour la voile Résultats Notes et références 1998 Voile Voile 1998 Voile 1998 Événement sportif dans le Var Sport en France en 1998 Sport en Grèce en 1998 Sport en juillet 1998 Sport en août 1998 Voile en 1998
Drijen (Derventa)
Drijen (en serbe cyrillique : ) est un village de Bosnie-Herzégovine. Il est situé dans la municipalité de Derventa et dans la République serbe de Bosnie. Selon les premiers résultats du recensement bosnien de 2013, il compte habitants. Géographie Histoire Démographie Évolution historique de la population dans la localité Répartition de la population par nationalités (1991) Notes et références Voir aussi Articles connexes Villes de Bosnie-Herzégovine Municipalités de Bosnie-Herzégovine Liens externes Localité de Derventa
Piotr Gawroński
Piotr Gawroński, né le , est un coureur cycliste polonais. Il a remporté la médaille d'or de la course en ligne aux championnats d'Europe 2010, ancien membre de l'équipe CCC Polsat Polkowice de 2012 à 2014. Biographie En catégorie junior, Piotr Gawroński est médaillé de bronze du championnat d'Europe du contre-la-montre en 2007 et médaillé de bronze du championnat d'Europe sur route en 2008. En 2010, il devient champion d'Europe sur route espoirs. Il participe aux championnats du monde sur route dans cette catégorie. Il y est du contre-la-montre et de la course en ligne. Palmarès 2007 Médaillé de bronze au championnat d'Europe du contre-la-montre juniors 2008 de la Course de la Paix juniors Médaillé de bronze au championnat d'Europe sur route juniors 2010 Champion d'Europe sur route espoirs du Trophée Matteotti espoirs 2012 Prologue du Bałtyk-Karkonosze Tour 2014 du Dookoła Mazowsza (contre-la-montre par équipes) Classements mondiaux Notes et références Notes Références Liens externes Coureur cycliste polonais Naissance en mars 1990
Fort de Fan Lau
Le fort de Fan Lau (分流炮台) est un site historique de Hong Kong situé sur la pointe sud-ouest de l'île de Lantau. Nommé d'après la , il est construit en 1729 durant le règne de l'empereur Yongzheng, 112 ans avant la prise de possession de l'île de Hong Kong par les Britanniques. Abandonné en 1898 lors de la cession en location des Nouveaux Territoires (dont fait partie l'île de Lantau) aux Britanniques, il est classé monument historique en 1981. Les ruines du fort de Fan Lau sont l'une des deux seules fortifications militaires historiques de l'île de Lantau qui ont survécu jusqu'à nos jours, l'autre étant le fort de Tung Chung. Histoire La construction du fort de Fan Lau est supervisée par Yeung Lin (楊琳), le gouverneur de l'époque des provinces du Guangdong et du Guangxi, et s'achève en 1729. Sa création est rapportée par la Gazette de Macao, alors colonie portugaise, qui indique que le fort est l'un des deux érigés sur l'île de Lantau au cours de la septième année du règne de l'empereur Yongzheng. Au début de la dynastie Qing, le fort port le nom de « fort de Tai Yu Shan » (大嶼山炮台), d'après le nom chinois romanisé de l'île de Lantau (Tai Yu Shan), mais est renommé « fort de Kai Yik » (雞翼炮台) au milieu de la dynastie. Le but du fort est de protéger le passage entre l'île et le delta de la Rivière des Perles des pirates qui menacent les côtes et les mers du sud de la Chine. À l'époque, la Chine impériale ne dispose pas d'une grande marine et compte donc sur le développement de forts comme moyen alternatif pour défendre ses côtes. Le site du fort se trouve sur une falaise de 116 m de haut surplombant l'océan ce qui permet une vision excellente sur les eaux alentours et un repérage facile d'une potentielle attaque navale. Cependant, le nouveau fort est encore primitif et « très petit et relativement insignifiant ». Il finira finalement capturé par les pirates qu'il est censé combattre mais le gouvernement impérial le reprend en 1810 en soumettant les pirates. Il est rénové peu de temps après sa reconquête et bénéficie ensuite d'un agrandissement important des fortifications dans la région au cours de la décennie suivante. En 1842, un an après la prise de possession de l'île de Hong Kong par les Britanniques, des officiers de l'armée britannique qui inspectent la région constatent que le fort est laissé sans garnison. 56 ans plus tard, en 1898, l'année de la cession en location des Nouveaux Territoires (dont fait partie l'île de Lantau) aux Britanniques, le fort de Fan Lau est « totalement abandonné ». Un destin similaire à celui d'autres fortifications militaires gardant le littoral, comme celles de Tung Chung et de Fat Tong Chau. Restauration et actualité Après l'abandon du fort, il tombe lentement en ruine au fil des années. Les villageois vivant à Fan Lau prennent des pierres de ses murs pour les utiliser comme matières premières pour la construction, et l'ancienne fortification est envahie d'une végétation épaisse. Le fort de Fan Lau est classé monument historique le et des travaux de restauration préliminaires sont effectués début 1985. Une restauration plus importante a lieu cinq ans plus tard en 1990, et entraîne le nettoyage de la végétation ceinturant le site. La même année, trois blocs d'appartements sont construits à proximité du fort en prévision de la proposition du groupe CLP d'établir une centrale électrique à Fan Lau d'un coût de 60 millions HK$. Cependant, le gouvernement refuse finalement d'approuver le projet et les résidences restent inhabitées. Description Le fort de Fan Lau est une bâtisse rectangulaire de 46 mètres sur 21. Ses murs extérieurs, faits de « pierres semi-habillées et de briques vertes », mesurent 5 m de haut et son entrée fait face à l'est. Lors de sa première construction, il était gardé par trente soldats et disposé de huit canons, ainsi que de vingt corps de garde. Voir aussi Fort de Tung Chung, un autre fort de l'île de Lantau Liste des plus anciens bâtiments et structures de Hong Kong Liste des forts à Hong Kong Liste des installations militaires à Hong Kong Notes et références Liens externes Fort de Fan Lau Localisation du fort sur Google Maps Fan Lau Fan Lau Monument déclaré de Hong Kong Site archéologique à Hong Kong Fan Lau
Fedayin de l'Islam
Les Fadā'iyān-e Islam (persan : فدائیان اسلام, également orthographié comme Fedayeen-e Islam ou en français « Fedayins de l'islam » ou « Dévots de l'islam », littéralement les « auto-sacrificateurs de l'islam » est un groupe fondamentaliste chiʿite, basé en Iran et qui est très politiquement orienté et actif, fondé en 1946, et reconnu comme un parti politique depuis 1989. Il fut fondée par un étudiant en théologie surnommé Navvab Safavi. Safavi cherchait à purifier l'islam en Iran, en le débarrassant de la « corruption des individus » par le biais d'assassinats soigneusement planifiés de certaines grandes personnalités intellectuelles et politiques. Navvab Safavi est aujourd’hui considéré comme un martyr par le régime iranien. Leur journal porte la mention «l’Islam est au-dessus de tout et rien n’est au-dessus de l’Islam ». Proche des thèses des frères musulmans égyptien, Navvab Safavi est leur invité à la conférence islamique de Jérusalem en 1953, puis au Caire en 1954. Les Fédayin de l’Islam en Iran sont considérés comme des précurseurs emblématiques de la révolution et de l’État islamique iranien dans les années 1940- 1950, puis de l’école théologique Haqqâni. Ce groupe armé ouvre la voie à la génération suivante de la frange radicale du clergé qui réussit finalement à renverser le régime du Shah et à établir une république Islamique en 1979. Groupe souvent considéré comme une organisation terroriste. Iran Activisme politique des Fedayins de l’Islam : un Islam militant    Les Fedayins bénéficient dès leur création du soutien de l’institution religieuse iranienne et encouragé par le Bazar, pilier traditionnel de l’économie et assise financière du clergé classique, apolitique et quiétiste les Fedayin de l’Islam se hissent au rang d’acteur politique après l’assassinat de l’écrivain réformateur Ahmad Kasravi. Histoire Navvab Sefavi Issu d’une famille de la classe-moyenne du sud de Téhéran, Navvab Safavi étudie au German Technical College à Téhéran. Pendant la seconde guerre mondiale l’occupation de l’Iran par les troupes Britanniques et Soviétiques le mène à organiser des manifestations au College pour dénoncer les difficultés économiques. Il travaille pendant un temps à la raffinerie d’Abadan, alors sous domination Britannique, où il organise une manifestation à la suite de la vision d’un de ses collègues battus par un employé britannique. En exil,  il lit les essais anti-cléricaux de Kasravi qui sonnent comme des provocations auxquelles il faut répondre par la violence. Fondation des Fadā'iyān-e Islam La création du mouvement est annoncée dans une déclaration intitulée «  Religion et Revanche » écrit par Navvab lui-même. Assassinats notoires Le premier assassinat de l’écrivain anticlérical et réformateur Ahmad Kasravi en est le premier meurtre d’une longue série. Seyyed Hossein Imami et d’autres membres des Fadā'iyān-e Islam l’assassinent. Si les meurtriers sont arrêtés, sous la pression de autorités religieuses, ils sont acquittés et libérés. Cet assassinat est en réalité le second essai de Navvad pour tuer l’écrivain. La première tentative, en 1945, avait échoué et il avait déjà échappé à toute condamnation grâce à la pression des autorités religieuses. C’est à la suite de cette première tentative que le mouvement des Fédayins se crée. Sefavi justifie ces meurtres en se référant aux demandes de l’Ayatollah Khomeiny dans son premier livre Kashf al Asrar (Key to the Secrets) donnant l’ordre de tuer tous ceux qui critiqueraient l’Islam. L’auteur iranien Amir Taheri a démontré que Khomeiny était proche de Navvab Safavi et de ses idées.En 1949, le groupe tue l’ancien premier ministre  Abdolhossein Hajir.Le meurtrier Hossein Imami est excécuté cinq jours plus tard. En , le premier ministre Haj Ali Razmara est également assassiné à la suite de ses propos s’opposant à la nationalisation du pétrole iranien. Trois semaines plus tard le ministre de l’éducation et de la Culture Ahmad Zangeneh est aussi assassiné par le groupe. Le groupe aurait aussi échoué « de peu » à tuer le Shah Mohammad Reza Pahlavi. Implication politique Le groupe est connu pour avoir été très actif dans le processus de nationalisation pétrolière en 1954. À la suite de l’incident Kasravi, le groupe s’implique davantage en politique sous l’impulsion de l’Ayatollah Kashani qui est alors le seul membre proéminent du clergé iranien à croire dans l’unité du politique et de la religion. À partir de 1948, les activités politiques des Fadayins se résument à protester contre l’exil de l’Ayatollah Kashani, provoqué par son opposition à la colonisation Britannique, à mener une campagne contre les femmes autorisées à ne pas porter le voile islamique dans une mosquée à Téhéran ou encore à attaquer des magasins autorisés à vendre de l’alcool. En 1949, les Fadā'iyān-e Islam aidèrent Kashani à implanter l’Association des Moudjahidin musulmans. À la fin de l’année 1949, des lois supposées renforcer la domination pétrolière Britanniques sont discutées au Parlement. Les groupes d’opposition deviennent alors de plus en plus actifs. L’assassinat de l’ancien Premier Ministre Hajir par le groupe armée entraine en 1949 l’organisation de nouvelles élections pendant lesquelles le groupe soutient les candidatures des mouvances islamiques et celle notamment de l’Ayatollah Kashani. Des divergences apparaissent cependant entre les deux alliés pour des questions politiques et théologiques. Navvab Safavi est l’invité des Frères musulmans égyptiens à la conférence islamique de Jérusalem en 1953, puis au Caire en 1954. Les archives de la CIA soulignent le rôle de ce groupe armé, de l’Ayatollah Kashani et des officiers militaires monarchistes dans l’organisation du coup d’état orchestré en aout 1953 contre Mossadegh.Navvab Safavi  choisit de ne pas travailler avec le nouveau gouvernement en place. Jusqu’en 1955, les  Fadā'iyān-e Islam continuent leurs activités sans aucune obstruction étatique. Répression Au milieu des années 1950, à la manière du mouvement de répression des frères musulmans en Égypte, l’Iran commençait la liquidation du mouvement des Fédayins. Les arrestations d’une partie du mouvement font suite à la tentative d’assassinat en du premier ministre Hosayn Ala avant son départ pour l’Irak où il allait certifier de la participation de l’Iran dans le Pacte de Bagdad. En , les leaders du mouvement, y compris Navvab Safavi, sont jugés et condamnés à mort, et exécutés.Le régime impérial pensait qu’avec la disparition de Nawab Safawi et la mort de l’Ayatollah Kachani, chef spirituel des Fedayins et leader islamique que la poussée islamique dans ce pays était enrayée et ses missionnaires décimés. Puis commença en Iran ce que le Chah a appelé sa politique de « modernisation » et de « persification » de l’Iran. Les membres du groupe restant vécurent dans la clandestinité jusqu’à la révolution islamique en 1979. Une lutte secrète continue. Membres Les membres des Fedayins de l’Islam appartenait majoritairement aux classes populaires de la société iranienne.  Dès son plus jeune âge et pour raison économique Safawi est lui-même élevé par son oncle, un charpentier sans qualification. Les Fada’iyans de l’Islam sont souvent éduqués dans des écoles religieuses. Navab Safavi, chef des Fedayins de l’Islam. Mozafar Zolghadr : originaire de la ville de Karasf. Il est né dans une famille rurale et religieuse. C’est lui qui est l’origine de la tentative d’assassinat Hossein Ala mais un dysfonctionnement de son arme l’empêche de tirer. Il est arrêté à la suite de cet événement et exécuté. , est le Fedayin qui assassina en l'ancien premier ministre iranien.Il est exécuté en 1955. Jafar Shojouni Seyyed Mehdi Tabatabaei Seyyed Hossein Imami La Révolution et la République Islamique ( 1979) Pendant la révolution islamique de 1979, le mouvement, parmi d’autres groupes armés, servi de bras armé pour Khomeiny. Ainsi pendant les manifestations menées par l’Ayatollah Khomeini en 1963,  certains survivants rejoignent les rangs d’Hey’-at-hai Mo’talefe-i Islami ou la coalition des groupes islamiques. S’ils échouent à se regrouper après la révolution, la plupart d’entre eux coopèrent avec le gouvernement Islamique. En outre, de nombreux partisans rejoignirent les groupes actuels les plus radicaux.Le groupe n’a jamais vraiment acquis de soutien populaire et les effectifs ont toujours été restreint. De 1993 à 1999, une série de meurtre de plus de 80 intellectuels, écrivains, chercheurs et des personnalités politiques critiques du régime islamique eut lieu. En , une déclaration d’un groupe se revendiquant comme des héritiers des Fédayins de Mostafa Navvab (Fadayaan-e Islam-e Naab-e Mohammadi-ye Mostafa Navvab) revendique les meurtres de certains d’entre eux :  Dariush Forouhar, Parvaneh Eskandari, Mohammad Mokhtari and Mohammad Jafar Pouyandeh. Après une série d’arrestations, une seconde déclaration est délivrée par ce groupuscule revendiquant la nature structurée de leur organisation et déclarant l’ouverture de fichiers recensant l’ensemble des « hypocrites » par lesquels ces arrestations ont été rendues possibles. L’ancien ministre des renseignements iranien dans le gouvernement d’Ali Fallahian Saeed Emami est désigné comme l’un des coupables de cette vague d’assassinats. Il est arrêté et emprisonné en 1999 sans que le lien avec l’organisation des Fedayins soit fait. Pakistan Également, les Fedayeen al-Islam (également orthographié Fedayan-i-Islam, qu'on peut traduire comme « Commandos islamiques » or « Patriotes islamiques ») sont un groupe militant et terroriste pakistanais, principalement actifs à la fin des années 2000, dirigé par Hakimullah Mehsud, lieutenant de Baitullah Mehsud, chef des Tehrik-i-Taliban Pakistan (TTP) jusqu'au décès du dirigeant. Après la mort de Baitullah en 2009, Hakimullah repris la direction du TTP jusqu'à son propre décès en 2013. Cette organisation fut suspectée d'être liée à l'attentat de l'Hôtel Marriott d'Islamabad en septembre 2008 ainsi que de l'attentat de l'hôtel Pearl Continental de Peshawar, et revendiqua l'attentat de l'école de police de Lahore en mars 2009, l'attentat du à Islamabad et de l'attentat du à Chakwal. Références Faction armée en Iran Faction armée islamiste chiite Organisme fondé en 1946 Parti politique fondé en 1989 Parti politique chiite Parti politique en Iran
Z32
Le terme Z32 ou Z-32 peut signifier : Examen et test de grossesse, d'après la classification internationale des maladies ; Nissan Z32, une automobile du constructeur japonais Nissan ; Z 32, destroyer allemand échoué après la bataille d'Ouessant, le  ; Z-32, voie rapide urbaine espagnole, située dans la communauté autonome d'Aragon ; Z32, film franco-israélien réalisé par Avi Mograbi et sorti en 2009. Voir aussi Sigles d'une lettre suivie de deux chiffres
Bisten
Hydronyme La Bisten (die Bist en allemand), un ruisseau affluent de la Sarre, qui traverse le département français de la Moselle et le Land allemand de la Sarre. Elle donne son nom aux deux villages suivants. Toponymes Bisten-en-Lorraine, une commune française de la Moselle. Bisten, ancienne commune de Moselle sous le nom Bisten-en-Sarre, une annexe de la ville de Überherrn, dans le district allemand de Sarrelouis. Homonymie de toponyme
Cyclisme aux Jeux panaméricains de 2023
Les compétitions de cyclisme des Jeux panaméricains de 2023 se déroulent du 21 octobre au à Santiago, au Chili. Podiums hommes Courses sur route Courses sur piste VTT BMX Podiums femmes Courses sur route Courses sur piste VTT BMX Tableau des médailles Sources Voir aussi Jeux panaméricains de 2023 Notes et références Cyclisme aux Jeux panaméricains Jeux panaméricains de 2023 Jeux panamericains Jeux panamericains Jeux panamericains Jeux panamericains Jeux panamericains Cyclisme en octobre 2023 Cyclisme en novembre 2023
Diyarbakır
Diyarbakır (en turc ottoman transcrit Diyarbekir, en kurmandji Amed, en zazaki Diyarbekir, en arabe ديار بكر Diyār Bakr (« les foyers des Bakr »), en syriaque ܐܡܝܕ Āmîḏ « Omid », en arménien Տիգրանակերտ, Dikranagerd) est une ville du sud-est de la Turquie, préfecture de la province du même nom (autrefois Arménie occidentale). Elle était également appelée Amida à l'époque hellénistique et sous l'Empire romain. La ville, qui concentre la majorité de la population de la province, comptait en 2008, mais le nombre a ainsi doublé en sept ans, passant à en 2015. Les Kurdes constituent la majeure partie de la population de la ville. La ville est considérée comme la capitale historique, symbolique et culturelle de l’ensemble de la nation kurde. Géographie La ville est bâtie à côté de la vallée du Tigre. Urbanisme La morphologie urbaine est à la fois dense et étalée, avec aux abords immédiats des remparts en basalte des maisonnettes à toit plat construites de façon anarchiques, faisant l'objet d'un projet de réhabilitation en 2012, et des immeubles plus rares de trois ou quatre étages, organisés autour de multiples venelles et cours. La ville comporte quelques bâtiments de taille élevée, dont le Dedeman Diyarbakir Hotel et la cité administrative universitaire de Dicle, haute de 60 mètres et construite en 1970<ref>Dicle University Administration Building, sur Emporis.com, consulté le 8 septembre 2016.</ref>. Découpages administratifs Préfecture de la province du même nom, Diyarbakır constituait un district jusqu'en 2008, date de la transformation de la municipalité en métropole. Le district est alors scindé en quatre : Bağlar, Kayapınar, Sur et Yenişehir, chacun doté d'un gouverneur. Histoire Origines Appelée Amida dans l'Antiquité, ce qui lui vaut son nom de Kara Amid, la « Noire Amida », elle fut la capitale du royaume araméen de Bet-Zamani à partir du , puis d'un royaume arménien appelé Corduène ou Cardyène. La région devint par la suite une province de l'Empire romain ; Amida était au la principale place-forte de Mésopotamie, dans la haute vallée du Tigre. Ammien Marcellin, au livre XIX, raconte en détail le siège et la prise d'Amida par les Perses de Shapur II (ou Sapor), du au . َAprès sa conquête par les musulmans en 639, la tribu arabe des Bakr bin Wael s'y installa et c'est ainsi que l'appelation Diyar Bakr, turcisée Diyarbakir, s'imposa jusqu'à ce jour. Amida fut un centre religieux lié au patriarcat syriaque-orthodoxe d'Antioche. De cette époque, jusqu'au génocide arménien de 1915, la région est fortement peuplée d'Arméniens. La région comportait également une minorité chaldéenne. La ville d'Amid fut le siège du patriarcat chaldéen de 1681 à 1828. La dynastie kurde des Marwanides dirigea la région de Diyarbakır du au s. Après la bataille de Manzikert, la ville passa sous l'autorité des Turcs oghouzes. Elle fut disputée par les Houlagides et les Ayyoubides pendant plus d'un siècle avant d'être prise par les États turkmènes de Kara Koyunlu (le Mouton Noir), puis de Ak Koyunlu (le Mouton Blanc). Diyarbakır fut intégrée à l'Empire ottoman en 1534. Elle est annexée à l'empire perse Séfévide sous Abbas le Grand, en 1620, avant de repasser sous le contrôle de la Sublime Porte. Elle devint en 1864 le chef-lieu du vilayet de Diyarbekir. En 1895, les massacres hamidiens font environ 25.000 morts parmi les arméniens. Époque moderne Pendant la Première Guerre mondiale en Orient, entre les mois de mai et juin 1915, dans le cadre du génocide arménien, la ville fut vidée de ses populations syriaque, assyrienne et arménienne (environ fidèles, soit des habitants) sous le prétexte qu'elles étaient trop proches du front russe. Elles furent déportées vers les camps d'extermination de Rasalayn puis du désert du Deir ez-Zor. À la chute de l'Empire ottoman, la ville fut occupée par les troupes françaises pendant la campagne de Cilicie avant de revenir sous contrôle de la nouvelle République turque. En 1925, la ville fit l'objet d'un siège de la part d'insurgés kurdes menés par Cheikh Saïd qui visait à réinstaller le Califat dissous un an plus tôt. Les insurgés échouèrent cependant à prendre la ville avant l'arrivée massive de renforts de l'armée gouvernementale qui réprima l'insurrection. En 1956, les États-Unis installent une base militaire de l'OTAN à près de Diyarbakır. Celle-ci abrite des radars anti-missiles, dont le développé à Rome dans l'État de New-York. La base fut fermée, en même temps que des bases en Allemagne, en . Le pénitencier de Diyarbakir, inauguré quelques jours à peine avant le coup d’État militaire du 12 septembre 1980, a été désigné bien des années plus tard par le quotidien britannique The Times comme étant l’une des dix pires prisons au monde. Les milliers de prisonniers politiques étaient systématiquement soumis à la torture dans les années 1980. D'abord sous l'effet de l'exode rural, puis en raison de réfugiés internes fuyant le conflit kurde, la population de Diyarbakır a explosé, passant de dans les années 1930, à en 1956, en 1970, et en 1990. En 1997, sa population totale s'élevait à et en 2008. Cette rapide augmentation démographique s'est accompagnée de constructions précaires (80 % insalubres), les gecekondu, bâtis sans permis de construire et estimés à . L'importance de la population kurde explique les conflits récurrents et les manifestations pro-kurdes à Diyarbakır. Le maire, Osman Baydemir, était kurde et membre du Parti de la société démocratique. En 2016, le gouvernement turc limoge les autorités élues de la ville et les remplace par un administrateur judiciaire. Une grande partie du centre historique de la ville est détruite durant les répressions militaires de 2016 et 2017. La moitié ouest de Diyarbakır est détruite à et la population soumise à un couvre-feu. Le géographe Matthieu Gosse parle, à propos de la destruction matérielle et symbolique de la vieille ville, d'un « urbicide ». Le co-maire HDP (Parti démocratique des peuples) de Diyarbakir élu en 2019, Adnan Selçuk Mizrakli, est démis de ses fonctions le . Séisme Le , la ville est touchée par le tremblement de terre de magnitude 7,8 qui frappe le sud de la Turquie et le nord de la Syrie et fait de nombreuses victimes. Langues parlées Outre le turc, la majorité des habitants de la ville parlent le kurmandji, un dialecte kurde, et le zazaki, une langue iranienne qui est considérée par une partie des linguistes et des kurdologues et par nombre de ses locuteurs comme un dialecte kurde. Sport Football : Diyarbakırspor Handball : Diyarbakir Polis Gücü Culture Dans son recueil de textes Certifié conforme, histoires de Diyarbaki , l'écrivain Murat Özyaşar rend hommage à Diyarbakir, la ville qui l'a vu grandir, en évoquant ses dimensions culturelles et politiques ainsi que la relation personnelle qu'il entretient avec elle. Patrimoine Le quartier historique de la ville médiévale, entouré de remparts romains, est connu sous le nom de Sur. Il est fortement endommagé lors de combats avec l'armée turque au premier semestre 2016 et est partiellement vidé de ses habitants ; il fait l'objet d'un décret de après que plusieurs bâtiments ont été rasés. La ville comporte plusieurs édifices religieux : Grande Mosquée de Diyarbakır du ; Mosque « Ulu Cami » Pont « 10 gözlü köprü » Église arménienne Saint-Cyriaque (Sourp Guiragos) sise non loin du Tigre. Longtemps ruinée, elle est restaurée en 2012. Cependant, à la suite de combats entre les forces turques et kurdes en 2016, elle est à nouveau gravement endommagée et reste partiellement ruinée. Les étrangers n'ont pas le droit de se rendre dans le quartier où elle se situe. Église chaldéenne (Keldani Kilisesi) Église syriaque orthodoxe (monophysite) Sainte-Marie (Meryem Ana Kilisesi'') en partie détruite lors des combats de 2016. Enseignement La ville est dotée d'un centre universitaire, l'université Dicle, dont le campus de 55 hectares est situé à l'Est de la ville, sur la rive opposée du Tigre. L'université, construite en 1974, accueille et emploie . Elle propose 13 facultés, 11 écoles professionnelles supérieures, 5 écoles supérieures, 1 conservatoire, 3 Instituts, 8 centres de recherche et un hôpital de combinant recherche et soins. Personnalités liées à la ville Gustave Meyrier, (1842-1930), diplomate français, vice-consul de France à Diyarbakir pendant les massacres hamidiens. Hélène Meyrier, (1866-1953), épouse de Gustave Meyrier, héroïne française pendant les massacres hamidiens. Notes et références Voir aussi Articles connexes Génocide arménien Massacres hamidiens Kurdistan Pachalik de Diyarbakır Vilayet de Diyarbakır Province de Diyarbakır Liens externes Site officiel de la municipalité de Diyarbakır Site officiel de la préfecture de Diyarbakır Localité dans la province de Diyarbakır Métropole en Turquie Ville du Kurdistan turc
La Vérité nue (film, 1948)
La Vérité nue (titre original : ) est un film américain réalisé par Lewis Milestone avec Robert Aldrich en premier assistant, sorti en 1948. Synopsis Le brillant pédiatre Perry Ashwell Dana Andrews prend sa femme April Lilli Palmer et leur vie bien confortable pour acquis. Quand il autorise l'artiste Octavio Quaglini à le suivre pour parodier leurs vies à travers des croquis, Octavio tombe amoureux d'April et essaie de l'éloigner de Perry. Fiche technique Titre : La Vérité nue Titre original : Réalisation : Lewis Milestone Scénario : Photographie : George Barnes Montage : Robert Parrish Musique : Franz Waxman Pays d'origine : États-Unis Format : Noir et blanc - 1,37:1 - Mono Genre : comédie Durée : 96 minutes Date de sortie : 1948 Distribution Dana Andrews : Perry Ashwell Lilli Palmer : April Ashwell Louis Jourdan : Octavio Quaglini Jane Wyatt : Darlington Norman Lloyd : Sturdivant Bernard Gorcey : M. Zitzfleisch Roy Roberts : M. Felton Fay Baker : Felton Ann Doran : Faraday Beau Bridges : Bertram Notes et références Liens externes Film américain sorti en 1948 Comédie américaine Film américain en noir et blanc
M61 (grenade)
La grenade M61 est une grenade à main défensive à fragmentation qui fut utilisée par les Forces armées des États-Unis durant la guerre du Viêt Nam. Il s'agit d'une amélioration de la grenade M26. On la surnomme fréquemment « lemon grenade » (grenade citron), en référence à sa forme qui fait penser au fruit du même nom. La M61 est entourée d'une fine enveloppe d'acier, qui renferme un serpentin d'acier cranté entourant l'explosif. Lorsque la grenade explose, le serpentin se brise en fragments de haute vélocité qui peuvent blesser dans un rayon de . Son design fut largement copié par différents pays, tel la L2A2 britannique, la M26 sud-africaine, la M312 portugaise et la M26A2 israélienne. Plusieurs millions d'unités, toutes nations confondues, furent produites durant sa période de service. Notes et références Liens externes Informations détaillées sur la M61 Schéma interne de la M61 Galerie sur la M61 Photographie d'une grenade L2A2 britannique Grenade à main des Forces armées des États-Unis Arme de la guerre du Viêt Nam en:M26 grenade#M61 ru:M26 (граната)#Вариации
Fresnay-le-Comte
Fresnay-le-Comte est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Géographie Situation Communes limitrophes Climat Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs. Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après. Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat complétée par des études régionales prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pré-Saint-Evroult », sur la commune de Pré-Saint-Évroult, mise en service en 1995 et qui se trouve à à vol d'oiseau, où la température moyenne annuelle est de et la hauteur de précipitations de pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à , la température moyenne annuelle évolue de pour la période 1971-2000 à pour 1981-2010, puis à pour 1991-2020. Urbanisme Typologie Fresnay-le-Comte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe , est catégorisée dans les aires de à moins de . Occupation des sols L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,5 %), forêts (7,2 %), zones urbanisées (3,3 %). L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui). Risques majeurs Le territoire de la commune de Fresnay-le-Comte est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle. Risques naturels Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999. Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 76,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les dénombrés sur la commune en 2019, 123 sont en aléa moyen ou fort, soit 87 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999. Risques technologiques Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à , selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence. Toponymie Le plus ancien document qui fasse mention de Fresnay-le-Comte date de 1160 (Fresneim, ch. de la léproserie du Grand Beaulieu). On constate ensuite "Fraxinetum" en 1185 (ch. du chapitre de Chartres), "Fresneium-Comitis" en 1250 (pouillé), "Fresné-le-Comte" en 1533 (mot. de Luplanté), "Fresnayum-Comitis" en 1626 (pouillé) puis "Saint-Martin de Fresnay-le-Comte" en 1736 (pouillé). Fraxinetum en 1185, issu du latin fraxinus, « frêne ». Histoire La commune de Fresnay-le-Comte est traversée par la voie romaine Chartres-Blois par Varize, qui traverse notamment Morancez, Dammarie et Le Gault-Saint-Denis par l'actuelle route départementale D127. Sa proximité avec cette voie romaine laisse à penser que les origines du village sont très lointaines. En effet, de nombreuses villas gallo-romaines à vocation agricole se tenaient de part et d'autre de cette route, tout en se tenant à distance (exemple : Andeville, Varennes, Auvilliers...). Apparaît dans les archives le hameau de Harainville ("Haireni-villa") sur la commune de Fresnay-le-Comte. Ce dernier est désormais disparu et se situe au nord-est du village en bordure de la voie romaine. Un document ancien précise qu'en 949, une église s'y trouvait mais son état d'abandon était total au : . L'existence d'un moulin en pierre apparaît au début du : le 8 décembre 1492, bail par le prieuré de l'église Saint-Martin-au-Val de Chartres d’une tour de pierre entre Fresnay-le-Comte et Boncé « où souloit estre ung moulin à vent, qui fut bruslé par les guerres dès 60 ans à... » (à noter les campagnes des Anglais dans l’Orléanais, la Beauce chartraine et le Gâtinais de 1421 à 1428, époque de Jeanne d'Arc). Ce moulin dit Moulin de Pierre n'existe plus aujourd'hui et se situait à l'est de Fresnay-le-Comte, à mi-chemin avec Boncé. De grosses roches en indique encore son emplacement. En 1487, le curé de la paroisse de Fresnay-le-Comte était Jean Denis. Durant la Révolution française, le nom de la commune fut modifié pour devenir Fresnay-le-Peuple en 1792, Fresnay-les-Cailloux en 1793 dans le but de supprimer la référence à l'Ancien Régime. L'arrivée au pouvoir de Napoléon permit à la commune de retrouver son nom original, à savoir Fresnay-le-Comte. La topographie révèle l'existence d'anciens moulins à vent (moulin des Nuisances, moulin des Bordes, moulin de Fresnay). En 1916, la commune comptait encore un moulin à vent à pivot avec ailes en toiles. Politique et administration Liste des maires Politique environnementale Population et société Démographie Enseignement Manifestations culturelles et festivités Économie Culture locale et patrimoine Lieux et monuments Église Saint-Martin L'église Saint-Martin date du , son existence étant mentionnée dans une charte de Renaud de Mousson, évêque de Chartres, définissant les possessions de l'abbaye de Marmoutier (Tours). L'église abrite une cloche fondue en 1739, classée monument historique en 1943. Autres lieux et monuments Salle des fêtes. Personnalités liées à la commune Voir aussi Articles connexes Liste illustrée des monuments historiques d'Eure-et-Loir Liste des communes d'Eure-et-Loir Liens externes Fresnay-le-Comte sur le site de l'Institut géographique national Notes et références Notes et cartes Notes Cartes Références Fresnay-le-Comte Commune ayant porté un nom révolutionnaire en Eure-et-Loir Aire d'attraction de Chartres
L'Invasion secrète
L'Invasion secrète (The Secret Invasion) est un film de guerre américain réalisé par Roger Corman en 1964. Synopsis La Seconde Guerre mondiale est sur le point de voir la fin de la domination allemande, les Alliés s'organisent et préparent des débarquements. Pour préparer celui destiné à reprendre l'Italie, le commandement allié constitue un commando composé de condamnés qui seront graciés en cas de réussite. Il y a un assassin, John Durrell, le patron d'un syndicat du crime, Roberto Rocca, un expert en explosifs, Terence Scanlon, un faux-monnayeur, Simon Fell, et un voleur d'objets d'art, Jean Saval. Le major Richard Mace prend la tête du groupe afin d'organiser l'évasion d'un général italien tenu prisonnier à Dubrovnik, en Yougoslavie, afin qu'il retourne ses troupes contre les Allemands. Autour du film Ce film donnera une succession de remakes plus ou moins réussis dans le cinéma italien des années 1960/70, avant que Les Douze Salopards de Robert Aldrich ne prenne le relais. Fiche technique Titre original : The Secret Invasion Titre français : L'Invasion secrète Réalisateur : Roger Corman, Charles B. Griffith Scénario : R. Wright Campbell Producteur : Gene Corman Musique : Hugo Friedhofer Photographie : Arthur E. Arling, A.S.C. Effets spéciaux : George Blackwell Montage : Ronald Sinclair Directeur artistique : John Murray Décors : Ian Love Costumes : Sharon Compton Budget : Recettes : Société de production : The Corman Company - San Carlos Productions Société de distribution : United Artists Pays d'origine : Langue : Anglais, allemand et italien Formats : 2,35 : 1 | DeLuxe | Eastmancolor Son : Mono Genre : Guerre Durée : 98 minutes Date de sortie : Distribution Stewart Granger (VF : Jacques Berthier) : Richard Mace Raf Vallone : Roberto Rocca, chef criminel international Mickey Rooney (VF : Pierre Trabaud) : Terence Scanlon, terroriste de l'IRA Edd Byrnes (VF : Jean Fontaine) : Simon Fell, faussaire Henry Silva (VF : Georges Atlas) : John Durrell, tueur à gages William Campbell (VF : Serge Sauvion) : Jean Saval, voleur et maître en déguisements Špela Rozin : Mila Enzo Fiermonte : le général Quadri, général italien Peter Coe (VF : Bernard Woringer) : Marko Giulio Marchetti : l'officier italien Richard Johns : un opérateur radio Notes et références Article connexe Les Douze Salopards Liens externes Résumé du film http://www.programme-tv.net/cinema/390299-l-invasion-secrete/ Histoire du film http://tortillafilms.tortillapolis.org/invasion-secrete.html Film américain sorti en 1964 Film d'action américain Film dramatique américain Film historique américain Film de guerre américain Film sur la Libération
Sweet Dreams (film, 1985)
est un film américain réalisé par Karel Reisz, sorti en 1985. Synopsis Le film est une biographie de Patsy Cline, chanteuse américaine de musique country. Fiche technique Titre : Réalisation : Karel Reisz Scénario : Robert Getchell Musique : Charles Gross Photographie : Robbie Greenberg Montage : Malcolm Cooke Production : Charles Mulvehill et Bernard Schwartz Société de production : HBO Films et Silver Screen Partners Pays d'origine : États-Unis Format : Couleurs - 1,85:1 - Dolby Genre : Biographie, drame Durée : 115 minutes : : Distribution Jessica Lange : Patsy Cline Ed Harris : Charlie Dick Ann Wedgeworth : Hilda Hensley David Clennon : Randy Hughes James Staley : Gerald Cline Gary Basaraba : Woodhouse John Goodman : Otis P. J. Soles : Wanda Bruce Kirby : Arthur Godfrey Carlton Cuse : Sergent Robert Rothwell : Chirurgien plasticien Liens externes Film américain sorti en 1985 Film biographique américain Film dramatique américain Film biographique sur un chanteur Film réalisé par Karel Reisz Film de HBO Film sur la musique country
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mm. هو نطاق إنترنت من صِنف مستوى النطاقات العُليا في ترميز الدول والمناطق، للمواقع التي تنتمي إلى ميانمار. مراجع استحداثات متعلقة بالحواسيب في 1997 الإنترنت في ميانمار تأسيسات سنة 1997 رمز البلد لنطاقات المستوى الأعلى نطاقات الإنترنت الدولية
Ian Petrovski
Ian Igorevitch Petrovski (en russe Ян Игоревич Петровский), né en 1987, également connu sous son nom de guerre « Slavian » (en russe: Славян , lit. « Slave »), est un nationaliste et militant d'extrême droite russo-norvégien, connu comme l'un des dirigeants de l'unité paramilitaire Groupe Russitch. Yan Petrovsky est désigné comme commandant du détachement Zimargl du Groupe Russitch, « l'une des unités spéciales distinctes formées pour des tâches opérationnelles et de reconnaissance sur le territoire de l'Ukraine ». Selon le Département du Trésor américain , en 2022, il a pris la tête du groupe après que le chef Alexeï Miltchakov ait été blessé près de Kharkiv. Biographie Yan Petrovsky est né en 1987 à Irkoutsk, SFSR russe. Puis, avec sa mère, il s'installe à Saint-Pétersbourg. Enfant, il était passionné d'histoire et participait à la reconstitution des batailles médiévales. Il allait étudier en Russie pour devenir architecte ou graphiste, mais en 2004, sa mère a épousé un Norvégien et Yan a quitté la Russie avec elle. Là, il part étudier à Oslo en tant que graphiste. Après avoir obtenu son diplôme universitaire, Petrovsky a commencé à travailler au salon de tatouage "True Metal Tattoo" - cette institution était célèbre pour les rassemblements réguliers de l'extrême droite d'Europe de l'Est. Petrovsky patrouillait dans les rues de Tønsberg en tant que membre des Soldats d'Odin et était impliqué dans le Mouvement de résistance nordique. En 2010, la police y a effectué une descente. Petrovsky et ses associés ont été arrêtés. Lors d'une perquisition dans le salon, de faux documents et des armes ont été découverts. La police a découvert que l'arme appartenait au nationaliste radical russe Viatcheslav Datsik. Petrovsky est tatoué de symboles païens et nationalistes : Soleil Noir, Valknut et diverses runes. Dans une interview pour Novorossiya TV en 2015, il explique qu'il est venu en Ukraine pour lutter contre le «kaghanate Khazar», une théorie du complot antisémite désignant le fait que l'Ukraine serait un état juif. Miltchakov et Petrovsky se sont rencontrés lors d'un programme de formation paramilitaire d'un groupe ultranationaliste armé, le Mouvement impérial russe. En 2014, il se rend dans le Donbass, où il combat contre l'armée ukrainienne. Au cours de cette période, des photos sont apparues sur Internet dans lesquelles Petrovsky pose sur fond de soldats ukrainiens tués. À l’été 2015, les combattants du Groupe Russitch ont annoncé qu’ils quittaient le Donbass. L'une des versions de la sortie de Rusich des combats était un conflit avec le chef de la République populaire de Louhansk, Igor Plotnitsky. NRK rapporte également la participation de Petrovsky à la guerre civile syrienne « en tant que membre d'un groupe d'extrême droite» aux côtés du président Bachar al-Assad. En 2016, Yan Petrovsky est privé de permis de séjour en Norvège en raison d'un séjour trop long hors du pays et est arrêté pour violation des lois sur l'immigration, après quoi il est expulsé. Les autorités norvégiennes ont qualifié Petrovsky de « menace pour la sécurité » du pays. Petrovsky a été arrêté au domicile de Ronny Bårdsen, un membre important du Mouvement de résistance nordique. En juin 2022, Petrovsky apparaît aux funérailles du vétéran de guerre Alexeï Pozharov, a écrit Fontanka. Là, il a effectivement annoncé la participation du Groupe Russitch à une invasion russe de l'Ukraine. Le 20 juillet 2023, Yan Petrovsky est arrêté par la police finlandaise à Helsinki. L'Ukraine demande l'extradition de Yan Petrovsky. L'ambassade de Russie à Helsinki déclare à RIA Novosti qu'elle avait été informée de "la détention d'un ressortissant russe en Finlande à la demande de Kiev" et qu'elle "prenait des mesures pour fournir une assistance consulaire". Sanctions internationales En 2022, le Groupe Russitch et ses commandants Alexeï Miltchakov et Yan Petrovsky ont été inscrits sur la liste des sanctions américaines pour leur « cruauté particulière » lors des combats dans la région de Kharkiv. Références Naissance en janvier 1987 Militant russe Militant norvégien Nationaliste russe Personnalité néonazie russe Extrême droite en Norvège
Le Zodiaque
Le Zodiaque est une suite de douze études pour piano, composée par Georges Migot en 1931 et 1932, autour des douze signes du zodiaque. Créée par la pianiste Anna Urani à Turin, le , la partition est éditée la même année par les Éditions Alphonse Leduc. Cinq pièces sont orchestrées en 1939. D'une durée approchant , le cycle du Zodiaque est considéré comme l'œuvre la plus importante de son auteur pour le piano. Genèse Composition Georges Migot compose son Zodiaque, , en 1931 et 1932, entre Auxerre et Villemeux-sur-Eure. La partition est achevée au mois d'août 1932. Dans un premier temps, les douze pièces devaient être . L'ensemble du cycle est dédié . Un exercice de lecture à vue est réalisé le à partir du second thème du Lion, pour l'épreuve de flûte ou de hautbois du concours de l'Institut de musique de Reims. Création La pianiste Anna Urani donne la première audition du cycle entier du Zodiaque à Turin, le , puis le à Reims, le à Caen, le à Paris, le à Auxerre et le à Luxembourg. La partition est éditée la même année par les Éditions Alphonse Leduc. Orchestration Cinq pièces sont orchestrées en 1939 à Villemeux-sur-Eure : Le Verseau, Le Taureau, Le Sagittaire, Les Gémeaux et Le Lion. L'instrumentation comprend 1 flûte, 1 hautbois, 2 clarinettes, 1 basson, 2 cors en fa, 2 trompettes en ut, 1 trombone, 1 piano avec les timbales et les percussions, et le quintette à cordes classique (premiers violons, seconds violons, altos, violoncelles et contrebasses). Présentation Le Zodiaque représente . L'œuvre compte douze mouvements pour les douze signes du zodiaque. Les premières auditions du Zodiaque inspirent au compositeur un Psaume pour mon Zodiaque, en mars 1933 : : « Le Verseau », à — Rapide, léger ( env.), pour Elen Foster. « Les Poissons », à (subdivisé en trois fois ) — Très modéré ( env.), pour Magda Tagliaferro. « Le Bélier », à ( env.) — pour Libussé Novak. « Le Taureau » à ( env.) — pour Isidor Philipp. « Les Gémeaux », à — Avec tendresse ( environ) pour Lucette Descaves. « L'Écrevisse », à — Rude et bien articulé, avec entêtement, inflexible du commencement à la fin ( environ) pour Marie Antoinette Pradier. « Le Lion », à — Large, mais sans lenteur ( environ au départ, mais variable par la suite) pour Alfred Cortot. « La Vierge », à ( environ) — pour Lazare-Lévy. « La Balance », à ( environ, m.d. avec souplesse, m.g. régulièrement) — pour Marthe Bouvaist-Ganche. « Le Scorpion », à — Vite ( environ) pour Yvonne Lefébure. « Le Sagittaire », à — Rapide ( environ) pour Eliane Zurfluh-Tenroe. « Le Capricorne », à — Décidé ( environ) pour Anna Urani. Analyse Études commentées Jean Roy propose une approche de l'écriture du Zodiaque pour le piano, . Dans Le Zodiaque, dont les pages n'en sont pas moins , l'harmonie . Dans ce cycle . Ces études , en évoluant vers . L' du Bélier font Le Taureau est . Dans Les Gémeaux, dans . Le Lion . Après cette pièce , La Vierge . La Balance et en fait un . Avec Le Capricorne enfin, Migot . Cette . Migot , mais . Le Scorpion et Le Sagittaire sont et , selon Guy Sacre, qui considère Le Verseau comme , à la portée . Selon Marc Honegger, , tendance qui . Interprétations Migot ajoute une postface à sa partition, où il exprime . Il propose ensuite des conseils aux pianistes , brefs comme des aphorismes : Ainsi, . Le compositeur considère que . Guy Sacre convient que Postérité Georges Migot . En 1977, Antoine Goléa ne mentionne aucune partition pour piano de Migot en évoquant . En 1987, aucune œuvre de Migot n'est mentionnée dans le Guide de la musique de piano réalisé sous la direction de François-René Tranchefort. Le pianiste Stéphane Lemelin s'en désole : Selon lui, sont . En 1998, Guy Sacre peut affirmer cependant que Le Zodiaque a . Discographie Georges Migot : Le Zodiaque par Jacqueline Eymar (1959-1960, double album Lumen LD 3443/3445), réédité en 1984 (Cybelia CY 665-666) et en 2005 (2CD Intégral Classic, INT 221.144) Georges Migot : Le Zodiaque par Stéphane Lemelin (2006, 2CD ATMA Classique, ACD2 2381) Bibliographie Partition . Ouvrages généraux . . . . . Monographies Notes discographiques Notes et références Notes Références Liens externes Zodiaque Œuvre pour piano
Richard Neville (8e baron Braybrooke)
Richard Henry Cornwallis Neville, baron Braybrooke, né le et tué à la guerre le , est un noble britannique. Biographie Le titre de baron Braybrooke de la pairie de Grande-Bretagne est créé par le roi George III en 1788. Richard Neville est l'aîné des trois enfants de Henry Neville, le baron. Son frère cadet George et lui s'engagent dans les forces armées lors de la Seconde Guerre mondiale, respectivement comme simple matelot dans la Royal Navy, et dans le bataillon du régiment d'infanterie des Grenadier Guards. En , à la mort de leur père âgé de 85 ans, Richard Neville devient le baron Braybrooke, et hérite d'un siège à la Chambre des lords, ainsi que du manoir familial Audley End House, datant du début du avec des jardins conçus par Capability Brown. Il demeure toutefois sur le front de la guerre, tandis que le manoir est réquisitionné par le Special Operations Executive, branche des services secrets. En , son frère George est tué en mer dans le service, à l'âge de 21 ans. Fait lieutenant, Richard Neville est tué au combat en à Bou Arada, en Tunisie, durant la campagne d'Afrique du Nord. Il a alors 24 ans. Il est inhumé au cimetière militaire à Medjez el-Bab. Son titre de baron passe à son cousin Henry Neville, vétéran de la Première Guerre mondiale et capitaine dans la Royal Air Force durant la Seconde. Pour des raisons financières, il est contraint de vendre le manoir Audley End House en 1948. Richard Neville est l'un des cinquante-six parlementaires britanniques morts à la Seconde Guerre mondiale et commémorés par un vitrail au palais de Westminster. Références Naissance en juillet 1918 Décès en janvier 1943 Militaire britannique mort lors de la Seconde Guerre mondiale Baron de la pairie de Grande-Bretagne Membre de la Chambre des lords Décès à 24 ans
RIG
R.I.G (Radio Iguanodon Gironde) est une radio locale de proximité diffusant un programme centré sur Bordeaux Métropole. Une grande partie de son temps d'antenne est consacrée à la musique (musiques électroniques, pop rock, musiques du monde, musiques latines) et aux émissions thématiques ou informatives. Les studios de la station sont implantés à Blanquefort, une commune de la grande couronne bordelaise (Bordeaux-Nord). Elle émet en modulation de fréquence (FM) sur le 90,7 MHz. Radio Iguanodon commence à émettre depuis un studio de fortune au siège régional des éclaireuses éclaireurs de France peu après la promulgation de la loi sur la libéralisation des ondes, en 1981. Comptant parmi les pionnières des radios libres à Bordeaux, elle doit son existence à la volonté d'une bande d'amis appartenant au mouvement des éclaireuses et éclaireurs de France (La branche laïque du scoutisme). Évoluant au fil des années, elle se positionne désormais en radio de proximité, laissant volontiers son antenne aux associations de la région. Sa grille comprend également des émissions musicales (soirées thématiques consacrées au rock, à la musique indépendante ou à la techno, ainsi que six heures quotidiennes consacrées aux musiques électroniques de minuit à six heures du matin), des flashs d'information et des rubriques spécialisées. Parmi les émissions produites quotidiennement par la station figurent notamment « C le matin » (une heure de chroniques, d'informations pratiques et de musique) et les informations locales (vingt minutes de nouvelles diffusées à 12 heures 10 et 18 heures 10). Les informations nationales et internationales sont reprises en direct de la station Radio France International. Ses derniers logos reprennent les couleurs de celui de son association originelle des Eclaireuses Eclaireurs De France. RIG est membre de l'AMARC (Association mondiale des radiodiffuseurs communautaires). Fréquences Bordeaux : 90,7 MHz Blanquefort/ Carbon-Blanc (Bordeaux-Nord) : 90,7 MHz Cestas/ Villenave-d'Ornon (Bordeaux-Sud) : 90,7 MHz Notes et références Annexes Article connexe AMARC (Association mondiale des radiodiffuseurs communautaires) Lien externe Site de la station RIG Radio à Bordeaux Station de radio locale en France Blanquefort Station de radio en français Station de radio associative Station de radio éclectique en musique Station de radio fondée en 1981 Association ou organisme ayant son siège en Nouvelle-Aquitaine
(24011) 1999 RR109
est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes de de diamètre découvert en 1999. Description a été découvert le à l'observatoire Magdalena Ridge, situé dans le comté de Socorro, au Nouveau-Mexique (États-Unis), par le projet Lincoln Near-Earth Asteroid Research (LINEAR). Caractéristiques orbitales L'orbite de cet astéroïde est caractérisée par un demi-grand axe de , un périhélie de , une excentricité de 0,18 et une inclinaison de 10,59° par rapport à l'écliptique. Du fait de ces caractéristiques, à savoir un demi-grand axe compris entre 2 et et un périhélie supérieur à , il est classé, selon la , comme objet de la ceinture principale d'astéroïdes. Caractéristiques physiques a une magnitude absolue (H) de 14,6 et un albédo estimé à 0,174, ce qui permet de calculer un diamètre de . Ces résultats ont été obtenus grâce aux observations du Wide-Field Infrared Survey Explorer (WISE), un télescope spatial américain mis en orbite en 2009 et observant l'ensemble du ciel dans l'infrarouge, et publiés en 2011 dans un article présentant les premiers résultats concernant les astéroïdes de la ceinture principale. Voir aussi Articles connexes Liste des planètes mineures (24001-25000) Ceinture d'astéroïdes Références Objet céleste découvert en 1999 Objet céleste nommé par sa désignation provisoire Astéroïde de la ceinture principale Objet céleste découvert par LINEAR Objet céleste découvert à l'observatoire Magdalena Ridge
Thuraya Qabil
Thuraya Muhammad Qabil (parfois écrit Gabel) est une journaliste et poétesse saoudienne, née en à Djeddah. Carrière Qabil détient un diplôme du secondaire. Avec la publication de The Weeping Rhythms, elle devient la première femme saoudienne originaire du Hejaz à publier un recueil de poèmes. Avec Fatna Shakir, 'Abdiya Khayyat et Huda Dabbagh, elle fait partie des femmes saoudiennes qui acquièrent une notoriété dans le monde des lettres dans les années 1950 et 1960. Le recueil connaît un succès et inspire de nombreuses chansons populaires, mais il reste la seule œuvre Qabil écrite en vers. Qabil est également journaliste : elle est rédactrice en chef du magazine Zina de 1986 à 1987, ainsi que rédactrice pour les journaux al-Bilad et Ukaz. Notes et références Naissance en 1943 Naissance à Djeddah Poétesse arabe Journaliste saoudien du XXe siècle Journaliste saoudien du XXIe siècle Poète saoudien du XXe siècle Poète saoudien du XXIe siècle Poète arabe du XXe siècle Poète arabe du XXIe siècle
Poulain (homonymie)
Le mot poulain désigne avant tout le petit du cheval. Jusqu'à 6 mois, on peut aussi l'appeler foal. Yearling désigne les jeunes chevaux d'un an. Patronyme Albert Poulain (1851-1937), industriel chocolatier français, fils de Victor-Auguste Poulain ; Albert Poulain (1932-2015), musicien breton ; Alphonse-Georges Poulain (1875-1966), archéologue français ; Bernard-Yves-Raoul Poulain (1926-2013), acteur français ; Catherine Poulain (née en 1960), écrivaine française ; César Poulain (1822-1886), entrepreneur et homme politique français ; Christopher Poulain (né en 1987), joueur de rugby à XV français ; Dominique Poulain (1949-), chanteuse et une choriste française ; Gabriel Poulain (1884-1953), coureur cycliste français ; Gaston Poulain (1927-2015), évêque français ; Jacques Poulain (né en 1932), footballeur ; Jacques Poulain, philosophe directeur du département de philosophie de l'Université Paris-VIII ; Jean Le Poulain (1924-1988), acteur et metteur en scène français ; Jean Poulain (1884-1967), dessinateur animalier belge ; Jean Poulain (1927-2008), homme politique ; Jean-François-Pierre Poulain de Corbion (1743-1799), magistrat et homme politique français ; Jean-Pierre Poulain (né en 1956), sociologue français ; Malvina Poulain (1851-1921), personnalité de la Commune de Paris ; Michel-Marie Poulain (1906-1991), artiste peintre français ; Philippe Poulain (né en 1941), footballeur français ; Raphaël Poulain (né en 1980), joueur de rugby à XV français ; Vannick Le Poulain, actrice française, nièce de Jean Le Poulain ; Véronique Poulain, romancière française ; Victor-Auguste Poulain (1825-1918), chocolatier français. nom composé Gaétan Albert-Poulain (1866-1916), homme politique français. Autres Poulain, un cours d'eau français dans le département de l'Indre Poulain, marque française de chocolat Ancienne chocolaterie Poulain de Blois Poulain, un trimaran de compétition Poulain, outil composé de deux montants parallèles, réunis par des traverses de fer à chaque extrémié, permettant de faire rouler des tonneaux pour les charger sur un véhicule ou les décharger. Brancards parallèles d’un haquet Poulain, au Moyen Âge, un Franc installé ou né en Orient ou un individu né d’un père croisé et d’une mère orientale Poulain, chancre syphilitique (terme employé notamment par Rabelais dans Gargantua) Notes et références Lien externe Patronyme français
Irénée Pelletier
Irénée Pelletier, né le , et mort le , est un écrivain, professeur et homme politique fédéral du Québec. Biographie Né à Saint-André au Nouveau-Brunswick, il étudie à l'Université Saint-Francis-Xavier d'Halifax où il obtient un B.A. et effectua un Ph.D. en science politique à l'Université de Toulouse en France. Élu député du Parti libéral du Canada dans la circonscription fédérale de Sherbrooke en 1972, il est réélu en 1974, 1979 et en 1980. Il est défait par le progressiste-conservateur et futur premier ministre du Québec, Jean Charest. Il est secrétaire parlementaire du ministre de l'Argriculture de 1975 à 1977. Voir aussi Député fédéral canadien provenant du Québec Député du Parti libéral du Canada Universitaire canadien Naissance au Nouveau-Brunswick Naissance en mars 1939 Décès en février 1994 Étudiant de l'Université Saint-Francis-Xavier Décès à 54 ans
Grande Forme (La Ciotat)
La Grande Forme est une forme de radoub située dans le port de La Ciotat. Elle a été construite pour le chantier naval de La Ciotat, mise en service en 1969. Bouches-du-Rhône Forme de radoub La Ciotat
Cinq-Ports
Les Cinq-Ports désignent plusieurs ports de la côte méridionale de l'Angleterre, qui jouissent de certains privilèges au Moyen Âge en échange de la fourniture d'une flotte de guerre et de transport à la Couronne anglaise. Ces Cinq-Ports sont, du nord au sud : Sandwich, Douvres, Hythe, New Romney, dans le comté de Kent, et Hastings dans celui du Sussex. Trois autres ports, situés également dans le Sussex, ont également dans une moindre importance pu être associés aux Cinq-Ports : Rye, Seaford et Winchelsea. Les Cinq-Ports formaient une province militaire et administrative à part entière. Le titre de « Lord Warden of the Cinque Ports » est aujourd'hui un titre honorifique. Notes et références Source Géographie de l'Angleterre Géographie de la Manche (mer) Histoire de l'Angleterre médiévale
Tayor
Tayor est une localité du Cameroun située dans la Région du Sud-Ouest et le département de Manyu. Elle est rattachée administrativement à l'arrondissement de Upper Bayang (Tinto Council) et au canton de Tinto. Population Lors du recensement de 2005, on y a dénombré personnes. Notes et références Annexes Bibliographie Communal Development Plan for Tinto Council, PNDP, s. d., 171 p. Dictionnaire des villages de la Manyu, Centre ORSTOM de Yaoundé, 1973, Liens externes Tinto, sur le site Communes et villes unies du Cameroun (CVUC) Upper Bayang Sub-division Village dans la région du Sud-Ouest (Cameroun)
Vingt-Sept-Janvier
Vingt-Sept-Janvier ou XXVII-Janvier ou 27-Janvier, avec ou sans majuscule et parfois sans trait d'union, peut désigner : Calendrier 27 janvier, vingt-septième jour de l'année du calendrier grégorien. Odonyme Les noms de plusieurs voies ou places contiennent cette date, sous diverses graphies, en référence à des événements survenus à cette même date. Graphies en français Les événements rappelés par cet odonyme sont notamment : En Algérie, Le : événements non connus. En France, Le : Discours dit « du bon choix », prononcé par Valéry Giscard d'Estaing à Verdun-sur-le-Doubs, en Saône-et-Loire. À l'international : Le : Libération du camp de concentration nazi d'Auschwitz en Pologne, par l'Armée rouge soviétique, vers la fin de la seconde Guerre mondiale. Voir aussi les odonymes contenant le nom du mois, sans quantième : Graphies en langue étrangère De tels odonymes de pays non francophones contiennent cette date en d'autres langues, notamment : En espagnol, « 27 de Enero » ou « Veintisiete de Enero » Au Mexique : événements non connus « (Calle) 27 de Enero », à Poza Rica, dans l'État de Veracruz. Références et localisations Références Géolocalisations L'éventuelle mention « non localisée » signifie que l'odonyme concerné a été repéré dans une liste de voies, mais n'est pas encore enregistré dans les sources principales de géolocalisation utilisées dans cet article : Google Maps, Google Street, ViaMichelin, Géoportail (France), Géoportail (Belgique), Bing cartes, Here WeGo, Mappy et OpenStreetMap. Géolocalisation des odonymes en français dont le quantième est en lettres Néant Géolocalisation des odonymes en français dont le quantième est en chiffres Géolocalisation des odonymes en langues étrangères Voir aussi Homonymie 27
Aérodrome de Guiglo
L'aéroport de Guiglo est un aéroport desservant Guiglo, en Côte d'Ivoire. Notes et références Lien externe https://www.airportia.com/ivory-coast/guiglo-airport/ Guiglo
Élections législatives de juin 1814 dans la Mayenne
Pour les élections législatives françaises de juin 1814, il n'y a pas de renouvellement par rapport aux élections législatives françaises de 1808. Mode de scrutin Élus Analyse Résultats globaux Articles connexes Liste des députés de la Mayenne Élections législatives françaises de 1814 Notes et références 1814
منتخب إنجلترا تحت 23 سنة لكرة القدم للسيدات
منتخب إنجلترا تحت 23 سنة للسيدات لكرة القدم هو ممثل إنجلترا الرسمي في المنافسات الدولية في كرة القدم في فئة كرة قدم تحت 23 سنة للسيدات، يديريه الاتحاد الإنجليزي لكرة القدم. تشكيلة المنتخب قائمة اللاعبين مراجع كرة قدم للشباب في إنجلترا منتخب إنجلترا الوطني لكرة القدم للشباب منتخب إنجلترا الوطني لكرة القدم للنساء منتخبات كرة قدم وطنية أوروبية تحت 23 سنة منتخبات كرة قدم وطنية نسائية تحت 23 سنة منتخبات كرة قدم وطنية منتخبات كرة قدم وطنية أوروبية تحت 23 سنة للسيدات
À l'Olympia (album de Gilbert Bécaud)
À l'Olympia est le treizième album enregistré en public par Gilbert Bécaud dans la salle de Bruno Coquatrix. L'opus, produit par Gaya et Christian Wagner, comme le tour de chant de l'artiste, propose deux récitals : disque rouge et disque bleu. Autour de l'album Référence originale : Pathé Marconi - EMI 791486-1 Les titres Disque rouge Mes mains (Pierre Delanoë/Gilbert Bécaud) [2 min 54 s] Le Bateau blanc (Maurice Vidalin/Gilbert Bécaud) [1 min 55 s] Les Marchés de Provence (Louis Amade/Gilbert Bécaud) [3 min 12 s] C'était moi (Maurice Vidalin/Gilbert Bécaud) [2 min 47 s] Quand tu danses (Frank Gérald, Pierre Delanoë/Gilbert Bécaud) [2 min 30 s] Marie, Marie (Pierre Delanoë/Gilbert Bécaud) [3 min 30 s] Quand Jules est au violon (Maurice Vidalin/Gilbert Bécaud) [2 min 20 s] Au revoir (Maurice Vidalin/Gilbert Bécaud) [3 min 06 s] Nathalie (Pierre Delanoë/Gilbert Bécaud) [3 min 41 s] Quand il est mort le poète (Louis Amade/Gilbert Bécaud) [2 min 43 s] La Ballade des baladins (Louis Amade/Gilbert Bécaud) [3 min 55 s] Disque bleu Le Jour où la pluie viendra (Pierre Delanoë/Gilbert Bécaud) [2 min 08 s] Tête de bois (Pierre Delanoë/Gilbert Bécaud) [3 min 14 s] Le Mur (Maurice Vidalin/Gilbert Bécaud) [2 min 52 s] Mademoiselle Lise (Maurice Vidalin/Gilbert Bécaud) [2 min 40 s] L'Absent (Louis Amade/Gilbert Bécaud) [3 min 55 s] Les Caraïbes (Pierre Grosz/Gilbert Bécaud) [5 min 17 s] Mon père à moi (Louis Amade/Gilbert Bécaud) [3 min 14 s] Et maintenant (Pierre Delanoë/Gilbert Bécaud) [2 min 45 s] L'important c'est la rose (Louis Amade/Gilbert Bécaud) [3 min 10 s] C'était mon copain (Louis Amade/Gilbert Bécaud) [3 min 43 s] Notes et références Article connexe Discographie de Gilbert Bécaud Album de Gilbert Bécaud Album live sorti en 1988 Album en concert à l'Olympia
Virginia Millán
María Virginia Millán Salmerón, née le , est une femme politique espagnole membre de Ciudadanos. Elle est élue députée de la circonscription de Séville lors des élections générales de . Biographie Vie privée Elle est célibataire mais entretient une relation avec le secrétaire à l'Organisation du parti, Fran Hervías. Études de droit Elle réalise ses études à l'université de Séville où elle obtient une licence en droit. Avocate de formation, elle annonce en 2015 avoir déjà cinq ans d'expérience en conseil juridique à son actif ; cependant, elle ne déclare aucune activité rémunérée sur sa déclaration de revenus réalisée lors de sa prise de possession en suivant. Activités politiques Elle se présente aux primaires visant à désigner le candidat de la formation dans la circonscription de Séville lors des élections générales de . Elle remporte les primaires face à Jaime Barrera et Lorenzo Arístides. Ces deux derniers critiquent l'inégalité des conditions de participation et qualifient l'élection de car Millán aurait bénéficié d'un accès privilégié aux informations postales des militants du parti et du soutien de Fran Hervías qui aurait manipulé les résultats informatiques dans le but de faire gagner sa compagne. En , des enregistrements sonores viendront confirmer cette thèse. Barrera et Arístides quittent le parti dès l'annonce des résultats. Elle est élue au Congrès des députés après que sa liste a remporté deux sièges. Elle siège comme porte-parole adjointe de la commission de l'Équipement et première secrétaire de la commission des Finances et des Administrations publiques. Elle est membre de la commission du Règlement. Réélue lors du scrutin anticipé de 2016, elle devient membre de la commission du Règlement et porte-parole à celle des Droits de l'enfance et de l'adolescence. Elle est porte-parole adjointe à la commission bicamérale des Relations avec le Défenseur du peuple. Elle renonce à concourir lors des primaires internes en vue des élections générales d' pour raisons de santé. Notes et références Voir aussi Articles connexes Circonscription électorale de Séville Députés de la XIIIe législature de l'Espagne Liens externes Fiche sur le site du Congrès des députés : XI, XII et XIII législatures. Naissance en septembre 1983 Naissance à Séville Étudiant de l'université de Séville Personnalité politique espagnole du XXIe siècle Personnalité de Ciudadanos Femme politique espagnole Député de la province de Séville Député espagnol de la XIe législature Député espagnol de la XIIe législature Député espagnol de la XIIIe législature
Vase de cristal d'Aliénor
Le vase de cristal d'Aliénor ou vase d'Aliénor est un vase en cristal de roche enrichi par un travail d'orfèvrerie. Historique Le vase originel en cristal de roche est probablement d'origine iranienne, datant des VI ou VII siècles. Il a été offert par Imad al-Dawla Abdelmalik, roi musulman de Saragosse, au duc d'Aquitaine Guillaume IX pour le remercier de son aide face aux Almoravides. Sa petite fille Aliénor d'Aquitaine en hérita et l'offrit en cadeau lors de son mariage avec le roi de France Louis VII en 1137. Le roi, très pieux, l'offrit par la suite à l'abbé Suger qui cherchait à enrichir le trésor de Saint-Denis. L'abbé fit ensuite monter le vase dans une riche monture d'orfèvrerie vers 1140. Il échappa, au cours de la Révolution française au pillage du trésor de Saint-Denis. Description Une inscription latine sur le pied du vase permet de reconstituer son histoire : HOC VAS SPONSA DEDIT A(lie)NOR REGI LUDOVICO MITADO(lus) AVO MIHI REX S(an)C(tis)Q(ue) SUGE(ius) signifiant : « Ce vase, Aliénor son épouse l’a donné au roi Louis, Mitadolus à son aïeul, le roi à moi-même, Suger, qui l’ai offert aux saints ». Mitadolus est la forme latinisée d'Imad al-Dawla. Les saint évoqués sont Saint-Denis, le premier évêque de Paris décapité vers 250, ainsi que ses compagnons Saint-Rustique, Saint-Éleuthère, enterrés dans la basilique de Saint-Denis. Le vase est en cristal de roche, un quartz transparent et incolore. Le travail de ce matériau est particulièrement délicat, car il faut d’abord creuser le vase dans un bloc de pierre très dur, puis réaliser ensuite le décor dont la beauté augmente la valeur de l’objet. Ce décor est un motif en nid d’abeilles, des facettes hexagonales disposées de façon régulière. Ce décor existait déjà dans l’Antiquité romaine, puis à Byzance et au Proche-Orient. Il est particulièrement fréquent chez les Sassanides, une dynastie qui a régné sur le Proche-Orient de 224 à 642 et a probablement créé ce vase. L'abbé Suger a fait orner ce vase d’or et de pierres précieuses pour le rendre encore plus beau. La monture est en argent doré avec une technique de filigrane : des fils métalliques, travaillés pour former des motifs en grains, sont soudés sur la feuille de métal. Ils dessinent d’élégants fleurons perlés, très décoratifs et mis en valeur par le fond lisse et brillant sur lequel ils se détachent. Ce décor est complété par des perles et des pierres précieuses qui apportent une note colorée à l’ensemble. Par la suite, le vase a subi quelques transformations. Des médaillons en émail parsemés de fleurs de lis ont notamment été rajoutés sur le col au XIV siècle. Ce vase est le seul objet d'Aliénor d'Aquitaine qui nous soit parvenu. Article connexe Aigle de Suger Références Liens externes Le vase sur le site du Louvre Objet d'art Objet en vermeil Œuvre avec de l'émail Trésor de Saint-Denis Département des objets d'art du Louvre
Sésie bembex
La Sésie bembex ou Sésie du saule (Sesia bembeciformis) est une espèce de lépidoptères (papillons) de la famille des Sesiidae, originaire d'Europe. Systématique L'espèce Sesia bembeciformis a été décrite par l'entomologiste allemand Jakob Hübner en 1806, sous le nom initial de Sphinx bembeciformis. Description Comme tous les papillons de la famille des Sesiidae, la Sésie bembex ressemble bien plus par son aspect et par son vol à un hyménoptère qu'à un lépidoptère. Les ailes sont dépourvues d'écailles et transparentes, de forme étroite et allongée. La tête est noire, suivie d'un collier jaune. Elle a une envergure de . La longueur de ses aile antérieures est de . L'espèce proche Sesia apiformis a une tête jaune suivie d'un collier noir. Elle est beaucoup plus courante et inféodée aux peupliers. Écologie La chenille de la Sésie bembex est inféodée aux saules, plus particulièrement au Saule marsault et au Saule cendré. Les zones de ponte sont la tige, les racines voire les souches d'arbres âgés, abattus ou fragilisés. Les œufs, de couleur caramel, sont déposés directement sur l'écorce. Endophyte, la jeune larve y pénètre pour se nourrir du liber durant un cycle de 2 à 3 années. Une fois son développement achevé, la chenille crée un trou de sortie dans le bois puis se nymphose en une chrysalide brun caramel, dont l'exuvie restera comme plantée dans l'arbre. Les adultes émergeront aux mois de juin et juillet de l'année suivante ; ils sont visibles de juin à août selon les régions. Répartition Cette espèce, plutôt rare, est présente dans l'ensemble de l'Europe à l'exception de la zone méditerranéenne. En France, elle a été observée dans les départements du Puy-de-Dôme en 2014, du Haut-Rhin en 2011, de la Loire et du Nord en 2007 et de la Loire-Atlantique en 1982. Historiquement, elle est également connue de l’Indre, du Maine-et-Loire et du Pas-de-Calais. Notes et références Voir aussi Liens externes Lépi'Net. Lepiforum. UKmoths. sesiidae.net. Références taxonomiques Lépidoptère (nom vernaculaire) Sesiidae Lépidoptère d'Europe Insecte à larve xylophage
Americans with Disabilities Act
LAmericans with Disabilities Act of 1990 , aussi connue sous le sigle ADA, est une loi votée par le Congrès des États-Unis en 1990. En 1986, le recommande l'adoption d'une loi pour les Américains avec handicap (en anglais, Americans with Disabilities Act, ou ADA) et écrit la première version du projet de loi qui est introduit à la Chambre des représentants et au Sénat en 1988. Elle est promulguée le par le président George H. W. Bush, puis amendée et signée par le président George W. Bush avec application des changements le . L'ADA est une loi de grande envergure sur les droits civiques dont le but est de protéger la population des États-Unis contre les discriminations basées sur le handicap. Elle offre des protections contre les discriminations aux similaires à celles du de 1964, qui rendit illégales les discriminations basées sur la race, la religion, le sexe, l'origine nationale, ainsi que sur d'autres caractéristiques. En plus, par rapport au Civil Rights Act, l'ADA oblige aussi tout employeur à fournir un accommodement raisonnable aux employés atteints de handicaps et impose des conditions d'accessibilité aux logements publics. Notes et références Annexes Articles connexes Mouvements des malades Convention relative aux droits des personnes handicapées – provides information about rights and responsibilities under the ADA and related legislation Lois contre la discrimination des personnes handicapées Titre VII du Civil Rights Act de 1964 Liens externes Site officiel Department of Labor ADA page Equal Employment Opportunity Commission ADA page Navigable text of the Americans with Disabilities Act of 1990 – 42 U.S. Code Chapter 126 Loi fédérale aux États-Unis concernant les droits civiques 1990 aux États-Unis Présidence de George H. W. Bush Présidence de George W. Bush Législation relative aux droits des personnes handicapées
Ivar Jacobson
Ivar Jacobson (né le à Ystad en Suède) est un informaticien suédois. Il est principalement connu pour être l'un des concepteurs du langage de modélisation UML. Biographie Il obtient en 1962 un Master en électrotechnique à l'École polytechnique Chalmers à Göteborg. En 1967 il propose l'utilisation de composants logiciels pour le développement de nouvelles applications au sein de la société Ericsson. Et invente plusieurs diagrammes modélisant les traitements que les applications doivent effectuer, comme les diagrammes de séquence et de collaboration. Ses travaux débouchent sur la création du langage SDL (Specification and Description Language), qui deviendra par la suite un standard dans l'industrie des télécommunications en 1976. Il obtient son doctorat à l'Institut royal de technologie de Stockholm en 1985. Ivar Jacobson a développé la technique des cas d'utilisation pour capturer les exigences tout en travaillant chez Ericsson. En avril 1987, il quitte Ericsson pour créer Objectory AB où il développe le langage de modélisation objet OOSE en 1992. En octobre 1995, sa société fusionne avec Rational Software. En collaboration avec Grady Booch (inventeur de la méthode Booch) et James Rumbaugh (concepteur du langage de modélisation OMT), il commence le développement de la première version du langage de modélisation UML (Unified modeling language, ou langage de modélisation unifié). Après le rachat par IBM de Rational Software en 2003, Ivar Jacobson décide de quitter l'entreprise, mais il reste comme consultant technique jusqu'en mai 2004. En novembre 2005, il annonce qu'il travaille pour Microsoft, sur le développement de Essential Unified Process, pour l'environnement de développement intégré Visual Studio. Notes et références Bibliographie The Unified Modeling Language Reference Manual (aux éditions Addison-Wesley), écrit avec James Rumbaugh et Grady Booch Liens externes Son CV Naissance en septembre 1939 Naissance à Ystad Personnalité suédoise de l'informatique Personnalité en génie logiciel Entrepreneur en informatique Étudiant de l'Institut royal de technologie
Élections législatives bas-canadiennes de 1830
Les élections législatives bas-canadiennes de 1830 se sont déroulées du au au Bas-Canada afin d'élire les députés de la de la Chambre d'assemblée. Contexte Chronologie : Proclamation annonçant les élections générales en raison du décès du roi George IV. : Émission des brefs. : Retour des brefs. : Ouverture de la de la par l'administrateur Matthew Whitworth-Aylmer. Résultats Résultats par district électoral Sources Section historique du site de l'Assemblée nationale du Québec Voir aussi Articles connexes Quatorzième législature du Bas-Canada Chambre d'assemblée du Bas-Canada 1830 Bas-Canada 1830 au Bas-Canada
Conan le Flibustier
Conan le Flibustier (titre original : ) est un recueil de nouvelles, signé par Robert E. Howard, narrant les aventures du personnages de Conan le Barbare. Il s'agit du troisième tome de la vaste anthologie dirigée par Lyon Sprague de Camp et Lin Carter (le premier étant également coauteur de ce volume) au milieu des années 1960. Il fait directement suite au volume intitulé Conan le Cimmérien, bien que les nouvelles n'aient que des liens très ténus entre elles. Éditions françaises Aux éditions J.-C. Lattès. Aux éditions J'ai lu, en . Nouvelles (Présentées dans l'ordre retenu dans l'édition originale) Des éperviers sur Shem - Howard & de Camp (Hawks Over Shem) Le Colosse noir - Howard (Black Colossus) Des ombres dans la clarté lunaire - Howard (Shadows in the Moonlight) La Route des aigles - Howard & de Camp (The Road of the Eagles) Une sorcière viendra au monde ! - Howard (A Witch Shall be Born) Notes Recueil de nouvelles de fantasy Recueil de nouvelles paru en 1968 Conan le Barbare 1968 en fantasy
Famille de Bourbourg
La Famille de Bourbourg, nobles français de Bourbourg, en Flandre maritime (actuel arrondissement de Dunkerque, département du Nord) détient la châtellenie de Bourbourg, dans le comté de Flandre, dès sa création en fin du . La dernière héritière épouse au début du un comte de Guînes, ce qui signe la fin de la famille. D'autres personnages, étrangers à la famille initiale, maintiennent le nom de Bourbourg dans l'aristocratie laïque et ecclésiastique du comté de Flandre pendant encore deux siècles. Armes La famille de Bourbourg a pour armes : « D'azur à trois tierces d'or». Histoire La famille de Bourbourg, châtelains de Bourbourg du , entretient des liaisons étroites avec son suzerain, le comte de Flandre et maintient des relations suivies avec les comtes de Guînes, qui font alors partie de la « haute aristocratie ». La châtellenie est leur bien principal. Châtelains, ils assistent à de nombreux actes ou chartes, pour soutenir leur suzerain, témoigner de sa volonté et la faire appliquer, mais aussi en prendre acte dès lors que la décision les touche directement dans leurs droits et possessions. Ils ont des relations pacifiées avec leurs homologues châtelains, probablement parce que les frontières de chaque territoire sont bien définies. En revanche, les rapports demeurent plus contrastés avec les abbayes : d'un côté, ils font souvent des dons aux monastères éloignés, de l'autre, ils ont des litiges fréquents avec ceux situés sur leur territoire, acceptant mal qu'ils échappent à leur tutelle. Les comtes de Flandre donnent alors globalement raison aux cloîtres, compte tenu du poids de l'église à cette époque. Thémard de Bourbourg (mort en 1127) Thémard (ou Thevart, Thangmar, Demar) de Bourbourg est le premier châtelain de Bourbourg connu avec certitude : il apparait pour la première fois dans le cartulaire de l'abbaye de Watten en 1072. Conseiller des comtes de Flandre, il a des relations très variables avec les abbayes, parfois sereines et parfois conflictuelles. Thémard de Bourbourg épouse Livilde, sans autre précision. Le couple donne naissance à cinq enfants dont les deux fils aînés, Gauthier et Ghislebert , meurent aux côtés de leur père en 1127. Son troisième fils, Henri , va lui succéder à la tête de la châtellenie. Il a également deux filles. L'une d'elles peut être Avicie ou Adelize de Bourbourg, épouse de Gobert III de Bergues-Saint-Winoch (voir Maison de Berghes-Saint-Winock). Châtelain de Bourbourg Thémard passe pour être le fils de Gauthier, châtelain de Bergues et de Bourbourg qui lui transmet officiellement à sa mort en 1090 la châtellenie de Bourbourg. Il en possède donc les différents fiefs. En tant que châtelain, il est dit vicomte (ou burgrave ). En 1113, Thémard participe à la cour solennelle tenue à Saint-Omer par le comte de Flandre Baudouin VII de Flandre. Il y côtoie les autres châtelains des environs, bras droits du comte, ceux de Saint-Omer, Gand, Bruges, Courtrai, Bergues. Relations avec les abbayes À une date non précisée, Thémard reçoit du comte de Flandre un territoire faisant partie du marais de Millam, avec mission de l'assécher (rôle moteur des comtes de Flandre pour la mise en valeur des terres, souvent marécages ou marais (voir watringue). Thémard va donner plus tard le fief (trois cent une mesures soit environ cent trente cinq hectares) à l'abbaye Notre-Dame de Bourbourg qui en possédait déjà la majeure partie. En 1093, Thémard est témoin de l'acte par lequel le comte de Flandre Robert II de Flandre donne à l'abbaye de Watten la terre de « Holeke » (Holque) avec bois et marais. Il signe en 1104 de nombreux actes concernant l'abbaye Notre-Dame de Bourbourg récemment créée. Le comte Baudouin VII de Flandre a accordé à l'abbaye Saint-Bertin de Saint-Omer toute la juridiction sur les terres, et habitants y demeurant, qu'elle possède dans la châtellenie de Bourbourg. Thémard s'oppose à cette décision, le privant de ses droits de châtelain, et a « inquiété » le monastère. En janvier et juin 1119, Jean de Warneton, évêque de Thérouanne enregistre son renoncement à revendiquer. Néanmoins, il faut qu'en 1125, le nouveau comte Charles de Flandre (Charles le Bon), réaffirme les droits accordés à l'abbaye. Thémard est témoin en 1121 avec son fils Gauthier (ou Walter) d'un acte dans lequel le comte Charles le Bon accorde à l'abbaye de Saint Winoc à Bergues de nombreuses dîmes dont celle de la paroisse de Zuydcoote. La même année, il est également témoin d'un don de terres situées à Téteghem, au profit de l'abbaye de Bourbourg, par le comte Charles le Bon. Conseiller des comtes de Flandre Thémard s'illustre en tant que conseiller de plusieurs comtes de Flandre. En 1071, il contribue à la victoire de Robert de Flandre (Robert le Frison) à Cassel (bataille de Cassel). Conseiller de Robert, il le restera des trois comtes suivants : Robert II de Flandre, Baudouin VII de Flandre, Charles de Flandre . À la suite de cette proximité, les châtelains de Bourbourg bénéficient du titre de baron du comté de Flandre. Lorsque le comte Robert II de Flandre prépare son départ pour les croisades (première croisade de 1096 à 1099), il choisit Thémard pour être le conseiller de sa femme, Clémence de Bourgogne qui va gérer le comté pendant son absence. Thémard est assassiné le au côté de Charles le Bon, comte de Flandres, dans l’église St-Donatien de Bruges pendant la messe du mercredi des Cendres, avec ses deux fils aînés, Gautier et Gislebert, Henri de Bourbourg (mort en 1168) Henri est cité avec sa mère Livilde et ses deux sœurs Mahaut de Bourbourg et Adelize, dans une charte de l'abbaye d'Andres Henri de Bourbourg, succède à son père en 1127, dans la châtellenie de Bourbourg. Initié à la fonction en assistant à la passation de chartes du comte de Flandre, dit Le Glorieux, il est le fils de Thémard. Après sa mort en 1168, il est inhumé dans l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer. Proximité des comtes de Flandre Il exerce la fonction de connétable de Flandre de 1127, date de la mort de son père à sa propre mort, autrement dit chef militaire du comté de Flandre et premier officier de la cour de Flandre. À ce titre, il assiste à plusieurs reprises sous les comtes successifs à des chartes importantes passées par ces derniers : en 1127, au côté des nobles de premier rang du comté, lorsque le nouveau comte Guillaume Cliton (Guillaume de Normandie) confirme les lois et coutumes de Saint-Omer. en 1145, avec les autres châtelains de la région, quand Thierry d'Alsace tranche sur la répartition des rôles entre une abbaye, ici l'abbaye Saint-Bavon de Gand, et l'avoué de celle-ci. en 1163, avec ses fils, sans autre précision, lorsque Philippe d'Alsace accorde à la ville de Nieuport une charte lui donnant les mêmes libertés que celles accordées à la cité de Dixmude. en 1164, à une charte par laquelle le comte Philippe confirme les privilèges (libertés communales) accordées par son père Thierry à la ville de Saint-Omer en jurant de les respecter, et à une charte annexe où Philippe fixe les avantages respectifs des villes de Saint-Omer et de Bourbourg dans leurs relations, en présence des échevins des deux cités. Lutte pour le comté de Guînes En novembre 1127, Henri fait partie des témoins d'une charte passée par Manassès de Guînes, comte de Guînes, en son château de Tournehem, en présence de nombreux seigneurs locaux, entérinant un accord avec l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer. Signe du niveau social du châtelain, il se marie en premières noces, à une date non connue, avec Sibylle de Guînes, dite Rose, fille et héritière du puissant comte de Guînes Manassès et d'Edme de Tancarville. Sybille meurt avant 1130, (et non pas en 1137), juste après la naissance de sa fille Béatrix de Bourbourg et reçoit sa sépulture en l'abbaye de la Capelle (commune actuelle de Les Attaques). Henri défend avec la dernière énergie les intérêts de sa fille Béatrice, héritière légitime du comté. Manassès meurt en 1137. Béatrix souffre de grandes infirmités, tels que la pierre, ou la gravelle (lithiase urinaire ou maladie de la pierre). Manassès lui a fait épouser un seigneur anglais Albert ou Albéric le Sanglier pour renforcer les liens avec l'Angleterre. Albéric retourne dans son pays. La mort de Manassès le rappelle au comté de Guînes sur les injonctions d' Henri. Il rend hommage à Thierry d'Alsace, comte de Flandre, en tant que comte de Guînes, mais s'en retourne en Angleterre, laissant son épouse, et sa terre de Guînes à la garde d'Arnould, seigneur de Ham (Hames-Boucres) dit le Mangeur. Arnould de Gand, seigneur de Tournehem, fils de Wenemar, châtelain de Gand, seigneur de Bornhem et de Gisèle ou Gilette, sœur de Manassès, intervient. Il bénéficie de l'appui du châtelain de Saint-Omer, son beau-père, et des frères de Mahaut de Saint-Omer, son épouse, (maison de Saint-Omer) puis bientôt de la grande majorité des vassaux du comte de Guînes. Il usurpe le comté. Albéric préfère rester à la cour d'Étienne, roi d'Angleterre, où il est en grande considération. Officiellement, il y prend possession des terres relevant du comté de Guînes situées outre-Manche. Arnould de Ham et Henri résistent à Arnould de Gand. Arnould de Ham s'enferme dans le château d'Audruicq, Arnould de Gand vient l'assièger, Henri de Bourbourg vient à son aide avec une armée, en vain, ils doivent s'enfuir et se réfugier à Bourbourg. Henri va encore tenter de résister à Arnould à partir de la forteresse d'Aumerval près d'Audruicq mais doit de nouveau s'enfuir. Béatrix délaissée par son mari, n'a pas d'héritier. Henri provoque la séparation du couple, et remarie Béatrix à Baudouin d'Ardres, seigneur d'Ardres, ex-soutien d'Arnould de Gand. Mais Béatrix meurt peu après, toujours sans héritier, et est enterrée dans le même monastère que sa mère. Arnould de Gand peut alors s'emparer du comté sans coup férir et légalement cette fois, sous le nom d'Arnould de Guînes. Henri doit se soumettre et le reconnaît, en 1142, le conflit ayant duré cinq ans. En cette même année, les deux anciens principaux protagonistes de l'affrontement, Arnould , en tant que comte de Guînes, et Henri , en tant que châtelain de Bourbourg, se retrouvent, parmi des notables du comté de Flandre, comme témoins d'une charte souscrite par Thierry d'Alsace. Châtelain de Bourbourg Henri , châtelain de Bourbourg, établit une charte en 1142 : un de ses hommes a donné un fief de douze mesures de terre (environ cinq hectares) à l'hôpital de Bourbourg, généralement appelé Saint-Nicolas, situé en dehors de la ville (il soigne notamment les lépreux). Lui-même contribue en donnant des terres. Son fils Baudouin, appelé vicomte, est présent. En 1150, à Bourbourg, devant Henri et Baudouin, le comte Thierry d'Alsace confirme la donation. Châtelain, comme son père, Henri est cité dans plusieurs chartes qui témoignent des relations contrastées, entre dons et oppositions, avec les abbayes. En 1131, il donne à l'abbaye des Dunes huit mesures de terre (environ trois hectares et demi) pour y établir une bergerie. À une date non connue, Henri, sur la pression du comte Thierry d'Alsace, doit reconnaitre, avoir troublé injustement l'église de Watten (abbaye de Watten) dans la possession de ses terres d'Holque. Thierry réaffirme que les biens de l'abbaye sont exempts de tout droit féodal et de toutes taxes ou impositions que quiconque, ses propres représentants ou le châtelain, pourraient prétendre lever sur eux. Entre 1130 et 1151, Henri et sa femme Béatrix donnent une terre au prieuré de Forest (dans le Brabant) contre la promesse que le monastère célèbrera leur anniversaire, (cérémonie tenue à la date anniversaire du décès pour le salut de l'âme du défunt), et vers 1155, Henri, en tant que connétable de Flandre et châtelain de Bourbourg, donne une terre à l'abbaye d'Affligem (toujours dans le Brabant). Vers 1160, Henri renonce à ses droits sur un marais (marais de Niulède) au profit de l'abbaye de Clairmarais. Mariage et descendance Veuf, Henri épouse vers 1130, Béatrix de Gand-Alost, dame d'Alost et de Waise, fille de Baudouin III de Gand, mort en 1127, dit Le Lousche ou Le Barbu, seigneur d'Alost et de Tourcoing, et de Lutgarde de Grimberge (Grimbergen?). Seule descendante, elle hérite de tous les biens, mais Yvain de Gand, son oncle, frère de Baudouin, a profité de sa jeunesse pour la déposséder avec le consentement du comte Thierry d'Alsace (Yvain a ou va épouser la fille du comte). Afin de favoriser son mariage, Béatrix se voit cependant restituer par Thierry d'Alsace une partie des biens hérités de sa mère en Brabant, notamment les francs alleux de Warce et de Menith. Vers 1150, Thierry d'Alsace déclare qu'il a affranchi Emma, épouse du médecin Maler et l'a donnée à Béatrice qui à son tour l'a donnée à l'abbaye de Bourbourg. Le couple va avoir douze enfants, dont : Baudouin de Bourbourg, qui succède à son père en tant que châtelain. Henri de Bourbourg, mort jeune, peu de temps après avoir été fait chevalier, appelé dans certaines chartes, Henri de Cassel. Gislebert II de Bourbourg, présent aux côtés de son père lors de la lecture de lettres du comte Charles le Bon en 1125, perd la vue lors d'un tournoi, et de ce fait refuse de succéder à son frère aîné Baudouin, en tant que châtelain. Raoul de Bourbourg, doyen de la cathédrale Notre-Dame de Noyon en 1172, donne son accord en même temps que son frère Baudouin, châtelain, et son autre frère Henri II au don de terres fait par Baudouin de Bailleul, son beau-frère, et son fils également prénommé Baudouin, au bénéfice de l'abbaye de Clairmarais en 1172. Pressenti pour devenir évêque de Noyon, il décède peu de temps avant son élection, sa sépulture est installée dans l'église Saint-Fursy de Péronne (disparue depuis). Siger de Bourbourg, entre lui aussi dans l'église, meurt peu de temps après son frère Raoul, est enterré dans l'église Notre-dame de Bourbourg, église de l'abbaye de Bourbourg. Gautier II de Bourbourg, va être châtelain de Bourbourg après son frère. Les autres enfants sont des filles dont Mabille épouse en 1187 de Baudouin IV de Bailleul, châtelain de Bailleul, Lutgarde mariée à un noble seigneur habitant près du Rhin, nommé Arnaud de Cuerthèdre, Adelise, femme d'Étienne, seigneur de Sinneghem, et deux sœurs, Mahaut et Béatrix II de Bourbourg, Mahaut étant abbesse de l'abbaye Notre-Dame de Bourbourg. Baudouin de Bourbourg (mort en 1180) Baudouin de Bourbourg, prénommé Baudouin en mémoire de son aïeul maternel, Baudouin de Gand, déjà initié à la fonction de châtelain, succède à son père. Le fils et héritier d'Yvain de Gand, usurpateur des biens de sa mère, meurt jeune sans descendant en 1166, ses possessions reviennent à son oncle le comte de Flandres. Baudouin de Bourbourg négocie et récupère une partie des terres, rendue par le comte Philippe d'Alsace : la seigneurie de Tourcoing (liste des seigneurs de Tourcoing) et Torthone, Longuemarque, Becquescot, qui lui appartenaient de droit par héritage maternel. Il accepte habilement de s'en tenir là. Il se marie avec une fille de grande famille : Julienne, comtesse de Duras, fille d'Othon II, comte de Duras, (famille de Duras), de Montagu et de Clermont en Ardenne, sire de Rochefort, avoué de Saint-Trond et de Dinan, mort en 1146 et de Berthe de Bouchain. Le mariage reste sans enfants. Baudouin épouse ensuite Élisabeth de Béthune, (maison de Béthune), fille de Robert de Béthune, dit le Roux, avoué d'Arras, avoué de Thérouanne, seigneur de Béthune. Il s'allie enfin avec une Clémence : Baudouin et Clémence donnent, vers 1172, à l'abbaye de Clairmarais une terre située à proximité de Gravelines. En 1169, Baudouin est témoin d'une charte de Philippe d'Alsace en faveur du chapitre de Saint-Pierre à Aire-sur-la-Lys, dont l'octroi de grandes terres de marais entre Watten et Bourbourg. En 1178, il confirme le don de cinquante et une mesures de terre (environ vingt trois hectares) fait par son père à l'hôpital de Bourbourg, en présence de Clémence son épouse et de Wautier (Gauthier), son frère Il meurt sans héritiers en 1180, est enterré dans l'église Notre-Dame de Bourbourg comme tous les châtelains de la famille, Henri excepté. Gautier II de Bourbourg (mort en 1190) Gautier de Bourbourg, dit Le Jeune, succède à son frère Baudouin en tant que châtelain de Bourbourg et seigneur de Tourcoing. Il se marie avec Mahaut de Béthune, dame de Chocques, sœur d'Élisabeth, épouse de Baudouin. Gautier est l'héritier des droits et prétentions sur les terres d'Alost et de Waise. Gautier est témoin en 1181 d'un acte de Philippe d'Alsace entérinant un don de terres, situées près de Nieuport, fait par un habitant de Gravelines à l'hôpital de Bourbourg. Il meurt en 1190. On lui connait deux héritiers : Henri II de Bourbourg, qui suit. Béatrix III de Bourbourg, qui suit après son frère. Henri II de Bourbourg (mort en 1194) Henri II de Bourbourg, chevalier, succède à son père. Mineur comme sa sœur, ses intérêts sont confiés aux frères de sa mère de la maison de Béthune et à Henri de Bailleul, leur cousin. Cette protection n'était pas inutile, un autre cousin tenta, sans succès, de se saisir de la seigneurie de Tourcoing. Vers 1184, en tant que châtelain, Henri II officialise la vente d'une terre par un particulier à l'abbaye de Bourbourg. Il fonde une chapelle à Bourbourg, dans l'église paroissiale ou dans l'église de l'abbaye de Bourbourg. En 1260, Arnould III de Guînes, comte de Guînes et châtelain de Bourbourg, petit-neveu du côté maternel d'Henri, va accorder à la chapelle, six livres de rente par an. Henri meurt jeune sans s'être marié et sans héritier en 1194. Béatrix III de Bourbourg (morte en 1224) Épouse d'Arnould de Guînes Béatrix de Bourbourg, est mise jeune en l'abbaye de Bourbourg, après la mort de son père, pour y être éduquée et instruite. Elle hérite des biens de la famille à la suite du décès de son frère, dont les droits sur les terres d'Alost et de Waise. Elle épouse en 1194 ou en 1200 Arnould II de Guînes comte de Guînes, seigneur d'Ardres, dont le père Baudouin II de Guînes voit rapidement l'intérêt d'épouser cette riche héritière. Arnould devient de ce fait châtelain de Bourbourg, seigneur de Tourcoing, détenteur du pays d'Alost et se gagne des alliés puissants dans la maison de Béthune : Guillaume de Béthune, seigneur de Béthune, avoué d'Arras et de Tenremonde, Conon de Béthune, Baudouin de Béthune, comte d'Aumale, Jean de Béthune devenu depuis évêque de Cambrai, ou encore l'allié du proche parent de Béatrice, Henri de Bailleul, qui a géré la châtellenie pour Béatrice avant son mariage. Pour Béatrice, ce mariage offre également plusieurs intérêts : les comtes de Guînes sont une puissance qui compte, l'alliance donne un nouveau prestige à la châtellenie. L'union représente l'opportunité de résister aux pressions de Mathilde de Portugal, veuve du comte de Flandre Philippe d'Alsace, qui prétend détenir les terres de Bourbourg et d'Alost, au motif que ces biens font partie de son douaire. Béatrice est dite à la date de son mariage « pour l'âge de sa jeunesse remplie de grand savoir et prudence et douée de grands et excellente beauté. Et quant à la noblesse et biens temporels, c'était la plus noble et riche héritière qui fut en tout le pays. » Elle reçoit en douaire les terres d'Ardres et Colewide. Le mariage est célébré en grande pompe à Ardres, le prêtre du lieu, le célèbre futur chroniqueur Lambert d'Ardres, bénit le lit de noces. Béatrice fait les frais en 1213-1214, du changement d'alliance d'Arnould, auparavant lié au comte de Flandre, qui se rapproche du roi de France Philippe Auguste et de son fils aîné Louis, le futur Louis VIII. En représailles, le comte Ferrand de Flandre ravage à deux reprises le comté de Guînes, et Béatrice se retrouve enfermée dans le château. Délivrée par quelques seigneurs flamands, plus ou moins apparentés, soucieux de son sort, tandis qu' Arnould a fui à Saint-Omer, elle est quand même emmenée en Flandre avec enfants et entourage. Cette séparation d'avec son mari l'aurait arrangée, l'entente entre les époux n'étant pas bonne. Elle va y rester quatre ans, séparée de son mari, séparation qui semblait lui convenir, en raison de désaccords dans le couple. La situation politique change : Arnould est du côté des vainqueurs de la bataille de Bouvines de 1214, gagnée par Philippe Auguste, au contraire de Ferrand emmené en captivité. En juillet 1218, le couple est réuni lorsqu' Arnould passe une charte dans l'abbaye de Saint-Bertin. Arnould meurt en 1220, est inhumé dans l'abbaye Saint-Médard d'Andres. Béatrice se retrouve veuve. Le couple a eu plusieurs enfants. Pieuse châtelaine et comtesse En 1210, lors d'une charte faite en faveur de l'abbaye de Saint-Bertin, où, châtelain de Bourbourg, Arnould renonce à des droits dus par l'abbaye, elle donne son consentement contre la célébration de son anniversaire après son décès. Béatrice va prouver par la suite sa foi mais en 1216, Adam évêque des Morins (évêque de Thérouanne) atteste que Béatrix, comtesse de Guînes et châtelaine de Bourbourg a reconnu avoir extorqué à l'abbaye de Saint-Bertin le paiement de 80 livres de Flandre. En 1217, Béatrice fait des dons à l'abbaye de Tronchiennes, pour le salut de ses parents Gautier et Mahaut. Très croyante, elle fait un don à l'abbaye Saint-Jean-Baptiste de Chocques, (sans doute en mémoire de sa mère, dame de Chocques), pour le salut de l'âme de son mari, de ses parents et de son frère Henri II par charte passée à Thérouanne le 12 mai 1221. Elle fait quasiment un don identique, (cinq mille harengs, une pesée de fromage sur des terres situées à Saint-Folquin) pour le salut des mêmes, à l'abbaye Notre-Dame de Licques. Elle a alors des différends avec le nouveau comte de Guînes, son fils Baudouin III de Guînes, à propos de son douaire. Les deux font appel à l'arbitrage du châtelain de Saint-Omer et de Guillaume de Fiennes. Un accord est passé en novembre 1222. Béatrice donne cent mesures de terre (environ quarante cinq hectares) et un moulin qu'elle possède en un lieu appelé Bonham (sur la commune actuelle de Sainte-Marie-Kerque) pour y fonder une abbaye de filles, par une charte passée à Saint-Omer en décembre 1223. Elle meurt à Bourbourg en 1224, est enterrée dans l'église de sa fondation, avec l'accord de Baudouin qui avait accepté cette construction et qui, pour obéir à ses volontés, déroge à la tradition voulant que les comtes de Guînes et leurs épouses soient inhumés dans l'abbaye d'Andres. Béatrice de Guînes, fille aînée d'Arnould II et de Béatrice III de Bourbourg, religieuse à Bourbourg, va être la première abbesse de l'abbaye de Bonham. Juste avant de mourir, Béatrice III a encore fait un don au monastère, qui va durer jusqu'en 1395, année où, les bâtiments étant ruinés par les guerres et les inondations, les religieuses sont transférées à l'abbaye Sainte-Colombe de Blendecques. Non reliés Plusieurs personnalités dites de Bourbourg, sans lien établi avec la famille des châtelains, sont retrouvées dans les chartes intéressant le comté de Flandre aux . Jean de Bourbourg est abbé à Bergues vers 1200, a priori de l'abbaye de Saint-Winoc, mais il existe un doute sur l'abbaye précise qu'il dirige, Bergues en comptant plusieurs. En 1235, maître E. de Bourbourg, official de Tournai, fait une déclaration selon laquelle Enguerrand de Slype et Jean, percepteur des maîtres de l'ordre du Temple en Flandre ont confirmé l'exemption de tonlieux dont jouit l'abbaye des Dunes à Slype. En 1235, on parle de maître S. de Burbourg, official de Tournai qui atteste que Béatrix de Castellario a assigné à l'abbaye Saint-Nicolas-des-Prés de Tournai, une rente annuelle de 10 sous de Flandre sur deux maisons situées dans la Boucherie (in Machecleria) de Tournai. Et en 1236, maître S. de Bourbourg, toujours official de Tournai, entérine un achat réalisé par l'église Saint-Nicolas-des-Prés; il s'agit probablement de la même personne. En 1245, le chevalier Bertram de Bourbourg est un des nombreux chevaliers qui promettent fidélité au roi de France, Louis IX (Saint-Louis) dans l'hypothèse où la comtesse de Flandre Marguerite de Constantinople n'exécuterait pas les promesses données au roi. Philippe de Bourbourg est retrouvé au dans l'entourage de deux comtes de Flandre en tant que sergent chargé de missions de confiance. Exemple de l'ascension sociale que pouvaient réaliser de fidèles serviteurs de grands personnages, a priori d'origine non noble, il finit chevalier et seigneur de Verlinghem. Il remplit des missions entre 1265 et 1278 et meurt vers 1292. Henri de Bourbourg est nommé en 1271, bailli de la ville de Damme, pour représenter le bailli de la ville de Bruges. En 1272, Henri, reçoit la moitié d'un droit vendu par le chevalier Jean de Ghistelle et de la Wastine à la ville et commune de Damme. Il remplit toujours cette charge en 1282. Il pourrait être fils de Philippe de Bourbourg. En juillet 1291, Guy de Dampierre confirme les acquisitions de dîmes faites par le chapitre de Thérouanne sur différents fiefs dont un détenu par Wautier de Bourbourg dans le terroir de Bailleul. En novembre 1292, Wautier de Bourbourg, achète le fief d'Ingelshof à Bambecque, à son neveu Philippe Dou Thoune. Parmi les témoins, Guillaume de Warhem représente le comte de Flandre. Le 22 juin 1295, Gui de Dampierre, confirme la vente faite par son féal, Watier de Bourbourg, chevalier, à Béatrix, veuve de Michel de Cassiel, bourgeois d'Ypres, d'une rente de cent livres assignée sur le tonlieu de Bergues. Watier de Bourbourg, appelé « Monseigneur », fait face en 1295 à une contestation de « Monseigneur » Willaume, seigneur de Fiennes, qui réclame le château de Bambecque. Dans une sentence rendue le 21 janvier 1296 par des chevaliers, Guillaume est condamné à l'amende, la personne désignée comme son procureur ne s'étant pas présentée. Le 20 mars 1298, à Bruges, Raoul II de Clermont-Nesle, connétable de France, récompense « Messire » Wautier de Bourbourg (Alphonse Wauters parle d'un Walter), chevalier, des services rendus au roi de France Philippe IV le Bel (pendant la Guerre de Flandre qui oppose le comte Guy de Dampierre au roi Philippe le Bel), en lui donnant la mairie (représentant du châtelain) de Ghyvelde, deux mesures de terre dans la châtellenie de Bergues, et une rente d'avoine dans la paroisse de Beveren, dans la châtellenie de Furnes, à charge de tenir le tout en fief et hommage du roi de France. Wautier pourrait être lui aussi fils de Philippe de Bourbourg, et frère d'Henri ci-dessus. Willaume de Bourbourg, échevin de Gand, est en 1306, agent des chevaliers receveurs du comte de Flandre, ayant en charge les grandes villes. Il reconnait avec l'agent chargé des petites villes, avoir reçu plus de deux mille livres, monnaie de Flandre, à l'occasion d'une opération. Thierri de Bourbourg, échevin de la ville de Bourbourg en 1309, chambellan du comte de Flandre (Robert III de Flandre), est envoyé en mars 1309 par la ville auprès du représentant du roi de France pour requérir la paix du roi (et négocier la contribution à l'amende imposée par le roi) (il s'agit toujours de Philippe le Bel et des suites de la guerre de Flandre). Jean de Bourbourg, écuyer, épouse dans la deuxième moitié du Élisabeth de Marselaer, fille d'Henri de Marselaer, écuyer, noble du duché de Brabant. Notes et références Voir aussi Bibliographie André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy, Paris, 1631, lire en ligne . Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la Châtellenie de Bourbourg, Coudekerque Branche, 2001, Editions Galaad Graal, 287 pages. Alain Lottin (dir.), Histoire de Tourcoing, Westhoeck, les Éditions des Beffrois, 1986, lire en ligne. Anselme de Sainte Marie (Père Anselme), Histoire généalogique et chronologique de la Maison Royale de France, 9 volumes, Paris, 1725 et années suivantes, lire en ligne. Alphonse Wauters, Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. S. Bormans et J. Halkin, Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, Tome XI, parties 1 à 3 en 3 volumes, Bruxelles, 1907 à 1946. Comte Joseph de Saint-Genois, Monuments anciens..., Tome I, Lille, 1782, et suivantes, lire en ligne. François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, Dictionnaire de la noblesse, Volume 3, Paris, 1771, lire en ligne. Articles connexes Armorial des familles de Flandre et d'Artois Bourbourg Châtellenie de Bourbourg Liste des seigneurs de Tourcoing Philippe de Bourbourg Famille noble française Famille noble de Flandre et d'Artois Famille de Bourbourg
Le Dieu fou
Le Dieu fou (titre original : ) est un roman de fantasy de l’écrivain britannique Michael Moorcock. Il est paru en 1968 puis a été traduit en français et publié en 1973. Ce roman est le deuxième tome de la série La Légende de Hawkmoon. Résumé Le héros, Dorian Hawkmoon et ses amis ont de multiples aventures en revenant d’Orient vers la Kamarg. Ils rencontrent le peuple des ombres. Ce dernier leur donne une machine qui leur permet de voyager dans le temps et l'espace grâce à une autre dimension. Le cavalier d'Or et de Jais aidera Dorian à délivrer Yisselda, enlevée à son père, le comte d’Airain. Les adversaires sont Huilliam d'Averc, tout d’abord partisan du Ténébreux empire, les pirates du Dieu-fou qui porte l'amulette rouge du bâton runique et toujours le baron Meliadus de Grandbretanne qui assiège la Kamarg. Analyse et commentaire L’auteur a indiqué dans plusieurs interviews que les romans de ce cycle d’heroic fantasy avaient pour unique vocation de distraire leurs lecteurs. Prolongements L’univers a inspiré le jeu de rôle : Hawkmoon. En vue d’une adaptation télévisée, BBC Studios a acquis début 2019 les droits des quatre premiers romans de la série, soit Le Cycle du bâton runique qui comprend Le Joyau noir, Le Dieu fou, L'Épée de l'aurore et Le Secret des runes. Notes et références Liens externes Roman britannique paru en 1968 Roman de fantasy de Michael Moorcock 1968 en fantasy Multivers de Moorcock Roman se déroulant dans un pays fictif
Michael Quinn (rugby à XV)
Michael Anthony Mary Quinn, né le à Dublin, est un joueur de rugby à XV irlandais évoluant au poste de demi d'ouverture. Il joue avec l'équipe nationale d'Irlande de 1973 à 1981. Biographie Michael Quinn obtient sa première cape internationale le à l’occasion d’un match contre l'équipe du pays de Galles dans le cadre du Tournoi des Cinq Nations. Son dernier match international se déroule le contre l'Afrique du Sud. Il fait partie de l'équipe d'Irlande qui a gagné le Tournoi des cinq nations en 1973 et 1974, sous la conduite de son capitaine Willie-John McBride. Palmarès Vainqueur du Tournoi des cinq nations en 1973 (victoire partagée) et 1974 Statistiques 10 sélections 18 points (4 pénalités, 2 drops) Sélections par année : 1 en 1973, 6 en 1974, 2 en 1977, 1 en 1981 Tournois des Cinq Nations disputés : 1973, 1974, 1977 Références Liens externes Naissance en mai 1952 Naissance à Dublin Joueur international irlandais de rugby à XV Demi d'ouverture (rugby à XV) Joueur du Lansdowne RFC Joueur du Leinster Rugby
Oukase
Un oukase ou ukase (en , ), mot parfois orthographié oukaze, est un terme juridique russe, dont l’équivalent en droit romain est décret ou édit. Historique dans l'Empire russe et l'Union soviétique Dans l'Empire russe, c'est une proclamation du tsar ou du patriarche qui a force de loi. Un exemple est l'oukase d'Ems (1876) interdisant l'usage de l'ukrainien dans l'Empire. Après la révolution russe, les proclamations importantes du gouvernement soviétique sont appelées « décrets » (en , ), les proclamations de portée plus limitée, « oukases ». Ces deux termes sont habituellement traduits de façon identique : décret. Ordre exécutoire du président de la Russie Selon la Constitution russe de 1993, en vigueur en , un oukase est un , ayant force de loi, mais ne pouvant pas modifier l'application de lois existantes et pouvant être abrogé par une loi de l'Assemblée fédérale. Sens figuré en français En français, comme dans de nombreuses langues, le mot « oukase » est utilisé de manière figurative pour désigner, en politique ou au sein d'une organisation civile ou de la vie économique, un acte d’autorité arbitraire, ou une décision discrétionnaire prise par le dépositaire d’un pouvoir ; cette extension se retrouve dans le domaine de la vie courante pour signaler, souvent de manière ironique, une prise de position péremptoire de la part d’une personne. Notes et références Annexes Articles connexes Empire russe Russie Liens externes Droit en Russie Droit en Ukraine
Formation de Sundance
La est une formation géologique du Jurassique moyen à supérieur et affleurant dans l'ouest de l'Amérique du Nord. Datant du Bathonien à l'Oxfordien, vers 168 à 157 Ma, elle mesure jusqu'à d'épaisseur et est constituée d'argilite marine, d'argilite sableuse, de grès et de calcaire qui se sont déposés au fond de la mer de Sundance, une mer intérieure qui couvrait une bonne partie de l'ouest de l'Amérique du Nord au cours du Jurassique moyen et supérieur. Géologie La formation de Sundance est située au-dessous de la formation de Morrison, , et est séparée par une discordance de la formation sous-jacente de Gypsum Springs du Jurassique moyen. Paléontologie La Formation de Sundance est connue pour les fossiles d'une espèce éteinte de céphalopode marin, la bélemnite Pachyteuthis densus, ainsi que plusieurs espèces éteintes d'huîtres, y compris Deltoideum, Liostrea et Gryphaea nebrascensis. Les empreintes de dinosaures fossiles sur un ancien littoral océanique sont préservées dans la formation et protégées au Red Gulch Dinosaur Tracksite, situé dans le Bureau of Land Management Red Gulch/Alkali National Back Country Byway, près de Shell dans le comté de Big Horn, Wyoming. Notes et références Notes Références Liens externes Site paléontologique aux États-Unis Formation du Jurassique supérieur Formation du Jurassique moyen
Route nationale 5 (Cambodge)
La route nationale 5 est une des routes nationales du Cambodge. D'une longueur de 407 kilomètres, elle relie la capitale cambodgienne jusqu'à la frontière avec la Thaïlande. En quittant Phnom Penh vers le nord, la route longe le Tonlé Sap sur lequel trois ponts se dressent le Chroy Changvar, le Prek Pnov et le Prek Kdam. Puis elle s'éloigne du grand lac puisque les terrains à proximité sont inondables, elle traverse successivement les provinces de Kandal, de Kampong Chhnang, de Battambang et de Banteay Mean Chey. Voir aussi Liens internes Transport au Cambodge Liens externes Réseau routier du Cambodge Route au Cambodge
Le Sacrifice de Sato
Le Sacrifice de Sato () est un film américain réalisé par Robert Thornby, sorti en 1917. Synopsis Un japonais, Sato, tombe amoureux de la fille d'un de ses employeurs américains. Fiche technique Réalisation : Robert Thornby Scénario : Beatrice DeMille, Leighton Osmun d'après une histoire d'Eve Unsell Producteur : Jesse L. Lasky Photographie : James Van Trees Production : Jesse L. Lasky Feature Play Company Genre : Drame Distributeur : Paramount Pictures Durée : 50 minutes Date de sortie : Distribution Vivian Martin : Mildred Thornton Sessue Hayakawa : Sato Tom Forman : Harry Maxwell Carmen Phillips : Benita Ramirez James Neill : James Thornton Ernest Joy : American ambassador Paul Weigel : Luis Valdez Réception critique La critique n'a pas été unanime pour ce film, en particulier pour le rôle de l'acteur Sessue Hayakawa. Pour Variety, . Notes et références Liens externes Film américain sorti en 1917 Film américain en noir et blanc Film muet américain Film réalisé par Robert Thornby
Historique du parcours européen du Real Madrid CF
L'historique du parcours européen et mondial du Real Madrid Club de Fútbol retrace les participations de ce club espagnol de football basé à Madrid aux différentes coupes d'Europe et compétitions mondiales. Le club a notamment remporté 14 Ligues des champions, 2 Coupes UEFA et 5 Supercoupes de l'UEFA. Repères historiques Coupe des clubs champions européens et Ligue des champions En 1955, le Real Madrid prend part pour la première fois de son histoire à une compétition européenne. En sa qualité de champion d'Espagne 1955, il participe en juin à la Coupe latine qui oppose les champions portugais, italiens, français et espagnols. Il remporte cette première coupe en battant en finale le Stade de Reims. La saison suivante, en 1955-1956, a lieu la première édition de la Coupe des clubs champions européens, ouverte à davantage de champions nationaux. Le Real y retrouve le Stade de Reims en finale et le bat à nouveau, remportant un nouveau titre. Le club remporte successivement les quatre éditions suivantes de la coupe (de 1957 à 1960), ce qui fait un total de cinq victoires et constitue un record de victoires consécutives dans cette compétition. Il gagne à nouveau la Coupe à huit reprises : en 1966, puis après son changement d'organisation sous le nom de Ligue des champions de l'UEFA en 1998, 2000, 2002, 2014, 2016, 2017,2018 et 2022, ce qui lui permet d'établir le record du nombre de titres gagnés dans cette compétition avec 14 victoires. Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe et Coupe UEFA Le Real participe également dans son histoire aux autres coupes internationales organisées par l'UEFA. En 1960 est créée la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe. Le Real y prend part pour la première fois en 1970-1971 à la suite de sa victoire en coupe du Roi la saison précédente, sans qualification pour la C1 cette année-là en raison d'une quatrième place en championnat. Dès cette première participation, le Real atteint la finale, qu'il perd face à Chelsea Football Club. Le club madrilène fait de même en 1983 lorsqu'il s'incline en finale face aux Écossais d'Aberdeen Football Club. En quatre participations à la C2, le Real ne remporte jamais cette compétition qui disparaît en 1999. Autre coupe d'Europe, la Coupe UEFA (ou C3) qui prend en 1971 la suite de la Coupe des villes de foires en l'élargissant aux clubs européens non champions les mieux placés dans leurs championnats respectifs mais non qualifiés pour les C1 et C2. L'ancienne compétition n'était ouverte qu'aux clubs des villes organisatrices de ce type d'événement sans se soucier de leur classement et avec l'autorisation de ne présenter qu'un club par ville, le Real Madrid n'y prit jamais part. Le club remporte la coupe UEFA deux fois consécutivement en 1985, s'étant qualifié grâce à sa place de vice-champion en 1983-1984, et en 1986, qualifié par sa cinquième place en championnat l'année précédente. Autres titres au palmarès européen du club : une deuxième victoire en coupe Latine en 1957 (dernière édition de cette compétition qui disparaît ensuite), ainsi que cinq victoires en Supercoupe de l'UEFA en 2002, 2014, 2016, 2017 et 2022 (match opposant le vainqueur de la C1 et de la C2 jusqu'en 1999 puis de la C1 et de la C3 avec la disparition de la C2). Compétitions mondiales Grâce à ses différents titres au niveau national et européen, le Real participe à différentes compétitions d'envergure mondiale opposant des clubs européens aux clubs des autres continents. En ce qui concerne les compétitions mineures, le Real remporte deux fois (en 1952 et 1956) la Petite coupe du monde des clubs, rencontres amicales qui opposent de 1952 à 1970 des clubs champions européens (notamment le vainqueur de la coupe Latine mais également d'autres clubs vainqueurs de leur championnat ou d'une autre coupe européenne), il remporte également en 1994 la Copa Iberoamericana qui oppose le vainqueur de la coupe du Roi à celui de la coupe d'Argentine. La plus prestigieuse de ce genre de compétition demeure la coupe intercontinentale qui oppose depuis 1960 le vainqueur de la C1 européenne à son équivalent sud-américain, le vainqueur de la Copa Libertadores. Le Real la remporte à trois reprises en 1960, 1998 et 2002, et en est finaliste en 1966 et 2000. Par la suite, la compétition change de format pour devenir la Coupe du monde des clubs de la FIFA. Expérimentée en 2000 et abandonnée temporairement en 2001, elle est véritablement instituée en 2005. Le Real participe pour la première fois à la compétition lors de sa première édition en 2000, et finit à la quatrième place. En 2014, le Real atteint la finale et la remporte pour la première fois. Le Real Madrid remporte de nouveau la Coupe du monde des clubs de la FIFA en 2016, 2017 et 2018. Palmarès européen et mondial Matchs européens par saison Matchs mondiaux par saison Adversaires rencontrés Adversaires européens Adversaires mondiaux Lien externe Historique du Real Madrid en compétitions européennes sur uefa.com. Real Madrid (football) Real Madrid
1726 en science
Événements Dans une lettre à l'abbé Bignon, président de l'Académie des sciences, Jean-André Peyssonnel affirme que le corail est un animal plutôt qu'une plante comme on le pensait avant. L'horloger britannique John Harrison invente le pendule à gril () constituée de lames de métal cycloïdales en acier et en cuivre pour la correction des effets du chaud et du froid. Publications Johann Bartholomeus Adam Beringer : Lithographiæ Wirceburgensis. Il décrit les fausses pierres de Wurtzbourg à la suite d'un canular. : Synopsis Stirpium Hibernicarum, la première flore irlandaise. Naissances 26 janvier : Augustin Roux (mort en 1776), médecin français. 8 mai : (mort en 1808), botaniste et vétérinaire suédois. 3 juin : James Hutton (mort en 1797), géologue écossais. 14 juin : Thomas Pennant (mort en 1798), amateur d'antiquités et naturaliste britannique. 8 juillet : Paul Bosc d'Antic (mort en 1784), médecin et chimiste français. 9 août : Francesco Cetti (mort en 1778), jésuite, zoologiste et mathématicien italien. 19 octobre : Jean-Philippe de Limbourg (mort en 1811), médecin et chimiste belge. 29 octobre : (mort en 1810), astronome suédois. John Abercrombie (mort en 1806), agronome et horticulteur écossais. Décès 25 janvier : Guillaume Delisle (né en 1675), scientifique français, un des fondateurs de la géographie moderne. 3 février : Alexis Littré (né en 1654), médecin anatomiste français. 31 juillet : Nicolas Bernoulli (né en 1695), mathématicien suisse. 26 septembre : Antoine Parent (né en 1660), mathématicien et physicien français. Notes et références Science Chronologie de la science
John William Burgon
John William Burgon, né le à Izmir (à l'époque appelé Smyrne) et mort le à Chichester, est un religieux anglais. Biographie Son père, d'origine turque, est un numismate reconnu et sa mère est grecque. Après avoir travaillé quelques années dans le commerce, Burgon entre au Worcester College de l'université d'Oxford en 1841 et sort diplômé quatre ans plus tard. C'est aussi en 1845 qu'il se voit décerner le prix Newdigate pour son sonnet « Petra », surtout connu pour le couplet Le sonnet parle de Pétra, la ville nabatéenne ; cette cité il en avait entendu parler mais n'y est jamais allé. Il devient membre de l'Oriel College en 1846. Il est très influencé par son beau-frère, l'érudit et théologien Henry John Rose, un religieux anglican conservateur avec qui il passe de longues vacances. Burgon fait d'Oxford son siège et habite non loin. En 1863 on le nomme vicaire de St. Mary's à Oxford, ayant attiré l'attention avec ses sermons contre le livre « Essays and Reviews » publié en 1860. Dans une série de messages sur l'inspiration biblique il défend l'historicité et la paternité mosaïque de la Genèse et l'inerrance biblique contre les critiques textuelles et radicales de la Bible. En 1867 il est nommé Gresham Professor of Divinity. En 1871 il publie une défense de la véracité des douze derniers vers de l'Évangile selon Marc. Il commence à écrire contre le nouveau lectionnaire proposé pour l'Église d'Angleterre, basé surtout sur ses objections aux principes adoptés par Brooke Foss Westcott et Fenton John Anthony Hort pour déterminer la paternité des manuscrits du Nouveau Testament. Il les attaque dans un article mémorable dans le Quarterly Review de 1881. Ses essais biographiques sur Henry Longueville Mansel et d'autres sont compilés dans un volume appelé Twelve Good Men, publié en 1888. Il proteste contre l'admission du Vance Smith en tant que relecteur, contre la nomination de Dean Stanley au poste de prédicateur à l'université d'Oxford, et contre l'allocution en faveur de la tolérance en matière de rituels. Il est nommé doyen de Chichester en 1876. Sa biographie est écrite par le doyen Edward Meyrick Goulburn en 1892. Quoique véhément et passionné en parlant de ses convictions, Burgon avait bon cœur. On le considère comme un religieux important d'avant le mouvement d'Oxford. Il lègue sa grande collection de copies des Pères grecs illustrant le Nouveau Testament au British Museum. Burgon aujourd'hui Aujourd'hui le nom de Burgon est presque uniquement associé à la Dean Burgon Society et au King-James-Only Movement. Ce mouvement s'identifie à Burgon peut-être pour se distancier des allégations selon lesquelles il trouverait ses origines dans les œuvres de l'Adventiste Benjamin G. Wilkinson. Quoique Burgon se positionnait beaucoup contre la Revised Version de la Bible et continuait à croire que la Bible est la parole de Dieu, ses arguments ne sont pas les mêmes que ceux du mouvement King-James-Only. Œuvres À part le sonnet Petra, il est connu pour son The Revision Revised, où il critique la Revised Version (1881) de la Bible. Notes et références Liens externes What did John William Burgon really believe about the Textus Receptus and the King James Version?, essai du chercheur baptiste Doug Kutilek Naissance en août 1813 Naissance à Izmir Décès en août 1888 Décès à Chichester (Royaume-Uni) Décès à 74 ans Prêtre anglican du XIXe siècle Étudiant de Worcester College
Budzas
Les Budja, Budza ou Mbuza, (parfois francisé Boudjas) sont un peuple de la République démocratique du Congo. Ils se situent principalement dans la province de la Mongala et le secteur et commune de Bumba. Les Budja les habitants limitrophes de la partie nord du fleuve Congo. Le Territoire de Bumba possède des villages tels que Bandala, Yamisiko, Yapaka, Yakenge, Bonzo, Kwanza, Monzamboli, Manga, Ebonda (un centre missionnaire de protestant), Yaligimba, Yakoma, Yakoloko et beaucoup d’autres. Ce peuple a constitué la majorité de la force publique du Congo lors de l'indépendance; et raison pour laquelle, plusieurs hauts gradés de l'Armée en sont issus, notamment des généraux qui occupèrent le poste de Chef d'États Majors Généraux du Congo-Kinshasa. Histoire Les Budza originellement dans le Bas-Uele avant l'arrivée des arabes, mais ont été poussés à migrer par les Azande, et les Babati eux-mêmes poussés par les Arabes au . Selon la tradition orale, les Budza ont deux frères comme ancêtres. Le premier appelé Budja ou Budza, et le second Eloa, un guerrier vaillant. Les descendants d’Eloa sont appelés Budja Eloa, et les descendants de Budza, simplement Budza. Eloa est un lointain ancêtre patrilinéaire dont on sait peu de choses sur lui. Ses descendants, les Budja Eloa habitent la partie Nord du territoire de Bumba. Ils vivaient à l'origine dans la région de l'Uélé. Malgré leur victoire sur les Azande, ils (les Budja dits Yalisika) quittèrent la région et émigrèrent vers le sud-ouest en traversant la rivière Itimbiri. Dans la recherche de meilleures terres, ils s'établirent vers 1870 aux sources de la Dua, puis se répandirent en suivant le cours de la rivière et fondèrent plusieurs villages mais ils firent face aux Ngbandi du territoire d'Abumombazi qui les attaquèrent. Eseko et ses hommes de guerre leur infligèrent une défaite cinglante qu'ils ne revinrent plus jamais. Puis vinrent en 1880 les esclavagistes arabo-swahili appelés Batambatamba. Malgré leurs armes à feu, les Budja Yalisika les battirent à plate couture et récupérèrent les armes sur l'ennemi... Terriens par opposition à leurs frères riverains, leur territoire est clairement défini. Selon l'arrêté royal du 28 mars 1912 confirmé par l'ordonnance du gouverneur général du 1er mars 1913, le territoire des Budja Eloa avait comme chef-lieu Mombongo. Il était limité au nord par le territoire de l'Eau blanche (chef-lieu: Abumombazi), au sud par le territoire Budja (chef-lieu: Mondjamboli) et territoire Molua (chef-lieu : Bumba), à l'est par le territoire Lese (chef-lieu : Mandungu) et à l'ouest par le territoire de l'Eau noire (chef-lieu : Monvenda). En 1915, les territoires furent réduits. Ils passèrent de 20 à 14. Les uns furent supprimés, les autres fusionnés. Le territoire des Budja-Eloa et celui des Budja fusionnèrent et formèrent le territoire de Mondjamboli (chef-lieu : Mondjamboli). Au début du , les Budja sont connus pour leur hostilité vis-à-vis des autorités de l’État indépendant du Congo qui ont imposé le transport d’ivoire et de caoutchouc, ils se révoltent d'ailleurs de 1903 à 1905. Langues Le parler des Budja Eloa Le ligenza [ lgz ] est une langue bantoue parlée au nord-ouest de Bumba par les Bagenza. Le parler des Budja Eloa appelé ligenza, mieux egenza tel que prononcé par les locuteurs dont est issu l'auteur (Gilbert Aonga Ebolu) est une variante dialectale apparentée aux trois dialectes à savoir lingombe parlé par les Ngombe, ligenza parlé par les Bagenza et le libenza parlé par les Babenza. Les limites entre lingombe, ligenza et libenza sont compliquées. Les trois tribus se comprennent. Une question se pose : comment les Budja Eloa ont-ils délaissé l'ebudja au profit d'egenza ? D'après Gustave Hulstaert (1900- 1990), missionnaire belge, spécialiste des langues et littératures africaines, des changements linguistiques se sont opérés au cours des migrations. Certains groupes ont délaissé progressivement, parfois même rapidement, leur langue au profit de la langue de leurs voisins avec qui ils vivaient en bonne intelligence. D'où l'influence réciproque que les uns ont exercé sur les autres. Le ligenza a rayonné sur ses voisins, en particulier sur les Budja Eloa qui ont fini par emprunter cette langue. Cela ne doit nullement étonner, puisqu'on est dans le domaine de l'activité humaine qui est chose éminemment vivante et donc variable à l'infini. Le ligenza est aussi parlé à Bolupi et à Bokutu près de la mission catholique de Boyange. Entre l'ebudja et l'egenza, les différences ne sont pas considérables. Les Budja Eloa sont appelés parfois les « Abo Abo », dérivé de mbi nilogi bo (moi, je dis). Bref, egenza est une autre forme de ligenza. Noms Le groupement de Yalisika Plus près de nous fin , début , il y a eu Eseko, un autre guerrier Budja Eloa, fils de Mongangu et de Mamosebeni, originaire de Bondongo, groupement de Yalisika. Farouche opposant à la colonisation, il devint célèbre pour sa résistance aux Arabisés et aux Européens. En 1870, il infligea une défaite cuisante aux "Butu", les Ngbandi d'Abumombazi. En 1880, il battit les Batambatamba, esclavagistes arabo-swahili venus de Falls (Kisangani) afin de se mesurer à lui. Il prit les armes à feu sur l'ennemi. Les Budja dits Yalisika peuplent le groupement de Yalisika. Depuis les sources de la Dua, celui-ci se compose des villages que voici de l'Est à l'Ouest : Bosanga, Yamadzo, Bokombo, Yamahimbi, Yamuha, Bondongo, Bwehe, Yamono, Bombeka et Bongolu. L'actuel chef de groupement s'appelle Maurice Ambena Junior(2018). Sur le plan linguistique, chez les Budja Eloa, Ya, Bo et Boso sont des préfixes qui signifient : fils de, gens de, descendant de, originaire de, appartenant à. Placés au début d'un nom propre, ils signifient : descendant de, gens de. Suivis du nom propre, ils indiquent la filiation. C'est ainsi que la plupart des noms de villages commencent par Ya ou Bo ou encore Boso pour désigner la descendance. Exemple : Yabia signifie descendant d'Abia; Bondunga signifie descendant de Ndunga et Boso Lisika signifie descendant de Lisika. Lihau ya Bisebi signifie Lihau fils de Bisebi, etc. Le substantif Litungu s'emploie aussi pour désigner un groupement, par exemple : Litungu la Elumba signifie le clan d'Elumba. Le nom Moseka signifie jeune fille mais il peut s'employer aussi comme déterminatif, par exemple moseka Budja : fille de Budja. Son contraire est mwenga qui signifie jeune homme. Chez les Budja, en plus du préfixe Ya , on emploie le préfixe Monga, par exemple : Monga Makundu, fils de Makundu. Les noms propres très fréquents chez les Budja Eloa: Abia, Abuba, Adogo, Adoula, Alunga, Ambalu, Ambena, Ambele, Ambwa, Angumo, Atundu, Aundu, Bassiala, Bosa, Botulu, Djonga, Ebele, Eboma, Ebonda, Ebwa, Ekutsu, Elenga, Elumba, Epote, Enzongo, Esande, Eyenga, Ezando, Lieko, Lihau, Lisika, Lingango, Litungu, Maamomi, Mabe, Madjo, Magbeta, Maboso, Mahungu, Makambo, Makundu, Mangaya, Mangongo, Mangbau, Mbangisa, Mbongo, Mbuli, Mambune, Moleka, Monama, Mongali, Monzia, Mopotu, Mosala, Motuta, Ndongo, Nzia, Tinda, Mwano, Limbaya, Makele, Lihita, Epombo, Moloka, Ewonda, Aluha, Eganga, Kutu etc. Certains noms ont une signification, tels par ex. : Mopotu : village abandonné; Litungu : clan; Ndiwa ou Memba : sorcier; Nzia : chemin, voie; Ekutsu : ce qui a une odeur; Maboso et Mangongo : le premier et le deuxième des jumeaux; Motuta : enfant né après les jumeaux, peu importe le sexe; Magbeta et Monama : arc-en ciel ou génie; Mongali : Dieu; Tinda : enfant dégagé en position de siège ou par les jambes; Djonga : maléfice; Ndongo: critique, calomnie (à ne pas confondre avec ndóngó = maïs); Botete : stérilité. Culture Comme d’autres cultures de la région, lorsqu’un membre de la famille n’a pas d’enfant, il ou elle reçoit la charge d’un enfant d’une sœur ou d’un frère si ce dernier en a plusieurs. Les veuves, lorsqu’elles ont eux un ou plusieurs enfants avec leur mari, reste avec la famille et dans le village de celui-ci, car les enfants sont considérées comme membre de la famille de leur père. Traditionnellement, les Budjas étaient polygames, mais seuls les chefs pouvaient généralement se permettre d’avoir plusieurs femmes. En cas de décès, la veuve pouvait accepter d’épouser un des frères de son défunt mari. Chez les Budjas Eloas, le lévirat, la coutume selon laquelle l'épouse d'un homme devient à sa mort l'épouse de son frère cadet, se meurt. Par ailleurs, le code de l'honneur interdit de coucher avec la même femme que son frère. Les Budjas sont connus pour le malemba (libulia ou mabulia en kimbuza), un plat à base de manioc bouilli, puis râpé et trempé afin de diminuer l'acidité. La danse traditionnelle budja est appelée engundele. Personnalités général Félix Budja Mabe Eseko, grand-chef traditionnel André Genge, journaliste et politicien Marcel Lihau, constitutionnaliste Jeannine Mabunda, politicienne général Mahele Lieko Hilaire Mayamba monga Liwanda, homme politique Notes et références Voir aussi Bibliographie Albert , « La campagne contre les Budjas », in Trois chapitres de l'épopée congolaise : la révolte des Batétéla, le chemin de fer du Bas-Congo, la campagne antiléopoldienne, Office de publicité, Bruxelles, 1949, p. 57 et suiv. Luis Beltrán, « La teoría Budja del poder político (Una concepción tradicional africana del poder) », in Revista española de investigaciones sociológicas, 18, avril-, Joseph et Olga , « Budja », in Les peuplades du Congo belge : nom et situation géographique, Impr. Veuve Monnom, Bruxelles, 1935, p. 222 et suiv. Pierre , Violence politique au Congo-Kinshasa, L'Harmattan, 2008, 430 p. Mumbanza Mwa Bawele, Colonialisme et identité «Bangala» en Afrique centrale dans Bahru Zewde, Society, state, and identity in African history, 2008, pp. 87-104. Émile , Les derniers jours de l'État du Congo : journal de voyage (juillet-), La Société nouvelle, 1909, 198 p. E. , Bij de Budjas, Norbertijner Abdij, Postel, 1934, 164 p. Articles connexes Démographie de la République démocratique du Congo Liste des groupes ethniques d'Afrique Liens externes Budza, Ethnologue.com Groupe ethnique en république démocratique du Congo
(31020) Skarupa
(31020) Skarupa est un astéroïde de la ceinture principale et plus spécifiquement du groupe de Hilda. Description (31020) Skarupa est un astéroïde du groupe de Hilda. Il présente une orbite caractérisée par un demi-grand axe de 3,99 UA, une excentricité de 0,12 et une inclinaison de 3,5° par rapport à l'écliptique. Compléments Articles connexes Liste des planètes mineures (31001-32000) Ceinture d'astéroïdes Groupe de Hilda Références Groupe de Hilda Astéroïde de la ceinture principale Planète mineure découverte en 1996 Objet céleste découvert à l'Air Force Maui Optical and Supercomputing (AMOS)
Evelyn Mawuli
, née le à Toyohashi, est une joueuse japonaise de basket-ball. Biographie Ses deux parents sont nés au Ghana avant de s'installer au Japon. Evelyn Mawuli est une joueuse japonaise de basket-ball qui joue de 2014 à 2017 pour les Aisin AW Wings en Women's Japan Basketball League, une équipe basée à Anjō, puis à Nagoya pour les Toyota Antelopes (où joue également sa sœur Stephanie Mawuli). Elle fait ses débuts internationaux au championnat d'Asie U16 2009 en Inde où le Japon gagne la médaille d'argent, puis au championnat d'Asie U16 2011, où le Japon gagne l'or. Elle figure dans la sélection japonaise pour le championnat du monde U17 de 2012 à Amsterdam : le Japon se classe quatrième et elle est nommée dans le meilleur cinq. Elle fait ses débuts en équipe nationale pour les Jeux asiatiques de 2014 où le Japon remporte le bronze, puis remporte l'or aux championnats d'Asie 2017 et 2019. Elle dispute la Coupe du monde 2018 où le Japon obtient une neuvième place. Elle fait partie des douze sélectionnées pour le tournoi olympique de 2020, disputé en 2021 en raison de la pandémie de Covid-19, qui remporte la médaille d'argent. Palmarès Médaillée d'or du championnat d'Asie 2017 Médaillée d'or du championnat d'Asie 2019 Médaillée d'or du championnat d'Asie U16 2011 Médaillée d'argent du championnat d'Asie U16 2009 Médaillée de bronze des Jeux asiatiques de 2014 Médaille d'argent aux Jeux olympiques de 2020 à Tokyo Distinctions personnelles Meilleur cinq du championnat du monde U17 de 2012 Notes et références Liens externes Joueuse japonaise de basket-ball Joueuse de basket-ball aux Jeux olympiques d'été de 2020 Médaillée d'argent olympique japonaise Naissance en juin 1995 Naissance dans la préfecture d'Aichi
Nara Noïan
Nara Noïan (nom d'artiste), née Anna-Naïra Pavlovna Mnoian le à Erevan en Arménie, est une musicienne pianiste auteur-compositrice-interprète et actrice arménienne. Biographie Nara Noïan est auteur, compositrice, chanteuse, coach vocal et pianiste française, d'origine arménienne.Ambassadrice de la Fondation 112 . Née dans une famille d'artiste, sa maman une grande actrice, musicienne, comédienne,Janna Blbulyan et accompagnement au conservatoire Komitas d'Erevan (en Arménie), - "Garod" de Frounze Dovlatian, au festival du cinéma de Kouïbychev (Russie), et qui fut projeté au Centre Pompidou dans le cycle « Le Cinéma arménien » de juin à (Paris). Installée en France en 1991. En 1994, elle fonde et dirige l'école de musique « Monde musical Anna Pavlovna » à Maisons-Alfort. Elle compose pour Maria Palatine, Christian Merveille et Claude Lelièvre. Elle crée la musique et interprète sur scène Passage, où Jacques Mercier se raconte, avec Laurence Waters. Depuis 2009, Nara est ambassadrice de la fondation 112. : elle crée la musique et interprète sur scène Mon Jardin Secret de Jacques Mercier. Arrivée à Bruxelles, Nara devient, de 1998 à 2000, directrice artistique et enseignante au « Monde de la Découverte », un centre artistique du centre de Bruxelles. Elle ne tarde cependant pas à revenir à ses premiers amours et retrouve la scène en accompagnant un certain nombre de tournées : Maria Palatine (chanteuse-compositrice-harpiste) (2000-2001), Bernard L'Hoir Ensemble (2000-2003). Compositrice, Nara collabore à de nombreux projets : deux CD de Christian Merveille 1, 2, 3 piano en 2000 et Si c'est comme ça en 2001, ainsi qu'un CD commandité par le Délégué général aux droits de l'enfance, Claude Lelièvre en 2002 : Félicien le magicien. En 2003, Nara Noïan fonde son propre groupe Bradyaga (signifie « Nomade » en russe) composé de musiciens de grand talent. Après plusieurs scènes et la naissance de son second fils Elliot en 2004, Nara produit son premier CD Promesses en (Home Records). Les rencontres se multiplient : elle compose l'intégralité de la musique originale, dont les poèmes mis en musique, du spectacle poétique « Passage », de Jacques Mercier créé en 2006 au Théâtre Le Public de Bruxelles. Ce spectacle avec Nara Noïan au piano et la chanteuse Laurence Waters du groupe Bradyaga, enchante toute la francophonie où le spectacle remporte un énorme succès. En , sur la tournée fort remarquée du spectacle Leyla et Majnun, Nara se produit avec la chanteuse d'Ouzbékistan Sevara Nazarkhan (Real World - Peter Gabriel), et la chanteuse de Tunisie Ghalia Benali sous la direction de Gerry De Mol (Oblomow). En 2007, la Fondation Boghossian fait appel à Nara Noïan pour l'inauguration de la Villa Empain à Ixelles, à la suite des grands travaux de rénovation. À l'occasion de cette prestigieuse soirée d'ouverture, Nara se produit avec ses musiciens et la Fondation offre à chaque invité un enregistrement original de ce qui deviendra Cristal, le CD produit par Créa-Son. Au début de l'année 2008, le livre Het draagbare paradijs de Gerry De Mol et le photographe Patrick De Spiegelaere (disparu tragiquement peu avant la sortie du livre) paraît en prélude à une tournée de concerts, qui rassemble plusieurs chanteuses et l'ensemble Oblomow. C'est en que l'album Cristal (AMG Records) fera son apparition dans les bacs, avec l'un de ses titres dédié par Nara au regretté photographe. Mais le cinéma ne quitte pas pour autant sa vie de musicienne puisque Cécile Rittweger, cinéaste belge, la contacte pour composer la musique de son moyen métrage Mascara. Reconnue pour sa générosité et pour les messages humanistes portés dans ses chansons, Nara est nommée ambassadrice de la Fondation 112 (numéro d'appel d'urgence européen). En , elle en compose l'hymne officiel sur des paroles de Jacques Mercier et se fait la voix d'une Europe maternelle s'adressant aux enfants. Quant à la mascotte du CD, elle n'est autre que « Le Chat », du dessinateur belge Philippe Geluck. Le succès de cette initiative européenne se déplace outre-Atlantique, et invitée deux mois après par le Congrès des États-Unis d'Amérique, Nara se rend à Washington pour y présenter la version anglaise 9-1-1 For You (texte de Maria Palatine). Très proche de la version française, la version américaine du CD est distribuée dans les écoles américaines. L'hymne a depuis été adapté dans la plupart des langues européennes. Poursuivant sa carrière en solo et toujours accompagnée par des musiciens de talent, Nara va nous offrir plusieurs albums, dont le dernier né (), , est sorti au printemps 2013. La plupart de ses albums sont encore disponibles dans les bacs. On y trouve notamment les albums Kino () et Oriental Express () sortis chez KaK Media. Outre qu'elle se produit régulièrement sur scène avec ses musiciens, elle continue, par amour de la musique, à collaborer à de nombreux projets. C'est ainsi qu'en , elle participe au nouveau spectacle de Jacques Mercier, J'ai toujours aimé les blondes, où elle l'accompagne au piano sur ses créations musicales. En , elle participe au Festival International d'Arménie Im Hayastan Paraton. En , Nara est nommée membre de l'Académie francophone du cinéma « Trophées Francophones du Cinéma ». Quant à l'enseignement, il ne l'a jamais quitté, puisque depuis , Nara est coach vocal au sein de KaK Media. En 2013, elle arrange de nombreuses chansons et musiques, comme "Si je chante", hommage à Édith Piaf, écrite pas Jean-Michel Bartnicki sur une musique et mélodie de Stéphane Clos. Sans oublier des multiples collaborations avec sa maman,Janna Blbulyan, Golaine ex: "Oh, Tango Mystère", "Mon Arménie", " Nouvel An", "C'est trop Tard" etc. En 2017 elle devient Marraine de l'Association 1 pour tous, tous pour l'autisme https://www.facebook.com/1PourTousTousPourLAutisme/ Discographie - Sortie du quatrième album Oriental Express Cet album est dédié Au Printemps Arabe - Sortie de l'album 5 Sortie chez Kak Media 2014 Lo So enregistré au Synsound studio avec Dan Lacksman Single duo avec Manuel Machetti - Sortie chez Kak Media 2014 Shadows & Lights enregistré au Synsound studio avec Dan Lacksman Sortie chez Kak Media 2015 - single Mon Arménie Sortie chez Kak Media 2015 - L’Album Les regrets inutiles avec Jacques Mercier Sortie chez Kak Media 2020 - Just a Piano 2020 - Pray for Love - Duo avec Minyeshu (Ethiopia) 2021 - Papiers d'Arménie Projets en cours… « 12 Légendes » une comédie musicale en préparation Album Nara Noïan chante Janna Blbulyan http://janna-melodie.com/ Notes et références Liens externes Chanteuse arménienne du XXIe siècle Auteure-compositrice-interprète française Pianiste arménienne Actrice arménienne du XXIe siècle Nom de scène Naissance en janvier 1971 Naissance à Erevan
Chris Pitman
Chris Pitman, né le , un technicien de son et claviériste américain. Il joue pour le groupe de hard rock Guns N' Roses. Il a participé à l'album Chinese Democracy. Il travaille conjointement avec Dizzy Reed en live. Il quitte le groupe en 2016, il est remplacé par Melissa Reese. Il a aussi travaillé avec Dr. Dre en 1994. Notes et références Liens externes Claviériste de rock Claviériste américain Naissance en février 1976 Membre de Guns N' Roses Musicien de hard rock
Dihun (woreda)
Dihun est un des 47 woredas de la région Somali, en Éthiopie. Notes et références Voir aussi Articles connexes Fiq (zone) Liens externes Woreda dans la région Somali
Récompenses des Pacers de l'Indiana
Les Pacers de l'Indiana sont une franchise de basket-ball américaine évoluant dans la National Basketball Association. Cet article regroupe l'ensemble des récompenses des Pacers de l'Indiana durant les saisons ABA et NBA. Titres de l'équipe Champion ABA Les Nets ont gagné 3 titres de champion ABA : 1970, 1972, 1973. Champion de Conférence Ils ont remporté un titre de champion de la conférence Est en NBA : 2000. Champion de Division Ils ont remporté 2 titres de champion de la Division Est et un titre de la Division Ouest en ABA : 1969, 1970 et 1971. Ils ont remporté 6 titres de champions de la Division Centrale au sein de la NBA : 1995, 1999, 2000, 2004, 2013 et 2014. Un total de 9 titres de champion de division a été glané par la franchise des Pacers. Titres individuels en ABA MVP Mel Daniels (x2) – 1969, 1971 George McGinnis – 1975 MVP des Finales Roger Brown – 1970 Freddie Lewis – 1972 George McGinnis – 1973 Titres individuels en NBA Défenseur de l'année Ron Artest– 2004 Rookie de l'année Chuck Person – 1987 homme de l'année Detlef Schrempf (x2) – 1991, 1992 Meilleure progression de l'année Jalen Rose – 2000 Jermaine O'Neal – 2002 Danny Granger – 2009 Paul George – 2013 Victor Oladipo – 2018 Entraîneur de l'année Jack McKinney – 1981 Larry Bird – 1998 Exécutif de l'année Larry Bird – 2012 J. Walter Kennedy Citizenship Award Reggie Miller – 2004 Malcolm Brogdon – 2020 Hall of Fame Joueurs 9 hommes ayant joué aux Pacers principalement, ou de façon significative pendant leur carrière ont été introduits au Basketball Hall of Fame (également appelé Naismith Memorial Basketball Hall of Fame). Entraineurs, managers et contributeurs Maillots retirés Les maillots retirés de la franchise d'Indiana sont les suivants : 30 - George McGinnis 31 - Reggie Miller 34 - Mel Daniels 35 - Roger Brown 529 - Bob Leonard Récompenses du All-Star Week-End Sélections au All-Star Game Liste des joueurs sélectionnés pour le All-Star Game, en tant que joueur des Pacers de l'Indiana : En ABA Bob Netolicky (x4) – 1968, 1969, 1970, 1971 Roger Brown (x4) – 1968, 1970, 1971, 1972 Freddie Lewis (x3) – 1968, 1970, 1972 Mel Daniels (x6) – 1969, 1970, 1971, 1972, 1973, 1974 George McGinnis (x3) – 1973, 1974, 1975 Billy Knight – 1976 Don Buse – 1976 En NBA Billy Knight – 1977 Don Buse – 1977 Reggie Miller (x5) – 1990, 1995, 1996, 1998, 2000 Detlef Schrempf – 1993 Rik Smits – 1998 Dale Davis – 2000 Jermaine O'Neal (x6) – 2002, 2003, 2004, 2005, 2006, 2007 Brad Miller – 2003 Ron Artest – 2004 Danny Granger – 2009 Roy Hibbert (x2) – 2012, 2014 Paul George (x4) – 2013, 2014, 2016, 2017 Victor Oladipo (x2) – 2018, 2019 Domantas Sabonis (x2) – 2020, 2021 Tyrese Haliburton – 2023 MVP du All-Star Game En ABA Mel Daniels – 1971 Coachs au All-Star Game En ABA Bob Leonard – 1970 En NBA Larry Bird – 1998 Isiah Thomas – 2003 Rick Carlisle – 2004 Frank Vogel – 2014 Vainqueur du concours de dunks Fred Jones – 2004 Glenn Robinson III – 2017 Vainqueur du Skills Challenge Domantas Sabonis – 2021 Distinctions en fin d'année (ABA) All-ABA Team All-ABA First Team Mel Daniels (x3) – 1969, 1970, 1971 Roger Brown – 1971 George McGinnis (x2) – 1974, 1975 Billy Knight – 1976 All-ABA Second Team Roger Brown (x2) – 1968, 1970 Bob Netolicky – 1970 George McGinnis – 1973 Mel Daniels – 1973 Don Buse – 1976 ABA All-Defensive Team Don Buse (x2) – 1975, 1976 ABA All-Rookie Team Bob Netolicky – 1968 George McGinnis – 1972 Billy Knight – 1975 Distinctions en fin d'année (NBA) All-NBA Team All-NBA Second Team Jermaine O'Neal – 2004 All-NBA Third Team Reggie Miller (x3) – 1995, 1996, 1998 Jermaine O'Neal (x2) – 2002, 2003 Ron Artest – 2004 Paul George (x3) – 2013, 2014, 2016 Victor Oladipo – 2018 NBA All-Defensive Team NBA All-Defensive First Team Don Buse – 1977 Ron Artest – 2004 Paul George – 2014 Victor Oladipo – 2018 NBA All-Defensive Second Team Dudley Bradley – 1981 Micheal Williams – 1992 Derrick McKey (x2) – 1995, 1996 Ron Artest – 2003 Paul George (x2) – 2013, 2016 Roy Hibbert – 2014 NBA All-Rookie Team NBA All-Rookie First Team Clark Kellogg – 1983 Steve Stipanovich – 1984 Chuck Person – 1987 Rik Smits – 1989 Bennedict Mathurin – 2023 NBA All-Rookie Second Team Jamaal Tinsley – 2002 Danny Granger – 2006 Paul George – 2011 Myles Turner – 2016 Chris Duarte – 2022 Références Pacers de l'Indiana
Ede Vadászi
Ede Vadászi, également connu sous le nom de Ede Viboch, né le , à Budapest, en Hongrie et mort le , à Budapest, en Hongrie, est un ancien joueur hongrois de basket-ball. Biographie Palmarès du championnat d'Europe 1946 Notes et références Liens externes Joueur international hongrois de basket-ball Joueur de basket-ball aux Jeux olympiques d'été de 1948 Naissance en septembre 1923 Naissance à Budapest Décès en juin 1995 Décès à Budapest Décès à 71 ans
Ben Hatke
Ben Hatke (né en 1977) est un auteur de bande dessinée pour enfants et illustrateur américain. Biographie Publications Traductions en français Illustration Regina Doman, L'Ange des eaux (Angel in the Waters), Paris : Éditions de l'Emmanuel, 2008 . Bande dessinée Zita, la fille de l'espace (Zita the Space Girl), Paris : Rue de Sèvres : Zita, la fille de l'espace, 2013 . Zita, la fille de l'espace 2, 2014 . Zita, la fille de l'espace 3, 2014 . Julia et les Monstres perdus (Julia's House for Lost Creatures), Paris : Dargaud jeunesse, 2015 . Personne n'aime les gobelins (Nobody likes a goblin), Paris : Dargaud jeunesse, 2016 . Jack le téméraire (Mighty Jack), Paris : Rue de Sèvres : Dans les griffes du jardin maléfique, 2017 . Face au roi des gobelins, 2018 Récompense 2016 : Prix Eisner de la meilleure publication pour petits lecteurs avec Little Robot Références Annexes Bibliographie Liens externes Naissance en 1977 Auteur américain de bande dessinée Illustrateur américain Lauréat du prix Eisner de la meilleure publication pour petits lecteurs
Perdrix (film)
Perdrix est une comédie sentimentale française réalisée par Erwan Le Duc sortie en 2019. Synopsis Pierre Perdrix est un capitaine de gendarmerie de trente-sept ans installé dans une existence routinière confortable bien qu’atypique. Célibataire, il partage la maison familiale avec sa mère Thérèse, animatrice d’une émission de radio de type « courrier du cœur », son frère Julien, biologiste géodrilologue (spécialiste des vers de terre), et sa nièce Marion, fille de Julien, une adolescente de douze ans. Le père est mort accidentellement depuis plus de vingt ans mais son souvenir est toujours vivace et entretenu. De passage, Juliette Webb, une jeune femme fantasque et fougueuse, fait irruption dans la vie de l'officier de gendarmerie et va la bouleverser. Sa voiture et tous les carnets qu’elle écrit depuis son enfance ont été volés par une bande de nudistes révolutionnaires qui prônent le renoncement au superflu et sèment le trouble dans la région en dépouillant les gens. Juliette et Pierre partent à la recherche de la voiture, chacun selon ses méthodes, alors qu'a lieu sur le secteur une reconstitution historique des batailles locales de la Seconde Guerre mondiale. Fiche technique Titre original : Perdrix Réalisation : Erwan Le Duc Assistants réalisateurs : Lucas Louberesse et Manon Garnier Scénario : Erwan Le Duc Décors : Astrid Tonnellier Costumes : Julie Miel Directeur de la photographie : Alexis Kavyrchine Montage : Julie Dupré, assistée d'Anaïs Berthier Musique : Julie Roué Son : Mathieu Descamps Producteurs : Stéphanie Bermann et Alexis Dulguerian Sociétés de production : Domino Films, avec la participation de Canal+ et de Ciné+ SOFICA : Cinémage 13 Société de distribution : Pyramide Distribution \ Ventes internationales : Playtime Distribution Pays d'origine : Langue originale : français Format : couleur Genre : Comédie Durée : 99 minutes Tournage : du au dans les Vosges Dates de sortie : France : (Cannes) ; (sortie nationale) Distribution Swann Arlaud : le capitaine de gendarmerie Pierre Perdrix Maud Wyler : Juliette Webb, la voyageuse Fanny Ardant : Thérèse Perdrix, l’animatrice de radio Nicolas Maury : Julien Perdrix, le biologiste Patience Munchenbach : Marion Perdrix, la fille de Julien Alexandre Steiger : le lieutenant de gendarmerie Michel Smicer Adama Niane : le lieutenant de gendarmerie Arsène Njo Léa Xavier Boulanger : Éric Atmen Kelif : Serge Louise Szpindel : l'institutrice Olivier Lambert : le guitariste du bar Sébastien Poirot : Sébastien, un chanteur Tobias Nuytten-Vialle : Joël Yan Tassin : Pascal, le jeune gendarme Nicolas Chupi : Xavier Baptiste Kerroué : Cédric Aristide Chef : le type du bar des Vosges Cécile Fisera : la jeune femme nudiste Bruno Dreyfürst Tournage Perdrix a été tourné entièrement dans les Vosges, du au , principalement à Plombières-les-Bains, mais aussi à Golbey, au Haut-du-Roc, au Champ de roches de Barbey-Seroux au Sud de Corcieux et à La Bresse au lac des Corbeaux. Accueil Critiques Le site Allociné recense une moyenne des critiques presse de 3,8/5. Pour Télérama, . Pour Le Parisien, Perdrix est . Notes et références Voir aussi Bibliographie Vincent Thabourey, « Perdrix », Positif, 701-702, Paris, Institut Lumière/Actes Sud , juillet-, , Liens externes Dossier de presse sur unifrance.org. Film français sorti en 2019 Comédie romantique française Film tourné dans le département des Vosges
Château des Moines
Situé sur la commune de Cruas, dans le département de l'Ardèche, le château en ruines dit « château des Moines » est un édifice abbatial fortifié qui servit de refuge aux religieux pendant les périodes de trouble jusqu'au . Situation La ville de Cruas est située en plein cœur de l'Ardèche, au bord du Rhône. C'est en 804 qu'une abbaye fut fondée par des moines bénédictins. Le château a été construit quelques siècles plus tard sur une colline dominant le village médiéval maintenant abandonné, qui est en cours de restauration. Histoire Les moines décidèrent dès le de construire une chapelle annexe en raison des dégâts engendrés par les débordements du torrent le Crûle qui inondaient l'église de boue et de graviers. Au , un petit oratoire est construit. Les moines allèrent finalement s'établir en haut de la colline au : c'est à ce moment que les remparts sont édifiés pour protéger le village. Les murs de la chapelle furent surélevés au . De nouvelles extensions sont réalisées au cours des siècles qui suivent et les remparts sont déplacés. Aux catastrophes naturelles s'ajouta la guerre civile à la fin du qui incita les moines à se protéger. L'ensemble du domaine se compose du château, de sa chapelle inférieure, avec l'aile abritant la petite chapelle, la courtine du front nord, et la tour carrée : ils font l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le . C'est en 1741 que l'évêque de Viviers décida par ordonnance de supprimer le monastère. Le château Au Moyen Âge, le château abbatial constituait une puissante forteresse. Il a toujours été habité par des moines. La Chapelle Un petit oratoire rectangulaire a été construit à la fin du et servait de chapelle privée à l'abbé. La grande chapelle romane, édifiée à la même époque que l'abbatiale, a été transformée au en un donjon avec notamment la construction de tourelles d'angle, de bretèches et de mâchicoulis. Il a également un chemin de ronde, avec des archères et des créneaux. Cette construction a permis aux religieux de se défendre pendant les guerres de Religion, comme en 1574 et en 1585 contre les huguenots qui s'étaient emparés de toutes les places voisines. Plus tard, en 1628, ils réussirent à tenir le siège contre les attaques protestantes de Rohan. À la fin des guerres de religion, seulement six moines vivent sur le site médiéval. La Chapelle est éclairée par deux fenêtres aux extrémités Est et Ouest. L'extérieur, endommagé, est agrémenté de bandes lombardes. On voit encore la trace des contreforts. Le bâtiment des religieux Les religieux vivaient dans un bâtiment de deux étages situé au Sud de la chapelle. Architecture L'édifice a pour base une grande chapelle romane, qui sera, au , flanquée au Sud d'un petit oratoire rectangulaire voûté dont l'abside en demi-cercle sera englobé dans le corps de logis. Ce bâtiment perpendiculaire, édifié au Sud de la chapelle et comportant deux étages de salles voûtées, servait de logement aux religieux. La chapelle sera transformée au en un donjon : les murs sont surélevés et, supportent, désormais, trois tourelles d'angle pourvues de bretèches et liées par des arc-mâchicoulis en tiers-point. Un chemin de ronde avec meurtrières et créneaux est également ajouté à la construction. Programme de réhabilitation sur 25-30 ans La municipalité, propriétaire du site médiéval depuis plusieurs années, a entrepris un programme de rénovation et de réhabilitation du village prévu de durer de 25 à 30 années. Le projet comprend notamment des logements qui pourront être loués à l'année ou pendant l'été ainsi que des maisons pour les commerçants. Le programme fait également participer les écoles de la commune (confection de costumes, recherches historiques). Visites abbatiales L'Office de tourisme organise des visites toute l'année. Voir aussi Cruas Liste des châteaux de l'Ardèche Liste des monuments historiques de l'Ardèche Notes et références Moines Moines Monument historique en Ardèche Monument historique classé en 1912
Jadwinin (Mazovie)
Jadwinin (prononciation : ) est un village polonais de la gmina de Tłuszcz dans le powiat de Wołomin de la voïvodie de Mazovie dans le centre-est de la Pologne. Il est situé à environ 5 kilomètres au sud-ouest de Tłuszcz (siège de la gmina), 14 kilomètres au nord-est de Wołomin (siège du powiat), et 36 kilomètres au nord-est de Varsovie (capitale de la Pologne). Le village possède une population de 100 habitants en 2006. Histoire De 1975 à 1998, le village appartenait administrativement à la voïvodie d'Ostrołęka. Village dans la voïvodie de Mazovie Powiat de Wołomin Gmina du powiat de Wołomin
Papilio anactus
Papilio anactus est une espèce d'insectes lépidoptères (papillons) qui appartient à la famille des Papilionidae, à la sous-famille des Papilioninae et au genre Papilio. Dénomination Il a été nommé Papilio anactus par William Sharp Macleay en 1826. Noms vernaculaires Papilio anactus se nomme Dingy Swallowtail en anglais . Description Papilio anactus est un grand papillon qui, pour sa protection contre les prédateurs, imite un papillon toxique Cressida cressida. Il est noir orné de taches ovales blanches et aux ailes postérieures d'une ligne marginale de taches bleues doublée d'une ligne de taches rouges. Le revers présente la même ornementation. Œufs Les œufs sont grands, jaune clair, à peu près sphériques. Ils deviennent orange lorsque les chenilles sont prêtes à éclore. Les femelles ne pondent leurs œufs que sur les jeunes feuilles de la plante hôte. Ils sont fixés sur le bord de feuilles les plus grandes, soit au-dessus et en dessous. Les chenilles se développent dans l'œuf immédiatement après la ponte. Les œufs éclosent normalement sous environ 3-4 jours parfois moins en fonction de date de ponte. Les œufs sont victimes de petits prédateurs qui en mangent le contenu et sont souvent parasités par de petites guêpes. Parfois, les œufs non fécondés sont pondus. Chenille et chrysalide La chenille est marron et jaune, épineuse et sa tête est noire. Biologie Plantes hôtes Les plantes hôtes de sa chenille sont des Citrus dont Citrus paradisi, Citrus limon, Citrus sinensis, Microcitrus australasica, Microcitrus australis, Microcitrus garrawayae, Microcitrus inodora. Écologie et distribution Il réside en Australie, il est originaire de Nouvelle-Galles du Sud, du Victoria et du Queensland, mais la culture des agrumes a permis à l'espèce de se propager en Australie-Méridionale dans les années 1920. On ne le trouve pas sur Kangaroo Island et en Australie-Occidentale car il n'y a actuellement pas suffisamment d'agrumes. Sa présence en Nouvelle-Calédonie est due soit à une introduction soit à des vagabonds. Biotope Il réside dans les bois d'eucalyptus et dans les jardins, près des plantations d'agrumes, la plante hôte de sa chenille. Protection Pas de statut de protection particulier. Notes et références Annexes Articles connexes Lépidoptère Papilio Liste des rhopalocères de Nouvelle-Calédonie Liens externes James cook university Liens taxonomiques Lépidoptère (nom scientifique) Papilionidae Lépidoptère d'Océanie
Canton de Castets
Le canton de Castets est une ancienne division administrative française située dans le département des Landes et la région Aquitaine. Il a été supprimé par le nouveau découpage cantonal entré en vigueur en 2015. Géographie Ce canton était organisé autour de Castets dans l'arrondissement de Dax. Son altitude variait de 0 m (Lit-et-Mixe) à 89 m (Taller) pour une altitude moyenne de 32 m. Histoire Composition Le canton de Castets groupait dix communes et comptait habitants (population municipale) au janvier 2010. Administration Conseillers généraux de 1833 à 2015 Conseillers d'arrondissement (de 1833 à 1940) Démographie Voir aussi Landes Arrondissements des Landes Cantons des Landes Communes des Landes Liste des conseillers généraux des Landes Notes et références Liens externes Site officiel de la Communauté de communes du Canton de Castets Agenda officiel des animations touristiques du Canton de Castets Site officiel du Printemps des Landes au Canton de Castets Le canton de Castets sur le site de l'Insee plan du canton de Castets sur Mapquest Localisation du canton de Castets sur une carte de France Castets
Île du Loc'h
L'île du Loc'h est une île de l'archipel de Glénan au sud de Fouesnant dans le Finistère. C'est la plus grande île de l'archipel en superficie et elle est la propriété de la famille Bolloré. Elle compte une ancienne ferme et un étang d'eau saumâtre aux bords marécageux situé en son milieu. Le baron Fortuné Halna du Fretay tenta l'exploitation d'une pisciculture dans cet étang. Il modernisa également les techniques de brûlage du goémon en faisant construire un véritable four d'usine en 1874. La cheminée de cette ancienne installation de fabrication de soude sert maintenant d'amer. Une légende sur La Fée des îles (aussi appelée La Groac’h de l’Île du Lok) est rattachée à cette île : un certain Houlan Pogam, de Lannilis, ne pouvait se marier avec sa cousine Bella Postic, car il était trop pauvre. Il se rendit alors dans l'île du Loc'h où il avait entendu dire que vivait, dans un manoir, une fée dotée de pouvoirs merveilleux. La fée était en fait une sorcière qui le transforma en grenouille verte. Il fut sauvé par sa fiancée qui disposait de talismans. Tous deux délivrèrent alors les malheureux qui étaient retenus prisonniers dans les filets magiques de la sorcière, s'emparèrent de son trésor et revinrent à Lannilis où leurs noces furent enfin célébrées. Références Île de l'archipel des Glénan Loc'h
Fix-up
Un fix-up est un recueil de nouvelles d’un même auteur sur un même thème. Écrites indépendamment l’une de l’autre à des dates très diverses, elles sont réunies dans un même ouvrage et agencées ou arrangées selon un ordre, pour former une trame d'apparence cohérente. Exemples Les Quatre, de Agatha Christie, (1927) Chroniques martiennes, de Ray Bradbury, (1950) La Faune de l'espace, de A. E. Van Vogt, (1950) Fondation, de Isaac Asimov, (1951) Demain les chiens, de Clifford D. Simak, (1952) À rebrousse-temps, de Philip K. Dick, (1967) Vermilion Sands, de J. G. Ballard, (1971) Les Galaxiales, de Michel Demuth, tomes 1 (1976) et 2 (1979) Le Voyage de Haviland Tuf, de George R. R. Martin, (1986) Roma Æterna, de Robert Silverberg, (2003) À l'estomac, de Chuck Palahniuk, (2005) Olive Kitteridge, d'Elizabeth Strout, (2009) Références Liens externes Genre et forme littéraire
Premier ministre d'Azerbaïdjan
Le Premier ministre d'Azerbaïdjan est le chef du gouvernement azerbaïdjanais. Histoire Le poste de Premier ministre a été établi pour la première fois en 1918 avec la fondation de la République démocratique d'Azerbaïdjan. Il a été supprimé quand l'Azerbaïdjan a été annexée par l'Union des républiques socialistes soviétiques. Quand l'Azerbaïdjan a regagné son indépendance, le poste de Premier ministre a été réintroduit. Nomination Le président de la République doit recommander un Premier ministre à l'Assemblée nationale le mois suivant son élection. Après le consentement de cette dernière, dans la semaine suivant la proposition du président, il est nommé par le président de la République. Fonctions Compétences gouvernementales Il doit, d'après la Constitution azerbaïdjanaise, « veiller sur les activités quotidiennes du gouvernement [et] coordonner les travaux des ministres ». L'Azerbaïdjan étant régis par un régime présidentiel, le poste de président de la République est beaucoup plus puissant que le poste de Premier ministre. Succession du président Si le président de la République est empêché et que le premier vice-président ne peut exercer les compétences de président de la République à sa place, l'intérim est confié au Premier ministre. Avant la création de la fonction de vice-président en , le Premier ministre était le successeur direct du président en cas d'empêchement. Immunité Le Premier ministre bénéficie de l'immunité, sauf s'il est pris sur le fait dans l'accomplissement d'un crime. Destitution Il peut être destitué par une motion de censure de l'Assemblée nationale. Premiers ministres successifs Depuis l'indépendance du pays en 1991, il y a eu 14 Premiers ministres successifs. Sources Références Bibliographie Compléments Articles connexes Politique de l'Azerbaïdjan Président de la République d'Azerbaïdjan Liens externes
(39373) 2002 CX53
est un astéroïde de la ceinture principale de de diamètre découvert en 2002. Description a été découvert le à l'observatoire Magdalena Ridge, situé dans le comté de Socorro, au Nouveau-Mexique (États-Unis), par le projet Lincoln Near-Earth Asteroid Research (LINEAR). Caractéristiques orbitales L'orbite de cet astéroïde est caractérisée par un demi-grand axe de , un périhélie de , une excentricité de 0,18 et une inclinaison de 1,62° par rapport à l'écliptique. Du fait de ces caractéristiques, à savoir un demi-grand axe compris entre 2 et et un périhélie supérieur à , il est classé, selon la , comme objet de la ceinture principale. Caractéristiques physiques a une magnitude absolue (H) de 15,5 et un albédo estimé à 0,458, ce qui permet de calculer un diamètre de . Ces résultats ont été obtenus grâce aux observations du Wide-field Infrared Survey Explorer (WISE), un télescope spatial américain mis en orbite en 2009 et observant l'ensemble du ciel dans l'infrarouge, et publiés en 2011 dans un article présentant les premiers résultats concernant les astéroïdes de la ceinture principale. Voir aussi Articles connexes Liste des planètes mineures (39001-40000) Ceinture d'astéroïdes Liens externes Références Planète mineure découverte en 2002 Astéroïde de la ceinture principale Objet céleste découvert par LINEAR Objet céleste découvert à l'observatoire Magdalena Ridge
Jean-François Le Nail
Jean-François Le Nail, né le à Toulouse, est un archiviste et historien français. Biographie Élève de l'École nationale des chartes, il obtient le diplôme d'archiviste paléographe en 1970 avec une thèse sur le vocabulaire toponymique de Campan. Jean-François Le Nail a été directeur des Archives départementales de l’Ariège de 1970 à 1976, puis des Hautes-Pyrénées de 1976 à 2005. Il a été le directeur général de la revue Pyrénées de 2012 à 2015 et est l'auteur de publications et d'ouvrages sur l'histoire et la toponymie de sites hauts-pyrénéens. Liens externes Notes et références Naissance en décembre 1945 Archiviste français Personnalité liée aux Hautes-Pyrénées Archiviste paléographe Officier de l'ordre national du Mérite Officier des Palmes académiques Naissance à Toulouse Chevalier de la Légion d'honneur
Balte
Balte peut désigner : Balte, un village de Bosnie-Herzégovine situé dans la municipalité de Čelinac et dans la République serbe de Bosnie ; le balte ou langues baltes, une branche des langues indo-européennes ; les Baltes, un groupe ethno-linguistique européen qui parle les langues baltes ; les pays baltes, les trois pays à l'est de la mer Baltique : l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie.
Neely Township
Neely Township est un township du comté de Butler dans le Missouri, aux États-Unis. En 2000, sa population s'élève à habitants. Le township est fondé en 1871 et baptisé en référence à Obadiah Neely, un pionnier. Références Article connexe Missouri Source de la traduction Township au Missouri Comté de Butler (Missouri)
Gilbert Laurent
Gilbert Laurent est un homme politique français né le à Saint-André-d'Apchon (Loire) et décédé le à Antibes (Alpes-Maritimes). Biographie Médecin, chirurgien aux hospices de Roanne, il est conseiller municipal de Roanne, conseiller général et député de la Loire de 1906 à 1924, inscrit au groupe de l'Entente républicaine démocratique. Sources Voir aussi Article connexe Liste des députés de la Loire Liens externes Naissance en février 1857 Naissance dans la Loire Décès en août 1937 Décès à Antibes Conseiller général de la Loire Député de la Loire (Troisième République) Député de la neuvième législature de la Troisième République Député de la dixième législature de la Troisième République Député de la onzième législature de la Troisième République Député de la douzième législature de la Troisième République Décès à 80 ans
Bluebird Cargo
Bluebird Cargo (code AITA : BF ; code OACI : BBD) est une compagnie aérienne cargo régulière islandaise, fondée en 2000 et basée à l'aéroport international de Keflavík. Histoire Bluebird Cargo a été créée en 2000 et ses premiers vols ont eu lieu en . Destinations Partage de codes Flotte Références Site internet Site de la compagnie Compagnie aérienne ayant son siège en Islande
Ketsch
Ketsch est une commune de Bade-Wurtemberg (Allemagne), située dans l'arrondissement de Rhin-Neckar, dans l'aire urbaine Rhin-Neckar, dans le district de Karlsruhe. Jumelage Personnalités Ulrich Stielike, footballeur allemand Liens externes Commune en Bade-Wurtemberg
Ann Doran
Ann Doran est une actrice américaine, de son nom complet Ann Lee Doran, née à Amarillo (Texas, États-Unis) le et morte à Carmichael (Californie, États-Unis) le . Biographie Si l'on excepte un petit rôle non crédité en 1922 (à onze ans), dans le film muet Robin des Bois (avec Douglas Fairbanks), Ann Doran débute au cinéma en 1934, apparaissant dans près de deux-cent cinquante films américains, le dernier en 1986. Un de ses rôles les mieux connus est celui de la mère de James Dean, en 1955, dans La Fureur de vivre. À la télévision, entre 1950 et 1988, elle participe à de nombreuses séries et à quinze téléfilms. Filmographie partielle Au cinéma À la télévision Séries 1956 : Mon amie Flicka (My Friend Flicka) Saison unique, épisode 23 Mon vieux Danny (Old Danny) de John English 1957 : La Flèche brisée (Broken Arrow) Saison 1, épisode 21 Legacy of a Hero de William Beaudine 1958-1963 : Première série Perry Mason Saison 1, épisode 36 The Case of the Prodigal Parent (1958) Saison 6, épisode 10 The Case of the Lurid Letter (1962) Saison 7, épisode 3 The Drowsy Mosquito (1963) 1959 : Le Monde merveilleux de Disney (The Wonderful World of Disney ou Disneyland) Saison 5, épisode 15 Texas John Slaughter : Showdown at Sandoval 1960 : La Grande Caravane (Wagon Train) Saison 3, épisode 20 The Ricky and Laura Bell Story 1960 : Rawhide Saison 3, épisode 2 Incident of the Challenge de Charles Marquis Warren 1963-1970 : Le Virginien (The Virginian) Saison 1, épisode 29 Run Away Home (1963) de Richard L. Bare Saison 2, épisode 17 The Fortunes of J. Jimerson Jones (1964) de Don McDougall Saison 3, épisode 13 Portrait of a Widow (1964) de Don McDougall Saison 6, épisode 3 The Lady from Wichita (1967) de Don McDougall Saison 8, épisode 21 A King's Ransom (1970) de Joseph Pevney 1966 : Lassie Saison 12, épisode 32 The Strongest Instinct 1966-1968 : Bonanza Saison 8, épisode 10 Ballad of the Ponderosa (1966) de William F. Claxton Saison 10, épisode 4 The Real People of Muddy Creek (1968) 1970-1971 : Ma sorcière bien-aimée (Bewitched) Saison 7, épisode 11 Le Non-conformisme de Samantha (The Corsican Cousins, 1970) et épisode 20 Une étrange enseigne (This Little Piggie, 1971) 1970-1974 : L'Homme de fer (Ironside) Saison 3, épisode 3 Dora (1970) de John Florea Saison 4, épisode 13 This could blow your Mind (1970) de James Neilson Saison 5, épisode 1 The Priest Killer (1971) Saison 5, épisode 6 In the Line of Duty (1971) de Don McDougall Saison 6, épisode 1 Five Days in the Death of Sgt. Brown, Part I (1972) Saison 8, épisode 8 Run Scared (1974) de Don McDougall 1972 : Docteur Marcus Welby (Marcus Welby, M.D.) Saison 4, épisode 3 We'll walk out of here Together de Leo Penn 1972 : La Nouvelle Équipe (The Mod Squad) Saison 5, épisode 5 Taps, Play it Louder 1973-1975 : Les Rues de San Francisco (The Streets of San Francisco) Saison 2, épisode 11 Les Victimes (The Victims, 1973) de George McCowan Saison 4, épisode 5 L'École de la peur (School of Fear, 1975) de William Hale 1974 : Cannon Saison 3, épisode 19 Où est passée Jennifer ? (Where's Jennifer ?) 1974 : Mannix Saison 8, épisode 6 Death has No Face 1975 : M*A*S*H Saison 4, épisode 8 The Kids d'Alan Alda 1975 : La Petite Maison dans la prairie (Little House on the Prairie) Saison 1, épisode 24 La Fête au village (Founder's Day) de William F. Claxton : Helen Tyler 1978 : L'Île fantastique (Fantasy Island) Saison 1, épisode 13 Reunion / Anniversary de John Newland 1979 : Huit, ça suffit ! (Eight is Enough) Saison 3, épisode 26 Les Lauréats (The Graduates) 1983 : Magnum (Magnum, P.I.) Saison 3, épisode 20 Le Temple Khmer (Two Birds of a Feather) de Virgil W. Vogel 1983 : Bizarre, bizarre (Tales of the Unexpected) Saison 6, épisode 5 Heir Presumptuous 1983 : Côte Ouest (Knots Landing), feuilleton Saison 5, épisode 14 Les Secrets révélés (Secrets Cry Aloud) 1985 : Les Routes du paradis (Highway to Heaven) Saison 2, épisodes 10 et 11 Le Monstre, et (The Monster, Parts I & II) 1986 : Simon et Simon (Simon & Simon), Saison 6, épisode 9 The Case of Don Diablo 1987 : Les deux font la paire (Scarecrow and Mrs. King) Saison 4, épisode 16 Piège à espion (Do you take this Spy ?) 1987 : La Cinquième Dimension (The Twilight Zone) Saison 2, épisode 14 : Le Futur antérieur (The Junction) de Bill Duke 1988 : Cagney et Lacey (Cagney & Lacey) Saison 7, épisode 10 Old Flames de Reza Badiyi 1988 : Rick Hunter (Hunter) Saison 5, épisode 3 Droit au but, (Dead on Target, Part I) de Corey Allen Téléfilms 1950 : Hurricane at Pilgrim Hill de Richard L. Bare 1954 : For the Defense de James Neilson 1972 : The Scarecrow de Boris Sagal 1976 : Déluge sur la ville (Flood !) d'Earl Bellamy 1977 : Dead of Night de Dan Curtis 1977 : Peter Lundy and the Medicine Hat Stallion de Michael O'Herlihy 1981 : All the Way Home de Delbert Mann Liens externes Actrice américaine Naissance en juillet 1911 Naissance à Amarillo Décès en septembre 2000 Décès dans le comté de Sacramento Décès à 89 ans Personnalité américaine incinérée
Cerito Films
Cerito Films est une société française de production cinématographique créée en 1971 par l'acteur Jean-Paul Belmondo. Les activités de la société sont dans la production déléguée, production associée, coproduction, distribution. Jean-Paul Belmondo s'est vite associé avec son attaché de presse, René Chateau, pour distribuer ses propres films. Le nom de sa société est un hommage à sa grand-mère Rosine Cerrito. Le duo s'est bâti une solide réputation du marketing au service du cinéma avec des campagnes publicitaires hors du commun pour le cinéma de l'époque. Jean-Paul Belmondo se fait rare sur les plateaux de télé pour ne pas lasser son public, et il devient surtout omniprésent dans des bandes annonces efficaces qui portent la griffe de Cerito-René Chateau Distribution. Il devient une star portée par l’affiche, élevée au rang d'art promotionnel. L'affiche doit susciter la curiosité massive et l'envie des premiers amateurs de VHS sur les jaquettes vidéo. En 1990, Cerito est racheté par Canal+. La société (SIREN 722002912) a été radiée le . Filmographie sélective Références Liens externes Société de production et de distribution audiovisuelle fondée en 1971 Société de production de cinéma ayant son siège en France Entreprise française disparue
Samaire Armstrong
Samaire Rhys Armstrong (née le ) est une actrice américano-japonaise plus connue pour ses rôles d'Emily dans Entourage, Juliet Darling dans Dirty Sexy Money ou encore Anna Stern dans Newport Beach. Biographie Enfance Samaire Armstrong est née à Tokyo, au Japon d'un père écossais, Hunter Armstrong, et d'une mère italienne, Sylvia Sepielli. Sa mère travaillait dans des spas, et son père entraînait les soldats au combat rapproché. Son prénom, qui se prononce ou Sa-mee-rah, est d'origine gaélique. Lors des trois premiers mois de sa vie, ses parents le prononçaient Sam-air, avant de rencontrer un Gaélique qui leur apprit à le prononcer correctement. Elle vécut quelques années au Japon, avant de déménager à Hawaii puis plus tard à Sedona en Arizona où elle grandit. À 5 ans, elle commença à s'entraîner aux arts martiaux comme le maniement de l'épée ou le judo. Elle continue d'ailleurs à pratiquer cette discipline une fois par semaine. Elle fit ses études à l'Université d'Arizona mais la quitta volontairement, car elle n'était pas autorisée à participer à des productions théâtrales. Après son départ elle déménagea pour Los Angeles. Carrière Son premier rôle à l'écran fut celui d'une des jumelles Fratelli dans le film parodique Sex Academy (Not Another Teen Movie). Samaire eut aussi un rôle récurrent dans Freaks and Geeks, ainsi qu'une apparition dans Amy, La Vie à cinq, Les Experts : Miami, Numb3rs ou encore The X-Files. Elle décrocha aussi un rôle dans la série Newport Beach (The O.C.) durant un épisode, et fut rappelée aussitôt grâce aux requêtes des fans qui lui permirent de jouer dans plusieurs épisodes de la première saison. Elle eut un autre rôle récurrent dans la série télévisée HBO Entourage. Son projet le plus récent inclut les films Stay Alive, Lucky Girl et Rise. On l'a aussi revue dans le de la saison 3 de Newport Beach (The O.C.). En 2007, elle tient le rôle de Juliet Darling dans la première saison de Dirty Sexy Money. Quand elle ne joue pas, Samaire dessine des habits pour sa propre marque de vêtements NARU. Elle est aussi apparue dans quelques clips vidéos comme Penny and Me de Hanson et Bad Day de Daniel Powter, ainsi que dans le série télévisée Mentalist où elle incarna le personnage de Summer Edgecombe. En , elle a joué la mère du garçon blond qui a perpétré la fusillade de l'école dans l'épisode "Straw" (6x01) Sons of Anarchy. Filmographie Cinéma 2001 : Sex Academy (Not Another Teen Movie) : Kara Fratelli 2006 : Stay Alive de William Brent Bell : Abigail 2006 : Lucky Girl : Maggie 2006 : Toi, c'est moi : Nell Bedworth 2007 : Rise : Jenny 2007 : Around June : June 2012 : Concrete Blondes : Tara Petrie 2013 : 5 Souls : Miranda 2013 : My Santa de Sam Irvin : Jen Robbins 2013 : A Winter Rose de Riz Story : Simone 2014 : Windsor Drive de Natalie Bible' : Brooke 2020 : Le 2e amendement de Brian Skiba : Olivia Peters Télévision Séries télévisées 2000 : La Vie à cinq (Party of Five) : Meredith 2000 : Freaks and Geeks : Laurie 2000 : Lydia DeLucca (That's Life) : Brittany 2001 : X-Files : Natalie (Saison 9 épisode 5 Le Seigneur des mouches) 2003-2006 : Newport Beach (The O.C.) : Anna Stern 2004-2005 : Entourage : Emily 2005 : Numb3rs : Skyler Wyatt (saison 2 épisode 3) 2006 : Les Experts : Miami : Brynn Roberts (saison 05 épisode 7) 2007-2009 : Dirty Sexy Money : Juliet Darling 2010 : How to Make It in America : Jane 2011 : Better with You : Jessica 2011-2012 : Mentalist : Summer Edgecombe (8 épisodes) 2013 : Sons of Anarchy : Darvany Jennings 2013 : Resurrection : Elaine Richards 2015 : Stalker : Lucy (saison 1 épisode 16) 2016 : Marvel's Agent Carter </small>(Saison 2 épisode 4 )</small> 2017 : Arrow : Laura Ramirez </small>(Saison 5 épisode 13 )</small> 2017 : Grey's Anatomy : Claire Nolan (saison 13 épisode 14) 2017 : NCIS : Enquêtes spéciales : Melissa Goodman (saison 15 épisode 5) Téléfilms 2012 : Adoption à risques (Adopting Terror) : Cheryl Broadbent 2013 : Le père Noël prend sa retraite (My Santa) : Jen Robbins 2014 : Heavenly Match : Casey Hart 2019 : Des Vacances en enfer (Deadly Excursion) : Samantha McCarthy 2019 : Ma fille, enlevée à 12 ans : Janet Sullivan 2019 : Tout n'est qu'illusion (The House on the Hill) de Nadeem Soumah : Megan Clips vidéos 2004 : Penny & Me - Hanson 2005 : Bad Day - Daniel Powter Liens externes Naissance en octobre 1980 Actrice américaine de télévision Naissance à Tokyo Personnalité américaine née d'un parent écossais Personnalité américaine née d'un parent italien Opposant à la vaccination
Cathédrale de Tous-les-Saints
Plusieurs cathédrales ont été nommées cathédrale de Tous-les-Saints en référence à la fête de Tous les Saints : en Argentine : la cathédrale de Tous-les-Saints de Santa Fe ; au Canada : la d’Edmonton, la cathédrale de Tous-les-Saints de Halifax ; en Chine : la de Hong Kong ; en Égypte : la du Caire ; aux États-Unis : la d’Albany, la cathédrale de Tous-les-Saints de Charlotte-Amélie aux Îles Vierges, l’ de Chicago, la de Milwaukee ; au Royaume-Uni : la cathédrale de Tous-les-Saints de Derby, la cathédrale de Tous-les-Saints de Camden Town à Londres, la cathédrale de Tous-les-Saints de Wakefield ; en Russie : la cathédrale de Tous-les-Saints de Toula. Voir aussi Liste des cathédrales TousLesSaints ~
1983 en animation asiatique
Voir aussi: 1983 au cinéma - 1983 à la télévision Histoire des anime 1982 en animation asiatique - 1983 en animation asiatique - 1984 en animation asiatique Événements Festivals et conventions Récompenses Principales diffusions au Japon Films 11 février : Lamu : Only You 12 mars : 12 mars : Doraemon: Nobita no kaitei kiganjō 12 mars : Harmagedon 12 mars : 12 mars : 13 mars : Dr. Slump & Arale-chan Hoyoyo! Sekai Issuu Dai Race 13 mars : 7 mai : Golgo 13: The Professional 29 avril : 29 avril : 9 juillet : 9 juillet : 10 juillet : Pataliro! Stardust keikaku 16 juillet : Unico: Mahō no shima e 21 juillet : Hadashi no Gen 16 septembre : 18 décembre : OVA 10 octobre : 21 décembre : Dallos (4 épisodes) 24 décembre : Séries télévisées 9 janvier : Dans les Alpes avec Annette (48 épisodes) 9 janvier : Super Durand (50 épisodes) 10 janvier : (26 épisodes) 21 janvier : (53 épisodes) 5 février : Aura Battler Dunbine (45 épisodes) 1 mars : Embrasse-moi Lucile (42 épisodes) 30 mars : (45 épisodes) 31 mars : Tommy et Magalie (37 épisodes) 1 avril : (52 épisodes) 2 avril : (20 épisodes) 2 avril : Supernana (39 épisodes) 3 avril : Kinnikuman (137 épisodes) 3 avril : (52 épisodes) 3 avril : Ordy ou les Grandes Découvertes (127 épisodes) 4 avril : Madame Pepperpote (130 épisodes) 4 avril : (saison 2) (526 épisodes) 4 avril : SuperLivre II (26 épisodes) 5 avril : (43 épisodes) 7 avril : Eagle Sam (51 épisodes) 9 avril : Lady Georgie (45 épisodes) 11 avril : Signé Cat's Eyes (73 épisodes) 20 mai : Stop! Hibari-kun (35 épisodes) 26 mai : (19 épisodes) 5 juin : (37 épisodes) 1 juillet : Biniky le dragon rose (26 épisodes) 1 juillet : Creamy, merveilleuse Creamy (52 épisodes) 3 juillet : Super Dimension Century Orguss (35 épisodes) 6 juillet : (26 épisodes) 2 octobre : Mospeada (25 épisodes) 7 octobre : Pandi Panda (52 épisodes) 7 octobre : (36 épisodes) 10 octobre : (52 épisodes) 13 octobre : Olive et Tom (128 épisodes) 20 octobre : (24 épisodes) 21 octobre : (46 épisodes) 8 novembre : (52 épisodes) Principales naissances Principaux décès Liens externes Liste d'œuvres d'animation asiatique de 1983 sur Anime News Network Animation asiatique Chronologie de l'animation asiatique
Une saga moscovite (série télévisée)
Une saga moscovite (en ) est une mini-série télévisée russe en 22 épisodes, réalisée par Dmitri Barchtchevski et diffusée entre le et le sur la principale chaîne de télévision russe Pervy Kanal. Le tournage est subventionné par le gouvernement de la fédération de Russie. Tirée du roman éponyme de Vassili Axionov, cette saga évoque la vie de famille du professeur de médecine Boris Gradov depuis les années 1920 jusqu'au milieu des années 1950. Le destin des principaux protagonistes est étroitement lié à l'Histoire de l'URSS sous Staline dont ils côtoient de près ou de loin les personnalités importantes comme Mikhaïl Frounze, Vassili Djougachvili, Lavrenti Beria et d'autres. Synopsis Distribution Youri Solomine : Boris Gradov, professeur de médecine Inna Tchourikova : Mary Gradova (née Goudiachvili), femme de Boris Gradov Alexandre Balouïev : Nikita Gradov, fils aîné de Boris et Mary Gradov : Veronika Gradova, femme de Nikita Gradov Olga Boudina : Nina Gradova, fille de Boris et Mary Gradov : Vadim Vouoïnovitch Kristina Orbakaitė : Vera Gorda, chanteuse (prototype ) Dmitri Kharatian : Chevtchouk, surveillant au Goulag : Tsilia Rosenblum Victoria Tolstoganova : Tassia Pyjykova Andreï Smirnov : Léonide Poulkovo Sergueï Bezroukov : Vassili Djougachvili : Agacha, la bonne des Gradov : Nougzar Lamadzé : Petoukhov : Boris Gradov IV, fils de Nikita et Véronika Gradov : Sémione Stroïlo Irina Kouptchenko : la mère de Maïka : Elizaveta Mikhaïlovna : Savva Kitaïgorodski, collègue de Boris Gradov, second mari de Nina : Mikhaïl Frounze : Gueorgui Joukov : Viatcheslav Molotov : Alexandre Cheremetiev : Sandro Pevsner : Yolka, fille de Savva et Nina Kitaïgorodski : Saitis : Elena, amie de Véronika au Goulag : maîtresse de Léonide Poulkovo Mikhaïl Efremov : chef de propagande à l'Institut de médecine : Dod Tychler Regimantas Adomaitis : le journaliste Reston Tatiana Samoïlova : le professeur de mathématiques : Lvov : général à la Direction générale des renseignements : enquêteur du NKVD : tueur : Galaktion Goudiachvili, frère de Mary Fiche technique Producteur : Réalisateur : Dmitri Barchtchevski Scénariste : Natalia Vyolina Photographie : Krassimir Kostov Direction artistique : Musique : Paroles de la chanson Ah, eti tuchi v golubom: Studios : R.I.S.K., Film-Union, Mosfilm Références Bibliographie Владимир Бушин, Иуды и простаки, Гваделупская нация, 2009. p.187-270 Liens externes Série télévisée créée en 2004 Série télévisée russe des années 2000 Série télévisée en russe Série télévisée dramatique Série télévisée sur la famille Série télévisée se déroulant en Russie Série télévisée se déroulant à Moscou Adaptation d'un roman russe à la télévision
Sténo-dactylo
Sténo-dactylo désigne le métier qui consiste à pratiquer, généralement pour le compte d'un supérieur hiérarchique, la sténographie et la dactylographie ; les deux techniques se complètent, la prise de notes ou la transcription d'un discours se faisant en sténographie, permettant ensuite la mise au propre par la dactylographie. Ce métier, qui a pratiquement disparu, a longtemps été dévolu plus spécifiquement aux femmes, souvent associé à celui de secrétaire (une « secrétaire sténo-dactylo »). Liens externes « Le métier oublié de la sténo-dactylo » Métier de la communication Métier des services Ancien métier
Après-ski
Les après-ski sont des bottes isolant du froid, que l'on porte quand on ne fait pas de ski. Dans l'imaginaire collectif le terme après-ski fait référence principalement à ces bottes puis aux activités de socialisation après ou périphérique au ski. Le terme français « après-ski » désigne aussi, dans plusieurs langues (allemand, anglais...), les sorties et plus généralement la socialisation après une journée de ski. C'est un concept similaire au dix-neuvième trou au golf ou à la troisième mi-temps au rugby et comparable à l’« after » dans les activités festives. Le principe est surtout populaire dans les Alpes, où les skieurs font souvent une pause au bar après leur dernière descente. Aux États-Unis, le terme est utilisé plus largement pour décrire l'atmosphère des stations de ski et de la culture de ski, l'architecture et la décoration à thème et le style de vie orienté vers le ski en général. Le terme « après-ski » est aussi de plus en plus appliqué dans un sens péjoratif, pour désigner ceux dont l'intérêt dans les sports d'hiver se limite principalement à l'image, tels que les marques de prestige d'équipement coûteux et saisonniers de la mode des vêtements de ski. Notes et références Liens externes Morton Lund: Tea Dance To Disco. Apres-Ski Through the Ages. In Skiing Heritage Journal, Volume 19 #1, March 2007, ISSN 1082-2895 Matériel de sports d'hiver Type de chaussures
Castelletto d'Orba
Castelletto d'Orba est une commune italienne de la province d'Alexandrie dans la région Piémont en Italie. Administration Hameaux Cazzuli, Crebini, Passaronda Communes limitrophes Capriata d'Orba, Lerma, Montaldeo, San Cristoforo, Silvano d'Orba Notes et références Commune dans la province d'Alexandrie
Voyage to India
Voyage to India est le second album studio de la chanteuse de neo soul/RnB américaine India.Arie, sorti en 2002. Cet album atteint la du classement Billboard 200 et atteint la première place du Top R&B/Hip-Hop Albums, devenant par là même Disque de platine, certification attribuée par la RIAA. Lors des des Grammy Awards, elle remporta le trophée de la « Meilleure performance alternative ». La chanson Get It Together fut utilisée dans de nombreuses bandes originales de films dont Shark Tale en 2004. Liste des titres Growth – 1:00 Little Things – 3:29 Talk to Her – 5:10 (parmi les auteurs : Algebra) Slow Down – 3:52 The Truth – 3:29 Beautiful Surprise – 2:28 Healing – 0:55 Get It Together – 4:54 Headed in the Right Direction – 3:29 Can I Walk with You – 3:50 The One – 3:21 Complicated Melody – 3:13 Gratitude – 1:05 Good Man – 3:32 God Is Real – 4:36 Interested – 4:05 Édition britannique Brown Skin (Live) Singles Classements Album de neo soul Album musical sorti en 2002
Abbaye d'Aura
L’abbaye d'Aura est une ancienne abbaye bénédictine à Aura an der Saale, dans le Land de Bavière et le diocèse de Wurtzbourg. Histoire L'abbaye Saints-Laurent-et-George est fondée en 1108 à la demande de l'évêque Othon de Bamberg afin de renforcer le pouvoir de Bamberg sur la Saale franconienne. Un confident de l'évêque, Ekkehard, est le premier abbé. Les premiers moines viennent de l'abbaye de Hirsau, un monastère réformé de la Forêt-Noire, qui attache une grande importance à la liturgie solennelle et qui représente l'indépendance du monastère vis-à-vis des maîtres laïques et spirituels. Le patronage de l'abbaye d'Aura est transféré aux comtes d'Henneberg en 1167. L'évêque Othon de Bamberg obtient une protection papale et des certificats de confirmation pour l'abbaye. Au , Aura quitte l'évêché de Bamberg et appartient depuis à l'évêché de Wurtzbourg. En 1469, l'abbaye rejoint la congrégation de Bursfelde. Vers 1500, l'abbaye d'Aura a les bailliages d'Aura, Wittershausen et Garitz, des intérêts à Euerdorf, Kleinbrach, Sulzthal et Wirmsthal ainsi que des cours féodales à Hausen, Ramsthal, Zahlbach et Waldfenster. Le déclin de l'abbaye bénédictine d'Aura se produit avec la guerre des Paysans allemands en 1525 et la Réforme protestante. En 1552, l'abbaye et les villages alentour subissent de graves dommages de la seconde guerre des Margraves. En 1564, l'évêque Friedrich von Wirsberg retire à l'abbaye le statut d'institution spirituelle au profit de la chambre haute de la principauté épiscopale de Wurtzbourg. La ruine d'Aura - à distinguer de l'abbaye d'Aura - est les vestiges d'une tentative d'en fonder une nouvelle au . Le bâtiment est resté inachevé en 1622. Après la mort du fondateur, le prince-évêque Johann Gottfried von Aschhausen en 1622 et en raison de la guerre de Trente Ans, les travaux sont arrêtés et jamais repris. Il s'agit d'un complexe baroque ancien et de la première église à piliers muraux de Franconie. Deux clochers étaient prévus à l'ouest, une seule nef, un transept étroit et une abside semi-circulaire à l'est. Aujourd'hui, le bâtiment est en ruine. Il servait comme carrière par la population des villages environnants. Cloître Le cloître, dont la chaussée n'est que partiellement présente devant l'aile est, était auparavant fermé par trois ailes. En 1874, il est remonté. L'aile nord est démolie, les ailes est et ouest sont complètement changées. Dans l'aile est se trouvent la salle capitulaire et la salle des apôtres, qui sont aujourd'hui utilisées comme des salles d'expositions. Il y a un portail Renaissance du côté nord-ouest de l'aile ouest. La guérite sud date probablement du . L'arche nord s'est effondrée en 1956. Église Saint-Laurent L'église abbatiale catholique romaine Saint-Laurent sur une colline au-dessus de la Saale franconienne est l'une des deux églises d'Aura. En 1668, Aura est élevé au rang de paroisse et reçoit une partie des revenus de l'ancienne abbaye. Le prêtre vit d'abord à Euerdorf. En 1695, le presbytère est prêt à emménager et le siège de la paroisse va à Aura. L'église abbatiale devient l'église paroissiale. Avec l'intégration du village dans la communauté paroissiale de Saalethal le , l'indépendance d'Aura prend fin. L'église est consacrée en 1113 après cinq ans de construction. Son clocher actuel est construit vers 1600. En 1669, l'église est considérée comme délabrée. Les modifications et démolitions ont lieu de 1687 à 1697. D'autres changements structurels ont lieu de 1742 à 1745. De 1975 à 1981, l'église a été rénovée à l'intérieur et en 2007 à l'extérieur. Avant l'installation des nouvelles cloches en 2013, le clocher de l'église est réparé. L'église est à l'origine une basilique romane avec une nef centrale et deux bas-côtés. Il y a deux clochers avec un toit à l'est. Les trois absides entre eux forment le chœur des moines. À l'ouest, un bâtiment transversal d'environ sur 5 a une entrée voûtée. Un escalier de de haut menait à l'arc de triomphe de de large de la nef centrale. Sans le transept, l'église mesurait de long et de large. L'allée centrale mesurait de large et de haut, les allées latérales (allée nord) ou de large (allée sud) et de haut. Les supports de la nef centrale correspondent à l'origine au changement de supports en Saxe, deux colonnes sur un pilier. Les exigences de l'école de Hirsau, que l'abbé Ekkehard impose, ne sont donc pas pleinement respectées. Les trois nefs sont conservées à ce jour. En revanche, le chœur des moines avec les deux tours et la structure transversale ont disparu. En conséquence, la longueur est réduite à environ . Les fenêtres cintrées sont remplacées par des fenêtres ovales et des fenêtres à linteau droit. En conséquence, l'église a maintenant une apparence baroque. Le stuc des plafonds plats y contribue également. Aujourd'hui, le clocher de trois étages sur le côté nord est post-gothique. Sa hauteur jusqu'au toit de la hotte avec le pommeau est d'environ . Il a des fenêtres en arc brisé et des fenêtres ovales à l'étage inférieur. Les autels sont des œuvres du . Le maître-autel avec la peinture de l'Assomption de Marie et les figures des saints Aquilin, Burchard, Kilian et Laurent sont de 1730. Les petits autels latéraux sont un peu plus anciens et datent de 1720. La chaire est réalisée au puis remaniée dans le style rococo. Il y a aussi une figure gothique tardive de saint Urbain sur l'un des piliers. L'orgue est plus récent dans l'habitation baroque. Depuis 2013, l'église a quatre nouvelles cloches en bronze de la fonderie Perner à Passau. Ces cloches remplacent quatre cloches en acier, coulées en 1923 et agrandies en 1949 avec des achats supplémentaires. L'achat était devenu nécessaire car la cloche Marie fondue en 1538 fut endommagée en 1942. Notes et références Abbaye bénédictine en Allemagne Abbaye fondée au XIIe siècle Abbaye en Bavière Abbaye désaffectée
أمطيل (بني حلو)
أمطيل هو دُوَّار يقع بجماعة بني سلمان، إقليم شفشاون، جهة طنجة تطوان الحسيمة في المملكة المغربية. ينتمي الدوّار لمشيخة بني حلو التي تضم 11 دوار. يقدر عدد سكانه بـ 843 نسمة حسب الإحصاء الرسمي للسكان والسكنى لسنة 2004. مراجع روابط خارجية البوابة الوطنية للجماعات الترابية المندوبية السامية للتخطيط أماكن مأهولة في بني حلو (بني سلمان)
Josep Toutain
Josep Toutain Vila (1930-1997) est un acteur majeur de la bande dessinée espagnole. Biographie Il est connu pour avoir fondé en 1954 l'agence d'illustration et de bande dessinée Selecciones Ilustradas, ce qui l'a conduit à diffuser à l'international de nombreux auteurs espagnols de l'époque, notamment au Royaume-Uni pour Fleetway Publications et aux États-Unis chez Warren Publishing alors que le marché américain était peu ouvert aux auteurs étrangers. Carlos Giménez a retranscrit dans sa série Les Professionnels l'ambiance dans l'agence de Toutain, qui y inspire le personnage Filstrup. En 1973 il lance sa maison d'édition (Toutain Editor) pour publier des albums et des revues destinées à un public adolescent ou adulte ; celle-ci fait cependant faillite en 1992. Dessinateur au début de sa carrière, Toutain n'a après 1954 créé que très sporadiquement des scénarios. Il a également écrit une histoire de la bande dessinée en quatre volumes. Le festival de bande dessinée de Barcelone remet en son honneur depuis sa création en 1988 un prix « Josep Toutain » du meilleur nouvel auteur. Notes et références Annexes Bibliographie . Liens externes Naissance en 1932 Naissance à Barcelone Décès en septembre 1997 Décès à Barcelone Auteur espagnol de bande dessinée Éditeur de bande dessinée
Bulbophyllum forrestii
Bulbophyllum forrestii est une espèce d'orchidée épiphyte du genre Bulbophyllum appartenant à la famille des Orchidaceae nommée en l'honneur du botaniste George Forrest (1873-1932) par Gunnar Seidenfaden en 1974. Elle fleurit en mai-juin. Taxonomie Synonymes Cirrhopetalum aemulum W.W.Sm. Bulbophyllum aemulum Schltr. (1905) Rhytionanthos aemulus (W.W.Sm.) Garay, Hamer & Siegerist Description Habitat et distribution Bulbophyllum forrestii pousse sur les troncs des forêts humides du sud et de l'ouest du Yunnan, ainsi que dans certaines forêts de Thaïlande et de Birmanie. Notes et références Liens externes Bulbophyllum forrestii (Flora of China) forrestii Espèce d'Orchidaceae (nom scientifique) Orchidée de Chine Flore en Birmanie Flore en Thaïlande
Gontães
Gontães est un village dans la commune de São Miguel da Pena (actuellement connue sous le nom d’union des communes de Pena, Quintã et Vila Cova) . Situé à environ d'altitude, le village offre une vue panoramique sur le paysage environnant. Histoire Le nom Gontães est d'origine germanique et la fondation du village remonte à la fin du , pendant les invasions barbares. Malgré son origine germanique, il existe des preuves de l'occupation romaine. Les Romains ont profité du fer abondant dans la région, en raison de son excellente qualité. Population La population de Gontães est de 180 personnes, dont la plupart sont des personnes âgées. Une grande partie de la population du village a émigré entre les années 1960 et 1990, et depuis, il y a eu un déclin de la population - aujourd'hui le nombre d'habitants de moins de 30 ans est extrêmement faible. Cependant, ces émigrants reviennent habituellement visiter le village, soit à Pâques, soit à Noël ou pendant les mois d'été. Géographie Gontães est situé dans le district de Vila Real, dans la région de Trás-os-Montes à d'altitude. Comme c'est typique dans cette région, Gontães se trouve sur un relief montagneux recoupé par des vallées fertiles. Patrimoine culturel Église Matrice Cette église a été déplacée et reconstruite au . L'église d'origine a été construite dans un style roman, comme en témoigne l'extérieur de l'église actuelle. Bien que l'église actuelle maintienne l'extérieur roman, son intérieur a été rénové selon un style architectural qui correspond, en fait, à une version "plus simple" du style baroque. Cependant, les caractéristiques gothiques sont encore visibles. Chapelle de Santa Sofia Cette chapelle date du siècle et a été formellement ajoutée à la diocèse de Braga le . On doit la construction de cette chapelle à Manoel Gonçalves (1703-1767). Chapelle de Nossa Senhora dos Outeiros Située au sommet d'une colline, cette chapelle a été construite à la fin du siècle ou au début du siècle. Faite de granit, la chapelle a été construite dans un style architectural simple. Son extérieur est extrêmement simple. Moulins Il y a quatre moulins à eau dans cette région, qui ont été utilisés pour broyer les céréales cultivées localement (seigle et maïs). Le calendrier d'utilisation des moulins a été décidé par tirage au sort et chaque habitant ne pouvait utiliser le moulin qu'une fois par semaine. Mines Les mines de Cando sont situées au bord du village, près de Vila Cova. En 1880, la société allemande Maximiliano Scherek utilisait les mines à leur plein potentiel. L'opération a cessé pour des raisons inconnues, quelque part avant les années 1940. On pense que l'exploitation des mines en général remonte à l'époque romaine. Le tungstène, l'antimoine, l'étain, le plomb et le fer se trouvaient dans les mines de Cando. Culture Tissage Le tissage était une pratique locale utilisée pour faire des serviettes, des draps, des rideaux et des textiles, qui étaient souvent décorés de crochet et de broderie. Ce n'est plus une coutume de la région. Aujourd'hui, il n'y a qu'un seul métier à tisser à Gontães. Opas Le terme «opas» est utilisé dans les villages pour désigner les personnes qui prennent part à une procession funéraire, mais c'est, en fait, le nom des manteaux qu'ils portent. Dans d'autres endroits, les adultes et les enfants peuvent être «opas» mais dans le village de Gontães, seuls les enfants peuvent y participer. À Gontães, on porte des manteaux rouges. La famille Minhava La famille Minhava était la famille la plus influente de Gontães. La famille a fourni une grande partie de l'éducation dont ont pu bénéficier les gens du pays, et de nombreux de villageois ont pu apprendre à jouer des instruments de musique grâce à cette famille. Celle-ci a été tout aussi influente au sein de l'église. Autres lieux d'intérêt La fontaine d'eau principale, qui était la seule source d'eau potable dans le village, a été détruite afin qu'une route puisse être construite. Pour la remplacer, des fontaines d'eau ont été construites à plusieurs endroits du village: au Largo da Fonte; au sein même du village, sur la route menant à la chapelle et à côté de la chapelle de Santa Sofia. Alimentation Habitudes agricoles Parmi les cultures cultivées dans le village se trouvent le maïs, les pommes de terre, le seigle, les haricots, les fèves, les pois, le chou, les oignons, les carottes, le persil et les tomates. Le foin, le maïs et la paille ont également été produits pour nourrir le bétail. On y trouve également des arbres fruitiers tels que des cerisiers, des poiriers, des pommiers, des pêchers, des noyers, des figuiers, des châtaigniers, ainsi que des kiwis . Festivals Notre Dame de Fatima Une procession aux bougies se déroule le vendredi soir avant le deuxième dimanche d'août. Une messe se tient habituellement à la petite chapelle lors de ce deuxième dimanche d'août. La fête dure de 3 à 4 jours et se compose d'ensembles musicaux, de marches, de ventes aux enchères et d'autres festivités. Carnaval Les jeunes hommes avaient pour coutune d'écrire des poèmes sur les filles du village, et les filles en faisaient de même. Ces poèmes étaient ensuite lus dans tout le village. Une autre tradition, qui se maintient aujourd'hui, consiste à fabriquer deux poupées de paille, un homme - l'Entruido - et une femme - la Quaresma. Celles-ci sont suspendues quelque part dans le village et au cours de la dernière nuit du Carnaval, elles sont brûlées, une tradition qui marque la fin du Carnaval et le début du Carême. Bombos Le bombo est un grand tambour utilisé dans les orchestres et les défilés. Au village, Il est habituel de commencer à jouer le soir pendant quelques heures, environ trois semaines avant le Carnaval. Caparrões Les Caparrões étaient des gens masqués qui traversaient le village en silence. Ils étaient tenus de couvrir leur visage afin de cacher tous les traits distinctifs qui permettraient aux gens de les identifier. Les gens allaient jusqu'à eux et essayaient de savoir qui ils étaient. S. Miguel - 29 septembre Il y avait une procession semblable à l'ancienne procession de Notre-Dame de Fatima et le soir, on profitait d'un moment musical. Il y avait aussi des courses d'ânes sur lesquels les gens pariaient. Liens externes Notes et références Village au Portugal
Diplograptidae
Les constituent une famille de graptolites, des animaux vivant en colonies et rattachés à l'embranchement des Hemichordata et à l'ordre des Graptoloidea. Taxinomie Selon , la famille fait partie de l'ordre des Graptoloidea, du sous-ordre des †Axonophora Frech, 1897 et de l'infra-ordre des †Diplograptina Lapworth, 1880. Elle comporte 2 sous-familles : les †Diplograptinae Lapworth, 1873 et les †Orthograptinae Mitchell, 1987. Selon , la famille fait partie de l'ordre des †Diplograptoidea Lapworth 1880. Elle comporte les sous-familles †Climacograptinae, †Diplograptinae, †Orthograptinae et †Peiragraptinae et les genres †Amplexograptus, †Anticostia, †Corynoides, †Diplograptus, †Expansograptus, †Parareteograptus et †Rectograptus. Selon , la famille fait partie de l'ordre des Graptoloidea et comporte les 3 genres †Appendispinograptus, †Climacograptus et †Diplacanthograptus. Liens externes Notes et références Références taxonomiques Références Graptolite Famille de deutérostomiens préhistoriques (nom scientifique) Deutérostomien du Paléozoïque Taxon fossile décrit en 1873
Epangala Lokose
Pathy Lokose, né le , est un footballeur international congolais, reconverti entraîneur. Il évoluait au poste de défenseur. Biographie Epangala Lokose reçoit 21 sélections en équipe du Zaïre entre 1990 et 1999, pour un but inscrit. Il participe avec l'équipe du Zaïre à trois Coupes d'Afrique des Nations, en 1992, 1994 et enfin 1996. Il joue un total de huit matchs lors des CAN, et atteint les quarts de finale à deux reprises, en 1992 et 1994. Il inscrit son seul et unique but en équipe nationale le 11 avril 1999, contre Madagascar, permettant à son équipe de l'emporter 2-0. Il s'agit de sa dernière sélection. Palmarès Champion du Zaïre en 1993 et 1997 avec l'AS Vita Club Notes et références Entraîneur de l'AS Vita Club Joueur de l'AS Vita Club Footballeur international congolais (RDC) Footballeur congolais (RDC) Naissance en avril 1964
غروفر باول
غروفر باول هو لاعب كرة قاعدة أمريكي، ولد في 10 أكتوبر 1940 في ساير في الولايات المتحدة، وتوفي في 21 مايو 1985 في رالي في الولايات المتحدة بسبب ابيضاض الدم. مراجع وصلات خارجية أشخاص من مقاطعة برادفورد (بنسيلفانيا) خريجو جامعة بنسيلفانيا رماة دوري كرة القاعدة الرئيسي لاعبو إنديانابوليس إنديانز لاعبو بوفالو بيسونز لاعبو ريتشموند بريفز لاعبو سيراكيوز تشيفز لاعبو كرة قاعدة أمريكيون مغتربون في فنزويلا لاعبو كرة قاعدة من بنسيلفانيا لاعبو نيويورك ميتس مواليد 1940 وفيات 1985 وفيات السرطان في كارولينا الشمالية وفيات بسبب سرطان الدم
Réseau routier des Alpes-Maritimes
Cet article présente l'histoire, les caractéristiques et les événements significatifs ayant marqué le réseau routier du département des Alpes-Maritimes en France. Au , la longueur totale du réseau routier du département des Alpes-Maritimes est de , se répartissant en d'autoroutes, de route nationale, de routes départementales et de voies communales. Histoire De 1750 à 1784, l’ensemble du réseau routier est pour la première fois cartographié à grande échelle (au 86400) et de manière complète par Cassini de Thury, à la demande de Louis XV. Ces cartes sont d’une grande richesse toponymique, mais d’une grande pauvreté quant à la figuration du relief et de l’altimétrie. De même les chemins secondaires sont rarement représentés, du fait d’une part de leur état médiocre, d’autre part de leur faible importance économique. Le département actuel des Alpes-Maritimes n’existait pas en 1750. Par contre on peut voir la zone d’Antibes sur les cartes de Cassini, qui faisait alors partie du département du Var. L’Atlas national illustré réalisé par Victor Levasseur est un précieux témoignage du , les cartes coloriées à la main sont entourées de gravures indiquant statistiques, notes historiques et illustrations caractéristiques des départements. Sur ces cartes sont représentées les routes, voies ferrées et voies d'eau. Par ailleurs, les départements sont divisés en arrondissements, cantons et communes. Le département actuel des Alpes-Maritimes fut créé en 1860 lors du rattachement à la France du Comté de Nice. Ainsi ne figure-t-il pas dans les cartes de Levasseur. Par contre le département du Var contient l’arrondissement de Grasse qui sera rattaché aux Alpes-Maritimes en 1860. Réforme de 1930 Devant l'état très dégradé du réseau routier au lendemain de la Première Guerre mondiale et l'explosion de l'industrie automobile, l'État, constatant l'incapacité des collectivités territoriales à remettre en état le réseau routier pour répondre aux attentes des usagers, décide d'en prendre en charge une partie. L'article 146 de la loi de finances du prévoit ainsi le classement d'une longueur de l'ordre de de routes départementales dans le domaine public routier national. En ce qui concerne le département des Alpes-Maritimes, ce classement devient effectif à la suite du décret du . Réforme de 1972 En 1972, un mouvement inverse est décidé par l'État. La loi de finances du prévoit le transfert dans la voirie départementale de près de de routes nationales. Le but poursuivi est : d'obtenir une meilleure responsabilité entre l'État et les collectivités locales en fonction de l'intérêt économique des différents réseaux, de permettre à l'État de concentrer ses efforts sur les principales liaisons d'intérêt national, d'accroître les responsabilités des assemblées départementales dans le sens de la décentralisation souhaitée par le gouvernement, d'assurer une meilleure gestion et une meilleure programmation de l'ensemble des voies. Le transfert s'est opéré par vagues et par l'intermédiaire de plusieurs décrets publiés au Journal Officiel. Après concertation, la très grande majorité des départements a accepté le transfert qui s'est opéré dès 1972. En ce qui concerne le département des Alpes-Maritimes, le transfert est acté avec un arrêté interministériel publié au journal officiel le . Réforme de 2005 Une nouvelle vague de transferts de routes nationales vers les départements intervient avec la loi du relative aux libertés et responsabilités locales, un des actes législatifs entrant dans le cadre des actes II de la décentralisation où un grand nombre de compétences de l'État ont été transférées aux collectivités locales. Dans le domaine des transports, certaines parties des routes nationales sont transférées aux départements et, pour une infime partie, aux communes (les routes n'assurant des liaisons d'intérêt départemental). Le décret en Conseil d’État définissant le domaine routier national prévoit ainsi que l’État conserve la propriété de d’autoroutes concédées et de de routes nationales et autoroutes non concédées et qu'il cède aux départements un réseau de . Dans le département des Alpes-Maritimes, le transfert est décidé par arrêté préfectoral signé le . de routes nationales sont déclassées. La longueur du réseau routier national dans le département passe ainsi de en 2004 à 1 en 2006 pendant que celle du réseau départemental s'accroît de à . Caractéristiques Consistance du réseau Le réseau routier comprend cinq catégories de voies : les autoroutes et routes nationales appartenant au domaine public routier national et gérées par l'État, les routes départementales appartenant au domaine public routier départemental et gérées par les conseils généraux et les voies communales et chemins ruraux appartenant respectivement aux domaines public et privé des communes et gérées par les municipalités. Le linéaire de routes par catégories peut évoluer avec la création de routes nouvelles ou par transferts de domanialité entre catégories par classement ou déclassement, lorsque les fonctionnalités de la route ne correspondent plus à celle attendues d'une route de la catégorie dans laquelle elle est classée. Ces transferts peuvent aussi résulter d'une démarche globale de transfert de compétences d'une collectivité vers une autre. Au , la longueur totale du réseau routier du département des Alpes-Maritimes est de , se répartissant en d'autoroutes, de routes nationales, de routes départementales et de voies communales. Il occupe ainsi le au niveau national sur les métropolitains quant à sa longueur et le quant à sa densité avec par kilomètre carré de territoire. Trois grandes réformes ont contribué à faire évoluer notablement cette répartition : 1930, 1972 et 2005. L'évolution du réseau routier entre 2002 et 2017 est présentée dans le tableau ci-après. Sécurité En 2020, le réseau départemental des Alpes maritimes compte 253 accidents et 11 tués hors agglomération pour 798 kilomètres de linéaires ce qui fait de ces routes départementales les plus accidentogènes de France par kilomètre de linéaire (31,7 accidents pour 100 km) et les plus mortelles par kilomètre de linéaire (1,4 tués par 100 kilomètres de linéaire). Réalisations ou événements récents Cette section a pour objet de recenser les événements marquants concernant le domaine de la Route dans le département des Alpes-Maritimes depuis 1990. Seront ainsi citées les déclarations d’utilité publique, les débuts de travaux et les mises en service. Seuls les ouvrages les plus importants soit par leur coût soit par leur impact (déviation de bourgs) seront pris en compte. De même il est souhaitable de ne pas recenser les projets qui n’ont pas encore fait l’objet d’une utilité publique. Au premier semestre 2018, la moitié des tués dans les Alpes maritimes étaient des conducteurs de deux roues. Notes et références Articles connexes Liste de ponts des Alpes-Maritimes Liste des cols des Alpes-Maritimes Transports dans les Alpes-Maritimes Alpes-Maritimes Réseau routier français Route du bord de mer (Alpes Maritimes) Alpes-Maritimes Transport routier dans les Alpes-Maritimes
Entraygues-le-fel
Entraygues-et-du-fel est l'appellation d'origine d'un vin français, préservée via une AOC, issu du terroir d'Entraygues-sur-Truyère, situé principalement dans le département de l'Aveyron et dans une moindre mesure dans le département du Cantal. Histoire Antiquité Moyen Âge Entraygues-sur-Truyère et Le Fel ont toujours été la barrière la plus septentrionale du vignoble rouergat. Et, sur la voie navigable qu'était alors le Lot, Entraygues était aussi l'ultime étape. Les « gabarriers » descendaient les barriques de vin vers la basse Guyenne. Ainsi, grâce à ce commerce fluvial, tous les cépages du sud-ouest furent implantés dans la région d'Entraygues. Époque moderne Le coustoubi était le sobriquet du paysan des coteaux. Maraîcher, il vendait son surplus de fruits, de légumes et de vin. Avec une carriole et un mulet, il partait vendre à Laguiole, Nasbinals, Saint-Urcize. Au marché, le vin du coustoubi servait de monnaie d’échange comme le fromage du mountagnol. Période contemporaine Les appellations des vins d'Entraygues et du Fel ont été préservées via le label Vin de Qualité Supérieure dès 1965 puis Appellation d'Origine Contrôlée en 2011. Étymologie Situation géographique Située aux confins du Rouergue et de la Haute-Auvergne, le terroir des vins d'Entraygues et du Fel est accroché aux versants de la haute vallée de la rivière Lot orientés plein sud. Orographie Géologie Le vignoble est établi sur des planches de culture en terrasse, les faisses (du rouergat faïssa). Il est établi sur deux types de sol: le schiste du Fel et le granite et le barène (sable issu de la désagrégation du granite) d'Entraygues. Climatologie Vignoble sous l'influence des climats méditerranéen et montagnard. Vignoble Présentation Le vignoble s'étend dans les communes d'Entraygues-sur-Truyère, Le Fel, Campouriez, Florentin-la-Capelle, Golinhac et Saint Hippolyte pour le département de l'Aveyron et dans les communes de Cassaniouze et Vieillevie pour le département du Cantal. Encépagement L'encépagement pour les vins rouges et rosés est composé par le fer servadou (ou mansois) le cabernet franc et le cabernet sauvignon. Les vins blancs assemblent mauzac et chenin. Par la sélection opérée par les paysans rouergats, le chenin d'Entraygues a évolué au cours des siècles, jusqu'à former un rameau du chenin d'Anjou, cultivar principal. Il s'en distingue par sa précocité. Méthodes culturales La culture des vignes et l'élaboration des vins font l'objet de soins minutieux de la part de vignerons qui plafonnent le rendement à 45 hectolitres par hectare. Terroir et vins Accrochés aux pentes abruptes des vallées du Lot et de la Truyère, les vignobles donnent des vins rouges, blancs et rosés parfumés et rafraîchissants. Structure des exploitations Type de vins et gastronomie Les vins s'avèrent parfaits pour l'accompagnement de spécialités rouergates. Les blancs sont secs et très parfumés. Ils se consomment entre 8 et 10°. Usuellement, ils accompagnent l'estofinado et les fromages de lait de chèvre de la vallée du Lot. Les rouges et rosés, aromatiques et gouleyants, sont servis à 16° et accompagnent les tripous, potée ou aligot. Commercialisation Notes et références Bibliographie Voir aussi Articles connexes Liens externes http://www.inao.gouv.fr/public/produits/detailProduit.php?ID_PRODUIT=3094&from=src Vin AOC dans l'Aveyron Vignoble du Sud-Ouest Gastronomie dans l'Aveyron
IC 1251
IC 1251 est une galaxie spirale située dans la constellation du Dragon. Sa vitesse par rapport au fond diffus cosmologique est de , ce qui correspond à une distance de Hubble de . IC 1251 a été découvert par l'astronome américain Edward Swift en 1890. La classe de luminosité d'IC 1251 est III-IV et elle présente une large raie HI. À ce jour, deux mesures non basées sur le décalage vers le rouge (redshift) donnent une distance de , ce qui est tout très loin à l'extérieur des valeurs de la distance de Hubble. Un triplet de galaxies, le groupe de NGC 6340 Les distances de Hubble de NGC 6340, d'IC 1251 et d'IC 1254 sont respectivement de 17,18 Mpc, 17,47 Mpc et de 17,23 Mpc. Ces trois galaxies forment donc un triplet de galaxies. Notes et références Articles connexes Liste des objets du NGC Liens externes IC 1251 sur spider.seds.org IC 1251 sur WikiSky IC 1251 sur le site du professeur C. Seligman 1251 Constellation du Dragon Galaxie spirale Galaxie découverte en 1890 Objet céleste découvert par Edward Swift
Susanne Munk Wilbek
Susanne Munk Wilbek, née Susanne Munk Lauritsen le à Hvorslev, est une ancienne handballeuse internationale danoise qui évoluait au poste de gardienne de but. Avec l'équipe du Danemark, elle participe notamment aux jeux olympiques de 1996 où elle remporte la médaille d'or et est nommée dans l'équipe type du tournoi olympique. Après avoir été championne d'Europe en 1994 puis en 1996, le titre de championne du monde qu'elle remporte en 1997 lui permet d'avoir une médaille d'or dans chacune des trois compétitions majeures. En club, Susanne Munk Wilbek a fait toute sa carrière au club de Viborg HK où elle évolue pendant 21 saisons entre 1985 et 2006. Elle est mariée depuis le avec Ulrik Wilbek, son entraîneur de club à Viborg HK entre 1988 et 1991 et entre 1998 et 2002 et son sélectionneur en équipe nationale entre 1991 et 1998. Palmarès En sélection nationale Jeux olympiques d'été médaille d'or aux Jeux olympiques de 1996 à Atlanta championnats du monde vainqueur du championnat du monde 1997 troisième du championnat du monde 1995 finaliste du championnat du monde 1993 championnats d'Europe vainqueur du championnat d'Europe 1994 vainqueur du championnat d'Europe 1996 finaliste du championnat d'Europe 1998 En club compétitions internationales vainqueur de la Ligue des champions en 2006 finaliste de la Ligue des champions en 1997 et 2001 vainqueur de la coupe EHF en 1994, 1999 et 2004 vainqueur de la supercoupe d'Europe en 2001 compétitions nationales championne du Danemark (10) en 1994, 1995, 1996, 1997, 1999, 2000, 2001, 2002, 2004 et 2006 vainqueur de la coupe du Danemark (5) en 1993, 1994, 1996, 2003 et 2006 Distinctions personnelles élue meilleure gardienne aux jeux olympiques de 1996 élue meilleure gardienne au championnat du monde 1997 Références Liens externes Handballeuse internationale danoise Naissance en octobre 1967 Handballeuse aux Jeux olympiques d'été de 1996 Championne olympique de handball Championne olympique danoise Championne du monde de handball Championne d'Europe de handball Naissance au Danemark Joueuse du Viborg HK
Jack Reynolds (football, 1869)
John « Jack » Reynolds, né le à Blackburn en Angleterre et mort le à Sheffield est un joueur de football professionnel. Il joue entre autres à West Bromwich Albion, Aston Villa et au Celtic glasgow. Il a la particularité d’avoir été sélectionné à la fois en équipe d'Irlande de football et en équipe d'Angleterre de football. Il est ainsi devenu le seul joueur à jouer à la fois pour l'Irlande et l’Angleterre et aussi le seul joueur à avoir marqué contre et pour l’Angleterre (si l’on exclut bien sur les buts marqués contre son camp). Il a gagné la Coupe d'Angleterre en 1892 avec West Bromwich Albion et fut un membre important de l’équipe d’Aston Villa des années 1890 qui remporta 3 fois le championnat d’Angleterre et 2 fois la Coupe, avec en plus un doublé en 1897. Reynolds était considéré comme un joueur très combatif, avec un remarquable touché de balle et une exceptionnelle vélocité. Il fait partie des grands joueurs des années 1890 et est un des plus grands joueurs de sa génération. Dans le même temps il est aussi perçu comme un homme à femmes et un buveur impénitent. Ces deux « faiblesses » lui ont fait perdre la majeure partie de l’argent gagné en jouant au football. Il est le père d’au moins un enfant illégitime et a été convoqué devant un juge en 1899 pour non-paiement de pension alimentaire. Son alcoolisme a gâché la fin de sa carrière et après un bref passage au Celtic Glasgow puis à Southampton St. Marys, il est devenu un joueur semi-professionnel payé à la journée. À la fin de sa vie il travailla en tant que mineur à Sheffield. Il est mort seul à l’âge de 48 ans dans une pension de famille. Reynolds et sa carrière ont été l’objet d’un grand nombre d’ouvrages, y compris un intitulé « Comment jouer au football, avoir des amis et mourir jeune : La Vie de John Reynolds » écrit par Dr. Neal Garnham de l’Université d’Ulster. Sa carrière de footballeur Les débuts Alors qu’il est né à Blackburn dans le Lancashire, Reynolds a grandi à Ahoghill dans le Comté d'Antrim en Irlande et a fréquenté les écoles de Portglenone et de Ballymena. À l’âge de 15 ans il est de retour à Blackburn et joue au football avec l’équipe réserve des Blackburn Rovers. En décembre 1886 il s’engage dans l’armée et est envoyé en stationnement avec son unité, le East Lancashire Regiment en Irlande. Il joue alors dans l’équipe du régiment engagée dans le championnat d’Irlande. En 1888 il joue pour l'équipe de Distillery FC avec Olphert Stanfield and Billy Crone. Il joue même avec Distillery la Coupe d’Angleterre contre un de ses anciens clubs, le Blackburn Park Road FC. Il rate la saison 1888-1889 à cause d’une suspension mais malgré cela le club de Distillery le sort de l’armée pour le faire jouer pour la saison 1889-1890. Reynolds aide le a bien figurer dans le championnat du Comté d’Antrim en atteignant la finale. En il signe pour le club d’Ulster FC, une ancienne équipe de Belfast. En 1891, il termine avec son club à la deuxième place du premier championnat d’Irlande et de la Coupe d’Irlande seulement battu dans les deux épreuves par le Linfield FC. International irlandais Entre 1890 et 1891, alors qu’il joue pour les clubs de Distillery FC et Ulster FC, Reynolds fait cinq apparitions dans l’équipe d'Irlande de football, quatre en tant que demi-centre (milieu de terrain) et une en tant qu’ailier. Il fait ses débuts pour l’Irlande le lors de la défaite 5-2 contre le Pays de Galles. Le , il joue contre l’Angleterre et marque le seul but irlandais lors de la déroute 9-1. C’est le seul match international dans lequel il a joué au poste d'ailier. Pendant le British Home Championship de 1891, il joue les trois matchs de l'équipe d'Irlande. West Bromwich Albion En , Reynolds signe pour le club anglais de West Bromwich Albion Football Club (WBA) implanté à Birmingham. La fédération anglaise découvre à ce moment-là qu’il a en fait la nationalité anglaise. Pendant la saison 1891-1892 il joue 17 matchs avec WBA et marque 2 buts. Il gagne aussi la première de ses trois FA Cup, marquant un but lors de la victoire finale 3-0 contre Aston Villa. Pendant la saison 1892-1893 il joue 20 matchs pour un but marqué. Ce but est particulier car il s’agit du tout premier pénalty sifflé et marqué dans le championnat anglais. Il a été marqué contre Nottingham Forest le . Pendant cette période, il joue brièvement pour Droitwich Town FC comme invité ou sous la forme d’un prêt. Après une brouille avec l’équipe de management de West Bromwich Albion, Reynolds est vendu à Aston Villa Football Club pour une somme de £50. Aston Villa Entre 1892 et 1897, Reynolds joue 96 matchs de championnat et marque 17 buts pour Aston Villa. Cette période est la plus faste de sa carrière car il appartenait à la meilleure équipe du moment en Angleterre. Il gagne le Championnat d'Angleterre en 1894, 1896 et 1897. Reynolds a aussi joué 14 matchs de Coupe et remporta ainsi les épreuves de 1895 et 1897. Il gagne la finale de 1895 contre son ancien club WBA. International anglais Alors qu’il joue le championnat anglais sous les couleurs de West Bromwich Albion et d’Aston Villa, Reynolds fait huit apparitions sous le maillot anglais. Il fait ses débuts dans l’équipe nationale anglaise à l’âge de 23 ans en 1892 contre l’équipe d'Écosse de football. Ses équipiers sont alors Fred Spiksley, Steve Bloomer, Ernest Needham et Frank Becton. Il marque un but lors de la victoire 6-0 contre le Pays de galles en 1893, lors de la victoire 5-2 contre l’Écosse en 1893 et lors du match nul 2-2 contre l’Écosse en 1894. Il n’a jamais marqué de but contre l'équipe d'Irlande. Il participe à la victoire de l’équipe d’Angleterre dans trois British Home Championship. Reynolds joue son dernier match sous les couleurs anglaises contre l’Écosse en 1897 à l’âge de 28 ans. Reynolds a aussi joué à quatre reprises dans l’équipe de l’English League XI. La fin de sa carrière Après avoir quitté Aston Villa, Reynolds s’engage pour le Celtic Glasgow puis pour Southampton St. Marys au cours de la saison 1897-98. Même si à chaque fois il participe au gain du titre national dans chacun des championnats disputés, ses contributions personnelles sont faibles et sa carrière largement déclinante. Il joue ensuite pour des clubs semi-professionnels y compris une période en tant qu’entraineur-joueur en Nouvelle-Zélande. Il arrête définitivement sa carrière de footballeur en et travaille comme entraineur au club de Cardiff City pendant la saison 1907-1908. Après son retrait complet du football, Reynolds s’installe à Sheffield et travaille dans une mine de charbon jusqu’à sa mort en 1917. Palmarès Distillery FC Finaliste du County Antrim Shield en 1889-90 Ulster FC Deuxième du championnat d'Irlande de football 1890-91 Finaliste de la Coupe d'Irlande 1890-91 West Bromwich Albion Vainqueur de la Coupe d'Angleterre de football 1892 Aston Villa Champion d’Angleterre 1893-1894, 1895-1896 et 1896-1897 Vainqueur de la Coupe d'Angleterre 1895 et 1897 Équipe nationale d'Angleterre Vainqueur du British Home Championship 1892, 1893 et 1895 Sources , édition du . Who's Who Of Aston Villa (2004): Tony Matthews Notes et références Liens externes Footballeur international anglais Footballeur international irlandais (1882-1922) Joueur du Distillery FC Joueur du West Bromwich Albion FC Joueur de l'Aston Villa FC Joueur du Southampton FC Joueur du Celtic FC Naissance en février 1869 Naissance à Blackburn Décès en décembre 1917 Décès à 48 ans
آبايو
آبايو هي محافظة تقع في الفلبين في Cordillera Administrative Region. يقدر عدد سكانها بـ 112,636 نسمة ومساحتها 4,413.35 كم2 . انظر أيضاً قائمة مدن الفلبين مراجع تأسيسات سنة 1995 في الفلبين دول وأقاليم أسست في 1995 مقاطعات الفلبين
Gremlins
Gremlins est un film américain réalisé par Joe Dante et sorti en 1984. Il met en scène les Gremlins, des petites créatures malfaisantes qui ravagent la ville fictive de Kingston Falls. Le film reçoit un accueil critique favorable et connait un très grand succès commercial en Amérique du Nord et en France. Ce succès conduit à une suite, Gremlins 2 : La Nouvelle Génération (Gremlins 2: The New Batch, 1990) et une série d'animation, Gremlins: Secrets of the Mogwai (2022). Synopsis Randall Peltzer, dit « Rand », est un inventeur farfelu aux créations allant des plus pratiques aux plus originales. Originaire de Kingston Falls, il se rend dans le quartier de Chinatown à New York, pour tenter de vendre ses inventions et dénicher un cadeau de Noël original pour son fils Billy. Un jeune Chinois l'emmène au magasin de son grand-père, M. Wing, et faute d'arriver à placer une de ses inventions comme la « salle de bains de poche », il se prend d'intérêt pour une petite créature à fourrure, un mogwaï. Mais Wing refuse catégoriquement de vendre le mogwaï malgré l'offre de deux cents dollars de Rand. Selon lui, prendre en charge le petit animal entraîne de trop lourdes responsabilités pour son acquéreur. Le petit-fils, jugeant que cet argent est nécessaire pour son grand-père, va tout de même vendre le mogwaï à Rand, non sans lui dire qu'il doit respecter trois règles : ne pas exposer le mogwaï à la lumière et en particulier celle du soleil car elle peut le tuer ; ne pas le mouiller ni lui faire boire de l'eau ; ne jamais lui donner à manger après minuit. Le lendemain, Billy, qui travaille comme guichetier à la banque, est pris à partie par Deagle, car Barney, le chien de Billy, aurait cassé son bonhomme de neige en verre. Elle exige alors de se voir confier le chien pour aller le faire euthanasier à la fourrière et regrette publiquement de ne pouvoir le faire mourir elle-même avec d'atroces souffrances, comme celles qui résulteraient d'un enfermement dans un lave-linge programmé avec une haute température. Le chien, qui était caché sous le bureau de son maître, bondit alors hors de sa cachette et, détruisant au passage les vestiges du bonhomme de neige posés sur le guichet, attaque alors Deagle, ce qui manque de conduire au licenciement de Billy. Plus tard, Rand rentre à la maison et offre à Billy le mogwaï qui s'appelle maintenant Gizmo, en lui expliquant les trois règles à suivre. Les jours passent et Billy et Gizmo deviennent amis, au détriment de Barney qui se sent délaissé. Gizmo se révèle être un compagnon très doux et affectueux. Un jour, Pete, un enfant de la ville, livre un sapin de Noël à la famille Petzler. L'invitant dans sa chambre, Billy lui présente Gizmo et Pete veut le prendre dans ses bras. Malheureusement, Pete renverse un verre d'eau sur Gizmo ce qui a pour conséquence de le multiplier. Ainsi, cinq autres mogwaïs naissent dont un avec une mèche (le « Rayé » ou Stripe) qui est visiblement le chef. Contrairement à Gizmo, ces mogwaïs se montrent odieux, grossiers et farceurs (ils ont par exemple suspendu Barney à une guirlande électrique dehors en pleine nuit). Un jour, Billy se rend au laboratoire de Roy Hanson, son professeur de sciences, et clone un mogwaï en versant un goutte d'eau sur ce dernier, pour le lui laisser afin de mener des tests. Roy garde l'un des deux mogwaï et Billy repart avec l'autre. Le soir, alors que Billy regarde à la télévision le film L'Invasion des profanateurs de sépultures, les mogwaïs, sauf Gizmo, réclament avec insistance de la nourriture. Constatant que son réveil indique que minuit n'est pas encore arrivé, Billy leur donne du poulet et s'endort devant son film avec Gizmo, sans savoir à ce moment-là que l'alimentation électrique du réveil a auparavant été grignotée, et que l'heure affichée par le réveil est erronée, au moment où il a donné de la nourriture aux mogwaïs. De son côté, Roy quitte son laboratoire en laissant malencontreusement un reste de sandwich à portée de son mogwaï en cage qui se nourrit alors après minuit. Au matin, tous les mogwaïs se sont transformés en cocons visqueux, à l'intérieur desquels ils se métamorphosent. Alors que Billy est à la banque, tous les cocons, y compris celui qui s'est formé au laboratoire de Roy Hanson, éclosent et donnent naissance à des « Gremlins », des créatures terrifiantes aux grandes oreilles, aux dents acérées, et à la peau de reptile, qui n'ont plus rien à voir avec les adorables peluches vivantes qu'étaient les mogwaïs. Billy se rend à l'école pour voir Roy, mais retrouve son corps sans vie, près du gremlin qui l'a tué. Billy, comprenant alors le processus de métamorphose qui s'est opéré, est attaqué par la créature, et tente de prévenir sa mère du danger qu'elle court. Elle est seule à la maison avec les cinq autres gremlins, et se bat avec eux, essayant de se défendre avec ses ustensiles de cuisine. Elle parvient à en tuer trois : le premier est haché dans son mixer, le second poignardé, le troisième explose dans son micro-ondes, et alors qu'elle est en train de se faire étrangler par un quatrième, Billy arrive, décapite le monstre et sauve sa mère. Le seul gremlin survivant, celui qui a la crête de punk blanche (le chef, le « Rayé »), arrive à s'échapper. Poursuivi par Billy jusqu'au YMCA local, il parvient à plonger dans la piscine municipale, causant une multiplication phénoménale. Billy réalise ce qui se passe et sachant qu'il ne pourra pas lutter, prend la fuite. La piscine est envahie par un écran de fumée et des rires sadiques… Billy emmène Gizmo à la taverne de Dorry pour retrouver Kate, qui est de service cette nuit-là. Les Gremlins ont envahi la taverne, et de façon très vulgaire, forcent Kate à les servir. Elle découvre qu'ils ne supportent pas la lumière lorsqu'elle allume une cigarette pour l'un d'entre eux. Elle parvient à s'échapper en utilisant le flash d'un appareil photo comme arme, et retrouve Billy. Le couple se réfugie dans la banque, alors que les Gremlins sèment la panique dans Kingston Falls. Kate finit par révéler la raison pour laquelle elle déteste Noël : son père a voulu faire une surprise à elle et sa mère en se déguisant en Père Noël, mais en descendant dans la cheminée, il s'est brisé la nuque en glissant et est mort sur le coup. Et les événements en cours ne font que conforter son aversion pour cette fête. Pendant ce temps, les créatures tuent Deagle en déréglant son fauteuil d'escalier, ce qui la précipite par une fenêtre, et lancent un chasse-neige contre la maison du couple Futterman (bien qu'ils soient laissés pour morts, ils ont survécu). Quand Billy, Kate et Gizmo émergent, les Gremlins sont partis. Ils se sont tous réfugiés au cinéma de la ville, où ils regardent Blanche-Neige et les Sept Nains. Billy et Kate parviennent à les enfermer et à faire sauter le cinéma. Tous les Gremlins brûlent, sauf le « Rayé », qui avait quitté les lieux juste avant pour aller manger dans une confiserie car il n'y avait plus de pop-corn. Billy poursuit jusqu'au centre commercial le « Rayé », qui est à la recherche d'un point d'eau. Il parvient à trouver une petite fontaine où il va pouvoir se multiplier à nouveau et venger ses compagnons morts dans le cinéma. Mais le jour est en train de se lever : alors que « le Rayé » entame sa multiplication, Gizmo, qui s'est échappé, réussit à ouvrir une fenêtre, exposant la vile créature à la lumière du jour qui le liquéfie. M. Wing retrouve la ville qui a été le théâtre des ravages des Gremlins, et ainsi la famille Peltzer. Il reprend Gizmo pour éviter de nouveaux troubles, prétextant très moralement que la société n'est pas prête à accueillir un mogwaï mais que Billy sera prêt, un jour. Fiche technique Titre original : Gremlins Titre français : Gremlins Réalisation : Joe Dante Scénario : Chris Columbus Musique : Jerry Goldsmith Décors : James H. Spencer et Jackie Carr Photographie : John Hora Montage : Tina Hirsch Production : Michael Finnell Production déléguée : Steven Spielberg, Kathleen Kennedy et Frank Marshall Sociétés de production : Amblin Entertainment ; Warner Bros. (coproduction) Société de distribution : Warner Bros. Budget : (estimation) Pays d'origine : Langue originale : anglais Format : couleur (Technicolor) — 35 mm — 1,85:1 — son Dolby stéréo Genres : comédie horrifique, fantastique Durée : Dates de sortie : États-Unis, Québec : France : Classification : États-Unis: (MPAA) : PG (Certaines scènes peuvent heurter les enfants - Accord parental souhaitable) France : tous publics (visa d'exploitation n° 59359 délivré le ) Distribution Zach Galligan (VF : Jean-François Vlérick) : William « Billy » Peltzer, employé de banque, dessinateur à ses heures Phoebe Cates (VF : Agathe Mélinand) : Kate Beringer, employée de banque, également serveuse en extra Hoyt Axton (VF : Marc de Georgi) : Randall « Rand » Peltzer, père de Billy, inventeur Frances Lee McCain (VF : Arlette Thomas) : Lynn Peltzer, mère de Billy, femme au foyer Judge Reinhold (VF : Éric Legrand) : Gerald Hopkins, vice-président de la banque Polly Holliday (VF : Nadine Alari) : Ruby Deagle, cruelle promotrice immobilière Glynn Turman (VF : Greg Germain) : Roy Hanson, professeur de sciences Dick Miller (VF : Serge Lhorca) : Murray Futterman, ami de Billy Jackie Joseph (VF : Claude Chantal) : Sheila Futterman, femme de Murray Scott Brady (VF : Claude Joseph) : le shérif Frank Keye Luke (VF : Georges Aminel) : , vieux boutiquier chinois Edward Andrews (VF : Jean-François Laley) : , le directeur de la banque Corey Feldman (VF : Damien Boisseau) : Pete F. Kenny Davis (VF : Raymond Loyer) : Dorry, le propriétaire du bar Chuck Jones (VF : Richard Darbois) : , le client du bar Jonathan Banks (VF : Richard Darbois) : Brent, l'adjoint du shérif Belinda Balaski (VF : Francine Lainé) : William Schallert (VF : Georges Berthomieu) : Père Bartlett Joe Brooks (VF : Alain Dorval) : Dave Mayers, le Père Noël John C. Becher (VF : Claude d'Yd) : Jim McKrell (VF : Jean Roche) : Lew Landers, le reporter TV Don Steele (VF : Claude Rollet) : Rockin' Ricky Rialto (voix) Marvin Miller (VF : Michel Gudin) : Robby, le robot au salon de l’invention (voix) John Louie (VF : Damien Boisseau) : le petit-fils de Steven Spielberg : l'homme en tricycle électrique au salon de l'invention (caméo non crédité) Jerry Goldsmith : l'homme au chapeau de cow-boy dans la cabine téléphonique au salon de l'invention (caméo non crédité) Ilene Keys : Gizmo (chant, non créditée) Production Écriture du scénario Le scénario est écrit par Chris Columbus, il est à l'origine bien plus sombre. Le producteur Steven Spielberg et Warner Bros. souhaitent en faire un film davantage familial. Des scènes plus macabres sont donc supprimées, dont la mort de la mère de Billy par décapitation, son chien dévoré par les Gremlins et les Gremlins attaquant un établissement de restauration rapide pour manger les consommateurs au lieu de hamburgers. La production a finalement supprimé ces scènes, estimant que ça rendait le film trop sombre et préférant s'axer sur l'humour noir plutôt que sur le gore. De même, le chef des Gremlins, le Rayé (nommé Stripe), n'était initialement pas présent dans le script : Gizmo lui-même se transformait pour devenir le Gremlin à la crête blanche. Spielberg modifia le scénario sur ce point, estimant que Gizmo était suffisamment mignon pour attirer la sympathie des spectateurs et que ceux-ci préféreraient qu'il reste fidèle à lui-même tout au long du film. Il voulait que le public puisse identifier un gentil et un méchant. Steven Spielberg voulait initialement engager Tim Burton comme réalisateur, impressionné par ses courts métrages. Le producteur préfère finalement engager un metteur en scène ayant déjà réalisé un long métrage. Attribution des rôles Dick Miller, qui incarne ici Murray Futterman, a joué dans tous les précédents longs métrages de Joe Dante, Hollywood Boulevard (1976), Piranhas (1978) et Hurlements (1981). C'est le dernier film des acteurs Edward Andrews (M. Corben) et Scott Brady (shérif Frank) qui décèdent moins d'un an plus tard. Tournage Le tournage a lieu à dans les studios Universal d'Universal City et dans les Warner Bros. Studios. Certains décors de la ville fictive de Kingston Falls sont les mêmes que ceux utilisés par Retour vers le futur (1984), tourné dans le même backlot des studios Universal. Accueil Le film connaît un très grand succès commercial, rapportant environ au box-office en Amérique du Nord pour un budget de . En France, il compte . Il reçoit un accueil critique favorable, recueillant 86 % de critiques positives, avec une note moyenne de 7,4/10 et sur la base de 78 critiques collectées, sur le site agrégateur de critiques Rotten Tomatoes. Distinctions Récompenses Saturn Awards 1985 : meilleur film d'horreur meilleure actrice dans un second rôle pour Polly Holliday meilleure réalisation pour Joe Dante meilleure musique pour Jerry Goldsmith meilleurs effets spéciaux pour Chris Walas Goldene Leinwand 1985 Young Artist Awards 1985 : meilleur film familial ou d'aventure Online Film & Television Association Awards 2020 : Hall of Fame - Nominations Saturn Awards 1985 : meilleur acteur dans un second rôle pour Dick Miller meilleur jeune acteur pour Corey Feldman meilleur scénario pour Chris Columbus meilleur maquillage pour Greg LaCava Young Artist Awards 1985 : meilleur second rôle masculin dans un film pour Corey Feldman International Film Music Critics Association Awards 2012 : meilleure ressortie d'une partition existante pour Jerry Goldsmith (musique), Michael Matessino et Bruce Botnick (producteur d'album), Jeff Bond, Joe Sikoryak (direction artistique de l'album) Commentaires Références à d'autres œuvres Plusieurs extraits de films sont visibles à divers moments du film. Il s'agit de : Blanche-Neige et les Sept Nains (1937) : le dessin animé que regardent les Gremlins au cinéma. L'Invasion des profanateurs de sépultures (1956) : Billy et Gizmo regardent ce film dans la chambre pendant que les mauvais Mogwaïs s'empiffrent. Gizmo semble être assez effrayé par le film. La vie est belle (1946) : la mère de Billy regarde ce film à la télé tout en faisant la cuisine (elle affirme que ce dernier est triste), juste avant que le père ne revienne avec le Mogwai. Pour plaire à sa belle (1950) : Gizmo est très ému par ce film lorsqu'il le regarde à la télé dans la chambre de Billy. À la fin du film, il y repense lorsqu'il parcourt le magasin de jouets en voiture. Orphée (1950) : lors de l'attaque des Futterman, on peut voir avant que leur télé ne tombe en panne un extrait du film de Cocteau. Parmi les références à d'autres films, on peut noter : Hurlements (1981) : lorsque Billy descend à la cuisine afin de chercher de la nourriture pour les Gremlins affamés, on aperçoit un « souriard » sur la porte du frigo. Celui-ci annonçait la venue du loup-garou dans Hurlements du même réalisateur. Plus tard, des photos du film sont affichées dans le cinéma où les Gremlins regardent Blanche-Neige et les Sept Nains. Alien (1979) : les cocons des gremlins ressemblent à des œufs de xénomorphes, et les premiers monstres utilisent les canalisations pour se déplacer. La Machine à explorer le temps (1960) : lorsque Rand appelle sa femme depuis le congrès des inventeurs, on aperçoit derrière lui la machine à explorer le temps en train de monter en puissance. Puis on voit les cocons, et lorsque la caméra revient au congrès, la machine a disparu, laissant des visiteurs perplexes. Flashdance (1983) : dans la scène du bar, on peut voir un Gremlin en tenue de danseuse imiter la chorégraphie de l'héroïne de Flashdance. Planète interdite (1956) : on aperçoit Robby le robot au congrès des inventeurs, notamment dans une conversation téléphonique où il parle avec un chapeau sur la tête. Ses paroles sont tirées de la fin de Planète interdite lorsqu'il discute de production d'alcool avec le cuistot du C57-D. À noter, dans cette même scène l'apparition en caméo de Steven Spielberg (qui passe devant la caméra allongé sur un tricycle électrique tout en regardant un écran TV monté sur le guidon) et celle de Jerry Goldsmith (utilisateur de la cabine téléphonique de droite, coiffé d'un large stetson). Le Magicien d'Oz (1939) : le personnage de Deagle est très proche d'Almira Gulch, la voisine acariâtre de Dorothy. Elle vient d'ailleurs à la banque pour chercher le chien de Billy qu'elle accuse d'avoir démoli son bonhomme de neige importé de Bavière. Le Cauchemar de Dracula (1958) : lorsque Gizmo ouvre les stores, inondant de soleil le gremlin à la raie, celui-ci se décompose à la manière de Dracula (Christopher Lee) lorsque Van Helsing (Peter Cushing) a ouvert les rideaux dans son château. L'Empire contre-attaque (1980): dans un rayon du grand magasin, Stripe attaque Billy en lui lançant des objets comme le faisait Dark Vador à Luke Skywalker. Mad Max 2 (1982): dans la même scène, Stripe tire sur Billy avec une arbalète, comme Wez le Chien de Guerre du Seigneur Humungus. Dans la chambre de Billy, sur l'une de ses cloisons on aperçoit l'affiche du film, dont le titre américain est The Road Warrior. Massacre à la tronçonneuse (1974): toujours dans la même scène, Stripe attaque Billy en brandissant le même outil que Leatherface. Les Aventuriers de l'arche perdue (1981) : le panneau publicitaire géant de la radio « Rockn' Ricky Rialto » est fortement inspiré de l'affiche des Aventuriers de l'Arche perdue, comme de celle de Indiana Jones et le temple maudit sorti en 1984, deux semaines avant Gremlins. James Bond : chez Dorry, Gérald le vice-président commande une vodka martini au shaker et non à la cuillère, qui est la boisson préféré du célèbre agent secret. De plus, lorsque Rand Peltzer apparait pour la première fois, il se présente de la même façon que Bond : « Je m'appelle Peltzer, Rand Peltzer » (The name is Peltzer, Rand Peltzer en VO). Poltergeist (1982) : lorsque Steven Spielberg fait son apparition sur un chariot avec la jambe plâtrée, il visionne une scène de Poltergeist. En faisant un arrêt sur image et en zoomant, on peut voir qu'il s'agit de la scène où la jeune Carol-Anne met ses mains sur l'écran de la télévision. E.T., l'extra-terrestre (1982) : quand le Gremlin débranche la ligne téléphonique, il dit « téléphone maison ». On peut aussi distinguer une figurine de E.T. dans le magasin de jouet lorsque le Gremlin est caché dans les rayons. La Quatrième Dimension (1983) : dans la chambre de Billy, on distingue un bout de l'affiche du film, dont Spielberg et Dante ont réalisé respectivement un sketch chacun. Le quatrième sketch, réalisé par George Miller, est justement l'histoire d'un homme qui voit un gremlin (ceux dont parlent M. Futterman) s'en prendre à l'un des réacteurs de l'avion dans lequel il voyage. Retour vers le futur : le lieu de tournage du centre-ville est le même que celui du centre-ville de Hill Valley. Il est situé dans les studios Universal. Shining (1980) : au rayon vêtements dans le magasin, Billy poursuit, batte en main, le « rayé » qui roule sur un tricycle rouge. Par ailleurs, les deux titres de films fictifs visibles sur la devanture du cinéma : A Boy's Life et Watch the Skies, étaient les titres de travail utilisés respectivement pour les films E.T., l'extra-terrestre (1982) et Rencontres du troisième type (1977). Clins d'oeil Lors de la scène d'ouverture, une voiture accidentée est visible, c'est une AMC Gremlin. Dans la scène du magasin, quand Stripe pousse les peluches, il y a un Bugs Bunny ce qui est une référence à l'épisode Lapin et Lutin dans lequel le lapin se trouve confronté à un Gremlin durant la Seconde Guerre mondiale. Postérité Dans le onzième épisode de la huitième saison d'Alvin et les Chipmunks intitulé Gremlionis, les Chipmunks parodient le film. La chapelle de Bethléem à Saint-Jean-de-Boiseau (Loire-Atlantique) possède une chimère représentant un Gremlin, en tant que symbole de la méchanceté bête de l'homme, ainsi qu'une représentant Gizmo, en tant que bon monstre. Plusieurs Gremlins apparaissent dans le film Space Jam : Nouvelle Ère (2021). Un Gremlin est présent dans la scène de la bataille finale de Ready Player One (2018) par ailleurs la boite dans lequel se trouve l'orbe de Osuvox est celle de Gizmo. Adaptations et produits dérivés Série d'animation En 2022, une série d'animation préquelle, Gremlins: Secrets of the Mogwai, sera diffusée sur HBO Max. Romans George Gipe, Gremlins, J'ai lu. Novélisation d'après le scénario de Chris Columbus publiée initialement en anglais chez Avon Books en janvier 1984. David Bischoff (adaptateur), Chris Columbus et Charlie Haas, Gremlins 2: The New Batch, Avon Books, Adaptation du film Gremlins 2 : La Nouvelle Génération. Jamais traduit de l'anglais. Jeux vidéo 1984 : Gremlins sur Atari 7800, Atari 5200 et Atari 2600, publié par Atari ; 1985 : Gremlins: The Adventure sur Commodore 64, Amstrad CPC, publié par Adventure Int. ; 1990 : Gremlins 2: The New Batch sur divers ordinateurs, publié par Elite Systems ; 1990 : Gremlins 2: The New Batch sur NES et sur Game Boy, publié par Sunsoft ; 1991 : Gremlins II sur Windows, publié par Hi Tech Expressions ; 2001 : Gremlins: Unleashed! sur Game Boy Color, jeu d'action développé par Planet Interactive et édité par Light and Shadow Productions le ; 2002 : Gremlins: Stripe vs. Gizmo sur Game Boy Advance, jeu d'action développé par Light and Shadow Productions, et édité par DreamCatcher Interactive ; 2003 : Gremlins Revenge, action-aventure. Jeu annulé. 2011 : Gremlins Gizmo sur Wii et Nintendo DS 2016 : Un pack de figurines Lego contenant Gizmo et Stripe, ainsi que la voiture radio-commandée et l'appareil photo, sort pour le jeu vidéo Lego Dimensions, lequel propose un niveau basé sur l'univers du premier film. Jeux de société Gremlins (1984) Édité par Golden. De 2 à 4 joueurs pour une durée moyenne de 30 minutes. Jeux de cartes Gremlins Card Game (1984) Édité par International Games. De 2 à 4 joueurs pour une durée moyenne de 20 minutes. Publicité « BT's Gremlin infested tech support » (2008) : une publicité du groupe de télécommunications britannique BT mettant en scène les Gremlins. « Snickers Gremlins » (2013) : une publicité pour la barre chocolatée Snickers. Notes et références Notes Références Liens externes Film américain sorti en 1984 Comédie horrifique américaine Comédie fantastique américaine Film de Noël Film réalisé par Joe Dante Film avec une musique composée par Jerry Goldsmith Film de Warner Bros Film d'Amblin Entertainment Film tourné à Los Angeles Film tourné aux Universal Studios Film tourné aux Warner Brothers Burbank Studios Film se déroulant à New York Film se déroulant dans une ville fictive aux États-Unis Film se déroulant dans un cinéma Film en anglais américain
Frédéric Salveton
Frédéric Salveton est un homme politique français né le à Brioude (Haute-Loire) et décédé le à Nonette (Puy-de-Dôme). Militant libéral sous la Restauration, il est poursuivi après la conspiration de Belfort et acquitté. Avocat à Riom en 1823, il collabore au journal des audiences de la cour d'appel. Avocat général à Riom en 1830, procureur général à Amiens en 1839, à Rouen en 1844, il est député du Puy-de-Dôme de 1837 à 1839 et de 1846 à 1848, siégeant dans la majorité soutenant la Monarchie de Juillet. Il est un député très actif dans le travail législatif. Il redevient avocat à Riom de 1848 à 1870, devenant neuf fois bâtonnier entre 1852 et 1867. Bibliographie . Sources Naissance en avril 1801 Naissance à Brioude Décès en novembre 1870 Décès dans le Puy-de-Dôme Député de la Haute-Loire Député de la monarchie de Juillet Décès à 69 ans
Ryan Caldwell
Ryan Caldwell est né le à Belfast (Irlande du Nord). C’est un joueur de rugby à XV international irlandais évoluant au poste de deuxième ligne (2 m et 112 kg). Carrière Ryan Caldwell joue avec la province de l'Ulster en Coupe d'Europe et en Celtic league entre 2005 et 2011. Palmarès Notes et références Liens externes Joueur international irlandais de rugby à XV Deuxième ligne (rugby à XV) Joueur de l'Ulster Rugby Joueur de Bath Rugby Joueur des Exeter Chiefs Naissance en septembre 1984 Naissance à Belfast
Nana Palsikar
Nana Palsikar (hindi : नाना पालसिकर), né le à Bombay (Inde ; alors Raj britannique), ville où il est mort le , est un acteur indien. Biographie Faisant carrière au cinéma principalement dans des films indiens produits à Bollywood (auxquels s'ajoutent quelques films étrangers ou coproductions), Nana Palsikar contribue à plus de cent-vingt films sortis entre 1935 et 1984, année de sa mort à 76 ans. Parmi ses films notables, mentionnons Deux Hectares de terre (1953, avec Balraj Sahni et Nirupa Roy) et Devdas (1955, avec Dilip Kumar et Vyjayanthimala), tous deux réalisés par Bimal Roy, Maya de John Berry (film américain, 1966, avec Clint Walker et Jay North), Dhund de Baldev Raj Chopra (1973, avec Zeenat Aman et Danny Denzongpa) et Aakrosh de Govind Nihalani (1980, avec Reema Lagoo et Om Puri). Dans les années 1960, Nana Palsikar gagne deux Filmfare Awards du meilleur acteur dans un second rôle (voir détails en rubrique « Récompenses » ci-après). Filmographie partielle 1943 : (शकुंतला) de V. Shantaram : le ministre 1953 : Deux Hectares de terre (दो बीघा ज़मीन) de Bimal Roy : Dhangu Maheto 1954 : (बाप बेटी) de Bimal Roy 1955 : Shree 420 (श्री ४२०) de Raj Kapoor : un joueur 1955 : (झनक झनक पायल बाजे) de V. Shantaram : Sadhu 1955 : Devdas (देवदास) de Bimal Roy : le chanteur des rues 1959 : (अनाड़ी) de Hrishikesh Mukherjee : le prêtre maléfique 1960 : (मेरा घर मेरे बच्चे) de Sohrab Modi : Sharmaji 1960 : (कानून) de Baldev Raj Chopra : Kaalia 1962 : (आशिक) de Hrishikesh Mukherjee : Thakur 1963 : (शहर और सपना) de Khwaja Ahmad Abbas : le violoniste Johnny 1963 : (गुमराह) de Baldev Raj Chopra : le père de Meena 1963 : Bharosa (भरोसा) de : Shivcharan Das 1964 : (हमरा घर) de Khwaja Ahmad Abbas 1964 : Sangam (संगम) de Raj Kapoor : Nathu 1965 : (भूत बंगला) de Mehmood : Ramlal Ramu 1965 : (आरज़ू) de Ramanand Sagar : le docteur 1965 : (आसमा महल) de Khwaja Ahmad Abbas 1966 : Maya de John Berry : le père de Raji 1966 : (अनुपमा) de Hrishikesh Mukherjee : l'assistant de Mohan Sharma 1966 : (आख़िरी ख़त) de Chetan Anand 1967 : (हमराज़) de Baldev Raj Chopra : Jumma 1967 : (बूँद जो बन गयी मोती) de V. Shantaram : le directeur de l'école 1967 : (बहारों के सपने) de Nasir Hussain : Bholanath 1969 : (The Guru) de James Ivory : le maître du gourou 1969 : (आदमी और इंसान) de Yash Chopra : le juge B. N. Desai 1970 : (हीर रांझा) de Chetan Anand : Diwan 1971 : (उपहार) de Sudhendu Roy : Ramchandra Awasthi 1972 : (दास्तान) de Baldev Raj Chopra : Khanna 1972 : (ललकार) de Ramanand Sagar 1972 : (शोर) de Manoj Kumar : le voleur 1973 : Dhund (धुंध) de Baldev Raj Chopar : le juge 1974 : (इश्क इश्क इश्क) de Dev Anand 1977 : (कर्म) de Baldev Raj Chopra : Shivlal 1978 : (पति पत्नी और वो) de Baldev Raj Chopra : Nanaji 1980 : Aakrosh (आक्रोश) de Govind Nihalani : le père de Bhiku 1980 : (The Naxalites) de Khwaja Ahmad Abbas : Charu Majumdar 1981 : (अग्नि परीक्षा) de Baldev Raj Chopra : Dinanath Sharma 1982 : Gandhi de Richard Attenborough : un vieux villageois Récompenses Deux Filmfare Awards du meilleur acteur dans un second rôle gagnés : En 1962, pour ; Et en 1965, pour . Liens externes Acteur indien de cinéma Naissance en mai 1908 Naissance à Bombay Naissance dans le Raj britannique Décès en juin 1984 Décès à 76 ans Décès à Bombay