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DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme nerveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme ne@rveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme neurveuse@, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez@@ lui. Nous nous mimes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maitre et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connait pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées.
Nous nous mimes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées.
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DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme nerveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme ne@rveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme neurveuse@, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez@@ lui. Nous nous mimes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maitre et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connait pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher.
Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher.
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DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme nerveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme ne@rveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme neurveuse@, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez@@ lui. Nous nous mimes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maitre et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connait pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche.
Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maitre et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche.
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DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme nerveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme ne@rveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme neurveuse@, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez@@ lui. Nous nous mimes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maitre et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connait pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques.
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DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme nerveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme ne@rveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme neurveuse@, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez@@ lui. Nous nous mimes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maitre et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connait pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente.
Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente.
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DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme nerveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme ne@rveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme neurveuse@, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez@@ lui. Nous nous mimes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maitre et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connait pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées.
On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées.
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DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme nerveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme ne@rveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme neurveuse@, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez@@ lui. Nous nous mimes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maitre et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connait pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien.
En effet, si le magnétiseur ne connait pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien.
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DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme nerveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme ne@rveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme neurveuse@, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez@@ lui. Nous nous mimes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maitre et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connait pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté
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23 plus loin dès difficultés en tous genres et sans cesse re-haissantes les découragent, et, pour comble de disgrâcej la présence dés Jos 1 les. remplit tellement dé frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT ÉE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre là résistance qu'on lui opposait les menaces ni lés promesses ne peuvent plus décider personne à obéir est après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lai il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempêté mugis-sante, il cède à la vague qui le Couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus' ou moins nombreuses qui vivent dans L'intérieur de la Gui-née, se mettent eh embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où lis sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
23 plus loin dès difficultés en tous genres et sans cesse re-haissantes les découragent, et, pour comble de disgrâcej la présence dés Jos 1 les. remplit tellement dé frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT ÉE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre là résistance qu'on lui opposait les menaces ni lés promesses ne peuvent plus décider personne à obéir est après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lai il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempêté mugis-sante, il cède à la vague qui le Couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus' ou moins nombreuses qui vivent dans L'intérieur de la Gui-née, se mettent eh embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où lis sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
23 plus loin des difficultés en tous genres et sans cesse re-naissantes les découragent, et, pour comble de disgrâce@ la présence des Jos 1 les. remplit tellement de frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT DE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre la résistance qu'on lui opposait les menaces ni les promesses ne peuvent plus décider personne à obéir e@t après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lui il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempête mugis-sante, il cède à la vague qui le couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus@ ou moins nombreuses qui vivent dans l'intérieur de la Gui-née, se mettent en embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où ils sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
remplit tellement dé frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT ÉE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire.
remplit tellement de frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT DE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire.
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23 plus loin dès difficultés en tous genres et sans cesse re-haissantes les découragent, et, pour comble de disgrâcej la présence dés Jos 1 les. remplit tellement dé frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT ÉE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre là résistance qu'on lui opposait les menaces ni lés promesses ne peuvent plus décider personne à obéir est après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lai il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempêté mugis-sante, il cède à la vague qui le Couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus' ou moins nombreuses qui vivent dans L'intérieur de la Gui-née, se mettent eh embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où lis sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
23 plus loin dès difficultés en tous genres et sans cesse re-haissantes les découragent, et, pour comble de disgrâcej la présence dés Jos 1 les. remplit tellement dé frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT ÉE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre là résistance qu'on lui opposait les menaces ni lés promesses ne peuvent plus décider personne à obéir est après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lai il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempêté mugis-sante, il cède à la vague qui le Couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus' ou moins nombreuses qui vivent dans L'intérieur de la Gui-née, se mettent eh embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où lis sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
23 plus loin des difficultés en tous genres et sans cesse re-naissantes les découragent, et, pour comble de disgrâce@ la présence des Jos 1 les. remplit tellement de frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT DE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre la résistance qu'on lui opposait les menaces ni les promesses ne peuvent plus décider personne à obéir e@t après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lui il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempête mugis-sante, il cède à la vague qui le couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus@ ou moins nombreuses qui vivent dans l'intérieur de la Gui-née, se mettent en embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où ils sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre là résistance qu'on lui opposait les menaces ni lés promesses ne peuvent plus décider personne à obéir est après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lai il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempêté mugis-sante, il cède à la vague qui le Couvre, qui l'entraîne.
Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre la résistance qu'on lui opposait les menaces ni les promesses ne peuvent plus décider personne à obéir et après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lui il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempête mugis-sante, il cède à la vague qui le couvre, qui l'entraîne.
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23 plus loin dès difficultés en tous genres et sans cesse re-haissantes les découragent, et, pour comble de disgrâcej la présence dés Jos 1 les. remplit tellement dé frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT ÉE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre là résistance qu'on lui opposait les menaces ni lés promesses ne peuvent plus décider personne à obéir est après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lai il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempêté mugis-sante, il cède à la vague qui le Couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus' ou moins nombreuses qui vivent dans L'intérieur de la Gui-née, se mettent eh embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où lis sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
23 plus loin dès difficultés en tous genres et sans cesse re-haissantes les découragent, et, pour comble de disgrâcej la présence dés Jos 1 les. remplit tellement dé frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT ÉE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre là résistance qu'on lui opposait les menaces ni lés promesses ne peuvent plus décider personne à obéir est après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lai il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempêté mugis-sante, il cède à la vague qui le Couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus' ou moins nombreuses qui vivent dans L'intérieur de la Gui-née, se mettent eh embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où lis sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
23 plus loin des difficultés en tous genres et sans cesse re-naissantes les découragent, et, pour comble de disgrâce@ la présence des Jos 1 les. remplit tellement de frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT DE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre la résistance qu'on lui opposait les menaces ni les promesses ne peuvent plus décider personne à obéir e@t après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lui il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempête mugis-sante, il cède à la vague qui le couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus@ ou moins nombreuses qui vivent dans l'intérieur de la Gui-née, se mettent en embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où ils sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
I On appelle ainsi des hordes de bandits plus' ou moins nombreuses qui vivent dans L'intérieur de la Gui-née, se mettent eh embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières.
I On appelle ainsi des hordes de bandits plus ou moins nombreuses qui vivent dans l'intérieur de la Gui-née, se mettent en embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières.
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23 plus loin dès difficultés en tous genres et sans cesse re-haissantes les découragent, et, pour comble de disgrâcej la présence dés Jos 1 les. remplit tellement dé frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT ÉE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre là résistance qu'on lui opposait les menaces ni lés promesses ne peuvent plus décider personne à obéir est après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lai il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempêté mugis-sante, il cède à la vague qui le Couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus' ou moins nombreuses qui vivent dans L'intérieur de la Gui-née, se mettent eh embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où lis sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
23 plus loin dès difficultés en tous genres et sans cesse re-haissantes les découragent, et, pour comble de disgrâcej la présence dés Jos 1 les. remplit tellement dé frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT ÉE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre là résistance qu'on lui opposait les menaces ni lés promesses ne peuvent plus décider personne à obéir est après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lai il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempêté mugis-sante, il cède à la vague qui le Couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus' ou moins nombreuses qui vivent dans L'intérieur de la Gui-née, se mettent eh embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où lis sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
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Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts.
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Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où lis sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,.
Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où ils sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,.
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23 plus loin dès difficultés en tous genres et sans cesse re-haissantes les découragent, et, pour comble de disgrâcej la présence dés Jos 1 les. remplit tellement dé frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT ÉE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre là résistance qu'on lui opposait les menaces ni lés promesses ne peuvent plus décider personne à obéir est après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lai il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempêté mugis-sante, il cède à la vague qui le Couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus' ou moins nombreuses qui vivent dans L'intérieur de la Gui-née, se mettent eh embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où lis sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
23 plus loin dès difficultés en tous genres et sans cesse re-haissantes les découragent, et, pour comble de disgrâcej la présence dés Jos 1 les. remplit tellement dé frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT ÉE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre là résistance qu'on lui opposait les menaces ni lés promesses ne peuvent plus décider personne à obéir est après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lai il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempêté mugis-sante, il cède à la vague qui le Couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus' ou moins nombreuses qui vivent dans L'intérieur de la Gui-née, se mettent eh embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où lis sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
23 plus loin des difficultés en tous genres et sans cesse re-naissantes les découragent, et, pour comble de disgrâce@ la présence des Jos 1 les. remplit tellement de frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT DE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre la résistance qu'on lui opposait les menaces ni les promesses ne peuvent plus décider personne à obéir e@t après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lui il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempête mugis-sante, il cède à la vague qui le couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus@ ou moins nombreuses qui vivent dans l'intérieur de la Gui-née, se mettent en embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où ils sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
ne pouvant être reconnus.
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23 plus loin dès difficultés en tous genres et sans cesse re-haissantes les découragent, et, pour comble de disgrâcej la présence dés Jos 1 les. remplit tellement dé frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT ÉE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre là résistance qu'on lui opposait les menaces ni lés promesses ne peuvent plus décider personne à obéir est après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lai il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempêté mugis-sante, il cède à la vague qui le Couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus' ou moins nombreuses qui vivent dans L'intérieur de la Gui-née, se mettent eh embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où lis sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
23 plus loin dès difficultés en tous genres et sans cesse re-haissantes les découragent, et, pour comble de disgrâcej la présence dés Jos 1 les. remplit tellement dé frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT ÉE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre là résistance qu'on lui opposait les menaces ni lés promesses ne peuvent plus décider personne à obéir est après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lai il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempêté mugis-sante, il cède à la vague qui le Couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus' ou moins nombreuses qui vivent dans L'intérieur de la Gui-née, se mettent eh embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où lis sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
23 plus loin des difficultés en tous genres et sans cesse re-naissantes les découragent, et, pour comble de disgrâce@ la présence des Jos 1 les. remplit tellement de frayeur que le fils du roi et un nègre , voyant que PALISOT DE BEAUVOIS persistait à pénétrer plus avant, se jetèrent dans le fleuve voisin et disparurent sur la rive fangeuse, s'ex-posant ainsi à un danger réel, la rencontre d'un croco-dile ou d'un serpent-géant, pour en éviter un imaginaire. Pendant deux jours entiers, il fît de vains efforts pour vaincre la résistance qu'on lui opposait les menaces ni les promesses ne peuvent plus décider personne à obéir e@t après être arrivé à plus de 150 myriamètres 3oo lieues de la côte , dans des lieux où jamais Européen n'avait pénétré avant lui il voit ses projets déçus le désespoir s'empare de son ame , mais semblable au nocher qui lutté inutilement contre la tempête mugis-sante, il cède à la vague qui le couvre, qui l'entraîne. I On appelle ainsi des hordes de bandits plus@ ou moins nombreuses qui vivent dans l'intérieur de la Gui-née, se mettent en embuscade , soit dans des buissons très-touffus sur les bords des chemins , soit dans les criques, le' long des rivières. Là, les Jos attendent patiemment leur proie, et fondent sur elle, lorsqu'ils se jugent les plus, forts. Quand ces voleurs n'ont point fait de captures, et qu'ils sont pressés par la faim ou qu'ils craignent des re-proches de leurs chefs, ils se rendent la nuit au village-le plus voisin, y mettent le feu, s'emparent des habitans qu'ils peuvent attraper dans leur fuite, et les conduisent au dépôt général, d'où ils sont expédiés pour des comp-toirs lointains, où on les vend avec sécurité ,. ne pouvant être reconnus. Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
Les Jos ont des correspondances régulières qui dejouent tautes les mesures prises contre eux.
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48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tlltélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsqùe celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. - Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! - Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni do son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix - -- Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouyements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tlltélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsqùe celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. - Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! - Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni do son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix - -- Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouyements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes t@utélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsque celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. -@Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! -@Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni de son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix -@@@@Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouvements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
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48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tlltélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsqùe celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. - Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! - Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni do son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix - -- Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouyements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes t@utélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsque celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. -@Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! -@Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni de son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix -@@@@Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouvements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur.
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48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tlltélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsqùe celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. - Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! - Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni do son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix - -- Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouyements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tlltélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsqùe celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. - Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! - Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni do son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix - -- Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouyements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes t@utélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsque celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. -@Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! -@Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni de son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix -@@@@Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouvements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tlltélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon.
Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tutélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon.
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48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes t@utélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsque celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. -@Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! -@Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni de son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix -@@@@Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouvements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ?
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Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité.
Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité.
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Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures.
Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures.
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48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tlltélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsqùe celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. - Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! - Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni do son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix - -- Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouyements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tlltélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsqùe celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. - Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! - Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni do son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix - -- Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouyements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes t@utélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsque celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. -@Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! -@Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni de son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix -@@@@Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouvements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
Un mo-ment vint où elle ne se contint plus.
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48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes t@utélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsque celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. -@Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! -@Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni de son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix -@@@@Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouvements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsqùe celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes.
Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsque celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes.
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48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tlltélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsqùe celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. - Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! - Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni do son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix - -- Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouyements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes t@utélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsque celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. -@Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! -@Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni de son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix -@@@@Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouvements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs.
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De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi.
De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi.
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48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tlltélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsqùe celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. - Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! - Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni do son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix - -- Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouyements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tlltélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsqùe celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. - Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! - Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni do son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix - -- Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouyements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes t@utélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsque celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. -@Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! -@Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni de son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix -@@@@Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouvements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
- Clémence ! s'écria-t-elle Clémence !
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48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes t@utélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsque celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. -@Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! -@Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni de son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix -@@@@Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouvements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
- Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné.
-Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné.
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Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté.
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48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tlltélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsqùe celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. - Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! - Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni do son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix - -- Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouyements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tlltélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsqùe celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. - Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! - Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni do son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix - -- Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouyements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes t@utélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsque celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. -@Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! -@Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni de son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix -@@@@Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouvements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible.
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48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes t@utélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsque celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. -@Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! -@Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni de son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix -@@@@Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouvements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni do son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix - -- Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin.
Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni de son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix -Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin.
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48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes tlltélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsqùe celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. - Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! - Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni do son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix - -- Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouyements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
48 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. s'y essayait, et, à force de se débattre, elle avait fini par s'en tirer à son honneur. Jamais pourtant elle n'avait dépassé les cordes t@utélaires, non pas qu'elle eût peur, mais elle n'ai-mait pas à faire montre de son courage, et respectait les consignes établies elle était de son sexe et n'avait rien d'un garçon. Pourquoi dérogea-t-elle, ce jour-là, à sa circonspection ordinaire ? Ce fut le secret de son coeur, ou peut-être obéit-elle à une fatalité. Les émotions de la journée, l'aspect de ce monde réuni, les cris de joie, les éclats de rire, ces scènes folâtres, ces essais malencontreux agissaient sur elle comme autant d'aiguillons et la poussaient aux aventures. Un mo-ment vint où elle ne se contint plus. Elle était près de Claire, le pied sur le sable et baignée jusqu'aux épaules, lorsque celle-ci la vit plonger par un mouvement soudain et dispa-raître pendant quelques secondes. Quand elle se remontra à la surface, elle était bien au delà des cordes, nageant en pleine eau, s'y jouant comme un dauphin, coupant la vague avec une sorte d'ivresse et se dirigeant vers la ligne des récifs. De la part de la jeune femme, une telle hardiesse était si nouvelle et si imprévue, que Claire ne put se défendre d'un sentiment d'effroi. -@Clémence ! s'écria-t-elle Clémence ! -@Clémence, répéta la marquise, qui suivait cette scène de l'oeil et d'un point plus éloigné. Averties par ce double appel, les baigneuses portèrent leurs regards de ce côté et aperçurent cette compagne témé-raire qui gagnait le large avec l'aplomb d'un nageur expéri-menté. Dès ce moment, ce fut un spectacle pour elles, avec des impressions diverses et des avis opposés. Celles-ci s'ef-frayaient, celles-là applaudissaient toutes y portaient un intérêt visible. Cependant la jeune femme ne semblait rien perdre ni de son assurance, ni de son sang-froid sur le cri d'alarme de ses deux amies elle avait fait une halte, et, se soutenant d'une main au-dessus de l'eau, elle appliqua l'autre à sa bouche en guise de porte-voix -@@@@Soyez sans crainte, leur dit-elle je n'irai pas loin. Puis elle reprit son élan vers la haute mer. En voyant l'aisance de ses mouvements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
Puis elle reprit son élan vers la haute mer.
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En voyant l'aisance de ses mouvements, la souplesse et la vigueur de ses allures, toute appréhension cessa la confiance reprit le
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
- On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient.
-On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut.
Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir?
Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir ?
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
- -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité.
La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile.
Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme.
Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil.
Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir.
De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin.
Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte.
Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
- Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné !
-Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné !
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage.
L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel.
Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang amua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder lécueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de sUoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait.
Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61 4 de Gaston, car le sang a@@mua à ses joues et elle se dégagea doucement. - On vient ! répéta Saint-Pons. - On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? - Votre mari. @H fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux - Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir? - -La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l@écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte,-dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de s@@Uoin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. - Cruelle enfant 1 s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. -- Eh bien 1 lui dit le comte quand il reparut à quelques
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 61@@ de Gaston, car le sang afflua à ses joues et elle se dégagea doucement. -@On vient ! répéta Saint-Pons. -@On vient, dit-elle en forme d'écho et si bas qu'à peine put-il l'entendre on vient. Qui donc ? -@Votre mari. Il fallait que ce mot eût une singulière puissance pour que la jeune femme s'y montrât sensible comme elle le fut. Elle releva la tête avec vivacité, et accompagnant ses paroles d'un geste douloureux -@Gaston, dit-elle, pourquoi ne m'avez-vous pas laissée mourir@ ? @La barque n'était plus qu'à une petite distance, et les ra-meurs s'arrangeaient de manière à aborder l'écueil par le point le moins agité. Au milieu de ces fonds inégaux et de ces courants capricieux, ce n'était pas une manoeuvre facile. Le vieux comte, dont le pied n'était pas sûr, restait assis sur l'arrière, adressant à sa fille, du plus loin qu'il le pût, des mots encourageants et des témoignages de tendresse tandis que le baron, immobile et silencieux, se tenait debout sur l'avant, comme s'il eût voulu hâter l'instant où il reprendrait possession de sa femme. Les trois marins songeaient à leur besogne, et l'un d'eux, armé d'une gaffe, cherchait à la fixer sur l'écueil. De son côté, Gaston s'était remis à l'eau, et quand la barque se trouva à sa portée, il la poussa doucement et aida à la maintenir. Quant à Clémence, personne, à la voir, n'eût deviné qu'elle revenait de si loin. Le coude appuyé sur le rocher, elle suivait cette scène d'un oeil curieux et chargé de langueur, et répondait par des gestes caressants aux dé-monstrations lointaines du comte. Dès que la barque fut là, elle put descendre sans un trop grand effort et se jeta dans les bras du vieillard, dont le visage était baigné de larmes. -@Cruelle enfant ! s'écriait-il, que de tourment tu nous a donné ! L'expédition était achevée, et il ne restait plus qu'à rega-gner le rivage. Les marins allaient reprendre les rames quand on s'aperçut que Gaston manquait à l'appel. Au lieu de mon-ter dans l'embarcation, il venait d'exécuter, avec son aisance habituelle, un plongeon qui l'en éloignait. @-@Eh bien ! lui dit le comte quand il reparut à quelques
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70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vqrtu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vqrtu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vertu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation.
70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation.
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70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vqrtu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vqrtu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vertu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes.
La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes.
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70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vqrtu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vqrtu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vertu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme.
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Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité.
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70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vqrtu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vqrtu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vertu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance.
Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance.
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70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vqrtu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vqrtu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vertu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale.
Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale.
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70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vertu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous.
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70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vqrtu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
70 VIE DE L'ABBE NICOLLE jeter les fondements de son immense réputation. La nuit, le jour, il dirige, il encourage, il fonde dès con-trées désertes avant lui sont peuplées l'agriculture, le commerce, l'industrie, tout s'accroît, tout prospère, et Odessa, qui peu d'années avant lui n'était qu'une bour-gade misérable, se place par ses soins au rang des villes les plus florissantes. Heureux de ces succès, Alexandre conçut un projet digne de l'élévation dé son âme. Tous les historiens s'accordent pour nous montrer ce Prince doué de ces éminentes qualités qui font les souverains aimés de leurs peuples. Sa bonté était con-nue son affabilité lui conciliait tous les coeurs, mais une vqrtu dominait surtout en son coeur la piété. Elle le rendait tout naturellement accessible aux sentiments de la bienfaisance et de la charité. Il professait pour la religion catholique une estime très-grande mille bien-faits en ont été les témoignages authentiques. Il aimait aussi le clergé français, et il saisissait avec bonheur toutes les occasions de lui manifester ses sentiments de bienveillance. Ces qualités religieuses ne lui permet-taient donc pas de laisser se perdre, dans l'indifférence ou l'oubli, les croyances des nombreux colons qu'il avait attirés dans la Russie méridionale. Une bonne pensée s'offrit à sa piété il la reçut comme venue du ciel, et il nomma à la délicate mission de visiter ces colonies celui que son zèle, sa science et sa foi avaient déjà fait con-naître et estimer de tous. M. Nicolle accepta. Les colonies sur lesquelles le Czar venait de jeter
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108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un affeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. -@Comment@! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? -@Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . -@Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus âgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que je vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit -@Il y a le suc de trois plantes -@lui seul peut les indiquer -@l'une est une plante grasse -@elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable.
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable.
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108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un affeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. -@Comment@! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? -@Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . -@Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus âgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que je vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit -@Il y a le suc de trois plantes -@lui seul peut les indiquer -@l'une est une plante grasse -@elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis.
Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis.
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108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un affeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. -@Comment@! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? -@Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . -@Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus âgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que je vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit -@Il y a le suc de trois plantes -@lui seul peut les indiquer -@l'une est une plante grasse -@elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon.
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108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un affeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. -@Comment@! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? -@Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . -@Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus âgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que je vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit -@Il y a le suc de trois plantes -@lui seul peut les indiquer -@l'une est une plante grasse -@elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer .
Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un affeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer .
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108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un affeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. -@Comment@! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? -@Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . -@Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus âgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que je vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit -@Il y a le suc de trois plantes -@lui seul peut les indiquer -@l'une est une plante grasse -@elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront.
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108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un affeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. -@Comment@! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? -@Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . -@Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus âgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que je vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit -@Il y a le suc de trois plantes -@lui seul peut les indiquer -@l'une est une plante grasse -@elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
- Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que?
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108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un affeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. -@Comment@! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? -@Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . -@Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus âgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que je vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit -@Il y a le suc de trois plantes -@lui seul peut les indiquer -@l'une est une plante grasse -@elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
que signifie cette plaisanterie ?
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108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un affeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. -@Comment@! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? -@Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . -@Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus âgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que je vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit -@Il y a le suc de trois plantes -@lui seul peut les indiquer -@l'une est une plante grasse -@elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
- Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris .
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108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un affeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. -@Comment@! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? -@Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . -@Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus âgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que je vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit -@Il y a le suc de trois plantes -@lui seul peut les indiquer -@l'une est une plante grasse -@elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
- Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait.
-Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus âgés il n'est pas médecin, mais il sait.
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108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un affeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. -@Comment@! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? -@Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . -@Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus âgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que je vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit -@Il y a le suc de trois plantes -@lui seul peut les indiquer -@l'une est une plante grasse -@elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules.
Remarquez que je vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules.
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108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un affeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. -@Comment@! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? -@Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . -@Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus âgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que je vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit -@Il y a le suc de trois plantes -@lui seul peut les indiquer -@l'une est une plante grasse -@elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient.
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108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un aiIeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. - Comment ! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? - Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . - Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus àgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que ie vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
108 L'ART DE MAGNÉTISER Je traitais à cette époque une dame, dont le somnambu-lisme était arrivé à un degré de lucidité fort remarquable. Je lui demandai si, sans aucun autre indice que le numéro de la maison et le nom de la rue, elle pourrait voir un malade que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu, et sur lequel je désirais avoir son avis. Elle me répondit que cela se pouvait, et immédiatement elle se transporta vers l'endroit indiqué, m'apprit que ce malade habitait au rez-de-chaussée, qu'elle voyait un monsieur dans une chambre faisant suite à un salon. Elle me dépeignit parfaitement ce malade, me dit qu'il avait une plaie horrible au côté gauche de la poi-trine, et témoigna un affeux dégoût de ce qu'elle voyait tout cela était exact, et, d'après ce que je sus depuis, son dégoût se comprend, car ce malheureux malade était atteint d'un cancer . Tout à coup la somnambule bondit et s'écria Mais il y a du remède que ce monsieur aille voir les sauvages, ils le guériront. -@Comment@! lui dis-je, vous voulez qu'il aille en Améri-que? que signifie cette plaisanterie ? -@Mais, répondit-elle, je ne parle pas d'Amérique, je parle des sauvages qui sont ici les Indiens O-Gibwas se trouvaient en ce moment à Paris . -@Il y en a un grand, continua-t-elle, nez aquilin, les yeux très étincelants il se tient fort droit, un des plus âgés il n'est pas médecin, mais il sait. Remarquez que je vous rapporte ici exactement les paro-les de la somnambule, c'est-à-dire des phrases décousues, sans suite, et c'est là le défaut des somnambules. Elles vont pour ainsi dire par saccades, sautant des pieds à la tête voyant à la fois toutes les parties du corps, et disant comme elles voient. Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit -@Il y a le suc de trois plantes -@lui seul peut les indiquer -@l'une est une plante grasse -@elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit - Il y a le suc de trois plantes - lui seul peut les indiquer - l'une est une plante grasse - elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
Après qu'elle eut dépeint cet homme, j'insistai afin de connaître le remède, et voici ce qu'elle nous dit -Il y a le suc de trois plantes -lui seul peut les indiquer -l'une est une plante grasse -elle se trouve dans les savanes la deuxième est comme de l'herbe simple, mais plus large et dentelée sur les côtés elle se trouve dans les
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38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques@, qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et ce morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout.
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques, qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout.
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38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques@, qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et ce morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille.
Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et ce morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille.
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38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques@, qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et ce morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté.
Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté.
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38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques@, qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et ce morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée.
Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée.
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38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques@, qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et ce morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout.
Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout.
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38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques@, qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et ce morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science.
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38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques@, qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et ce morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet.
Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet.
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38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques , qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et co morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
38 L'ART DE MAGNÉTISER fluide magnétique minéral, mais encore comme preuves à l'appui de la théorie que j'ai avancée, qu'il n'y a, pour les phénomènes magnétiques@, qu'une seule cause physique, naturelle, le fluide vital et que la volonté n'est là qu'un accessoire, comme elle l'est en tout. Ici l'on ne pourra pas me dire que la volonté a pu agir autrement que sur moi-même, et qu'elle peut non seulement être communiquée à ce barreau ou à cette eau, mais encore que cette eau et ce morceau de fer aient pu la transmettre à l'aiguille. Non, il faut bien le reconnaître, ce n'est point la volonté qui agit sur le fer, sur l'eau, sur l'aiguille, c'est le fluide vital dont vous avez saturé le fer ou l'eau qui réagit sur l'aiguille, et votre volonté n'a d'action que sur vous-même, en provoquant une émission plus grande, selon que cette volonté s'exerce avec plus de fermeté le fluide agit sur l'aiguille dans le sens de votre action et non d'après votre volonté. Pour preuve, vous pourrez avoir la volonté d'atti-rer l'aiguille, tout en agissant comme il le faut pour pro-duire un effet de répulsion, et, malgré votre volonté d'attirer, l'aiguille sera repoussée. Donc, il n'est point nécessaire, en magnétisant, d'avoir telle ou telle volonté pour obtenir tel ou tel résultat donc il n'est point nécessaire d'avoir des intentions bienveillantes ou malveillantes, morales ou immorales, pour produire de bons ou de mauvais résultats donc, le fluide n'est point imprégné par tels ou tels sentiments que le magnétiseur éprouve, comme on le dit partout. Non, il suffit de savoir agir et diriger le fluide, de modérer ou d'activer l'action là est toute la science. Je prends, comme preuve de ce que j'avance, un fait sur lequel M. l'abbé Loubert s'appuie pour démontrer le con-traire, à savoir comment l'action de l'âme, le sentiment dont on est animé, moral ou immoral, agit sur le sujet. Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
Je cite M. Loubert textuellement Le docteur Filassier prit un jour pour sujet d'expéri-mentation un interne des hôpitaux, adversaire spirituel de a doctrine du magnétisme, et il produisit les phéno-
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26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots @Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots l'intention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme.
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme.
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26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots @Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots l'intention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel.
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26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots @Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots l'intention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle.
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26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots @Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots l'intention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté.
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26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots @Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots l'intention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme.
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26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots @Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots l'intention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
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26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots @Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots l'intention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique.
Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique.
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26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots @Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots l'intention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel.
Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel.
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26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots @Vintention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
26 L'ART DE MAGNÉTISER auteurs que nous avons cités admettaient une seule et même cause émanant de l'homme. Mesmer reconnaissait pour cause des effets magnétiques le fluide universel. L'abbé Faria, le docteur Billot et quelques autres, faisant intervenir la divinité, les anges, etc., n'admettaient qu'une seule cause, mais toute spirituelle. De Puységur, Deleuze, du Potet reconnaissaient et ad-mettaient deux causes distinctes l'une spirituelle, l'autre matérielle, le fluide et la volonté. Ils attribuaient à la volonté une action positive sur la personne magnétisée c'est même à cette volonté qu'ils traduisent par ces mots l'intention ou la pensée qu'ils assi-gnaient la plus grande force et le premier rang comme cause dans les phénomènes du magnétisme. Nous sommes complètement en désaccord avec les chefs de l'école mesmérienne. Les nombreuses expériences que nous avons faites pour arriver à la vérité, nous ont convaincu qu'il n'existe pour les effets magnétiques qu'une seule et unique cause, le FLUIDE VITAL, dont le principe est bien le fluide universel, modifié par la nature de l'homme, et qui, spiritualisé par l'âme et matérialisé par le corps, perd cer-taines propriétés et en acquiert d'autres participant de ces deux éléments, il peut être émis au dehors sous l'empire de la volonté, envahir tous les corps vivants ou inertes, et être communiqué à distance sans aucun intermédiaire, étant en cela plus subtil que le fluide électrique. Ce principe, invisible comme l'air, comme la chaleur, l'électricité, les gaz, impalpable comme la lumière, fut appelé fluide magnétique, puis magnétisme animal, pour le distinguer du minéral et des autres fluides enfin aujour-d'hui il est mieux nommé magnétisme vital, en considéra-tion du rôle important qu'il joue dans l'organisme mieux vaudrait peut-être l'appeler fluide universel, puisqu'il se retrouve dans tout et qu'il anime tout on se rapprocherait ainsi d'Hippocrate, qui professait un principe intérieur, occulte, universel. Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
Lorsque la chaleur, la lumière, l'électricité et les autres
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VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient -l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but. a Et quels efforts ne faisions-nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom-phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Dès palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient -l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but. a Et quels efforts ne faisions-@nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom-@phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Dès palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient @l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but.@@ Et quels efforts ne faisions- nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom- phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Des palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne.
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VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient -l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but. a Et quels efforts ne faisions-nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom-phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Dès palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient -l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but. a Et quels efforts ne faisions-@nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom-@phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Dès palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient @l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but.@@ Et quels efforts ne faisions- nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom- phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Des palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
C'était un heureux augure pour son oeuvre.
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VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient -l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but. a Et quels efforts ne faisions-nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom-phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Dès palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient -l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but. a Et quels efforts ne faisions-@nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom-@phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Dès palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient @l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but.@@ Et quels efforts ne faisions- nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom- phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Des palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable .
La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable .
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VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient -l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but. a Et quels efforts ne faisions-nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom-phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Dès palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient -l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but. a Et quels efforts ne faisions-@nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom-@phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Dès palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient @l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but.@@ Et quels efforts ne faisions- nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom- phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Des palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques.
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VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient -l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but. a Et quels efforts ne faisions-@nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom-@phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Dès palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient @l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but.@@ Et quels efforts ne faisions- nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom- phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Des palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
Ces examens excitaient -l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut.
Ces examens excitaient l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut.
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VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient -l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but. a Et quels efforts ne faisions-@nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom-@phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Dès palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
VIE DE L'ABBE NICOLLE 37 sadeur de toutes les Russies près trois cours d'Allema-gne. C'était un heureux augure pour son oeuvre. La force des études et les progrès des élèves en assu-raient du reste le succès d'une manière encore plus du-rable . Le premier lundi de chaque mois, un examen avait lieu devant les parents assemblés et en présence des étrangers de distinction que le sage directeur ne man-quait jamais d'inviter pour ces époques. Ces examens excitaient @l'émulation et étaient en quelque sorte la vie de l'institut. Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but.@@ Et quels efforts ne faisions- nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom- phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite. L'un des grands mérites d'un maître est, sans con-tredit, celui d'animer dans le coeur de ses élèves cette noble ardeur au travail. Des palmes, des honneurs, des éloges donnés à propos, soit en particulier, soit en pu-blic, flattent le coeur, réveillent l'intelligence, aiguil-lonnent toutes les facultés de l'enfant il sent alors qu'il
Déjà, dans l'ancienne Rome, ils étaient éta-blis dans le même but.
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Et quels efforts ne faisions- nous pas pour remporter la palme! dit Quintilien, parlant des jours de son enfance se distinguer des autres par son travail, telle était l'ambition de tous, Celui qui avait été vaincu un jour ne perdait pas l'espérance de triompher de son vainqueur un autre jour, et l'émulation n'en devenait que plus animée, car dans l'attente d'un nouveau combat le triom- phateur de la veille n'oubliait rien pour se conserver l'honneur de son triomphe, et le vaincu trouvait dans sa honte et dans sa douleur de nouvelles forces pour se relever de sa défaite.
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