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62.txt | 1,821 | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, Sgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insuie, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, Sgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insuie, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, âgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insule, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. | Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. | 0 | 0 | 0 |
62.txt | 1,821 | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, Sgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insuie, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, Sgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insuie, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, âgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insule, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, Sgé de 90 ans. | LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, âgé de 90 ans. | 1 | 0.00156 | 0.008197 |
62.txt | 1,821 | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, Sgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insuie, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, Sgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insuie, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, âgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insule, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. 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62.txt | 1,821 | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, Sgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insuie, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, Sgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insuie, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, âgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insule, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | , dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insuie, avec une dédi-cace. | , dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insule, avec une dédi-cace. | 1 | 0.0125 | 0.052632 |
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LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, Sgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insuie, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. 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LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, âgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insule, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | L'ouvrage est demeuré manuscrit. | L'ouvrage est demeuré manuscrit. | 0 | 0 | 0 |
62.txt | 1,821 | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, Sgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insuie, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, Sgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insuie, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | 4 lorsqu'il se sentit entraîné comme par enchantement vers la botanique il se lia très-intimement avec le docteur J. B. LESTIBOUDOIS I qui, depuis 1770, professait cette science à Lille, et s'était fait un nom cher aux amis de la nature , en révélant, dès 1737 , les propriétés de la pomme de terre, et en devinant les grandes ressources que PARMENTIER devait plus tard découvrir dans ce tu-bercule , auquel le vulgaire venait d'imputer la naissance d'une épidémie désastreuse. Alors , une révolution mémorable avait arraché la bo-tanique à l'instabilité d'une nomenclature vague, aux tristes livrées que lui avaient imposées le XVIe. siècle. LINNÉ dictait les lois qui devaient la régir, lui frayait une route nouvelle dont il sut rendre l'accès agréable et fa-cile autour du genre créé par TOURNEFORT , il rangeait des groupes de plantes qui lui révélaient elles-mêmes leurs aimables analogies dans le mystère de leurs amours, dans le mode de leur reproduction sublime dans son entre-, prise , et cédant à son imagination brillante, pleine de feu, il donnait aux confidens de Flore , pour s'entendre entre eux, un langage technique, simple et d'une éner-gique précision, que d'indiscrets disciples détruisent de 1 Né a Douai en 1715, et mort à Lille, le 20 mars 1804, âgé de 90 ans. Cethabile botaniste, auteur de la Bo-tanographie belgigue, 4 vol. in-8°., dressa , en mai 1776, pour son élève, un Botanicum Insule, avec une dédi-cace. L'ouvrage est demeuré manuscrit. LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | LESTIBOUDOIS a le premier montré, dans sa Carte botanique, l'union phi-losophique que l'on peut faire de la méthode de TOURNEFORT , avec le système de LINNÉ , union que M. LEFÉBURE a su réaliser, et à laquelle la Société Linnéenne de Paris tra-vaille à donner toute la perfection dont elle est susceptible. | 0 | 0 | 0 |
177.txt | 1,864 | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poëtes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. | 0 | 0 | 0 |
177.txt | 1,864 | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poëtes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. | Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. | 0 | 0 | 0 |
177.txt | 1,864 | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poëtes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. | Les poëtes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. | 1 | 0.004695 | 0.02381 |
177.txt | 1,864 | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poëtes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. | Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. | 0 | 0 | 0 |
177.txt | 1,864 | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poëtes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. | Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. | 0 | 0 | 0 |
177.txt | 1,864 | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poëtes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. | Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. | 0 | 0 | 0 |
177.txt | 1,864 | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poètes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | -211 -roi quelques uns même l'ont comparée à Agnès Sorel, rapprochement plus ingénieux que vrai les idées du XIVe siècle ne ressemblaient pas plus à celles du XVIIIe que Chenonceaux ne peut être comparé à Choisy. Ce qui rendit plus triste et plus intéressante la mémoire de Madame de Châteauroux ce fut sa mort si soudaine, le lendemain de son triomphe. Les poëtes lui faisaient dire Sans relever l'éclat de mon illustre sang Un seul trait fera vivre à jamais ma mémoire, Louis revoit le jour pour me rendre mon rang Et je meurs sans regret pour lui rendre sa gloire. Il reste de la vie de Madame de Châteauroux bien peu de traces tout ce qu'on sait d'elle a été conservé dans les récits contemporains. Ces existences éphémères de favorites spirituelles, délicates ne laissent pas plus de trace que les bouquets de roses qui naissent, se fanent et s'ef-feuillent en quelques jours le rouge et le blanc s'éraillent, les mouches disparaissent Boucher seul les a fait revivre dans ses inimitables toiles. Les collecteurs d'autographes, gardent quelques lettres de Madame de Châteauroux dont l'authen-ticité n'est pas plus prouvée que celle de tant de pièces, mensonges de l'histoire. On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | On lui a fait écrire aussi des mémoires à cette époque de | 0 | 0 | 0 |
605.txt | 1,886 | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité@? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. -@Je vois une petite chose ronde, blanche -@c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. -@Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. -@Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, -@ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. -@Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. -@Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffe. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité ? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. | 0 | 0 | 0 |
605.txt | 1,886 | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité@? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. -@Je vois une petite chose ronde, blanche -@c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. -@Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. -@Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, -@ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. -@Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. -@Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffe. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité ? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. | -Je vois une petite chose ronde, blanche -c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. | 2 | 0.013158 | 0.055556 |
605.txt | 1,886 | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité@? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. -@Je vois une petite chose ronde, blanche -@c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. -@Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. -@Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, -@ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. -@Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. -@Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffe. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité ? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. | -Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. | 1 | 0.022222 | 0.0625 |
605.txt | 1,886 | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité@? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. -@Je vois une petite chose ronde, blanche -@c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. -@Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. -@Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, -@ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. -@Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. -@Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffe. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité ? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. | -Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, -ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. | 3 | 0.009202 | 0.043478 |
605.txt | 1,886 | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité@? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. -@Je vois une petite chose ronde, blanche -@c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. -@Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. -@Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, -@ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. -@Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. -@Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffe. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité ? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. | -Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. | 1 | 0.017857 | 0.083333 |
605.txt | 1,886 | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. 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Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité@? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. -@Je vois une petite chose ronde, blanche -@c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. -@Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. -@Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, -@ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. -@Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. -@Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffe. 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Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité ? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. | -Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffe. | 2 | 0.04 | 0.2 |
605.txt | 1,886 | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. 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Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité@? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. -@Je vois une petite chose ronde, blanche -@c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. -@Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. -@Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, -@ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. -@Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. -@Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffe. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité ? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. | Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. | 0 | 0 | 0 |
605.txt | 1,886 | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. 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Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. -@Je vois une petite chose ronde, blanche -@c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. -@Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. -@Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, -@ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. -@Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. -@Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffe. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité ? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. | D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. | 0 | 0 | 0 |
605.txt | 1,886 | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. 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Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. -@Je vois une petite chose ronde, blanche -@c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. -@Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. -@Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, -@ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. -@Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. -@Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffe. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité ? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. | Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. | 0 | 0 | 0 |
605.txt | 1,886 | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. 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Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité@? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. 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605.txt | 1,886 | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. 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Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité@? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. -@Je vois une petite chose ronde, blanche -@c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. -@Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. -@Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, -@ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. -@Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. -@Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffe. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité ? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. | Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. | 0 | 0 | 0 |
605.txt | 1,886 | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. - Je vois une petite chose ronde, blanche - c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. - Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. - Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est'plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, - ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. - Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. - Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffé. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité@? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | EFFETS PSYCHOLOGIQUES DANS LE SOMNAMBULISME 119 ces matières se trouvent dans le petit intestin, elles y sé-journent longtemps. -@Je vois une petite chose ronde, blanche -@c'est vieux, c'est rond, gris je ne vois ni tête, ni queue, ce ne sont pas des vers attendez que je voie bien. -@Oh! ce sont des vers, il n'y en a pas qu'un. -@Dans l'intestin qui reçoit la nourriture, ce n'est plus la même chose cela a une forme de ver cela a une tête qui est grosse comme le pouce elle tourne jusqu'à l'intestin grêle c'est attaché après c'est long d'un mètre, -@ça a des yeux ronds, gros, une bouche large comme le pouce il se nourrit de sang et du suc des aliments. -@Il est né avec l'individu et il s'est développé en lui. -@Si on l'empoisonne, je crains qu'il ne l'étouffe. Lorsque je vis que cette seconde somnambule m'accusait la même chose que la première, je commençai à être ébranlé et je pensai qu'elles pouvaient à elles deux avoir raison la seconde ordonna un traitement qui fut approuvé par la première. D'autres consultations eurent lieu, et toujours les deux somnambules virent l'animal, elles accusèrent sa mort et sa sortie mais, hélas ! s'il sortit, il se fit invisible, ce qui était difficile, puisque toutes les deux l'avaient désigné comme ayant un mètre de long. Ces deux somnambules se trompaient il n'y avait pas de ver, et c'était un effet de leur imagination la coïncidence d'opinion et de vue est difficile à expliquer mais enfin le fait est là il n'y a pas eu le plus petit indice de ver, je le répète, elles s'étaient trompées. Si deux somnambules peuvent se tromper sur les cheveux de la même personne, si leur imagination peut divaguer comme dans le cas ci-dessus, n'est-on pas autorisé à dire que le somnambulisme ne peut être de quelque utilité ? Quant à moi, je l'affirme dans toute la franchise de mon âme, non, le somnambulisme n'est pas utile, il est plutôt dangereux dans l'état actuel des choses. Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | Lorsque je fais des expériences de lucidité, je ne mets point de bandeau sur les yeux ni sur la figure cette pratique fatigue et échauffe inutilement les somnambules, et n'est | 0 | 0 | 0 |
639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme@de L@@. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme de L... était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvant observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaitre ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous@ continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. | 0 | 0 | 0 |
639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme@de L@@. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme de L... était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvant observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaitre ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous@ continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. | Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. | 0 | 0 | 0 |
639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme@de L@@. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme de L... était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvant observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaitre ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous@ continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. | Mme de L... était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. | 3 | 0.020134 | 0.125 |
639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme@de L@@. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme de L... était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvant observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaitre ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous@ continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. | J'avais souvant observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. | 1 | 0.004762 | 0.025641 |
639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme@de L@@. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme de L... était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvant observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaitre ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous@ continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. | C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. | 0 | 0 | 0 |
639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme@de L@@. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. 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639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. 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639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. 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Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme de L... était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvant observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaitre ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous@ continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. | Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. | 0 | 0 | 0 |
639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme@de L@@. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. 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639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. 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639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. 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639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. 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639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme@de L@@. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme de L... était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvant observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaitre ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous@ continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. | J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. | 0 | 0 | 0 |
639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme@de L@@. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme de L... était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvant observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaitre ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous@ continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. | Il n'y eut plus de crises, nous continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. | 1 | 0.006993 | 0.066667 |
639.txt | 1,886 | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mmede L. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. 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Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme@de L@@. était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvent observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaître ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous' continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 220 L'ART DE MAGNÉTISER l'eau ruisselait sur tout le corps. Cette transpiration extra-ordinaire portait avec elle une odeur âcre, fauve. Mme de L... était d'autant plus étonnée que sa mémoire ne lui rappelait pas que sa fille eût jamais eu, soit de la transpiration, soit de la moiteur. J'avais souvant observé, dans des maladies semblables, que l'on faisait mal d'arrêter dès son début une crise de cette sorte, et qu'il était plus rationnel de la laisser se développer en cherchant à la diriger. C'est ce que je fis en soutenant la malade par quelques passes. Après cinquante-deux minutes, m'apercevant que les forces allaient manquer, je magnétisai, et aussitôt le calme reparut. Je produisis ensuite le sommeil, et par des passes je ramenai les forces dans le corps épuisé par cette lutte terrible. Bientôt après le somnambulisme se manifesta, et, le sourire sur les lèvres, la pauvre enfant déclara qu'elle était contente, et que j'avais raison d'être satisfait, que les résultats de cette crise seraient excellents que la transpi-ration avait dégagé le corps des miasmes morbides. Il n'en fallait pas moins, en vérité, pour que la mère fût un peu tranquillisée, et qu'elle me pardonnât mon inaction pendant l'état horrible par lequel avait passé sa fille. Je prolongeai le sommeil jusqu'à neuf heures lorsque notre malade fut réveillée, elle se trouva bien, quoiqu'un peu fatiguée je la laissai, elle passa une bonne nuit. Le lendemain 21 elle fut calme, et il n'y eut que très peu de malaise. Jusque-là je m'étais occupé à calmer le système nerveux et à faire disparaitre ces crises périodiques qui duraient depuis six ans. J'y parvins en vingt jours c'était encoura-geant, si l'on veut bien réfléchir que rien de tout ce qu'on avait employé n'avait produit le plus petit changement. Il n'y eut plus de crises, nous@ continuâmes les magnéti-sations, le mieux se soutint d'une manière sensible, et les forces revinrent peu à peu. Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | Le 9 septembre la crise annoncée eut lieu à l'heure indi-quée, six heures elle fut plus violente que la première les | 0 | 0 | 0 |
413.txt | 1,876 | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siége du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, pour moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. | 0 | 0 | 0 |
413.txt | 1,876 | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siége du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, pour moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | L'âge également doit être pris en considération. | L'âge également doit être pris en considération. | 0 | 0 | 0 |
413.txt | 1,876 | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siége du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, pour moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. | Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siége du rhumatisme. | 1 | 0.011236 | 0.055556 |
413.txt | 1,876 | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siége du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. 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Il existe donc ici une relation | D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. | D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. | 0 | 0 | 0 |
413.txt | 1,876 | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siége du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, pour moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. | Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. | 0 | 0 | 0 |
413.txt | 1,876 | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. 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Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siége du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. 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Il existe donc ici une relation | Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. | Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. | 0 | 0 | 0 |
413.txt | 1,876 | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. 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Il existe donc ici une relation | Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. | Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. | 0 | 0 | 0 |
413.txt | 1,876 | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. 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Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, pour moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. | Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. | 0 | 0 | 0 |
413.txt | 1,876 | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siége du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, pour moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. | Je ne puis accepter cette interprétation, car, pour moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. | 1 | 0.00463 | 0.027027 |
413.txt | 1,876 | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siége du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, pour moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. | Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. | 0 | 0 | 0 |
413.txt | 1,876 | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siége du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, pour moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. | S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. | 0 | 0 | 0 |
413.txt | 1,876 | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siége du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, pour moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. | Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. | 0 | 0 | 0 |
413.txt | 1,876 | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siège du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, poar moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | -i-, -telle forme, à prendre une marche lente ou rapide, etc. L'âge également doit être pris en considération. Vogel trouvait un rapport entre la période de la vie du malade et le siége du rhumatisme. D'après lui, les affections rhumatismales atteindraient le vieillard surtout dans le segment inférieur et dans les viscères abdominaux tandis que, chez les jeunes sujets, elles occupent plutôt la partie supérieure du corps et les viscères encéphalique et tho-raciques. Mes observations particulières ne me permettent pas de poser une conclusion aussi absolue. Les causes intrinsèques pathologiques ont une grande importance. Sous cette dénomination, je comprends les manifestations rhumatismales qui précèdent générale-ment la pleurésie, en particulier, les déterminations car-diaques et les déterminations articulaires. Le fait de la pleurésie succédant à un rhumatisme articulaire, avait tellement frappé les observateurs d'autrefois, qu'ils dé-crivaient cette maladie comme une simple complication du rhumatisme des articulations. Je ne puis accepter cette interprétation, car, pour moi, l'inflammation de la plèvre, survenant dans ces circonstances, est une manifestation rhumatique indépendante, au même titre que le rhumatisme articulaire aigu. Néanmoins, comme l'a dit M. Chauffard, le rhumatisme articulaire aigu con-stitue le grand côté des affections rhumatismales. S'il m'était permis de m'exprimer ainsi, je dirais que les articulations sont l'entrée par où les manifestations du rhumatisme s'introduisent dans l'économie, pour se por-ter ensuite sur les autres organes. Telle personne, née rhumatisante, n'aurait jamais eu de pleurésie tenant à cette diathèse il lui survient un rhumatisme des jointures, consécutivement elle aura une pleurésie de même nature. Il existe donc ici une relation | Il existe donc ici une relation | Il existe donc ici une relation | 0 | 0 | 0 |
412.txt | 1,876 | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1@2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rap@-porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie rhumatismale. | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. | -12 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. | 1 | 0.008621 | 0.05 |
412.txt | 1,876 | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1@2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rap@-porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie rhumatismale. | En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. | En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. | 0 | 0 | 0 |
412.txt | 1,876 | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1@2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rap@-porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie rhumatismale. | On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. | On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. | 0 | 0 | 0 |
412.txt | 1,876 | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1@2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rap@-porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie rhumatismale. | On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. | On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. | 0 | 0 | 0 |
412.txt | 1,876 | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1@2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rap@-porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie rhumatismale. | L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. | L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. | 0 | 0 | 0 |
412.txt | 1,876 | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1@2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rap@-porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie rhumatismale. | Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. | Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. | 0 | 0 | 0 |
412.txt | 1,876 | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1@2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rap@-porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie rhumatismale. | Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? | Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? | 0 | 0 | 0 |
412.txt | 1,876 | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1@2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rap@-porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie rhumatismale. | Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? | Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? | 0 | 0 | 0 |
412.txt | 1,876 | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1@2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rap@-porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie rhumatismale. | Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. | Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. | 0 | 0 | 0 |
412.txt | 1,876 | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1@2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rap@-porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie rhumatismale. | C'est la pleurésie rhumatismale. | C'est la pleurésie rhumatismale. | 0 | 0 | 0 |
412.txt | 1,876 | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1@2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rap@-porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie rhumatismale. | En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. | En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. | 0 | 0 | 0 |
412.txt | 1,876 | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1-2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | -1@2 -chées deux personnes atteintes de pleurésies, l'une a fri-gore, l'autre survenue dans le cours d'un rhumatisme. En interrogeant la première, nous apprenons qu'à la suite d'un refroidissement, elle a été prise d'un violent frisson, puis d'un point de côté fixe, accompagné d'une toux très-pénible. On constate de l'oppression et une grande difficulté à respirer l'épanchement, qui est pro-gressivement devenu considérable, reste stationnaire de-puis quelques jours. On peut même craindre une termi-naison funeste, ou le passage à l'état chronique. L'autre malade souffrait d'un rhumatisme articulaire aigu lorsqu'un jour le médecin, mis sur la voie par un certain degré de dyspnée, s'aperçut en l'auscultant qu'un épanchement venait de se former dans la plèvre. Il n'y a pas eu de prodromes, ni de frisson somme toute, les sym-ptômes généraux sont assez bénins et, trois ou quatre jours après le début, les signes observés la veille encore ont complètement disparu sans laisser de trace. Quelle pensée ces faits peuvent-ils suggérer au clini-cien? Dira-t-on que les deux pleurésies sont identiques qu'un simple hasard a voulu que chez le second malade, l'affection de la plèvre coïncidât avec un rhumatisme articulaire? Non il est cent fois plus rationnel d'admettre que si dans l'un de ces cas l'inflammation pleurale était tout ordinaire, dans l'autre elle procédait de la diathèse rhumatique, et empruntait à cette origine un ensemble de caractères spéciaux. C'est la pleurésie rhumatismale. En donnant ces exemples supposés, j'ai fait plus qu'une simple hypothèse car de pareilles observations se ren-contrent souvent dans les services hospitaliers. J'en rap@-porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie rhumatismale. | J'en rapr porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie'rhumatismale. | J'en rap-porterai quelques-unes à la fin de ce travail mais il est à propos de rechercher dès maintenant la fréquence rela-tive de la pleurésie rhumatismale. | 3 | 0.019108 | 0.115385 |
638.txt | 1,886 | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L. pour la première fois. Mme de L. me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L@@. pour la première fois. Mme de L.@@ me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L... pour la première fois. Mme de L... me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuse@ danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1843, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. | 0 | 0 | 0 |
638.txt | 1,886 | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L. pour la première fois. Mme de L. me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L@@. pour la première fois. Mme de L.@@ me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L... pour la première fois. Mme de L... me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuse@ danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1843, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. | Sivori se le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. | 1 | 0.009709 | 0.041667 |
638.txt | 1,886 | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L. pour la première fois. Mme de L. me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L@@. pour la première fois. Mme de L.@@ me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L... pour la première fois. Mme de L... me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuse@ danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1843, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. | Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. | 0 | 0 | 0 |
638.txt | 1,886 | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L. pour la première fois. Mme de L. me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L@@. pour la première fois. Mme de L.@@ me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L... pour la première fois. Mme de L... me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuse@ danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1843, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. | Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. | 0 | 0 | 0 |
638.txt | 1,886 | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L. pour la première fois. Mme de L. me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L@@. pour la première fois. Mme de L.@@ me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L... pour la première fois. Mme de L... me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuse@ danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1843, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L. pour la première fois. | Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L... pour la première fois. | 2 | 0.016807 | 0.107143 |
638.txt | 1,886 | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L. pour la première fois. Mme de L. me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L@@. pour la première fois. Mme de L.@@ me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L... pour la première fois. Mme de L... me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuse@ danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1843, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | Mme de L. me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. | Mme de L... me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. | 2 | 0.021505 | 0.157895 |
638.txt | 1,886 | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L. pour la première fois. Mme de L. me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L@@. pour la première fois. Mme de L.@@ me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L... pour la première fois. Mme de L... me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuse@ danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1843, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. | La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. | 0 | 0 | 0 |
638.txt | 1,886 | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L. pour la première fois. Mme de L. me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L@@. pour la première fois. Mme de L.@@ me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L... pour la première fois. Mme de L... me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuse@ danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1843, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. | Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. | 0 | 0 | 0 |
638.txt | 1,886 | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L. pour la première fois. Mme de L. me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L@@. pour la première fois. Mme de L.@@ me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L... pour la première fois. Mme de L... me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuse@ danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1843, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. | Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuse danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. | 1 | 0.002451 | 0.013514 |
638.txt | 1,886 | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L. pour la première fois. Mme de L. me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L@@. pour la première fois. Mme de L.@@ me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L... pour la première fois. Mme de L... me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuse@ danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1843, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. | Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1843, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. | 1 | 0.003846 | 0.019608 |
638.txt | 1,886 | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L. pour la première fois. Mme de L. me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se'le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L@@. pour la première fois. Mme de L.@@ me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuses danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1845, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 21 L'ART DE MAGNÉTISER fut que s'il voulait donner des concerts, il devait s'abstenir des douches, attendu qu'elles lui raidiraient le poignet pour un mois ou deux. Sivori se le tint pour dit, donna un concert et repartit pour Genève, où il était de retour le 20 août. Nous l'avons tous entendu aux concerts qu'il donna, pendant le mois de septembre, au Casino et au théâtre, concerts dans lesquels il obtint les plus brillants succès. Paraplégie ancienne ayant pour cause une affection de la moelle épinière, compliquée de crises d'hystérie régulières et sous toutes les formes. Ce fut dans les premiers jours de mon arrivée à Genève, en juillet 1851, que je vis Mlle de L... pour la première fois. Mme de L... me donna d'abord quelques renseignements que voici, sur la maladie de son enfant. La maladie de ma fille, peu connue par les nombreux médecins consultés, est très ancienne, et les causes remon-tent peut-être jusqu'au berceau. Dès l'âge de six ans, elle eut des convulsions au couvent, mais elles disparurent. Ce fut à l'âge de dix ans, c'est-à-dire en 1844, que la maladie se manifesta complètement, et amena avec elle les mille bizarreries que l'on remarque quelquefois dans les maladies nerveuse@ danse de Saint-Guy, crises nerveuses, frayeurs sans motifs, puis une sorte de paralysie dans les hanches et dans les jambes, qui paraissait provenir de l'épine dorsale un peu déviée, et douloureuse dans certaine partie. Cette paralysie, qui d'abord ne se montrait que passa-gère et presque toujours à la suite de fatigue d'estomac ou de digestion troublée, est devenue continue il y a six ans, en 1843, pendant que ma fille prenait des bains froids qui lui firent beaucoup de mal. Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | Les crises devinrent dès lors journalières et réglées comme un chronomètre commençant chaque jour à quatre heures de l'après-midi et finissant à sept heures du soir. | 0 | 0 | 0 |
162.txt | 1,864 | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas 1 Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Boufiers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas @1@@ @@@@Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Boufiers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas -162 - 1 Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Bouflers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. | 0 | 0 | 0 |
162.txt | 1,864 | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas 1 Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Boufiers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas @1@@ @@@@Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Boufiers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas -162 - 1 Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Bouflers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. | La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. | 0 | 0 | 0 |
162.txt | 1,864 | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas 1 Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Boufiers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas @1@@ @@@@Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Boufiers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas -162 - 1 Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Bouflers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . | Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . | 0 | 0 | 0 |
162.txt | 1,864 | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas 1 Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Boufiers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas @1@@ @@@@Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Boufiers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas -162 - 1 Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Bouflers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. | Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. | 0 | 0 | 0 |
162.txt | 1,864 | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas 1 Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Boufiers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas @1@@ @@@@Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Boufiers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas -162 - 1 Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Bouflers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas 1 Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Boufiers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. | Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas -162 - 1 Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Bouflers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. | 8 | 0.022284 | 0.103896 |
162.txt | 1,864 | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas 1 Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Boufiers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas @1@@ @@@@Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Boufiers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | -162 -raison hiérarchique et politique n'existait plus désormais le dauphin était grand, bien élevé, majeur de quatorze ans, et quand l'ennemi dé-bordait les frontières, il fallait marcher à lui sans. hésiter. La duchesse de Châteauroux déclara que toute autre conduite serait lâche, indigne, et Louis XV accueillit cette impulsion glorieuse il n'avait jamais manqué de coeur, ni de courage, il avait le sentiment de ses devoirs, de son métier de Roi. Entouré de ses brillants aides de camp 1 , il partit de Versailles tout joyeux à l'aspect d'une vie nouvelle il menait avec lui la duchesse de Châteauroux, l'héroïne de cette ré-solution, l'âme qui avait inspiré le roi dans ses plus loyales résolutions 2 . Madame de Vinti-mille était morte, la comtesse de Mailly se reti-rait du monde sans bruit, sans éclat, pour pleurer ses amours et son égarement. Le roi avait besoin de se séparer de son passé par la gloire on voyait déjà sur son front les premières rides et la vie des camps devait les effacer, ses troupes étaient si belles, si élégantes, si dévouées ! on n'avait pas -162 - 1 Les aides de camp du Roi étaient les ducs de Richelieu, de Luxembourg, de Bouflers, d'Aumont, d'Ayen, de Soubise, de Péquigny. 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | 2 La duchesse de Châteauroux n'habitait pas avec le Roi mais chaque ville dans laquelle elle passait devait lui fournir un logement comme appartenant à la maison de S. M. | 0 | 0 | 0 |
604.txt | 1,886 | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous @@dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la@ première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entrainer par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. -@Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. | 3 | 0.00625 | 0.044444 |
604.txt | 1,886 | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous @@dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la@ première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entrainer par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. -@Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. | Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. | 0 | 0 | 0 |
604.txt | 1,886 | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous @@dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la@ première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entrainer par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. -@Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. | On peut les entrainer par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. | 1 | 0.013514 | 0.071429 |
604.txt | 1,886 | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous @@dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la@ première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entrainer par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. -@Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. | La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. | 0 | 0 | 0 |
604.txt | 1,886 | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous @@dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la@ première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entrainer par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. -@Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. | Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. | 0 | 0 | 0 |
604.txt | 1,886 | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous @@dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la@ première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entrainer par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. -@Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. | Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. | 0 | 0 | 0 |
604.txt | 1,886 | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous @@dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la@ première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entrainer par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. -@Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. | En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. | 0 | 0 | 0 |
604.txt | 1,886 | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. 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Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous @@dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la@ première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entrainer par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. 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Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . | Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . | 0 | 0 | 0 |
604.txt | 1,886 | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. 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Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. -@Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. 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604.txt | 1,886 | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. 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604.txt | 1,886 | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. 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Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. -@Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | - Il faut agir entièrement sur la tumeur. | -Il faut agir entièrement sur la tumeur. | 1 | 0.025 | 0.125 |
604.txt | 1,886 | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous @@dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la@ première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entrainer par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. -@Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. | A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. | 0 | 0 | 0 |
604.txt | 1,886 | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous - dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la. première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entraîner par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. - Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 116 L'ART DE MAGNÉTISER Nous en profitâmes aussitôt, et voici ce qu'elle nous @@dit, après avoir confirmé ce qu'avait avancé la@ première som-nambule Elle ajouta que ce qui la faisait souffrir lorsqu'on la touchait, était un cordon blanc creux, qui partait du milieu d'un organe brun en forme de croissant, et qui arrivait à la vessie que, dans ce cordon, circulait une liqueur blanchâtre comme de l'urine, et que l'intérieur en était écorché par deux corps durs en forme de gravier. Un autre corps dur, plus petit, se forme au haut du rein. On peut les entrainer par le magnétisme en magnétisant deux fois par jour. La malade nous annonce qu'il y a six ans, elle a déjà eu des coliques néphrétiques. Le reste de la tumeur s'en ira par le rectum, ce soir dans la première selle. Le lendemain elle nous dit Je me suis trompée, le rectum n'est pas encore perforé, il n'y a qu'amincissement ce soir seulement il y aura com-mencement d'évacuation. En effet, le médecin reconnut le lendemain beaucoup de pus rendu. Les calculs commencent à sortir de la vessie il y en avait ce matin dans les urines ce que le médecin avait constaté . Il existe dans la crosse de l'aorte des petits boutons semblables à de petites verrues, et, cette nuit, il y a eu une secousse violente par suite d'un engorgement de sang rouge dans la crosse de l'aorte, et la rupture en a été imminente. Ce n'est que par un régime doux que l'on peut ces jours-ci combattre cette affection. -@Il faut agir entièrement sur la tumeur. A force de magnétisation locale, la tumeur fut entièrement vidée par le rectum le docteur trouvait tous les jours une grande quantité de pus bientôt les petites peaux qui entou-rent une plaie apparurent, et la tumeur se cicatrisa. Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | Pendant ce temps, les crises nerveuses avaient disparu les forces, la gaieté, l'appétit étaient revenus les soubresauts | 0 | 0 | 0 |
610.txt | 1,886 | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme nerveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme ne@rveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme neurveuse@, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez@@ lui. Nous nous mimes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maitre et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connait pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. | 0 | 0 | 0 |
610.txt | 1,886 | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme nerveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme ne@rveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme neurveuse@, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez@@ lui. Nous nous mimes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maitre et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connait pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme nerveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. | Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme neurveuse, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. | 2 | 0.01005 | 0.083333 |
610.txt | 1,886 | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme nerveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme ne@rveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme neurveuse@, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez@@ lui. Nous nous mimes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maitre et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connait pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. | Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. | 0 | 0 | 0 |
610.txt | 1,886 | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme nerveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme ne@rveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme neurveuse@, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez@@ lui. Nous nous mimes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maitre et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connait pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. | A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. | 0 | 0 | 0 |
610.txt | 1,886 | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme nerveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme ne@rveuse,, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. Nous nous mîmes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maître et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connaît pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | DANGERS ET ACCIDENTS DU MAGNÉTISME 135 je la réveillai, et j'eus le bonheur de la voir entièrement revenue à la raison, et n'ayant aucun souvenir de ce qui lui était arrivé. Cet accident peut se présenter souvent lorsque, magné-tisant une femme neurveuse@, vous porterez votre action sur un autre sujet et que, surtout, vous ferez de violents efforts pour produire un effet. Mme Azéma non seulement ne s'est jamais aperçue de ce qui s'était passé, mais elle ne l'a jamais su. A Manchester, le docteur N., magnétisant un jeune homme, produisit la folie furieuse et l'épilepsie. Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez@@ lui. Nous nous mimes à quatre pour cette difficile opération, et il fallut huit hommes pour le monter dans sa chambre il nous renversa tous dans l'escalier, ses forces étaient centuplées. Fort heureusement, dans ce moment, je pus m'emparer de l'estomac et appuyer mes doigts sur l'épigas-tre je le maintins, et nous arrivâmes dans sa chambre, où nous eûmes toutes les peines du monde à le coucher. Je l'endormis à force de magnétisation alors je fus maitre et des convulsions et de la folie mais, lorsque je le réveillai après quelques heures, la folie se représenta dans toute sa fureur puis il y eut un accès d'épilepsie, avec con-vulsions et écume à la bouche. Ce fut pendant cette crise épileptique que je parvins à l'endormir de nouveau il me fallut trois jours et trois nuits, sans le quitter et en le maintenant toujours dans le sommeil, pour ramener la raison et faire cesser les crises épileptiques. Lorsqu'il fut rétabli, je restai quelque temps sans pouvoir le magnétiser à peine l'avais-je endormi qu'il s'éveillait aussitôt comme s'il éprouvait une secousse violente. On peut voir, par les exemples que je viens de citer, que le magnétisme peut offrir des dangers dans des mains inexpérimentées. En effet, si le magnétiseur ne connait pas la force dont il dispose, s'il ne sait comment la diriger, il peut faire beaucoup plus de mal que de bien. C'est pour cela que le choix d'un magnétiseur ne doit point se faire légère-ment, et qu'avant tout il faut chercher l'homme expérimenté | Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez - lui. | Il fallut l'emporter, le hisser dans une voiture et le transporter chez lui. | 2 | 0.026316 | 0.133333 |