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43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes etles seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et VUlaret, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et@les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et V@Ularet, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes@, et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque@? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui@vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple 1 , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations 1 Histoire de France, par Velly et Villaret, tom. XVII, pag. 60.
Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire.
Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire.
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43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes etles seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et VUlaret, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et@les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et V@Ularet, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes@, et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque@? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui@vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple 1 , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations 1 Histoire de France, par Velly et Villaret, tom. XVII, pag. 60.
C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes etles seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat.
C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui suivent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple 1 , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat.
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43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et@les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et V@Ularet, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes@, et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque@? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui@vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple 1 , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations 1 Histoire de France, par Velly et Villaret, tom. XVII, pag. 60.
L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots.
L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots.
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43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et@les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et V@Ularet, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes@, et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque@? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui@vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple 1 , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations 1 Histoire de France, par Velly et Villaret, tom. XVII, pag. 60.
Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire.
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43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et@les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et V@Ularet, tom. XVII, pag. 60.
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S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur.
S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur.
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43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes etles seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et VUlaret, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et@les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et V@Ularet, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes@, et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque@? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui@vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple 1 , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations 1 Histoire de France, par Velly et Villaret, tom. XVII, pag. 60.
Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et VUlaret, tom.
Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations 1 Histoire de France, par Velly et Villaret, tom.
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-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, @@@@@@1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grotesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, -45 - 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade.
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-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, @@@@@@1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grotesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, -45 - 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse.
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-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, @@@@@@1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grotesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, -45 - 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés!
Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grotesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés!
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-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, @@@@@@1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grotesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, -45 - 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles.
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-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, @@@@@@1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grotesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, -45 - 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens.
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-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, @@@@@@1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grotesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, -45 - 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire !
Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire !
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-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, @@@@@@1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grotesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, -45 - 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 !
Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 !
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-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, @@@@@@1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grotesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, -45 - 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine.
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-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, @@@@@@1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grotesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, -45 - 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem .
Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem .
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-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grolesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, @@@@@@1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
-45 -que beaucoup de ducs et pairs qui sortent de la boutique d'un marchand les ancêtres de ce gen-tilhomme commandaient à cent hommes d'armes à la croisade. Le roi avait lui-même dressé l'ar-bre généalogique de sa noblesse. Au moment où la science du blason se perd, où les émaux sont si grotesquement accouplés et les pièces de l'écu fa-çonnées avec tant d'ignorance, il nous paraît in-téressant de mettre en lumière l'illustre galerie de noms perdus et qu'en vain d'autres ont repris quand les vieux troncs de la féodalité ont été déracinés! On ne reconstruit pas des armoiries comme on peint la salle des Croisa des à Versailles. En tête de la noblesse de France il faut placer les princes de Lorraine, race majestueuse qui avait son origine dans la nuit des Carlovingiens. Les princes lorrains avaient joué un rôle si considéra-ble dans notre histoire ! Après bien des vicissitudes, on les retrouverait le front ceint de la couronne impériale 1 ! A côté du blason de Lorraine, bril-lait l'antique écusson des Rohan 2 de Bretagne, -45 - 1 L'origine de la maison de Lorraine remontait à Charles le Gros Gérard fut institué, en 1058, duc de Lorraine. Cette grande famille avait donné deux reines de France, cinq empe-reurs germaniques, quatre rois de Bohême, quinze ducs de Bar rois de Jérusalem . 2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
2 Les Rohan éiaient issus de Judicael, comte de Bretagne, en 897, ils étaient ducs de Montbazon, de Londunais, de Joyeuse, princes de Guémenée, de Léon, de Soubise, de Maubuisson, 3.
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase.
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Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire.
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore.
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle.
Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle.
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre.
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
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La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence.
La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence.
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais.
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée.
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
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Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux.
Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux.
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi?
Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ?
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position?
N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ?
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi.
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir.
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction.
Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction.
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé.
Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé.
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A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires.
A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires.
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198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de @Yavoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire@? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi@? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position@? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eut semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à -confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
198 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. initiation complète il ne désespérait plus du succès, et pa-raissait disposé à y aider de tout son pouvoir. C'était déjà beaucoup que de l'avoir amené là. Plaider une cause n'est rien il faut l'épouser, et les grands noms épousent peu le métier blase. Ludovic avait donc sujet de s'enorgueillir du résultat qu'il avait obtenu quant au reste, ce n'était plus de son domaine, son rôle cessait il était dessaisi pour ainsi dire. Ce fut alors que le hasard s'en mêla pour le pousser plus haut encore. Le jour de l'audience était fixé tout était ar-rêté les mémoires avaient été distribués et l'effet en parais-sait bon d'un commun accord, les parties avaient résolu de ne point reculer le débat et de se tenir prêtes au moment assigné par le rôle. De part et d'autre on avait fourbi les armes de combat et endossé le costume de guerre. La cour y était préparée, les greffiers aussi avocats, avoués, champions et juges du camp, tout le monde y comptait et s'était arrangé en conséquence. Qu'on juge du désappointement de l'étude lorsque le ma-tin même un mal imprévu surprit l'avocat célèbre et le mit dans l'impuissance de se rendre au Palais. En vain lui dé-pêcha-t-on émissaire sur émissaire ce n'était point une in-disposition de commande, comme il y en a tant au service de ces messieurs. L'homme illustre était au lit, avec une fièvre bien caractérisée. Que faire ? Demander un sursis, ajourner le débat, on l'aurait certainement pu, et les cours ne se refusent jamais à des remises, appuyées sur des motifs sérieux. Mais n'était-ce pas mettre les apparences contre soi ? N'était-ce pas perdre les bénéfices de la position ? La partie qui soulève de pareils incidents a toujours l'air de cher-cher des défaites, de douter d'elle-même et de fuir devant l'ennemi. Le cas était grave et, qui plus est, urgent. Il fal-lait se décider à l'instant même l'audience allait s'ouvrir. Ludovic eut une inspiration qui, de toute autre part, eût semblé téméraire, et qui n'était chez lui que l'effet d'une pro-fonde conviction. Il s'offrit à plaider l'affaire, et y mit tant de chaleur, que son patron en fut ébranlé. A entendre Ludovic, il y avait plus d'inconvénients à demander un renvoi qu'à @confier la défense à un débutant, et il appuya cette opinion de motifs péremptoires. Puis il ajouta qu'il avait étudié le
Puis il ajouta qu'il avait étudié le
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-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je Vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient'leï
-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je Vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient'leï
-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient leï
-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable.
-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable.
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-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je Vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient'leï
-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je Vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient'leï
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Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale.
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-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient leï
Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin.
Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin.
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-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je Vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient'leï
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II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient.
II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient.
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-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je Vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient'leï
-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je Vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient'leï
-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient leï
Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir.
Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir.
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-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je Vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient'leï
-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je Vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient'leï
-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient leï
Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je Vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte.
Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte.
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-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je Vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient'leï
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-55 -habileté connue, il lui ôta la conduite de sa maison, pour la livrer à des valets et à des servantes, qui, à la vue de leur maîtresse, faisaient une dissipation épouvantable. Son mépris devint colère, et sa colère fureur bru-tale. Tantôt, malgré la délicatesse de sa vic-time, il lui faisait faire comme à la plus vile des servantes, deux ou trois lieues à pied , pour lui aller chercher des bagatelles dont il prétendait avoir besoin. Tantôt, et presque à la veille de ses couches, il la faisait mon-ter sur des chevaux que de bons cavaliers n'auraient essayés qu'avec précaution, et dont il n'eût n'as osé se servir lui-même. II est vrai que ces animaux, oubliant sous sa main leur férocité naturelle, semblèrent plus d'une fois connaître et respecter la charge qu'ils por-taient. Mais il n'en est pas moins vrai que tous ceux qui la voyaient tremblaient pour elle et qu'il n'y avait que sa confiance en Dieu qui pût la soutenir. Elle en eut besoin plus que jamais dans une occasion dont je vais parler , et où elle fut à deux doigts de sa perte. Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux. Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient leï
Un jour, il prit fantaisie à son mari de la mener à Arches, dans un temps où le ciel fondait sur eux.
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Les torrents multipliés, les ravins, les débordements, rendaient leï
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché.
Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original.
Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant.
Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains.
Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas.
On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant.
Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau.
Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission.
Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
Melchior était de ceux-là.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
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Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot.
Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
-Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née.
Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
458 CE QU'ON@ PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait bon mar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme de faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons de l'étu-diant. Sa position n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception de plus en plus caractérisée qu'il y persistât quelques années encore@, et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement ! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain prolongé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. @Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus.
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458 CE QU'ON- PEUT VOIR DANS UNE RUE. race éteinte. Autant Ludovic attachait de prix au commerce des anciens jurisconsultes, autant Melchior en faisait boiimar-ché. Là-dessus son opinion était des plus fermes que l'on pût voir, et il avait à l'appui des arguments d'un tour original. Il prétendait que Justinien était un vieux ladre, un cuistre et rien de plus que ses Codes si vantés n'avaient été imaginés que dans l'intérêt des grands propriétaires, ce qui les rendait indignes de l'attention d'un être pensant. Il ajoutait que cet empereur abusait du droit qu'a tout homme dé faire parler de lui, et qu'il était temps de protester contre cette réputation usurpée qu'après tout, rien n'était plus ridicule que de se meubler la tête de billevesées inventées il y a quinze cents ans, et de se composer un habit avec des loques empruntées aux Grecs et aux Romains. De.là cette conclusion que tous les bouquins du monde ne valent pas une pipe. On devine où peut conduire un système aussi ingénieux, et Melchior n'en démordit pas. Peu lui importait de rester à l'état de fruit sec et de voir se succéder les générations des écoles il n'était pas courtisan du succès et mettait les hon-neurs de la licence bien au-dessous des chevrons 4e l'étu-diant. Sa pôsition n'était d'ailleurs ni sans gloire, ni sans éclat il devenait, dans la carrière de l'enseignement, une exception dé plus en plus caractérisée qu'il y persistàt quelques années encore , et il fondait un parti, une école dans l'école, il inaugurait un droit nouveau. Que de schis-mes n'ont pas commencé autrement@! Chaque pipe qu'il fumait était une insulte aux vieilles méthodes et un sa-crifice aux réformes entrevues il y mettrait le temps et le tabac qu'il faudrait, mais il resterait fidèle à sa mission. La fortune n'aime pas qu'on la brusque, et dans ses retours elle va vers les coeurs opiniâtres et patients. Melchior était de ceux-là. Il s'était promis d'avoir raison de Justinien et de l'accabler sous un dédain ptolûngé coûte que coûte, l'empe-reur grec n'aurait pas le dernier mot. -Ce fut ainsi que notre vétéran parvint à se maintenir, sur les bancs du quartier Latin, pendant une période indétermi-née. Aucun des élèves ne l'avait vu débuter, et aucun d'eux ne devait le voir aboutir. On le voyait passer d'une pipe à une autre, rien de plus. Pour le reste, il restait immuable, ou, pour employer son langage, il avait mis un clou. Il est
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88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678@'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de @rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le @16 mars 1678 1. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre à la critique que l'on fit de ce roman 2 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Clèves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première date, qu'il en avait été question dans la société intime de l'au-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque chose. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1672 à 1677, et alors seulement l'auteur s'y remit de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il est remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
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88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678@'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de @rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le @16 mars 1678 1. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre à la critique que l'on fit de ce roman 2 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Clèves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première date, qu'il en avait été question dans la société intime de l'au-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque chose. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1672 à 1677, et alors seulement l'auteur s'y remit de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il est remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678'.
l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le 16 mars 1678 1.
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88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678@'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de @rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le @16 mars 1678 1. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre à la critique que l'on fit de ce roman 2 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Clèves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première date, qu'il en avait été question dans la société intime de l'au-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque chose. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1672 à 1677, et alors seulement l'auteur s'y remit de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il est remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération.
Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre à la critique que l'on fit de ce roman 2 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération.
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88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678@'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de @rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le @16 mars 1678 1. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre à la critique que l'on fit de ce roman 2 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Clèves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première date, qu'il en avait été question dans la société intime de l'au-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque chose. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1672 à 1677, et alors seulement l'auteur s'y remit de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il est remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier.
Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier.
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88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678@'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de @rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le @16 mars 1678 1. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre à la critique que l'on fit de ce roman 2 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Clèves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première date, qu'il en avait été question dans la société intime de l'au-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque chose. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1672 à 1677, et alors seulement l'auteur s'y remit de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il est remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement.
Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Clèves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première date, qu'il en avait été question dans la société intime de l'au-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement.
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88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678@'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de @rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le @16 mars 1678 1. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre à la critique que l'on fit de ce roman 2 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Clèves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première date, qu'il en avait été question dans la société intime de l'au-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque chose. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1672 à 1677, et alors seulement l'auteur s'y remit de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il est remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie.
Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque chose.
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88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678@'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de @rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le @16 mars 1678 1. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre à la critique que l'on fit de ce roman 2 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Clèves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première date, qu'il en avait été question dans la société intime de l'au-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque chose. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1672 à 1677, et alors seulement l'auteur s'y remit de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il est remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever.
La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1672 à 1677, et alors seulement l'auteur s'y remit de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever.
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88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678@'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de @rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le @16 mars 1678 1. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre à la critique que l'on fit de ce roman 2 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Clèves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première date, qu'il en avait été question dans la société intime de l'au-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque chose. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1672 à 1677, et alors seulement l'auteur s'y remit de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il est remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme.
2 Il est remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme.
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88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le -16 mars 4678@'. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre a la critique que l'on fit de ce roman 8 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Cléves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première dàte, qu'il en avait été question dans la société intime de @rao-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque choie. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1671 à 4677, et alors seulement l'auteur s'y remft de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il esl remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
88 MADAME DE LA FAYETTE. l'hiver qui suivit, que M. de La Rochefoucauld et elle s'occupèrent finalement de ce joli roman qui parut chez Barbin le @16 mars 1678 1. Segrais, que nous trouvons encore sur notre chemin, dit en un endroit, qu'il n'a pas pris la peine de répondre à la critique que l'on fit de ce roman 2 et à un autre endroit, que madame de La Fayette a dédaigné d'y répondre de sorte qu'il y aurait doute, si on le voulait, sur son degré de coopération. Mais, pour le coup, nous ne le discuterons pas, et ce roman est trop supérieur à tout ce qu'il a jamais écrit pour 1 Dans une lettre de madame de Sévigné à sa fille 16 mars 1672 , on lit Je suis au désespoir que vous ayez eu Bajazet par d'autres que par moi c'est ce chien de Barbin qui me hait, parce que je ne fais pas des princesses de Clèves et de Montpen-sier. Il en faut conclure que le roman de la Princesse de Clèves était déjà au moins en projet et en ébauche à cette première date, qu'il en avait été question dans la société intime de l'au-teur, que mesdames de Sévigné et de Grignan en avaient peut-être entendu le commencement. Dans une lettre, je crois, de madame de Scudery à Bussy, on voit, d'ailleurs, que, pendant l'hiver qui précède la publication, M. de La Rochefoucauld et madame de La Fayette s'enferment et préparent quelque chose. La conciliation est simple la Princesse de Clèves ébauchée som-meilla de 1672 à 1677, et alors seulement l'auteur s'y remit de concert avec M. La Rochefoucauld, pour l'achever. 2 Il est remarquer qu'à l'endroit où on lui fait dire cela, dans le Segraisiana, on lui prête une erreur au sujet du roman qui aurait été le sien il parle en effet de la rencontre de M. de Ne-mours et de madame de Clèves chez le joaillier, tandis que c'est M. de Clèves qui y rencontre celle qui doit être sa femme. On ne peut donc prendre ce propos, mal recueilli, pour une autorité.
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-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide@ phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de No5 Ba O saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. -@On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. -@On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre@, et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq.
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-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide@ phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de No5 Ba O saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. -@On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. -@On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre@, et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée.
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-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide@ phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de No5 Ba O saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. -@On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. -@On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre@, et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p.
Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p.
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-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide@ phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de No5 Ba O saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. -@On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. -@On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre@, et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
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-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide@ phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de No5 Ba O saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. -@On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. -@On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre@, et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
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-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide@ phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de No5 Ba O saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. -@On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. -@On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre@, et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
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-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide@ phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de No5 Ba O saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. -@On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. -@On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre@, et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
- On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution.
-On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution.
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-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide@ phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de No5 Ba O saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. -@On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. -@On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre@, et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
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-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide@ phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de No5 Ba O saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. -@On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. -@On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre@, et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
- On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique .
-On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique .
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-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide@ phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de No5 Ba O saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. -@On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. -@On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre@, et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus.
On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus.
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-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide@ phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de No5 Ba O saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. -@On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. -@On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre@, et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude.
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-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide@ phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de No5 Ba O saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. -@On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. -@On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre@, et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau.
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-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide@ phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de No5 Ba O saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. -@On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. -@On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre@, et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette.
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-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide, phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de Nos Ba 0 saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. - On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. - On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre , et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
-16 -curique pour former un composé de 4 éq. HgO 1 éq. d'urée. Pour pouvoir déterminer immédiatement cette propor-tion d'urée, on emploie une solution titrée de nitrate mer-curique dont 1 centimètre cube correspond à 1 centigramme d'urée. Mais, avant de faire cette détermination, il est né-cessaire de précipiter l'acide@ phosphorique contenu dans l'urine par un mélange composé de 1 p. de solution de No5 Ba O saturée à froid et de 2 p. de solution de BaO, HO, également saturée à froid. Préparation du réactif de Liebig. -@On dissout dans la plus petite quantité possible d'acide nitrique 77,2 grammes d'oxyde mercurique pur obtenu en précipitant 96,855 grammes de sublimé pur avec une lessive étendue de soude caustique, lavant et desséchant le précipité on évapore jusqu'à consistance sirupeuse et on étend d'eau pour faire 1 litre de solution. § 29. Manière d'opérer. -@On mesure exactement dans une éprouvette graduée une certaine quantité d'urine qu'on introduit dans un vase à précipiter, on y ajoute la moitié de son volume du mélange barytique on agite, on filtre et on mesure 15 CC du liquide obtenu, correspondant à 10 CC d'urine l'urine ayant été étendue de la moitié de son vo-lume de solution barytique . On remplit ensuite une bu-rette de Mohr jusqu'au 0 avec le réactif mercuriel qu'on laisse couler dans la solution d'urée jusqu'à ce que le pré-cipité n'augmente plus. On introduit ensuite au moyen d'une baguette de verre une goutte du liquide mélangé dans un verre de montre@, et on y ajoute une goutte de la solution de soude. Si le mélange reste blanc, on continue d'ajouter de la liqueur titrée et on essaye de nouveau. On continue ainsi l'opération jusqu'à ce que dans le verre de montre on obtienne, par le mélange d'une goutte du liquide essayé et d'une goutte de solution alcaline, une coloration jaune bien nette. Le nombre de centimètres cubes de réac-
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-99 -l'Église catholique, lès plus zélées pour les bonnes oeuvres, les plus édifiantes dans leur conduite, les plus constamment fidèles à remplir tous les devoirs de la religion. On n'en est pas surpris car d'un côté l'on sait que le vénérable martyr a prié spécialement pour ces personnes, et de l'autre on voit de ses yeux l'effet permanent de sa prière. 5° Le curé d'une paroisse voisine de Somme-Vesle, mort en 1838 âgé de quatre-vingts ans, a plusieurs fois déclaré publiquement que c'était à la puissante intercession de M. Musart auprès de Dieu qu'il devait d'être revenu des fatales er-reurs dans lesquelles la constitution prétendue civile du clergé l'avait entraîné. Ce fait et le pré-cédent ont été certifiés en 1840 par M. Hubert, ancien chirurgien de Somme-Suippe, chez qui M. Musart fut arrêté en 1796, pour aller cueillir à Reims la palme du martyre. 6° Le bruit de son héroïque mort ne se borna ni aux deux diocèses de Reims et de Châlons, ni même à l'intérieur de la France il en fran-chit rapidement les limites, et retentit dans les contrées étrangères, où il fit une vive impression, non seulement sur les catholiques, mais aussi parmi les sectes malheureusement séparées de l'Église romaine. La traduction allemande d'un fragment de notre ouvrage, qui ne contenait
-99 -l'Église catholique, lès plus zélées pour les bonnes oeuvres, les plus édifiantes dans leur conduite, les plus constamment fidèles à remplir tous les devoirs de la religion. On n'en est pas surpris car d'un côté l'on sait que le vénérable martyr a prié spécialement pour ces personnes, et de l'autre on voit de ses yeux l'effet permanent de sa prière. 5° Le curé d'une paroisse voisine de Somme-Vesle, mort en 1838 âgé de quatre-vingts ans, a plusieurs fois déclaré publiquement que c'était à la puissante intercession de M. Musart auprès de Dieu qu'il devait d'être revenu des fatales er-reurs dans lesquelles la constitution prétendue civile du clergé l'avait entraîné. Ce fait et le pré-cédent ont été certifiés en 1840 par M. Hubert, ancien chirurgien de Somme-Suippe, chez qui M. Musart fut arrêté en 1796, pour aller cueillir à Reims la palme du martyre. 6° Le bruit de son héroïque mort ne se borna ni aux deux diocèses de Reims et de Châlons, ni même à l'intérieur de la France il en fran-chit rapidement les limites, et retentit dans les contrées étrangères, où il fit une vive impression, non seulement sur les catholiques, mais aussi parmi les sectes malheureusement séparées de l'Église romaine. La traduction allemande d'un fragment de notre ouvrage, qui ne contenait
-99 -l'Église catholique, les plus zélées pour les bonnes oeuvres, les plus édifiantes dans leur conduite, les plus constamment fidèles à remplir tous les devoirs de la religion. On n'en est pas surpris car d'un côté l'on sait que le vénérable martyr a prié spécialement pour ces personnes, et de l'autre on voit de ses yeux l'effet permanent de sa prière. 5° Le curé d'une paroisse voisine de Somme-Vesle, mort en 1838 âgé de quatre-vingts ans, a plusieurs fois déclaré publiquement que c'était à la puissante intercession de M. Musart auprès de Dieu qu'il devait d'être revenu des fatales er-reurs dans lesquelles la constitution prétendue civile du clergé l'avait entraîné. Ce fait et le pré-cédent ont été certifiés en 1840 par M. Hubert, ancien chirurgien de Somme-Suippe, chez qui M. Musart fut arrêté en 1796, pour aller cueillir à Reims la palme du martyre. 6° Le bruit de son héroïque mort ne se borna ni aux deux diocèses de Reims et de Châlons, ni même à l'intérieur de la France il en fran-chit rapidement les limites, et retentit dans les contrées étrangères, où il fit une vive impression, non seulement sur les catholiques, mais aussi parmi les sectes malheureusement séparées de l'Église romaine. La traduction allemande d'un fragment de notre ouvrage, qui ne contenait
-99 -l'Église catholique, lès plus zélées pour les bonnes oeuvres, les plus édifiantes dans leur conduite, les plus constamment fidèles à remplir tous les devoirs de la religion.
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-99 -l'Église catholique, lès plus zélées pour les bonnes oeuvres, les plus édifiantes dans leur conduite, les plus constamment fidèles à remplir tous les devoirs de la religion. On n'en est pas surpris car d'un côté l'on sait que le vénérable martyr a prié spécialement pour ces personnes, et de l'autre on voit de ses yeux l'effet permanent de sa prière. 5° Le curé d'une paroisse voisine de Somme-Vesle, mort en 1838 âgé de quatre-vingts ans, a plusieurs fois déclaré publiquement que c'était à la puissante intercession de M. Musart auprès de Dieu qu'il devait d'être revenu des fatales er-reurs dans lesquelles la constitution prétendue civile du clergé l'avait entraîné. Ce fait et le pré-cédent ont été certifiés en 1840 par M. Hubert, ancien chirurgien de Somme-Suippe, chez qui M. Musart fut arrêté en 1796, pour aller cueillir à Reims la palme du martyre. 6° Le bruit de son héroïque mort ne se borna ni aux deux diocèses de Reims et de Châlons, ni même à l'intérieur de la France il en fran-chit rapidement les limites, et retentit dans les contrées étrangères, où il fit une vive impression, non seulement sur les catholiques, mais aussi parmi les sectes malheureusement séparées de l'Église romaine. La traduction allemande d'un fragment de notre ouvrage, qui ne contenait
-99 -l'Église catholique, lès plus zélées pour les bonnes oeuvres, les plus édifiantes dans leur conduite, les plus constamment fidèles à remplir tous les devoirs de la religion. On n'en est pas surpris car d'un côté l'on sait que le vénérable martyr a prié spécialement pour ces personnes, et de l'autre on voit de ses yeux l'effet permanent de sa prière. 5° Le curé d'une paroisse voisine de Somme-Vesle, mort en 1838 âgé de quatre-vingts ans, a plusieurs fois déclaré publiquement que c'était à la puissante intercession de M. Musart auprès de Dieu qu'il devait d'être revenu des fatales er-reurs dans lesquelles la constitution prétendue civile du clergé l'avait entraîné. Ce fait et le pré-cédent ont été certifiés en 1840 par M. Hubert, ancien chirurgien de Somme-Suippe, chez qui M. Musart fut arrêté en 1796, pour aller cueillir à Reims la palme du martyre. 6° Le bruit de son héroïque mort ne se borna ni aux deux diocèses de Reims et de Châlons, ni même à l'intérieur de la France il en fran-chit rapidement les limites, et retentit dans les contrées étrangères, où il fit une vive impression, non seulement sur les catholiques, mais aussi parmi les sectes malheureusement séparées de l'Église romaine. La traduction allemande d'un fragment de notre ouvrage, qui ne contenait
-99 -l'Église catholique, les plus zélées pour les bonnes oeuvres, les plus édifiantes dans leur conduite, les plus constamment fidèles à remplir tous les devoirs de la religion. On n'en est pas surpris car d'un côté l'on sait que le vénérable martyr a prié spécialement pour ces personnes, et de l'autre on voit de ses yeux l'effet permanent de sa prière. 5° Le curé d'une paroisse voisine de Somme-Vesle, mort en 1838 âgé de quatre-vingts ans, a plusieurs fois déclaré publiquement que c'était à la puissante intercession de M. Musart auprès de Dieu qu'il devait d'être revenu des fatales er-reurs dans lesquelles la constitution prétendue civile du clergé l'avait entraîné. Ce fait et le pré-cédent ont été certifiés en 1840 par M. Hubert, ancien chirurgien de Somme-Suippe, chez qui M. Musart fut arrêté en 1796, pour aller cueillir à Reims la palme du martyre. 6° Le bruit de son héroïque mort ne se borna ni aux deux diocèses de Reims et de Châlons, ni même à l'intérieur de la France il en fran-chit rapidement les limites, et retentit dans les contrées étrangères, où il fit une vive impression, non seulement sur les catholiques, mais aussi parmi les sectes malheureusement séparées de l'Église romaine. La traduction allemande d'un fragment de notre ouvrage, qui ne contenait
On n'en est pas surpris car d'un côté l'on sait que le vénérable martyr a prié spécialement pour ces personnes, et de l'autre on voit de ses yeux l'effet permanent de sa prière.
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5° Le curé d'une paroisse voisine de Somme-Vesle, mort en 1838 âgé de quatre-vingts ans, a plusieurs fois déclaré publiquement que c'était à la puissante intercession de M. Musart auprès de Dieu qu'il devait d'être revenu des fatales er-reurs dans lesquelles la constitution prétendue civile du clergé l'avait entraîné.
5° Le curé d'une paroisse voisine de Somme-Vesle, mort en 1838 âgé de quatre-vingts ans, a plusieurs fois déclaré publiquement que c'était à la puissante intercession de M. Musart auprès de Dieu qu'il devait d'être revenu des fatales er-reurs dans lesquelles la constitution prétendue civile du clergé l'avait entraîné.
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Ce fait et le pré-cédent ont été certifiés en 1840 par M. Hubert, ancien chirurgien de Somme-Suippe, chez qui M. Musart fut arrêté en 1796, pour aller cueillir à Reims la palme du martyre.
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-99 -l'Église catholique, les plus zélées pour les bonnes oeuvres, les plus édifiantes dans leur conduite, les plus constamment fidèles à remplir tous les devoirs de la religion. On n'en est pas surpris car d'un côté l'on sait que le vénérable martyr a prié spécialement pour ces personnes, et de l'autre on voit de ses yeux l'effet permanent de sa prière. 5° Le curé d'une paroisse voisine de Somme-Vesle, mort en 1838 âgé de quatre-vingts ans, a plusieurs fois déclaré publiquement que c'était à la puissante intercession de M. Musart auprès de Dieu qu'il devait d'être revenu des fatales er-reurs dans lesquelles la constitution prétendue civile du clergé l'avait entraîné. Ce fait et le pré-cédent ont été certifiés en 1840 par M. Hubert, ancien chirurgien de Somme-Suippe, chez qui M. Musart fut arrêté en 1796, pour aller cueillir à Reims la palme du martyre. 6° Le bruit de son héroïque mort ne se borna ni aux deux diocèses de Reims et de Châlons, ni même à l'intérieur de la France il en fran-chit rapidement les limites, et retentit dans les contrées étrangères, où il fit une vive impression, non seulement sur les catholiques, mais aussi parmi les sectes malheureusement séparées de l'Église romaine. La traduction allemande d'un fragment de notre ouvrage, qui ne contenait
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-80-meurez fermes dans la foi de vos pères. Obéissez toujours à Dieu plutôt qu'aux hommes. Dans quelques heures je paraîtrai au pied du trône de l'Éternel je vous recommanderai à sa miséri-corde je le prierai d'avoir pitié de vous, de vous donner des pasteurs catholiques, qui soient selon son coeur. Hier j'ai vu une épine de la couronne de notre divin Sauveur aujourd'hui je verrai celui qui a été couronné d'épines. Je regarde ce jour comme le plus beau et le plus heureux de ma vie. Mon sort n'est point à plaindre il est digne d'envie. Ceux qui sont à plaindre sont plutôt ceux qui restent. Aussi n'est-ce point la mort qui me fait de la peine, c'est de vous abandon-ner, vous que j'aime de toute la tendresse de mon coeur je ne regrette la vie que par rapport à vous. Je crois avoir fait tout le bien qui était en mon pouvoir mon intention était de conti-nuer. J'ai toujours fait ma consolation de faire la vôtre. Aujourd'hui Dieu nous sépare, mais je vous laisse sa grâce et sa paix, et vous recom-mande à sa miséricorde. Le peu de temps qui me reste, l'aflluence du monde qui vient en foule nous visiter et implorer le secours de nos priè-res, m'empêchent de vous en dire davantage. Adieu donc encore une fois, adieu pour la der-nière fois.
-80-meurez fermes dans la foi de vos pères. Obéissez toujours à Dieu plutôt qu'aux hommes. Dans quelques heures je paraîtrai au pied du trône de l'Éternel je vous recommanderai à sa miséri-corde je le prierai d'avoir pitié de vous, de vous donner des pasteurs catholiques, qui soient selon son coeur. Hier j'ai vu une épine de la couronne de notre divin Sauveur aujourd'hui je verrai celui qui a été couronné d'épines. Je regarde ce jour comme le plus beau et le plus heureux de ma vie. Mon sort n'est point à plaindre il est digne d'envie. Ceux qui sont à plaindre sont plutôt ceux qui restent. Aussi n'est-ce point la mort qui me fait de la peine, c'est de vous abandon-ner, vous que j'aime de toute la tendresse de mon coeur je ne regrette la vie que par rapport à vous. Je crois avoir fait tout le bien qui était en mon pouvoir mon intention était de conti-nuer. J'ai toujours fait ma consolation de faire la vôtre. Aujourd'hui Dieu nous sépare, mais je vous laisse sa grâce et sa paix, et vous recom-mande à sa miséricorde. Le peu de temps qui me reste, l'aflluence du monde qui vient en foule nous visiter et implorer le secours de nos priè-res, m'empêchent de vous en dire davantage. Adieu donc encore une fois, adieu pour la der-nière fois.
-80-meurez fermes dans la foi de vos pères. Obéissez toujours à Dieu plutôt qu'aux hommes. Dans quelques heures je paraîtrai au pied du trône de l'Éternel je vous recommanderai à sa miséri-corde je le prierai d'avoir pitié de vous, de vous donner des pasteurs catholiques, qui soient selon son coeur. Hier j'ai vu une épine de la couronne de notre divin Sauveur aujourd'hui je verrai celui qui a été couronné d'épines. Je regarde ce jour comme le plus beau et le plus heureux de ma vie. Mon sort n'est point à plaindre il est digne d'envie. Ceux qui sont à plaindre sont plutôt ceux qui restent. Aussi n'est-ce point la mort qui me fait de la peine, c'est de vous abandon-ner, vous que j'aime de toute la tendresse de mon coeur je ne regrette la vie que par rapport à vous. Je crois avoir fait tout le bien qui était en mon pouvoir mon intention était de conti-nuer. J'ai toujours fait ma consolation de faire la vôtre. Aujourd'hui Dieu nous sépare, mais je vous laisse sa grâce et sa paix, et vous recom-mande à sa miséricorde. Le peu de temps qui me reste, l'affluence du monde qui vient en foule nous visiter et implorer le secours de nos priè-res, m'empêchent de vous en dire davantage. Adieu donc encore une fois, adieu pour la der-nière fois.
-80-meurez fermes dans la foi de vos pères.
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-80-meurez fermes dans la foi de vos pères. Obéissez toujours à Dieu plutôt qu'aux hommes. Dans quelques heures je paraîtrai au pied du trône de l'Éternel je vous recommanderai à sa miséri-corde je le prierai d'avoir pitié de vous, de vous donner des pasteurs catholiques, qui soient selon son coeur. Hier j'ai vu une épine de la couronne de notre divin Sauveur aujourd'hui je verrai celui qui a été couronné d'épines. Je regarde ce jour comme le plus beau et le plus heureux de ma vie. Mon sort n'est point à plaindre il est digne d'envie. Ceux qui sont à plaindre sont plutôt ceux qui restent. Aussi n'est-ce point la mort qui me fait de la peine, c'est de vous abandon-ner, vous que j'aime de toute la tendresse de mon coeur je ne regrette la vie que par rapport à vous. Je crois avoir fait tout le bien qui était en mon pouvoir mon intention était de conti-nuer. J'ai toujours fait ma consolation de faire la vôtre. Aujourd'hui Dieu nous sépare, mais je vous laisse sa grâce et sa paix, et vous recom-mande à sa miséricorde. Le peu de temps qui me reste, l'aflluence du monde qui vient en foule nous visiter et implorer le secours de nos priè-res, m'empêchent de vous en dire davantage. Adieu donc encore une fois, adieu pour la der-nière fois.
-80-meurez fermes dans la foi de vos pères. Obéissez toujours à Dieu plutôt qu'aux hommes. Dans quelques heures je paraîtrai au pied du trône de l'Éternel je vous recommanderai à sa miséri-corde je le prierai d'avoir pitié de vous, de vous donner des pasteurs catholiques, qui soient selon son coeur. Hier j'ai vu une épine de la couronne de notre divin Sauveur aujourd'hui je verrai celui qui a été couronné d'épines. Je regarde ce jour comme le plus beau et le plus heureux de ma vie. Mon sort n'est point à plaindre il est digne d'envie. Ceux qui sont à plaindre sont plutôt ceux qui restent. Aussi n'est-ce point la mort qui me fait de la peine, c'est de vous abandon-ner, vous que j'aime de toute la tendresse de mon coeur je ne regrette la vie que par rapport à vous. Je crois avoir fait tout le bien qui était en mon pouvoir mon intention était de conti-nuer. J'ai toujours fait ma consolation de faire la vôtre. Aujourd'hui Dieu nous sépare, mais je vous laisse sa grâce et sa paix, et vous recom-mande à sa miséricorde. Le peu de temps qui me reste, l'aflluence du monde qui vient en foule nous visiter et implorer le secours de nos priè-res, m'empêchent de vous en dire davantage. Adieu donc encore une fois, adieu pour la der-nière fois.
-80-meurez fermes dans la foi de vos pères. Obéissez toujours à Dieu plutôt qu'aux hommes. Dans quelques heures je paraîtrai au pied du trône de l'Éternel je vous recommanderai à sa miséri-corde je le prierai d'avoir pitié de vous, de vous donner des pasteurs catholiques, qui soient selon son coeur. Hier j'ai vu une épine de la couronne de notre divin Sauveur aujourd'hui je verrai celui qui a été couronné d'épines. Je regarde ce jour comme le plus beau et le plus heureux de ma vie. Mon sort n'est point à plaindre il est digne d'envie. Ceux qui sont à plaindre sont plutôt ceux qui restent. Aussi n'est-ce point la mort qui me fait de la peine, c'est de vous abandon-ner, vous que j'aime de toute la tendresse de mon coeur je ne regrette la vie que par rapport à vous. Je crois avoir fait tout le bien qui était en mon pouvoir mon intention était de conti-nuer. J'ai toujours fait ma consolation de faire la vôtre. Aujourd'hui Dieu nous sépare, mais je vous laisse sa grâce et sa paix, et vous recom-mande à sa miséricorde. Le peu de temps qui me reste, l'affluence du monde qui vient en foule nous visiter et implorer le secours de nos priè-res, m'empêchent de vous en dire davantage. Adieu donc encore une fois, adieu pour la der-nière fois.
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-80-meurez fermes dans la foi de vos pères. Obéissez toujours à Dieu plutôt qu'aux hommes. Dans quelques heures je paraîtrai au pied du trône de l'Éternel je vous recommanderai à sa miséri-corde je le prierai d'avoir pitié de vous, de vous donner des pasteurs catholiques, qui soient selon son coeur. Hier j'ai vu une épine de la couronne de notre divin Sauveur aujourd'hui je verrai celui qui a été couronné d'épines. Je regarde ce jour comme le plus beau et le plus heureux de ma vie. Mon sort n'est point à plaindre il est digne d'envie. Ceux qui sont à plaindre sont plutôt ceux qui restent. Aussi n'est-ce point la mort qui me fait de la peine, c'est de vous abandon-ner, vous que j'aime de toute la tendresse de mon coeur je ne regrette la vie que par rapport à vous. Je crois avoir fait tout le bien qui était en mon pouvoir mon intention était de conti-nuer. J'ai toujours fait ma consolation de faire la vôtre. Aujourd'hui Dieu nous sépare, mais je vous laisse sa grâce et sa paix, et vous recom-mande à sa miséricorde. Le peu de temps qui me reste, l'aflluence du monde qui vient en foule nous visiter et implorer le secours de nos priè-res, m'empêchent de vous en dire davantage. Adieu donc encore une fois, adieu pour la der-nière fois.
-80-meurez fermes dans la foi de vos pères. Obéissez toujours à Dieu plutôt qu'aux hommes. Dans quelques heures je paraîtrai au pied du trône de l'Éternel je vous recommanderai à sa miséri-corde je le prierai d'avoir pitié de vous, de vous donner des pasteurs catholiques, qui soient selon son coeur. Hier j'ai vu une épine de la couronne de notre divin Sauveur aujourd'hui je verrai celui qui a été couronné d'épines. Je regarde ce jour comme le plus beau et le plus heureux de ma vie. Mon sort n'est point à plaindre il est digne d'envie. Ceux qui sont à plaindre sont plutôt ceux qui restent. Aussi n'est-ce point la mort qui me fait de la peine, c'est de vous abandon-ner, vous que j'aime de toute la tendresse de mon coeur je ne regrette la vie que par rapport à vous. Je crois avoir fait tout le bien qui était en mon pouvoir mon intention était de conti-nuer. J'ai toujours fait ma consolation de faire la vôtre. Aujourd'hui Dieu nous sépare, mais je vous laisse sa grâce et sa paix, et vous recom-mande à sa miséricorde. Le peu de temps qui me reste, l'aflluence du monde qui vient en foule nous visiter et implorer le secours de nos priè-res, m'empêchent de vous en dire davantage. Adieu donc encore une fois, adieu pour la der-nière fois.
-80-meurez fermes dans la foi de vos pères. Obéissez toujours à Dieu plutôt qu'aux hommes. Dans quelques heures je paraîtrai au pied du trône de l'Éternel je vous recommanderai à sa miséri-corde je le prierai d'avoir pitié de vous, de vous donner des pasteurs catholiques, qui soient selon son coeur. Hier j'ai vu une épine de la couronne de notre divin Sauveur aujourd'hui je verrai celui qui a été couronné d'épines. Je regarde ce jour comme le plus beau et le plus heureux de ma vie. Mon sort n'est point à plaindre il est digne d'envie. Ceux qui sont à plaindre sont plutôt ceux qui restent. Aussi n'est-ce point la mort qui me fait de la peine, c'est de vous abandon-ner, vous que j'aime de toute la tendresse de mon coeur je ne regrette la vie que par rapport à vous. Je crois avoir fait tout le bien qui était en mon pouvoir mon intention était de conti-nuer. J'ai toujours fait ma consolation de faire la vôtre. Aujourd'hui Dieu nous sépare, mais je vous laisse sa grâce et sa paix, et vous recom-mande à sa miséricorde. Le peu de temps qui me reste, l'affluence du monde qui vient en foule nous visiter et implorer le secours de nos priè-res, m'empêchent de vous en dire davantage. Adieu donc encore une fois, adieu pour la der-nière fois.
Dans quelques heures je paraîtrai au pied du trône de l'Éternel je vous recommanderai à sa miséri-corde je le prierai d'avoir pitié de vous, de vous donner des pasteurs catholiques, qui soient selon son coeur.
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-80-meurez fermes dans la foi de vos pères. Obéissez toujours à Dieu plutôt qu'aux hommes. Dans quelques heures je paraîtrai au pied du trône de l'Éternel je vous recommanderai à sa miséri-corde je le prierai d'avoir pitié de vous, de vous donner des pasteurs catholiques, qui soient selon son coeur. Hier j'ai vu une épine de la couronne de notre divin Sauveur aujourd'hui je verrai celui qui a été couronné d'épines. Je regarde ce jour comme le plus beau et le plus heureux de ma vie. Mon sort n'est point à plaindre il est digne d'envie. Ceux qui sont à plaindre sont plutôt ceux qui restent. Aussi n'est-ce point la mort qui me fait de la peine, c'est de vous abandon-ner, vous que j'aime de toute la tendresse de mon coeur je ne regrette la vie que par rapport à vous. Je crois avoir fait tout le bien qui était en mon pouvoir mon intention était de conti-nuer. J'ai toujours fait ma consolation de faire la vôtre. Aujourd'hui Dieu nous sépare, mais je vous laisse sa grâce et sa paix, et vous recom-mande à sa miséricorde. Le peu de temps qui me reste, l'aflluence du monde qui vient en foule nous visiter et implorer le secours de nos priè-res, m'empêchent de vous en dire davantage. Adieu donc encore une fois, adieu pour la der-nière fois.
-80-meurez fermes dans la foi de vos pères. Obéissez toujours à Dieu plutôt qu'aux hommes. Dans quelques heures je paraîtrai au pied du trône de l'Éternel je vous recommanderai à sa miséri-corde je le prierai d'avoir pitié de vous, de vous donner des pasteurs catholiques, qui soient selon son coeur. Hier j'ai vu une épine de la couronne de notre divin Sauveur aujourd'hui je verrai celui qui a été couronné d'épines. Je regarde ce jour comme le plus beau et le plus heureux de ma vie. Mon sort n'est point à plaindre il est digne d'envie. Ceux qui sont à plaindre sont plutôt ceux qui restent. Aussi n'est-ce point la mort qui me fait de la peine, c'est de vous abandon-ner, vous que j'aime de toute la tendresse de mon coeur je ne regrette la vie que par rapport à vous. Je crois avoir fait tout le bien qui était en mon pouvoir mon intention était de conti-nuer. J'ai toujours fait ma consolation de faire la vôtre. Aujourd'hui Dieu nous sépare, mais je vous laisse sa grâce et sa paix, et vous recom-mande à sa miséricorde. Le peu de temps qui me reste, l'affluence du monde qui vient en foule nous visiter et implorer le secours de nos priè-res, m'empêchent de vous en dire davantage. Adieu donc encore une fois, adieu pour la der-nière fois.
Hier j'ai vu une épine de la couronne de notre divin Sauveur aujourd'hui je verrai celui qui a été couronné d'épines.
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-80-meurez fermes dans la foi de vos pères. Obéissez toujours à Dieu plutôt qu'aux hommes. Dans quelques heures je paraîtrai au pied du trône de l'Éternel je vous recommanderai à sa miséri-corde je le prierai d'avoir pitié de vous, de vous donner des pasteurs catholiques, qui soient selon son coeur. Hier j'ai vu une épine de la couronne de notre divin Sauveur aujourd'hui je verrai celui qui a été couronné d'épines. Je regarde ce jour comme le plus beau et le plus heureux de ma vie. Mon sort n'est point à plaindre il est digne d'envie. Ceux qui sont à plaindre sont plutôt ceux qui restent. Aussi n'est-ce point la mort qui me fait de la peine, c'est de vous abandon-ner, vous que j'aime de toute la tendresse de mon coeur je ne regrette la vie que par rapport à vous. Je crois avoir fait tout le bien qui était en mon pouvoir mon intention était de conti-nuer. J'ai toujours fait ma consolation de faire la vôtre. Aujourd'hui Dieu nous sépare, mais je vous laisse sa grâce et sa paix, et vous recom-mande à sa miséricorde. Le peu de temps qui me reste, l'aflluence du monde qui vient en foule nous visiter et implorer le secours de nos priè-res, m'empêchent de vous en dire davantage. Adieu donc encore une fois, adieu pour la der-nière fois.
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