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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez@? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez ? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. -@Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-tation qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. -@Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un accent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. -@Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée.
C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-tation qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez@? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez ? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. -@Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-tation qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. -@Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un accent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. -@Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
Ludovic insista donc.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez@? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez ? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. -@Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-tation qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. -@Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un accent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. -@Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
- Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez@? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez ? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. -@Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-tation qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. -@Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un accent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. -@Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez@? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez ? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. -@Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-tation qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. -@Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un accent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. -@Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez@? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez ? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. -@Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-tation qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. -@Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un accent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. -@Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
Voici comment les choses se sont passées.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez@? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez ? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. -@Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-tation qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. -@Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un accent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. -@Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant.
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Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez@? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez ? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. -@Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-tation qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. -@Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un accent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. -@Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes.
Il dit tout cela avec un accent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez@? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez ? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. -@Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-tation qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. -@Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un accent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. -@Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
- Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez@? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez ? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. -@Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-tation qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. -@Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un accent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. -@Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez ? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. -@Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-tation qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. -@Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un accent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. -@Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez@? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez ? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. -@Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-tation qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. -@Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un accent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. -@Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
C'est une leçon qui me profitera.
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CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez@? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. - Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-talion qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. - Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un aecent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. - Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 189 -Comment ne le croirais-je pas quand je vous vois si différente de ce que vous étiez ? C'est bien la même bonté, mais ce n'est plus le même élan. Avouez-le, je vous suis suspect on m'a calomnié près de vous. -@Pas le moins du monde, et ma confiance est ce qu'elle était. Toutes ces réponses étaient faites d'une voix ferme et af-fectueuse à la fois, et pourtant il y régnait quelque chose de contraint qui ne pouvait échapper à Ludovic. C'était si nou-veau chez la jeune fille, et plus nouvelle encore était l'affec-tation qu'elle avait mise à ne pas se montrer à la croisée. Ludovic insista donc. -@Écoutez, Marguerite, lui dit-il il ne faut pas qu'il existe de nuage entre nous. Sans confiance, point d'affection véri-table. Vous allez tout savoir, et, s'il vous reste quelque pré-vention, vous me le direz. Voici comment les choses se sont passées. Il lui fit alors le récit des scènes de la veille, entra dans les moindres circonstances, celles du moins dont sa mémoire avait gardé l'impression, ne cacha rien de ses faiblesses et des suites qu'elles avaient eues, expliqua comment il n'avait cédé qu'à des obsessions réitérées, croyant en être quitte au bout de quelques minutes, et retenu ensuite malgré lui et à son corps défendant. Il raconta ce qu'il avait souffert pendant cette séance si prolongée et si fatale combien de fois sa pensée s'était envolée vers elle avec des élans d'impatience et un sentiment de regret puis, quelle amertume avait inondé son âme lorsqu'il avait compris l'impuissance où il était de tenir la promesse et de lui porter la nouvelle qui était d'un si grand intérêt pour leur bonheur commun. Il dit tout cela avec un accent si vrai et si ému, dans un langage si plein de tendresse, que la jeune fille ne chercha plus à se contenir et laissa couler ses larmes. -@Vous le voyez, dit Ludovic en finissant, tout ceci est de la fatalité. Avec plus d'expérience j'aurais pu mieux m'en défendre mais on s'est joué de moi comme on a voulu. J'ai eu affaire à des roués et je suis bien novice. C'est une leçon qui me profitera. Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
Maintenant, Marguerite, si on avait déna-turé les faits en vous les racontant, j'espère qu'entre les deux versions vous préférerez la mienne.
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-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélasell, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois 1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance mire et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase@ll, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois @@@@@@1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance mire et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase II, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois -48 - 1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance pure et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
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-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélasell, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois 1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance mire et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase@ll, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois @@@@@@1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance mire et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase II, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois -48 - 1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance pure et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye.
Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye.
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-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélasell, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois 1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance mire et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase@ll, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois @@@@@@1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance mire et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase II, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois -48 - 1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance pure et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency.
Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency.
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-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélasell, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois 1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance mire et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase@ll, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois @@@@@@1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance mire et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase II, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois -48 - 1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance pure et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière.
Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière.
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-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélasell, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois 1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance mire et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase@ll, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois @@@@@@1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance mire et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase II, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois -48 - 1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance pure et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélasell, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale.
Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase II, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale.
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-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase@ll, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois @@@@@@1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance mire et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
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Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 .
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-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase@ll, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois @@@@@@1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance mire et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase II, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois -48 - 1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance pure et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
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-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase@ll, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois @@@@@@1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance mire et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
-48 -eu cet honneur . Les Montmorency étaient issus de Burchard, célèbre déjà sous l'abbé Suger, qui avait assiégé leur château en Parisis près de Saint-Denis, l'Abbaye. Adélaïs de Savoie, veuve de Louis le Gros, mère de Louis le Jeune, avait épousé un Montmorency. Cette maison comptait un cardinal, un archevêque de Reims, cinq con-nétables, sept maréchaux, deux amiraux, des grands d'Espagne, des princes du Saint-Empire, des chevaliers de la Toison d'or et de la Jarretière. Les Clermont-Tonnerre avaient été tout dévoués au pontificat, grand honneur de chevalerie un Clermont-Tonnerre soutint les droits de Gélase II, et en récompense de ses brillants services, le pape lui conféra l'insigne honneur de porter dans son blason deux clefs d'argent en sautoir et pour cimier la thiare pontificale. Les Beauveau-Craon, issus du sire Foulque d'Anjou, avaient vu leur bannière flotter à côté de celle de Charles d'Anjou, frère de saint Louis 1 . Une chronique du Xe siècle fait mention déjà des ancêtres des Lévis-Mirepoix. Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois -48 - 1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance pure et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois 1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance mire et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
Guy, sire de Lévis, fut un des barons de la croisade contre les Albigeois -48 - 1 Pour être exact en généalogie, nous devons dire qu'il existe aujourd'hui peu de descendance pure et directe de toutes ces grandes familles les uns portent les noms par substitution, d'autres par mariage et alliance, d'autres, enfin, on ne peut dire comment.
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65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise auxpréjugés, auxpréventions et àl'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux@préjugés, aux@préventions et à@l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèle. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux préjugés, aux préventions et à l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 .
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 .
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65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise auxpréjugés, auxpréventions et àl'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux@préjugés, aux@préventions et à@l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèle. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux préjugés, aux préventions et à l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 .
Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 .
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65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise auxpréjugés, auxpréventions et àl'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux@préjugés, aux@préventions et à@l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèle. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux préjugés, aux préventions et à l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 .
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65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise auxpréjugés, auxpréventions et àl'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux@préjugés, aux@préventions et à@l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèle. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux préjugés, aux préventions et à l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë.
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65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise auxpréjugés, auxpréventions et àl'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux@préjugés, aux@préventions et à@l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèle. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux préjugés, aux préventions et à l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise auxpréjugés, auxpréventions et àl'esprit de système 4 .
Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux préjugés, aux préventions et à l'esprit de système 4 .
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65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux@préjugés, aux@préventions et à@l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèle. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux préjugés, aux préventions et à l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet.
Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet.
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65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise auxpréjugés, auxpréventions et àl'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux@préjugés, aux@préventions et à@l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèle. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux préjugés, aux préventions et à l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
2 Journal de Botanique, tom.
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65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise auxpréjugés, auxpréventions et àl'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux@préjugés, aux@préventions et à@l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèle. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux préjugés, aux préventions et à l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON.
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65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèlë. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent Comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux@préjugés, aux@préventions et à@l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
65 le vague, l'incertitude qui régnent dans les caractères donnés jusqu'ici aux genres et aux espèces 1 . Au mois d'août de la même année, se trouvant alors à Douai, il eut l'occasion de remarquer une production peu commune de la famille des champignons, apparte-nant au genre merulius il rapporte à ce sujet une anec-dote fort piquante , nouvelle preuve de l'égarement des esprits qu'enchaînent la superstition et une dévotion irré-fléchie 2 . Peu de temps après , il fut appelé à l'Institut comme membre résident 3 . En s'asseyant dans le fau-teuil académique , que tant d'autres regardent comme le siège d'un éternel repos, il sentit toute l'obligation que lui imposait un litre aussi honorable, et on le vit doubler encore de-zèle. Toujours et pour ainsi dire uniquement occupé à dé-terminer positivement si les mousses et les lycopodes se régénèrent comme les autres végétaux staminifères, et quelle est la nature des organes que l'on croit être ceux de la fructification de ces sortes de plantes, PA-LISOT DE BEAUVOIS a offert, en 1811, sur ce problème important, une solution qui ne doit plus laisser prise aux préjugés, aux préventions et à l'esprit de système 4 . Il répondit à toutes les objections qui lui avaient été 1 Je me propose de donner suite aux recherches de PALISOT DE BEAUVOIS sur cette intéressante famille je re-cevrai avec reconnaissance toutes les communications qui me seront faites à ce sujet. 2 Journal de Botanique, tom. III le Ier. de la 2e. série , pag. 12-16. 3 Il a été élu le 17 novembre 1806, a la place vacante par la mort d'ADANSON. 4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
4 Nouvelles observations sur la fructification des mousses et des lycopodes, lues à l'Institut le 22 avril
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57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues auxpolypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux@polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou @@@1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 57 1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les.
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57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues auxpolypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux@polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou @@@1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 57 1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 .
organes reproducteurs sont presque toujours contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 .
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57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues auxpolypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux@polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou @@@1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 57 1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
Les champignons occupent la seconde place et sont analogues auxpolypes à rayons 2 .
Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux polypes à rayons 2 .
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57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues auxpolypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux@polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou @@@1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 57 1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD.
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57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues auxpolypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux@polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou @@@1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 57 1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
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Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher.
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57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux@polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou @@@1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 57 1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 1 .
Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 57 1 .
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57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux@polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou @@@1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
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57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues auxpolypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours Contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux@polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou @@@1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
57 ordinairement à substance membraneuse, coriace et di-versement colorée, dont les. organes reproducteurs sont presque toujours contenus dans des tubercules extérieurs, plus ou moins apparens, tantôt ovales, tantôt plus ou moins arrondis 1 . Les champignons occupent la seconde place et sont analogues aux polypes à rayons 2 . Il est bon de se rappe-ler ici que PALISOT DE BEAUVOIS a le premier en France préparé les progrès qu'on a faits dans cette partie de la botanique, et que ses recherches sont antérieures en publication à celles de PAULET et de BULLIARD. Il distingue les champignons parasites de ceux qui ne le sont pas il compare à certains animaux invertébrés les premiers qu'il a remarqués tant sur la plumule des plantes annuel-les , que sur les jeunes pousses des plantes pérennes et sur les bourgeons des arbres, sous forme de petits grains, tantôt jaunes, tantôt bruns, et tellement fixés que l'im-mersion et l'agitation dans l'eau ne peuvent les détacher. Les champignons parasites ne s'introduisent point par les racines avec les sucs nourriciers des végétaux sur lesquels ils vivent ils ne circulent point dans l'intérieur des vais-seaux à l'instar des vers intestinaux, ainsi que le pense un botaniste célèbre M. DE CANDOLLE , mais ils s'attachent à l'épiderme qu'ils traversent pour se loger dessous, ou 57 1 . Ce travail sur les algues, lu à l'Institut le 30 mars et le 13 avril 1807, est encore inédit il doit être accom-pagné de dix planches, qui sont toutes gravées et dont je possède un exemplaire. 2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
2 Le travail sur les champignons, qui devait suivre immédiatement celui sur les algues, est malheureusement demeuré incomplet!
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source.
possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source.
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes.
Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes.
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant?
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ?
Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ?
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ?
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ?
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque.
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ?
Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ?
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ?
Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ?
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout.
La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout.
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ?
Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ?
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire?
Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ?
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes.
Par exemple, les zodiaques ont évidement une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes.
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après.
Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après.
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait.
Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait.
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport.
Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport.
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6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant@? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a-t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'uni'é invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'expres-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire@? Par exemple, les zodiaques ont évidemment une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si imporlant que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
6UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. possible d'expliquer cette conformité autrement que par une origine com-mune et cela ne suffit pas encore, il a fallu que dans les commencements toutes les fractions du genre humain aient vécu d'une vie commune pen-dant plusieurs siècles, pour que tant de peuples répandus par toute la terre aient emporté tant de coutumes, d'idées, de pratiques semblables que le hasard ne peut expliquer il faut que tous aient puisé à une même source. Ce qui frappe un esprit superficiel dans la comparaison des nations, ce sont les différences mais l'observateur qui voit le fond des choses est bien plus étonné des similitudes. Est-ce par hasard que partout et toujours, sous toutes les latitudes, le fond de la religion a reposé sur le sacrifice sanglant ? Est-ce par hasard que se sont établis tant d'usages parfaitement semblables dans la pratique et les détails du culte, que nous avons signalés dans nos écrits précédents ? Est-ce un effet du hasard que le genre humain soit tombé partout dans un absurde polythéisme, mais après avoir été monothéiste ? Est-ce que le monothéisme n'indique pas avec certitude une origine iden-tique ? Nous avons vu que partout les religions polythéistes ont pris naissance à peu près vers la même époque. Est-ce que ce synchronisme n'indique pas une marche parallèle dans l'histoire des nations, qui accuse un point de départ central ? Malgré la diversité très-marquée des langues, n'y a t-il pas des traits de famille ineffaçables dans toutes les langues du monde ? La formule gram-maticale qu'on appelle une phrase, composée de ses trois termes, est l'unité invariable du langage de l'homme, et cela toujours et partout. Qui a inventé ce mécanisme si parfait et si un dans sa diversité ? Comment se fait-il que des nations profondément séparées par l'exprés-sion de leur pensée, par leur langue, se trouvent avoir sur d'autres points les plus intimes et les plus nombreuses affinités, lesquelles remontent à l'origine même de leur histoire ? Par exemple, les zodiaques ont évidem@ent une même origine dans tout l'Orient, et ce point est si important que nous devons en fournir quel-ques preuves, d'après les fructueuses recherches de de Guignes. Mém. de l'Acad., t. XLVII, p. 400 et seq. Le zodiaque dont va parler ce savant n'est pas celui des demeures du soleil, mais celui des demeures quotidiennes de la lune partagé en 28 sta-tions, et beaucoup plus ancien et plus primitif que le second, qui n'a dû être observé qu'un long temps après. Dans la plus haute antiquité, dit-il, les peuples de l'Orient se sont diri-gés par le cours de la lune combiné avec les étoiles, et ils ont appelé maison, habitation, palais de la lune, un certain amas d'étoiles dans lequel elle séjournait. Voilà, je crois, ce que nous pouvons appeler le vrai zodiaque ancien, avec lequel celui des Grecs n'a point de rapport. Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
Ce zodiaque lunaire est encore connu de tous les Orientaux, et par une singularité extraordinaire, il s'est conservé chez tous le même et souvent avec les mêmes noms qui ne sont que traduits avec le même sens dans les différentes langues nous le
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-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que va-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest.
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest.
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-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que va-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ?
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-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que va-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut.
L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut.
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-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que va-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument.
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-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que va-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français.
Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français.
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-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que va-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs.
Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs.
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-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que va-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule.
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-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que va-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse.
C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse.
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-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que va-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires.
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-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que va-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République !
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-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que va-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
7 octobre 1793.
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-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
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Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens.
Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens.
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-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que Ta-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
-200 -autres, le mouvement de la pointe est de l'est à l'ouest. Mais que va-t-il arriver si l'on sonne les quatre cloches à la fois, et en suivant leur accord naturel, fa, mi, re, ut ? L'expérience en a été faite le hardi couvreur décrivait, avec la pointe de la flèche, autant de cercles dans les airs, que les cloches faisaient entendre de fois le fa, mi, re, ut. Il ne fallait rien moins que le marteau révolu-tionnaire pour attaquer et détruire ce merveilleux monument. Mais nous avons quelque chose de plus à déplorer. Dans l'ar-rière-choeur de l'abbaye de Saint-Remi s'élevait un monument si noble dans son architecture, et si riche par les précieux maté-riaux dont il se composait qu'il eût fallu parcourir la France entière pour trouver quelque objet du même genre qui pût lui être comparé c'était le mausolée de S. Rémi, l'apôtre des Français. Dans une châsse d'argent massif, dont la forme repré-sentait en petit celle du monument, et toute étincelante d'or et de pierreries, reposaient les restes vénérables de celui qui baptisa Clovis et ses Francs. D'un côté de la châsse, on voyait le bâton pastoral du saint et de l'autre côté la sainte Ampoule. C'était une fiole fort petite, contenant du baume coagulé une tradition constante, appuyée du témoignage positif d'Hincmar, l'un des plus illustres successeurs de S. Rémi, atteste que le saint chrême ayant manqué au moment du baptême et du sacre de Clovis, un ange apporta au saint prélat cette fiole miraculeuse. Une relique si auguste et qui rappelait de si légitimes souvenirs ne pouvait échapper aux fureurs révolutionnaires. Rulh, digne agent de la convention nationale, arrive à Reims, se fait livrer la sainte Ampoule, et la brise à coups de marteau sur la place royale, au cri de Vive la République ! 7 octobre 1793. Il croyait avoir anéanti la sainte Ampoule il ignorait qu'avant de la lui livrer on en avait extrait une partie du baume qu'elle contenait que ces précieuses parcelles seraient non seulement reconnues, mais aussi revêtues du sceau de l'authenticité, et reparaîtraient au sacre des rois très chrétiens. Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
Reims, le 23 du même mois, revit cet Armonville, qui, élu membre de la convention le 3 septembre de l'année précédente, avait reçu le même jour, de la part des assassins, les honneurs
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-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de cette flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
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-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de cette flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées.
Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées.
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-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de cette flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames.
La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames.
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-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de cette flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues?
Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues?
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-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de cette flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins.
On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins.
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-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de cette flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête.
De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête.
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-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de cette flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner.
Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner.
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-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de cette flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour.
D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour.
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-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de cette flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui.
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-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de cette flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest.
le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest.
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-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de celte flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
-199 -charité nouvellement créées et appropriées aux besoins de l'épo-que actuelle. Au reste, dans les nombreuses destructions que nous venons d'énumérer, il y a des pertes qui, même sous le rapport de l'art, ne seront jamais réparées. La plupart des églises remontaient très haut dans l'antiquité plusieurs offraient dans leur enceinte des monuments antérieurs même au moyen âge quelques-unes étaient d'une architecture remarquable, entre autres Saint-Pierre-les-Dames. Mais que dire de Saint-Nicaise, ce chef-d'oeuvre in-comparable d'architecture gothique pour l'étonnante hardiesse de ses voûtes, pour l'admirable légèreté de ses tours découpées en colonnettes et de ses flèches élancées dans les nues? On y remarquait d'ailleurs un phénomène toujours inexplicable c'était un arc-boutant d'un aplomb si parfait, que sa tête se balançait très visiblement au branle d'une des plus petites cloches placées dans la tour méridionale, dont il était d'ailleurs éloigné de quarante pieds au moins. De plus, il n'avait de communica-tion avec la tour, et n'en recevait le mouvement de vacillation que par l'intermédiaire du grand mur méridional de la nef, auquel aboutissait sa tête. Mais, ce qui complique singulière-ment la difficulté, ce même mur ne pouvait recevoir de la tour que l'impulsion de l'ouest à l'est, c'est a dire dans la direction, non de son épaisseur, mais de sa longueur supposition qui semble absurde, et que pourtant il faut admettre, sur la foi des milliers de témoins qui ont vu de leurs yeux le phénomène, qui l'ont revu, examiné, étudié durant plus d'un siècle, sans pouvoir s'en rendre un compte satisfaisant, même après les explications que le célèbre auteur du Spectacle de la nature a essayé d'en donner. D'autres expériences fort curieuses, et moins inconcevables, ont été faites sur la flèche même de la tour. Un couvreur monte jusqu'à la pointe de cette flèche la tour qui. le porte contient quatre cloches, dont deux mises en volée se balancent du nord au sud, et les deux autres mises à leur tour en volée vont de l'est à l'ouest. Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
Au branle des deux premières, la pointe de la flèche suit le mouvement du nord au sud au branle des deux
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XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté , de pareilles lectures , que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lietr de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine , ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait , pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire , de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus , de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes , et son imagina-tion , tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres , ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la Franee, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté , de pareilles lectures , que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lietr de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine , ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait , pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire , de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus , de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes , et son imagina-tion , tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres , ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la Franee, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté@, de pareilles lectures@, que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lie@u de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine@, ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait@, pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire@, de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus@, de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes@, et son imagina-tion@, tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres@, ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la France, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
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XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté , de pareilles lectures , que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lietr de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine , ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait , pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire , de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus , de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes , et son imagina-tion , tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres , ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la Franee, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
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XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté@, de pareilles lectures@, que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lie@u de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine@, ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait@, pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire@, de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus@, de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes@, et son imagina-tion@, tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres@, ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la France, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière.
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XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté , de pareilles lectures , que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lietr de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine , ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait , pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire , de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus , de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes , et son imagina-tion , tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres , ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la Franee, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté@, de pareilles lectures@, que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lie@u de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine@, ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait@, pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire@, de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus@, de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes@, et son imagina-tion@, tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres@, ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la France, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lietr de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine , ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays.
L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lieu de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine, ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays.
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XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté , de pareilles lectures , que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lietr de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine , ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait , pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire , de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus , de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes , et son imagina-tion , tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres , ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la Franee, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
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La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait , pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire , de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus , de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes , et son imagina-tion , tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres , ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion.
La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait, pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire, de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus, de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes, et son imagina-tion, tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres, ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion.
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XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté , de pareilles lectures , que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lietr de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine , ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait , pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire , de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus , de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes , et son imagina-tion , tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres , ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la Franee, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté , de pareilles lectures , que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lietr de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine , ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait , pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire , de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus , de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes , et son imagina-tion , tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres , ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la Franee, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté@, de pareilles lectures@, que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lie@u de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine@, ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait@, pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire@, de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus@, de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes@, et son imagina-tion@, tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres@, ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la France, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la Franee, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison.
Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la France, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison.
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XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté , de pareilles lectures , que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lietr de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine , ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait , pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire , de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus , de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes , et son imagina-tion , tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres , ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la Franee, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté , de pareilles lectures , que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lietr de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine , ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait , pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire , de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus , de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes , et son imagina-tion , tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres , ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la Franee, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté@, de pareilles lectures@, que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lie@u de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine@, ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait@, pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire@, de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus@, de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes@, et son imagina-tion@, tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres@, ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la France, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire.
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XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté , de pareilles lectures , que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lietr de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine , ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait , pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire , de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus , de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes , et son imagina-tion , tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres , ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la Franee, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté , de pareilles lectures , que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lietr de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine , ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait , pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire , de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus , de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes , et son imagina-tion , tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres , ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la Franee, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
XVIII NOTICE que, un ouvrage de philosophie, Clairault, Bayle et Saint-Augustin. Une tête moins bien organisée que la sienne n'eût rapporté@, de pareilles lectures@, que le zèle crédule d'une dévotion ascétique, ou le doute d'une philosophie désolante. Elle évita ces deux excès mais un autre ou-vrage avait déjà décidé pour jamais de ses goûts, de ses opinions, de sa vie entière. L'enfant qui, à huit ans, malgré sa piété fervente, portait à l'église les Vies des hommes illustres de Plutarque, au lie@u de son livre de messe la jeune personne qui pleurait à quatorze ans de n'être pas Spartiate ou Romaine@, ne semblait appartenir ni à son temps ni à son pays. La Grèce et l'Italie étaient sans cesse présentes à sa pensée elle vivait@, pour ainsi dire, au milieu des républiques anciennes elle admirait la sagesse de leurs lois, la simplicité de leurs moeurs, la force de leurs institutions son coeur se sentait ému aux seuls mots de gloire@, de liberté, de patrie en parcourant l'histoire des Romains et des Grecs, elle élevait son ame à la contemplation de tout ce qu'il y a de grand dans leurs vertus@, de fier et d'héroïque dans leurs actions elle s'entretenait avec leurs grands hommes, elle assis-tait à leurs combats, à leurs triomphes@, et son imagina-tion@, tout occupée des honneurs immortels que décerne la reconnaissance des peuples libres@, ne voyait que la gloire de Léonidas et les trophées de Miltiade elle ou-bliait l'exil d'Aristide et la mort de Phocion. Quand elle reportait ses idées et ses regards vers la France, son siècle et son pays n'avaient point à gagner à la comparaison. La monarchie était rapidement déchue ce n'était plus cet édifice que Louis XIV avait élevé de sa main puissante, avait entouré de tous les prestiges de sa gloire. Ce monarque, qui dans sa sollicitude pour la
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56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉACMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la conlexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la suhstance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , 1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le motphanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytss, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉACMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la conlexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la suhstance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , @@@1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le mot@phanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytss, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉAUMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la contexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la substance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , 56 1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le mot phanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytes, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
56 matière tend à s'organiser.
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56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉACMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la conlexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la suhstance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , 1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le motphanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytss, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉACMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la conlexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la suhstance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , @@@1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le mot@phanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytss, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉAUMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la contexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la substance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , 56 1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le mot phanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytes, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 .
En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 .
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56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉACMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la conlexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la suhstance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , 1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le motphanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytss, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉACMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la conlexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la suhstance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , @@@1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le mot@phanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytss, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉAUMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la contexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la substance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , 56 1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le mot phanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytes, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
RÉACMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs.
RÉAUMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs.
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56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉACMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la conlexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la suhstance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , 1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le motphanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytss, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉACMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la conlexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la suhstance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , @@@1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le mot@phanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytss, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉAUMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la contexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la substance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , 56 1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le mot phanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytes, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la conlexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par.
PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la contexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par.
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56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉACMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la conlexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la suhstance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , 1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le motphanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytss, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉACMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la conlexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la suhstance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , @@@1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le mot@phanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytss, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉAUMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la contexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la substance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , 56 1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le mot phanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytes, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la suhstance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , 1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens.
une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la substance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , 56 1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens.
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56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉACMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la conlexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la suhstance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , 1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le motphanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytss, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉACMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la conlexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la suhstance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , @@@1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le mot@phanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytss, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
56 matière tend à s'organiser. En effet, les algues sont aux autres végétaux , ce que les polypes amorphes de M. DE LAMARCK , sont aux autres animaux elles sont dépour-vues de racines proprement dites, de tiges de feuilles , de fibres ou tubes et de trachées qui composent en grande partie l'organisation des plantes phanérogames 1 . RÉAUMUR , mon savant correspondant M. STACKHOUSE et ROTH , DlLLEN , MULLER , DlLLEVIN , DRAPARNAUD -, GIROD-CHANTRANS et VAUCHER , ont remarqué , les trois premiers dans le plus grand nombre des fucus, et les autres dans les conferves , des parties distinctes de la substance et qu'ils regardent comme étant leurs organes reproducteurs. PALISOT DE BEAUVOIS étudie les algues sous un autre point de vue il s'occupe de l'organisation intérieure de toutes les parties et plus spécialement de la contexture de leur substance et, marchant toujours du simple au composé, il divise cette famille en trois sections bien distinctes , les iliodées, qui naissent toujours ou au bord ou au fond des eaux stagnantes sur la vase, et dont toutes les parties plus ou moins filamenteuses, sont enve-loppées par. une matière molle, muqueuse les trichoma-tes, dont la substance , toute filamenteuse, herbacée commence à prendre la forme arborescente que la nature ne doit plus abandonner et les fucées ou scutoïdes 2 , 56 1 Mon ami, M. DE SAINT-AMANS, d'Agen dans le Journal des sciences utiles, de BERTHOLON, n°. 17 et 18 de 1791 , a-le premier proposé ce mot pour désigner toutes les espèces de plantes dont les organes sexuels son apparens. Le mot phanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytes, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.,
Le motphanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytss, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.
Le mot phanérogame est composé de deux racines, grecques visible et noce, a M. LAMOUROUX les nomme thalassiophytes, et a publié sur ces plantes un ouvrage fort estimable.
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43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes etles seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et VUlaret, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et@les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et V@Ularet, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes@, et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque@? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui@vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple 1 , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations 1 Histoire de France, par Velly et Villaret, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres?
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres?
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43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes etles seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et VUlaret, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et@les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et V@Ularet, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes@, et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque@? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui@vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple 1 , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations 1 Histoire de France, par Velly et Villaret, tom. XVII, pag. 60.
Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression.
Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes, et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression.
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43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes etles seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et VUlaret, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes , et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et@les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple r , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations i Histoire de France, par Velly et V@Ularet, tom. XVII, pag. 60.
43 micides, armeraient les bras des citoyens contre les autres? Ses premiers regards, au sortir de l'enfance, furent épouvantés des massacres de Nantes@, et cette vue a laissé sur lui une ineffaçable et terrible impression. Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque@? Il a traversé les révolutions de l'anarchie et la servilité du despotisme, sans places et sans emploi, méditant sur les pages de notre histoire. C'est là qu'il apprit à connaître toute l'étendue des maux qui sui@vent les dissensions intestines, qu'il apprit à détester les ligues secrètes et les sourdes intrigues qui minent le pouvoir royal c'est là qu'il vit entr'autres les maux de la ligue appelée guerre du bien public, où les princes et les seigneurs, s'intitulant les défenseurs du pauvre peuple 1 , conspiraient contre le pouvoir de Louis XI, et s'efforçaient de fonder leur puissance aux dépens du trône et de l'Etat. L'histoire lui apprit quels malheurs pesèrent sur la France, lorsque les Guises, établissant partout des associations secrètes, et commençant la ligue, fondaient un gouverne-ment occulte pour miner le trône des Valois et l'histoire lui apprit enfin que si le courage et la bonté de Henri lui ouvrirent les portes de Paris et dissipèrent la ligue, la satire d'un écrivain fidèle porta les premiers coups à la faction des seize en dévoilant leurs complots. Les malheurs qu'il a vus dans l'histoire, il a voulu les éloigner le bien que des écrits peuvent produire, il a voulu le faire. S'il est coupable d'avoir cru, punissez-le mais déclarez du moins que l'homme ne doit pas être sujet à erreur. Ce n'est pas par des poursuites et des condamnations 1 Histoire de France, par Velly et Villaret, tom. XVII, pag. 60.
Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque ?
Qui plus que lui pouvait redouter les complots qui paralyseraient l'autorité royale et la puissance constitu-tionnelle du monarque?
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