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661.txt | 1,886 | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsfguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérisondes sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ains@fguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison@des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calxados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsi guéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. | Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. | 0 | 0 | 0 |
661.txt | 1,886 | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsfguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérisondes sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ains@fguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison@des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calxados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsi guéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | Les sujets ainsfguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. | Les sujets ainsi guéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. | 2 | 0.015873 | 0.086957 |
661.txt | 1,886 | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsfguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérisondes sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ains@fguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison@des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calxados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsi guéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. | On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. | 0 | 0 | 0 |
661.txt | 1,886 | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsfguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérisondes sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ains@fguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison@des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calxados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsi guéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. 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Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérisondes sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ains@fguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison@des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calxados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsi guéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. | Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. | 0 | 0 | 0 |
661.txt | 1,886 | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsfguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérisondes sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ains@fguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison@des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. 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Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. 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Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérisondes sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. 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Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. 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661.txt | 1,886 | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsfguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. 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661.txt | 1,886 | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsfguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. 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Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. | Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. | 0 | 0 | 0 |
661.txt | 1,886 | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsfguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérisondes sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ains@fguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison@des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calxados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsi guéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. 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Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. 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661.txt | 1,886 | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsfguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. 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Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calvados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ains@fguéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison@des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | DOCUMENTS, EXTRAITS DE JOURNAUX 281 LAFONTAINE 19 Le Pilote du Calxados, du 6 mars 1841, s'exprime ainsi Parmi les miracles modernes qu'il importe de constater, mentionnons les cures opérées par le magnétisme. Les journaux de science spéciale disent que M. du Potet a rendu l'ouïe et, par conséquent, donné la parole à une vingtaine de sourds-muets. Les sujets ainsi guéris, et dont l'état avait été préalablement précisé, ont été présentés devant un des grands corps savants. On n'ose encore croire à de tels résultats mais cependant s'ils sont avérés, s'ils sont opérés sous les yeux des incrédules et sur des personnes dont l'état de surdité complète ne peut être douteux, il faudra bien que la raison triomphe et que le préjugé disparaisse devant une vérité devenue frappante. M. Lafontaine n'a encore trouvé l'occasion de faire ici l'application du magnétisme à la guérison des sourds-muets que sur une personne de Caen, la nommée Catherine Montaigu, ouvrière, habitant le quartier Saint-Gilles. Cette fille, âgée de trente-six ans, sourde-muette dès son enfance, a passé plusieurs années de sa jeunesse à l'établissement du Bon-Sauveur de Caen. Plusieurs habitants et le médecin qui lui a donné des soins ont constaté de la manière la plus irrécusable son état de surdité. Après quelques séances seulement, M. Lafontaine est parvenu à lui faire entendre plusieurs séries de sons qu'elle répète d'une manière encore fort irrégulière, mais de sorte cependant qu'il est impossible de douter qu'elle n'en ait la perception. Voici un extrait du Journal de la Vienne, du 13 juin 1846. Il est question d'une sourde-muette de vingt-huit ans, mariée et ayant un enfant. Nul être dans ce monde n'éprou-vera la joie que cette femme ressentit, lorsque, après quelques séances, elle entendit la voie de son enfant. Un médecin de Poitiers continue cette cure, qui est très avancée, et qui bientôt sera complète . Nous avons assisté hier soir à la seconde séance de magnétisme, donnée par M. Ch. Lafontaine, et, hâtons-nous de le dire, nos espérances ont été pleinement justifiées. Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | Après nous avoir montré l'influence de la musique sur une | 0 | 0 | 0 |
107.txt | 1,821 | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et @@@1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 3°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont 1°. mous ou fugaces, 2°. secs mais fugaces, 3°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aethéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-@melles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 59 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-VOIS qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. | 0 | 0 | 0 |
107.txt | 1,821 | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et @@@1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 3°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont 1°. mous ou fugaces, 2°. secs mais fugaces, 3°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aethéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-@melles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 59 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-VOIS qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. | les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 3°. | 1 | 0.008475 | 0.045455 |
107.txt | 1,821 | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et @@@1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 3°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont 1°. mous ou fugaces, 2°. secs mais fugaces, 3°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aethéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-@melles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 59 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-VOIS qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. | et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. | 0 | 0 | 0 |
107.txt | 1,821 | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et @@@1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 3°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont 1°. mous ou fugaces, 2°. secs mais fugaces, 3°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aethéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-@melles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 59 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-VOIS qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. | Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont 1°. | 1 | 0.012821 | 0.058824 |
107.txt | 1,821 | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et @@@1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 3°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont 1°. mous ou fugaces, 2°. secs mais fugaces, 3°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aethéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-@melles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 59 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-VOIS qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | secs mais fugaces, 5°. | secs mais fugaces, 3°. | 1 | 0.045455 | 0.166667 |
107.txt | 1,821 | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et @@@1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 3°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont 1°. mous ou fugaces, 2°. secs mais fugaces, 3°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aethéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-@melles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 59 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-VOIS qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. | solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. | 0 | 0 | 0 |
107.txt | 1,821 | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et @@@1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 3°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont 1°. mous ou fugaces, 2°. secs mais fugaces, 3°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aethéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-@melles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 59 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-VOIS qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 . | Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 . | 0 | 0 | 0 |
107.txt | 1,821 | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et @@@1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 3°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont 1°. mous ou fugaces, 2°. secs mais fugaces, 3°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aethéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-@melles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 59 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-VOIS qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. | tiennent le troisième rang dans l'aethéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. | 1 | 0.004065 | 0.026316 |
107.txt | 1,821 | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et @@@1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 3°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont 1°. mous ou fugaces, 2°. secs mais fugaces, 3°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aethéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-@melles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 59 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-VOIS qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . | PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-melles 2 . | 2 | 0.011494 | 0.066667 |
107.txt | 1,821 | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et @@@1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 3°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont 1°. mous ou fugaces, 2°. secs mais fugaces, 3°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aethéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-@melles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 59 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-VOIS qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | La cinquième classe comprend les mousses. | La cinquième classe comprend les mousses. | 0 | 0 | 0 |
107.txt | 1,821 | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et @@@1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 3°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont 1°. mous ou fugaces, 2°. secs mais fugaces, 3°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aethéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-@melles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 59 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-VOIS qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. | Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. | 0 | 0 | 0 |
107.txt | 1,821 | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et @@@1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 3°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont 1°. mous ou fugaces, 2°. secs mais fugaces, 3°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aethéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-@melles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 59 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-VOIS qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. | La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 59 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. | 3 | 0.014286 | 0.081081 |
107.txt | 1,821 | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 5°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont i°. mous bu fugaces, 2°. secs mais fugaces, 5°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aithéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-nielles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et @@@1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 59 bris de végétaux, sans s'y fixer immédiatement 2°. les champignons faux-parasites , dont le nombre est très-petit , et que l'on trouve sur des arbres encore vivans , 3°. et les champignons qui naissent sur des bois morts et sur des feuilles tombées. Ces derniers sont de deux sortes , les annuels et les vivaces les uns sont 1°. mous ou fugaces, 2°. secs mais fugaces, 3°. solides et durent long-temps les autres, en très-petit nombre fournissent, cette substance d'un usage si commun que l'on nomme amadou , et qu'on trouve sur les hêtres languissans. Les lichens, dont les scutelles sont organisées intérieu-rement comme les pézizes 1 .tiennent le troisième rang dans l'aethéogamie le quatrième est occupé par les hé-patiques chez lesquels on commence à trouver les indices d'une fructification mieux prononcée et plus analogue à celle des autres végétaux que nous nommons parfaits. PALISOT DE BEAUVOIS leur reconnaît, avec LINNÉ , pour organes fécondans les urnes portées sur le pédicule que HEDWIG et ses partisans déclarent être les organes fe-@melles 2 . La cinquième classe comprend les mousses. Elles offrent de vraies racines, une tige, des feuilles , et des organes particuliers et distincts, qui paraissent être ceux à l'aide desquels elles se régénèrent. La fleur, essentiel-lement la même dans tous les genres et dans toutes les espèces , ne diffère extérieurement que par le nombre et 59 1 Consultez le premier volume botanique de l'Ency-clopédie méthodique, art. Champignon. 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-VOIS qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-vois qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 2 Je n'ai trouvé dans les papiers de PALISOT DE BEAU-VOIS qu'un travail à peine ébauché sur ces deux familles. | 4 | 0.036364 | 0.190476 |
649.txt | 1,886 | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, parmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donne aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, parmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. | 2 | 0.014599 | 0.086957 |
649.txt | 1,886 | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, parmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donne aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. | Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. | 0 | 0 | 0 |
649.txt | 1,886 | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, parmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. 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649.txt | 1,886 | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. 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Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, parmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. 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Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, parmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. 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649.txt | 1,886 | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. 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Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, parmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donne aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. | On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. | 0 | 0 | 0 |
649.txt | 1,886 | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. 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649.txt | 1,886 | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, parmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donne aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. | Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. | 0 | 0 | 0 |
649.txt | 1,886 | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, parmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donne aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. | On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. | 0 | 0 | 0 |
649.txt | 1,886 | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, parmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donne aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. | Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. | 0 | 0 | 0 |
649.txt | 1,886 | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, parmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donne aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. | Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. | 0 | 0 | 0 |
649.txt | 1,886 | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. 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Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. 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Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, parmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. 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Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donne aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. | Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donne aucun signe de sensation. | 1 | 0.010753 | 0.05 |
649.txt | 1,886 | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, pgjmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donna aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | MAGNÉTISME EXPÉRIMENTAL 245 de personnes, parmi lesquelles se trouvait le prince de la Moskowa, j'essayai de magnétiser une femme idiote. Je lui pris les pouces mais bientôt elle retira ses mains et me donna des coups de poing. Je lui pris alors un seul pouce, et, de mon autre main, je parai les coups qu'elle cherchait à me donner, me faisant en outre les plus laides grimaces imaginables. Après quarante minutes de combat, pendant lesquelles j'avais continué à envahir son organisme, ses yeux se fer-mèrent, et bientôt après elle était plongée dans un sommeil profond, dont elle ne sortit que lorsque je la démagnétisai. On avait pu la piquer impunément sans qu'elle donnât signe de sensation. Certes, ici il n'y avait ni influence de l'imagination ni effet d'imitation. On n'avait pas même prononcé le mot magné-tisme. Sommeil sur des animaux, lion, hyène, chien, chat, écureuil lézard, etc. J'ai fait des essais sur plusieurs animaux, et j'ai obtenu un plein succès. Le public de Paris se rappelle sans doute le chien que je présentai le 20 janvier 1843, dans une séance publique, salle Valentino. C'était un petit lévrier qui m'avait été donné depuis huit jours quinze cents personnes se trouvaient dans la salle, parmi lesquelles beaucoup d'incrédules et de malveillants. Dès les premières passes que je fis pour endormir le chien, ce fut une explosion générale de railleries et de sifflets. On appelait l'animal, on cherchait à détourner son attention et à empêcher l'effet de se produire. Je le tenais sur mes genoux d'une main je lui prenais une patte, et de l'autre je faisais des passes de la tête au milieu du corps. Après quelques minutes, le silence le plus profond régnait dans la salle on avait vu la tête du chien tomber de côté et s'endormir profondément. Je lui catalep-tisai les pattes, je le piquai, et le chien ne donne aucun signe de sensation. Je me levai et le jetai sur un fauteuil | Je me levai et le jetai sur un fauteuil | Je me levai et le jetai sur un fauteuil | 0 | 0 | 0 |
885.txt | 1,858 | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière@! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière ! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que @de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat ! Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur@, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens @@de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. | 0 | 0 | 0 |
885.txt | 1,858 | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière@! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière ! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que @de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat ! Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur@, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens @@de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. | 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. | 0 | 0 | 0 |
885.txt | 1,858 | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière@! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière ! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que @de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat ! Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur@, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens @@de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. | Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. | 0 | 0 | 0 |
885.txt | 1,858 | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. 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Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière@! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière ! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que @de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat ! Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur@, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens @@de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! | Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière ! | 1 | 0.007813 | 0 |
885.txt | 1,858 | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière@! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. 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Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. | Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. | 0 | 0 | 0 |
885.txt | 1,858 | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. 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885.txt | 1,858 | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. 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Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. 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Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. 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Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même? | Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? | 1 | 0.017241 | 0 |
885.txt | 1,858 | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. 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Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière ! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que @de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat ! Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur@, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens @@de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. | Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. | 0 | 0 | 0 |
885.txt | 1,858 | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière@! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. 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Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur@, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens @@de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. | Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. | 0 | 0 | 0 |
885.txt | 1,858 | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière@! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. 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Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. 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Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. 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Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. | C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. | 0 | 0 | 0 |
885.txt | 1,858 | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. 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Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. 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Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière ! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que @de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat ! Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur@, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens @@de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. | Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. | 4 | 0.004324 | 0.030675 |
885.txt | 1,858 | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. 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Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. 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Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière ! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que @de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat ! Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur@, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens @@de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. | Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. | 0 | 0 | 0 |
885.txt | 1,858 | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière@! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que .de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat 1 Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même@? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur,, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens 1 de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motivé, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. 197 fléchi et capable il se piqua d'honneur et se promit de ne rien négliger pour rendre ces qualités évidentes, et ménager à son patron un de ces succès qui font époque dans une étude. Si obscur que fût son rôle, si petite que dût être sa part, il espérait se créer ainsi un titre à une confiance plus étendue. Que de fortunes, parmi les praticiens, ont eu de pareils commencements et conduit, de degré en degré, au sommet d'une carrière ! C'est déjà beaucoup pour un jeune homme que @de songer à agrandir la sphère dans laquelle le destin l'a jeté, et de porter ses yeux plus haut et plus loin que le travail d'un noviciat ! Les véritables vocations se re-connaissent à ces signes. Ludovic s'absorba donc tout entier dans l'étude de son dossier. Au milieu de tant de causes dont il était chargé, l'a-vocat célèbre avait probablement oublié celle-là peut-être l'estimait-il mauvaise et perdue sans retour. Comment voir autrement, à moins de se condamner soi-même ? Un avocat n'est pas un père pour s'attacher à un enfant mal venu. Il y avait donc une première prévention à vaincre, et, avant de gagner le procès devant la cour, il fallait la gagner devant le défenseur. C'est à quoi Ludovic s'attacha d'abord. Il demanda conférence sur conférence, multiplia les notes, puisa dans l'arsenal des arrêts pour en tirer ceux qui lui étaient favo-rables et en former le faisceau le plus imposant qu'on eût ja-mais vu de mémoire de procureur@, exposa les points de droit et les points de fait de manière à aider l'esprit le plus négligent et la mémoire la plus paresseuse, classa les moyens @@de défense dans l'ordre de leur importance, les moyens prin-cipaux, puis les moyens secondaires, enfin les moyens de détail qui sont l'assaisonnement obligé d'une affaire et tien-nent le juge en haleine, en même temps qu'ils reposent l'es-prit de l'avocat, enfin couronna son oeuvre par un mémoire succinct, fortement motive, mélange d'art et de science qui eût fait honneur à un jurisconsulte vieilli sous le harnais, et auquel les noms les plus honorés du barreau donnèrent une adhésion sans réserve et accompagnée des témoignages les plus flatteurs. Voilà où en étaient les choses après deux mois de travail. Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | Bon gré, mal gré, le défenseur accrédité en était arrivé à une | 0 | 0 | 0 |
265.txt | 1,845 | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. | -85 -fois que je vous écris. | 0 | 0 | 0 |
265.txt | 1,845 | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. | Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. | 2 | 0.008621 | 0.043478 |
265.txt | 1,845 | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | Je me recommande aussi à vos prières. | Je me recommande aussi à vos prières. | 0 | 0 | 0 |
265.txt | 1,845 | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. | Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. | 0 | 0 | 0 |
265.txt | 1,845 | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. | Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. | 0 | 0 | 0 |
265.txt | 1,845 | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! | Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! | 0 | 0 | 0 |
265.txt | 1,845 | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. | Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. | 0 | 0 | 0 |
265.txt | 1,845 | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! | Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! | 0 | 0 | 0 |
265.txt | 1,845 | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. | Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. | 0 | 0 | 0 |
265.txt | 1,845 | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. | Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. | 0 | 0 | 0 |
265.txt | 1,845 | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons tin jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | -85 -fois que je vous écris. Si nous souffrons pour Jésus-Christ, nous nous réunirons @un jour avec lui mais persévérons dans le bien jusqu'à la fin, et travaillons à mourir de la mort des justes c'est la grâce que je demanderai pour vous sans cesse au Seigneur. Je me recommande aussi à vos prières. Je désire toujours vous être utile, et vous aider à mériter le ciel. Je dis dans toute la sin-cérité de mon âme au Seigneur, avec notre bien-heureux patron, S. Martin Si j'étais encore nécessaire à votre peuple, je ne refuserais pas le travail, je lui sacrifierais le désir de vous posséder actuellement dans la gloire mais s'il vous plaît de m'appeler à vous, et de me séparer des âmes que vous m'aviez confiées, que votre volonté soit faite. Ah! Seigneur, ayez-en pitié, et donnez-leur des pasteurs selon votre coeur ! Je vous fais à tous, mes chers et bien aimés paroissiens, et à chacun en particulier, mes der-niers adieux. Je vous recommande à Dieu et à sa sainte grâce si nous ne nous revoyons plus sur la terre, puissions-nous du moins nous revoir dans le ciel ! Ce bonheur dépendra de la vie que nous aurons menée ici-bas. Vivez dans la piété, dans la crainte du Seigneur. Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. De- | Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. | Soyez fidèles à la religion sainte que j'ai tâché de vous enseigner par mes instructions et par mes exemples. | 0 | 0 | 0 |
271.txt | 1,845 | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. | 0 | 0 | 0 |
271.txt | 1,845 | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. | 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. | 1 | 0.016129 | 0.090909 |
271.txt | 1,845 | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. | Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. | 0 | 0 | 0 |
271.txt | 1,845 | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. | Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. | 0 | 0 | 0 |
271.txt | 1,845 | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. | La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. | 0 | 0 | 0 |
271.txt | 1,845 | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. | Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. | 0 | 0 | 0 |
271.txt | 1,845 | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. | Le lendemain 12, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. | 3 | 0.017341 | 0.09375 |
271.txt | 1,845 | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 5° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1,2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes bas personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | -98-gneur, Voilà la prédiction l'auteur de la Vie de M. Musart en a vu de ses yeux, et bien d'au-tres avec lui, l'entier accomplissement, à Reims d'abord par les bonnes oeuvres de toute espèce, puis à Amiens, et enfin à Rome, où elle eut jus-qu'à sa mort une nombreuse famille à gouverner. 3° Voici un fait appuyé des témoignages les plus irrécusables. Mademoiselle Nicole Coyon, cette parente du saint prêtre, qui prit soin de lui dans sa prison et le suivit jusqu'à l'échafaud, avait laissé à Somme-Vesle une. soeur. Cette soeur était attaquée d'une humeur cancéreuse dont les progrès donnaient beaucoup d'inquiétude au médecin qui la traitait. La malade, encore plus inquiète, se sentit inspirée d'écrire à son véné-rable parent, pour l'informer de sa dangereuse position et se recommander à ses prières. Celui-ci, le 11 mars, jour de sa mort, lui répond qu'il ne l'oubliera pas devant Dieu ce sont les expres-sions de sa lettre. Le lendemain 1@2, la malade se trouva guérie, au grand étonnement de toutes les personnes qui connaissaient sa pénible situa-tion et le genre de mort dont elle était menacée. 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | 4° A Somme-Suippe, c'est une chose de no-toriété publique que des personnes qui passaient pour avoir concouru à faire arrêter M. Musart par la gendarmerie s'étaient montrées depuis, ainsi que leurs familles, les plus attachées à | 0 | 0 | 0 |
517.txt | 1,873 | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. | 0 | 0 | 0 |
517.txt | 1,873 | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. | b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. | 0 | 0 | 0 |
517.txt | 1,873 | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | Recherche des phosphates. | Recherche des phosphates. | 0 | 0 | 0 |
517.txt | 1,873 | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. | -Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. | 1 | 0.005051 | 0.027778 |
517.txt | 1,873 | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. | L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. | 0 | 0 | 0 |
517.txt | 1,873 | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. | -Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. | 1 | 0.007576 | 0.043478 |
517.txt | 1,873 | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. | Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. | 1 | 0.004032 | 0.02439 |
517.txt | 1,873 | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. | On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. | 0 | 0 | 0 |
517.txt | 1,873 | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. - Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. - Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif.se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | -21 -qui accompagne une maladie inflammatoire, et surtout dans les affections cérébrales et spinales aiguës ils diminuent dans les névroses, dans les affections spinales chroniques et les maladies des reins. b Les phosphates terreux augmentent dans la ménin-gite et en général dans toutes les affections cérébrales ai-guës, dans les rhumatismes ils diminuent dans les mala-dies des reins, les maladies spinales et les maladies ner-veuses en général. § 38. Recherche des phosphates. -@Si on ajoute un ex-cès d'ammoniaque à une urine acide, on précipite le phos-phate de chaux et le phosphate de magnésie, le premier tel quel et le dernier à l'état de phosphate ammoniaco-magné-sien. L'acide phosphorique qui, après l'addition de l'am-moniaque, est resté encore en solution, se reconnaît facile-ment par le précipité blanc jaunâtre de phosphate ferrique qui se forme par l'addition de chlorure ferrique, après avoir acidulé l'urine avec de l'acide acétique. Dosage. -@Le dosage de l'acide phosphorique se fait le mieux par la méthode des volumes, en employant une so-lution titrée d'acétate d'urane. Cette détermination repose sur le fait que le phosphate uranique est insoluble dans l'acide acétique et que le moindre excès de réactif se fait reconnaître par la coloration rougeâtre que prend le li-quide, en ajoutant du ferrocyanure de potassium. On peut titrer le réactif de telle sorte que 1 CC corres-ponde à 5 milligrammes d'acide phosphorique. On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | On opère ensuite de la manière suivante On introduit dans un vase à précipiter 50 CC d'urine, on ajoute 5 CC d'un mélange renfermant pour 1 litre de solu-tion, 100 grammes d'acétate de soude cristallisé et 100 CC d'acide acétique concentré on chauffe au bain-marie et on ajoute, au moyen d'une burette, de la solution titrée jus-qu'à ce qu'une goutte du liquide essayé donne, avec le cya-nure jaune, cette coloration rouge brunâtre caractéristique. | 0 | 0 | 0 |
259.txt | 1,845 | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. | 0 | 0 | 0 |
259.txt | 1,845 | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. | Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. | 0 | 0 | 0 |
259.txt | 1,845 | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. | Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. | 1 | 0.00885 | 0.04 |
259.txt | 1,845 | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. | Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. | 0 | 0 | 0 |
259.txt | 1,845 | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. | Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. | 0 | 0 | 0 |
259.txt | 1,845 | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. | Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. | 0 | 0 | 0 |
259.txt | 1,845 | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. | Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. | 0 | 0 | 0 |
259.txt | 1,845 | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. | Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. | 0 | 0 | 0 |
259.txt | 1,845 | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. | Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. | 0 | 0 | 0 |
259.txt | 1,845 | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-lé avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | -74 -apôtres, ses martyrs et presque tous les saints. Je regarde mon état comme la plus grande grâce qu'il puisse me faire. Remerciez-le avec moi et, comme moi, priez pour ceux qui m'ont fait tant de bien en voulant me faire de la peine. Je leur pardonne de tout mon coeur je prie le Seigneur de leur pardonner et s'il veut me retirer de ce monde et me placer parmi ses élus, comme je l'espère fermement, je les recommanderai en-core à sa miséricorde. Souvenez-vous, mes enfants, mes chers pa-roissiens, que notre séparation ne doit pas être longue nous devons tous nous réunir dans le ciel si nous vivons chrétiennement. Efforcez-vous de marcher sur mes traces, comme j'ai tâ-ché de marcher moi-même sur celles de Jésus-Christ. Mon exemple vous apprend qu'un pasteur catholique, tenant dans ses mains et portant dans son coeur l'Évangile de Jésus-Christ, peut bien être persécuté, dépouillé de ses biens, chassé et mis à mort, mais qu'il ne peut être vaincu. Mes faibles bras peuvent plier sous les chaînes de l'oppression mais ma conscience, plus dure que le fer, n'obéira qu'à Dieu seul, comme je l'es-père de sa grâce. Faites-en de même, s'il le faut rendez à Dieu amour pour amour, sang pour sang, vie pour vie le ciel doit en être le prix. Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | Si la peine vous effraie, que la récompense vous anime. | 0 | 0 | 0 |
1054.txt | 1,864 | INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | INTRODUCTION Quique aethera carpere possent Credidit esse deos. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. | INTRODUCTION Quique aethera carpere possent Credidit esse deos. | 2 | 0.031746 | 0.222222 |
1054.txt | 1,864 | INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | INTRODUCTION Quique aethera carpere possent Credidit esse deos. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! | Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! | 0 | 0 | 0 |
1054.txt | 1,864 | INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | INTRODUCTION Quique aethera carpere possent Credidit esse deos. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. | On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. | 0 | 0 | 0 |
1054.txt | 1,864 | INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | INTRODUCTION Quique aethera carpere possent Credidit esse deos. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. | Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. | 0 | 0 | 0 |
1054.txt | 1,864 | INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | INTRODUCTION Quique aethera carpers possent Credidit esse deo8. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | INTRODUCTION Quique aethera carpere possent Credidit esse deos. Ils planaient dans les airs, on les prit pour des dieux! On me demande pour le GÉANT une Introduction auprès du public. Or, s'il y a une connaissance déjà faite, c'est évidemment celle-là. Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. Convaincu par l'expérience comme par le raison-nement qu'il est impossible de diriger au travers de l'air un immense volume de même légèreté spéci-fique que cet élément mobile, M. Nadar s'arrêta à l'idée que, pour se mouvoir dans ce milieu, un corps devait être bien plus lourd que l'air, de manière à | Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. | Aucune expérience aérostatique n'a eu un retentissement pareil aux deux ascensions de M. Nadar, qui, chose remarquable, avait pour but d'obtenir, au moyen d'un ballon, les sommes nécessaires à la construction d'une machine d'une tout autre espèce, destinée non plus à flotter, mais bien à voyager dans l'atmosphère. | 0 | 0 | 0 |